DYSPHORIE DE GENRE TOULOUSE 15 03 25 V4

 

LIRE LE DIAPORAMA CI-DESSUS

 

 

Couv Dysphorie de genre

 

GENDER DYSPHORIA 2024 04 13

 

 

CassReview_Final 

 

 

 

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2025 03 15 Toulouse Bilan catastrophique de la politique sanitaire Française

 

 

et revoir  Covid19 et confinement aveugle, combien de morts évitables ? – Docteur Nicole Delépine

 

 

241206_ couverture et quatrième du cancer à la vie

 

 

Le monde et nous. Avec le Dr Gérard Delépine et Rebecca Horiot – Profession Gendarme  

 

 

Exemple d’un combat qui semblait perdu d’avance 2

 

 

 

Voici les liens de l’émission enregistrée sur tvadp le 6 mars 2025

 

https://www.youtube.com/watch?v=VO0yBoeUD24

 

https://crowdbunker.com/v/NqtbprDi

 

https://vkvideo.ru/video430568862_456242233?t=1h11m38s

 

 

et un très beau témoignage : merci Karen

Bon Dimanche sous la pluie à Bordeaux … 😊☔🙋

envoyé : 9 mars 2025 à 07:50
de : Karen BRANDIN
objet : parution : Du CANCER à la VIE

Commentaire :

TITRE  : « Parlez-moi de votre fille … » (le Docteur N. Delépine à une maman)

« On vous emmène faire le tour de notre drôle de vie,

Et un peu de elle aussi de patients que l’on a guéris,

On est partis tous les deux pour une drôle vie,

Pour vous on reste curieux

Et l’on fait ce que l’on s’est promis … »

Si ce beau livre débute par un poème de Victor Hugo, il aurait tout aussi bien pu s’ouvrir je crois, sur cette revisite d’un texte de Véronique Sanson.

En effet, ce recueil est une invitation à découvrir ou redécouvrir deux carrières complémentaires et en tous points exceptionnelles. Par discrétion, parce que tous les hommages seraient nécessairement vains en plus d’être incomplets, je n’entreprendrai pas d’égrener l’interminable liste des qualités d’honnêteté, de dévouement et de droiture dont Nicole et Gérard Delépine n’ont jamais cesser de faire preuve au cours de leurs quarante années de pratique médicale.

En réalité, selon moi : « Nul n’est censé ignorer l’existence de cet extraordinaire couple de médecins » ;-). Cette mention serait d’ailleurs bien inspirée d’être ajoutée à la toute fin du serment d’Hippocrate si fréquemment bafoué depuis la crise Covid.

Je vais donc simplement me permettre de pointer du doigt l’intelligence de ces deux âmes sœurs ; leur rigueur, leur insatiable curiosité vis à vis d’une littérature scientifique internationale qu’ils n’ont jamais cessé d’écumer, d’interroger et cette formidable agilité intellectuelle qui aura permis de les rendre, – mais surtout de les garder -, libres envers et contre tout.

Parfois contre “tous” (lire ou relire : « Neuf petits lits sur le trottoir » paru aux éditions Fauves – 2015).

S’ils sont un exemple, un modèle, c’est qu’en plus de faire preuve d’une éthique sans faille, ce sont toujours à l’heure actuelle des bourreaux de travail, à un moment pourtant où la tentation de la paresse gangrène tout.

Des vices, c’est sans doute celui qui semble le plus sympathique : on plaisante sur la flemme de la jeunesse, de nos élèves notamment. Sauf que cette paresse draine avec elle tout un cortège macabre : les concessions, l’indifférence, l’approximation, la corruption et, à terme, le mensonge ; jusqu’à fragiliser très sérieusement notre démocratie.

Justement, je perçois dans cet ouvrage, et ce bien au-delà d’une touchante galerie de portraits de jeunes gens, de jeunes parents épanouis, l’occasion de deux legs de nature différente mais d’égale importance.

Le premier est d’ordre scientifique, car il ne s’agit surtout pas de se résigner à évoquer le service atypique du Dr Nicole Delépine (aujourd’hui malheureusement fermé ; brutalement fermé en réalité à grand renfort de camions de CRS), avec une certaine nostalgie.

Il était trop essentiel pour faire partie du passé ou encore des archives de la médecine. Il faut au contraire impérativement en faire renaître l’esprit de sorte de faire vivre la liberté thérapeutique (qui est une composante fondamentale de la liberté d’expression). Ces prises en charge, drôlement qualifiées « d’alternatives » (chimiothérapie et/ou chirurgie conservatrice, pour le coup innovante), ces protocoles largement éprouvés dont on maîtrise de fait la toxicité, pour lesquels on dispose d’antidotes, doivent être transmis, enseigné le plus largement possible aux générations futures qui confondent trop souvent “innovation” et « progrès. » Il faut dire que les sirènes des laboratoires sont de si douces et de si lucratives chaînes …

En ce sens, ce livre est un cadeau tout désigné pour des étudiants en médecine que l’on souhaiterait “affranchir” avant qu’ils ne soient corrompus “par la matrice” et deviennent addict aux contentions, aux graphiques tronqués et à l’assistanat numérique : IA, obsession des essais thérapeutiques en première intention et autres séduisantes thérapies dites « ciblées » (quand on ne parle pas de « médicaments intelligents. » On attend avec une terreur non-dissimulée le moment où ils vont s’auto-prescrire puis s’auto-administrer !).

Le second legs est quant à lui d’ordre affectif. On parle parfois « de leçon de vie. » On est, au travers de ces pages, les témoins privilégiés de morceaux d’existence que l’on découvre pleines et entières.

Ces sourires radieux ne sont pas plus amputés que ne l’ont été les jambes ; jamais empruntés non plus. Encore moins condamnés à n’être rien de mieux que définitivement “convalescents” ; ce sont autant d’espoirs pour les familles aujourd’hui frappées par une si douloureuse épreuve. Bien sûr que l’annonce d’une maladie grave, en outre si tragiquement présente dans notre imaginaire, est incompréhensible, injuste, obscène même quand elle frappe un bout de chou. Il s’agit d’une déflagration difficile à atténuer.

Mais ces témoignages viennent rappeler que si le cancer dévie votre route, que le terrain de l’existence semble désormais à des années-lumières d’un terrain pourtant de jeux il y a quelques jours encore ; qu’il est tellement escarpé, incertain, accidenté que l’envie de prendre la tangente s’invite régulièrement. Que vous n’en pouvez plus de tous ces virages de l’existence qui vous donnent la nausée, et bien il y a toutes les chances pourtant, tous les espoirs, que ce soit provisoire. Le cancer est une maladie, pas une sentence ; il ne s’agit pas d’une maladie comme une autre bien sûr car elle est extrêmement complexe, presque « rusée » mais cela reste une maladie dont on peut souvent guérir.

L’axe principal de la Vie victorieuse est donc au loin. Il faut river, attacher son regard à l’horizon ; ne jamais baisser ni la garde, ni les yeux. Ne pas se retourner surtout car l’heure est bel et bien aux projets, pas au bilan surtout quand on a douze ans.

