LETTRE OUVERTE A MR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, EMMANUEL MACRON

Cc A MR LE PREMIER MINISTRE, JEAN CASTEX

lettre ouverte au president de la république 7 NOV 21 def

 

Le 7 novembre 2021

 

Nous supposons que vos équipes vous informent quotidiennement de l’évolution de l’épidémie covid. Néanmoins, au vu des chiffres officiels de santé publique France et du réseau sentinelles, nous nous permettons de vous adresser le point que nous avons établi, en tant que cliniciens, tant sur l’épidémie en Europe que dans notre pays.

Au vu de ces résultats, nous sommes convaincus que vous pourrez rassurer les Français afin qu’ils reprennent une vie de plus en plus normale, favorable à l’économie mais aussi à l’état psychologique de tous.  Nous vous remercions de votre attention.

 

L’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels.  Voici les éléments factuels (derniers chiffres de l’OMS et courbes de OurWorldinData)[1].

Mr Castex a donné les chiffres globaux d’IRA (insuffisance respiratoire aigüe) mais peu sont liés à covid (4 pour 100000). Les média citent les « décès du jour » mais omettent de relativiser par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts covid versus mortalité journalière en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux…

 

En France, le nombre de cas lié au covid est globalement bas et stable.

 

Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55000.

 Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,0009. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20000 cas) anglais (40000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité.

La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles[2] d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, réponse que donne le réseau sentinelle.

 

Les chiffres du réseau sentinelle montrent que l’épidémie covid est terminée

D’après le réseau sentinelle[3], l’incidence est inférieure  à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100.000 habitants en 2016)

 

Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas  aux infections liées au covid mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aigues (taux  fixé plus  bas qu’avant 2020).

 En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021) :

Publié le 03/11/2021

le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [3 ; 8]), ce qui représente 3 414 [1 816 ; 5 012] nouveaux cas de ´ COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3 802 ´ [2 429 ; 5 175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les ´ enfants entre 0 et 4 ans.

D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter une circulation des rhinovirus (hRV),

 virus respiratoire syncytial (VRS),

 métapneumovirus (hMPV) 

la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en ´ Ile-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en ´ Nouvelle-Aquitaine). » selon le réseau sentinelles. »

 

 

Les chiffres de mortalité de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France

Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2% de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.

En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’institut Pasteur, jusqu’ici toujours démenties par les faits.

 

Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021

Que ce soit en Belgique, Pays-Bas, Portugal, Danemark, Suède, Norvège, Islande, Allemagne, Espagne, Italie, Suisse, Grande-Bretagne, Irlande, Finlande comme l’illustrent les courbes de OurWorldinData covid tracées d’après les données de l’OMS.

 

 

 

 

 

 

 

Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial

Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère que la précédente. C’est le cas du variant delta dont la forte circulation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.

Les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens démontrent que l’épidémie est terminée en Europe de l’Ouest et en Scandinavie.

 

 

Merci Mr le Président d’avoir parcouru ce document qui démontre que la crise covid est passée dans notre pays. Nous restons à votre entière disposition pour tout complément d’information.

Avec notre respect.

N. Delépine pédiatre cancérologue et G. Delépine chirurgien oncologue et statisticien

 

 

 

 

[1]  Tous les chiffres et courbes publiés sont authentiques. Les données sont les données officielles publiées par l’OMS que chacun peut vérifier en tapant OMS Covid Dashboard suivi du nom du pays. Les courbes ne font que traduire graphiquement les données OMS ; elles ont été pour la plupart publiées par OurWorldinData et peuvent également être retrouvées en tapant OurWorldinData covid suivi du nom du pays en anglais

[2] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est défectueux. Le confinement n’a aucune base scientifique (lemediaen442.fr)

[3] Le réseau sentinelle officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la population

La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante publique France, le Centre national de référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et le             laboratoire de virologie de l’Université de Corse Lire la suite

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Lettre ouverte aux députés et sénateurs appelés à voter le 19 oct 2021 la prolongation injustifiée de « l’état d’urgence »

par Nicole et Gérard Delépine, médecins

INJUSTIFIÉE, car épidémie terminée

« Le gouvernement présentera un texte de loi au Parlement le 19 octobre pour “maintenir pendant plusieurs mois encore, jusqu’à l’été, la possibilité de recourir” au pass sanitaire, a précisé Gabriel Attal, au cas où la situation sanitaire venait à se dégrader. Il sera débattu à l’Assemblée nationale mercredi 19 octobre sous l’intitulé Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire. “On demande au Parlement de nous laisser la possibilité de déclencher tout ou une partie des mesures de freinage”a expliquéle ministre de la Santé Olivier Véran mercredi matin, interrogé sur France Info. Ainsi, le recours au confinement, au couvre-feu et autres mesures de restrictions serait également possible jusqu’au 31 juillet 2022. »[1]

Dans ce texte, le porte-parole reconnaît lui-même que l’épidémie est terminée.

Pourquoi une procédure accélérée alors que l’épidémie est terminée dans notre pays ?

 

À vous, nos représentants élus, nous demandons solennellement de nous rendre nos libertés fondamentales et à ne pas céder à l’autoritarisme de l’exécutif

 

Vous avez pu constater que la France livrée aux décisions arbitraires du gouvernement reposant sur un conseil de défense sortant de la limite constitutionnelle, n’a eu que des résultats très décevants, parmi les plus mauvais mondialement, y compris en Europe. La Suède tant décriée pendant de longs mois par nos médias a conservé l’essentiel des libertés avec finalement un taux de décès inférieur au nôtre de 20 % (1478/Million d’habitants contre 1760/M), sans confinement, sans fermeture des écoles, de la vie, sans masque, sans vaccination obligatoire, sans victimes collatérales et sans perte majeure de son PIB (-2,5 % contre 8,5 % en France) etc.

 

Il est temps que les décisions législatives vous reviennent et que les propositions de loi puissent être discutées avec le temps nécessaire sur des dossiers étayés de données avérées.

Comme beaucoup de professionnels de santé, nous sommes d’ailleurs à votre disposition pour toute information objective basée sur les chiffres de l’OMS et des agences sanitaires nationales. Nous nous permettons de vous apporter ici quelques précisions quant à l’absence de justification médicale de ce pass qui aggrave la situation sanitaire, là où il est encore imposé.

 

LE PASSE DIT SANITAIRE, LIBERTICIDE, N’A AUCUNE JUSTIFICATION MÉDICALE, CAR LE PASS AUGMENTE LES CONTAMINATIONS

 

Les données avérées internationales prouvent que le pass est médicalement nocif

Quelques pays européens ont imposé le pass à leur population depuis plus de trois mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que le pass, loin de ralentir les contaminations, entraîne une augmentation de celles-ci. Les courbes actualisées en ce 15 octobre 2021 le démontrent une nouvelle fois.

 

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22.

 

La Grèce a imposé le passe en espérant ainsi rassurer les touristes et sauver sa saison touristique.

