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dysphorie de genre^J éducation sexuelle et transhumanise NICE 24 F2VRIER 24

 

l’éducation sexuelle et la théorie du genre : manipulation et  dangers psychiques pour  les enfants !

 

 

 

Par le docteur N Delépine pédiatre cancérologue

 

Si le désir de changer de sexe (rebaptisé transition de genre) a toujours existé chez les adultes, l’irruption du phénomène contagieux et exponentiel de la dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents appelle à une extrême vigilance, car elle s’intègre dans une volonté de destruction de la famille traditionnelle pour aller vers le transhumanisme et la disparition de l’homme normal.

On change de registre. Sous prétexte d’écouter les enfants ou adultes pour leur confort, c’est toute une société qu’on veut changer subrepticement par petites touches  (comme l’avait exprimé clairement le ministre de l’ éducation nationale en 2014 avec les abc de l’égalité…) Peu importe les victimes sur le chemin.

Comment admettre, en effet, qu’un mineur, qui n’est pas assez mature pour voter ou avoir des relations sexuelles, puisse consentir à des traitements qui supprimeront sa fertilité et modifieront son corps de manière irréversible ?

Que peut savoir un enfant de six ans interrogé à six ans sur ses choix futurs d’être un homme, une femme ou encore bien autre chose ? Manipulation diffuse.

Quelles sont les conséquences médicales des hormones, et quelles en sont les conséquences psychologiques et psychiatriques ? Pourquoi une prise en charge totale du cout des traitements et opérations par la Sécurité Sociale, alors que l’OMS déclare que la dysphorie de genre n’est plus classée parmi les maladies ? Pourquoi la détransition reste-t-elle un phénomène tabou ? Comment le transgenrisme est-il entré dans le débat politique ?

Autant de questions et de réponses pour tenter d’ éclairer les risques et les dérives de la transition de genre chez les mineurs que nous avons abordé dans notre récent livre dans l’ambition d’aider les parents, enseignants et citoyens soumis à des rencontres avec des enfants ou jeunes taraudés par cette nouvelle « mode » dérivée du wokisme, doublée de la marchandisation du corps.

Aider familles et tous citoyens concernés afin qu’ils puissent disposer de quelques informations objectives, sans tabou, ni jugement, pour tenter d’aider ces jeunes manipulés, le plus souvent par des réseaux sociaux où fleurissent les influenceurs grassement subventionnés par les marchands de rêve. Ces derniers les conduisent le plus souvent, à la place du paradis promis, vers un enfer quotidien à travers les médicaments, les mutilations irréversibles, les échecs des rapports sexuels et le rejet qu’ils subissent s’ils osent faire le chemin inverse de la détransition Idéologie LGBTQ+[1]

Ce sont singulièrement ceux qui souhaitent prendre le chemin inverse, revenir à leur genre initial conforme à leur sexe de naissance, qui sont alors diffamés, critiqués, abandonnés par les nouveaux amis et comble du ridicule, traités de transphobes ! [2]

Un scandale médical aussi horrible que les lobotomies[3]

Ainsi pour certains psychiatres, la transition de genre à travers la médicalisation à outrance (pour une situation rappelons-le -la dysphorie de genre- considérée comme non médicale, mais remboursée à 100 % en France), il s’agirait d’un scandale médical comparable aux lobotomies.

Le Dr Grossman explique ce que tous les parents devraient savoir sur ce que l’on appelle les « soins d’affirmation du genre » et une série de mesures que les parents peuvent prendre à la maison et à l’école pour protéger leurs enfants.

« Ces enfants qui reçoivent des soins d’affirmation du genre deviennent des patients à vie. Ils deviennent des consommateurs de produits pharmaceutiques à vie », [4]

 

Les parents aussi appellent au secours !

Des parents se révoltent devant la manipulation qu’a subi leur enfant, souvent à leur insu, particulièrement pendant ces périodes de confinement plus ou moins longues selon les pays. Les enfants et adolescents se sont penchés sur leur ordinateur 24/24 et se sont trouvés de nouveaux amis.

 

« Elle est encore ma fille, elle restera à jamais ma fille »[5] : une mère se fraye un chemin à travers le mouvement transgenre « Pourquoi prendre un corps sain et en faire un patient médical à vie ? »

Telle est la question qu’Amy s’est retrouvée à poser à sa fille adolescente, aux communautés médicales et scientifiques, et à la société dans son ensemble. Pour une mère qui n’a pas pu empêcher la transition de genre de sa fille, c’est plus qu’une question : c’est un cri de détresse. Amy, comptable à Long Island, menait une vie normale avec son mari et ses enfants. Sa vie a basculé.

Leur appel de détresse donne à réfléchir au sort des enfants manipulés par la mode du wokisme qui casse les familles et n’autorise plus les parents à interférer dans la vie de leur enfant qui risquent de se retrouver devant les tribunaux s’ils osent ouvrir la bouche. C’est la loi du tout affirmatif : l’enfant décide, même à huit ans, et tout le monde doit accepter, singulièrement à l’école sous l’égide de la circulaire Blanquer de septembre 21. Les résistants à l’ukase seront traités de transphobes, licenciés pour certains enseignants, et risquent d’être démis de leurs droits parentaux par les juges.

Les transgenres sont avant tout des victimes manipulées par quelques-uns qui se servent des minorités pour accéder à des hauts postes de pouvoir. Victimes abusées par un rêve inaccessible : on peut changer de genre, mais jamais de sexe, on ne peut que tromper son corps, tromper les autres, mais jamais ses chromosomes.  Ces personnes sont des victimes car elles étaient bien portantes[6], et on les transforme en malades chroniques à vie.

 

Et pourtant que de victimes sous prétexte de vouloir soi-disant les aider [7]

Une adolescente ex-trans poursuit les médecins qui l’ont mutilée alors qu’elle était mineure[8]. Chloé Cole a reçu des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles, et subi une ablation de la poitrine à l’âge de 15 ans. Elle a décidé de poursuivre le groupe médical et l’hôpital qui ont facilité sa transition de genre sans lui donner toutes les informations ni le temps nécessaire à un consentement éclairé alors qu’elle était mineure. Car aujourd’hui elle regrette profondément ses choix.

Même plainte en justice de Jay Langadinos en Australie[9] .

La première chose, oubliée en ce nouveau siècle, est que ces personnes devraient bénéficier d’un consentement véritablement éclairé et non d’une propagande reposant sur l’idéologie wokiste et transhumaniste parfois doublée du « business is business ».

Les étapes de la transition de genre (assistée par des traitements hormonaux et gestes chirurgicaux) comprenaient d’abord la préparation psychologique qui visait à éliminer les psychoses, les dépressions, et à tenter d’expliquer aux candidats trans les conséquences des interventions médicochirurgicales. Cette phase durait en général de deux ans, mais elle tend à se raccourcir sous l’influence des lobbies du genre (business du genre ?)[10].

La réassignation génitale se traduit par un long et pénible parcours pour obtenir les apparences de ce changement de sexe et ce n’est qu’après ces longs mois, voire années qu’ils peuvent enfin bénéficier de prises en charge psychologiques ou psychiatriques. Et cela ne fait pas diminuer le drame des suicides qui touche finalement 40% des transgenres (20 fois plus que la population hétéro sexuelle). Leur éviter un suicide est l’argument, le mensonge utilisé pour convaincre les parents (lorsqu’ils sont informés) alors que les transgenres ont ce triste record.[11]

 

 

 

La théorie du genre  aurait-elle transformé nos sociétés occidentales ?

De fait, non !

 Seule une extrême minorité qui se croit l’élite a prospéré et surfé sur ces nouvelles affirmations pseudo progressistes et fait croire que c’est généralisé .