Ce que l’on comprend aussi au détour de ces récits, c’est que l’amour des parents, des proches, leur présence comme leur vigilance et celle de l’équipe soignante font partie intégrante du processus de rémission puis de guérison. Ils sont aussi le soin. La tendresse, l’optimiste, le rire, sont de taille à inhiber ou à atténuer les effets secondaires de traitements agressifs par nécessité. Et ce sont en même temps des catalyseurs exceptionnels. L’amour peut tout ce qu’il peut, si l’on peut dire …

Si seulement il pouvait tout.

Un ouvrage profondément humain donc, à offrir sans réserve et à placer dans chaque service de pédiatrie oncologique qui se respecte et respecte les patients. Il donnera aussi aux familles des pistes via l’association Ametist ( http://www.ametist.org) en plus de la force morale qui peut parfois manquer lorsque l’on souhaite extraire son petit d’un protocole de prise en charge dont on devient simplement le spectateur impuissant. Oserais-je rappeler que le titre d’un reportage (toujours disponible sur YouTube) consacré au service de Nicole Delépine avait été intitulé par la journaliste : « Les enfants du Docteur Delépine. » 

Un enfant malade, ce n’est pas un enfant cobaye ; ce n’est pas un terrain privilégié d’expérimentation. Ce n’est pas davantage une occasion. Quant à l’annonce du diagnostic, elle n’est ni une condamnation, ni un compte à rebours. C’est par contre le moment pour le petit patient, comme pour l’ensemble de sa famille, de revêtir la lourde armure des guerriers avec la ferme intention de remporter la première course : de vitesse ; puis la seconde : d’endurance cette fois. Alors, « Hauts les coeurs » car sous les pavés, la plage.

KB

N.B : Bravo à Ingrid pour ces magnifiques photographies. Je comprends, sans la connaître, qu’elle a su créer un climat précieux de confiance et de complicité.

« Il fait beau, je sors
Je trouverai le bon chemin
Et je me sens mieux dehors
Vivre. (…)

Faites, faites, faites couler l’eau
Regarder comme on est beau
On va vivre

Plantes, plantes grimpez
Sève rentre dans nos corps
Venez danser sur la mort
Et vivre. »

Michel Berger

 

 

 

Pourquoi  l’obligation vaccinale des enfants doit être rapidement supprimée, et la liberté de soigner rétablie  ? 

 

N Delépine  pédiatre cancérologue

 

« Exception française » et malheureusement pas la meilleure. Quinze pays européens n’ont aucune obligation vaccinale,  et la mortalité des enfants n’y est pas supérieure à la nôtre.

Pourquoi cet acharnement des dirigeants français à vouloir injecter les petits, y compris les nouveau-nés dont le système immunitaire ne commencera à être mature que vers les six mois, et chez lesquels l’allaitement par la mère est encore la meilleure protection. Ne peut-on pas y voir des enjeux essentiellement politiques et marchands ?

Avant la loi imposant à tous les enfants nés au-delà du 1er janvier 2018 onze vaccins obligatoires, avaient eu lieu des « concertations » dont on apprit sans surprise qu’elles n’étaient que poudre aux yeux et manipulation.

 

La concertation et la démission du haut-fonctionnaire chargé de cette mission.[1]

Thomas Dietrich, [2] dans son rapport « Démocratie en santé : les illusions perdues » a expliqué le désastre d’une pseudo concertation : »Résumons le tableau, qui ressemble de plus en plus à une vision de l’Enfer de Jérôme Bosch : un débat public piloté par une agence sous tutelle de l’Etat et qui mène dans le même temps des campagnes de communication pro-vaccination, un comité d’organisation de ce débat aux ordres de la Ministre, un comité d’orientation dirigé par un proche de M Touraine et qui n’aura de fait aucune indépendance… N’importe quel citoyen peut ici se rendre compte que tout est mis en œuvre pour que la concertation accouche de conclusions qui aillent dans le sens de la politique que veut mener ce gouvernement ; qu’importe l’opinion d’une part non négligeable de la population »

 

Nous étions sous le magistère de Marisol Touraine qui avait réussi à faire passer sa funeste loi de modernisation de la santé  avec Olivier Véran comme rapporteur : entre une grande manifestation médicale avortée le 13 novembre 2015 et le Bataclan, et la sidération qui a suivi, elle fit subrepticement voter la première loi au parlement par une dizaine de députés, les autres étant à une commémoration des victimes. La loi fut promulguée de manière expéditive en janvier 2016 au JO. [3][4]

Et en 2022 sans aucune gêne cette dame se déclara devant la foule des affidés de E M à la fête à l’Elysée.  « une ancienne ministre de la santé félicite le président lors de son investiture le 6 mai 2022 et lui dit « maintenant tu es libre Maintenant tu as les mains libres. Tu peux faire tout ce que tu veux le pays tu peux l’embarquer ». Croyait-on changer de parti ? Non les socialistes allaient régner en maitre pendant toute la dramatique plandémie Covid, à la tête de toutes les institutions de contrôle malgré leur score inférieur à 2% aux élections. Hold-up, coup de maitre depuis 40 ans de ce mini groupe.

 

Eh oui, il fit tout ce qu’il voulait, du coup de Jarnac où il alla dans les collèges faire la pub du Gardasil malgré son inefficacité contre le cancer et sa dangerosité et imposa dès juillet 24 un décret signé par un ministre éphémère imposant quatre valences supplémentaires contre le méningocoque, faisant craindre une augmentation des méningites des nourrissons.

 

 

 

Qu’importe que nos hôpitaux soient saturés, l’ogre big pharma en veut toujours plus. Et en ce 22 février 25 on apprend que la surprenante ministre de l’Éducation nationale E Borne (qui avoue n’y rien connaitre mais accepte le poste) envisage une grande campagne de vaccination Gardasil + méningocoques à la rentrée 25-26.

 

Vaccin, toujours vaccin  devenu le maitre mot de la  « santé » en France oubliant l’Histoire des maladies infectieuses des siècles précédents, et l’ensemble de la médecine moderne depuis plus d’un siècle. Même les progrès dans le traitement des cancers sont oubliés, niés et devraient être remplacés par des « vaccins » et à ARNm de surcroit, que RFKennedy s’apprêterait à interdire aux USA[5].

 

2017  Ainsi le résultat  de l’arrivée de E Macron dans l’environnement Sanofi fut la loi Bachelot votée en début de mandat du président,  imposant onze vaccins inutiles en France et  parfois dangereux, singulièrement comme l’hépatite B chez le nouveau-né et son cortège d’effets toxiques.

 

 

Notons que cette obligation terrible pour plus de trois millions de bébés depuis cinq ans s’inscrit dans un contexte de conflit d’intérêts. La publication de ce plaidoyer pro obligation illustrait  un lourd conflit d’intérêt : le directeur général de l’INSERM, Y. Lévy, mari d’ A. Buzyn, a en effet fait toute sa carrière de chercheur dans l’étude et la mise au point de vaccins et ses nombreuses fonctions et présidences actuelles mettaient en évidence, au minimum, de nombreux liens d’intérêt dans ce domaine de la recherche. La publication, sans auteur physique déclaré (donc sous sa responsabilité) est manifestement destinée à justifier l’obligation vaccinale que la ministre, son épouse, voulait, et a imposé  aux français au nom du gouvernement.[6]

On apprendra pendant la plandémie covid le rôle probablement important dans les rapports avec Wuhan du PR Levy….

