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21/06/2022 (2022-06-20)

Par le Dr Gérard Delépine

La crise des opioïdes représente une catastrophe médicamenteuse trop peu connue en France.

Une catastrophe hors norme

Par son ampleur, la crise dépasse de très loin les catastrophes médicamenteuses précédentes.

Depuis 20 ans, aux USA le nombre de décès par surdose ne fait qu’augmenter. En 2002 on recensait 2 surdoses mortelles pour 100 000 habitants. En 2012, ce chiffre avait quadruplé (8/100000) et en 2021 il atteint 31/100000. Quinze fois plus qu’il y a 20 ans !

Depuis 2017, les opioïdes font chaque année plus de victimes que les accidents de la route.

Fin 2017, le président Trump a déclaré l’état d’urgence sanitaire et alloué un budget de six milliards de dollars pour améliorer l’éducation des patients et des professionnels et favoriser l’accès aux traitements sans que cela ait stoppé la croissance de la mortalité.

Selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies[1]près d’un demi-million d’Américains sont morts de surdoses entre 1999 et 2018

Morts par surdose impliquant des opioïdes aux États-Unis (2000-2016). Morts par 100 000 habitants.

Lors de la pandémie de COVID-19, une nouvelle augmentation importante du nombre de décès consécutifs à une surdose d’opioïdes de synthèse a été observée[2] avec pour la seule année 2021 plus de 107 000 morts (33/100000 soit autant que le diabète et la maladie d’Alzheimer réunis) et presque le double du nombre de soldats américains tombés durant les 20 ans de guerre du Vietnam !

Les salles d’urgence et les ressources de nombreux états sont mises à rude épreuve pour tenter de répondre à l’épidémie. Le Massachusetts, le Vermont et d’autres États ont décrété un « état d’urgence » ou créé des groupes de travail spéciaux pour faire face à la crise qui leur coûte chaque année des milliards de dollars, sans, non plus, d’amélioration visible.

Une catastrophe qui affecte même l’espérance de vie des Américains !

Le nombre de morts par surdose d’opioïdes est tel qu’il diminue l’espérance de vie des Américains. L’espérance moyenne de vie des Américains progressait depuis plus de 50 ans et atteignait 78,9 ans en 2012. Depuis, elle stagne ou diminue : 77 ans en 2020 et 76,6 ans en 2021.

Espérance de vie à la naissance en années (1980-2020).

La catastrophe des opioïdes ne touche pas seulement les États-Unis

Avec moins de 5 % de la population mondiale, les États-Unis représentent 80 % de la consommation mondiale d’opioïdes et concentrent la grande majorité des morts par surdose.

Toutefois, l’usage abusif des opioïdes se répand dans d’autres pays notamment en Grande-Bretagne, phénomène favorisé par la hausse des prescriptions médicales laxistes et à un trafic croissant de drogues illicites.

Selon l’OCDE, hors États-Unis, les pays les plus touchés par les morts par surdoses d’opioïdes étaient le Canada (85 morts par million d’habitants, en 2015), l’Estonie (81), la Suède (55), la Norvège (49), l’Irlande (44) et le Royaume-Uni (41).

À l’origine de la catastrophe, un scandale médical

Il s’agit d’un problème de société qui a été initié par un scandale sanitaire : l’utilisation abusive d’opiacés de synthèse dans la prise en charge des douleurs chroniques non cancéreuses.

Ces prescriptions qui ont créé la dépendance de toute une partie de la population sont la conséquence d’une mise sur le marché trop laxiste (non accompagnée de mises en garde adéquates) puis mal surveillée par la FDA, de recommandations discutables de sociétés médicales et de campagnes de promotion intenses et mensongères des laboratoires pharmaceutiques.

La FDA a approuvé le fentanyl en 1968, puis les fentanyls à libération immédiate transmucosale (TIRF) conçus pour pénétrer dans la circulation sanguine en quelques secondes. Ils sont plus dangereux que la plupart des opioïdes en raison de leur très grande puissance et de leur délai d’action rapide.

Ils n’ont été approuvés par la FDA que pour les patients cancéreux adultes « qui reçoivent déjà et qui tolèrent un traitement aux opioïdes pour leur douleur cancéreuse persistante ».

L’origine de la crise actuelle date du début des années 1990, quand des campagnes d’information organisées par des sociétés savantes et des associations de patients (parfois sponsorisées par l’industrie pharmaceutique) ont sensibilisé l’opinion et le corps médical sur la prise en compte parfois insuffisante du traitement de la douleur.

