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Par Gérard Delépine chirurgien cancérologue et statisticien.

 

Lors de la crise covid l’OMS a édicté en permanence des recommandations contraires à l’état de la science et a ainsi fortement contribué à la mort de millions de personnes. Qu’il s’agisse d’incompétence ou de mensonges délibérés cette organisation ne peut pas être réformée : elle doit être supprimée

Mais rappelons ses principaux mensonges et leurs conséquences dramatiques

 

L’OMS est en grande partie responsable de la catastrophe du confinement

Depuis longtemps la lutte contre la propagation des épidémies se résumait à la quarantaine : séparation des biens portants des malades le temps que ceux-ci ne soient plus contagieux. Cette mesure a prouvé son efficacité contre de nombreuses pandémies comme la peste, la lèpre, le typhus…

Le confinement aveugle qu’a conseillé l’OMS enfermait au contraire ensemble les malades et les biens portants au domicile familial ou dans les EPHAD ; cette mesure avait été abandonné après ses résultats épouvantables lors de l’épidémie de 1720 à Marseille ou il avait été suivi par la mort de la moitié de la population de la ville sans empêcher la transmission de la maladie à toute la Provence et à l’Italie. L’OMS a préféré croire la simulation truquée imaginée par son mathématicien -prophète N. Ferguson et a prôné cette mesure remise à la mode par la dictature chinoise pour aider les gouvernements occidentaux à nous l’imposer.

 

Echec du confinement sur la transmission et la mortalité.

Contrairement aux prédictions et aux justifications tardives issues de simulations, les données du monde réel publiées par l’OMS prouvent que la propagation de l’épidémie n’a été ni retardée, ni amoindrie par le confinement aveugle dans aucun des pays qui l’ont imposé à leur population.

Ne séparant pas les malades des biens portants le confinement aveugle facilite au contraire les transmissions au lieu de les limiter.

La comparaison des évolutions de deux pays (Belgique et Pays-Bas) proches géographiquement, par leurs populations et leurs modes de vie démontre clairement ce lien entre confinement et contaminations.

Diapositive 1

L’accroissement des contaminations a été suivi, en Belgique comme ailleurs, par l’augmentation de la mortalité quotidienne. Diapositive 2

 

 

En Europe, lors du premier confinement, l’augmentation des cas a été suivi d’une forte augmentation de la mortalité. Au 5 avril 2020, les pays subissant le confinement aveugle étaient ceux dont les populations souffraient d’une mortalité maximale, frisant malheureusement le record mondial de décès pour 100000 habitants : 256 en Espagne (11 744 morts), 254 en Italie (15 362 morts), 116 en France (7 546 morts), 111 en Belgique (1 283 morts). À l’opposé, ceux qui appliquaient les mesures classiques de confinement sélectif étaient ceux qui ont protégé efficacement leurs populations : mortalité de 17 en Allemagne (1 342 morts), 21 en Autriche (186 morts), 15 en Suède (373 morts), 3 en Norvège (50 morts).

Un mois plus tard, en mai 2020 la mortalité européenne moyenne pour 100000 habitants était proche de 100 dans les pays non confinés (Autriche, Suède, Allemagne, Biélorussie, Finlande) contre plus de 500 pour les principaux pays confinés (Belgique, France, Espagne, Italie, Grande Bretagne). Dia 3

 

 

Les chiffres publiés par l’OMS confirment donc que le confinement généralisé qu’elle a conseillé représente la plus inefficace des mesures de prévention de la mortalité anti- Covid-19.

Cet échec du confinement dans la lutte contre le covid a depuis été confirmé par plus de 400 études d’auteurs indépendants et plusieurs macroanalyses dont celle réalisée par la fondation Cochrane.

 

Le confinement a causé d’innombrables dégâts sanitaires et sociaux.

Il a empêché des interventions chirurgicales et retardé de nombreux traitements médicaux ou des dépistages de cancer expliquant en partie l’augmentation de la mortalité par maladies cardiovasculaires et cancer observée depuis.

Il a causé des dommages psychologiques majeurs à la population et tout particulièrement aux enfants et adolescents dont les comportements se sont modifiés et parfois devenus d’une agressivité inconnue jusqu’alors.

Il a multiplié les violences inter familiales contre les femmes et les enfants

Il a augmenté les inégalités scolaires entre les enfants favorisés par le statut social de leurs parents et les autres, et accéléré le décrochage scolaire

Il a aggravé la malnutrition infantile à l’échelle mondiale

Il a précarisé davantage les pauvres du fait des pertes de salaires et du chômage et constitué «la pire attaque contre les prolétaires en un demi-siècle ».

Cette astreinte à domicile des populations a été responsable d’une catastrophe économique majeure marquée par la chute du produit intérieur brut, l’aggravation considérable de la balance des paiements, de la dette et des défaillances d’entreprises…

Même le conseil scientifique qui l’a initialement justifié a du tardivement reconnaitre ses dramatiques conséquences « L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale…Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations »

La macroanalyse de Université Johns Hopkins a conclu « les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies… Les études portant sur les autres mesures spécifiques : confinement par rapport à l’absence de confinement, masques faciaux, fermeture d’entreprises non essentielles, fermeture des frontières, fermeture des écoles et limitation des rassemblements ne trouvent pas non plus de preuves générales d’effets notables sur la mortalité liée au COVID-19. »

Il est vraisemblable que le confinement sera considéré dans l’histoire comme l’un des plus grands échecs politiques en temps de paix. Ce que l’OMS a conseillé aux gouvernements est une folie dénuée de fondement scientifique dans le monde réel. La terreur d’une mauvaise grippe transformée en peste par la propagande permanente d’une fausse « science » a fait tolérer la perte de nos libertés civiles et nos droits fondamentaux. Le droit de circuler a été bafoué par l’astreinte à domicile ; le doit de s’exprimer a souffert d’une censure féroce et la discrimination de tous ceux qui tentaient de ramener l’épidémie à sa réelle gravité, de proposer des traitements précoces ou d’appeler à la prudence envers des injections expérimentales à ARN qualifiées de vaccin.

L’interdiction de traiter a été responsable de la mort de millions de personnes.

La mortalité considérable de la grippe espagnole a été principalement due aux surinfections bactériennes à une époque où les antibiotiques n’existaient pas. Le Covid, qui s’est comporté comme une méchante grippe n’aurait pas été aussi léthal si les gouvernants occidentaux n’avaient pas majoritairement interdit les traitements précoces.

L’Organisation mondiale de la santé affirmait en 2020 « il n’y a pas de traitement possible » et de l’essai européen Discovery « Il n’y a pas de traitement miracle ni d’étude convaincante pour le moment« . Et l’article du LancetGate totalement fallacieux a servi de prétexte pour interdire l’hydroxychloroquine.

Heureusement pour leurs population certains pays n’ont pas cédé aux pressions de l’OMS, ont conseillé des traitements précoces et permis ainsi de démontrer formellement leur efficacité.

Le traitement Raoult était très efficace !

L’Algérie, le Cameroun et la Côte d’Ivoire qui l’ont conseillé et largement utilisé ont protégé efficacement leurs populations obtenant des mortalités par million 15 à 84 fois inférieures à celle de la France du tout vaccin comme l’illustrent les courbes suivantes des données publiées par l’OMS : dia 4

 

La comparaison Algérie/France est particulièrement pertinente car le pourcentage de la population à risque (les plus des 60 ans) est la même dans les deux pays.

L’hydroxychloroquine était efficace !

Les populations des pays d’Afrique subsaharienne qui souffrent du paludisme depuis toujours ont consommé des milliards de dose d’hydroxychloroquine chaque jour depuis la dernière guerre mondiale sans complications notables. Elles n’ont pas cru le bobard de sa toxicité claironné par le Lancet Gate et l’OMS et ont continué à la consommer préventivement s’assurant ainsi des plus basses mortalités covid du monde.

En janvier 2022 l’OMS recensait en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2% du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial) alors que ce continent très peu vacciné regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale. Certes la jeunesse des africains a constitué un facteur protecteur important mais après correction de la mortalité par l’âge, les Africains exposés au paludisme bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants.

L’efficacité de l’hydroxychloroquine a été observée aussi en Europe

Lors de la première vague covid en Allemagne la consommation d’HCQ a explosé et la mortalité covid a été 5 fois plus faible qu’en France qui interdisait l’HCQ (dia 5) :

 

 

L’Inde a aussi démontré l’efficacité de l’Hydroxychloroquine.

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4.690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu

Lors de l’apparition de l’épidémie, le nombre de contaminations quotidiennes atteignait des sommets, l’Inde, paraissait être destinée à souffrir terriblement du covid. Mais en mai 2020, le Conseil indien pour la recherche médicale, organisme gouvernemental coordonnant les travaux sur le Covid-19, a récusé les conclusions de l’OMS et confirmé « l’efficacité de l’hydroxychloroquine à titre préventif » en s’appuyant sur plusieurs études locales. Il a décidé de l’administrer préventivement aux policiers aux infirmiers et aux proches des malades et d’augmenter sa production de HCQ. Grace à ce traitement préventif le pic des contaminations journalière par million d’habitants n’a pas dépassé 75 contre 10172 pour en France. Cette forte réduction du risque de contamination ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement.

