La folle loi espagnole proposée sur la transition de genre

 

Par le dr G Delépine chirurgien cancérologue statisticien

 

L’idéologie Woke, en perte de crédibilité aux USA, tente de résister et se manifeste en UE  par sa volonté d’imposer ses croyances aux familles par des lois parfois ubuesques. Un exemple caricatural récent concerne l’Espagne où le groupe parlementaire socialiste tente de faire passer une loi qui sanctionnerait les parents refusant les traitements hormonaux ou une opération de changement de sexe pour leurs enfants mineurs.

 

 

 

2024 04 13 Version courte NUMEROTE CANDE

 

GENDER DYSPHORIA

 

 

Des peines de prison pour les parents qui veulent protéger leur enfant !

Le projet de loi prévoit d’envoyer en prison pour une durée pouvant aller jusqu’à deux ans les parents qui recherchent des conseils médicaux ou psychologiques pour prendre soin de la santé des mineurs qui ont été incités ou poussés à devenir transgenres, et de leur retirer leur droit de les élever et de prendre des décisions les concernant.

Les sanctions prévues par ce projet de loi s’ajouteraient aux amendes prévues précédemment par la loi 4/2023 du 28 février pour « l’égalité réelle et effective des personnes transgenres et pour la garantie des droits des personnes LGTBI », plus connue sous le nom de loi trans, pouvant aller jusqu’à 150.000 euros.

Ce projet de loi prévoit également de punir les professionnels de santé, qui refuseraient de procéder à une transition de genre. La proposition controversée a été approuvée pour examen en séance plénière du Congrès le 24 juin 25. Tous les groupes parlementaires, à l’exception de VOX, ont voté en faveur de ce projet.

 

Ces traitements pour mineurs sont abandonnés par la majorité des pays qui les avaient autorisés[1]

Les traitements hormonaux et la chirurgie de transformation sexuelle des mineurs ont été utilisés en Angleterre, en Suède, au Danemark, en Finlande , aux USA où  leur expérience les a conduits à les interdire ou à limiter fortement leurs indications.

En Suède, premier pays du monde à avoir autorisé, en 1972, les traitements pour changer de sexe des mineurs, un rapport de l’autorité nationale de la santé[2] a révélé qu’une fille sur trois âgée de 13 à 17 ans considérée comme atteinte de dysphorie de genre souffre en réalité de trouble anxieux, un autre tiers de dépression, une sur cinq de TDAH et une sur sept d’autisme.

En 2019, dans le journal Svenska Dagbladet, Christopher Gillberg, psychiatre de Göteborg (Suède) mondialement reconnu s’est alarmé :« Le traitement hormonal et la chirurgie sur les enfants sont une grande expérience qui risque de devenir l’un des pires scandales médicaux du pays. ».

D’après Sven Roman[3], psychiatre pour enfants, la majorité des patients dans cette situation souffrent d’autres maux qu’il est possible de traiter : « 90% des jeunes patients que je croise souffrent d’autres pathologies qui sont en fait leur vrai problème : ils sont autistes, atteints de dépression, d’anxiété, de syndrome post-traumatique (….) Pour tous ces troubles, nous avons des traitements dont l’efficacité a été prouvée par la science, mais pas pour la dysphorie de genre quand elle touche les enfants » « On devrait faire le travail que l’on a toujours fait dans la psychiatrie infantile : les écouter, leur parler, savoir pourquoi ils pensent ce qu’ils pensent et là, on pourrait les aider. »

En mars 2021, l’hôpital Karolinska (Suède), pionnier du traitement de la dysphorie de genre, a décidé de ne plus administrer de traitement hormonal aux patients mineurs[4], car il pourrait favoriser les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose, les thromboses et certains cancers.

En février 2022 l’agence sanitaire suédoise a décidé « d‘arrêter l’hormonothérapie de transition de genre pour les mineurs, sauf dans de très rares cas » «et que les mastectomies pour les adolescentes souhaitant faire la transition devraient être limitées à un cadre de recherche ».

En décembre 2022, dans un communiqué le chef du Conseil national de la santé et de la protection sociale, Thomas Linden a rappelé : « l’état incertain des connaissances appelle à la prudence ».

En Grande-Bretagne

En 2004, le Gender Recognition Act a permis aux personnes souffrant de dysphorie de genre de changer légalement de sexe et interdit la discrimination sur la base de l’identité de genre dans le logement, l’embauche, la fourniture de biens et de services et l’entrée dans les forces armées britanniques.

Le service pédiatrique de la clinique Tavistock, promoteur des traitements transgenres chez les mineurs avec des bloqueurs de puberté, des hormones croisées et des traitements chirurgicaux a vu le nombre de demandeurs augmenter de manière considérable.[5]

Jusqu’à ce qu’une malade, Keira Bell, amputée de ses seins et traitée aux hormones regrette les traitements prodigués à Tavistock et l’attaque en justice pour consentement mal éclairé. Fin 2020, elle a gagné son procès en première instance contre la clinique qui avait donné son feu vert trop rapidement pour des traitements et mutilations qu’elle regrettait. Les juges ont estimé : « il est hautement improbable qu’un enfant âgé de 13 ans ou moins soit compétent pour consentir à l’administration d’inhibiteurs de puberté ».

A la suite de cette affaire le ministère de la santé a commandité une étude indépendante au docteur Hilary Cass[6] qui a démontré que le service pédiatrique de l’hôpital Tavistock n’avait pas réalisé « de collecte de données systématique et cohérente » et que « son approche n’a pas été soumise à certains des contrôles de qualité habituels lorsque des traitements nouveaux ou innovants sont introduits ». De plus les médecins avaient été « soumis à une pression pour qu’ils adoptent une approche affirmative inconditionnelle  ». Ce qui allait « à l’encontre du processus standard d’évaluation clinique et diagnostic qu’ils ont été formés à entreprendre dans toutes les autres situations cliniques ».  Ces constatations ont entrainé la fermeture du service spécialisé.

Le 16 avril 2025, la Cour suprême britannique a rappelé par une décision unanime des cinq magistrats que les termes “femme” et “sexe” dans la loi se réfèrent à une femme biologique et à un sexe biologique »[7]. Confirmant qu’il est légal d’exclure les « femmes » transgenres de certains espaces réservés aux femmes – comme des centres d’hébergement ou dans des hôpitaux. L’association Sex Matters, qui était associée à ce recours, a d’ores et déjà affirmé qu’il n’y avait plus « aucune excuse » pour autoriser les femmes transgenres à participer à des événements sportifs féminins.

En Finlande

Une loi récente[8] permet aux adultes qui se sentent transgenres de changer légalement de genre par un processus d’auto-déclarations sans passer par un processus d’approbation médical et psychiatrique, mais exclue les mineurs de moins de 18 ans. Mais après un rapport [9] soulignant les risques des traitements hormonaux en juin 2020, la Finlande a également changé ses recommandations précédentes en donnant la priorité à la thérapie psychologique.

En Norvège

En 2023 Le Norwegian Healthcare Investigation Board a révisé ses lignes directrices sur le changement de genre pour les mineurs, car il ne les considère plus fondées sur des preuves scientifiques[10]. Il recommande au Ministère de la santé que « l’utilisation des bloqueurs de puberté, d’hormonothérapie et de chirurgie de changement de genre [soit] limitée aux contextes de recherche et ne [soit] plus fournie dans des contextes cliniques ». Le but des recherches étant de déterminer objectivement si un traitement est efficace ou non.

Au Danemark

En 2014, le Danemark est devenu le premier pays européen à adopter une loi permettant aux adultes de ne pas avoir besoin d’un diagnostic de dysphorie de genre pour enregistrer un changement de sexe légal. En 2016 un service danois centralisé de de transition genre pédiatrique a été créé, selon une approche proche du modèle néerlandais comprenant l’accueil, l’évaluation, la consultation et l’orientation vers des bloqueurs de puberté et des hormones intersexuelles. En 2017, il est devenu le premier pays au monde à retirer le        « trouble de l’identité de genre » de la liste des maladies mentales établie par les autorités de santé publique.

Mais devant les résultats discutables de l’hormonothérapie une restriction progressive des soins de transition aux mineurs s’est affirmée; en 2022, seulement 6 % des personnes orientées vers la clinique centralisée danoise spécialisée dans le genre se sont vus prescrire des interventions endocriniennes (bloqueurs de puberté et/ou hormones transsexuelles).

Le 31 mai 2023 Sophie Løhde, ministre de la santé a déclaré au Parlement danois[11]: « il est essentiel que toute décision relative à un traitement médical repose sur des bases professionnelles solides… le système hospitalier, est, comme chacun sait, devenue plus réticent à proposer des traitements hormonaux qu’auparavant…Cette réticence est particulièrement marquée chez les jeunes souffrant de troubles sexuels liés à la puberté. Le Conseil national de la santé danois a publié de nouvelles directives prévoyant qu’il n’est plus possible de proposer un traitement chirurgical de réassignation sexuelle aux enfants de moins de 18 ans…

Évolution récente aux USA

Lors de son retour à la Maison Blanche, le président Donald Trump a déclaré :    « à partir d’aujourd’hui, la politique officielle du gouvernement des États-Unis sera de dire qu’il n’y a que deux sexes, masculin et féminin« . Il a signé depuis plusieurs décrets, pour restreindre les procédures de transition pour les mineurs, pour exclure les personnes transgenres de l’armée et  couper les subventions fédérales aux organisations qui permettraient à des élèves transgenres de participer à des compétitions sportives féminines.

 

Le 31 janvier 2025 le CDC principale agence sanitaire des Etats-Unis, a retiré de nombreux textes relatifs aux questions de genre et de diversité.

En mars 2025 devant le congrès le président Trump s’est félicité d’avoir mis fin aux prétendues politiques de diversité, d’équité et d’inclusion » et a réclamé au Congrès une loi « interdisant et criminalisant définitivement les changements de sexe sur les enfants » : « Notre message à chaque enfant américain est que vous êtes (…) exactement comme Dieu vous a créé. »

 

Le 28 février 2025 l’Iowa est devenu le premier Etat américain à supprimer de son code des droits civils les règles protégeant les personnes transgenres. La loi promulguée par Kim Reynolds, définit les termes « sexe » et « genre » comme des synonymes, définis exclusivement par le sexe biologique de naissance et non au « genre ressenti » des individus. Ce texte supprime également toute référence à « l’identité de genre » dans la liste des règles antidiscrimination à l’embauche, par exemple.

 

Dans l’Idaho une loi interdit les procédures médicales pour les mineurs transgenres. Après sa validation le 15 avril 2024 par la Cour suprême fédérale le procureur général de l’Idaho a salué une décision qui « permet à l’Idaho de faire respecter sa loi qui protège les enfants de procédures et traitements expérimentaux néfastes ».

 

Au Texas la loi interdit aux professionnels de la santé de prescrire des médicaments bloquant les hormones ou d’effectuer des actes de chirurgie pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans et prévoit une exception pour les enfants mineurs recevant déjà des médicaments bloquant les hormones ou bénéficiant d’une thérapie hormonale, mais exige dans ce cas un sevrage médical sur une période appropriée.

 

Au Tennessee la loi interdisant aux mineurs transgenres l’accès aux traitements de transition a été votée, puis validée par La Cour suprême américaine[12].

Actuellement 27 États américains (dont la Floride, l’Oklahoma et le Missouri) ont adopté des législations interdisant les traitements hormonaux destinés aux mineurs.

Il faut aider les mineurs qui se sentent trans, mais pas brutaliser leurs parents

L’adolescence est pour beaucoup une période difficile, car elle impose d’intégrer le changement complexe de son corps qu’entraîne la puberté. C’est une expérience très inconfortable. Ce malaise fréquent a été considérablement amplifié par les confinements qui ont entraîné la rupture des relations amicales et amoureuses à un moment où ils étaient particulièrement importants.

Lorsqu’un influenceur internet attribue ce mal être au genre, il risque d’être cru et de diriger l’ado vers des traitements et une communauté qui piège l’individu dans une nasse communautaire, où sa complexité comme sa culture sont réduites à un fonctionnalisme d’appartenance.

Il faut rappeler que la très grande majorité (85 %) des adolescents qui croient souffrir de dysphorie de genre verront cette souffrance disparaître après leur puberté et que cette dysphorie apparente exprime dans 70 à 80 % des cas une pathologie psychiatrique sous-jacente dont la méconnaissance empêcherait un traitement adapté. L’enfant dysphorique est en proie à la confusion ou à la détresse. Les parents doivent s’efforcer d’entendre, d’écouter, de poser des questions et d’en savoir plus sur ce que dit l’enfant.

Ce ne sont pas eux qu’il faut stigmatiser, mais la propagande permanente que diffusent les médias et certains influenceurs internet pour les faire entrer dans une communauté dont le fonctionnement évoque parfois celui des sectes (message d’amour envers les impétrants).

Les mineurs qui se sentent transgenres ne sont que des victimes de lobbys médicaux et pharmaceutiques qui vivent de leur malaise et financent influenceurs et médias pour élargir leur marché.

Ce projet de loi qui veut retirer la garde aux parents qui s’opposeraient à la transition de genre de leurs enfants ne vise pas à protéger les personnes LGBT, mais à imposer un programme transgenre qui porte atteinte aux droits des femmes, des enfants et des familles.

Une folie qui va à l’encontre de la tendance mondiale qui est d’interdire les soins d’affirmation de genre chez les mineurs. On peut espérer que la prudence des députés espagnols l’emportera sur l’idéologie lors du vote final.