 

 

 

Avant 2018, les parents se battaient pour supprimer l’obligation du DT POLIO en France[7] et n’imaginaient pas les conséquences de ce combat (incluant les ennuis du PR Joyeux via le conseil de l’ordre qui anticipaient ceux de tous les médecins qui allaient choisir de soigner leurs malades au lieu de les laisser mourir sous doliprane et de leur injecter un poison expérimental). Aucune surprise dans le déroulement des choses pour ceux qui menaient ce combat pour la liberté de choix des citoyens et des soignants.

Les études disponibles actuellement via les travaux de RFK et son équipe de Children’s health defense  ne l’étaient pas encore mais chacun se sensibilisait progressivement à la différence d’état global des enfants entre les boomers et les plus jeunes. Beaucoup de questions se posaient même si elles étaient interdites..

Sujet tabou et intervention de la justice pour des injections à l’évidence inutiles.

et pourtant les vaccino prudents avaient raison :

Qu’en est-il actuellement et pourquoi ce combat, éteint comme le reste pendant la sidération covid, est devenu indispensable, vu l’agressivité des professionnels pour imposer « la loi » qui s’aggrave encore avec le décret méningocoque de juillet 24 et les campagnes de propagande renouvelées par le ministère, les ARS ou la sécu avec l’argent de nos impôts ?

Vu également la prise de conscience de nombreux citoyens  en raison des multiples mensonges covid. Il est temps d’en sortir.

 

L’état des lieux en bref

 

Aucun des vaccins obligatoires n’est à ce jour indispensable en France.

 

En France métropolitaine, en 2018, pour un enfant le risque de mourir du tétanos était  nul et l’est toujours

Son risque d’attraper la poliomyélite était et reste  nul, aussi puisque le virus a disparu de notre pays depuis plusieurs décennies, et qu’il ne peut se transmettre que par voie féco-orale, autrement dit par la contamination de la nourriture ou des boissons par les excréments d’un porteur de virus. La transmission de la maladie est donc impossible si on respecte les règles d’hygiène minimales (lavage des mains et des fruits et légumes) et qu’on utilise une eau potable.

Pour relancer la vaccination, les autorités agitent la présence de virus polio) dans les eaux usées qu’on trouve régulièrement mais il s’agit du virus des vaccins oraux qui  se multiplient dans les intestins des vaccinés avant de contaminer les eaux des toilettes. Sans vaccin contre la polio il n’y aurait pas de virus de polio dans les eaux usées

@NeveuxBertrand

16 déc. 2024

#Polio : la Finlande révèle la présence du poliovirus dans des échantillons d’eaux usées Le pays rejoint ainsi l’Espagne, la Pologne, l’Allemagne et le Royaume-Uni depuis septembre. À ce jour, aucun cas de polio humaine n’a été signalé https://ow.ly/pl5Y50UryAC

Mais le gouvernement du Mr Bayrou relance la peur avec présence du virus dans les eaux usées de l’est de la France. La peur, ce bon vieil outil éternel pour faire obéir les peuples.

Quant à la diphtérie, son risque létal est proche de zéro dans les pays où la population dispose d’antibiotiques et de sérum antitoxines (à condition que notre ministère ne fasse pas comme le ministère espagnol qui a mis cinq jours pour s’en procurer en Russie pour le malade récent de Catalogne).

Ces trois obligations vaccinales datent de plus de 50 ans (1938 pour la diphtérie, 1940 pour le tétanos et 1962 pour la polio).

 

 

 

A l’époque, ces maladies graves étaient très fréquentes. Ces obligations ont depuis été déclarées obsolètes, même par les plus fervents défenseurs des vaccinations, comme le professeur D Floret, président du Comité technique des vaccinations (CTV), qui plaidait en 2015 pour sa levée devant le Haut conseil de santé publique. « Il faut un débat autour de cette question : c’est un choix politique et de société. Mais en l’état, cette obligation n’est ni lisible ni applicable ». [8] [9]

Plus de risque médical, mais risque judiciaire, UBU est parmi nous  dès avant 2018

L’obligation du DT Polio chez les enfants nés avant 2018 créait encore un risque judiciaire, malgré son inutilité unanimement reconnue. Dans notre société qui renie chaque jour ses bases morales, vous risquez néanmoins un signalement au juge pour défaut de soins. Le juge appliquera la loi en vigueur (il n’aurait pas plus le choix que notre pédiatre ne pense l’avoir). Vous risquez théoriquement deux années de prison (mais avec sursis vraisemblable à cause du ridicule d’une obligation inutile). Mais vous risquez aussi que le juge vous prive de la tutelle de vos enfants, et les place.

 

Pour défendre une obligation supprimée depuis des décennies par tous les pays d’Europe du Nord (qui nous devancent maintenant par la qualité de leur système de santé), par la Suisse, l’Angleterre, l’Allemagne, les Pays-Bas et même la Belgique et reconnue inutile par nos fervents vaccinologues, les parents avaient signé des pétitions en ligne. On apprit que la suppression de la présentation dtpolio était une astuce pour imposer l’hexavalent plus cher et qu’un seul labo pouvait fournir

 

La réponse au combat des parents  pour la suppression de l’obligation du dtpolio fut donc l’augmentation du nombre d’injections obligatoires à onze contre l’avis des professionnels concernés et des citoyens !

 

L’hépatite B se transmet par le sang, le sexe ou une aiguille (drogue) ; donc aucun risque chez le nourrisson, et l’immunité vaccinale aura disparu lors du début des périodes à risque (adolescence) ! sans oublier les risques reconnus : il expose à de nombreuses complications. Le taux de conversion en sclérose en plaques[14] est de 52% chez les vaccinés HB contre 32% pour les autres[15]. Le Tribunal Administratif, l’ONIAM et le Conseil d’Etat ont reconnu la responsabilité du vaccin chez les victimes contraintes à se vacciner du fait de leur emploi.

Cette vaccination contre l’hépatite B a été suivie d’une augmentation considérable des cancers du foie dans tous les pays ou cette vaccination anti-hépatite a été utilisée que ce soit en France ou leur  incidence a été multipliée par trois  :

 

ou en Australie, Canada, Grande Bretagne ou USA ou elle a été multipliée par 3 à 4 :

 

 

 

 

 

Le Vaccin contre Haemophilus influenza est peu efficace et aux USA la population serait plus à risque qu’avant les campagnes de vaccination. Les signataires de la lettre ouverte au ministre de la Santé du 1er décembre 2025 ont décliné les arguments contre toutes ces injections obligatoires injustifiées.

