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Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel

14/01/2023 (2023-01-14)

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : « Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! »
 AFP / DR]

Par Dr Gérard Delépine

Un “article” récent de l’AFP Factuel – la cellule “fact-checking” de l’Agence France-Presse (AFP) – repris par Actu Orange fait la promotion du vaccin anti-HPV (papillomavirus humain) Gardasil. Il tente de mettre en doute les faits rapportés dans ma tribune publiée par FranceSoir et ignore soigneusement les données officielles. Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! Contre-vérification en détails.

1) NON, IL N’EXISTE AUCUNE PREUVE D’EFFICACITE ANTICANCER DU GARDASIL. Prétendre le contraire, comme le fait l’AFP Factuel, est mensonger :

Pour expliquer l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer invasif (pourtant essentielle pour un vaccin qui revendique cet objectif), l’Agence France-Presse (AFP), via sa cellule de fact-cheking “AFP Factuel”, répète la propagande du laboratoire MSD, qui commercialise le Gardasil 9 :

Il peut se passer entre 10 et 30 ans entre l’infection par le papillomavirus et l’apparition du cancer du col de l’utérus : ce délai n’est pas compatible avec des études cliniques sur ce critère”.

MSD et l’AFP reconnaissent donc que l’efficacité anticancer n’a pas été étudiée. Mais cela ne les empêche pas d’utiliser cette prétendue efficacité non comme argument publicitaire !

Pourtant la Haute Autorité de santé (HAS) précise dans son avis de septembre 2017 sur le Gardasil 9 :

Les données disponibles à ce jour ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant l’efficacité en termes de prévention des cancers, comme pour les vaccins GARDASIL et CERVARIX.”

Alors pourquoi l’AFP ment-elle en déclarant fausse cette diapositive qui rappelle simplement l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer ? Mensonge n°1 !

Et il faudrait prendre pour parole d’évangile la déclaration du professeur Jean-Luc Prétet, directeur du Centre national de référence sur les papillomavirus : “Il y a une vraie protection du vaccin contre les cancers, c’est clairement démontré par les études épidémiologiques« . Ce dernier ne cite pourtant pas une seule de ces prétendues études. Il faudrait donc le croire, sans preuve, alors que toutes les données officielles du monde réel démontrent le contraire ?

2) NON, EN AUSTRALIE LES CANCERS INVASIFS NE DISPARAISSENT PAS !

L’AFP Factuel ment en déclarant faux un authentique graphique officiel australien 

L’éradication des cancers du col partout annoncée par les médias est totalement contredite par les déclarations officielles du gouvernement australien de 2022 reproduites ci-après :

Le nombre de diagnostics annuels de cancer du col de l’utérus est initialement passé de 966 en 1982 à 1 144 en 1994, puis a diminué à 695 en 2002 et a depuis augmenté régulièrement pour atteindre 839 en 2017. En 2021, on estime que 913 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus vont être diagnostiqués en Australie.”

Ce graphique officiel du gouvernement australien illustre l’efficacité du dépistage cytologique (chute du nombre annuel de nouveaux cas de cancers invasifs de 50% entre 1994 et 2002) et dément la propagande permanente des médias et notamment de l’AFP qui prétend que l’Australie verrait l’éradication des cancers invasifs du col grâce à la vaccination, alors que depuis celle-ci leur nombre augmente.

La capture d’écran confirme bien l’origine officielle du graphique et permet à chacun d’en vérifier l’authenticité. Mais l’AFP se contente de le déclarer… “faux”. Mensonge n°2 !

De plus, contrairement aux assertions de l’AFP Factuel (mensonge n°3 !), il ne s’agit pas de projections mais bien des chiffres avérés enregistrés et publiés par les registres officiels des cancers australiens expliquant que les données du graphique publié en 2022 s’arrêtent à 2017.

On ne peut pas croire qu’il s’agirait d’une simple erreur de l’AFP car la source officielle du graphique était rappelée en rouge. L’Agence France-Presse pouvait par conséquent facilement le vérifier.

Barrer d’une croix rouge et qualifier de faux un graphique officiel du gouvernement australien témoigne de sa volonté forcenée d’ignorer les faits qui dérangent.

Plutôt que de rapporter des faits avérés et chiffrés, l’AFP Factuel donne la parole à des experts qui se trompent ou bien mentent.

Ainsi M. Prétet prétend sans aucune vérification (mensonge n°4 !) :

Cette augmentation, si elle existene touche sûrement pas les femmes vaccinées, ce sont des femmes qui sont plus âgées, autour de 45 ans”.

