Archive d’étiquettes pour : effets secondaires injection génique

il y a de nombreux mois que nous avertissons avec d’autres dont patrice Gibertie dont est l’ article de 2022  sur les dangers de la fertilité liés aux injections expérimentales anticovid est rerpoduit ci dessous , de même que sur l’allaitement maternel toxique des mères injectées.

 

même si d’autres causes étaient décelables avant 2020, le poison injecté a aggravé largement la dépopulation (selon un plan avoué et prévu par les adeptes de Davos

ALORS POURQUOI JOUER LES CANDIDES ET NE PARLER QUE DE PLACES DE CRECHES OU DE MERES CELIBATAIRES ?

 

IL EST GRAND TEMPS D’INTERDIRE L’INJECTION DE CE POISON A RISQUE MORTEL COMME LE SOULIGNE LE PR RAOULT

 

RAPPEL

 

Nouveau Monde — Baby crash : demain, un monde sans bébés ? (nouveau-monde.ca)

Baby crash : demain, un monde sans bébés ?

27/04/2023 (2023-04-27)

[Publication initiale :
https://www.sante-sans-filtre.com]

Par Nicole Delépine

Médecin hospitalier, pédiatre et oncologue, Nicole Delépine se bat, depuis 40 ans, pour une meilleure prise en charge des malades à l’hôpital. Reconnue au niveau international pour sa connaissance du cancer, elle a notamment dénoncé les paradoxes du Gardasil, le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Elle vient de publier Les Enfants sacrifiés du Covid (Fauves).

Alors que 30 % des Françaises en âge de procréer ne souhaitent pas avoir d’enfants pour « sauver la planète bleue », l’avenir de l’humanité ne serait-il pas déjà compromis par la baisse de la fertilité qui s’observe depuis plusieurs décennies ? Ajoutez à cela les effets des injections géniques anti-Covid 19, et vous pouvez sérieusement douter des statistiques annonçant 10 milliards d’êtres humains en 2050 !

La baisse de la concentration de spermatozoïdes chez l’humain est connue depuis de nombreuses années et la synthèse récente de la revue de référence Human Reproduction Update montre une chute encore plus vertigineuse depuis une quarantaine d’années1. Surtout, elle souligne le déclin rapide de la fertilité masculine. Cette publication, de grande ampleur, est fondée sur des centaines d’études publiées sur le sujet et rassemble les données couvrant la période 1973-2018 disponibles dans plus d’une cinquantaine de pays.

Ainsi, en 45 ans, la concentration moyenne de gamètes dans le sperme de la population masculine générale est passée de 101 millions par millilitre (M/ml) à 49 M/ml, soit moitié moins ! En outre, comme le rappelle l’urologue française Valentine Frydman, « 20 % de l’infertilité est d’origine masculine stricte ». Pas étonnant, rien qu’avecce premier constat, que la fécondité chute partout dans le monde.

En France, près de 3,3 millions de personnes, soit environ 1 couple sur 6, sont directement touchées par un problème d’infertilité. Un phénomène qui ne cesse d’augmenter depuis une vingtaine d’années selon les professionnels du secteur, comme le Pr Jean-Marc Ayoubi2.

Le canari dans la mine

Ce déclin rapide de la fertilité masculine ne concerne pas seulement les pays du Nord, mais le monde entier. Le pire, c’est que, loin de ralentir pour se stabiliser, le phénomène est en forte accélération.

« En incluant toutes les données postérieures à 1973, le taux moyen de la chute est de 1,16 % par an au niveau mondial. Ce rythme a plus que doublé depuis le début du XXIe siècle, passant à un déclin de 2,64 % par an sur la période 2000 -2018. » Une accélération qualifiée d’« alarmante » par les auteurs de cette étude. « Nos résultats sont comme le canari dans la mine, déclare M. Levine. Nous avons entre les mains un problème grave qui, s’il n’est pas maîtrisé, pourrait menacer la survie de l’humanité. » Ces tendances concernent également les pays d’Afrique et d’Amérique du Sud3, pays qui n’avaient jamais connu un tel phénomène jusqu’alors.

