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POURRAIT- ON SANS RISQUE FAIRE INJECTER SON ENFANT SANS L ACCORD DE L AUTRE PARENT ?  Non ! RISQUE DE PLAINTE CIVILE ET PENALE

Le parent non-consentant est en mesure d’engager la responsabilité civile TANT du parent qui prend l’initiative sans son accord que celle des tiers qui y procéderaient. Ceux-ci ne me paraissent pas pouvoir se retrancher derrière la présomption de l’article 372-2 puisqu’il ne s’agit PAS d’un « acte usuel ».

les dispositions des lois votées depuis mai 2021 dans le cadre de la crise Covid ne sont en AUCUN CAS exclusives de la responsabilité pénale de chacun des intervenants.

 

 

Sur le consentement DU ou DES parents à l’injection des enfants

Par Maitre X – https://t.me/maitreXOFFICIEL – Avocate dans un barreau français

 

En vertu des dispositions combinées des différents textes de loi adoptés depuis mai 2021, le législateur prétend que le consentement d’un seul des deux parents serait suffisant tant pour faire pratiquer un test de dépistage que pour faire « vacciner » un mineur.

La succession des dispositions, organisée comme toujours sous forme de jeu de piste, les dispositions récentes modifiant ou complétant les dispositions plus anciennes, découle des sources suivantes :

. Loi 2021-689 du 31 mai 2021, Art. 1 § II
https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000043567200/2022-01-28/

. Cette loi fut dans un premier temps mise à jour par la loi n°2021-1040 du 5 août 2021, art. 1er :
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043909676

. Une nouvelle mise à jour découle de la loi n°2022-46 du 22 janvier 2022
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045062855

À l’issue de ce parcours législatif, l’article qui nous intéresse aujourd’hui est donc rédigé de la façon suivante :

« G.-Lorsque le Premier ministre prend les mesures mentionnées au A du présent II, seule l’autorisation de l’un ou l’autre des titulaires de l’autorité parentale est requise pour la réalisation d’un dépistage ou l’injection du vaccin contre la covid-19, sans préjudice de l’appréciation des éventuelles contre-indications médicales.

Il en est de même lorsque le ministre chargé de la santé prend les mesures mentionnées aux articles L. 3131-1 et L. 3131-16 du code de la santé publique pour autoriser la vaccination des mineurs âgés d’au moins cinq ans. »

Or, la conformité de cette disposition pose différentes questions légales.

  • AU REGARD DE L’ARTICLE 372 DU CODE CIVIL

Le principe posé par le Code civil (Art. 372) est celui de l’exercice CONJOINT de l’autorité parentale. En d’autres termes, les décisions relatives aux enfants se prennent conjointement par les deux titulaires de l’autorité parentale.

De son côté, l’article 372-2 du Code civil autorise dans certains cas les parents à agir seuls, en étant « réputés agir avec l’accord de l’autre » à l’égard des tiers, mais uniquement lorsqu’il s’agit d’actes « usuels » de l’autorité parentale relativement à la personne de l’enfant.

 

 

Deux éléments, dans cette disposition, sont à relever :

  • Il ne vise que les actes « usuels » relatifs à la personne de l’enfant. L’administration d’un traitement médical, quel qu’il soit, et moins encore lorsqu’il s’agit d’un traitement en phase d’essai thérapeutique, fût-il nommé « vaccin » par les pouvoirs publics, n’est assurément PAS un « acte usuel » relatif à la personne de l’enfant.
  • En outre, cette disposition du Code civil est en réalité une protection accordée aux tiers avec qui l’un des parents serait en contact, et permettant à ce tiers de présumer l’accord de l’autre parent pour ces actes « usuels ».

Lorsque, comme c’est le cas dans l’hypothèse que nous étudions aujourd’hui, l’autre parent n’est PAS d’accord, et qu’il l’a expressément notifié, la responsabilité du parent qui tente de procéder malgré tout à cet acte me paraît déjà engagée sur le plan civil.

Ainsi il a été décidé qu’en cas de désaccord des parents, un établissement scolaire qui a connaissance de ce désaccord DOIT recueillir l’accord des deux parents pour chaque décision à prendre relativement à l’enfant (CAA Paris, 13/11/2020, 20PA01156).

En d’autres termes, cette possibilité d’agir SEUL n’est ouverte à l’un des parents que s’il est de bonne foi, et l’article 372-2 ne protège que les tiers, et seulement s’il s’agit d’actes « usuels ».

On voit dès lors mal à quel titre les lois prises depuis mai 2021 permettraient, sans violer le Code civil, à l’un des deux parents de décider seul et de faire procéder seul à une injection de matériel de thérapie génique sur l’un de ses enfants, lorsqu’il sait ne pas être en accord avec l’autre titulaire de l’autorité parentale.

Le parent non-consentant est en mesure d’engager la responsabilité civile TANT du parent qui prend l’initiative sans son accord que celle des tiers qui y procéderaient. Ceux-ci ne me paraissent pas pouvoir se retrancher derrière la présomption de l’article 372-2 puisqu’il ne s’agit PAS d’un « acte usuel ».

En admettant même – quod non – qu’une loi puisse, sans le mentionner expressément, modifier une disposition du Code civil, les difficultés ne s’arrêtent pas là, comme nous allons le voir.

  • AU REGARD DU DROIT EUROPÉEN

Dans la hiérarchie des normes, le droit européen est supérieur au droit national.

Dans son règlement n°536/2014 du Parlement et du Conseil, l’Union européenne a édicté de nombreuses règles relatives « aux essais cliniques de médicaments à usage humain ».

Le texte complet de ce règlement est accessible ici : https://bit.ly/3r7bVjl

En vertu de l’article 32 de ce règlement, et outre les conditions déjà prévues de façon générale pour l’ensemble des participants, il est obligatoire de recueillir le consentement éclairé du « représentant désigné légalement ».

J’ajoute à cela que si, comme nous venons de le voir, le droit du mineur prévoit l’exercice CONJOINT de l’autorité parentale, c’est donc logiquement l’accord des DEUX parents qui doit être recueilli, et, mieux encore, l’accord « éclairé » c’est-à-dire suffisamment informé ».

Le même article 32 prévoit en outre que pour être légal, l’essai clinique doit « se rapporter directement à une condition médicale touchant le mineur OU être d’une nature telle qu’il ne peut être réalisé que sur des mineurs » (Art. 32.1.f du règlement).

Les informations scientifiques à cet égard ne manquent pas pour démontrer que les enfants ne meurent quasiment pas du Covid, et que, la vaccination n’empêchant pas la transmission du virus, rien ne justifie qu’ils soient injectés, même pas la recherche d’une « immunité collective » qui ne sera manifestement pas atteinte grâce à ces injections. Les injections dites « vaccinales » contre le Covid-19 ne se rapportent donc absolument pas « à une condition médicale touchant le mineur » et ne sont pas « d’une nature telle qu’elles ne peuvent être réalisées que sur des mineurs ». C’est tout le contraire !

D’un autre côté, l’importance des effets secondaires remontés dans le monde entier et notamment les affections cardiaques (péricardites et myocardites) touchant des mineurs doit faire écarter la participation de ceux-ci aux essais thérapeutiques.

  • Au regard du droit pénal

Enfin, les dispositions des lois votées depuis mai 2021 dans le cadre de la crise Covid ne sont en AUCUN CAS exclusives de la responsabilité pénale de chacun des intervenants.

Les informations remontées dans le cadre de la pharmacovigilance démontrent la grande nocivité des injections.

Pour cette raison, différentes plaintes ont été déposées, notamment sur des incriminations d’empoisonnement et de complicité d’empoisonnement. Je me réfère, entre autres, à la plainte des associations Bons Sens, AIMSIB et Collectif des Maires Résistants, lancée contre les députés ayant participé à la commission mixte paritaire de la loi du 5 août 2021 (voir ici :

Plusieurs infractions pénales me semblent pouvoir être envisagées, en partant bien sûr du postulat que les injections sont potentiellement dangereuses, ce que nous démontrent les données de pharmacovigilance.

  • 223-1 du Code pénal : Mise en danger délibérée de la vie d’autrui

« Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »

  • 221-5 du Code pénal :

« Le fait d’attenter à la vie d’autrui par l’emploi ou l’administration de substances de nature à entraîner la mort constitue un empoisonnement.

L’empoisonnement est puni de trente ans de réclusion criminelle.

Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu’il est commis dans l’une des circonstances prévues aux articles 221-2, 221-3 et 221-4.

Les deux premiers alinéas de l’article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l’infraction prévue par le présent article. »

  • Article 222-19 al 1er du Code pénal :

« Le fait de causer à autrui, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l’article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, une incapacité totale de travail pendant plus de trois mois est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. »

Tout ceci étant posé, il me reste à vous proposer un outil pratique.

Si vous êtes dans la situation du parent NON-consentant et que l’autre parent insiste pour procéder à cette injection sur vos enfants mineurs, voici un modèle de courrier que je vous suggère de lui envoyer en recommandé avec AR si possible.

 

Vous pouvez envisager l’envoi de cette lettre par eMail, mais il vous faudra prouver qu’il l’a bien reçu, et en cas de litige cela peut poser de réelles difficultés. ! Si vous envoyez cela par eMail et que vous n’avez pas de réponse du destinataire (ce qui vous permettrait de démontrer qu’il a bien reçu le mail auquel il répond), je vous conseille de doubler alors l’envoi par un courrier recommandé ensuite.

Adaptez bien sûr en fonction de votre situation lorsque deux variantes sont proposées, séparées par un «  / »

 

« Cher/chère…..

Je suis contraint(e) de t’adresser ce message par écrit vu les circonstances.

Tu as manifesté l’intention/le souhait de faire vacciner notre/nos enfant/s contre la Covid-19 malgré mon désaccord sur ce point.

Pour appuyer les droits que tu estimes avoir à ce niveau, tu invoques les communications gouvernementales et télévisées expliquant que l’accord d’un seul des deux parents peut suffire pour autoriser une telle injection.

Or, il apparaît que la situation est, juridiquement, bien plus complexe.

  • Sur le plan civil, tout d’abord, le Code civil prévoit que l’autorité parentale doit s’exercer de façon CONJOINTE, ce qui implique un accord des DEUX titulaires de cette autorité (Art. 372 C.c.). Il n’a pas été expressément dérogé à cette disposition par la loi. En outre, soumettre un mineur à une injection de produit thérapeutique en phase d’essai clinique n’est PAS un acte « usuel » au sens de ce même Code civil, de telle sorte qu’un tiers ne pourrait pas présumer de mon consentement si tu te présentes seul.

 

  • Au niveau européen, soit à un niveau qui prime sur le droit interne, des dispositions sont également prévues. En vertu de l’article 32 du Règlement n+536/2014 du Parlement et du Conseil de l’Union européenne, il est obligatoire de recueillir le consentement de la personne qui, légalement, représente l’enfant. Ceci renvoie donc, pour le droit français, à l’article 372 du Code civil qui prévoit, par principe, une autorité conjointe.

Ce même article 32 du règlement européen indique que pour être légale, la participation du mineur à l’essai clinique doit se rapporter directement à une condition médicale touchant le mineur OU être d’une nature telle qu’il ne peut être réalisé que sur des mineurs » (Art. 32.1.f du règlement).

Or, et comme tu le sais, les enfants ne courent aucun risque face à cette maladie, et en toute hypothèse moins de risques que ceux liés à l’injection elle-même.

 

 

Il va de soi que les obstacles et discriminations posées actuellement par les gouvernements, et restreignant notamment la liberté de voyager, de participer à des activités, etc. ne sont PAS considérés comme des risques liés à la maladie elle-même, et qu’il n’est pas acceptable que notre/nos enfant/s soi(en)t soumis à un essai clinique uniquement pour des raisons de confort liées à un voyage/une inscription à une activité/ etc. (complétez vous-même selon les motivations du parent concerné).

 

  • Enfin, sur le plan pénal, je t’informe que si tu devais exposer notre/nos enfant/s à ce risque, une plainte serait immédiatement déposée sur base de l’article 223-1 du Code pénal (mise en danger délibéré de la vie d’autrui).

À cela s’ajoutent deux autres dispositions du Code pénal que je n’hésiterai pas à invoquer dans une plainte en cas de besoin :

. Art. 221-5 du Code pénal (atteinte à la vie d’autrui par l’emploi ou l’administration de substances de nature à causer la mort)

. Art. 222-19 al 1er (visant tout acte de nature à causer une ITT pendant plus de 3 mois, par maladresse, imprudence, inattention ou négligence).

 

Il est dès lors INDISPENSABLE, tant en vertu de la loi française que du droit européen que nous agissions DE COMMUN ACCORD quant à toute décision relative à la santé de notre/nos enfant/s. Je t’exprime dès lors, de façon formelle, MON DÉSACCORD COMPLET pour toute « vaccination » en l’état actuel des choses.

Merci d’en prendre note.

 

(Il vous reste à terminer la lettre comme vous le souhaitez).

 

Gardez toujours une copie exacte de ce qui a été envoyé, et ce au format papier (en plus de l’éventuelle copie du mail dans votre ordinateur.

 

 

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merci à Maitre X de son aide pour vous proposer un modèle de lettre si malheureusement vous êtes dans cette situation dramatique qui manipule familles et enfants.

 

et pour les informations sur les risques de cette injection appelée abusivement « vaccin » notre synthèse vient de paraitre

 

 

 

Couv Les enfants sacrifiés[43011]

 

le 22 janvier 2022

SAUVEZ LES ENFANTS DE L’INJECTION INUTILE ET TOXIQUE

 

Bonjour  à tous

 

Nous avons pour beaucoup compris que la pression de tests aux petits y compris en crèche (!) vise à épuiser les familles et les faire consentir à l’injection souvent toxique.

 

Il est temps de sortir de l’hypnose et de faire échapper enfin les enfants de ce scénario tragique. Nous avons avec le Dr G Delépine tenter de résumer comment les enfants, adolescents et jeunes adultes ont été les SACRIFIES de cette plandémie. Nous espérons que ce petit livre synthétique pourra servir à quelques-uns pour sortir de ce scénario terrible et en aider quelques autres.

 

 

MERCI  de votre lecture, à votre disposition pour réponses aux questions par ce mail ou celui de gerard.delepine@bbox.fr   et merci à tous de votre aide pour sauver les petits, chacun par ses moyens.

 

Les courbes correspondant aux chapitres seront sur notre site  pour ne pas surcharger le livre. (voir article du 23 Janvier 22 sur le bilan sanitaire des pays utilisant les TAP (traitements précoces) versus le tout vaxx.

 

Continuons la résistance avec espoir car les yeux s’ouvrent même sur nos médias..

 

Delépine Les enfants sacrifiés du Covid

 

 

FAUVES

 

Le 24 janvier 2022

 

 

Nicole et Gérard DELÉPINE

Les enfants sacrifiés du Covid

Isolement, masques et vaccins

Essai

 

214 pages – 16 €

 

Le livre

Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnose générale a occulté les dangers des atteintes aux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant.

 

Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les menace. Cette injection expérimentale est d’autant plus injustifiée qu’ils sont à risque zéro et ne contaminent personne. De plus, elle met en péril leur avenir immédiat et à long terme, avec des effets secondaires connus et inconnus.

 

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérément ses enfants ? Il est temps d’ouvrir les yeux.

 

 

Les auteurs

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, et Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de quarante ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

 

FAUVES

 

 

 

 

 

 

 

Nicole Delépine Pédiatre,ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à Garches APHP

Gérard Délépine chirurgien orthopédiste et cancérologue, diplômé de statistiques médicales

 

Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram

Par le Dr Gérard Delepine

 

Situation sanitaire mondiale le point au 22 01 2022 : pays avec traitement précoce, versus les tout vax – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

 

Si les gouvernements et les médecins honnêtes avaient voulu faire autrement et utiliser les traitements précoces : le point au 22 01 2022

 

 

 

 

Depuis le début de la crise Covid, une propagande effrénée assortie d’une censure féroce nous assène « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez vous et prenez du Doliprane…le confinement sauve des vies…la fin de la crise viendra des vaccins… »

Puis après la mise sur le marché des pseudo vaccins « les vaccins sont efficaces à 97 %. Ils sont sûrs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres…vaccinez-vous et vous retrouverez vos libertés… »

 

 

Mais la réalité est têtue et, progressivement, dément tous ces slogans mensongers. Après un an d’une vaccination imposée à plus de 80 % des Français, les restrictions s’intensifient dans une stratégie du tout vaccinal dont l’échec est maintenant reconnu par l’OMS, qui en a pourtant été la grande conseillère, et de nombreux pays qui abandonnent actuellement toute restriction (Espagne, Grande-Bretagne, etc.…).

 

L’argument le plus fréquemment utilisé par les médias et le pouvoir pour justifier la politique sanitaire qui nous empêche de vivre libre est : « tous les pays pratiquent la même politique ».

 

Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces, permettant des comparaisons solides avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire du tout injection.

Lors des comparaisons, pour évaluer l’efficacité des politiques anti-covid, nous utilisons les données officielles publiées par l’OMS avec, pour étalon la mortalité mondiale cumulée au 11/1/2022 qui atteint 693/Million.

