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Un nouveau Lancet gate prétend que les vaccins anti-covid auraient sauvé 20 millions de personnes

 

 

25/09/2022 (2022-09-25)

Par le DR Gérard DELÉPINE

Lorsque le monde réel vous déplait, il suffit pour, se rassurer de se réfugier dans un monde virtuel que l’on peut modéliser à sa guise. L’impérial collège applique à nouveau cette recette magique pour transformer ses colossales erreurs de prédictions du monde réel en incroyable succès virtuel des vaccins.

Attention aux simulations présentées comme des faits établis

Nous avons à maintes reprises1 2 3 4 5 dénoncé les fausses nouvelles basées sur des simulations en médecine. Par leur conception et leurs hypothèses hasardeuses, les simulations de résultats médicaux sont toujours à risques de biais. Il faut tout particulièrement se méfier de leurs conclusions lorsqu’elles font la promotion d’un médicament rentable, que leurs auteurs sont liés aux firmes et que l’ensemble des médias du monde entier claironne « la bonne nouvelle », alors qu’il ne s’agit en aucun cas de faits établis, mais seulement d’espoirs résultant d’hypothèses incertaines.

Un article hallucinant du Lancet6 ose prétendre que la vaccination aurait sauvé plus de 20 millions de personnes en 2021 et le comité de lecture l’a accepté sans émettre de réserve !

Cet article fait la promotion de pseudo vaccins extrêmement rentables puisqu’ils ont rapporté près de 300 milliards de dollars depuis leur mise sur le marché.

Les auteurs de cette étude ne sont pas indépendants, mais liés pour les deux tiers aux marchands de vaccins ou aux organismes qui ont été les moteurs de la vaccination7.

Les folles conclusions de cet article ont été reprises sans aucune modération par plus de 50 médias du monde entier qui ont « oublié » de signaler qu’il ne s’agissait que de résultats de simulation. Nous en signalons quelques-uns8 qui ont ainsi démontré leur absence d‘esprit critique et/ou leur dépendance aux marchands de vaccin.

Tous les signaux d’alerte à la fake news sont donc réunis.

Comment biaiser une simulation

Pour chanter les louanges de la vaccination, des mathématiciens de l’Imperial College de Londres ont une nouvelle fois utilisé leur modèle totalement faux de simulation de propagation et de mortalité du COVID-19 entre le 8 décembre 2020 (lorsque les vaccins ont été déployés pour la première fois) au 8 décembre 2021 pour une simulation sans vaccin qu’ils ont comparée avec leur estimation du nombre des morts avec vaccins.

Ils déclarent sans ambages « nous avons estimé que 31,4 millions (95% CrI 30·6–32·1) décès dus au COVID-19 seraient survenus sans vaccination au cours de la première année de la vaccination » alors que la première année de l’épidémie sans vaccin avait entraîné « seulement »1,63 million de morts.

Et ils ne s’étonnent pas que leur simulation prédirait une mortalité 20 fois supérieure la seconde année ! Ils auraient dû s’intéresser à l’évolution des pays très peu vaccinés comme le Nigéria, le Cameroun ou Madagascar dans lesquels la seconde année sans vaccin a été marquée par un simple doublement de la mortalité pour vérifier l’absence de fiabilité de leurs prédictions.

Le même programme délirant de simulation avait prédit que sans confinement la Suède allait être dévastée par le covid. La Suède n’a pas confiné et le nombre de morts observé a été dix fois inférieur à l’estimation de l’impérial collège.9

Les auteurs de l’Imperial college n’ont apparemment pas tenu compte de leurs erreurs comme tout scientifique scrupuleux l’aurait fait.

Ils ont ensuite estimé l’impact des programmes de vaccination en retranchant du nombre de décès prophétisés par la simulation sans vaccin au nombre de décès estimés dans le monde réel avec vaccin.

Ils ont une fois de plus comparé les décès virtuels d’une simulation folle aux décès observés dans le monde réel.

Leur colossale surestimation de la simulation sans vaccin10 leur permet ainsi de prétendre que les vaccins auraient été colossalement efficaces.

Ils se prétendent scientifiques, mais au lieu d’analyser les différences observées dans le monde réel entre les pays selon leur stratégie anti-covid, ils comparent le monde virtuel de leur simulation au monde réel pour réciter leur crédo pro injection!

Revenons au monde réel : les vaccins n’ont sauvé personne !

Après 20 mois de vaccination, il est facile d’évaluer son impact réel sur l’évolution du nombre de contaminations et de la mortalité selon la période considérée et selon les stratégies sanitaires des différents pays en se basant sur les données publiées par l’OMS (disponibles à OMS Covid dashboard) et mises en graphiques par l’université John Hopkins (consultable à : OurWorldinData covid).

