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STOP AU HARCELEMENT VIA SMS – VACCIN ANTICOVID

Non au harcèlement par SMS pour le vaccin covid, virus qui a tué moins de 0,1 % des Français[1]

 

 

Au secours Goebbels, roi de la propaganda d’Hitler est revenu.

 

La publicité mensongère du gouvernement sur toutes la chaines de télévision (payée par nos impôts), et les médias dominants est maintenant complétée par le harcèlement individuel sur notre propre téléphone par SMS.

 

Attention ne vous laissez pas manipuler !

 

Ces SMS comme les appels de la sécurité sociale pour passer des tests PCR ne sont en rien des obligations, mais des incitations répétées qui constituent du harcèlement (possiblement passible de poursuites ?)

 

Combien de victimes déjà de ce harcèlement honteux qui ont passé des tests PCR dangereux[2] inutiles couteux[3], ruineux pour la sécu et non fiables, les asymptomatiques positifs étant à 97 % des faux positifs ne montrant que des traces de virus non spécifiques et aucunement preuve ni d’une infection active à corona ni d’une contagiosité.[4]

 

Combien de fermetures de classes nuisibles aux enfants, d’arrêt maladie inutile et destructeur pour le citoyen bloqué (et non malade et non contagieux)[5] et pour les entreprises désorganisées, alors que les asymptomatiques ne contaminent jamais personne comme l’étude de Nature sur dix millions de chinois[6] l’a démontré s’il en était besoin.[7]

 

 

MONSTRUEUSE DESINFORMATION PLURIQUOTIDIENNE SUR LES TV

 

Cette vidéo montrant des petits-enfants qui courent embrasser leur grand-mère qu’on retrouve ensuite à l’hôpital est scandaleusement culpabilisante, mensongère[8] et honteuse !

 

Les enfants ne contaminent ni adultes ni enfants.

 

Les lits de réanimation ne sont pas encombrés davantage que les dernières années en dépit des nombreuses suppressions de lits réalisées ces dernières années et qui été poursuivies durant la pandémie. (300000 lits en trente ans).

 

Le traitement précoce du covid diminue fortement le risque d’hospitalisation.

 

 Pire encore, depuis mars 2020, les personnes âgées ne sont pas acceptées et mises rapidement sous Rivotril dans les EHPADs pour les « soulager » c’est -à- dire les euthanasier sans leur accord, ni ceux de leurs familles.  

 

NON ILS N’ONT PAS VOULU SAUVER LES ANCIENS

 CETTE PROPAGANDE EST MENSONGERE

 Ne vous laissez pas intoxiquer si on vous dit que les mesures imposées à tous le sont pour sauver les vieux ! Depuis le début de la pandémie, les personnes âgées ont subi des refus de traitement précoce et en cas d’aggravation des refus d’hospitalisation à l’hôpital et du Rivotril injectable et létal en cas de détresse respiratoire débutante suspecte !

 

 D’ailleurs de quoi discute-t-on à l’Assemblée nationale actuellement, non pas de légaliser l’usage de l’ivermectine, de la chloroquine et de tous les traitements précoces, mais de l’euthanasie.

Politique de mort contre la vie. Heureusement que des Français se réveillent et font de la musique en dansant dans les gares.

 

Il nous parait important de partager avec vous cette lettre que vous pourriez adresser à votre docteur s’il vous harcèle lui aussi (il y en a de nombreux en ce moment, probablement eux aussi harcelés par leurs instances sécurité sociale, ordre etc…)

 

« Voici un exemple de lettre-réponse à adresser à votre médecin qui, hypnotisé par le coronacircus vous incite à la vaccination sans s’embarrasser de la notion de consentement libre et éclairé. 

 

Lettre-réponse au médecin qui vous propose de vous piquer[9]

 

« Madame, Monsieur,

J’ai bien reçu l’invitation à recevoir un vaccin ARNm contre le SRAS-CoV-2 et vous en remercie.

