La baisse de la fertilité chez les vaccinés est de plus en plus probable

26/06/2022 (2022-06-26)

L’excellente Interview d’Alexandra Henrion Caude, généticienne spécialisée dans la recherche sur l’ARNm, sur sud radio par André Bercoff précise les avancées sur les études en cours sur le risque sur la fertilité des injections anticovid. Elle évoque les risques pour les enfants vaccinés à long terme, impossibles à évaluer sans recul suffisant.

https://m.youtube.com/watch?v=dhXQQqUdqMM

Interview d’Alexandra Henrion Caude — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) avec tweets sur le sujet

On avait fini par admettre que la dépopulation était au programme des mondialistes sous influence de Bill Gates et de transhumanistes comme Laurent Alexandre. Mais au-delà des suspicions légitimes vu le mécanisme de l’injection ARNm qui a prédilection pour les organes reproducteurs, les preuves scientifiques commencent à tomber via Israël, précurseur des injections et donc des effets secondaires.

Déjà depuis plusieurs mois des articles scientifiques apparaissaient dans la base de données PUBMED sur le sujet, les premiers portant sur de très faibles nombres d’injectés et voulant innocenter l’injection, contrairement aux alertes déjà anciennes des banques de données officielles.

D’autres traduisent mieux notre inquiétude comme Les risques de la Covid-19 (et des vaccins) sur les organes sexuels et la fertilité (infodujour.fr) dans un entretien avec le Dr Jean-Marc Sabatier.[1]

« Chez l’homme, le SARS-CoV-2 peut s’attaquer aux testicules, au pénis et à la prostate. Chez la femme, le virus peut s’attaquer à l’utérus (endomètre) et aux ovaires. Pourquoi ces attaques sont-elles possibles ? Parce que le SARS-CoV-2 reconnaît le récepteur cellulaire ECA2 (enzyme de conversion de l’angiotensine-2) qui lui sert de site de fixation lui permettant d’infecter les cellules ; le récepteur ECA2 est très présent au niveau des cellules des organes reproducteurs masculin et féminin, ce qui les rendent très vulnérables au virus. Il est notable que le récepteur ECA2 — en parallèle des organes reproducteurs, dont les gonades (testicules et ovaire) — se retrouve également dans de nombreux autres organes et tissus de l’organisme (ceux-ci sont en conséquence ciblés par le virus), tels que le cœur, les poumons, les reins, le foie, le pancréas, la rate, le système vasculaire (vaisseaux sanguins), la peau, le cerveau, les intestins, les glandes surrénales, et autres. »

Un papier récent de juin 2022 démontre l’altération au moins temporaire de l’état du sperme et des spermatozoïdes.[2]

Extraits :

«  Ils ont étudié chez des donneurs de sperme l’effet du vaccin covid-19 BNT162b2 (Pfizer) sur les paramètres du sperme. 37 donneurs de trois banques de sperme ont fourni 220 échantillons, et ont été inclus dans cette étude de cohorte longitudinale multicentrique rétrospective. La vaccination BNT162b2 comprenait deux doses, et la vaccination était prévue 7 jours après la deuxième dose. L’étude comprenait : contrôle de base pré-vaccination, et évaluations à court, intermédiaire et long terme.

Chacun comprenait 1 à 3 échantillons de sperme par donneur fournis 15 à 45, 75 à 120 et plus de 150 jours après la fin de la vaccination, respectivement. Les critères d’évaluation principaux étaient les paramètres du sperme.

Résultats : Des mesures répétitives ont révélé une diminution de la concentration de spermatozoïdes de -15,4 % sur le deuxième échantillon entraînant une réduction du nombre total de mobilité des spermatozoïdes de 22,1 % par rapport au prélèvement initial.

De même, l’analyse du premier échantillon de sperme uniquement et de la moyenne des échantillons par donneur a montré des réductions de la concentration — baisse médiane de 12 millions/ml et 31 millions de spermatozoïdes mobiles, respectivement lors de la première évaluation de l’échantillon et déclin médian de 9,5×106 et 27,3 millions de spermatozoïdes mobiles (p = 0,004 et 0,003, respectivement) sur l’examen moyen des échantillons.

L’évaluation à trois mois a démontré un rétablissement global. Le volume de sperme et la motilité des spermatozoïdes n’ont pas été altérés. Cette étude longitudinale axée sur les donneurs démontre une concentration sélective temporaire de spermatozoïdes et une détérioration trois mois après la vaccination, suivie d’un rétablissement ultérieur vérifié par diverses analyses statistiques ».

L’étude est limitée en nombre de donneurs et de paramètres du sperme, ce qui ne résume pas les conditions de la fertilité efficace, mais a le mérite de prouver déjà une action directe sur le sperme. D’autres études toujours basées également sur un faible nombre de donneurs se veulent rassurantes. Néanmoins le recul est toujours faible de deux à trois mois, après l’injection ne permettant en aucun cas de prévisions raisonnables pour l’avenir d’autant que la durée de fabrication de la protéine spike par l’organisme injecté reste inconnue et s’allonge au fur et à mesure des études (au moins trois mois actuellement).

Les alertes officielles cachées par les médias

Par ailleurs vu le nombre de fausses couches déclarées sur le VAERS ou sur EudraVigilance on peut s’étonner de l’absence d’articles référencés sur ce sujet sur PubMed. On peut supposer le refus des éditeurs soumis à Big Pharma.. Rappelons ces chiffres[3]:

Trop de médias qui dépendent en partie de l’état pour équilibrer leur budget se sont transformés en organe de propagande du gouvernement et ont abandonné leur mission d’information objective de la population. Leur refus de publier les données rapportant les complications post injections en témoigne une fois de plus.

DÉPOPULATION VIA LES VACCINS STÉRILISANTS CONCEPTUALISÉE DEPUIS 1930

Depuis des décennies, les puissants ont décidé de réduire la population mondiale au lieu de regarder comment les nourrir. Par exemple cesser de leur interdire d’utiliser leurs semences paysannes et de favoriser les échanges locaux.

Ici, rappelons l’article de Jurriaan Maessen dans ExplosiveReports.Com qui démontre l’obsession des riches milliardaires de contrôler les naissances sans l’accord des personnes concernées.

La Fondation Rockefeller a admis un financement pour le développement de vaccins antifertilité destinés à une « distribution à grande échelle ». — Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)

Déjà dans les années 1930 une obsession des milliardaires était de stopper la natalité.

La Fondation Rockefeller a conceptualisé le vaccin « antihormonal » dans les années 1920 et 1930.

Le serviteur de la Fondation Rockefeller, Max Mason, agissant en tant que président au milieu des années 1930, a exprimé à plusieurs reprises le désir de son maître d’avoir une « antihormone » qui réduirait la fertilité dans le monde entier. La Fondation n’a néanmoins mentionné le financement de « vaccins antifertilité » dans les rapports annuels qu’à partir de 1969.

Extrait :

« Dans son examen de 1997 des vaccins antifertilité, le Centre international de génie génétique et de biotechnologie basé en Inde n’a pas oublié de reconnaître son principal bienfaiteur :

« Les travaux sur les vaccins LHRH et HCG ont été soutenus par des subventions de recherche de la Fondation Rockefeller (…) »

Dans les années 1990, les travaux sur les vaccins antifertilité ont pris de l’ampleur, en particulier dans les pays du tiers-monde, tout comme le financement octroyé par la Fondation Rockefeller. Dans le même temps, la population cible des mondialistes — les femmes — commençait à se sentir mal à l’aise avec tout ce discours ouvert sur la réduction de la population et des vaccins comme moyen d’y parvenir.

Betsy Hartman, directrice du programme Population et développement au Hampshire College, Massachusetts est « quelqu’un qui croit fermement au droit des femmes à une contraception et à un avortement volontaires et sûrs », n’est pas partisane du vaccin antifertilité, tel que créé par le Fondation Rockefeller. Elle explique dans son essai Population control in the new world order (le contrôle de la population dans le nouvel ordre mondial) :

« Bien qu’un vaccin n’ait été testé que sur 180 femmes en Inde, il y est présenté comme “sûr”, dépourvu d’effets secondaires et complètement réversible »

La communauté scientifique sait très bien que de telles affirmations sont fausses — par exemple, de nombreuses questions subsistent quant à l’impact à long terme du vaccin sur le système immunitaire et le cycle menstruel. Il existe également des preuves filmées de femmes se voyant refuser des informations sur le vaccin lors d’essais cliniques. Néanmoins, le vaccin est en cours de préparation pour une utilisation à grande échelle. »

Le Réseau mondial des femmes pour les droits reproductifs basé à Amsterdam, aux Pays-Bas, a cité un chercheur de premier plan en matière de contraception qui disait :

« Les méthodes de contrôle des naissances immunologiques seront une “arme antigénique” contre le processus de reproduction, qui, laissé sans contrôle, menace d’inonder le monde. »

Militante des droits des animaux Mademoiselle Sonya Ghosh a également fait part de ses préoccupations concernant le vaccin antifertilité financé par Rockefeller et sa mise en œuvre :

« Au lieu de donner aux femmes plus d’options pour prévenir la grossesse et se protéger contre le SIDA et les maladies sexuellement transmissibles, le vaccin antifertilité est conçu pour être facilement administré à un grand nombre de femmes en utilisant le moins de ressources. S’il est administré à des populations analphabètes, les problèmes de contrôle de l’utilisateur et de consentement éclairé sont une autre source de préoccupation. »

Pour éviter de tels débats, la Fondation a eu recours, au cours des deux dernières décennies, à ses méthodes appliquées depuis longtemps et très efficaces consistant soit à mentir effrontément, soit à utiliser un langage trompeur pour cacher le fait qu’elle continue à œuvrer sans relâche pour atteindre sa mission de longue date ».

Doit-on rappeler des tentatives de vaccin anti-conception au Kenya ?[4]

En 2014 le vaccin contre le tétanos, suspecté de contenir une hormone empêchant les femmes d’avoir des enfants a suscité une polémique entre les évêques et le gouvernement Kenyan.

En 2015 c’est au tour du vaccin contre la malaria de se trouver sous le feu de la critique des évêques kenyans obligés devant le refus du gouvernement de demander à l’ensemble des structures de santé qui relèvent de l’Église catholique — et elles sont nombreuses — de s’abstenir d’employer le vaccin incriminé.

LE PSEUDOVACCIN ANTI COVID19 S’INSCRIT DANS LA CONTINUITÉ DE CES RECHERCHES CONTRE LA FERTILITÉ

Malheureusement remis dans le contexte de la volonté à tous crins de vax encore et encore contre le covid19, y compris les enfants, malgré l’indéniable accumulation des effets secondaires graves, cette Histoire des volontés eugénistes et transhumanistes, en marche depuis le début du XXe siècle et fin du XIXe) permet de comprendre le but ultime des vaccins : diminuer le nombre d’humains sur terre et de réserver à l’élite et ses élus la jouissance exclusive de la planète bleue.

Ces hommes imbus d’eux-mêmes semblent bien naïfs, car même s’ils se sont dispensés des injections morbides, il est infiniment peu probable qu’ils échappent aux conséquences toxiques des injections si les milliards de terriens sont vaccinés.

Un « rapport d’avancement » de février 1934 rédigé par Warren Weaver (directeur de la division des sciences naturelles de la Fondation Rockefeller) avait souligné le but ultime.

« L’homme peut-il acquérir un contrôle intelligent de son propre pouvoir ? Pouvons-nous développer une génétique si solide et étendue que nous pouvons espérer élever, à l’avenir, des hommes supérieurs ? Pouvons-nous obtenir une connaissance suffisante de la physiologie et de la psychobiologie du sexe pour que l’homme puisse contrôler rationnellement cet aspect omniprésent, très important et dangereux de la vie ? »

Écrit en 1934 !

On croirait entendre le Dr Laurent Alexandre dont beaucoup ont été étonnés de le voir parler à x reprises sur les chaînes officielles et à l’école Polytechnique, en toute liberté. Oui il ne fait que poursuivre cette politique eugéniste que l’application rigoureuse de l’injection met en musique.

Il est temps de dire les mots de la vérité : les injections anticovid sont une tentative de plus de réduire la population mondiale.

C’est d’ailleurs la seule explication crédible sur le fait que les morts accumulés ainsi que les accidents graves n’aient pas fait stopper cet essai thérapeutique de ce médicament sans AMM définitif et que, bien pire encore, la FDA vient d’autoriser l’injection des tout petits en ce 14 juin 2022.

Ainsi le modèle de stérilisation des vaccins a été conceptualisé pour la première fois dans les années 1920 et 1930 par des spécialistes des sciences sociales de la Fondation Rockefeller.

Plus tard le langage eugénique (« vaccin anti-fertilité ») a été peaufiné à l’aide d’une « chirurgie plastique linguistique » inventant le terme « contraceptif immunologique », le but ultime reste le même. Entre-temps, Orwell et les mensonges du langage ont été améliorés. « La paix, c’est la guerre », etc.

Une offensive sur les fœtus proches de la naissance

Il paraît difficile de conclure sans dénoncer la mystification qui envahit nos antennes sur la décision de la Cour suprême des USA qui remet à chaque État américain le droit de statuer sur l’avortement.

On se doit tout de même de rappeler que le droit à l’avortement institué en France par la loi Veil s’est progressivement élargi dans le délai d’application et même la suppression du délai de réflexion et l’attaque du droit des médecins à ne pas pratiquer cet acte. La décision la plus choquante est celle de la loi dite de bioéthique votée en août 2021 à l’Assemblée nationale qui autorise un soi-disant « avortement » jusqu’à la naissance en cas de souffrance maternelle…

ATTENTION ! À CETTE DATE DE LA GROSSESSE, CE N’EST PLUS UN AVORTEMENT, C’EST UN INFANTICIDE.

Au nom de « mon corps est mon choix », on peut tuer un bébé à terme, déjà une autre personne dont le choix importe peu. Un humain oublié qui sent, qui réagit, qui interfère, qui vit, qui bouge et réagit aux stimulations extérieures (musique, voix du papa, etc.) qui peut souffrir. C’est un infanticide.

Il me semble devoir exhorter nos concitoyens à ne pas tout mélanger, à ne pas tout confondre. Non l’avortement avant trois mois de grossesse ne doit pas être confondu avec l’infanticide à neuf mois.

Le droit à l’avortement n’a pas été interdit aux USA par la décision de la Cour suprême, ce droit à l’avortement relève maintenant de chaque État et de son gouverneur démocratiquement élu.

Et pourtant l’OMS insiste pour ce droit élargi. « L’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle les gouvernements à supprimer la limite de temps légale pour l’avortement, même après 24 semaines », comme le rapporte le Daily Mail. Elle déclare que les lois qui visent à empêcher l’interruption de grossesse à tout moment risquent de violer les droits des « femmes, des jeunes filles ou des autres personnes enceintes ».

L’OMS propose donc l’avortement sans limitation de temps et sans obligation de justification médicale.

C’est un document de 210 pages que l’OMS publie. Il détaille de nouvelles consignes sur la prise en charge de l’avortement. Parmi la multitude de recommandations faites aux gouvernements, on peut notamment lire qu’elle préconise :

  • — d’autoriser l’avortement en toutes circonstances — en excluant les lois interdisant les interruptions de grossesse parce que le fœtus est du « mauvais » sexe.
  • — de cesser d’exiger que les femmes aient besoin de l’approbation d’un médecin ou d’une infirmière pour avoir une interruption de grossesse.
  • — d’établir des systèmes de « pilules par la poste » afin que les femmes puissent recevoir des médicaments abortifs après un appel téléphonique.
  • — de limiter le droit des professionnels de santé à refuser de participer à des avortements pour des raisons de conscience.

Les Nations unies, qui supervisent l’OMS, se sont félicitées de la suppression suggérée de ce qu’elles ont appelé « des obstacles politiques inutiles à l’avortement sans risque », notamment « des limites quant au moment où un avortement peut avoir lieu ».[5]

ON EST LOIN DE LA LOI VEIL CITÉE COMME MANTRA

« Je le dis avectoute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »,

 déclarait Simone Veil en présentant la loi relative à l’interruption volontaire de grossesse. 

Poursuivant son discours, elle ajoutait :

« Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme — je m’excuse de le faire partager une conviction de femme — je m’excuse de la faire devant cette assemblée presque exclusivement d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes ».

https://youtu.be/45MOc6PYoY8  

L’avortement reste un drame pour le plus grand nombre de celles qui l’ont subi. L’avortement n’est pas une méthode de contraception « normale » il n’est d’ailleurs pas sans danger pour la femme elle-même pour son risque éventuel de cancer hormonal, etc.. Le nier est malhonnête. Pour limiter le plus possible le recours à cet acte de désespoir, il faut davantage promouvoir l’information honnête et la contraception qui respecte davantage le corps des femmes.

Il ne faut pas s’étonner qu’à force de pousser l’avortement trop loin surtout dans l’avancement de la grossesse, il y ait des réactions boomerangs en retour.

NON À LA TRANSFORMATION DES HUMAINS EN OGM !

Nous serons heureux d’entendre toutes les bonnes âmes qui hurlent que « leur corps est leur choix », de le défendre aussi, et aussi fort pour toutes les femmes qui souhaitent refuser une injection génique sans aucun bénéfice possible pour elle et pour leurs proches et qui risque de les transformer en humain OGM. Comment oser accepter la mise au rancart des soignants libres pour refus de transformation de leur patrimoine génétique et « en même temps » demander l’inscription dans la Constitution de l’avortement (en général.) et bientôt de l’euthanasie.

Sommes-nous entrés dans une culture de la mort ? Est-ce bien ce que nous voulons ou est-ce une nouvelle soumission aux puissants qui nous manipulent ?

NON À LA CULTURE DE LA MORT !


