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10/09/2023 (2023-09-10)

Par Dr Gérard Delépine chirurgien cancérologue et statisticien

Ne faites pas courir de risques inutiles en vaccinant vos enfants par le Gardasil, inefficace contre les cancers et responsable d’effets délétères non négligeables

Faits avérés concernant cette vaccination

Depuis l’annonce de notre président à Jarnac, les lobbys des entreprises pharmaceutiques, les médias, l’institut national de lutte contre le cancer et le nouveau ministre de la Santé font la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus) contre les prétendus « cancers du HPV » nouvelle formule à la mode en cette rentrée.

Tous assènent quotidiennement des contre-vérités visant à inquiéter les enfants et à culpabiliser les parents. Comment peuvent-ils nous tromper à ce point et cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ?

Nous démentirons ici quatre points de leur propagande à la lumière des faits avérés

1°) le lien causal entre HPV et les différents cancers accusés n’est pas prouvé.

2°) Ces cancers sont rares et globalement et à bon pronostic. Ils ne constituent pas un sujet prioritaire de santé publique

3°) Le Gardasil est efficace contre l’infection, mais pas contre les cancers.

4°) le Gardasil expose à de nombreuses complications.

Le lien causal cancer-HPV n’est pas prouvé : les HPV ne sont peut-être que des témoins

Un ami gendarme m’a confié :

« Sur les lieux d’un crime, on trouve le coupable, mais aussi des témoins innocents ».

Avant la mise au point de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin ont démontré que ce dernier était multifactoriel1 2 3 4 5 6 7 et sa fréquence statistiquement corrélée à de très nombreux facteurs liés entre eux dont : la précocité de l’activité sexuelle, le nombre élevé de partenaires (source de microtraumatismes répétés), le tabagisme8 9 et l’exposition à la poussière de tabac10, l’usage prolongé des contraceptifs oraux11, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq)12, le Sida et les autres déficits immunitaires et les infections génitales (responsables d’inflammations chroniques qui constituent une cause classique de cancérisation) dont l’herpès, la chlamydia et plus d’une vingtaine de souches de HPV…

Les papillomavirus qui ne donnent aucun signe clinique sont comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin ou le bacille de Doderlein dans le vagin. Plus de 150 souches de papillomavirus peuvent infester l’homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50 % des vierges sont ou ont été infectées13) ou lors d’un acte sexuel. Près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre, souvent à plusieurs reprises, et se débarrasseront naturellement du HPV dans 90 % des cas en quelques mois, sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée. Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes. La multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorisent la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer. Il existe, certes, une corrélation statistique entre persistance d’infection à HPV et cancer, mais aucune preuve de causalité directe n’a jamais été établie.

Depuis la mise sur le marché des vaccins anti-HPV, les publications, dont la quasi-totalité des auteurs reconnaissent des liens d’intérêts avec les marchands du vaccin, se focalisent uniquement sur ce virus et prétendent qu’il serait le seul responsable, malgré un certain nombre de cancéreuses HPV négatives.

Ce crédo est repris par l’agence officielle Santé publique France et l’INCa qui présentent même cette infection comme une condition indispensable aux cancers qu’ils présentent maintenant comme « cancers du HPV. »

Le virus HPV représente en effet le coupable idéal, car il se révèle colossalement rentable, générant 12 200 % de bénéfice brut (une dose de vaccin qui coûte moins d’un euro à produire est vendue plus de 123 euros.).

La présence de HPV constituant un témoin fiable de l’activité sexuelle, qui représente le premier facteur favorisant le cancer du col, il est vraisemblable que la corrélation statistique HPV-cancer ne soit que la conséquence de la corrélation HPV — activité sexuelle. Une analyse multivariée pourrait permettre de le confirmer, mais jusqu’ici aucune étude n’en a publié.

Le contraste entre la considérable fréquence de l’infection HPV (80 à 90 % des femmes sexuellement actives) et la grande rareté des cancers invasifs du col (0,006 %) en France plaide aussi contre la responsabilité causale exclusive des HPV.

Étiologie des cancers ORL et anal

Pour tenter de convaincre les garçons de se faire vacciner par Gardasil, les entreprises de vaccins tentent de leur faire peur avec les cancers anal et ORL. Pour se faire, il suffit de pratiquer systématiquement la recherche de HPV chez ces cancéreux et comme les contaminations HPV sont extrêmement répandues dans la population, on en retrouve aussi fréquemment chez les malades souffrant de cancer du canal anal ou de cancers ORL. Les virus sont alors accusés d’être responsables, alors qu’il n’y a aucune preuve directe de leur culpabilité.

