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 La crise est politique et non sanitaire Suicide collectif par soumission au test PCR trompeur

 La crise est politique et non sanitaire. Suicide collectif par soumission au test PCR trompeur

 

 

LE TEST PCR « OUI OU NON AVANT NOEL » !  Les consignes du ministre pour Noel !

Cela fait des semaines que les avocats allemands, portugais, américains ainsi que des groupes nombreux de médecins et scientifiques de très nombreux pays avertissent sur le caractère fallacieux des tests PCR de Drosten mis sur le marché du covid en janvier 2020 par les autorités soumises à l’OMS.

Depuis cette date, les 194 pays ayant signé en 2017, l’accord du conseil mondial de l’OMS, suivent, sauf exception résistante comme la Suède, les consignes de ce conseil qui se déclarent supérieures aux traités nationaux et internationaux en cas de pandémie. L’OMS a déclaré le covid pandémie (en modifiant les critères antérieurs). Le tour était joué.

Récemment les preuves scientifiques d’une fraude dans les résultats de l’article initial sur le test PCR de Drosten et Cie ont été mises au grand jour, comparable à l’escroquerie monstrueuse du Lancet sur la chloroquine qui révéla au monde la trahison des grandes revues internationales. La requête pour le retrait de l’article a été publiée.

 

Le château de cartes s’écroule si on met en évidence la fraude des tests PCR

L’histoire internationale en est donc à exiger que les tests PCR disparaissent des critères qui servent à justifier le confinement, les masques, les vaccins et à casser l’économie sous prétexte de protéger la population.

Le combat devrait, sur les conseils stratégiques de l’avocat Reiner Fuellmich se focaliser sur la médiatisation de cette supercherie, escroquerie mondiale qui a permis de transformer une crise politique décidée par les membres du forum de Davos pour remettre à plat l’économie mondiale, en utilisant une pseudo- crise sanitaire.

Mais les français se laissent distraire des problèmes globaux fondamentaux par des récits quotidiens sur une parole pseudo-raciste sur un stade, sur des violences policières provoquées ou non, sur des attaques personnelles de médecins, mais on lit peu de réactions qui pourraient éclairer le citoyen et le conduire à réagir, en jetant son masque, en refusant le confinement et les mesures qui tuent notre économie et concrètement conduisent au suicide d’artisans, restaurateurs, étudiants etc. dans un silence médiatique invraisemblable, tant sur les grands médias que sur les réseaux sociaux. Comme si ce pouvoir était capable de distraire notre attention afin de masquer les graves décisions prises quotidiennement à coup de décrets, d’interdictions, de mise en garde et toujours de fabrication de la peur.

 

LE COUVRE FEU DANS UN SILENCE ABYSSAL

Il est fascinant et désespérant de constater qu’à l’heure où le premier ministre annonce des mesures extraordinairement liberticides comme un couvre-feu au-delà de 20 heures et la fermeture prolongée des théâtres et tous lieux culturels, la poursuite d’interdiction de travailler des restaurants et bars, artisans, salles de sport, et plus ou moins universités (?), le silence se fasse tant sur les tv officielles et autres médias, sur les réseaux sociaux.

On fonce ; mais pas dans la rue pour mettre fin à notre propre enfermement général perdu de vue par tous, comme s’il était naturel.

Au diable les suicides et dépressions des étudiants, des artisans, au diable les faillites, pas de manifestation pour la liberté de tous, notre révolte est astucieusement canalisée sur un cas possiblement scandaleux mais ne résumant pas à lui seul l’emprisonnement de 67 millions de français désemparés.

Seuls quelques commentateurs, exclus des journaux officiels, font une analyse globale, mais effrayante par son réalisme.[1]  « Toute la question est de savoir par quelle perversité, par quel sadisme, cette décision sanitaire se transforme en examen collectif de conscience, et en culpabilisation déprimante et anxiogène pour tous les Français. »

 

Epidémie de COVID et culpabilisation collective

« Une deuxième lecture consiste à prêter à ce surgissement naturel du virus un sens métaphysique, ou téléologique comme disent les philosophes. Au fond, ce virus est là pour punir les hommes d’un excès d’hybris, d’arrogance vis-à-vis de leur place dans l’histoire et dans la création. Cette croyance selon laquelle les épidémies arrivent par la faute de l’homme, par son arrogance, par sa jouissance excessive, par son impiété, est tout sauf nouvelle.

Dans son « De Rerum Natura », Lucrèce la décrivait déjà. Et lorsque la peste noire a décimé l’Europe entre 1347 et 1349, des Flamands ont empoigné des fouets et ont fait la tournée des villages en se fouettant le dos pour expier les fautes qui avaient conduit à l’épidémie. Ils étaient à l’unisson d’une certaine conviction de l’époque selon laquelle la maladie était le résultat d’une faute qui aurait pu ne pas être commise.

Jean Castex, en bon flagellant, ainsi que Macron, en bon élève des Jésuites, ne nous suggèrent pas autre chose : au lieu de nous expliquer qu’il faut confiner la France en hiver pour ralentir l’épidémie, ils font reposer celle-ci sur le comportement des Français. Et dans la logique du discours officiel, on n’est pas très loin des péchés mortels que la société du Moyen-Âge se reprochait pour expliquer la peste. Le virus circule parce que nous ripaillons trop, nous folâtrons trop, nous jouissons trop. Vivons en ascète, et l’ordre reviendra. » (…).

 

Ce pouvoir est extraordinairement efficace dans la manipulation.

N’en déplaisent à des correcteurs de France soir, la propagande est bien apprise de celle de Goebbels et notre seul pouvoir actuel en tant que peuple est d’éviter de passer à la phase suivante. Nous sommes en démocrature, évitons de passer au fascisme complet où des millions de gens seront enfermés pour leurs idées.  Réagissons ! Vous rendez- vous compte que depuis 48 H on ne parle plus de masque, ni d’interdiction de théâtre, ni de couvre-feu… une lettre à la poste et chacun évidemment perturbé se croit le seul, se tait, se déprime et éventuellement se suicide … On en reste là, ou bien on réagit.

Faut-il clouer au pilori les députés qui ont voté pour le dépistage obligatoire ou bien exiger de TOUTE LA CLASSE politique qu’elle impose la fin des mesures liberticides, l’interdiction de ces tests faux et trompeurs qui au passage ruinent la sécurité sociale. Pourquoi demander le droit à la messe, et pas à la piscine, l’interdiction de l’obligation des tests trompeurs et pas leurs suppressions….

 

« Il faut vraiment porter un magnifique formatage religieux pour transformer avec autant de sadisme un phénomène naturel en culpabilité collective. Alors, si, collectivement, vous n’atteignez pas trois critères chiffrés de santé publique, vous serez punis par du confinement ? L’affaire est bien montée : elle fait croire aux Français qu’ils sont la cause d’un phénomène, alors qu’ils n’en sont que les victimes. »

Ce qu’il faut mesurer maintenant, c’est le coût social et humain de ce sadisme. On parle beaucoup de la détresse psychique des Français, mais elle est pour le coup parfaitement orchestrée par une élite technocratique imbibée d’esprit animiste, pour qui les phénomènes naturels s’expliquent par des fautes humaines. Si l’on confine, ce n’est pas parce que le virus sévit, ni parce que la France était mal préparée à une épidémie pourtant maintes fois annoncée depuis 15 ans. Si l’on confine, c’est parce que nous sommes trop indisciplinés.

Combien de temps faut-il pour reconstituer l’énergie vitale d’un peuple qu’on traite aussi mal ? »

 

 La veste retournée de Véran sur les tests en cette période de Noel : « Véran ne veut plus qu’on se teste, pour qu’on se croit infectés[2] »

« Si je comprends bien l’article, ces tests covid qui sont à l’origine de tous nos malheurs puisqu’on nous bassine à longueur de journée sur le nombre de personnes INFECTÉES – et donc testées même sans symptômes (marrant, ça, malade sans symptôme !), eh bien ces tests, il ne faut pas les faire “avant Noël” ! Faut savoir, Véran ! Si on ne teste plus, les stats vont tomber à zéro et tu vas faire comment pour nous enfermer ?

Ce que je comprends, c’est que cette équipe de fadas au gouvernement veut qu’on ne se teste pas et qu’on IMAGINE ÊTRE INFECTÉS, et donc qu’on reste enfermés ! Foi de Marcel, ils sont forts, très forts, ces malades !

Allez Véran, écoute-moi, je te donne la recette miracle : fous tous ces tests à la benne, déclare tous les Français POTENTIELLEMENT infectés, et ordonne un enfermement à domicile pour tous jusqu’à ce que mort s’ensuive ! Ce sera plus simple car franchement, on voit tous que tu as perdu la boule !

Bon les gars, c’est l’heure de la traite ! À la revoyure !

Marcel Berrichon (https://ripostelaique.com/veran-ne-veut-plus-quon-se-teste-pour-qu’on-se-croit-infectes.html)

 

 Ce paysan a fort bien compris la situation : il n’y a quasiment plus de malades symptomatiques du covid19, mais les ordres de l’OMS et du forum économique international de Davos sont de poursuivre la mise en condition par la panique, pour que les peuples et la France en particulier acceptent la destruction du pays pas encore complète et donc les confinements successifs (les six prévus par l’OMS et Ferguson). Mais beaucoup d’éléments ont filtré et les populations commencent à ouvrir les yeux. Donc les focaliser sur Noel, en faisant semblant de les protéger en fermant cinémas théâtres (tout en laissant métros RER et supermarchés open bar, puis les préparer à être largement positifs après noel. Désobéissants ils auront fêté le jour de l’an ensemble malgré les interdictions du père fouettard. Ils seront probablement faciles à culpabiliser et à se laisser réenfermer le 4 janvier. CQFD.

 

Mais l’histoire ira peut-être plus vite et se rira du diable.

 

On apprend le 11 décembre via global Research[3] :

 

« Le modèle allemand très apprécié d’Angela Merkel pour faire face à la pandémie de COVID-19 est maintenant englouti dans une série de scandales potentiellement dévastateurs allant au cœur même des tests et des conseils médicaux utilisés pour déclarer des fermetures économiques draconiennes et ensuite, des vaccinations obligatoires de facto. Les scandales impliquent un professeur au cœur du groupe consultatif corona de Merkel. Les implications vont bien au-delà des frontières allemandes jusqu’à l’OMS elle-même et ses recommandations mondiales »

 

Ainsi l’article rappelle que les confinements et toutes les mesures liberticides imposées dans le monde qui l’ont accepté (la plupart des 194 signataires du conseil international de l’OMS ayant signé l’accord pour appliquer consignes de l’OMS en cas de pandémie déclarée) reposent sur le test PCR introduit dès janvier 2020 par le DR Drosten conseiller de M Merkel.[4] L’OMS l’a immédiatement validé.

Mais après de nombreux articles depuis des mois dans la presse internationale démontrant par a+b l’absence de fiabilité de ce test, une étude large en novembre 2020 sonne la fin de la supercherie.

 

Le 27 novembre, un groupe de 23 scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour qu’il retire l’article de Drosten du 23 janvier 2020.Ils accusent Drosten et coll d’incompétence scientifique « fatale » et de 10 failles majeures dans la promotion de leur test.

 

L’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne sans relecture des pairs. Drosten et son co-auteur, le Dr Chantal Reusken, n’ont pas révélé de conflit d’intérêts flagrant. Tous deux étaient également membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance.

 

De plus sans entrer dans les détails les relecteurs précisent «la RT-PCR n’est pas recommandée pour le diagnostic primaire de l’infection. C’est pourquoi le test RT-PCR utilisé en routine clinique pour la détection du COVID-19 n’est pas indiqué pour le diagnostic du COVID-19 sur une base réglementaire »

 

Cycles d’amplification

 

 

Le rapport Borger note : « Ces types de tests de diagnostic virologique doivent être basés sur une SOP (Standard Operational Protocol), comprenant un nombre validé et fixe de cycles PCR (valeur Ct) après lequel un échantillon est jugé positif ou négatif.

 

La valeur Ct maximale raisonnablement fiable est de 30 cycles. Au-dessus d’un Ct de 35 cycles, il faut s’attendre à un nombre rapidement croissant de faux positifs… des études scientifiques montrent que seuls les virus non infectieux (morts) sont détectés avec des valeurs de Ct de 35. »

 

L’OMS et Drosten recommandent un Ct de 45 cycles et, semble-t-il, actuellement, les responsables de la santé allemands le font également. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent.

 

Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement et en termes de diagnostic absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30). Tout cela doit être communiqué très clairement.

 

W Engdal conclue en résumé :

 

« Tout l’édifice de la fondation Gates, du gouvernement Merkel, de l’OMS et du forum économique mondial, ainsi que le cas des vaccins de facto forcés non testés, repose sur les résultats d’un test PCR pour le coronavirus qui ne vaut pas un tas de haricots.

 

Le test de Drosten et de l’OMS est plus ou moins de la merde scientifique ».

 

 

 A n’en pas douter l’histoire va s’éclaircir, car ruiner le monde par des confinements injustifiés, mortifères,[5] priver les citoyens de liberté par une arme magique inventée par des fraudeurs, acceptée par l’OMS et les gouvernements ne saura longtemps laisser « confiner » les vraies raisons du désastre et ses responsables.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] COVID : comment transformer une épidémie en suicide national (plus ou moins) larvé ? – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

[2] Véran ne veut plus qu’on se teste, pour qu’on se croit infectés… – PAGE GAULLISTE DE RéINFORMATION. Les médias nous manipulent et nous mentent, sachons trier le bon grain de l’ivraie (wordpress.com)

[3] https://www.globalresearch.ca/coronavirus-scandal-breaking-merkel-germany/5731891

Par F. William Engdahl Global Research, 11 décembre 2020

 

[4] Dr Drosten, l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charité, et société de biotechnologie berlinoise, TIB Molbiol Syntheselabor Gmbh, publient une étude affirmant avoir développé le premier test efficace pour détecter si une personne est infectée par le nouveau coronavirus identifié les premiers jours à peine à Wuhan. « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel » (Eurosurveillance 25 (8) 2020).