Malheureusement pour lui, cette augmentation constitue un fait avéré et les chiffres rapportés en 2022 par l’Australian Institute of Health and Welfare prouvent que contrairement à ce qu’il pense, chez les 20-39 ans (le groupe le plus vacciné), le nombre annuel de nouveaux cancers de l’utérus a augmenté de plus de 50%, passant de 195 en 2001 (cinq ans avant la vaccination) à 331 en 2021 (après 15 ans de vaccination).

 

L’AFP Factuel utilise comme témoin de prétendus “experts” qui n’étudient, ne vérifient ni ne citent aucun chiffre officiel, mais récitent seulement leur crédo (celui des laboratoires pharmaceutiques, du gouvernement et de l’Institut Pasteur). Ainsi, l’AFP ment en se prétendant « factuelle » !

3) EN SUÈDE, DEPUIS LA VACCINATION, LES CANCERS DU COL AUGMENTENT. Prétendre le contraire constitue un mensonge de plus (le 5ème) :

L’AFP et son expert Francesco Salvo prétendent que les chiffres cités dans ma tribune seraient “inexacts et (représenteraient) une sélection aléatoire et malveillante des données”. Mais ceux-ci ne citent aucune donnée officielle à l’appui de leur croyance.

D’ailleurs, ils reconnaissent eux-mêmes plus loin : “L’incidence des cancers augmente” en attribuant cette augmentation à “des progrès diagnostiques”,alors que les critères anatomopathologiques utilisés pour diagnostiquer le cancer invasif n’ont pas évolué depuis 50 ans.

Mais revenons aux faits, rappelons les données officielles suédoises

En 2017, le Centre suédois de prévention du cancer du col de l’utérus (NKCx) a constaté une augmentation très significative (p < 0,03) de l’incidence du cancer du col de l’utérus passée de 9,7/100 000 en 2006-2009 (date d’introduction de la vaccination) à 11,5/100 000 en 2014-2015.

En avril 2018, un article de l’Indian Journal of Medical Ethics (IJME) a soulevé l’hypothèse que l’augmentation du cancer du col de l’utérus serait liée à la vaccination, mais ce texte a été retiré ultérieurement car son auteur, craignant des représailles, avait utilisé un pseudonyme, violant ainsi la politique de transparence de l’IJME.

En 2019, l’augmentation de l’incidence du cancer du col de l’utérus a été confirmée par Lars Jørgensen lors d‘un plaidoyer tentant d’innocenter la vaccination.

En 2020, l’étude de J. Wang rappelle, de même, l’augmentation d’incidence des cancers invasifs du col dans la dernière décennie :

“Parmi les femmes correctement dépistées avec des résultats normaux, il y a eu une forte augmentation de l’incidence en 2014-2015 par rapport aux années précédentes”.

En 2022, l’augmentation d’incidence est confirmée et analysée par Avalon Sundqvis qui ne parvient pas à en trouver une explication satisfaisante.

Au total, l’augmentation de l’incidence des cancers du col depuis la vaccination en Suède est constatée, confirmée et commentée par tous les articles scientifiques publiés depuis plus de dix ans. Comment l’auteur de cet article publié par l’AFP peut-il l’ignorer ?

La présidente de MSD France, pourtant censée s’intéresser aux chiffres officiels du cancer du col, Clarisse Lhoste, mérite la palme de l’ignorance (ou de la désinformation ?). Elle a osé présenter la Suède, comme un “pays en passe d’éliminer les cancers liés au HPV grâce à la vaccination et au dépistage”.

Ceci est le 6ème mensonge ! Et il est relayé complaisamment par l’AFP. Il s’agit d’un exemple caricatural de négation d’une réalité qui dérange, et/ou d’une propagande réfléchie qui paraît appliquer les conseils les plus manipulatoires en la matière : un mensonge répété mille fois se transforme-t-il en réalité ?

L’AFP ment par omission (7ème mensonge !) en ne rappelant pas l’augmentation de l’incidence des cancers en Grande-Bretagne chez les femmes les plus vaccinées

En Grande-Bretagne, on observe, depuis les campagnes de vaccination, la même évolution paradoxale qu’en Australie et en Suède associant l’absence de diminution globale d’incidence sur l’ensemble de la population, à une augmentation d’incidence chez les femmes âgées de 25 à 34 ans (groupe le plus vacciné) comme le rapporte cette capture d’écran de la figure publiée sur le site officiel Cancer research UK :

Mais bizarrement, l’AFP et ses “experts” feignent d’ignorer cette augmentation d’incidence observée dans le groupe de femmes anglaises les plus vaccinées.

