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Par N Delépine pédiatre, oncologue

https://t.me/DrDelepine

 

Excrétion des composants du vax anti-covid19 dans le lait maternel : une inquiétude croissante

car des études ont détecté de l’ARNm vaccinal dans le lait maternel de certaines femmes, notamment dans des vésicules extracellulaires. L’ARNm vaccinal persiste dans le lait jusqu’à au moins une semaine après la vaccination.

Les ARNm des vésicules extracellulaires peuvent traverser la barrière intestinale.

 

Principe de précaution oublié :  les gynécologues, pédiatres  et tous les médecins qui ont conseillé et conseillent encore la vaccination aux femmes allaitantes se soucient-ils du passage éventuel d’ARNm ?

 

Rechercher les anticorps dans le lait maternel après injection des mères pour conseiller la pseudo vaccination des femmes enceintes est un extraordinaire raccourci.

Les pédiatres hollandais ont été les premiers à l’emprunter et leur idée a été reprise larga manu dans le monde, comme si le taux d’anticorps suffisait à protéger et à éviter toutes les autres conséquences inconnues d’un produit expérimental susceptible de s’intégrer au génome.

 

« Finalement, un total de 1.650 échantillons de lait maternel provenant de 124 mères allaitantes a été inclus dans l’analyse ; presque toutes les participantes qui ont reçu un vaccin à base d’ARNm ont montré des IgA détectables dans leur lait, soit 96 % des mères vaccinées avec le vaccin Pfizer-BioNTech ; 97 % des mères vaccinées avec le vaccin Moderna ; et 39 % des mères vaccinées avec le vaccin Oxford/AstraZeneca ; 48% des mères vaccinées avec le vaccin Johnson & Johnson/Janssen.

 

« après les 2 doses de vaccins Pfizer-BioNTech , Moderna et Oxford/AstraZeneca, toutes les participantes avaient des IgG détectables. Cependant, après les vaccins à base d’ARNm, c’était le jour 23 et le jour 32 après la première dose, tandis qu’après le vaccin Oxford/AstraZeneca, tous les participants ont montré des IgG au jour 94 ; après la vaccination avec le vaccin Johnson & Johnson/Janssen (1 seule dose), seules 28 % des mères avaient des IgG détectables dans leur lait.

Les  anticorps IgA spécifiques du SARS-CoV-2 dans le lait maternel sont présents plus fréquemment après la vaccination avec un vaccin à ARNm ».

« Les IgGs sont présentes chez toutes les participantes après les 2 doses de vaccin, indépendamment du type de vaccin, cependant, ces immunoglobulines sont détectables plus tôt après la vaccination avec un vaccin à ARNm ».

 

 

Mais la capacité neutralisante des anticorps du lait maternel n’a pas été évaluée dans cette étude.

L’anticorps le plus abondant dans le lait maternel est donc l’IgA, qui joue un rôle clé dans la première ligne de défense contre les virus. Sur la base de ces données, les chercheurs suggèrent qu’un vaccin à base d’ARNm est le choix optimal pour les femmes qui allaitent lorsqu’elles souhaitent transférer des anticorps à leurs nourrissons.[1]    Cet article ne porte que sur les anticorps censés protéger de la maladie covid, mais ne prend absolument pas en compte les complications potentielles du pseudovax covid dont nous avons déjà noté quelques démonstrations chez des nouveau-nés de mères injectées.

 

 

Une autre démonstration du passage des anticorps de la mère allaitante et peut-être plus en janvier 22[2]

Curieusement la question des effets toxiques du pseudo vax n’est que survolée.   « Selon les résultats d’un travail publié dans la revue Obstetrics & Gynecology  des scientifiques de l’Université du Massachusetts à Amherst ont suivi 30 femmes ayant reçu un vaccin à ARN messager entre janvier et avril 2021. Les participantes ont fourni des échantillons de lait maternel avant d’être vaccinées, pendant trois semaines après leur première dose et trois semaines après la deuxième dose. Des échantillons de selles de nourrissons ont été prélevés 21 jours après cette deuxième injection.