  1. [1] Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, affilié à l’Institut de Neuro Physiopathologie (INP) à l’université d’Aix-Marseille.[]
  2. [2] La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motifs chez les donneurs de sperme (nih.gov) Andrology. 2022 Jun 17. doi : 10.1111/andr.13209. étude israélienne par Itai Gat et al[]
  3. [3] Voir la totalité du diaporama sur nicole.delepine.fr
    Complications des pseudovaccins anticovid au 31 mai 22 selon base de données officielles — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  4. [4] https://www.famillechretienne.fr/politique-societe/sante/vaccins-contraceptifs-le-boycott-de-l-eglise-d-afrique-181815[]
  5. [5] L’avortement sans condition jusqu’à neuf mois préconisé par l’OMS | FranceSoir[]
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Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections

 

 

 

 

Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org)[1]

Nous rapportons ici le travail du Conseil Mondial de la Santé qui s’est constitué en 2021 pour combattre la censure et le manque d’informations des citoyens concernant les injections géniques.

QUE REPRÉSENTE LE CONSEIL MONDIAL DE LA SANTÉ ?

C’est une organisation à but non lucratif pour le peuple, informée et financée par le peuple, coalition mondiale d’organisations axées sur la santé et de groupes de la société civile, plus de 130 organisations dans 40 pays, qui cherche à élargir les connaissances en santé publique et la création de sens grâce à la science et à la sagesse partagée.

Ils s’engagent à protéger les droits de l’homme et le libre arbitre tout en donnant aux gens les moyens de prendre le contrôle de leur santé et de leur bien-être. Fondé en 2021, le Conseil mondial de la santé est une initiative à but non lucratif soutenue par EbMCsquared CiC, organisation d’intérêt communautaire.[2]

« La liberté est le droit de dire, de penser et de faire ce que vous voulez faire sans être limité. Tout le monde a ce droit humain inné. Il est de notre responsabilité de l’utiliser à bon escient ».[3]

RECHERCHE DE PREUVES SUR LA SÉCURITÉ OU NON DES VAX ANTICOVID

Ce rapport a été conçu pour voir s’il existe ou non suffisamment de preuves sur les bases de données de l’OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellowcard pour établir un signal de sécurité sur les vaccins Covid-19.

« Dans des circonstances ordinaires, les essais de phase 3 et 4 établiraient l’innocuité et l’efficacité d’un produit pharmaceutique. Cependant, ces essais ne sont pas terminés pour les produits Covid-19. Les produits ont été administrés à une large population qui n’est pas surveillée par les essais cliniques. Il est donc nécessaire d’examiner toutes les preuves disponibles pour établir l’innocuité de ces produits et leur impact sur ceux qui ont pris le produit, mais qui ne sont pas surveillés par les essais cliniques. »

Le développement d’un vaccin contre le Covid-19 dans le cadre de l’opération Warp Speed a été précipité. Traditionnellement, la mise au point d’un vaccin prend 10 ans ou plus avant la production et la distribution à grande échelle à une large population. Avec les vaccins contre le Covid-19, le produit est passé d’essais précliniques exploratoires à une fabrication à grande échelle en seulement 10 mois. Les données sur leur sécurité sont incomplètes. Ce rapport tend à combler le vide sur les informations post injection.

Il s’agit d’un rapport d’information créé par le Conseil mondial de la santé pour aider les professionnels de la santé, les scientifiques et les citoyens à prendre des décisions éclairées sur les vaccins contre le Covid-19. La sécurité des produits Covid-19 n’a pas été établie à l’issue des essais cliniques de phase 3 et de phase 4. Les produits Covid-19 n’ont pas l’efficacité des vaccins utilisés jusqu’ici. (ils n’empêchent pas une personne de contracter le virus, ni de tomber malade, ni de propager la maladie)

Les produits Covid-19 sont utilisés sur des milliards de personnes, y compris des enfants, alors que la phase d’essai clinique n’est pas terminée. La grande majorité de ces personnes injectées ne sont pas surveillées.

« Les données d’essai de 6 mois de Pfizer (qui faisaient suite aux données préliminaires d’essai originales sur lesquelles les produits ont été autorisés) n’ont pas montré de réduction de la mortalité toutes causes confondues dans le groupe vacciné. Cela pourrait indiquer que tout bénéfice obtenu grâce à la vaccination peut être annulé par des événements indésirables, y compris le décès ».

Les vaccins contre le Covid-19 font l’objet d’essais de phase 3 et leur innocuité et leur efficacité n’ont pas encore été établies.

ABSENCE DE SUIVI DES INJECTÉS, AU MOINS OFFICIELLEMENT

La majorité de ceux qui ont reçu l’injection (plusieurs milliards de personnes) ne sont pas surveillés par les vaccinateurs, (du moins à leur connaissance). Quid du suivi via les codes-barres injectés ? Mystère.

Dans ce rapport, le WCH vise à utiliser les bases de données de pharmacovigilance établies pour détecter s’il existe un signal de sécurité préoccupant chez les « vaccinés ». Ce rapport rassemble les données sur les événements indésirables sur les vaccins contre la COVID-19 à partir des bases de données de pharmacovigilance internationales.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 recueillies dans chaque base de données de pharmacovigilance sont comparées aux données sur les événements indésirables de produits pharmacologiques similaires (autres vaccins courants) dans les mêmes bases de données, dans la mesure du possible. Ce rapport examine les paramètres par lesquels d’autres vaccins et médicaments ont été rappelés dans le passé.

Méthode

Les auteurs ont examiné chaque base de données — OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card Scheme — et documenté combien d’événements indésirables étaient liés aux vaccins Covid-19.

Rapports d’événements indésirables

Les données de pharmacovigilance sont généralement recueillies par le biais de la déclaration des événements indésirables. En règle générale, les rapports d’événements indésirables sont établis par :

  • Une personne qui a subi un événement indésirable
  • Un professionnel de la santé qui soupçonne un événement indésirable chez un patient
  • Organisations qui créent des rapports à partir de programmes de soutien aux patients
  • Sociétés pharmaceutiques sous forme d’études cliniques ou post-commercialisation
  • Revues de littérature
  • Reportages dans les médias
  • Études
  • Les données de pharmacovigilance peuvent également être recueillies dans le cadre d’autres études, notamment :
    • Études rétrospectives
    • Études de cohorte
    • Études cliniques
    • Études post-commercialisation
    • Revues de littérature

Les données de pharmacovigilance établissent des signaux

Les rapports établis sur les bases de données de pharmacovigilance n’établissent pas le lien de causalité. Une relation causale possible établie par ce processus est connue sous le nom de « signal ». Si un signal est détecté, une enquête plus approfondie est nécessaire.

Bases de données sur la déclaration des effets indésirables ou des réactions vaccinales

Les vaccins contre le Covid-19 sont un nouveau type de thérapie. Il est particulièrement important de signaler les effets secondaires graves. Selon l’endroit où vous vous trouvez dans le monde, il existe différentes bases de données mises en place pour enregistrer les réactions indésirables aux médicaments.[4]

OMS VigiAccess

Lancé en 2015 par l’OMS, VigiAccess base de données internationales des événements indésirables potentiels signalés liés aux médicaments, pour « analyser les rapports de dommages présumés causés par les médicaments, trouver des “signaux” de réactions indésirables potentielles aux médicaments ». Créés en 1968, 170 pays collaborent pour surveiller et identifier les dommages causés par les médicaments. Cette collaboration couvre environ 99 % de la population mondiale.

Les rapports sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 sur VigiAccess englobent tous les vaccins Covid-19

Pour les vaccins courants qui ont été distribués à la grande majorité de la population mondiale, gamme de rapports d’événements indésirables au nombre de 2000 à 100 000 sur VigiAccess.

Pour les vaccins Covid-19, qui ont actuellement été administrés à environ 65 % de la population mondiale, il y a plus de 3,7 millions de rapports d’événements indésirables sur VigiAccess.

VigiAccess montre un nombre d’événements indésirables sans précédent dans la base de données de tout autre produit pharmaceutique ou vaccin.

Dans le tableau suivant, 37 335 événements indésirables sont rapportés après environ 4 milliards de vaccins contre la tuberculose (moins de 1/100000) et plus de 3,7 millions de rapports provenant d’environ 5,1 milliards de personnes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 (environ 72/100000).

En corrigeant la différence dans le nombre de personnes qui ont reçu les deux vaccins, on constate uneaugmentation de 77 fois du nombre d’événements indésirables signalés à VigiAccess pour le vaccin Covid-19 par rapport à celui contre la tuberculose

Compte tenu de l’objectif déclaré de VigiAccess — analyser les rapports de dommages présumés causés par des médicaments, trouver des « signaux » d’effets indésirables potentiels des médicaments — une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part de l’Organisation mondiale de la santé.

CDC VAERS

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a été créé en 1990 et cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des USA et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis : système conçu pour être un système d’alerte précoce pour les problèmes de sécurité liés aux vaccins homologués aux États-Unis. VAERS saisit et analyse les rapports d’événements indésirables qui se produisent après une vaccination.

Toute personne qui a subi un événement indésirable à la suite d’un vaccin peut le signaler au VAERS. En outre, les professionnels de la santé sont tenus de signaler les événements prescrits qui se produisent chez leurs patients après la vaccination, et les fabricants de vaccins sont tenus de signaler tous les événements indésirables qui sont portés à leur attention. Il s’agit d’un système de déclaration qui repose sur les individus pour s’auto-déclarer ou sur les fournisseurs de soins de santé pour faire rapport en leur nom. C’est une infraction fédérale aux États-Unis de soumettre un faux rapport VAERS

Les rapports VAERS recensent les événements indésirables de 1990 à nos jours. Les données sur les vaccins Covid-19 sur VAERS englobent les vaccins Moderna, Pfizer et Jansen depuis leur autorisation de mise sur le marché.

Données VAERS : Pourcentage du nombre total de déclarations d’événements indésirables par type de vaccin[5].Plus de 50 % du total des rapports d’événements indésirables faits sur VAERS, c’est-à-dire les rapports faits pour TOUS les vaccins depuis 1990, sont attribués aux vaccins COVID-19.

À partir de 2020 et jusqu’en 2022, nous assistons à une augmentation spectaculaire et sans précédent des décès signalés au VAERS. Actuellement, sur les plus de 37 000 décès signalés au VAERS depuis 1990, 27 968 sont liés aux produits Covid-19. Un décès à proximité d’un vaccin indique une relation causale plus probable. Or la grande majorité des rapports sont faits dans les 3 jours suivant l’administration du vaccin.

Rapports VAERS Covid-19 par âge

https://worldcouncilforhealth.org/wp-content/uploads/2022/06/2022-05-25-3.png

https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=F9E61FE2A2B457AD46D5FC21F667

ALERTE CONCERNANT LES ENFANTS

Il y a 209 rapports d’événements indésirables sur VAERS pour les enfants de moins de 2 ans.

Ces vaccins n’ont pas été autorisés pour ces groupes d’âge. Il y a 1499 rapports supplémentaires dans le groupe des 2 à 5 ans, dont beaucoup concernent probablement des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé. Celles-ci peuvent être liées à une exposition au produit in utero, par l’allaitement ou à l’administration à des enfants pour lesquels le produit n’est pas autorisé.

Les données du VAERS montrent une proportion écrasante d’événements indésirables liés au vaccin Covid-19, plus de 50 % du total des rapports depuis 1990 étant attribués au vaccin.

Nous constatons une différence de 10 fois dans le nombre de rapports d’événements indésirables pour le vaccin ROR et le vaccin Covid-19. En outre, il y a une augmentation de 169 fois des décès signalés au VAERS après la vaccination contre le Covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe et une augmentation de 56 fois des rapports d’événements indésirables sur le VAERS après la vaccination covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe.

La plupart des décès et des événements indésirables sont survenus quelques jours après la vaccination, ce qui rend une relation de cause à effet plus probable. Étant donné que les vaccins contre le Covid-19 sont nouveaux et sont encore en cours d’essais cliniques, les données VAERS sont suffisantes pour établir un signal de sécurité préoccupant.

Les rapports sur les VAERS qui se sont produits chez les enfants de groupes d’âge qui n’ont pas été autorisés à recevoir le vaccin sont extrêmement préoccupants. Cela indique la possibilité d’événements indésirables obtenus in utero, de l’allaitement ou de l’administration du vaccin à des groupes d’âge pour lesquels il n’a pas été autorisé.

Compte tenu des objectifs énoncés par le VAERS — détecter les événements indésirables nouveaux, inhabituels ou rares, évaluer l’innocuité des vaccins nouvellement homologués et fournir un système national de surveillance de l’innocuité qui s’étend à l’ensemble de la population pour répondre aux urgences de santé publique, telles que les programmes de vaccination contre la grippe pandémique à grande échelle une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part du CDC et de la FDA.

EudraVigilance

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés dans EudraVigilance est le suivant :

  • Vaccin Moderna – 294 772 ;
  • Vaccin Pfizer-BioNTech (Tozinameran) – 956 913 ;
  • Vaccin Astrazeneca – 488 769 ;
  • Vaccin Janssen – 59 751 ;
  • Vaccin Novavax — 756.

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés pour tous les vaccins Covid-19 sur EudraVigilance est supérieur à 1,8 million.

Comme dans le VAERS, plus d’un millier de cas ont été signalés dans la catégorie des 0 à 2 ans, un groupe d’âge pour lequel les vaccins ne sont pas autorisés. Cela indique potentiellement que les nourrissons et les enfants subissent des événements indésirables liés à l’exposition in utero, à l’allaitement maternel et/ou administrés à des personnes pour lesquelles les produits ne sont pas autorisés.

Le nombre total de personnes vaccinées dans les pays de l’UE/EEE est de 341 628 772, soit environ 75,4 % de la population.

En 2018, environ 90 % des enfants européens ont été vaccinés contre la rougeole dans le cadre du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Environ 90 % des Européens ont été vaccinés contre la rougeole. Sur les quelque 673,2 millions de personnes qui ont reçu le vaccin contre la rougeole en Europe, EudraVigilance a reçu un total de 48 913 rapports d’événements indésirables sur EudraVigilance.

Environ 341 millions d’Européens ont été vaccinés contre le Covid-19. Parmi ceux-ci, 1,8 million de rapports d’événements indésirables ont été effectués sur EudraVigilance.

Il y a une augmentation de plus de 70 fois du nombre d’événements indésirables individuels signalés à EudraVigilance pour le vaccin Covid-19.

Étant donné que les vaccins Covid-19 sont en cours d’essais cliniques, les données d’EudraVigilance sont suffisantes pour établir un signal de sécurité alarmant pour ces produits.

Les plus de 1000 rapports d’événements indésirables survenus chez des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé indiquent la nécessité d’une action immédiate et urgente.

SYSTÈME DE CARTON JAUNE DU ROYAUME-UNI

Les rapports sont faits au programme de carton jaune volontairement par les patients, les parents ou les soignants et par les professionnels de la santé. Les fabricants sont légalement tenus de signaler les problèmes liés aux produits de santé à la MHRA.

Au Royaume-Uni, plus de 53 millions de personnes ont reçu au moins une dose du vaccin contre le Covid-19. Le système britannique de carton jaune documente actuellement plus de 450 000 rapports d’effets indésirables.

Les données sur les cartes jaunes pour d’autres vaccins ne sont actuellement pas disponibles sur le site Web de la carte jaune. Cependant, le paracétamol est l’un des médicaments les plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Des millions de personnes au Royaume-Uni ont pris ce médicament pendant plusieurs décennies. Le rapport ci-dessus montre 25 158 réactions et 585 décès associés à son utilisation depuis 1964. Le programme de carton jaune affiche plus de 450 000 rapports de carton jaune liés aux vaccins Covid-19 — une action immédiate et urgente est nécessaire.

SYNTHÈSE

Nombre et types d’événements indésirables signalés sur l’ensemble des bases de données[6]

Leur gravité varie de mineure telle que la douleur au site d’injection à des événements majeurs comme l’arrêt cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite et la mort.

Dans VigiAccess, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 1 500 000
  • Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif — ~ 1 000 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 691 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 477 000
  • Troubles vasculaires — ~193 000

Dans EudraVigilance

  • Troubles du système nerveux — ~ 746 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 543 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 344 000
  • Infections et infestations — ~ 220 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 213 000

Dans le système de carton jaune du Royaume-Uni, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 285 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 175 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 135 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 101 000
  • Troubles du système reproducteur et du sein — ~ 57 000

Résultats courants des effets indésirables du vaccin contre le Covid-19 : VAERS

Source : wonder.cdc.gov/

Nombre de rapports sur les VAERS[7]

  • Myocardite/péricardite 22 000
  • Crises cardiaques 6 400
  • Guillain-Barre 2 600
  • Thrombocytopénie 6 000
  • Convulsions/Convulsions 16 000
  • Anaphylaxie 49 000
  • Paralysie de Bell 15 000
  • Thromboembolie veineuse 25 000
  • Arthrite et arthralgie/lésion articulaire 78 000
  • Mort 28 000

Plus de 54 % des événements indésirables signalés au VAERS sont attribués au vaccin Covid-19, y compris le décès, les blessures potentiellement mortelles, l’invalidité permanente, les anomalies congénitales/malformations congénitales, les hospitalisations, les visites aux urgences, les visites chez le médecin et autres.

Il y a plus de 28 000 décès, soit plus de 75 % de tous les décès signalés au VAERS depuis 1990, associés au vaccin Covid-19.

Les événements indésirables dans les bases de données de pharmacovigilance sont sous-déclarés.

Dans une étude comparant la surveillance active et passive des événements indésirables, 8,8 % des personnes sous surveillance active ont signalé un événement indésirable, tandis que seulement 0,1 % de ceux sous surveillance passive.

C’est une différence de 88 fois dans le nombre de rapports pour cette étude particulière. L’OMS note également que la surveillance passive « rend difficile l’exhaustivité et l’actualité de la collecte des données ». Le nombre réel d’événements indésirables survenus dans le temps en relation avec les vaccins Covid-19 serait beaucoup plus élevé que ce qui est révélé par les données de ces bases de données de pharmacovigilance.

