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Par Gérard Delépine chirurgien cancérologue et statisticien.

 

Lors de la crise covid l’OMS a édicté en permanence des recommandations contraires à l’état de la science et a ainsi fortement contribué à la mort de millions de personnes. Qu’il s’agisse d’incompétence ou de mensonges délibérés cette organisation ne peut pas être réformée : elle doit être supprimée

Mais rappelons ses principaux mensonges et leurs conséquences dramatiques

 

L’OMS est en grande partie responsable de la catastrophe du confinement

Depuis longtemps la lutte contre la propagation des épidémies se résumait à la quarantaine : séparation des biens portants des malades le temps que ceux-ci ne soient plus contagieux. Cette mesure a prouvé son efficacité contre de nombreuses pandémies comme la peste, la lèpre, le typhus…

Le confinement aveugle qu’a conseillé l’OMS enfermait au contraire ensemble les malades et les biens portants au domicile familial ou dans les EPHAD ; cette mesure avait été abandonné après ses résultats épouvantables lors de l’épidémie de 1720 à Marseille ou il avait été suivi par la mort de la moitié de la population de la ville sans empêcher la transmission de la maladie à toute la Provence et à l’Italie. L’OMS a préféré croire la simulation truquée imaginée par son mathématicien -prophète N. Ferguson et a prôné cette mesure remise à la mode par la dictature chinoise pour aider les gouvernements occidentaux à nous l’imposer.

 

Echec du confinement sur la transmission et la mortalité.

Contrairement aux prédictions et aux justifications tardives issues de simulations, les données du monde réel publiées par l’OMS prouvent que la propagation de l’épidémie n’a été ni retardée, ni amoindrie par le confinement aveugle dans aucun des pays qui l’ont imposé à leur population.

Ne séparant pas les malades des biens portants le confinement aveugle facilite au contraire les transmissions au lieu de les limiter.

La comparaison des évolutions de deux pays (Belgique et Pays-Bas) proches géographiquement, par leurs populations et leurs modes de vie démontre clairement ce lien entre confinement et contaminations.

Diapositive 1

L’accroissement des contaminations a été suivi, en Belgique comme ailleurs, par l’augmentation de la mortalité quotidienne. Diapositive 2

 

 

En Europe, lors du premier confinement, l’augmentation des cas a été suivi d’une forte augmentation de la mortalité. Au 5 avril 2020, les pays subissant le confinement aveugle étaient ceux dont les populations souffraient d’une mortalité maximale, frisant malheureusement le record mondial de décès pour 100000 habitants : 256 en Espagne (11 744 morts), 254 en Italie (15 362 morts), 116 en France (7 546 morts), 111 en Belgique (1 283 morts). À l’opposé, ceux qui appliquaient les mesures classiques de confinement sélectif étaient ceux qui ont protégé efficacement leurs populations : mortalité de 17 en Allemagne (1 342 morts), 21 en Autriche (186 morts), 15 en Suède (373 morts), 3 en Norvège (50 morts).

Un mois plus tard, en mai 2020 la mortalité européenne moyenne pour 100000 habitants était proche de 100 dans les pays non confinés (Autriche, Suède, Allemagne, Biélorussie, Finlande) contre plus de 500 pour les principaux pays confinés (Belgique, France, Espagne, Italie, Grande Bretagne). Dia 3

 

 

Les chiffres publiés par l’OMS confirment donc que le confinement généralisé qu’elle a conseillé représente la plus inefficace des mesures de prévention de la mortalité anti- Covid-19.

Cet échec du confinement dans la lutte contre le covid a depuis été confirmé par plus de 400 études d’auteurs indépendants et plusieurs macroanalyses dont celle réalisée par la fondation Cochrane.

 

Le confinement a causé d’innombrables dégâts sanitaires et sociaux.

Il a empêché des interventions chirurgicales et retardé de nombreux traitements médicaux ou des dépistages de cancer expliquant en partie l’augmentation de la mortalité par maladies cardiovasculaires et cancer observée depuis.

Il a causé des dommages psychologiques majeurs à la population et tout particulièrement aux enfants et adolescents dont les comportements se sont modifiés et parfois devenus d’une agressivité inconnue jusqu’alors.

