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L’immunité « vaccinale » anticovid est un mythe

Depuis le début de la crise sanitaire, l’exécutif français a prétendu que les traitements précoces étaient inefficaces, imposé des restrictions majeures à nos libertés, en particulier de prescription des médecins,[1] et a promis que la vaccination obtiendrait l’immunité collective, la sortie de crise et le retour à une vie normale.

Mais l’échec permanent depuis 18 mois de cette stratégie sanitaire fondée sur des simulations fausses, des mensonges innombrables, des promesses jamais tenues, la propagande de la peur et l’extorsion du consentement à la vaccination par les chantages aux libertés de circuler, d’avoir des loisirs et de travailler, devient insupportable.

Les vaccins actuels qu’ils veulent nous imposer sont-ils efficaces ? Peuvent-ils aboutir à une immunité collective ou n’est-ce qu’un mythe ? Pour y répondre, nous ferons le bilan sanitaire actuel des pays les plus vaccinés d’après les chiffres fournis par l’Organisation Mondiale de la Santé et les courbes de OurWorldinData.

 

Mortalité record à Gibraltar champion des injections Astra Zeneca

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020 alors que l’agence sanitaire recensait dans ce pays seulement 1040 cas confirmés et 5 morts attribués au covid19. Après une campagne de vaccination éclair très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols), le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 5 (passant à 5314) et celui des morts par 19. Atteignant 97, soit 2853 morts par million d’habitants, ce chiffre constituant l’un des records européens de mortalité. Mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal sans proposer une autre étiologie plausible. Et après une accalmie de quelques mois, l’épidémie reprend confirmant qu’une couverture vaccinale à 115 % ne protège pas de la maladie.

 

Malte : une couverture vaccinale de 84 %, mais tout aussi inefficace

Malte fait partie des champions européens des pseudo vaccins : dans cette île de 500 000 habitants, près de 800 000 doses ont été administrées assurant une couverture vaccinale de près de 84 % avec un recul d’environ 6 mois.

Mais depuis début juillet 2021, l’épidémie est repartie et les formes graves (mortelles) augmentent forçant les autorités à reconnaître que la vaccination ne protège pas la population et à imposer des restrictions.

 

Là aussi la récidive de l’épidémie de cas et de la mortalité prouve qu’un taux élevé de pseudovaccination ne protège pas la population.

 

En Islande, on ne croit plus à l’immunité collective vaccinale

Dans ce petit pays de 360 000 habitants, plus de 80 % d’entre eux sont primo-vaccinés et 75 % ont un cycle vaccinal complet. Mais à la mi-juillet 2021, les nouvelles contaminations journalières sont passées d’une dizaine à environ 120, avant de se stabiliser à un taux supérieur à celui de la période pré vaccinale. Cette récidive brutale a convaincu l’épidémiologiste en chef de l’impossibilité d’obtenir l’immunité collective vaccinale « C’est un mythe » a-t-il publiquement déclaré.

 

Belgique : récidive de la maladie malgré la vaccination

En Belgique, près de 75 % de la population est primo-vaccinée. Et 65 % des habitants disposent d’un cycle vaccinal complet. Cependant, depuis fin juin 2021, le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes est passé de moins de 500 à près de 2000. Comme le reconnaît la RTBF, face au variant Delta, la vaccination actuelle est loin d’être suffisante pour protéger la population.

Singapour abandonne l’espoir du « Zéro Covid » par les injections géniques

Ce petit pays est lui aussi très vacciné et près de 80 % de la population a au moins reçu une dose. Mais depuis le 20 août 2021, il doit faire face à une reprise exponentielle de l’épidémie avec une hausse des cas passés d’une dizaine en juin à plus de 150 fin juillet et à 1246 cas le 24 septembre.

 

Cette récidive incontrôlée de la maladie malgré la vaccination a fait abandonner la stratégie de l’éradication du virus pour un modèle de « vivre avec le virus » en essayant de traiter la maladie « comme la grippe ».