Un rapport d’événement indésirable n’indique pas que le vaccin a causé un événement, mais simplement qu’il était lié. Les données VAERS révèlent une relation temporelle étroite entre l’administration du vaccin Covid-19 et l’événement indésirable ultérieur, la majorité des événements indésirables se produisant dans les 2 jours suivant la réception du vaccin. Cela indique une relation causale plus probable.

Le cas unique des vaccins contre le Covid-19 Opération Warp Speed

Lorsque le Covid-19 est apparu comme un nouveau virus en 2019, on savait peu de choses sur sa virulence et sur ses impacts sur la population en général. Les premiers modèles ont surestimé la morbidité et la mortalité de la maladie et, par conséquent, l’opération Warp Speed a été introduite pour accélérer le développement d’un vaccin et d’autres traitements contre le nouveau virus.

TOUS les vaccins contre le Covid-19 sont en phase 3 d’essai. Aucun n’a terminé ses essais phase 3.

L’efficacité et l’innocuité des vaccins contre le Covid-19 n’ont donc pas été établies. Les taux d’efficacité (95-97 % !) et de tolérance allégués par les gouvernements et les agences sanitaires diffusent sans aucune vérification les chiffres fournis par les services de communication des laboratoires pharmaceutiques.

La grippe porcine de 1967 : un cas de campagne de vaccination de masse précipitée

En février 1967, une enquête a été lancée sur la mort mystérieuse d’un soldat américain décédé lors d’un exercice d’entraînement de base. Les tests du CDC ont révélé que le soldat David Lewis avait contracté une souche de grippe porcine. Par la suite, 11 autres soldats ont été testés positifs pour le virus tandis que des centaines d’autres ont été testés positifs pour les anticorps.

Le CDC et le président de l’époque, Gerald Ford, ont adopté une approche « mieux vaut prévenir que guérir » et ont lancé une campagne de vaccination de masse contre la grippe porcine. Des rapports ont fait état d’effets indésirables présumés, notamment de crises cardiaques, du syndrome de Guillain-Barré et de 53 décès signalés. La pandémie ne s’est pas matérialisée, le gouvernement a interrompu le programme de vaccination de masse le 16 décembre.

Une approche « mieux vaut prévenir que guérir » est injustifiée et dangereuse car les preuves n’existent pas pour affirmer qu’une vaccination précipitée est plus sûre que l’exposition à un virus dont on sait peu de choses.

Les rapports faisant état de seulement 50 décès liés à la vaccination contre la grippe porcine ont suffi à mettre définitivement fin au programme.

Les réponses à toute pandémie présumée doivent s’aligner sur les meilleures preuves disponibles sur la nature de la menace et ne pas être guidées par la politique, les médias, leurs liens d’intérêts avec l’industrie ou les émotions du grand public soumis à une intense propagande de terreur.

Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit.

Le vaccin contre la poliomyélite a été rappelé en moins d’un an après 10 décès signalés, le vaccin contre la grippe porcine a été rappelé en moins de 1 an après 53 décès signalés. Le vaccin contre le Covid-19, avec plus de 28 000 rapports de décès associés, n’a pas été rappelé.

Il existe un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19 détectés dans toutes les bases de données examinées dans ce rapport.

Conclusion

Ce rapport visait à examiner les données de pharmacovigilance de VigiAcess, VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card pour les vaccins Covid-19. L’objectif était de déterminer si les données de ces bases de données étaient suffisantes pour établir un signal de sécurité sur ces produits.

Toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport révèlent un nombre de rapports d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 qui sont entre 10 et 169 fois plus que ce qui est observé dans d’autres produits couramment administrés

Il y a plusieurs milliers de rapports d’événements indésirables chez les enfants pour lesquels le produit Covid-19 n’a pas été approuvé

Il existe suffisamment de preuves sur toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport pour établir un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19.

Les bases de données sur la pharmacovigilance, telles que celles examinées dans le présent rapport, reposent sur la surveillance passive. Les événements indésirables sont sous-déclarés.

Les produits Covid-19 sont uniques en ce sens qu’ils ont été développés rapidement et administrés à de grandes populations alors qu’ils étaient encore en phase 3 d’essais cliniques.

Il existe suffisamment de preuves d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 pour indiquer qu’un rappel de produit est immédiatement nécessaire.

Dre Nicole Delépine

Références

AstraZeneca. (May 2022). Case Series Drug Analysis Print: Covid-19 AstraZeneca Vaccine
Analysis Print. Gov.uk.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1080309/COVID-19_AstraZeneca_Vaccine_Analysis_Print_DLP_25.05.2022.pdf

Connor Stewart. (May 2022). COVID-19 vaccination rate in European countries. Statista.
https://www.statista.com/statistics/1196071/covid-19-vaccination-rate-in-europe-by-country/

Elflein, John. (May 2022). Vaccinations in the U.S.—Statistics & Facts. Statista.
https://www.statista.com/topics/3283/vaccinations-in-the-us/#topicHeader__wrapper

EudraVigilance. (May 2022). European database of suspected adverse drug reaction reports.

European Medicines Agency.
https://www.adrreports.eu/en/eudravigilance.html#

European Centre for Disease Prevention and Control. (May 2022). COVID-19 Vaccine Tracker.

European Centre for Disease Prevention and Control.
https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/covid-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

European Medicines Agency. (May 2022). Human regulatory: EudraVigilance. European Medicines Agency.


 


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Stop aux pass, chantages inefficaces sur la maladie et sources de méfiance contre la vaccination

24/06/2022 (2022-06-24)

Par Gérard Delépine

Le gouvernement s’est félicité de l’efficacité des pass et rêve de les prolonger. Pourtant dans le monde réel, les pass sanitaires se sont révélés sanitairement contre-productifs et économiquement et sociologiquement désastreux. Les chiffres publiés par l’OMS montrent en effet que les pass favorisent les contaminations. Une quinzaine de pays ont instauré des pass. Partout leur installation a été suivie d’une augmentation des cas et d’une épidémie échappant à tout contrôle.

Israël a été le pionnier du pass et y a renoncé

Lors de la première vague, le pic de nouveaux cas journaliers atteignait 6000. Depuis la campagne massive d’injection et l’instauration du pass sanitaire, puis vaccinal, les contaminations ont été de plus en plus nombreuses. Fin janvier 2022 le nombre de contaminations quotidiennes a dépassé les 100000 et en juin 2022 le total des contaminations cumulées dépassait 4,2 millions six fois plus qu’avant l’instauration des pass.

La comparaison des nombres de cas cumulés par million en Israël et en Palestine suggère que la stratégie du tout vaccinal et des pass pourrait peut-être même favoriser les contaminations.

Nadav Davidovitch, expert conseillant le gouvernement israélien constate « maintenir le pass vert sous sa forme actuelle peut créer de fausses assurances ».. Constatant cet échec, le gouvernement israélien a mis fin au pass.[1]

Le sévère échec du pass en Grande-Bretagne a justifié sa suppression

La Grande-Bretagne a suivi la même politique vaccinale et restrictive des libertés qu’Israël. Depuis Omicron, l’échec est patent.

Constatant l’échec sanitaire et les lourdes conséquences économiques et sociales des pass, le gouvernement britannique en a lui aussi décidé la suppression dès le 28 janvier 2022.

Partout en Europe le même constat d’inefficacité des pass s’est imposé. Le Danemark, l’Irlande, l’Islande, Malte, la Tchéquie, la Roumanie, la Hongrie, le Portugal, la Belgique, l’Autriche, l’Espagne, la Grèce, la Suisse, la Suède, la Finlande, L’Estonie, la Lettonie, la Lituanie et l’Italie ont observé l’échec total du pass contre l’épidémie avec l’arrivée d’Omicron.

Et la quasi-totalité de ces pays (Suisse, Suède, Slovénie, Slovaquie, Royaume-Uni, Roumanie, République tchèque, Pologne, Pays-Bas, Norvège, Autriche) a abandonné cette mesure inefficace.

En France aussi les pass ont démontré leur totale inefficacité contre Omicron. Nous n’avons jamais été aussi « vaccinés », aussi soumis à autant de mesures sans justifications scientifiques (pass vaccinal dans les hôpitaux et obligation vaccinale pour les soignants et pompiers) et compté autant de contaminations !

Avant l’instauration des pass, en dix-sept mois d’épidémie, nous avions recensé un peu moins de 6 millions de contaminés. Depuis les pass en 12 mois ce chiffre est passé à plus de trente millions. Il faut être vraiment négationniste des faits établis pour croire encore que cette mesure puisse être bénéfique contre l’épidémie.

Tout dirigeant objectif reconnaîtrait l’échec de cette stratégie et abandonnerait toutes ses mesures inefficaces et mortifères qui démolissent notre jeunesse et notre économie. Mais comme toujours depuis le début de la crise nos dirigeants refusent de considérer les faits avérés et persistent dans leur autoritarisme religieux médicalement stupide et socialement tragique tant pour les professionnels concernés[2] que pour la population privée de leurs compétences avec plus de 20 % des lits fermés faute de soignants, des urgences incapables d’assurer leurs missions et des déserts médicaux qui se multiplient partout.

Même l’INSERM reconnaît la nocivité du pass qui aggrave la méfiance contre la vaccination

Le 25 janvier 2022 sur LCI après avoir réduit unilatéralement la validité de l’immunité « naturelle » de 6 à 4 mois, Olivier Véran annonçait avec gourmandise que des millions de Français allaient bientôt « perdre le bénéfice du pass vaccinal » confirmant ainsi qu’il ne s’agissait pour lui que d’un chantage brutal pour imposer la pseudo vaccination pourtant sans intérêt médical.

Mais même dans ce but les pass sont contre-productifs ainsi que vient de l’affirmer l’étude récente de l’INSERM parue dans Nature[3] :

« Le laissez-passer sanitaire a encouragé la vaccination de nombreuses personnes hésitantes ou réticentes, mais il n’a pas réduit l’hésitation elle-même. Une enquête de septembre 2021 a révélé que 42 % des personnes vaccinées étaient encore réticentes ou avaient des doutes sur le vaccin au moment de leur première dose[4]. Plus important encore, la part des personnes vaccinées ayant des doutes sur le vaccin est passée de 44 % à 61 % après la mise en place du pass santé. Les leçons tirées du laissez-passer sanitaire COVID-19 en France suggèrent que des mesures coercitives telles que la vaccination obligatoire peuvent être efficaces pour augmenter les taux de vaccination, mais ne résolvent pas tous les problèmes qui affectent l’adoption. La vaccination obligatoire contre le COVID-19 risque de politiser davantage la vaccination et de renforcer la méfiance à l’égard des vaccins ».

« Rien ne laisse penser que le laissez-passer sanitaire a convaincu de nombreux sceptiques quant aux avantages de cette vaccination, et il reste une proportion faible, mais considérable (environ 5 à 10 % de la population) qui a décidé de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19. La vaccination des personnes hésitantes ou réticentes a des conséquences potentiellement négatives, qui peuvent renforcer la méfiance à l’égard des institutions et du système de santé ».

Ces constatations publiées dans Nature par l’INSERM sont d’autant plus remarquables que l’institut national de la santé et de la recherche en médecine, est un fervent partisan des vaccinations tous azimuts.

Pour sortir de cette situation ubuesque et retrouver la confiance de la population, il est nécessaire que l’état cesse de suivre les recommandations sanitaires de cabinets de conseils trop liés aux industriels du vaccin, qu’il supprime les censures, qu’il reconnaisse ses erreurs, qu’il pratique la transparence totale sur les données sanitaires réelles au lieu de publier des analyses de pure propagande et qu’il base enfin ses décisions sur l’examen des faits réels au lieu de croire en des simulations biaisées.

Dans l’immédiat, il faut supprimer toutes les mesures restrictives des libertés et en premier lieu le pass sanitaire dans les hôpitaux et réintégrer les pompiers et soignants injustement exclus. Mesures qui ne coûteraient pas grand-chose et qui permettraient au système de santé de souffler un peu.

 

 

  1. [1] https://www.rtbf.be/article/coronavirus-pionnier-du-pass-sanitaire-israel-annonce-son-abandon-10937556[]
  2. [2] Rappelons le sort inhumain imposé aux pompiers et soignants vaccino prudents qui ont eu l’honnêteté (le tort ?) de ne pas se faire de faux certificat de vaccination alors qu’ils pouvaient probablement facilement les obtenir aussi facilement que les politiques, et qui se retrouvent sans travail, sans chômage, obligés de changer de profession pour ne pas devenir SDF. Une pareille brutalité n’avait jusqu’ici réservée qu’aux citoyens juifs par Hitler.[]
  3. [3] Jeremy K. Ward, Fatima Gauna, Amandine Gagneux-Brunon, Elisabeth Botelho-Nevers, Jean-Luc Cracowski, Charles Khouri, Odile Launay, Pierre Verger and Patrick Peretti-Wate The French health pass holds lessons for mandatory COVID-19 vaccination.[]
  4. [4] Ward, J. K. et al. http://www.orspaca.org/sites/default/files/Note-SLAVACO-Vague2.pdf (2021) []
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Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

17/06/2022 (2022-06-17)

Par Nicole Delépine

[Photo : © iStock]

Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

Ne l’oubliez pas, le vax tue. Il faut obtenir son interdiction mondiale comme le réclament les membres du conseil mondial de la santé après leur analyse rigoureuse de toutes les banques de données internationales officielles :

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le dernier tableau de l’article ci-dessus montre que jusqu’au temps délirant (depuis 2020) on retirait du marché un médicament ou vaccin qui tuait quelques personnes

« Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit. »

LA FOLIE PROGRESSE : PLUTÔT QUE D’ADMETTRE QUE L’INJECTION GÉNIQUE TUE, ILS INVENTENT UN » NOUVEAU SYNDROME D’ORIGINE INCONNUE ».

ON EN EST À INVENTER UN « NOUVEAU SYNDROME : LE SYNDROME DE LA MORT SOUDAINE DE L’ADULTE ».

Bravo ! On n’arrête pas le progrès ou bien sa nouvelle définition wok, la bêtise sans limite, la déconstruction de ce qui est beau, instructif, apaisant, pour aller vers quoi ? Le néant ?

Les candidats au bac ne sauraient pas ce que veut dire « ludique », mais on leur donnera le bac quand même. Il ne faut s’étonner de rien et surtout comme l’avait souhaité le patron de télé Patrick le Lay dans les années 2000, la capture du cerveau humain via les temps d’antenne a révélé sa grande efficacité.

Et comme dit l’auteur de la fabrique des crétins, Brighelli, « on les a voulus, on les a créés, maintenant il va falloir les supporter et leur payer un salaire. » Le but ultime atteint, le crédit social.

LA RÉALITÉ : L’EXPLOSION DE MORTS SUBITES EST LIÉE AUX INJECTIONS ARNM

Très tôt dans l’histoire des pseudovaccins ARNm, les médecins israéliens témoins les premiers de l’injection en masse de la population ont signalé ces morts subites, brutales qui les ont particulièrement choqués lorsqu’ils les observaient chez les jeunes qui ne risquaient rien du covid.[1][2]

Alors aujourd’hui devant ce déni de réalité, n’hésitant pas à inventer une « maladie inconnue » pour innocenter les pseudo vaccins, on croit à un cauchemar.

Avant le Covid étaient décrites d’exceptionnelles « morts subites » (et encore plus rarissimes chez les jeunes) correspondant le plus souvent après les explorations post mortem biologiques et autopsiques à des troubles cardiaques congénitaux et/ou infarctus, AVC, ruptures d’anévrisme, sur des terrains à risque familiaux ou personnels, etc.. L’autopsie et les examens ne revenaient pas négatifs comme ce pseudo nouveau syndrome australien les décrit. On ne trouve rien ![3] On ne trouve aucune allusion au statut vaccinal des sujets concernés dans l’article.

Une augmentation forte d’incidence depuis la vaccination devrait leur mettre la puce à l’oreille si le déni et l’omerta sur les inconvénients de cette injection génique ne les empêchaient pas d’ouvrir les yeux.

Le Dr Cole (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/5822) affirme que les décès « soudains » chez les jeunes sont causés par les injections covid[4].

Extrait de sa vidéo :

Dr Ryan Cole :

« Ces “morts soudaines” ? Quelle blague.

Il y a des gens qui sont venus avec un nouvel article l’autre jour et un nouveau syndrome : le syndrome de la mort soudaine de l’adulte (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6742).[5]

Ce syndrome SADS arrive parce que des personnes reçoivent une injection d’une toxine qui enflamme leur cœur.

Il y a eu des études précoces avec ces injections d’ARNm qui montrent qu’elles font gonfler le cœur, entraînant un manque de circulation, il n’y a plus assez d’oxygène dans le sang et donc cela entraîne une insuffisance cardiaque et la mort. (…)

Et maintenant on voit des centaines d’athlètes mourir alors qu’ils sont à leur top physique.

Nous mettons une nanoparticule lipidique toxique et un ARN modifié dans le corps qui ne s’éteint pas.

(…)C’EST DE LA FOLIE DE CONTINUER À POUSSER LE PRODUIT MÉDICAL LE PLUS DANGEREUX ET MORTEL JAMAIS AUTORISÉ À PERSISTER DANS L’HUMANITÉ. » [6]

« Nous devons nous lever contre cette injection avant que notre nouveau gouvernement n’impose la vax obligatoire y compris aux jeunes enfants ! »

Même le Lancet reconnaît le risque de cette injection pour les cœurs des jeunes personnes : — 11 juin Lancet : « le risque de myocardite/péricardite lié au vaccin est plus élevé chez les moins de 25 ans »

Rappelons que ces jeunes sont à risque ZÉRO DU COVID !

COMMENT ADMETTRE LA COÏNCIDENCE —15 juin TIMES : « la FDA recommande l’autorisation d’urgence du vaccin #COVID19 de #Moderna pour les enfants âgés de 6 à 17 ans » si ce n’est une volonté claire de dépopulation ?