Il a multiplié les violences inter familiales contre les femmes et les enfants

Il a augmenté les inégalités scolaires entre les enfants favorisés par le statut social de leurs parents et les autres, et accéléré le décrochage scolaire

Il a aggravé la malnutrition infantile à l’échelle mondiale

Il a précarisé davantage les pauvres du fait des pertes de salaires et du chômage et constitué «la pire attaque contre les prolétaires en un demi-siècle ».

Cette astreinte à domicile des populations a été responsable d’une catastrophe économique majeure marquée par la chute du produit intérieur brut, l’aggravation considérable de la balance des paiements, de la dette et des défaillances d’entreprises…

Même le conseil scientifique qui l’a initialement justifié a du tardivement reconnaitre ses dramatiques conséquences « L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale…Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations »

La macroanalyse de Université Johns Hopkins a conclu « les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies… Les études portant sur les autres mesures spécifiques : confinement par rapport à l’absence de confinement, masques faciaux, fermeture d’entreprises non essentielles, fermeture des frontières, fermeture des écoles et limitation des rassemblements ne trouvent pas non plus de preuves générales d’effets notables sur la mortalité liée au COVID-19. »

Il est vraisemblable que le confinement sera considéré dans l’histoire comme l’un des plus grands échecs politiques en temps de paix. Ce que l’OMS a conseillé aux gouvernements est une folie dénuée de fondement scientifique dans le monde réel. La terreur d’une mauvaise grippe transformée en peste par la propagande permanente d’une fausse « science » a fait tolérer la perte de nos libertés civiles et nos droits fondamentaux. Le droit de circuler a été bafoué par l’astreinte à domicile ; le doit de s’exprimer a souffert d’une censure féroce et la discrimination de tous ceux qui tentaient de ramener l’épidémie à sa réelle gravité, de proposer des traitements précoces ou d’appeler à la prudence envers des injections expérimentales à ARN qualifiées de vaccin.

L’interdiction de traiter a été responsable de la mort de millions de personnes.

La mortalité considérable de la grippe espagnole a été principalement due aux surinfections bactériennes à une époque où les antibiotiques n’existaient pas. Le Covid, qui s’est comporté comme une méchante grippe n’aurait pas été aussi léthal si les gouvernants occidentaux n’avaient pas majoritairement interdit les traitements précoces.

L’Organisation mondiale de la santé affirmait en 2020 « il n’y a pas de traitement possible » et de l’essai européen Discovery « Il n’y a pas de traitement miracle ni d’étude convaincante pour le moment« . Et l’article du LancetGate totalement fallacieux a servi de prétexte pour interdire l’hydroxychloroquine.

Heureusement pour leurs population certains pays n’ont pas cédé aux pressions de l’OMS, ont conseillé des traitements précoces et permis ainsi de démontrer formellement leur efficacité.

Le traitement Raoult était très efficace !

L’Algérie, le Cameroun et la Côte d’Ivoire qui l’ont conseillé et largement utilisé ont protégé efficacement leurs populations obtenant des mortalités par million 15 à 84 fois inférieures à celle de la France du tout vaccin comme l’illustrent les courbes suivantes des données publiées par l’OMS : dia 4

 

La comparaison Algérie/France est particulièrement pertinente car le pourcentage de la population à risque (les plus des 60 ans) est la même dans les deux pays.

L’hydroxychloroquine était efficace !

Les populations des pays d’Afrique subsaharienne qui souffrent du paludisme depuis toujours ont consommé des milliards de dose d’hydroxychloroquine chaque jour depuis la dernière guerre mondiale sans complications notables. Elles n’ont pas cru le bobard de sa toxicité claironné par le Lancet Gate et l’OMS et ont continué à la consommer préventivement s’assurant ainsi des plus basses mortalités covid du monde.

En janvier 2022 l’OMS recensait en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2% du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial) alors que ce continent très peu vacciné regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale. Certes la jeunesse des africains a constitué un facteur protecteur important mais après correction de la mortalité par l’âge, les Africains exposés au paludisme bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants.

L’efficacité de l’hydroxychloroquine a été observée aussi en Europe

Lors de la première vague covid en Allemagne la consommation d’HCQ a explosé et la mortalité covid a été 5 fois plus faible qu’en France qui interdisait l’HCQ (dia 5) :

 

 

L’Inde a aussi démontré l’efficacité de l’Hydroxychloroquine.