Il faut souligner la rareté du cancer anal dans la population générale (inférieure à 1/100000)14. Les groupes à risque de cancer anal sont les femmes VIH+ aux ATCD de condylomes et/ou dysplasies ou cancers ano-génitaux et les homosexuels mâles pratiquant des relations sexuelles anales passives, avec multiplicité de partenaires sexuels, la séropositivité HIV (Sida) et le tabagisme. Dans les pays occidentaux, l’incidence du cancer anal a augmenté depuis trois décennies en parallèle avec la pratique plus fréquente de la sodomie et l’infection par le VIH. L’infection par le virus du sida multiplie le risque de cancer anal par plus de 30 et le sur risque atteint 130 chez les homosexuels mâles passifs souffrant du Sida. Ces constatations avaient en 2016 décidé le Haut Conseil de la santé publique à « recommander la vaccination des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes ».

Pour les hétérosexuels mâles, le risque de cancer anal est infime et ne justifierait pas la vaccination, même si celle-ci était efficace.

Les cancers accusés d’être des cancers du HPV sont en réalité des cancers avec HPV !

L’absence de lien de causalité exclusive démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti-HPV contre les cancers associés au virus, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL et explique certainement l’échec de la prévention contre le cancer dans les pays adeptes de cette vaccination, d’autant que le faux sentiment de sécurité créé par la propagande « vaccinée vous êtes protégée » peut inciter certaines jeunes filles à commencer plus tôt leurs expériences sexuelles, et d’autres à négliger le dépistage cytologique.

Ces cancers rares, et à bon pronostic ne constituent pas un sujet prioritaire de santé publique

Les cancers prétendument dus aux HPV sont rares et leurs traitements en obtiennent la guérison dans près de 70 % des cas. Ils ne participent que pour moins de 2 % de la mortalité due aux cancers, très loin derrière le poumon (31 100 morts), le côlon-rectum (17 000), le pancréas (11 400), le sein (12 100) ou la prostate (8100). Les 200 millions d’euros annuels nécessaires pour vacciner une classe d’âge, sans espoir d’obtenir une improbable diminution de mortalité dans 20 ans, seraient beaucoup plus utiles dans l’amélioration urgente de notre système de santé.

Mais pour les actionnaires de Merckx, la vaccination est beaucoup plus rentable…

Le Gardasil est efficace contre l’infection, mais pas contre les cancers

Tous les articles montrent la bonne efficacité du Gardasil pour prévenir les contaminations par les souches ciblées par les vaccins. Mais celles-ci ne sont que 9 dans la dernière formule vaccinale, alors que plus de 20 des plus de150 souches connues sont accusées d’être cancérigènes.

De fait, la consultation des registres des cancers des pays pionniers de cette vaccination anti-HPV montre que nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus !15

En Australie, la vaccination n’a pas fait reculer l’incidence des cancers invasifs

L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Des journalistes ignorants (ou corrompus ?) proclament régulièrement que le pays va « éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination »1617, mais les chiffres officiels montrent que depuis la généralisation de la vaccination, l’incidence standardisée18 des cancers invasifs ne diminue plus alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006 grâce aux dépistages par frottis cytologiques.

La capture d’écran qui suit illustre cette vérité officielle que chacun peut vérifier à l’adresse Internet qui y figure. On peut regretter que ce graphique publié en décembre 2022 par l’agence sanitaire australienne (AIHW) ne donne des chiffres observés que jusqu’en 2019 (les services statistiques officiels australiens ne sont pas très réactifs), mais les prévisions officielles des années suivantes ne font que confirmer la tendance avec une incidence 2022 estimée à 7,1/100 000 contre moins de 6/100000 en France peu vaccinée).

De plus, le nombre annuel de nouveaux cancers invasifs, loin de diminuer, augmente.

Les articles qui claironnent la victoire de la vaccination sur le cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur la croyance que la diminution des infections à HPV entraînera une diminution des cancers invasifs, à l’aide de simulations aux hypothèses incertaines, alors que les faits constatés dans le monde réel démontrent le contraire. Prétendre comme tant de journalistes que l’Australie serait en train d’éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination n’est donc qu’un énorme mensonge auquel le président a cru et qu’il a répété !

En Grande-Bretagne non plus, la vaccination n’a pas fait régresser les cancers invasifs

La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école. En 2008, la Grande-Bretagne a mis en place une campagne de vaccination systématique contre les papillomavirus humains dès 2008 pour les jeunes filles de 12 – 13 ans et en rattrapage entre 2008 et 2010 pour les 14 – 18 ans. Entre 2008 – 2009 et 2011 – 2012, la couverture annuelle (pour une dose du vaccin) en Angleterre se situait entre 85,9 % et 90,6 %.