Avant 2020, d’autres causes

Face à des changements inédits, comme la féminisation du sexe des poissons, de nombreuses études ont occupé des unités de recherche dans le monde.

Les experts évoquent, pêle-mêle, de possibles facteurs : d’abord les causes individuelles liées au mode de vie (tabagisme, sédentarité, alimentation, surconsommation médicamenteuse, etc.), mais aussi les causes globales, notamment environnementales (pesticides et produits de synthèse, pollution, etc.).

Tous les perturbateurs endocriniens4, 5 contenus dans le moindre de nos cosmétiques ou aliments industriels sont des molécules qui agissent directement sur notre système hormonal et qui peuvent engendrer, du fait de leur accumulation (le fameux « effet cocktail »), divers dysfonctionnements : insuffisance ovarienne, spermatogenèse défectueuse, fausses couches, grossesses pathologiques…

La donne change avec le Covid

L’arrivée du Covid a rebattu un peu les cartes. Si les premières mesures coercitives ont conduit certains à évoquer un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, sous l’effet de la consolation de la couette, manifestement, il n’en fut rien.

La dépression collective induite par la succession de peurs inoculées, répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée, n’y est sûrement pas étrangère. La terreur d’une guerre nucléaire potentielle, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries bien organisées (pas d’huile ni de moutarde en France et les rayons pleins en Italie), l’explosion du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité : bref le pouvoir passe son temps à nous menacer du pire… Ajoutez à cela la dépendance aux écrans, qui remplacent de plus en plus les relations humaines. Et vous comprenez assez aisément pourquoi le baby-boom tant annoncé n’a pas eu lieu.

La vaccination a-t-elle accéléré le déclin ?

En France, l’Insee confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudo-vaccination.

« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance, qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte de taux de vaccination de 85 % dans la population, s’est aggravée depuis le mois d’août, c’est-à-dire après la troisième dose. Pour l’instant, l’Insee ne donne aucune explication à cette baisse inquiétante pour l’avenir démographique du pays6. »

Les naissances repartaient en effet à la baisse dès mars 2022, avec un peu moins de naissances entre mars et juillet 2022 qu’entre mars et juillet 2020. En août 2022, il y a eu en revanche un peu plus de naissances qu’en août 2020. Mais en septembre 2022, les naissances repartent à la baisse, avec 4 % de bébés en moins qu’en septembre 2020, quand l’évolution des naissances n’était pas encore affectée par la pandémie de Covid-19.

La baisse s’intensifie en octobre, avec 6 % de bébés en moins qu’en octobre 2020. Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2 100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de Covid. Ils n’ont été que 2 000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Le phénomène est très inquiétant…

Ailleurs dans le monde, même refrain ?

L’Australie a elle aussi enregistré une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés78. D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. Le mois suivant, de novembre à décembre, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

« Décembre tombait environ neuf mois après le lancement des vaccins Covid », note D. James de Life-SiteNews à propos de cette période charnière qu’est la grossesse.

Le Dr L. McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patientes après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed9, le taux de fausses couches chez les patientes de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes vaccinées, il a atteint 74 %.

Taïwan a également connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.

Aux États-Unis, ces 3 phénomènes inédits

Selon Brighteon.TV, les chercheurs N. Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins, au-delà même du simple échec de la reproduction.

Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme et la fonction prostatique, et de fertilité féminine. La Food and Drug Administration a même été informée à ce sujet dès le 1er avril 2021, sans aucune réaction. Des échographies ont révélé une inflammation et des calcifications anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection, de même que des anomalies du pénis reconnues par Pfizer dans ses documents internes. Un taux actuel de 87,5 % de fausses couches a été révélé sur le VAERS10. La FOIA (agence américaine pour la liberté d’information11) révèle que Pfizer et les agences de régulation ont caché (ou en tout cas largement minoré) les dangers réels de l’injection contre le Covid pendant la grossesse, alors qu’ils avaient conscience que cela augmentait le risque de malformations congénitales et d’infertilité.