Globalement l’analyse des données de l’OMS est porteuse d’espoir en objectivant l’efficacité des traitements précoces et/ou préventifs utilisés entre autres en Afrique et en Inde et la très grande bénignité d’Omicron qui va sauver les pays soumis à la dictature vaccinale.

L’Afrique tropicale démontre que les traitements précoces sont efficaces

Certains pays africains par choix et/ou nécessité n’ont pas ou très peu vacciné et ont utilisé des traitements anciens et bon marché (antipaludéens et Ivermectine) ou des plantes locales qu’ils utilisent depuis longtemps pour lutter contre le paludisme et de nombreuses parasitoses (Artemisia annua).

En janvier 2022, l’OMS recense en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial), alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

 

Cette très faible mortalité africaine pourrait sembler d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus délabrés que les nôtres, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés. D’ailleurs, depuis le début de la crise, les médias mainstream aux ordres de l’ordre mondial avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent et nos gouvernants voudrait leur imposer la thérapie génique expérimentale.

Certes la jeunesse des Africains constitue un facteur protecteur important : le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 12 % (Maurice) alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA. Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est en moyenne quatre fois inférieure à celle de l’Europe et pourrait expliquer une partie de sa sous-mortalité constatée.

De fait, après correction de la mortalité par l’âge, les Africains bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants (en excluant l’Afrique du Sud qui concentre 45 % de la mortalité africaine globale pour les raisons explicitées plus loin).

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid, parfois évoquée, est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

 

La mortalité Covid des pays africains exposés au paludisme est inférieure à 80/million soit, 22 fois plus faible qu’en France.

 

 

La comparaison au 20/1/2022 des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence du paludisme montre que les pays, dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour, bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible 10 à 180 fois inférieure à celle de la France (1847/M) comme : le Nigéria (14/M), le Mali (33/M), le Congo (65/M), La Tanzanie (12/M), le Tchad (11/M), le Cameroun (68/M), le Niger (11/M), la Côte d’Ivoire (27/M), la Guinée (30/M), le Kenya (99/M), le Sénégal (116/M), le Gabon (129/M).

 

 

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, la population à risque, les plus de 60 ans, représente 25 % du total. Dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé. Au 19/1/2022, la mortalité cumulée ne dépasse pas 144/M, soit 13 fois moins que la France.

Le 31 mai 2021 sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 19/1/2022 la mortalité cumulée atteint 401/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 19/1/2022, la mortalité Covid atteint les chiffres européens : 2165/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin. Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le second pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1556 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne, mais paraît être sortie de l’épidémie depuis la fin de la vague Omicron.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens et/ou d’Ivermectine/Artémisine.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens et/ou Ivermectine/Artémisine sont efficaces.

La comparaison des îles Africaines de l’océan Indien met en évidence la supériorité du traitement par Artémisine sur les pseudo vaccins

Dans l’océan Indien, quatre îles se situent dans un cercle de 1000 kilomètres de rayon : Maurice, la Réunion, les Seychelles, Madagascar. Leurs conditions climatiques, leur mode de vie et les caractéristiques de leurs populations sont très proches. Mais les trois premières ont adopté la stratégie de l’OMS, tandis que Madagascar adoptait le traitement précoce par l’Artémisine. La comparaison de leurs évolutions est démonstrative.

Madagascar : 29 millions d’habitants, dont 2 % de vaccinés

Le gouvernement a fait la promotion de l’utilisation préventive d’un antipaludéen local, l’Artemisia qui a été beaucoup consommée.

Au 19/1/2022, l’épidémie est maîtrisée depuis début juin 2021 après 55 827 cas et 1169 morts, soit une incidence globale de 1963/Million et une mortalité globale 39/Million, soit 18 fois moins que la moyenne mondiale et 48 fois moins que celle de la France.

Île Maurice 70 % d’injectés

En 2022, la population de l’île Maurice compte 1 280 000 personnes. La vaccination a commencé mi-février 2021 et au 17/11/2021 plus de 70 % de la population avait reçu au moins une injection.

Depuis la campagne de vaccination le nombre de morts par a été multiplié par 24 (de 10 à 240). Au 12/12/2021, la mortalité cumulée s’élève à 200/million, soit 5 fois supérieure à celle de Madagascar.

La Réunion compte 905 000 habitants dont 58 % sont vaccinés

La politique sanitaire suivie est celle de la métropole avec l’interdiction des traitements précoces et un tout vaccin. Au 12/12/2021, l’épidémie reste active, le nombre de cas cumulé atteint 63 863 avec 391 morts (mortalité 415/M), soit le triple la moyenne africaine et 12 fois celle de Madagascar.

La catastrophe vaccinale des Seychelles vaccinées à 90 %

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid-19 confirmés et 3 morts. En espérant sauver sa prochaine saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. En janvier 2022, la couverture vaccinale dépasse 90 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles ont dû faire face à une hausse considérable des cas qui a incité le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos…

Au 19 janvier 2022, le pays comptait 32 850 cas confirmés et 133 morts contre 500 cas et 3 morts avant la vaccination. Ainsi après 12 mois de vaccination, le nombre de cas a été multiplié par 64, la mortalité par 44. L’incidence globale atteint 332078/million et la mortalité globale attribuée au Covid s’élève à 1415/million, 8 fois plus que la moyenne africaine et 38 fois celle de Madagascar.

 

 

Cette analyse des îles africaines de l’océan Indien confirme l’efficacité du traitement par Artemisia et l’inefficacité dangereuse des vaccins. Le traitement précoce et/ou préventif par Artemisia a permis à Madagascar de compter 40 fois moins de morts par million que la stratégie OMS du tout vaccin adoptée aux Seychelles.

 

 

L’Inde très peu vaccinée a utilisé avec succès les traitements précoces et préventifs

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4 690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles, les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu.

Le 22/3/2020, lors de la première vague, l’Indian covid19 Task force a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet et a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant, des forces de l’ordre et des foyers, contenant des personnes contaminées par le Covid-19. Ce traitement préventif a contrôlé la première vague en limitant considérablement la diffusion de la maladie avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072/M.

Au 30 janvier 2021 l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542), soit six fois plus.

Cette forte réduction du risque de contamination lors de la première vague ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde comptait dix fois moins de morts que la France (118 morts/M contre 1156/M).

Le début timide de la vaccination en janvier 2021 a été suivi par relatif abandon des traitements préventifs et l’explosion du nombre de cas en mars 2021 puis de la mortalité en avril, obligeant le ministère de la Santé indien à actualiser ses recommandations, en ajoutant l’Ivermectine à la liste des traitements officiellement recommandés. Les contaminations journalières ont très rapidement diminué ainsi que la mortalité. Grâce à l’Ivermectine, l’Inde bénéficie depuis juillet 2021 d’une accalmie qui confine à la guérison et sa mortalité cumulée globale par million d’habitants est quatre fois et demie plus faible que celle de la France (395 vs 1843).

 

Depuis l’utilisation de l’Ivermectine, la mortalité quotidienne attribuée au covid en Inde se maintient autour de 300, équivalent français de 15/J, alors que notre moyenne actuelle tourne autour de 200/J.

L’Inde n’est pas le seul pays à avoir utilisé l’Ivermectine avec succès

Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer la mortalité avec l’Ivermectine.

Plus de 20 études randomisées ont démontré avec certitude que l’Ivermectine a une très grande efficacité contre la Covid-19 — en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital.[1] En France, le Dr Gérard Maudruxa publié une synthèse complète[2][3] de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine.

De très nombreux scientifiques et médecins du monde entier militent pour généraliser la prescription d’Ivermectine, comme l’Alliance FLCCC aux États-Unis, le groupe BIRD en Grande-Bretagne, le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation mondiale de la Santé. Au Japon, le président de l’Association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament.

Les négationnistes institutionnels : aveugles ou corrompus ?

L’Autorité européenne du médicament (EMA) déconseille ce médicament prétendant« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d’essais cliniques » de même que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) prétextant que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes ». L’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’Ivermectine une recommandation temporaire d’utilisation, estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable » alors que certaines de ces mêmes agences ont défendu ou autoriser sans preuves réelles les pseudo vaccins, le Remdesivir, l’Evusheld[4] et le 21 janvier 2021 le Paxlovid qui serait donné aux patients susceptibles de faire une forme grave !

C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’Ivermectine est nul : avec trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, même à des enfants et des personnes âgées, aucun risque sérieux n’a été signalé aux doses recommandées.

Ces refus de l’Ivermectine, comme celui de l’hydroxychloroquine, ne reflètent que le crédo d’un petit groupe de pseudoscientifiques trop liés à l’industrie pharmaceutique et sous la pression de politiques qui refusent qu’un médicament du domaine public à un prix ridicule puisse concurrencer les dernières inventions brevetées et hors de prix de leurs amis industriels.

L’excellente nouvelle de l’arrivée d’Omicron, possible futur « vaccin » naturel idéal

Manifestement, nos dirigeants veulent continuer de gouverner par la peur, via les tests multiples que tout le monde ou presque va pouvoir pratiquer (décret du 21 janvier 2022), pour prolonger des mesures contraires aux données de la science, au simple bon sens et aux droits de l’homme pour leurs profits et ceux de Big Pharma.

Mais leur dernier croquemitaine (Omicron) que les médias montent en épingle risque fort de les décevoir en mettant définitivement fin au coronacircus.

En effet sa plus grande contagiosité va progressivement le rendre dominant en 2022. Or il est très peu mortifère et son installation devrait progressivement réduire la mortalité vers zéro comme tendent à le démontrer l’Afrique du Sud et la Grande-Bretagne.

Il pourrait représenter le vaccin idéal : naturel, gratuit et efficace pour la vie.

Vive le variant omicron et n’en ayez pas peur ! Il va nous libérer.


 

PDf
  1. [1] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2021/03/BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.[]
  2. [2] BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.[]
  3. [3] Ivermectine for COVID-19: real-time meta analysis of 75 studies Covid Analysis, Jan 17, 2022, Version 172
    https://ivmmeta.com[]
  4. [4] nouvelle bithérapie d’anticorps monoclonaux contre la Covid-19, autorisée en accès précoce sur le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament[]

 

  • LES MILLIONS DE TESTS IMPOSES AUX ENFANTS
  • EN L’ABSENCE DE GRAVITE ET DE MORTALITE ¨DU VARIANT OMICRON
  • SONT UNE ARME POUR ALIMENTER LA PEUR
  • ET CONDUIRE LES PARENTS
  • A L INJECTION GENIQUE DANGEREUSE ET INUTILE

 

  • Refusons les tests PCR et le pseudovax inutiles et dangereux

 

 

Doctothon Spécial Enfants : Nicole DELÉPINE Pédiatre et cancérologue à la retraite – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Lettre d’information aux élus, maires, députés, sénateurs et citoyens sur les complications post injections et le risque du pass pour notre démocratie, le 7 janvier 2022

 

 

L’épidémie due au covid-19 a provoqué au courant de l’année 2020 une situation considérée comme une urgence sanitaire majeure. Devant ce coronavirus inconnu, dont la première forme a été déclarée à Wuhan en 2019, les gouvernements se sont retrouvés face à une situation complexe.

 

La France a décidé d’appliquer des mesures plus sécuritaires que sanitaires, qui ont  affecté  une grande partie de nos citoyens : mesures barrières, confinement, couvre-feu, et masques y compris chez les enfants encore aujourd’hui, etc.

 

Puis, le Gouvernement a choisi d’appliquer une stratégie uniquement « vaccinale » s’appuyant sur des injections de médicaments préventifs géniques expérimentaux, promettant des effets rapides. Une stratégie du « tout vaccinal » s’est alors mise en place, réponse unique aux vagues successives de cas positifs, en interdisant les traitements précoces (pour des raisons qu’il restera à évaluer lors d’autres commissions d’enquête), pourtant utilisés avec succès dans de nombreux pays comme en Inde.

 

Pseudo-vaccins usant de nouvelles technologies

 

Ces « vaccins » ne reposent pas, dans leur conception et dans leur action, sur des méthodes traditionnelles d’élaboration des vaccins selon Pasteur. Ces médicaments préventifs géniques expérimentaux utilisent de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager et ADN recombinés, jamais utilisées chez l’homme pour lutter contre une infection.

 

Leur autorisation de mise sur le marché (AMM) a été donnée dans le cadre d’une procédure d’urgence, après étude accélérée de phase I et II dont les conditions d’exécution n’ont pas été transparentes. La phase III est toujours en cours, les premiers résultats sont attendus pour 2023 : il s’agit de substances expérimentales dont les effets bénéfiques, s’ils existent, semblent de très courte durée et dont les effets indésirables à long et moyen terme sont inconnus et, pour certains, inquiétants (modification du génome et de l’épigénétique ?).

 

Du fait de son ampleur même, cette campagne « vaccinale », réalisée en pleine épidémie et à un rythme très soutenu, devrait être suivie d’une campagne de surveillance et de gestion du risque, similaire aux procédés habituels de surveillance et d’évaluation des risques en population générale.

 

Incertitudes sur les effets secondaires.

 

L’incertitude de sécurité de ces nouveaux « vaccins » utilisés en France s’est confirmée par le suivi des stratégies vaccinales mises en œuvre tant sur notre territoire, que sur celui des pays européens voisins.

 

Le vaccin Astrazeneca, d’abord proposé sans contre-indication particulière à l’ensemble de notre population, a été remis en cause du fait de nombreux cas de thromboses dans de nombreux pays européens, constatant une balance bénéfice de la « vaccination » et risque du covid, au moins incertaine, si ce n’est négative.  Puis, un avis de la Haute Autorité de Santé du 9 juillet a demandé de vacciner par les autres vaccins disponibles. La France a d’ailleurs arrêté de commander ce vaccin.

 

Concernant le « vaccin » Moderna, après avoir été injecté sans restriction particulière concernant les catégories d’âge ou état de santé, il est maintenant remis en question par des pays voisins européens, en particulier scandinaves (Suède, Norvège, Danemark puis Finlande) et le Japon qui l’ont interdit aux hommes de moins de 30 ans.

 

Ces revirements dans les stratégies « vaccinales » confirment l’incertitude qui règne sur les effets secondaires de ces injections.

 

Cette incertitude, illustrée par ces deux revirements, interpelle, car les effets secondaires avérés touchent une population relativement jeune, peu ou pas sujette aux complications du covid, mais risquant de développer un effet grave post-vaccinal.

 

Il convient de mettre ces deux faits en perspective des effets secondaires déclarés par différents organismes officiels dépendant des Etats.

 

Le VAERS (Vaccine Adverse Events Reports, base de données des effets secondaires des vaccins aux États-Unis) rapporte plus d’un million d’effets secondaires, dont 21 000 décès confirmés au 27 décembre 21 et 20 560 myocardites. Selon le VAERS, les inoculas contre le covid-19 ont accumulé, en 1 an, plus d’effets secondaires graves que TOUS LES AUTRES VACCINS RÉUNIS EN 34 ANS.

 

L’agence européenne du médicament (EMA) relève des effets secondaires suspectés d’être associés à cette campagne de vaccination, publiés sur EudraVigilance (base de données de l’EMA, de rapport d’effets indésirables de l’UE hors UK )[1] :

 

les effets indésirables globaux retenus par EudraVigilance sont publiés pour un total de signalements de 1 327 876 observations, au 1er janvier 2022.

 

Pfizer : 668 442 ; Moderna : 188 082 ; Astra: 428 330 ; Janssen: 43 022.

 

Et, un total de 36 267 décès susceptibles d’être en rapport avec l’administration de l’injection.

(Pfizer : 16 481 décès ; Moderna : 10 170 décès ; AstraZeneca : 7 371 décès ; Janssen : 2 245 décès).

 

D’autres chiffres dans le monde interpellent, 50 % des myocardites et des péricardites sont survenues après l’injection de la seconde dose singulièrement chez les moins de 30 ans, (chiffres VAERS  confirmés en UE, en UK, en Israël) et touchent d’autant plus les plus jeunes (moins de 20 ans).

 

En France, selon les mots de la directrice générale de l’ANSM, elle-même, lors de son audition au Sénat, le 29 décembre 2021,  « on le sait, il y a une sous-déclaration en pharmacovigilance ». Malgré tout, elle s’inquiète du taux élevé de déclarations, comparativement aux années précédentes :

 

« A mi-novembre 2021, nous avons 110 000 déclarations d’effets indésirables pour les 4 vaccins anticovid. Dans une année normale, nous avons 45 000 déclarations tous médicaments confondus ».

 

Les effets secondaires déclarés à l’ANSM en moins d’un an en France s’élèvent à  121 486 cas dont 24 % graves. Thrombose, myocardite, péricardite, pancréatite aigüe, polyarthrite, troubles du rythme cardiaque, zona et maintenant encéphalites et maladie à prions (dite de la vache folle) sont des complications bien décrites. Plus de 1 100 décès, rien que pour le vaccin Pfizer, sont signalés sur le site de l’ANSM.

 

On estime habituellement que 10 % seulement des cas sont déclarés.