Un article mensonger récent19 mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « Vaccin anti-HPV: quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais, curieusement, l’agence officielle Cancer research UK (CRUK) publie sur son site la dernière incidence standardisée de cancer invasif à 9,6/100 000 (soit supérieure de 50 % au taux français actuel).

Depuis les campagnes de vaccination, l’évolution globale d’incidence des cancers invasifs au Royaume-Uni se caractérise par l’absence de diminution, ainsi que le constate Cancer Research UK :

« Au cours de la dernière décennie, au Royaume uni (entre 2006-2008 et 2016-2018) les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables »

De 1993 à 2006, grâce au dépistage cytologique, l’incidence standardisée avait régressé de 13/100 000 à 9/100 000, mais depuis le début de la vaccination, elle est passée de 9/100 000 en 2006 – 2008 à 10/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

Et cette estimation globale dissimule l’augmentation d’incidence dans les groupes les plus vaccinés. L’analyse par groupe d’âges objective en effet une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées.

À l’opposé, le groupe des 20-24 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19 % des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée en mars 2023.

En Grande-Bretagne aussi la vaccination est donc très loin d’amorcer l’éradication du cancer que promettent les avocats du vaccin avec une augmentation d’incidence dans le groupe le plus vacciné !

En Suède, l’incidence des cancers invasifs a franchement augmenté depuis la vaccination

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée entre 1965 et 2007 (de 24/100 000 à 8/100 000).20

La généralisation de la vaccination à l’école en 2010 a été suivie, au contraire, d’une augmentation de l’incidence des cancers invasifs21 de 7/100 000 en 2006 – 2009 à 11,5/100 000 en 2014–2015 (p <0.03) et même 13/100 000 en 2021, augmentation que reconnaissent les avocats de cette vaccination qui tentent seulement de nier le lien de causalité avec la vaccination22 23. L’analyse en break point (recherche du point de rupture) faite par l’agence sanitaire suédoise date l’apparition de cette augmentation en 2011, un an après la généralisation de la vaccination et plaide pour sa responsabilité.

En Norvège, l’incidence des cancers invasifs a augmenté depuis la vaccination

La vaccination HPV a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer24montre que l’incidence de ce cancer a augmenté depuis la vaccination passant de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-

2021 (2 fois plus élevée qu’en France !)

RÉSULTATS GLOBAUX DES VACCINATIONS ANTI-HPV DANS LE MONDE : EFFICACE SUR LE VIRUS, INEFFICACE SUR LA PRÉVENTION DU CANCER

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais s’est jusqu’ici révélée inefficace (avec 16 ans de recul) sur la fréquence des cancers invasifs.

En 2016, nous avions fait part de nos inquiétudes au président de l’Institut national du cancer (INCa) par courrier privé, et le député Gérard Bapt25 avait interrogé oralement la ministre de la Santé de l’époque, ne s’attirant comme réponse qu’un « il est trop tôt pour juger ». Et pourtant ce vaccin existait déjà depuis 10 ans à l’époque. De nombreux cris d’alarme avaient été émis depuis de longues années sans effet, par exemple par le dr De Chazournes26.

Six ans plus tard, la situation est toujours aussi préoccupante, alors que la publicité mensongère s’intensifie en France et s’accompagne de déclarations gouvernementales ahurissantes, sans jamais évoquer les problèmes que soulève cette vaccination (inefficacité contre le cancer et effets secondaires possibles).

En France, faible taux de vaccination et faible incidence du cancer invasif du col utérin

En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers moindre que chez les champions de la vaccination, tendance qui s’est amorcée dès la généralisation de la vaccination selon les données de l’agence internationale de recherche sur le cancer illustrée par le graphique suivant :

En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1/100 000 et est depuis passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège.

Pourquoi, le Président, fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les taux de cancers invasifs élevés dans les pays adeptes des vaccinations scolaires ? Ses conseillers sont-ils incompétents ou trop liés aux laboratoires pharmaceutiques ? L’ont-ils informé sur les dégâts éventuels de cette injection ? Pourquoi le trompent-ils ?

Des accidents post vaccination graves ont été constatés dans de nombreux pays

En France, le calvaire de Marie-Océane 27 28 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés possiblement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et peut-être à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges, retoquée en appel. L’affaire est en cassation.

Les complications post Gardasil ont été rapportées dans de nombreux autres pays (Danemark, Bolivie, Japon, Irlande) où elles ont motivé des manifestations de parents que personne ne peut pourtant qualifier d’antivax, puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants en étant persuadés de bien faire et qu’ils le regrettent après la survenue des complications. Celles-ci ont motivé des procès aux USA29 30 31.