Le lobby trans affirmatif a de gigantesques moyens et ceci explique cela !

Soutenu notamment par la fondation Thomson Reuters, la société mondiale de services d’information, et par l’un des plus gros cabinets internationaux d’avocats, Dentons.

Se demande-t-on alors pourquoi les pouvoirs publics accordent une telle importance aux militants trans-affirmatifs qui ne représentent que très peu de personnes. Pourquoi leur ouvre-t-on les portes des ministères (en premier lieu santé, éducation, etc.), des collectivités locales qui financent abondamment leurs projets  ou d’ autorités administratives ?

 

A couts de subventions obtenues par les cinéastes, les directeurs de club de sport, ou de sociétés privées, on a trompé la grande majorité de la population

Et cette publicité outrancière a aggravé le rejet des homosexuels et les transgenres qui, comme la plupart des gens, souhaitent vivre tranquillement, selon leurs désirs, loin des caméras.

 

Les échecs récents de Disney[12] ou de la bière Budweiser[13] qui ont vu chuté leurs actions boursières à la suite de modifications carrément wokistes et transgenres de leurs spectacles et publicités démontrent bien que les populations occidentales ne sont pas consentantes à ces tentatives de transformations radicales de nos sociétés millénaires.

 

S’il est désormais de notoriété médiatique officielle que considérer qu’un homme est un homme et une femme est une femme est conservateur, combien de citoyens sont-ils tombés dans cette folie et ce fantasme ?

 

En tout cas, pas le premier ministre anglais actuel Rishi Sunak qui, lors du congrès annuel du Parti conservateur le mercredi 4 octobre 2023, a déclaré sous les applaudissements : : « Nous ne devrions pas nous laisser intimider par la croyance selon laquelle les gens peuvent avoir le sexe de leur choix », « Un homme est un homme et une femme est une femme, c’est juste du bon sens ! »

 

Et comme premier ministre, il a échappé à la poursuite en justice pour transphobie !

Contre disant ainsi les affirmations bientôt oubliées d’A Buzyn l’ancienne ministre de la santé : « un oncle peut être la mère… ».  Mais  c’est elle aussi qui a classé substance vénéneuse l’hydroxychloroquine sous prétexte que les Français prendraient trop de médicaments… Ne nous étonnons plus de rien.

 

Quant aux Polonais, Hongrois ou Russes, qui ne cautionnent pas cette théorie du genre et protègent nos acquis culturels, la littérature, la musique, les traditions familiales etc… ils ont déjà subi la même qualification de réactionnaire dans nos médias.

 

Il est probable que les professionnels de la santé qui prescrivent les hormones sexuelles croisées et les bloqueurs de la puberté chez les enfants seront un jour tenus responsables de maltraitance des enfants et de fautes professionnelles  [14] médicales, comme cela se passe dans les pays qui ont développé ces techniques bien avant la France et qui les abandonnent (comme la Suède et le Royaume Uni) ou les interdisent (comme la Russie, et beaucoup  d’états africains et américains).

 

Les professionnels de la santé qui pratiquent les chirurgies transgenres et les mutilations génitales sur leurs patients risquent d’être à terme l’objet d’une vague de poursuites judiciaires Tout n’est pas aussi simple que les séries télévisées voudraient le faire croire.

Pour les parents ou grands-parents que nous sommes le plus important est de communiquer des informations honnêtes sans jugement sur leurs choix pour les protéger de manipulations à motivation commerciale non négligeable.

Ensuite, à l’âge adulte, ce sera leur détermination qui devra compter et alors à nous de les accompagner et de les aider le mieux.

 

Laisserons-nous sans rien dire des enfants se faire martyriser, mutiler, transformer à un âge où la sexualité est silencieuse chez les plus jeunes, puis questionnable chez les adolescents, sans tenter de les protéger d’une idéologie mondialiste et d’un lobby extraordinairement puissant et lucratif…Les parents ont été dépouillés de leur droit de regard : nous devons le leur rendre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Un Transgenre raconte sa détransition

[2] Voir sur telegram le canal des détransitionneurs.

[3] ttps://www.infotrad.fr/2023/08/28/un-scandale-medical-aussi-horrible-que-les-lobotomies-miriam-grossman-sur-les-soins-daffirmation-du-genre-et-ce-que-les-parents-doivent-savoir/

[4] Miriam Grossman , psychiatre pour enfants et adolescents et auteur de « Lost in Trans Nation: A Child Psychiatrist’s Guide Out of the Madness (Perdu dans la nation trans : Le guide d’un pédopsychiatre pour sortir de la folie) ».

[5] https://www.epochtimes.fr/elle-est-encore-ma-fille-elle-restera-a-jamais-ma-fille-une-mere-se-fraye-un-chemin-a-travers-le-mouvement-transgenre-2377749.html

[6] Parmi les candidats au changement de genre, il y a  néanmoins un certain nombre malades de formes d’autisme, de dépression ou autre trouble psychiatrique etc, qui devraient être dépistés avant toute intervention médicale ou chirurgicale pour bénéficier des traitements adaptés à leur pathologie

[7] Nouveau Monde — Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan (nouveau-monde.ca)

[8] https://www.juristespourlenfance.com/2023/07/28/temoignage-de-chloe-cole-detransitionneuse-lors-de-son-proces-contre-les-medecins-qui-lont-mutilee/

[9] ttps://www.smh.com.au/national/absolutely-devastating-woman-sues-psychiatrist-over-gender-transition-20220823-p5bbyr.html

[10] Nouveau Monde — Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE (nouveau-monde.ca)/

[11] Par rapport aux autres minorités sexuelles (homosexuels, lesbiennes et bisexuels), les transsexuels souffrent d’une tendance suicidaire beaucoup plus élevée (4 à 6 fois) qui constitue un vrai problème.   nouveau-monde.ca/devenir-trans-mene-trop-souvent-au-suicide-informez-familles-et-candidats-pour-leur-securite/

 

 

[12] https://hitek.fr/actualite/disney-detestee-pour-wokisme_42968

[13] https://www.journaldemontreal.com/2023/04/12/publicite-pour-bud-light-anheuser-busch-perd-de-5-g-us-apres-un-partenariat-avec-une-transgenre

[14] Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres

 

2 dysphorie de genre et enfance sacrifiee CHOISY LE ROI 8 fev 24

 

et version un peu plus courte  à la Mothe près de la Roche sur Yon

dysphorie de genre et enfance sacrifiee la roche sur yon 10 FEV 24

 

 

2023 12 8 la resistance paye nouveau monde

Les Français doutent du Gardasil, le refusent largement : il faut continuer à informer !

12/12/2023 (2023-12-12)

Par Dr Delépine

Le gardasil n’a jamais démontré son utilité contre les cancers du col ou de l’anus, qui se développent lentement sur des décennies. Son efficacité contre les infections à papillomavirus (HPV) n’a que peu d’intérêt contre une contamination qui guérit spontanément chez 90 % des gens. Ses potentielles complications (perte de la fertilité, accidents neurologiques, etc.) et son énorme coût financier plaident pour un abandon de cette vaccination et surtout un renoncement à toute obligation et/ou pression sur les familles.