Avant de prendre une quelconque décision y étant relative, j’aimerais que vous m’informiez1 en me répondant par écrit sur les points suivants qui me semblent fondamentaux :

  1. Me donner la liste complète des ingrédients des vaccins mis en circulation actuellement dans notre pays

 

  1. Me certifier que le vaccin que vous projetez de m’injecter ne contient pas de MRC5 (des cellules de fœtus avortés ou traces d’ADN humains), ce qui irait à l’encontre de mes convictions religieuses
  2. Me certifier qu’il n’y a aucun risque de réactions iatrogènes ;
  3. M’informer de toutes les contre-indications et de tous les effets secondaires potentiels, réparables ou irréparables, à court, moyen et long terme
  4. Me certifier de façon sans équivoque et de bonne foi, dans le respect de l’article 13 de la Convention d’Oviedo, que cette technologie n’a pas le potentiel de modifier l’ADN humain grâce à ce que l’on appelle la transcriptase inverse, qui permet explicitement le transfert d’informations de l’ARNm à l’ADN
  5. 6. Me certifier que ce vaccin ne contient pas d’inserts du virus VIH

 

  1. Me certifier que le vaccin ne contient pas de puce d’Identification par Radiofréquence (Rfid) ou de nanotechnologie se présentant sous une forme quelconque
  2. 8. Me certifier que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits
  3. Me préciser quels sont les autres traitements possibles pour lutter contre le SRAS-CoV-2, en détaillant les avantages et les inconvénients de chaque traitement, au sens de l’article 2 du Code de Nuremberg.

 

 

 

De plus, je vous prie de bien vouloir me répondre simplement, par oui ou par non, aux questions suivantes :

 

  1. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter de porter un masque ?
  2. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter la distanciation sociale ?
  3. Si je me fais vacciner, dois-je encore respecter le couvre-feu ?
  4. Si mes parents, mes grands-parents et moi-même sommes tous vaccinés, pouvons-nous nous étreindre à nouveau ?
  5. Si je me fais vacciner, serai-je résistant à la Covid et à ses nombreux variants et pour combien de temps ?
  6. Si je me fais vacciner, est-ce que j’éviterai les formes graves avec

hospitalisation, ainsi que la mort ?

  1. Si je me fais vacciner, serai-je contagieux pour les autres ?
  2. Si j’éprouve une réaction indésirable grave, des effets à long terme (encore inconnus) entraînant même la mort, serai-je (moi ou ma famille) indemnisé ? Et par qui ?

 

 

D’autre part, outre vos réponses, je compte m’informer de façon contradictoire par les indications données par les laboratoires et les experts officiels du gouvernement, mais également par des scientifiques indépendants et des témoignages de personnes ayant déjà été vaccinées : ce n’est que lorsque j’aurai recueilli toutes ces informations que je serai à même de vous remettre mon consentement libre et éclairé, après avoir évalué objectivement la balance bénéfices/risques.

 

Le cas échéant, je reviendrai vers vous, en ayant éventuellement sélectionné le vaccin qui me conviendrait le mieux. Je suis en parfaite santé et n’ai nullement l’intention de voyager, ce qui me permet de prendre un peu de recul afin de prendre une décision réfléchie et responsable, ayant toujours en mémoire le serment d’Hippocrate qui reste la pierre fondatrice de notre médecine :

 

 « primum non nocere ».

 

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.

 

Notes :

  1. « J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins ». Serment d’Hippocrate, version adaptée par le Conseil national de l’Ordre des Médecins de Belgique (juillet 2011).
  2. Loi du 22 août 2002 relative aux Droits du Patient– article 7 §2 : « La communication avec le patient se déroule dans une langue claire. Le patient peut demander que les informations soient confirmées par écrit. »
  3. « Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »
  4. « L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature. »

(Merci à Philippe L.)

P.J. Document au format PDF

 

 Un commentaire de Zorba44

 

Il serait bon d’ajouter à cette lettre une demande à votre médecin deux choses :

+ liste de ses conflits d’intérêts éventuels avec des labos pharmaceutiques
+ une copie de son attestation d’assurance professionnelle et les conditions générales et particulières des risques et des montants couverts

 

 VOICI CE QUE VOUS POURREZ DEMANDER A VOTRE MEDECIN !