Cette fraude et cette tromperie auraient causé au moins 4 113 décès fœtaux dus à la vaccination contre le Covid-19 rien qu’aux États-Unis contre 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant les injections contre le Covid-19…12 Rappelons que le VAERS ne représente que 1, 2 ou 3 % des cas réels — en raison des non ou sous-déclarations. Si l’on multiplie le chiffre officiel par 40, qui est le facteur de sous-déclaration le plus souvent utilisé, il s’agirait probablement de 140 000 morts fœtales13.

Quant à l’allaitement des bébés par des mères vaccinées, il pourrait également aggraver le risque de mortalité périnatale. « De faibles niveaux transitoires d’ARNm du vaccin ont été détectés dans le sérum des mères vaccinées avec un transfert occasionnel dans leur lait maternel14. » Or, depuis au moins 2015, la FDA sait que les produits géniques sont excrétés15.

Pfizer et les agences savaient également que l’étude limitée sur les animaux montrait un risque important pour le fœtus en développement, mais ils ont activement choisi de supprimer cette information des documents publics.

Cette information a été révélée grâce à une demande d’accès à l’information américaine (FOI) adressée au Government Department of Health par la Therapeutic Goods Administration (TGA) du gouvernement australien.

Alors corrélation, causalité ou simple coïncidence ?

Bien sûr, les premières interprétations furent traitées de « complotistes » — comme si on pouvait légitimement faire confiance aveuglément à ces castes corrompues. Une analyse plus fine des données semble malheureusement conforter l’idée du rôle causal des injections géniques dans la baisse de la natalité des pays injectés et singulièrement en Suisse.

« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. » Ensuite, en comparant entre les régions, « on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %)16. »

Un avocat suisse demande d’ailleurs la suspension définitive de cette injection génique au regard des dégâts notoires chez les enfants17.

Et maintenant ?

Le rôle de la pseudo-vaccination anti-Covid dans la baisse de la natalité et la mortalité néonatale semble statistiquement démontré à travers cette analyse qui ne saurait être exhaustive pour les besoins d’un court article. Toutefois, une analyse des données sur les taux de natalité dans les pays européens montre une baisse significative (pouvant atteindre 19 %) des naissances vivantes chez les 18-49 ans neuf mois après le début des vaccinations Covid, tout particulièrement dans les pays à taux de vaccination élevés.

En tant que pédiatre, permettez-moi d’être particulièrement inquiète. Il faut stopper toutes ces injections au plus vite, non seulement celles contre le Covid, mais aussi celles contre la rougeole, la grippe ou le cancer qui seraient basées sur la technologie ARNm.


 

ET L’ANALYSE DE L EXCELLENT PATRICE GIBERTIE dès 2022

 

Nouveau Monde — La « vaccination » c’est bon pour les affaires, mais pas pour les bébés : effondrement de la natalité 9 mois après le début des injections (nouveau-monde.ca)

La « vaccination » c’est bon pour les affaires, mais pas pour les bébés : effondrement de la natalité 9 mois après le début des injections

INJECTIONS GENIQUES CHEZ LES ENFANTS 24 NOV 22 PDF

03/09/2022 (2022-09-03)

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Sandrine Rousseau sera heureuse, les injections mettent à mal la virilité et la fertilité !

Encore une excellente analyse de nos amis suisses Data Héros, retransmise par le collectif de médecins suisses

Collectif Sauver la Science

@GabinJean3

Situation au 25.08.2022
Analyse complète des taux de natalité dans 18 (23) pays européens avec des preuves significatives du lien entre la vaccination et la baisse du taux de natalité

Natalité :

« Une baisse significative des naissances caractérise le premier semestre 2022. Dans 15 pays, cette baisse est supérieure à 4 %, et dans 7 pays, supérieure à 10 %. »

Est-elle liée aux campagnes de vaccination covid ?

« Une corrélation négative significative entre la baisse des taux de natalité et la fréquence des vaccinations est constatée dans 14 des 18 pays. »

Attention: rho de Spearman = basé sur le rang, pas sur les données chiffrées.

Le cas de la Suisse est l’une des plus spectaculaires. La baisse de la natalité y est massive, et intervient dans une période qui correspond très bien à la vaccination des femmes en âge de procréer avec un décalage de 9 mois.