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4.690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu

Lors de l’apparition de l’épidémie, le nombre de contaminations quotidiennes atteignait des sommets, l’Inde, paraissait être destinée à souffrir terriblement du covid. Mais en mai 2020, le Conseil indien pour la recherche médicale, organisme gouvernemental coordonnant les travaux sur le Covid-19, a récusé les conclusions de l’OMS et confirmé « l’efficacité de l’hydroxychloroquine à titre préventif » en s’appuyant sur plusieurs études locales. Il a décidé de l’administrer préventivement aux policiers aux infirmiers et aux proches des malades et d’augmenter sa production de HCQ. Grace à ce traitement préventif le pic des contaminations journalière par million d’habitants n’a pas dépassé 75 contre 10172 pour en France. Cette forte réduction du risque de contamination ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement.

En janvier 2022, à l’issue de la première vague l’Inde enregistrait 4 fois moins de morts par million d’habitants que la France. Mais les médias ont caché ce fait ou prétendu que l’inde ne déclarait pas tous ses décès covid. dia 6

 

 

Et lors de la deuxième vague la reprise des traitements précoces a fait spectaculairement baisser la mortalité journalière :

Cette politique de traitements précoces a permis à l’Inde, malgré l’état pitoyable de son système de santé d’enregistrer une mortalité covid totale bien plus faible que la nôtre. Dia 7.

 

 

D’autres traitements précoces se sont révélés efficaces

Madagascar souffre aussi de malaria depuis toujours ; Ses habitants se protègent traditionnellement par des infusions à base l’Artémisinine qui a été proposée comme traitement du covid (lui aussi réfuté par L’OMS, l’ANSM   et l’Académie de médecine).

Mais la comparaison des mortalités covid par million à Madagascar (très peu vaccinée) aux Seychelles (pas de traitement précoce mais plus de 80% de la population vaccinée) et à celle de la France confirme les affirmations du président Malgache : l’Artémisinine est beaucoup plus efficace que les injections à ARN pour prévenir les formes graves. Dia8.

 

 

 

 

 

La propagande permanente « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez-vous et prenez du doliprane… » et l’interdiction féroce des traitements précoces (avec les condamnations des médecins pour avoir guéris leurs malades et l’avoir proclamé) est la principale responsable de notre surmortalité covid. Nous aurions pu vraisemblablement sauver plus de 120000 français sans cette tyrannie anti-scientifique destinée à imposer les pseudo vaccins.

 

Les pseudo vaccins conseillés par l’OMSse sont révélés inefficaces

Dès leur mise expresse sur le marché l’OMS a paré les prétendus vaccins de toutes les qualités « les vaccins sont efficaces à 97%…ils sont surs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres ». Mais leur utilisation en vie réelle a rapidement démenti ces messages publicitaires.

Les pseudo vaccins n’ont protégé personne.

Les vrais vaccins efficaces comme le vaccin contre la variole ou contre la fièvre jaune protègent les vaccinés à vie. Chacun connait dans son entourage de nombreux vaccinés covid qui, après plusieurs injections ont souffert, parfois à plusieurs reprises, de la maladie, montrant l’inefficacité des pseudo vaccins à les protéger.

L’échec des vaccins a aussi été démontrée dans une grande étude sur 50000 soignants et administratifs de la clinique de Cleveland, aux Etats-Unis : plus ils avaient reçu des doses de vaccins, plus ils souffraient d’infections Covid !

L’évolution mondiale de l’épidémie confirme l’inefficacité des pseudo vaccins. Les chiffres de l’OMS, montrent que la généralisation des vaccins a été suivie non pas de l’arrêt des contaminations mais au contraire par la multiplication par 3 de leur nombre mensuel. Dia 9.

 

 

 

Et ce sont les pays les plus vaccinés qui ont souffert le plus de la recrudescence des cas ! dia 10

 

 

Obligés de reconnaitre que les vaccins ne protégeaient pas des contaminations les propagandistes des injections à ARN ont alors prétendu qu’elles protègeraient des formes graves. Mais cette affirmation ne résiste pas à l’examen des chiffres de mortalité covid publiés par l’OMS ; la généralisation des pseudo vaccins n’a pas entraîné de diminution de la mortalité, bien au contraire (dia 11) :

 

 

 

Les pseudo vaccins covid exposent à de nombreuses complications.