« Concernant les infections invasives à Haemophilus Influenza b, «Pour la quatrième année consécutive, l’augmentation de l’incidence des infections invasives à Haemophilus influenzae a été observée chez les enfants de moins d’un an (+13 %) et chez ceux âgés [d’un à deux ans] (+24 %). Ces incidences étaient supérieures à celles observées en 2019.». Donc, de façon inattendue, malgré une progression de la couverture vaccinale, il a été observé une augmentation de l’incidence. Dès lors, quel est l’intérêt pour la Santé Publique : -de rendre obligatoire les vaccins anti-méningocoques A, W, Y et B ? – de poursuivre absolument la vaccination anti-pneumocoques, pour laquelle arrivent sur le marché de nouveaux vaccins contenant encore plus de souches (Vaxneuvance, Prevenar20) ? – de continuer la vaccination anti-Haemophilus Influenza b ? Comme déjà observé, en voulant à tout prix combattre les méningites bactériennes par la vaccination, on favorise l’émergence de souches jusque-là fort discrètes par pression de sélection, et aboutit à une situation pire que celle que l’on cherchait à prévenir. Ce risque est inacceptable ![10]

Coqueluche : – Selon le Bulletin Coqueluche du 22 novembre 2024 (8), on note un pic de coqueluches particulièrement élevé depuis janvier alors que la couverture vaccinale n’a jamais été aussi haute, puis une décroissance du nombre de cas en fin d’année ; pourtant, on n’a pas vacciné davantage. – Ce pic s’expliquerait, selon le Pr R.COHEN(9), par une dette immunitaire, conséquence délétère des mesures Covid ;on voit augmenter en flèche successivement depuis lors.

Quant à la vaccination contre le Méningocoque, méditons l’avis du Pr Gilberg : « vacciner 800.000 nourrissons à 5 mois contre le méningocoque C, pour éviter potentiellement deux à quatre décès chez les nourrissons de moins d’un an. Si la recommandation se comprend, cela peut être compliqué de justifier l’obligation » .[11]

La brochure de l’INSERM prétend que se vacciner protège les autres. C’est globalement faux.

Le vaccin anticoquelucheux ne prévient pas la transmission de B Pertussis, responsable de l’infection. La protection des petits par évitement des contacts et port de bavettes est majeure. La Suède a abandonné ce vaccin dès 1979 parce que des épidémies survenaient parmi les populations parfaitement vaccinées, et à cause des nombreux effets secondaires dus au vaccin, particulièrement les atteintes cérébrales.

 

 

 

La liste serait longue des contradictions entre la réalité et propagande vantant l’obligation.

 

Des familles, des professionnels se sont réunis pour écrire aux élus et gouvernants. Il faut continuer à les informer.  Ci-joint la lettre ref 11.

pour conclure suivons les recommandations du ministre de la santé américain  RFKENNEDY

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Il démissionne de son poste le 19 février 2016 en publiant une contribution à un rapport de l’ Inspection générale des affaires sociales de 28 pages 18. Il y dénonce notamment « la vaste mascarade » 19 qu’est devenue selon lui la démocratie en santé (à savoir la participation des citoyens à la décision

[2]responsable du secrétariat général de la Conférence nationale de santé (CNS) de mars 2015 à février 2016

[3] la destruction du système de santé et la loi Touraine – Docteur Nicole Delépine

[4] Conference-Docteur-Delepine-Cercle-ARISTOTE-21-03-2017.pdf diaporama

[5] qq diapos du livre Vaccine not vaccine de RFKennedy – Docteur Nicole Delépine

[6] en 2017 QUE DISAIT LA SCIENCE A PROPOS DE ONZE VACCINS QUI ALLAIENT DEVENIR OBLIGATOIRES ! – Docteur Nicole Delépine  critique de la brochure de l’INSERM  Sur le fond, la brochure répète les « certitudes » de chercheurs totalement impliqués dans l’industrie des vaccins (même s’ils exercent parfois comme médecins, et plus souvent en santé publique que comme cliniciens) pour lesquels le rapport avantages-risques, capital en matière de médicaments, ne semble pas être mise en cause par l’absence cruelle de publications convaincantes sur ce point.

[7] DTP mise au point sur son opportunité et sa disponibilité en 2018, histoire d’une manipulation – Docteur Nicole Delépine

[8]    IBID7

[9] https://x.com/Aliyah01150546/status/1792827211759992915

[10]  lettre à mme la ministre  ref 11

[11] Lettre contre décret obligations Méningocoques – Profession Gendarme

reponse à l’inserm dec 2017 AGORAVOX

 

 

vaccine non vaccine diaporama extrait du livre de r kennedy 10 FEV 25

 

obligation vaccinale V3 aix 26 01 25

 

 

 

 

 

Drs Nicole et Gérard Delépine : Mise au point sur la suppression de l’obligation vaccinale en 2025 – Réseau International

(Le diaporama n’a pas été passé en même temps malheureusement)      A lire en même temps :

Mise au point sur le combat pour la suppression de l’obligation vaccinale 8 FEVRIER 2025 N G

 

Voici les deux liens de l’émission du 8 fevrier 25

 

https://www.youtube.com/watch?v=QHVB3rvsEkA

https://crowdbunker.com/v/WcB9Y2vw

 

newsletter AMETIST ET APPEL A SOUTIEN JANVIER 2025

 

 

 

                                                                                        Le 31 janvier 2025

 

Madame Monsieur, chers adhérents, chers amis,

 

Voilà déjà 35 ans que l’association Ametist a été créée par des parents, des médecins et des personnes privées, révoltés par le fait que, déjà en 1990, certains patients ne pouvaient pas bénéficier de soins éprouvés et étaient contraints d’entrer dans des essais thérapeutiques.

 

Après avoir vécu tant d’épisodes douloureux et incompréhensibles, une vingtaine d’anciens patients ont décidé de se réunir et d’écrire un livre regroupant leurs témoignages, leurs vécus, ainsi que leurs combats pour trouver une équipe médicale prête à se battre avec eux. C’est leur façon de soutenir l’activité et le combat que mènent, depuis toujours, les docteurs Delépine et leur équipe. Ils tententde donner le moral aux malades en cours de traitement afin qu’ils sachent que les batailles perdues ne sont que celles qui ne sont pas menées !

 

Ce livre ( disponible sur le site editions marcopietteur ou dans les bonnes librairies)

est également un hommage à tous les lanceurs d’alerte qui se battent pour la liberté thérapeutique, le choix du médecin par le patient, et le choix du traitement du malade par le médecin. Il a aussi pour but de redonner espoir aux futurs enfants, adolescents ou adultes jeunes, touchés par le cancer ainsi qu’à leurs proches.

 

Les docteurs G et N Delépine sont toujours présents et poursuivent leur combat, aidés par les bénévoles et collègues  présents depuis de longues années ! L’association a démontré qu’avec force une pratique hospitalière courante et une équipe pluridisciplinaire hautement spécialisée, expérimentée et dévouée, il était possible d’obtenir des taux de rémission et de guérison très favorables, tout en évitant les amputations trop souvent imposées. L’association continue à se battre pour informer sur les possibilités thérapeutiques et les avancées de la science, afin que les enfants et adolescents puissent bénéficier des progrès réels et éprouvés de la médecine. Le cas échéant, elle défend également les droits des patients, médecins, soignants contre les décisions parfois tyranniques de l’état. Ametist a la chance de pouvoir toujours compter sur le soutien et l’engagement de nombreuses personnalités.  Nous avons toujours besoin de vous. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaître, en diffusant nos messages et en échangeant avec nous sur les réseaux sociaux.