 

[5] Le programme alimentaire mondial dans un communiqué récent chiffre à 250 millions les affamés créés par le confinement dont plusieurs centaines de milliers vont à mourir.

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« Je suis pneumologue, il faut que je vois la tête des gens »

Je suis pneumologue, il faut que je vois la tête des gens

 

 

Encore un médecin privé de son droit de soigner par la bureaucratie 

On manque de médecins et encore plus de pneumologues, si on veut croire à la saga Covid et en tous cas à la pseudo deuxième vague qui semble essentiellement liée aux infections bactériennes et mycosiques en rapport avec le rapport prolongé du masque.

Un pneumologue désire soigner ses malades correctement en voyant leurs visages, leurs sourires, leur langage non verbal. Un médecin, bref !

Et bien malgré les évidences de la toxicité et de l’inutilité du port du masque encore prouvé par l’étude danoise randomisée publiée il y a quelques semaines, l’agence régionale de santé locale, l’interdit d’exercice et cinq mois, ce qui est une période fort longue et non symbolique de surcroit.

Décidément les médecins convoqués devant les instances bureaucratiques et l’ordre des Médecins sont les cliniciens qui soignent, dont le malade également a besoin de voir leur visage pour comprendre et entendre ses avis et prescriptions.

 

« Le médecin Patrick Bellier a fait l’objet d’une mesure de suspension temporaire à son encontre, « au regard des enjeux de santé publique.[1]
Il refusait de porter un masque et d’examiner des patients masqués : un pneumologue de la métropole de Lyon, le Dr Patrick Bellier, vient d’être interdit d’exercer pendant cinq mois, a indiqué l’Agence régionale de santé (ARS), vendredi 11 décembre
. »

Cette mesure est effective « à compter du jour de sa signification au médecin, c’est-à-dire le 8 décembre, a précisé l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes à l’AFP

« Je suis interdit d’exercer pendant cinq mois parce que je refuse de porter un masque. Bienvenue dans la dictature Macron ! », s’est insurgé vendredi le Dr Bellier.

« Je suis pneumologue, il faut que je voie la tête des gens »

« L’ARS précise qu’il s’agit d’une « mesure conservatoire, le temps que la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins qui a été saisie par l’ARS, et aussi par le Conseil départemental de l’Ordre des médecins (CDOM) du Rhône, statue« .

« Je ne suis pas un extrémiste mais porter un masque, c’est inutile et ça m’emmerde ! ».

 

 

 AUCUNE PREUVE D’EFFICACITE DU MASQUE

Rappelons néanmoins que la controverse « masque « dure depuis plusieurs mois et qu’aucune preuve de son utilité n’a été mise en évidence. Bien au contraire. Devant la maltraitance entrainée en particulier chez les enfants [2],[3] des parents ont protesté d’abord auprès des directeurs puis auprès d’avocats. L’association reactionfr19 a donc déposé une plainte contre le port du masque chez l’enfant, puis chez l’ensemble de la population.

« Des professionnels en psychologie, psychanalyse, pédiatrie et pédopsychiatrie dressent un constat alarmant au sujet des impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants. Décrivant leurs observations, ainsi que les symptômes relevés dans leurs consultations et analysant les témoignages de parents, enseignants et enfants, ils relèvent de graves perturbations dans le vivre-ensemble et la socialisation, la survenue de nouvelles maltraitances au sein des établissements, une condamnation de la tendresse, de l’empathie et un interdit implicite à l’altérité, une entrave au développement relationnel, psychomoteur ainsi que des régressions dans les apprentissages, une fragilisation majeure de l’autorité bienveillante/contenante et de la posture parentale, une perte de repères structurants et des discours paradoxaux. Le tableau clinique conclut à une souffrance psychique croissante chez les enfants, risquant d’entraîner une explosion de troubles psychiques graves et de passages à l’acte suicidaires »

 

La plainte contre l’obligation du port du masque est disponible sur le site de reaction19fr et téléchargeable.[4]

Plainte relative au port du masque déposée auprès du Procureur de la République de Paris sous le numéro 20323000756.

 

L’évolution récente de l’épidémie en Europe montre que le port généralisé du masque n’est pas efficace. Dans les pays nordiques seulement 5 à 10 % des personnes affirment porter un masque dans les lieux publics depuis le début de la crise alors qu’en France, Espagne et Italie ce taux atteint 70 à 80 %. Mais malgré leur taux très bas d’utilisation des masques, les pays nordiques peuvent se targuer d’une incidence de nouveaux cas hebdomadaires[5] nettement inférieure à celle des pays masqués (266/M en Finlande, 549/M en Norvège, 992/M en Suède et 1198/M au Danemark contre 1973/M en Espagne,2893/M en Italie, et 4226 en France). En situation réelle le port du masque ne parait donc guère efficace.

 

Compte tenu de l’absence de contagiosité des enfants et des adolescents, et de l’inefficacité des masques, les mesures imposées aux enfants et adolescents apparaissent complètement inutiles, ubuesques sinon pour entretenir la panique-soumission.

Toutes les sociétés de pédiatrie françaises critiquent les mesures sanitaires inutiles imposées aux enfants

Dans un communiqué les sociétés françaises de pédiatrie soulignent l’absence de logique médicale, le danger et les incohérences des mesures sanitaires imposées par le gouvernement.

« Nous ne pouvons que nous montrer inquiets devant l’organisation de la rentrée telle qu’elle se profile, tant sur le plan de la prévention que de celui de la prise en charge des enfants. »

Elles s’opposent à la pratique généralisée des tests par prélèvement nasopharyngés chez l’enfant : « la pratique des prélèvements nasopharyngés quasi-systématiques (tels qu’ils sont recommandés aujourd’hui) chez les enfants présentant une fièvre, des signes respiratoires ou digestifs n’est pas si anodine qu’elle peut le paraître. »

 

Les masques ont été démontrés inefficaces par la dernière étude randomisée danoise [6]. Détail de l’étude dans notre article : « Une étude confirme l’inutilité du port généralisé du masque ».

 

« L’obligation du port du masque, est-elle « légale » ? [7]

 

Il est intéressant de lire le post de Nuria Iturralde, Avocate, Barreau de Luxembourg sur sa page fb.

 

  • Pour Nuria : « l’obligation du port du masque constitue une ingérence dans la vie privée des individus.

En effet, la vie privée englobe tous les aspects de l’identité physique et sociale des personnes et comprend le choix concernant l’apparence, qui relève de l’expression de la personnalité de chaque sujet.

 

Le droit au respect de la vie privée est reconnu dans des multiples textes internationaux, parmi eux, la Convention Européenne des droits de l’homme (article 8) et la Charte de Droits fondamentaux de l’Union Européenne (article 7), tous les deux invocables de manière directe devant les tribunaux.

 

Ainsi, l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme :

« 1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.

  1. Il ne peut y avoir ingérence d’une autorité publique dans l’exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu’elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l’ordre et à la prévention des droits et libertés d’autrui. »

Dans le même sens, la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne dispose :

Article 7

« Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de ses communications. » Article 52

 

 (…)

« Il en résulte que dans des termes généraux, il ne peut pas être affirmé que le port du masque soit nécessaire pour protéger la santé de la population.

 

En outre, dans des affaires concernant le port du voile, parmi autres, n. 4619/12 Dakir c. Belgique et n. 37798/13 Oussar c. Belgique (applicables à l’espèce en ce qui concerne la dissimulation du visage), la Cour Européenne des droits de l’homme a considéré que l’individualisation des personnes, dont le visage est un élément fondamental, constitue une condition essentielle au fonctionnement d’une société démocratique dont chaque membre est un sujet de droit, du fait que éviter la dissimulation du visage répond à un besoin social impérieux :

« l’individualité de tout sujet de droit d’une société démocratique ne peut se concevoir sans que l’on puisse percevoir son visage, qui en constitue un élément fondamental. La circulation dans la sphère publique, qui concerne par essence la collectivité, de personnes dont cet élément fondamental de l’individualité n’apparaît pas, rend impossible l’établissement de rapports humains indispensables à la vie en société.

 

La dissimulation du visage a pour conséquence de priver le sujet de droit, membre de la société, de toute possibilité d’individualisation par le visage alors que cette individualisation constitue une condition fondamentale liée à son essence même… »

 

La Cour a également considéré que cette individualité fait partie des droits et libertés d’autrui qui méritent une protection particulière.

 

Il s’ensuit que non seulement le port du masque ne remplirait pas le critère d’être nécessaire à la protection de la santé publique et résulterait, d’après de différentes sources/études, dans un préjudice chez les personnes qui le portent, mais en plus cette obligation irait à l’encontre du besoin social impérieux consistant à ce que chaque personne puisse montrer/exprimer son individualité afin d’établir de rapports humains indispensables à la vie en société. »

 

 

Quant à l’élément de la proportionnalité, sur la base des données disponibles, dans la plupart des pays la grande majorité des individus qui se font tester du virus SARS-COV-2 obtiennent un résultat négatif, et de la minorité qui teste positif une grande majorité sont asymptomatiques ou présentent des formes très légères de la maladie. Il s’ensuit qu’une écrasante majorité des individus sont des personnes saines, à qui on impose pourtant le port du masque, avec les effets advers mentionnés ci-dessus. Vu le risque relativement faible que le port du masque sert à combattre, le critère de la proportionnalité ne serait pas rempli non plus.

 

De tout ce qui a été exposé, la conclusion est que le port du masque ne remplirait pas les critères nécessaires pour être « légal » et cela non pas seulement en ce qui concerne les lieux publics ouverts mais sauf, le cas échéant, pour les espaces particulièrement clos, petits ou peu ventilés (i.e. transports publics) aussi en ce qui concerne les lieux publics fermés. »

 

En conséquence, l’interdiction d’exercice ne parait pas fondée juridiquement d’autant qu’il n’y a pas de procédure d’appel sur une décision de l’ARS. Il est nécessaire que ce médecin bénéficie d’un large soutien de ses collègues et de la population.

 

 

 

 

 

[1] Rhône : un pneumologue « anti-masque » suspendu de ses fonctions (orange.fr)

[2] Impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants : un constat clinique alarmant (francesoir.fr)

[3] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la-maltraitance

[4] Plainte-masques-fusionnée-signée.pdf

[5] D’après l’OMS Covid19 weekly situation report 12 du 3/11/2020

[6] (Publié le 21 novembre 2020 – par Gérard Delépine sur riposte laïque)

 

[7] Post sur face book 5 OCT 2020

 

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Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité ?

 

 

« Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité. Une avocate dénonce les mesures sanitaires et la manipulation autour du Covid-19 [Interview] (breizh-info.com) 3 12 2020 »

Une avocate française dénonce les mesures sanitaires et la manipulation autour du Covid-19 sur breizh-info.com. Après la plainte allemande initiée par Reiner Fuellmich en vue d’un Nuremberg 2[1], et la jurisprudence portugaise condamnant l’utilisation du test PCR comme moyen insuffisant de diagnostic, d’autres juristes s’intéressent au sujet. Nous citerons come exemple, une interview de l’avocate Virginie de Araujo-Recchia sur Breizh-info (reprise par dreuz info) relatant son point de vue particulièrement sévère de la situation de notre pays, depuis presque un an.

 

A la suite de l’article de Breiz info s’interrogeant sur la possibilité de faire reconnaitre les mesures sanitaires et leurs conséquences sur la population française avec la dénomination de « torture », l’avocate a adressé au site cité un rapport accablant pour l’Etat Français.

Elle rapporte avoir relevé de nombreuses et graves atteintes à l’intégrité physique, psychique et morale des citoyens ainsi que de nombreuses atteintes aux intérêts fondamentaux de la Nation. Elle fait part de son analyse au regard des principes juridiques applicables et son anticipation des problématiques relatives à la vaccination.

Ce rapport contient une partie spécifique concernant le port du masque obligatoire pour les enfants et adolescents dès six ans, car l’atteinte à leur développement et à leur santé est extrêmement préoccupante.

Conclusions de l’avocate :

« Les mesures prises depuis le début de la crise et les techniques de manipulation employées tendent à qualifier pénalement ces actes de terrorisme d’Etat et de crime contre l’humanité, étant donné les graves atteintes portées à la santé physique et mentale des citoyens et plus généralement aux intérêts fondamentaux de la Nation, en troublant l’ordre public par l’usage de la peur et de la terreur ».

En ce qui concerne les enfants et les adolescents, le fait d’imposer le port du masque obligatoire dès 6 ans, avec les conséquences que cela implique pour leur santé, correspond pénalement à un acte de maltraitance et de torture.

En outre, dans l’hypothèse où le vaccin/thérapie génique serait imposé dans le futur (à un groupe ou à l’intégralité de la population) par la voie légale ou par la terreur, alors qu’il s’agit d’un traitement expérimental, des poursuites pénales pourraient alors être engagées par dépôt de plainte pour acte de terrorisme et crime contre l’humanité. »

Virginie de Araujo-Recchia dit avoir analysé les faits pris dans leur ensemble afin de les qualifier juridiquement. Les actes de terrorisme et les crimes contre l’humanité sont clairement définis par le Code pénal français (articles du Code pénal repris in extenso dans le rapport).

« Pensez-vous que le fait de bâillonner et de confiner toute une population sans justification scientifique établie, le fait de manipuler la population en employant des techniques de torture décrites dans la Charte de Biderman ou les expériences de Milgram pour soumettre la population ne sont pas des procédés disproportionnés et criminels ? » dit -elle.

Les griefs énoncés correspondent aux faits constatés et croyez-moi, cela ne me réjouit absolument pas de faire ce terrible constat.