[1] https://docteur.nicoledelepine.fr/transgenrisme-experiences-des-pays-etrangers-pour-proteger-les-mineurs/

[2] https://www.socialstyrelsen.se/globalassets/sharepoint-dokument/artikelkatalog/kunskapsstod/2023-1-8330.pdf

[3] https://www.rts.ch/info/monde/12295658-la-suede-freine-sur-la-question-du-changement-de-sexe-des-mineurs.html

[4] https://www.genethique.org/dysphorie-de-genre-un-hopital-abandonne-le-traitement-hormonal-chez-les-mineurs-juge-experimental/

[5] https://www.courrierinternational.com/article/transidentite-la-clinique-tavistock-recit-d-un-scandale-medical-britannique

[6] Independent review of gender identity services for children and young people

https://cass.independent-review.uk/home/publications/final-report/final-report-faqs/

[7] https://www.lemonde.fr/international/article/2025/04/16/au-royaume-uni-la-definition-legale-d-une-femme-repose-sur-le-sexe-biologique-et-non-sur-le-genre-tranche-la-cour-supreme_6596617_3210.html

[8] https://www.euronews.com/2023/02/01/finland-passes-new-progressive-trans-rights-laws-on-gender-recognition

[9] https://palveluvalikoima.fi/sukupuolidysforia-alaikaiset

[10] https://www.genethique.org/genre-la-norvege-change-de-cap/

[11] https://www.transkoen.dk/2023/06/01/opsigtsvaekkende-gode-nyheder-sundhedsministeren-lover-stop-for-koensskifte-til-boern-med-pludselig-opstaaet-koensdysfori-rogd-samt-stop-for-kirurgisk-koensskifte-til-boern-under-18-aar/

[12] https://www.lfm.ch/actualite/international/usa-interdiction-des-traitements-de-transition-aux-mineurs-validee/

 

 

 

GENDER DYSPHORIA Couv Dysphorie de genre

 

CassReview_Final

 

 

Couv Dysphorie de genre

 

 

Par Gérard Delépine chirurgien cancérologue et statisticien.

 

Lors de la crise covid l’OMS a édicté en permanence des recommandations contraires à l’état de la science et a ainsi fortement contribué à la mort de millions de personnes. Qu’il s’agisse d’incompétence ou de mensonges délibérés cette organisation ne peut pas être réformée : elle doit être supprimée

Mais rappelons ses principaux mensonges et leurs conséquences dramatiques

 

L’OMS est en grande partie responsable de la catastrophe du confinement

Depuis longtemps la lutte contre la propagation des épidémies se résumait à la quarantaine : séparation des biens portants des malades le temps que ceux-ci ne soient plus contagieux. Cette mesure a prouvé son efficacité contre de nombreuses pandémies comme la peste, la lèpre, le typhus…

Le confinement aveugle qu’a conseillé l’OMS enfermait au contraire ensemble les malades et les biens portants au domicile familial ou dans les EPHAD ; cette mesure avait été abandonné après ses résultats épouvantables lors de l’épidémie de 1720 à Marseille ou il avait été suivi par la mort de la moitié de la population de la ville sans empêcher la transmission de la maladie à toute la Provence et à l’Italie. L’OMS a préféré croire la simulation truquée imaginée par son mathématicien -prophète N. Ferguson et a prôné cette mesure remise à la mode par la dictature chinoise pour aider les gouvernements occidentaux à nous l’imposer.

 

Echec du confinement sur la transmission et la mortalité.

Contrairement aux prédictions et aux justifications tardives issues de simulations, les données du monde réel publiées par l’OMS prouvent que la propagation de l’épidémie n’a été ni retardée, ni amoindrie par le confinement aveugle dans aucun des pays qui l’ont imposé à leur population.

Ne séparant pas les malades des biens portants le confinement aveugle facilite au contraire les transmissions au lieu de les limiter.

La comparaison des évolutions de deux pays (Belgique et Pays-Bas) proches géographiquement, par leurs populations et leurs modes de vie démontre clairement ce lien entre confinement et contaminations.

Diapositive 1

L’accroissement des contaminations a été suivi, en Belgique comme ailleurs, par l’augmentation de la mortalité quotidienne. Diapositive 2

 

 

En Europe, lors du premier confinement, l’augmentation des cas a été suivi d’une forte augmentation de la mortalité. Au 5 avril 2020, les pays subissant le confinement aveugle étaient ceux dont les populations souffraient d’une mortalité maximale, frisant malheureusement le record mondial de décès pour 100000 habitants : 256 en Espagne (11 744 morts), 254 en Italie (15 362 morts), 116 en France (7 546 morts), 111 en Belgique (1 283 morts). À l’opposé, ceux qui appliquaient les mesures classiques de confinement sélectif étaient ceux qui ont protégé efficacement leurs populations : mortalité de 17 en Allemagne (1 342 morts), 21 en Autriche (186 morts), 15 en Suède (373 morts), 3 en Norvège (50 morts).

Un mois plus tard, en mai 2020 la mortalité européenne moyenne pour 100000 habitants était proche de 100 dans les pays non confinés (Autriche, Suède, Allemagne, Biélorussie, Finlande) contre plus de 500 pour les principaux pays confinés (Belgique, France, Espagne, Italie, Grande Bretagne). Dia 3

 

 

Les chiffres publiés par l’OMS confirment donc que le confinement généralisé qu’elle a conseillé représente la plus inefficace des mesures de prévention de la mortalité anti- Covid-19.

Cet échec du confinement dans la lutte contre le covid a depuis été confirmé par plus de 400 études d’auteurs indépendants et plusieurs macroanalyses dont celle réalisée par la fondation Cochrane.

 

Le confinement a causé d’innombrables dégâts sanitaires et sociaux.

Il a empêché des interventions chirurgicales et retardé de nombreux traitements médicaux ou des dépistages de cancer expliquant en partie l’augmentation de la mortalité par maladies cardiovasculaires et cancer observée depuis.

Il a causé des dommages psychologiques majeurs à la population et tout particulièrement aux enfants et adolescents dont les comportements se sont modifiés et parfois devenus d’une agressivité inconnue jusqu’alors.

Il a multiplié les violences inter familiales contre les femmes et les enfants

Il a augmenté les inégalités scolaires entre les enfants favorisés par le statut social de leurs parents et les autres, et accéléré le décrochage scolaire

Il a aggravé la malnutrition infantile à l’échelle mondiale

Il a précarisé davantage les pauvres du fait des pertes de salaires et du chômage et constitué «la pire attaque contre les prolétaires en un demi-siècle ».

Cette astreinte à domicile des populations a été responsable d’une catastrophe économique majeure marquée par la chute du produit intérieur brut, l’aggravation considérable de la balance des paiements, de la dette et des défaillances d’entreprises…

Même le conseil scientifique qui l’a initialement justifié a du tardivement reconnaitre ses dramatiques conséquences « L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale…Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations »

La macroanalyse de Université Johns Hopkins a conclu « les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies… Les études portant sur les autres mesures spécifiques : confinement par rapport à l’absence de confinement, masques faciaux, fermeture d’entreprises non essentielles, fermeture des frontières, fermeture des écoles et limitation des rassemblements ne trouvent pas non plus de preuves générales d’effets notables sur la mortalité liée au COVID-19. »

Il est vraisemblable que le confinement sera considéré dans l’histoire comme l’un des plus grands échecs politiques en temps de paix. Ce que l’OMS a conseillé aux gouvernements est une folie dénuée de fondement scientifique dans le monde réel. La terreur d’une mauvaise grippe transformée en peste par la propagande permanente d’une fausse « science » a fait tolérer la perte de nos libertés civiles et nos droits fondamentaux. Le droit de circuler a été bafoué par l’astreinte à domicile ; le doit de s’exprimer a souffert d’une censure féroce et la discrimination de tous ceux qui tentaient de ramener l’épidémie à sa réelle gravité, de proposer des traitements précoces ou d’appeler à la prudence envers des injections expérimentales à ARN qualifiées de vaccin.

L’interdiction de traiter a été responsable de la mort de millions de personnes.

La mortalité considérable de la grippe espagnole a été principalement due aux surinfections bactériennes à une époque où les antibiotiques n’existaient pas. Le Covid, qui s’est comporté comme une méchante grippe n’aurait pas été aussi léthal si les gouvernants occidentaux n’avaient pas majoritairement interdit les traitements précoces.

L’Organisation mondiale de la santé affirmait en 2020 « il n’y a pas de traitement possible » et de l’essai européen Discovery « Il n’y a pas de traitement miracle ni d’étude convaincante pour le moment« . Et l’article du LancetGate totalement fallacieux a servi de prétexte pour interdire l’hydroxychloroquine.

Heureusement pour leurs population certains pays n’ont pas cédé aux pressions de l’OMS, ont conseillé des traitements précoces et permis ainsi de démontrer formellement leur efficacité.

Le traitement Raoult était très efficace !

L’Algérie, le Cameroun et la Côte d’Ivoire qui l’ont conseillé et largement utilisé ont protégé efficacement leurs populations obtenant des mortalités par million 15 à 84 fois inférieures à celle de la France du tout vaccin comme l’illustrent les courbes suivantes des données publiées par l’OMS : dia 4

 

La comparaison Algérie/France est particulièrement pertinente car le pourcentage de la population à risque (les plus des 60 ans) est la même dans les deux pays.

L’hydroxychloroquine était efficace !

Les populations des pays d’Afrique subsaharienne qui souffrent du paludisme depuis toujours ont consommé des milliards de dose d’hydroxychloroquine chaque jour depuis la dernière guerre mondiale sans complications notables. Elles n’ont pas cru le bobard de sa toxicité claironné par le Lancet Gate et l’OMS et ont continué à la consommer préventivement s’assurant ainsi des plus basses mortalités covid du monde.

En janvier 2022 l’OMS recensait en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2% du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial) alors que ce continent très peu vacciné regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale. Certes la jeunesse des africains a constitué un facteur protecteur important mais après correction de la mortalité par l’âge, les Africains exposés au paludisme bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants.

L’efficacité de l’hydroxychloroquine a été observée aussi en Europe

Lors de la première vague covid en Allemagne la consommation d’HCQ a explosé et la mortalité covid a été 5 fois plus faible qu’en France qui interdisait l’HCQ (dia 5) :

 

 

L’Inde a aussi démontré l’efficacité de l’Hydroxychloroquine.

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4.690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu

Lors de l’apparition de l’épidémie, le nombre de contaminations quotidiennes atteignait des sommets, l’Inde, paraissait être destinée à souffrir terriblement du covid. Mais en mai 2020, le Conseil indien pour la recherche médicale, organisme gouvernemental coordonnant les travaux sur le Covid-19, a récusé les conclusions de l’OMS et confirmé « l’efficacité de l’hydroxychloroquine à titre préventif » en s’appuyant sur plusieurs études locales. Il a décidé de l’administrer préventivement aux policiers aux infirmiers et aux proches des malades et d’augmenter sa production de HCQ. Grace à ce traitement préventif le pic des contaminations journalière par million d’habitants n’a pas dépassé 75 contre 10172 pour en France. Cette forte réduction du risque de contamination ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement.

En janvier 2022, à l’issue de la première vague l’Inde enregistrait 4 fois moins de morts par million d’habitants que la France. Mais les médias ont caché ce fait ou prétendu que l’inde ne déclarait pas tous ses décès covid. dia 6

 

 

Et lors de la deuxième vague la reprise des traitements précoces a fait spectaculairement baisser la mortalité journalière :

Cette politique de traitements précoces a permis à l’Inde, malgré l’état pitoyable de son système de santé d’enregistrer une mortalité covid totale bien plus faible que la nôtre. Dia 7.

 

 

D’autres traitements précoces se sont révélés efficaces

Madagascar souffre aussi de malaria depuis toujours ; Ses habitants se protègent traditionnellement par des infusions à base l’Artémisinine qui a été proposée comme traitement du covid (lui aussi réfuté par L’OMS, l’ANSM   et l’Académie de médecine).

Mais la comparaison des mortalités covid par million à Madagascar (très peu vaccinée) aux Seychelles (pas de traitement précoce mais plus de 80% de la population vaccinée) et à celle de la France confirme les affirmations du président Malgache : l’Artémisinine est beaucoup plus efficace que les injections à ARN pour prévenir les formes graves. Dia8.

 

 

 

 

 

La propagande permanente « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez-vous et prenez du doliprane… » et l’interdiction féroce des traitements précoces (avec les condamnations des médecins pour avoir guéris leurs malades et l’avoir proclamé) est la principale responsable de notre surmortalité covid. Nous aurions pu vraisemblablement sauver plus de 120000 français sans cette tyrannie anti-scientifique destinée à imposer les pseudo vaccins.

 

Les pseudo vaccins conseillés par l’OMSse sont révélés inefficaces

Dès leur mise expresse sur le marché l’OMS a paré les prétendus vaccins de toutes les qualités « les vaccins sont efficaces à 97%…ils sont surs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres ». Mais leur utilisation en vie réelle a rapidement démenti ces messages publicitaires.

Les pseudo vaccins n’ont protégé personne.

Les vrais vaccins efficaces comme le vaccin contre la variole ou contre la fièvre jaune protègent les vaccinés à vie. Chacun connait dans son entourage de nombreux vaccinés covid qui, après plusieurs injections ont souffert, parfois à plusieurs reprises, de la maladie, montrant l’inefficacité des pseudo vaccins à les protéger.

L’échec des vaccins a aussi été démontrée dans une grande étude sur 50000 soignants et administratifs de la clinique de Cleveland, aux Etats-Unis : plus ils avaient reçu des doses de vaccins, plus ils souffraient d’infections Covid !