 

Cette absence dans le suivi de pharmacovigilance est constatée par nombre de travaux universitaires, soulignant le manque d’informations des soignants, leur temporalité restreinte pour exercer un suivi des patients. Ce déficit de moyens peut entraîner des dérives, comme un fort taux de non-prise en compte d’effets secondaires et l’autocensure des soignants sur les déclarations par méconnaissance du mécanisme compliqué de déclaration en pharmacovigilance.

 

De plus, les vaccinodromes n’ont pas assuré le service « après-vente », laissant les personnes en situation de détresse et sans réel recours possible.

 

L’incertitude sur les effets secondaires de ces vaccins doit être levée

 

Les effets secondaires des pseudo-vaccins ne sont pas pris en compte dans l’action gouvernementale, le ministre de la Santé s’obstinant à nier les décès, pourtant signalés par l’agence gouvernementale française.

 

Ces déclarations négationnistes sont suivies d’une forte incitation vaccinale de la part du Gouvernement, que ce soit par des discours, mais également par des mesures restrictives de liberté qui ont été votées au sein de l’hémicycle.

 

La loi n° 2021-1465 du 10 novembre 2021 prolonge l’obligation vaccinale pour les soignants et soumet les libertés fondamentales au pass sanitaire pour les citoyens à partir de 12 ans et risque d’être aggravée par le vote de la loi en cours d’examen en ce début janvier, transformant le pass sanitaire en vaccinal.

 

Actuellement, les autorités sanitaires poussent à la vaccination des enfants à partir de 5 ans, alors que les enfants de moins de 19 ans risquent moins du covid que de la grippe saisonnière ordinaire (zéro risque du covid chez les enfants sans comorbidités) et que le pseudo-vaccin ne protège pas des contaminations : aucun intérêt individuel, ni collectif, mais des effets indésirables qui pourraient se révéler catastrophiques pour notre pays dans un futur proche. Souvenons-nous notamment de la Dépakine et du Dengvaxia de SANOFI qui a causé la mort de centaines d’enfants aux Philippines.

 

L’action gouvernementale ne prend pas en compte les effets secondaires déclarés liés aux « vaccins » et poursuit une politique de quasi-obligation vaccinale, sans un système de pharmacovigilance proportionné à ces mesures.

 

Rôle de protection du Parlement

 

Le rôle du Parlement est de contrôler l’action gouvernementale. Il est aussi de faire le lien entre politiques et citoyens, indispensable à la vie démocratique de notre pays.

 

Depuis plusieurs mois, ce lien est distendu et une rupture de confiance s’observe entre une partie de la population et le pouvoir. Des manifestations citoyennes d’ampleur et à l’opposé, les mesures attentatoires aux libertés fondamentales du Gouvernement s’accentuent.

 

L’impératif est d’autant plus grand, au vu de l’échelle de « vaccination », avec pour rappel une troisième dose nécessaire pour la validité du passe sanitaire et bientôt une quatrième et l’élargissement de la vaccination des enfants à partir de 5 ans.

 

Devant le nombre de décès et d’accidents graves laissant des séquelles à long terme, un moratoire de la « vaccination » est urgent.

 

Afin d’éviter une catastrophe sanitaire d’ampleur nationale dans les prochaines années, le Sénat se doit, avant de laisser l’exécutif poursuivre sa stratégie d’obligation indirecte de participation à des essais cliniques d’injections géniques, de s’assurer que la pharmacovigilance est suffisante pour détecter des effets secondaires sur court, moyen et long terme.

 

 

Une pétition a été déposée sur le site des pétitions du Sénat, le 7 janvier 2022, par le Docteur Julien Devillerger, demandant un arrêt immédiat des injections et la constitution d’une commission d’enquête sénatoriale chargée de faire un état des lieux des effets secondaires consécutifs à l’injection vaccinale contre le covid-19, ainsi que du système de pharmacovigilance français. Elle devrait être ouverte à la signature d’ici une quinzaine de jours.

 

 

 

 

Lettre d’information aux élus, maires, députés, sénateurs et citoyens sur le risque du pass vaccinal pour notre démocratie, le 7 janvier 2022 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

 

 

LE 6 janvier 2022

 

 

 

Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,

 

Le projet de loi n°4857 relatif à « un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles », va être présenté dans les prochains jours devant votre assemblée.

 

Vous avez, dans le vote de ce texte, une responsabilité historique face aux français.

 

Sur des prémisses incertaines, les effets du variant circulant débouchant plutôt sur une large immunité naturelle, les effets positifs de la « vaccination » étant manifestement limités (avec booster à trois mois nécessaire), et les premiers chiffres d’effets indésirables très inquiétants, il s’agirait pourtant  de réduire  dramatiquement nos droits et nos libertés et d’aggraver de façon inédite la répression contre les personnes non-vaccinées (au sens très large puisque les personnes non à jour de leur schéma vaccinal -soit trois doses plus quinze jours à l’heure actuelle sont considérées non vaccinées[1]).

 

Cette future loi  inscrirait,  dans le marbre de la loi, les pires des discriminations contraires aux Traités internationaux et Convention Internationales ratifiés par la France.

 

Que se passerait-il si  la population  découvrait, le temps passant, l’accumulation des effets dramatiques à court, moyen et long terme, aux produits injectés, en particulier sur nos enfants ?

 

Voudriez-vous prendre une telle responsabilité éventuellement pénale, si des victimes futures vous considéraient responsables des catastrophes personnelles  ?

 

Les Français comptent sur votre discernement et votre adhésion aux valeurs de la France pour ne pas autoriser  ces graves atteintes à ce qui faisait l’essence de la France, et que vous rendiez pérennes et inviolables la liberté, l’égalité et la fraternité.

 

Aujourd’hui, le bouc-émissaire sont les non-vaccinés (finalement plus de vingt-cinq millions de personnes au bas mot avec les définitions actuelles). Qui seront les prochains ?

 

Parlera-t-on d’isoler (comme le prévoit le projet) les députés qui ne voteraient pas « bien » ? Qui d’autre ?

 

Madame la Sénatrice, Monsieur Sénateur, les Français suivront par millions les débats sur ce projet, dans lequel nous vous demandons solennellement de ne pas céder à la mise à mort de nos droits et libertés et de l’État de droit.

 

Il est urgent de revenir à la raison et à la modération que préconisait Descartes.

 

RENDEZ-NOUS NOS LIBERTES ET NOS DROITS FONDAMENTAUX : intégrité physique, liberté d’aller et venir, liberté d’expression, droit au travail.

 

Espérant que vous aurez entendu l’urgence et l’importance de notre requête, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre parfaite considération.

 

N Delépine

 

P.S. : Nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas. (cf. art. 5 DDH 1789)

 

 

 

VAERS 2021-12-24

 

 

 

 

 

 

Nicole Delépine Pédiatre,

cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France

 

Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram

[1] Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments – Décharge de responsabilité (adrreports.eu)

[1]  Non  vaccinés : ayant reçu , 0 1, 2 doses et moins de 15 jours écoulés depuis la dernière doses ; et moins de trois doses pour les plus âgés D’où le nombre fallacieux d’hospitalisés « non vaccinés » au sens politique actuel

 

Il faut cesser le massacre par l’injection, toutes affaires cessantes.

 

 Résumé 

 Les enfants ne meurent pas du covid, ils ne contaminent ni les autres enfants, ni les adultes et leur injection ne protègent pas les autres.

 L’épidémie de covid est terminée, entretenue seulement par la multiplication abusive des tests PCR fallacieux imposée par le pouvoir aboutissant à une épidémie de tests mais pas de malades, comme le démontre le site officiel sentinelles et santé publique France

L’injection est dangereuse et d’autant plus que la personne est plus jeune et ainsi particulièrement les petits enfants et les bébés. Elle ne protège pas des formes graves, notion inventée et entretenue par le comptage des vaccinés récents (ceux qui viennent de recevoir leur première dose, les plus à risque de complications précoces) dans le groupe  des soi-disant « non vax »[1]

 Les accidents et les décès se multiplient gravement car le nombre de doses est le poison

 Exigeons la fin des mesures liberticides injustifiées car épidémie terminée et l’arrêt complet des injections expérimentales.

 

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Au-delà du fait que l’épidémie stricto sensu de covid 19 n’existe plus, que la première vague fut une grippe habituelle qui n’aurait pas donné tant de morts sans interdiction des médicaments habituels ( antibiotiques, hydroxychloroquine etc.), ni euthanasie cachée des plus âgés, l’injection ne sauve personne et tue trop souvent tout en laissant des handicapés à vie dont personne ne parle.

Lire le résumé d’Alain Tortosa

Et chaque jour, ne regardez plus la télé, n’écoutez plus les radios main stream qui relaient la propagande terrorisante du gouvernement, examinez les données de l’OMS, du réseau sentinelle et de santé publique France qui montrent qu’en novembre 2021, nous restons à des valeurs basses de 12/100000 contre 600/100000  pour les vraies épidémies de grippe des années passées.  Il existe effectivement d’autres viroses dont des grippes en ce moment, mais le tout est étiqueté covid grâce aux prescriptions injustifiées des tests PCR chez des asymptomatiques (faussement positifs dans 97% des cas), montrant toutes sortes d’autres virus ou de résidus et d’amplification trop élevée, malgré les consignes de l’OMS et de la société française de microbiologie. « Stop PCR » «liberté » sont les slogans à adopter dans les manifestations[2].[3]

 

 Epidémie terminée :

Ecoutez Laurent Toubiana  sur la 5ème vague  https://youtu.be/diFch8bNCdQ  dont l’article a été censuré par Mediapart  (pour ceux qui croiraient encore à l’indépendance de ce journal faux nez de « la bonne opposition »

En ce qui concerne les enfants, l’extorsion de consentement s’intensifie.[4]

« Selon Sentinelles le taux d’incidence des IRA tous âges confondus est de 142 pour 100 000 habitants, 58% de vaccinés, 8,3% positifs au Sars-cov2 ; le taux d’incidence de sars-cov2 est de 22. »

« En semaine 2021-46 le taux de positivité au Sars-cov2 des patients consultant pour une IRA était de 6%… chez les 0-14 ans »

Taux d’incidence de 160 Infections Respiratoires Aiguës pour 100 000 chez les 5-14 ans.

En France les courbes de l’OMS montrent clairement que l’épidémie n’est plus menaçante.

 

 

Le taux d’incidence Sars-cov2 pour les enfants est quant à lui de 18 pour 100 000. Ce qui signifie que 94% des enfants qui sont allés consulter un médecin la semaine dernière pour des symptômes grippaux et autres infections respiratoires n’étaient PAS positifs au Covid !

Tandis qu’en semaine 46 les autorités sanitaires font exploser le nombre de tests chez les 0 à 9 ans à un niveau jamais atteint ! Soit 146 000 dans la journée du 26 novembre versus 9000 le 6 novembre, 16 fois plus. Le nombre de positifs croît en conséquence (plus on fait de tests, plus on trouve de personnes positives). De fait on fait exploser le taux d’incidence qui est le nombre de positifs pour 100 000 habitants. Les autorités parviennent à un taux d’incidence artificiel de 210 cas pour 100 000 chez les 0-9 ans ! Pendant ce temps le réseau Sentinelles nous rapporte un taux d’incidence d’enfants ayant des symptômes grippaux ET positifs au Pcr SARS-CoV-2 de 18 pour 100 000 habitants (12 fois moins). Pour ce réseau, nous sommes à des années-lumière d’une épidémie de Covid chez les enfant » et pour l’OMS aussi.

 

 

 

PSEUDOVAX inutile : lire les bilans sanitaires de  Gérard Delépine dans les pays vaccinés (avec haute mortalité dans les deux mois qui suivent les vagues vaccinales et oubli du covid dans les pays non vaccinés comme l’Afrique[5].

Lire aussi que la dernière antienne de pascal Praud pour sauver ses convictions ébranlées est : le vaccin sauve des vies. Malheureusement l’analyse est fausse grâce à un nième mensonge des médias, le calcul fallacieux des « non vax ».

 Pour faire croire que les hospitalisés, voire les morts ne sont pas vax, ils truquent les comptes : en ne comptant comme vaccinés que les personnes au-delà du quinzième jour après la deuxième dose. Comme la mortalité des vaccinés culmine dans les deux mois qui suivent la première injection, l’estimation de la mortalité des injections est gommée et on hospitalise les vaccinés une dose et les vaccinés deux doses de moins de quinze jours en les affublant du qualificatif « non vax » qui rassure Pascal Praud sur ses choix.  Très forts dans le mensonge, nos bourreaux.[6]

 

Bénéfices indécents des milliardaires du pseudovax : mille euros par vaxx et par seconde ! bénéfices indécents des défenseurs de la vax chez les enfants comme ce pédiatre canadien qui a touché deux millions de dollars ; Sa parole vaut de l’or. Celle de Karine Lacombe et Gilbert Deray dix fois moins chers (mais pas mal de smic tout de même).

 

 

Tragiques effets secondaires chez les vax, et de plus en plus nombreux chez les plus jeunes dont le système immunitaire

N’en avez-vous pas assez d’entendre ou lire chaque jour le décès d’une personnalité du monde médical ou politique (comme tout récemment cet assistant de Castex) comme ce pianiste anglais de 40 ans particulièrement doué, semble-t-il, ou le décès (un de plus) d’un jeune footballeur (la FIFA dit avoir comptabilisé une hausse de 440% de chute sur les stades en neuf mois) ?

Ou bien même n’avez-vous aucune compassion pour la chute brutale de Céline Dion qui ne peut plus faire de concert, et semble-t-il ne se lève plus de son lit et peut à peine avaler entre paralysies et spasmes insupportables. Même si elle était tombée dans le piège de la pub au vax offrant des places gratuites aux enfants qui se vaccineraient, cela est bien tragique et on ne peut lui en vouloir, car elle a été trompée par le slogan de certains cardiologues parisiens, « faites confiance à la science »

N’en avez -vous pas assez d’apprendre ce jour les drames d’enfants devenus aveugles alors qu’ils ne risquaient rien du covid, ne contaminaient personne et en protégeraient personne en étant vaccinés, peut-être même au contraire ?

N’en avez -vous pas assez d’entendre des témoignages de l’armée, de gendarmes qui tombent dans le silence comme les footballeurs ?

« Gendarme, ancien policier et militaire témoignent de la même réalité dans #HoldOn : « Il y a des jeunes gendarmes qui décèdent alors qu’ils sont dans la force de l’âge.

On a beaucoup d’AVC, de crises cardiaques et de morts et malgré ça le service de santé des armées ne dit rien fidèle à sa tradition de grande muette[7]

 

 Ne pensez-vous pas qu’il est temps de s’intéresser au drame des vaccinés, anonymes qui, comme les célébrités, tombent encore plus silencieusement, un enterrement et basta.

Peut-etre à deux pas de chez vous et dénié ?

Combien de personnes, qui m’appellent pour toute autre chose, finissent par me raconter qu’elles ont été à l’enterrement de la voisine tombée dans la rue, alors qu’elle allait plutôt bien et du jeune papa de 40 ans décédé quelques jours après un malaise au stade. Pourtant il était grand sportif, cet homme avec une bonne hygiène de vie. Le hasard, bien sûr, le hasard, la coïncidence au pire, car pas question de poser la question tabou de l’injection.  TOUJOURS DES HISTOIRES COMPARABLES ; BASTA

Un chroniqueur parle, non plus de tabou, mais de blasphème si on ose poser la question de la responsabilité éventuelle du vax. Celine Dion, influenceuse du vax et vaccinée elle-même seraient devenue brutalement malade en raison de problèmes de ménopause… La ménopause paralysante du XXIème siècle !

On en est là, dans l’aveuglement induit par l’hypnose collective créée par le sujet télévisuel unique (et inique) pendant des mois et les mensonges éhontés sur « les vieux qu’on voudrait protéger » (alors qu’on les euthanasie encore aujourd’hui dans certains lieux et qu’on leur refuse les traitements interdits dans le silence complice de trop de médecins, les autres terrorisés par l’ordre et confortés par la soumission d’une partie du peuple.

Mensonge sur le vax qui sauverait des vies chez les plus âgés que peu veulent sauver et certainement pas le pouvoir (penser aux retraites,) alors que les vaxx, (ceux qui ont reçus au moins une dose) sont les plus hospitalisés  (les vrais vax, pas ceux comptés par le ministre)  et que des traitements simples comme l’ivermectine les auraient sauvé rapidement.

 

IL FAUT CESSER LE MASSACRE ACTUEL ET A VENIR

 

Tous ne mourront pas mais tous étaient touchés…  Ici avec les vax tous ne mourront pas, mais beaucoup sont déjà touchés.

 

Nous savons déjà est que les adultes vaccinés contaminent leurs enfants et que les femmes enceintes contaminent leurs bébés. Des décès précoces de nouveau-nés dans le premier mois sont signalés. L’allaitement est aussi suspect et à éviter si vous avez été récemment injectée.