Malheureusement l’obligation du pass a été suivie par la multiplication par 4,5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %).

Mais aussi la population, car depuis le pass la mortalité a été multipliée par 2.

 

 

 

La Tchéquie a instauré le pass début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

 

En Roumanie le pass a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Cette envolée des contaminations a été suivie quelques jours plus tard de l’explosion de la mortalité quotidienne alors qu’elle est proche de zéro dans les pays sans passe comme le Suède, la Biélorussie, la Croatie, la Belgique…

 

Au Danemark, la mise en route du pass a été suivie par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.) Depuis lors, le Danemark a supprimé le pass.

 

Ainsi dans tous les pays champions du pass, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations et souvent de la mortalité quotidienne.

 

L’échec du pass a été également constaté dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un pass.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur pass sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters d’apparaître. Malgré le pass sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

Comment peut-on expliquer ces échecs avérés du pass partout où il est utilisé ?

 

Le concept (officiel) du passe repose sur l’hypothèse que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

 

 

Les porteurs de pass, victimes de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec pass aux Pays-Bas comme en Catalogne. Cette pratique favorise les infections, en s’opposant par ailleurs à l’immunité collective acquise pendant la vie « normale » comme le démontre l’absence de contaminations des pays libres comme le Texas. Les matches avec grande foule n’y déclenchent aucun cluster, comme les énormes manifestations en Europe où les peuples se libèrent du pass et du masque le plus souvent, retrouvant un écosystème normal.

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le pass, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie, de la Croatie et leur situation sanitaire actuelle est bonne.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne entraînant d’énormes réactions populaires comme en Italie dans de nombreuses villes, et le blocage des ports italiens.

 

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le pass l’accélère et la pérennise et donc qu’il est donc urgent, ne serait-ce que pour des raisons sanitaires, de le supprimer.

POURSUIVRE LA SURVEILLANCE PAR LE PASS EST UNE DÉCISION EXCLUSIVEMENT POLITIQUE ET LIBERTICIDE

L’épidémie est terminée comme en atteste quotidiennement et depuis des mois le réseau sentinelle. Il n’y a plus d’épidémie ! G. Attal l’a confirmé !

Comme l’a établi Laurent Toubiana, l’épidémie est terminée depuis fin novembre 2020 Depuis cette date, le taux d’incidence, le seul fiable, celui du Réseau sentinelles a été sans discontinuer ridiculement bas. Cette semaine, il est de 3 cas/100 000 h :

« Surveillance de la Covid-19 :

la semaine 40 (2021s40), le taux d’incidence des cas d’IRA[2] dus au SARS-CoV-2 (Covid-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants, ce qui représente 2 181 nouveaux cas de Covid-19 ayant consulté un médecin généraliste.

Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s39 : 3 [2 ; 5], soit 2 247 [1 425 ; 3 069] nouveaux cas d’IRA dus à la Covid-19 vus en médecine générale). »[3] Ce taux est établi à partir d’examens cliniques, non faussé à partir des tests PCR non fiables.

LA DISCUSSION DE L’OPPORTUNITÉ DE LA PROLONGATION DE L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE EST PUREMENT POLITIQUE

Et la liberté du gouvernement de légiférer via décrets en toute impunité et sans contrôle parlementaire, comprenant la poursuite de l’exigence du pass, ne relève en aucun cas de santé, de sanitaire, mais exclusivement de politique, avec privations de liberté.

Ces sujets ont déjà largement été débattus : le pass conduit à une discrimination en matière de droit à la liberté de mouvement, jouissance d’autres droits et libertés fondamentaux, tels que, le droit au respect de la vie privée et familiale ou encore le droit à la liberté de réunion.[4]

Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen :

« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

« La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6).

La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

Ne doutons pas que les tribunaux soient déjà inondés de plaintes pour discrimination et en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique, dite vaccin, encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes. Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’état, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

Le droit international érigeant un principe de non-discrimination

Le pass s’oppose donc à ce droit reconnu par la France. L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

« La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ».

Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

« Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

Le Défenseur des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21. Fondamentalement, il remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent.

 

Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté

dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ».

Cette question soulevait de nombreuses questions de respect des droits de l’homme et devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

Cette position trouve un écho dans sa résolution 2351 « Vaccins contre le Covid-19 : considérations éthiques, juridiques et pratiques », qui présentait comme élément permettant de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins le fait « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ».

Cette mesure liberticide, présentée par le gouvernement comme libératrice a des relents orwelliens suscite une opposition grandissante semaine après semaine. Comme le dit l’économiste Éric Verhaeghe :

« la mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’État donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. »[5]

À quoi correspond cette volonté du gouvernement de prolongation du pass en l’absence d’épidémie comme le prouve le réseau sentinelle, sinon à une extorsion de consentement à la pseudo vaccination et à la troisième dose et les suivantes ?

« le gouvernement s’occupe de contraindre les personnes encore non vaccinées de le faire : ce vendredi 15 octobre a marqué la fin du remboursement des tests PCR et antigéniques de confort. “Les tests ne seront payants que pour les personnes qui ne sont pas du tout vaccinées et qui n’ont pas d’ordonnance”, a expliqué Olivier Véran sur France Info le 13 octobre. De plus, les autotests négatifs réalisés sous supervision médicale ne sont plus reconnus comme preuve d’obtention du pass sanitaire. »[6]

UNE EXTORSION DE CONSENTEMENT AUX PLUS FAIBLES

Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse. La transparence sur les contaminations post vaccinales et l’existence niée de formes graves chez les vaccinés ainsi que les effets secondaires relatés par les agences paraît indispensable auprès de vous, nos représentants. Est-ce le cas ? Et que justifie une nouvelle fois une « procédure accélérée » alors que le gouvernement lui-même reconnaît « la baisse de la circulation du virus » ?[7]

CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS

pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles. Il semble que la commission des lois aille dans ce sens et nous félicitons ses membres.

« Pass Sanitaire : Les Députés Desserrent Momentanément Le Dispositif En Commission Des Lois » C.M. avec AFP Le 15/10/2021

Le projet de loi « vigilance sanitaire » sera-t-il rétabli à sa version initiale le 19 octobre lors de son passage en séance à l’Assemblée ?

« Momentanément, les députés ont allégé vendredi les conditions de mise en œuvre du controversé pass sanitaire, prenant ainsi le gouvernement à rebrousse-poil, avant le passage du projet de loi “vigilance sanitaire” dans l’Hémicycle, mardi » Contre toute attente, les députés, qui examinaient cet énième texte sur l’état d’urgence sanitaire en commission des Lois, ont adopté un amendement du député La République en marche (LREM) Pacôme Rupin, opposant de longue date à cet outil qu’il juge « dangereux » pour les libertés publiques. »

L’amendement de Pacôme Rupin, adopté de justesse par 8 voix contre 7, prévoit de circonscrire l’utilisation du pass sanitaire géographiquement et en fonction de l’évolution de l’épidémie de Covid. Il propose que le recours au pass soit territorialisé et qu’il ne puisse être mis en œuvre qu’en cas de taux d’incidence supérieur ou égal à 50, sur une semaine continue, dans le département concerné.