L’évolution mondiale de l’épidémie confirme l’inefficacité des pseudo vaccins. Les chiffres de l’OMS, montrent que la généralisation des vaccins a été suivie non pas de l’arrêt des contaminations mais au contraire par la multiplication par 3 de leur nombre mensuel. Dia 9.

 

 

 

Et ce sont les pays les plus vaccinés qui ont souffert le plus de la recrudescence des cas ! dia 10

 

 

Obligés de reconnaitre que les vaccins ne protégeaient pas des contaminations les propagandistes des injections à ARN ont alors prétendu qu’elles protègeraient des formes graves. Mais cette affirmation ne résiste pas à l’examen des chiffres de mortalité covid publiés par l’OMS ; la généralisation des pseudo vaccins n’a pas entraîné de diminution de la mortalité, bien au contraire (dia 11) :

 

 

 

Les pseudo vaccins covid exposent à de nombreuses complications.

 

Inefficaces contre les contaminations, incapables de diminuer la mortalité, les injections à ARN ont été de plus suivies par de nombreuses complications : complications neurologiques dont le syndrome de Guillain Barré, encéphalite disséminée, péricardites et myocardites, phlébites, embolies, accidents vasculaires cérébraux, thrombocytopénies, troubles des règles, insuffisance ovarienne prématurée  …

Dans la mesure ou les pseudo vaccins n’apportent aucun bénéfice démontré, leur menace potentielle impose de récuser ces injections à ARN.

 

Cette analyse des faits démontrés plaide pour la suppression de l’OMS

 

1°) L’Organisation Mondiale de la Santé, nos gouvernants et les agences sanitaires nous ont continuellement menti pour nous faire peur et nous faire accepter une tyrannie injustifiée. Pour expliquer cette attitude l’ignorance n’est pas crédible compte tenu de leur persévérance dans leurs mensonges alors que les faits et des études scientifiques très nombreuses démontrent le contraire. De même la censure et les discriminations envers les donneurs d’alerte qu’ils continuent de prôner plaident pour leur intention malveillante d’imposer la tyrannie. Il est illusoire de croire qu’on peut réformer ces organismes de l’intérieur comme l’a montré l’échec de toutes les tentatives de réforme démocratique de l’Union Européenne ; ces organismes internationaux ne visent toujours qu’à imposer leur et élargir leurs compétences que leurs experts monnayent ensuite auprès des financiers intéressés.

Nous ne pouvons plus leur faire confiance et notre défiance justifie de supprimer le financement de l’OMS et des agences qui se sont comportées en outils de désinformation pour nous asservir.

2°) les confinements conseillés par l’OMS ont entrainé la plus grande catastrophe sociétale et économique du siècle. On ne doit plus jamais lui faire confiance ni tolérer de telles atteintes à nos libertés fondamentales et on doit rechercher la responsabilité pénale des personnes qui l’ont conseillé.

3°) Les interdictions de traiter conseillées par l’OMS ont causé la mort de plus de 140 000 français. Ce n’est pas à l’OMS ni à nos gouvernants de dicter le traitement des maladies mais aux médecins qui ont été formé pour examiner les malades et décider avec eux, à l’issue d’un colloque singulier, ce qui convient de leur prescrire. Les responsables de ces interdictions terriblement mortifères doivent être jugés.

 

4°) Les injections anti-covid promues par l’OMS n’auraient jamais dû être autorisées ni conseillées

Leur autorisation de mise sur le marché dans le cadre d’une procédure d’urgence a été obtenue moins d’un an après la déclaration de la pandémie de COVID-19 alors qu’elle nécessite habituellement une dizaine d’années pour un vaccin. Une telle procédure n’aurait jamais du être autorisée pour une affection aussi peu léthale dans les pays qui n’ont pas vacciné.  Un délai aussi court ne permet pas d’évaluer convenablement les risques du produit. Dans ces essais les données pour les personnes de plus de 75 ans étaient rares et inexistantes pour les enfants, les femmes enceintes ou les patients immunodéprimés qui ont pourtant été incluses dans les recommandations d’emploi. L’efficacité a été mesurée sur un critère substitutif, les patients symptomatiques, alors que le critère approprié de “morbidité grave toutes causes confondues” constitue une véritable mesure de la santé. De plus aucune étude concernant contre l’excrétion virale ni la transmission n’a été réalisée sans que cela n’ait empêché les autorités sanitaires de prétendre que de se vacciner protège les autres !

Il faut exiger qu’à l’avenir les essais pivots respectent des critères scientifiques stricts et que ceux qui les valident n’aient aucun lien d’intérêt avec les entreprises qui les fabriquent ou les vendent.

La responsabilité personnelle des experts et des dirigeants de l’OMS, de l’EMA, de la haute autorité de santé et de l’Académie de médecine qui ont si fortement poussé la population à se faire injecter doit être recherchée ; Une mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui afin devrait les rendre plus prudents à l’avenir

 

 

par Nicole Delépine pédiatre cancérologue

 

Suicide assisté : un médecin témoigne de son vécu auprès des mourants – N. Delépine   26 MAI 25

 

L’euthanasie, un marronier qui revient sur le tapis tous les dix quinze ans tant que les eugénistes conduits par le pr Jean Louis Touraine n’ont pas obtenu le maximum de leurs demandes qui sont aussi celles de l’association de l’aide à mourir. L’essentiel à chaque nouvelle attaque est de mettre un peu plus loin le pied dans la porte pour renforcer ce projet de dépopulation par tous les bouts, de l’avortement jusqu’à la naissance au sacrifice des plus agés et des handicapés. Hitler avec son programme AT4 n’a rien à leur envier.

Nous en avions débattu en 2016 avec le PR Emmanuel Hirsch sur la chaine TV Libertés avec Elise Blaise, au moment de la n iéme révision de la loi Leonetti. (cf vidéo en bas de page)

En ce triste jour du 27 mai 2025,  305 députés ont cédé aux sirènes de la publicité mensongère présentant la mort comme gage de liberté pour les mourants (manipulés, influencés, culpabilisés ?), les handicapés, les malades étiquetés incurables (par qui ?) ou souffrant de terribles douleurs (oubliée ou inconnue la loi Leonetti ?).

Mais les députés ont aussi signé un texte menaçant de prison les proches ou soignants qui oseraient évoquer une autre issue que la mort par la seringue. Ils ont supprimé la clause de conscience pour les pharmaciens contraints de préparer la seringue mortelle[1] (alors que la loi par ailleurs les condamne en cas de produit toxique mortel délivré par erreur ou obéissance au médecin )[2] .

Une loi instituant un consentement « oral » sans preuve, sans écrit, sans témoin (un autre soignant au téléphone suffira même s’il ne connait pas le patient !), sans recours sauf post mortem (qui pourra ressusciter le mort par erreur ?).

On est horrifié que les professions médicales se soient globalement tues en dehors de quelques voies fidèles au serment d’Hippocrate moquées sous prétexte de croyance en Dieu (aussi bien chrétien que musulman ou juif). Et ceux qui n’y croient pas n’ont pas été plus écoutés. Et que dire du Conseil de l’ordre qui sait encore priver d’exercice les médecins qui ont défendu leurs patients contre le poison-vaccin covid, mais reste désespérement silencieux devant cette violation majeure du serment d’Hippocrate. Tu ne tueras point.

Les victimes désignées (selon le lapsus de la ministre Vautrin dont l’inconscient a laissé filer un éclair de lucidité) se sont exprimées, battues comme des lions qui nous ont permis de découvrir de belles personnes comme MR Louis Bouffard et bien d’autres dont cette avocate handicapée  Elisa Rojas [3] excellente.

Les avocats de la mort ont gagné, mais pour combien de temps ? Laissez-moi vous citer cette réflexion d’un combattant du covid sorti ce jour de son cœur blessé :

« Les nazis, variant 2025, ont gagné.

Ils ont leur « loi », et tout comme les colonnes infernales qui massacraient gaiement nourrissons, enfants et parents en Vendée au nom de la liberté et de la démocratie, ils prétendent avoir pensé et voté cette loi au nom de l’amour de l’autre, du respect de la dignité humaine et du droit de chacun à disposer de son corps.

Ils brandissent ces valeurs morales, hautement estimables, mais dont ils se contrefichent totalement, pour masquer leur monstruosité.

Ceux-là mêmes qui légalisent l’assassinat des malades et des déprimés au nom du droit de disposer de son corps et de sa vie nous interdisent ce droit lorsque nous refusons leurs injections de produits mortels à ARNm ou que nous contestons les dangereux vaccins imposés dès la naissance à nos enfants.

Le droit de disposer de son corps pour être assassiné par des blouses blanches, oui, mais ce même droit pour refuser d’être injecté par les mêmes blouses blanches, non.

Tout, chez ces monstres, est à géométrie variable, ce qui est une véritable menace contre nos droits d’êtres humains et contre nos libertés fondamentales.

 La loi est votée, mais les politiciens vont-ils réussir à imposer cette rupture civilisationnelle dans les mœurs ?

 

Sera-t-il désormais normal pour un « médecin » ou un « infirmier » d’assassiner une personne malade ou tout simplement déprimée, fût-ce réellement à sa demande ? Compte tenu du comportement du corps médical dans son ensemble lors de la fausse pandémie de « C19 », comment imaginer que la réponse ne soit pas affirmative ?

Sera-t-il désormais normal pour des proches de convaincre leur père, leur mère, leur frère, leur sœur, leur fils, leur fille, leur époux, leur épouse qu’il serait préférable pour eux de se faire médicalement assassiner ?

Dans la population des injectés volontaires et de ceux qui croient encore aux élections et aux paroles des politiciens, sans doute, et cela ne nous oblige-t-il pas à les discriminer ?

 

Faire sécession !

 

Nous, qui refusons ces horreurs, que pouvons-nous faire, que devons-nous faire, en sachant que cette loi n’est qu’un d’hors-d’œuvre pour les partisans de l’élimination des « inutiles » à la bonne marche de la société décivilisée qu’ils mettent en place ?

Tout ce que recouvre cette loi est monstrueux.

Ils ont pensé et voté la fin de l’humanité telle qu’elle s’est élaborée pendant des millénaires, et si la rupture civilisationnelle qu’elle consacre n’est pas encore totalement accomplie, la menace est là, bien réelle.

Face à cette menace, chacun d’entre nous doit, dès maintenant, décider quelle place il acceptera d’occuper, ou non, dans ce monde monstrueux qu’ils veulent nous imposer.

Lorsqu’on y réfléchit posément, nous sommes face à des monstres, à des barbares, mais dans l’histoire de l’humanité les monstres et les barbares ont toujours été vaincus, même si cela peut demander des efforts conséquents, comme ceux qu’il a fallu aux Hans pour construire la Grande Muraille de Chine afin de se protéger des barbares pour qui la vie et la structure sociale familiale n’avaient aucune valeur. Justement.

Puisons dans les exemples du passé, et ils sont nombreux, la force, le courage et la détermination pour donner une consistance politique et sociale à cette autre réalité dont l’humanité à besoin.

 

Malgré ce vote scandaleux nous avons toutes les raisons d’être optimistes

 

Les nazis, variant 2025, ont gagné. Mais qu’ont-ils gagné au juste, sinon de rendre notre combat pour nos droits d’êtres humains et nos libertés fondamentales bien plus facile en délimitant deux camps ?

Souvenons-nous des nazis qui ont avaient planifié dès 1939 dans la loi et l’Aktion T4 l’extermination  des adultes handicapés physiques et mentaux, qu’ils considéraient inutiles et comment cela s’est terminé pour eux…

Pour le reste, si une véritable guerre devait être menée entre eux et nous, qu’ils sachent que nous combattre ne se limitera pas, pour eux, à appuyer sur un bouton pour voter dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale.

 

Avec le vote de cette loi, il en est fini des clairs-obscurs, des hésitations, des retenues, des politesses convenues. Il n’existe plus que deux camps : le nôtre, celui de la vie, de la joie, de l’espoir et du bonheur, et le leur, celui du malheur, de la mort par le renoncement à être vivant. Et dans une période de chaos, que peut-il arriver de mieux à un être humain que d’être dans le camp de la vie, de la joie et du bonheur ? »[4]

[1] Sous prétexte que le pharmacien préparerait le poison de façon anonyme et ne saurait pas qui il tue !!!! comment peut-on en arriver à ce dégré d’inconscience, de déni du réel ou de perversité ?

[2] Curieusement les conflits juridiques entre lois ne semblent pas avoir été abordés dans ce débat ou occultés. Que devient l’assistance à personne en danger du pompier devant une tentative de suicide versus délit d’entrave au suicide assisté… Nous attendons les réponses des juristes interrogés aussi silencieux que trop de médecins devant cette loi de mort ?

« J’ai été Sapeur Pompier à Paris en 1985 et dans le cadre de mon service j’ai pu dissuader une jeune fille de 16 ans qui voulait sauter d’un pont de chemin de fer. Je l’ai hissée à la force des bras car elle était déjà dans le vide. Aujourd’hui que devrais je faire? La pousser ?… Cette époque est une époque de décadence civilisationnelle.. » un commentaire sur tocsin. justicierelzorro

[3]  Euthanasie : « Nous sommes obligés de défendre la valeur de nos vies ! »  quelques commentaires d’elise rojas :   toutes les vies se valent qu’on croit ou non en Dieu. Les défenseurs du texte qui veulent amalgamer les critiques à la religion sont pervers. Sur le fond ils son très faibles.

Danger pour personnes handicapées et malades, violence des propos difficilement soutenables. Elle démontre l’élan vital des handicapés traduit par le documentaire  BETTER OF DEAD par Liscar actrice anglaise .