En janvier 2022, à l’issue de la première vague l’Inde enregistrait 4 fois moins de morts par million d’habitants que la France. Mais les médias ont caché ce fait ou prétendu que l’inde ne déclarait pas tous ses décès covid. dia 6

 

 

Et lors de la deuxième vague la reprise des traitements précoces a fait spectaculairement baisser la mortalité journalière :

Cette politique de traitements précoces a permis à l’Inde, malgré l’état pitoyable de son système de santé d’enregistrer une mortalité covid totale bien plus faible que la nôtre. Dia 7.

 

 

D’autres traitements précoces se sont révélés efficaces

Madagascar souffre aussi de malaria depuis toujours ; Ses habitants se protègent traditionnellement par des infusions à base l’Artémisinine qui a été proposée comme traitement du covid (lui aussi réfuté par L’OMS, l’ANSM   et l’Académie de médecine).

Mais la comparaison des mortalités covid par million à Madagascar (très peu vaccinée) aux Seychelles (pas de traitement précoce mais plus de 80% de la population vaccinée) et à celle de la France confirme les affirmations du président Malgache : l’Artémisinine est beaucoup plus efficace que les injections à ARN pour prévenir les formes graves. Dia8.

 

 

 

 

 

La propagande permanente « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez-vous et prenez du doliprane… » et l’interdiction féroce des traitements précoces (avec les condamnations des médecins pour avoir guéris leurs malades et l’avoir proclamé) est la principale responsable de notre surmortalité covid. Nous aurions pu vraisemblablement sauver plus de 120000 français sans cette tyrannie anti-scientifique destinée à imposer les pseudo vaccins.

 

Les pseudo vaccins conseillés par l’OMSse sont révélés inefficaces

Dès leur mise expresse sur le marché l’OMS a paré les prétendus vaccins de toutes les qualités « les vaccins sont efficaces à 97%…ils sont surs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres ». Mais leur utilisation en vie réelle a rapidement démenti ces messages publicitaires.

Les pseudo vaccins n’ont protégé personne.

Les vrais vaccins efficaces comme le vaccin contre la variole ou contre la fièvre jaune protègent les vaccinés à vie. Chacun connait dans son entourage de nombreux vaccinés covid qui, après plusieurs injections ont souffert, parfois à plusieurs reprises, de la maladie, montrant l’inefficacité des pseudo vaccins à les protéger.

L’échec des vaccins a aussi été démontrée dans une grande étude sur 50000 soignants et administratifs de la clinique de Cleveland, aux Etats-Unis : plus ils avaient reçu des doses de vaccins, plus ils souffraient d’infections Covid !

L’évolution mondiale de l’épidémie confirme l’inefficacité des pseudo vaccins. Les chiffres de l’OMS, montrent que la généralisation des vaccins a été suivie non pas de l’arrêt des contaminations mais au contraire par la multiplication par 3 de leur nombre mensuel. Dia 9.

 

 

 

Et ce sont les pays les plus vaccinés qui ont souffert le plus de la recrudescence des cas ! dia 10

 

 

Obligés de reconnaitre que les vaccins ne protégeaient pas des contaminations les propagandistes des injections à ARN ont alors prétendu qu’elles protègeraient des formes graves. Mais cette affirmation ne résiste pas à l’examen des chiffres de mortalité covid publiés par l’OMS ; la généralisation des pseudo vaccins n’a pas entraîné de diminution de la mortalité, bien au contraire (dia 11) :

 

 

 

Les pseudo vaccins covid exposent à de nombreuses complications.

 

Inefficaces contre les contaminations, incapables de diminuer la mortalité, les injections à ARN ont été de plus suivies par de nombreuses complications : complications neurologiques dont le syndrome de Guillain Barré, encéphalite disséminée, péricardites et myocardites, phlébites, embolies, accidents vasculaires cérébraux, thrombocytopénies, troubles des règles, insuffisance ovarienne prématurée  …

Dans la mesure ou les pseudo vaccins n’apportent aucun bénéfice démontré, leur menace potentielle impose de récuser ces injections à ARN.

 

Cette analyse des faits démontrés plaide pour la suppression de l’OMS

 

1°) L’Organisation Mondiale de la Santé, nos gouvernants et les agences sanitaires nous ont continuellement menti pour nous faire peur et nous faire accepter une tyrannie injustifiée. Pour expliquer cette attitude l’ignorance n’est pas crédible compte tenu de leur persévérance dans leurs mensonges alors que les faits et des études scientifiques très nombreuses démontrent le contraire. De même la censure et les discriminations envers les donneurs d’alerte qu’ils continuent de prôner plaident pour leur intention malveillante d’imposer la tyrannie. Il est illusoire de croire qu’on peut réformer ces organismes de l’intérieur comme l’a montré l’échec de toutes les tentatives de réforme démocratique de l’Union Européenne ; ces organismes internationaux ne visent toujours qu’à imposer leur et élargir leurs compétences que leurs experts monnayent ensuite auprès des financiers intéressés.

Nous ne pouvons plus leur faire confiance et notre défiance justifie de supprimer le financement de l’OMS et des agences qui se sont comportées en outils de désinformation pour nous asservir.

2°) les confinements conseillés par l’OMS ont entrainé la plus grande catastrophe sociétale et économique du siècle. On ne doit plus jamais lui faire confiance ni tolérer de telles atteintes à nos libertés fondamentales et on doit rechercher la responsabilité pénale des personnes qui l’ont conseillé.

3°) Les interdictions de traiter conseillées par l’OMS ont causé la mort de plus de 140 000 français. Ce n’est pas à l’OMS ni à nos gouvernants de dicter le traitement des maladies mais aux médecins qui ont été formé pour examiner les malades et décider avec eux, à l’issue d’un colloque singulier, ce qui convient de leur prescrire. Les responsables de ces interdictions terriblement mortifères doivent être jugés.

 

4°) Les injections anti-covid promues par l’OMS n’auraient jamais dû être autorisées ni conseillées

Leur autorisation de mise sur le marché dans le cadre d’une procédure d’urgence a été obtenue moins d’un an après la déclaration de la pandémie de COVID-19 alors qu’elle nécessite habituellement une dizaine d’années pour un vaccin. Une telle procédure n’aurait jamais du être autorisée pour une affection aussi peu léthale dans les pays qui n’ont pas vacciné.  Un délai aussi court ne permet pas d’évaluer convenablement les risques du produit. Dans ces essais les données pour les personnes de plus de 75 ans étaient rares et inexistantes pour les enfants, les femmes enceintes ou les patients immunodéprimés qui ont pourtant été incluses dans les recommandations d’emploi. L’efficacité a été mesurée sur un critère substitutif, les patients symptomatiques, alors que le critère approprié de “morbidité grave toutes causes confondues” constitue une véritable mesure de la santé. De plus aucune étude concernant contre l’excrétion virale ni la transmission n’a été réalisée sans que cela n’ait empêché les autorités sanitaires de prétendre que de se vacciner protège les autres !

Il faut exiger qu’à l’avenir les essais pivots respectent des critères scientifiques stricts et que ceux qui les valident n’aient aucun lien d’intérêt avec les entreprises qui les fabriquent ou les vendent.

La responsabilité personnelle des experts et des dirigeants de l’OMS, de l’EMA, de la haute autorité de santé et de l’Académie de médecine qui ont si fortement poussé la population à se faire injecter doit être recherchée ; Une mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui afin devrait les rendre plus prudents à l’avenir

 

 

article publié  sur agoravox le 6 avril 2020 Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? – AgoraVox le média citoyen

il y a déjà près de deux ans ! et énormément diffusé par des internautes y compris à l’étranger. On ne peut pas dire qu’on ne savait pas !

Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?

Le Comité Consultatif National d’Ethique a pris des positions qui lui font honneur en rappelant dans de nombreux avis [1] [2] [3] [4]

 

« Les principes éthiques fondamentaux doivent être respectés ».  Il faut éviter que « le confinement, quelle que soit sa justification aux impératifs de santé publique, ne devienne pour ceux qui n’ont plus la liberté de choisir leur cadre et leur mode de vie, une mesure de coercition ».

Et encore : « Faudra-t-il aller jusqu’à contraindre ces personnes en leur appliquant des mesures de contention, physique ou pharmacologique ? « Cette question doit être posée et la réponse doit être le fruit d’une discussion préalable, en y associant des personnes extérieures à l’institution, comme les professionnels des équipes mobiles de gériatrie, ainsi que les proches, sans jamais oublier que l’on peut nier l’humanité de la personne en niant le sens qu’a sa déambulation  ».

Et enfin, et peut-être le plus utile en pratique :

« Concernant les familles et les proches aidants qui souhaitent que le résident puisse au moins temporairement les rejoindre à leur domicile, de telles initiatives devraient être encouragées, après avoir bien entendu recueilli l’assentiment du résident et pratiqué des tests permettant de prévenir des risques de contamination intrafamiliale ».

[1] Avis 106 de 2009 sur « Les questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

[2] Avis 128 de 2018 Enjeux éthiques du vieillissement

[3] Contribution du 13 mars 2020 sur « Enjeux éthiques face à une pandémie

[4] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD

 

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Décret Rivotril : compassion, euthanasie[1] ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?