Mais ce qui est aussi très angoissant est l’avenir des petites filles qui échapperont à tout effet secondaire visible dans les premières années (espérons-le encore une fois) mais qui auront pu être touchées dans les deux premiers mois de grossesse quand se forment les ovules pour leur vie entière.[8]

 

Pour les plus jeunes qui ont oublié l’histoire du Distilbène donné largement à des femmes enceintes pour limiter les vomissements [9] ou limiter les fausses couches et qui donna chez leurs filles des anomalies des organes génitaux et des stérilités. Et comme si cela ne suffisait pas des troubles psychiatriques chez les garçons de la génération suivante qui ont pu naitre.[10] Jouer à l’apprenti sorcier en médecine ne date pas d’aujourd’hui mais l’injection génique expérimentale contre un virus quasiment disparu de France gagne le concours du plus machiavélique.

 

INFORMEZ VOS AMIS

VOS RELATIONS

NE LAISSEZ PAS INJECTER LES JEUNES,  AVENIR DE L’ HUMANITE

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Compté comme vax seulement quinze jours après la deuxième dose

[2] https://www.mondialisation.ca/definition-trompeuse-des-vaccines-pour-pretendre-que-linjection-genique-protegerait-des-formes-graves/5662732

[3] Et la dictature créa le PCR pour nous soumettre… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

[4] tortosa20211202-fausse-vague-enfant-extorsion-vaccination (7milliards.fr)

 

[5] https://reseauinternational.net/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/

Pseudo-vaccins ou Artémisine ? Les Seychelles versus Madagascar – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[6] Définition trompeuse des « vaccinés » pour prétendre que l’injection génique protègerait des formes graves | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

 

[7] SOURCE COMPLÈTE (non éditée) https://holdup-lefilm.fr

[8]

Et si on parlait des effets graves des vaccins COVID sur les femmes enceintes ? – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

 

 

[9] La-face-cachee-des-medicaments_Dr-Delepine.pdf (nicoledelepine.fr)

[10] Les filles du distilbène D.E.S. France – Réseau D.E.S. France (des-france.org)

La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

RÉVÉLATIONS CAPITALES DE LA FDA

Invention du récit Covid

La mystification par l’usage inapproprié du test PCR, dénoncée depuis octobre 2020 par l’avocat Reiner Fuellmich continue malgré sa condamnation en justice en octobre 2020 au Portugal.[1][2]

Partout dans les pays riches, les gouvernants imposent son usage mortifère grâce à la corruption de nombreux scientifiques et médecins, médias auxquels on laisse la parole, les nombreux autres étant diffamés menacés et muselés.

Actuellement, un simple test positif vous fait qualifier de « cas »,[3][4][5] vous déclare dangereux pour les autres, vous interdit de travail, d’école ou de sport et vous expose à des interrogatoires dignes de l’inquisition (la torture physique en moins) pour que vous dénonciez ceux que vous avez rencontrés, qui seront aussitôt déclarés cas contact et soumis à leur tour à la folie d’exclusion et de tests répétitifs.

Pour casser la chaîne de transmission, il faut isoler les vrais malades, ceux qui présentent des signes cliniques (fièvre, toux, fatigue, anosmie…) chez lesquels le test peut être utile pour confirmer le diagnostic d’infection virale (et guère plus) et laisser vivre normalement les asymptomatiques (qui ne sont que très exceptionnellement contaminateurs).

Chez une personne ne présentant aucun signe clinique, la positivité d’un test PCR n’indique absolument pas qu’elle est malade, ni qu’elle le deviendra, ni qu’elle est porteuse de virus, ni qu’elle peut le transmettre.

Ces constatations ont initialement été faites sur 3790 cas positifs.[6]

Leur confirmation définitive en a été réalisée lors du dépistage colossal (10 millions de personnes testées) autour de Wuhan[7] où aucun des 300 asymptomatiques positifs en PCR ne s’est révélé porteur de virus, ni contaminant, ni atteint par la maladie après un mois de surveillance.

Nous savons, ils savent, et nous savons qu’ils savent.[8]

Un document récent de la FDA admet enfin que le test PCR « Covid » a été développé sans échantillons viral spécifique isolé pour l’étalonnage des tests, admettant qu’il teste autre chose,[9] quelques séquences d’ARN insuffisamment spécifiques du virus

Le tristement célèbre test PCR pour le coronavirus (Covid-19) n’a pas été développé avec des échantillons réels, mais plutôt avec ce qui semble être du matériel génétique provenant d’un virus du rhume.

Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.

Pourtant les autorités savaient que de nombreuses personnes seraient testées « positives », leur permettant ainsi d’utiliser ces résultats pour créer le récit « Covid ».

Il n’existe aucun test légitime permettant d’identifier avec précision la présence du SRAS-CoV-2.

Une autre révélation dans le document récent est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » et donc produisent des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données pour soutenir un faux récit.

AINSI : « nous sommes maintenant à la croisée des chemins dans le monde entier. Le moment est à nous de décider si nous allons permettre à ce type de fascisme médical de persister et d’avoir un impact sur l’avenir de nos enfants. Ou si nous allons enfin dire non à la politique tyrannique du gouvernement. »[10]

Extraits choisis du document de la FDA de janvier 2020 et revu régulièrement (dernier en juillet 2021)

« Since no quantified virus isolates of the 2019-nCoV were available for CDC use at the time the test was developed and this study conducted, assays designed for detection of the 2019-nCoV RNA were tested with characterized stocks of in vitro transcribed full length RNA (N gene; GenBank accession : MN908947.2)

« Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et que cette étude a été menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN transcrit in vitro sur toute la longueur (gène N ; Accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant constitué d’une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.[11]

CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel[12]

« Les résultats concernent l’identification de l’ARN du SRAS-CoV-2.

L’ARN du SRAS-CoV-2 est généralement détectable dans les échantillons des voies respiratoires supérieures et inférieures pendant l’infection. Les résultats positifs sont révélateurs d’une infection active par le SRAS-CoV-2, mais n’excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection par d’autres virus. L’agent détecté peut ne pas être la cause définitive de la maladie. Les laboratoires aux États-Unis et dans leurs territoires sont tenus de rapporter tous les résultats aux autorités de santé publique compétentes.

Les résultats négatifs n’excluent pas l’infection par le SRAS-CoV-2 et ne doivent pas être utilisés comme seule base pour le traitement ou d’autres décisions de prise en charge des patients. Les résultats négatifs doivent être combinés avec des observations cliniques, des antécédents du patient et des informations épidémiologiques. »

Autre extrait :

NE PAS JETER : Informations importantes spécifiques au produit *** LIMITATIONS Ce test n’a pas été approuvé par la FDA. Ce test a été autorisé par la FDA en vertu d’une EUA pour une utilisation par des laboratoires autorisés. Ce test n’a été autorisé que pour la détection de l’acide nucléique à partir du 2019-nCoV, et non pour d’autres virus ou agents pathogènes.

Ce test n’est autorisé que pour la durée de la déclaration selon laquelle il existe des circonstances justifiant l’autorisation de l’utilisation d’urgence de diagnostics in vitro pour la détection et/ou le diagnostic du SARS-CoV-2 en vertu de l’article 564(b)(1) de la Federal Food, Drug, and Cosmetic Act, 21 U.S.C. § 360bbb-3(b)(1), à moins que l’autorisation ne soit résiliée ou révoquée plus tôt.”

“Mea Culpa de l’OMS”

L’OMS en avril 2021 avait attiré l’attention de l’invalidité de trop des tests PCR surtout lorsque les laboratoires utilisent fallacieusement des amplifications du signal trop élevées. Aucun compte n’a été tenu de cette mise en garde, du moins dans la plupart des labos français.[13]

Vous trouverez ci-dessous la ‘rétractation’ soigneusement formulée par l’OMS. Le texte intégral avec le lien vers le document original est en annexe« [14]

Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence.

La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV[15] que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente.

Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. (emphase ajoutée par l’auteur).”

Estimations erronées 

Ce n’est pas une question de “faibles positifs” ou de “risque de faux positifs”. L’enjeu relève au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l’OMS d’une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n’ont aucune base scientifique. 

Ce que cette déclaration contradictoire de l’OMS confirme, c’est que l’estimation du Covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est tout simplement invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de répéter le test PCR :

il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test…”.

“Retester, On s’est trompé…”. Cette recommandation de RÉPÉTER LE TEST n’a aucun sens. C’est une impossibilité. Des millions de personnes dans le monde entier ont déjà été testées, à partir du début février 2020. Il s’agit néanmoins de conclure que la recommandation contradictoire de l’OMS de “retester” confirme sans équivoque QUE CES ESTIMATIONS PCR RELATIVES À LA Covid SONT TOUT SIMPLEMENT ERRONÉES.[16]

Au point de départ en janvier 2020, le test PCR fut (de manière routinière) appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR appliquée dans 193 pays membres des Nations Unies a mené au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid surestimées et trompeuses.

Et ce sont ces statistiques (erronées) qui servent à mesurer l’évolution de ladite “pandémie”.

Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas spécifiquement les segments du virus . Par conséquent, ces chiffres n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que le verrouillage (confinement) ainsi que les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, l’accroissement extrême de la pauvreté et le chômage (dont l’objectif annoncé par les gouvernements était de freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification ».

Par ailleurs d’autres scandales éclatent par rapport au test PCR[17]

La US Food and Drug Administration a émis « le type de rappel le plus sérieux » pour des kits de test à domicile populaires qui indiquent si une personne est infectée par le coronavirus. Au moins 2,2 millions de produits pourraient avoir donné de faux positifs.

Quelques 2 212 335 kits produits par la société de biotechnologie Ellume, basée en Australie, et distribués aux États-Unis, présentent potentiellement des résultats faussement positifs au test de dépistage du SARS-CoV-2, a indiqué l’agence de santé publique dans un communiqué récent en novembre 21.

La FDA a averti que l’utilisation de kits défectueux « peut entraîner de graves conséquences néfastes pour la santé ou la mort », qualifiant le cas de « rappel de classe I ».

En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même.

Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies :
le comptage des malades et celui des morts de la maladie.


  1. [1] Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr) []
  2. [2] La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux (francesoir.fr) []
  3. [3] *Elena Surkova, Vladyslav Nikolayevskyy, Francis Drobniewsk
    False-positive Covid-19 results: hidden problems and costs www.thelancet.com/respiratory Vol 8 December 2020[]
  4. [4] https://latribunedissidente.over-blog.com/2020/10/la-pertinence-des-tests-pcr-dr-pascal-sacre.html[]
  5. [5] Covid : La PCR nasale peut-elle mentir ? Dr Pascal Sacré, AIMSIB, 30 août 2020[]
  6. [6] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère Maladies infectieuses cliniques, 28/9/2020 ciaa1491,
    https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491[]
  7. [7] France info avec AFP : Après avoir mobilisé plus de 28 000 soignants sur plus de 2 800 sites, les autorités de Wuhan (Chine) ont réalisé la plus vaste opération de dépistage du Covid-19 chez onze millions d’habitants pour un prix de 127 millions de dollars lundi 9 août 2020…[]
  8. [8] L’archipel du goulag, Soljenitsyne[]
  9. [9] https://www.fda.gov/media/134922/downloadwww.fda.gov[]
  10. [10] https://rightsfreedoms.wordpress.com/2021/10/27/fda-document-admits-Covid-pcr-test-was-developed-without-isolated-samples-for-test-calibration-e[]
  11. [11] https://www.fda.gov/media/134922/downloadwww.fda.gov[]
  12. [12] Centers for Disease Control and Prevention Division of Viral Diseases 1600 Clifton Rd NE Atlanta GA 30329 CDC-006-00019, Revision: 07 CDC/DDID/NCIRD/ Division of Viral Diseases Effective: 07/21/2021[]
  13. [13] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation[]
  14. [14] WHO Information Notice for Users 2020/05[]
  15. [15] Diagnostic in vitro[]
  16. [16] Le Pr Prof Michel Chossudovsky mentionne qu’il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky :
    The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the Great Reset(Chapitre II).[]
  17. [17] FDA recalls millions of Covid test kit over false results – Asume Tech 11 Nov 21[]

 

Serait-il anxiogène de parler des vrais problèmes sanitaires aux Français ? De qui se moque-t-on ?

 

 Résumé encadré : tous les candidats doivent se positionner sur le pseudo vaccin, sujet éminemment politique, non sanitaire puisque outil du contrôle social à la chinoise via le pass

 Informer du caractère expérimental de l’injection génique

 Informer des effets secondaires nombreux et graves

 Informer de l’incertitude de l’efficacité des injections géniques

 S’opposer à toute mesure discriminatoire entre vax, non vax une dose, etc. Le 2 doses de plus de 65 ans devient un non vax pour le gouvernement et les statistiques hospitalières et sans pass

 S’opposer à toutes les mesures liberticides inefficaces et se conformer à l’attitude suédoise ou de Madagascar dont les résultats Covid sont bien meilleurs que les nôtres

 

 

 

 

 

 

 Pourquoi Zemmour refuse-t-il le vrai débat sur la dictature sanitaire et le Frexit?

Bien triste que les conseillers solides de Z aient été écartés et que ce dernier  n’ait pas eu l’intelligence de se rapprocher de Florian Philippot, entre autres, dont la position sur la dictature sanitaire a le mérite de la clarté.

Dommage qu’il n’ait pas pris clairement position pour le Frexit, préalable indispensable à l’indépendance de la France et évidemment à une politique sanitaire, libérée des décisions de la commission de Bruxelles qui a acheté du Remdesivir[1] quand il était établi que ce produit était inefficace et toxique et qui se bat par tous les moyens pour imposer aux populations européennes des vaccins expérimentaux qui se révèlent chaque jour un peu plus incapables d’arrêter l’épidémie.

Ces silences qui en disent long le condamne à perdre les voix de nombreux citoyens qui lui faisaient confiance.

Après avoir écouté le tv liberté et celui de RadioCourtoisie de Pierre C du 16 Nov[2], fort intéressantes par ailleurs, je reste sidérée de l’argument utilisé par Z. et ses soutiens pour ne pas parler du drame de la situation sanitaire, et plus ou moins accepté par P et ses interviewers.

Certes P. et O. ont insisté sur l’impérieuse nécessité que Z s’empare rapidement du coté liberticide des décisions pseudo médicales du pseudovax et du pass, (heureusement), mais l’absence de prise en compte du drame international qui se joue sur la santé humaine, via les injections géniques fut très insuffisant.

 

 Zemmour et tout autre candidat doivent exiger très clairement la suppression immédiate du pass, outil de discrimination inacceptable et du passage vers la société à la chinoise

Résumons, Z. n’est pas gêné par le passe sanitaire pourtant copie collée du pass nazi et des privations et interdictions aux juifs, ici remplacés par les non vaccinés. Le même scénario du totalitarisme, inventer un ennemi et s’en servir de bouc émissaire pour aveugler les foules se reproduit.

 

 Ecoutons le consultant et analyste politique Mathieu Slama dans sa tribune du figaro du 15 NOV:

« S’il y a une leçon que nous pouvons retenir de cette pandémie, c’est que celle-ci agit comme un laboratoire géant où les mesures les plus liberticides sont testées, approuvées puis généralisées. Le confinement, le couvre-feu, le masque en extérieur, le passe sanitaire : toutes ces mesures insensées et attentatoires à l’État de droit se sont progressivement normalisées à mesure qu’elles duraient dans le temps et s’étendaient géographiquement. Le confinement a commencé en Chine, puis a contaminé l’Italie et la France ; le passe sanitaire a d’abord été mis en place en Israël avant de contaminer l’Europe entière. »[3]

« Il est inutile de préciser qu’un tel monde qui enferme les citoyens selon qu’ils sont vaccinés ou non est un monde inacceptable et contraire à tout notre héritage démocratique.

La France n’a pas attendu l’Autriche pour mener une politique culpabilisatrice et discriminatoire vis-à-vis des non-vaccinés. La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. Cela ne doit rien au hasard, et relève d’une stratégie méthodiquement pensée et mise en place. »

Chaque crise a donc son coupable désigné. «Les persécuteurs, écrit Girard, finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative».

Les contextes changent, mais les mécanismes anthropologiques perdurent. La crise du Covid-19 n’y échappe pas. Face à une épidémie sans fin et un climat de peur savamment entretenu par les gouvernements pour favoriser l’acceptabilité de leurs mesures liberticides, les non-vaccinés sont devenus les boucs émissaires de la crise sanitaire, ceux par lesquels l’épidémie perdure et «rebondit» (selon le mot consacré) ».

Emmanuel Macron et son gouvernement ont délibérément construit cette figure de bouc émissaire, qualifiant tour à tour les non-vaccinés d’égoïstes, d’irresponsables, leur faisant endosser la responsabilité d’un éventuel reconfinement, les ostracisant par le moyen du passe sanitaire. Le discours est clair : si l’épidémie repart, c’est la faute des non-vaccinés ; si nous devons reconfiner ou fermer des commerces, ce sera votre faute. Quant au passe, il agit comme une sorte de certificat de pureté et de vertu, séparant les purs (vaccinés) des impurs (non-vaccinés), les vertueux des immoraux, les responsables des irresponsables. Il matérialise la stratégie du bouc émissaire en marginalisant socialement, de manière concrète, ceux qui sont rendus responsables du malheur.