Cette loi  de mai 25 défend la logique eugéniste et validiste qu’elle explique en détail

[4] Libre CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ  Le très select club des non-injectés

 

COMPLOTS CONTRE NOS LIBERTÉS FONDAMENTALES ET NOS VIES La lettre du très select club des non-injectés et complotistes les mieux informés de la planète Désobéir ! Refuser l’inacceptable ! Ne pas se soumettre !
305 POUR / 199 CONTRE  Majorité absolue : 253   28 MAI 25

 

 

 

 

 

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France — Pourquoi le gouvernement pousse-t-il à l’euthanasie ?

15/09/2022 (2022-09-15)

Une nouvelle loi sur l’euthanasie ? Pourquoi faire ?

Par Nicole Delépine

Chômage, retraites, ouverture des mines de charbon ? Tant de sujets qui dérangent et que le décès de la reine Élisabeth II ne pourra pas masquer éternellement. Alors parlons d’autre chose en relançant un sujet qui clive facilement si on sait le présenter astucieusement. Technique classique, mais très utilisée depuis cinq ans au moins.

L’euthanasie sans consentement a été quasiment légalisée de fait par le duo Veran Philipe en 2020.1

Avons-nous déjà effacé de nos mémoires ces dix mille personnes disparues de nos vies sans un au revoir, via le Rivotril imposé par la main de robots obéissants, complices et victimes à la fois ? Ils osent nous reparler d’euthanasie !

Une nouvelle fois, le marronnier réapparaît, alors que le système de santé s’écroule, que les urgences sont fermées au moins la nuit dans certaines villes, dont certaines importantes, que des soignants sont suspendus, sans salaire, que les suicides se multiplient, que les Français s’inquiètent du froid de l’hiver, et de la pénurie alimentaire, ou de la guerre en Ukraine ou en Arménie, une nouvelle fois on ressort le sujet de la fin de vie.

Marronnier cache-sexe, combien de lois sur ce sujet en moins de 20 ans ? Facile d’émouvoir, facile de rallier tous ceux qui ont vu souffrir des proches, tous ceux qui s’imaginent savoir ce qu’ils voudraient ou voudront, alors qu’ils sont encore en bonne santé. N’oubliez jamais que vous ne saurez jamais d’avance ce que vous ressentirez quand votre heure approchera vraiment.

Comment oser parler de l’euthanasie après le décret Philipe-Veran de mars 2020 qui a entraîné près de 10 000 décès de vieillards et personnes âgées présents dans les EHPAD ou en hospitalisation à domicile non demandé par les victimes ni par leurs proches, sans oublier certains handicapés jeunes auxquels on avait enlevé leur bouteille d’oxygène et de surcroît ces « euthanasiés » d’office ont été privés d’adieux à leurs proches ? Peut-on oublier l’horreur inhumaine ?

Après le refus de trop nombreux médecins d’aller examiner à domicile les patients suspects de covid, et leur refus trop fréquent de leur prescrire autre chose que du doliprane, après l’injection mortelle de Rivotril à trop de patients abandonnés, et à l’extorsion du consentement à une injection expérimentale à répétition, comment peut-on imaginer qu’un malade puisse faire confiance aux médecins ? Une telle trahison trop répandue de leur serment d’Hippocrate a brisé la confiance des malades envers les médecins.

Les autorités veulent utiliser l’euthanasie pour détourner la conversation et faire oublier les nombreux sujets qui fâchent (réforme des retraites, réforme de l’assurance chômage, rationnements voulus par nos gouvernants qui ont saboté le nucléaire pour récupérer les vois des verts et imposé des sanctions contre la Russie pour faire plaisir à l’OTAN et à Ursula) ont-elles pensé à l’effet boomerang si suffisamment de personnes rappellent ces meurtres prémédités de nos vieillards, sur circulaire puis décret envoyé aux médecins de garde fin mars 2020 ? Et comment oublier aussi les nombreuses euthanasies de petits patients cancéreux en fin de parcours depuis les années deux mille, sans grande médiatisation ni discussion  ? Comment faire comme si tout cela n’avait pas existé ?

Qui pourra donner un droit de vie ou de mort à la gent médicale après ce déshonneur collectif qui sévit depuis deux et demi sous la crise covid et qui a pour très longtemps élevé un mur de méfiance, voire de défiance entre patient et médecin, même avec ceux qui ont été fidèles, car comment faire la différence a priori ?

Fin de vie : le Comité d’éthique juge possible une « aide active à mourir » (orange.fr)2

13 septembre 2022

Le Comité d’éthique s’était jusqu’alors s’était prononcé contre une modification de la loi Claeys-Leonetti datant de 2016 et interdisant l’euthanasie et le suicide assisté.

« Après 20 années de lois et débats en France sur la fin de vie, le Comité d’éthique a rendu mardi 13 septembre son avis sur ce sujet difficile. “Si une nouvelle loi sur la fin de vie devait être discutée en France, il existe une voie pour une application éthique d’une aide active à mourir” », a déclaré lors d’une conférence de presse Alain Claeys, l’un des rapporteurs de cet avis. Cependant, « cette évolution supposerait certaines conditions strictes avec lesquelles il apparaît inacceptable de transiger », a immédiatement tempéré le membre du CCNE, dont le rôle est purement consultatif. (..)
Dans la foulée, Emmanuel Macron a annoncé le lancement d’une large consultation citoyenne sur la fin de vie, en vue d’un possible nouveau « cadre légal » d’ici la fin 2023.

Une convention citoyenne, organisée par le Conseil économique, social et environnemental, sera « constituée dès octobre » et rendra ses conclusions en mars, a indiqué l’Élysée dans un communiqué. Des débats seront aussi organisés dans les territoires « afin d’aller vers tous les citoyens » et le gouvernement engagera un « travail concerté et transpartisan » avec les parlementaires, a ajouté la présidence.

L’avis du CCNE constitue donc une première étape vers une telle évolution, même si l’institution l’assortit de nombreuses prévenances. Le comité estime ainsi qu’une nouvelle loi ne saurait uniquement se concentrer sur le sujet de l’euthanasie ou de l’aide active à mourir. « On ne comprendrait pas une loi uniquement axée sur ce sujet, car aujourd’hui on sait très bien qu’il y a des situations inacceptables sur (la mise en œuvre des) soins palliatifs », a déclaré M. Claeys. Le comité plaide donc aussi pour accélérer les efforts en faveur des soins palliatifs, une position qu’il avait déjà tenue dans de précédents avis.

Il marque toutefois une rupture avec ses positions passées en jugeant possible d’introduire dans la loi une aide active à mourir. Jusqu’alors, il s’était prononcé contre une modification de la loi Claeys-Leonetti datant de 2016 et interdisant l’euthanasie et le suicide assisté. Désormais, le Comité accepte d’établir un cadre éthique pour envisager de légaliser de telles mesures.Une éventuelle « assistance au suicide doit accompagner la volonté de la personne », mais il « faut s’assurer que cette demande soit ferme, éclairée, constante et motivée », a expliqué Régis Aubry, autre rapporteur de l’avis.

La position du Comité n’apparaît néanmoins pas unanime : certains de ses membres ont émis des réserves quant à la mise en place d’une aide active à mourir. « Cet avis a fait débat au sein du CCNE comme je suppose dans la société française », a admis M. Claeys. »

Nous avons en tant que cancérologue, pédiatre et coll. longuement réfléchi à ce difficile sujet qui ne devrait pas être jeté en pâture à des fins politiciennes en quelques mois pour masquer d’autres réformes majeures comme celle des retraites ou de l’assurance chômage.

Le dilemme reste identique aux réflexions que nous publiions en 2013.

D’un côté des familles sincères et démunies qui ont vu souffrir leurs proches sans réponse à leur demande de fin de cette vie qu’ils ne supportaient plus, sans l’aide expérimentée d’un médecin dans le secret et l’intimité du cabinet, comme depuis toujours avant cette période de judiciarisation délirante de la médecine.

De l’autre, tous ceux qui instrumentalisent le profond drame qui se joue parfois pour en faire un argument politique et rameuter quelques voix tout en diminuant le prix des retraites, en diminuant la durée des séjours hospitaliers coûteux et en libérant des lits d’hôpitaux devenus si rares depuis que nos gouvernants sabotent l’hôpital trop coûteux à leur goût.

Déjà en 1993 beaucoup d’euthanasies n’étaient pas pratiquées à la demande explicite du patient. Voici ce que j’écrivais 3:

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient selon l’Ined.

Toutes les questions concernant la fin de vie ne sont pas solubles dans celles relatives à l’euthanasie, loin s’en faut »

Douleur, compassion, liberté de choix du patient, dignité, respect de la volonté de l’autre (qui sera moi demain)… Tous ces bons sentiments sonnent bien et pourraient conduire à un consensus extorqué pour légaliser l’euthanasie comme si elle ne l’était pas déjà tolérée en pratique.

On nous dira que c’est pour avaliser ce qui se passe dans l’ombre et éviter les risques pour les bonnes âmes qui s’y livrent dans la nuit de l’hôpital… Justement lorsqu’on « aide » quelqu’un à mourir, ce doit être un choix longuement pesé et le risque moral, médicolégal et éthique doit persister et être assumé, seul rempart à la banalisation du meurtre.

Il ne faut pas banaliser le fait de « tuer » dans notre société, car achever un mourant est bien « tuer ». Si on franchit la limite sans même sans apercevoir, la déliquescence de la société et son humanité sont menacées. La porte est rouverte aux wagons de bestiaux, aux camps pour handicapés ou opposants, aux expériences médicales sur ces « sous hommes » déchets humains selon l’expression des années 1930 pour les cancéreux incurables, des infirmes voire à l’extermination de catégories gênantes, bref, au fascisme qui rode toujours » ceci fut écrit en 1993. La preuve de la déshumanisation de notre société s’est affichée avec l’interdiction de soigner les malades discriminés sur leur âge et leur handicap, et pour tous l’interdiction d’utiliser les médicaments peu chers et efficaces comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine et antibiotiques. Et pour tous aussi l’exigence d’injections expérimentales d’une substance génique dont les effets toxiques étaient prévisibles et maintenant démontrés. Et vous confieriez votre vie à une corporation médicale, pharmaceutique, soignante (qui a injecté le poison) et qui a failli largement et longuement… Encore aujourd’hui on refuse au patient de l’Ivermectine. Et certains confrères dénoncent le collègue qui soigne à l’ordre qui le poursuit alors qu’il n’a pas poursuivi les médecins de plateau qui nous pas déclaré leurs liens d’intérêt comme la loi anticorruption l’exige…

Encore aujourd’hui des médecins et soignants sont interdits de travail et de RSA ou chômage pour désobéissance et aucune grève générale des soignants qui réglerait le problème en quelques jours n’éclate même un an plus tard, alors que le mythe de l’efficacité du pseudovax a explosé. ET VOUS FERIEZ CONFIANCE ?

Déjà trop d’euthanasies en France la mort précipitée dans un cas sur deux ! Elle concerne principalement les malades souffrant de cancer. Ce nombre important de fins de vie « accélérées » dont un nombre non négligeable sans l’accord du patient même conscient interpelle. Les gouvernements et en miroir les soignants voire les familles ont pris l’habitude de décider de ce qui est bon pour le malade. On a l’habitude d’entendre dans les réunions hospitalières qui se permettent de décider de la vie ou de la mort des individus au nom d’une collégialité toute puissante : « cette vie ne vaut pas la peine d’être vécue » (et la leur ?). Ou bien « pourquoi réanimer cette enfant handicapée ? » (Entendu hier : ce sont des faits quotidiens dans les hôpitaux). Faut-il avoir un QI minimum pour avoir le droit de vivre, de rire, de jouer, d’aimer et d’être aimé ? On utilise la souffrance des familles pour les amener à prendre la décision qu’ont choisie les médecins en leur faisant croire que c’est eux qui la prennent. Perversion, peur des responsabilités ? On fait croire à une famille qu’un patient jeune doit être amputé pour se sortir d’un épisode infectieux qui met sa vie en jeu (sans l’avis de son orthopédiste référent qui le suit depuis 13 ans). On le dit à la jeune fille intubée, ventilée qui fait comprendre que dans ces conditions il faut abréger sa vie… De quel droit imposer des souffrances psychologiques de ce type à une adolescente et à sa famille. Est-ce là le monde médical dont nous rêvions quand nous avons choisi les études de médecine ?

Ne faut-il pas chercher d’autres explications à cette véritable mise en condition pour légaliser l’euthanasie après avoir mis en exergue les soins palliatifs en les opposant de fait aux soins curatifs qu’ils ont fini par écourter même lorsqu’il existe encore des possibilités de traitement potentiellement curatif ?

L’argument pour légaliser l’euthanasie est le même qu’on entendait il y a quelques années pour développer les soins palliatifs de façon autonome. Car pallier la douleur des gens avait toujours fait partie du travail des cancérologues en combinaison avec les soins à visée curatrice. Les isoler comme une entité à part revenait à faire admettre l’arrêt brutal des soins curatifs. Or si ces soins palliatifs ont été développés, le traitement de la douleur a été contrôlé, chacun sait maintenant dans le milieu du cancer traiter la douleur, même s’il reste parfois des situations difficiles (par exemple les douleurs neurologiques peu sensibles aux morphiniques). Dans les situations résistantes à la morphine et ses dérivés d’autres médicaments sont utiles (Laroxyl, Rivotril, Neurontin etc..) et à la limite la sédation (diminuer la vigilance et endormir le patient par des anesthésiques) est possible et utilisée de façon fréquente et ne doit pas signifier euthanasie. Cependant le patient doit avoir le choix et être informé : celui-ci préfère parfois tolérer une certaine douleur plutôt que de perdre contact avec la réalité et ses proches. Quand on souffre, c’est qu’on est vivant et certains le réclament haut et fort malgré la mode ambiante.