 D’après Virginie de Araujo-Recchia : des actions juridiques sont envisageables à plusieurs niveaux :

Sur le plan pénal, les tests PCR, utilisés pour justifier toutes les mesures liberticides prises en cascade ont déjà été condamnés par la cour d’appel de Lisbonne (arrêt du 11 novembre 2020 – 1783/20.7T8PDL.L1-3, Margarid Ramos de Almeida). Ce jugement a déclaré illégale une mesure de quarantaine car basée sur les seuls tests PCR positifs [2]

L’Allemagne a engagé des poursuites pour crime contre l’humanité et des associations de consommateurs italiennes ont déposé plainte auprès de neuf parquets, pour délit de fraude aggravée, fausse idéologie et homicide involontaire à l’encontre du gouvernement italien.

–L’avocate imagine encore que des parlementaires intègres pourraient engager les procédures suivantes :

« Une procédure de destitution du président de la République étant donné les graves manquements à ses devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice de son mandat dont la mise en péril des intérêts fondamentaux de la Nation, terrorisme d’Etat et crime contre l’humanité (article 68 de la Constitution).

Une procédure de motion de censure à l’égard du gouvernement étant donné le caractère objectivement disproportionné des mesures prises depuis le début de la crise et pour les mêmes raisons sus-indiquées (article 49,3 de la Constitution) ».

 L’avocate pense qu’il est urgent d’agir car « un test d’obéissance a été effectué à grande échelle et il porte ses fruits ». L’Europe serait pour elle, « un véritable champ d’expérimentation pour les plus grandes fortunes de la planète, adeptes du transhumanisme, vers un monde aux antipodes des aspirations de la majorité des citoyens ».

 

Virginie de Araujo-Recchia souhaite dire aux citoyens, qu’il n’est pas trop tard pour agir et revendiquer nos libertés les plus fondamentales, mais le temps nous est compté.

Quant aux dirigeants, « ils sont responsables de dommages conséquents et irréversibles. A ce titre, l’atteinte est telle qu’ils ne pourront jamais indemniser les citoyens du temps de vie perdu tout au long de ces mois confinés, masqués, réprimés, abusés, manipulés, torturés, humiliés. »

« Il est encore temps de limiter les conséquences désastreuses de leurs décisions. Il est temps pour eux de démissionner pour laisser place à des personnes compétentes et intègres, qui ne seront pas à la solde d’intérêts supranationaux. Les citoyens français ont besoin qu’on leur fasse confiance et ils ont besoin de faire confiance pour avancer et reprendre le cours normal de leur existence ». [3]

 

Le rapport de l’avocate est très intéressant.[4] Il rappelle que « le principe de respect de la dignité de la personne humaine fait partie du bloc constitutionnel (i.e. ensemble des principes et dispositions que doivent respecter les lois, cet ensemble prime sur les Traités, les Conventions et le Droit européen dans la hiérarchie des normes).

« Concrètement, le principe de dignité exige, pour reprendre la formule du Conseil constitutionnel, de sauvegarder la personne humaine « contre toute forme d’asservissement ou de dégradation ». La dignité implique que la personne reste maître de son corps et d’elle-même, ce qui suppose qu’elle ne se trouve pas aliénée ou asservie à des fins étrangères à elle-même. »

Elle détaille dans son rapport des Décisions allant à l’encontre des intérêts fondamentaux de la Nation et des citoyens :

« Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel de ces mesures.

Nous pouvons notamment le constater à la lecture de la décision du Conseil constitutionnel n°2020-808 DC du 13 novembre 2020, relative à la loi autorisant la prolongation de l’état d’urgence sanitaire , par laquelle le Conseil constitutionnel refuse  de censurer ladite loi alors que: – le gouvernement a utilisé la procédure des votes bloqués (art. 44, al.3 de la Constitution), empêchant ainsi d’adopter un amendement réduisant la période de confinement (amendement qui avait été adopté lors du premier vote), l’exécutif bafoue continuellement le bloc constitutionnel depuis le début de la crise.

Les conséquences découlant de ces confinements sont désastreuses pour la santé,

-la vie des citoyens et l’économie du pays en violant par là même les droits du peuple :

– Violation de la liberté individuelle et du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation.

– Violation de la liberté de circuler/d’aller et venir : en ce sens l’Etat est coupable de détention arbitraire à l’égard des citoyens en temps de paix. Les citoyens qui contreviennent à une mesure de confinement sont verbalisés.

Volonté de mettre à l’isolement des citoyens « positifs » au test et non pas malades s’apparentera à des mesures de séquestration. L’Etat entend verbaliser les personnes qui enfreindraient la « quarantaine » à hauteur de 10 000 euros.

– Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.

Violation de la liberté d’entreprendre et inégalité de traitement : les P.M.E. soit les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel etc.

En somme tous les non-fonctionnaires (or alimentaire, pharmacie, journaux et tabac) pâtissent de ces mesures liberticides et mortifères. De nombreuses procédures de liquidation judiciaire sont attendues, mais les mesures ne sont pas levées malgré l’appel du peuple.

– Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple.

– Violation du droit à l’éducation durant le premier confinement.

– Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Eglises de France alors que les croyants ont besoin d’apaisement.

– Accord de la France concernant le plan de relance européen, lequel ouvre la porte à l’intégration européenne en créant un budget européen, sans qu’aucun débat politique n’ait été mené en France. Les citoyens doivent désormais s’attendre à la création d’un impôt européen. »

Il est évident que ce rapport est une mine d’informations qui justifiera plus amples commentaires et permettra à l’auteur de défendre les citoyens devant les tribunaux. Merci à elle pour cette immense aide pour tous.

 

Nos droits fondamentaux sont bafoués sans aucune raison sanitaire réelle. Nous ne pourrons retrouver nos libertés qu’en appuyant les plaintes en justice par des actions collectives massives.

 

[1] L’objectif des 5000 cas par jour : encore une énorme arnaque – Riposte Laïque Riposte Laïque (ripostelaique.com)

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[2] Car les tests PCR positifs réalisés chez des sujets asymptomatiques avec plus de 40 cycles d’amplification correspondent dans 90% des cas à des personnes ni malades ou ni contagieuses.

[3] Propos recueillis par YV Breiz-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine.

[4] file:///C:/Users/nicol/Desktop/RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

 

 

Raisons du recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales

 

 

La commission d’enquête extra-parlementaire allemande sur la COVID-19 lance un recours collectif contre les criminels du Coronavirus et pas seulement contre les politiques des gouvernements et leurs conseillers, mais aussi directement contre les fabricants.

 

La punition financière sera-t-elle plus efficace que tous les arguments moraux et scientifiques ?

 

« L’Allemagne est à nouveau en première ligne dans la lutte contre les mesures relatives au Coronavirus, qui sont dévastatrices, injustifiées, destructrices pour l’économie, affadissantes pour les personnes et carrément génocidaires.[1]  Et attaquer la base de la manipulation et de la désinformation qui permet à la peur de se répandre et donc à l’opinion d’être sidérée et trop silencieuse est sûrement une excellente idée de la commission allemande qui a initié dès juillet ses travaux pour un Nuremberg du covid.

 

Ainsi les fabricants du test PCR qui sert à justifier l’enfermement des ainés en EHPAD et la désorganisation de votre entreprise avec l’isolement de vos employés pour un « contact » vont enfin devoir rendre des comptes éventuellement sonnants et trébuchants pour avoir mis sur le marché un test non fiable.

« Le PCR – Polymerase Chain Reaction est une technique utilisée pour « amplifier » de petits segments d’ADN qui, selon de réputés virologues du monde entier, est absolument inadapté pour dépister la COVID-19.

 

Car un test positif ne signifie pas que vous êtes malade ou contagieux et ne justifie donc en rien votre isolement.

 

Pour transmettre la maladie, vous devez recéler du virus entier, son génome complet et l’excréter. Or le test met en évidence non pas le virus capable de se reproduire, mais simplement des fragments de son ARN qui ne sont en aucun cas infectieux. Ce test manque donc souvent de spécificité en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (les chinois en recherchent 5 à 6).

 

Et lorsque le nombre de séances d’amplifications est trop élevé, le test répond anormalement souvent positif. Pour évaluer la contagiosité, il est plus logique de voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Une très large étude [2] comparant positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures montre qu’il existe une bonne corrélation (supérieure à 70% des cas) pour un nombre de cycles d’amplification inférieur à 25, puis qu’elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente !

 

 

 

 

 

Néanmoins, le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l’OMS – et par d’autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID / NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l’hôpital Charité de Berlin. » il est utilisé en France comme la panacée.

 

Le grand gagnant du test PCR est le conseiller chercheur favori de Mme Merkel, le dr Drosten[3] qui a convaincu les autorités allemandes puis mondiales de tester et compter les « cas » et non plus les vrais malades cliniques, manipulant les populations pour leur faire croire ainsi à la persistance d’une pandémie.

 La taille du marché mondial du diagnostic COVID-19 est évaluée à 19,8 milliards de dollars en 2020  [4] et devrait croître chaque année de 3,1% d’ici 2027.

Coup double : aubaine politique pour les gouvernements qui souhaitent imposer des lois anti démocratiques (interdiction de se réunir et/ de manifester) et pactole commercial avec des centaines de millions de tests vendus par le monde.

Jackpot, mais responsabilité directe dont ils devront répondre. En tous cas c’est ce qu’espèrent les initiateurs de la plainte internationale, Reiner Fuellmich et associés et tous ceux qui les suivent dans de très nombreux pays (au moins une cinquantaine).

 

Le test PCR tel qu’il est réalisé en France avec des cycles d’amplification trop nombreux n’est pas spécifique, comme l’avait énoncé son inventeur Karys Mullis et même confirmé par le dr Drosten en 2014. Mais les temps changent et les objectifs politiques et financiers aussi.

En conséquence le test PCR a été généralisé et souvent imposé parfois illégalement pour faire peur (la Peur est le nom du Jeu dit Peter Koenig) en n’imposant évidemment pas une limite du taux de replication <33 et en cachant sur ordre des gouvernements l’amplification utilisée. [5]

Selon Fuellmich, le consensus est que tout ce qui est plus de 35 cycles est scientifiquement indéfendable. Pourtant, les tests et les tests de Drosten recommandés par l’Organisation mondiale de la Santé sont fixés à 45 cycles.

Des gens ont été privés de travail, leurs bureaux fermés comme les écoles, et les ainés enfermés comme des délinquants au premier test positif. Actuellement encore des EHPAD sont interdits de visite pour un test positif !

De plus, la panique entretenue par les médias pousse beaucoup de personnes à se faire tester plusieurs fois (et peuvent également être comptabilisées X fois).

 

Les nombre de « cas » peuvent être ainsi multipliés et instrumentalisés

Pour justifier les confinements qui bloquent la vie sociale et économique des pays entraînant d’innombrables faillites, chômage record, misère extrême, famine et suicides.

 

  Réparations financières et pénales ?

Les dommages sociaux et économiques qui découlent de la supercherie des tests PCR sont colossaux et on imagine les sommes fabuleuses que devront payer les entreprises qui ont fabriqué et vendu ces tests prétendant à tort qu’ils dépistent la contagiosité, ainsi que les dommages et intérêts que les politiques responsables pourraient être amenés à payer, tant en civil qu’en pénal.

Ainsi, lorsque l’idée d’un recours international et in fine d’un procès Nuremberg 2 est apparue, une bouffée d’espoir nous a enfin saisie permettant d’imaginer une sortie autre que tragique de ce scénario catastrophe que nous vivons depuis bientôt un an.[6]

le Dr Reiner Fuellmich, avocat de l’ACU, (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss ou ACU)   explique dans sa première vidéo d’octobre 2020 comment le recours collectif, pourrait mettre un terme à ces mesures destructrices et les inverser, en dédommageant les personnes lésées et les petites et moyennes entreprises qui n’ont eu d’autre choix que de déclarer faillite et de licencier leurs employés.[7]

 

 

Un futur big bang ?

 

Envisageable si des millions de personnes dans le monde entier se joignent au procès de recours collectif.

Ce recours collectif sera déposé très bientôt aux États-Unis, pays coutumier des class actions et plus de cinquante pays sont d’ores et déjà susceptibles de rejoindre le mouvement par des plaintes nationales, mais aussi des citoyens se joignant individuellement les class actions américaines.

Dans les premiers mois de 2020, l’avocat Fuellmich a découvert de nombreuses anomalies dans le processus de décisions politiques allemandes et interrogé des amis scientifiques allemands et étrangers. Par exemple il a découvert que Beate Bahner, avocate spécialisée en droit médical, qui affirmait que les mesures de quarantaine de l’Allemagne étaient inconstitutionnelles a été empêchée de présenter sa requête devant la cour constitutionnelle ; elle a été arrêtée et détenue dans un service psychiatrique pendant plusieurs jours[8].  Cela rappelle les sombres heures et les méthodes totalitaires des dictatures.

 

Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires

La séparation des pouvoirs a été violée dans les pays du monde qui appliquent les consignes de l’OMS à la suite de l’accord signé par 194 pays en cas de pandémie[9]. Et c’est évidemment l’OMS qui a changé les critères pour déclarer que la crise du covid était une « pandémie ». Pendant ce temps, ces gouvernements liés entre eux continuent à imposer par ordonnances des mesures liberticides sans rapport avec le danger réel du virus.

 Le judiciaire reprend la main

Il était temps que le judiciaire prenne la main, les peuples sidérés et enfermés par la peur et les mesures policières n’ayant pas jusqu’à présent réussi à faire stopper la propagande qui marche encore sur cette peur, terrible moyen connu depuis des lustres pour obtenir sidération et soumission des peuples. L’enseignement de Machiavel et de Goebbels sont présents dans nos mémoires.

Néanmoins de grands mouvements populaires voient le jour en Allemagne, Italie, Angleterre, Espagne et plus récemment la France, depuis fin août, à commencer par l’énorme rassemblement à Berlin d’un million de personnes en présence du très respecté Robert F Kennedy Jr, avocat et défenseur de la cause des enfants depuis de nombreuses années (voir son site children’s health Defense).

 

Le Panic Paper

Reiner Fuellmich a pu étudier le « PANIC PAPER ». Ce document classifié a été divulgué à la presse, et révèle qu’il y avait un plan intentionnel au niveau du gouvernement allemand pour induire une panique généralisée.