LE LANCET A ENFIN AVOUÉ LA DANGEROSITÉ DU PSEUDO VAX[7][8]

La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna juin 2015, 2022 :

une étude a conclu que le vaccin ARN anti-Covid de Pfizer et de Moderna présente un risque élevé de myocardite et de péricardite. On peut lire :

« un risque accru de myocardite et de péricardite a été noté après la vaccination contre la Covid et a été plus fort chez les hommes âgés de 18 à 25 ans après la prise de la seconde dose. Cependant, l’incident était rare ».

D’après The Lancet, sur 15 148 369 de personnes ayant reçu le vaccin, 411 cas de myocardite et de péricardite ont été notés.

Une étude similaire, menée en France a abouti aux mêmes conclusions. En effet, dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a pu consulter l’étude menée par l’institut EPI-PHARE (épidémie des produits de santé) dans sa version originale. Elle confirme que les vaccins Pfizer et Moderna présentent des risques de myocardite et de péricardite tout en précisant toutefois que le risque est peu fréquent.

« un total de 919 cas de myocardites (âge médian de 26 ans, 21 % de femmes) et 917 cas de péricardites (âge médian de 34 ans, 38 % de femmes) sont survenus parmi des personnes âgées de 12 à 50 ans en France pendant la période d’étude. Ces cas ont été appariés respectivement à 9190 témoins (pour la myocardite) et 9170 témoins (pour la péricardite). »

L’étude souligne que les jeunes hommes âgés de moins de 30 ans ont été les plus exposés :

« Globalement, la vaccination par les vaccins Pfizer BioNTech et Moderna était associée à une augmentation des risques d’hospitalisation pour myocardite et péricardite dans les 7 jours suivant la vaccination.

L’association avec le risque de myocardite apparaît particulièrement marquée chez les jeunes hommes de moins de 30 ans, en particulier au décours de la deuxième dose du vaccin Moderna conduisant à un excès de cas atteignant de l’ordre de 132 par un million de doses dans cette tranche de la population », révèle EPI-PHARE.

Un chirurgien cardiovasculaire japonais : Arrêtez dès maintenant les rappels de vaccins en raison des risques graves qu’ils présentent (anguillesousroche.com)

« Tout d’abord, le chirurgien cardiovasculaire rappelle à tous la nature décroissante de l’efficacité des vaccins. Au huitième mois, après l’administration de deux doses du vaccin COVID-19, l’immunité “était inférieure à celle des personnes non vaccinées”. L’Agence européenne des médicaments (EMA) suggère d’éviter les rappels fréquents, car ils pourraient “avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire et ne sont pas forcément réalisables.” Kenji Yamamoto a écrit un article de commentaire dans le Virology Journal, une revue en libre accès et évaluée par des pairs. Il est chirurgien au département de chirurgie cardiovasculaire de l’Okamura Memorial Hospital, au centre des varices de Shizouka, sur la côte centrale du Pacifique de Honshu et près du mont Fuji. Dans une lettre à la rédaction, le Dr Yamamoto déclare : “Par mesure de sécurité, il convient d’interrompre les vaccinations de rappel et de prendre plusieurs autres mesures pour les patients vulnérables.” Ce chirurgien cardiovasculaire respecté reconnaît que les médias censurent les blessures liées au vaccin COVID-19, y compris les décès. »

ET le débat s’invite ENFIN sur cnews 17/06/22 A QUAND BFM TV ?

Marie-Estelle Dupont psychologue (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/4510) lit une déclaration de pédiatres sur les effets secondaires des injections Covid sur les enfants

« Étant donné ce qu’on a rencontré comme effets secondaires rapportés par les centres de contrôle des maladies, il n’y aurait pas de bénéfice à vacciner les enfants.

Nous sommes d’accord avec la vaccination en principe, et nous avons confiance aux garanties réglementaires. Toutefois nous comprenons que les injections Covid-19 ne sont pas des vaccins traditionnels… Pas assez de recul.

Nous pensons que la confiance des fournisseurs de soins médicaux et du public a été violée.

Il y a clairement un débat à poser. »

(…)

Le CDC révèle qu’au moins 49 878 enfants de 0-17 ans ont subi un effet indésirable dû à la vaccination contre la Covid. »[9]

MÊME LE PR. DELFRAISSY, GRAND CHEF DES MANŒUVRES ANTICOVID ET DE LA GUERRE AU VIRUS, A RECONNU LE LIEN :

ET ON SAIT POURQUOI La protéine Spike provoque une réponse de l’interleukine 1B chez les enfants (pas autant chez les adultes), comme le prouvent des études chinoises.

L’IL-1B est associée à l’amyloïde A sérique entraînant une myocardite pouvant entraîner une mort subite.[10]

On peut être étonné par le surprenant dialogue du Pr Delfraissy et un étudiant de science à Sciences Po Lille, le 15 03 2022

Vidéo 1/2 https://twitter.com/i/status/1534955758382718976 (reproduction de l’échange de la vidéo par un aimable correspondant vigilant

L’étudiant :

« Bonsoir Mr Delfraissy

3.3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA

36 000 morts dans l’UE

Imputables au vaccin

Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike

Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes

Ma question

Mr Delfraissy c’est : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament pourquoi ces vaccins continuent de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« Euh… … je crois qu’honnêtement vous n’êtes pas très chaud pour les vaccins ! Si je vous entends.

Bien sûr qu’il y a des effets secondaires… mais dans la balance bénéfices/risques au niveau individuel chez en particulier les patients les plus âgés les plus fragiles ayant un déficit immunitaire oui je vous dis ce soir je suis très à l’aise pour vous dire que le rapport bénéfices/risques il reste en faveur d’un vaccin

Ça, c’est un premier point

Cependant, là où vous pouvez m’argumenter c’est en population plus générale c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolu dans ma tête qu’on vaccine pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

…………………

Vidéo 2/2 https://twitter.com/i/status/1534957878884323334

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement avec en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinésEt je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes.

La Guadeloupe est finalement le seul vrai moment en France avec un tout petit peu au début sur l’est de la France lors de la première vague où on a vraiment trié du malade en réanimationLe reste on est à peu près passé sur du vrai triage.

Bien sûr, les personnes âgées, les plus âgées ont été moins prises en charge.

Mais il n’y a pas eu de vrai triage.

Sauf dans 2 zones — l’Alsace et la partie est de la France — lors de la première vague et la Guadeloupe au mois d’août 2021.

Donc ça montre bien vaccination plus, vaccination moins…

Bon après si vous ne voulezpas y croire…

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions.

Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

J’imagine que l’on va garder cette vidéo au cas où il prendrait à nos dirigeants la triste idée d’imposer l’injection et singulièrement aux enfants.

Alors pour conclure ces drames des dirigeants qui osent conclure qu’ils s’en foutent après avoir interdit d’exercice les soignants non vaccinés, ruinés, suicidaires pour un bon nombre, je vous propose un autre témoignage.[11]

Le père d’un fils tué par le vaccin Covid signale une incitation à la fraude par la FEMA[12]

par WorldTribune Staff, 9 juin 2022

« Non seulement Ernest Ramirez a perdu son fils de 16 ans à la suite d’une crise cardiaque quelques jours après avoir reçu le vaccin Pfizer Covid, mais lorsqu’il a commencé à en parler publiquement, la FEMA lui a offert des dizaines de milliers de dollars en prestations de décès s’il falsifiait le certificat de décès du gouvernement, a-t-il dit dans une interview.

Cinq jours après avoir reçu le vaccin Pfizer, Ernest Ramirez, Jr., un athlète du secondaire et membre du ROTC, s’est effondré en courant sur le terrain lors d’un match de basket-ball dans un parc. Il a été déclaré mort à l’hôpital. »

Ernest Ramirez et son fils Ernest Ramirez Jr.

L’hôpital ne voulait pas lui dire la cause du décès. « Il m’a fallu trois mois pour obtenir son autopsie », a déclaré Ramirez dans une interview avec John Davidson de Broken Truth. « Ils ne voulaient pas me le donner. »

Ce n’est qu’après avoir engagé un avocat que les autorités médicales ont rendu les résultats de l’autopsie : Ernest Ramirez, Jr., est décédé d’une crise cardiaque due à une myocardite attribuable au vaccin.

Connexe Ernest Ramirez, Jr. : L’histoire d’un père au cœur brisé, 3 juin 2022

« L’autopsie a été envoyée au cardiologue Dr Peter McCullough, MD, qui a vérifié que la cause du décès était due au vaccin, rapporte Ramirez. “Son cœur faisait plus du double de la taille normale, qu’il aurait dû être”, a déclaré Ramirez, “et il était recouvert de certains produits chimiques du vaccin. Dr John Witcher, MD,. . . l’a également vérifié”, tout comme le Dr Paul Marik, MD.

« Je veux dire que nous avons tous ces médecins qui le vérifient. Pourtant, ce n’est pas comme si cela faisait vraiment du bien », a déclaré Ramirez. « Maintenant, il y a tellement de centaines d’enfants qui souffrent de la même chose. S’ils ne meurent pas de myocardite ou de problèmes cardiaques, ils souffrent maintenant. Ils sont sous médication. Ils ne vont pas pouvoir trop s’exercer. Cela signifie : pas de baseball, pas de football, rien, parce qu’ils pourraient avoir une crise cardiaque. Où est-ce réellement sûr ? »

Ramirez avait élevé son fils, un joueur de baseball qui avait hâte de rejoindre l’armée de l’air, en tant que père célibataire. N’ayant pas d’assurance obsèques pour un enfant de cet âge, il a contacté le programme de prestations de la FEMA pour les décès de Covid-19. La FEMA a rejeté la demande. Un décès lié au vaccin Covid n’a pas été considéré comme un décès Covid. La FEMA n’a pas répondu à un WorldTribune. com demande de commentaire.

À cette époque, Ramirez a commencé à s’exprimer publiquement, gagnant une audience nationale en avertissant les parents des dangers du vaccin.

Dans une tournure inhabituelle des événements, rapporte Ramirez, la FEMA l’a ensuite recontacté avec une offre qui semble viser à la fois le piège criminel et un effort pour discréditer son message.

« En décembre, la FEMA m’appelle, me demandant plus de paperasse », a raconté Ramirez. » J’ai dit : « Regarde, tu as tous ses papiers. Tu m’as refusé. Alors, détruisez simplement cette application. Elle m’a mis en attente pendant 45 minutes et m’a demandé de changer le certificat de décès de mon fils pour qu’il indique Covid, et cela m’aiderait financièrement.

« J’ai dit : Non, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. Et comme je l’ai dit, elle a juste fait des allers-retours. Je ne sais pas si elle parlait à quelqu’un d’autre, et elle n’arrêtait pas de me demander de changer le certificat de décès de mon fils », a déclaré Ramirez.

« J’ai dit, Madame, je vous l’ai déjà dit, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. J’ai dit : Je ne falsifierai pas les documents du gouvernement à des fins financières », a-t-il raconté. Après une discussion plus approfondie, « elle a en fait baissé la voix jusqu’à un murmure et m’a dit : » Je suis vraiment désolée, Ramirez « et elle a raccroché. »

En janvier 2022, Ramirez rapporte qu’il a ensuite reçu un e-mail de la FEMA avec des documents similaires, qu’il a transmis publiquement à Steve Kirsch et à d’autres, « pour s’assurer qu’ils voient ce qui se passe ».

Puis, dans la troisième semaine de mai 2022, plus d’un an après la mort d’Ernest Jr., « Je reçois un appel téléphonique et c’est la FEMA », a poursuivi Ramirez. « Ils m’appelaient pour me faire changer à nouveau le certificat de décès. La première fois qu’ils m’ont appelé, ils m’offraient 10 000 $ à 35 000 $ si je le changeais.

Ernest Ramirez Jr.Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMAWorldTribune.com

COMBIEN DE TEMPS LA POPULATION VA-T-ELLE ACCEPTER DE JOUER À L’APPRENTI SORCIER OU À LA ROULETTE RUSSE ?

EST-CE LUDIQUE ????


  1. [1] MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L’ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  2. [2] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
    Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
    Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21[]
  3. [3] https://www.health.com/condition/genetic-disorders/sudden-death-syndrome[]
  4. [4] [Transféré de ChrisInfos:Traductions,Trump & co] [Vidéo] 07/06/22[]
  5. [5] 08/06/22
    Australie (https://www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp)
    Des médecins tentent de déterminer pourquoi de nombreux jeunes meurent soudainement :
    « Les personnes âgées de moins de 40 ans sont invitées à faire vérifier leur cœur car elles peuvent potentiellement être à risque de syndrome de mort subite de l’adulte. »
    (https://en.m.wikipedia.org/wiki/Sudden_arrhythmic_death_syndrome) (Syndrome de mort subite par arythmie) a été mortel pour toutes sortes de personnes, qu’elles maintiennent ou non un mode de vie sain et en forme.
    Le SADS “terme générique pour décrire les décès inattendus chez les jeunes”, a déclaré le Royal Australian College of General Practitioners, survenant le plus souvent chez les personnes de moins de 40 ans.
    La Fondation SADS basée aux États-Unis a déclaré que plus de la moitié des 4 000 décès annuels SADS d’enfants, d’adolescents ou de jeunes adultes présentent l’un des deux principaux signes avant-coureurs.
    Ces signes incluent des antécédents familiaux de diagnostic de SADS ou de mort subite inexpliquée d’un membre de la famille, et des évanouissements ou des convulsions pendant l’exercice, ou lorsqu’ils sont excités ou surpris, a rapporté news.com.au. (…)
    Il y a environ 750 cas par an de personnes âgées de moins de 50 ans à Victoria dont le cœur s’arrête soudainement (arrêt cardiaque) “, a déclaré un porte-parole.
    Parmi ceux-ci, environ 100 jeunes par an n’auront aucune cause trouvée même après des investigations approfondies telles qu’une autopsie complète (phénomène SADS).”
    La cardiologue E. Paratz, a déclaré : “le registre de Baker était le premier du pays et l’un des rares au monde à combiner des informations sur les ambulances, les hôpitaux et la médecine légale.”
    “Cela vous permet de voir) que des personnes ont eu un arrêt cardiaque et qu’aucune cause n’a été trouvée à l’arrière”, a déclaré le Dr Paratz. Elle pense que le manque potentiel de sensibilisation peut être dû au fait que “beaucoup se déroulent en dehors des contextes médicaux traditionnels”
    (N.B: Sinon hormis le “SADS” il y a les injections Covid qui ont fait près de 30 000 morts officiels, plus d’un million d’effets secondaires et entraîné les décès de plus de 700 athlètes en 16 mois : source (https://openvaers.com/covid-data) et Source2 (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6700)
    www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp[]
  6. [6] Source (https://www.bitchute.com/video/3tMs1qBTBvRi/) []
  7. [7] La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) []
  8. [8] https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-la-revue-scientifique-the-lancet-confirme-le-risque-eleve-de-myocardite-du-vaccin-pfizer-et-moderna/[]
  9. [9] https://mobile.twitter.com/MyriamHebuterne/status/1537513159665278979[]
  10. [10] ncbi.nlm.nih.gov Myocarditis: An Interleukin-1-Mediated Disease?[]
  11. [11] Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMA–World Tribune: U.S. Politics and Culture, Geopolitics, East Asia Intelligence, China, Geostrategy, Military, National security, Corporate Watch, Media Watch, North Korea, Iran, Columnists: Dennis Prager, Michelle Malkin, John Metzler, Jeffrey Kuhner, John McNabb, Joe Schaeffer, Bill Juneau, Alexander Maistrovoy, Donald Kirk (www-worldtribune-com.translate.goog) []
  12. [12] FEMA for Disasters assistance An official website of the United States Government. Agence fédérale de gestion des urgences[]
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Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques !

23/06/2022 (2022-06-23)

Par le Dr Gérard Delépine

Mise à jour de la bibliographie internationale sur les masques

Le spectacle affligeant du port de masques par des personnes seules en voiture, ou à vélo ou faisant seules leur jogging désole et témoigne de la persistance de la peur créée et entretenue par le gouvernement et les médias depuis deux ans, et de l’ignorance sur l’inefficacité anti-covid et sur les dangers propres du masque.

Mais le plus affligeant et éthiquement scandaleux est de constater que certains professionnels de santé refusent d’examiner des malades et de les traiter s’ils ne portent pas de masque et que certains n’hésitent pas à leur mentir en prétendant que c’est le gouvernement qui l’impose.

Rappelons les consignes officielles actuelles (18/6/2022) du gouvernement

consultable à Obligation de port du masque : quelles sont les règles ?

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F35351 :

« Depuis le 14 mars 2022, il n’y a plus d’obligation de port du masque en intérieur.

Néanmoins, il y a une exception pour les établissements de santé et établissement médico-sociaux.

En effet, le port du masque peut être imposé pour les personnes de plus 6 ans par les responsables des structures ou locaux professionnels lieux suivants :

  • Hôpitaux, cliniques, centres de santé
  • Cabinets des professionnels médicaux et des psychologues, ostéopathes, chiropraticiens et psychothérapeutes
  • Officines de pharmacie
  • Laboratoires d’analyses médicales
  • EHPAD
  • Domiciles des personnes âgées ou handicapées qui reçoivent des soins »

[Capture PDF de la page :]

 

Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masque même dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.

Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine[1] et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité[2], attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.

La révision de ses recommandations[3] s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel : « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.

Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :

« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous prétexte (faux) qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq19[4] ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.

Le port du masque est source de nombreuses complications

Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.

Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients[5] : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque,[6] a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.

Complications cutanées

La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society[7] met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente[8]. Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI.

L’étude coréenne de Choi SY[9] précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.

Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.[10]

Hypoxie et troubles respiratoires

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et all[11] ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Kisielinski K et ses coauteurs[12] montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Problèmes de communication

Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.

Tsantanie et ses coauteurs[13] montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.

La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise[14], ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste a un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.

Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques[15]

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.

Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.[16][17]

Les troubles psychologiques et psychiatriques[18]

Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui19.

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.

Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.

L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress d’abord constaté en Chine[19][20][21] s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.

Les enfants ont été particulièrement touchés[22] et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.

D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.[23]

Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade

Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.

Dans sa version française[24]:

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.

Ou dans sa version internationale du serment de Genève :

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, denationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient

D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.

Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.

L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.

Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.

Et s’ils ont encore peur qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.

L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France

Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine !


  1. [1] Xiao J, Shiu E, Gao H, Wong JY, Fong MW, Ryu S, et al. Nonpharmaceutical Measures for Pandemic Influenza in Nonhealthcare Settings—Personal Protective and Environmental Measures. Emerg Infect Dis. 2020;26(5):967-975. https://doi.org/10.3201/eid2605.190994[]
  2. [2] Organisation Mondiale de la Santé. Conseils sur l’utilisation des masques dans le contexte de la COVID-19 : Orientations provisoires 6 avril 2020. :
    https://apps.who.int/iris/handle/10665/331693[]
  3. [3] https://www.un.org/fr/coronavirus/articles/recommandations-port-du-masque[]
  4. [4] Henning Bundgaard et al Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Controlled Trial Ann Intern Med. 2021 Mar;174(3):335-343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub 2020 Nov
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/[]
  5. [5] hu DK, Akl EA, Duda S, Solo K, Yaacoub S, Schünemann HJ; COVID-19 Systematic Urgent Review Group Effort (SURGE)s. Physical distancing, face masks, and eye protection to prevent person-to-person transmission of SARS-CoV-2 and COVID-19: a systematic review and meta-analysis. Lancet. 2020 Jun 27;395(10242):1973-1987. doi: 10.1016/S0140-6736(20)31142-9. Epub 2020 Jun 1. PMID : 32497510 ; PMCID : PMC7263814.[]
  6. [6] Zhang R, Li Y, Zhang AL, Wang Y, Molina MJ. Identification de la transmission aérienne comme principale voie de propagation de la COVID-19. Proc Natl Acad Sci USA. (2020) 117 : 14857–63. 10.1073/pnas.2009637117[]
  7. [7] Yu J, Chen JK, Mowad CM, Reeder M, Hylwa S, Chisolm S, Dunnick CA, Goldminz AM, Jacob SE, Wu PA, Zippin J, Atwater AR. Occupational dermatitis to facial personal protective equipment in health care workers: A systematic review. J Am Acad Dermatol. 2021 Feb;84(2):486-494. doi: 10.1016/j.jaad.2020.09.074. Epub 2020 Oct 1. PMID : 33011325 ; PMCID : PMC7528888.[]
  8. [8] Rudd E, Walsh S. Mask related acne (“maskne”) and other facial dermatoses. BMJ. 2021 Jun 7;373:n1304. doi : 10.1136/bmj.n1304. PMID: 34099456.[]
  9. [9] Choi SY, Hong JY, Kim HJ, Lee GY, Cheong SH, Jung HJ, Bang CH, Lee DH, Jue MS, Kim HO, Park EJ, Ko JY, Son SW. Mask-induced dermatoses during the COVID-19 pandemic: a questionnaire-based study in 12 Korean hospitals. Clin Exp Dermatol. 2021 Dec;46(8):1504-1510. doi: 10.1111/ced.14776. Epub 2021 Aug 4. PMID: 34081799; PMCID: PMC8239570.[]
  10. [10] Echasatian L, Lebsing S, Uppala R, Thaowandee W, Chaiyarit J, Supakunpinyo C, Panombualert S, Mairiang D, Saengnipanthkul S, Wichajarn K, Kiatchoosakun P, Kosalaraksa P. The Effects of the Face Mask on the Skin Underneath: A Prospective Survey During the COVID-19 Pandemic. J Prim Care Community Health. 2020 Jan-Dec;11:2150132720966167. doi: 10.1177/2150132720966167. PMID: 33084483; PMCID: PMC7786409.[]
  11. [11] Beder A, Büyükkoçak U, Sabuncuoğlu H, Keskil ZA, Keskil S. Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery. Neurocirugia (Astur). 2008 Apr;19(2):121-6. doi: 10.1016/s1130-1473(08)70235-5. PMID: 18500410.[]
  12. [12] Kisielinski K, Giboni P, Prescher A, Klosterhalfen B, Graessel D, Funken S, Kempski O, Hirsch O. Is a Mask That Covers the Mouth and Nose Free from Undesirable Side Effects in Everyday Use and Free of Potential Hazards? Int J Environ Res Public Health. 2021 Apr 20;18(8):4344. doi : 10.3390/ijerph18084344.[]
  13. [13] Tsantani M, Podgajecka V, Gray KLH, Cook R. Comment la présence d’un masque facial chirurgical altère-t-elle l’intensité perçue des émotions faciales ?. PLoS One. 2022;17(1):e0262344. Publié le 13 janvier 2022. doi : 10.1371/journal.pone.0262344[]
  14. [14] Marler H, Ditton A. « I’m smiling back at you » : Exploring the impact of mask wearing on communication in healthcare. Int J Lang Commun Disord. 2021 Jan;56(1):205-214. doi: 10.1111/1460-6984.12578. Epub 2020 Oct 10. PMID : 33038046 ; PMCID : PMC7675237.[]
  15. [15] Et les complications psychologiques, sociales, scolaires, physiques sont légion. Voir « les enfants sacrifiés du covid » par G et N Delépine, éditions Fauves, janvier 2022.[]
  16. [16] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/confinement/il-ne-me-reconnaissait-plus-avec-le-masque-la-crise-du-covid-19-bouleverse-le-quotidien-des-services-pedopsychiatriques_4276445.html[]
  17. [17] Masques obligatoires, jeunesse et enseignement, des dangers sous-estimés — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  18. [18] Le masque, baillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  19. [20] Cao W., Fang Z., Hou G., Han M., Xu X., Dong J. L’impact psychologique de l’épidémie de COVID-19 sur les étudiants en Chine. Psychiatrie Res. 2020 [112934[]
  20. [21] Wang C., Pan R., Wan X., Tan Y., Xu L., Ho C. Réponses psychologiques immédiates et facteurs associés au stade initial de l’épidémie de maladie à coronavirus de 2019 (COVID-19) dans la population générale en Chine. Int J Environ Res Public Health. 2020[]
  21. [22] Zhang S., Wang Y., Rauch A., Wei F. Perturbation sans précédent de la vie et du travail : santé, détresse et satisfaction de vivre des adultes qui travaillent en Chine un mois après le début de l’épidémie de COVID-19. Psychiatrie Res. 2020 [112958[]
  22. [23] Port du masque et troubles chez les enfants : le constat édifiant de Marie-Estelle Dupont
    https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/sante/port-du-masque-et-troubles-chez-les-enfants-le-constat-edifiant-de-marie-estelle-dupont[]
  23. [24] Santepubliquefrance.fr/dossiers/coronavirus-covid-19/enjeux-de-sante-dans-le-contexte-de-la-covid-19/articles/sante-mentale-et-covid-19[]
  24. [25] https://www.conseil-national.medecin.fr/medecin/devoirs-droits/serment-dhippocrate[]
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Complications des vaccins anticovid 31 MAI 2022

Programme santé et réintégration des soignants au cœur des préoccupations des Français

02/06/2022 (2022-06-02)

Par Nicole Delépine

Qu’en est-il des candidats aux législatives ?

La non-réintégration des #SoignantsSuspendus dans un système hospitalier à l’agonie est au-delà de la faute politique. En l’état de la science sur les vaccins Covid et de leur incapacité à protéger de la maladie, il s’agit d’un crime organisé !

11:57 PM · 31 mai 2022·Twitter @medicalfollower

 

Questionnaire aux candidats. Les mettre au pied du mur pour savoir de quel côté ils seront : soignants-soignés ou gouvernement ?

La santé dont on nous rebat les oreilles pour dire que l’été sera chaud dans les hôpitaux publics en l’absence d’un nombre suffisant de soignants et de médecins est cruellement absente des législatives. L’exigence de réintégration des soignants abusivement suspendus sans justification scientifique devrait être au premier plan de tous les programmes.

Notons que la Martinique a voté à l’unanimité la réintégration des soignants.

Un candidat en Essonne aux législatives nous informe que sur douze candidats il serait le seul à mettre la santé au cœur de son programme dans sa circonscription.

www.listecitoyenne-essonne.fr

Malheureusement nous craignons que ce soit le cas général

Nous vous proposons donc sur suggestion d’un correspondant motivé J H. des questions à poser à vos candidats dont certaines sont capitales comme la réintégration des soignants. Une réponse à chaque question par oui ou non est intéressante, mais libre à vous de demander en direct à l’occasion d’une rencontre un développement justifiant leurs réponses.

Voici les questions proposées :

12 questions aux candidats aux élections législatives sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé.

Merci d’y répondre et de renvoyer les réponses à nicole.delepine1@gmail.com

OU AU SITE DE PUBLICATION DE L’ARTICLE à votre choix ou de publier un article vous-même sur ce sujet

Si les réponses sont suffisamment nombreuses, nous vous en ferons un compte-rendu.

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?

OUI — NON

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? 

OUI — NON

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? 

OUI — NON

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ?

OUI — NON

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?

OUI — NON

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ?

OUI — NON

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ?

OUI — NON

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ?

OUI — NON

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ?

OUI — NON

Question n° 10

Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ?

OUI — NON

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ?

OUI — NON

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? 

OUI — NON

IL EST URGENT D’INFORMER NOTRE NOUVELLE MINISTRE DE LA SANTÉ SUR LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE DU SYSTÈME DE SANTÉ

Nous réinsistons sur les points principaux déjà évoqués :

Appel aux candidats députés sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé

Par Nicole Delépine

« À partir d’une certaine masse critique, une bureaucratie tend à croître de façon automatique, sans rapport avec le réel, échappant à toute autorité. »[1]

Mmes, Mrs, vous prenez la décision de devenir nos représentants si les citoyens vous élisent.

Nous voulons attirer votre attention sur la tragique situation du système de santé français détruit en moins de 20 ans par la bureaucratie galopante ayant évincé les professionnels de santé dans l’organisation, et sur les décisions à rendre rapidement pour le sortir du gouffre.

Il est impossible en quelques lignes de tout détailler, mais quelques points sont fondamentaux à expliquer aux Français que vous rencontrerez qui n’ont pas toujours compris ce qui se passe et mettent la cause sur « l’argent ».

L’argent existe : 11,2 % du PIB utilisé pour la santé

Il faut rediriger l’argent vers les soins en dégraissant la bureaucratie énergivore, coûteuse, et paralysante : trop d’agences de santé doublons, 18 ARS dictatoriales et doublant le rôle des directions hospitalières, trop d’observatoires et autres. Tout cela est connu, détaillé dans rapports sénatoriaux, articles, livres multiples depuis deux décennies.[2]

Il faut le courage politique coupant ces structures inutiles et toxiques et répartir le personnel administratif dans d’autres secteurs (juridique par exemple) et remettre les nombreux soignants égarés dans les agences[3][4][5] auprès des patients.

Rendre la liberté de soigner

Pour les médecins la liberté de prescription est capitale.

2020. C’est la première fois dans l’Histoire qu’un politique se permet d’interdire une ordonnance d’un médicament (en plus connu depuis 70 ans) et en même temps d’imposer un pseudo vaccin en essai thérapeutique sans recul. Tout laisse penser que les documents PFIZER (enfin disponibles) étaient connus d’emblée par la FDA, l’EMA et probablement l’ANSM et donc par nos chefs d’État. Ces documents établissaient dès 2020 qu’ils étaient trop peu efficaces et dangereux.

Ils savaient d’emblée que le vax était toxique (1200 morts dans les premiers mois de l’essai initial) et inefficace.[6][7]

La vraie médecine a été violée par nos gouvernants suivant les directives de l’OMS contraires à la science.[8][9]

Pour les soignants en général et les infirmières en particulier il faut supprimer la persécution des cadres qui empêchent de se consacrer aux malades. Ces cadres qui gèrent les plannings de façon insupportable, etc., perdent leur temps utile en multiples réunions sans intérêt, et les contrôles permanents des « traceurs » qui conduisent les infirmiers par ex à passer 4 h par jour sur l’écran. Cocher un médicament sur un tableau ne prouve pas qu’on l’a donné et n’a donc aucun intérêt sinon de perdre du temps de soin au lit du malade et d’humilier le soignant.

En ville, il faut de même supprimer la persécution des contrôles permanents par les ARS et la CNAM qui désorganisent le travail du médecin, kiné, psychologue ou autre.

Il faut bien sûr compléter cette liberté retrouvée par des salaires décents qu’il suffit d’aligner sur les moyennes des pays de l’ouest de l’UE qui les attirent, et ne pas compter sur de petites augmentations ou primes à la suite d’un scénario Ségur répétitif[10][11] qui n’a rien résolu.

Pour embaucher, il faut des volontaires !

Les politiques qui croient pouvoir embaucher X soignants n’ont pas compris qu’ils ne les trouveront pas sans leur rendre leur liberté de soigner et de s’organiser tant en ville qu’à l’hôpital : les postes vacants se multiplient de jour en jour et les mesures discriminatoires récentes contre les non-vaccinés n’ont fait qu’aggraver largement la situation.

Il n’existe plus de médecine libérale en France, les ukases, accréditations, normes sont les mêmes dans tous les secteurs, public comme privé. Croire, comme l’a dit le président de la FHF, qu’obliger les médecins libéraux à prendre des gardes de nuit pourrait être efficace montre qu’ils n’ont rien compris à l’état d’épuisement et d’exaspération de tous les soignants.

Démission ou expatriation sont des solutions déjà utilisées par de nombreux soignants exclus du système sans revenu par la honteuse « pseudo vax obligatoire » en essai thérapeutique, en violation de tous les traités signés par la France[12]. De plus, ils sont beaucoup mieux rémunérés en Suisse, Allemagne, Canada ou Belgique qui les ont accueillis avec joie.

Médecins étrangers esclaves, combien de volontaires peut-on espérer, Mme la ministre ?

Les espoirs du gouvernement sur l’embauche de médecins étrangers pour faire fonctionner les hôpitaux cet été laissent pantois. À la recherche d’esclaves modernes qui accepteraient les ukases des ARS, cadres de santé, sécurité sociale, etc.. Ils ne restent jamais longtemps en France que ce soit dans les hôpitaux ou les maisons de santé que bien des maires tentent de remplir en promettant logement, prime, etc..

L’exercice médical en France est devenu insupportable par son manque de liberté chèrement acquis après dix ans d’études et les médecins étrangers trompés s’en rendent vite compte. La solution n’est pas là, mais à la liberté de soigner.

Réintégrer les soignants injustement mis à l’écart et sans rémunération, pour refus d’injection d’un produit expérimental en phase 3 et dont les accidents s’accumulent.[13]

15 000 à 30 000 soignants ont été écartés par une décision politique injustifiée (le vax ne protège ni le soignant, ni ses contacts des contaminations, ni des formes graves). Un bon nombre ne reviendra pas, parti à l’étranger, ou reconverti. Si on veut récupérer les autres, il faut faire vite, reconnaître qu’on s’est trompé (le vax ne protège pas) et leur rendre leurs salaires gelés depuis le 15 septembre 2021.

Sans ces mesures et un minimum de mea-culpa, il est peu probable qu’ils reviennent et que les écoles d’infirmiers se remplissent à nouveau. Qui voudrait entrer dans ce noble métier défiguré et dans l’impossibilité de l’exercer ?

Supprimer le pass et le masque à l’entrée des hôpitaux[14]

Pour ceux qui pourraient revenir, il faut absolument supprimer toute mesure discriminatoire à l’entrée de l’hôpital tant pour eux que pour les patients qu’ils refusent de discriminer !

Il faut supprimer les contrôles de pass sanitaires : 60 millions € par mois de contrôle par des vigiles, pass qui sont abandonnés par la majorité des pays qui les ont utilisés ! il faut supprimer le masque, mesure autoritaire inutile qui empêche les rapports humains normaux, en particulier entre malade et soignant. Manifestement les autorités qui ont imposé ce port du masque n’avaient aucune idée des conséquences multiples engendrées physiques, psychologiques, etc. Ce masque est un symbole d’autorité sans utilité médicale, sauf pour les malades aigus récents et les soignants à leur contact.[15]

Dans les hôpitaux publics et privés, cesser la gestion entrepreneuriale d’économies

Une organisation basée sur le taylorisme !

Ce mode de gestion a tout cassé depuis les années 80, transformé nos hôpitaux publics puis privés, nos cabinets de ville (transformés en “maisons de santé”), en usines, organisées sur le mode de la fabrication des voitures du début du XXe siècle. Procédures, checklists, protocoles, audits externes et internes, réunionnites aiguës et chroniques, contrôles ARS et décisions unilatérales, le tout sorti d’ordinateurs coûteux, ont remplacé les relations humaines.

Cesser la suppression de lits et de services, imposée par les ARS au lieu de laisser les hôpitaux se réorganiser librement.

L’hôpital est brisé dit le Pr Peyromaure.[16]

Un manque de soignants devenu dramatique

Même à Cochin le célèbre service d’urologie parisien qui a vu passer Mitterand ferme encore actuellement 30 % de ses blocs opératoires, faute de personnels.

Plus de 120 servies d’urgence limitent actuellement leur activité faute de personnel et beaucoup trop risquent d’être contraints de fermer durant les vacances.[17]

Le nombre des déserts médicaux tant en campagne et même en certaines villes, qui progressait régulièrement depuis plusieurs années a fortement augmenté depuis l’obligation vaccinale imposée aux soignants ; beaucoup de vaccino prudents ont préféré prendre leur retraite ou se reconvertir plutôt que de se laisser injecter des médicaments dont ils avaient observé les complications chez leurs patients.