« Il est important de mettre des critères. On ne peut pas laisser une totale faculté au gouvernement d’utiliser cet outil sans un minimum de règles. Je pense qu’on peut avancer, peut-être pas sur celui-là (son amendement adopté, NDLR) mais sur un encadrement un peu plus strict », a déclaré Pacôme Rupin.[8]

Ceci est déjà un premier pas, mais bien sûr nous espérons, de vous, nos élus, une récupération totale de nos libertés, la suppression de la loi d’urgence qui comme le montre la disparition de l’épidémie, n’a plus aucune légitimité sanitaire.

Merci de votre écoute.

Avec nos respects.

 

  1.  L’internaute.com Sarah Ponchin, Mis à jour le 15/10/21 PASS SANITAIRE. Une troisième dose de rappel du vaccin Covid-19 sera-t-elle bientôt obligatoire pour tout le monde afin d’avoir un pass sanitaire valide ? Le gouvernement pourrait l’envisager à long terme.[]
  2.  IRA : insuffisance respiratoire aiguë, non spécifique du Covid[]
  3. https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/[]
  4. Pass sanitaire : l’équilibre délicat entre libertés et protection de la santé publique | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) []
  5. Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) []
  6. Pass sanitaire : bientôt une troisième dose pour tous ? (internaute.com) []
  7.  De l’aveu même du porte-parole de l’Elysée, l’épidémie est terminée et toutes ces mesures existeraient, car : « Gabriel Attal a martelé qu’il existait toujours un “risque non négligeable de reprise de l’épidémie”. Actuellement c’est plutôt une épidémie de tuberculose qui se profile pourtant…[]
  8. https://www.bfmtv.com/politique/parlement/pass-sanitaire-les-deputes-desserrent-momentanement-le-dispositif-en-commission-des-lois[]

 

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Coronavirus. Le port du masque: un mimétisme sacrificiel. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

 

Il est temps de  réfléchir à toutes ces mesures imposées de façon apparemment aléatoires et en fait très organisées pour nous « déshumaniser ».

lisez en détail l’intéressante analyse de

Mondialisation.ca, 01 octobre 2021
Mieux et plus on comprend ce qui dévaste ce monde, et mieux on résiste. Cet article est un maillon de notre sortie collective de l’Hypnose induite volontairement par les dirigeants mondialistes et leurs inféodés de trop nombreux pays occidentaux.
 Quelques courts extraites ici

« Le port du masque comme « jouissance d’organe. »

 

Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position « d’être un » avec l’intentionnalité du pouvoir. Il est une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible. 

Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.

Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.

Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement lié à l’existence commune. 

Le covidisme impose l’obligation de se taire. Le langage doit être vidé de sa fonction. Ce qui doit gouverner relève d’une mécanique mimétique. Le port du masque est alors un refus de ce qui fait de nous des êtres humains, c’est une négation du rapport à l’Autre. 

Dans la schizophrénie, en l’absence de la possibilité d’utilisation de l’édifice du langage, c’est l’organe qui « fait fonction.» Ici, c’est le masque, faisant fonction d’organe, qui se substitue au processus de symbolisation. Dans l’organisation de la pandémie, comme dans toute manifestation relevant de la psychose, il n’y a pas de parole et le corps devient un « lieu d’effraction de jouissance . » Les organes s’érotisent. Dans ce cas, Lacan parle de « jouissance d’organe .»(8) 

 

 

 

Le masque : un objet de regard.

 

Afin de produire une double réaction interdépendante : l’automutilation du moi et le rejet de l’autre, le masque fait disparaître le sujet parlant. Sa fonction n’est, en aucune manière, d’être un objet de protection contre le virus, mais bien une obligation d’incorporer le regard du pouvoir sur la Chose. Le geste sacrificiel abolit alors la parole et libère la pulsion de mort. L’impossibilité de questionner l’obligation du port du masque institue une primauté de la violence sacrificielle. 

L’incorporation du regard, imposée par le port obligatoire, relève d’un rapport mimétique, tel que le définit René Girard. Le mimétisme engage les individus dans le jeu du regard. Les objets extérieurs ne doivent plus être vus. C’est l’intime, l’objet du regard des porteurs du masque, incarné par l’image du coronavirus, qui doit être regardé. Il ne s’agit plus de voir et de désirer « ça-voir », mais simplement de jouir de ce qui est exhibé : de la maladie qui est en nous. 

Ainsi, le masque coronavirus n’est plus, comme dans la mythologie grecque, le masque d’une personne qui porte une parole, mais est, au contraire, un simple support de « ce qui me regarde ». « Ça regarde », mais ce qui est regardé n’est pas le visible. La médiatisation de l’évènement ne montre pas des objets, mais ouvre un champ infini au regard.(9) Le regard lui même devient, sans médiation, l’objet que l’on regarde. Il n’y a plus de scène, qui sépare le visible et l’invisible, mais « l’ob-scène » qui les fusionne (10).

Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position « d’être un » avec l’intentionnalité du pouvoir. Il est une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible. 

Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.

Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.

Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement lié à l’existence commune. 

….

 

« Le champ d’intervention du pouvoir n’est donc plus celui du langage, mais bien de celui d’un « mur de langage, » appelé généralement « communication« . Celle-ci nous ordonne, non de percevoir l’évènement, mais de l’éprouver. Tout en rendant celui-ci impensable, le port du masque nous renvoie constamment au « trou du regard« . Il présentifie une rencontre avec un innommable, celui de la jouissance. La gestion de la pandémie nous intime qu’il n’est plus possible d’avoir un corps et nous réduit à être un corps « joui » par les injonctions du pouvoir. 

En portant le masque, les individus se soumettent à un jeu de miroirs reflétant la présence de l’invisible, celle du coronavirus. L’obligation du port du masque révèle ainsi la « Chose même. » Elle dévoile ce dont il s’agit : une violence fondatrice, celle de la naissance d’un nouvel ordre mondial, dont l’édification suppose d’abord une destruction de tout rapport social. 

Il s’agit, pour le pouvoir, non seulement d’effectuer cette rupture, mais aussi de se prémunir contre tout retour possible. Nous devons faire face, non seulement, à ce qui est le socle d’une société capitaliste, la fétichisation des rapports sociaux, mais aussi à ce qui spécifie notre actualité, la chosification du vivant. Nous devons faire face, non seulement au fait que, dans une société capitaliste, les rapports sociaux fonctionnent comme des rapports entre choses, mais que les individus, supports de ces rapports, deviennent eux-mêmes des choses. Cette transmutation ne se limite plus seulement à leur force de travail, mais porte sur l’entièreté de leur existence.