 

Si vous voulez des informations complémentaires laissées de côté avant la pression monstrueuse que nous subissons, écoutez les vidéos de notre éminente collègue Alexandra Henrion Caude[10] « amoureuse de l’ARN » qui le connait bien :

« Je travaille depuis 12 ans sur l’ARN. Je suis une amoureuse de l’ARN… une adepte de ses capacités immenses… Je suis très malheureuse de ce qui se passe… Administrer de l’ARN à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie… C’est inconcevable compte tenu de la versatilité de cette molécule, sa capacité à interagir avec une multitude de molécules… Et d’ailleurs on a essayé ce genre de thérapie sur des malades… Si on n’y arrive même pas encore sur des malades, alors le mettre en œuvre sur une population saine… Ce n’est pas de la folie dans l’absolu, c’est de la folie dans les circonstances actuelles d’une dizaine d’années de développement et de connaissances qui s’accumulent. »

 

« L’essai de Pfizer se terminera en 2022… D’ici là, toute personne qui se fera vacciner sera un sujet d’un essai biomédical…. Un cobaye. »

[1]  Une récente étude John Ioannidis estime que l’infection fatality rate (IFR) dû à 0.15 % soit semblable à celui de la grippe saisonnière

[2] Académie de médecine les tests par prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque, https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19

https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/08/covid-19-les-tests-naso-pharynges-ne-sont-pas-sans-risque-previent-l-academie-de-medecine_6076072_3244.html

[3] Les dépenses liées à ces tests sont actuellement estimées à deux milliards d’euros

[4] L’OMS admet enfin que les tests PCR créent des faux positifs France Soir 1/1/2021

[5] Jonas F Ludvigsson   Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ;109(8) :1525-1530.  doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.

[6] Cao S et al Dépistage des acides nucléiques du SRAS-CoV-2 après le verrouillage chez près de dix millions d’habitants de Wuhan, en Chine. Nat Commun 2020 ; 11 : 5917. doi : 10.1038 / s41467-020-19802-w. pmid : 33219229

[8] Aucun cas d’une telle évolution n’a été décrit dans la littérature par ailleurs extrêmement improbable en l’état actuel de la science

[9] Lettre-réponse à adresser aux médecins qui vous proposent de vous vacciner (lemediaen442.fr) Publié le 28 mars 2021 par Olivier Demeulenaere

[10] Alexandra Henrion-Caude : « Utiliser de l’ARN sur des gens sains est une pure folie | « Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie (wordpress.com)

 CLIQUEZ SUR LE LIEN CI DESSUS pour écouter la conférence
QUELLE REPONSE AUX URGENCES ET AU DESESPOIR DE L HOPITAL ? AUCUN TANT QUE LA MAIN MISE DE LA BUREAUCRATIE ETRANGLERA LES MEDECINS ET SOIGNANTS
la santé au service du capital, la sécu disparue ou quasiment, les malades abandonnés ! faites un tour dans l’ehpad du coin …
aucune réforme de l’hôpital public  (oubliant la ville de plus ) ne pourra  améliorer le système de santé  si on ne s’attaque pas à la liberté de soigner, à supprimer la main mise de l’administration sur les décisions médicales
 GRAVISSIME   !   SUPPRIMER LES ARS ET LEUR POUVOIR DE NUISANCE
 SANS S’ ATTAQUER A LA MAIN MISE DE L’ ADMINISTRATION SUR NOS DECISIONS MEDICALES  AUCUN ESPOIR D AMELIORATION !
 c’ est le problème de nous tous !