Les auteurs ont ainsi trouvé des anticorps capables de neutraliser la protéine spike du virus d’origine et de quatre variants, dans les échantillons de lait maternel et dans plus de 30% des échantillons de selles de nourrissons. « Cette recherche est la première à détecter les anticorps anti-SARS-CoV-2 dans des échantillons de selles de nourrissons de mères vaccinées » « Notre étude montre qu’ils sont transférés via le lait maternel. »

Remarque intéressante, les niveaux d’anticorps étaient en lien avec les effets secondaires du vaccin subis par la mère :  en clair, plus les femmes ont été touchées par des effets indésirables de l’injection, plus les échantillons de selles renfermaient des anticorps.   Enfin les anticorps ont été détectés chez des nourrissons quel que soit leur âge, de 1,5 à 23 mois ».

 

 

 

TRACES D’ ARNm dans le lait maternel

Or l’on sait depuis plusieurs mois que des traces du vax et de l’ARNm directement sont retrouvés dans le lait maternel

Des traces d’ARNm du vaccin #COVID19 ont été détectées dans le lait maternel de certaines femmes allaitantes.  [3][4]

 

 

L’étude très détaillée d’Helene Banoun pose des questions intéressantes[5], tant sur la contamination des bébés via le lait maternel que sur la contamination plus générale des non injectés par les injectés.

 

Nous détaillerons ici ce qui concerne les bébés allaités. On peut lire dans le texte d’Helene Banoun la référence à une éventuelle excrétion du vaccin dans les documents de Pfizer (voir les références détaillées dans le texte complet réf 2)

« le protocole de l’essai de phase I/II/III de Pfizer sur les vaccins à ARNm COVID-19 (qui a débuté en mai 2020) mentionne la possibilité de passage du produit étudié par inhalation ou contact cutané et de passage par le sperme d’un homme exposé par inhalation ou contact cutané et de passage par le lait maternel; la possibilité d’une réaction indésirable au vaccin par suite de ces expositions est également mentionnée.

« Les données de Pfizer indiquent clairement qu’une femme enceinte peut être exposée à » l’intervention étudiée en raison d’une exposition environnementale[6].  » L’exposition environnementale peut se produire par « inhalation ou contact avec la peau ». Voici quelques exemples d’exposition environnementale pendant la grossesse : -Un membre de la famille ou un fournisseur de soins de santé de sexe féminin signale qu’enceinte elle a été exposée à l’intervention étudiée par inhalation ou par contact cutané. -Un membre de la famille ou un prestataire de soins de santé de sexe masculin qui a été exposé à l’intervention étudiée par inhalation ou contact cutané expose ensuite sa partenaire féminine avant ou autour de la période de conception.

 « Cela signifie clairement que tout contact, y compris le contact sexuel avec une personne ayant reçu les vaccins, expose ceux qui n’ont pas reçu les vaccins à « l’intervention », c’est-à-dire à l’ARNm. L’exposition pendant l’allaitement devait également être immédiatement notifiée pendant l’essai : on suppose que l’investigateur craint qu’une mère qui allaite puisse transmettre l’ARNm expérimental à son bébé si elle a reçu le vaccin directement ou si elle est « exposée à l’intervention de l’étude par inhalation ou contact avec la peau. (…) »

Passage de l’ARNm du vaccin dans le lait

 Selon l’article d’Hélène B : de l’ARNm du vaccin est retrouvé dans le lait de 1/10 des femmes étudiées (4/40)  la première semaine après la vaccination avec le vaccin à ARNm (que ce soit après la dose 1 ou après la dose 2).

Les quantités peuvent atteindre 2ng/ml de lait.  Cette quantité peut sembler faible par rapport aux 30 microgrammes d’ARNm injectés avec le vaccin, mais elle peut suffire à produire une quantité non négligeable de spike. En effet, un nourrisson fait plusieurs tétées par jour, pour environ 240 à 360 ml par jour et un total sur une semaine de 1680 à 2520 ml dans la première semaine.