Vos dons nous permettent d’aider les familles dont les enfants sont touchés par la maladie, en leur offrant des solutions pour accéder aux traitements éprouvés, en France ou à l’étranger si nécessaire. Un soutien financier peut également nous aider à engager des recours juridiques qui pourraient faire bouger les choses.  Votre aide financière nous permet aussi d’apporter un soutien matériel aux familles contraintes à s’expatrier pour éviter une amputation, en prenant en charge certains frais (hospitalisation, logement, etc.). ils permettront aussi d’offrir ce livre à ceux que cela pourrait aider.

C’est pourquoi nous faisons appel à votre générosité. Sachez que 66 % du montant de votre don est déductible de votre impôt sur le revenu.  Un reçu fiscal vous sera adressé sur demande, via le bon de soutien ci-dessous.  Par avance, au nom de l’association, merci !

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obligation vaccinale V3 aix 26 01 25

La Haute Autorité de Santé refuse la transparence et ignore les données actuelles de la science validées par les agences de santé étrangères.

 

La Haute Autorité de santé vient de faire paraître un communiqué [1] dans lequel elle se plaint de fuites sur son projet d’avis concernant le parcours de transition des personnes transgenres.

Auparavant elle avait refusé de donner les noms de ceux qu’elle avait désignés comme experts au groupe de travail. Elle avait même fait appel pour retarder l’application du jugement du tribunal administratif de Montreuil qui lui enjoignait de communiquer ces noms à l’association Juristes pour l’enfance [2] [3].

En France, les parties à un procès d’assise connaissent le nom des juges et ceux des membres du jury éventuel dont la composition est publique [4]. Mais la Haute Autorité de santé doit mépriser ces habitudes trop démocratiques…Notre santé doit lui paraître trop sérieuse pour que la population ait le droit s’intéresser à ceux qui veulent la dicter.

 

Un projet qui reprend les recommandations des ultra activistes transgenres

Les éléments qui ont été révélés reprennent la très grande majorité des demandes des activistes trans synthétisées dans les « Standards of Care for the Health of Transgender and Gender Diverse People » publiés dans l’ « International Journal of Transgender Health »[5] : autoriser les soins médicaux et chirurgicaux chez les mineurs, refuser l’avis d’un psychologue ou d’un psychiatre, obliger les médecins à appeler d’emblée les mineurs en souffrance d’identité sexuelle par le prénom de leur choix, rembourser à 100% tous les soins de transition (y compris les épilations pour les femmes trans), enlever l’autorité parentale aux parents en désaccord avec le ressenti de leur enfant, création d’un service public de la transition de genre …

Ce projet de recommandations, manifestement écrit sous la dictée de militants trans et/ou de médecins spécialisés dans le domaine du genre (et qui en vivent), n’a rien d’une analyse médicale objective qu’est supposée faire la HAS, mais se contente de consacrer les réclamations outrancières [6] d’une infime minorité sexuelle qui veut les imposer à la majorité.

Ce projet ignore aussi l’avis de l’Académie de Médecine, les expériences des pays qui ont appliqué ces mesures pro trans bien avant nous, et de nombreux jugements qui les ont condamnés dans ces différents pays.

 

Des recommandations qui s’opposent à celles de l’Académie de médecine.

Aucun traitement actif n’est anodin. Tous exposent à des complications plus ou moins fréquentes. Les traitements administrés pour modifier l’apparence sexuelle n’échappent pas à la règle[7].

Parmi les complications des thérapeutiques hormonales masculinisantes (testostérone), il faut citer la très grande fréquence de l’acné (40%) [8], un état d’excitation, l’augmentation de l’agressivité [9], la diminution de la fertilité allant jusqu’à la stérilité définitive, des risques osseux et cardiovasculaires [10]. L’hormonothérapie féminisante bloquant la testostérone peut induire une ostéoporose (et ses risques de fractures), des problèmes cardiovasculaires, des phénomènes d’agressivité ou un épisode psychotique, aggraver la dépression augmentant, chez certains patients, le risque suicidaire et augmenter le risque de cancer du sein[11], et si le risque de ces complications est avéré leur capacité à réduire la menace de suicide des trans n’est pas démontrée.

Les candidats aux interventions chirurgicales éventuelles méconnaissent trop souvent leur caractère irréversible et les résultats qu’ils peuvent en espérer.

Ce sont quelques-unes des raisons qui justifient l’approche prudente de l’Académie de médecine que nous rappelons ci-après :

« Une grande prudence médicale doit être de mise chez l’enfant et l’adolescent, compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles. A cet égard, il est important de rappeler la décision récente (mai 2021) de l’hôpital universitaire Karolinska de Stockholm d’interdire désormais l’usage des bloqueurs d’hormones…

Quant aux traitements chirurgicaux, notamment la mastectomie autorisée en France dès l’âge de 14 ans, et ceux portant sur l’appareil génital externe (vulve, pénis) il faut souligner leur caractère irréversible.

 Aussi, face à une demande de soins pour ce motif, est-il essentiel d’assurer, dans un premier temps, un accompagnement médical et psychologique de ces enfants ou adolescents, mais aussi de leurs parents, d’autant qu’il n’existe aucun test permettant de distinguer une dysphorie de genre « structurelle » d’une dysphorie transitoire de l’adolescence. De plus, le risque de surestimation diagnostique est réel, comme en atteste le nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant « détransitionner ». Il convient donc de prolonger autant que faire se peut la phase de prise en charge psychologique. »

Mais apparemment, la HAS estime que ce n’est pas aux médecins d’émettre des avis sur les indications des traitements médicaux et que l’Académie de Médecine est moins compétente que les « experts » de la HAS …

 

Seule une minorité de trans persiste dans  leur choix de  lorsqu’ils étaient mineurs

Le pourcentage de transsexuels diminue rapidement avec l’âge, passant aux USA de 1,43 % chez les 13-17 ans à 0,45 % chez les 25-45 ans et 0,32 % chez les 65 ans et plus. L’expérience de la vie amène donc à peu près les trois quarts des adolescents qui se croyaient en dysphorie de genre à réaliser à l’âge adulte qu’ils ne l’étaient pas et à se déclarer, le plus souvent, homo ou bisexuels.

Avec le recul, les détransitions sont de plus en plus fréquentes.

Le nombre de personnes regrettant leur changement de sexe effectué lorsqu’ils étaient mineurs se multiplient dans les pays où ces procédures ont été autorisées. Selon les associations d’activistes trans, le phénomène serait extrêmement rare, mais il n’est en réalité tout simplement pas mesuré. Au Royaume-Uni, aucune clinique du genre » ne collecte de données.