La comparaison des dix mois sans vaccin (de mars à décembre 2020) aux 20 mois avec les pseudos vaccins montre qu’au niveau mondial ces derniers ont été incapables de ralentir l’épidémie et qu’ils paraissent même avoir pu la stimuler, puisque le rythme mensuel des contaminations été multiplié par 6 depuis leur mise sur le marché.

De même, les pseudo vaccins se sont révélés incapables de diminuer la mortalité :

Dans leur article, les auteurs de l’impérial college accusent « la faible couverture vaccinale de nombreux pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure et des pays à faible revenu » d’être responsable de l’échec des injections, tant sur la transmission mondiale de l’épidémie que sur la mortalité.

Mais ont-ils seulement regardé les chiffres officiels de l’OMS qui montrent, au contraire, que l’épidémie a frappé beaucoup plus violement les pays riches ?

Et que la mortalité a été maximale dans les pays riches !

On peut donc décerner à cet article le qualificatif du plus gros canular du siècle, au Lancet, celui de la revue la moins pointilleuse pour la vérification des données.

Après revue de ses prédictions, on peut aussi attribuer à l’Impérial Collège le titre de cancre absolu des prophètes. En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante et qui a couté environ 6 milliards de livres aux éleveurs anglais. Lors de la crise de grippe H1N1 de 2009, ses prédictions du avaient annoncé 8 000 morts au Canada qui n’en a déploré que 428 ! Et ses simulations n’ont pas été plus avisées sur la maladie de la vache folle, la grippe aviaire, Ebola.

Mais pourquoi l’OMS et tant de dirigeants font-ils encore confiance à un devin qui se trompe presque toujours ?


 

RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA PLANDEMIE  (pandémie planifiée) COVID

 

VOLET 1

Les erreurs du rapport 9 de Mars 2020 de Neil Ferguson, justification fallacieuse des confinements

Depuis plus de 20 mois, la politique sanitaire française est décidée dans le plus grand secret[1] par le « conseil de défense » appuyé par un « conseil scientifique. Ce dernier est dominé par Simon Cauchemez, mathématicien modélisateur au sein de l’Institut Pasteur et élève de Ferguson de l’Imperial College.

La politique de santé s’appuie presque uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement frauduleuses, car basées volontairement sur des hypothèses du pire, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif et nous faire accepter la perte de nos libertés et la pseudo vaccination génique inefficace.

 

La folle prophétie de Neil Ferguson qui a justifié le confinement de Mars 2020 était fausse

Détaillée dans le rapport 9 de l’impérial College[2], cette simulation catastrophe prétendait que sans confinement les hôpitaux seraient partout débordés et qu’on compterait 500000 morts en France, comme en Grande Bretagne, 600000 en Allemagne, 70000 en Suède et 2 millions aux USA. Elle affirmait aussi que les mesures médicales traditionnelles (fermeture des frontières et isolement des seuls malades le temps qu’ils ne soient plus contagieux) ne serviraient à rien, qu’il fallait confiner à l’aveugle la population jusqu’à fin décembre 2021 pour imposer les futurs vaccins et/ou nouveaux traitements.

 

La plupart des gouvernements occidentaux ont pris ou voulu prendre cette prophétie pour une vérité et imposé à leurs populations des mesures liberticides contre- productives, telles que le confinement aveugle sans même en avoir vérifié la pertinence de la méthode de calcul, ni publié ce rapport préalablement à son application, empêchant ainsi toute discussion scientifique et tout débat démocratique.

 

La confrontation aux faits constatés révèle la supercherie de cette simulation

Le rapport 9 avait prédit qu’en l’absence de confinement la Suède verrait ses hôpitaux submergés et compterait 70000 morts en quelques mois. La Suède n’a pas confiné, ses hôpitaux ont pris en charge tous les malades qui en avaient besoin et après 19 mois d’épidémie (au 10/9/2021), comptait, d’après l’OMS, 14602 morts. La prophétie de Ferguson surestimait par plus de 500% le risque réel !

Même chose pour l’Allemagne.

La prophétie de N Ferguson prétendait qu’en l’absence de confinement de la population, « les mesures médicales classiques de quarantaine des malades seraient inefficaces, que les hôpitaux seraient débordés et qu’on compterait plus de 600000 morts ». L’Allemagne n’a jamais été confinée, au sens que ce mot a en France a rappelé Thomas Wieder, correspondant du  Monde dans ce pays. Au 10/9/2021 après 19 mois d’épidémie l’Allemagne comptait 92 553 morts attribuées au Covid. Là encore la prophétie de Ferguson a surestimé le risque réel par plus de 500% !

 

Une de ses élèves, Jasmine M GARDNER [3], a même prédit que sans confinement total et strict, la Suède compterait 100000 morts au 1/7/2020. En réalité au 1/7/2020, selon les données de l’OMS, la Suède sans confinement ne comptait que 5496 décès attribués au Covid (19 fois moins).