Selon Fuellmich, la seule raison pour laquelle le test PCR est utilisé d’une manière incorrecte est de créer suffisamment de peur et panique, afin que personne ne remette en question les mesures pandémiques mises en place et tout simplement faire ce qu’on leur dit. Il passe ensuite en revue le soi-disant « Panic Paper » écrit par le ministère allemand de l’Intérieur.

L’une des stratégies énoncées dans le document est parfaitement reproduite en France par nos médias et le gouvernement : le but est de culpabiliser les enfants et de les conditionner dans le respect de la « conformité », de leur faire sentir responsables « de la mort de leurs parents et grands-parents s’ils ne suivent pas les règlements anti-corona ». Cette stratégie est particulièrement perverse puisque toutes les études internationales ont démontré depuis mars 2020 que les enfants et adolescents de moins de 19 ans ne contaminent jamais ni adultes, ni enfants.[10]

Selon Fuellmich, ce que nous avons, c’est une pandémie de test PCR par étapes. Il ne s’agit pas d’une pandémie mortelle de virus, « et je peux le prouver devant les tribunaux ».

 

Le pouvoir judiciaire est « le dernier point d’ancrage de la démocratie » selon Fuellmich

Il soulève un point important. L’OMS, le Forum économique mondial et les Nations Unies sont tous des sociétés privées, mais elles exercent un pouvoir énorme sur les gouvernements du monde.

« Nous devons leur reprendre le pouvoir et le remettre à sa place, avec le gouvernement, et nous devons examiner de très près qui est au gouvernement et qui est devenu trop proche de ces sociétés » …

 Son plan de bataille consiste à démontrer au tribunal qu’il n’y a pas de pandémie de virus mais une pandémie de tests PCR par étapes.

 

À l’heure actuelle, des recours collectifs sont en cours d’élaboration aux États-Unis et au Canada. Des poursuites judiciaires sont également en cours d’élaboration en Allemagne.

L’ACU travaille également à la création de lignes directrices juridiques et de dossiers de données que les avocats du monde entier pourront utiliser pour intenter leurs propres poursuites.

 

Quant au citoyen lambda, Fuellmich exhorte tout le monde à, tout d’abord, ne pas abandonner, et autrement dit, poser beaucoup de questions. Continuez à poser des questions parce que plus les questions seront posées, plus les réponses seront claires.

 Continuez à contrer la censure en posant des questions. Une fois que les audiences commenceront, l’information commencera à se propager plus rapidement.

Pour en savoir plus, toutes les réunions de l’ACU sont diffusées en direct et disponibles sur la chaîne YouTube25 du Comité. Reiner Fuellmich peut être contacté via www.fuellmich.com, et le Comité d’enquête Corona via corona-ausschuss.de

Des informations en plusieurs langues devraient également être disponibles sur www.ACU2020.com.

 

 

 

 

 

[1] La commission d’enquête extra-parlementaire allemande sur la COVID-19 lance un recours collectif contre les criminels du Coronavirus   Par Peter Koenig Mondialisation.ca, 09 octobre 2020

Article original en anglais : Germany’s Extra-Parliamentary Corona Investigative Commission Launching a Class Action Suit Against Corona Criminals, le 4 octobre 2020 Traduit par Maya pour Mondialisation

[2] Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates Clinical Infectious Diseases Downloaded from https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciaa1491/5912603 by guest on 06 December 2020

[3] En tant que directeur de l’Institut de virologie du Centre médical de l’Université de Bonn, Drosten est surtout connu pour avoir mis au point le premier test diagnostique pour le SRAS en 2003. Il a également mis au point un test diagnostique pour la grippe porcine,6 et en 2009 a contribué tambour jusqu’à la panique avec des prophéties délirantes sur la grippe H1N1.

[4] https://www.grandviewresearch.com/industry-analysis/covid-19-diagnostics-market

[5] Beaucoup sinon la plupart des laboratoires amplifient l’ARN recueilli beaucoup trop de fois, ce qui entraîne des tests de santé « positifs ».

En résumé, l’écouvillon PCR recueille l’ARN de votre cavité nasale. Cet ARN est ensuite transcrit à l’envers dans l’ADN. Cependant, ils doivent être amplifiés pour devenir discernables. Chaque tour d’amplification est appelé cycle, et le nombre de cycles d’amplification utilisés par un test ou un laboratoire donné est appelé seuil de cycle.

Lorsque vous dépassez les 30 cycles, même des séquences insignifiantes d’ADN viral finissent par être amplifiées au point que le test se lit positif même si votre charge virale est extrêmement faible ou si le virus est inactif et ne représente aucune menace pour vous ou pour quelqu’un d’autre.

[6] (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss,3 ou ACU),4,5 lancé le 10 juillet 2020.

 

[7] A retrouver sur odyssee.com car supprimée de YouTube, censure après plus d’un million de vues

[8] Elle voulait se rendre devant la Cour constitutionnelle fédérale. La police a placé l’avocate du Coronavirus dans un service psychiatrique Polizei bringt Corona-Anwältin in Psychiatrie

Article originel :  Sie wollte vors Bundesverfassungsgericht Polizei bringt Corona-Anwältin in Psychiatrie https://www.bild.de/regional/frankfurt/news-inland/corona-anwaeltin-beate-bahner-in-psychiatrie-gebracht-sie-wollte-vors-verfassung-70024242.bild.html

[9] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

 

[10]  Voir nexus Gerard Delépine septembre 2020

www.francesoir.fr/…/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la- maltraitance

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

 

chaine  TVlibertés

 

écoutez le samedi politique du 14 NOV 2020 présenté par Elise Blaise sur tvlibertés avec Gerard Delépine

 

http://mtr.cool/bopdenlohw

« Encore 15 jours (minimum) de confinement. Le premier ministre Jean Castex l’a annoncé, les Français vont devoir encore attendre pour avoir une chance de revoir la liberté… Plus le temps passe, plus les populations s’attendent à être assignées à résidence éternellement… Une situation inquiétante tant sur le plan des libertés que sur celui de la santé. Seule solution présentée par les dirigeants politiques : le vaccin… Une perspective qu’illustre bien l’annonce du laboratoire américain Pfizer présentant son vaccin contre le Covid-19 en cours d’élaboration comme « efficace » à 90%… Il n’en fallait pas plus pour que des responsables politiques sautent à pieds joints dans l’obligation vaccinale. Une option bien incertaine au vu de l’absence de recul possible sur ce fameux vaccin. Face à ce totem, un véritable désintérêt se dessine pour des solutions thérapeutiques. Le professeur Didier Raoult, qui propose un traitement que l’on rechigne à tester sérieusement dans des conditions conformes au protocole de l’infectiologue marseillais, est de son côté poursuivi par l’Ordre des médecins… Un Ordre des médecins qui semble plus timide quand il s’agit d’enquêter sur les conflits d’intérêts de certains praticiens médiatiques… Dans cette hystérie globale, où ordres, contre-ordres, et mensonges se succèdent, les Français semblent perdus. Ils cherchent des réponses ailleurs, notamment dans le documentaire « Hold-Up »… Le docteur Gérard Delépine, chirurgien oncologue et statisticien (auteur avec Nicole Delépine de Autopsie d’un confinement aveugle Ed. Fauves disponible ici https://www.tvlibertes.com/produit/ni…) revient pour nous sur une situation souvent incompréhensible rythmée par des choix politiques opaques. Retrouvez-nous sur : https://www.tvlibertes.com/ https://www.facebook.com/tvlibertes/ https://twitter.com/tvlofficiel?lang=fr  « 

Non aux reconfinements mortifères, même locaux

 

 

Par le docteur G. Delépine

 

Le confinement aveugle qui nous a été imposé de manière totalitaire représente la plus grande catastrophe dont la France a souffert depuis 75 ans. Ce n’est pas le Covid19 qui est responsable de la majorité des morts observés ni de l’état catastrophique actuel du pays, mais les mesures sanitaires inadaptées[1] et disproportionnées qui nous ont été imposées.

 

 

 

Ne savent-ils pas compter ou veulent ils veulent-ils sciemment nous nuire ?

Une politique se juge à ses résultats. La politique sanitaire française a été particulièrement contreproductive puisqu’elle nous a amené dans le top 6 européen des plus hauts taux de morts par Covid derrière la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la Grande Bretagne et la Suède avec quatre fois plus de morts qu’en Allemagne (490/million contre 114/M) et 25% de plus qu’aux Pays-Bas qui ont laissé leur population libre de ses mouvements, ne pleurent pas de victimes collatérales et bénéficient de perspectives économiques moins catastrophiques que les nôtres.

 

 

Ce confinement aveugle (astreignant à résidence ensemble les malades contagieux et les biens portants contre toute logique sanitaire ) a été directement responsable d’un excès de 25000 morts [2][3] attribuées au covid19, de 25000 à 30000 morts collatéraux supplémentaires (survenues ou à venir) par arrêt des soins des autres pathologies, d’une aggravation des violences familiales, des pathologies psychiatriques, d’un décrochage scolaire massif[4], d’une fracture sociale sévère[5] et de la plus grave crise économique [6] depuis la dernière guerre mondiale.

Ce bilan catastrophique du confinement ne perturbe apparemment pas le lobby de la terreur qui prône en permanence de le réimposer, sans qu’un débat démocratique ne puisse avoir lieu dans les médias, car les opposants sont le plus souvent exclus.

Ainsi J F Delfraissy, président du Conseil scientifique n’exclut pas un re confinement local[7]. » ni Esther Duflo vante les mérites d’une organisation « sereine » d’un re confinement. Ni Jérôme Marty, président du syndicat de l’Union française pour une médecine libre (UFML) qui estime que  » ce qu’il risque d’arriver c’est un re confinement total, comme ils vont le faire au Royaume-Uni à la Toussaint » ni Christine Rouzioux qui croit que les mesures prises par le gouvernement n’étaient pas assez drastiques et prophétise  » les hôpitaux seront pleins très rapidement et seront submergés.

Le Canard Enchainé a récemment dévoilé le scénario de l’Elysée des confinements locaux prévoyant dans certaines régions avec le passage possible à l’état d’urgence sanitaire. Apparemment, pour eux, quand une mesure a été catastrophique il faut la réutiliser !

L’absence de débat, les mensonges permanents inversant les versions, les chiffres faux et différents selon les sources officielles diverses créent la confusion mentale des citoyens et l’impossibilité totale de comprendre. Ce n’est pas être uniquement de l’incompétence, mais évoque plutôt l’application d’une technique totalitaire bien éprouvée et décrite depuis des lustres, même si elle peut utiliser des incompétents, ou naïfs ou ignorants pour la mettre en œuvre avec le plus grand naturel.

 

Comment avions-nous fait auparavant lors des grandes pandémies modernes ?

Depuis la guerre de 40-45, deux autres épidémies majeures (grippe asiatique et grippe de Hong Kong) ont fait plus de victimes que le Covid19 en France et dans le monde. Elles n’ont justifié ni l’état d’urgence, ni la suspension de nos droits fondamentaux et n’ont pas causé les dommages colossaux que nous constatons actuellement tant pour la société, que pour l’éducation et l’économie.

Et plus récemment en janvier 2017 la grippe banale a tué près de 14000 français. Les médias en ont peu parlé et la vie a continué, normalement. Car la vie est une maladie sexuellement transmissible, en permanence exposée aux dangers, et constamment mortelle…

 

Comment ont fait les pays qui ont vaincu le Covid19 ?

Après la Chine, quatre pays ont affronté le Covid19 avec succès et sans confinement en reposant leur stratégie sur les méthodes traditionnelles de lutte contre les pandémies le contrôle des frontières et l’isolement des malades (la quarantaine de 15 jours).

 

Prophéties mathématiques mensongères et faits constatés dans le monde réel

 

De nombreux articles ont vanté les mérites du confinement aveugle à la française en prétendant, comme les prophéties de Ferguson, qu’il ralentirait le rythme des contaminations, éviterait la surcharge hospitalière, permettant ainsi aux autres malades d’être soignés et d’hospitaliser nos ainés qui en auraient besoin.

En comparant les morts recensés à leur prophéties initiales, ils ont même prétendu avoir sauvé 60000 français et 3 millions d’européens. Leur méthode réside à comparer leur prédiction catastrophique (multipliant par 10 à 20 le nombre des morts attendus) au nombre réellement observé et à s’attribuer le mérite d’avoir grâce à leur recommandation, sauvé la différence.

Leur trucage est évident lorsqu’on analyse l’article où ils se vantent d’avoir sauvé 3 millions d’européens[8] ; dans leur « extended data tableau 1 », ils donnent leurs résultats pays par pays au 4 mai 2020.

 

 

 

Pour la Suède, ils constatent le faible nombre de décès observés (2769), le comparent à leur estimation initiale sans confinement pour cette date (28000) et affirment alors avoir sauvé 26000 suédois, grâce au confinement.

Malheureusement pour eux, les suédois n’ont jamais confiné, démontrant ainsi que les prophéties de Ferguson et ses élèves majorent par dix le risque réel, qu’ils ignorent les politiques sanitaires appliquées par les pays « étudiés » et que leur « vies sauvées » virtuelles ne constituent en réalité que la mesure de l’erreur de leurs estimations.

Il est triste de constater que cet article, grossièrement erroné, a été publié dans la revue Nature jadis réputée pour son sérieux.

 

Les conséquences dramatiques du confinement aveugle dans le monde réel.

Echec contre le Covid19

L’examen des courbes de contamination observées montre que l’astreinte à domicile (ou dans leur Ehpad), ensemble malades et biens portants, n’a pas ralenti le rythme des contaminations en France, comme dans les pays voisins qui ont appliqué cette technique moyenâgeuse.

 

 

 

En Belgique, la propagation de l’épidémie a même été franchement accélérée par le confinement aveugle ainsi que le montre la comparaison des courbes de contaminations en Belgique (confinée) et aux Pays-Bas (non confinés).

 

 

L’accroissement du risque de contamination par le confinement aveugle vient d’ailleurs d’être confirmé par une étude espagnole[9] démontrant, sur des tests sanguins, que les personnes qui n’étaient pas confinées ont été moins infectées que les personnes confinées.