 

Le traitement du Pr Raoult potentiellement efficace, serait dangereux pour ceux qui sont trop vieux pour bénéficier de soins actifs en cas de Covid ! Mais pas le Rivotril qui les endormira à jamais ! Sortez vos ainés des EHPAD et hôpitaux en urgence.

 

Ils étaient en prison sans parloir on les met au mitard ! Pour leur bien ? Qui le croira ?

 

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 :

 « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées  ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931. »

 

Un nouveau procès de Nuremberg se profile

Les médecins français et soignants de 2020 sauront-ils mieux résister aux injonctions du pouvoir totalitaire qui se met en place que leurs confrères allemands des années 30, qui appliquèrent la loi hitlérienne visant à euthanasier les handicapés, les fous etc. ?

Comment un soignant peut-il accepter de condamner à une mort rapide un patient avec lequel il converse avec empathie apparente, sous l’ordre de deux médecins différents joints par téléphone qui n’ont pas examiné le malade de chair, d’os et d’âme ?[2] C’est à ces extrêmes qu’on voudrait conduire médecins et infirmiers, qui à court sûr, contraints dans le feu de l’action, et la pression du groupe accepteront pour certains, mais ne s’en remettront jamais à long terme…[3]

 

Nos aïeux en Ehpad semblent avoir été sournoisement condamnés à mort par une série convergente de circulaires gouvernementales

 

 Une épidémie volontairement non contrôlée : pourvu que ça dure…

Pas de fermeture des frontières, pas de masques ni gels, ni respirateurs en nombre suffisant, pas d’ouvertures de lits ni embauche de personnel, plan blanc bloquant l’activité des cliniques privées depuis près de trois semaines, mais dont les lits restent vides !

« En même temps » une mise en scène théâtrale permet au président de jouer au chef de guerre salvateur (transfert en hélicoptère coûtant plusieurs centaines de milliers € alors que le transport d’un respirateur ne revient qu’à 300 €) …Le plus révélateur de la duplicité gouvernementale pour les français naïfs et/ou bienveillants sont les refus réitérés des propositions d’entreprises pour fabriquer des masques, des respirateurs et d’empêcher les médecins de prescrire l’hydroxy chloroquine aux malades qui en ont besoin alors que ce médicament était en vente libre sans ordonnance jusqu’en janvier 2020 et le décret scélérat d’Agnès Buzyn. Les ARS, les Normes, les contrôles et l’exigence d’un essai randomisé, tout l’arsenal des bureaucrates a été utilisé pour retarder l’arrivée des moyens de lutte contre l‘épidémie, comme durant la drôle de guerre où ils ont retardé la livraison des armes modernes qui ont tant manqué en 40 [4] …

 

La peur au royaume de Machiavel et le confinement généralisé brutal

Au bout de trois mois de mensonges et de décisions inefficaces, l’excuse d’incompétence n’est plus crédible, ni celle de révision de stratégie. A Wuhan, les chinois ont bâti un hôpital en 15 jours. En Angleterre, et en Espagne des milliers de lits ont été montés en quelques jours. Quand l’Allemagne s’est sentie menacée, A. Merkel a immédiatement réquisitionné des hôtels pour les transformer en hôpitaux, et fait tourner les usines jour et nuit pour fabriquer des respirateurs…

En France, l’épidémie a été favorisée par les décisions gouvernementales inadaptées et incohérentes, telles l’incroyable histoire des masques. Port de masques déclaré inutile[5] pour les forces de l’ordre et la population ordinaire jusqu’au 3 avril 2020 où brutalement le directeur général de la santé demande que tout le monde en porte (« on réévalue la doctrine  », il fallait oser ! La peur créée et entretenue 24 /24H par les médias[6], et en particulier leurs médecins préférés comme Karine Lacombe[7], Yazdan Yazdanpanah [8] ou Jean-François Timsit[9], est responsable d’une hystérie collective qui permet au gouvernement d’imposer un confinement généralisé inutile et inefficace sur le plan sanitaire[10] [11], mais qui a le mérite de museler toutes formes d’opposition et de disposer des pleins pouvoirs[12].

Le peuple crédule, quotidiennement lobotomisé par les émissions pseudo-débiles qui véhiculent la propagande gouvernementale ACCEPTE SANS BRONCHER. (Apparemment – l’eau qui bout ?). Les citoyens se croient protégés, alors qu’en même temps, on les laisse se contaminer (ou on favorise la diffusion du virus ?) lors de leurs courses dans les supermarchés en air conditionné (alors que les marchés de plein air sans risque sont fermés !) et dans le RER, pour ceux qui doivent travailler (haut lieu de contamination, les voyageurs serrés comme des sardines, non protégés). Comble de la perversité, soignants libéraux et policiers au contact de la population travaillent sans protection. Si on voulait que l’épidémie puisse prospérer, c’était la meilleure recette. Nos résultats sanitaires du 2 avril 2020 qui nous placent dans le trio des plus mauvais du monde[13] (Italie 12430 morts, Espagne 8189, France 3514 versus Allemagne 732 et Japon 57) le démontrent amplement.

Ainsi, tandis que le premier Ministre ferme les cafés, restaurants, et la plupart des commerces en 4 H (quid des provisions des commerçants ?) le samedi 12 mars, le premier tour des élections a lieu le dimanche. Il annonce le lundi un confinement généralisé pour le mardi midi. Bloqués sur place, sidérés, désireux de donner à leur famille un peu d’espace en campagne, les récalcitrants qui le peuvent seront culpabilisés d’emblée. Mais lorsque quelques semaines plus tard, le président et sa ministre des armées exhiberont leurs joujoux pour transférer à prix d’or des patients Covid19 partout en France, personne ne les accusera de diffusion du virus et d’incohérence, alors que de nombreux lits de cliniques privées, équipés en matériel et personnel restent vacants tout près des hôpitaux saturés.

 

Confinement politique !

Victoire ! les Gilets jaunes sont bloqués ! Le 49 3 anti-retraites du 29 Février n’a pas le temps d’entrainer de manifestations, CGT FO etc. tous sont neutralisés et terrorisés comme tous, par les annonces mille fois répétées sur les ondes. Les médias oublient totalement la guerre des frontières en Grèce, l’ouverture au marché commun avec le Vietnam par l’UE (en même temps, décidément, que E. M. fait semblant de plaider pour la souveraineté nationale) et l’intégration de nouveaux pays dans l’OTAN. N’oublions pas, la commission européenne planche sur un sujet éminemment urgent, la crêpe bretonne.

Les soignants en grève depuis un an, gazés et tabassés dans les manifestations multiples ne peuvent plus témoigner de la misère de l’hôpital. On les traite de héros chaque soir à 20 H en leur promettant des médailles et encore plus d’applaudissements, alors qu’ils ne voudraient que surblouses et embauches immédiates et que des voisins ne leur demandent pas de déménager. Mais l’ARS Grand Est, région martyrisée par le Covid19 et l’insuffisance de moyens confirme en ce début avril la suppression de 598 postes et de 174 lits. Incroyable !

Dos au mur, pourquoi changer une politique qui tue, surtout les riens (les autres sauf exception, ont accès aux respirateurs et surtout à la chloroquine, comme en témoigne Patrick Pelloux). Les avocats qui se battaient depuis plusieurs mois pour tenter de sauver la Justice et le droit sont également muselés, ainsi que d’autres professions libérales.

Ce confinement prétendument sanitaire est politique et pervers.

Veut-on limiter la diffusion du virus ? Mais pourquoi alors laisse-t-on ouvert les transports bondés, de telle façon que les agents RATP sont particulièrement touchés. Par contre, une femme âgée seule au soleil sur la plage serait dangereuse ! Comme un surfeur, un pêcheur sur un bateau, un joggeur en forêt plutôt que tournant en rond dans une rue pavée ? Une mère qui sort sur autorisation spéciale son enfant autiste, qui reçoit une amende car elle a osé emmener ses autres petits (auraient-ils dû restés seuls ? [14]).

D’innombrables exemples montrent que ce « confinement » est volontairement punitif , humiliant, et vise en réalité à nous conditionner à la soumission à la Stanley Milgram.[15]

Quelle merveille pour le gouvernement que ce vilain virus ? Arrêtons d’être dupes, bisounours, de nous contenter de dessins et de bougies pour honorer les victimes, sans dénoncer les complices du bourreau. Ne sous-estimons pas l’adversaire. L’incompétence affichée, digne des regrettés guignols de l’info dans le jeu de rôle de Sibeth, les décisions contradictoires d’un jour à l’autre avec leurs injonctions paradoxales permanentes constituent une stratégie perverse bien connue « la stratégie du choc ».[16]

 

 Etat d’urgence voté en catimini en 48 H avec quelques députés présents. 

L’état d’urgence sanitaire a été officiellement instauré pour « protéger les plus fragiles et en particulier les personnes âgées  ». Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en terme de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.