 

Au Royaume-Uni : remontée inquiétante des contaminations

Le Royaume-Uni constitue le champion européen de la pseudovaccination Astra Zeneca avec plus de 70 % des habitants primo-vaccinés, et 59 % disposant d’un schéma vaccinal complet. Ce taux élevé de « vaccination » n’a pas évité une explosion des cas au début de l’été, avec, à la mi-juillet jusqu’à 60 000 nouveaux cas quotidiens.

Devant cette reprise importante de l’épidémie malgré la vaccination Andrew Pollard, représentant de l’Oxford Vaccine Group, a reconnu devant le parlement : « l’immunité collective par le vaccin est un mythe ».

 

 

 

Cette reprise des infections s’est accompagnée d’une reprise des hospitalisations, des cas graves et des décès. D’après le rapport officiel d’août,[2] les décès sont plus fréquents chez les malades complètement vaccinés (679) que chez les non-vaccinés (390) démentant ainsi cruellement les espoirs d’un effet protecteur du vaccin sur la mortalité.

 

Après la levée des dernières restrictions sanitaires, une décrue de l’épidémie a été observée avec un niveau de moins de 30 000 cas par jour alors que début juillet des simulations d’épidémiologistes covid terroristes prophétisaient jusqu’à 100 000 nouveaux cas quotidiens en cas de suppression des mesures sanitaires.

Israël : catastrophe post-vaccinale évidente niée par les responsables

Israël, champion de l’injection Pfizer, jadis partout cité en exemple d’efficacité est actuellement durement rappelé à la réalité et représente maintenant le modèle de l’échec vaccinal.

70 % de la population est primo-vaccinée, et près de 90 % des personnes à risque ont un cycle vaccinal complet. Mais l’épidémie est repartie plus forte que jamais depuis fin juin et plus de 11 000 nouveaux cas ont été enregistrés en 1 jour (le 14 septembre 2021) dépassant de près de 50 % les pics observés en janvier 2021 lors de la poussée qui a suivi les premières injections Pfizer.

 

Cette reprise de l’épidémie malgré les injections Pfizer s’accompagne d’une hausse des hospitalisations où les vaccinés représentent la majorité des personnes hospitalisées.

La « vaccination » ne protège pas non plus des formes graves ni de la mort.

 

 

Fin juillet : 71 % de des 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) étaient totalement vaccinés !

Cette proportion de malades graves vaccinés est très supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées : 61 %. Prétendre que le vaccin protège des formes graves de la maladie, comme le déclara imprudemment le ministre de la Santé israélien, est une erreur (ou une désinformation ?).

Pour ne pas reconnaître ses erreurs, le gouvernement israélien reste dans le déni de cet échec patent et continue à ne proposer que l’injection répétitive comme solution. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’il suive l’exemple de l’Inde ou du Japon et qu’il adopte enfin les traitements précoces ?

Conclusions

Les pseudo vaccins actuels sont trop peu efficaces. Ils ne préviennent ni les récidives de l’épidémie, ni les hospitalisations, ni les formes graves, ni la mort. En Israël et en Grande-Bretagne qui précisent le statut vaccinal des victimes, les vaccinés souffrent d’un sur risque de mortalité par rapport aux non-vaccinés.

La poursuite d’une politique uniquement vaccinale aboutit à une impasse mortifère alors que les pays qui conseillent officiellement (Inde) les traitements précoces ou qui laissent leurs médecins les prescrire (Japon, Corée) s’en sortent beaucoup mieux.

Qu’attendent nos autorités sanitaires pour cesser de croire en des simulations fausses réalisées par des épidémiologistes trop liés aux entreprises des vaccins, regarder les faits avérés et interrompre leur campagne pro vaccinale mensongère et délétère et recommander les traitements précoces ?

La poursuite de l’interdiction des traitements précoces par les médecins traitants entraîne une perte de chances pour de nombreux malades et engage directement la responsabilité du gouvernement et singulièrement du ministre de la Santé.