Nouvelles molécules innovantes : mythes et réalités N Delépine

 

cliquez  diaporama présenté à Gorcy  le 21 oct 2019 ici : MYTHES ET REALITES DES NOUVELLES MOLECULES OCT 2019 GORCY

 

Résumé

 

La dégradation du système de santé en France a vu parallèlement le développement à toute vitesse de mise sur le marché de vaccins destinés à prévenir le cancer et de drogues dites ciblées censées guérir les patients rapidement et avec moins d’effets toxiques. Malheureusement ces médicaments préventifs (vaccins) ou curatifs (nouvelles molécules) ont été mis très rapidement sur le marché, les autorisations par les agences de régulation américaine (FDA) ou européenne (EMA) ayant accepté de nouveaux critères très allégés (dits substitutifs). Nous verrons les conséquences délétères de la main mise de la finance internationale dans la perte d’efficacité et de sécurité des médicaments mis sur les marchés internationaux contrastant avec les dépenses fabuleuses qui leur sont liées.

 

 

gardasil le point en mai 2019    DIAPORAMA  CLIQUEZ ICI

 

Gardasil, surtraitement à visée préventive : Résultat cancérologique paradoxal : augmentation du cancer du col
le point en Mai 2019

OUVREZ LE DIAPORAMA CI DESSUS

AVEC LES COURBES DES RESULTATS DANS LE MONDE

gerard.delepine@bbox.fr

Nous avons évalué les résultats cancérologiques à court et moyen terme de la vaccination anti HPV sur l’incidence du cancer invasif du col de l’utérus  dans les pays qui pratiquaient le dépistage par frottis et qui ont été les premiers à réaliser des campagnes de vaccination massive (Australie, Grande Bretagne, Norvège, Suède).

Nous avons recueilli  par internet des données publiées dans les registres nationaux du cancer et des taux de couverture vaccinale sur l’ensemble des populations et dans les différents groupes d’âge.

Puis nous avons analysé les évolutions et les tendances des incidences brutes et standardisées, avant et depuis l’ère de la vaccination en testant leur probabilité par le coefficient de corrélation.

Nous présentons ici les résultats actuels de cette évaluation.

La période pré vaccinale de 1989 à 2007 a été marquée par une diminution très significative (p<0.001) du taux standardisé d’incidence du CI dans tous les pays étudiés, avec un taux moyen de décroissance de 2.5 % entre 1989 et 2000.

Cette décroissance spectaculaire est unanimement attribuée au dépistage par frottis.

Depuis les campagnes de vaccination, les registres officiels du cancer enregistrent dans les groupes d’âge qui ont été les plus vaccinés une augmentation forte de l’incidence des cancers invasifs qui apparaît 3 à 5 ans après le début de la campagne de vaccination et qui affecte tous les pays à forte couverture vaccinale.

Dans le groupe des femmes de 20-24 ans (qui avaient entre 12 et 16 ans lors des campagnes de vaccination) l’augmentation d’incidence atteint 100% en Suède, 70% en Grande Bretagne, 113% en Australie, 10% in Norvège. Dans le groupe des 25-29 ans qui a été l’objet de vaccination « de rattrapage », l’augmentation atteint 100% en Angleterre 36% en Australie, 9% en Norvège,10% en Suède. A l’opposé, dans ces mêmes pays les femmes plus âgées, non vaccinées, ont vu leur risque de CI rester stable ou baisser.

Les nombres bruts de cancers enregistrés sont souvent petits chez les femmes jeunes et les tendances prises isolément sont rarement statistiquement significatives.

Mais leur constatation dans tous les pays concernés constitue un signal d’alarme d’autant plus fort que l’incidence des CI a continué à baisser chez les femmes âgées, comme en France, pays à faible taux de couverture vaccinale.

Cet échec souligne la responsabilité des agences sanitaires et les risques qu’elles font courir aux populations en délivrant des AMM selon des procédures accélérées basées sur des critères substitutifs malgré les mises en garde de nombreux médecins et d’associations d’usagers.