Mise à jour :

Gardasil 2023-24: Alertes et Responsabilités

(…)

Depuis le début de la campagne généralisée avec le Gardasil-9, des associations et des médecins alertent les parents, les personnels de l’éducation nationale, les personnels et organismes de santé et leurs Ministères de tutelle, ainsi que les élus sur un grave manque d’informations claires et loyales concernant ce vaccin et ses conséquences:

Quelle est l’efficacité connue de ce vaccin Gardasil-9 contre le cancer du col de l’utérus ?
Quels sont ses bénéfices en regard des risques possibles d’effets secondaires graves, voire de décès, comme cela est indiqué dans la notice américaine du vaccin ou encore d’après les notifications dans les bases de pharmacovigilance ?
N’est-il pas légalement obligatoire d’informer chaque parent de ces risques ?
Le déroulement de la campagne dans les collèges respecte-t-il cette obligation d’informer les parents de façon appropriée  (notamment sur les pertes de connaissances et autres conséquences indésirables possibles ) ?
Des consignes de surveillance et de sécurité suffisantes en « per injection » sont-elles respectées pour les collégiens ?
Ces questions et de nombreuses autres se posent. Certaines ne sont pas nouvelles et font suite au travail d’associations de victimes et de médecins de terrain qui informent et alertent depuis plus de 15 ans. Dans de nombreux pays, les données des registres des cancers sont publiques et permettent d’analyser s’il y a un bénéfice réel à vacciner en masse des enfants et jeunes adultes.

Devant le silence assourdissant des médias officiels et des autorités de santé, nous avons essayé de répondre à une quinzaine de questions afin que tous les parents puissent s’informer de façon libre et éclairée et ainsi puissent exercer, en toute connaissance de cause, leur consentement ou leur refus que l’on vaccine leur enfant en milieu scolaire. (…)

 

 

Depuis le coup de Jarnac, où le président s’est transformé en représentant de commerce du Gardasil, toutes les agences de l’État, les médias et même la sécurité sociale font la propagande de ce vaccin en n’hésitant pas à mentir, sans limites.

L’une des « désinformations » les plus diffusées par ces propagandistes concerne l’Australie où ils prétendent : en Australie, le succès de la campagne de vaccination contre les HPV, associée au dépistage du cancer du col de l’utérus, ouvre la perspective d’une éradication du cancer du col de l’utérus d’ici une quinzaine d’années.

Pour vérifier qu’il s’agit d’une fake news, il suffit d’interroger l’agence sanitaire australienne en demandant sur internet « https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics » et en précisant comme langue « français ». On obtient alors le nombre de cancers du col (942 en 2022 contre 727 en 2006) et la courbe d’incidence de ce cancer qui montre que depuis la vaccination, l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus n’a plus baissé depuis la vaccination alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % à l’ère du dépistage seul entre 1987 et 2006 (de 14,2 à 7,1).

Et surtout dans le groupe d’âge le plus vacciné on observe une augmentation d’incidence de 15 % entre 2006 (7,9/100 000) et 2019 (9,1), dernière date analysée par groupe d’âge en décembre 2023.

Comment tous ces médias et agences peuvent-ils être aussi ignorants ?

Mentent-ils volontairement ?

Et ils diffusent bien d’autres fausses informations sur d’autres pays pour faire croire à l’efficacité anticancéreuse du Gardasil, alors que les faits publiés par les agences officielles et les registres du cancer démontrent le contraire.

Le Royaume-Uni a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école en 2008. Un article mensonger récent mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, très largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « vaccin anti-HPV: quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais fin 2022, l’agence officielle « Cancer research UK » (CRUK) affirme sur son site : « dans la dernière décennie, l’incidence du cancer du col est restée stable » et annonce une incidence standardisée de cancer invasif de 9,6/100 000 (supérieure de 50 % au taux français actuel) ainsi que l’illustre ce graphique.

L’analyse par groupe d’âge objective une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées qui ont globalement poursuivi le dépistage cytologique.

À l’opposé, le groupe des 25-34 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

 

Cette inefficacité anticancéreuse du Gardasil est également observée dans les pays scandinaves. Elle est dénoncée depuis maintenant plus de cinq ans.1

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée de 24/100 000 (en 1965) à 8/100 000 (en 2011). La généralisation de la vaccination à l’école, au contraire, a été suivie d’une augmentation de l’incidence standardisée globale des cancers invasifs de 7 en 2006 – 2009 à 11,5 en 2014–2015 (p <0.03),et même 13 en 2021 y compris dans le groupe d’âge le plus vacciné celui des 25-34 ans.

En Norvège, la vaccination scolaire a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer2 montre que l’incidence standardisée sur l’ensemble de la population de ce cancer est passée de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-2021 et surtout qu’elle a augmenté de 30 % dans le groupe de femmes les plus vaccinées.

En Finlande même phénomène

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais avec 16 ans de recul s’est jusqu’ici révélée inefficace sur les cancers invasifs.

Même si elle était totalement efficace contre le cancer et sans danger la vaccination anti hpv ne serait pas justifiée !

En particulier chez les garçons où le cancer anal est rarissime (350 cas annuels en France d’après l’INSERM3), bénéficie de traitements efficaces et ne touche dans la quasi-totalité des cas que des homosexuels passifs et surtout lorsqu’ils sont atteints du SIDA.

Cette vaccination inefficace contre le cancer expose de plus à des complications !

Les brûlures cutanées dont ont tout récemment souffert 7 élèves d’Agde

Et Le décès d’un collégien à Nantes vient de rappeler qu’aucune vaccination ni qu’aucun médicament n’est dénué de risque4. Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA le VAERS recensait 523 décès et une quantité d’effets secondaires qui ont motivé plus de 100 plaintes en justice aux USA et des manifestations dans de nombreux pays.

L’inefficacité du Gardasil contre les cancers, voire sa nocivité paradoxale et ses nombreuses complications dont certaines très graves témoignent d’une balance avantage/risque franchement défavorable qui justifie d’arrêter cette vaccination, et au minimum de ne pas l’imposer via des campagnes scolaires et de laisser à chaque famille le loisir d’en discuter avec son médecin personnel afin d’obtenir une information claire et objective d’où un possible consentement éclairé.

Mais depuis la crise covid durant laquelle nos gouvernants, toutes leurs agences et les médias ont menti sans arrêt pour nous imposer des injections expérimentales qualifiées abusivement de vaccins dont chacun a pu constater autour de soi l’inefficacité et la toxicité, les Français sont devenus moins crédules. Ils se renseignent au lieu de se précipiter lorsqu’on leur annonce qu’un vaccin est nécessaire, sûr et efficace.

Et les informations que les résistants, les collectifs de parents, soignants, etc. ont su transmettre autour d’eux ont été efficaces : au 31 octobre 2023, après deux mois de campagne de vaccination scolaire, seulement 20 000 collégiens (2,5 % de la population ciblée) ont été vaccinés en France.

Ce n’est qu’un début, continuons sans relâche le combat contre la propagande mensongère du Gardasil, car l’information via des conférences, mais surtout des tracts distribués individuellement à la sortie des écoles, des marchés, des magasins est efficace ! Ne nous décourageons pas, car la campagne mensongère continue comme en témoignent des invitations à des conférences par les officiels pour tenter d’imposer ce vaccin inutile aux enfants.

 


 

 

2024 01 10 Le parisien et elsa marie mentent

 

 

12/01/2024 (2024-01-12)

[Publication initiale : francesoir.fr]

Par Gérard Delépine

Dans un article récemment publié dans Le Parisien, l’absence de neutralité de la journaliste Elsa Mari est évidente dans son analyse de l’actuel échec de la campagne scolaire de vaccination par Gardasil. Elle se contente de répéter les déclarations trompeuses d’experts étroitement liés à l’industrie pharmaceutique.

Elle cite en exemple « l’Australie, qui table sur une quasi-disparition du cancer du col de l’utérus d’ici 2035 » sans préciser que l’article qui le prétend n’est qu’une simulation publicitaire établie sur des hypothèses fausses, et elle ne consulte pas non plus les données de l’agence officielle australienne.