 

Inefficaces contre les contaminations, incapables de diminuer la mortalité, les injections à ARN ont été de plus suivies par de nombreuses complications : complications neurologiques dont le syndrome de Guillain Barré, encéphalite disséminée, péricardites et myocardites, phlébites, embolies, accidents vasculaires cérébraux, thrombocytopénies, troubles des règles, insuffisance ovarienne prématurée  …

Dans la mesure ou les pseudo vaccins n’apportent aucun bénéfice démontré, leur menace potentielle impose de récuser ces injections à ARN.

 

Cette analyse des faits démontrés plaide pour la suppression de l’OMS

 

1°) L’Organisation Mondiale de la Santé, nos gouvernants et les agences sanitaires nous ont continuellement menti pour nous faire peur et nous faire accepter une tyrannie injustifiée. Pour expliquer cette attitude l’ignorance n’est pas crédible compte tenu de leur persévérance dans leurs mensonges alors que les faits et des études scientifiques très nombreuses démontrent le contraire. De même la censure et les discriminations envers les donneurs d’alerte qu’ils continuent de prôner plaident pour leur intention malveillante d’imposer la tyrannie. Il est illusoire de croire qu’on peut réformer ces organismes de l’intérieur comme l’a montré l’échec de toutes les tentatives de réforme démocratique de l’Union Européenne ; ces organismes internationaux ne visent toujours qu’à imposer leur et élargir leurs compétences que leurs experts monnayent ensuite auprès des financiers intéressés.

Nous ne pouvons plus leur faire confiance et notre défiance justifie de supprimer le financement de l’OMS et des agences qui se sont comportées en outils de désinformation pour nous asservir.

2°) les confinements conseillés par l’OMS ont entrainé la plus grande catastrophe sociétale et économique du siècle. On ne doit plus jamais lui faire confiance ni tolérer de telles atteintes à nos libertés fondamentales et on doit rechercher la responsabilité pénale des personnes qui l’ont conseillé.

3°) Les interdictions de traiter conseillées par l’OMS ont causé la mort de plus de 140 000 français. Ce n’est pas à l’OMS ni à nos gouvernants de dicter le traitement des maladies mais aux médecins qui ont été formé pour examiner les malades et décider avec eux, à l’issue d’un colloque singulier, ce qui convient de leur prescrire. Les responsables de ces interdictions terriblement mortifères doivent être jugés.

 

4°) Les injections anti-covid promues par l’OMS n’auraient jamais dû être autorisées ni conseillées

Leur autorisation de mise sur le marché dans le cadre d’une procédure d’urgence a été obtenue moins d’un an après la déclaration de la pandémie de COVID-19 alors qu’elle nécessite habituellement une dizaine d’années pour un vaccin. Une telle procédure n’aurait jamais du être autorisée pour une affection aussi peu léthale dans les pays qui n’ont pas vacciné.  Un délai aussi court ne permet pas d’évaluer convenablement les risques du produit. Dans ces essais les données pour les personnes de plus de 75 ans étaient rares et inexistantes pour les enfants, les femmes enceintes ou les patients immunodéprimés qui ont pourtant été incluses dans les recommandations d’emploi. L’efficacité a été mesurée sur un critère substitutif, les patients symptomatiques, alors que le critère approprié de “morbidité grave toutes causes confondues” constitue une véritable mesure de la santé. De plus aucune étude concernant contre l’excrétion virale ni la transmission n’a été réalisée sans que cela n’ait empêché les autorités sanitaires de prétendre que de se vacciner protège les autres !

Il faut exiger qu’à l’avenir les essais pivots respectent des critères scientifiques stricts et que ceux qui les valident n’aient aucun lien d’intérêt avec les entreprises qui les fabriquent ou les vendent.