Les obligations supplémentaires proposées par certains bureaucrates et politiques, qu’il s’agisse d’obligation de garde ou de restriction à la liberté d’installation, seront contre-productives à terme, car elles dissuaderont encore plus de médecins à s’installer.

Pour retrouver des soignants, il faut leur rendre la liberté de prescrire, leur éviter de perdre leur temps en tâches administratives, leur garantir le choix de leur lieu installation et de respecter leur non-consentement éventuel au pseudo vaccin.

Cette dernière mesure remettrait immédiatement en activité plusieurs dizaines de milliers qui manquent si cruellement.

  1. [1] ARS, syndrome de l’étatisation sanitaire (francesoir.fr)
  2. [2] Une liste non exhaustive vous sera fournie à votre demande nicole.delepine@bbox.fr
  3. [3] Soigner ou obéir N et G Delépine, Fauves Éditions 2016
  4. [4] Blouses blanches colère noire par B Kron : « Paniqués par les déficits, nos gouvernants ont essayé de légiférer pour freiner cette descente aux enfers du système de santé depuis plus de 20 ans. Le retour de J.Castex aux affaires en est le symbole le plus prégnant. Le Premier Ministre est en effet l’un des principaux responsable de cette situation qui a transformé l’hôpital en entreprise à flux tendu, le rendant incapable d’assurer et de combattre les crises sanitaires. Les médecins, et plus largement les soignants n’ont plus aucun pouvoir dans le système de santé en France. Dans cet essai, l’auteur analyse ainsi ce combat depuis cinquante ans pour contrôler les médecins dans les hôpitaux publics, les cliniques privées, et les médecins libéraux. Il reprend les principales réformes qui ont mené à la catastrophe. » Blouses blanches colère noire — Bernard Kron — Babelio
  5. [5] La bureaucratie étouffe le système de santé. Dégraissons le mammouth pour vaincre ce fléau — AgoraVox le média citoyen.
  6. [6] Il faut interdire la vaccination anticovid des enfants à la suite des révélations Pfizer : inefficacité et millions de complications — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
  7. [7] BioNTech Pfizer : Nouveau « silence des MédiA-agneaux » Français ? | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Le « vaccin » conçu avec Pfizer ne serait pas concluant :
    • Le produit a été conçu pour œuvrer dans l’urgence.
    • Le produit n’est qu’expérimental, et les citoyens ont été des cobayes.
    • « des » évènements indésirables peuvent mettre fin aux essais et mettre un terme à une utilisation pérenne et définitive. Lire document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech
  8. [8] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr)
  9. [9] Ce pouvoir devrait être renforcé si les pays votent le nouveau traité. Stopthetreaty
    Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
  10. [10] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? (francesoir.fr)
  11. [11] SEGUR DE LA SANTÉ, un funeste conte, fallait-il en attendre autre chose ? (francesoir.fr)
  12. [12] Convention d’Oviedo opposable à tous les pays signataires dont le nôtre et foulée au pied.
  13. [13] Le reportage choc sur les soignants suspendus : » Ils nous ont soignés, on les a méprisés » F. Moine — YouTube
    Disponible sur fabien moine exuvie. Fr en participation libre et consciente
    Le reportage choc sur les soignants suspendus : » Ils nous ont soignés, on les a méprisés » F. Moine — YouTube
  14. [14] Pr Michaël Peyromaure : « Le système de santé français est brisé ! » – YouTube
  15. [15] Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Afin de produire une double réaction interdépendante : l’automutilation du moi et le rejet de l’autre, le masque fait disparaître le sujet parlant.
  16. [16] Pr Michaël Peyromaure : « Le système de santé français est brisé ! » – YouTube
  17. [17] LES SOIGNANTS REMPLACÉS PAR DES BÉNÉVOLES AU CHU DE BORDEAUX : TOUT UN SYMBOLE —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

 

Exigeons la réintégration des soignants !!! La rumeur monte !

https://exuvie.fr/livre/suspendus_des_soignants_entre_deux_mondes/

Le 12 juillet 2021, sans concertation, les soignants du pays ont été confrontés à un choix : conserver leur emploi en ayant recours à une série d’injections médicales ou être suspendus de leurs fonctions au 15 septembre. A cette date des dizaines de milliers d’entre eux se sont retrouvés sans travail, sans revenu et sans aide. Dans l’indifférence populaire mais aussi celle de leur institution et des médias.

Ils demeurent suspendus, entre deux mondes… Celui d’un passé technocratique en plein effondrement, sans considération ni moyen, basé sur le rendement et la technologie. Et un autre où tout est à construire, libérés du chantage et de la pression des autorités de tutelle, avec une vision résolument humaine et intégrative de la santé.

Ce documentaire revient sur deux années de crise et décortique un système dans lequel les soignants auront été utilisés et manipulés. Tantôt en sous effectifs, en étant exposés à un virus inconnu en étant parfois contaminés, vêtus de sacs poubelle avec des masques et des gants de fortune. Ou applaudis le soir aux fenêtre.  Avant de subir un chantage pour accepter un traitement encore en phase expérimentale en étant traités de lâches, des traîtres et d’égoïstes. Comment ont-ils vécus cela ? Quels ont été leurs doutes, leurs peurs et les réactions de leur institution et de leurs collègues ? Quelle est leur vision de la médecine, de la santé ? Se considèrent-ils toujours comme soignants ? Comment vivent-ils aujourd’hui et comment se projettent-ils dans l’avenir dans un système en déroute ?

Plus que des témoignages c’est un regard profond sur notre système, nos institutions, la passion de l’autre et l’engagement vers un monde meilleur, collectif.

Caroline Blondel, Gregory Pamart, Carole Fouché, Louis Fouché, Judith Rémy, Éric Loridan et Aurélie Colin nous racontent leur vécu de cette crise et leurs espoirs. Le tout porté avec poésie sur une musique originale de Cécile Petit et des chorégraphies d’Aurore Borgo. Car danser avec la crise et sourire à demain est un des nombreux messages portés par ce film.

Nicole Delépine

Refusons l’obligation vaccinale prévue

RAPPELER CHAQUE JOUR À NOS CONCITOYENS INEFFICACITÉ ET DRAMES LIÉS AU VAX COVID POUR REFUSER ENSEMBLE L’OBLIGATION D’INJECTIONS EXPÉRIMENTALES ET DANGEREUSES

Le président réélu l’avait annoncé, il imposerait l’obligation vaccinale à tous et même aux bébés. Le choix évoqué du sénateur Malhuret comme remplaçant de Veran va dans ce sens. Ce sénateur a été un des plus violents dans ses discours contre les non-vaccinés.

Quelques réactions sur Twitter concernant le potentiel nouveau ministre de la Santé

@Spotlight29 « Claude Malhuret est pressenti pour devenir ministre de la Santé. Au-delà de ses positions quasi dictatoriales sur la vaccination obligatoire, il a également été directeur du développement de l’éthique chez Korian (quelle réussite !). Enfin, ce mal luné a quand même 72 ans ! » 6:23 AM · 4 mai 2022

@Tily2601 4 mai @Spotlight29

Co fondateur de Doctissimo avec Laurent Alexandre. Quand on connaît les idées et les relations de Mr Alexandre et les propos de Mr Malhuret. »

Et il contrôle les procurations du vote des Ephads à travers les directeurs 10 h 50 · 4 mai 2022 (à vérifier…)

DEPUIS LA PUBLICATION IMPOSÉE PAR LA JUSTICE AMÉRICAINE DES DOCUMENTS PFIZER, LA PROPAGANDE MÉDIATIQUE NE CHANGE PAS

Pourtant Les documents Pfizer révèlent un scandale immense à l’échelle planétaire

« et les médias se taisent. Ne les appelez plus jamais des journalistes. Ce sont des courtisans. #pfizerdocuments

Procureur Décitoyennisé @menalahy2 “Soyez avertis : La nouvelle que vous n’auriez pas dû voir était que Pfizer a publié 80 000 pages informant le public que leur médicament Covid n’est efficace qu’à 12 % et est extrêmement nocif pour les bébés à naître”.

@KattousM. “12 % d’efficacité après des tests sur une dizaine de souris, aucune idée des impacts sur les femmes enceintes, 9 pages recto verso d’effets secondaires notoires”. »

Par Romain Doyer (@Marc_Doyer @verity_france)

le 5 mai 2022 qui a cruellement perdu sa maman il y a deux jours

« Voici une des neuf pages de la notice #pfizerdocuments concernant les #effetssecondaires du vaccin, sous 👇 la flèche noire vous pouvez apercevoir la pathologie de ma maman #jesuismauricette.#Pfizermatue ».

Alors que certains continuent à nier le lien du Creutzfeld Jacob avec l’injection malgré la publication de Luc Montagnier et Henrion Caude.

Le document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech devrait nous réveiller :

« le produit expérimental à injection conçu par BioNTech et Pfizer, abusivement appelé vaccin, ne serait pas concluant durant les essais cliniquesà échelle mondialeet ne permettrait pas une mise sur le marché définitive. »

document interne à l’entreprise, axé principalement sur la finance et la rentabilité de cette société allemande. Mais dès la page 8, l’information est sans équivoque :

« Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19 et/ou des formulations spécifiques aux variantes pour obtenir une approbation réglementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, Union européenne ou d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence ou a obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. »[1]

https://phmpt.org/pfizers-documents/ Plus que 1 % de protection 7 jours après l’injection ! tout ça pour ça… allez lire vous-même.

VAERS — LE POINT DES ACCIDENTS AU 22 AVRIL 2022

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 15 avril 2022.[2]

pour les enfants de 5 à 11 ans

  • 10 290 événements indésirables, dont 248 qualifiés de graves et 5 décès signalés.
  • 19 rapports de myocardite et de péricardite (inflammation du cœur).
  • Les CDC utilisent une définition restreinte de la « myocardite », qui exclut les cas d’arrêts cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux ischémiques et de décès dus à des problèmes cardiaques qui surviennent avant que l’on ait la possibilité de se rendre aux urgences !
  • 40 rapports de troubles de la coagulation sanguine.

pour les jeunes de 12 à 17 ans

  • 31 113 événements indésirables, dont 1 796 qualifiés de graves et 43 décès.
  • 65 rapports d’anaphylaxie chez des jeunes de 12 à 17 ans, dans lesquels la réaction mettait en danger la vie du patient, nécessitait un traitement ou entraînait la mort — 96 % des cas étant attribués au vaccin de Pfizer.
  • 651 rapports de myocardite et de péricardite, dont 639 cas attribués au vaccin de Pfizer. 166 rapports de troubles de la coagulation sanguine, tous les cas étant attribués à Pfizer.

Tous groupes d’âge confondus :

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 15 avril 2022

  • 20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques.
  • 54 % des personnes décédées étaient des hommes, 41 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’indiquaient pas le sexe de la personne décédée. L’âge moyen du décès était de 73 ans.
  • Au 15 avril, 5 429 femmes enceintes ont signalé des effets indésirables liés aux vaccins contre la COVID, dont 1 701 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.
  • 3 633 cas de paralysie de Bell signalés, 52 % attribués aux vaccins de Pfizer, 40 % à Moderna et 8 % à J&J.
  • 861 syndromes de Guillain-Barré, avec 42 % des cas attribués à Pfizer, 30 % à Moderna et 28 % à J&J.
  • 2 355 rapports d’anaphylaxie où la réaction a mis en danger la vie du patient, a nécessité un traitement ou a entraîné la mort.
  • 1 672 infarctus du myocarde.
  • 13 733 troubles de la coagulation sanguine aux États-Unis. Parmi ceux-ci, 6 166 attribués à Pfizer, 4 914 à Moderna et 2 653 à J&J. 4 131 cas de myocardite et de péricardite dont 2 532 cas attribués à Pfizer, 1 408 cas à Moderna et 181 cas au vaccin contre la COVID de J&J.

Les troubles cardiaques représentent 20 % des 1,2 million d’accidents signalés après la vaccination COVID, selon les données du VAERS. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur les 12 304 décès signalés aux États-Unis au 1er avril 22, 17 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 21 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 59 % chez des personnes dont les symptômes sont apparus dans les 48 heures suivant la vaccination.

Aux États-Unis, 561 millions de doses de vaccin COVID avaient été administrées au 1er avril, dont 331 millions de doses de Pfizer, 211 millions de doses de Moderna et 19 millions de doses de Johnson & Johnson (J&J). on peut néanmoins supposer que les accidents graves et les décès survenus plus tard dans les semaines suivant la vax n’ont pas été répertoriés pour insuffisance de preuve sur la cause à effet, sans l’argument de poids de la chronologie rapprochée. Mais les auteurs de l’article regrettent l’absence de prise en compte et d’enquête sur des cas plus tardifs

Un homme de 34 ans meurt deux semaines après avoir été vacciné par Pfizer, les CDC n’ont pas enquêté

Un homme de 34 ans est décédé subitement, deux semaines seulement après avoir reçu sa première dose du vaccin COVID de Pfizer, des suites d’une dissection aortique aiguë qui touche habituellement les hommes âgés de 60 à 70 ans.

Au The Defender, la mère de Victor Castillo Simoes, Henrietta, a déclaré que le seul symptôme de son fils était la douleur thoracique qu’il a ressentie peu avant sa mort.

Après sa mort, Henrietta a déclaré que les tests avaient permis d’exclure les facteurs génétiques susceptibles d’avoir causé la maladie cardiaque, et qu’un chercheur prestigieux travaillant avec la famille partageait sa conviction que le vaccin avait déclenché l’événement.

Dans le cas de nombreuses histoires de blessures liées aux vaccins rapportées par The Defender — y compris celle de Simoes — les dossiers médicaux ne sont pas disponibles pour les personnes qui meurent soudainement après avoir reçu un vaccin COVID et qui ne se sont pas rendues à l’hôpital pour y être soignées.

Selon le site web VAERS, cela signifie que le CDC ne donne pas suite à ces décès signalés.

Les conseillers de la FDA en matière de vaccins discutent de la diminution de l’efficacité des vaccins et ignorent les personnes souffrant de complications post vaccinales.

Le Dr Peter Marks, directeur de la division vaccin de la FDA, le Center for Biologics Evaluation and Research, a admis au cours de la réunion que la quatrième dose de vaccin approuvée la semaine dernière était une « mesure palliative » — en d’autres termes, une mesure temporaire à mettre en œuvre jusqu’à ce qu’une solution adéquate soit trouvée à l’avenir.

Pourtant Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur général de l’OMS a prévenu[3]:

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel… Des programmes de rappel sans discernement ont toutes les chances de prolonger la pandémie, plutôt que d’y mettre fin ».

Pfizer a secrètement engagé plus de 600 personnes pour traiter les rapports de blessures liées aux vaccins

Des documents récemment publiés, obtenus par le biais d’une demande au titre de la loi sur la liberté d’information, ont révélé que Pfizer a embauché environ 600 employés supplémentaires à temps plein pour traiter les rapports d’événements indésirables au cours des trois mois qui ont suivi l’autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin COVID-19.

La société a déclaré qu’elle prévoyait d’embaucher un total de 1 800 personnes supplémentaires d’ici la fin juin 2021, selon les documents.

L’analyse de documents de 10 000 pages publiée le 1er avril 2022 par la FDA montre qu’au 28 février 2021, 42 086 rapports de cas (25 379 confirmés médicalement et 16 707 non confirmés médicalement) contenant 158 893 événements indésirables ont été reçus de 63 pays.

La plupart des effets indésirables signalés concernaient les « classes de systèmes d’organes »

les événements de réactogénicité comprenant les troubles généraux et les anomalies au site d’administration (51 335), les troubles du système nerveux (25 957), les troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif (17 283) et les troubles gastro-intestinaux (14 096).

« Malgré ces résultats, Pfizer a déclaré à la FDA que son vaccin était “sûr et bien toléré chez des adultes en bonne santé âgés de 18 à 55 ans, sans aucun résultat inattendu en matière de sécurité”. »

Pfizer savait que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin COVID

Comme l’a rapporté The Defender le 6 avril, les documents de Pfizer publiés le 1er avril confirment également que Pfizer savait que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin COVID de la société pour prévenir les maladies graves.

Lors d’une discussion avec les co-animateurs de “Rising” Robby Soave et Ryan Grim, Kim Iversen a identifié ce qu’elle a appelé la “première bombe” dans les documents : le fait que “l’immunité naturelle fonctionne, et Pfizer le sait”.

Iversen a déclaré que les données des essais cliniques ont montré que les personnes ayant déjà été infectées par la COVID ne présentaient aucune différence de résultats par rapport à celles qui avaient été vaccinées.

Dans l’essai limité, aucun des vaccinés ou des personnes ayant déjà été infectées n’a souffert d’une maladie grave telle que définie par le CDC ou la FDA.

Les données ont également montré que les taux d’infection étaient “statistiquement identiques” chez les personnes vaccinées et celles présentant une immunité naturelle.

Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi un effet indésirable, quel que soit le vaccin, de remplir un rapport en suivant ces trois étapes.

La source originale de cet article est The Defender

Copyright © Children’s Health DefenseThe Defender, 2022

Nicole Delépine
  1. [1] « We may not be able to demonstrate sufficient efficacy or safety of our COVID-19 vaccine and/or variant-specific formulations to obtain permanent regulatory approval in the United States, the United Kingdom, the European Union, or other countries where it has been authorized for emergency use or granted conditional marketing approval »[]
  2. [2] 21 % des décès signalés au VAERS après les injections contre la COVID sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination. (mondialisation.ca)
    La source originale de cet article est The Defender Copyright © Children’s Health Defense, The Defender, 2022[]
  3. [3] https://www.france24.com/fr/sant%C3%A9/20211222-l-oms-affirme-que-les-doses-de-rappel-ne-mettront-pas-fin-%C3%A0-la-pand%C3%A9mie[]
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article concernant la bureaucratie du système de santé publié en 2018 sur agoravox    RAPPEL TOUJOURS D ACTUALITE

 

Dès l’année 2002, les professeurs Even et Debré alertent « À tous, il rappelle que la médecine doit être sobre, humaine, fondée sur le cœur, le savoir, l’expérience et la raison et centrée sur chaque malade particulier et non pas une démarche technologique d’ingénieurs centrée sur les maladies en général. Hier la première du monde, notre médecine ne sera bientôt qu’un champ de ruines : dépenses galopantes ; urgences débordées ; pléthore extravagante d’hôpitaux souvent délabrés et sous-équipés ; pénurie sévère et désengagement des infirmières et des médecins ; prolifération d’un cancer administratif et informatique envahissant ; manque de lits pour les convalescents, les vieux et les handicapés ; sous-utilisation de la médecine de ville, mais prévention et dépistage des grands fléaux et des cancers quasi-inexistants ; surmortalité masculine précoce insupportable ; formation médicale continue en panne et pervertie par l’industrie ; aide au tiers-monde inexistante, etc.  » (réf. n° 8)

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Santé démocratie et argent magique. Le Hold up de la médecine par la bureaucratie au service de la finance. Le rôle des Agences régionales de santé.