 

 PROCESSUS PROGRESSIF D’ELIMINATION DES AINES ET DES PLUS FRAGILES

A cet effet le gouvernement a édicté une série convergente de lois, circulaires et de décrets qui prévoient et organisent la disparition de nos aïeux hébergés en Ehpad ou même égarés aux urgences des hôpitaux[17]. Rappelons-les par ordre chronologique :

1°) CONFINEMENT IMPOSE A TOUS sauf dérogation le 16 mars 2020, y compris dans les établissements médicaux (hôpital, EHPAD, maternités etc.).

Immédiatement applicable, sans le temps minimum pour rencontrer ses proches, ses kinésithérapeutes, animateurs, bénévoles, au moins pour expliquer, apaiser, s’organiser (téléphones, Skype pour ceux qui pourraient). Rien, un comportement de sauvages comme ceux qui, il n’y a pas si longtemps, faisaient une descente à 4 H du matin pour emmener un communiste, un résistant, un juif. Du jour au lendemain, on prive nos parents de tous contacts, et on s’étonne qu’ils décèdent en grand nombre (non testés). La vie a besoin d’amour pour perdurer et le Covid19 a bon dos[18].

 

Ce décret instaure le confinement strict, y compris pour des personnes âgées dépendantes des soins physiques, mais aussi psychologiques, soi-disant pour les protéger du virus.

Cet isolement brutal les sépare de leurs familles et les rend ainsi plus vulnérables, les entraine dans un syndrome d’abandon de soi-même vers un syndrome de glissement qui en a déjà probablement tué un bon nombre, avec ou sans l’aide du virus.

Des drames multiples ont déjà été décrits, comme ces couples dont l’épouse venait nourrir son conjoint Alzheimer chaque jour, virée brutalement de l’établissement avec pour seule excuse « on applique les ordres ; « on n’y peut rien ». Ça ne vous rappelle rien ? Vous êtes trop jeunes, peut-être[19]. De plus, on fait signer à ces personnes en état de faiblesse des « directives anticipées » permettant toute intervention, se croyant couvert juridiquement. Soyez prudents, chers collègues, la responsabilité personnelle juridique reste entière, et le parapluie des injonctions Véran sera transitoire, comme son ministère. Le temps de la justice, lui, est long, très long.

 

Mise au point réconfortante du conseil national d’éthique en ce début avril 2020

Le conseil national d’éthique[20] a parfaitement rappelé :

« L’environnement familial ou amical dont les résidents ne peuvent plus momentanément profiter est pour nombre d’entre eux, le lien qui les rattache au monde extérieur et leur raison essentielle de vivre. Les en priver de manière trop brutale pourrait provoquer une sérieuse altération de leur état de santé de façon irrémédiable et même enlever à certains le désir de vivre ». Et oui le fameux syndrome de glissement…

Et l’on découvre jour après jour un peu plus la perversité tant pour le futur défunt lui-même que pour ses proches de cette mesure qui interdit au mourant de voir sa famille pour ses derniers instants. Pourtant un mourant ne risque plus rien et sa famille peut se protéger par des masques ! Le confinement de nos parents n’est pas une mesure de protection mais une maltraitance, une non-assistance à personne en danger, un abus de faiblesse. On les met en prison en leur supprimant les parloirs !

Comble de la perversité des mesures de confinement (qui les a conçus et rédigés ?), les familles ont interdiction de voir le corps de leur défunt et pire encore, de l’enterrer en se soutenant les uns les autres au cimetière. Les premières contraventions de familles dans ces circonstances ont scandalisé les internautes et actuellement seules quatre personnes seraient autorisées. Insupportable détournement d’une mesure soi-disant sanitaire. Humiliation d’un peuple qui a osé résister depuis trop d’années au goût des gouvernants en place depuis 2012 (E. M. secrétaire général adjoint de l’Elysée sous Hollande, puis ministre de l’économie puis président et O. Véran et J. Salomon conseillers de M Touraine ministre de la santé responsable de l’épouvantable Loi de Santé 2016). Revanche contre les Gilets Jaunes !

2°) Absence de fourniture de matériel barrières (masques, gants, blouses à usage unique), de tests aux soignants, policiers, conducteurs de métro etc. facilite leur contamination et les transforme (à leur insu et à leur péril) en agents de diffusion du Covid19 parmi leurs pensionnaires lors des soins ou après des contrevenants et voyageurs. Non testés même s’ils présentent des signes très évocateurs, donc non confinés et contaminants.

Est-ce un hasard si les promesses de fournir des masques aux EHPAD n’ont presque jamais été tenues et ne le sont toujours pas ? Ce sont les bonnes volontés qui tentent de les aider. A quoi servent nos impôts ? Sans honte, Darmanin, ministre de l’économie, et Hirsch, directeur de l’APHP font des quêtes, comme malheureusement Bern pour notre patrimoine aussi mal en point que notre système sanitaire.

 

Les mesures contre les personnes âgées se durcissent avec les consignes, la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Véran

Ils prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé : 60 ,65, 75 ?) par injection intraveineuse d’un médicament contre-indiqué dans les détresses respiratoires. Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort. Le consentement éclairé, est absent[21] de même que le simple choix du patient en abus de faiblesse.

 

De la compassion pour les malades en grande détresse respiratoire ?

 

Certes, certains partisans de l’euthanasie, et les responsables de ce décret plaideront la compassion pour des malades en grand danger, en détresse respiratoire. Bien, mais pourquoi inclure parmi les « bénéficiaires éventuels de ce décret, les patients encore en bon état, mais exclus des soins hospitaliers et/ou de réanimation, sur simple décision de médecins au téléphone qui n’auront ni vu ni examiné le malade et le condamneront en raison de son âge et de ses antécédents médicaux. Sauf si c’est Michet Drucker comme le disent fort justement les twittos. Aux soignants de faire le sale boulot, injecter la seringue prête dans la chambre. Comme souvent diront-ils, et ne s’en remettront pas toujours.

Compassion, oui mais pour les malades qui souffrent le martyre, pas pour ceux qui pourraient un jour, peut-être, souffrir ce martyre comme nous tous et qui actuellement perdent des chances de survie en leur refusant une chance avec le schéma de l’équipe Raoult.

 

Même les militants de l’euthanasie sont choqués

Mais comme le font remarquer de nombreux pro-euthanasie, celle-ci doit être la décision du patient et non de l’entourage soignant. L’état d’abus de faiblesse des personnes âgées, isolées, déprimées par l’absence d’environnement familial et amical, laissent largement douter d’un consentement véritablement éclairé lors des directives anticipées qu’on leur demande de remplir ces jours-ci à toute vitesse. Pourquoi ?

 

 Mise en danger juridique des soignants et médecins. Valeur très relative des directives anticipées signées dans ces conditions de confinement

En tous cas, ces directives sans délai de réflexion réel, sans accompagnement véritable ne seraient que fausse protection des soignants en cas de plainte juridique des proches. Collègues, infirmiers, soyez prudents et protégez-vous aussi, ce décret qui semble pour certains juristes, illégal car contraire à la loi Leonetti, pourrait bien être abrogé par les recours au conseil d’Etat qui vont se multiplier.

3°) Refus d’admettre en réanimation les plus de 70-75 ans, quel que soit leur état physiologique, peut-être en partie pour camoufler l’insuffisance majeure de lits et de respirateurs qui résulte des politiques sanitaires désastreuses des dernières années. Argument douteux quand on connait le nombre de lits vides en établissements privés dotés du nécessaire pour prise en charge de malades lourds et réservés par les ARS en fonction de leur bon vouloir. Directive d’inspiration bureaucratique plus que médicale, car les médecins ne raisonnent jamais en âge absolu, mais bien « physiologique » en fonction de plusieurs caractéristiques de la personne.

4°) Interdiction d’adresser en consulter et d’admettre à l’hôpital public les malades des Ehpad suspects de Covid19 ou des personnes à domicile âgées. Tentez votre chance pour vos proches (en les sortant préalablement pour leurs « derniers jours » chez vous) en consultant directement aux urgences des hôpitaux privés, pour ceux auxquels l’ARS n’a pas supprimé cette compétence. Et n’appelez ni SAMU ni pompiers auxquels l’état impose d’emmener le patient directement en public et seulement en public (même si vous êtes suivi depuis des années par un médecin ou chirurgien) dans un de ces hôpitaux privés. Si besoin, demandez une ambulance privée.

Tel est l’état du système de santé français complètement déséquilibré et entièrement sabordé par l’Etat via les ARS, les libéraux étant complètement sous la coupe de la technocratie. Il n’y a pas à proprement parler de système privé en France.[22] [23] [24]

 

5°) Décret du 26 mars empêchant la prescription de chloroquine dans ces établissements et interdiction aux médecins généralistes de ces établissements de les traiter par l’association Chloroquine-Azithromycine (sous prétexte de leur éviter des traitements dangereux !), alors que cette association est donnée depuis longtemps, sans complications notables aux femmes enceintes en zone d’endémie palustre pour prévenir paludisme et infections.

Quel risque chez des patients abandonnés que l’on estime condamnés ? La chloroquine, potentiellement efficace, serait-elle plus dangereuse pour eux que le Rivotril injectable à visée de sédation profonde définitive, puis mort ? De fait, les médecins résistants peuvent tout de même les mettre sous azithromycine en vente encore libre sur ordonnance (pour combien de temps) et/ ou sous ciflox qui semble avoir les mêmes effets que l’azithromycine et peut-être pas en rupture de stock. Collègues, battez- vous, battons-nous ensemble à travers des pétitions bien reçues comme celle du dr Eric Menat [25].

https://www.petition-chloroquine.fr/ signez, diffusez.