La responsabilité personnelle des experts et des dirigeants de l’OMS, de l’EMA, de la haute autorité de santé et de l’Académie de médecine qui ont si fortement poussé la population à se faire injecter doit être recherchée ; Une mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui afin devrait les rendre plus prudents à l’avenir

 

 

Ne craignez pas les épidémies mais
les pervers qui les provoquent
La peur n’évite pas le danger mais, en
paralysant la réflexion, accroit le risque
Docteur Gérard Delépine

 

 

Ne craignez pas les ouveaux virus mais ceux  cliquez sur le lien  pour visionner le diaporama

 

C’est la rentrée sur TV-ADP et on reçoit le Dr Gérard Delépine – CrowdBunker  

avec  le dr Eric Loridan et Eric Montana

commencer l’écoute à 7 mn pour éviter les pb de sons initiaux

teaser Gerard delépine 2 septembre 2024

 

idem commencer après la cinquième  mn temps de réglage du son

 

 

 

Flyer Gardasil F[101921]

 

 

 

Couv Les enfants sacrifiés[43011]

 

Par le Dr Gérard Delepine

 

Situation sanitaire mondiale le point au 22 01 2022 : pays avec traitement précoce, versus les tout vax – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

 

Si les gouvernements et les médecins honnêtes avaient voulu faire autrement et utiliser les traitements précoces : le point au 22 01 2022

 

 

 

 

Depuis le début de la crise Covid, une propagande effrénée assortie d’une censure féroce nous assène « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez vous et prenez du Doliprane…le confinement sauve des vies…la fin de la crise viendra des vaccins… »

Puis après la mise sur le marché des pseudo vaccins « les vaccins sont efficaces à 97 %. Ils sont sûrs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres…vaccinez-vous et vous retrouverez vos libertés… »

 

 

Mais la réalité est têtue et, progressivement, dément tous ces slogans mensongers. Après un an d’une vaccination imposée à plus de 80 % des Français, les restrictions s’intensifient dans une stratégie du tout vaccinal dont l’échec est maintenant reconnu par l’OMS, qui en a pourtant été la grande conseillère, et de nombreux pays qui abandonnent actuellement toute restriction (Espagne, Grande-Bretagne, etc.…).

 

L’argument le plus fréquemment utilisé par les médias et le pouvoir pour justifier la politique sanitaire qui nous empêche de vivre libre est : « tous les pays pratiquent la même politique ».

 

Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces, permettant des comparaisons solides avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire du tout injection.

Lors des comparaisons, pour évaluer l’efficacité des politiques anti-covid, nous utilisons les données officielles publiées par l’OMS avec, pour étalon la mortalité mondiale cumulée au 11/1/2022 qui atteint 693/Million.

Globalement l’analyse des données de l’OMS est porteuse d’espoir en objectivant l’efficacité des traitements précoces et/ou préventifs utilisés entre autres en Afrique et en Inde et la très grande bénignité d’Omicron qui va sauver les pays soumis à la dictature vaccinale.

L’Afrique tropicale démontre que les traitements précoces sont efficaces

Certains pays africains par choix et/ou nécessité n’ont pas ou très peu vacciné et ont utilisé des traitements anciens et bon marché (antipaludéens et Ivermectine) ou des plantes locales qu’ils utilisent depuis longtemps pour lutter contre le paludisme et de nombreuses parasitoses (Artemisia annua).

En janvier 2022, l’OMS recense en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial), alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

 

Cette très faible mortalité africaine pourrait sembler d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus délabrés que les nôtres, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés. D’ailleurs, depuis le début de la crise, les médias mainstream aux ordres de l’ordre mondial avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent et nos gouvernants voudrait leur imposer la thérapie génique expérimentale.

Certes la jeunesse des Africains constitue un facteur protecteur important : le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 12 % (Maurice) alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA. Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est en moyenne quatre fois inférieure à celle de l’Europe et pourrait expliquer une partie de sa sous-mortalité constatée.

De fait, après correction de la mortalité par l’âge, les Africains bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants (en excluant l’Afrique du Sud qui concentre 45 % de la mortalité africaine globale pour les raisons explicitées plus loin).

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid, parfois évoquée, est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

 

La mortalité Covid des pays africains exposés au paludisme est inférieure à 80/million soit, 22 fois plus faible qu’en France.

 

 

La comparaison au 20/1/2022 des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence du paludisme montre que les pays, dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour, bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible 10 à 180 fois inférieure à celle de la France (1847/M) comme : le Nigéria (14/M), le Mali (33/M), le Congo (65/M), La Tanzanie (12/M), le Tchad (11/M), le Cameroun (68/M), le Niger (11/M), la Côte d’Ivoire (27/M), la Guinée (30/M), le Kenya (99/M), le Sénégal (116/M), le Gabon (129/M).