 

A la suite de l’altercation entre le président et des soignants du CHU de Rouen en avril 2018, il nous a semblé nécessaire de rappeler une nouvelle fois quelques pistes pour remettre l’argent de la santé là où il devrait être et libérer le carcan qui étouffe médecins et soignants. Rendre la liberté de soigner, meilleur moyen de lutter contre les déserts médicaux.

Car si le président cherche l’argent, peu lui ont finalement répondu, comme si le problème ne pouvait pas être résolu. Comme après un attentat, maintenant on pleure nos morts aux urgences, mais on refuse de traiter le mal a sa racine. On s’apitoie sur les médecins (espèce en voie de disparition) et les autres soignants en burnout ou suicidés, les patients victimes étant le plus souvent invisibles. Une prise de conscience est nécessaire, et il faut dénoncer les causes pour y remédier.
Le traitement existe : nécessite une forte volonté politique et surtout un choix de société.
Les élus de droite ou de gauche, toujours embourbés dans les fausses solutions (maisons de santé qui resteront vides etc.. ) qui s’empareraient de ces pistes auraient un boulevard pour gagner la sympathie des français. En effet les citoyens commencent à réaliser que le péril se rapproche d’eux et de leurs familles qui demain, en cas d’urgence, attendront plusieurs heures sur une chaise ou un brancard, quitte parfois à mourir avant d’avoir seulement vu un médecin. A moins que le plafond de l’hôpital ne leur tombe sur la tête (comme à Marseille,9 avril 2018).

Et pendant ce temps-là à l’assemblée et au sénat, on discute du sexe des anges ou presque. De la possibilité d’inscrire dans la Constitution le droit à l’avortement (et bientôt à l’euthanasie probablement). Mme Veil a pourtant inscrit ce droit il y a plus de trente ans et Mr Leonetti a poursuivi avec sa loi sur la sédation définitive… Pulsions de mort d’une société déliquescente soumise à la haute finance ? Nos élus devraient pourtant constater que bien que le principe de précaution soit inscrit dans la Constitution, cela ne les a pas empêché de voter l’obligation vaccinale pour des nourrissons sans qu’aucun « essai clinique » n’ait démontré l’innocuité d’une inoculation groupée, ni l’âge adéquat pour soumettre un bébé à 73 valences en même temps ( groupés dans 11 vaccins). Pourtant au-delà du doute nécessaire[1], le rapport italien sur la vaccination des militaires devrait faire réfléchir ..

La médecine va mal, et chacun sait aujourd’hui que nous n’exagérons pas, que tous les appels au secours des médecins et soignants dès les années 2012 et surtout 2015 étaient plus que justifiés[2]. Les 50 000 manifestants soignants, réunis le 15 mars 2015 dans Paris, avant le premier vote de l’abominable loi Touraine, n’ont pas réussi à réveiller le peuple. Délicatement bercé et berné par les promesses de tiers payant, savamment relayées par les médias aux ordres, il a dormi jusqu’à aujourd’hui, jusqu’à ce que quelques-uns ne s’effondrent définitivement aux urgences ou devant leur téléphone au SAMU.

Qu’est-ce qui a changé entre l’époque où le système de santé français était au premier rang mondial (vers 1998) et le naufrage actuel ?

Le hold-up de la médecine par la bureaucratie 

Avant 1996 et la création des ARH[3], agences régionales d’hospitalisation, le maire était de droit le président du conseil d’administration de l’hôpital local et le préfet de département (et la direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS) placé sous son autorité), exerçait la tutelle des établissements de santé assurant le service public hospitalier et la tutelle des établissements médico-sociaux.

Il gérait aussi la permanence des soins et pour partie la question des urgences via un comité départemental, le CODAMU.[4] [5] Officiellement les orientations nationales de santé publique fixées par l’état devaient se décliner sous la responsabilité du préfet, mais il voyait cela de loin sans s’immiscer dans les « choix » médicaux. Les élus locaux avaient encore un poids (relatif car les réformes développées depuis le début des années 80 avaient déjà commencé le travail de sabotage avec les lois de 1984 sur le statut des médecins devenus « praticiens hospitaliers, la loi de 1991 créant la double hierarchie, séparant médecins et paramédicaux. Nous y reviendrons à une autre occasion).

 Le coup de massue fut la création des ARH en 1996, qui donne de nouvelles armes aux technocrates pour définiitivement priver les médecins de liberté de soigner.

L’état centralisateur a voulu créer une « autorité dédiée afin de rendre plus lisibles les actions dans le domaine de l’hospitalisation et de « concentrer suffisamment de pouvoirs administratifs  ». Il l’exprime clairement !

Elimination des représentants élus dans la gestion des hôpitaux de leur commune ! Trop proche de la plèbe et incapable de fermer leur hôpital de proximité efficace, utile même si pas toujours rentable ! Les ARH sont placées sous la tutelle du ministère de la santé et sous le contrôle économique de l’Etat constituées sous la forme de groupement d’intérêt public (GIP) associant des personnes publiques compétentes dans le domaine de l’hospitalisation : l’Etat (préfets, DRASS et DDASS), organismes d’assurance maladie (caisses régionales et les unions régionales des caisses crées dans la même ordonnance que celle instituant les ARH).

Les ARH sont chargées des missions de planification et d’allocations des ressources hospitalières. Les ARH, et c’est là l’innovation, reçoivent une véritable délégation de pouvoir à l’imitation des recteurs et des préfets, pour mettre en œuvre la politique régionale d’offre de soins hospitaliers, d’analyser et coordonner l’activité des établissements de santé publics et privés, de contrôler leur fonctionnement et de déterminer leurs ressources (article L6115-1 CPS.). Fini les pouvoirs des chefs de service, des compétences MEDICALES.

 

Puis l’ordonnance du 4 septembre 2003 a encore renforcé les pouvoirs des directeurs des ARH, leur transférant un certain nombre d’attributions alors détenues par les préfets.

 

C’en est fini de la liberté de gestion médicale des hôpitaux publics et privés qui marchait si bien : la multiplication des administratifs se développe de plus en plus à partir de 1995 avec la mise en place des SROSS, schémas régionaux d’organisation sanitaire et sociale.

Elle avait largement commencé entre les années 1975 et 95 : l’hôpital Hérold dans lequel je fus chef de clinique en 1973 comportait près de 400 lits gérés par une quarantaine d’administratifs. La fusion en 1988 des hôpitaux Herold + Bretonneau à Paris s’accompagne d’une réduction de lits se limitant à 360 lits environ à l’ouverture (donc beaucoup moins que les deux établissements réunis, et ils seront gérés par près de 400 personnels administraifs non médicaux. Avec la création des ARH, le pouvoir décisionnaire de ces administratifs va croitre et embellir.

 

A partir de cette époque du premier SROSS et la création des ARH, commence la chasse aux petites maternités (moins de 300 accouchements par an) malgré la défense courageuse de leurs médecins, personnels et citoyens. Les manifestations se multiplient d’un bout à l’autre de la France, de la Corrèze aux Ardennes en passant par la Normandie, etc… sans unir leurs efforts malheureusement. Les comités de défense des petites maternités ont dû mal à porter leur parole au-delà des locaux et bien sûr le plan national tente de réduire leurs doléances à des conditions locales ..

 

Des drames commencent à arriver avec des accouchements dans des voitures ou en hélicoptère lorsque la neige allonge les trajets. En même temps que les maternités et peut-être de façon moins visible, les lits de psychiatrie, de chirurgie disparaissent dans tout le pays, y compris dans la grosse Ile de France. Bref, le maillage territorial de la santé est progressivement détricoté. Les français ferment les yeux, sauf lorsque leur maternité est menacée et que cette catastrophe devient visible. Alors on manifeste localement mais on a du mal à unir les luttes..

 

Les directeurs des ARH, nommés par décret en conseil des ministres, exercent leurs attributions au nom de l’Etat[6], sont chargés de définir par activité et équipement les territoires de santé, de se prononcer sur le retrait d’autorisation ou sur la modification de son contenu, de créer les établissements publics de santé, (…) conclure les contrats de concession pour l’exécution du service public hospitalier, passer les conventions relatives à la santé mentale, prendre la décision d’admission à participer au service public hospitalier. Ces directeurs tout puissants, médecins ou non ne peuvent évidemment pas connaitre tous les besoins des diverses villes, des spécialités multiples et sont trop souvent sous influence de lobbies politiques, financiers, associatifs ou autres.

 

La multiplication des partenariats public privé va fondamentalement modifier l’exercice hospitalier public et le concept même de service public, à partir du moment où les enjeux financiers deviennent prioritaires devant les préoccupations médicales. Et ce sont les directions administratives qui de fait en décident !

 

L’introduction en Bourse des puissants laboratoires pharmaceutiques qui vont fournir les médicaments innovants, de certaines structures privées d’hospitalisation[7], la création de sociétés type start-up par des hospitaliers du public vont également troubler les contours du tableau hospitalier depuis le début du nouveau siècle. Tout ceci sous le « contrôle de l’ARH ».

 

 

 Les décisions d’activité médicale échappent alors aux chefs de service, aux médecins et aux soignants, d’autant que les directeurs d’ARH ont un pouvoir quasi absolu malgré les commissions qui l’entourent. Dès 2002 les pr Even et Debré alertent les élus, les médecins et les citoyens sur la suradministration déjà qui ruine l’hôpital.[8]

 

2002 : « Aux malades, ce livre raconte les risques et les maladies d’aujourd’hui et la vie des médecins et des infirmières qui les soignent. (..) Aux médecins, il tente de faire comprendre la confusion incroyable d’un système qui les paralyse et pourquoi il ne fonctionne pas comme il devrait. C’est ici une invitation à la mobilisation et l’action. Aux élus, il dénonce la politique centralisée, menée depuis 25 ans, purement administrative et comptable, à courte vue, sans lucidité ni courage, en mêlant gaspillages insensés et restrictions injustifiées. » À tous, il rappelle que la médecine doit être sobre, humaine, fondée sur le cœur, le savoir, l’expérience et la raison et centrée sur chaque malade particulier et non pas une démarche technologique d’ingénieurs centrée sur les maladies en général. Hier la première du monde, notre médecine ne sera bientôt qu’un champ de ruines : dépenses galopantes ; urgences débordées ; pléthore extravagante d’hôpitaux souvent délabrés et sous-équipés ; pénurie sévère et désengagement des infirmières et des médecins ; prolifération d’un cancer administratif et informatique envahissant ; manque de lits pour les convalescents, les vieux et les handicapés ; sous-utilisation de la médecine de ville, mais prévention et dépistage des grands fléaux et des cancers quasi-inexistants ; surmortalité masculine précoce insupportable ; formation médicale continue en panne et pervertie par l’industrie ; aide au tiers-monde inexistante, etc. Tout peut être pourtant sauvé à budget constant. À condition de « refonder » tous ensemble le système. L’heure des replâtrages est passée. Les auteurs proposent ici un vaste plan global et cohérent, au service de la médecine et des patients.  »

Quelle clairvoyance dans ce texte écrit y a 16 ans déjà. Et depuis cette période, le train a continué à dérailler, à foncer dans le mur. Tout ce qui était écrit dans ce livre s’est poursuivi, aggravé jusqu’au Titanic actuel. Comme disait un internaute, le patron du Titanic a tenté de changer de cap devant l’iceberg, trop tard certes. Mais en santé, actuellement on continue les mêmes recettes (pourquoi changer ce qui ne marche pas) avec l’arrogance d’un petit milieu dans sa bulle qui ne sait ni écouter, ni voir ..

Les ordonnances Juppé ont cassé l’hospitalisation publique et privée, la privant de sa liberté de soigner, de s’organiser, de gérer localement et non de très loin déjà, des bureaux feutrés où le café et le thé agrémentent les réunions entre gens bien élevés qu’il ne faut pas contrarier, si on tient à son poste[9].
Néanmoins la médecine libérale, hors hospitalisation, disposait encore d’une certaine marche de manœuvre, malgré la pression de plus en plus forte des caisses de sécurité sociale chargées de les mener par la baguette sur l’obéissance aux recommandations de prescription. C’était encore trop.

 

 Naissance des ARS et mort programmée de la médecine de ville.

Les ARH vont devenir les ARS via la loi Bachelot de 2009 [10] , dont la main mise va s’étaler largement sur tous les secteurs de la médecine française sans exception. Ce nouveau régime juridique est « marqué en tout point par la transversalité entre l’hospitalier, le médico-social et l’ambulatoire, par la démocratie sanitaire et par la lisibilité de la politique de santé en région ».

Comme le reste de la politique, on est de plus en plus plongé dans Orwell et le nouveau langage qui modifie le sens des mots. Citons les plus célèbres  : « La guerre, c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force. »

La démocratie sanitaire est une vaste plaisanterie à l’heure où les médecins généralistes et spécialistes hospitaliers public ou libéraux sont privés de toute liberté de soigner. Quant aux soignés, ils sont menu fretin, jamais reçus au ministère, malgré des manifestations importantes ou des grèves de la faim répétitives. Le fossé se creuse entre autorités de l’état replié sur lui-même , y compris à l’échelle des ARS et les citoyens.

Les ARS [11] ne sont en aucun cas indépendantes, comme on le prétend parfois. Elles sont le bras armé du ministère, comme les autres préfectures : délégation de pouvoirs, autonomie renforcée, pouvoirs renforcés, aucun lien hiérarchique avec le préfet de région.

Les pouvoirs du nouveau Directeur Général d’ARS sont considérables. Leur apparition marque la disparition ciomplète des pouvoirs des préfets sur les questions de santé. La loi HPST dans son article 129 présente l’organisation de l’ARS[12] dont la mise en place constitue une véritable fusion entre organismes différents comprenant des personnels de statuts différents.[13]

Argent magique, avez-vous dit ?

«  Les ressources de l’agence sont constituées par une subvention de l’Etat, des contributions des régimes d’assurance maladie ; des contributions de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie, des ressources propres, dons et legs ; sur une base volontaire, des versements de collectivités territoriales ou d’autres établissements publics, des crédits du fonds pour la modernisation des établissements de santé publics et privés dans des conditions définies par décret ». Bref pour l’essentiel nos impôts.

 

Le personnel des agences (une par région) comprend, des fonctionnaires, des personnels mentionnés au 1° de l’article, des agents contractuels de droit public, des agents de droit privé régis par les conventions collectives applicables au personnel des organismes de sécurité sociale.

 

Le directeur de l’agence a autorité sur l’ensemble des personnels de l’agence. La grande révolution achevée par cette loi complète celle engagée avec les ARH et constitue un « véritable hold-up de tout le secteur médical par la technocratie ».

 

Le rôle des médecins et cadres de santé en tant que tels est nul, même si leur nombre n’y est pas négligeable. En peu de temps, ils sont conditionnés à remplir des tableaux excel, à faire du « reporting » à longueur de journée, dont beaucoup diront qu’ils ne savent pas à quoi ils servent[14]La culture du chiffre est devenue le dieu de la gestion managériale dirigée circonstance aggravante par des non médecins pour lesquels ce qui convient au patient est une entité théorique, apprise dans les écoles à des années-lumière de la réalité du terrain.
Tentons de ne pas rire (jaune) en lisant les objectifs des ARS :

 

« L’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé (cet indicateur est intégré dans le contrat entre l’Etat et l’ARS, indicateur choisi sans médecins de terrain évidemment)

La réduction des inégalités territoriales »

(en supprimant toutes les structures de proximité, Orwell encore).

L’amélioration de l’efficience du système de santé.

 

Traduisons-les ! EFFICIENCE = sous, fric, finance, Bourse, business, notre nouveau dieu à tous !

 

L’objectif avoué étant de diriger les hôpitaux et tous services de santé comme des entreprises. Les tableaux d’activité de nos services ressembleront rapidement comme deux gouttes d’eau, à ceux d’une entreprise de vente de logiciels ou de machines à laver.

 

Le Dieu Argent, via bénéfices-pertes, a envahi nos murs autrefois sensibles à la misère humaine. Ce n’est pas encore la start-up, mais cela va arriver quelques années après la loi Bachelot, l’hôpital géré par les robots, le médecin augmenté, et l’intelligence artificielle étant le rêve éveillé de nos dirigeants actuels.

 

Missions des ARS

« Les missions confiées aux ARS sont extrêmement larges. Elles sont véritablement responsables de l’organisation des soins sur la région et tout particulièrement, c’est là leur grand défi, de la cohérence des prises en charge ».

Cohérence de la logique financière basée sur le principe fusion- acquisitions dignes de Renault ou Citroen et décidée loin des professionnels de terrain. Médecine oubliée au passage, directeurs d’hôpitaux sous les ordres du directeur d’ARS, y compris l’apparemment puissant directeur général de l’APHP à Paris sous les ordres directs du directeur général de l’ARS.