En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin Gardasil 32 33 et les premières audiences devaient se tenir en avril 2023.

Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin. 

L’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins, n’a pas convaincu la commission.

« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral ».

Ne vaccinons pas surtout pas les garçons par le Gardasil

Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le prétexte de la proposition du CDC américain (qui reçoit des royalties sur les ventes de vaccin) et de la Haute Autorité de santé française (dont beaucoup d’experts ont des liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique) de vacciner les garçons. Mais ce cancer, exceptionnel (800 cas/an en France), ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle : les homosexuels adeptes de rapports anaux passifs34 avec de multiples partenaires (74 % des cas), et séropositifs au sida (77 % des cas) 35 36 et les personnes souffrant de déficit immunitaires, ce qui ne justifie donc pas une vaccination généralisée des garçons d’autant plus que là aussi l’efficacité contre le cancer anal n’est pas du tout démontrée.

Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer anal, mais une fois de plus le lien causal n’est pas démontré contrairement au fait d’être homosexuel passif et porteur du virus du sida. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif ni malade du Sida, le risque de cancer anal est infime, même si on est porteur de HPV.

De plus, les exemples de l’Australie, de la Grande-Bretagne et des USA suggèrent l’inefficacité des vaccins anti-HPV contre le cancer anal, car, depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur risque de cancer anal a augmenté 3 à 4 fois plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.

Aux USA, la vaccination par Gardasil a été popularisée dès 2008, mais depuis l’incidence des cancers anaux a augmenté plus que dans les précédentes décennies comme le précise le Surveillance and End Results Program (SEER) du National Cancer Institute 37 :

« Les taux ajustés selon l’âge pour les nouveaux cas de cancer anal ont augmenté en moyenne de 2,2 % chaque année de 2010 à 2019. Les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge ont augmenté en moyenne de 3,9 % par an entre 2011 et 2020. »

En Grande-Bretagne, Cancer Research UK précise ainsi 38:

« Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer anal chez les femmes ont augmenté de plus de la moitié (53 %) et les taux chez les hommes ont augmenté d’environ un septième (13 %). »

On peut donc craindre que ce vaccin anti-HPV favorise paradoxalement l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition plus précoce et fréquente d’un cancer du col utérin !

Les arguments avancés par la Haute Autorité de Santé pour généraliser ce vaccin chez les garçons sont d’ailleurs révélateurs de l’absence de bénéfice médical démontré pour les garçons et de la volonté de faciliter le passage à l’homosexualité.

Initialement les recommandations visaient seulement les homosexuels mâles et les immunodéprimés 39 « La vaccination par GARDASIL 9® (9 HPV) est recommandée chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) jusqu’à l’âge de 26 ans et chez les adolescents immunodéprimés ». Mais le 16 décembre 2019, à la suite d’une saisine de la direction générale de la santé et de la Ministre chargée de la santé, la Haute Autorité de santé (HAS) a élargi ses recommandations40 à l’ensemble des mâles « pour ne pas stigmatiser des adolescents ou des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à un âge où la préférence sexuelle n’est pas connue ou pas affirmée. »

La HAS recommande un vaccin potentiellement dangereux et totalement inutile chez les hétérosexuels pour calmer les angoisses de potentiels homosexuels mâles passifs !

En l’état actuel de la science, la prévention pratique du cancer anal repose sur l’utilisation systématique du préservatif (pour éviter la contamination par le virus du sida), la limitation de la fréquence des rapports anaux passifs et peut-être le traitement des lésions précancéreuses par radiofréquence41. La vaccination anti HPV, qui confère un faux sentiment de sécurité, risque de favoriser la survenue de la maladie comme on l’a constaté lors des essais de vaccins contre le Sida.

Un vaccin jugé peu efficace et trop cher par 400 praticiens 42

Rappelons que la vaccination anti-HPV ne permet pas de se dispenser du dépistage et peut-être justifierait même une fréquence accrue chez les vaccinées, comme le suggèrent les Suédois43. La vaccination ne diminue donc pas le coût de la prévention du cancer, mais l’augmente.

Le coût financier de la généralisation de cette vaccination serait exorbitant, car, avec près de 500 euros le coût de chaque vaccination complète (trois doses plus quatre consultations), il faudrait dépenser environ 400 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! En prenant les hypothèses d’efficacité les plus invraisemblables (100 % d’efficacité sur 100 % des cancers concernés) le coût/efficacité financière atteindrait 200 000 euros par année de vie gagnée ajustés sur la qualité de vie (QALY), alors que la Grande-Bretagne fixe le seuil d’acceptabilité à 30 000 euros par qaly. Un bénéfice très incertain (et potentiellement négatif) pour un coût colossal, totalement disproportionné de plus en cette période de déficit budgétaire.