Le nouveau-né, pesant entre 2 et 5 kg, pourrait donc être exposé à une dose de 5 µg d’ARNm dans sa première semaine. Cela semble disproportionné comparativement aux 10 µg injectés à des enfants de 5 à 11 ans qui pèsent respectivement 18 à 35 kg environ (…)

De plus des observations réalisées après la campagne massive de vaccination peuvent soutenir l’excrétion du pseudovaccin

« Les scientifiques ont comparé des enfants non vaccinés vivant avec des parents non vaccinés avec des enfants également non vaccinés mais vivant avec des parents vaccinés. Les enfants de parents vaccinés ont des IgG anti-Covid dans le nez et la différence avec les enfants de parents non vaccinés est significative ». (..)

 

Cet article rappelle qu’il existe de nombreux témoignages de personnes non vaccinées ayant présenté des symptômes identiques aux effets indésirables du vaccin après avoir été en contact avec des personnes fraîchement vaccinées.[7]

Une étude montre un excès de mortalité dans les classes d’âge non vaccinées au début des campagnes de vaccination, qui pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits.

« Il est important de ne pas négliger ces témoignages car les études requises de pharmacocinétique et notamment d’excrétion du vaccin et de ses produits n’ont pas été réalisées malgré la réglementation en vigueur pour les thérapies géniques, qui incluent les vaccins à ARNm selon la définition de ces produits géniques ».

 

Un autre article signale la présence d’ARNm du vaccin dans le lait maternel

« La majorité des mères allaitantes avaient des isotypes d’anticorps SARS-CoV-2 détectables et des anticorps neutralisants dans le sérum et le lait maternel, en particulier après la dose 2 de vaccination BNT162b2. De faibles niveaux transitoires d’ARNm du vaccin ont été détectés dans le sérum des mères vaccinées avec un transfert occasionnel dans leur lait maternel. »[8]

 

Signalons  ce post[9]

LA FDA SAIT DEPUIS AU MOINS 2015 QUE LES PRODUITS GENIQUES SONT EXCRETES

On peut lire aussi sur telegram que la FDA est au courant de l’excrétion des vaccins depuis des années; elle a même publié des lignes directrices sur la façon d’évaluer le risque.

En 2015, la FDA a publié des lignes directrices sur la manière de mener des études d’excrétion pendant le développement de produits de thérapie génique à base de virus ou de bactéries.

Le produit de thérapie génique excrété peut être infectieux et soulève donc des problèmes de sécurité « liés au risque de transmission à des personnes non traitées ».  Diverses études et documents vont dans ce sens.

 

▪️Pfizer STUDY indique que l’excrétion et la transmission du vaccin se produisent ; et que les prestataires de soins de santé, les bébés allaités et les femmes enceintes étaient à risque d’ « exposition environnementale ».[10] [11]

Diverses études et documents, y compris une étude de Pfizer, indiquent que l’excrétion et la transmission des vaccins se produisent.

« Transmission par aérosol et vaccins contagieux

Une étude de l’Université du Colorado publiée en mai a fourni des preuves « d’un nouveau mécanisme par lequel l’immunité collective peut se manifester – le transfert d’anticorps par aérosol entre hôtes immunisés et non immunisés ».

Conformément aux résultats rapportés par d’autres, les chercheurs ont détecté des anticorps dans la salive des personnes vaccinées et leurs masques faciaux. « Compte tenu de ces observations, nous avons émis l’hypothèse que le transfert de gouttelettes / anticorps aérosolisés pourrait se produire entre les individus, un peu comme les particules virales en gouttelettes / aérosols peuvent être échangées par la même voie. »

Pour vérifier si la transmission se produisait, les chercheurs ont prélevé des écouvillons nasaux d’enfants non vaccinés de parents vaccinés et les ont testés pour les anticorps spécifiques du SRAS-CoV-2 et ont trouvé une relation positive significative.

Le concept de vaccins auto-répandus n’est pas « nouveau » comme le prétend l’étude de l’Université du Colorado. Mais l’étude nous laisse nous demander si les chercheurs ont prouvé que seuls les anticorps sont transmis ou si des particules virales, telles que la protéine de pointe contenue dans les injections, ou le graphène sont également éliminés ».