Ce résultat cancérologique paradoxal nécessite des études complémentaires et justifie, en attendant, une révision urgente des recommandations vaccinales

 

 

 

 

PARADOXICAL EFFECT OF ANTI-HPV VACCINE GARDASIL ON CERVICAL CANCER RATE

State of published results in registers,  on January 2019

Dr G Delépine, oncologist, surgeon

gerard.delepine@bbox.fr

 

 

“How wonderful that we have met with a paradox. Now we have some hope of making progress”. Niels Bohr (Nobel prized for his works on the structure of the atom and chemical reactions )

 

 

Changing the natural history of cancer that increases in frequency and occurs faster.

It takes a long time to affirm that a preventive action really protects. But the failure of this supposed protection can sometimes be very quickly obvious. To prove that the Titanic was truly unsinkable would have required decades of navigation on the most dangerous seas of the world. Demonstrating that it wasn’t, took only a few hours … This  » Titanic  » demonstration is unfortunately reproduced by the Gardasil vaccination.

Evidence that vaccination increases the risk of invasive cancer can be rapid, if the vaccine changes the natural history of cancer by accelerating it. The analysis of trends in the incidence of invasive cervical cancer published in official statistics (registers) was studied in the first and most fully vaccinated countries (Australia, Great Britain, Sweden and Norway). Unfortunately, it’s the case for HPV vaccines.

 

Pre-vaccination period : spectacular success of cervical smear screening with a steady decrease in the rate of invasive cervical cancer.   

In all countries that performed smear screening, the pre-vaccination period from 1989 to 2007 was marked by a significant decrease in the standardized incidence of cervical cancer.

In less than 20 years, the incidence of invasive cancer of the cervix decreased from :

13.5 to 9.4 n Great Britain [1]

13.5 to 7 in Australia[2] ,

11.6 to 10.2 in Sweden [3],

15.1 to 11 in Norway [4],

10.7 to 6.67 in the USA [5],

11 to 7.1 in France.

Globally, in the countries that used smear screening, the average annual rate of decline was 2.5% between 1989 and 2000 and 1% between 2000 and 2007, resulting in a total decrease of nearly 30% across 1989-2007.

 

Era of vaccination: reversal of the trend. Gardasil’s prevention failure erases the beneficial effects of the smear and accelerates the onset of cervical cancer. 

 

Since vaccination, in all the countries implemented with a large vaccination program, there is a reversal of the trend, with a significant increase in the frequency of invasive cancers in the most vaccinated groups. Let’s look at OFFICIAL sources.

 

AUSTRALIA : contrary to the FAKE NEWS OF THE MEDIA AND POLITICS, REGISTER DOES NOT SHOW CANCERS OF THE CERVIX DISAPPEAR, BUT INCREASE.

Australia was the first country to organize routine immunization for girls (April 2007 school-based program for females aged 12–13 years, July 2007 time-limited catch-up program targeting females aged 14–26 years) and then for boys (2013).. According to the last Australian Institute of Health and Welfare publication (2018 publication describing the detailed rates until 2014 ) [6] , the standardized incidence in the overall population has not decreased since vaccination 7/100000 in 2007 versus 7.4 in 2014.

This global stabilization results from two contradictory trends that only appears by examining trends, according to age groups.

Vaccinated age groups women have seen their risk increase:

100% increase for those aged 15 to 19 (from 0.1 in 2007 to 0.2 in 2014)

113% increase (from 0.7 to 1.5) in groups aged 20 to 24 more than 80% of them were catch up vaccinated when 13 to 17 years old.

But, as the figures are very small, this increase does not reach statistical significance.

About a third increase for 25-29 group (from 5.9 to 8 ,p=0.06) and for 30-34 (from 9.9 to 12.4 c=0.80 p=0.01) less vaccinated. These increases are statistically significant cannot be due to hazard.

 

A drama known to one top athlete  Sarah Tait

This increased risk of cancer following vaccination was dramatically illustrated by the sad story of Sarah Tait, olympic rowing champion, at the 2012 London Olympics. This champion saw her life shattered in full glory : she suffered invasive cervical cancer a few years later, being vaccinated and died at age 33. Of course, we don’t know if vaccination was the direct cause of her cancer, but she has, statistically, a one in two chances of having suffered from a cancer linked to vaccination (to be part of the 113% increase of cancer observed after vaccination). In addition, we remark that cancer appears very early in this woman.