Comme le souligne Bijan Esfandiari, avocat spécialisé dans les litiges en matière de responsabilité du fait des produits pharmaceutiques et associé principal chez Wisner Baum à Los Angeles 44 :

« Le moyen le plus efficace et sans effets secondaires pour prévenir le cancer du col de l’utérus est le test de Papanicolaou. Des études montrent que les jeunes femmes qui ont reçu du Gardasil ont un faux sentiment de sécurité et renoncent aux frottis vaginaux de routine. Les données ont également montré que, dans les pays où l’utilisation du Gardasil est élevée, les taux de cancer augmentent chez les jeunes femmes, pour un cancer qui apparaît généralement lorsque les femmes atteignent la cinquantaine et la soixantaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici et nos enfants ne devraient pas être soumis à une obligation de l’État qui les transforme en cobayes et les expose à un risque accru de contracter la maladie, même si on leur dit que ce vaccin la prévient. »

On peut conseiller à Monsieur le Président de ne plus croire des conseillers incompétents ou corrompus qui le décrédibilisent, et de vérifier personnellement les données officielles des pays qui ont généralisé le Gardasil. Il constatera qu’il ne faut pas promouvoir cette vaccination efficace sur l’infection et les verrues, mais inefficace contre les cancers, hors de prix et dont les dangers conduisent actuellement à de nombreux procès aux USA.

Dans l’état actuel de la science, il ne faut vacciner ni filles ni garçons avec le Gardasil !


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Les procès américains contre le Gardasil rappellent les dangers du vaccin contre le papillomavirus, de plus en plus « imposé » en France

Les lobbies de l’industrie des vaccins s’efforcent, via les médecins généralistes (1), pédiatres,  infirmiers, pharmaciens etc.. de convaincre les parents de faire vacciner garçons et filles contre les HPV en agitant le spectre du cancer (2, 3, 4, 5) (col de l’utérus pour les filles, anus et ORL pour les garçons). Ils prétendent que ces vaccins sont efficaces contre les cancers et sans risque, et nous avons déjà démontré depuis plusieurs années le caractère fallacieux de ces informations. (6 ,7, 8, 9)

Les procès Gardasil (10, 11) qui s’ouvrent aux USA prouvent que ces vaccins ne sont pas dénués de complications graves.

Les complications post Gardasil ont déjà motivé des manifestations de victimes et de leurs familles dans de nombreux pays : Japon (12), Danemark (13), Irlande (14), Colombie (15) alors qu’on ne peut pas accuser ces familles d’être des antivax puisqu’elles ont fait vacciner leurs enfants !

En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-VPH Gardasil. 

Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin.  La commission n’a pas été « convaincue » par l’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins.

Les poursuites intentées comprennent des recherches en responsabilité des produits, des actions en rupture de garantie, en fraude, en négligence et, dans certains cas, en violation des lois étatiques de protection des consommateurs.

« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux Etats-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral », a déclaré Kennedy.

Baum Hedlund et Kennedy ont intenté de nombreuses actions en justice contre Merck, accusant la société de dissimuler sciemment les effets indésirables associés à son vaccin Gardasil. Les victimes viennent de nombreux états notamment : Victoria Trevisan (Californie) Merrick Brunker (Californie) Emma Sullivan (New Jersey) Ashley Dalton (Michigan) Abigail Stratton (Caroline du Sud) Savannah Flores (Nevada) Korrine Herlth (Connecticut) Kayla Carrillo (Californie) Michael Colbath (Californie) Sahara Walker (Wisconsin) Zachariah Otto (Californie) Julia Balasco (Rhode Island) 

Bien que chaque cas soit unique, tous les plaignants s’accordent à dire que si Merck avait dit la vérité sur les dangers connus associés à Gardasil, ils n’auraient jamais consenti au vaccin contre le VPH.

 En France plusieurs plaintes ont été déposées pour complications graves en rapport avec le Gardasil (une cinquantaine de familles). A ce jour, le combat de la jeune Océane  et de ses parents se poursuit depuis 2013 (16). Plus de 700 familles seraient concernées.