Merci pour les patients dont certains certes auraient guéri spontanément, mais les autres ? Ne pas vouloir traiter sous ce prétexte nous semble remettre en question toute la médecine « préventive » ou précoce, et singulièrement les vaccinations qui ne sont pas données à des malades mais à des bien portants pour leur éviter une possible maladie, comme d’ailleurs la chloroquine est donnée pour éviter le paludisme…

6°) Ordre de maintenir les pensionnaires infectés dans l’établissement (afin qu’ils contaminent un maximum de leurs compagnons d’infortune ?).

Le 30 Mars, devant le scandale difficile à étouffer, le ministre demande à isoler préventivement chaque patient dans sa chambre. Plus de visites, plus de bénévoles déjà depuis deux semaines et maintenant plus de contacts avec les autres pensionnaires, temps soignant très court.

Ils étaient en prison sans parloir on les met au mitard ! Pour leur bien ? Qui le croira ?

A peine besoin du Covid19 et/ou du Rivotril pour les achever. Cette prison de fin de vie pour personnes handicapées qui, souvent, ne peuvent se lever, est une aberration majeure, une maltraitance monstrueuse. Qui a pu donner des consignes pareilles ? Quels médecins peuvent assumer cette mort à petit feu dans un lit d’une chambre fermée dont on ne peut sortir même pour les toilettes… Finalement quand on lit cet arrêté, on peut se demander si Edouard Philippe n’a pas voulu donner une « mort miséricordieuse » à la Hitler avec son Rivotril, pour les mettre rapidement dans un coma irréversible ?

8°) Fourniture du poison (Rivotril injectable) autorisé par le décret du 29 mars pour une période exceptionnelle

INCITE LES MEDECINS ET SOIGNANTS A ACCELERER LA FIN DE VIE CHEZ LES PATIENTS QU’ ILS ESTIMENT NE PAS POUVOIR PRENDRE EN CHARGE (faute de lits ou de probabilité suffisante de les guérir !)

SEULS, SANS CONSENTEMENT DU PATIENT, NI DE SA FAMILLE QUI NE LE REVERRA PAS

Une internaute : « on leur a amené ma grand-mère consciente, un peu gênée sans plus, ils nous ont rendu un cercueil fermé et l’interdiction de l’accompagner à plusieurs dans sa dernière demeure  ». Nous pourrions vous en transcrire des centaines.

Ce décret scélérat autorise la prescription de Rivotril [26] sous forme injectable dans ces établissements, aux malades infectés[27] ou supposés tels (pas de test !). Le Rivotril injectable, puissant inhibiteur respiratoire est, selon la notice, contrindiqué dans les détresses respiratoires. C’est clair ! « Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention “Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19” ». Le ministre pousse la générosité à rembourser le médicament à 100 % , 4 € plus généreux que les Chinois qui font payer la balle aux familles des condamnés à mort.

9°) Fourniture du mode d’emploi complet du médicament létal : « le médecin se conforme aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d’une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d’autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la société française d’accompagnement et de soins palliatifs »[28].

 

Un « protocole » imposé aux cliniciens désemparés devant tant de violation du serment d’Hippocrate

 

Les médecins reçoivent au début de leur garde une fiche conseil pour la prise en charge des patients Covid [29] . Injonction mortifère pour « euthanasie », mais sans consentement éclairé de l’intéressé, ni demande préalable à la famille, contraire à la loi Leonetti et même aux désirs des partisans de l’euthanasie qui la souhaitent toujours décidée par le patient lui-même.

Les fiches détaillent les étapes à suivre selon la gravité du tableau clinique[30] . Pour un malade souffrant d’une légère dyspnée :

ETAPE 1 «  Anticiper une aggravation éventuelle avec le soignant

1- préparer le matériel – Oxygène prêt à l’emploi si possible (HAD, prestataires privés) – Disponibilité des médicaments (et des soignants en cas de prise en charge à domicile) – Matériel de protection des soignants 

2- rédiger des prescriptions anticipées qui autorisent l’infirmière à débuter l’administration si aggravation.

3- préparer les traitements médicamenteux nécessaires à la réalisation de la sédation, dans le poste de soin. En cas de nécessité préparer les seringues à l’avance et les conserver dans la chambre du patient. Il faut alors étiqueter la seringue avec le nom du patient + le contenu de la seringue + la date et l’heure de préparation + le nom du préparateur

DANS TOUS LES CAS : Se renseigner sur les organisations et ressources en soins palliatifs mises à disposition sur son territoire de santé :

Patient pour lequel il a été statué qu’une prise en charge en USI ou réanimation ne serait pas entreprise [31]

Patient présentant des facteurs de risque de forme sévère (cancer, pathologie chronique sous-jacente, insuffisance cardiaque ou rénale…)

 

REPERER les premiers signes de DYSPNEE[32] (..) »

 

ETAPE 1 : ANTICIPER L’AGGRAVATION EVENTUELLE DE L’ETAT RESPIRATOIRE AVEC LE PATIENT

  1. EVALUER LES SYMPTOMES : dyspnée, encombrement, angoisse, douleur.
  2. 2- INFORMER LE PATIENT s’il est communiquant et de façon adaptée sur la possibilité du recours à une sédation en cas de détresse respiratoire asphyxique. Rechercher son consentement si possible et informer la personne de confiance ou les proches. 
  3. RECHERCHER D’EVENTUELLES DIRECTIVES ANTICIPEES
  4. TRACER LES INFORMATIONS dans le dossier médical et noter la prescription anticipée dans l’observation médicale et dans les transmissions soignantes »

Telles sont les consignes de la fiche médicale portant sur le premier stade, dont des patients « bien portants ». Les fiches suivantes portent sur les patients en détresse respiratoire avérée

 

 ETAPE 2 : Face à une détresse respiratoire, endormir rapidement le patient pour lui éviter une sensation d’étouffement

  • PRINCIPES DE TRAITEMENT [33]
  • REPERER LADETRESSE RESPIRATOIRE ASPHYXIQUE :

PATIENT COMMUNIQUANT : sensation d’étouffement avec angoisse massive/agitation et sensation de mort imminente

PATIENT NON COMMUNIQUANT : FR> 30/min, agitation, utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l’inspiration), respiration paradoxale (dépression abdominale durant l’inspiration), battement des ailes du nez, râles de fin d’expiration, faciès de peur.

REPERER les premiers signes de DYSPNEE : (Covid 19 : Risque de dégradation rapide de l’état respiratoire) [34]

Des consignes pour les soignants, outre le protocole technique que nous ne détaillerons pas ici, sont rédigées dans cette fiche[35].

 

Faire le tri du stock de malades, selon l’expression du Président

Comme l’a simplement résumé Corso di saluti [36] : « s’il n’y a plus de place pour prendre les patients en détresse respiratoire, on demandera aux médecins de ville de « faire le tri » en amont, en administrant directement des traitements palliatifs à ces patients ».

 Le plus choquant dans ces fiches détaillées pour les médecins et infirmiers est le détail des indications initiales alors que le patient respire normalement ET qu’on lui demande de fait d’accepter l’euthanasie en cas d’aggravation. Préventivement. Froidement.

Les fiches se poursuivent avec les protocoles techniques pour malades en détresse respiratoire graves qui ne sont plus admis en réanimation depuis quelques jours alors que des lits sont disponibles dans des cliniques privées qui ont signifié leur accord pour les accueillir.

 

ASSASSINAT AVEC PREMEDICATION SUR INJONCTION DE L’ETAT

Il s’agit donc bien de la préparation de la mise à mort préméditée, programmée, de vieillard qui aurait le malheur d’être dans un EHPAD, à l’hôpital, ou même à domicile et qui aurait l’imprudence d’appeler chez lui pour n’importe laquelle pathologie pulmonaire un médecin complice de ce programme criminel.

Nous parlons de crime parce qu’il ne s’agit pas là d’un arrêt de traitement inutile (on ne les traite pas), ni de mettre fin à des souffrances (qui n’existent pas encore) puisque cet empoisonnement est anticipé. Et en cas de résistance imprévue du sujet au premier cocktail, la fiche conseille de doubler les doses et/ou de recourir aux autres drogues connues dans les euthanasies souhaitées ou subies depuis 20 ans.

Nous nous garderons de vous donner la recette de ce cocktail rappelé aux médecins de garde dans la fiche de la société de soins palliatifs et accompagnement.

 

8°) Ce même décret autorise l’extension des morgues dans ces établissement sans demande de permis de construction préalable, pudiquement appelés « locaux destinés à l’entreposage » afin d’accroître la capacité des morgues existantes des établissements auxquels les ARS soi-disant incapables de fournir des masques de protection ont déjà fourni des housses mortuaires. Pourquoi tant de prévisions pour cadavres si comme LCI tente de le faire croire ce jour dimanche 5 avril, ce décret ne visait pas la disparition de nombreux vieillards, pas toujours si vieux … puisque bons à travailler selon le dernier projet de retraites.