Dans le monde réel, depuis la campagne de vaccination scolaire, le nombre annuel de cancers invasifs a augmenté de 25 % passant de 756 en 2007 à 942 en 2022 :

Et l’incidence globale standardisée, qui corrige les modifications liées au vieillissement et à l’augmentation de la population, ne diminue plus, se stabilisant autour de 7,2/100 000 :

Même dans le groupe d’âge des 25-34 ans, le plus vacciné, l’incidence des cancers invasifs est passé de 7,9/100 000 à 9,1 :

Sur la base de ces données, comment peut-on y voir une « quasi-disparition du cancer du col de l’utérus » ?

La journaliste prétend aussi que « l’annonce du président de vacciner les collégiens contre le papillomavirus à la rentrée avait fait briller les yeux des médecins »alors qu’elle ne réjouissait que les médecins liés au laboratoire et ceux qui vivent des vaccinations (pédiatres et gynécologues).

Cet article du Parisien prétend encore que « l’Australie fait rêver l’Hexagone » et nous décerne « un bonnet d’âne » pour notre réticence à cette vaccination qui nous placerait loin derrière l’Angleterre, l’Italie, le Portugal, l’Espagne, la Suède, les Pays-Bas.

Mais elle cache que l’incidence du cancer invasif du col dans tous ces pays apôtres du Gardasil dépasse celle de France (6/100000) : 7,1/100 000 en Australie, 6,4 en Italie (en 2017)1, 6,9 aux Pays-Bas.

Il est invraisemblable de la voir citer des pays où le risque de cancer invasif du col est de 67 % à 170 % supérieur au nôtre, tel que le Royaume-Uni (10/100000), la Suède (10,4/100 000), ou le Portugal, champion du Gardasil, mais aussi du cancer du col avec une couverture vaccinale dépassant les 80 % et une incidence de cancer du col atteignant 16,2/100 000.

Tout comme les lobbys pro-Gardasil et les médecins trop liés à l’industrie pharmaceutique, la journaliste préfère prendre comme critère d’efficacité d’une campagne de vaccination le pourcentage de vaccinées à l’incidence du cancer du col dans la population !

Elle rapporte encore les regrets de Xavier Carcopino2 qui accuse « l’autorisation des deux parents d’avoir complexifié l’accès de leur enfant à la piqûre » sans rappeler qu’il ne s’agit que de l’application de l’autorité parentale qui instituent les parents coresponsables du bien-être de leur enfant mineur.

L’article répète mot pour mot le slogan des injections Covid : « Ce vaccin est efficace et sûr, on a un excellent recul » alors que le Gardasil, efficace contre les infections aux souches de HPV du vaccin (9 sur plus de 150 !), n’a toujours pas prouvé son efficacité contre le cancer 17 ans après sa mise sur le marché, et que de nombreuses manifestations dénonçant ses graves complications ont eu lieu dans de nombreux pays :

Et enfin que des procès en class action dénonçant les mensonges de Merck se tiennent actuellement aux USA, rassemblant les plaintes de centaines de victimes.

La parole est donnée à Daniel Floret 3 qui tente d’innocenter le vaccin anti-hépatite B des complications neurologiques marquées par une augmentation de 65 % de SEP après le pic de vaccination contre l’hépatite B en 1994. Vaccin dont la responsabilité a été reconnue par la justice française et européenne par les arrêts de la cour administrative d’appel de Lyon (du 4 mai 2016), de la Cour de cassation (9 Juillet 2009) et le pourvoi n° 08-11.073 de la Cour de justice de l’Union européenne du 21 juin 2017.

Sans compter que ce vaccin anti-hépatite B, présenté comme moyen d’éviter le cancer du foie, a été suivi dans tous les pays occidentaux qui l’ont rendu obligatoire, du triplement (voire plus) de l’incidence du cancer qu’il était censé prévenir, comme en France :

Le dramatique résultat de la première vaccination présentée comme anti-cancéreuse justifie donc la plus grande prudence !

L’échec de la campagne de vaccination Gardasil ne provient pas de l’ignorance de la population mais, depuis la catastrophe Covid, de sa prise de conscience que les autorités sanitaires mentent fréquemment pour nous imposer par tous les moyens des vaccins et traitements aux bénéfices incertains et aux complications nombreuses qu’elles nient ensuite opiniâtrement.

La soi-disant « malédiction française » contre le Gardasil est la conséquence de la prise de conscience croissante des mensonges du gouvernement et de la presse.

Redonner confiance à la population nécessite une transparence complète. Créer des pseudo-comités scientifiques protégés par le secret-défense, refuser de rendre publics les contrats d’achat des vaccins et nier les complications reconnues dans les pays étrangers décrédibilise totalement la parole de l’État et la confiance dans les vaccins.

De même le plaidoyer pro-Gardasil d’Elsa Mari qui ne donne la parole qu’à des témoins pro-vax et ne se réfère pas aux faits établis, comme les chiffres publiés par l’OMS, décrédibilise le Parisien et participe à la chute des ventes.

Comme l’aurait affirmé le président Abraham Lincoln : « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. »


1 National burden of cancer in Italy, 1990–2017: a systematic analysis for the global burden of disease study 2017.2 Présid2024 01 10 Le parisien et elsa marie mentent2024 01 10 Le parisien et elsa marie mententent de la société française de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale dont les membres vivent en partie de l’administration du vaccin.

3 Qui a touché près de 80 000 euros, d’Alliance Healthcare, 43 900 euros, d’UTIP, 33 650 euros, du Collège des hautes études de Médecine 1600 euros, mais aussi de IP SC : BioMERIEUX, Sanofi, Pasteur MSD, Cemka Eval, Abbott Synagis…

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dysphorie de genre et enfance sacrifiee DIJON 13 JANVIER 24

 

merci à réaction19 et reinfobourgogne pour cette conférence à 4 mains  qui nous a permis de parler à nouveau du danger qui guette tous les enfants français de la maternelle au collège via les séances obligatoires d’éducation sexuelle, incluant la théorie du genre,

puisqu’il s’agit de lutter contre les « stéréotypes » c’est à dire contre l’évidence de bon sens qu’il existe deux sexes depuis des millénaires

 

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ON NE PEUT PAS LAISSE CASSER LES CERVEAUX DES ENFANTS PAR DES DISCOURS ET DES IMAGES PROCHES DE LA PEDOPHILIE

 

 

 

distribuez des tracts comme ceux ci-dessous  surtout à ceux qui ne fréquentent pas les réseaux sociaux et peuvent ignorer ces horreurs  MERCI A TOUS  PROTEGEZ NOS ENFANTS

Flyer Ed Sexualité recto Flyer Ed Sexualité verso

 

Ces violences psychiques entrainent des stress traumatiques peu curables  et compromettent l’avenir des enfants soumis à ces « séances d’éducation sexuelle »

 

 

 

 

 

 

Couv Dysphorie de genre

L’idéologie contre la science et la médecine

23/12/2023 (2023-12-23)

[Source : Chaîne officielle TVL]

Nicole Delépine est pédiatre et oncologue en retraite, Gérard Delépine est chirurgien orthopédiste et oncologue en retraite. Après une vie professionnelle marquée par un engagement total au service des malades et tout particulièrement des enfants, ils poursuivent inlassablement leur mission pour alerter le plus grand nombre sur les dangers qui menacent tous les pans de la santé publique.

Leur dernier ouvrage, Dysphorie de genre, publié aux Éditions Fauves, (disponible ici 📖 https://boutiquetvl.fr/notre-selection/nicole-et-gerard-delepine-dysphorie-de-genre) n’échappe pas à la règle. Il est un manuel pour comprendre, décrypter et résister à la propagande woke qui contamine les écoles et déboussole les enfants jusqu’à leur nuire dans leur être profond.