Aux Etats-Unis (17), la justice est moins dépendante du pouvoir politique qu’en France

En France le premier alinéa de l’article 64 de la Constitution du 4 octobre 1958 dispose que « le Président de la République est garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire » rappelant un peu trop qu’avant 1789 la justice était rendue « au nom du roi ». Comme l’a indiqué le professeur Guy Carcassonne (18), « autant proclamer que le loup est garant de la sécurité de la bergerie ». De fait l’indépendance des magistrats du parquet, dont découle le libre exercice de leur action devant les juridictions, (…) doit être conciliée avec les prérogatives du Gouvernement et (…) n’est pas assurée par les mêmes garanties que celles applicables aux magistrats du siège ». Leur carrière dépend considérablement du pouvoir et du Conseil supérieur de la magistrature.

Cela explique les discordances fréquentes entre les sentences rendues contre le pouvoir ou ses protégés jugées trop tardives et/ou trop faibles par la population en particulier dans les scandales sanitaires (sang contaminé, médiator, hormone de croissance..)

Aux USA beaucoup de juges sont élus par le peuple (19) au lieu d’être nommés par des puissants corruptibles. Les avocats ont le droit d’enquêter, de parler aux témoins, de réunir les preuves, et de parler en public de leur affaire (20). On peut donc attendre de cette série de procès américains des preuves supplémentaires solides de l’ingérence de Merck dans la décision de la FDA d’autoriser la mise sur le marché du Gardasil sans aucune preuve d’efficacité anticancer et dans la responsabilité du Gardasil dans les complications constatées.

Il faut espérer que les médias français rendront compte objectivement des procès et que les preuves qu’ils apporteront permettront de relancer un débat démocratique sur la réelle balance avantages/risques de ce vaccin inefficace, dangereux et hors de prix.

Un vaccin inefficace sur les cancers invasifs du col de l’utérus

Nous avons à maintes reprises (21, 22, 23, 24) rappelé que si ces vaccins sont efficaces contre les virus cibles, leur prétention à prévenir les cancers du col de l’utérus, des organes génitaux, de l’anus ou de la gorge n’ont jamais été prouvées et ne reposent pas sur les faits avérés publiés dans les registres des cancers, mais seulement sur des simulations fausses basées sur des hypothèses incertaines. 

Les médias proclament partout que l’Australie, qui a été la première à généraliser cette vaccination à l’école, serait en train d’éradiquer le cancer du col de l’utérus (25, 26, 27), mais les publications officielles(28) démontrent le contraire : le nombre global des cancers invasifs qui avait fortement diminué grâce aux frottis cytologiques systématiques (tous les trois ans)  augmente depuis la vaccination. 

« En 2018, 936 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus ont été diagnostiqués en Australie. En 2022, on estime que 942 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus seront diagnostiqués en Australie »

Et l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus, qui avait fortement diminué jusqu’en 2000 grâce aux frottis cytologiques, reste stable malgré les annonces publicitaires fracassantes sur l’efficacité supposée du Gardasil contre le cancer invasif.

En 2017, le taux d’incidence normalisé selon l’âge était de 6,6 cas pour 100 000 femmes. En 2021, on estime que le taux d’incidence standardisé selon l’âge restera à 6,8 cas pour 100 000 femmes

La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser le Gardasil en milieu scolaire et là aussi fleurissent des simulations publicitaires (29) relayées par des articles dithyrambiques annonçant la disparition prochaine du cancer invasif.

Mais là encore les publications officielles (30) affirment que depuis la vaccination l’incidence standardisée globale ne diminue plus. Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer du col de l’utérus sont restés stables chez les femmes au Royaume-Uni (2016-2018)

Et dans la classe d’âge 20-24 ans, vaccinée à plus de 80%, l’incidence des cancers invasifs a commencé à augmenter trois ans après le début de la campagne de vaccination.

En Grande-Bretagne comme en Australie les faits avérés dans le monde réel démentent totalement la propagande publicitaire des simulations réalisés par des auteurs liés aux fabricants de vaccin ou aux organismes réalisant les campagnes de vaccinations.

D’ailleurs les prévisions de cancer-research UK sont très inquiétantes :

On observe la même évolution paradoxale et les mêmes campagnes permanentes de propagande marchande dans tous les pays assez riches pour payer ces vaccins hors de prix. 

En France métropolitaine la couverture vaccinale anti HPV faible fait le désespoir des marchands de vaccins et de leurs actionnaires, mais permet de considérer notre pays comme un pays témoin.

En France, depuis la pratique du dépistage par frottis l’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué passant de 15/100000 en 1995 à 7,5 en 2007, 6,7 en 2012, et est estimée en dessous de 6/100000 en 2018 (31), seuil définissant les maladies rares d’après l’OMS. Cette diminution de l’incidence s’est accompagnée d’une diminution de la mortalité. Il n’y a donc aucune urgence à utiliser un vaccin au résultat cancérologique incertain et potentiellement dangereux.