9°) Réquisition d’entrepôts réfrigérés à Rungis pour entreposer les corps. Avec l’idée fameuse de rejoindre le plus gros marché alimentaire de France. Ils ont toujours des idées…

 

 DES ANTECEDENTS PEU GLORIEUX AU DECRET RIVOTRIL SIGNE PHILIPPE-VERAN

« N’est-ce pas l’exigence de la charité : délivre ceux que tu ne peux guérir ! » LA MORT MISERICORDIEUSE selon Hitler …

 Afin que chacun discerne clairement la société dans laquelle nous nous dirigeons à grands pas, si une réaction majeure à ce décret n’apparait pas très rapidement, nous rappellerons quelques épisodes de l’ascension d’Hitler et de sa marche vers l’horreur à l’aide de quelques moments cruciaux (lire le développement de Wikipédia sur le sujet). Il s’agit ici de rappeler le génocide des malades par Hitler, en parallèle au génocide possible des vieux malades engagé par le décret #RIVOTRIL du 26 Mars 2020 en France.

Le drame global de la Shoah ne sera pas détaillé ici, mais chacun doit bien penser que mettre le doigt dans l’engrenage est un risque réel…

Petit rappel :

« Euthanasie des enfants sous le Troisième Reich : meurtre d’enfants et d’adolescents handicapés organisé par le régime nazi, sous le Troisième Reich de 1939 à 1945.

Ce programme, initié et dirigé depuis la Chancellerie du Führer et sur ordre d’Hitler, précède chronologiquement celui de l’Aktion T4, et implique un grand nombre d’« établissements pédiatriques spécialisés » sur le territoire du Reich. Plus de 5 000 enfants ont été victimes de ce programme, et peu de ses responsables sont poursuivis pénalement après-guerre ». [37] [38]

 

 Le mythe du soulagement de la souffrance des enfants, utilisé déjà par les nazis 

« Les demandes de malades incurables ou de personnes sévèrement blessées, qui priaient d’être délivrées de souffrances trop dures à porter pour eux, arrivaient de plus en plus souvent, et ce environ six mois avant que la guerre n’éclate.

Ces demandes étaient particulièrement tragiques, car les médecins ne pouvaient les satisfaire en raison des lois existantes. Comme notre office était justement là, comme on nous le répétait souvent, pour traiter sur ordre d’Hitler les cas qui ne pouvaient être résolus légalement, le docteur Hefelmann et moi-même nous sommes sentis obligés de transmettre au docteur Brandt un certain nombre de ces cas, en le priant de solliciter d’Hitler ce qu’il convenait de faire. Le docteur Brandt répondit bientôt qu’il était possible d’accéder à de telles demandes, si l’on pouvait s’assurer que le médecin traitant du patient ainsi qu’une commission médicale, qui restait à créer, s’entendaient sur le caractère incurable de la souffrance »[39]

Lecture difficile à supporter.

 

DEROULEMENT DU PROGRAMME D’EUTHANASIE DES MALADES SOUS HITLER

« Euthanasie » des enfants de 1939 à 1945,

« L’euthanasie » des adultes de 1940 à 1945 :

« L’Aktion T4 » programme centralisé d’assassinat par le gaz, de janvier 1940 à août 1941,

« L’euthanasie » par les médicaments, ou par une sous-nutrition contrainte, pratiquée de façon plus décentralisée de septembre 1941 jusqu’en 1945,

« L’euthanasie » des invalides et des détenus, connue sous le nom « Aktion 14f »[40] d’avril 1941 à décembre 1944

L’Aktion Brandt prend place de juin 1943 à 1945[41]. Le nombre des victimes de ce programme de « guerre contre les malades » est estimé à 260000 personnes[42].

 « Aktion T4 [43] nom donné, après la Seconde Guerre mondiale, à la campagne d’extermination d’adultes handicapés physiques et mentaux par le régime nazi, de 1939 à août 1941 (70 000 à 80 000 victimes) ».

 

 Le nazisme ne tombe pas du ciel, préparé par plusieurs décennies de propagande d’eugénisme depuis les années 1880

 

 L’extermination ne tombe pas du ciel, elle est précédée par une mise en condition de la population et des politiques pour un eugénisme actif qui fleurit aux USA et en Europe dès les années 1880. Dès 1895, le juriste allemand Adolf Jost, dans son ouvrage Le Droit à la mort, plaide en faveur de « mises à mort médicales ». En Allemagne Alfred Ploetz, fondateur en 1905 de la Société pour l’hygiène de la race, estime qu’il faut arrêter les soins aux malades alcooliques, vénériens ou issus d’unions consanguines, car ils sont « contre-sélectifs », en leur permettant de se reproduire et de maintenir ainsi des tares héréditaires dans le corps social15 ; il conseille aux médecins de tuer les nouveau-nés chétifs et malformés ».

« En 1920, l’ouvrage Die Freigabe der Vernichtung lebensunwerten Lebens (L’autorisation de l’annihilation de la vie dénuée de valeur) de Karl Binding et Alfred Hoche propage en Allemagne les concepts de « semi-humains », « esprits morts », « avariés » et « existences superflues ». Parmi les raisons évoquées, et par la suite reprises par les nazis, figurait la nécessité d’éviter de dépenser un argent qui pourrait servir autrement à des fins « productives[44] » Dans cet ouvrage crucial selon Lifton19, les auteurs estiment que l’euthanasie forcée est une action compassionnelle et conforme à l’éthique médicale. 

 Lors de la publication de l’ouvrage, l’écrasante majorité des médecins allemands rejette l’euthanasie, mais l’idée de mettre à mort des malades se propage dans l’opinion : en 1922, une revue de droit pénal publie un projet de loi sur la suppression des malades mentaux, et en 1925, une enquête menée auprès de théologiens fait apparaître que certains d’entre eux estiment inutile d’aider médicalement les enfants attardés ».

1933, « la Conférence internationale d’hygiène mentale, tenue à Paris, se déclare unanimement favorable à toutes mesures empêchant la naissance « des anormaux et des tarés ». En juin 1933, Hitler assiste à une séance du Congrès annuel de la Société internationale de biologie criminelle, tenue à Hambourg, où sont présentés les bons résultats des lois de stérilisation au Danemark. Cette séance convainc Hitler d’appliquer de telles lois, mais renforcées et contraignantes, en Allemagne (loi du 14 juillet 1933) ». [45]

 

 

 Les antécédents de l’histoire actuelle en France

 

Comme en Allemagne lors de l’ascension d’Hitler, le décret d’E Phillipe ne tombe pas du ciel malheureusement. Nous écrivions déjà en 2013 [46] : « L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé.

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient selon l’Ined. (…)

Si on « aide « quelqu’un à mourir, ce ne peut être qu’un choix longuement pesé et le risque moral, médicolégal et éthique doit persister et être assumé, seul rempart à la banalisation du meurtre. Il ne faut pas banaliser le fait de « tuer » dans notre société et achever un mourant est bien « tuer ». Si on passe la limite sans même sans apercevoir, la déliquescence de la société et son humanité sont en jeu. La porte est rouverte aux wagons de bestiaux, aux camps pour handicapés ou opposants, aux expériences médicales sur ces « sous hommes » déchets humains selon l’expression des années 1930 pour les cancéreux incurables, voir à l’extermination de catégories gênantes, bref au fascisme qui rode toujours » car « le ventre est toujours fécond d’où nait la bête immonde[47] »

Déjà trop d’euthanasies en France, la mort précipitée dans un cas sur deux ! Ce nombre important de fins de vie « accélérées » dont un nombre non négligeable sans l’accord du patient même conscient interpelle.

Les gouvernements, les soignants, voire les familles ont pris l’habitude de décider de ce qui est bon pour le malade. On a l’habitude d’entendre dans les réunions hospitalières qui se permettent de décider de la vie ou de la mort des individus au nom d’une collégialité toute puissante : « cette vie ne vaut pas la peine d’être vécue » (et la leur ?). Ou bien « pourquoi réanimer cette enfant handicapée ? » (Faits quotidiens dans les hôpitaux). Faut-il avoir un QI minimum pour avoir le droit de vivre, de rire, de jouer, d’aimer et d’être aimé ? »

N’est-ce pas cette dérive devenue banale qu’on voit se formaliser dans ce décret et cette fois-ci à grande échelle ?

Sur les causes de cette dérive mise sur le compte de la compassion, nous évoquions des raisons pas si nobles en faveur de l’euthanasie motivant peut-être certains de ses promoteurs.

Les soins palliatifs sont encore trop coûteux. Les hôpitaux sont « encombrés » de patients vieux, fatigués, malades peut-être incurables (cela est vite décrété et souvent au moins partiellement faux). Les établissements hospitaliers sont en déficit. Il faut réduire les coûts, donc les hospitalisations, d’autant que les moyens ou longs séjours nécessitent beaucoup de personnel soignant et que ce sont les emplois qui coûtent chers.