Une « volonté de jouissance. »

Le port généralisé du masque est une machine mimétique imposant une violence unanime, celle du rejet de l’Autre. Cette dernière occupe la place du sacré. Elle est une violence purgative de notre humanité.  « 

 

toutes les références sont dans l’article original et complet de mondialisation.ca

Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid

 

Des survivants de l’Holocauste se joignent aux avocats, au Dr Fleming et au professeur Luc Montagnier pour exiger que la Cour pénale internationale inculpe les gouvernements du monde de crimes contre l’humanité, de génocide et de violations du Code de Nuremberg.

 

le 26 septembre 2021

Les survivants des camps de concentration nazis ont envoyé une lettre à la Cour pénale internationale pour une « demande d’enquête » conjointe à celle d’avocats qui ont soumis des preuves, ainsi que les déclarations sous serment du professeur Luc Montagnier et du Dr Richard Fleming, alléguant que les gouvernements du monde entier et leurs conseillers sont complices de génocide, de crimes contre l’humanité et d’infractions au Code de Nuremberg.

L’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum ont soumis une « demande d’enquête » de 27 pages à la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye en avril 2021, alléguant que le gouvernement britannique et ses conseillers étaient complices de crimes contre l’humanité en le nom de Covid-19.

 

Le CSAPE en France a porté plainte à la CPI.[1] [2] [3] [4]

 

 

Une nouvelle demande depuis l’été soumise à la CPI en raison de la grande quantité de nouvelles preuves et d’informations révélées au cours des derniers mois. Les avocats disposent désormais de preuves convaincantes que « le virus SRAS -CoV-2 et les « vaccins » Covid-19 sont des armes biologiques délibérément envisagées lancées en deux phases sur des peuples du monde sans méfiance ».

L’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum ont confirmé qu’elles étaient désormais jointes par des avocats qui ont déposé des demandes d’enquêtes similaires auprès de la Cour pénale internationale, en France, en République tchèque et en Slovaquie.

 

L’équipe d’avocats et d’experts a reçu le soutien des survivants de l’holocauste,

 

Ceux-ci ont adressé une lettre à la CPI décrivant leurs graves préoccupations concernant la réponse mondiale à Covid-19 et les dangers des injections expérimentales de Covid-19 utilisées pour prétendument combattre le virus.

La lettre envoyée est signée par trois des très rares survivants des camps de concentration nazis, qui ont vécu de première main les horreurs de l’Holocauste, choqués et consternés par le mal qu’ils voient se dérouler une fois de plus, cette fois dans le monde entier – et en particulier, le mépris total apparent pour le Code de Nuremberg.

Ces mêmes survivants ont déjà remis une lettre à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et au régulateur britannique des médicaments (MHRA) exigeant l’arrêt du déploiement du vaccin Covid-19 par suite de la décision de la FDA d’accorder l’approbation complète des nouveaux lots de vaccins Pfizer Covid. -19

Les survivants ont accusé les autorités de ne pas avoir correctement informé les populations des risques liés aux vaccins et d’avoir violé le droit au consentement libre et éclairé en vertu du Code de Nuremberg.

 

Dans leur lettre à la CPI, les survivants de l’Holocauste, Vera Sharov,[5] [6]Moshe Brown et Hillel Handler ont réitéré les appels lancés par l’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum pour que le programme de « vaccins » COVID- 19 soit arrêté avec effet immédiat, afin de mettre fin au très grand nombre d’événements indésirables souvent graves qui apparaissent.

Les survivants de l’Holocauste ont ainsi conclu leur lettre :

 

« Nous, en tant que survivants des camps de concentration, avons été témoins de nombreuses atrocités commises pendant la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait plus jamais, mais pourtant cela se reproduit. Quelle prise de conscience accablante : combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur de prendre le « vaccin » ?

 

 Combien ont survécu à l’Holocauste mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ? Combien ont-elles survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau mais n’ont-elles pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

 

Nous vous implorons donc d’accepter la « demande d’enquête » conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête urgente sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code par de nombreux responsables, qui ont déclenché tant de morts inutiles et d’accidents graves et continuent de le faire quotidiennement.

 

La Cour pénale internationale, en tant que tribunal de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes les plus odieux et de traduire les auteurs en justice.

 

Il est en votre pouvoir de sauver des vies.

 

 

Nous savons que plusieurs accusations criminelles ont été rejetées par vous pour des motifs formels. Indépendamment des détails techniques, vous les avez lus.

 

Nous savons que vous êtes conscients, à cause de ces affirmations, que des millions de personnes sont accidentés et handicapés et meurent à cause de la soi-disant vaccination.

 

Par exemple, les avocats irlandais ont fourni les chiffres des victimes en Israël et l’accès à la base de données de l’EMA sur les effets secondaires. C’était il y a plus de trois mois. Depuis lors, davantage de personnes sont décédées, sont tombées malades en phase terminale ou ont été blessées (voir ci-dessus).

 

 Et vous n’êtes pas intervenus. Vous êtes averti en outre du fait que les enfants sont désormais de plus en plus parmi les victimes de la « vaccination ».

 

C’est à vous de punir les actes délibérés contre la vie et l’intégrité physique,

Chaque jour que vous gaspillez sans rien faire, des vies humaines sont détruites, des vies d’enfants.

 

Nous exigeons la fin immédiate de la campagne de vaccination et une enquête immédiate sur les preuves que vous ne pouvez pas ignorer.

 

 Les gens pardonneront une erreur. Un meurtre délibéré de leurs enfants – non.

 Faire le bon choix.

 L’histoire ne vous regarde pas d’un bon œil si vous manquez à votre devoir de le faire. Sachez que nos yeux et ceux des peuples du monde sont braqués sur vous – la responsabilité vous appartient. Vous savez ce qui se passe, vous avez les preuves et maintenant vous devez agir. »

 

 

 

 

 

 

 

 

VERSION INTEGRALE DE LA LETTRE DES SURVIVANTS

 

 

« A Monsieur le Procureur de la Cour pénale internationale, M. Karim Khan

 

 Nous soussignés, en tant que survivants des camps de concentration nazis ayant subi des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous nous sentons obligés de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre pour soutenir la « demande d’enquête » conjointe soumise à la Cour pénale internationale au nom du Royaume-Uni (143.21), de la Slovaquie (133.21), de la France (271/21) et de la République tchèque (326/21) le 12 août 2021.

 

 

Le contenu de la « demande » comprend des déclarations sous serment de témoins experts, le Dr Richard Fleming, le professeur Luc Montagnier et le Dr Kevin McCairn. Il est évident pour nous qu’une autre série d’événements horribles, touchant cette fois tous les peuples du monde, se déroule sous nos yeux.

 

Cependant, la majorité de la population mondiale ne se rend pas encore compte de ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé tel que celui-ci dépasse leur champ d’expérience.

 

 Nous, cependant, nous savons.

 

Nous nous souvenons du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous avons une impression de déjà-vu qui est si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres semblables. Les innocents menacés comprennent maintenant des enfants, et même des nourrissons.