 

Non vaccinated women continue to benefit from screening with pap smear

During the same period, older women (and therefore unvaccinated) saw their cancer risk decrease significantly:

less 17% for women aged 55 to 59 (from 9.7 to 8.1),

less 13% for women aged 60 to 64 ( from 10.3 to 8.9),

less 23% for those aged 75 to 79 (from 11.5 to 8.8)

and even less 31% for those aged 80 to 84 (from 14.5 to 10).

 

GREAT BRITAIN : THE PARADOXICAL EFFECT OF GARDASIL PROMOTING CANCER

In UK, a national program was introduced in 2008 to offer HPV vaccination routinely to 12–13-year-old and offer catch-up vaccination to girls up to 18 years old. The UK national program initially used the bivalent HPV vaccine (Cervarix), but, changed in 2012 to use the quadrivalent vaccine (Gardasil). HPV vaccination coverage in England has been high with over 80% of 12–13 years old receiving the full course coverage. The catch-up cohort has been lower covered (ranging from 39% to 76%).

Since the vaccination, the standardized incidence in the overall population increased from 9.4 per 100000 in 2007 to 9.6 in 2015. We observe contrasting trends between the age groups.

Vaccination promoters expected cervical cancer rates decrease in women aged 20 to 24 from 2014, as vaccinated adolescents enter their second decade. However, in 2016, national statistics showed a sharp and significant increase in the rate of cervical cancer in this age group. This information of 2016 has unfortunately not been publicized. They could have served as an alert.

Women aged between 20 and 25 years, vaccinated for more than 85% of them, when they were between 14 and 18 years old, have seen their cancer risk increase by 70% in 2 years (from 2.7 in 2012 to 4.6 per 100,000 in 2014 p = 0.0006) and those aged 25 to 30, ( aged between 18 and 23 at the time of the vaccination campaign)  have seen their cancer risk increase by 100% between 2007 and 2015[7] (from 11 / 100,000 to 22 / 100,000 ).

Women 25 to 34 years, (less vaccinated, only exposed to some catch-up vaccinations), have seen their risk increased by 18% (from 17 in 2007 to 20 in 2014).

In Great Britain, as in Australia, older, unvaccinated women have seen their risk decrease:

( -13% for women aged 65 to 79 and -10% for those over 80 ), most likely because continuation of smear screening.

 

 

SAME PARADOXICAL PHENOMENON OF GARDASIL IN SWEDEN : THE RATE OF CANCER INCREASES IN THE VACCINATED AGE GROUPS . ALERT!

In Sweden, Gardasil has been used since 2006. The vaccination program was rolled out in 2010, with vaccination coverage of 12-year-old girls approaching 80%. In 2012-2013, with a catch-up program, almost all girls aged 13 to 18 were vaccinated.

In this country, the standardized incidence of cervical cancer in the global population has increased steadily since vaccination from 9.6 per 100000 in 2006 to 9.7 in 2009, 10.3 in 2012 and 11.49 in 2015[8]. This increase is mostly due to the increase in the incidence of invasive cancers among women aged 20-24 whose incidence doubled ( from 1.86 in 2007 to3.72 in 2015 p<0.001)[9] and in women aged 20 to 29 the incidence of invasive cancer of the cervix increased by 19% (from 6.69 to 8.01)

In contrast, as in Australia and Great Britain, a decrease in the incidence of invasive cancer has been observed in women over 50, a group that has not been included in the vaccination program. The incidence of invasive cancer of the cervix decreased between 2007 and 2015 by 6% for women aged 50 to 59 (from 14.24 to 13.34), and 4% for those aged 60 to 69 (12.63%). at 12.04,) 17% for those aged 70 to 79 (from 15.28 to 12.66) and 12% for those over 80 (from 15.6 to 13.68).