  1. [1] Pour la première fois depuis 2500 ans…[]
  2. [2] SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England Technical briefing 21
    Published August 2021 Public Health England Gateway number : GOV 9374 20 August 2021[]

NB :

tous les chiffres et courbes publiés dans cet article sont authentiques. Les données sont les données officielles publiées par l’OMS que chacun peut vérifier en tapant OMS Covid Dashboard suivi du nom du pays. Les courbes (que j’ai commentées en rouge) ne font que traduire graphiquement les données OMS ; elles ont été pour la plupart publiées par Ourworldindata et peuvent également être retrouvées en tapant Ourworldindata covid suivi du nom du pays en anglais.

Quant à l’immunité collective espérée par les pseudovaccins Covid elle est, depuis l’apparition du variant delta, reconnue comme inatteignable par la quasi-totalité des spécialistes de la planète et plusieurs l’ont déclaré officiellement (Islande, Grande-Bretagne). D’ailleurs même Monsieur le Pr Fischer qui en a fait longtemps la promotion n’ose plus se prononcer sur le sujet.

Que les vaccins n’empêchent pas d’être contaminant est parfaitement établi, ne serait-ce que par l’explosion récente de 100 cas de covid en quelques jours parmi les 1200 membres d’équipage tous complètement vaccinés depuis plus de 3 mois à bord du porte-avions Queen Elizabeth. D’ailleurs monsieur Veran l’a officiellement reconnu dans sa réponse au Conseil d’État fin mars 2021.

Que les vaccins n’empêchent pas de faire une forme grave et même d’en mourir est affirmé par les expériences israélienne et anglaise.

Que le passe sanitaire ne protège pas des contaminations a été malheureusement affirmé par ses échecs (lorsque l’épidémie sévissait encore début juillet) après de nombreux concerts avec passe qui ont été suivis de poussée épidémique aux Pays-Bas et en Catalogne et par la multiplication par 20 en un mois des contaminations journalières après l’instauration d’un passe en Autriche.

Je vous signale également que tous les chiffres et courbes cités dans tous nos articles proviennent de sources officielles et sont sourcés.

Gérard Delépine

Retour à l’école… Retour à l’humain !

 

 

 

 

 

RETOUR A L’ECOLE ,  RETOUR A L’HUMAIN /MERCI LES BELGES

 

 

le collectif «Retour à l’école… Retour à l’humain», composé d’une quinzaine de professeurs liégeois, s’est formé la semaine dernière. Inquiet pour leurs élèves, ces enseignants prônent un retour de l’école en présentiel, pour tous et sans condition ET EN PARTICULIER SANS MASQUE OBLIGATOIRE

 

Un collectif de profs liégeois plaide pour le retour à l’école à 100% en présentiel… et sans masque obligatoire (rtbf.be)

 

«On est en train de casser l’apprentissage et certains enfants»  Liège Actu Publié le dimanche 4 Avril 2021  Par Laura Salamon

Pour le collectif liégeois, «l’école ne remplit plus sa mission aujourd’hui».

« Il est grand temps que les élèves retrouvent les bancs de l’école et que les enseignants se mobilisent pour cela, explique François Piret, porte-parole du collectif. Le retour à l’école ne doit pas être conditionné, car on est en train de casser l’apprentissage et certains enfants ».

Ce collectif, composé de professeurs de tous les âges, souligne : « Au fil des mois, en tant qu’enseignants et éducateurs, nous avons dû adapter nos pratiques professionnelles aux nouvelles contraintes scolaires qui nous étaient imposées par notre gouvernement.

Si ces changements ont profondément transformé notre métier au cours des derniers mois, ils ont aussi bouleversé la vie de nos élèves ».