 

En quatre mois seulement, les « vaccins » COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles réunis entre la mi- 1997 et la fin 2013, soit une période de 15,5 ans.

 

Et les personnes âgées de 18 à 64 ans qui étaient à peine menacées par le COVID-19 et qui, par conséquent, n’apparaissaient pas dans les statistiques de mortalité sur ou avec le COVID-19, représentent jusqu’à 80 % des enregistrements en tant que victimes de la  » vaccination « .

 

La base de données EudraVigilance rapporte que jusqu’au 18 septembre 2021, 24 863 décès et 3 691 366 blessures ont été signalés à la suite d’injections de quatre prétendus vaccins expérimentaux COVID-19.

 

En ce qui concerne les chiffres réels, le célèbre rapport Lazarus de Harvard Pilgrim Health Care Inc., publié en 2009, a révélé qu’en général, seul 1 % des effets indésirables des vaccins est signalé : « Les effets indésirables des médicaments et des vaccins sont fréquents, mais peu signalés. Bien que 25 % des patients ambulatoires subissent un événement indésirable lié à un médicament, moins de 0,3 % de tous les événements indésirables liés aux médicaments et 1 à 13 % des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont signalés. »

 

 

 

Nous vous demandons d’aider à arrêter immédiatement cette expérience médicale impie et criminelle sur l’humanité.

 

Ce que l’on appelle « vaccination » contre le virus Sras-CoV-2 est en réalité un empiètement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant l’immunisation de la planète entière n’a été accomplie en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain.

 

Il s’agit d’une expérience médicale à laquelle le code de Nuremberg doit être appliqué.

 

Les 10 principes éthiques contenus dans ce document représentent un code fondamental d’éthique médicale qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg afin de garantir que les êtres humains ne seraient plus jamais soumis à des expériences et procédures médicales involontaires, mais c’est pourtant exactement ce qui se passe actuellement dans le monde.

 

Nous vous rappelons ce qui suit.

 

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

 

(a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; qu’elle doit être dans une situation telle qu’elle puisse exercer le libre pouvoir de choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, de surenchère ou de toute autre forme de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet concerné pour lui permettre de prendre une décision compréhensible et éclairée.

 

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, celui-ci soit informé de la nature, de la durée et du but de l’expérience, de la méthode et des moyens par lesquels elle sera menée, de tous les inconvénients et dangers auxquels on peut raisonnablement s’attendre, et des effets sur sa santé ou sa personne qui pourraient résulter de sa participation à l’expérience.

 

(c) Le devoir et la responsabilité de s’assurer de la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. Il s’agit d’un devoir et d’une responsabilité personnels qui ne peuvent pas être délégués à une autre personne en toute impunité.

 

 

Re. (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les gouvernements et les médias répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contre-vérités jusqu’à ce qu’elles soient crues.

 

Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des personnes non vaccinées. S’il y a 80 ans, les Juifs étaient diabolisés en tant que propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui, ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus.

 

 

L’intégrité physique, la liberté de voyager, la liberté de travailler, toute coexistence ont été retirées aux gens afin de leur imposer la vaccination

 

. On incite les enfants à se faire vacciner contre l’avis de leurs parents.

 

Re (b) : Les 22 terribles effets secondaires déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental.

 

Ils sont les suivants :

 

Syndrome de Guillain-Barré

Encéphalomyélite aiguë disséminée

Myélite transverse Encéphalite/encéphalomyélite/méningo encéphalite/méningite/encépholapathie

Convulsions/épilepsies

Accident vasculaire cérébral

Narcolepsie et cataplexie

Anaphylaxie

Infarctus myocardique aigu

Myocardite/péricardite

Maladie auto-immune Décès Issues de la grossesse et de l’accouchement Autres maladies démyélinisantes aiguës

Réactions allergiques non anaphylactiques

Thrombocytopénie

 

Coagulation intravasculaire disséminée

Thromboembolie veineuse

Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires

Maladie de Kawasaki Syndrome inflammatoire multisystémique chez l’ENFANT

Maladie renforcée par un vaccin.

 

 

 

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé.

 

Entre-temps, des milliers d’effets secondaires sont enregistrés dans de nombreuses bases de données.

 

Tandis que les soi-disant numéros de cas (positifs de covid) sont diffusés dans des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires graves ni de la manière et du lieu où ils doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les décès et les effets indésirables enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans certaines bases de données.

 

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige :

 

 « Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérience ».

 

 La « vaccination » contre le COVID-19 s’est avérée plus dangereuse que la maladie COVID-19 pour environ 99% des humains.

 

Comme l’a démontré Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque face au virus. Les données montrent que des enfants qui ne courent aucun risque avec le virus ont eu des crises cardiaques après avoir été vaccinés ; en attendant la mise à jour depuis août 2021, plus de 15 000 ont subi des événements indésirables – dont plus de 900 événements graves.

 

Au moins 16 adolescents sont morts après avoir été vaccinés aux États-Unis. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons ces lignes.

 

Pourtant, le principe 10 du Code dit : « Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence supérieure et du jugement prudent qui sont exigés de lui, que la poursuite de l’expérience risque d’entraîner une blessure, une invalidité ou la mort du sujet expérimental. »

 

Selon les allégations, environ 52% de la population mondiale a reçu au moins une injection. La divulgation honnête du nombre réel de personnes blessées par les vaccins, de personnes en phase terminale et de personnes décédées dans le monde aurait dû être faite depuis longtemps.

Nous craignons qu’ils soient déjà des millions. En tant que survivants des camps de concentration, nous avons été témoins de nombreuses atrocités commises au cours de la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait jamais, pourtant cela se reproduit.

 

Quelle constatation accablante : Combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur à prendre le « vaccin » et n’ont pas survécu ? Combien ont survécu à l’Holocauste mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ?

 

Combien ont survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau mais n’ont pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

 

Nous vous implorons donc d’accepter la « demande d’enquête » conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code de Nuremberg par de nombreux auteurs, qui ont causé tant de morts inutiles et de blessures graves et continuent de le faire quotidiennement.

 

La Cour pénale internationale, en tant que juridiction de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes, les plus odieux, et de traduire leurs auteurs en justice.

 

Il est en votre pouvoir de sauver des vies.

 

Nous savons que plusieurs accusations criminelles ont été rejetées par vous pour des raisons formelles. Indépendamment des détails techniques, vous les avez lues. Nous savons que vous êtes conscient, en raison de ces accusations, que des millions de personnes sont blessées et meurent à cause de la soi-disant vaccination.

 

Par exemple, les avocats israéliens ont fourni les chiffres des victimes en Israël et l’accès à la base de données de l’EMA sur les effets secondaires. C’était il y a plus de trois mois. Depuis, d’autres personnes sont mortes, sont tombées en phase terminale ou ont été blessées (voir ci-dessus). Et vous n’êtes pas intervenu. Vous cautionnez en outre le fait que les enfants font désormais de plus en plus partie des victimes de la « vaccination ».