L’AFP ment encore (8ème mensonge !) par omission en ne rappelant pas que la France, peu vaccinée, souffre moins du cancer invasif que les pays très vaccinés.

En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1 /100 000. Depuis, elle est passée en dessous de 6 / 100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège. Et ce sont ces pays qu’on nous donne en exemple !

L’AFP ment encore en prétendant que le Gardasil est sans risques (9ème et 10ème mensonges !)

Elle ne fait que citer les chiffres d’agences gouvernementales qui refusent d’enregistrer les complications post vaccinales et nient systématiquement tout lien de causalité entre complication et vaccin. En détails :

– 9ème mensonge : l’Agence France-Presse fait semblant d’ignorer la mise en garde de l’avisde la Commission de la transparence de septembre 2017 confirmant l’existence de risques neurologiques :

un surrisque de syndrome de Guillain-Barré d’environ 1 à 2 cas pour 100 000 jeunes femmes vaccinées avec GARDASIL ou CERVARIX a été observé dans une étude épidémiologique réalisée par l’ANSM et la CNAMTS.”

– 10ème mensonge : elle cache les nombreuses manifestations de familles qui ont fait vacciner leurs enfants et se plaignent des complications survenus depuis les injections.

On ne peut pas traiter ces manifestants d’antivax puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants alors que ce n’était pas obligatoire… Ils ne dénoncent d’ailleurs pas la vaccination en général, mais seulement la vaccination anti-HPV.

Aux États-Unis, en août 2022, une commission judiciaire a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-HPV Gardasil. Mais l’AFP ne dit mot des procédures en cours. Comment peut-elle les ignorer ?

L’AFP fait-elle encore du journalisme ?

La charte mondiale du journalisme précise clairement :

  1. Respecter les faits et le droit que le public a de les connaître constitue le devoir primordial d’un journaliste.
  2.  Conformément à ce devoir, le/la journaliste défendra, en tout temps, les principes de liberté dans la collecte et la publication honnête des informations, ainsi que le droit à un commentaire et à une critique équitables. Il/elle veillera à distinguer clairement l’information du commentaire et de la critique.
  3. Le/la journaliste ne rapportera que des faits dont il/elle connaît l’origine, ne supprimera pas d’informations essentielles et ne falsifiera pas de documents. Il/elle sera prudent dans l’utilisation des propos et documents publiés sur les médias sociaux.

Plus de dix mensonges en un seul article. Aucune enquête objective. Aucun fait avéré. Aucun chiffre officiel rapporté. La parole donnée à de prétendus experts qui récitent leur crédo publicitaire mensonger sans modération. Voilà le travail accompli par AFP factuel. Il paraît légitime de se demander si cette agence fait encore du journalisme.

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https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/lynchage-organise-de-la-224633    original data in french

by DR Gerard Delépine  oncologist surgeon and statistician

 

 

 

Organized lynching of chloroquine by the media, based on a study with neither verified nor verifiable data

by delepine (his site)
Saturday, May 23, 2020

 

 

Organized lynching of chloroquine by the media, based on a study with neither verified nor verifiable data. Shameful.

 

Fireworks by AFP and almost all French newspapers about a pseudo-study funded by big pharma, claiming that chloroquine would increase the mortality of covid19!

Has journalism gone by the wayside and well-organized disinformation would replace it definitively? Journalism, deceased victim of Covid19, cremated without possible autopsy!

Since this Friday, May 21, almost all the French media (Le Figaro, Le Monde, Marianne, L’Obs, LCI, etc.), the written and audiovisual press, have engaged in a lynching in good standing of chloroquine, citing what they would consider it  »  the largest international study   » on the subject.

Obviously, they haven’t read it or don’t know what a scientific study is. The cited study is not even a macroanalysis (critical study of the medical literature, synthesizing international articles published on a reliable database, like PUBMED, and referenced on a subject). Here, in reality, we are dealing only with a large collection of unsupported data, based on non-verifiable elements, recovered by a private for-profit site.

Sadly, the publication in the LANCET of this heartbreaking text, to remain polite, seems to be enough for its laudators as proof of « exact science ». Poor science whose name has been so overused for three months that one hardly dares to pronounce it. The Lancet and our perception bias depending on the issuer, explains the JIM. The Lancet and so: forget that for 20 years and Big Pharma’s stranglehold on international medicine and its scientific journals, peer-reviewed journals are no longer what they used to be. For honest readers, it suffices to refer to the writings of Marcia Angell who was editor of the New England journal of medicine, resigned from it and wrote an explicit book in 2002.  »  The truth about the pharmaceutical industry Perverted our elites: how it deceives us and how to thwart them, was a first shock on what was going on and was going to get worse. His successor at the head of the newspaper resigned three years later for the same reasons of incompatibility of scientific ethics and submission to the merchants of Big Pharma.