Des sociétés savantes trop proches de Big Pharma ont émis des recommandations incitant les médecins à prescrire des opiacés pour des douleurs chroniques « même non-cancéreuses. »

Des campagnes de marketing agressives ont été répétées par les industriels, dont Purdue Pharma, suivant les conseils de cabinet spécialisés, dont McKinsey. Elles ont instrumentalisé des études mensongères du début des années 1980 prétendant que ces nouveaux opioïdes ne produisaient pas de risque d’addiction.

Ces manipulations des médecins ont été efficaces. Les prescriptions d’opioïdes ont augmenté de 350 % entre 1999 et 2015. Pendant vingt ans, laboratoires et distributeurs ont ainsi bénéficié d’un marché de 8 milliards de dollars par an.

Mais rapidement de nombreux malades traités par ces opioïdes ont développé une forte addiction aux opiacés les poussant à rechercher leurs drogues auprès des trafiquants lorsque les prescriptions médicales ne leur suffisaient plus. Les hospitalisations et les morts liées aux surdoses d’opioïdes ont alors fortement augmenté.

La FDA, agence captive, n’a pas rempli sa fonction de protection de la population

Lorsque le problème est devenu évident, la FDA n’a pas imposé de mesures strictes pour empêcher une utilisation inappropriée de TIRF. Elle n’a réalisé aucune enquête indépendante, mais s’est contentée des rapports lénifiants que lui adressait l’industrie du médicament.

Cette incapacité de la FDA de protéger la population de l’utilisation de médicaments dangereux n’est pas accidentelle, mais témoigne de sa « capture » par les laboratoires pharmaceutiques qu’elle est censée réguler.

La capture réglementaire (ou captation de la réglementation) est une corruption de l’autorité qui se produit lorsqu’un organisme de réglementation privilégie les intérêts commerciaux d’une industrie, ou d’une profession au lieu de défendre l’intérêt général pour lequel elle a été créée.

Cette capture réglementaire est une conséquence de la défaillance de l’État qui, depuis plusieurs décennies, n’assure plus un financement suffisant pour garantir l’indépendance de l’agence et lui demande de compléter son financement par les entreprises qu’elle doit réguler. Ainsi aux USA près de la moitié du budget de la FDA est assurée par les entreprises du médicament qui en ont ainsi effectivement pris le contrôle. Depuis lors, les décisions de la FDA privilégient presque toujours l’intérêt de l’industrie sur celui de la sécurité médicamenteuse.[3]

L’industrie s’était plainte de la lenteur des procédures de mise sur le marché qui l’empêchait de bénéficier pleinement de la période d’exclusivité octroyée par ses brevets. La FDA a considérablement réduit les procédures classiques et inventé différents motifs d’examens très allégés au détriment de la sécurité des malades, dont les injections anti-covid constituent un exemple démonstratif.

Mais cet allègement des procédures s’est fait au détriment de la sécurité médicamenteuse.

En témoigne la multiplication des scandales médicamenteux depuis plus de 20 ans.

Rappelons celui des antidépresseurs tels que le Prozac (susceptible de favoriser le passage à l’acte et en particulier suicide et tuerie de masse), resté sur le marché alors que Lilly savait depuis les années 1980 que la fluoxétine — principe actif du Prozac — pouvait altérer le comportement des malades, et l’a soigneusement caché ou minimisé.[4]

Pfizer a également été obligé de faire savoir que son médicament vedette, le Celebrex, pouvait entraîner des infarctus.

Et depuis trois ans, Bayer a dû cesser de vendre son Baycol à cause des graves troubles musculaires qu’il peut occasionner, pouvant conduire au décès des patients.

En 2004, devant une commission sénatoriale enquêtant sur le scandale du Vioxx[5] (responsable d’au moins 100 000 victimes, dont 40 000 morts aux USA sans que la FDA intervienne), David Graham, un des cadres supérieurs de la FDA, a déclaré devant la commission d’enquête du sénat[6]:

« d’autres scandales sont à venir, et le pays est pratiquement sans défense contre les médicaments à risque, qui entrent si facilement dans les foyers américains. La FDA est aujourd’hui incapable d’empêcher cela ».

Dès 2005, le Journal of American Medical Association (JAMA) constatait : « la FDA est dépassée et ne remplit plus du tout son rôle. Et nous ne sommes certainement pas les seuls à le penser ».

Le Wall Street Journal précise :

« sur les 327 millions de dollars que l’agence dépense pour les médicaments, seulement 27 sont consacrés à la recherche d’effets secondaires de ceux présents sur le marché. »

Cette incapacité de la FDA à s’opposer aux intérêts des firmes pharmaceutiques a permis à la corruption et aux campagnes mensongères de propagande médicamenteuse organisées par des cabinets de conseil de prospérer.