 

C’est à vous de punir les actes délibérés contre la vie et l’intégrité physique, et non de vous porter volontaire en acceptant de manière approbatrice l’atteinte à la vie humaine.

 

Chaque jour que vous gaspillez sans rien faire, des vies humaines sont détruites, des vies d’enfants.

 

Nous exigeons l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination et une enquête immédiate sur les preuves dont vous disposez. Les gens pardonneront une erreur. Un meurtre délibéré de leurs enfants – non.

 

 Faites ce qui est juste. L’histoire ne vous verra pas d’un bon œil si vous manquez à votre devoir de le faire. Sachez que nos yeux et ceux des peuples du monde sont braqués sur vous – la responsabilité vous incombe. Vous savez ce qui se passe, vous avez les preuves et maintenant vous devez agir.

 

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments distingués.

 

 

 Signé Moshe Brown ; Hillel Handler ; Vera Sharav Survivants des camps de concentration nazi

 

 

 

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Chers lecteurs, ne restez pas passifs après cette lecture si émouvante et douloureuse, dont on imagine l’effort des auteurs pour se replonger dans ces horreurs qu’ils espéraient ne plus voir.

Diffusez cette lettre et en même temps ces plaintes auxquelles vous pouvez vous joindre par l’intermédiaire de la CSAPE et informez vos élus, désinformés comme beaucoup de français par la propagande quotidienne.   Informez !

 

 Et écrivez aux sénateurs, qui peut-être, faute d’informations, risquent de voter une obligation vaccinale pour tous les Français.

 

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[1] Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens

Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 – Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22

Nous contacter : csape.sg@hotmail.com – site : www.csape.international

[2] Compte rendu sur la plainte à la CPI pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant SARS-CoV-2 et le vaccin covid19 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)  aout 21

[3] Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) 2 juillet 21

[4] Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[5][5] Voir aussi  Israeli Holocaust Survivor Vera Sharav and Dr Reiner Fuellmich on ‘Global Genocide’ – Bible Science Forum

[6] Israeli holocaust survivor Vera Sharav (public advocate for human rights and the founder and president of the Alliance for Human Research Protection (AHRP)).

 

RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA PLANDEMIE  (pandémie planifiée) COVID

 

VOLET 1

Les erreurs du rapport 9 de Mars 2020 de Neil Ferguson, justification fallacieuse des confinements

Depuis plus de 20 mois, la politique sanitaire française est décidée dans le plus grand secret[1] par le « conseil de défense » appuyé par un « conseil scientifique. Ce dernier est dominé par Simon Cauchemez, mathématicien modélisateur au sein de l’Institut Pasteur et élève de Ferguson de l’Imperial College.

La politique de santé s’appuie presque uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement frauduleuses, car basées volontairement sur des hypothèses du pire, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif et nous faire accepter la perte de nos libertés et la pseudo vaccination génique inefficace.

 

La folle prophétie de Neil Ferguson qui a justifié le confinement de Mars 2020 était fausse

Détaillée dans le rapport 9 de l’impérial College[2], cette simulation catastrophe prétendait que sans confinement les hôpitaux seraient partout débordés et qu’on compterait 500000 morts en France, comme en Grande Bretagne, 600000 en Allemagne, 70000 en Suède et 2 millions aux USA. Elle affirmait aussi que les mesures médicales traditionnelles (fermeture des frontières et isolement des seuls malades le temps qu’ils ne soient plus contagieux) ne serviraient à rien, qu’il fallait confiner à l’aveugle la population jusqu’à fin décembre 2021 pour imposer les futurs vaccins et/ou nouveaux traitements.

 

La plupart des gouvernements occidentaux ont pris ou voulu prendre cette prophétie pour une vérité et imposé à leurs populations des mesures liberticides contre- productives, telles que le confinement aveugle sans même en avoir vérifié la pertinence de la méthode de calcul, ni publié ce rapport préalablement à son application, empêchant ainsi toute discussion scientifique et tout débat démocratique.

 

La confrontation aux faits constatés révèle la supercherie de cette simulation

Le rapport 9 avait prédit qu’en l’absence de confinement la Suède verrait ses hôpitaux submergés et compterait 70000 morts en quelques mois. La Suède n’a pas confiné, ses hôpitaux ont pris en charge tous les malades qui en avaient besoin et après 19 mois d’épidémie (au 10/9/2021), comptait, d’après l’OMS, 14602 morts. La prophétie de Ferguson surestimait par plus de 500% le risque réel !

Même chose pour l’Allemagne.

La prophétie de N Ferguson prétendait qu’en l’absence de confinement de la population, « les mesures médicales classiques de quarantaine des malades seraient inefficaces, que les hôpitaux seraient débordés et qu’on compterait plus de 600000 morts ». L’Allemagne n’a jamais été confinée, au sens que ce mot a en France a rappelé Thomas Wieder, correspondant du  Monde dans ce pays. Au 10/9/2021 après 19 mois d’épidémie l’Allemagne comptait 92 553 morts attribuées au Covid. Là encore la prophétie de Ferguson a surestimé le risque réel par plus de 500% !

 

Une de ses élèves, Jasmine M GARDNER [3], a même prédit que sans confinement total et strict, la Suède compterait 100000 morts au 1/7/2020. En réalité au 1/7/2020, selon les données de l’OMS, la Suède sans confinement ne comptait que 5496 décès attribués au Covid (19 fois moins).

A ce niveau d’erreur on ne peut plus croire à une simple bévue, mais vraiment qualifier ce texte de « propagande Covid terroriste » d’autant que sa large diffusion dans les médias suédoises a largement participé à une tentative de pression sur l’agence sanitaire pour l’obliger à confiner.

 

Ces simulations ne traduisaient donc ni la réalité ni la science, mais constituaient seulement de mauvais scénarios de film catastrophe destinés à nous terroriser. En témoignent les hypothèses retenues pour son modèle : des index de mortalité par infection, multipliant par 2 à 3 les chiffres réels dans les différents groupes d’âge (pour les 10-19 : 0,006% au lieu de 0,002% et pour les 20-29 : 0,03% au lieu de 0,01%) et une forte surestimation du taux de reproduction R. En surestimant ces paramètres clefs de la simulation, Ferguson et ses élèves ont obtenu les prévisions apocalyptiques désirés par Bill Gates qui les finance, et les gouvernements qui obéissent.

 

 

La surestimation des risques est une constante des prédictions de Ferguson et une technique bien rodée des imposteurs

Lors d’un de mon premier stage d’interne en neurochirurgie, mon maître m’expliqua comment se créer une aura de sauveur. « Devant cette petite tumeur du cerveau facilement opérable, ne dis surtout pas aux parents qu’elle est facile à opérer, car en cas d’accident opératoire imprévu, ils pourraient porter plainte. Au contraire explique-leur qu’il s’agit d’une mauvaise tumeur, mal placée et que seule une chirurgie très difficile peut sauver le malade. Si un accident survient, ils ne se plaindront pas. Et si tout se passe bien, ils te considéreront comme le sauveur capable de chirurgie extraordinaire ».