Dans son étude de détermination de la dose de novembre 2020, Pfizer a appelé cette transmission, ou excrétion, « exposition environnementale ». Ce qui, selon Pfizer, peut se produire en respirant le même air ou en touchant la peau de la personne vaccinée. C’est-à-dire que, selon Pfizer, le contenu du « vaccin » est à la fois infectieux et contagieux. Le document de Pfizer mentionne spécifiquement les fournisseurs de soins de santé, les membres de la famille, les bébés qui allaitent et les femmes enceintes comme étant à risque d’exposition environnementale. »

Slate a rapporté la publication des résultats intermédiaires des données de Pfizer et BioNTech : « c’est prometteur – mais des questions importantes demeurent. »

 Directives de la FDA sur l’excrétion des vaccins[12]

La connaissance de l’excrétion des vaccins géniques remonte beaucoup plus loin que l’ère Covid, comme le démontrent les directives publiées par la FDA en 2015 aux « promoteurs de produits de thérapie génique à base de virus ou de bactéries » (« produits VBGT »).

« Des études d’excrétion devraient être menées pour chaque VBGT ou produit oncolytique afin de fournir des informations sur la probabilité de transmission à des personnes non traitées, car les données historiques seules peuvent ne pas être prédictives du profil d’excrétion.

Les données [des essais sur les animaux] peuvent aider à estimer la probabilité et le profil potentiel d’excrétion chez les humains, en particulier lorsqu’il y a des préoccupations au sujet de la transmission à des personnes non traitées. Cependant, de telles données ne peuvent pas remplacer l’excrétion humaine pour plusieurs raisons … »

Pacou54, [30/08/2022]

« La stratégie risquée qui consiste à autoriser l’utilisation d’urgence des « vaccins » à ARNm avant l’achèvement des tests non cliniques rigoureux sur les animaux pour les risques de reproduction et de génotoxicité, suivie de la préconisation d’une utilisation généralisée pendant la grossesse est un NON-SENS [13] »

VACCINER LES FEMMES ENCEINTES EST UNE FOLIE ABSOLUE ! VRAIMENT !

Voici le résumé du rapport d’évaluation public du vaccin COVID-19 Pfizer/BioNTech de la MHRA britannique, mis à jour le 16 août 2022. Conclusions sur la toxicité, paragraphe 3.4 Toxicologie…

« Dans le cadre de l’approvisionnement au titre du règlement 174, il est considéré qu’il n’est pas possible à l’heure actuelle de garantir suffisamment la sécurité d’utilisation du vaccin chez la femme enceinte. Cependant, l’utilisation chez la femme en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de santé soient invités à exclure toute grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne doivent pas non plus être vaccinées. »[14]

Pour un consentement libre et éclairé, voici les chiffres officiels d’Israël (02/2022) sur les Mortinaissances, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées via https://t.me/vivrecorrectement/3374

 

CHD.TV Israël – « Vaccins et allaitement : un sujet passé sous les radars… et pourtant déjà vieux de plusieurs mois » [15]

 

 

 

 

 

Données de décès infantiles du VAERS

 

 

 Ces données officielles confirment le drame des enfants vaccinés

 

La plupart des bébés affectés par des effets nocifs sont allaités, ils ont été exposés aux vaccins à travers le lait maternel : 644 cas d’enfants souffrant de complications liées au lait maternel et 607 dont la mère a reçu le vaccin  Pfizer ! »     Si les mères étaient informées, iraient-elles se faire injecter ? [16]

 

 

VACCINER LES FEMMES ENCEINTES EST UNE FOLIE ABSOLUE ! Ils savent qu’ils tuent des bébés ! Gardez ces vaccins hors de portée des femmes enceintes et des bébés. [17]

 

 

Soutenu par la désinformation médiatique, le faux vaccin à ARNm (thérapie génique) a été présenté comme une solution pour endiguer la pandémie. Le faux vaccin a pourtant déclenché dès son apparition en décembre 2020 une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

 

La FOIA (Freedom of Information) révèle que Pfizer et les agences de régulation ont caché les dangers de l’injection contre la Covid pendant la grossesse.