À l’heure du relativisme, de la corruption généralisée, des études tronquées et caviardées, d’une science idéologisée et d’une médecine mise en coupe réglée par l’État, ils publient un livre édifiant sur les ravages de la promotion de la dysphorie de genre.

Nicole Delépine et Gérard Delépine expliquent combien le seul souci fondamental d’un bon médecin doit être la prise en charge du patient dans sa singularité, dans une atmosphère de confiance totale, seul principe lui permettant ensuite de donner son consentement éclairé.

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Nouveau Monde — Conférence Dr Nicole Delépine : STOP au sabotage de l’école et à la sexualisation de l’enseignement (nouveau-monde.ca) juillet 23

 

Il est question dans cette intervention de la dangereuse dérive de l’Éducation nationale, de l’école publique, qui perd le nord, qui ne remplit plus sa mission d’instruction publique auprès des nouvelles générations. C’est un véritable sabotage du pilier central de toute civilisation, l’enseignement des enfants, avec une chute spectaculaire du niveau scolaire et du classement international de l’école française. Et comme ce n’est pas suffisant, il fallait que les autorités politiques introduisent dans cette école en perdition l’enseignement de la sexualité aux plus jeunes ! Le Dr Nicole Delépine tente de sensibiliser la population sur le danger de cette dérive en l’informant et en la poussant à réagir.

(Vidéo 47 min)

 

 

 

 

 

 

 

 

LE TOTALITARISME IMPOSE AUX ENFANTS ET THEORIE DU GENRE OCT 2023

 

dysphorie de genre et enfance sacrifiee ANTIBES 4 NOV 23

 

 

 

 

 

MORT SUR « ORDONNANCE » GOUVERNEMENTALE D’INJECTION GARDASIL ?

 

 

Par le DR G Delépine

 

 

Combien faudra-t-il de morts pour stopper la vaccination Gardasil ?

 

La mort dramatique d’un collégien à Nantes lors d’une vaccination Gardasil rappelle qu’aucun traitement ni aucune vaccination n’est dénuée de risque. La seule justification d’un traitement réside dans les bénéfices qu’il peut apporter. Or le collégien de Nantes est mort pour une vaccination contre les papillomavirus qui ne pouvait lui apporter aucun bénéfice personnel, ni non plus protéger les autres !

 

La quasi-totalité des germes que nous hébergeons nous sont utiles !

Il ne faut pas avoir un rapport hygiéniste hystérique avec les germes. Nous sommes tous en permanence porteurs de centaines de milliards de germes (virus et bactéries) avec lesquels nous vivons en parfaite harmonie.

Le microbiote intestinal, le plus « peuplé » d’entre eux, abrite 1012 (mille milliards) à 1014 (cent mille milliards) de micro-organismes qui assurent la fermentation des substrats et des résidus alimentaires non digestibles, facilitent l’assimilation des nutriments grâce à un ensemble d’enzymes dont les cellules humaines sont dépourvues et l’hydrolyse de l’amidon, de la cellulose, des polysaccharides…

Ils participent aussi à la synthèse de certaines vitamines et à celle d’acides aminés essentiels et régulent l’absorption des acides gras, du calcium, du magnésium[1]…et jouent un rôle important dans la lutte contre les infections[2].

Le microbiote cutané héberge en moyenne mille milliards de bactéries (soit 50 millions par cm2 de peau) de plus de 500 espèces différentes[3][4] mais aussi des champignons (comme les candida albicans) et des même des acariens.

Le microbiote vaginal comprend  un ensemble de micro-organismes (dont les lactobacilles de Döderlein) qui varient en fonction du mode de vie et des changements hormonaux, et forment un biofilm protecteur sur la muqueuse.

La flore buccale comporte de nombreuses variétés de bactéries et de champignons qui se nourrissent de sucres et des restes d’aliments présents dans la bouche et constituent le biofilm buccal indispensable au bon fonctionnement de la bouche par le maintien des dents et des gencives en bonne santé en luttant contre les nombreux germes pathogènes, et en participant à la prédigestion des aliments.

Les milliards de bactéries et virus qui nous contaminent en permanence sont dans leur quasi-totalité des germes saprophytes avec lesquels nous nouons un partenariat gagnant- gagnant. Modifier ces flores expose à des complications. La guerre contre les germes ne se justifie que contre les germes pathogènes, ceux qui sont responsables de maladie.

 

Héberger un papillomavirus ne rend pas malade !

Les papillomavirus comptent plus de cent espèces susceptibles de contaminer l’homme, mais elles se comportent dans la quasi-totalité des cas comme des saprophytes. La contamination HPV se produit par contact cutané[5] sexuel, ou non. Elle concerne près de 80% de la population adulte. Elle n’entraine habituellement aucun signe clinique [6] et l’organisme s’en débarrasse naturellement en 9 à 18 mois en acquérant une immunité solide contre la souche concernée (mais laissant le terrain disponible pour les autres souches).

Une maladie se définit par les troubles qu’elle engendre; la contamination par les HPV est asymptomatique et ne constitue donc pas une maladie. La chasse aux HPV n’est donc pas médicalement justifiée d’autant que le ralentissement de leur propagation ou leur éradication parfois cités comme but de la vaccination Gardasil (comme au début de la vaccination covid) sont totalement irréalisables car les HPV comportent trop de nombreuses souches et disposent de plus de réservoirs animaliers.

 

Les HPV sont accusés d’être responsables de cancer sans preuve formelle

L’origine des cancers est le plus souvent multifactorielle et les cancers présentés comme ceux du HPV n’échappent pas à la règle. Depuis la mise au point de vaccins contre les HPV certaines souches ont été déclarées uniques responsables de nombreux cancers sans qu’aucune preuve formelle de la responsabilité du virus n’ait été apportée. Il existe certes une relation statistique entre la présence de HPV et un surrisque de cancer du col, mais de semblables corrélations statistiques sont également démontrées avec de nombreux autres facteurs : précocité des premiers rapports sexuels, nombre de partenaires, nombre de rapports, fréquence d’infections génitales (à HPV mais aussi herpès, chlamydias), Sida, tabagisme, nombre de grossesse menées à terme… Tous ces facteurs étant de plus corrélés entre eux. La considérable disproportion entre les très fortes  incidences des infections  HPV (70-80%) et l’extrême rareté des cancers du col (0,006%) ne plaide d’ailleurs pas pour un rôle étiologique majeur des premiers. Les HPV pourraient en réalité n’être que les témoins d’une activité sexuelle intense, vraie cause du cancer du col de l’utérus du fait des microtraumatismes et des inflammations récidivantes qu’elle entraîne.

Pour les cancers du canal anal, le rôle des HPV est encore plus incertain car les facteurs les plus étroitement liés à sa survenue sont les rapports anaux passifs et le sida. Certes on retrouve aussi des antécédents de HPV chez les malades de cancer anal,  mais guère plus que chez 70% des hommes hétérosexuels indemnes du sida qui ne souffriront jamais de cancer de l’anus.

Mais la mise en cause du HPV en fait le coupable idéal, tant il est rentable pour les actionnaires …

 

Le Gardasil ne protège pas des cancers du col de l’utérus

Si les HPV ne suffisent pas à créer des cancers il est logique que la vaccination Gardasil soit incapable d’en diminuer l’incidence ( fréquence annuelle de nouveaux cas pour 100000 femmes). Et c’est que montrent les registres des cancers des pays apôtres de cette vaccination démentant ainsi la propagande permanente qui prétend que le Gardasil protègerait « des cancers du HPV ».

Le registre australien des cancers objective une augmentation d’incidence des cancers du col de l’utérus depuis la vaccination par Gardasil  :

En Grande-Bretagne :

 

En Norvège l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

 

 

En Finlande l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

 

 

 

 

Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV comme ils l’ont affirmé pour le covid19..