Le collectif dénonce la détresse des jeunes  : « Nous pensons qu’aujourd’hui, l’école secondaire ne remplit plus sa mission. »

Le collectif a mis en ligne une pétition qui s’adresse à l’ensemble des professeurs de la FWB :

 

 

Pétition : Retour à l’école…Retour à l’humain ! (mesopinions.com)

 

Par un collectif de professeurs liégeois

« La crise sanitaire et politique dans laquelle notre société est plongée dure à présent depuis plus d’un an. Nous venons d’en célébrer le triste anniversaire. Au fil des mois, en tant qu’enseignants et éducateurs, nous avons dû adapter nos pratiques professionnelles aux nouvelles contraintes scolaires qui nous étaient imposées par notre gouvernement, comme autant de néologismes pédagogiques : « enseignement avec masque », « enseignement hybride », « enseignement virtuel », « enseignement en distanciel », « enseignement en présentiel »…

 

Si ces changements ont profondément transformé notre métier au cours des derniers mois, ils ont aussi bouleversé la vie de nos élèves. Comme nous, voire davantage, les jeunes ont dû modifier leurs habitudes d’apprentissage et de vie. À un âge où la fréquentation des murs de leur école devrait surtout rimer avec les mots amitié, partage, découverte, enrichissement, insouciance… nos jeunes adolescents sont aujourd’hui enfermés dans un monde scolaire inhumain. Lorsqu’ils sont à l’école, ils sont confrontés à des professeurs, des éducateurs et des camarades masqués ; lorsqu’ils sont cloîtrés à domicile, ils sont obligés de subir de longues heures de cours « en distanciel » pendant lesquelles leur seul lien avec l’école se résume à un contact désincarné avec un écran d’ordinateur ou de smartphone.

 

Les mesures sanitaires ont également touché de plein fouet la vie des familles. En l’absence d’un cadre scolaire structurant et humain, beaucoup de pères et de mères ont dû se transformer du jour au lendemain en professeurs, en psychologues, en « coachs » personnels. Ils ont dû dépenser des trésors d’inventivité et d’énergie pour soutenir leurs enfants, complètement dégoûtés par la crise.

 

 

 

Tous ces efforts ont été accomplis par les jeunes, leurs parents, leurs professeurs et éducateurs parce que nous conservions tous l’espoir que la crise serait de courte durée, parce que nous pensions accomplir ensemble un effort de solidarité nécessaire. Aujourd’hui, à l’aube d’un troisième confinement, il est temps de formuler un constat d’échec. Il est temps de poser un regard lucide sur la santé mentale de nos jeunes et sur la qualité de nos pratiques d’enseignement :

 

 

 

  •   En premier lieu, nous constatons que la détresse de nos jeunes est de plus en plus grande. Elle se manifeste sous différentes formes : manque de motivation, apathie ou décrochage scolaire, dépressions chroniques, crises d’angoisse, phobies scolaires voire, pour les cas les plus graves, tentatives de suicide. Notre jeunesse est en perte de repères et de sens.

 

 

 

  •   En second lieu, nous pensons qu’aujourd’hui, l’école secondaire ne remplit plus sa mission. Notre métier est d’abord un métier de contact, il doit le rester. En effet, l’expérience nous a appris que ce que les élèves retiennent de nos cours, ce n’est pas tant la matière que l’énergie, le soin et parfois la passion que chacun donne à voir au quotidien. Ces attitudes, les jeunes les adopteront – s’ils peuvent les ressentir en classe – et les transposeront dans les défis qu’ils se choisiront ou affronteront demain. L’enseignement doit être incarné pour être efficace et pleinement humain. Ceci n’est pas mesurable ni objectivable mais ce n’est pas rien. C’est l’essence de notre métier.