En désignant à la foule un bouc émissaire, le gouvernement a agi de manière cynique et irresponsable, encourageant les divisions, le ressentiment et la violence verbale. En concentrant la colère des gens sur les non-vaccinés, il s’est exonéré de toute responsabilité dans la conduite de la crise, détournant le regard des gens sur ses propres insuffisances au détriment d’une partie de la population. Obnubilés par l’«irresponsabilité» des non-vaccinés, nous avons fini par oublier que dans une crise, la responsabilité incombe d’abord aux gouvernants.

La stratégie marconienne est une stratégie de division et d’hystérisation qui aboutit, à chaque crise, à la désignation d’un coupable et à la mise en place d’une politique répressive à l’encontre d’une partie de la population.

La société sécuritaire et répressive est une société de la recherche permanente du coupable. C’est une société fragmentée, divisée, injuste et inégalitaire. D’une certaine manière, la crise sanitaire a rendu visible ce qui était jusqu’alors moins visible mais tout aussi prégnant.

 

Rappelons-le : on ne saurait faire durablement société dans la recherche permanente d’un coupable. La stratégie du bouc émissaire est une solution de court terme, mais qui menace notre société libérale et démocratique dans ses fondements mêmes.

Comme le rappelle René Girard, «on ne manquera pas de faire remarquer qu’un bouc émissaire, aussi puissamment rejeté puis adulé soit-il, ne saurait éliminer la peste».

 

 

ANXIETE ET VACCINATION, LA POLITIQUE DE L’AUTRUCHE ET DE LA POUSSIERE SOUS LE TAPIS

 

Le grand argument de Z. pour éviter de discuter des décisions majeures du gouvernement sur la santé des français serait de ne pas être « anxiogène » pour ne pas diviser. Vous rigolez ?

Faire peur aux vax qui formeraient un ensemble homogène. Plus c’est gros plus ça passe…  Eh bien non, sinon pourquoi changer de mentor, le mensonge est déjà arrivé à un degré de perfection.

Ça ressemble comme deux gouttes d’eau à l’attitude d’Edouard Philippe et d’Olivier Véran avec les patients qui toussent et respirent mal. Restez chez vous avec du doliprane. Et plus tard si besoin dans les Ehpad et parfois à domicile, le tranquillisant et somnifère Rivotril qui vous endormira pour l’éternité. Circulez, il n’y a rien à voir.

Le peuple vacciné serait rassuré comme veut nous le faire croire Véran ou Castex, et serait serein pour les autres sujets ?

Peut -être quelques bobos parisiens de ses proches adeptes hypnotisés par France info ou la télévision officielle, le Monde, Libé ou le Parisien, le pensent-ils, mais pas la masse du peuple dont la majorité des vaccinés sont des malgré nous [4] qui n’ont accepté les injections que sous la contrainte (les adultes pour travailler et les jeunes pour faire du sport avec les copains, aller en boîte  etc… et aussi la honteuse pression de certains proviseurs et celle des autres élèves, la force du groupe hélas manipulé)…

 

 

 

 

Les autres sujets ne seraient-ils pas anxiogènes ?

Au passage, il est drôle ou tragique de sous-entendre que le problème des migrants, des murs de l’Europe (Trump rigole) de la guerre chine-usa,  qui menacent, ne sont pas angoissants… Non, seulement le problème du Covid angoisserait ces bienheureux vaccinés, qui du coup seraient divisés et ne voteraient pas Z … ?    Qui peut penser qu’un être intelligent peut soutenir de bonne foi ce genre de raisonnement ou bien faut-il ne pas contrarier une petite catégorie de français pro-macronistes dupes de sa gestion de crise ?

 Pourquoi ce déni, ce silence, cet abandon des soignants, des pompiers et de tous les malgré eux de 2021 qui se sont faits extorqués leur consentement, harcelés jusqu’à ce qu’ils cèdent alors que le harcèlement moral constitue un délit… ?

 

 

 

CRISE PUREMENT POLITIQUE QUI DEMANDE DES REPONSES POLITIQUES

La crise actuelle du covid n’est pas sanitaire mais politique, si jamais elle a été quelque temps autre chose.  Un problème politique nécessite une prise en charge politique et singulièrement par les candidats à l’élection présidentielle.

Le délire a décidément envahi beaucoup d’esprits autrefois brillants et a entretenu la confusion. Il ne faudrait pas parler de l’extorsion de consentement à des millions de français, ni de la situation médicale que bon nombre découvrent après l’injection, même si ce ne sont pas que des décès.

Non Mr Z, il n’y a pas deux groupes de français et si P. conseille justement à Z de s’intéresser aux six millions de français vaccino prudents, il a tort de les séparer sur le papier avec les pourcentages de voix possibles, car franchement la palette des situations est large et les millions sont sûrement beaucoup plus que six !

Entre le vaccino prudent qui a pu résister aux pressions et le vacciné à l’insu de son bon droit pour une, puis deux, puis trois injections en attendant l’abonnement biannuel, il n’y a pas de fossé. Tous ensemble dans la même galère, les vax tombant en plus dans celle des effets secondaires, ne serait-ce qu’une grande fatigue qui dure plusieurs mois et des nouveaux « non vax » sans pass s’ils rechignent à l’injection suivante.

Et tous ces gens-là seraient « contents »qu’on ne parle pas de leurs problèmes ! On rêve de tant d’illusions et de validation du discours présidentiel de la prétendue satisfaction des vaccinés !

 

 On retombe vite dans le camp des vaccino prudents, à isoler comme en Autriche ?

C’est oublier que dès que la troisième injection va s’imposer, le résistant à la multi piqure sera réintégré dans la case des non vax pestiférés et se retrouvera sans pass. Dès le 15 décembre, le retraité double vax ne pourra pas plus voyager et redeviendra dans les additions mensongères des médias un « non vax », surtout s’il est hospitalisé.

Lorsqu’on regarde les courbes de mortalité de l’OMS on remarque que les campagnes de vaccination sont suivies d’une explosion de cas et de morts pendant 30 à 60 jours.  (cf. courbes de l’OMS de mars 20 à mars 21)

 

 

 

Afin de ne pas compter l’hécatombe post vaccinale les agences gouvernementales classent les victimes des effets toxiques survenus avant le quinzième jour post seconde injection dans les non vax.

C’est d’ailleurs par ce tour de passe-passe que l’on trouve tant de prétendus non vax à l’hôpital s’ils arrivent avant la fin de la deuxième semaine de leur deuxième injection. Pas belle la vie ?

 

 

Une conclusion :

Si Z. a séduit un temps bon nombre de Français par son franc parler et sa façon de dire ce qu’il pense véritablement indépendamment des conséquences électorales, il va les perdre rapidement s’il se trahit lui-même en devenant un candidat comme les autres, girouette sensible aux sondages et autocensurée.

On se rappelle Marine Lepen qui a mon sens n’a pas perdu l’élection à cause d’un dialogue peu convaincant avec M (la forme) mais bien à cause du fond, car elle a écouté les conseillers obnubilés par les sondages au lieu de Philippot, et a renoncé au Frexit et à la sortie de l’euro. Trahison et conséquence : échec. Au diable, les communicants !

Si Z raisonne sur les voix qu’il pourrait perdre en parlant politique vaccinale, conséquences délétères des injections avec ses trainées d’effets secondaires, c’est qu’il est devenu un candidat banal et que l’abstention et M seront encore les grands vainqueurs.

Est-il temps qu’il se reprenne et qu’il vire ses conseillers vieux caciques, qui ne cherchent que des postes et non le bonheur des Français ? Qu’il appelle vite Philippot qui a tout compris du coronacircus, et quelques-autres comme JF Poisson par exemple et d’autres conseillers écartés. Florian Philippot est lucide, clair depuis plus d’un an et mobilise de nombreux militants. Que Z.  fasse un ticket avec lui, hypothèse qui séduirait sûrement les électeurs. A quoi correspond ce rejet de F. Philippot extrêmement sérieux et qui connait les dossiers ?

 

La dictature prétendument sanitaire n’est que politique : il faut stopper l’essai thérapeutique mondial en cours

Sur le fond, contrairement à ce qui s’est murmuré dans lesdites émissions du 15 du novembre, Z. ou tout autre candidat qui sortirait du chapeau (encore le temps ? ) doit bien évidemment se positionner sur ce pseudo vax.

LE PSEUDOVAX EST L’OUTIL POLITIQUE (QUI PERMET LE PASS ET LE PROJET TOTALITAIRE SUR TOUS SUJETS (PASS CARBONE ETC.) ET DONC DOIT ETRE SUPPRIME MAINTENANT

Il ne s’agit en aucun cas de médecine, même pour ceux qui l’ont cru un temps. On a le droit de se tromper, mais pas de s’enferrer, surtout quand on aspire à de hautes fonctions.

Que Z. se soit vacciné ou pas (on n’aurait jamais dû le savoir, argument électoral maladroit et appel à violer le secret médical[5]), il devrait demander un moratoire rapide devant l’accumulation de décès et d’effets dits indésirables graves révélés par le VAERS pour les USA dépendant de la FDA et des CDC et par EudraVigilance pour l’UE, l’ONS et MHRA pour la Grande-Bretagne.  Notons que toute déclaration mensongère au VAERS est passible de poursuite en justice. On peut donc y accorder une certaine confiance et les milliers de décès accumulés exigent ce moratoire.

Rappelons que le vaccin H1N1 a été stoppé après 53 décès. Le vaccin contre la grippe aviaire également après quelques décès et le vaccin contre le rotavirus après quelques invaginations chez les bébés. De façon systématique, tous les essais thérapeutiques sont stoppés au moins provisoirement habituellement après le premier mort.

Ici nous sommes à près de 30000 décès validés par l’UE et environ 17000 aux USA. N’est pas angoissant ? Si, alors ne surtout pas en parler . Vite un doliprane. FRANCHEMENT INACCEPTABLE DE TOUT CANDIDAT : CETTE FOLIE DOIT CESSER.

 

 

 

 

 Et rappelons que l’épidémie ne tue plus et depuis plusieurs mois

 

 

 

 

Pseudo vaccin expérimental et Pfizergate : informez les citoyens

Eric Z. aurait dû en tant qu’éventuel président, rappeler aux Français le caractère expérimental des injections géniques et des doutes sur les conséquences délétères déjà décrites dans les documents officiels de Pfizer il y a un an et confirmées dans la vie réelle actuelle (voir les tableaux de l’agence officielle EMA et son site effets secondaires des médicaments EudraVigilance).

 

 

Des problèmes neurologiques graves, voire des maladies de la vache folle (voir les vidéos de Marc Doyer qui a réveillé Pascal Praud et le récit de son épouse atteinte de la vache folle), aux myocardites dont on découvre chaque jour l’ampleur. Et surtout de l’avenir incertain sur la fertilité des futures générations dont les troubles menstruels si fréquents des femmes et des petites filles, la raréfaction des spermatozoïdes dans le sperme des donneurs potentiels laisse mal augurer de leur avenir familial.

 

 

 

 

Le Pfizergate est un problème politique [6]

 

Le 2 novembre 2021, des révélations publiées dans le British Medical Journal (BMJ)[7] ont pointé du doigt de potentielles défaillances, des falsifications de données et des problèmes de sécurité au sein de Ventavia Research Group, l’un des sites choisis par le laboratoire Pfizer pour mener ses essais cliniques du vaccin anti-Covid Comirnaty®.

 

Ces révélations se basent sur le témoignage de Brook Jackson, ancienne directrice régionale au sein de Ventavia Research Group, l’un des un sous-traitants du laboratoire Pfizer chargé d’évaluer l’efficacité du vaccin Comirnaty contre la Covid-19. Selon elle, Ventavia Research Group aurait commis des manquements lors de ses tests, « falsifié des données » et « tardé à assurer le suivi des effets secondaires ». 

 

Dans son mail envoyé à la FDA, Brook Jackson accuse Ventavia d’une douzaine de pratiques douteuses dont elle aurait été témoin. Parmi ses accusations, elle relate entre autres :

Des participants étaient placés dans un couloir après l’injection et non surveillés par le personnel clinique.

 

Un manque de suivi en temps opportun des patients ayant subi des événements indésirables

Des écarts de protocole non signalés

Des vaccins qui n’étaient pas conservés à des températures appropriées

Des échantillons de laboratoire mal étiquetés

 

Un ciblage du personnel de Ventavia pour signaler ce type de problèmes.

Selon le BMJ, l’ancienne directrice régionale de Ventavia Research Group aurait « fourni des dizaines de documents internes à l’entreprise, de photos, d’enregistrements audio et d’e-mails ». Pour autant les sociétés Ventavia et Pfizer n’ont pas réagi à ces révélations ».

 

Les agences FDA et EMA font le gros dos. Les politiques se taisent. Et Z. dont on attendait la différence aussi !

 

Comment les candidats dont Z. peuvent-ils passer sous silence ces mauvaises pratiques qui mettent en jeu la vie de milliards d’individus ?

Il aurait dû présenter aux futurs électeurs le passé dramatique de Pfizer de nombreuses fois poursuivi pour faux et informations erronées aux usa avec des milliards versés aux victimes. Le Pfizergate actuellement dévoilé devrait être traité par Z. tellement la gravité des faits découverts (essai clinique truqué en résumé) est capital pour le choix éclairé des Français.

 

 Comment Z. et d’autres commentateurs dont certains a priori sincères peuvent-ils dire que chacun est libre de se faire vacciner ou pas ?  

Fabuleuse manipulation mondiale

Justement ils ne sont pas libres, mais manipulés toute la journée, en plus de ceux dont le consentement est extorqué. Ne faisons ni l’autruche, ni la vierge effarouchée et regardons la réalité en face.

Libre ?  Belle pétition de principe qui ne serait vraie que s’il y avait consentement ECLAIRE et LIBRE.[8] Or sur quoi se fonde ce soi-disant choix répété à l’envi sur toutes les ondes alors qu’il y a TROMPERIE du matin au soir sur la réalité de l’essai en cours sur les citoyens supposés libres et devenus cobayes soumis ?

 

 

 

En résumé les candidats doivent se positionner sur le pseudo vaccin, sujet éminemment politique puisque outil du contrôle social à la chinoise

Informer du caractère expérimental

 Informer des effets secondaires nombreux et graves

 Informer de l’incertitude de l’efficacité des injections géniques

 S’opposer à toute mesure discriminatoire entre vax non vax une dose etc.

 S’opposer à toutes les mesures liberticides inefficaces et se conformer à l’attitude suédoise ou de Madagascar dont les résultats Covid sont bien meilleurs que les nôtres

 S’opposer fermement à toute obligation vaccinale et tout particulièrement celle des enfants qui ne risquent rien du covid mais beaucoup de l’injection

 Imposer au gouvernement via la pression populaire et médiatique la liberté de prescription des médecins pour les traitements précoces

 Exiger la réintégration immédiate des fonctionnaires suspendus de façon honteuse et sans but sanitaire aboutissant à fermer encore davantage de lits hospitaliers au moment où on en a (peut-etre)  le plus besoin

 

 

 

Et quand on entend V. Pécresse, X. Bertrand et trop d’autres se prononcer pour l’obligation vaccinale et même l’enfermement des non vax, on se dit qu’ils ont aussi oublié les traités signés par la France comme la convention d’Oviedo qui rappelle les engagements des nations pour le code de Nuremberg.[9] Ceux- là seront vite éliminés de la course à l’échalotte. Au moins espérons-le.

 

 Qu’Eric Zemmour, tous les élus, tous les citoyens relisent au moins la déclaration d’Helsinki et le code de Nuremberg et en fassent état !

 Non, tout ceci n’est pas dépassé si nous ne voulons pas sombrer dans une société sauvage.

Rappelons les articles 8 et 14 de la déclaration d’Helsinki à laquelle les promoteurs d’essai prétendent se conformer.

« Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche. Art. 8

…Les médecins qui associent la recherche médicale à des soins médicaux devraient impliquer leurs patients dans une recherche uniquement…. si les médecins ont de bonnes raisons de penser que la participation à la recherche ne portera pas atteinte à la santé des patients concernés. Art. 14 »

 

Passer à côté de ce rôle politique indispensable et laisser faire ce gouvernement liberticide, en approuvant passivement sa politique sanitaire est une position complètement inacceptable pour le citoyen moyen. Si Z.  veut faire plaisir à quelques bobos parisiens, qu’il n’oublie pas, le Paris riche n’est pas la France et ne suffira pas à son élection d’autant que cet électorat constitue le socle des voix de M.  Et ceci est valable pour tous les candidats bien sûr.

A bon entendeur salut.

 

 

[1] Un demi-million de doses acheté le 8 octobre 2020 alors que le laboratoire Gilead et l’OMS savaient que le traitement incapable de diminuer la mortalité Covid était responsable de complications majeures

[2]

 

[3] Mathieu Slama: «Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire» (lefigaro.fr)

[4] Les « malgré nous » de 2021 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

« Finalement qui fera céder nos gouvernements amoureux du totalitarisme ?

Ce ne sont pas les « antivax » seuls qui vont faire craquer Macron et ses affidés, mais l’ensemble des mis à l’écart, discriminés que sont les non-vaccinés, associés aux victimes des injections répétitives (et les familles des victimes décédées ou handicapées).

Ils seront de plus en plus nombreux : encore debout : « les malgré nous », ou parfois estropiés.