 

 

Cette accélération des contaminations explique l’augmentation de la mortalité dans tous les pays qui ont confiné à l’aveugle. La comparaison des courbes de mortalité entre la France et l’Allemagne (qui n’a pas confiné aveuglément mais pratiqué des quarantaines ciblées est éloquente :

 

Le confinement aveugle pratiqué en France a été suivi d’une considérable augmentation de la mortalité Covid19 contrairement à l’Allemagne

 

Le confinement aveugle est de plus responsable d’environ 30000 victimes supplémentaires actuelles/futures par défauts de soins

Le confinement s’est accompagné du plan blanc réservant la quasi-totalité des moyens hospitaliers au Covid, imposant un arrêt de toutes les activités médicales hors Covid, interdisant toutes les interventions chirurgicales nécessaires aux malades ordinaires. Ce plan blanc a laissé de très nombreux hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et a conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radio etc.

 

En Ile-de-France, le confinement a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé[10].

Or les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt (en général et à bon escient) et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance menacent la vie des malades à court ou moyen terme.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard …) dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

 

Malades aigus déjà morts du confinement

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière affirme que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer des dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Une étude de l’Inserm[11] menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

 

Malades chroniques abandonnés

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale. Des patients fragiles, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les soins en cancérologie désorganisée par les ARS

Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation. Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure. Ce sont les ARS qui ont bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et exigeant qu’on les remplace par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Pays perdu dont les médecins transformés en robots doivent obéir à des administratifs. Il semble bien que cela recommence puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre un nouveau plan blanc alors que le nombre de morts par covid (supposé) est dix fois inférieur à celui de mars au plus fort de l’épidémie.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie comme on l’a vu, de neurologie, d’endocrinologie, rhumatologie, d’insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de les chiffrer précisément avant des années, d’autant qu’il faudra aussi additionner l’excès de morts par suicide à venir à la suite du choc post traumatique subi. Comme nous l’avons déjà écrit la deuxième vague sera psychiatrique.[12]

 

Maladies nouvelles diagnostiquées et traitées avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations observée a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

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380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le plan blanc 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer mais ce chiffre semble être descendu de moitié. L’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne : « pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer”, explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès.”

Si on ajoute les morts prévisibles des autres pathologies, le bilan mortifère du plan blanc s’élève actuellement pour la France à plus de 25000-30000 morts.

 

Au total 25000 morts du Covid19 qu’on aurait pu éviter, 25000-30000 victimes collatérales par défaut de soins soit un total de plus de 50000 victimes du confinement. Ces estimations ne constituent que des minimas auxquels il faut ajouter celles des violences familiales, de l’explosion des pathologies psychiatriques et des suicides, d’une fracture sociale inédite entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées), une catastrophe éducative (avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent pas les autres enfants ni les adultes.

 

Les victimes de la crise économique parfois lointaines et ignorées

La crise économique du confinement s’annonce d’une ampleur inégalée depuis 1945 avec une diminution prévue de plus de 10% du PIB, des dépôts de bilan qui s’accumulent et le chômage reparti vers des records historiques.

La famine sévit déjà en France, où le nombre de pauvres a bondit de plus d’un million et ou les restaurants du cœur doivent faire face à des affluences record. De plus en plus de mamans témoignent : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et je ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

En Afrique l’aggravation de la famine dû à la crise économique du confinement va entraîner, plus d’une centaine de millions de morts d’après l’ONU et le programme alimentaire mondial contre la faim[13] .

 

Une Crise démocratique majeure sans équivalent depuis la dictature de vichy. Le gouvernement de la France qui prétend donner des leçons de démocratie au monde est dirigée depuis plus de six mois sous un état d’urgence plus autoritairement que Taiwan, la république de Corée ou Singapour dont les taux de mortalité Covid19 sont près de 100 fois inférieurs au nôtre, qui ne déplorent pas de victimes collatérales et dont les dégâts économiques s’annoncent deux fois moindres.

La poursuite de prétendues mesures sanitaires dont l’efficacité n’a jamais été prouvée contribue à aggraver la panique et à détruire l’économie.

Reconfiner priverait à nouveau inutilement nos enfants de leur éducation et ferait tellement de dégâts à notre économie déjà très malade que notre capacité à financer sur le long terme notre système de santé et d’autres services publics serait sérieusement entamée.

 

Que peut-ton faire ?

L’opposition – et pourquoi pas des députés et sénateurs de la majorité conscients de foncer dans le mur, et les grands médias doivent cesser d’être à la remorque du gouvernement et adopter une attitude critique constructive sans concession.

Les résultats réels catastrophiques du confinement français doivent être rappelés et dénoncés de même que la prolongation de l’état d’urgence et des mesures sanitaires totalement inutiles, voire nocives (port du masque toute la journée à haut risque d’infection) qui bloquent l’économie avec des normes fantaisistes jamais validées par aucune étude scientifique et des évictions de personnels non malades dont le seul tors a été de se faire tester.

Le Premier ministre norvégien E Solberg a reconnu à la télévision nationale Le 27 mai dernier. « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur » « fermer des écoles et des jardins d’enfants, faire travailler tout le monde à domicile ou limiter les rassemblements à un maximum de cinq personnes a été excessif » C Stoltenberg, directrice de l’Institut norvégien de santé publique a confirmé « le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19. ». Le président Macron se grandirait en reconnaissant, comme elle, avoir agi par peur d’une prophétie catastrophe manipulatrice.

Une politique sanitaire efficace doit être fondée sur l’expérience médicale des pays qui ont vaincu la maladie et pas sur des prédictions mathématiques qui se sont toutes révélées totalement fantaisistes. Plutôt que de prendre modèle sur la Chine, nous aurions dû méditer l’expérience de Taiwan, qui a démontré que « la meilleure façon de contenir le coronavirus n’est pas de mettre en quarantaine les informations sur l’épidémie, mais de les rendre plus faciles et plus pratiques pour personnes à accéder aux informations pertinentes. »

Arrêtons cette propagande de la terreur. Rassurons la population. Mettons fin à cette accumulation de mesures grotesques qui pourrissent inutilement la vie de nos compatriotes et vont achever l’économie.

L’épidémie est terminée et la deuxième vague dont on nous menace depuis quatre mois n’est qu’une vaguelette qui conforte progressivement, grâce aux jeunes, l’immunité collective qui protégera nos ainés comme elle le fait dès maintenant en Suède[14]

 

 

Retrouvons nos libertés pour redresser le pays.

Renforçons le système sanitaire en le libérant du carcan bureaucratique des ARS qui ont montré leur grave pouvoir de nuisance lors de cette crise[15].

Affectons immédiatement plusieurs milliards aux hôpitaux pour qu’ils accroissent leur capacité de réanimation, et l’effectif de leur personnel soignant en augmentant immédiatement d’au moins 300 euros les soignants au contact des malades et en allégeant leurs contraintes administratives. On ne manque pas d’infirmière ni de médecins en France mais leurs conditions de travail en ont dégouté un trop grand nombre ; redonnons-leur le plaisir de traiter les malades et d’être à nouveau utiles.

 

L’OMS lui-même réfute le confinement.

Le Dr David Nabarro a lancé un appel aux dirigeants mondiaux leur demandant d’arrêter « d’utiliser les confinements comme méthode de contrôle principale » du coronavirus. « Les confinements n’ont qu’une seule conséquence que vous ne devez jamais prendre à la légère, c’est qu’ils rendent les gens pauvres beaucoup plus pauvres » « Nous, au sein de l’Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle de ce virus ».

 

 

[1] Aucune des mesures de distanciation sociale qui ont été imposées ne repose sur des preuves scientifiques ni sur une utilisation médicale réussie. Seule la quarantaine a prouvé son efficacité.

[2] Professeur Christian Perronne 16 juin 2020 : « On a eu 30 000 morts en France, j’ai honte pour notre pays. Sur ces 30 000, on aurait pu en éviter 20 000 voire 25 000 »

[3] Par rapport à l’Allemagne qui n’a pas confiné mais pratiqué la prévention classique des épidémies par l’endiguement 24500 morts de trop en France estimation finale Christian Perronne avait vu juste France soir 5 8 2020 http://www.francesoir.fr/covid-19-24500-morts-de-trop-en-france-estimation-finale-christian-perronne-avait-vu-juste

[4] Avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes

[5] Entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées

[6] Chômage en forte hausse, baisse record du PIB. En France, il est estimé que les faillites d’entreprises devraient croître de 25 %, hausse similaire à ce qui est attendu en Italie et en Belgique. En comparaison, l’Allemagne et le Japon devraient mieux s’en tirer (+10 %) sur cette période.

[7] Le 9 10 au micro de BFM TV

[8] Seth Flaxman Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe Nature

. 2020 Aug ;584(7820) :257-261. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32512579/

[9] : Estudio nacional de sero–epidemiologia de la infection por SARS-COV-2 en Espana. Informe preliminar 13 de mayo de 2020.

[10] Parmi ce décompte de consultations, combien en télémédecine, combien avec examen clinique et contact direct en la présence du médecin et du patient ?

[11] Eloi Marijon*, Out-of-hospital cardiac arrest during the COVID-19 pandemic in Paris, France : a population-based, observational study Lancet Public Health 2020 May 27, 2020 https://doi.org/10.1016

 

[12] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vague-psychiatrique-deja-rude-ne-sera-pas-en-cloche : Les psychiatres ont mis en garde dès le début du confinement sur les effets pervers de l’enfermement chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées mais qui décompenseront. Curieusement, s’il l’on compte chaque jour les quelques patients malades du covid ou supposés tels, les vrais et faux positifs et surtout les consultants pour « angoisse de covid » qui constitue le nouvel indice de « vague », un silence de mort pèse sur le versant psychiatrique de cette crise majeure.

 

[13] D’après D Beasley, patron du PAM Lors d’une visioconférence du 21 avril au Conseil de sécurité de l’ONU

[14] D’après le rapport OMS -weekly-epi-update-9 du 9 octobre la France a compté dans la dernière semaine 110 665 nouveaux cas et 480 morts contre 2804 tests positifs et 5 morts en Suède.

[15] En particulier en refusant l’accès des réas puis de l’hôpital aux pensionnaires des Ehpad, en bloquant les soins et les interventions ordinaires durant le confinement et maintenant, en imposant des tests avant tout traitement ce qui aboutit à retarder inutilement les soins nécessair

 

 

 

Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique 

publié initialement sur France Soir

 

 

 

Le communiqué du 2 juin du conseil scientifique se décerne un satisfécit sans regarder les faits et tente par des scénarios improbables (issues de modélisation erronées) de faire perdurer la peur qui paralyse la population et l’empêche de défendre ses libertés. Ainsi il prétend sans avoir étudié cette cinétique :

« La période du confinement a permis de ralentir la dynamique de l’épidémie de façon marquée »

L’utilisation des analyses de rupture de tendance lui aurait permis de constater que le confinement aveugle et policier à la française n’a été suivi du moindre ralentissement des contaminations dans aucun des pays qui l’a pratiqué et que la baisse des contaminations a été observée bien plus tard (5 semaines) et naturellement de la même manière dans les pays confinés ou pas.

La comparaison entre la Belgique et les Pays bas permet de suggérer même que le confinement strict accélère les contaminations.

Épidémie terminée et « en même temps » confinement relatif poursuivi 

Les conséquences du confinement sont désastreuses et vont nous faire souffrir plusieurs années. Alors que ces deux mois et demi furent délétères pour la France, les limites lourdes à la liberté imposées par le gouvernement empêcheraient-elles la vie de reprendre normalement, tant sur le plan psychique que médical, scolaire, social, économique?

Pourtant nous sommes en fin d’épidémie et les quelques cas encore décelables ne justifient en aucun cas de bloquer 67 millions d’habitants. En revanche, ils justifieraient d’un traitement efficace, utilisé dans le monde entier.

Pourquoi les en priver et en conduire certains à une maladie éventuellement longue sur plusieurs semaines ?

Un but subliminal : poursuivre la terreur ?

Ceci nous conditionnerait à accepter des vaccins (qui ne verront sûrement jamais le jour), ou au moins une drogue chère comme le Remdesivir de Gilead. Il suffit de jeter un rapide coup d’œil aux cours en Bourse de Gilead et de laboratoires tonitruants sur un éventuel vaccin, pour voir que les acrobaties médiatiques du genre Lancet ne sont pas gratuites. Elles permettent, en quelques jours, de doper le cours de l’action boursière et pour les initiés de gagner beaucoup d’argent.

Depuis le desserrement du confinement policier mortifère qui nous a été imposé inutilement, le lobby de la peur essaie d’entretenir la panique créée par les médias et le gouvernement, afin de maintenir notre soumission et l’abandon de notre bien le plus précieux, notre liberté.

En témoignent de nombreux articles mensongers qui prétendent que le confinement aurait « sauvé des vies », qu’il faut « craindre une deuxième vague » d’épidémie parce que « l’immunité collective serait insuffisante » (note 1,2,3), que « l’application stop Covid serait utile ». Même le syndicat des avocats a dénoncé cette application à éviter absolument et à désinstaller, si elle a été installée silencieusement lors d’une mise à jour de votre portable (Note 4).

En réalité, l’épidémie se termine en France comme partout en Europe. Il n’y aura pas de vraie deuxième vague de Covid19, car cela n’est jamais observé dans les maladies virales (Note 5). Et il ne faut pas se préoccuper de la faible prévalence de la maladie dans la population, car l’observation des épidémies précédentes montre que l’immunité collective ne détermine presque jamais leur évolution. L’enthousiasme pour les tests, toujours peu au point, et non spécifiques, ne repose que sur l’envie du gouvernement de perpétuer la peur, et de nous maintenir dans l’angoisse de nouvelles contaminations. Ils n’ont pas d’intérêt alors que l’épidémie est terminée.