Mais la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis la vaccination par Gardasil chez les filles dans tous les pays qui ont instauré une vaccination scolaire.

Comme en Australie où l’incidence du cancer anal a davantage augmenté chez les filles que chez les garçons non vaccinés :

Comme en Grande-Bretagne :

 

Mais aussi dans les pays scandinaves :

 

 

 

Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

 

Ce malheureux collégien est bien mort de la vaccination Gardasil

L’ARS qui multiplie les appels à la vaccination tente de la disculper en accusant

« un malaise vagal sans lien avec le produit vaccinal ou à un défaut de qualité du vaccin. » en ne rappelant pas que ce malaise a été la conséquence de la vaccination Gardasil.

Les faits sont indiscutables : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.

Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA qui l’ont beaucoup plus pratiqué,  le VAERS (système de déclarations des complications post vaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

 

 

 

 

 

La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensées par le VAERS et qui ont motivé des plaintes en justice et des manifestations dans de nombreux pays

Ces manifestations contre le Gardasil et ses nombreuses actions en justice témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

 

 

 

 

 Pour protéger nos enfants il faut stopper cette vaccination dangereuse et inefficace contre le cancer [7]

 

 

 

[1] Inserm Microbiote intestinal (flore intestinale) https://www.inserm.fr/dossier/microbiote-intestinal-flore-intestinale/

[2] https://www.allodocteurs.fr/maladies-intestins-et-estomac-flore-intestinale-flore-intestinale-une-collection-de-bacteries-776.html

[3] Kenneth Todar, « The Normal Bacterial Flora of Humans » Todar’s Online Textbook of Bacteriology

[4]Dunyach-Remy C, Sotto A & Lavigne J.P (2015) Le microbiote cutané: étude de la diversité microbienne et de son rôle dans la pathogénicité. [archive] Revue Francophone des Laboratoires, 2015(469), 51-58.

[5] De nombreuses études rapportent des cas de vierges contaminées.

[6] A l’exception des souches 6 et 11 susceptibles de créer des verrues génitales (condylomes)

 

JK Rowling, auteur de « Harry Potter » risquera-t-elle la prison parce qu’elle ose dire qu’on nait  (est ) « femme » ou « homme » ?

 

La folie de certains extrémistes transsexuels les pousse à tenter de criminaliser la liberté de parole qui définit pourtant le caractère démocratique des pays qui la protègent dans leur constitution.

Sous prétexte « d’inclure », « de mettre fin à la discrimination des transsexuels » les pays occidentaux ont accepté, depuis plus d’une vingtaine d‘années, des dérogations croissantes aux règles des droits de la majorité, au profit de certaines minorités dont les trans sexuels.

Ils ont par exemple créé le délit de « propos transphobe » dans lesquels ils incluent tout ce qui déplait aux activistes trans, comme le fait d’appeler une personne trans par son prénom de naissance, de rappeler qu’il n’existe que deux sexes[1], de dire qu’une femme a des ovaires[2] , ou, lorsqu’on est gynécologue, de s’affirmer incompétent pour examiner une femme transsexuelle (née homme et non opérée)[3]

Actuellement certains travaillistes anglais voudraient faire voter une loi transformant les propos qu’ils qualifient de transphobes en « crime de haine » puni par deux ans de prison. Les extrémistes trans préfèrent faire peur par des lois restreignant le droit humain fondamental de s’exprimer librement plutôt que convaincre du bienfondé de leurs exigences par un débat démocratique, comme nous le proposons dans notre dernier livre.

 

JK Rowling, auteur mondialement célèbre d’Harry Potter (avec quelque 600 millions de livres vendus) a été accusée de transphobie pour avoir soutenu Maya Forstater, licenciée du Center for Global Development en 2019 après avoir affirmé qu’on ne pouvait pas « changer de sexe biologique ».

Pourtant en juin 2023 il a été jugé en appel que les convictions de M. Forstater étaient « dignes de respect dans une société démocratique », qu’elle « avait subi une discrimination directe sur la base de ses convictions » critiques en matière de genre. Les juges lui ont accordé une indemnisation de 91 500 £ (et 14 900 £ supplémentaires à titre d’intérêts). Mais les activistes trans continuent d’ignorer les attendus de ce jugement et poursuivent leur campagne de diffamation envers K Rowling.

 

En réponse à un article de Devex[4], qui réduisait les femmes à leur utérus en les appelant “ les personnes qui ont leurs règles“, K. Rowling a commenté sur  Twitter « Je suis sûre qu’il y avait un mot pour ces personnes. Aidez-moi. Wumben ? Wimpund ? Woomud ? » pour rappeler le mot woman apparemment tabou chez les trans activistes.

Son trait d’humour a été accusé d’exclure « les hommes trans qui peuvent être concernés par les menstruations » (?) et donc d’être transphobe. Ses accusateurs trans ignorent apparemment qu’aucune femme trans (née homme) ne possède d’utérus et ne peut donc avoir de règles !

Ces prises de position de bon sens ont notamment valu à l’écrivain d’être constamment harcelée sur le net et d’être exclue des retrouvailles du casting d’Harry Potter pour les 20 ans de sa saga en 2021. Comment ont-ils osé ? Sans elle, point de Harry Potter et donc de fête !

 

JK Rowling a depuis détaillé les raisons qui l’ont poussée à aborder ces questions dans un essai « Writes about Her Reasons for Speaking Out on Sex and Gender [5] » :

« Premièrement, …Je soutiens, entre autres, des projets pour les femmes détenues et pour les survivantes d’abus sexuels et domestiques… Il est clair pour moi que le nouvel activisme trans a (ou est susceptible d’avoir, si toutes ses exigences sont satisfaites) un impact significatif sur de nombreuses causes que je soutiens, parce qu’il pousse à éroder la définition juridique du sexe et à le remplacer par le genre.

La deuxième raison est que j’ai fondé une organisation caritative pour les enfants, qui illustre mon intérêt à la fois pour l’éducation et la sauvegarde de ceux-ci. Comme beaucoup d’autres, j’ai de profondes inquiétudes quant à l’effet que le mouvement des droits des trans a sur les deux sujets.

La troisième est qu’en tant qu’auteur très censuré, je m’intéresse à la liberté d’expression et je l’ai défendue publiquement.

Le quatrième… Je suis préoccupée par l’augmentation énorme du nombre de jeunes femmes qui souhaitent faire la transition et aussi par le nombre croissant de personnes qui semblent détransitionner (retour à leur sexe d’origine), parce qu’elles regrettent d’avoir pris des mesures qui ont, dans certains cas, modifié leur corps irrévocablement, et leur ont enlevé leur fertilité.

 Certains disent qu’ils ont décidé de passer à l’acte après avoir réalisé qu’ils étaient attirés par leur propre sexe, et que leur transition était en partie motivée par l’homophobie, que ce soit dans la société ou dans leur famille.

Le 17 octobre 2023, l’auteur britannique a partagé sur X une photo montrant le slogan « Répétez après nous : une femme trans est une femme » projetée sur le mur du ministère de la Justice, à Londres qu’elle a commenté d’un simple NON

 

Lorsqu’un internaute critique l’a prévenue que ses déclarations pourraient lui valoir deux ans de prison, si la loi proposée par le parti travailliste était adoptée, J. K. Rowling a répondu : « Je ferai deux ans avec plaisir, si l’alternative est la parole forcée et le déni forcé de la réalité et de l’importance du sexe. Amenez-moi devant une cour, ce sera plus amusant que n’importe quel tapis rouge ».