Les menées de McKinsey contre la Santé publique

Ce cabinet de conseil a fortement contribué à la crise des opioïdes en vendant pendant une décennie des schémas marketing et des services de conseil aux fabricants d’opioïdes, notamment Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Johnson & Johnson ou Mallinckrodt Pharmaceuticals.

Durant la même période, McKinsey a omis de divulguer ses conflits d’intérêts graves et de longue date à la FDA, violant potentiellement les exigences contractuelles et la loi fédérale.

Lors d’un communiqué du 13 avril 2022, Maloney Carolyn B présidente de la commission d’enquête sénatoriale a déclaré[7]:

« l’enquête du Comité de surveillance met en lumière le monde non réglementé et secret des cabinets de conseil privés comme McKinsey qui créent des conflits d’intérêts en travaillant à la fois pour le gouvernement fédéral et les industries réglementées. »

Le rapport d’aujourd’hui montre qu’en même temps que la FDA s’appuyait sur les conseils de McKinsey pour garantir la sécurité des médicaments et protéger les vies américaines, la société était également payée par les entreprises mêmes qui alimentent l’épidémie mortelle d’opioïdes pour les aider à éviter une réglementation plus stricte de ces médicaments dangereux.

« McKinsey a employé au moins 22 consultants à la fois à la FDA et chez les fabricants d’opioïdes sur des sujets connexes, y compris en même temps. Dans les coulisses, les consultants de McKinsey ont tiré parti de leurs relations fédérales pour obtenir encore plus d’affaires dans le secteur privé et ont tenté d’influencer les principaux responsables de la santé publique au nom de clients comme Purdue Pharma. Les consultants de McKinsey ont discuté de la suppression de documents liés à leur travail pour Purdue :

les documents obtenus par le Comité révèlent que dès mai 2017, les partenaires de McKinsey ont discuté des moyens d’empêcher que les documents de McKinsey ne soient découverts dans les poursuites en cours de Purdue. »

Une cinquantaine de procureurs généraux, dont Maura Healey, la procureure générale du Massachusetts, tête de pont dans ce dossier, ont mis en accusation McKinsey.[8][9]

« Notre travail nous a permis de mettre en lumière des schémas marketing qui allaient bien au-delà des premières entreprises que nous avions ciblées dans notre enquête. Au terme de notre travail, il est devenu très clair où nombre de ces schémas marketing trouvaient leur origine : de consultants de McKinsey […]. Pendant ce temps-là, des millions d’Américains sont devenus accrocs, ont fait des overdoses et sont décédés », a-t-elle déclaré.

Il est reproché à McKinsey d’avoir contribué à la crise des opioïdes aux États-Unis en vendant pendant une décennie des schémas marketing et des services de conseil aux fabricants d’opioïdes, notamment Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Johnson & Johnson ou Mallinckrodt Pharmaceuticals, d’avoir poussé à l’augmentation du nombre de visites de représentants commerciaux auprès des plus importants prescripteurs d’opioïdes, d’avoir ciblé des médecins avec des messages spécifiques pour les convaincre de prescrire plus d’OxyContin (le médicament produit par Purdue Pharma), d’avoir encouragé plusieurs producteurs d’opioïdes à s’unir pour résister aux régulations de la FDA qui cherchait à limiter les prescriptions et d’avoir tenté d’influencer des représentants du gouvernement, y compris le secrétaire de l’administration Trump à la santé et aux services sociaux (HHS) Alex Azar, pour faire avancer les intérêts de ses clients du secteur privé. .

Le 4 février 2022, pour éviter un procès public qui aurait possiblement révélé d’autres violations de la loi, McKinsey a proposé de payer 573,9 millions de dollars[10] (5 % de son chiffre d’affaires) en réparation aux états. McKinsey paiera environ 80 % de l’argent immédiatement pour renforcer les programmes de traitement et renforcer les budgets de la police mis à rude épreuve par l’abus accru des opioïdes.

Un scandale médicamenteux aggravé par la corruption du corps médical

Les laboratoires offrent volontiers des cadeaux aux médecins qui prescrivent leurs produits vedettes en prétextant souvent qu’il s’agit de faciliter l’enseignement ou la recherche. Pfizer a ainsi déclaré avoir versé ces quatre dernières années 631 millions de dollars (465 millions d’euros) à environ 300 000 professionnels, dont 173 millions pour 2012 (pour un chiffre d’affaires américain de 23 milliards de dollars).