Des professionnels de l’enfance dénoncent les difficultés pour aborder objectivement le problème. Devant la crainte de « débordements incontrôlables », le comité organisateur de la Conférence sur la santé des trans de Philadelphie de 2017 a dû annuler deux tables rondes sur la détransition. La même année lorsque le psychothérapeute britannique James Caspian[12] a voulu étudier la question, sa proposition a été rejetée par son université de Bath en raison du risque de recevoir des critiques sur les réseaux sociaux, et donc « de nuire à l’image de l’université ».

Charlie Evans, journaliste scientifique britannique de 28 ans, a créé en 2019 le  « Detransition Advocacy Network »[13]. En l’espace de trois mois, elle a reçu plus de 300 messages de jeunes femmes qui regrettaient leur transition.

Elie et Nele fondatrices de l’association belge Post Trans ont raconté leur douloureux parcours lors d’un colloque à Lyon, organisé par l’association Regards de femmes[14]

Souvent, elles sont lesbiennes, autistes, et regrettent de ne pas avoir été aiguillées vers un traitement contre leur dépression et/ou leurs troubles alimentaires. Le fait de ne pas correspondre aux attentes sociales qui pèsent sur les jeunes filles les a amenées à s’identifier au genre masculin, avant de se rendre compte que la transition était une fuite et non pas une solution [15][16] [17].

Des pays comme les États-Unis, la Suède, le Royaume-Uni qui avaient appliqué l’approche trans affirmative et encouragé des transitions médicales chez les mineurs, comme le propose le projet de la HAS ont, pour la plupart d’entre eux, fait volte-face en raison du nombre croissant de jeunes adultes qui ont souffert des traitements subis, ont regretté publiquement leur transition[18], ou porté plainte en justice quand ils ne se sont pas suicidés…

 

Le suicide, fléau des transgenres.

 

Toutes les études rapportent les taux considérables de suicide des transgenres.

L’étude de Biley [19] portant sur 889 trans britanniques révèle une prévalence à vie de 84 % d’idées suicidaires et de 48 % de tentatives de suicide.

En Ontario [20] au cours de la seule année précédant le rapport, 35,1 % des trans ont sérieusement envisagé de se suicider et 11,2 % sont passés à l’acte. Par rapport aux autres minorités sexuelles (homosexuels, lesbiennes et bisexuels), les transsexuels souffrent d’une tendance suicidaire 4 à 6 fois plus élevée.

En Thaïlande [21] sur 411 LGBT, 39 % ont déclaré avoir eu des idées suicidaires au cours de leur vie, 19 % des idées suicidaires au cours des 12 derniers mois et 13,1 % des tentatives de suicide au cours de leur vie.

L’étude d’Austin[22] indique que 82 % des Américains transgenres ont ressenti des envies de suicide et 40 % ont tenté de se suicider, la tendance suicidaire étant la plus élevée chez les jeunes.

Le projet Trevor [23] étudiant le vécu de près 35 000 LGBTQ américains âgés de 13 à 24 ans confirme ces taux exorbitants de suicide.

Le suicide représente donc le risque majeur des transgenres. Ses causes sont multiples et doivent être analysées pour tenter d’y remédier.

Le suicide des trans résulte en premier lieu de leur mal-être préexistant comme en attestent les déficits de l’attention, les troubles de l’alimentation, les problèmes psychiatriques latents tels que l’autisme, ressentis dès leur prime jeunesse et souvent attribués à tort, à une dysphorie sexuelle les empêchant parfois de recevoir les soins psychiatriques dont ils auraient pu bénéficier.

Le suicide des trans est aussi lié à leur situation extrêmement minoritaire responsable d’un stress social [24]. En France le rapport officiel publié en 2022 estime leur incidence dans la population entre 0,03% et 0,1% (20 000 à 60 000 transgenres sur l’ensemble du pays) [25]. Aux USA, pays où ils sont les plus nombreux, les adultes qui se déclarent transgenres, représentent 0,6 % des personnes âgées de plus de 13 ans.[26]

Le mal-être des trans est également aggravé par leur isolement auto–entretenu. Se sentir, et/ou se revendiquer trans, rend les contacts avec les autres moins souhaités, plus difficiles et plus rares. Or Le contact avec les autres améliore notre humeur, nous apaise, diminue le stress, relâche des tensions, et conforte le sentiment d’être compris et accepté. Se sentir différent dissuade souvent les trans d’aller vers les autres, de bénéficier de ces contacts et les conduit ainsi à ruminer leur condition aggravant la dépression et le risque de suicide. Le mal vivre des transsexuels est enfin aggravé par les complications des traitements médicamenteux et les résultats chirurgicaux peu satisfaisants.

Dans un premier temps, l’affirmation de son genre trans peut procurer un soulagement, car elle permet d’intégrer une communauté qui le comprend. Mais la transformation physique trans sexuelle longue, compliquée et chère constitue un véritable chemin de croix. Elle nécessite des traitements hormonaux à vie exposant, comme tout traitement, à des complications. Globalement les résultats ne sont habituellement pas à la hauteur des espoirs initiaux entraînant une déception qui peut aggraver le désir de suicide.

Les nombreuses interventions chirurgicales entraînent des mutilations irréversibles pour des résultats esthétiques parfois discutables et une fonction souvent peu satisfaisante [27] [28]. L’homme trans ne peut avoir d’érection qu’avec un implant pénien et un système de pompe, et subit le manque de sensation tactile du néophallus. La peau du néo vagin de la femme trans est peu sensible et le risque de rétrécissement progressif impose habituellement l’utilisation de dilatateurs vaginaux à vie. Les articles rapportant des séries monocentriques écrits par des chirurgiens qui vivent de cette activité sont souvent élogieux et plaident pour la supériorité de leur technique personnelle, mais le nombre même de ces techniques (phalloplastie à partir d’un lambeau d’avant-bras, de cuisse, de grand dorsal ou des grandes lèvres..) et l’absence de consensus prouvent que ces problèmes ne sont pas résolus.

L’examen de plus de 100 études médicales internationales de personnes transgenres opérées par l’université de Birmingham a conclu qu’il n’était pas possible de se prononcer sur l’efficacité des chirurgies sur la santé mentale des personnes transgenres, une partie d’entre elles restant dépressives et même suicidaires après l’opération.

Aucune étude randomisée ne démontre que les traitements médicamenteux de changement de genre sont capables de diminuer le risque de suicide. Les comparaison de petites séries publiées par des médecins qui vivent des transitions souffrent de nombreux biais et ne sont guère démonstratives.

 

Les mineurs ne sont pas aptes à peser les conséquences d’un tel choix

Le cerveau humain n’atteint pas la maturité avant la vingtaine et les fonctions exécutives sont les dernières capacités à se développer pleinement [29]. Les fonctions exécutives comprennent la capacité de planifier, hiérarchiser et définir des stratégies pour atteindre des objectifs à long terme ainsi que la capacité de peser soigneusement l’information nécessaire à  de décisions importantes comme celle d’une transition de genre.