Ils défileront, car, contrairement à ce qu’ont espéré les initiateurs de ce massacre à la piquouse, les transgénisés ne se retournent pas contre les « non transgénisés ».

[5] Nous dit-il s’il souffre du SIDA ou d’une leucémie ? Il faut faire taire tous ceux qui se croient obligés de nous donner leur statut vaccinal, ce qui décrédibilise d’emblée tout ce qu’ils vont dire ensuite. Stop exhibition !

[6] Un contrat Pfizer-CEE a peut-être fuité, les européens apprécieront – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[7] Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial | The BMJ

[8]  Consentement éclairé du patient : définition et prérequis
Avant de donner son consentement aux soins, le patient doit bénéficier d’informations loyales, claires et adaptées à son degré de compréhension de la part des équipes soignantes et médicales tout en étant libre de toute pression ou contrainte. Donner son consentement éclairé implique de connaître les alternatives thérapeutiques envisageables, c’est-à-dire les autres moyens de traiter le(s) problème(s) de santé rencontré(s) avec leurs avantages et leurs inconvénients… C’est sur la base de cet échange que le patient pourra accepter ou refuser ce que préconisent les professionnels de santé. Ces derniers devront obligatoirement respecter la volonté du patient.
Consentement libre et éclairé du patient (définition) – Désignation personne de confiance (France-assos-sante.org)

[9] Notre expérience de la violation des lois éthiques de Nuremberg – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

 

 

Appel aux candidats à la Présidence : protégez les enfants des pseudovaccins Covid dangereux et inutiles

12/11/2021 (2021-11-12)

Par N et G Delépine[1]

Résumé :

Les pseudo vaccins expérimentaux ne peuvent apporter aucun bénéfice personnel aux enfants et adolescents, adultes jeunes qui risquent moins du Covid que de la grippe saisonnière.

Ils les exposent à de nombreuses complications parfois même mortelles.

Ils ne protégeraient pas les adultes à risque puisque les enfants ne constituent pas une source de contamination et que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions virales.

Et que l’obtention d’une immunité collective par le vaccin est un mythe maintenant reconnu inatteignable par tous les experts des pays qui ont le plus vacciné.

La « vaccination anti-Covid » des enfants est une faute qui va bientôt devenir un scandale sanitaire d’ampleur inégalée.

L’essai Pfizer est frauduleux.[2]

Résistons pour nos enfants, notre Futur.

Résistons par tous nos moyens aux publicités mensongères diffusées par les médias et aux pressions et chantages inadmissibles de nos gouvernants et leurs collabos.

IL FAUT STOPPER LA PUB À LA VACCINATION Covid CHEZ L’ENFANT.

 

Les enfants sont innocents du Covid :
ni malades ni contaminateurs

Alors que depuis mars avril 2020, les médecins et chercheurs honnêtes, et les sociétés de pédiatrie[3] savent, écrivent, publient et clament que les enfants (moins de 19 ans) ne risquent rien du Covid et ne le transmettent pas, ni aux autres petits ni aux adultes, même s’ils font une forme bénigne (appelée dans le monde d’avant un rhume).

L’étude publiée en juin 2020 par l’Institut Pasteur aurait dû mettre fin aux polémiques :

« Cette étude confirme que le plus souvent les jeunes enfants, lorsqu’ils sont infectés par ce nouveau coronavirus, ne développent pas de symptômes de la maladie ou présentent des symptômes mineurs qui peuvent ne pas conduire à évoquer le diagnostic. Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et la perte de l’odorat n’ont jamais été observés chez les enfants de moins de 15 ans alors qu’ils ont été rapportés par la moitié des adultes » ajoute Bruno Hoen, auteur de l’étude et directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur.

« Toutes ces données laissent à penser que les enfants sont résistants au virus du Covid et ses variants, grâce à un système immunitaire efficace, et concourent de surcroît à l’atteinte de l’immunité collective, en faisant circuler le virus sans danger ».

Le Covid est une maladie extrêmement peu létale : taux de mortalité de ce coronavirus présenté comme la pandémie mondiale 0,035 %, et 0 % chez les enfants non immunodéprimés et très peu chez les enfants à comorbidité : six enfants de 0 à 9 ans et 10 enfants de 10 à 19 ans sont décédés à l’hôpital en France depuis mars 2020 en ayant un test Covid positif. Cela ne signifie pas qu’ils sont morts du Covid, mais avec le Covid, car tous présentaient au moins une comorbidité susceptible d’entraîner la mort.

Les écoles n’auraient jamais dû fermer, comme l’expérience de la Suède (dûment critiquée) l’a amplement démontré. Seuls les enfants immunodéprimés par maladie ou par traitement chimio par exemple peuvent décéder avec le Covid comme avec la rougeole ou la varicelle (sans danger chez les petits sans comorbidité). Ils se comptent sur les doigts de la main tant en France que dans les autres pays comme USA, Royaume-Uni, etc.

Plus de 19 000 articles détaillés sur Covid et enfants avec bibliographie (recensés sur la banque de données PubMed au 12/11), émanant d’auteurs différents et de nombreuses macroanalyses les résumant ont largement confirmé ces faits.

Mais la propagande mensongère des médias et gouvernements au service du plan Schwab/Bill Gates/OMS, a été si lourde, quotidienne et répétitive sur toutes les chaînes de TV du monde, dont celles de France appartenant à huit milliardaires, que la rumeur de contamination par les enfants continue à courir, à faire peur aux enseignants, aux parents. Les petits sont obligés de porter le masque démontré inutile et toxique sur tous les plans, physique et encore plus psychologique.[4] Et le temps passe, laissant prévoir des séquelles d’apprentissage et de comportement sur plusieurs années.

But de la désinformation sur la contamination par les enfants :
les vacciner !

Tout cela est décrit en détail dans tous les pays, dans toutes les langues, mais la puissance mondiale de la désinformation nous incite à revenir sur le sujet. On voit bien aujourd’hui que le but de ce mensonge mondial était de préparer les citoyens confiants et incapables d’imaginer une telle perversion — à vacciner vos enfants et leur faire courir les dangers immédiats comme les myocardites[5] voire des morts subites, mais aussi à long terme de probables problèmes de fertilité, de maladies auto-immunes, de cancer, voire pire encore de maladie à prions, cousine de la maladie terrible de Creutzfeld — Jacob, dite maladie de la vache folle.[6]

Les enfants ne sont pas une cible du Covid, les pseudo vaccins ne protègent ni de la contamination ni de la transmission. Alors, pourquoi exposer nos jeunes à ces substances encore à l’essai en leur faisant prendre le risque d’effets secondaires graves ?

Il y a 15,5 millions d’enfants de 0 à 19 ans en France, si on les vaccinait tous sans exception, 99 200 auraient potentiellement des effets secondaires sévères (15,5 millions x 0,64 %) d’après l’essai présenté par Pfizer.

LES EFFETS SECONDAIRES GLOBAUX RECENSÉS PAR LES BASES OFFICIELLES INTERNATIONALES

Ils sont importants et devraient justifier à eux seuls le renoncement à cette injection sans effet positif chez les enfants. Ils ont été largement résumés ailleurs.[7] Chacun peut consulter l’état des lieux directement sur les sites respectifs. Quelques exemples :

EUDRAVIGILANCE – EMA pour l’Union Européenne selon le site officiel de l’agence européenne du médicament au 5 novembre (27 pays sans la GB)

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE au 30 octobre 2021

Le Pr Suisse Dr Astrid Stuckelberger @Stuckelberger publie une nouvelle vidéo pour mettre en garde contre cette injection encore en expérimentation.

« C’est quand même dingue, si ça marchait, ils ne se feraient pas injecter encore, encore, encore… on en est à 29 173 morts directes et 2 999 743 effets secondaires graves dans EudraVigilance en Europe… 12 115 enfants de 0 à 17 ans… »[8]

VAERS : RECENSEMENT DES EFFETS SECONDAIRES DÉCLARÉS SPONTANÉMENT AUX USA

Aux États-Unis, le VAERS recense tous les effets secondaires déclarés par les citoyens, après les vaccins depuis 1991. Le VAERS est coadministré par 1) la Food and Drug Administration (FDA) et 2) les Centers for Disease Control (CDC).

les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles[9]

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Les mêmes analyses sont disponibles pour les autres pays avec des résultats comparables.

SAUVER LES GÉNÉRATIONS FUTURES — SAUVER LEUR ADN :
NON AUX pseudo vaccins, vraies injections OGM à des HUMAINS

Il faut parvenir à relayer l’information, sauver les générations futures qui sont déjà traumatisées par le vécu invraisemblable de ces deux années de coronafolie mondiale, moins sauver leur ADN, ne pas risquer de les transformer en transhumain OGM d’avenir incertain. Les nouveau-nés de mères vaccinées font craindre le pire, en particulier un vieillissement accéléré.

N’oublions pas que les candidats vaccins contre les précédents coronavirus (SRAS et MERS-CoV) ont été abandonnés en raison de décès, plus fréquents chez les animaux vaccinés que dans les groupes témoins. Essais animaliers qui n’ont guère été réalisés pour le Covid19

Ce jour, nous nous adressons donc à vous, tous les candidats déclarés ou potentiels, et à tous les élus, car vous disposez d’une visibilité, qui pourrait aider les médecins honnêtes du monde entier, à faire passer l’information et à éviter ainsi au moins une partie de l’humanité de cette menace majeure de notre patrimoine génétique construit sur des millénaires.

En résumé, message à faire passer : les enfants ne risquent rien du Covid, mais beaucoup des pseudovaccins.

En même temps que le Pfizergate émerge démontrant l’absence totale de fiabilité des essais, que le vaccin Moderna est interdit au moins de trente ans, le PDG de Moderna demande le même jour à l’UE d’autoriser l’injection de ce même Moderna chez les enfants de 5 à 11 ans.

SONNEZ L’ALERTE.

Nos milliardaires ne doutent de rien, mais le monde résiste de plus en plus. Pas certain qu’ils gagnent, mais combien de victimes entre temps. Alors, diffusons l’appel de ces médecins réunis en Floride.[10]

NE VACCINEZ PAS LES ENFANTS :
MESSAGE URGENT DU SOMMET DES MÉDECINS

Extraits de l’article de Mary Beth Pfeiffer

« Les principaux experts de la politique défectueuse du programme Covid américain ont lancé un avertissement urgent lors d’un sommet le 8 novembre 2021 : les jeunes enfants seront lésés par la hâte malavisée de vacciner une population dont le risque d’infection grave par le virus est très faible. »

« Le risque réel pour les enfants en bonne santé est à peu près nul — il semble bien qu’il soit inférieur à celui de la grippe », a déclaré le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm sur laquelle repose le vaccin. Inoculer 28 millions d’enfants âgés de 5 à 11 ans, a déclaré le Dr Malone aux participants du sommet de Floride sur le Covid,[11] pourrait entraîner « un millier ou plus de décès supplémentaires ».

« C’est un millier d’enfants », a-t-il dit au « C’est un millier d’enfants de trop ».

« Les enfants ne tombent pas gravement malades. Les enfants ne meurent pas de cette infection », a déclaré Paul Alexander, épidémiologiste clinique et ancien conseiller principal sur la politique en matière de pandémie au ministère américain de la Santé et des Services sociaux. « On nous a donné beaucoup d’informations trompeuses ».

Bien que sévèrement critiquée pour avoir gardé les écoles ouvertes, « la Suède n’a pas eu un seul décès d’enfant dû au Covid », a déclaré le Dr Richard Urso, ophtalmologiste texan citant des données publiées.

Dans une étude portant sur 48 000 enfants de moins de 18 ans infectés par le Covid, aucun décès n’a été signalé parmi ceux qui ne présentaient pas de comorbidités comme la leucémie ou l’obésité. En d’autres termes, les enfants en bonne santé ne meurent pas du Covid, ce qui suggère que les vaccins ne sont pas nécessaires pour eux.

L’AVEUGLEMENT VOLONTAIRE

« le coût potentiel de la vaccination est inacceptable, soulignant les milliers d’effets secondaires et de décès officiellement minimisés, mais réels. Les risques pour les enfants comprennent, entre autres, une grave inflammation du cœur appelée myocardite, dont le taux est trois à six fois supérieur au taux attendu… Une étude des CDC a fait état de 14 décès liés à la vaccination et de 849 réactions graves chez des enfants âgés de 12 à 17 ans. »

« Il y aura des enfants perdus avec le vaccin — bien plus que ce qui s’est passé avec le Covid », a déclaré le Dr Peter McCullough, cardiologue, voix importante pour une réponse rationnelle à la pandémie. Les médecins sont coupables d’un « aveuglement volontaire » face aux dangers des vaccins, a-t-il ajouté, car ils ont « cru à ce rêve… que ce vaccin était à la fois sûr et efficace. Le fait qu’il ne soit pas suffisamment sûr est en train de briser leurs rêves ».

En Floride, où le débat sur l’obligation de vacciner est vigoureux, les organisateurs du sommet considèrent la vaccination des enfants comme une ligne à ne pas franchir dans un État qui pourrait servir d’exemple à la nation. Ils espèrent « arrêter le programme de vaccination obligatoire élargie voulue par Biden et attendent un décret du gouverneur Ron DeSantis ou une loi lors d’une prochaine session d’urgence convoquée pour traiter des obligations de vaccination. »

« Nous devons faire tout ce qui est possible », a dit le Dr John Littell, médecin d’Ocala qui a dirigé le sommet. « Nous n’avons fait que commencer à nous battre pour nos enfants ».

Avec un soutien médiatique quasi universel, la pression est intense pour vacciner les tout-petits.

LA SCANDALEUSE VIDÉO SUR LES SUPER HÉROS PASSE SUR NOS TV :
QUI PORTE PLAINTE ?

Elle montre des garçons et des filles « super-héros », en capes, masques et ailes, célébrant la vaccination. Ils prononcent des mots écrits par Pfizer, ils félicitent les autres enfants qui se sont fait vacciner pour leur « courage », leur volonté « d’essayer de nouvelles choses » et « d’aider le monde entier ». UNE PROPAGANDE ABSOLUMENT HONTEUSE.

Les médecins réunis ont également soulevé deux autres préoccupations urgentes :

  • 1) suppression effective de la liberté des médecins de traiter le Covid précoce avec de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine, de la fluvoxamine et d’autres médicaments qui pourraient éviter aux patients d’être hospitalisés et sauver des vies.
  • 2) valeur protectrice de la Covid, qui offre des avantages immunitaires qui dépassent — et suppriment — la nécessité de la vaccination.

« L’immunité naturelle est robuste ; elle est complète ; elle est durable », a déclaré le Dr McCullough au groupe. « Avec le Covid, vous développez une immunité contre une cinquantaine de protéines qui stimulent la production d’anticorps », a expliqué M. Malone dans son exposé. « Avec le vaccin, vous développez une immunité contre une protéine structurelle, à savoir la protéine spike. C’est une énorme différence. »

« Ne les laissez pas vous dire que le Covid récupéré n’entraîne pas une immunité durable », a déclaré le Dr Ryan Cole, pathologiste de l’Idaho, opposant un rapport sur 106 articles scientifiques en faveur de l’immunité acquise par l’infection à un seul « faux papier » du CDC affirmant que les vaccins offrent une meilleure protection.

Une corruption sans bornes

« Pierre Kory, président de Frontline Covid-19 Critical Care Alliance et défenseur d’un traitement précoce, a pointé du doigt une litanie de méthodes que les revues scientifiques, les médias et le gouvernement ont utilisées pour refuser les soins efficaces par des médicaments “réadaptés” peu coûteux comme l’ivermectine. »

« Parmi elles : Le refus de publier des articles scientifiques favorables au traitement et la rétractation, sous pression, d’autres articles. L’insistance sur les essais de contrôle aléatoires coûteux, alors qu’ils ne sont pas financés. Un double standard qui fait que le molnupiravir de Merck, très coûteux, est en passe de devenir un médicament ambulatoire de premier choix, sur la base d’un essai parrainé par la pharmacie, alors que des dizaines d’études en faveur de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine et d’autres traitements potentiels sont écartées. Le rejet de l’expérience clinique de centaines de médecins qui ont vu des médicaments de traitement précoce éviter des hôpitaux et des cercueils ».

M. Kory a décrit en deux mots la raison de l’échec monumental du traitement du Covid : « la capture réglementaire ». En bref, les agences alphabétiques — NIH, CDC, FDA — ne prennent pas les décisions officielles selon les données acquises de la sciencemais guidées uniquement par la politique, les lobbys et la corruption.

« Toutes ces agences sont littéralement dirigées par Pharma », a-t-il dit. « Si vous voulez garder votre emploi, vous laissez les dirigeants faire ce qu’ils font ». Cela a conduit, selon lui, à « des actes de corruption non mitigés et répétés, qui nuisent à la santé publique. »

Kory et d’autres ont dit qu’il y a peut-être deux autres douzaines de composés qui pourraient aider rapidement. Néanmoins, les responsables de la santé publique ne recommandent aucun d’entre eux. Parmi eux : l’aspirine, le budésonide, la colchicine, la curcumine, la mélatonine, le nitazoxanide, la quercétine, le zinc et les vitamines C et D. Même un essai très favorable sur la fluvoxamine n’a pas obtenu l’aval du gouvernement.