Ne cédez pas à la pression des médias et des autorités pour vous faire ficher ; l’usage du test est devenu une arme politique pour faire croire qu’on s’occupe de son peuple, de sa ville. Il n’a plus aucun intérêt à ce stade de disparition de cette virose.

Le confinement aveugle et policier n’a ni diminué, ni ralenti l’épidémie

Contrairement aux prédictions issues des simulations qui l’ont motivé (Note 6), le confinement policier n’a ni ralenti, ni diminué la propagation de l’épidémie. Plutôt que de croire aux annonces de propagande basées sur les succès virtuels de modélisations biaisées (Note 7) qui encensent cette technique moyenâgeuse et inefficace (Note 8), ou de ceux qui veulent à tout prix se consoler d’avoir été emprisonné sans faute, il faut regarder les faits réels, les faits observés, les faits constatés.

Résultats comparatifs des pays confinés ou non, d’après les chiffres OMS

Les données publiées par l’OMS prouvent que la propagation de l’épidémie n’a été ni retardée, ni amoindrie par le confinement aveugle dans aucun des pays qui l’ont imposé à leur population.

Dans les pays confinés, les évolutions du nombre de contaminations quotidiennes avant et après le verrouillage, ne montrent en effet aucun signe de discontinuité (Note 9), ni dans leurs taux de croissance, ni dans leurs temps de doublement. Cette remarque a été le sujet d’un article bien documenté (Note 10). Ceux qui prétendent que le confinement aurait évité l’accélération, protégeant de fait d’une surcharge des hôpitaux, sont démentis par les faits que démontrent les résultats comparés entre pays voisins de même culture.

Infections cumulées Belgique versus Pays-Bas

Et si on compare la propagation de l’épidémie dans les pays adeptes du confinement autoritaire à la française à celle observée dans les autres pays, on s’aperçoit que le confinement aveugle a été délétère. A titre d’exemple, la comparaison des courbes d’infections cumulées entre la Belgique (confinée) et les Pays-Bas (non confinés), pays proches, suggère que le confinement policier aurait même pu accélérer l’épidémie. En effet c’est dix à quinze jours après le début du confinement belge que la propagation de l’épidémie s’accélère dans ce pays, alors qu’elle reste stable aux Pays-Bas non confinés.

Le bilan médical actuel du confinement aveugle franco-italien appliqué aussi en Belgique et en Espagne est catastrophique

Pour évaluer la balance avantages/risques du confinement, il ne faut pas se baser sur les résultats des simulations (Note 10) qui inventent des morts virtuels, théoriques, mais se baser uniquement sur les faits réels, avérés et publiés.

Mortalités comparées

D’après les données publiées par l’OMS le 30 mai 2020 (note 11), la mortalité directe du Covid19 est beaucoup plus élevée dans les pays qui ont pratiqué le confinement aveugle (sans séparer les porteurs de virus des autres) et autoritaire (avec contrôle policier), que dans ceux qui ont pratiqué la quarantaine ciblée (réservée aux seuls porteurs de virus) et fait confiance à leurs citoyens (conseillés et non astreints à domicile).

Au 29 mai 2020, exprimée par million d’habitants, la mortalité officielle directement liée au Covid19 atteint 810 en Belgique, 621 en Espagne, 548 en Italie et 459 en France, pays adeptes du confinement aveugle et policier, contre 100 en Allemagne, 98 au Danemark et 4 à 7 dans les pays asiatiques démocratiques qui n’ont pas confiné leur population.

En adoptant les mesures sanitaires de l’Allemagne, nous aurions probablement 23.000 morts de Covid19, en moins à déplorer. Et sans aucune mesure sanitaire, à l’instar des Pays-Bas, nous pourrions avoir eu 6.100 morts directes du Covid19 en moins.

Morts de Covid19 ou suspectés, et morts « politiques « liées aux conséquences d’une mesure politique et non sanitaire (note 12)

A ce surplus de mortalité directe lié au confinement aveugle, il convient d’ajouter les victimes collatérales et en particulier les malades souffrant de pathologies chroniques (cancéreux, cardiaques, déprimés) qui ont subi l’arrêt des traitements prévus, arrêt imposé par le plan Blanc (note 13) et les nouveaux malades qui n’ont pas pu être diagnostiqués, ni traités du fait de l’interdiction d’opérer les malades non reconnus urgents par les agences régionales de santé.

Les morts pendant le confinement, et les décès anticipés, non dus au Covid19 mais au retard de soins (note 14)

Depuis le début du confinement, 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer. Même l’académie de chirurgie s’en inquiète dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Plus d’un million d’interventions auraient été déprogrammées, remises aux calendes grecques, puisqu’on ne sait toujours pas quand le véritable déconfinement aura lieu, et que les mesures déjà discutables au début de l’épidémie sont maintenant imposées alors qu’elles sont aujourd’hui devenues complètement inutiles.

De combien de morts supplémentaires ces retards aux traitements seront-ils responsables ? Et cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie (infarctus dont seulement la moitié des malades attendus se sont présentés en consultation), de neurologie (là aussi moitié moins d’accidents vasculaires constatés à l’hôpital), d’endocrinologie, rhumatologie etc. (note 15)

Alors que l’épidémie se termine et que les hôpitaux sont aux trois quarts vides, le plan blanc a interdit jusque récemment aux chirurgiens d’opérer (note 16), blocage maintenu par les agences régionales de santé pour une durée indéterminée et un nombre croissant de victimes supplémentaires. (note 17). L’étau semble se desserrer, mais les cliniques craignent de manquer de produits anesthésiques, alors que les besoins en réanimation sont en grande baisse.

Le bilan médical du confinement devra aussi prendre en compte les complications psychologiques et en particulier les suicides liés à l’astreinte à domicile, aux pertes de salaires et au chômage que constate déjà la presse australienne (note 18, 19 20)et qui pourrait atteindre jusqu’à 150000 victimes aux USA si le déconfinement est trop lent (note 21). Ce bilan n’est pas près d’être terminé.

Les raisons du dramatique échec médical du confinement à la française

Les simulations des prophètes de l’OMS qui ont convaincu de nombreux gouvernements de confiner aveuglément leurs populations ont très largement surestimé le risque réel de la maladie virale et oublié les autres pathologies, le gain espéré de leur mesure et refusé de prendre en compte les complications médicales, sociétales et économiques qui s’annoncent catastrophiques. Nos gouvernants, plutôt que de croire ces prophètes de malheur auraient dû suivre l’exemple des pays asiatiques démocratiques qui ont protégé leurs populations du covid19 et des complications du confinement policier aveugle à la française.

Dans toute l’histoire de l’humanité la lutte contre les épidémies repose sur l’hygiène, la compréhension des modes de propagation des maladies infectieuses, la mise en place de mesures efficaces de désinfection et la séparation des porteurs de germes de la population saine. Ainsi, actuellement le règlement sanitaire international prévoit en cas de peste, l’isolement de tout le groupe de voyageurs, même si une seule personne est touchée, tandis qu’en cas de fièvre jaune ou de choléra, seul l’isolement de la personne atteinte est obligatoire.

Le confinement aveugle de toute une population tel qu’il nous a été imposé est une mesure connue pour être inefficace. En France, elle avait été utilisée pour la dernière fois lors de la peste de Marseille entraînant la mort de la moitié de la population de la ville, sans empêcher la diffusion de la maladie à toute la Provence avec 70.000 victimes supplémentaires. Cette méthode du passé, remise à la mode par la dictature chinoise, a été présentée par le mathématicien -prophète de l’OMS, N Ferguson comme la méthode la plus efficace (note 23 24) de lutte contre l’épidémie.

Mais la simulation de l’Imperial College n’avait apparemment pas envisagé que le confinement d’un adulte malade à la maison (avec seulement du doliprane) constituait le meilleur moyen de contaminer toute la famille, voire les voisins.

Un confinement aveugle sans réflexion

Il eut fallu réfléchir à l’illogisme d’enfermer soignants, policiers ou agents de transport RATP, bus, etc. exposés à de fortes charges virales qui vont et viennent avec leurs familles bloquées à domicile, en milieu clos peu aéré (en raison de la peur transmise sur les médias du vol de virus à travers l’air extérieur, « au-dessus d’un nid de coucous »).

Même si les autorités n’y avaient pas pensé, rien ne les empêchait de rajuster la mise lorsqu’il apparut au début de l’épidémie et la virulence du coronavirus que les soignants étaient les plus rapidement et fortement touchés. D’ailleurs soulignons que les autorités nous ont vanté, tout au long de cet enfermement liberticide accompagné de mesures humiliantes, le modèle de Wuhan. Mais les Chinois, eux, recherchaient avec opiniâtreté les citoyens fiévreux dans les appartements et extrayaient les personnes suspectes pour les isoler rapidement de leur famille.

Nous n’avons retenu que l’autoritarisme chinois, mais moins la logique sanitaire.

Incompétence ou malveillance des ARS ?

Les directions des Agences Régionales de Santé ont imposé aux responsables d’EHPAD de garder les infectés de retour des urgences, y compris après un séjour à l’hôpital où ils avaient été étiquetés Covid19. Ils revinrent sans traitement autre que le doliprane et donc rien ne permettant de faire baisser la charge virale. Ils rejoignirent les autres résidents au moins dans les premières semaines et personne ne s’étonna de la forte contamination chez les ainés, de plus fragiles. N’auraient-ils pas dû comprendre qu’ils favorisaient ainsi la contamination de tous les pensionnaires pourtant les plus fragiles d’entre nous, ceux qu’ils devaient protéger ?

Au-delà du 20 Mars et la circulaire précédent le décret Rivotril du 26 mars (note 24) interdisant le traitement actif des ainés et autorisant l’injection de Rivotril en cas d’insuffisance respiratoire possiblement Covid, les patients ne furent même plus envoyés aux urgences pour préciser le diagnostic. Les habituels infarctus, embolies pulmonaires ou pneumonie bactérienne furent laissés de côté et le résident atteint bientôt euthanasié et étiqueté Covid19.

Que penser du ministre dont les décrets ont interdit la chloroquine soi-disant dangereuse pour prôner le Rivotril à coup sûr mortel en cas de complications respiratoires !

Curieusement, les simulations n’imaginèrent pas non plus que les soignants (qui ne disposaient pourtant pas de protection lors du premier mois de l’épidémie) puissent contaminer leurs malades venus consulter ou leurs voisins dans les transports publics.

Ni que les employés des transports publics et les policiers puissent être contaminés et contaminants parce que non protégés (même interdits de l’être par leur ministre). On entendit ainsi un haut responsable de la santé déclaré à la télévision que les soignants malades s’étaient infectés chez eux !

La sommation de ces erreurs explique que les pays adeptes du confinement strict, mais sans isolement des malades ou des personnes à risque, comme les soignants, comptent davantage de morts que ceux qui ont pratiqué les méthodes médicales éprouvées de l’endiguement (quarantaine) et même que ceux qui n’ont presque rien imposé à leurs populations (Pays-Bas, Suède, Islande).

Le rôle et la responsabilité de l’OMS, ainsi que de Neil Ferguson de l’Imperial College seront à évoquer en détail lors d’une enquête sur le devenir et l’efficacité de nos contributions à cette organisation ainsi qu’à ses publications. La confiance n’excluant pas le contrôle, il sera d’autant plus important de conduire un audit approfondi des recommandations faites par l’OMS qui a ce jour donne plus le sentiment de se comporter comme la FIFA jadis. Verra-t-on le prochain scandale venir des modes opératoires de l’OMS ? FIFA gate, OMS gate ?

Il faudra aussi auditer les décisions publiques autoritaires qui ont été prises en France ont été particulièrement nocives et justifient des enquêtes approfondies (note 25) pour éviter que cela ne puisse se reproduire. Un regard sur la politique italienne de réduction de la mortalité journalière est parlant.

Heureusement, l’épidémie se termine en France comme dans les autres pays d’Europe

Les données publiées par l’OMS montrent que l’épidémie se termine en Europe continentale et en Méditerranée orientale. Depuis la seconde semaine d’avril, le nombre moyen quotidien de nouvelles contaminations a régulièrement diminué ; ce recul atteint 92% en France et dépasse les 85% chez la plupart de nos voisins, même ceux qui présentaient les plus gros chiffres de contaminations depuis le confinement.

La comparaison de l’évolution de l’épidémie en Belgique et aux Pays-Bas, proches par leur situation géographique et leurs modes de vie, est particulièrement frappante et questionne une fois de plus sur l’utilité même du confinement. En effet, les Pays-Bas, qui n’ont pas restreint les libertés publiques, bénéficient de la même régression (83%) de l’épidémie et dans les mêmes délais que la Belgique confinée policièrement après avoir pleuré au total 344 décès par million d’habitants contre 810/1000000 en Belgique.

Il n’y aura pas de deuxième vague (note 26) ou se sera une vaguelette comme pour les autres épidémies

Lors des épidémies virales il n’existe pratiquement jamais de deuxième vague du même virus. Il y a eu précédemment deux épidémies comparables : le SRAS et le Mers et aucune ne s’est exprimée en plusieurs vagues.

Après quelques mois et sans qu’on ne sache pourquoi, l’épidémie s’éteint même si au total peu de personnes ont été immunisées. Contrairement à ce que prétendent les simulations et en particulier celle de Ferguson ou de ses élèves de l’institut Pasteur parisien, ce n’est pas le pourcentage de personnes immunisées qui explique l’arrêt des contaminations.

Le professeur Jean-François Toussaint, lors d’un entretien à la Charente Libre, précise que l’hypothèse d’une deuxième vague est très peu crédible « sur l’analyse dans les 188 pays qui ont déclaré des cas et sur la dynamique évolutive de la maladie ».

Mais certaines épidémies, comme la grippe dont le virus ne dure le plus souvent qu’une saison, reviennent chaque année.

Et jusqu’ici, nous surmontions ces épreuves sans imposer à la population des mesures autoritaires injustifiées et souvent ubuesques qui ont aggravé la situation sanitaire immédiate et impacté l’économie pour plusieurs années.