Apparemment cette technique est utilisée par l’équipe de l’Imperial College. Ils prophétisent un futur apocalyptique et proposent « la solution ». Si leurs prédictions ont suffisamment surestimé le danger, ils pourront, après la crise, prétendre, que c’est grâce à l’application des mesures qu’ils ont proposées que la situation a évolué plus favorablement que ce qu’ils avaient prévu.

Les religions reposent sur la foi et le caractère immuable des crédos que personne ne peut discuter sans être qualifier d’hérétique.

La démarche scientifique, basée sur le doute fertile, consiste au contraire à confronter en permanence les faits observés aux hypothèses dominantes. Lorsque les faits avérés ne sont pas compatibles avec les hypothèses, celles-ci doivent être abandonnées. Mais l’équipe de l’Imperial College, dirigée par N. Ferguson ne tire pas de leçons de ses erreurs et se comporte en gardienne d’une nouvelle religion dont les dogmes sont indiscutables, plutôt qu’en scientifique désireuse de reconnaître et d’élucider les paradoxes.

 

Les erreurs passées de Ferguson très nombreuses ont été dommageables

En 1997, lors de la maladie de la vache folle, N. Ferguson avait prédit jusqu’à 150 000 morts en deux décennies. Vingt ans plus tard, en janvier 2017, on ne comptait que 223 victimes humaines dans le monde (dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France).

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante.

En 2005, N. Ferguson prophétisait qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait tuer de 5 à 150 millions de personnes dont 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 45.

En 2009, lors de la grippe H1N1, Ferguson avait prédit 8000 morts au Canada : il y en eut 428. En France, il avait prédit 20000 morts, il y en eut 323 (soit environ trente fois moins qu’une grippe habituelle).  Les mesures sanitaires prises en France sur la foi de cette prédiction fausse nous ont couté deux milliards d’euros et le vaccin Pandemix hâtivement mis sur le marché a été responsable de nombreux accidents neurologiques graves dont 450 narcolepsies sur l’ensemble de l’Europe, dont plus de 60 cas en France et d’une perte de confiance de la population dans les vaccins et en la parole publique.

Ces surestimations considérables des risques des maladies constituent une donc une caractéristique constante des prédictions de l’Imperial College. Mais Ferguson comme beaucoup de prophètes sait, que pour imposer ses mesures, il faut faire peur et donc prédire des cataclysmes. Si l’évolution est moins catastrophique qu’annoncée, il pourra alors s’en attribuer le mérite.

 

De nouvelles simulations bidons pour glorifier le confinement

De nombreuses études[4] rétrospectives d’auteurs indépendants des modélisateurs et des responsables des confinements ont évalué l’effet des mesures de confinements sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a démontré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie, qu’il s’agisse de l’étude danoise sur le Nord Jutland[5]   de l’étude néo- zélandaise[6] , de l’étude anglaise[7] , des analyses indiennes[8] [9], des études allemandes[10] [11], croate[12], des études des pays d’Europe occidentale[13]  et de toutes les autres études internationales basées sur les faits avérés[14] [15]dont celle particulièrement exhaustive de John PA Ioannidis [16].

Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont ceux d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle qui n’analysent pas les faits constatés, et espèrent ainsi s’exonérer de leurs responsabilités. Ils comparent leurs prévisions colossalement exagérées aux mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement du grand nombre de « morts évitées ».

Le mécanisme frauduleux de leurs études bidon a été  dévoilé dans un article de Nature[17], dans lequel les auteurs de l’Imperial College prétendaient ainsi avoir sauvé 3,1 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement.

Ils ne savaient apparemment pas que les Suédois n’ont jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai 2020 prouvait seulement que les prévisions de l’Imperial College surestimaient par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que si l’Allemagne ne confinait pas totalement, elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020.

L’Allemagne, qui n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué la technique classique d’endiguement, ne comptait, au 5 mai 2020, que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement qui n’a pas été pratiqué !

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour prétendre que la chloroquine était dangereuse. Dans cette publication fallacieuse, ce « Nature Gate », il n’y a pas eu fabrication de données mais le refus de regarder la réalité des mesures sanitaires réellement utilisées pour se glorifier des erreurs de la prophétie initiale ; il est très étonnant qu’aucun membre du comité de lecture de cette revue Nature, de bonne réputation, ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique[18] prétendant que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement.

Les erreurs de conception, le choix d’hypothèses péjoratives et les conclusions fausses de cette étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques, mais les médias mainstream en ont très peu parlé alors que la simulation biaisée de propagande avait été très largement diffusée.

 

Aucune de ces publications glorifiant les confinements n’a chiffré les dégâts considérables que les confinements ont causés sur le plan sanitaire (victimes collatérales des retards et absences de traitements, problèmes psychiatriques), scolaire et universitaire, économique (perte de PIB, aggravation des dettes publiques et du chômage), sur l’aggravation de la pauvreté dans les pays riches et de la faim dans les pays pauvres[19].

Certains auteurs estiment que les pertes d’années de vie causées par ces mesures tyranniques sont dix fois plus importantes que celles causées par le Covid19 seul.[20]

Toutes ces complications du confinement, étaient parfaitement prévisibles d’emblée, par tout médecin habitué à évaluer la balance Avantages/Risques des traitements qu’il propose. Le traitement des épidémies, comme les autres maladies, ne doivent pas être décidés par des astrologues mathématiciens ou des épidémiologistes qui ne quittent pas leurs bureaux[21] mais par des médecins qui traitent des malades !

 

Les simulations mensongères constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

Il ne faut pas se laisser abuser par l’aspect pseudo scientifique de ces simulations de circonstances que la propagande terrorisante du gouvernement nous impose. Elles ne sont pas plus fiables et beaucoup plus dangereuses que celles des astrologues traditionnels. Il est grand temps d’abandonner cette politique sanitaire délétère basée sur la peur et de la réorienter selon les règles de la médecine classique, d’après les faits avérés du monde réel.

[1] Aucun compte rendu détaillé des discussions tenues lors des réunions du conseil scientifique n’a été publié mais seulement des résumés d’avis ; pour le conseil de défense sanitaire c’est pire : manque de transparence  dans sa composition, contournement du Parlement, délibérations classifiées secret-défense obstruant le travail des enquêteurs de la Cour de justice de la République sur la gestion de la pandémie.

[2] COVID-19 Response Team Neil M Ferguson Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to

reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College https://doi.org/10.25561/77482 Page 1 of 20

[3]Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on

Swedish healthcare capacity https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf

 

[4] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »

[5] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936

[6] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.