Fabricant et distributeurs d’opioïdes condamnés

Purdue, basée à Stanford, dans le Connecticut premier fabricant d’opioïdes, a demandé la protection contre la faillite en 2019 après avoir été engloutie dans un tsunami de poursuites (plus de 3000) déposées par les gouvernements des États et locaux.[11]

Il a accepté de régler 8,3 milliards de dollars après avoir plaidé coupable de trois crimes pour sa commercialisation d’OxyContin.

C’était la deuxième fois en 13 ans que la société plaidait coupable à des accusations criminelles pour ses tactiques de vente d’opioïdes.

En juillet 2021, Johnson & Johnson accepte de payer 5 milliards sur neuf ans et les distributeurs McKesson, Cardinal Health et AmerisourceBergen — fournisseurs de quelque 90 % des médicaments américains 21 milliards sur 18 ans. Ces sociétés espèrent ainsi mettre fin à près de 4 000 actions intentées au civil par des dizaines d’États américains et collectivités locales, dans le cadre d’une proposition d’accord à l’amiable « historique ».

Danger des opioïdes en France

D’après les données de l’assurance maladie, environ 10 millions de Français ont consommé des opioïdes en 2015. En une dizaine d’années, la consommation de ces médicaments a fortement augmenté. Entre 2006 et 2017 la prescription d’opioïdes forts, dominée par l’Oxycodone, a cru de près de 150 %, et leurs mésusages ont plus que doublé entre. Le nombre d’hospitalisations liées à la consommation d’antalgiques opioïdes obtenus sur prescription médicale a augmenté de 15 à 40 hospitalisations pour un million d’habitants. Entre 2000 et 2015, le nombre de décès liés à la consommation d’opioïdes a augmenté de 1,3 à 3,2 par million d’habitants, avec au moins 4 décès par semaine.

Le Tramadol serait le premier médicament responsable de ces mésusages, et le premier responsable des décès observés suivi de la morphine, l’Oxycodone puis le fentanyl transdermique à action rapide.

Les modalités de prise en charge et de surveillance par les prescripteurs, ainsi que l’accès restreint à ces médicaments, ont pour l’instant permis d’éviter le pire. Rappelons les recommandations de la ANSM :

« UNE PRESCRIPTION D’ANTALGIQUE OPIOÏDE DOIT SYSTÉMATIQUEMENT S’ACCOMPAGNER D’UNE INFORMATION AU PATIENT SUR LE TRAITEMENT ET SUR SON ARRÊT, ET D’UNE SURVEILLANCE DE CES RISQUES MÊME LORSQU’IL EST INITIALEMENT PRESCRIT DANS LE RESPECT DES CONDITIONS DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ ».