 

L’étude a révélé qu’il augmente le risque de malformations congénitales et d’infertilité. L’étude réalisée sur le produit Pfizer C19 a révélé que les membres des agences sanitaires ont dissimulé des anomalies alarmantes du fœtus en développement et ont faussement minoré le risque réel de la vaccination pendant la grossesse.

Cette fraude et cette tromperie ont causé au moins 4113 décès fœtaux dus à la vaccination contre la Covid-19 rien qu’aux États-Unis[18] contre 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant les injections à Covid-19…

 

Une autre étude montre que la vaccination contre la Covid-19 augmente en fait le risque de fausse couche d’au moins 1517%... 1517% plus élevé que le risque de faire une fausse couche après la vaccination contre la grippe…

 

ON CONTINUE DANS LE DÉNI ? [19]

 

Le CDC a admis que seulement 1 à 10% des effets indésirables sont effectivement signalés au VAERS, de sorte que le chiffre réel pourrait être bien pire. Mais pour mettre ces chiffres en perspective, il n’y a eu que 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant l’autorisation d’utilisation d’urgence des injections de Covid-19 en décembre 2020. [20]

 

Et une autre étude, a révélé que le risque de subir une fausse couche après la vaccination Covid-19 est 1 517% plus élevé que le risque de subir une fausse couche après la vaccination contre la grippe.

 

Le risque réel pourrait cependant être beaucoup plus élevé car les femmes enceintes sont un groupe cible pour la vaccination contre la grippe, alors qu’elles ne constituent jusqu’à présent qu’un petit groupe démographique en termes de vaccination Covid-19.

 

Pfizer et les régulateurs – agences des médicaments qui ont accordé une autorisation d’urgence pour les injections de Covid-19 savaient que des études appropriées sur les animaux n’avaient pas été effectuées pour déterminer la sécurité du vaccin Pfizer pendant la grossesse, et ont ensuite faussement sous-estimé le risque dans leurs communiqués.

 

Ils savaient également que l’étude limitée sur les animaux montrait un risque important pour le fœtus en développement, mais ils ont activement choisi de supprimer cette information des documents publics.

 

L’information a été révélée grâce à une demande d’accès à l’information (FOI) adressée à la Government Department of Health Therapeutic Goods Administration (TGA) du gouvernement australien.

 

 Les résultats cachés de la toute petite étude animale

L’étude a été réalisée sur 42 rats femelles Wistar Han. Vingt et un ont reçu l’injection de Pfizer Covid-19, et 21 ne l’ont pas été. L’évaluateur du module 4 a initialement demandé à Pfizer d’inclure la ligne

 

« Une étude combinée de fertilité et de toxicité pour le développement chez le rat a montré une augmentation de la fréquence des côtes lombaires surnuméraires chez les fœtus de rats femelles traités par COMIRNATY ». de plus : Le taux de « perte préimplantatoire » dans le groupe vacciné de rats était le double de celui du groupe témoin, et non seulement cette information a été ignorée, mais aucune demande n’a été faite pour l’évaluer davantage.»

 

La perte préimplantatoire fait référence aux ovules fécondés qui ne parviennent pas à s’implanter. Par conséquent, cette étude suggère que l’injection de Pfizer Covid-19 réduit les chances d’une femme de tomber enceinte. Donc, par conséquent, augmente le risque d’infertilité. »

 

Mensonge éhonté et dangereux commis en toute conscience par Pfizer et agences de contrôle

Malgré les preuves scientifiques prouvant le contraire, les agences régulatrices de la médecine et Pfizer ont faussement affirmé que « les études animales n’indiquent pas d’effets nocifs directs ou indirects en ce qui concerne la grossesse ».

LE SOUVENIR DE LA THALIDOMIDE

« Il y a soixante ans, les femmes ont été exposées à un nouveau produit contre les nausées matinales appelé thalidomide[21], ce qui a entraîné au moins 10 000 malformations à la naissance. Les résultats ci-dessus montrent que les régulateurs de la médecine n’ont rien appris de cette tragédie et ont pris un risque sans précédent dans leur évaluation de l’injection de Pfizer Covid-19.