 

 

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, la population à risque, les plus de 60 ans, représente 25 % du total. Dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé. Au 19/1/2022, la mortalité cumulée ne dépasse pas 144/M, soit 13 fois moins que la France.

Le 31 mai 2021 sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 19/1/2022 la mortalité cumulée atteint 401/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 19/1/2022, la mortalité Covid atteint les chiffres européens : 2165/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin. Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le second pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1556 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne, mais paraît être sortie de l’épidémie depuis la fin de la vague Omicron.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens et/ou d’Ivermectine/Artémisine.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens et/ou Ivermectine/Artémisine sont efficaces.

La comparaison des îles Africaines de l’océan Indien met en évidence la supériorité du traitement par Artémisine sur les pseudo vaccins

Dans l’océan Indien, quatre îles se situent dans un cercle de 1000 kilomètres de rayon : Maurice, la Réunion, les Seychelles, Madagascar. Leurs conditions climatiques, leur mode de vie et les caractéristiques de leurs populations sont très proches. Mais les trois premières ont adopté la stratégie de l’OMS, tandis que Madagascar adoptait le traitement précoce par l’Artémisine. La comparaison de leurs évolutions est démonstrative.

Madagascar : 29 millions d’habitants, dont 2 % de vaccinés

Le gouvernement a fait la promotion de l’utilisation préventive d’un antipaludéen local, l’Artemisia qui a été beaucoup consommée.

Au 19/1/2022, l’épidémie est maîtrisée depuis début juin 2021 après 55 827 cas et 1169 morts, soit une incidence globale de 1963/Million et une mortalité globale 39/Million, soit 18 fois moins que la moyenne mondiale et 48 fois moins que celle de la France.

Île Maurice 70 % d’injectés

En 2022, la population de l’île Maurice compte 1 280 000 personnes. La vaccination a commencé mi-février 2021 et au 17/11/2021 plus de 70 % de la population avait reçu au moins une injection.

Depuis la campagne de vaccination le nombre de morts par a été multiplié par 24 (de 10 à 240). Au 12/12/2021, la mortalité cumulée s’élève à 200/million, soit 5 fois supérieure à celle de Madagascar.

La Réunion compte 905 000 habitants dont 58 % sont vaccinés

La politique sanitaire suivie est celle de la métropole avec l’interdiction des traitements précoces et un tout vaccin. Au 12/12/2021, l’épidémie reste active, le nombre de cas cumulé atteint 63 863 avec 391 morts (mortalité 415/M), soit le triple la moyenne africaine et 12 fois celle de Madagascar.

La catastrophe vaccinale des Seychelles vaccinées à 90 %

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid-19 confirmés et 3 morts. En espérant sauver sa prochaine saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. En janvier 2022, la couverture vaccinale dépasse 90 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles ont dû faire face à une hausse considérable des cas qui a incité le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos…

Au 19 janvier 2022, le pays comptait 32 850 cas confirmés et 133 morts contre 500 cas et 3 morts avant la vaccination. Ainsi après 12 mois de vaccination, le nombre de cas a été multiplié par 64, la mortalité par 44. L’incidence globale atteint 332078/million et la mortalité globale attribuée au Covid s’élève à 1415/million, 8 fois plus que la moyenne africaine et 38 fois celle de Madagascar.

 

 

Cette analyse des îles africaines de l’océan Indien confirme l’efficacité du traitement par Artemisia et l’inefficacité dangereuse des vaccins. Le traitement précoce et/ou préventif par Artemisia a permis à Madagascar de compter 40 fois moins de morts par million que la stratégie OMS du tout vaccin adoptée aux Seychelles.

 

 

L’Inde très peu vaccinée a utilisé avec succès les traitements précoces et préventifs

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4 690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles, les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu.

Le 22/3/2020, lors de la première vague, l’Indian covid19 Task force a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet et a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant, des forces de l’ordre et des foyers, contenant des personnes contaminées par le Covid-19. Ce traitement préventif a contrôlé la première vague en limitant considérablement la diffusion de la maladie avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072/M.