  1. [1] CDC offices gouvernementaux[]
  2. [2] CDC Emergency Preparedness and Response: Increase in Fatal Drug Overdoses Across the United States Driven by Synthetic Opioids Before and During the COVID-19 Pandemic, 17 décembre 2020 – lien : https://emergency.cdc.gov/han/2020/han00438.asp[]
  3. [3] Lire à ce sujet le livre de R F Kennedy :
    « Dès mon entrée à reculons dans le débat sur les vaccins en 2005, je fus stupéfait de constater que le réseau tentaculaire des profonds enchevêtrements financiers entre l’industrie pharmaceutique et les agences gouvernementales de santé avait permis une capture réglementaire musclée. Par exemple, les CDC possèdent 57 brevets de vaccins et consacrent 4,9 % de leur budget annuel de 12 milliards de dollars (en 2019) à l’achat et à la distribution de vaccins. Les NIH sont propriétaires de centaines de brevets de vaccins et tirent souvent profit de la vente des produits qu’ils sont censés réglementer. Des fonctionnaires haut placés, dont le Dr Fauci, reçoivent des émoluments annuels allant jusqu’à 150 000 $ en redevances sur des produits qu’ils contribuent à développer puis à faire homologuer. La FDA reçoit 45 % de son budget de l’industrie pharmaceutique, par le biais de ce qu’on appelle, par euphémisme, les “frais d’utilisation” »
    KENNEDY-Fauci-Gates-BigPharma-640pages 27 26/01/22 09:01 28 ANTHONY FAUCI, BILL GATES ET BIG PHARMA[]
  4. [4] https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2005/01/04/la-pilule-ne-passe-plus-aux-etats-unis[]
  5. [5] Voir la Face cachée du médicament, N Delépine, éditions Michalon, 2011[]
  6. [6] https://www.finance.senate.gov/imo/media/doc/111804dgtest.pdf[]
  7. [7] United States. Congress. The Firm and the FDA:: McKinsey & Company’s conflicts of interest at the heart of the opioid epidemic : interim majority staff report / Committee on Oversight and Reform, U.S. House of Representatives.
    https://permanent.fdlp.gov/gpo182429/2022-04-13.McKinsey%20Opioid%20Conflicts%20Majority%20Staff%20Report%20FINAL.pdf[]
  8. [8] https://gunandsurvival.com/2022/04/28/maura-healey-blasts-mckinseys-opioid-schemes-in-house-hearing/[]
  9. [9] En France le scandale McKinsey a pour l’instant été étouffé à l’approche des élections. Néanmoins il ne saurait disparaître définitivement. «  Quelles missions McKinsey a-t-il effectuées pour l’État ? »
    « Sous le mandat d’Emmanuel Macron, le cabinet McKinsey a été chargé de plusieurs missions. Il a notamment, pendant deux ans et avec le cabinet Accenture, été chargé d’évaluer la stratégie nationale de santé (coût : 1,2 million d’euros). C’est lui qui a également été missionné pour contrôler la viabilité des solutions informatiques de la CAF dans le cadre de la réforme des APL (3,88 millions d’euros). Surtout, de novembre 2020 à février 2022, McKinsey a été chargé de la campagne vaccinale avec l’organisation logistique, la mise en place d’indicateurs et d’outils de suivi ou encore l’établissement d’un plan d’action pour la campagne de rappel pour la 3e dose de vaccin anti-Covid ».
    McKinsey : où en est l’enquête ? Le résumé de l’affaire (linternaute.com) []
  10. [10] Dyer O. McKinsey agrees to pay $574m to US states to settle opioid claims BMJ 2021; 372 : n360 doi:10.1136/bmj.n360[]
  11. [11] The Family That Built an Empire of Pain | The New Yorker[]
L’Humanité est-elle condamnée à la disparition, même sans bombe nucléaire ?

14/12/2022 (2022-12-14)

« Est-ce bien la Terre qui est en danger ? Depuis plus de quatre milliards d’années, notre planète poursuit, imperturbable, son tournoiement sur elle-même et son parcours en ellipse autour du Soleil ; pour elle, les seules influences venues de l’univers qui soient immédiatement décelables sont les liens gravitationnels qui la rendent solidaire du Soleil et de la Lune ; le premier, par sa masse énorme, la maintient rigoureusement sur son orbite, la seconde, par sa proximité, la stabilise et ralentit peu à peu son mouvement de toupie. Vue de Sirius, son histoire actuelle ne comporte guère d’événements marquants »1

Par contre l’humanité est-elle condamnée si on n’y prend garde ? Pendant que les bobos qui veulent sauver la planète refusent l’extrême bonheur d’avoir un tout petit à élever, câliner, aimer (le sel de la vie), les chutes actuelles de la natalité couplées aux effets précoces connus des injections géniques cumulées (la moitié des femmes injectées aurait déjà des troubles menstruels) et inconnues à long terme font craindre le pire. Les fausses-couches et enfants mort-nés se multiplient même si le mot « coïncidence » a fleuri sur les réseaux… (et pas sur les médias mainstream qui sont muets…)

« Cherchez le coupable » disait Columbo. « Je ne crois pas aux coïncidences, demandez à ma femme ».

Chute de la fertilité2 affirmée par l’ONU

En juillet 2022, l’ONU constatait qu’en 2021 la fécondité moyenne de la population mondiale était de 2,3 naissances par femme au cours de la vie. Elle était de 5 dans les années 1950. Pour l’ONU, elle devrait encore baisser d’ici à 2050 pour atteindre 2,1, soit le taux supposé stabiliser la population. Mais selon la tendance récente observée, le recul pourrait être plus important et plus rapide.3

Ainsi, pour les Échos, la population mondiale risque de diminuer de moitié d’ici à 2100

Au rythme actuel de baisse du taux de fécondité (avant les pseudovaccins covid), la population mondiale pourrait être diminuée de moitié à la fin du siècle à un peu plus de 4 milliards d’habitants. Le pic pourrait être atteint au milieu du siècle avant un déclin certain. L’Europe se verrait amputer de 400 millions d’habitants en quelque 80 années4.

La population chinoise pourrait reculer à 1,17 milliard d’habitants en 2050 au regard de la tendance observée du taux de fertilité du pays. (metamorworks/Shutterstock).