Alors accélérer les fins de vie en le présentant comme un choix humain et compassionnel, n’est-ce pas une belle idée de gestionnaires, inavouable dans ses raisons réelles à la population. Les citoyens ne le découvrent que lorsque leur proche est en cause. Et encore seulement les plus vigilants qui ne se laissent pas tromper par le discours de compassion apparente.
UNE NOTE D’ESPOIR

Parmi les journaux, l’Obs[48] et Corse matin se sont jusqu’ici saisi du problème. Les grands médias n’ont guère réagi ni informé sur les raisons réelles et les conséquences pratiques de ce décret. Les réseaux sociaux sont heureusement plus actifs et de nombreux médecins hurlent à la honte de ce viol du serment d’Hippocrate et quelques radios [49].

Ce 5 avril 2020, devant la stupeur et l’indignation suscitées par le décodage des finalités de ce décret, le gouvernement a mobilisé tous ses moyens de désinformation dont LCI vient de donner un bel exemple en prétendant que ce décret aurait : « pour objectif la prise en charge palliative des patients confrontés à un état asphyxique et ne pouvant être admis en réanimation ou pour lesquels une décision de limitation de traitements actifs a été prise. »

Ce qui confirme en fait exactement ce que nous dénonçons : ils sont victimes d’une décision de non-admission en réanimation (parce que la réanimation manque de lits obligeant les réanimateurs à faire un tri inhumain).

Cette pseudo mise au point essaie de cacher qu’il s’agit d’une euthanasie active et non pas d’une limitation des traitements actifs. En effet, l’interdiction d’usage d’emploi de la chloroquine dans les stades précoces par le gouvernement,fait qu’il n’existe pas en France [50] de traitement actif du Covid19. Le Rivotril injectable n’est pas un traitement du Covid19, mais un puissant dépresseur respiratoire d’ailleurs officiellement contre-indiqué en cas de difficultés respiratoires ce qui est exactement le cas des infections à Covid19 qui se compliquent. Il vise à la sédation profonde et définitive, et donc de décès.

Et le Dr Gavazzi prétend justifier l’euthanasie active (injection de Rivotril) par le risque de complication lors des soins de réanimation : « Aujourd’hui, on sait que la durée d’intubation pour les malades du Covid-19 est d’environ 21 jours. C’est une technique très invasive pour le patient, avec de nombreuses prises de sang et de nombreuses autres procédures de soins invasives potentiellement douloureuses. Cela peut entraîner d’importantes complications et des conséquences lourdes, explique encore le Dr Gavazzi. Oui, des personnes ne peuvent pas supporter ce protocole de soin », mais la mort par Rivotril n’est-il pas pire que des complications éventuelles ?

 

Le Comité Consultatif National d’Ethique a pris des positions qui lui font honneur en rappelant dans de nombreux avis [51] [52] [53] [54]

« Les principes éthiques fondamentaux doivent être respectés ».  Il faut éviter que « le confinement, quelle que soit sa justification aux impératifs de santé publique, ne devienne pour ceux qui n’ont plus la liberté de choisir leur cadre et leur mode de vie, une mesure de coercition ».

Et encore : « Faudra-t-il aller jusqu’à contraindre ces personnes en leur appliquant des mesures de contention, physique ou pharmacologique ? « Cette question doit être posée et la réponse doit être le fruit d’une discussion préalable, en y associant des personnes extérieures à l’institution, comme les professionnels des équipes mobiles de gériatrie, ainsi que les proches, sans jamais oublier que l’on peut nier l’humanité de la personne en niant le sens qu’a sa déambulation  ».

Et enfin, et peut être le plus utile en pratique :

« Concernant les familles et les proches aidants qui souhaitent que le résident puisse au moins temporairement les rejoindre à leur domicile, de telles initiatives devraient être encouragées, après avoir bien entendu recueilli l’assentiment du résident et pratiqué des tests permettant de prévenir des risques de contamination intrafamiliale ».

Relisez ces avis ; méditez -les ; et si vous le pouvez, sauvez vos êtres chers, en les sortant des établissements que le gouvernement transforme petit à petit en abattoirs, et en attendant que raison ne revienne sous la pression populaire.

 


[1] Source : Organisation Mondiale de la Santé (OMS/WHO) Rapport 804 du comité d’experts

– Il est éthiquement justifiable de ne pas mettre en œuvre ou d’arrêter des mesures destinées à prolonger la vie qui ne sont pas en accord avec les désirs du malade, quand de telles mesures ne peuvent inverser l’évolution de la maladie mais seulement prolonger l’agonie.

– Il est également justifiable, sur le plan éthique, pour des médecins, après consultation avec des membres de la famille, des tuteurs ou des mandataires préalablement désignés par un malade, de prendre de telles décisions au nom de patients inconscients ou incapables.

– Des médicaments à des doses requises pour supprimer la douleur et d’autres symptômes ne peuvent pas être refusés seulement parce qu’ils pourraient abréger la vie d’un malade.

– L’euthanasie (hâter la mort de façon active par des médicaments) ne doit pas être légalisée.

 

[2] Cf témoignage poignant sur twitter du 3 04 2020 @princedelamour, petite vidéo vue des milliers de fois.

[3] Nous avons vécu cela avec les enfants cancéreux de Garches, brutalement extirpés de leur milieu soignant aimant par la fermeture brutale, accompagnée de CRS (déjà en 2014), le personnel soignant contraint au silence sous peine de sanctions par le petit chef issu d’un ministère et reconverti à l’APHP. Les séquelles chez ces personnels furent lourdes, en termes de dégoût, désinvestissement et abandon de la carrière. Cf Neuf petits lits sur le trottoir, N Delepine éditions Fauves 2014, récit d’un drame collectif abominable.

[4] Comme les chasseurs Dewoitine 520 qui n’avaient pas été munis de leurs mitrailleuses en mai 40 ! Ce chasseur a montré sa supériorité sur le Messerschmitt 109, avion allemand gloire de la Luftwaffe. Malheureusement seulement 37 exemplaires avec mitrailleuses furent livrés avant la débâcle, alors que mille auraient pu l’être dont beaucoup saisis par les allemands ont été distribués aux alliés de l’Axe.

[5] Interrogée le 4 mars 2020 sur France Inter la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a répondu fermement : « non, on ne doit pas acheter de masques, et d’ailleurs on ne peut pas en acheter puisque nous avons donné des instructions ».

[6] Dont les propriétaires milliardaires possèdent aussi des actions de Gilead, Abbvie ou Sanofi

[7] Aucune des chaînes qui la programme ne précise que la collaboration avec ces labos, lui a apporté plus de 150.000 $ en 5 ans. Ecoutez Sud radio émission André Bercoff : Gérard Delepine du 27 mars 2020, et ce dans la violation de la loi de 2011.

[8] Très lié à AbbVie, Bristol-Myers Squibb, Gilead, MSD, Pfizer, Johnson & Johnson, and ViVi Healthcare

[9]Lié à Maat Pharma, Merck, Bayer pharma, Medimune, Gilead, VenatoRx, Nabriva, Paratek

[12] Et vote d’une loi d’urgence sensée être sanitaire et qui casse ce qui reste du code du travail, sans manifestation possible car confinement. Jusqu’à quand ?

[13] Italie, Espagne, France pays qui les premiers ont confiné leur population saine

[14] Contestation pénale prévue et remboursement possible ? cf. PlainteCovid.fr diffusée par Bruno Gaccio collective et déjà des milliers de plaintes

[15] « Soumission à l’autorité Stanley Milgram et le film la Vague.

[16] La stratégie du choc – Naomi Klein, octobre 2013 Essai (Poche)

[17] Que beaucoup d’entre eux évitent depuis plusieurs années, vu la tendance qui devient plus visible actuellement.

[18] Partout dans le monde en particulier USA et Italie, les morts seraient tous attribués au Covid19, alors que décédés avec le Covid19, ou même sans, en vue d’alimentation de la peur, et de subventions possibles (USA : tous les frais liés au virus seront pris en charge par l’Etat, promesse de Trump).

Dans le sud de l’Italie ce ne serait que 12% liés directement au virus, sous réserve de ces chiffres. A suivre.

[19] « Je n’ai fait qu’obéir aux ordres » était l’argument le plus fréquemment avancé par les gardiens de camps de concentration nazis pour fuir leurs responsabilités lors des procès de Nuremberg. Deux médecins furent pendus.

[20] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD

[21] Il ne s’agit donc pas d’une euthanasie au sens juridique, mais bien d’un meurtre. Définition juridique de l’euthanasie : se définit comme un suicide aidé par un tiers, tiers qui est le plus souvent un médecin. Elle traduit un désir de contrôle de la phase terminale de sa vie. Ses partisans estiment que le patient a le droit de mettre fin à sa vie si celle-ci est devenue intolérable. https://www.cairn.info/revue-etudes-sur-la-mort-2001-2-page-69.htm

[22] Quant aux suppléments d’honoraires que certains vont mettre en exergue, les plus élevés et excessifs se voient dans les hôpitaux publics et la médaille d’or à quelques médecins de l’aphp, souvent les mêmes que ceux qui ont de puissants liens d’intérêt. Ceci est une autre histoire.

[24] Soigner ou obéir N et G Delépine ; éditions Fauves 2016

[25] « Je sais bien que les gouvernements ne tiennent jamais compte des pétitions.