 

Pour rassurer J. K. Rowling (qui n’en demande pas tant),  on pourrait lui rappeler que l’évolution récente de la question trans en Grande-Bretagne semble enfin tenir davantage compte de la réalité. En santé : fermeture du service pédiatrique de la clinique Tavistock [6] [7] spécialisée dans les traitements hormonaux et chirurgicaux de changement de sexe pour les mineurs, à la suite d’un rapport accablant sur ses pratiques[8]. A l’école : de nouvelles instructions demandant aux enseignants d’informer les parents si leur enfant se croit trans et de ne rien entreprendre sans eux.

Dans le sport de compétition : l’exclusion des femmes trans des compétitions féminines d’athlétisme[9], de natation[10], de cyclisme[11]

Et surtout les déclarations récentes du premier ministre britannique Rishi Sunak [12] [13] :  « nous ne devrions pas faire croire que les gens peuvent être de n’importe quel sexe parce qu’ils le veulent. Ils ne peuvent pas. Un homme est un homme, et une femme est une femme »

 

 

 

Si J.K Rowling devait aller en prison pour ses déclarations de bon sens sur le sexe, la défense des droits des femmes et la protection des enfants,

elle ne serait pas seule !

 

 

 

[1] https://etudiant.lefigaro.fr/article/un-eleve-canadien-d-une-ecole-catholique-exclu-de-son-lycee-pour-avoir-dit-qu-il-n-y-avait-que-deux-genres_0eae0610-a921-11ed-938f-cfc88137eaa2/

[2]https://www.marianne.net/societe/accusations-de-transphobie-il-y-a-une-offensive-transactiviste-contre-le-feminisme

[3] https://www.lefigaro.fr/actualite-france/un-gynecologue-attaque-pour-avoir-refuse-d-examiner-une-femme-trans-20230911

[4] https://www.devex.com/news/sponsored/opinion-creating-a-more-equal-post-covid-19-world-for-people-who-menstruate-97312

[5] ttps://www.jkrowling.com/opinions/j-k-rowling-writes-about-her-reasons-for-speaking-out-on-sex-and-gender-issues/

[6] https://www.thetimes.co.uk/article/tavistock-gender-clinic-puberty-blockers-nhs-investigation-fh7pngj0v

[7] https://www.courrierinternational.com/article/transidentite-la-clinique-tavistock-recit-d-un-scandale-medical-britannique

[8] https://www.breizh-info.com/2022/12/09/211829/la-clinique-de-lhorreur-tavistock-specialisee-dans-la-transition-de-genre-va-fermer-ses-portes/

[9] https://www.lepoint.fr/sport/athletisme-les-athletes-transgenres-exclus-de-la-categorie-feminine-23-03-2023-2513282_26.php#11

[10] https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/10/25/inclusivite-ou-equite-le-sport-face-au-dilemme-des-athletes-transgenres_6147236_3232.html

[11] https://www.liberation.fr/sports/cyclisme/cyclisme-les-femmes-trans-bannies-de-toutes-les-competitions-feminines-internationales-20230714_JCNHCWSTQBDCPC6ZZZU6AYSMRY/

[12] Dans un entretien accordé au site Web ConservativeHome, il affirme que 100 % des femmes n’ont pas de pénis. « La première chose à dire est que nous devrions toujours avoir de la compassion, de la compréhension et de la tolérance pour ceux qui pensent à leur genre. Mais quand il s’agit de ces questions de protection des droits des femmes et des espaces des femmes, la question du sexe biologique est fondamentalement importante. » Rappeler dans la loi que le sexe signifie bien le sexe biologique et non le genre auquel la personne s’identifie, telle est l’ambition du Premier ministre afin d’aider, notamment, les sports féminins à écarter les personnes trans des compétitions féminines.

[13] https://www.bvoltaire.fr/le-courageux-combat-de-rishi-sunak-contre-les-transactivistes/

2023 10 10 gardasil résultats et effets secondaires présenté à Marseille le 7 OCT 23

cliquez sur lien ci-dessus pour dérouler le diaporama du DR Gerard Delépine

alors que la campagne de vaccination gardasil contre le papillomavirus fait rage dans les collèges, regardez la mise au point actuelle d’octobre 23 sur les faits avérés, tant les résultats cancérologiques que les effets secondaires importants dont les accidents neurologiques parfois mortels et les ménopauses précoces avec risque de stérilité

 

22 09 Z3 GARDASIL PRESENTATION CHD G DELEPINE

in english

 

1 07 23 GARDASIL PARIS

 

en français et ci-joint article de children’shealth defense europe pour info

Campagnes contre le papillomavirus annoncées en Europe – Parents, il est temps de s’informer ! | Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)

 

 

Flyer Info Vac. anti HPV

 

 

Flyer Info Vac. anti HPVF

 

lyer Gardasil F[101921]

Profession Gendarme – Page 2 – Le journal des gendarmes (profession-gendarme.com)

 

Succès du film « Sound of Freedom ». Vous en avez mis du temps !   – Profession Gendarme (profession-gendarme.com   

MERCI A LAURENCE BENEUX ET SERGE GARDE D AVOIR TENTE DEPUIS TANT D ANNEES -plus de vingt ans- DE DENONCER CETTE TRAITE SEXUELLE DES ENFANTS ET TENTER EN VAIN DE SE FAIRE ENTENDRE ET DE FAIRE CESSER CE TRAFIC   alors comme dit laurence : ENFIN

 

 

 

« C’est un euphémisme de dire que le succès* aux États-Unis du film « Sound of Freedom » de Alejandro Gomez Monteverde me fait plaisir. Inspirée d’une histoire vraie, celle de Tim Ballard, cette œuvre cinématographique alerte sur le trafic sexuel d’enfants et sur l’ampleur du phénomène.

Je suis avec émotion, sur les réseaux sociaux, les réactions que suscite la sortie de ce film.

Les internautes indignés expriment leur sidération en découvrant que cet horrible marché qui brasse des milliards de dollars. Ceux qui n’ont pas pu voir le film exigent qu’il soit traduit et distribué dans leur pays. L’intervention de l’acteur Mel Gibson qui plaide pour une prise de conscience concernant l’existence de réseaux de traite humaine, et notamment d’enfants, et encourage à regarder « Sound of Freedom », y est sans aucun doute pour quelque chose.

Et je me dis : « ENFIN ! Même si le sujet est douloureux, le public accepte de voir… » 

Parce que permettez-moi de vous le dire gentiment : vous en avez mis du temps !

Que la traite sexuelle des enfants est une criminalité qui engendre des milliards de dollars, je l’écrivais déjà en 2000 ! Je l’ai clamé sur tous les plateaux de télévision où j’étais invitée. Je n’ai jamais arrêté, à longueur de livres, d’articles, de magazines TV, d’interviews… J’ai même accepté de participer à des conférences.

Plus de 20 années passées à alerter sur l’existence de cette criminalité prédatrice, dont tout enfant peut se retrouver victime. Il suffit d’une mauvaise rencontre, au mauvais moment, au mauvais endroit.

Plus de deux décennies à dénoncer l’indifférence des pouvoirs publics, les dérapages des institutions en la matière, le manque de moyens mis en œuvre pour lutter contre ce fléau, des dysfonctionnements judiciaires parfois tellement énormes qu’il est permis de soupçonner, a minima une indulgence envers la pédocriminalité et un déni des ravages qu’elles causent chez les enfants qui y survivent, et au pire, dans certains cas, une réelle complicité.

Franchement, je commençais à désespérer !