Et encore probablement cet article ne tenait-il pas compte de la baisse importante de la natalité observée depuis l’utilisation à échelle mondiale des injections expérimentales anticovid dont l’effet est dissimulé dans les médias, malgré les évidences statistiques.

 

Décembre 2022 : la natalité en chute libre en Union européenne et dans le monde :
ET SI LA NATALITÉ CHUTAIT ENCORE PLUS À LA SUITE DU PSEUDOVACCIN ANTICOVID ?

Les effets délétères des injections anticovid géniques expérimentales sont de plus en plus difficiles à cacher même si les chiffres des agences sont éminemment variables. En tous cas il est difficile de ne pas s’inquiéter du taux important de mortalité néonatale et de fausses couches dans les pays hautement « vaccinés ».

Il paraît donc légitime de se demander quel est l’état de la natalité dans nos pays et dans le monde après ces trois ans de délire collectif. D’autant plus que l’ONU prévoyait déjà une descente de la natalité. Nous étions déjà inquiets de l’effet des dégâts environnementaux du fait de la baisse du nombre de spermatozoïdes depuis plusieurs décennies chez nos jeunes hommes (alimentation, rejets hormonaux en masse dans nos eaux, etc. pesticides et modificateurs hormonaux des cosmétiques…).

Les attitudes alarmistes et sectaires de certains d’écologistes peu instruits de la réalité qui essayent de mettre dans la tête de nos enfants l’idée de ne pas faire d’enfants pour « sauver la planète » sont choquantes. Inculture, prétention et vanité vont de pair. Elles conduisent à refuser la paternité ou maternité ; poussent certains à la vasectomie ou à la ligature de trompes ?. Quel manque d’humilité de la part de ces « humains »… D’autres n’hésitent pas à écrire que le changement climatique serait responsable de cette baisse de natalité, mais le mensonge est bien sûr la chose du monde la plus répandue… avec la lâcheté et la bêtise.

PAS DE BABY-BOOM POST CONFINEMENT

Les confinements imposés pendant de longues périodes dans les pays occidentaux et asiatiques avaient conduit certains à prédire un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, la consolation de la couette remplaçant les vidéos lassantes. Manifestement il n’en fut rien et les explications fusent, plus ou moins logiques, ou probables.

La dépression collective induite par la succession de peurs suscitées puis répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée via les médias aux ordres y est sûrement pour quelque chose. L’angoisse d’une guerre nucléaire, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries organisées (pas de moutarde en France et des rayons pleins en Italie) la hausse du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité, bref le pouvoir ne manque pas d’idées pour maintenir l’angoisse dans la population…

La dépendance aux écrans remplaçant de plus en plus les relations humaines joue aussi un rôle. Une banale observation de clients d’un restaurant conduit à cette désespérante évidence : les gens, couples, familles, ne se parlent plus qu’à travers leurs portables et une réponse même à table est plus vite obtenue via un SMS qu’une conversation normale. La vie virtuelle imposée par nos gouvernants remplacerait-elle la vie réelle ?Des analystes japonais blâment les divertissements nippons, tels que certains mangas ou des jeux vidéo, qui proposent à leurs utilisateurs tout un panel de plaisirs virtuels et les éloigneraient des formes de plaisirs réels.5

Bref les multiples explications se bousculent, dont certaines ne datent pas de l’affaire covid, mais de mauvais esprits (complotistes d’extrême droite… ?) ont osé évoquer le rôle possible des injections géniques dans une probable chute de la natalité.

Quels sont les faits avérés ?

En France, l’INSEE vient de publier des chiffres très alarmants

L’INSEE confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudovaccination.

2 décembre 2022 :

« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte des 85 % de taux de vaccination dans la population, est devenue catastrophique depuis le mois d’août, c’est-à-dire depuis les premiers effets de la troisième dose. Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce trou d’air inquiétant pour l’avenir démographique du pays ».

Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2.100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de COVID. Ils n’ont été que 2.000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce phénomène très inquiétant…

Aux USA la natalité a baissé aussi depuis 2008 6

« Entre 2000 et 2019, le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,39 % par an. Le rythme de la baisse s’est accéléré entre 2010 et 2019, lorsque le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,96 % par an. Mais la baisse a été beaucoup plus forte en 2020 : le nombre moyen de naissances quotidiennes était inférieur de 4,06 % à celui de 2019 ».

Et en 2022, aggravation probable.

VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports

Ces tableaux issus du VAERS de recueil des données américaines pour les CDC et la FDA montrent une augmentation considérable des fausses couches et de la mortalité néonatale depuis la période des vaccins covid.
La même constatation peut se faire sur le tableau des troubles menstruels et hémorragies depuis le début de l’expérimentation.