A ce niveau d’erreur on ne peut plus croire à une simple bévue, mais vraiment qualifier ce texte de « propagande Covid terroriste » d’autant que sa large diffusion dans les médias suédoises a largement participé à une tentative de pression sur l’agence sanitaire pour l’obliger à confiner.

 

Ces simulations ne traduisaient donc ni la réalité ni la science, mais constituaient seulement de mauvais scénarios de film catastrophe destinés à nous terroriser. En témoignent les hypothèses retenues pour son modèle : des index de mortalité par infection, multipliant par 2 à 3 les chiffres réels dans les différents groupes d’âge (pour les 10-19 : 0,006% au lieu de 0,002% et pour les 20-29 : 0,03% au lieu de 0,01%) et une forte surestimation du taux de reproduction R. En surestimant ces paramètres clefs de la simulation, Ferguson et ses élèves ont obtenu les prévisions apocalyptiques désirés par Bill Gates qui les finance, et les gouvernements qui obéissent.

 

 

La surestimation des risques est une constante des prédictions de Ferguson et une technique bien rodée des imposteurs

Lors d’un de mon premier stage d’interne en neurochirurgie, mon maître m’expliqua comment se créer une aura de sauveur. « Devant cette petite tumeur du cerveau facilement opérable, ne dis surtout pas aux parents qu’elle est facile à opérer, car en cas d’accident opératoire imprévu, ils pourraient porter plainte. Au contraire explique-leur qu’il s’agit d’une mauvaise tumeur, mal placée et que seule une chirurgie très difficile peut sauver le malade. Si un accident survient, ils ne se plaindront pas. Et si tout se passe bien, ils te considéreront comme le sauveur capable de chirurgie extraordinaire ».

Apparemment cette technique est utilisée par l’équipe de l’Imperial College. Ils prophétisent un futur apocalyptique et proposent « la solution ». Si leurs prédictions ont suffisamment surestimé le danger, ils pourront, après la crise, prétendre, que c’est grâce à l’application des mesures qu’ils ont proposées que la situation a évolué plus favorablement que ce qu’ils avaient prévu.

Les religions reposent sur la foi et le caractère immuable des crédos que personne ne peut discuter sans être qualifier d’hérétique.

La démarche scientifique, basée sur le doute fertile, consiste au contraire à confronter en permanence les faits observés aux hypothèses dominantes. Lorsque les faits avérés ne sont pas compatibles avec les hypothèses, celles-ci doivent être abandonnées. Mais l’équipe de l’Imperial College, dirigée par N. Ferguson ne tire pas de leçons de ses erreurs et se comporte en gardienne d’une nouvelle religion dont les dogmes sont indiscutables, plutôt qu’en scientifique désireuse de reconnaître et d’élucider les paradoxes.

 

Les erreurs passées de Ferguson très nombreuses ont été dommageables

En 1997, lors de la maladie de la vache folle, N. Ferguson avait prédit jusqu’à 150 000 morts en deux décennies. Vingt ans plus tard, en janvier 2017, on ne comptait que 223 victimes humaines dans le monde (dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France).

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante.

En 2005, N. Ferguson prophétisait qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait tuer de 5 à 150 millions de personnes dont 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 45.

En 2009, lors de la grippe H1N1, Ferguson avait prédit 8000 morts au Canada : il y en eut 428. En France, il avait prédit 20000 morts, il y en eut 323 (soit environ trente fois moins qu’une grippe habituelle).  Les mesures sanitaires prises en France sur la foi de cette prédiction fausse nous ont couté deux milliards d’euros et le vaccin Pandemix hâtivement mis sur le marché a été responsable de nombreux accidents neurologiques graves dont 450 narcolepsies sur l’ensemble de l’Europe, dont plus de 60 cas en France et d’une perte de confiance de la population dans les vaccins et en la parole publique.

Ces surestimations considérables des risques des maladies constituent une donc une caractéristique constante des prédictions de l’Imperial College. Mais Ferguson comme beaucoup de prophètes sait, que pour imposer ses mesures, il faut faire peur et donc prédire des cataclysmes. Si l’évolution est moins catastrophique qu’annoncée, il pourra alors s’en attribuer le mérite.

 

De nouvelles simulations bidons pour glorifier le confinement

De nombreuses études[4] rétrospectives d’auteurs indépendants des modélisateurs et des responsables des confinements ont évalué l’effet des mesures de confinements sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a démontré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie, qu’il s’agisse de l’étude danoise sur le Nord Jutland[5]   de l’étude néo- zélandaise[6] , de l’étude anglaise[7] , des analyses indiennes[8] [9], des études allemandes[10] [11], croate[12], des études des pays d’Europe occidentale[13]  et de toutes les autres études internationales basées sur les faits avérés[14] [15]dont celle particulièrement exhaustive de John PA Ioannidis [16].

Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont ceux d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle qui n’analysent pas les faits constatés, et espèrent ainsi s’exonérer de leurs responsabilités. Ils comparent leurs prévisions colossalement exagérées aux mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement du grand nombre de « morts évitées ».

Le mécanisme frauduleux de leurs études bidon a été  dévoilé dans un article de Nature[17], dans lequel les auteurs de l’Imperial College prétendaient ainsi avoir sauvé 3,1 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement.

Ils ne savaient apparemment pas que les Suédois n’ont jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai 2020 prouvait seulement que les prévisions de l’Imperial College surestimaient par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que si l’Allemagne ne confinait pas totalement, elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020.

L’Allemagne, qui n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué la technique classique d’endiguement, ne comptait, au 5 mai 2020, que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement qui n’a pas été pratiqué !

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour prétendre que la chloroquine était dangereuse. Dans cette publication fallacieuse, ce « Nature Gate », il n’y a pas eu fabrication de données mais le refus de regarder la réalité des mesures sanitaires réellement utilisées pour se glorifier des erreurs de la prophétie initiale ; il est très étonnant qu’aucun membre du comité de lecture de cette revue Nature, de bonne réputation, ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique[18] prétendant que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement.

Les erreurs de conception, le choix d’hypothèses péjoratives et les conclusions fausses de cette étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques, mais les médias mainstream en ont très peu parlé alors que la simulation biaisée de propagande avait été très largement diffusée.

 

Aucune de ces publications glorifiant les confinements n’a chiffré les dégâts considérables que les confinements ont causés sur le plan sanitaire (victimes collatérales des retards et absences de traitements, problèmes psychiatriques), scolaire et universitaire, économique (perte de PIB, aggravation des dettes publiques et du chômage), sur l’aggravation de la pauvreté dans les pays riches et de la faim dans les pays pauvres[19].

Certains auteurs estiment que les pertes d’années de vie causées par ces mesures tyranniques sont dix fois plus importantes que celles causées par le Covid19 seul.[20]

Toutes ces complications du confinement, étaient parfaitement prévisibles d’emblée, par tout médecin habitué à évaluer la balance Avantages/Risques des traitements qu’il propose. Le traitement des épidémies, comme les autres maladies, ne doivent pas être décidés par des astrologues mathématiciens ou des épidémiologistes qui ne quittent pas leurs bureaux[21] mais par des médecins qui traitent des malades !

 

Les simulations mensongères constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

Il ne faut pas se laisser abuser par l’aspect pseudo scientifique de ces simulations de circonstances que la propagande terrorisante du gouvernement nous impose. Elles ne sont pas plus fiables et beaucoup plus dangereuses que celles des astrologues traditionnels. Il est grand temps d’abandonner cette politique sanitaire délétère basée sur la peur et de la réorienter selon les règles de la médecine classique, d’après les faits avérés du monde réel.

[1] Aucun compte rendu détaillé des discussions tenues lors des réunions du conseil scientifique n’a été publié mais seulement des résumés d’avis ; pour le conseil de défense sanitaire c’est pire : manque de transparence  dans sa composition, contournement du Parlement, délibérations classifiées secret-défense obstruant le travail des enquêteurs de la Cour de justice de la République sur la gestion de la pandémie.

[2] COVID-19 Response Team Neil M Ferguson Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to

reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College https://doi.org/10.25561/77482 Page 1 of 20

[3]Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on

Swedish healthcare capacity https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf

 

[4] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »

[5] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936

[6] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.

[7] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020

https://arxiv.org/abs/2005.02090

[8] ] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[9] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260

[10]Thomas Wieland Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au COVID-19 en Allemagne 2020 novembre; 131: 104924.

doi: 10.1016 / j.ssci.2020.104924. En ligne du 21 juil.2020.

[11] T Wieland  Flatten the Curve! Modeling SARS-CoV-2/COVID-19Growth in Germany at the County Level Volume 7, Number 2, 2020, 43–83 journal homepage: region.ersa.orgDOI: 10.18335/region.v7i2.324l

[12]Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02861011

[13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19  https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;

[14] Philip Thomas Written evidence submitted by Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563

[15]Joseph Stroberg Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28 https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/

[16] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de COVID-19.   Eur J Clin Invest 2021 avril ; 51(4) : e13484. doi: 10.1111/eci.13484. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/

[17] S.Flaxman et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7Nature | www.nature.comAccelerated Article Preview

[18] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).

[19] Confinement et faim dans le monde Du Trends-Tendances du 15/10/2020 « Le confinement a sans doute causé bien davantage de victimes que la pandémie elle-même. »

[20] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.

doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.

[21]Aurélie Haroche, Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie Journal International de Médecine, 25 avril 2020