Si l’on prend du recul historique, la baisse reste absolument spectaculaire en Suisse. En temps ordinaire, médecins, statisticiens, psychologues, sociologues devraient tous être sur le coup pour comprendre ce qui explique cette baisse de la natalité en Suisse et en Europe.

Nos biologistes et profs de médecine préférés (Tatianna et Papanours) en rajoutent : la protéine spike ce n’est pas bon du tout pour les spermatozoïdes et la reproduction :

Bioweapon : Preuves solides de la capacité à infecter le sperme humain in vitro, l’expression de molécules telles que ACE2, BSG, CTSL et TMPRSS2 et leur rôle dans l’entrée virale dans les cellules hôtes des testicules humains tout comme le sperme éjaculé :
https://mdpi.com/2073-4409/11/17/2631

Papanours

Ces ACE2 existent aussi (Douglas et al., 2004) : — sur les ¢ de Sertoli (¢ de soutien à rôle nourricier vis-à-vis des futurs spermatozoïdes, tapissant la paroi des tubes séminifères du testicule, elles sont l’équivalent chez la femme des ¢ folliculaires=cellules de la granulosa)

 

@papanours60

– sur les ¢ de Leydig (=¢ interstitielles qui par le biais de la sécrétion de 85 % de la testostérone — reste provenant des surrénales —, contrôlent dév. + maintien des caractères sexuels 1aires et 2aires + fonctionnement de l’appareil repro. masculin + comportement sexuel.)

 

for true and humane medicin
@tatiann69922625  nous annonce en prime la présence d’un toxique fortement cancérigène dans le Moderna, l’Antimoine…

MAIS REVENONS À LA NATALITÉ

Il y aurait de l’antimoine dans le  Moderna covid :
https://documentcloud.org/documents/22140176-report-from-working-group-of-vaccine-analysis-in-germany…

« Les découvertes sont importantes, car l’antimoine est un élément toxique et il faut clarifier quelle est sa fonction dans le vaccin COVID-19 de Moderna ou s’il s’agit d’un contaminant indésirable. »

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Stop à la roulette russe pour les petits via l’injection covid

23/01/2023 (2023-01-21)

Par Nicole Delépine

À l’heure où l’extrême toxicité potentielle de certains lots de « vax » anticovid (la roulette russe) déferle sur tous les médias mondiaux dont certains mainstream, ce que nous — médecins et soignants — recevons de la direction générale de la santé (DGS) nous invite à vous parler une nouvelle fois des risques des injections anticovid chez les enfants, de plus parfaitement inutiles pour une maladie curable par de simples médicaments et n’ayant aucun risque létal chez l’enfant tout particulièrement.

Courrier en date du jeudi 19 JANVIER 2023 alors que défilent des millions de personnes dans les rues de France pour s’opposer à la réforme des retraites et plus globalement s’opposer à la politique gouvernementale. « [COVID-19] DGS-Urgent n°2023_03 : Ouverture de la campagne de vaccination aux enfants de 6 mois à 4 ans à risque de formes graves de Covid-19 »

On peut y lire : (extraits) :

« La Haute Autorité de santé recommande, dans son avis du 15 décembre 2022, d’ouvrir la vaccination aux enfants âgés de 6 mois à 4 ans à risque de formes graves de Covid-19 ainsi qu’aux enfants de cette même tranche d’âge vivant dans l’entourage d’une personne immunodéprimée, avec le vaccin susmentionné.

La campagne de vaccination concerne les enfants âgés de 6 mois à 4 ans présentant au moins une comorbidité identifiée par la HAS.

La liste des comorbidités regroupe l’ensemble des comorbidités préalablement identifiées chez l’adulte comme pouvant comporter un risque de développer une forme grave de la maladie, ainsi que certaines pathologies particulièrement à risque pour cette classe d’âge, dont la liste est la suivante :

– Les cardiopathies congénitales ;
– Les maladies hépatiques chroniques ;
– Les maladies cardiaques et respiratoires chroniques (y compris l’asthme sévère nécessitant un traitement continu) ;
– Les maladies neurologiques ;
– L’immunodéficience primitive ou induite par médicaments ;
– L’obésité ;
– Le diabète ;
– Les hémopathies malignes ;
– La drépanocytose ;
– La trisomie 21.