Le tsunami économique qui nous attend sera pire que celui de 1930

Selon l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques (Note 27), les huit semaines de confinement ont déjà diminué le PIB 2020 de 120 milliards d’euros (soit 5 points de PIB). Les secteurs les plus durement touchés sont ceux des transports, de l’hébergement et de la restauration, la construction et les activités de loisirs et le commerce de détail. En tenant compte du rétablissement ralenti par la persistance incongrue des mesures de déconfinement, l’impact global pour 2020 serait de -10 points de PIB.

D’après l’INSEE, le PIB français diminuerait d’environ 20 % au deuxième trimestre 2020 (après –5,8 % au premier). Ce serait la plus forte récession depuis la création des comptes nationaux français en 1948. Même si l’activité économique revenait intégralement à son niveau d’avant crise dès le mois de juillet, le PIB français diminuerait de 8 % sur l’année 2020, or un retour aussi rapide à la normale semble peu réaliste. L’impact global de la crise sanitaire en 2020 sera donc certainement supérieur à ce chiffre.

L’Organisation Internationale du Travail alerte sur les ravages sanitaires et sociaux de la crise qualifiant l’impact sur l’emploi de profond, d’une grande portée et sans équivalent. 1,25 milliard de travailleurs sont exposés à des licenciements, pertes d’activité et de revenus, du fait du confinement dans le monde.

Comme toutes les grandes crises économiques, celle de 2020 a été baptisée : celle du « Grand Confinement » par Gita Gopinath. Selon les prédictions du FMI, l’économie mondiale va connaître « sa pire récession depuis la Grande Dépression ».

Et lorsqu’on constate que l’étendue (5 817 385 infectés) et la mortalité mondiale (362 705) du Covid19 au 30 mai, se situent dans la fourchette basse des grippes saisonnières (environ 20 millions d’infectés et 290 000 à 550 000 morts), on peut déplorer que les mesures injustifiées pour lutter contre une fausse pandémie aient créé une vraie misère.

En urgence, lever les mesures liberticides inutiles et toxiques

Ces constatations conduisent à demander en urgence aux décideurs de lever les mesures coercitives de confinement encore imposées :

Reprendre les activités scolaires partout, à tous les âges et sans mesure de distanciation ni masques, particulièrement chez les petits très traumatisés par ce théâtre tragique.

Libérer les « EHPAD » dans lesquels nos ainés sont devenus des bêtes de zoo, dans leurs prisons même pas dorées. (Note 28) Signez les pétitions pour accélérer leurs sorties de prison, alors que leur seule faute est le grand âge et/ou la dépendance.

Libérez l’activité économique, dans les cafés, restaurants etc. Ces mesures de distanciation imposées sont grotesques, alors que l’épidémie se termine et bloquent de fait la reprise économique dont le pays a tellement besoin.

Impérativement rendre aux médecins de ville et d’hôpital leur liberté de soigner, en particulier libérer la prescription de chloroquine après le triste feuilleton de l’étude biaisée ou inventée du Lancet et la décision brutale du ministre d’aggraver encore le décret mortifère du 26 Mars.

Abroger les décrets liberticides du 26 mars et sa prolongation injustifiée.

Faire stopper complètement le plan blanc, afin que les chirurgiens puissent reprogrammer leurs patients, les rassurer et finalement les soigner. Le bilan spécifique du plan blanc devra être passé à la loupe, car complètement inutile et extrêmement toxique pour les patients et leurs équipes chirurgicales.

Selon Frédéric Bizard, « l’impact sur le volume de la crise Covid19 a été estimé en chirurgie avec une baisse comprise entre 1,7 million et 2 millions d’actes chirurgicaux, soit une chute du volume comprise entre 25% et 29% selon la date de levée du plan blanc. L’évolution des tarifs a été estimée selon les engagements gouvernementaux de 2019 pour les années 2020 à 2022 en chirurgie. L’impact économique global est compris entre 4,2 milliards d’euros et 5 milliards d’euros de baisse des dépenses de chirurgie pour l’assurance maladie en 2020 ». (Note 29)

Activités médicales interdites pour RIEN ! Tout Covid, rien que Covid

Les lits libérés restèrent vides tant en privé qu’en public, et la surcharge en réanimation jamais soulagée par cette privation générale d’activité, les ARS, encore elles, ayant refusé de transférer les malades dans les lits privés (sauf en IDF dans quelques établissements), préférant jouer à la guéguerre à coups d’hélicoptères, et de TGV avec transferts en France ou à l’étranger. En public, ce fut la même chanson, pas d’autres malades que covid19 sauf urgence extrême. Les internes se sont beaucoup ennuyés pendant deux mois et racontent avec beaucoup d’émotion les pertes de chance de leurs patients « habituels ».

Quant au Ségur (Note 30), il est certain que si l’on en espère quelque chose, il serait impératif qu’il se déroule avec une équipe neuve, sous la houlette d’un ministre non responsable des erreurs récentes avant et pendant la crise sanitaire, et surtout après la prise de position ahurissante du ministre de la santé interdisant la chloroquine sur la foi d’un article complètement caviardé, qu’il ne peut avoir lu, et qui fait de nous la risée du monde entier.

Bien curieux film que la gestion de ce Covid19 qu’aucun scénariste n’aurait osé écrire. Pas crédible !

Notes

Note 1 : Jean-François Delfraissy, le Président du conseil scientifique, a annoncé que « le taux d’immunité de la population française face au coronavirus est plus faible que prévu ».

Note 2 : Simon Cauchemez dans Le Monde « dans tous les cas, on sera très loin des 70 % dont on aurait besoin pour pouvoir faire une sortie du confinement sans problème »

Note 3 : Toute cette propagande de la terreur repose sur des simulations mathématiques dont « l’étude de Pasteur qui a utilisé l’un des meilleurs modèles qui existe actuellement » ; ce modèle prédisait 70000 morts en Suède si elle refusait de confiner. La Suède n’a pas restreint les libertés et ne comptait au 30 mai que 4266 morts soit quatorze fois moins qu’annoncé.

Note 4 : Allez sur réglages, confidentialité, puis santé avec un cœur rouge et là si installée, désinstaller et vérifier régulièrement, sauf si vous souhaitez cette application, mais ce doit être un choix et non pas une manœuvre cachée.

Note 5 : La soi-disant « deuxième vague » de la grippe espagnole était en fait une poussée d’infections bactériennes favorisées par la malnutrition et l’épuisement de la population après l’épidémie de grippe ; une telle complication ne peut plus se reproduire depuis l’arrivée des antibiotiques (sauf si on refusait d’en donner aux patients comme cela s’est passé avec l’injonction Rivotril et rien d’autre, imposée en début d’épidémie de Covid, mais les français se seront réveillés.

Note 6 : www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 7 ripostelaique.com/le-confinement-na-pas-sauve-61-000-vies-mais-i…

Note 8 La dernière fois que cette technique a été utilisée en France au 18ème siècle, elle a abouti à la mort de 50% de la population marseillaise sans empêcher l’extension de l’épidémie à la Provence (70000 morts supplémentaires) et à l’Italie.

Note 9 : Analyse de recherche de changement de tendance (break point analysis) négative = aucune différence sur la vitesse de propagation du virus n’est apparue entre la période d’avant le confinement et pendant le confinement. Le confinement n’a pas ralenti l’épidémie contrairement à trop de racontars sur les TV. Seuls les chiffres font foi.

Note 14 : www.academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/6ef75…

Note 15 : academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/449c6ce34…

Note 16 : www.economiematin.fr/news-ouverture-bloc-operatoire-danger-malades-confi… ?

Note 17 : youtu.be/eay-Txlr-GQ

Hôpitaux & Cliniques : Interdiction d’opérer » Dr Nicole DELÉPINE 16 MAI 2020

Note 18 : www.telegraph.co.uk/news/2020/05/07/australia-fears-suicide-spike-due-virus-shutdown/

Note 19 : www.breitbart.com/health/2020/05/07/report-suicide-rise-from-lockdowns-to-kill-more-than-coronavirus-in-australia/

Note 20 : www.sbs.com.au/news/australia-s-suicide-rate-could-surge-due-to-economic-fallout-of-coronavirus

Note 21 : Petterson, Steve et al. “Projected Deaths of Despair During the Coronavirus Recession,” Well Being Trust. May 8, 2020. WellBeingTrust.org

Note 22 : Présentée comme le technique ‘extinction’ de la maladie dans la simulation du rapport 9 d l’Impérial College

Note 23 : http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 24 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion…

Note 25 : Car il s’agit de récidivistes ; les précédentes simulations de Ferguson sur le Sida, la grippe H1N1, la maladie de la vache folle, l’Ebola ont été toutes aussi fausses, exagérant à chaque fois considérablement les risques

Note 26 : https://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-genese-et-consequences-dune-hys…

Note 27 : Evaluation au 20 avril 2020 de l’impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures de confinement en France”,

Note 28 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/epidemie-terminee-mesures-224795

Note 29 : Et combien d’autres professions impactées : « l’activité chirurgicale génère en amont du geste opératoire de l’activité pour d’autres secteurs (secrétariats médicaux, analyses biologiques, prothèses, masques, produits d’hygiène, activités de recherche…) ainsi qu’en aval (infirmières, aide soignantes, kinésithérapeutes en ville, soins de suite, ambulances, taxis, laboratoires d’anatomopathologies…). »

Note 30 : http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-contes-de-segur-revus-et-…

 de nombreux commentaires méritent lecture :  par exemple en copie  sur le site Les 7 du Québec
savoureux  message de Nadine le 13 juin 20

 

« En résumé, il y a eu sur-réactions en chaîne, en sacrifiant l’activité du pays au risque … épidémique.
A noter, le mutisme absolu de l’opposition.

1° – La crainte d’une épidémie ?
Non, même si les architectes de l’ordre mondial et leurs partisans l’ont possiblement lorgnée.

2° – Sur-réactions des autorités ?
Non plus, hors divagations significatives…

– 13 janvier 2020 – En l’absence de données scientifiques sur le sujet (!), Jérome Salomon, directeur général de la santé, par délégation pour Agnès Buzyn (dont l’incompétence fût patente et dangereuse), classe de facto l’hydroxychloroquine « sur la liste II des substances vénéneuses ».

19 février 2020 – Macron a décidé de manifester sa solidarité avec le peuple chinois confronté au coronavirus, et annonce l’envoi de 17 tonnes de matériels médicaux (masques, gants, produits désinfectants, combinaisons médicales de protections) à destination de Wuhan. Avec, entre autres, l’appui du groupe LVMH selon France Diplomatie.

– 26 février 2020 – autorisation du match de football O.L/Juventus, au Groupama Stadium à Décines (15 km de Lyon).
Avant de rejoindre le stade, une dizaine de milliers de supporters turinois (bien plus que les 3 000 attendus) se sont baladés toute l’après-midi dans les rues de Lyon, à un moment où la Lombardie, notamment, était déjà particulièrement affectée par le coronavirus.

– 6 mars 2020 – Sortie médiatisée de Macron et Brigitte au théâtre Antoine à Paris.
La pièce « Par le bout du nez » met en scène un tout nouveau président qui, pris d’une démangeaison nasale alors qu’il doit prononcer son discours d’investiture, est contraint de consulter un psychiatre.
Voilà qui laisse songeur …
Selon des témoins, Macron aurait alors déclaré : « La vie continue. Il n’y a aucune raison, mis à part pour les populations fragilisées, de modifier nos habitudes de sortie ».

11 mars 2020 – Tweet Emmanuel Macron @EmmanuelMacron :
« Nous ne renoncerons à rien.
Surtout pas à rire, à chanter, à penser, à aimer. Surtout pas aux terrasses, aux salles de concert, aux fêtes de soir d’été… ».

Cocaïné le président … ?

– 15 mars 2020 – 1er tour des municipales.
Macron, Levy, Buzyn, Philippe et tant d’autres savaient, et auraient choisi de se taire ?

– 15 mars 2020 – Après être allée voter, sortie médiatisée de Brigitte Macron sur les quais de Seine à Paris. Masquée et accompagnée de ses gardes du corps, elle saluait les badauds en leur demandant de « rester à distance respectable ».
La mise en scène n’a pas de secrets pour une ancienne prof de théâtre.

– 17 mars 2020/12:00 – ordre de confinement généralisé de la population.

Aucun problème pour d’éventuelles suites ou poursuites. Dans un grand élan de solidarité parlementaire, les apôtres du confinement se sont auto immunisés … contre la justice.

On ne peut donc que noter l’absence de risque épidémique.

3° – Vent de panique ?
Non. Sauf réactions politiques inappropriées, l’inavouable étant de justifier l’effondrement de l’économie par le confinement, lequel effondrement – épidémie ou pas – se serait de toute façon matérialisé suite à la gestion vereuse et calamiteuse du pays depuis des dizaines d’années.
Miracle, c’est la faute au coronavirus ! Il arrive à point nommé celui-là.

– 21 mars 2020 – Sur LCI, le professeur Christian Perronne (PU-PH) alerte sur la disparition totale des stocks d’hydroxychloroquine en France.

21 mars 2020 – Mise en scène sur mesure pour E. Macron. Montage d’une structure hospitalière (militaire) de campagne à Mulhouse. Capacité initiale « 30 lits réanimation » aussitôt passée à 20 lits.
Opérationnelle le 24 mars 2020, en partie démontée dès le 17 avril 2020, matériels/lits/respirateurs retirés le 22 avril 2020.
Sans parler du coût d’une telle prestation, de qui se fiche-t-on ?

– 22 mars 2020 – Communication navrante et inopportune d’Ursula von der Leyen, présidente de l’UE, via une vidéo à destination des peuples européens, où elle se met en scène dans une séquence de lavage des mains.
« Inopportune » dans la mesure où l’UE a été la grande absente dans cette crise dite « sanitaire ».
L’infantilisation dans la communication n’est pas de bonne augure.

– 27 mars 2020 – Les médecins généralistes ne sont plus autorisés à prescrire l’hydroxychloroquine. On se demande bien pourquoi ?
Il apparaît choquant que c’est l’Ordre des Médecins qui est à la manoeuvre alors que cette Institution est responsable des déserts médicaux en France.
La non indépendance du CNO (Conseil National de l’Ordre), et en particulier de son Président, par rapport à certaines « influences » est mise en cause.