Mais sait-on jamais. Certains d’entre vous peuvent être intéressés à faire connaître leur point de vue.

Personnellement, je l’ai fait. Écoutez la vidéo, et prenez votre décision en votre âme et conscience.

A l’heure où nos structures médicales sont saturées, pourquoi interdit-on aux médecins de terrain de traiter, comme ils l’ont toujours fait, au cas par cas, leurs patients qu’ils connaissent bien, avec des médicaments dont ils connaissent parfaitement les contre-indications éventuelles et les dosages ?

195 000 en 24 heures, je n’ai personnellement jamais vu ça… » Dominique Delawarde

[26] Puissant calmant et dépresseur respiratoire totalement déconseillé aux personnes qui ont du mal à respirer

[27] Décret no 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret no 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire

[28] « Fiche conseil-urgence sanitaire patients Covid+ prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD rédigée par la Société dite savante d’accompagnement et de soins palliatifs.

[29] « Ces propositions ne sont en aucun cas destinées à être appliquées dans d’autres circonstances que celles que nous rencontrons, déjà aujourd’hui pour certains et peut-être demain pour d’autres, liées à ce contexte dramatique d’épidémie de COVID19 » .Travail coordonné par Pr Morel (président conseil scientifique de la SFAP), Pr Guirimand, Dr Michenot, Dr Sahut-d’Izarn.

[30] « Prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en Ehpad »

[31] C’est là que le bas blesse le plus ! Qui décide ?

[32] Covid 19 :Risque de dégradation rapide de l’état respiratoire) Gêne respiratoire rapportée par le patient, évaluée sur une échelle de 0 (je respire normalement ) à 10 (j’ai une gêne maximale) ou par une échelle verbale simple (gêne respiratoire absente/ légère / modérée / sévère / très sévère) Patient non communiquant : FR>24/min ou utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l’inspiration) ou respiration paradoxale (dépression abdominale durant l’inspiration)

Autres signes de gravité clinique (troubles de la vigilance, fièvre très élevée…)

[33] Détaillés dans la fiche

[34] Gêne respiratoire rapportée par le patient, évaluée sur une échelle de 0 (je respire normalement) à 10 (j’ai une gêne maximale) ou par une échelle verbale

[35] « RECOMMANDATIONS PERSONNEL SOIGNANT

Faire appel à un autre soignant si possible. Si le soignant est seul (n’entre pas dans la chambre en l’absence de nécessité mais peut aller chercher les traitements et matériel nécessaire). Rester calme ou arriver calme (y penser avant d’entrer dans la chambre). Avertir le médecin si possible Expliquer simplement la situation au patient, ce que l’on fait, ce que l’on va faire. Injecter le protocole de sédation prévu etc.

« Après l’épisode, prendre un temps avec la famille et les soignants. » Toujours la langue de bois selon Orwell : n’est-ce pas de mort, de décès qu’il s’agit ? Non un épisode de la vie, pas de Plus belle la vie, c’est certain.

[36] Isabelle Luccioni L’Associu corsu di a salute refuse « un tri barbare et arbitraire » corse Matin 02 avril 2020

[38] « Les enfants sont tués par ingestions échelonnées et sur-dosées de barbituriques comme le phénobarbital ou le véronal, voire de morphine, mélangés à la nourriture des patients ou vaporisés au prétexte d’une protection contre le typhus. Ces overdoses conduisent à des paralysies respiratoires, et à l’arrêt du fonctionnement du système digestif et rénal. Il est ainsi toujours possible d’invoquer une cause apparemment naturelle de décès. Le procédé est développé début 1940 par Hermann Paul Nitsche, qui devient ensuite le directeur médical de l’Aktion T4. La sous-nutrition et le séjour en chambres très peu chauffées accroît les effets des ingestions médicamenteuses tout en préservant l’apparence d’un décès naturel et contingent.

Hermann Pfannmüller (de), directeur d’une clinique infantile à Munich, teste des « régimes alimentaires spéciaux » consistant à diminuer progressivement la quantité de nourriture administrée aux enfants, et à ne pas leur donner du tout d’élément gras dans les portions38. Les enfants meurent de dénutrition à plus ou moins longue échéance, sous couvert d’expérimentation de régimes alimentaires » IBID.37

[39] Ulf Schmidt, « Euthanasie » und die aktuelle Sterbehilfe-Debatte : Die historischen Hintergründe medizinischer Ethik, Gœttingue, 2000, « Kriegsausbruch und « Euthanasie » : Neue Forschungsergebnisse zum « Knauer Kind » im Jahre 1939

[40] Udo Benzenhöfer, Der Fall Leipzig (alias Fall „Kind Knauer “) und die Planung der NS-„Kindereuthanasie “, Münster, Klemm & Oelschläger, 2008, 151 p. (ISBN 978-3-932577-98-7), p. 51 IBID.37

[41] Peter Sandner, Verwaltung des Krankenmordes. Der Bezirksverband Nassau im Nationalsozialismus, Gießen, Psychosozial-Verlag, 2003, 788 p. 587 IBID.37

[42] Angelika Ebbinghaus et Klaus Dörner, Vernichten und Heilen. Der Nürnberger Ärzteprozeß und seine Folgen, Berlin, 2002 p. 297 IBID.37

[43] Michael Tregenza, Aktion T4, 2011 IBID.37

[44] Argument favori d’Attali dans sa guerre contre « les vieux » qu’il se garde bien d’appliquer à lui-même

[45] A. Laffont et J. Audit, « Eugénique », Encyclopédie médico-chirurgicale, Masson,‎ 1934, p. 12-15

Fascicule 5122. IBID.37

[47] Bertold Brecht la résistible ascension d’Arturo Ui

[50] Contrairement à de très nombreux pays

[51] Avis 106 de 2009 sur « Les questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

[52] Avis 128 de 2018 Enjeux éthiques du vieillissement

[53] Contribution du 13 mars 2020 sur « Enjeux éthiques face à une pandémie

[54] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD

 

JPEGPNG




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  • Une façon détournée de permettre l’euthanasie ?

    Un prompt rétablissement aux malades ?

    smiley

     

    • troletbusetroletbuse 6 avril 2020 09:54

      Chloroquine : Pas bon

      Rivotril . : bon… pour la vie éternelle

      • Mélusine ou la Robe de Saphir.Mélusine ou la Robe de Saphir. 6 avril 2020 10:41

        Personnellement je m’attendais à une catastrophe atomique. Là, c’était clair : FINI. Non, une pandémie. C’est donc qu’il y aurait une petite chance de s’en sortir. Estimez-vous heureux et cessez de vous accuser les uns les autres. Oui, depuis « le mariage pour tous » je m’attendais à une catastrophe. Cela fait maintenant 10 années que je voyais cet avenir dans des teintes sombres. Le châtiment ne fut pas aussi brutal qu’attendu. Mais un simple avertissement, certes pénible pour tout le monde. Alors, s’il vous plait, chacun, ayez l’humilité d’accepter notre destin commun.

        Lire les 9 réponses ▼ (de chanteclerMélusine ou la Robe de Saphir.Daniel PIGNARDTraroth)


        • (10 votes)

          Mélusine ou la Robe de Saphir.Mélusine ou la Robe de Saphir. 6 avril 2020 11:02

          Don-Juan, le libertin incarne parfaitement le néo-libéralisme sans limite. Pourquoi se priver ???

          • (Giordano Bruno - Non vacciné|attribut_html)Giordano Bruno 6 avril 2020 11:07

            Merci pour cet article. Vous écrivez « Le nazisme ne tombe pas du ciel, préparé par plusieurs décennies de propagande d’eugénisme depuis les années 1880 ».

            Nous assistons aujourd’hui à une autre préparation. Une forte propagande, irriguant jusque sur ce site, plaide en faveur d’une baisse plus ou moins drastique de la population mondiale. Celle-ci me semble encore plus dangereuse que celle en faveur de l’eugénisme.

            • Mélusine ou la Robe de Saphir.Mélusine ou la Robe de Saphir. 6 avril 2020 11:09

              Le pervers se caractérise par son déni de la mort et de la différence sexuelle. Mais ce déni à un prix : celui de sa survie qui le contraint à la recherche permanente du plaisir qui lui permet de s’étourdir. Il a manqué d’un père, d’une Loi qui se pose en interdit salvateur. Jusqu’au jour où le déni ne peut plus tenir au risque de sombrer dans la psychose. La mort pour le pervers est d’une manière son odeur est aussi son salut. Lire la rencontre de Noureev avec un psychanalyste alors qu’il se sait proche de la mort à cause du sida qu’il a contracté ;

              • FuraxFurax 6 avril 2020 11:49

                Excellent article.

                On assassine toujours pour d’excellentes raison.

                http://d-d.natanson.pagesperso-orange.fr/euthanasie.htm

                Nos pauvres vieux exterminés « dans la dignité » !

                Nous avons là une parfaite illustration du « progressisme », la finance mondialisée qui gère le monde, chère à Attali , Soros, et au service de laquelle sont la quasi-totalité de nos« journalistes ». Eliminer ceux qui ne sont plus rentables. Bloquer un médicament qui guérit mais rapporte peu et attendre, en laissant mourir un vaccin qui rapporte gros !