Professors Even and Debré also alerted in France in silence, and were even prosecuted by the order of doctors, whose choices are clearly seen. The French were very wrong to despise these alerts. Their healthcare system in the hands of business collapsed and they only became aware of it with the Covid crisis. For how long ?

 

 Rather than take the Lancet mystifiers, who devalue themselves again, to take their word for it, let’s look at the facts.

 

Who are the main authors of this lying Lancet article?

Dr. Mandeep Mehra is a cardiologist in the Brigham and Women’s Hospital Heart and Vascular Center in Boston. Its main activity is to help drug companies sell drugs. Not voluntarily: he thus received emoluments from the laboratories Abbott, Medtronic, Janssen, Mesoblast, Portola, Bayer, Baim Institute for Clinical Research, NupulseCV, FineHeart, Leviticus, Roivant, and Triple Gene … It starts very strong!

Sapan S Desa SSD is a founding vascular surgeon of Surgisphere Corporation, a private firm, responsible for much of the data acquisition for this study.

Frank Ruschitzk is a cardiologist in Zurich; he was paid as a laboratory advisor, as responsible for therapeutic trials, and also for conferences and work paid by big pharma (for some on his university account).

None of the authors is an infectious disease specialist, none has treated a patient with Covid19. Very strong !

 

What are their sources?

Hospital registers (mainly American, as the population shows, 69% native American).

These registers are not published in international literature, nor accessible by internet, unlike the national registers on which we work regularly. Their medical values and data have never been verified by independent doctors. The article in question therefore constitutes only a sum of data of uncertain values, coming from sites whose selection is possibly biased. When it is known, moreover, that in many countries of the world, the patients suspected of Covid19 without proof were automatically classified Covid19 on the recommendation of the WHO, but also by financial interest of the institutions, since from American hospitals to Italians in passing by the French, German and Spanish, the patients classified covid19, without test most often, and on simple « impression » of the doctor,

How can such inaccuracies lead to such a dubious publication and its magnified echo in the media, misinforming the people? Obvious financial focus: since at the same time, we are told the beautiful story of Remdesivir which will in reality only do good to the shareholders of Gilead.

What patients are they talking about?

The article is only interested in hospitalized patients, while the aim of Professor Raoult’s treatment is precisely to avoid hospitalization by treating patients early in the course of the disease.

 This study on registers is retrospective, non-randomized, without a control group drawn by lot , all requirements repeated a hundredfold on the media to criticize the work of Raoult, which them at least were prospective.

If this Lancet study had aimed to study the fate of chloroquine failures according to the Marseille scheme, it could have had a meaning, provided that it did not draw generalities from all the patients treated by this scheme .

But to select only the failures of a treatment to supposedly assess its global interest, testifies to an unscientific method, completely biased. If we applied this method to judge the effectiveness of vaccination against measles by looking at hospitalizations during the last outbreaks of the disease in the USA, we would conclude that vaccination is ineffective, since the vast majority of patients have been vaccinated!

 

Their conclusion of chloroquine ineffectiveness is invalidated by their own figures!

Their conclusions on the ineffectiveness of the Raoult treatment are also contradicted by the low percentage of patients hospitalized after early dual therapy recommended by Raoult: of the 98,262 patients in the Lancet study, suffering from hospitalized covid19, only 6,211 (6%) received dual therapy within 48 hours of diagnosis, while the natural course of the disease requires hospitalization in 10% to 20% of cases according to the Ministry of Health. If the Raoult protocol were ineffective, we should find among hospitalized patients a percentage of patients equivalent to the whole group. However in the USA 50% of doctors use the Raoult scheme as a treatment for Covid. If this treatment were ineffective, the same proportion should be found among hospitalized patients,

 

Their conclusions on excess mortality after chloroquine are also biased by their sampling and / or their a priori.

Only a prospective study could assess the risk of mortality and the cardiac risk after Raoult treatment for Covid19.

The risk of heart rhythm disturbances of chloroquine alone has been known for 70 years and well below 1%. The possibility of increasing the risk by the association with azithromycin cannot be excluded in the elderly with heavy comorbidity, but has not been observed in pregnant women in malaria endemic countries where this association is frequently used .

Currently the largest prospective study published on this problem is that of Professor Raoult who has observed no fatal cardiac complications of chloroquine.

In conclusion it is a pity that so many newspapers repeat manifestly false conclusions without any critical inquiry into their validity. Are there still investigative journalists? Are they gagged by their shareholders?