Selon Brighteon.TV :

« La seule chose qui a changé au début de l’année 2021, c’est que Donald Trump a pleinement lancé l’opération Warp Speed, libérant des milliards d’injections chimiques expérimentales sur le monde. Et environ neuf mois plus tard, les taux de natalité dans le monde entier ont plongé.

Le Dr Naomi Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins qui vont bien au-delà du simple échec de la reproduction. Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme, la fonction de la prostate et donc la fertilité.

La FDA a été informée à ce sujet le 1er avril 2021, sans aucune réponse. Des problèmes de fertilité féminine, qui ont également été ignorés par les régulateurs fédéraux. Des échographies montrant une inflammation et une calcification anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection. Mais aussi des lésions péniennes dont Pfizer reconnaît l’existence dans ses propres documents internes. Des fausses couches avec un taux variable selon l’âge de la grossesse, mais qui peut atteindre 87,5 %. »

AUTRES EXEMPLES DE BAISSE DE LA NATALITÉ DANS LE MONDE
L’Australie enregistre une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés7.

Information publiée par le Bureau australien des statistiques (ABS) depuis le lancement des « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. De novembre à décembre 2021, soit un mois plus tard seulement, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

« Décembre était environ neuf mois après le lancement des vaccins COVID », note David James de LifeSiteNews à propos de la période difficile entre la conception et la naissance.

« La Therapeutic Goods Administration (la FDA australienne) a commis des meurtres de masse contre des citoyens.
Il y a vraiment de fortes chances que personne dans la politique australienne, à l’exception peut-être de quelques individus “marginaux”, ne dise un mot de ces données accablantes. C’est parce qu’elles exposent les vaccins contre la grippe de Fauci comme un outil de dépeuplement
. »

La Therapeutic Goods Administration (TGA), la version australienne de la FDA, a-t-elle pris la peine d’examiner tout cela lorsqu’elle a autorisé, approuvé, puis rendu obligatoires les vaccins contre la grippe de Fauci pour ses citoyens ? Si elle l’a fait, comment la TGA est-elle parvenue à la conclusion que ces vaccins sont sans danger pour tout le monde, et encore moins pour les femmes enceintes ?

Le Dr Luke McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patients après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed, le taux de fausses couches chez les patients de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes « vaccinées », il a atteint 74 %.

« Il faudra du temps pour répondre aux premières interrogations, mais elles doivent être posées : “Pourquoi la baisse du taux de fécondité se produit-elle ? Pourquoi le taux de mortalité en Australie a-t-il bondi ? » 8

https://www.naturalnews.com/2022-11-17-australia-63-percent-drop-births-covid-vaccines.html

Taiwan a connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.
La Suisse

a connu un recul inouï (-3,4 écart-types de la moyenne à long terme) de sa natalité, exactement neuf mois après le début de la vaccination anti-Covid de ses citoyens âgés de 20 à 49 ans9

BAISSE DU NOMBRE DE NAISSANCES D’UNE AMPLEUR JAMAIS VUE EN 150 ANS — EST-CE DÛ À LA VACCINATION CONTRE LE COVID-19 ?

Les données fournies par l’Office fédéral de la statistique (OFS) permettent d’établir que, depuis janvier 2022, le nombre de naissances vivantes s’est abaissé comme jamais auparavant en Suisse et dans le canton de Berne1. En février 2022, seules 628 naissances vivantes ont été enregistrées.

D’après nos calculs, cette valeur s’écarte de 3,4 écarts-types de la moyenne à long terme (de janvier 2015 à juin 2022). Il s’agit de la plus forte baisse depuis que l’OFS récolte les données relatives aux naissances vivantes (1872).

 

« Il est urgent de déterminer les causes précises de cette baisse ». Certes il est impossible de conclure à une causalité sur la base d’une simple corrélation temporelle, mais les observations exposées ci-dessous sont tout de même inquiétantes.

« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. Ensuite, en comparant entre les régions, on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %) ».

Les données ne permettent pas de faire de rapprochement entre la dénatalité et le nombre de cas de COVID-19 ou d’hospitalisations liées au COVID-19.

Les graphiques suivants sont tirés du document de 66 pages intitulé « Geburtenrückgang in den Schweizer Kantonen » [Recul de la natalité dans les cantons suisses] publié le 13 août 20222 :

 

D’après Konstantin Beck, professeur à l’Université de Lucerne et conseiller spécialisé en économie de la santé, cette méthode ne permet pas de prouver formellement qu’il y a un lien entre la baisse du nombre de naissances vivantes et l’accroissement de la couverture vaccinale3.