Dans le procès Keira Bell[30] , la justice britannique a estimé [31]  qu’il était « très douteux que les patients âgés de 14 et 15 ans puissent avoir une compréhension suffisante des conséquences du traitement pour donner leur consentement »; et « qu’il était hautement improbable pour les personnes âgées de 13 ans et moins d’être en mesure de consentir à l’administration de bloqueurs de puberté après seulement trois rendez-vous d’une heure, puis des injections de testostérone à partir de ses 17 ans et une ablation des seins à 20 ans ».

Cet avis est conforté par une étude menée auprès d’adolescents néerlandais qui a montré que la plupart pensaient que les conséquences de la transition médicale comme la perte de fécondité et l’impact sur de futures relations amoureuses ne pouvaient pas être comprises par les jeunes.  Ils estimaient également qu’ils ne pouvaient pas réellement être conscients de l’impact futur de l’arrêt du développement pubertaire lorsque les médecins leur demandaient d’y consentir.

Mais apparemment les experts de la HAS l’ignorent…

 

Expériences des pays qui ont appliqué les recommandations de la HAS

La Suède qui a été le premier pays au monde à autoriser la transition légale inter sexes des mineurs,  a été depuis confrontée à une hausse considérable (+1500%) des demandes des jeunes filles. En octobre 2019 le suicide par pendaison de Jennifer Ring 4 ans après chirurgie de transition de sexe réalisé au Karolinska a constitué un véritable électrochoc, d’autant plus que d’autres hôpitaux avaient refusé de la traiter en raison de ses signes de schizophrénie.

Deux ans plus tard, en mars 2021, l’hôpital Karolinska, a annoncé qu’il ne prescrirait plus de traitements hormonaux aux nouveaux patients mineurs en dehors d’un essai clinique et a décidé en mai 2021 de réserver les traitements l’hormonaux des mineurs aux seuls participants aux essais thérapeutiques déclarés[32].

La Finlande a légalisé les traitements de changements de sexe, mais uniquement chez les adultes[33].

En Norvège, la chirurgie de réassignation sexuelle est interdite chez les mineurs  et le Conseil norvégien d’investigation médicale (NHIB/UKOM) a révisé ses recommandations cliniques concernant les « soins de réorientation sexuelle » pour les mineurs en limitant l’utilisation des bloqueurs de puberté, des hormones de changement de sexe et de la chirurgie liée à la transition aux seuls contextes de recherche clinique[34].

Au Royaume-Uni, une enquête commandée par le National Health Service (NHS) et menée par le Dr Hilary Cass, a révélé que l’approche trans affirmative adoptée à la  clinique du genre Tavistok [35] n’était « pas une option sûre ou viable à long terme » pour les jeunes et les enfants, car le personnel de la clinique se contentait souvent de précipiter les enfants dans la transition.[36] Et le 18/12/2024 le NHS a définitivement banni les traitements de transition pour les mineurs[37].

Aux USA après l’Arkansas, la majorité des états (26/50) ont interdit les traitements de changement de sexe chez les mineurs[38] obligeant les cliniques qui pratiquaient ces traitements à fermer.

En Afrique, l’opposition aux minorités sexuelles et à la théorie du genre est souvent violente avec des lois répressives, des condamnations et des agressions physiques multiples.

Le projet de recommandations de l’HAS va donc frontalement à l’encontre de l’évolution récente observée dans la quasi-totalité du monde.

 

Le changement de genre, un business juteux

La propagande pour la théorie du genre et le transsexualisme n’est pas désintéressée. Elle permet de vendre à des personnes non malades des médicaments à vie, de proposer des interventions chirurgicales couteuses, de subventionner des associations et de payer des militants pour la diffusion de leurs croyances protrans dans les écoles.

Selon leurs prescriptions (très variables en fonction des sujets) les hormones utilisées pour les changements de genre coutent de quelques dizaines à plus de 100 euros par mois au malade, sans compter le prix des consultations et des examens complémentaires.

Au niveau mondial le seul marché des hormones est estimé à 22 milliards $ en 2022 et devrait atteindre 40 milliards en 2032 si l’accroissement de leurs prescriptions se poursuit au même rythme qu’entre 1993 et 2019.

 

 

 

La chirurgie de modification des caractères sexuels constitue une véritable mine d’or pour les chirurgiens qui se spécialisent dans cette activité. En France où ces actes chirurgicaux sont pris en charge totalement par la sécurité sociale, leurs prix ne sont pas publiés.

Mais on dispose d’un aperçu dans les pays anglophones : entre 7 500 et 10000 dollars pour la chirurgie mammaire, jusqu’à 40000 $ pour la chirurgie pelvienne. Et en ajoutant les couts de la chirurgie faciale, de celle de la glotte (pour la correction de la voix) et des réinterventions éventuelles, on atteint les estimations du Philadelphia Center for Transgender Surgery de 140450 $ pour la transition d’homme à femme, et de 124 400 $ pour la transition de femme à homme [39].  Lorsqu’on compare ces chiffres à ceux du traitement d’une plaie ou d’une fracture du poignet, i*l y a là de quoi susciter des vocations…

L’HAS désire aussi faire financer les associations protrans et leurs militants par nos impôts en créant un service public de la transition de genre. L’agence France Presse a diffusé dans tous les médias un appel des extrémistes transsexuels à manifester pour réclamer des « moyens massifs… afin d’assurer l’accès réel à l’IVG, aux transitions, à la contraception.. et l’accès à la PMA pour toutes les personnes trans ».

Il faut aider les jeunes souffrant de dystrophie de genre

Il faut aider les aider car ils souffrent réellement, mais éviter de les diriger aveuglément vers des traitements à vie sur la foi en un simple ressenti.

Il faut d’abord les rassurer en leur expliquant que leurs inquiétudes sur les questions sexuelles sont fréquentes chez les mineurs et singulièrement chez les adolescents, et qu’elles disparaissent le plus souvent à l’âge adulte.

Il faut leur rappeler que les parents, ou autres membres de la famille, fratries, grands-parents, les aiment et qu’ils sont là pour les aider lorsqu’ils ont des problèmes.

Si les angoisses persistent, les adresser à un psychologue neutre (ni anti, ni pro transsexuel, et courageux osant résister à la doxa). Les services spécialisés vers lesquels sont orientés automatiquement les enfants susceptibles d’être atteints de dysphorie de genre sont malheureusement tenus par des idéologues de la théorie du genre et enclins au diagnostic par l’affirmatif, donc acceptation du diagnostic de dysphorie sans examen médical ou psychiatrique et organisation en urgence des prises en charge spécialisées (traitement hormonal, etc.).

Il faut absolument chercher des intervenants « non spécialisés ».

Et en cas de persistance de l’idée de transformation éventuelle, il faut les informer objectivement des modalités et de la durée des traitements médicaux et de la lourdeur et du caractère peu ou non réversible de la chirurgie.

Savoir que l’on sera de fait transformé en malade à vie incapable d’avoir des enfants et nécessitant un suivi permanent.

L’information objective, complète et sans tabou constitue la meilleure prévention des angoisses des adolescents et le remède aux délires de la propagande de la théorie du genre de la promotion des traitements trans sexuels.