Parlons de la pédopornographie. Je ne peux pas vous en vouloir de ne pas réaliser l’horreur de ce type de documents. Tant qu’on ne les pas vus, on ne peut pas se rendre compte. Comme l’avait dit Paul Moreira, rédacteur en chef de l’émission 90 minutes sur Canal Plus à l’époque où j’y travaillais, « il y a un avant et un après ». Au passage, le documentaire de 40 minutes sur la pédocriminalité, intitulé « La pièce qui accuse », fruit de ma collaboration avec ce magazine d’investigation, a totalement disparu des radars. On retrouve tout sur internet, sauf cette enquête pour laquelle nous avons pourtant reçu des prix.

Dans le cadre de mes enquêtes, j’ai eu la douleur de voir des photos et vidéos pédopornographiques. C’est atroce. J’ai vu des viols de bébés, oui de bébés, des nourrissons, des gosses torturés et d’autres images à vomir.

Ce n’est pas votre cas, je vous l’accorde bien volontiers. Mais enfin, il me semble qu’il ne faut qu’un élémentaire bon sens pour comprendre que, pour que de tels documents existent, il faut que des gosses souffrent ! Et il n’est pas besoin d’avoir étudié la question pour savoir que ces enfants sont en immense danger, qu’il faut les chercher, que les gens qui fabriquent ou se repaissent de tels documents sont extrêmement dangereux ! Or, vous savez qu’ils existent. Les médias parlent de temps à autre, de coups de filet où des pédocriminels se font arrêter, détenteurs de dizaines, voire des centaines de milliers de documents pédopornographiques.

Les milliers d’enfants qui disparaissent chaque année, les réseaux criminels qui récupèrent les mineurs isolés dans les camps de réfugiés, le tourisme sexuel de consommateurs d’enfants, la pédopornographie, tout ça est évoqué périodiquement dans des médias de masse.

Dans ce film, Tim Ballard explique que les plus gros clients des trafiquants d’enfants se trouvent aux États-Unis. Je pense pour ma part que l’on trouve ces clients prédateurs d’innocence dans tous les pays aisés, notamment les pays occidentaux, dont la France.

Dès 2000, Serge Garde et moi-même avons sorti ce qu’on a appelé « l’affaire de Zandvoort », du nom de la ville aux Pays-Bas où résidait un pédocriminel au cœur d’un trafic de pédopornographie. Ce dernier a fini assassiné. Sur les affreux documents saisis en Hollande, des enfants français ont été reconnus par leur famille. Et derrière l’affaire de Zandvoort, c’est tout un réseau international qui se cachait. Nous l’avons expliqué dans un ouvrage intitulé « Le livre de la honte. Les réseaux pédophiles » paru au Cherche-Midi. Comme il est épuisé, j’envisage de le mettre en accès gratuit sur internet, mais je ne suis pas la seule qui décide. Franchement, si peu de choses ont changé que la mise à jour ne me prendrait pas plus d’une journée !

Évidemment, à l’époque comme aujourd’hui, il y a eu des journaux pour affirmer d’autorité que tout ça n’était que « complotisme ». Hé oui, l’accusation de complotisme, quand on n’a pas d’argument à opposer, ne date pas d’aujourd’hui. LibérationMarianne et d’autres, se sont faits les porte-paroles d’officiels de mauvaise foi, et se sont empressés de bâcler des « contre-enquêtes », composées pour l’essentiel d’affirmations gratuites souvent contraire au bon sens.

Je me souviens d’un article de Marianne particulièrement indigent où le journaliste expliquait qu’il n’existait pas de réseaux pédocriminels organisés mais que… les pédocriminels avaient « des liens entre eux » et formaient des « sortes de cercles ». Il concluait : « Le vrai réseau, il est là sous notre nez : c’est Internet ». Comme si, derrière les ordinateurs reliés par internet, ne se trouvaient pas des êtres humains !

Quant à Libération, le quotidien s’était empressé d’expliquer que les carnets d’adresses saisis à Zandvoort, dont j’avais personnellement remis des copies à la Brigade des mineurs de Paris, ne contenaient que des commerçants, boulanger, coiffeur… Bref rien d’intéressant.

Trois fois rien : des correspondants au Crédit Lyonnais-Ukraine à Kiev, à la Banque nationale d’Ukraine, à la Banque mondiale, à la Comm Bank of Social Development, à l’Oschadny Bank, à l’Exim Bank, à la Berrents Group à Kiev, à la State Export Import Bank of Ukraine, à la BERD, à la ABN AMRO Private Banking, un compte au Crédit agricole de Garches et un compte joint en dollars dans une agence du Crédit Lyonnais à Paris… Sans parler de tarifs pour un service « d’escort » enfants. Les enfants occidentaux coûtaient beaucoup plus cher que ceux de pays du tiers-monde : plus risqué de se les procurer.

Quelques années plus tard, il n’y avait plus grand monde pour affirmer que les réseaux pédocriminels n’existaient pas, mais toujours pas grand monde non plus pour exiger qu’on se dote de moyens conséquents pour les combattre et pour protéger les enfants.

Depuis le livre de Camille Kouchner, il est permis d’envisager qu’il y ait des personnalités influentes parmi les pédocriminels, sans se faire immédiatement taxer de complotisme. Mais la route est encore longue pour en tirer les conclusions qui s’imposent… Quand des juges sont condamnés pour des affaires de pédocriminalité, les dossiers qu’ils ont traités ne sont pas inspectés.

On accepte qu’au sommet de l’État français, un couple envoie un regrettable message d’impunité. On polémique sur l’affaire Polanski, mais lui au moins a été poursuivi ! Brigitte Macron, même pas. Et pourtant elle aurait dû. Même Wikipédia le reconnait; c’est dire ! En invoquant le mauvais article du code pénal et donc en minorant la peine encoure, mais l’encyclopédie en ligne le reconnaît !

Des affaires où des institutions pour enfants placés servaient de viviers à des prédateurs sexuels ont été rendues publiques. Pourtant, les foyers ne font pas l’objet de contrôles fréquents. Et il faudrait en faire autant en ce qui concerne les adoptions à l’international.

Dans une affaire de réseau jugée en France, non seulement les pédocriminels voyageaient dans le monde, Thaïlande, Maroc…, mais ils avaient en projet l’achat d’un orphelinat en Roumanie ! Pour la petite histoire, une perquisition a été effectuée au palais de Justice de Paris dans le cadre de cette affaire: un membre du réseau avait tourné des films pédopornographiques dans le somptueux décor de la Cour de cassation, et il piquait des documents pédopornographiques dans les scellés pour les remettre dans le circuit !

Il y a pléthore de dossiers où des personnes sont condamnées pour viols sur mineurs, mais aussi pour proxénétisme, sans qu’on ne cherche les clients. Et je ne vous parle pas des dossiers où des pièces disparaissent… La loi, prévoyant que tout résident français abusant sexuellement des mineurs à l’étranger doit être poursuivi, est extrêmement rarement appliquée.

Tout ça a été publié. Tout est sous vos yeux, depuis des années !

Alors oui, je suis heureuse du succès rencontré par « Sound of Freedom ». Après toutes ces années à alerter sur la situation en ayant l’impression de prêcher dans un désert, sinon d’indifférence du moins de déni ou de refus de savoir, je nourris le grand espoir d’une prise de conscience, d’un début de réflexion collective.

Évidemment, l’étape d’après est d’exiger qu’une lutte efficace s’organise pour protéger les enfants, tous les enfants. J’espère qu’il ne faudra pas quelques décennies de plus… »

  • Laurence Beneux est journaliste d’investigation, rédactrice en chef adjointe de France-Soir. 

*Selon le classement du site spécialisé Boxofficemojo, le film a rapporté 96,2 millions de dollars (en date du 18/07). À ce jour, il est le 18e film le plus rentable de 2023 aux États-Unis et au Canada. Une vraie performance pour un film qui a connu un meilleur démarrage en salles que plusieurs blockbusters comme le dernier Indiana Jones.

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