 

A quoi servent ces couches successives de direction, par exemple, à l’aphp directeur du site hospitalier, du GH groupement hospitalier, du siège et de l’ARS.. enfin du ministre, en vous épargnant les directeurs adjoints, secrétaires généraux à chaque niveau et la déclinaison en directions diverses ; par exemples personnel médical, paramédical, informatique, PMSI, travaux, finances, etc. Avec aussi leurs adjoints etc … d’où le mammouth hospitalier technocratique.

Certains commentent le remplacement des ARH par ARS ainsi : « On aura remplacé la confusion d’antan par la lourdeur d’un établissement public souvent poussif, et plus centré sur lui-même et ses « problèmes domestiques » que sur ses missions[15]. Alors que l’on avait choisi une logique professionnalisée, d’aucuns soutiennent aussi qu’il fallait pousser la logique jusqu’au bout et confier ces agences à d’authentiques professionnels de la santé  ».

Une grosse administration dès le début.

Plus de 9000 agents présents dans les ARS au 1er janvier 2011 dont 84% de personnes issues du réseau État et 16% du réseau assurance maladie. Cette bureaucratie qui se renforce est très loin du terrain et ceux qui en sortent sont noyés au milieu de juristes, ingénieurs, géographes, etc., tous respectables, mais pas médecins ou soignants. Vite isolés, ils n’auront aucune efficacité comme plusieurs d’entre eux nous l’ont expliqué directement.

Un gros budget puisqu’on cherche l’argent : expliquons où il est passé !

En 2011, les budgets des 26 ARS s’évaluent environ à 1 milliard d’euros (800 millions proviennent de l’Etat et 200 millions de contributions des régimes d’assurance maladie) : 625 millions d’euros pour les dépenses de personnels, 101 millions d’euros pour les dépenses de fonctionnement, 1,7 million d’euros pour l’investissement et 286 millions pour les crédits d’intervention.

Le budget de fonctionnement de l’ARS Ile-de-France, la plus importante en nombre de personnel, est de 150 millions d’euros en 2011. Par ailleurs, les ARS régulent plus de 40 milliards d’euros de crédits en 2011, là aussi source d’économies importantes si on acceptait de revoir les attributions décidées par ces ARS.

 

En 2017 à titre d’exemple (choisi chez les ARS transparentes …), l’ARS Auvergne-Rhône Alpes comprend 1 000 collaborateurs, dont plus de la moitié dans les délégations départementales avec un budget annuel de fonctionnement et d’intervention de 490 M€.[16]pour une population de 7,7 millions d’habitants

l’ARS Hauts-de-France est constituée de plus de 650 professionnels du secteur de la santé. Troisième Agence de France au regard de la population couverte, agit pour la santé des 6 millions d’habitants de la région. L’Agence alloue directement plus de 4 milliards d’euros par an au système de santé en région, parmi les 18 milliards d’euros de dépenses consacrées à la santé dans les Hauts-de-France. Sur quels critères, ces attributions de fonds publics ?

Total des crédits consommés en 2016 58 607 302 € HAUTS DE France :personnel 47 165 717 € ;fonctionnement 6 675 973 € ; intervention 4 058 664 € ; investissement 706 948 €.

Au total, actuellement après fusion de certaines ARS en raison de la diminution des régions ; on est passé de 26 à 17 ARS, dont 13 en métropole et 4 outre-mer 9000 personnels médecins, administratifs, juristes ingénieurs, géographes, etc. [17]

 

Ainsi cette technocratie qui prive les médecins et soignants de leur liberté de soigner, coûtent des milliards d’euros de fonctionnement à l’état et distribuent d’énormes sommes d’argent sans base médicale réelle. La chute de notre système de santé au niveau mondial démontre l’échec de ce modèle.
Revenir à une organisation du système de santé centré sur le soin décidée localement par les soignants et approbation des soignés et citoyens via leurs élus locaux, ne laissant à l’administration que son rôle propre de gestion des ressources permettrait de larges économies, et de plus de réintégrer les personnels dans les structures médicales et d’en embaucher d’autres, singulièrement dans les EHPAD, ces établissements pour personnes agées dépendants tellement dans la misère. Ce retour d’argent au médical permettrait aussi de rémunérer les libéraux selon les critères européens (moyenne de la consultation du généraliste en Europe : 50 €)) et ainsi de lutter contre les déserts médicaux en rendant les conditions de vie des médecins plus correctes.

Surtout rendre la main aux professionnels de santé dans les décisions et organisations médicales permettrait de retrouver le sens de nos missions et de donner goût aux plus jeunes pour s’installer.

Sans liberté de soigner, pas de solution. La médecine est un art fondé sur la science dans lequel le serment d’Hippocrate est essentiel et inapplicable actuellement. En dehors de ceux qui acceptent la robotisation au prix de leur état psychique conduisant au burn out et au suicide, les autres s’échappent progressivement de la profession, déplaquent, trouvent un poste salarié loin du patient, s’expatrient ou exercent un autre métier comme ce chirurgien transplanteur devenu glacier ! Quelle tristesse !

 

Oser aborder la dérive gestionnaire des ARS serait un bon début comme source d’argent magique. Il y en a d’autres, dont nous avions donné une liste non exhaustive dans « soigner ou obéir »[18] et dans d’autres tribunes comme celle sur la suppression de la liste en sus publiée sur agoravox.

Nous y reviendrons bientôt.


[1] Le grand Claude Bernard est bien oublié, depuis que l’hôpital qui portait son nom à Paris a disparu, de fait …

[3] ordonnance n°96-346 du 24 avril 1996 sous le règne de Juppé et malgré la longue grève de fin 95. Chirac cède sur le statut des cheminots mis en cause aujourd’hui mais discrètement autorise la promulgation des ordonnances qui cassent la sécurité sociale et ce n’est qu’un début. Les manifestants croient à leur victoire, en fait on les détrousse déjà.

[5] La DRASS, (ancien article R1421-5 du CSP.) service extérieur du ministère de la santé, sous l’autorité du Préfet de région. Elles avaient pour mission d’assurer la déclinaison des orientations du gouvernement, tant concernant le secteur sanitaire, médico-social et social (planification, allocation des ressources).

[6] compétences prévues à l’ancien article L6115-1 (à l’exclusion des compétences propres de la commission exécutive COMEX, sorte de conseil d’administration de l’Agence)

[7] La générale de santé, etc..

[8] Avertissement aux malades, aux médecins et aux élus

ombres et lumières sur la médecine De Philippe Even, Bernard Debré Cherche Midi 2002

[9] que les jeunes médecins ne s’étonnent pas de la discordance des retours des ARS au ministère avec leur pratique quotidienne. Il ne faut pas déplaire si on tient à son coin de tranquillité. Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire, un vieux principe…

[10] La loi HPST, l’ordonnance de coordination du 23 février 2010 et le décret instaurent et précisent le régime juridique des ARS.

[11] Sous autorité du ministère de la santé de la sécurité sociale et des personnes agées et handicapés

[12] l’agence régionale de santé est substituée à l’agence régionale de l’hospitalisation, au groupement régional de santé publique, à l’union régionale des caisses d’assurance maladie, à la mission régionale de santé ainsi que, pour la partie des compétences transférées, à la caisse régionale d’assurance maladie

[13] Responsable de conflits multiples entre les anciens services..

[14] Dès les années 2010 et 2011 les syndicats révèlent de grandes souffrances des personnels transférés qui ne savent plus à quoi ils servent, rapidement mis sous l’autorité d’un jeune loup sortant de l’ENA et obéissant aux ordres du tout puissant directeur général ne rendant de fait de compte à personne sauf au ministre dont il est l’éxecutant.

[15] Dominique Legendre, décembre 2010, cahiers hospitaliers

[16] -« gére » 130 000 professionnels de santé

– Le lien avec 4 CHU et près de 470 établissements sanitaires publics et privés et 2 200 établissements et services médico-sociaux

[17] Source ARS PACA

[18] Editions Fauves 2016 G et N Delepine

 

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ATTENTION NOS VOTES ENGAGENT AUSSI VOTRE SANTE

 

Si nous insistons sur les dangers d’une vaccination obligatoire anticovid toujours expérimentale qui pourrait être imposée en cas de renouvellement du mandat de l’actuel président ou d’une élection de V. Pécresse  voir de Jadot et Hidalgo, c’est que les malheurs s’accumulent chez les vaccinés ! 

Certains,  de force pour continuer à gagner leur vie (personnel soignant, pompiers etc.  les MALGRE EUX), d’autres  sous pression pour poursuivre un sport ou plus simplement pour se sentir « comme tout le monde » ne doutant pas de la bonne foi des médecins de plateaux (ignorant leurs liens étroits avec big pharma) ou de nos gouvernants, ne pouvant imaginer leur indifférence par rapport aux conséquences potentielles. D’importants effets toxiques ont été rapportés : des décès immédiats mais aussi de nombreux problèmes cardiaques, des AVC etc..

 

 

 

Nous insisterons ici sur les conséquences morbides sur les menstruations et l’érection, souvent tues.

Très tôt on a entendu des « rumeurs » sur les femmes et leurs règles, sujet tabou par excellence au moins chez les plus âgées ou très jeunes. Aussi lorsqu’une femme de 75 ans ménopausée depuis un quart de siècle, s’est remise à saigner, il est évident que les médecins ont nié tout lien de cause à effet, si même on a osé OSE (!)  évoquer cette absurde hypothèse.. Les rumeurs ont enflé car les complotistes sont terribles et veulent écouter les citoyens. Et quand des bébés au sein de leur mère vaccinée (éliminant de la protéine spike dans son lait probablement) ont présenté des saignements vaginaux, on a hurlé au délire.

Mais les observations s’accumulant, des citoyens ont pris en main le problème que les scientifiques ou soi disant tels ont refusé de voir. Une  jeune femme  Mélanie, prise dans le drame des troubles des règles constatant que des amies avaient aussi des soucis, a créé un groupe instagram « où est mon cycle »  (#ouestmoncycle)  qui a rapidement gonflé.

Une audition de la créatrice du compte instagram dédié à cet effet secondaire, de maitre Diane Protat (qui défend les hôtesses de l’air et les pilotes contraints à la vaccination ) et du docteur Laurence  Kayser  a été réalisée au parlement européen en présence d’une député européenne  Virginie Joron, qui tente d’obtenir une commission d’enquête sur les possibles effets délétères des « vaccins ». Mais même cela est quasiment blasphématoire.

🔴 Table ronde sur les effets de secondaires qui seraient liés aux vaccins Covid ! – YouTube

Prenez le temps d’écouter cette table ronde qui décrit bien les troubles ressentis par de nombreuses victimes de l’ expérimentation, des jeunes femmes qui ne peuvent plus dormir tant elles doivent se changer devant l’importance des saignements, ou pire ne peuvent plus sortir de la douche. La gynécologue belge témoigne de la grande difficulté de soigner certaines de ses patientes pour lesquelles les traitements classiques ne marchent pas et dont certaines sont obligées de passer à l’hystérectomie  pour cesser de souffrir le martyre et de saigner.

Si la femme a déjà trois enfants, ce n’est que moindre mal encore que l’hystérectomie ne soit pas une opération anodine. Mais quid de la femme qui voulait faire des FIV pour lesquelles on lui a imposé le vax et qui a présenté ces saignements majeurs aboutissant à une ablation de son utérus. Vaccinée pour bénéficier de la chance de procréer et se retrouver sans utérus … Acceptable ?

Et ces gamines de treize ans réglées régulièrement qui voient leurs règles disparaitre ou au contraire se retrouvent comme leurs ainées devant des saignements les coinçant à la maison plusieurs jours de suite. Tout ça pour quoi alors que cette injection n’a aucun intérêt à leur âge et ne protège personne de la contamination. Que les mamans soient inquiètes de leur fertilité à long terme est logique et personne ne peut leur répondre. ET NE FAITES PAS « VACCINER » VOS ENFANTS !

Témoignez auprès de Mélanie ou d’une des autres intervenantes. Le tabou doit être levé.

Quant aux hommes devenus impuissants après une ou deux injections, qu’ils osent parler même si c’est encore plus difficile que pour la gente féminine.

 

et Maitre Protat devant le sénat où l’audience n’est malheureusement pas publique ..Maître Diane Protat 137.000 effets indésirables

Vidéo : Me Diane Protat s’exprime suite à l’audition de l’OPECST du Sénat – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

Des radiologues s’étonnent de la fréquence des examens des testicules demandés chez leurs patients depuis la vaccination. Thromboses multiples sont découvertes….

 

Il faut faire cesser ces injections à haut risque dans divers domaines  (les cardiopathies chez les jeunes etc..) exiger des enquêtes parlementaires et dans cette attente imposer un moratoire.

Bientôt le temps d’un vote national puis de législatives. Les candidats doivent se positionner clairement sur ce sujet majeur pour l’avenir de nos enfants et de l’humanité.

 

TEMOIGNAGES RECUS A LA SUITE DE LA PARUTION DE L ARTICLE DANS RL

Covid : Injections responsables de troubles menstruels et d’impuissance – Riposte Laique

mais aussi cet article sur internet

Covid-19 : des femmes accusent le vaccin, « l’ablation de l’utérus, c’est la seule solution qui se présentait à moi » (anguillesousroche.com)

 

« J’ai fait ma deuxième vaccination début août et quinze jours après j’ai commencé à avoir des douleurs extrêmement fortes qu’on peut comparer à des douleurs d’accouchement, non-stop jour et nuit et qui duraient pratiquement trois semaines », raconte Julie.

Pour Julie, l’apparition des premiers symptômes peu de temps après l’injection est la preuve que la survenue brutale de sa maladie est liée au vaccin.

« L’adénomyose est une maladie qui évolue lentement donc c’est surprenant », fait remarquer Julia Maruani, gynécologue libéral et hospitalier à Marseille, qui ajoute prudemment « maintenant, il y a des mécanismes qu’on ne connaît pas sur la vaccination et les effets sur l’utérus… »

La jeune femme est membre du collectif « Où est mon cycle », qui a été auditionnée lundi au Parlement européen et qui sera entendu mercredi par une commission d’études sur les effets secondaires des vaccins au Sénat.

 

UN TEMOIGNAGE D’ UN CABINET MEDICAL DE GENERALISTE

 

« Une jeune patiente de 19 ans, en pleine santé, jamais de soucis de règles, a fait 2 doses de Pfizer pour pouvoir prendre le train des vacances l’été 2021. Aménorrhée de 6 semaines puis ménorragies continues après la 2e dose pendant plus de 3 mois entrainant une anémie, une asthénie majeure. Découverte d’un adénome hypophysaire et d’une hyperprolactinémie.

Sa gynéco affirme qu’elle voyait depuis quelques mois -après vaccination- une quantité de jeunes femmes présentant de tels troubles menstruels similaires avec d’immenses difficultés à faire remonter et accepter par la pharmacovigilance.

Aucun traitement efficace sur ces troubles ( ni progestérone, ni pilule, ni Spotof)

Quel avenir pour la fertilité de cette jeune femme ?

Un collègue médecin généraliste m’a fait part de sa colère : une de ses patientes en PMA de 35 ans qui avait une bonne réserve folliculaire en février 2021 s’est retrouvée ménopausée ( plus aucun follicule dans les ovaires à l’ echo) dans les suites immédiates de la vaccination en juin 2021.

Une de mes patientes enceinte de 7 mois s’est fait vacciner sur les conseils de sa gynécologue. Résultat , myalgies, asthénie, toux, douleurs abdominales. Accouchement Ok mais covid périnatal pour la mère et l’enfant retrouvés en soins intensifs tous les deux.

Le bébé à un mois de vie présentait des marbrures généralisées anormales inquiétantes et un petit poids de naissance.

 

La filleule d’un ami  vaccinée en juin, enceinte en juillet de son premier enfant a dû faire une interruption thérapeutique de grossesse en septembre à 14 SA pour anencéphalie du foetus et graves malformations ( alors que le taux de folates était parfaitement normal chez cette jeune femme en pleine santé de corpulence normale)

 

Un de mes patients travaillant aux pompes funèbres de notre secteur – qui souhaite rester anonyme-  a témoigné auprès de moi car il était choqué : Il  a géré un bébé mort-né entre janvier et juin, et curieusement 8 morts-nés presque à terme de la grossesse entre juin et septembre 2021…Du jamais vu dans toute sa carrière ! Il constatait également une augmentation de 30 % des décès de personnes entre 45 et 60 ans l’été 2021…Du jamais vu non plus.

 

Ces signaux sont très alarmants, sachant qu’un cabinet médical est un échantillon représentatif de la population générale... »

 

 

 

ET MEME UNE REACTION D’HANOUNA SUR TMTP

Cyril Hanouna consterné de voir Éloïse, 32 ans, victime du vaccin : « C’est inadmissible, elle n’aurait pas dû se faire vacciner ! » (lemediaen442.fr)

 

Quelles seront les conséquences sur l’ensemble de la population de ces injections imposées par la pub ou les institutions et l’autoritarisme  du président en poste ? Qui va évaluer leurs responsabilités pour avoir fait croire avec les medias aux ordres à l’innocuité des vax et à leur efficacité ?

 

 

 

Trop de malheurs engendrés. Il faut que cela cesse  et il faut changer de gouvernance !

 

ET POURQUOI L’ENSEMBLE DES CANDIDATS N’ONT-ILS PAS PROFITE DE LEURS SPOTS TV POUR DEMANDER L INTERRUPTION DE CES INJECTIONS DANGEREUSES ET INUTILES ?

ATTENTION L OBLIGATION VACCINALE EST ENCORE DANS LES TUYAUX DE L’UE

ET LES COMMANDES DE VAX SE MULTIPLIENT A NOUVEAU

 

https://ec.europa.eu/info/law/better-regulation/have-your-say/initiatives/13375-extension-of-the-regulation-about-the-digital -certificat-COVID-de

NOUS DEVONS RECONQUERIR NOTRE INDEPENDANCE ET FAIRE STOPPER DE TOUTE URGENCE CES INJECTIONS EXPERIMENTALES