« Les PDG et les administrateurs des hôpitaux nous menacent. Vous allez être virés. Vous devez vous conformer à nos normes de soins. »[12]

LA CRISE EST POLITIQUE ET NON SANITAIRE

Vous aurez tous compris qu’il s’agit d’un problème politique et non sanitaire, résultant de la mainmise de Big Pharma sur les instances dirigeantes et sur trop de responsables des agences d’état corrompus et tenant l’ensemble du système de santé par corruption à tous les étages et/ou harcèlement des opposants les réduisant au silence ou à la démission.

Cette organisation perverse est en place depuis des décennies, mais a atteint un niveau de « perfection » avec la crise du Covid longtemps préparée après la répétition générale du H1N1. Il faut en sortir VITE, car l’avenir de l’Humanité, de son génome sont en jeu.

Mesdames, Messieurs les Politiques et vos relais dans les médias, la balle est dans votre camp. Nous vous soutiendrons.

Il faut libérer tous les citoyens de cette terre des mesures liberticides injustifiées, et en particulier le masque chez les enfants, et interdire la poursuite de cette injection mortifère officiellement contre une maladie extrêmement peu létale chez les sujets sans comorbidité.

Exigez un moratoire pour cette injection génique suivie de débats publics devant les élus en présence des scientifiques indépendants et sans lien d’intérêt avec Big Pharma. En attendant, laissez-les vivre, laissez-nous vivre.


  1. [1] Suivez-nous sur Telegram https://t.me/DrDelepine[]
  2. [2] BMJ Investigation
    Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial
    BMJ 2021; 375 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.n2635 (Published 02 November 2021)
    Cite this as: BMJ 2021 ; 375 : n2635[]
  3. [3] https://www.sfpediatrie.com/actualites/Covid-19[]
  4. [4] Pendant que les puissants s’affichent sans masque et sans distanciation sur des vidéos provocantes pour le peuple astreint à muselière et surtout les petits[]
  5. [5] Myocardites et pseudovaccin antiCovid : un risque à ne pas courir — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
    MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) []
  6. [6] https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/parents-enfants-verite/
    une association de parents d’enfants décédés à la suite du vaccin anti-Covid se met en place Verity France[]
  7. [7] https://docteur.nicoledelepine.fr/effets-indesirables-des-injections-geniques-sources-officielles-au-10-octobre-2021/[]
  8. [8] https://twitter.com/i/status/1456689834395897858[]
  9. [9] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) []
  10. [10] t.me/VaccinoSceptique November 09, 2021
    Traduction de l’article du site trialsitenews.com 👇🏻
    https://trialsitenews.com/dont-vaccinate-kids-urgent-message-from-doctors-summit/[]
  11. [11] Public de 800 médecins, infirmières et défenseurs des droits.[]
  12. [12] Telegram: t.me/VaccinoSceptique[]

Laisserons-nous les enfants courir le risque d’atteinte cardiaque post pseudovaccin Covid pour sauver une sortie au resto ?  EPEE DE DAMOCLES SUR NOS ENFANTS 

Ou même une inscription dans un club de foot ?

Laissez-les jouer devant l’immeuble avec les copains ou courir les champs si vous êtes à la campagne. Rien ne vaut la santé, et on a vécu sans salle de gym avec équipements lourds pour COURIR, sans club payant !

Un adulte sympathique aidait les gosses dehors à faire des passes … La coronafolie va bien se terminer et d’autant plus vite que nous ne céderons pas.

Ne risquez pas l’avenir de votre petit, pour quelques mois de vie « différente » et pas « anormale », car finalement courir sur un tapis fixe est -il plus normal qu’une balade dans les bois ? Ce sera l’occasion de leur expliquer la vie d’autrefois, et la gabegie actuelle plutôt que des grands cinémas pro-planète… Les bobos parisiens ont-ils renoncé à leur SUV pour se promener et à leurs clubs de sport consommateurs d’énergie ? En tous cas les milliardaires n’ont pas renoncé à leurs jets privés pour se montrer et faire croire qu’ils veulent sauver la planète, mais c’est un autre sujet (apparemment).

DES ALERTES MULTIPLES (sauf en France, comme pour Tchernobyl ?)

Info : une nouvelle catastrophe

F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a été diagnostiqué d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer[1]

L’agence de presse allemande dresse une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés.[2]

« Nous avons pris beaucoup de temps pour cette recherche, en choisissant chaque cas individuellement. Y a-t-il eu un nombre évident de décès « soudains et inattendus » dans le sport et le sport d’élite seulement à la mi-2021 ? Une accumulation possible depuis le début des vaccinations géniques peut (et ne veut pas) être expliquée par n’importe qui du côté officiel. Selon la lecture des médias et de la politique, peut-être victimes de chantage et de pots-de-vin, ce sont des coïncidences malheureuses – bien que même les jeunes de 13 ans souffrant de problèmes cardiaques tombent sur le terrain. »

L’agence de presse poursuit, par objectivité :

« Nous voudrions commencer ce rapport par les arguments de l’autre partie, car il est toujours important d’écouter toutes les parties. Nous voudrions également recommander ce principe à la presse judiciaire et au système, même s’il n’y a pas d’importantes subventions d’État à utiliser pour cela.

En 2016, le média français Futura Santé s’est plaint de « nombreux » décès cardiaques dans le football. Elle toucherait 2 athlètes sur 100 000 par an en France, soit un total de 1 000 à 1 500 personnes. Le « New Statesman » parle de 12 jeunes qui meurent de mort subite d’origine cardiaque en courant – chaque semaine. L’article a été publié en novembre 2018 en Angleterre. En février 2019, le journal autrichien der Standard a demandé pourquoi la mort cardiaque survient « si fréquemment » dans le sport.

« ll n’existe pas de statistiques fiables à des fins de comparaison. Mais dans Wikipédia, il y a des listes d’athlètes qui sont morts pendant le jeu. Cette liste remonte à 1889 et est longue à première vue – mais en fin de compte, il s’avère que même dans les « années de catastrophe », environ 5 à 8 décès de ce type ont été enregistrés ».

Y a-t-il plus de gens qui meurent actuellement « soudainement et de manière inattendue » dans le sport, surtout lorsqu’il s’agit de professionnels et d’athlètes de haut niveau ? Et est-ce à cause de la vaccination ? ou bien avons-nous cauchemardé ?

Plus de 75 cas connus au cours des 5 derniers mois[3]

Etc.. Suite sur l’article de référence :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-

Peut-on vraiment croire au hasard et discuter doctement de l’imputabilité alors que des familles sont endeuillées et des enfants sacrifiés au nom de la soumission aux directives dites sanitaires. Jusqu’à quel degré l’aveuglement aide-t-il à vivre ?

Les atteintes cardiaques chez l’enfant sont rares

Contrairement à ce qu’essaient de vous faire croire les médias, les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu (les années 60) grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque, en l’absence de comorbidité comme des maladies auto-immunes ou des lésions post médicamenteuses (chimiothérapie anticancéreuse par exemple).

L’incidence des myocardites chez l’enfant, estimée entre 2007-2016 aux USA est de 1/100 000.[4]

Même les maladies cardiaques congénitales s’étaient raréfiées dans nos contrées via le dépistage anténatal (et beaucoup d’avortements à la moindre communication interauriculaire) et via les interventions précoces pour les enfants nés avec des anomalies acceptées par la famille. Bref le concept de « maladie bleue » par exemple ne vous était plus familier et tant mieux.

Actuellement, les myocardites et péricardites peuvent se rencontrer dans le cadre de maladies virales, mais sont alors le plus souvent bénignes et de courte durée et plus fréquemment chez des sujets fragiles, voire immunodéprimés.

Plus exceptionnellement se rencontre en pédiatrie une myocardite grave et menaçante à l’occasion d’un diagnostic difficile qui débouche sur une maladie congénitale exceptionnelle.

Nous sommes alors dans le cadre de maladies rares, dites orphelines[5] et non de pathologies habituelles comme on aimerait vous le faire croire pour minimiser la tragédie actuelle, conséquence de pseudo vaccination inutile et dangereuse.

Donc une nouvelle fois, le récit médiatique démarre par d’énormes mensonges.

Non, les crises cardiaques qui tombent du ciel ne sont pas habituelles chez les jeunes qui jouent au foot dans la cour.

Vous avez tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Revenez sur terre et cessez de croire aux balivernes tragiques des journalistes corrompus ou devenus complètement fous via la coronafolie.

Qu’est-ce au fond qu’une myocardite ?

Les myocardites et les péricardites sont des inflammations du muscle cardiaque (myocardites) ou de son enveloppe, le péricarde (péricardites). Classiquement elles se révèlent par une fatigue croissante, des douleurs thoraciques, des difficultés de plus en plus importantes à respirer, une accélération du rythme cardiaque, une baisse de la pression artérielle, et parfois des douleurs dans les membres. La maladie est parfois accompagnée de fièvre, car une infection virale ou bactérienne peut être à l’origine de l’atteinte cardiaque. Ce n’est pas le tableau le plus courant actuellement.

Elles peuvent passer inaperçues et ne se révéler brutalement que par un énorme malaise, voire une mort subite, à l’occasion d’un effort. Ce sont les jeunes sportifs qui paient actuellement un lourd tribut. Et les médecins belges recommandent depuis plusieurs mois de ne pas faire d’efforts au moins dans la semaine suivant l’injection.

L’évolution de la myocardite peut être très variable. Elle ne provoque souvent que des symptômes mineurs, mais elle peut aussi entraîner un arrêt cardiaque brutal ou guérir en laissant des séquelles permanentes responsable dans 20% des cas de mort dans les 5 ans qui suivent pour les myocardites habituelles.

Il est évident que les notions générales évolutives citées ici sont liées aux myocardites infectieuses ou congénitales connues et que personne ne peut prédire les conséquences de l’atteinte cardiaque par la protéine spike créée via l’injection génique nouvelle. Combien de temps le vacciné produit-il de protéines spike susceptibles d’aggraver la maladie et/ou de se compléter par d’autres lésions sur d’autres organes ? Aucune réponse claire possible sans recul.

Les prédictions de guérison possibles basées sur l’évolution des myocardites d’autres origines n’ont aucune valeur. Il serait honnête d’avouer que l’on ne sait pas ! Ce qui est certain est qu’un énorme doute existe sur l’avenir de ces patients.

ATTENTION AU BÉNÉFICE/RISQUE

Les marchands de vaccin aimeraient nous faire croire et l’écrivent sans remords, que le Covid donne plus de risque de myocardite que le vax. Ils inventent et/ou manipulent les données, oubliant que les jeunes ne meurent pas de Covid, alors que les jeunes vaccinés meurent de crise cardiaque. Regardons les données.

Quels sont les risques de myocardite après infection Covid chez les jeunes 

La myocardite (ou péricardite ou myopéricardite) résultant d’une infection primaire à la Covid19 s’est produite à un taux de 450 par million chez les jeunes hommes malades du Covid. Les jeunes hommes infectés par le virus sont plus susceptibles de développer une myocardite que ceux qui ont reçu le vaccin nous dit-on.[6]

Mais ce pourcentage omet de préciser que la maladie clinique du Covid est exceptionnelle chez le jeune de moins de 20 ans et que ces atteintes cardiaques sont bénignes et d’évolution favorable rapide.

Il serait honnête d’avouer que le Covid chez le jeune ne tue pas alors que la myocardite post-vaccinale d’un sujet sain non malade tue parfois et confisque l’avenir du jeune en tous les cas. Comparaison purement chiffrée n’est pas raison.

La myocardite du vaccin antiCovid

L’histoire médiatique de l’atteinte cardiaque post vaccination remonte à quelques mois après le début des injections intensives vers mai 2021.

Fin mai 2021, le comité de sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une déclaration d’intérêt concernant les cas signalés d’inflammation myocardique et/ou péricardique survenant chez des patients après vaccination avec des vaccins à ARNm Covid-19. Cela faisait suite à un petit nombre de cas signalés en Israël et aux États-Unis.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans. Les cas semblaient être principalement chez les hommes et se développer peu de temps après l’administration de la 2e dose.

Démonstration de l’imputabilité de l’atteinte cardiaque à la vaccination

Les Canadiens ont vérifié chez l’adulte, sur deux mois de juin à fin juillet 2021 la survenue de myocardites après injection, ce qui a permis d’établir clairement[7] la temporalité entre l’apparition de la myocardite et la vaccination.

Les symptômes constatés chez les cardiaques canadiens sont résumés dans le tableau tiré de leur article.

Il s’agit de la plus grande série de la littérature à établir clairement la relation temporelle entre la vaccination par l’ARNm Covid, les symptômes cliniques de la myocardite et les résultats de l’IRM.

Chez la plupart des patients, l’apparition des symptômes a commencé dans les premiers jours suivants la vaccination avec des anomalies correspondantes des biomarqueurs et de l’ECG. L’IRM cardiaque a confirmé des modifications myocardiques et péricardiques aiguës avec la présence d’un œdème démontré à la fois par la cartographie des tissus et le rehaussement tardif du gadolinium. Les symptômes se sont résorbés rapidement avec le traitement standard et les patients ont pu sortir en quelques jours.

Si la cohorte canadienne avait capturé tous les cas dans la région d’Ottawa, l’incidence de la myocardite serait de 0,1 % de toutes les doses de vaccin (32 cas/32 379 doses x 100), ou 10 cas de myocardite pour 10 000 doses de vaccin. Cette étude concerne des adultes, mais est intéressante pour notre sujet, car elle confirme le lien entre atteinte cardiaque et injection génique.

L’une des cohortes les plus importantes à ce jour a décrit la nécessité d’un traitement de l’insuffisance cardiaque chez 40 % de ses patients atteints de myocardite (malgré l’absence d’épisodes d’insuffisance cardiaque antérieurs) et de soins intensifs chez 10 %. Mais l’étude concerne les adultes et la maladie cardiaque post vaccinale paraît d’autant plus grave que le sujet est plus jeune.

L’inflammation péricardique est un épiphénomène d’inflammation myocardique ; cela a également été démontré dans la série de cas de Starekova et al. La véritable péricardite diffuse isolée est rare dans la littérature.

La myocardite a été décrite comme complication de vaccins classiques, mais dans des proportions beaucoup plus faibles qu’avec les pseudovax antiCovid

La myopéricardite est une complication reconnue associée à quelques vaccins, aux États-Unis représentant 0,1% de tous les effets indésirables collectés par le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS).[8] Ces rapports, recueillis entre 1990 et 2018, révèlent que 79 % des cas concernaient des hommes et sont survenus principalement dans les 2 semaines suivant la vaccination.

Myocardites associées aux injections antiCovid aux USA selon les données du VAERS

Les évènements indésirables cardiaques sont nettement plus fréquents chez les jeunes garçons d’autant plus qu’ils sont plus jeunes et qu’ils ont reçu deux doses de vaccin. Les signes cliniques apparaissent dans les jours suivant l’injection.

 

Relevons la fréquence considérablement augmentée chez les jeunes garçons par rapport à la population générale : 23 % de plus entre 12 et 15 ans, 40 fois plus entre 16 et 17 ans.[9]

Une autre étude dite stratifiée a été réalisée sur les myocardites chez les adolescents et leurs liens avec les vaccins à ARNm à partir des données du VAERS  pour comparer le danger respectif de la maladie Covid et du vaccin.[10]

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même

Le CDC rapporte qu’il y a 94 à 96% d’hospitalisation des myocardites/péricardites post-vaccinales.

Les garçons de 12 à 15 ans sont 12 fois plus sujets à des effets indésirables cardiaques que les filles du même âge, et cela principalement après la seconde injection du vaccin.

Pour les garçons de 12 à 15 ans, ont été enregistrés 162,2 cas d’effets indésirables cardiaques par million d’injections de vaccins anti-Covid, contre 94 cas / million chez les 15-17 ans, évènements ayant nécessité une hospitalisation.

Cette étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.[11][12]

Comparaison de la fréquence générale des myocardites avant et après vax antiCovid

Une étude récente[13] chez l’adulte a comparé le taux de myocardites dans les périodes prévaccination et post vax[14] Jan 2019–Jan 2021) et pendant la période de vaccination Covid-19 vaccination (Fevrier-Mai 2021) au sein d’un large système de santé américain

Le nombre mensuel moyen de cas de myocardites ou de myo-péricardites pendant la période pré vaccinale était de 16.9 pour 100000 (95% CI, 15.3-18.6) vs 27.3 (95% CI, 22.4-32.9) durant la période vaccinale (P < .001).

Le nombre moyen de péricardites était pendant les mêmes périodes de 49.1 (95% CI, 46.4-51.9) et 78.8 (95% CI, 70.3-87.9), respectivement (P < .001).

Les myocardites se développent rapidement chez les patients les plus jeunes et surtout après la seconde dose. Les péricardites affectent surtout les patients plus âgés et soit après la première, soit après la seconde.

Fréquence en fonction de l’âge et du sexe – grand pic chez les garçons entre 12 et 20 ans

Les CDC américains (centres officiels : Centers for Disease Control and Prevention) ont rapporté l’association entre Covid-19 mRNA vaccins and myocardite surtout chez les garçons les plus jeunes dans les quelques jours suivant la deuxième injection.