À ces pathologies peuvent s’ajouter des situations où, au cas par cas, sur la base d’une évaluation stricte du rapport bénéfice/risque individuel, les médecins spécialistes d’organes et de maladies rares peuvent proposer la vaccination à des enfants du fait d’une vulnérabilité conférant un risque majeur de formes graves de Covid-19.

La campagne de vaccination concerne également les enfants âgés de 6 mois à 4 ans vivant dans l’entourage d’une personne immunodéprimée dans le cadre de la stratégie de cocooning.

La primo-vaccination des enfants âgés de 6 mois à 4 ans comprend l’injection de 3 doses de la forme du vaccin spécifique à cette tranche d’âge (3 µg/dose). Les deux premières doses doivent être administrées à 21 jours d’intervalle. La troisième injection doit être réalisée 8 semaines après la deuxième.

Même en cas d’infection au Covid-19 survenue avant le début du schéma vaccinal ou entre les différentes injections (exemple : infection survenant avant la 1re injection, ou entre la 1re et la 2e injection ou entre la 2e et la 3e injection), les trois doses devront in fine être réalisées, pour garantir une protection optimale.

En cas d’infection au Covid-19, un délai de 3 mois devra être respecté entre l’infection et l’injection. Il est important de compléter un schéma vaccinal entamé. En effet, la protection apportée par seulement deux doses pour cette classe d’âge est insuffisante. La protection est optimale après la troisième injection.

Il est par ailleurs possible de recevoir un autre vaccin du calendrier vaccinal concomitamment au vaccin COMIRNATY 6 mois 4 ans. Si ceux-ci ne sont pas administrés le même jour, aucun délai spécifique n’est à respecter entre les deux injections.

Les sages-femmes et les infirmiers diplômés d’État (IDE), notamment les IDE puéricultrices et puériculteurs, qui ont l’habitude de vacciner les enfants de cette tranche d’âge, sont autorisés à leur administrer le vaccin dès lors que celui-ci a été prescrit par un médecin.

Comme pour la vaccination des autres publics mineurs, la vaccination des enfants âgés de 6 mois à 4 ans nécessite l’autorisation des deux parents, sauf impossibilité pour l’un des deux parents de recueillir l’accord de l’autre parent. Il n’est en revanche pas nécessaire que l’enfant soit accompagné par un de ses parents. La personne qui l’accompagne doit pouvoir établir qu’elle détient l’accord parental et présenter un formulaire d’autorisation parentale dûment signé par les deux parents.

Le formulaire d’autorisation parentale est disponible ici, et devra être remis au personnel dans le lieu de vaccination. Les formulaires d’autorisation parentale sont à conserver durant 3 mois suivant la vaccination1.

La vaccination des enfants de 6 mois à 4 ans les plus à risque pourra débuter dès la semaine du 16 janvier 2023 dans les établissements de santé et services concernés. Afin de vacciner les autres enfants prioritaires, une offre de vaccination en ville est également proposée. À compter du lundi 23 janvier 2023, les officines pourront commander des flacons du vaccin Comirnaty® pédiatrique 6 mois — 4 ans (Pfizer-BioNTech) pour les médecins, sages-femmes et infirmiers diplômés d’État (IDE) qui leur en font la demande directement sur l’outil de commande de Santé publique France, en sélectionnant le libellé suivant : « VACCIN COVID 19 PFIZER PED 6M4A ».

COMMENT EN 2023 ENCORE INJECTER DES ENFANTS AVEC CETTE SUBSTANCE EXPÉRIMENTALE INEFFICACE ET DANGEREUSE ?

Rappelons une fois de plus les données de santé publique France que les enfants risquent beaucoup moins du Covid que de la grippe :

On nous invite à injecter les enfants de six mois à quatre ans « à risque » parce que porteurs de certaines pathologies. Mais ces petits ont souvent une immunité précaire qui rend les vaccins généralement inefficaces alors que les médicaments tels l’Ivermectine sans toxicité et l’hydroxychloroquine associée aux macrolides suffiraient à la guérir. Et il est maintenant bien démontré que les injections géniques anticovid baissent l’immunité et de plus en plus avec la multiplication des doses.