La comparaison des incidences du cancer invasif du col de l’utérus en France et dans les pays très vaccinés est très démonstrative : Le taux français relativement faible de vaccinées (37% de la population cible) va de pair avec une incidence standardisée plus faible (6/100000) que dans les pays apôtres du vaccin, que ce soit en Australie (6,8/100000 [32] pour 83% de vaccinées), en Grande -Bretagne (9,7/200000 pour 85% de vaccinées) , en Suède (10,4/100000 pour 83% de vaccinées), en Norvège (15/100000 pour 90% de vaccinées) ou au Portugal (16,1/100000 pour 76% de vaccinées) (34).

Manifestement l’efficacité du Gardasil contre les cancers invasifs du col n’a toujours pas fait ses preuves contrairement au dépistage cytologique qui a partout réduit l’incidence de plus de 50% en quelques années. 

Pourquoi devrions-nous prendre modèle sur des pays dont la stratégie vaccinale aboutit à un risque de cancer invasif du col de l’utérus supérieur au nôtre ? Ce qui compte, ce ne sont pas les mirages des simulations, mais les résultats avérés en population réelle.

 

Dès 2010, Diane Harper dans « Cervical cancer incidence can increase despite  HPV vaccination », (35) craignait que la propagande prétendant que « le vaccin ferait disparaître le cancer » dissuade trop de femmes de continuer le dépistage cytologique et aboutisse ainsi à perdre une partie des considérables progrès (diminution de 50 à 70% du nombre de cancers du col utérin dans tous les pays qui l’ont pratiqué) accomplis depuis les années 1960. Les résultats actuels des registres des cancer lui donnent malheureusement raison.

Un Vaccin hors de prix et un projet délirant d’obligation vaccinale

Ce vaccin est vendu à un prix astronomique. C‘est d’ailleurs peut-être la raison de l’intensité de la propagande en sa faveur. Une dose de vaccin contre la fièvre jaune coute actuellement 60 euros et vous protège à vie contre cette maladie mortelle dans 20 à 60% des cas selon les épidémies (37)et une dose d’Hexyon, le vaccin hexavalent de Sanofi, est vendu 37,49 euros.

La vaccination par Gardasil nécessite trois doses, pour un prix d’achat de 370,32 euros avec un reste à charge de 129,61 euros sans compter le reste à charge des 4 consultations nécessaires (en moyenne 120 euros). Et personne ne connait la durée de protection contre les souches virales ciblées, et encore moins si cela préviendra vraiment un seul cancer ! 

Certains députés ont proposé à deux reprises un projet de loi rendant obligatoire la vaccination par Gardasil. Ont-ils seulement mesuré le cout exorbitant d’une telle mesure ? Si l’on tient compte du prix des vaccins et des consultations nécessaires, la vaccination d’une classe d’âge couterait en effet environ 500 euros par personne, soit environ 350 millions d’euros chaque année. Et en acceptant les hypothèses les plus invraisemblables d’une durée de protection illimitée et d’une efficacité anti cancer totale cette dépense permettrait d’éviter moins de 1000 décès par cancer du col et moins de 400 décès par  cancers de l’anus, soit plus de 200000 euros par décès théorique évité, soit vingt fois plus que couramment admis en France pour estimer rentable une action sanitaire. Ces députés croient-ils encore qu’il existe de l’argent magique ? Sont-ils incapables de compter, ignares ou corrompus ?

Une mesure sanitaire ne doit pas reposer sur la foi dans une vaccination ou des conflits d’intérêts cachés, mais sur des faits avérés, vérifiables par chaque citoyenOr les faits établis par les relevés officiels des registres du cancer montrent que la vaccination anti HPV ne protège pas contre le cancer invasif du col de l’utérus, mais parait plutôt maintenir sa fréquence à un niveau élevé, voire parfois même l’augmenter. Il n’existe aucune preuve même minime que le vaccin anti HPV puisse protéger contre les cancers de l’anus et ORL.

Ne vaccinez pas vos enfants par Gardasil avant qu’il n’ait été prouvé en population réelle son hypothétique efficacité anti-cancer. Nous en sommes très loin. Cependant les complications sont reconnues.

Dr Gérard Delépine

 

Notes :

1 https://nouveau-monde.ca/ne-vaccinons-pas-non-plus-les-garcons-par-le-gardasil/ 

2 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2022/10/17/prevention-du-cancer-du-col-de-l-uterus-itineraire-d-un-echec_6146187_1650684.html 

3 https://www.leprogres.fr/sante/2022/04/27/la-vaccination-contre-les-hpv-concerne-autant-les-filles-que-les-garcons 

4 https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cancer/faut-il-vacciner-les-garcons-contre-le-papillomavirus_131256 

5 https://www.lefigaro.fr/sciences/pourquoi-faire-vacciner-son-garcon-contre-le-hpv-20210111 

6 Hystérie vaccinale Gardasil et cancer un paradoxe   n et g Delépine    et  Faith and propaganda versus hard evidence, Gardasil, Nicole Delépine, Gérard Delépine, Fauves Ed ». .

