Archive d’étiquettes pour : Algérie

La catastrophe vaccinale du Pérou démontre encore qu’il faut stopper ces injections expérimentales

07/07/2022 (2022-07-07)

Par Dr Gérard Delépine

Ce pays d’Amérique latine de 32 millions d’habitants a été un élève particulièrement obéissant de l’OMS et a appliqué sa stratégie « interdiction de la chloroquine et des autres traitements précoces. Tout vaccin ».

L’Algérie, pays du Maghreb de 45,5 millions d’habitants a appliqué le traitement précoce prôné par le professeur Raoult et les pays d’Afrique subsaharienne, souffrant chroniquement du paludisme, ont poursuivi l’utilisation des antipaludéens.

Après plus de 2 ans, l’échec des vaccins au Pérou est dramatique alors que l’Algérie comme les pays africains utilisant les antipaludéens ont traversé l’épidémie sans beaucoup en souffrir. Rappelons les faits avérés publiés par l’OMS et mis en figures par l’université John Hopkins

La vaccination n’a pas protégé les Péruviens de la maladie

Début 2022, le Pérou a enregistré plus de 70 000 nouveaux cas en une seule semaine, dépassant les sommets atteints lors des première et deuxième vagues de la pandémie

Vaccinés mais pas protégés !

La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid

La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85 % des habitants, dont plus de 95 % des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).

À l’opposé, les pays Africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts covid. Leurs mortalités cumulées ne sont pas les 200 par million !

Par million d’habitants les mortalités constatées dans les pays africains adeptes des traitements précoces sont 200 à 400 fois inférieures à celle du Pérou confirmant la catastrophe sanitaire du tout vaccin.

Qui peut encore croire que les pseudo vaccins vont résoudre le problème Covid ou qu’ils protègent des formes graves et de la mort ?

CHOLERA

 

LA PEUR REVIENT

en fait à notre époque, nous savons très bien contrer les risques de cette effroyable maladie : l’hygiène est au cœur de la prévention : eau potable, et circuits des eaux usées rigoureusement indépendants, lavage des mains après les selles, etc…

 

Evidemment les guerres qui détruisent tout sur leur passage  génèrent ces épidémies d’autrefois ! évitons-les !

le point dans notre article du 4 Septembre 2018

Une » information en direct de l’Organisation mondiale de la santé ce début aout 2018 inquiète à nouveau.

 « Plus de 1,1 million cas présumés de choléra ont été enregistrés au Yémen depuis 2017 avril, selon les derniers chiffres de l’OMS, et plus de 2 300 décès associés.

L’avertissement d’une probable nouvelle épidémie est venu un jour après les frappes aériennes à Hodeidah- attaquée par une coalition internationale dirigée par l’Arabie saoudite qui a frappé un marché du poisson occupé et l’entrée du plus grand hôpital du pays, Al-Thawra  »[13].

La campagne de vaccination orale n’a pas endigué le risque : « La phase initiale de cette campagne préventive de vaccination vise plus de 350.000 personnes dans quatre districts de la grande ville d’Aden, dans le sud du Yémen, a précisé la branche yéménite de l’OMS dans un tweet. L’opération est soutenue notamment par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) et par la Banque mondiale.

Vendredi, des chercheurs ont averti que le Yémen, pays pauvre ravagé par une guerre depuis plus de trois ans, risque de voir son épidémie de choléra repartir de plus belle avec la saison des pluies. Plus d’un million de cas suspects avaient été détectés l’an dernier. Les précipitations aggravent la contamination, a souligné une étude publiée dans la revue The Lancet Global Health. Plus de la moitié des régions yéménites, peuplées au total de 13,8 millions de personnes, risquent d’être touchées ».[14]

 Récemment, une épidémie a été reconnue en Algérie :

« le 23 août 2018, les autorités algériennes ont finalement reconnu l’existence d’une épidémie limitée de choléra. L’épidémie, circonscrite à la province de Blida (sud-ouest d’Alger), aurait pour foyer unique une source d’eau naturelle contaminée à Hamr Al Ain, sur la bande côtière entre les villes d’Alger et Tipaza. Sur les 172 cas suspects admis à l’hôpital, 61 ont été à ce jour confirmés, dont deux décès ».[15]

 Pour les locaux, l’épidémie serait due à l’épandage illicite d’eaux usées sur des champs de fruits et légumes, alors que le gouvernement affirme que le réseau d’assainissement est globalement fonctionnel. Néanmoins des habitants dénoncent le retard, la lenteur, voire l’arrêt des travaux qui « durent et perdurent » [16][17]

Situation à risque en ce fin du mois d’août 2018 et la sécheresse de l’été en Algérie : « Situation environnementale, risque du retour d’autres épidémies « 

 

 

lire la totalité de l’article sur agoravox  du 4 septembre 2018

 

 

https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/cholera-dieu-ou-l-esprit-invisible-207369