 

 

 

Pour conclure, nous pensons que l’interruption forcée des cours une semaine avant les vacances de printemps n’est une bonne nouvelle pour personne, ni pour les élèves, ni pour les parents, ni pour les professeurs, ni pour les éducateurs. Nous craignons que cette mesure n’en appelle d’autres plus sévères et que la rentrée du 19 avril soit à nouveau perturbée. Nous rappelons à Madame la ministre Caroline Désir son engagement ferme d’autoriser la réouverture de toutes les écoles secondaires à 100 %, après les vacances de Pâques. Même si nous voulons encore croire à cette réouverture, notre confiance est érodée. C’est pourquoi, en guise de manifeste, nous formulons les quatre réclamations suivantes au gouvernement­᠎­­ :

 

  1. Nous réclamons le retour immédiat des élèves à 100 % « en présentiel » ;
  2. Nous réclamons que soit acté l’échec de l’enseignement à distance, par essence inadapté à la mission de l’école ;
  3. Nous réclamons que le port du masque, au sein des établissements scolaires, se fasse sur une base volontaire, tant pour les membres du personnel que pour les élèves ;
  4. Nous réclamons que, dans la recherche de solutions pour combattre le virus, ne soit jamais envisagée la systématisation des tests et des vaccins comme condition pour enseigner et/ou pour suivre les cours.

 

 

 

Pour donner une forme concrète au mouvement que nous souhaitons initier au sein du monde éducatif belge et plus largement de la société civile, nous proposons à tous ceux qui se reconnaissent dans nos revendications de signer notre pétition et de faire circuler notre logo, facile à reproduire (sur son masque, un tableau, un mur, des stickers, les réseaux sociaux…).

 

 

 

Nous formons la société de demain. L’école n’est pas le problème, c’est la solution. »

 

 

 

 

Bonnes nouvelles : le Covid régresse partout dans le monde

 

Le Professeur Isaac Ben-Israel, président du Conseil national pour la recherche et le développement avait affirmé dans une interview à Israel National News, que « les modèles montrent systématiquement une baisse du COVID-19 après 6 semaines ».

 

 

Il précisait en outre : « cela se produit à la fois dans les pays qui ont confiné comme nous et dans ceux qui n’ont pas fermé jusqu’à aujourd’hui comme la Suède.

Dans chaque pays, quelles que soient les mesures sanitaires adoptées le déclin et la hausse se produisent selon le même calendrier ».

Les courbes des épidémies publiées par l’OMS illustrent parfaitement ses propos, l’épidémie est maintenant dans sa phase de régression mondiale dans quasiment tous les pays, qu’ils aient ou non confiné, qu’ils aient ou non vacciné.

C’est le cas en Suède, qui n’a pas confiné et pratiquement pas vacciné, et dont la mortalité globale par million d’habitants (1230) est égale à celle de la France (1263) :

 

 

Mais aussi au Portugal

 

 

 

 

Mais aussi en Belgique championne des confinements et de la mortalité (1869/M) :

 

 

 

Et aux Pays Bas qui, sans restrictions importantes des libertés compte deux fois moins de morts (855/M) que la Belgique (1869/M) et où la diminution forte des contaminations avait commencé le 21 décembre un mois avant l’imposition du couvre-feu qui a provoqué les émeutes récentes :

 

Mais aussi en Espagne

 

 

Mais aussi en Allemagne :

 

 

Et plus globalement en Europe

 

 

 

En Asie :

 

Et dans le Monde

 

 

 

 

Cette régression générale de l’épidémie commence à bénéficier aux pays champions des campagnes de vaccination dont les bilans sur la mortalité s’annonçaient dramatiques avant cette décrue mondiale.

 

Que ce soit en Israël    (cf supra)   ou au Royaume Uni

 

 

 

 

 

Manifestement le coronavirus du covid19 SE FAIT RARE et indépendamment des mutants

Bien sûr il est facile au porte parole du gouvernement de dire que « tout peut arriver » je dirais même la peste, mais l’évolution des épidémies virales semblent pour les virologues bien classiques, et doncil nous semble qu’il est grand temps de rassurer la population avant qu’elle ne cèdde à la panique et ne se fasse vacciner largement par ces vaccins non ou peu testés et aux effets indésirables fort précoces qui devraient ralentir l’enthousiasme des peuples mais aussi des dirigeants et même des labos.