– Parallèlement à une tension due au manque d’approvisionnements en Plaquenil (dérivé hydroxychloroquine), les pharmaciens ne peuvent plus vendre ni masques ni tests. Pourquoi ?

Les cliniques privées ne peuvent pas accueillir les malades du civil (3 000 lits sont restés inoccupés). Pourquoi ?

– Les pensionnaires contaminés dans les EHPAD avaient droit au Rivotril, avec le succès qu’on lui connaît.

– 8 avril 2020 – Castaner, ministre de l’Intérieur, affirme devant la Commission du Sénat qu’il n’y a « pas eu de réquisition, ni par l’armée ni par qui que ce soit » des masques commandés par la région Bourgogne-Franche-Comté.

– 10 avril 2020 – Suite à la plainte pour réquisition de masques à l’aéroport de Bâles/mulhouse , Castaner reconnaît les faits. Inutile de poursuivre dans le parjure, les documents confirmant cette « réquisition » commencent à sortir. Mensonge d’Etat avéré, sans conséquence aucune pour son auteur.

– 24 avril 2020 – Suite à la polémique, le Ministère des Armées reconnaît « avoir acheté, par précaution, un stock important de chloroquine … à la Chine ».
Étrange explication, d’autant que cette molécule avait été classée « vénéneuse » en … 1999, ce qui avait entraîné de facto la même issue pour l’hydroxychloroquine en janvier 2020.

– 18 mai 2020 – L’attitude plus que déconcertante de l’OMS dans cette affaire, ses stratégies divergentes, le vaccin « obligatoire » pour tous, sèment le trouble quant aux réelles compétences de ses membres et à l’occulte dépendance de l’Institution aux lobbies pharmaceutiques.

– 26 mai 2020 – La très sérieuse revue médicale « The Lancet » y est allée de sa plume, et a publié – avant de se rétracter le 4 juin suivant – une étude falsifiée dans laquelle le ministre de la santé Olivier Veran a foncé tête baissée pour justifier l’interdiction de l’hydroxychloroquine.
Bien synchronisé ce coup là !

– 2 juin 2020 – Appli Stop Covid19. Tester la population et voir si elle se soumettait aux mesures liberticides imposées.

Demander aux peuples de la rigueur dans la gestion financière, pour mieux relancer l’économie, alors que ces mêmes prophètes étaient, et sont encore aux premières loges pour accélérer la débâcle, est d’un cynisme abyssal.
Nous sommes gouvernés par des imposteurs et le masque est devenu muselière.
Le rideau de fumée commence à piquer les yeux. Ce n’est plus de masques qu’on a besoin, mais de lunettes.

En résumé, il y a bien eu « conspiration ».
Libre à ceux qui veulent croire à la fable de la chauve-souris et du pangolin. »

 

 

 

Analisis Epidemia COVID 19 España  slides diaporama

 

Gérard Delépine es oncólogo, cirujano ortopédico y estadístico en el Hospital Raymond Poincaré de París (hoy jubilado). Ha desarrollado métodos quirúrgicos innovadores para tratar los tumores óseos y de los tejidos blandos. Su equipo en la Unidad Pediátrica Oncológica (POU) ha alcanzado una reputación internacional por combinar quimioterapia avanzada individualizada y cirugía conservadora. Junto con su esposa, la Doctora Nicole Delépine, pediatra y oncóloga, es autor e 3 libros y de más de 100 artículos de prensa.

 

 

 

 

Tasa de letalidad COVID-19 en las cárceles francesas:

-Las cárceles son un lugar de promiscuidad y no de confinamiento (en el patio los detenidos se abrazan, escupen al hablar cuando se enfadan, no respetan las distancias de seguridad).

-Por lo tanto en las cárceles, la epidemia de COVID-19 debería propagarse rápidamente

-El 03/04/2020 según estudio publicado sobre las 60.000 presos en las cárceles francesas:

48 presos testados positivos, 687 sintomáticos, o sea un total de 735 infectados y 3 muertos

lo que representa un tasa de letalidad de 3/735 = 0,4%

Tasa de letalidad COVID-19 España según datos oficiales OMS al 23/05/2020:

Infectados : 234.823   Fallecidos : 28.628

lo que representa una letalidad de 28628/234823 = 12,2% que NO es real

  (se han testado sólo los sintomáticos que acudían a urgencias y se ha aumentado ficticiamente el   número de muertos por COVID-19)

Tasa letalidad Gripe estacional en España 2018/2019:

-En la temporada de Gripe estacional Otoño-Invierno 2018-2019 según datos CSIC en España :

525.000 infectados, 6.300 fallecidos

lo que representa una letalidad de 6300/525000 = 1,2%

 

 

 

Ultimas análisis realizadas en Francia por médicos según datos de campo en Francia 10/05/2020 :

-Para los menos de 30 años sin patologías asociadas, el riesgo de morir de COVID-19 es prácticamente nulo

-Para los menos de 50 años sin patologías asociadas (obesidad, diabetes, hipertensión, cáncer, etc.), el riesgo es bajo

-El riesgo de fallecimiento es alto para los más de 70 años (85% de los fallecimientos en Francia)

Tasa contagio en el cárcel “La Santé” en Francia al 29/04/2020 :

Presos : 870   Infectados : 6     Fallecidos : 0

lo que representa una tasa de contagio de 6/870 = 0,7%

  lo que sugiere una tasa de contagio baja

Tasa contagio en España al 23/03/2020 :

Infectados : 234.823 (OMS)     Población : 46.940.000

lo que representa una tasa de contagio de 234823/46940000 = 0,5%

  Si suponemos que en realidad el número de infectados es el doble :

tasa de contagio de 469646/46940000 = 1% que sigue siendo bajo y similar a la gripe estacional

Tasa contagio en España gripe estacional Otoño-Invierno 2018-2019 :

Infectados : 525.300 (CSIC)     Población : 46.940.000

lo que representa una tasa de contagio de 525300/46940000 = 1,1%

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/lynchage-organise-de-la-224633    original data in french

by DR Gerard Delépine  oncologist surgeon and statistician

 

 

 

Organized lynching of chloroquine by the media, based on a study with neither verified nor verifiable data

by delepine (his site)
Saturday, May 23, 2020

 

 

Organized lynching of chloroquine by the media, based on a study with neither verified nor verifiable data. Shameful.

 

Fireworks by AFP and almost all French newspapers about a pseudo-study funded by big pharma, claiming that chloroquine would increase the mortality of covid19!

Has journalism gone by the wayside and well-organized disinformation would replace it definitively? Journalism, deceased victim of Covid19, cremated without possible autopsy!

Since this Friday, May 21, almost all the French media (Le Figaro, Le Monde, Marianne, L’Obs, LCI, etc.), the written and audiovisual press, have engaged in a lynching in good standing of chloroquine, citing what they would consider it  »  the largest international study   » on the subject.

Obviously, they haven’t read it or don’t know what a scientific study is. The cited study is not even a macroanalysis (critical study of the medical literature, synthesizing international articles published on a reliable database, like PUBMED, and referenced on a subject). Here, in reality, we are dealing only with a large collection of unsupported data, based on non-verifiable elements, recovered by a private for-profit site.

Sadly, the publication in the LANCET of this heartbreaking text, to remain polite, seems to be enough for its laudators as proof of « exact science ». Poor science whose name has been so overused for three months that one hardly dares to pronounce it. The Lancet and our perception bias depending on the issuer, explains the JIM. The Lancet and so: forget that for 20 years and Big Pharma’s stranglehold on international medicine and its scientific journals, peer-reviewed journals are no longer what they used to be. For honest readers, it suffices to refer to the writings of Marcia Angell who was editor of the New England journal of medicine, resigned from it and wrote an explicit book in 2002.  »  The truth about the pharmaceutical industry Perverted our elites: how it deceives us and how to thwart them, was a first shock on what was going on and was going to get worse. His successor at the head of the newspaper resigned three years later for the same reasons of incompatibility of scientific ethics and submission to the merchants of Big Pharma.

Professors Even and Debré also alerted in France in silence, and were even prosecuted by the order of doctors, whose choices are clearly seen. The French were very wrong to despise these alerts. Their healthcare system in the hands of business collapsed and they only became aware of it with the Covid crisis. For how long ?

 

 Rather than take the Lancet mystifiers, who devalue themselves again, to take their word for it, let’s look at the facts.

 

Who are the main authors of this lying Lancet article?

Dr. Mandeep Mehra is a cardiologist in the Brigham and Women’s Hospital Heart and Vascular Center in Boston. Its main activity is to help drug companies sell drugs. Not voluntarily: he thus received emoluments from the laboratories Abbott, Medtronic, Janssen, Mesoblast, Portola, Bayer, Baim Institute for Clinical Research, NupulseCV, FineHeart, Leviticus, Roivant, and Triple Gene … It starts very strong!

Sapan S Desa SSD is a founding vascular surgeon of Surgisphere Corporation, a private firm, responsible for much of the data acquisition for this study.

Frank Ruschitzk is a cardiologist in Zurich; he was paid as a laboratory advisor, as responsible for therapeutic trials, and also for conferences and work paid by big pharma (for some on his university account).

None of the authors is an infectious disease specialist, none has treated a patient with Covid19. Very strong !

 

What are their sources?

Hospital registers (mainly American, as the population shows, 69% native American).

These registers are not published in international literature, nor accessible by internet, unlike the national registers on which we work regularly. Their medical values and data have never been verified by independent doctors. The article in question therefore constitutes only a sum of data of uncertain values, coming from sites whose selection is possibly biased. When it is known, moreover, that in many countries of the world, the patients suspected of Covid19 without proof were automatically classified Covid19 on the recommendation of the WHO, but also by financial interest of the institutions, since from American hospitals to Italians in passing by the French, German and Spanish, the patients classified covid19, without test most often, and on simple « impression » of the doctor,

How can such inaccuracies lead to such a dubious publication and its magnified echo in the media, misinforming the people? Obvious financial focus: since at the same time, we are told the beautiful story of Remdesivir which will in reality only do good to the shareholders of Gilead.

What patients are they talking about?

The article is only interested in hospitalized patients, while the aim of Professor Raoult’s treatment is precisely to avoid hospitalization by treating patients early in the course of the disease.

 This study on registers is retrospective, non-randomized, without a control group drawn by lot , all requirements repeated a hundredfold on the media to criticize the work of Raoult, which them at least were prospective.

If this Lancet study had aimed to study the fate of chloroquine failures according to the Marseille scheme, it could have had a meaning, provided that it did not draw generalities from all the patients treated by this scheme .

But to select only the failures of a treatment to supposedly assess its global interest, testifies to an unscientific method, completely biased. If we applied this method to judge the effectiveness of vaccination against measles by looking at hospitalizations during the last outbreaks of the disease in the USA, we would conclude that vaccination is ineffective, since the vast majority of patients have been vaccinated!

 

Their conclusion of chloroquine ineffectiveness is invalidated by their own figures!

Their conclusions on the ineffectiveness of the Raoult treatment are also contradicted by the low percentage of patients hospitalized after early dual therapy recommended by Raoult: of the 98,262 patients in the Lancet study, suffering from hospitalized covid19, only 6,211 (6%) received dual therapy within 48 hours of diagnosis, while the natural course of the disease requires hospitalization in 10% to 20% of cases according to the Ministry of Health. If the Raoult protocol were ineffective, we should find among hospitalized patients a percentage of patients equivalent to the whole group. However in the USA 50% of doctors use the Raoult scheme as a treatment for Covid. If this treatment were ineffective, the same proportion should be found among hospitalized patients,

 

Their conclusions on excess mortality after chloroquine are also biased by their sampling and / or their a priori.

Only a prospective study could assess the risk of mortality and the cardiac risk after Raoult treatment for Covid19.

The risk of heart rhythm disturbances of chloroquine alone has been known for 70 years and well below 1%. The possibility of increasing the risk by the association with azithromycin cannot be excluded in the elderly with heavy comorbidity, but has not been observed in pregnant women in malaria endemic countries where this association is frequently used .

Currently the largest prospective study published on this problem is that of Professor Raoult who has observed no fatal cardiac complications of chloroquine.

In conclusion it is a pity that so many newspapers repeat manifestly false conclusions without any critical inquiry into their validity. Are there still investigative journalists? Are they gagged by their shareholders?

 

 

 

 

Simulations mathématiques en médecine

cliquez sur le lien pour voir le diaporama

Les simulations numériques sont des programmes informatiques utilisant des objets virtuels représentant un objet ou un phénomène dont ils peuvent à volonté modifier les constantes de base .

L’étude de l’évolution du modèle en fonction des modifications des propriétés qu’on lui attribue permet de prédire son évolution. Les simulations se sont révélées très utiles dans les sciences dures (physique, chimie, mathématiques) dont les lois sont immuables.

Mais leur intérêt est beaucoup incertain en biologie car le vivant obéit à des lois souvent mal connues. Et lorsqu’il s’agit d’un virus nouveau dont on ignore presque tout, la modélisation repose sur des hypothèses très incertaines. Le traitement par ordinateur amplifie considérablement l’incertitude des prédictions

Ce diaporama étudie les effets catastrophiques de l’utilisation aveugle et confiante des politiques des modélisations mathématiques des épidémies émergentes. La confiance du Président français mais aussi de plusieurs autres a conduit à un confinement généralisé délétère qui a conduit à un nombre de morts plus élevés que dans les pays ayant appliqué les classiques mesures d’endiguement et à la ruine de l’économie.

 

lire aussi

http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine

 

https://youtu.be/gDE8JrYqic8  avec Silvanno Trotta 10 MAI 2020

 

vidéo du DR G Delépine sur le site de Jérémy Mercier   sur le déconfinement et les conséquences du confinement du7 mai 2020   https://youtu.be/orjBSTWMTKE

16 MAI 2020  g delepine interrogé par RT France sur sur mortalité liée au confinement