Au 30 janvier 2021 l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542), soit six fois plus.

Cette forte réduction du risque de contamination lors de la première vague ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde comptait dix fois moins de morts que la France (118 morts/M contre 1156/M).

Le début timide de la vaccination en janvier 2021 a été suivi par relatif abandon des traitements préventifs et l’explosion du nombre de cas en mars 2021 puis de la mortalité en avril, obligeant le ministère de la Santé indien à actualiser ses recommandations, en ajoutant l’Ivermectine à la liste des traitements officiellement recommandés. Les contaminations journalières ont très rapidement diminué ainsi que la mortalité. Grâce à l’Ivermectine, l’Inde bénéficie depuis juillet 2021 d’une accalmie qui confine à la guérison et sa mortalité cumulée globale par million d’habitants est quatre fois et demie plus faible que celle de la France (395 vs 1843).

 

Depuis l’utilisation de l’Ivermectine, la mortalité quotidienne attribuée au covid en Inde se maintient autour de 300, équivalent français de 15/J, alors que notre moyenne actuelle tourne autour de 200/J.

L’Inde n’est pas le seul pays à avoir utilisé l’Ivermectine avec succès

Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer la mortalité avec l’Ivermectine.

Plus de 20 études randomisées ont démontré avec certitude que l’Ivermectine a une très grande efficacité contre la Covid-19 — en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital.[1] En France, le Dr Gérard Maudruxa publié une synthèse complète[2][3] de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine.

De très nombreux scientifiques et médecins du monde entier militent pour généraliser la prescription d’Ivermectine, comme l’Alliance FLCCC aux États-Unis, le groupe BIRD en Grande-Bretagne, le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation mondiale de la Santé. Au Japon, le président de l’Association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament.

Les négationnistes institutionnels : aveugles ou corrompus ?

L’Autorité européenne du médicament (EMA) déconseille ce médicament prétendant« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d’essais cliniques » de même que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) prétextant que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes ». L’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’Ivermectine une recommandation temporaire d’utilisation, estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable » alors que certaines de ces mêmes agences ont défendu ou autoriser sans preuves réelles les pseudo vaccins, le Remdesivir, l’Evusheld[4] et le 21 janvier 2021 le Paxlovid qui serait donné aux patients susceptibles de faire une forme grave !

C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’Ivermectine est nul : avec trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, même à des enfants et des personnes âgées, aucun risque sérieux n’a été signalé aux doses recommandées.

Ces refus de l’Ivermectine, comme celui de l’hydroxychloroquine, ne reflètent que le crédo d’un petit groupe de pseudoscientifiques trop liés à l’industrie pharmaceutique et sous la pression de politiques qui refusent qu’un médicament du domaine public à un prix ridicule puisse concurrencer les dernières inventions brevetées et hors de prix de leurs amis industriels.

L’excellente nouvelle de l’arrivée d’Omicron, possible futur « vaccin » naturel idéal

Manifestement, nos dirigeants veulent continuer de gouverner par la peur, via les tests multiples que tout le monde ou presque va pouvoir pratiquer (décret du 21 janvier 2022), pour prolonger des mesures contraires aux données de la science, au simple bon sens et aux droits de l’homme pour leurs profits et ceux de Big Pharma.

Mais leur dernier croquemitaine (Omicron) que les médias montent en épingle risque fort de les décevoir en mettant définitivement fin au coronacircus.

En effet sa plus grande contagiosité va progressivement le rendre dominant en 2022. Or il est très peu mortifère et son installation devrait progressivement réduire la mortalité vers zéro comme tendent à le démontrer l’Afrique du Sud et la Grande-Bretagne.

Il pourrait représenter le vaccin idéal : naturel, gratuit et efficace pour la vie.

Vive le variant omicron et n’en ayez pas peur ! Il va nous libérer.


 

PDf
  1. [1] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2021/03/BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.[]
  2. [2] BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.[]
  3. [3] Ivermectine for COVID-19: real-time meta analysis of 75 studies Covid Analysis, Jan 17, 2022, Version 172
    https://ivmmeta.com[]
  4. [4] nouvelle bithérapie d’anticorps monoclonaux contre la Covid-19, autorisée en accès précoce sur le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament[]