 

 

IN  NORWAY

Cancer registry shows an increase in the standardized incidence of invasive cancer of the cervix from 11.7 in 2007 to 12.2 in 2009, 13.2 in 2012 and 14. 9 2015 [10].

This increase is due -almost exclusively- to young women, which include all vaccinated, as evidenced by the sharp decline of the average age of onset of the cervix cancer from 48 years in 2002 -2006 to 45 years in 2012-2016.

 

Between 2007 and 2015 , the incidence of invasive cervical cancer increased by 8% among women aged 20 to 29 (from 7.78 to 8.47)[11].

 

During the same period, a decrease in the incidence of invasive cancer was observed in older women, not involved in the vaccination program: -11% for women aged 55 to 64 (15.47 to 13.7), -16% for those aged 65 to 74 (17.7 to 14.71) and -29% for those aged 75 to 85 (18.39 to 13) .

 

In USA

 

In this country, vaccination coverage is lower than in previous countries (close to 60%).

According to the Cancer Statistics Review 1975-2015[12], the standardized incidence of invasive cervical cancer remains stable(+0.1) since vaccination.

 

In US, the same discrepancy is observed according to age groups, but of lesser amplitude. Women over 50, benefit a 5% decrease in their risk (from 10.37 per 100000 in 2007 to 9.87 in 2015), whereas younger women, which include vaccinated, have given their risk increase of 4% (5.24 in 2007 to 5.47 in 2015).

 

 

WITNESS COUNTRY: FRANCE 

The evolution of these countries, with high immunization coverage, can be compared to the trend observed in metropolitan France, where HPV vaccination coverage is very low (around 15%). France can be considered, for this reason, as a control country. In France[13] the incidence of cervical cancer has steadily decreased from 15 in 1995 to 7.5 in 2007, 6.7 in 2012 and 6 in 2017, much lower than those of countries with high vaccine coverage.

This decrease in incidence was accompanied by a decrease in mortality from 5 in 1980 to 1.8 in 2012 and 1.7 in 2017.

It is paradoxical and very worrying that these excellent French results, with low cervix cancer rate and low related mortality, could be jeopardized by an obligation considered in the short term by our policies, for some misinformed and other big pharma links[14].

 

DRAMATIC AND UNEXPECTED PARADOXICAL EFFECT OF GARDASIL: THE ALERT MUST BE GIVEN TO DECISION MAKERS AND THE MEDIA. 

In all countries that achieved high HPV vaccination coverage, official cancer registries show an increase in the incidence of invasive cervical cancer. 

For women under 20, the crude number are to small to reach statistical significance, but the similar increases in all the studied countries constitutes a strong alarm signal.

For women 20-30 the incidence increases after catch up vaccination, and is highly significant (p<0.01or 0.001). In these same countries, during the same period, older women, not vaccinated, have seen their risk of cervical cancer continue to decline.

Similarly, in metropolitan France, a country with low vaccination coverage, the incidence of cervical cancer continues to decline at a rate comparable to the pre-vaccination period.

These paradoxical results plea for a rapid revision of recommendations and intensive research to explain this catastrophic issue.

 

 

[1] Cancer Research UK, Cervical Cancer (C53): 1993-2015, European Age-Standardized Incidence Rates per 100,000 Population, Females, UK Accessed 08 [ 2018 ].

[2] AIHW [2]. 13. AIHW 2017. Cancer in Australia 2017. Cancer series no. 101. Cat. No. CAN 100. Canberra: AIHW.

[3] NORDCAN, Association of the Nordic Cancer Registries 3.1.2018

[4] Bo T Hansen, Suzanne Campbell, Mari Nygård Long-term incidence of HPVrelated cancers, and cases preventableby HPV vaccination: a registry-based study in Norway BMJ Open 2018; 8: e019005

[5] Table 5.1 Cancer of the Cervix Uteri (Invasive) Trends in SEER Incidence and US Mortality SEER Cancer Statistics Review 1975-2012

[6] Australian Institute of Health and Welfare (AIHW) 2017 Australian Cancer Incidence and Mortality (ACIM) books: cervical cancer Canberra: AIHW. <Http://www.aihw.gov.au/acim-books>.