Alors pourquoi ces campagnes depuis la fin des années 1990 pour mettre en avant les soins palliatifs et les mettre en concurrence avec le traitement du cancer par exemple ? On avait vite compris à l’époque que la morphine coûte quelques euros et la chimiothérapie des centaines. Maintenant, comme si cela ne suffisait pas de ne plus soigner les gens pour leur pathologie, mais seulement les « accompagner », la bataille de l’euthanasie commence…

Des raisons pas si nobles en faveur de l’euthanasie motivent peut-être certains de ses promoteurs. Les soins palliatifs seraient encore trop coûteux. Les hôpitaux seraient « encombrés » de patients vieux, fatigués, malades peut-être incurables (cela est vite décrété et souvent au moins partiellement faux). Les établissements hospitaliers sont en déficit. Il faut réduire les coûts, donc les hospitalisations, d’autant que les moyens ou longs séjours nécessitent beaucoup de personnel soignant et que ce sont les emplois qui coûtent cher. Alors, accélérer les fins de vie en le présentant comme un choix humain et compassionnel, n’est-ce pas une belle idée de gestionnaires qui ne veulent pas avouer ses raisons profondes à la population. Les citoyens ne le découvrent que lorsque leur proche est en cause. Et encore seulement les plus vigilants qui ne se laissent pas tromper par le discours de compassion ambiant.

La mise à mal du système de santé depuis les années 1990 avec les ARS, les SROS, les différentes réformes et plans successifs (plan cancer, plan hôpital 2003-2007, et finalement la loi Hôpital patients santé territoire de 2009 dite HPST qui achève la casse de l’hôpital et la mainmise des gestionnaires pour ériger l’hôpital-entreprise).

Quant a commencé la grande vague de médiatisation pour la diminution « nécessaire » des dépenses de santé vers les années 1995 pour soi-disant « sauver » la sécurité sociale (dont il s’agissait de fait de préparer la privatisation pour rendre à la Bourse les milliards d’euros qui y échappent encore), les fusions d’hôpitaux, les fermetures des petites maternités et des hôpitaux de proximité ainsi que la fermeture de milliers de lits de psychiatrie ont modifié radicalement le paysage du système de santé.

Le coût pour la Sécurité sociale des six derniers mois de vie

Les analyses publiées pour l’établissement du SROS en 1995 (schéma régional d’organisation sanitaire) ont rapidement montré que les dépenses de santé d’un patient pendant ses six derniers mois de vie équivalaient aux sommes qu’il avait consommées dans le reste de sa vie.

Quoi de plus simple que d’imaginer « raccourcir » ces six mois de vie par les soins palliatifs d’abord et l’arrêt des traitements coûteux de chimiothérapie au prétexte d’obstination déraisonnable puis l’euthanasie passive ou active, mais toujours discrète inavouée, innommée ou innommable. On préfère la notion d’aide, de sédation un peu poussée qui raccourcira la vie mais « pour le bien du patient ». La loi Léonetti a encadré ces pratiques en les dégageant du risque médicolégal. Cela devrait être bien suffisant vu déjà les dégâts en termes d’autorisation que se donnent les équipes médicales sur la vie et la mort des malades. L’image de Dieu personnifié n’est jamais loin du médecin et la différence bien connue entre un médecin et dieu est que Dieu ne se prend pas pour un médecin.

Effets pervers d’une loi bien équilibrée dans les textes, mais dont l’application dépasse déjà ses buts. Les équipes se réunissent et se croient légitimes pour décider de la vie du patient, de la sédation qu’il nécessite pour pallier sa douleur. De fait c’est à lui de décider, mais à personne d’autre. Et l’on connaît maintenant la grande infériorité et l’incohérence des décisions prises en collectivité [6], l’abus de faiblesse des équipes médicales sur les familles auxquelles elles font accepter la décision du staff qui passe pour motivée, objective et raisonnable. Notre vie ne tient qu’à un fil surtout en réanimation ou en oncologie. Vous avez intérêt à avoir comme famille et/ou personne de confiance des gens non influençables qui vous aiment et n’attendent pas l’héritage.

Et puis la Tarification à l’activité s’en est mêlée (célèbre T2A).

Mis en place dans les hôpitaux progressivement depuis le début du nouveau siècle, il s’avéra rapidement que seuls les « actes » payaient (pose de cathéter central, fibroscopie, biopsie, ponction, etc., interventions évidemment).. Règne et dogme du quantitatif, cette tentative a priori saine de payer les hôpitaux en fonction du travail fourni réellement eut rapidement ses effets pervers et fut détournée de ses objectifs.

Il apparut vite que toutes les activités humaines auprès du patient n’étaient pas « valorisées ». La toilette d’un malade devait se faire rapidement, plus question de passer du temps avec lui ni de bavarder, de l’écouter, le consoler, le cajoler. Fini l’infirmière autorisée à nurser son patient devenu client. Quant aux médecins vissés sur leur siège devant l’ordinateur pour récupérer les protocoles à appliquer à la maladie qu’ils devaient traiter, ils oubliaient trop souvent que cette maladie survenait chez un être humain à prendre en charge globalement.

Ainsi malgré la rentabilité exigée de plus en plus du personnel, il fallut réduire la durée des séjours « en court séjour » habituel et en soins palliatifs. Ils devinrent non rentables, pas plus qu’en long séjour ou en maison de retraite médicalisée. Il fallut « raccourcir » la durée des hospitalisations en soins palliatifs aussi et on m’expliqua clairement quand je me renseignais pour un proche qu’au-delà de douze jours le malade devait être sorti… Retour à domicile ? Parfois exceptionnellement. Sinon… Nombre d’entre eux probablement réclameraient l’euthanasie avant qu’on ne les mette franchement à la porte. Ils sauraient se tenir et s’effacer à temps. On tournerait autour d’eux et de leurs familles leur demandant de trouver un autre point de chute… Ils seraient conditionnés et surtout se sentiraient de trop, gênants, pesant sur la société et leurs proches… Même dans les services d’oncologie pédiatrique, des adolescents en soins entendent « qu’ils creusent le trou de la sécu »Mais personne n’avoue jamais avoir prononcé une parole pareille…

Alors que signifie une demande d’euthanasie si tant est qu’elle existe, sinon une sensation d’être un poids pour la société ou/et sa famille. Une société digne de ce nom traite mieux ses malades, ses parents, ses enfants, et ne les pousse pas au suicide, au nom de la compassion et de la dignité.

Un exemple : en service d’oncologie de court séjour à l’hôpital public une journée d’hospitalisation avec comme diagnostic principal ; soins palliatifs (Z515) rapporte à l’hôpital environ 1400 euros payés par la sécurité sociale ; deux jours environ 2400, de quatre à douze jours de l’ordre de 4400 euros. Toute journée supplémentaire ne sera payée que 200 euros. Il vaudra mieux « libérer le lit » rapidement et y traiter un patient, ou plutôt une pathologie, plus rentable comme une septicémie chez un malade en aplasie (trop peu de globules blancs) où 5 jours rapporteront plus de dix mille euros à l’hôpital. Et étant donné la pression des gestionnaires médecins et administratifs qui nous donnent des objectifs financiers d’activité à remplir… le sort du malheureux malade est oublié. Parfois les soignants essaient de prolonger le séjour possible en prescrivant quelques actes qui le rentabiliseront et permettront de s’autoriser à le garder un peu, telle une pose de cathéter central chez un sujet cachectique par ailleurs en arrêt de soins. Quid de sa souffrance au bloc, dans les couloirs sur le brancard ? Celui-là va vite demander qu’on en finisse. On n’est pas à une contradiction près dans les services. On fait comme on peut. Pour la défense des soignants au centre de ce cercle infernal, soulignons que les distorsions psychiques liées aux injonctions paradoxales deviennent permanentes et causent de grandes souffrances qui mènent souvent au suicide des médecins et cadres, à de nombreuses dépressions chez les soignants et à l’abandon de la profession.

En résumé comme l’écrivait le professeur Lucien Israël dans « la Vie jusqu’au bout », la demande d’euthanasie est rare, exceptionnelle même chez les patients adultes et âgés gravement malades, mais correctement pris en charge. Elle correspond le plus souvent à une dépression profonde en rapport avec la perte de l’estime de soi liée à la façon dont vous êtes traité. Des couches à l’arrivée du malade avant même de savoir s’il est continent, économiseront du temps soignant, mais transformeront la personne âgée valide en incontinent, plus ou moins confus (les somnifères de la nuit sans modération) en quelques jours. La honte effacera l’envie de vivre.

Puisque notre société marchande rêve d’indicateurs, elle pourrait prendre comme indice de la maltraitance dans nos hôpitaux le nombre de demandes véritables d’euthanasie.

Au-delà du caractère transgressif du tabou de tuer qui contribuerait à déstabiliser un peu plus une société psychologiquement fragile et à la faire basculer subrepticement dans la barbarie, il faut que les futurs patients (nous tous) se rendent compte des dangers de donner quitus à tous ceux qui pratiqueraient l’euthanasie à la demande. Vous connaissez tous l’état de faiblesse d’un malade couché dans son lit face au médecin debout, fier et droit dans ses bottes pleines de certitudes. La fragilité de leurs familles effondrées par la maladie (pour ceux qui aiment le condamné) désireuses de faire cesser les souffrances de leur proche et encore plus les leurs ou, dans le cas contraire, pressés d’être débarrassés du fardeau et éventuellement de récupérer l’héritage, complètent le tableau. Pas d’angélisme, pas de garde-fou possible. Et ne parlez pas de procédures. Aucun papier ne peut protéger les malades même pas d’eux-mêmes, car les intentions affichées quelques mois ou semaines plutôt étaient des paroles de bien portants et en tous cas pas de mourants. Au seuil de la mort, seule la famille, parfois de bonne foi, exige que l’on respecte les « directives anticipées ». La plupart des mourants souhaiteraient qu’elles soient perdues. Certes on m’opposera tel ou tel rare cas, je ne le nie pas. Chaque patient, chaque situation est différente, mais dans les cas exceptionnels, le dialogue singulier médecin — patient permet de résoudre le dilemme dans le secret du cabinet et en assumant ses responsabilités comme cela a toujours été le cas.

Les situations impossibles et insupportables médiatisées largement sont des constructions politiques ou sociétales utilisant des personnes en souffrance. Leur cas particulier aurait dû et pu être résolu par leurs médecins personnels comme d’autres le sont et le furent dans le silence médiatique depuis toujours. Rien à voir avec une loi qui banaliserait l’acte de tuer et qui favoriserait toutes les dérives médicales familiales, politiques.

L’euthanasie peut être un business aussi comme l’est déjà en Suisse l’assistance au suicide dont le coût est d’au moins 10 000 euros pour le séjour fatal de trois jours. Avant même qu’elle ne soit légalisée, trop de patients meurent sédatés, donc inconscients alors que ces moments riches sont souvent l’occasion de relations irremplaçables entre parents, enfants, d’échanges forts de confidences, de révélations de secrets de famille quand ils ne sont pas volés par l’Hypnovel. De quels droits les en priver, sans leur consentement ? Combien de parents révoltés d’avoir trouvé leur enfant sédaté qui ne s’est jamais réveillé à leur retour auprès d’eux après une absence de quelques minutes à leur chevet. Ils se sentent privés à jamais d’un dernier échange avec leur malade. De quel droit ?

Je ne prétends pas détenir la vérité sur ce difficile sujet, car il n’en existe pas une seule ; chaque malade est unique, chaque maladie est différente, chaque environnement familial aussi, comme chaque demande d’euthanasie. Ma contribution se borne à faire remarquer plusieurs choses à verser au débat indispensable avant toute législation dangereuse en soi. Les soins coûtent chers et les politiques ont intérêt objectif à raccourcir les hospitalisations et diminuer la masse de personnes qui nécessiteront des soins à domicile prolongés. Le vieillissement de la population pose le problème en termes clairs : augmentation de la dépendance et de son coût. Faut-il le résoudre par l’absurde (supprimer les dépenses en supprimant les malades) ?

L’euthanasie a été établie comme loi par Hitler dans le cadre de la suppression des handicapés et de l’eugénisme régnant (Action T4)4. Cet antécédent doit nous faire réfléchir.

La loi Léonetti a déjà abouti malgré elle à la multiplication des euthanasies selon l’Institut national d’études démographiques (Ined), pratiquées en France sans l’accord ni la volonté du patient comme le cite le rapport Sicard de 20125, faut-il aller plus loin ? Le minimum serait d’éviter d’utiliser ce sujet à des fins politiciennes. Il est trop facile de manipuler les foules à l’évocation de la mort.