Comment imaginer que des médecins et sur leurs ordres des sages femmes et infirmiers vont prendre la lourde responsabilité de risquer la vie ou la qualité de vie d’enfants pour une maladie beaucoup moins dangereuse que la grippe pour eux et de plus presque disparue en Europe ?

Comment faire comprendre aux prescripteurs et injecteurs leur immense responsabilité par la confiance que leur font les familles et les dangers qu’ils font courir à leurs petits patients ?

LES TOXICITÉS SE MULTIPLIENT AVEC LE RECUL

Dernières nouvelles du VAERS au 30 décembre 2022 USA : 61 000 évènements indésirables et complications chez les enfants et bébés (6 mois — 17 ans) rapportés par l’agence dépendant de la FDA dont 179 enfants décédés à la suite des injections géniques

Selon le sénateur Ron Johnson

 

14 janv.

« The VAERS data for children aged 0-17 shows 179 deaths, 575 permanent disabilities and 61,983 adverse events. How many more will it take for

@CDCgov

to admit the truth? » quand le gouvernement américain va-t-il admettre la vérité ?

 

En UE on connaissait clairement le danger dès janvier 2022
EN UE, EN JUILLET 2022

Des décès chez les enfants après injection génique CONTINUENT à être signalés. Comment la Commission européenne en oct 2022 et à sa suite la HAS peuvent-elles oser recommander ces injections possiblement létales chez de jeunes enfants qui ne risquent rien du covid (même les enfants présentant une comorbidité sont très peu à avoir été véritablement impactés par le covid, moins de dix morts par an).

@El_Dic_TatoR 25 juil. 2022
Plus de 37 000 effets secondaires d’enfants en Europe après vaccination E.M.A (EudraVigilance)
Moderna 2 328
Pfizer 33 311
AstraZeneca 1 240
J&J 187
Le reste des effets secondaires des enfants est volontairement caché dans la catégorie « Âge non spécifié » : 106 304

 

Et les rapports s’accumulent s’ajoutant aux vécus quotidiens de nombreuses personnes : des parents dont les jeunes enfants ou adolescents décèdent lors d’un match de foot ou d’une compétition de boxe… Les sportifs du monde entier sont atterrés des crises cardiaques et/ou morts sur le terrain. Certains demandent des enquêtes afin que la tragédie s’arrête.

On pourrait multiplier les témoignages et les analyses et de nombreux livres sont en cours de rédaction, accumulant les observations et les déclarations en justice.

Mais nous n’avons pas le temps d’attendre. Ces injections doivent cesser MAINTENANT.

Ou encore ce médecin ému aux larmes :

@ONG_AHSI
17 janv. #STOPvaccincovid19
Pr Abdullah Al Abdulgader, éminent cardiologue, appelle toutes les nations à stopper les injections à ARNm, de toute urgence. #Cardio #myocardite #AVC

Alliance Humaine Santé Internationale

Alors écoutons pour une fois la pub du gouvernement sur nos antennes (payé par nos impôts) : « un geste bien répété finit toujours par payer ».

Prenons-les au mot et répétons encore et encore que les injections à ARN messager doivent être stoppées, interdites dès maintenant et singulièrement chez les enfants2.

Participons tous au sauvetage de l’humanité, car si trop d’enfants ou de jeunes adultes sont injectés, la baisse de la fertilité déjà constatée ne fera que s’aggraver3.

En France :

Comme en Italie :

Mais aussi en Hongrie :

Ou au Japon :

Informez par tous les moyens (conversations amicales, familiales, tracts et pourquoi pas réseaux sociaux, etc.) du terrible de danger de ces pseudovaccins. Chacun, même les pluri-injectés, s’il est sollicité par un petit caillou dans son déni pourra constater la véracité de nos propos, chez un ami, un proche, etc. perte de poids rapide, perte d’appétit complète et douleurs du dos et comme par hasard encore un cancer du pancréas… Ou une rechute brutale de cancer du sein en rémission depuis dix ans, ou encore une régression psychique rapide d’un parent qui perd son chemin et ne reconnaît plus ses proches.