Ce risque sans précédent a conduit à une campagne scandaleuse de propagande et de mensonges ciblant les femmes enceintes et les poussant à suivre un traitement expérimental et non éprouvé et cette campagne scandaleuse de propagande et de mensonges a conduit à des milliers de morts fœtales.».

 

CES DONNEES POURRAIT EN PARTIE EXPLIQUER LA BAISSE LE TAUX DE NATALITE

Une analyse des données sur les taux de natalité dans les pays européens montre une baisse.[22] significative (pouvant atteindre 19%) des naissances vivantes chez les 18-49 ans neuf mois après le début des vaccinations COVID, tout particulièrement dans les pays à taux de vaccination élevés.

UN SEUL MOT D’ORDRE DANS LES TOUS LES PAYS : STOPPEZ TOUTES LES INJECTIONS A ARNm

NON SEULEMENT LES PSEUDOVAX ANTICOVID 

MAIS AUSSI CEUX COUPLES AU VACCIN DE LA ROUGEOLE

Et les NOUVEAUX VAX ANTIGRIPPAUX ET LES TENTATIVES DE VAX ARNm ANTICANCER

 

 

 

 

 

 

[1] Source: JAMA Pediatrics 14 Mar, 2022 DOI : 10.1001/jamapediatrics.2022.0084  Comparing human milk antibody response after different COVID-19 vaccines

[2] Covid-19 : les mères vaccinées transmettent des anticorps via le lait maternel – ladepeche.fr

[3] https://t.me/libreetinsoumis2/5075

[4] https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2796427

[5]https://www.researchgate.net/publication/365233482_Etat_actuel_des_connaissances_sur_l’excretion_de_l’ARNm_et_de_la_spike_produite_par_les_vaccins_a_ARNm_anti-Covid-19_possibilite_de_contamination_de_l’entourage_des_personnes_vaccinees_par_ces_produit

 

 

[6] Nom donné à l’injection …

[7] Voir les témoignages et questions sur le canal telegram qui lui est consacré : https://t.me/temoignageshedding

[8] Neutralizing Activity and SARS-CoV-2 Vaccine mRNA Persistence in Serum and Breast milk After BNT162b2 Vaccination in Lactating Women. Front Immunol. 2022 Jan 11;12:783975

[9] https://twitter.com/tatiann69922625/status/1576094250051461120   Etude: https://t.co/t8KVDJ0JTI

 

[10] https://expose-news.com/2022/09/08/fda-knows-about-vaccine-shedding/

[11] https://t.me/HocineLeDZ

[12] Design and analysis of Shedding Studies for Virus or Bacteria-based Gene Therapy and Oncolytic Products Guidance for Industry, US Food and Drug Administration, août 2015

[13] (https://t.me/vivrecorrectement/3716).

[14] https://www.gov.uk/government/publications/regulatory-approval-of-pfizer-biontech-vaccine-for-covid-19/summary-public-assessment-report-for-pfizerbiontech-covid-19-vaccine

[15] Stillbirths, Miscarriages and Abortions in Vaccinated vs. Unvaccinated Women (substack.com)

[16]https://twitter.com/NicolasPichot6/status/1558381678548209664?t=fYXBIdk1PTffw9W5i4q2iQ&s=35     https://t.me/VeriteDiffusee

[17] https://t.me/vivrecorrectement/3716)

[18] Selon la base de données sur les événements indésirables des vaccins (VAERS) des Centers for Disease Control (CDC), au 22 avril 2022

[19] https://expose-news.com/2022/07/19/foia-pfizer-hid-dangers-covid-vaccination-pregnancy/

[20] Health Impact News

 

[21] Lire la face cachée des médicaments N Delépine 2011 éditions Michalon

[22] https://www.lifesitenews.com/news/data-analyst-suggests-covid-jabs-linked-to-steep-birth-rate-drop-in-europe/