Je citerai, en conseillant sa lecture, le rapport sur la fin de vie de 20116. Il présente une série d’observations à inscrire dans la durée. Les analyses qui y figurent devront être lues dans leur évolution, année après année, pour mieux réaliser l’ampleur de l’évolution professionnelle, culturelle et sociétale autour de ces questions essentielles pour notre démocratie. Il est en effet indispensable pour une démocratie, et ceci particulièrement dans une période de grandes contraintes économiques, de savoir réaliser un « arrêt sur image » pour réfléchir collectivement sur la valeur et le sens de la vie humaine (la vie individuelle, mais aussi la vie collective) de manière à toujours garantir le respect des personnes les plus vulnérables. Arrêt sur image indispensable. »

« Les partisans de l’euthanasie se gargarisent de mots dont ils dévoient la signification »

Et réfléchissons aussi à la position de M Houellebecq en 2021 lors d’une xième discussion au parlement pour étendre la loi Leonetti.7

Michel Houellebecq fait clairement partie des opposants à ce projet de loi. « Personne n’a envie de mourir », expose-t-il dans une lettre publiée par Le Figaro. « Personne n’a envie de souffrir », non plus. Mais, surtout , « on peut éliminer la souffrance physique », ce qui, selon l’écrivain, vient clore le débat. Sur ce point, Michel Houellebecq justifie : « Début du XIXe siècle : découverte de la morphine ; un grand nombre de molécules apparentées sont apparues depuis lors. Fin du XIXe siècle : redécouverte de l’hypnose ; demeure peu utilisée en France. »

« La supposée méconnaissance de ces sujets par le grand public (qui plébiscite le droit à l’euthanasie, selon les dernières études) provoque, considère-t-il, “une polarisation caricaturale du débat, réduit à la question Préférez-vous qu’on vous aide à mourir ou passer le restant de vos jours dans des souffrances épouvantables ?” Souffrances surmontables, donc, selon lui, par la morphine et l’hypnose, notamment. Soulignant l’utilisation récurrente des termes de “compassion” et de “dignité” par les défenseurs du projet, Houellebecq écrit : “Les partisans de l’euthanasie se gargarisent de mots dont ils dévoient la signification à un point tel qu’ils ne devraient même plus avoir le droit de les prononcer.”

Un pays qui légalise l’euthanasie “perd, à mes yeux, tout droit au respect” (…) »

Alors que dire aujourd’hui dans une société de plus en plus totalitaire et de moins en moins humanisée ? Feront-ils leurs directives anticipées dans une télécabine de supermarché ?

Mon souci n’est pas le principe pour les situations de souffrances insurmontables et où les vrais médecins dans le secret du cabinet ont toujours pu ou su faire le nécessaire (le médecin de campagne était plus pragmatique…).

Le sujet est celui d’une loi qui va permettre tous les excès au nom de la liberté qui ne sera que celle des accompagnants et pire des docteurs qui comme avec le Rivotril n’auront aucun scrupule pour le grand-père riche qui fatigue ni pour le handicapé jeune dans sa chaise roulante qui encombre un lit…

De toute façon c’était déjà la pratique trop courante dans beaucoup d’hôpitaux et ce ne pourra que l’aggraver.

Nous l’avons vécu, vu en gériatrie dès les années 80, en oncologie pédiatrique et adulte, de plus en plus depuis les années 2000 avec des “protocoles” bien rodés au lit du malade en HAD bien avant le covid.

Je l’ai tant vu faire par les pédiatres “modernes” qui depuis 2002 pratiquaient des euthanasies chez des enfants déclarés incurables par eux et pas forcément en réalité (on en a remis en forme !! [voir mon livre de 2000 “neuf petits lits au fond du couloir”]) et sans évidemment l’avis du patient. Des parents furent intarissables sur le sujet 8 après avoir vécu les propositions des pédiatres “d’aider leur enfant”.

J’avais ouvert le livre par l’histoire d’une jeune fille adressée en chirurgie et finalement euthanasiée par les anesthésistes en accord avec la mère sous prétexte que la vie à venir ne serait pas sympathique [problème d’une paralysie des membres chez une adolescente de 17 ans]. Doit-on tuer tous les paraplégiques sans leur avis ? La Maman l’aimait, et ne s’en est jamais remise.

Le premier danger des soins palliatifs est l’abandon du traitement curatif possible, mais méconnu ou méprisé

Un petit gars de dix ans avec une seule métastase mal située sur la carène ; l’intubation permet à la radio de thorax de redevenir normale, mais le chirurgien appelé par le réanimateur dit que cette localisation est difficile et qu’il ne pourra pas enlever la tumeur. Le réanimateur débranche la machine, l’enfant décède ni son père ni moi-même en réunion dans un autre hôpital [avant le temps du portable] n’auront eu notre mot à dire ni pu lui dire au revoir…

Dans des circonstances comparables, un chirurgien thoracique a opéré une jeune fille en imposant une pneumonectomie sur poumon normal : elle a vécu 25 ans de plus et mis au monde un garçon. Elle est décédée d’une infection pulmonaire…

La notion d’incurabilité est très incertaine…

Combien de patients déclarés inopérables sans avoir vu de chirurgien ? Il faut le chercher… Je dis souvent qu’il y a très peu de malades inopérables et seulement des malades pour lesquels on n’a pas trouvé le chirurgien adéquat pour cette localisation, pour ce type d’intervention… Il faut le chercher parfois à l’étranger…

Pas de chirurgie possible => palliatif
Chirurgie réalisable => curatif

La nuance est capitale et ne dépend que de la vision d’hommes plus ou moins compétents et tenaces. Bien d’autres exemples alimenteraient des volumes entiers.

ALORS POUR L’EUTHANASIE LÉGALISÉE PAR UNE LOI

Si vous trouvez une solution compatible avec ce dilemme, véritable liberté versus abus de pouvoir, je suis preneuse… attention aux dérives surtout en ce monde pré totalitaire

J’ai été formée par le PR Leon Schwartzenberg à Villejuif, dans les années 80, qui défendait et pratiquait l’euthanasie à la demande éclairée de ses patients qu’il connaissait très bien. Il disait qu’il se mettait en avant pour protéger les docteurs ou familles qui seraient poursuivies si elles avaient agi en conscience, mais qu’il ne fallait en aucun cas légiférer ! J’ai aussi eu le privilège d’être formée par Lucien Israël, le premier cancérologue à se battre chez les patients confrontés aux cancers du poumon… Lui aussi était très vigilant sur ce qu’une loi générerait.

Donnez-nous la solution… Quant aux “directives anticipées, ‘ce ne sont que des protections juridiques pour l’hôpital ou le médecin, et des discours de bien portants dont, je vous l’assure, beaucoup ne les reconnaissent plus quand l’heure arrive… Prudence !

Écoutez pour conclure le discret professeur d’éthique médicale à la faculté parisienne, le 13 SEPT 2022 :

Emmanuel Hirsch : « L’acte d’euthanasie est un meurtre »

Le professeur d’éthique médicale université, Paris-Saclay, Emmanuel Hirsch, dans l’émission Morandini Live : « Il ne faut pas légiférer ou banaliser l’acte d’euthanasie qui est un meurtre ».

Tout est dit !

Dissimuler le meurtre sous des arguments médicaux9

« Faut-il désormais légaliser l’euthanasie — l’acte de mort sous forme d’injection létale exécuté par un médecin — et estimer que nous serons alors parvenus au terme d’un parcours législatif ? Notre confrontation personnelle à la mort sera-t-elle enfin apaisée et digne des valeurs de notre démocratie ? Pourrons-nous affirmer que nous aurons instauré une méthode du ‘bien mourir’ là où les conditions du ‘mal mourir’ hantaient notre conscience collective, sans avoir la lucidité de reconnaître que, face à la maladie grave ou à un handicap qui altère l’autonomie, c’est le sentiment de ‘mort sociale’ qui incite bien souvent à préférer anticiper la mort plutôt qu’à poursuivre une vie ou une survie indigne d’être vécue ? »


1 Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — AgoraVox le média citoyen

2 Les membres sont désignés par le président de la République de même que son président. ils ne représentent donc pas la profession médicale soumise au dilemme de l’euthanasie.

3 Publication sur Économie Matin — 2013 :  | Publication sur le site du média :
L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé Nicole Delépine

4 Nazisme : Aktion T4, la mise à mort des « inutiles »
https://www.geo.fr/voyage/nazisme-aktion-t4-la-mise-a-mort-des-inutiles-161366

5 Rapport Sicard — Penser solidairement la fin de vie
https://ethique.unistra.fr/master-ethique/ressources-documentaires/ressources-en-ligne/rapport-sicard-penser-solidairement-la-fin-de-vie/

6 Observatoire national de la fin de vie : rapport 2011 — Fin de vie : un premier état des lieux
https://www.vie-publique.fr/rapport/32311-observatoire-national-de-la-fin-de-vie-rapport-2011-fin-de-vie-un

7 Le plaidoyer de Michel Houellebecq contre l’euthanasie — Le Point

8 Nicole Delepine — Soins palliatifs et oncopédiatrie

9 Fin de vie : « Légiférer sur l’euthanasie n’est pas une urgence politique » (lemonde.fr)

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

 

LE 10 MAI 2025

A l’occasion de la sortie du livre témoignage « du Cancer à la vie » en Mars 2025  aux Editions Marco Pietteur, des témoins anciens patients, des familles, des membres de l’équipe médicale  et paramédicale qui nous avaient suivis d’Hérold à Garches en passant par Robert Débré et Avicenne,  des amis de l’équipe et des patients ont pu se retrouver pour un amical goûter organisé par nos fidèles jumelles, comme lors de nos congrès jusqu’en 2014.

Ce fut un moment chaleureux comme à l’habitude permettant de tenter de faire comprendre ou sentir à ceux qui nous connaissaient moins comment ce service avait survécu, à travers les vicissitudes qui auguraient de la médecine totalitaire mise en place progressivement depuis les années 90 et qui a explosé aux yeux de tous avec la  plandémie Covid.

Le mot magique qui revint dans la bouche des témoins fut « le service était humain, nous étions et sommes encore une famille ! »  Il est vrai que des patients traités dans les années 89 avaient réussi à venir pour ces retrouvailles si importantes à nos coeurs (y compris par aller retour en avion de Béziers par exemple !)  et ce malgrè des grèves à la sncf et à air france et les embouteillages majeurs habituels de la capitale.

Merci à tous, ce fut magnifique, la plus belle récompense que l’on peut faire à vos médecins dont certains bien sûr étaient là aussi, fidèles au poste depuis plus de trente ans, malgré les harcèlements de l’administration.

la photographe qui a réalisé les photos du livre avait préparé quelques agrandissements très touchants. Nous la remercions.

 

241206_ couverture et quatrième du cancer à la vie  

 

 

 

 

Allez lire les témoignages de ces merveilleux témoins qui ont eu le courage de raconter leur histoire en se replongeant dans  leurs épreuves.   Merci !

                                                                                

 

 

 

 

Le 9 mai 2025  newsletter de l’association Ametist à ses adhérents et amis

 

 

Madame Monsieur, chers adhérents, chers amis,

 

Voilà déjà 35 ans que l’association Ametist a été créée par des parents, médecins et personnes privées, révoltés par le fait que, déjà en 1990, certains patients ne pouvaient pas bénéficier de soins éprouvés et étaient contraints d’entrer dans des essais thérapeutiques.

 

Après avoir vécu tant d’épisodes douloureux et incompréhensibles, une vingtaine d’anciens patients ont décidé de se réunir et d’écrire un livre regroupant leurs témoignages, leurs vécus,  leurs combats pour trouver une équipe médicale prête à se battre avec eux. C’est leur façon de soutenir l’activité et le combat que mènent, depuis toujours, N et G Delépine et leur équipe. Ils tentent ainsi de donner le moral aux malades en cours de traitement afin qu’ils sachent que les batailles perdues ne sont que celles qui ne sont pas menées !

 

Ce livre est un hommage à tous les lanceurs d’alerte qui se battent pour la liberté thérapeutique, le choix du médecin par le malade, et le choix du traitement du malade par le médecin. Il a aussi pour but de redonner espoir aux futurs enfants, adolescents ou adultes jeunes, touchés par le cancer ainsi qu’à leurs proches.

 

Ce livre « Du cancer à la vie », est sans doute le premier d’une longue série. Les drs  Delépine poursuivent leur combat, aidés par les bénévoles présents depuis de longues années !  L’association a démontré qu’avec force, une pratique hospitalière courante et une équipe pluridisciplinaire hautement spécialisée, expérimentée et dévouée, il était possible d’obtenir des taux de rémission et de guérison très favorables, tout en évitant les amputations trop souvent imposées.

 

L’association continue à se battre pour informer sur les possibilités thérapeutiques et les avancées de la science, afin qu’ enfants et adolescents puissent bénéficier des progrès réels et éprouvés de la médecine.

Le cas échéant, elle défend également les droits des patients,  médecins et soignants contre les décisions parfois tyranniques de l’état. Ametist a la chance de pouvoir toujours compter sur le soutien et l’engagement de nombreuses personnalités.

Mais nous avons toujours besoin de vous. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaître, en diffusant nos messages, en échangeant avec nous sur les réseaux.

Vos dons permettent d’aider les familles dont les enfants sont touchés par la maladie, en leur offrant des solutions pour accéder aux traitements éprouvés, en France ou à l’étranger si nécessaire. Un soutien financier peut également aider à engager des recours juridiques qui pourraient faire bouger les choses. Votre aide financière permet aussi d’apporter un soutien matériel aux familles contraintes à s’expatrier pour éviter une amputation, en prenant en charge certains frais (hospitalisation, logement, etc.).

C’est pourquoi nous faisons appel à votre générosité. Sachez que 66 % du montant de votre don est déductible de votre impôt sur le revenu.  Un reçu fiscal vous sera adressé sur demande, via le bon de soutien ci-dessous.  Par avance, au nom de l’association, merci !

 Le 9 MAI 2025,  l’association Ametist organise le 10 mai 2025 14 rue de Patay PARIS 13 ième une réunion des anciens patients témoins, de leurs amis et connaissances et des soutiens d’Ametist avec exposition de photos extraites du livre.

Pour que nos actions puissent continuer, merci de votre aide.