ET NE LAISSEZ PAS INJECTER LES PETITS ! C’EST VOTRE DEVOIR D’HUMAIN DE PROTÉGER NOTRE AVENIR.


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Complications des «pseudovaccins » anticovid 4 mars v 10 Mars

 

La CPAM  recommande à nouveau l’injection de petits alors qu’ils sont à risque zero du covid et ne transmettent la maladie ni aux autres enfants ni aux adultes

 

cet acharnement doit etre dénoncé partout pour sauver des enfants dont les familles n’auraient pas été informées

 

diffusons les infos via de simples tracts à mettre dans des boites aux lettres etc..

Protégeons les injectés ! Qu’ils stoppent cette intoxication et protégeons les enfants ! Que les parents ne les condamnent pas à un avenir incertain !

La plupart des injectés ne veulent pas entendre parler des drames post injections et préfèrent continuer à écouter la pensée magique de Véran et de ses complices malgré leurs mensonges permanents.

Pourquoi ? Difficulté à reconnaître qu’on s’est trompé ? Drame psychologique personnel ? Pourtant, regarder la réalité en face pourrait leur éviter d’aggraver leur état avec les autres doses que Veran veut imposer de plus en plus fréquemment. Il existe manifestement une toxicité cumulative, en particulier en matière de problèmes cardiaques et neurologiques. Tentons de les informer par des tracts, des discussions à la sortie des magasins, pendant les manifestations, etc.

Tentons de les informer le plus doucement et humainement possible, car ce sont des victimes. Victimes du viol des consciences par les médias, les patrons, mais aussi des familles angoissées qui ont harcelé les vaccino prudents jusqu’à ce qu’ils se laissent « convaincre » et deviennent des « malgré nous ».

N’ajoutons pas un jugement de valeur aux pressions subies et mensonges médiatiques répétés qu’ils ont subis. Informons-les pour qu’ils épargnent leurs enfants.

Rappelons d’emblée qu’aussi bien aux USA qu’en UE ou en Grande-Bretagne, ou en Suisse le nombre d’effets délétères est extrêmement élevé par rapport aux complications enregistrées des vax depuis trente ans.

Toutes les classes d’âge ont été atteintes par les effets secondaires, y compris les plus âgées

Chez les sujets âgés, à haut risque par leurs pathologies sous-jacentes de tous types (artérite, etc.), la mortalité a été élevée lors des premières doses, mais le lien de causalité directe est systématiquement nié.

Sauf en Norvège (https://www.lindependant.fr/2021/01/15/covid-19-la-norvege-annonce-le-deces-de-23-personnes-suite-a-des-injections-du-vaccin-pfizer-9313761.php), où après la mort post vaccinales de 23 pensionnaires de maison de retraite les autopsies réalisées chez 13 d’entre eux suggéraient que des effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles.

À la suite de ces constatations, l’agence sanitaire a recommandé de ne pas injecter les personnes âgées de plus de 80 ans. « Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves ». « Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

De nombreux vieillards sont morts rapidement après leur première dose par AVC, infarctus ou « mort subite » en plus des gens âgés en EHPAD ou en HAD « euthanasiés » sans leur volonté au Rivotril (de l’ordre de 10 000).

Et le pouvoir a poussé à les injecter sous prétexte de leur fragilité qui n’a que renforcé les risques de l’injection. Encore maintenant, on entend trop souvent dire qu’on pourrait réserver le « vax » aux plus de 65 ans, alors qu’il existe des traitements précoces efficaces et que les plus vieux restent des citoyens à part entière qui ont aussi la liberté de penser et d’accepter ou non ce poison. S’exonérer d’un refus total de ces thérapies géniques est inacceptable…

Chez les gens de tous âges porteurs d’une maladie chronique, on note de plus en plus des aggravations de ces pathologies spécifiques : cancers[1] (y compris en rémission avec évolution rapide), maladies neurologiques de type SEP, etc., et autres auto-immunes de tous genres.