[7] A Castanona, P Sasienia Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20-24 years in

England a cause for concern? Preventive Medicine 107 (2018) 21-28

[8] Nationellt Kvalitetsregister für Cervix cancer prevention (NKCx), http://nkcx.se/templates/_rsrapport_2017.pdf [in Swedish]

[9] Engholm G, Ferlay J, Christensen N, Hansen HL, Hertzum-Larsen R, Johannesen TB, Kejs AMT, Khan S, Olafsdottir E, Petersen T, Schmidt LKH, Virtanen A and Storm HH: Cancer Incidence, Mortality, Prevalence and Survival in the Nordic Countries, Version 8.1 (28.06.2018). Association of the Nordic Cancer Registries. Danish Cancer Society. Available from http://www.ancr.nu, accessed it 30 / 09 / 2018 .

[10] Cancer in Norway 2016

[11] Engholm G, Ferlay J, Christensen N, Hansen HL, Hertzum-Larsen R, Johannesen TB, Kejs AMT, Khan S, Olafsdottir E, Petersen T, Schmidt LKH, Virtanen A and Storm HH: Cancer Incidence, Mortality, Prevalence and Survival in the Nordic Countries, Version 8.1 (28.06.2018). Association of the Nordic Cancer Registries. Danish Cancer Society. Available from http://www.ancr.nu, accessed is 1 / 10 / 2018

[12] SEER 9 National Center for Health Statistics, CDC

[13] Francim, HCL, Public Health France, INCa. Projections of Cancer Incidence and Mortality in Metropolitan France in 2017 – Solid Tumors [Internet]. Saint-Maurice: Public health France [updated 02/01/2018; viewed on the 09/05/2018

[14] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-alerte-risque-imminent-d-206314 Gardasil, alert, imminent risk of mandatory vaccination against HPV unnecessary, and sometimes dangerous , for girls and boys.

 

 

lire en urgence sur agoravox

https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/gardasil-nouvelles-salves-de-207464

Gardasil : nouvelles salves de publicités trompeuses et/ou manipulatrices. Décodons les « fake news »

lire notre dénonciation des nombreuses fausses nouvelles qui se multiplient sur les grands médias  (presse écrite aussi bien que TV ) pour faire croire à l’efficacité préventive du Gardasil sur l’apparition des cancers du col et la prétention de prévenir aussi des cancers ORL liés à des pratiques sexuelles plus répandues.

Malheureusement ce ne sont que « fake news » : le Gardasil non seulement a de graves effets secondaires bien détaillés par d’autres (page Danger Gardasil sur FB par exemple ) mais malheureusement s’avère augmenter le nombre de cancers du col chez la femme jeune vaccinée. Effet délétère évidemment non prévu mais que les études internationales démontrent. Restons donc prudents avant d’accepter une obligation aveugle à ces éléments scientifiques nouveaux.

Nous invitons les lecteurs, et tout particulièrement les médecins à se pencher sur la littérature médicale jointe à tous nos tribunes sur Gardasil.

Nice 9 06 Innovation et K

DIAPORAMA  de la conférence de Nice association CEPPI

 

L’accélération de la mise sur le marché (AMM) des médicaments est-elle utile aux malades souffrant de cancer ?

  • Sa logique, depuis 20 ans repose sur un certain nombre
  • de mythes, d’illusions voire de « fake news
  • largement diffusés par médias destinés à la population, revues médicales et experts qui vivent de l’industrie pharmaceutique
  • sujet d’autant plus important que le coût du cancer en France correspond à 10% du budget de la sécu, soit 15 milliards d’€/an
  • Savoir comment et à quoi utiliser cet argent nous concerne tous, citoyens malades et bien portants

gerard.delepine@bbox.fr
Lorient 10/11 mars 2017
L’auteur déclare n’avoir aucun lien d’intérêt avec aucune entreprise du médicament

 

 

Lorient 10 11 mars 2017 molécules innovantes