 

 

[1] Le Parisien du 13/12/2024 avec l’AFP Transition de genre : la Haute autorité de santé déplore des fuites de ses travaux à des « fins polémiques »

notons que la HAS coute 80 MILLIONS d’€ par an et entretient 500 agents. La direction est nommée par le ministère et fait doublon avec ses services

[2] ttps://www.juristespourlenfance.com/2024/02/20/le-ta-de-montreuil-donne-gain-de-cause-a-jpe-la-has-doit-communiquer-la-composition-du-groupe-de-travail-parcours-de-transition-des-personnes-transgenres/

[3] https://www.juristespourlenfance.com/2024/08/07/refere-suspension-examine-ce-mercredi-7-aout-2024-par-le-tribunal-administratif-de-montreuil-composition-du-groupe-de-travail-parcours-de-transition-des-personnes-transgenres-a-la-has/

[4] https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1540

[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36238954/ publication des ultra activistes trans

[6] Outrans est le nom d’une de ces associations trans genre ultra qui organise des réunions dans les écoles

[7] https://docteur.nicoledelepine.fr/reassignation-genitale-long-et-penible-parcours-du-changement-de-sexe/

[8] Madsen MC, Berg JN, Fisher AD, T’Sjoen G, Rustemeyer T, Den Heijer M, Wiepjes CM, Dreijerink KMA. The effects of gender-affirming testosterone therapy in transgender men on the development of acne, acne severity and the relationship with clinical parameters: a three-year follow-up study. Eur J Dermatol. 2024 Oct 1;34(5):497-501. doi: 10.1684/ejd.2024.4758. PMID: 3958903

[9] Kristensen TT, Christensen LL, Frystyk J, Glintborg D, T’Sjoen G, Roessler KK, Andersen MS. Effects of testosterone therapy on constructs related to aggression in transgender men: A systematic review. Horm Behav. 2021 Feb;128:104912. doi: 10.1016/j.yhbeh.2020.104912.

[10] Krebs D, Harris RM, Steinbaum A, Pilcher S, Guss C, Kremen J, Roberts SA, Baskaran C, Carswell J, Millington K. Care for Transgender Young People. Horm Res Paediatr. 2022;95(5):405-414. doi: 10.1159/000524030. Epub 2022 Mar 10. PMID: 35272283; PMCID: PMC9463393.

[11] Bruce MK, Joseph WJ, Grunwaldt L, Nguyen VT, De La Cruz C. Transgender Mastectomy: Incidence of High-Risk Pathologic Findings and the Need for Postoperative Cancer Surveillance. Ann Plast Surg. 2022 May 1;88(3 Suppl 3):S148-S151.

[12] https://www.spiked-online.com/2019/02/22/my-battle-with-the-transgender-thoughtpolice/

[13] https://ourduty.group/2020/04/29/the-detransition-advocacy-network/

[14] https://charliehebdo.fr/2021/12/societe/changement-de-sexe-finalement-cetait-mieux-avant/

[15]https://www.womensforumaustralia.org/increasing_numbers_of_detransitioners_call_into_question_the_affirmation_only_approach

[16] https://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/actu-tele/detransition-de-genre-le-temps-des-regretss-20241029

[17] https://lpost.be/2022/07/10/detransitionneurs-la-detresse-de-ces-jeunes-qui-regrettent-davoir-voulu-changer-de-sexe/

[18]  « Jeunesse en (re)transition, trouver sa voie » témoignage sur France 2

[19] Bailey, L., Ellis, S., et McNeil, J. (2014). Suicide risk in the UK trans population and the role of gender transitioning in decreasing suicidal ideation and suicide attempt. Mental Health Review Journal, 19(4), pages 209 à 220. http://doi.org/10.1108/MHRJ-05-2014-0015

[20] Bauer, G., Schiem, A., Travers, R. et Hammond, R. (2015b). Intervenable factors associated with suicide risk in transgender persons: A respondent driven suicide risk sampling study in Ontario, Canada. BMC Public Health. DOI : 10.1186/s12889-015-1867-2 http://doi. org/10.1186/s12889-015-1867-2

[21] Kittiteerasack P, Matthews AK, Steffen A, Corte C, McCreary LL, Bostwick W, Park C, Johnson TP. The influence of minority stress on indicators of suicidality among lesbian, gay, bisexual and transgender adults in Thailand. J Psychiatr Ment Health Nurs. 2021 Aug;28(4):656-669. doi: 10.1111/jpm.12713.

Epub 2020 Dec 1. PMID: 33190351.,

[22] Suicidalité chez les jeunes transgenres : élucidation du rôle des facteurs de risque interpersonnels. Austin A, Craig SL, D’Souza S, McInroy LB. J Interpers Violence. 2022;37:5–6. doi:10.1177/0886260520915554.

[23] https://www.thetrevorproject.org/

[24] Valentine SE, Shipherd JC  revue systématique du stress social et de la santé mentale chez les personnes transgenres et non conformes au genre aux États-Unis. Clin Psychol Rev. 2018 ;66 : 24–38

[25] https://www.vie-publique.fr/rapport/284386-transexualite-sante-et-parcours-de-soins-des-personnes-trans

[26] https://williamsinstitute.law.ucla.edu/publications/trans-adults-united-states/

[27] Danielle J. Eble Alisha L. Nguye Conscientious Objection to Gender-Affirming Surgery: A Cross-Sectional Analysis of Plastic Surgery and Urology Residency Programs Journal of Surgical Education November 2024

[28] Park RH, Liu YT, Samuel A, et al Résultats à long terme après une chirurgie de réassignation sexuelle : étude de suivi sur 40 ans. Ann Plast Surg. 2022 ; 89 : 431–436

[29] Casey BJ, Jones RM, Hare TA. Le cerveau de l’adolescent. Annales de l’Académie des sciences de New York. 2008;1124(1):1111 à 126. doi: 10.1196/annals,1440.010.

[30] https://www.persuasion.community/p/keira-bell-my-story

[31] https://www.judiciary.uk/wp-content/uploads/2020/12/Bell-v-Tavistock-Judgment.pdf

[32] https://www.france24.com/en/live-news/20230208-sweden-puts-brakes-on-treatments-for-trans-minors

[33] https://valtioneuvosto.fi/en/-//1271139/act-on-legal-recognition-of-gender-enters-into-force-on-3-april-2023

[34] https://dailycaller.com/2023/03/10/norway-health-care-system-transgender-gender-affirming-care-evidence-baed/

[35] https://www.lavie.fr/actualite/societe/enfants-transgenres-pourquoi-la-clinique-tavistock-va-fermer-en-angleterre-83876.php

[36] https://cass.independent-review.uk/home/publications/final-report/

[37] https://www.nbcnews.com/nbc-out/out-politics-and-policy/britain-bans-puberty-blockers-transgender-minors-rcna183839

[38] https://www.nytimes.com/2024/12/04/us/gender-transition-bans-states.html

[39] https://edition.cnn.com/2015/07/31/health/transgender-costs-irpt/index.html

 

 

 

 

Couv Dysphorie de genre