Néanmoins il suppute :

« Au vu des données dont nous disposons concernant les naissances en Suisse, nous pouvons supposer que la vaccination est à l’origine du surprenant et considérable recul du nombre de naissances vivantes »4.

Israel a publié les conséquences néfastes de l’injection génique sur la mortalité périnatale, les fausses couches spontanées, etc.

Les chiffres officiels d’Israël (02/2022) sur la mortalité périnatale, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées10 CHD.TV Israël — « Vaccins et allaitement » : un sujet peu paru dans les médias… et pourtant déjà vieux de plusieurs mois » 11

L’Allemagne et la Suède
L’Espagne

Au cœur de la réserve naturelle des Arribes del Duero Fermoselle l’exemple d’une Espagne qui se dépeuple12

Si l’Espagne a enregistré le plus faible taux de natalité de ces 20 dernières années, Fermoselle un triste record : c’est la plus grande municipalité d’Espagne (1131 habitants recensés en 2021) parmi celles qui n’ont pas eu une seule naissance ces deux dernières années. « Nous sommes la capitale d’une Espagne qui se vide », se vantent les habitants, comme s’ils avaient été choisis pour accueillir les Jeux olympiques.

En 2018, il n’y a eu aucun nouveau-né dans le village, et cette année, une fillette est morte quelques jours après sa naissance. « À ce rythme-là, nous allons finir par disparaître », déplore le maire, de retour d’une réunion de la Junta [gouvernement de la région autonome] de Castille et Léon, au cours de laquelle 3,5 millions d’euros de fonds européens ont été débloqués pour protéger les oiseaux du Parc naturel d’Arribes de Duero.

« C’est très bien que l’aigle de Bonelli ou le percnoptère ne s’éteignent pas, je ne dis pas non, mais il ne faudrait pas qu’on s’éteigne nous aussi, fait-il valoir. Qu’est-ce qu’ils vont faire quand on ne sera plus que 4 habitants dans le village ? Nous cloner ? »

José Manuel Pilo a remporté les élections municipales en mai sous les couleurs d’une plateforme citoyenne créée après les incendies qui ont ravagé le village en 2017. Il a mis fin aux 30 ans de règne du Parti populaire (PP, conservateur) et détient la majorité absolue [au conseil municipal]. Il a autant de conseillers municipaux qu’il y a d’enfants inscrits à la garderie municipale : cinq.

Le taux de natalité est au plus bas en Angleterre et au Pays de Galles

En 2018, le taux de natalité a atteint un niveau historiquement bas en Angleterre et au pays de Galles, représentant une baisse de 46 % par rapport au record historique de 1947.

Depuis le début du recensement des naissances en Angleterre et au pays de Galles, le nombre de nouveau-nés n’a jamais été aussi bas, rapporte The Guardian. Le record de naissances avait eu lieu en 1947. Comparé à cette date, le nombre de naissances a chuté de 46 % l’an dernier.

En 2018, 657 076 naissances ont été enregistrées. Cela représente une baisse de 3,2 % par rapport à l’année précédente, et de 10 % par rapport à 2010. Le taux s’est élevé à 11,1 naissances pour 1 000 habitants. « Les chiffres, fournis par l’Institut national des statistiques [l’Office for National Statistics (ONS)], montrent également que le pourcentage de bébés vivants dont la mère n’est pas née au Royaume-Uni a diminué pour la première fois depuis 1990, passant de 28,4 % à 28,2 % », détaille The Guardian.

Le taux de fécondité global a lui aussi baissé. Il était de 1,7 enfant par femme en 2018, soit une baisse de 3,4 % par rapport à l’année précédente. Citée par le quotidien britannique, Ann Berrington, professeure de démographie et de statistiques sociales à l’Université de Southampton, explique ces données par l’évolution des aspirations, l’éducation, mais également l’accès à la contraception.13 Qu’en sera-t-il après les ravages de l’injection génique ?

Beaucoup s’interrogent : @elonmusk

« Ces faibles poids à la naissance et ces malformations du génome humain après le développement du vaccin covid sont tout simplement épouvantables, comment la Terre prévoit-elle de réparer cette erreur d’interprétation génétique créée par l’homme ? »

Et concluons par une belle citation de Victor Hugo :

« Seigneur, préservez-moi, préservez ceux que j’aime, frères, parents, amis, et mes ennemis mêmes dans le mal triomphant, de jamais voir, Seigneur, l’été sans fleurs vermeilles, la cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, la maison sans enfants ! »


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