Bon à découper et à joindre à votre envoi si vous acceptez de nous aider

 

BON DE SOUTIEN 2025

 

Votre soutien (10, 15,  30, 45€ et plus…)

……………………………€uros

AMETIST  7 BD Fleury 91170 Viry-Chatillon

 

Nom : ……………………………………..           Prénom : ………………………………….

Adresse :…………………..…………………………………………………………………….. …………………………………………………………………………………………………….

Code Postal :…………………………………       Ville :………………………………………

EMAIL :……………………………………….

 

Chèques à l’ordre d’AMETIST   http://www.ametist.org

 

Le reçu fiscal est adressé courant mars de l’année suivante.

 

La dictature verte de l’UE nous pourrit inutilement la vie

 

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Prendre soin de l’environnement pour léguer une planète propre à nos enfants est un beau projet, voire curieux projet quelque peu paranoïaque. 

Pour qui nous prenons-nous ?

Mais le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions et les mesures autoritaires que l’écologie punitive nous impose entrainent inutilement ségrégation sociale, aggravation de la crise du logement, disparition de notre agriculture, crise économique, chômage …

Les mesures vertes pour l’habitat augmentent le nombre de mal-logés !

L’ouverture de nos frontières aux migrants permet d’exercer une pression à la baisse des salaires favorable au patronat mais augmente les besoins en logements particulièrement ceux à loyers modérés. 

L’obligation de mieux isoler les nouveaux logements et l’interdiction d’artificialiser les sols augmentent considérablement les prix de construction et décourage les investisseurs. 

L’interdiction de louer les logements déclarés passoires thermiques et le cout trop élevé des travaux nécessaires pour les mettre aux normes excluent de la location un nombre croissant de logements anciens qui constituent l’essentiel des locations abordables en ville.[1]

Ainsi promettre à la population des logements écologiques aboutit à aggraver la pénurie en logements proposés à la location à de prix accessibles ! Ces mesures vertes précipitent de plus les entreprises de construction et les agences immobilières dans une crise sévère, entrainant déjà de nombreux licenciements.

Ces mesures autoritaires sont peu efficaces sur la consommation réelle d’énergie ! Une étude du crédit mutuel sur les dépenses d’énergie de ses clients a révélé que les ménages habitant les logements présentés comme les moins énergivores dépensent près de deux fois plus d’énergie que prévu. Ceux des logements les plus énergivores, deux fois moins. Pour les maisons individuelles, les moins bien classées ne consomment même que 27 % de plus que les meilleures ! Un démenti sévère des espoirs officiels, que l’organisme attribue pour un tiers à des erreurs de mesures et aux deux tiers à des facteurs comportementaux. 

Globalement les obligations écologiques qui pèsent sur les logements aggravent franchement la crise du logement sans diminuer notablement la pollution thermique de l’environnement.

La liberté de circuler réservée aux riches

Les zones à faibles émissions renforcent fortement la ségrégation sociale dans les grandes villes.

Interdits d’habiter en centre-ville par la raréfaction des locations abordables causée par les mesures précédentes, les pauvres se voient maintenant interdits d’y pénétrer par les zones à faibles émissions qui n’acceptent que les voitures récentes. Or selon l’association Transport & Environnement [2], les tarifs des modèles les moins chers de cinq constructeurs européens ont augmenté de 41 % de 26 590 € en 2018 à 36 082 € en 2024. De telles augmentations ont permis aux entreprises automobiles de réaliser des bénéfices records en 2022 et 2023, mais empêchent une grande partie de la population de renouveler leur véhicule.

Du point de vue pollution, autre que sonore, le bilan de ces interdictions de circuler est très discutable. De nombreuses études montrent en effet que sur l’ensemble du cycle d’utilisation, prenant en compte l’usage, mais aussi la fabrication et le recyclage les voitures électriques polluent autant la planète que les voitures thermiques [3, 4, 5, 6] .

En 2025, aux 11 zones à faibles émissions déjà actives s’ajouteront 32 ZFE supplémentaires. Le total passera ainsi à 43 ZFE sur l’ensemble du territoire. 2,7 millions de voitures interdites et à terme, et  on estime qu’environ 40 % des véhicules en circulation seront touchés par ces mesures.

Au temps des rois[8], la résidence royale était coupée du monde. Aujourd’hui, grâce aux zones à faibles émissions, les bobos des grandes villes se protègent de la présence des pauvres.

Notre devise liberté, égalité, fraternité est vraiment reniée par la ségrégation sociale engendrée par ces mesures prétendument écologiques.

 

 

 

Extrait d »une entrevue d’Alexandre Jardin avec le journaliste canadien Stéphane Bureau

 

-Signez les pétitions qui réclament la défense de notre liberté de circuler

-Soutenez les maires, les élus de toute la France et les députés qui proposent une loi visant à supprimer cette politique d’apartheid.

-Participez aux manifestations avec le collectif « Les # Gueux » (initié par l’écrivain Alexandre Jardin) et la fédération française des motards en colère qui vont de nouveau se mobiliser dimanche prochain, en opposition aux zones à faibles émissions (ZFE) dans notre pays.

 

Les mesures du plan vert tuent notre agriculture et polluent la planète en imposant des importations alimentaires lointaines. 

Les mesures prétendument écologiques briment fortement notre agriculture qualifiée de « mamelle de la France » par Sully. Elles menacent notre indépendance alimentaire et privilégient fortement les importations de pays lointains (Amérique du sud, Australie…) favorisant la déforestation de l’ Amazonie et du bush et la pollution de l’atmosphère par les émissions de CO2 du transport maritime qui représente 3 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, soit plus du double de ce qu’émet la France.[9]

Il est urgent de libérer nos agriculteurs de toutes ces normes pour permettre une alimentation aussi locale que possible. Ces mesures supposées écologiques aggravent en réalité la production mondiale de CO2.

La dictature écologique de l’UE précipite la crise économique

Avant l’UE notre industrie reposait sur la voiture et le bâtiment comme l’énonçait un ancien dicton (quand le bâtiment va, tout va).

Les contraintes vertes, en augmentant les couts, ont fortement contribué au marasme du secteur immobilier tant pour acheteurs (investisseurs et les primo accédants) que pour les locataires.

La politique européenne imposant fin du thermique et objectifs CO2 a tué l’industrie automobile aboutissant à la fermeture d’usines en Allemagne. Ce problème touche aussi les équipementiers et les concessionnaires menaçant beaucoup des plus de 200000 emplois du secteur. 

Actuellement la transition énergétique repose essentiellement sur une baisse de la production de biens carbonés, de la construction neuve dans le résidentiel-tertiaire et de la production industrielle, en particulier de l’automobile et de la chimie. Le ralentissement de l’activité du BTP entraîne une chute de l’investissement non compensée par la hausse des investissements d’efficacité énergétique, une contraction de l’activité économique. Le chômage s’accroît, ce qui diminue les revenus disponibles entrainant une chute de la consommation, cette dernière venant rétroagir négativement sur la production. L’ensemble des secteurs économiques est affecté, y compris le secteur tertiaire. À l’horizon 2035, l’économie française risque d’être plus localisée, mais moins créatrice d’emplois avec un taux de chômage plus élevé.

En plus de pourrir notre vie quotidienne par de multiples obligations et interdictions, l’écologie punitive imposée par l’UE risque de nous conduire vers le sous-développement !

Pour vivre mieux et donner l’espoir d’une vie meilleure à nos enfants, il faut supprimer la dictature verte et quitter l’UE.

Dr Gérard Delépine 

 

Notes :

[1] https://www.cae-eco.fr/staticfiles/pdf/focus-103-dpe-230110.pdf

[2] https://www.auto-moto.com/pouvoir-d-achat/2019-2024-quelle-augmentation-de-prix-de-voitures-29674#google_vignette

[3] https://www.consoglobe.com/voiture-electrique-ou-thermique-le-bilan-environnemental-complet-cg/2

[4] https://www.francetvinfo.fr/economie/automobile/diesel/pourquoi-la-voiture-electrique-pollue-plus-que-ce-que-vous-pensez_3030669.html

[5] https://www.leparisien.fr/automobile/voiture-electrique-ou-thermique-laquelle-pollue-le-plus-12-08-2019-8132190.php

[6] https://www.automobile-magazine.fr/toute-l-actualite/article/33673-voitures-electriques-une-etude-prouve-quelles-emettent-autant-de-particules-que-les-essence-et-diesel

[7] https://www.msn.com/fr-fr/finance/autres/d%C3%A8s-2025-pr%C3%A8s-de-40-des-v%C3%A9hicules-seront-touch%C3%A9s-par-cette-r%C3%A8gle/ar-AA1BmTyW?ocid=winp2fp&cvid=e1a15377b30a47c5a1a73522f7a1244e&ei=28

[8] https://greenly.earth/blog/secteurs/quelle-est-l-empreinte-carbone-du-transport-maritime

[9] https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/chiffres-cles-du-climat-france-europe-et-monde-edition-2024

R Kennedy n’est pas un antivax,[1] mais un anti-corruption qui dérange

 

article du 11  Novembre 2024

Depuis l’élection de Trump,  les médias [2] [3]concentrent leur propagande mensongère contre R. F. Kennedy accusé d’être « complotiste, antivax et même dangereux pour la santé des Américains » ! Et aucun de ces médias ne lui donne la parole pour leur répondre, bafouant ainsi la chartre d’éthique des journalistes qui prévoit qu’une personne mise ne cause puisse répondre dans les articles qui l’accusent.

Chroniqueuse du Boston globe, Yvonne Abraham n’hésite pas à qualifier cet avocat militant anticorruption de “cinglé accompli”[4] !

Trois grandes causes motivent ses combats actuels : la santé des enfants, la liberté d’expression et la guerre en Ukraine.

Ayant eu le plaisir de rencontrer personnellement Robert F. Kennedy, je me permets de fournir ici quelques éléments d’information qui sont apparemment méconnus de ses accusateurs (ou qu’ils ont refusé d’entendre) concernant les deux premiers sujets.

 

Robert F. Kennedy n’est pas contre les vaccins mais pour la transparence

Répétons ses paroles : « Je ne veux pas priver les Américains de vaccins. Je ne veux pas imposer mes choix aux Américains. Si les vaccins fonctionnent pour vous, vous devriez pouvoir les obtenir. Et je veillerai à ce que cela soit le cas. Mais les gens doivent pouvoir faire un choix éclairé. Ils doivent donc disposer de données scientifiques fiables qui leur indiquent le coût et les avantages de ces produits, en particulier lorsqu’on leur ordonne de les utiliser. »

Robert F. Kennedy veut des vaccins bien étudiés

« Le problème avec les vaccins, c’est qu’ils ont été introduits à l’origine par le Service de santé publique, qui est l’un des cinq services militaires »

… « Un produit médical normal prend environ huit ans pour arriver sur le marché, car il doit passer par des essais contrôlés en double aveugle contre placebo et il faut voir les effets à long terme. Il y a de nombreux effets sur chaque produit médical qui ont de longs horizons de diagnostic et de longues périodes d’incubation. Ils ne voulaient pas passer par là parce qu’ils disaient que ce serait une urgence nationale. Donc au lieu de l’appeler un médicament, nous allons l’appeler un produit biologique et nous allons exempter les produits biologiques des études de sécurité préalables à l’homologation. » « Il n’existe donc aucun vaccin de ce programme, parmi les 72 vaccins [NDT du programme de vaccination américain] qui n’ait jamais fait l’objet d’une étude de sécurité préalable à l’homologation, contrôlée par placebo, contre un véritable placebocela signifie que personne ne sait quels sont les profils de risque de ces produits. Et personne ne peut vous dire si ce produit évite plus de problèmes qu’il n’en cause. »

Robert F. Kennedy veut lutter contre les conflits d’intérêt et la capture des agences sanitaires.

« Ce que je ferai, vous savez, si on me donne ce poste à la Maison Blanche, c’est que je m’assurerai que ces études soient réalisées, que les comités qui approuvent ces produits soient composés de personnes qui ne soient pas chargées de conflits d’intérêts. C’est donc de la vraie science, que les gens soient désintéressés et que les médecins, les patients et les Américains sachent exactement quels sont les coûts et les avantages de chaque vaccin et puissent prendre une décision rationnelle. »

« 75 % du financement de la Food and Drug Administration ne provient pas des contribuables, mais de l’industrie pharmaceutique. Les cadres de l’industrie pharmaceutique, les consultants et les employés font des allers-retours dans ces agences (des entreprises big pharma aux agences et vice versa) ».

Robert F. Kennedy constate une situation sanitaire US catastrophique.

 « Aujourd’hui, nous dépensons plus en soin de santé que n’importe quel autre pays sur terre deux fois plus que ce qu’ils payent en Europe et pourtant nous avons les pires résultats de santé de tous les pays du monde.  

Nous sommes environ 79ième en terme de résultats de santé derrière le Costa Rica, le Nicaragua, la Mongolie et d’autres pays… personne n’a un fardeau de maladies chroniques comme nous et pendant l’épidémie de covid nous avons eu le plus grand nombre décès de décès de  tous les pays du monde nous avons eu 16 % de décès dû au covid pourrait 0,2 % de la population mondiale.

Quand mon oncle était président, notre pays ne dépensait rien pour les maladies chroniques. Aujourd’hui les dépenses de santé publique du gouvernement sont presque toutes consacrées aux maladies chroniques et c’est le poste budgétaire le plus en croissance, la maladie chronique coûte le plus à l’économie dans son ensemble : ça coûte au moins 4000 milliards de dollars… »

Qu’est-ce qui cause cette souffrance ?  Je vais nommer deux coupables : le premier et le pire et la nourriture ultra transformée : environ 70 % de l’alimentation des enfants américains est ultra transformé Le deuxième coupable :  les produits chimiques toxiques dans notre alimentation dans nos médicaments, et dans notre environnement. Les pesticides, les additifs alimentaires les médicaments pharmaceutiques et les déchets toxiques i

80% des subventions vont à des personnes ayant des conflits d’intérêt. Joe Biden vient de nommer un nouveau panel pour décider des recommandations alimentaires.