Chez les plus jeunes, la survenue de myocardites[2] post injections a rapidement été notée, d’autant plus fréquente que le « vacciné » est plus jeune et en particulier chez les adolescents. Nous sommes très inquiets pour les plus petits qui commencent à être injectés sans raison sanitaire réelle.

Chez les femmes, de nombreux troubles des cycles menstruels qui durent, fausses couches augmentées de façon importante, naissance de nouveau-nés qui décèdent rapidement dans le mois qui suit la naissance, ont rapidement attiré l’attention depuis les premiers mois des injections, qui auraient dû faire interrompre les vax de la part du corps médical et refuser de la part des citoyens, et imposer au minimum un moratoire.

Point actuel sur les chiffres publiés sur différents sites officiels

Selon le site américain VAERS

VAERS data des Centers for Disease Control & Prevention

Total de 1 071 856 déclarations d’événements indésirables dans tous les groupes d’âge après injection anti-COVID :

22 607 décès et 178 994 événements graves entre le 14 décembre 2020 et le 21 janvier 2022.

Les données DMED (pharmaco vigilance des armées américaines) ont fuité

Avec les principaux effets secondaires constatés par comparaison aux années antérieures. Précisons qu’il s’agit d’une population jeune en bonne santé donc ces chiffres sont particulièrement inquiétants.[3]

  • Tachycardie : augmentation de 202 %
  • Cancer du testicule : augmentation de 269 %
  • Dysfonctionnement ovarien : augmentation de 337 %
  • Migraines : augmentation de 352 %
  • Embolie pulmonaire : augmentation de 368 %
  • Infertilité féminine : augmentation de 372 %
  • Néoplasmes de la thyroïde et d’autres glandes endocrines : augmentation de 374 % 08
  • Démyélinisation : augmentation de 387 %
  • Cancer du sein : augmentation de 387 %
  • Syndrome de Guillain-Barré : augmentation de 451 %
  • Tumeurs malignes des organes digestifs — augmentation de 524 %
  • Sclérose en plaques : augmentation de 580 %
  • Tumeurs malignes de l’œsophage : augmentation de 794 %
  • Maladies du système nerveux : augmentation de 948 %
  • Hypertension : augmentation de 2 081 %

Myocardites en fonction de l’âge rapportées par le VAERS

Les atteintes cardiaques ont été les premières à inquiéter sérieusement les Israéliens au début des injections massives. Elles ont été rapidement constatées aux USA et demeurent un drame terrible pour les jeunes particulièrement touchés dont parallèlement les risques du covid lui-même étaient zéro.[2] Insistons sur le fait que l’atteinte cardiaque même si elle ne tue pas tous les patients affectés reste une lésion définitive qui va compromettre l’espérance de vie du sujet très probablement et en tous cas le rendre incapable d’activités sportives intenses.

Taux d’effets secondaires : les chiffres sur le site du gouvernement du Canada

Des effets secondaires graves post-vaccination « par 100 000 doses administrées et non par 100 000 personnes »

Selon le site de l’ANSM pour la France

Selon le site de l’UE 27 pays

Et dans le détail des pathologies

Drame chez les enfants pourtant à risque zéro du covid :

Via t.me/vaccinosceptique

DRAME CHEZ LES SPORTIFS

https://etouffoir.blogspot.com/2022/01/vaccins-des-sportifs-et-des-athletes-du.html?m=

VACCINS —Des sportifs et des athlètes du monde entier perdent leur carrière, leur santé et parfois leur vie, par suppression tyrannique de leur droit à disposer d’eux-mêmes.

Conclusion

Il est évident que l’accumulation des effets secondaires déclarés dans le monde n’est plus possible à résumer en un article, tant les données sont importantes en nombre et qualité. Ce petit résumé a pour but de rappeler la dangerosité de ces injections toujours expérimentales et donc d’aider à résister à l’injection de commodité par lassitude du harcèlement.

Mais comme le répète Mike Yeadon inventeur de la technique et lanceur d’alerte inquiet des conséquences de sa création, l’effet de l’injection est irréversible, tant pour les conséquences rapides que surtout pour les effets à long terme.

Protégez vos enfants. REFUSEZ TOUTE INJECTION.

 

 

initialement publié sur nouveau-monde.ca