Sur la base des données du Vaccine Adverse Events Reporting System, le CDC a estimé que l’incidence de la myocardite après toute vaccination Covid-19 est de 0,48 cas pour 100 000 au total et de 1,2 cas pour 100 000 parmi les vaccinés âgés de 18 à 29 ans.

Un rapport de la campagne de vaccination de l’armée américaine contre le Covid-19 a noté une incidence de 8,2 cas de myocardite pour 100 000 hommes militaires (un total de 23 cas). Les enquêteurs de l’étude militaire ont identifié un dysfonctionnement ventriculaire gauche chez 17% des hommes (tous les cas étant légers ou légers à modérés).

Myocardites en UE selon le site officiel de l’EMA : Eudravigilance

Myocardites des 12-17 sur Eudravigilance et vaccination des 12-17 ans en France

Du 1er avril au 15 juin, 3 myocardites ont été déclarées sur Eudravigilance chez les 12-17 ans. Puis le « vaccin » est arrivé pour les enfants, et le nombre de myocardites a explosé ! Alors, pure coïncidence ?[15]

Eudravigilance (2.10.2021).

À ce jour, + de 28 000 décès liés aux « vaccins » déclarés dans les pays membres de l’UE.
Sur 12-17 ans, plus de 500 myocardites imputables aux Vaccins antiCovid.

Les Effets secondaires globaux dits pudiquement « indésirables » s’approchent des 3 millions.. Et l’on sait tous que les remontées d’informations sont inférieures à 5 %. Qu’en est -il de la réalité ?

Resituons les atteintes cardiaques dans les atteintes globales en UE (sur 27 pays hors G-B)

Les études israéliennes

Un premier rapport d’Israël en avril 2021 a mis en évidence une relation séquentielle apparente entre la réception du vaccin à ARNm Covid-19 et la myocardite, la plupart survenant chez des jeunes hommes auparavant en bonne santé et avec une incidence 5 à 25 fois supérieure au taux de fond habituel.

Le mécanisme précis reste obscur et les théories incluent un effet trophique direct du virus (bien qu’il n’y ait aucun rapport d’isolats viraux provenant d’une biopsie endomyocardique), et une réponse immunitaire exagérée de l’hôte invoquant les cellules T cytotoxiques en tandem avec la tempête de cytokines

En conséquence, la Food and Drug Administration aux États-Unis et l’Agence de la santé publique du Canada ont décidé d’ajouter des étiquettes de mise en garde aux vaccins à ARNm Pfizer et Moderna soulignant le risque de maladie cardiaque inflammatoire. Cela a été signalé secondairement par l’EMA et il a été demandé aux médecins de signaler ce risque … tout en ne dissuadant pas de faire l’injection…

Le rapport initial d’Israël note une incidence
de 1 sur 3000 à 1 sur 6000 myocardites
suite à la vaccination chez les jeunes adultes.

Les médecins israéliens ont été les premiers à sonner l’alarme dans un silence assourdissant dans les premières semaines.[16]

Ils ont évalué l’incidence de la myocardite après vaccin à ARNm BNT162b2 (Pfizer) dans une seule organisation de soins de santé (HCO) en Israël et décrit l’évolution clinique et la gravité de la maladie à partir d’un examen des dossiers des patients.

Les estimations du VAERS américain sont inférieures à celles israéliennes, probablement en raison des différentes méthodes utilisées pour identifier les cas (déclaration passive au CDC vs dossiers de santé électroniques en Israël ).

Dans l’étude israélienne de Barda et al.la vaccination a entraîné un excès de 2,7 cas de myocardite pour 100 000 personnes vaccinées. 

Dans cette étude de cohorte rétrospective portant sur des personnes âgées de 16 ans ou plus dans un grand système de santé israélien, l’incidence estimée de la myocardite dans les 42 jours suivant l’injection (d’au moins une dose du vaccin à ARNm BNT162b2) était de 2,13 cas pour 100 000 vaccinés et 10,69 cas pour 100 000 chez les hommes âgés de 16 à 29 ans.

 

 

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants[17][18][19]

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées, et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins… (comme en France ou en Belgique et en suisse.)

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.[15]

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre[16] selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

En conclusion

1°) Très peu d’enfants sont malades (présentent des signes de maladies) du Covid (moins de 5% des malades recensés), ils ne font que des formes légères (trois fois moins de risque de mourir que de la grippe saisonnière). Ils ne peuvent pas espérer de bénéfice personnel de la vaccination.

2°) Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission. Les pseudo vaccins actuels ne protègent pas de la maladie et n’empêchent pas de la transmettre. On ne peut donc pas espérer que les vacciner puisse protéger les autres.

3°) les pseudo vaccins actuels, issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse humaine, sont totalement expérimentaux : les résultats des essais ne seront connus qu’en 2023. On ne connaît donc pas la totalité de leurs risques.

À court terme ils exposent à des complications sévères, dont des myocardites.

Aucun bénéfice, complications nombreuses et parfois mortelles la balance avantage risque est totalement défavorable chez l’enfant

ET si vous voulez revenir au concret, chez de vrais enfants et non des statistiques

Je terminerai par le récit fictif d’Alain Tortosa à propos d’un enfant sain de six ans brutalement décédé futur astronaute qui rejoindra plus vite que prévu les étoiles. Si des larmes ne vous montent pas aux yeux, demandez-vous ce que les mesures antiCovid ont fait de vous…[20]

J’avais une petite sœur Annie, un papa et une maman, des papis et des mamies et tout plein de cousins.

À l’école j’adorais jouer au super héros masqué avec les copains…
J’étais fier d’être enfin dans la grande école et je leur disais que j’avais 6 ans et demi quand on me posait la question.
Mais c’était un petit mensonge, car j’avais que 6 ans et 4 mois.

Papa et maman répétaient souvent que nous avions la chance de vivre dans une démo-cra-tie, ils disaient des mots que je comprenais pas très bien comme « nous sommes nés libres et égaux en droit »

Toute la famille était heureuse… mais ça, c’était avant et j’ai peur qu’ils soient plus jamais heureux.

Quand je serais grand, je voulais être astronaute et je savais pas que j’irais si vite dans le ciel au milieu des étoiles… à 6 ans.

Papa et maman, ils regardaient beaucoup la télé au repas du soir.
Cette méchante télé qui racontait tous les jours qu’on va tous mourir du méchant virus.
Ils étaient très content il y a quelques mois de se faire la piqûre pour battre le méchant virus Covid qui peut tuer tout le monde, même les petits enfants comme moi comme ils disent à la télé.
Moi je comprenais pas comment on peut être content quand le docteur il vous fait une piqûre.

Il y a quelques semaines à la télé, ils ont dit que les petits enfants aussi ils pouvaient maintenant être vaccinés.
Que le vaccin il marche très très bien et qu’il fait même pas mal.

Le président de l’Amérique, il a dit pour la vaccination des enfants de 5 ans :

« Un tournant dans notre bataille contre le Covid-19. »

et

« Cela permettra aux parents de mettre fin à des mois d’inquiétudes pour leurs enfants et réduira la proportion avec laquelle les enfants transmettent le virus aux autres.[1]»

Papa et maman m’ont dit que ce serait bien si moi aussi j’avais le vaccin comme les grands.
Mais moi je voulais pas parce que j’avais peur des piqûres.
Ils ont voulu me rassurer, « c’est rien, c’est comme une piqûre de moustique ».
Mais comme j’avais encore peur, ils m’ont dit que si je le faisais, je serais un super héros qui protège papi et mamie du super vilain méchant virus.

Je trouvais ça un peu bizarre parce que papi et mamie ils ont déjà le vaccin, la super méga armure pour se protéger du méchant virus comme ils m’avaient dit.
Et que en plus ils allaient encore recommencer pour être encore plus super protégés !
Papa et maman m’avaient répondu que j’étais trop petit pour comprendre et que j’aurais un diplôme de tueur de méchant virus.

Le jour du rendez-vous, j’avais quand même un peu peur, même si je faisais semblant pour pas rendre triste papa et maman.
Quand je suis arrivé au centre, tout le monde était gentil avec moi.
Ils trouvaient que j’étais super fort alors je gonflais mon corps pour leur montrer.
Avant la piqûre, on a vu un docteur qui a posé des questions à papa et maman.
Est-ce que j’avais des maladies, est-ce que mon petit cœur marchait bien, si il y avait des maladies dans la famille.
Papa et maman ont répondu et ont dit que j’étais un petit garçon super en forme sans maladies, que j’étais super sportif aussi.
J’aimais pas quand ils disaient que j’étais un petit garçon parce que maintenant j’étais grand.

J’ai dit au docteur que j’avais un peu peur.
Il m’a rassuré et il m’a dit que c’était rien que ça pouvait faire un peu mal après à l’endroit de la piqûre, mais c’est tout, et que ça pouvait pas faire peur à un grand garçon costaud comme moi.

Alors j’ai dit « d’accord je vais faire la piqûre pour tuer le virus et protéger papi et mamie »
J’ai vu que papa et maman ils étaient super fiers de moi et ça m’a encouragé.

Ça m’a fait presque même pas mal et après l’infirmière, elle m’a mis un pansement Spiderman.
Pour fêter ça, on est allés manger le soir au Macdo avec ma sœur et papi et mamie…
J’étais le héros de la soirée.
J’ai passé une super nuit à rêver d’étoiles.

Le matin, après un bon petit dej, papa m’a amené au foot comme tous les mercredis.
J’ai montré aux copains mon pansement Spiderman et ils ont trouvé que j’étais un super héros.
Mon copain Marcel m’a dit que j’avais de la chance d’avoir été vacciné, mais que ses parents ils voulaient pas, ils disaient que c’était dangereux.
Moi j’ai dit à Marcel que c’était des « complotistes » et des « chochottes ».

Le match a commencé, j’étais un peu fatigué, un peu comme si je venais de me réveiller,..
Mais je me suis donné à fond, le match était presque terminé…
Jean m’a fait une passe, j’allais marquer un super but et, au moment de tirer, j’ai senti mon corps m’abandonner, devenir tout mou et je suis tombé.

Je me sentais bien, j’avais pas mal et je comprenais pas pourquoi tout le monde courait vers moi.
D’abord les copains, puis l’entraîneur, puis papa !
Au bout d’un certain temps, je sais pas si c’est longtemps ou pas, une ambulance est arrivée avec des docteurs.
Ils avaient l’air super inquiets et je comprenais pas pourquoi…
J’ai eu comme un choc dans ma poitrine puis mes yeux se sont fermés, comme pour se coucher.

J’entendais les adultes crier, les copains pleurer, puis il y a eu un grand silence dans lequel on n’entendait plus que le bruit des oiseaux.
C’était comme si ils voulaient pas faire de bruit pour pas me réveiller.

C’est à ce moment que je suis sorti de mon petit corps.
J’avais l’air si bien, si détendu, si paisible, si innocent…
Papa était sur moi, il pleurait et je comprenais pas pourquoi il pleurait autant.
Je lui disais que tout va bien, mais il m’entendait pas…
C’est alors que maman est arrivée en hurlant, elle a tellement secoué mon corps que j’ai eu peur qu’elle me casse.
Les docteurs ont repoussé doucement maman, ils ont mis mon corps sur un lit à roulettes avec un drap blanc sur la tête et dans l’ambulance des pompiers.

À l’hôpital papa et maman, plutôt papa, parce que maman elle continuait à pleurer sans s’arrêter.
Papa a demandé ce qu’il s’était passé…
Les docteurs ont dit que mon petit cœur avait lâché d’un coup, que j’avais fait un inf, un infac, non un « infractus » si j’ai bien compris…
Papa avait l’air en colère et il a demandé pourquoi et le docteur il a dit que c’est très très rare, mais ça arrivait des fois, « un risque sur un million » qu’il a dit….

Papa a répété que j’allais bien, que j’avais jamais jamais eu des problèmes de cœur, que j’étais en bonne santé, que j’aurais pu vivre jusqu’à 100 ans et même plus !
Et le docteur il a redit que ça arrivait des fois, encore la semaine d’avant dans un autre club de foot, un jeune de 20 ans était mort comme moi sur le terrain sans qu’on sache pourquoi.

Papa il alors dit qu’il voulait savoir et il a demandé une « opopsie »… je crois que ça sert à regarder à l’intérieur du corps, ce qui a fait pleurer encore plus maman.

J’aurais tellement voulu faire un câlin à maman, mais j’avais plus de corps pour la serrer dans mes bras. J’étais très triste que elle pleurait sans s’arrêter comme si elle allait mourir aussi, mais de chagrin.

Plus tard, quand le résultat de « l’opopsie » est arrivé, le docteur il a dit à papa que j’avais fait une « miographie[2]» je crois, et que mon petit cœur avait pas supporté les efforts.

Je me rappelle maintenant que j’avais entendu une très vieille madame « ile » à la télé, une grande savante qui disait avec le sourire que c’est sûr que des enfants vaccinés feraient des « miographies », mais qu’en l’entendant c’était pas grave…
Que grâce à la vaccination de tous les jeunes enfants, le méchant virus il circulerait moins vite.
Et les journalistes et les docteurs de la télé ils étaient tous d’accord avec elle et contents !

D’ailleurs pour les docteurs de la télé, je suis comme ils disent une « statistique ».
Je suis un nombre si petit qu’on peut dire que c’est rien.

C’est bizarre, mais quand je regardais les yeux de papa et maman à l’église, devant mon petit cercueil blanc, j’avais pas l’impression que c’est rien pour eux et que j’étais une « statistique ».

Voilà, c’est l’heure, je dois partir, je voulais être un astronaute, je voulais aller dans les étoiles et c’est fait…
Je vais rejoindre les autres enfants, les autres « statistiques » qui sont maintenant au ciel.
Grâce à eux, leurs papis et mamies sont protégés du méchant virus et mon papi et ma mamie aussi.

J’espère qu’ils sont fiers de moi, que maintenant ils peuvent vivre à l’abri du virus.

Alain Tortosa[3]

5 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211105-je-m-appelais-albert-j-avais-6-ans.pdf

  1. [1] https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20211103-Covid-19-aux-%C3%A9tats-unis-la-campagne-de-vaccination-des-enfants-de-5-%C3%A0-11-ans-lanc%C3%A9e
  2. [2] https://sfcardio.fr/actualite/risque-de-pericardite-ou-de-myocardite-apres-vaccin-arnm-contre-la-covid-19
  3. [3] « À tous les enculés qui participent sciemment et froidement au crime d’enfants. »

 

Alors avant de croire des recommandations mercantiles prônant l’injection anti Covid à vos enfants souvenez-vous des faits indiscutablement établis.


  1. [1] https://theCovidworld.com/florian-dagoury-world-record-holder-in-static-breath-hold-freediving-diagnosed-with-myopericarditis-after-pfizer-vaccine-possible-end-of-career/[]
  2. [2] A partir de 13 ans! Longue liste d’athlètes « soudainement » décédés ou gravement malades (report24.news) []
  3. [3] Veuillez signaler d’autres cas ou erreurs: redaktion@report24.news[]
  4. [4] R Vasudeva, P Bhatt, C Lilje Tendances des hospitalisations pédiatriques liées à la myocardite aiguë aux États-Unis, 2007-2016 AM J Cardiology . 15 juin 2021; 149:95-102 doi: 10.1016/j.amjcard.2021.03.019. Publication en ligne du 20 mars 2021.[]
  5. [5] Définition del’OMS maladie orpheline si incidence = ou < à 6 /100 000 habitants[]
  6. [6] Risk of Myocarditis from Covid-19 Infection in People Under Age 20: A Population-Based Analysis (nih.gov) []
  7. [7] https://resistance-mondiale.com/vaccination-contre-larnm-Covid-19-et-developpement-de-la-myopericardite-confirmee-par-cmr[]
  8. [8] Le CDC, Centre for Disease Control, organisme officiel américain qui surveille les maladies aux USA. Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) système officiel de pharmacovigilance américain.[]
  9. [9] CDC Awardee Covid-19 Vaccination Planning Meeting[]
  10. [10] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1 « SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »[]
  11. [11] SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children
    Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »
    https://medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1.full.pdf[]
  12. [12] Vaccination plus risquée que la Covid-19 pour les 12-17 ans – REINFOCovid[]
  13. [13] Forty hospitals in Washington, Oregon, Montana, and Los Angeles County, California, that were part of the Providence health care system and used the same electronic medical record (EMR) were included[]
  14. [14] George A. Diaz, MD1Guilford T. Parsons, MD, MS2Sara K. Gering, BS, BSN3; et al Audrey R. Meier, MPH4Ian V. Hutchinson, PhD, DSc5Ari Robicsek, MD2 Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 JAMA2021 Sep 28;326(12):1210-1212.doi: 10.1001/jama.2021.13443
    Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 – PubMed (nih.gov) []
  15. [15] Yoann 3 oct sur tweeter[]
  16. [16] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
    Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
    Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21[]
  17. [17] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) []
  18. [18] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose[]
  19. [19] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose[]
  20. [20] Je m’appelais Albert, j’avais 6 ans et demi… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) []