Mais ce sont tous des gens de l’industrie, des gens des entreprises alimentaires transformées.  Ils décident de ce que les Américains vont entendre être sains, des recommandation sur la pyramide alimentaire de ce qui va dans les programmes de déjeuners scolaires..

 Vous le savez tous : les programmes de bons alimentaires sont construits par des individus corrompus avec conflits d’intérêt.  Ces agences : la FDA (agence de santé américaine, l’USDA  (Us department of agriculture ) et le CDC (centres de contrôle des maladies, un fédéral et un par état) sont toutes contrôlées par des entreprises géantes à but lucratif.

L’Amérique peut redevenir saine. Avec le soutien du président Trump, je vais changer cela : nous allons doter ces agences de scientifiques et de médecins honnêtes dépourvus de financement de l’industrie.

Nous allons nous assurer que les consommateurs, médecins et patients soient informés par une science impartiale.  Pour se faire nous devons faire trois choses prioritairement : nous devons   éradiquer la corruption dans nos agences de santé, nous devons changer les incitations dans notre système de santé, nous devons inspirer les Américains à redevenir sains »

La bonne nouvelle est que nous pouvons changer tout ça, même très très rapidement.

 

 

Robert F. Kennedy défend la liberté d’expression menacée.

« Ce qui m’inquiète le plus…c’est le recours à la censure et au contrôle des médias ainsi que l’instrumentalisation des agences fédérales.

Quand un président des États-Unis collabore avec, ou contraint directement les entreprises médiatiques à censurer le discours politique, c’est une attaque contre notre droit le plus sacré à savoir la liberté d’expression et c’est le droit même sur lequel repos tous nos autres droits constitutionnels

Les médias grand public étaient autrefois les gardiens du premier amendement et des principes démocratiques et ils ont rejoint cette attaque systémique contre la démocratie. Ils justifient également leur censure au motif de combattre la Désinformation, mais les gouvernements et les oppresseurs ne censurent pas les Mensonges, ils ne craignent pas les mensonges, ils craignent la vérité et c’est ça qu’ils censurent.

Le devoir d’une presse libre est de protéger la démocratie et de toujours contester le parti au pouvoir. Au lieu de maintenir cette posture de scepticisme féroce envers l’autorité vos institutions se sont faites porte-parole du gouvernement et sténographe des organes du pouvoir.

Vous n’avez pas causé seuls la dégradation de la démocratie américaine mais vous auriez pu empêcher la censure des réseau sociaux par le Parti démocrate.»

Dénoncer la corruption des experts, et agences et les dérives de l’état qui privilégie les intérêts privés aux dépends de la sécurité des populations constitue une menace pour les lobbys des industries qui organisent la campagne de diffamation actuelle contre R. F. Kennedy.

Il est affligeant de constater qu’une majorité de journalistes et de médias aux USA comme en France participent activement à ces diffamations.

Mais la vérité vaincra et les réformes voulues par RF Kennedy bientôt mises en œuvre grâce à la présidence Trump pourront servir de modèle partout dans le monde.

Soutenons les combats de R. F. Kennedy qui stimuleront en France les défenseurs de la paix, de la liberté d’expression et de la santé libérée de la tyrannie de l’état au service des lobbys pharmaceutiques.

[2] https://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-robert-f-kennedy-jr-un-antivax-dans-la-course-a-la-maison-blanche

[3]  https://www.lepoint.fr/monde/election-de-trump-antivax-et-complotiste-pourquoi-la-nomination-a-la-sante-de-robert-kennedy-jr-serait-un-desastre-07-11-2024-2574633_24.php?at_medium=email&at_emailtype=retention&at_campaign=Push%20email&at_creation=Push-email&at_send_date=20241107&at_link=Article_1&boc=1810767&nl_key=e7f0e409f482195a1938cc2047a545e3c20c14800955302cb0cd094a9a9db82f&m_i=ApzlaJr4aiVgwZsTM9dI%2BXUx4CFMkA2u3TEKezkQb4nh2%2BD4zD4uJigF9gNT3pID5uDn2dv1QAoKj5GMGDCsgtrQ3bNAAw&M_BT=1416629091868

[4] https://www.bostonglobe.com/2024/04/10/metro/tragic-peril-rfk-jr/

   DYSPHORIE DE GENRE TOULOUSE 15 03 25 V4

 

LIRE LE DIAPORAMA CI-DESSUS

 

 

Couv Dysphorie de genre

 

GENDER DYSPHORIA 2024 04 13

 

 

CassReview_Final 

 

 

 

*

2025 03 15 Toulouse Bilan catastrophique de la politique sanitaire Française

 

 

et revoir  Covid19 et confinement aveugle, combien de morts évitables ? – Docteur Nicole Delépine

 

 

241206_ couverture et quatrième du cancer à la vie

 

 

Le monde et nous. Avec le Dr Gérard Delépine et Rebecca Horiot – Profession Gendarme  

 

 

Exemple d’un combat qui semblait perdu d’avance 2

 

 

 

Voici les liens de l’émission enregistrée sur tvadp le 6 mars 2025

 

https://www.youtube.com/watch?v=VO0yBoeUD24

 

https://crowdbunker.com/v/NqtbprDi

 

https://vkvideo.ru/video430568862_456242233?t=1h11m38s

 

 

et un très beau témoignage : merci Karen

Bon Dimanche sous la pluie à Bordeaux … 😊☔🙋

envoyé : 9 mars 2025 à 07:50
de : Karen BRANDIN
objet : parution : Du CANCER à la VIE

Commentaire :

TITRE  : « Parlez-moi de votre fille … » (le Docteur N. Delépine à une maman)

« On vous emmène faire le tour de notre drôle de vie,

Et un peu de elle aussi de patients que l’on a guéris,

On est partis tous les deux pour une drôle vie,

Pour vous on reste curieux

Et l’on fait ce que l’on s’est promis … »

Si ce beau livre débute par un poème de Victor Hugo, il aurait tout aussi bien pu s’ouvrir je crois, sur cette revisite d’un texte de Véronique Sanson.

En effet, ce recueil est une invitation à découvrir ou redécouvrir deux carrières complémentaires et en tous points exceptionnelles. Par discrétion, parce que tous les hommages seraient nécessairement vains en plus d’être incomplets, je n’entreprendrai pas d’égrener l’interminable liste des qualités d’honnêteté, de dévouement et de droiture dont Nicole et Gérard Delépine n’ont jamais cesser de faire preuve au cours de leurs quarante années de pratique médicale.

En réalité, selon moi : « Nul n’est censé ignorer l’existence de cet extraordinaire couple de médecins » ;-). Cette mention serait d’ailleurs bien inspirée d’être ajoutée à la toute fin du serment d’Hippocrate si fréquemment bafoué depuis la crise Covid.

Je vais donc simplement me permettre de pointer du doigt l’intelligence de ces deux âmes sœurs ; leur rigueur, leur insatiable curiosité vis à vis d’une littérature scientifique internationale qu’ils n’ont jamais cessé d’écumer, d’interroger et cette formidable agilité intellectuelle qui aura permis de les rendre, – mais surtout de les garder -, libres envers et contre tout.

Parfois contre “tous” (lire ou relire : « Neuf petits lits sur le trottoir » paru aux éditions Fauves – 2015).

S’ils sont un exemple, un modèle, c’est qu’en plus de faire preuve d’une éthique sans faille, ce sont toujours à l’heure actuelle des bourreaux de travail, à un moment pourtant où la tentation de la paresse gangrène tout.

Des vices, c’est sans doute celui qui semble le plus sympathique : on plaisante sur la flemme de la jeunesse, de nos élèves notamment. Sauf que cette paresse draine avec elle tout un cortège macabre : les concessions, l’indifférence, l’approximation, la corruption et, à terme, le mensonge ; jusqu’à fragiliser très sérieusement notre démocratie.

Justement, je perçois dans cet ouvrage, et ce bien au-delà d’une touchante galerie de portraits de jeunes gens, de jeunes parents épanouis, l’occasion de deux legs de nature différente mais d’égale importance.

Le premier est d’ordre scientifique, car il ne s’agit surtout pas de se résigner à évoquer le service atypique du Dr Nicole Delépine (aujourd’hui malheureusement fermé ; brutalement fermé en réalité à grand renfort de camions de CRS), avec une certaine nostalgie.

Il était trop essentiel pour faire partie du passé ou encore des archives de la médecine. Il faut au contraire impérativement en faire renaître l’esprit de sorte de faire vivre la liberté thérapeutique (qui est une composante fondamentale de la liberté d’expression). Ces prises en charge, drôlement qualifiées « d’alternatives » (chimiothérapie et/ou chirurgie conservatrice, pour le coup innovante), ces protocoles largement éprouvés dont on maîtrise de fait la toxicité, pour lesquels on dispose d’antidotes, doivent être transmis, enseigné le plus largement possible aux générations futures qui confondent trop souvent “innovation” et « progrès. » Il faut dire que les sirènes des laboratoires sont de si douces et de si lucratives chaînes …

En ce sens, ce livre est un cadeau tout désigné pour des étudiants en médecine que l’on souhaiterait “affranchir” avant qu’ils ne soient corrompus “par la matrice” et deviennent addict aux contentions, aux graphiques tronqués et à l’assistanat numérique : IA, obsession des essais thérapeutiques en première intention et autres séduisantes thérapies dites « ciblées » (quand on ne parle pas de « médicaments intelligents. » On attend avec une terreur non-dissimulée le moment où ils vont s’auto-prescrire puis s’auto-administrer !).

Le second legs est quant à lui d’ordre affectif. On parle parfois « de leçon de vie. » On est, au travers de ces pages, les témoins privilégiés de morceaux d’existence que l’on découvre pleines et entières.

Ces sourires radieux ne sont pas plus amputés que ne l’ont été les jambes ; jamais empruntés non plus. Encore moins condamnés à n’être rien de mieux que définitivement “convalescents” ; ce sont autant d’espoirs pour les familles aujourd’hui frappées par une si douloureuse épreuve. Bien sûr que l’annonce d’une maladie grave, en outre si tragiquement présente dans notre imaginaire, est incompréhensible, injuste, obscène même quand elle frappe un bout de chou. Il s’agit d’une déflagration difficile à atténuer.

Mais ces témoignages viennent rappeler que si le cancer dévie votre route, que le terrain de l’existence semble désormais à des années-lumières d’un terrain pourtant de jeux il y a quelques jours encore ; qu’il est tellement escarpé, incertain, accidenté que l’envie de prendre la tangente s’invite régulièrement. Que vous n’en pouvez plus de tous ces virages de l’existence qui vous donnent la nausée, et bien il y a toutes les chances pourtant, tous les espoirs, que ce soit provisoire. Le cancer est une maladie, pas une sentence ; il ne s’agit pas d’une maladie comme une autre bien sûr car elle est extrêmement complexe, presque « rusée » mais cela reste une maladie dont on peut souvent guérir.

L’axe principal de la Vie victorieuse est donc au loin. Il faut river, attacher son regard à l’horizon ; ne jamais baisser ni la garde, ni les yeux. Ne pas se retourner surtout car l’heure est bel et bien aux projets, pas au bilan surtout quand on a douze ans.

Ce que l’on comprend aussi au détour de ces récits, c’est que l’amour des parents, des proches, leur présence comme leur vigilance et celle de l’équipe soignante font partie intégrante du processus de rémission puis de guérison. Ils sont aussi le soin. La tendresse, l’optimiste, le rire, sont de taille à inhiber ou à atténuer les effets secondaires de traitements agressifs par nécessité. Et ce sont en même temps des catalyseurs exceptionnels. L’amour peut tout ce qu’il peut, si l’on peut dire …

Si seulement il pouvait tout.

Un ouvrage profondément humain donc, à offrir sans réserve et à placer dans chaque service de pédiatrie oncologique qui se respecte et respecte les patients. Il donnera aussi aux familles des pistes via l’association Ametist ( http://www.ametist.org) en plus de la force morale qui peut parfois manquer lorsque l’on souhaite extraire son petit d’un protocole de prise en charge dont on devient simplement le spectateur impuissant. Oserais-je rappeler que le titre d’un reportage (toujours disponible sur YouTube) consacré au service de Nicole Delépine avait été intitulé par la journaliste : « Les enfants du Docteur Delépine. » 

Un enfant malade, ce n’est pas un enfant cobaye ; ce n’est pas un terrain privilégié d’expérimentation. Ce n’est pas davantage une occasion. Quant à l’annonce du diagnostic, elle n’est ni une condamnation, ni un compte à rebours. C’est par contre le moment pour le petit patient, comme pour l’ensemble de sa famille, de revêtir la lourde armure des guerriers avec la ferme intention de remporter la première course : de vitesse ; puis la seconde : d’endurance cette fois. Alors, « Hauts les coeurs » car sous les pavés, la plage.

KB

N.B : Bravo à Ingrid pour ces magnifiques photographies. Je comprends, sans la connaître, qu’elle a su créer un climat précieux de confiance et de complicité.

« Il fait beau, je sors
Je trouverai le bon chemin
Et je me sens mieux dehors
Vivre. (…)

Faites, faites, faites couler l’eau
Regarder comme on est beau
On va vivre

Plantes, plantes grimpez
Sève rentre dans nos corps
Venez danser sur la mort
Et vivre. »

Michel Berger