7 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-augmentation-du-taux-de-218354

8 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-alerte-risque-imminent-d-206314 

9 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-societe-sante/gardasil-resultats-cancerologiques-actuels-des-vaccins-anti-hpv

10  https://t /defender/un-proces-intente-recemment-contre-le-vaccin-gardasil-hpv-de-merck-pour-cause-dinfertilite-et-de-crises-depilepsie/?lang=fr 

11 https://childrenshealthdefense.org/defender/premier-proces-pour-deces-injustifie-lie-au-gardasil-alleguant-que-le-vaccin-contre-le-vph-a-cause-la-mort-dun-adolescent-de-13-ans/?lang=fr 

12 HPV: le Japon ne recommande plus les vaccins Gardasil et Cervarix contre le cancer de l’utérus https://www.slate.fr/life/74167/vaccin-japon-hpv 

13 http://initiativecitoyenne.be/2015/05/desastre-du-vaccin-gardasil-au-danemark-le-documentaire.html 

14 https://thenewamerican.com/irish-nurse-seeks-withdrawal-of-license-for-gardasil/ 

15 https://sanevax.org/hpv-vaccine-damaged-girls-colombia-stir-international-quest-justice/ 

16 Gardasil in France: Marie-Océane Bourguignon’s Experience – SaneVax, Inc.

17  https://www.legislationlab.org/election-juge-usa/ 

18 https://www.conseil-constitutionnel.fr/la-constitution/l-independance-de-l-autorite-judiciaire#ii_la_consecration_pretorienne_de_l’independance_des_juridicti 

19 http://loiseaumoqueur.com/?p=1652 

20 https://www.ladepeche.fr/article/2011/07/01/1119967-juges-jures-avocats-qui-fait-quoi-aux-etats-unis-et-en-france.html  

21 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-augmentation-du-taux-de-218354 

22 https://www.auchan.fr/hysterie-vaccinale-vaccin-gardasil-et-cancer-un-paradoxe-delepine-nicole/pr-62adb0ad-a7de-44cb-b45c-7f73b2af1bd7 

23 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/vaccin-gardasil-augmente-t-il-le-204313 

24 https://atlantico.fr/article/decryptage/pourquoi-les-predictions-sur-la-disparition-du-cancer-du-col-de-l-uterus-grace-a-la-vaccination-sont-a-prendre-avec-beaucoup-de-pincettes-nicole-delepine 

25 https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/diplomatie-scientifique-et-universitaire/veille-scientifique-et-technologique/australie/article/l-australie-sur-la-voie-de-l-eradication-du-cancer-du-col-de-l-uterus 

26 https://www.gyneco-online.com/gynecologie/elimination-du-cancer-du-col-en-australie-une-projection-pour-lavenir 

27 Hall MT , Simms, Lew, Smith, Brotherton, Saville, Frazer, Canfell  The projected timeframe until cervical cancer elimination in Australia: a modelling study. Lancet Public Health. 2018 Oct 1. pii: S2468-2667(18)30183-X. doi: 10.1016/S2468-2667(18)30183-X. [Epub ahead of print

28 https://ncci.canceraustralia.gov.au/diagnosis/cancer-incidence/cancer-incidence 

29 Falcaro M, Castañon A, Ndlela B, et al. The effects of the national HPV vaccination programme in England, UK, on cervical cancer and grade 3 cervical intraepithelial neoplasia incidence: a register-based observational study. Lancet 2021;398(10316) :2084-2092.

30 https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence#heading-Two 

31 F. F. HAMER Cancer du col de l’utérus en France : tendances de l’incidence et de la

mortalité jusqu’en 2018 Revue de Biologie Médicale/N° 353 – MARS-AVRIL 2020

32 https://cdn.who.int/media/docs/default-source/country-profiles/cervical-cancer/cervical-cancer-swe-2021-country-profile-fr.pdf?sfvrsn=df523911_1 

33 https://www.kreftregisteret.no/globalassets/cancer-in-norway/2019/cin_report.pdf 

34 https://hpvcentre.net/statistics/reports/PRT_FS.pdf 

35 https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S1473-3099%2810%2970182 

36 https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/fievre-jaune 

37 contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la poliomyélite et les maladies invasives à Haemophilus influenzae type b (Hib).