[7] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020

https://arxiv.org/abs/2005.02090

[8] ] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[9] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260

[10]Thomas Wieland Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au COVID-19 en Allemagne 2020 novembre; 131: 104924.

doi: 10.1016 / j.ssci.2020.104924. En ligne du 21 juil.2020.

[11] T Wieland  Flatten the Curve! Modeling SARS-CoV-2/COVID-19Growth in Germany at the County Level Volume 7, Number 2, 2020, 43–83 journal homepage: region.ersa.orgDOI: 10.18335/region.v7i2.324l

[12]Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02861011

[13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19  https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;

[14] Philip Thomas Written evidence submitted by Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563

[15]Joseph Stroberg Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28 https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/

[16] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de COVID-19.   Eur J Clin Invest 2021 avril ; 51(4) : e13484. doi: 10.1111/eci.13484. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/

[17] S.Flaxman et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7Nature | www.nature.comAccelerated Article Preview

[18] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).

[19] Confinement et faim dans le monde Du Trends-Tendances du 15/10/2020 « Le confinement a sans doute causé bien davantage de victimes que la pandémie elle-même. »

[20] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.

doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.

[21]Aurélie Haroche, Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie Journal International de Médecine, 25 avril 2020

Effets catastrophiques et encore trop méconnus des injections géniques anticovid 19

 

 

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice » …

Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté alternant confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et au minimum de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien….

 

Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio …

 

Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les évènements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire voire indispensable pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs pour donner une idée de l’ampleur du sujet.

 

LE NOMBRE D’EFFETS INDESIRABLES DECLARES EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DEPASSE, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES.[1]

L’Etude d’Enzololo[2] de début aout rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

Vaccins anti-Covid :  depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes : pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-covid ont été autorisés :

le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

 Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

 

 

 Selon la VAERS :

La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées.  C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID. Les données VAERS publiées début aout par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.[3]

 

Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

 

Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées en date du 30 juillet :

139 millions de doses du vaccin de Moderna

193 millions de doses de Pfizer

13 millions de doses du vaccin Johnson &Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.[4] Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès etc..). Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

 

 

EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

  • 15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la COVID, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021 et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1505250) décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

  • Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1406840 et 1431289) décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1463061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1187918, 1382906 et 1242573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1420630, 1466009, 1225942, 1475434 et 1386841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1199455, 1388042 et 1420762).
  • 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

ont été attribués au vaccin de Pfizer.

  • 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.
  • 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

 

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID : AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITE

Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

 

Selon les CDC les chiffres sont comparables [5]

Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.[6]

Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

 

Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

 

Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

Selon l’étude des CDC[7], en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

 

L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas de raison d’hospitalisation, et il n’est pas possible de déterminer si l’hospitalisation était liée à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par le CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

 

Réactions les plus courantes liées à la myocardite

Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine[8], une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

 

RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PERICARDITE SIGNALES PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination.  Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP[9] le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la COVID à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la COVID l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de COVID pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la COVID. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la COVID aux États-Unis à demander une approbation complète.

 

ACCIDENTS PREOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

 

Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique :  suicide, tentatives de suicide -idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

 

On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique. « Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… » Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie.  Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832[10] sur twitter.

 

 FERTILITE ET PSEUDOVACCIN

Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter[11].

« Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

 

Les vaccins anti-covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu.

Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire « stérilisation de masse« … [12]

Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

 

 

 

LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTEINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes etc.

« La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation. ~ Dr. Byram Bride

L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. » Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

  1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la COVID-19 et aux vaccins.
  2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)
  3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques
  4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre COVID-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels. »[13],[14]. Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60% des IRM cérébrales de personnes vaccinées.  Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements etc. et pas à l’aveugle.

 

 

 VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFERE

 

Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent pas, ni les vaccinés, ni les autres. Voyez les expérience à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

 

En Israël, « 85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés » à 2 doses.   95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés [15]!

En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que « sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4% ».

 

 

LE  REMEDE CONTRE L’HYSTERIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs élysées à la Bretagne etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides aient la même éefficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.[16]

 

 

[1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/

 

[2] : https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance

Covid-19 – Les vaccins vu à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo – Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.

 

Notons que Médiapart a censuré le document ! selon l’auteur enzololo le 5 aout : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours « les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS » (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle : https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins

 

[3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.

 

 

[4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/

[5]Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

 

[6] L’auteure correspondante du CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :

« Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires.

Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque.

[7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine : 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

 

[8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic

[9] Advisory Committee on Immunization Practices

Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis

[10]   Le 1 er aout 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale – en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours

[11]  7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale

[12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid – Résumé. (wordpress.com)

[13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin COVID-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… »  27 juillet 2021 par mirastnews in Europe /Par le Dr Joseph Mercola

[14]Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif-(covid19)-(post%C3%A9-par-Dr-Perronne)-(1):7?src=embed

[15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/  à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive

 

[16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! – Boris Karpov (tvs24.ru)

« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres « standard » de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sur les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !

Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5.000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de « trahison », au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc. etc. C’est un véritable raz de marée. »

Les vaccins actuels ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts

 

par le dr G Delépine chirurgien et statisticien médical

 

Chaque jour nous sommes harcelés par la propagande vaccinale qui répète « seule la vaccination peut mettre fin à l’épidémie » « les vaccins sont efficaces contre le variant delta » « une fois la population vaccinée il n’y a plus de risque ».

Ces affirmations sont totalement mensongères. Les vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta, ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts et ne préviennent pas les reprises de l’épidémie. Ils sont incapables de mettre fin à l’épidémie.

Pour s’en convaincre il suffit de regarder les évolutions récentes de l’épidémie dans les pays champions de la vaccination décrites dans les publications de l’OMS (OMS Covid Dashboard) et les courbes de OurWorldinData Covid.

 

En Grande-Bretagne l’épidémie repart malgré l’Astra Zeneca

La vaccination Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion  en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

 

L’incapacité des injections anti-covid à protéger les vaccinés et leurs contacts a été récemment illustrée par l’épidémie de plus de 100 cas qui a touché les 1300 marins du HMS Queen Elizabeth, alors qu’ils avaient tous été complètement vaccinés depuis plus de trois mois.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

 

En Israël, les injections Pfizer n’empêchent pas la reprise de l’épidémie

Même phénomène en Israël où la vaccination a été suivie d’une explosion de cas et de morts pendant deux mois. Après une accalmie de 3 mois, une reprise de l’épidémie qui s’accélère depuis début juillet montre que le vaccin Pfizer est inefficace contre le variant delta.

 

 

En Israël les vaccinés représentent actuellement près de la moitié des nouveaux cas. Et contrairement aux annonces des labos et des gouvernants, recevoir l’injection Pfizer ne protège pas non plus des formes graves : en Israël les vaccinés sont actuellement plus nombreux en réanimation que les non vaccinés : 71% de ces 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) sont totalement vaccinés !

Pire encore, la proportion de malades graves vaccinés est supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées (61%.)

Ces chiffres commencent à faire douter les autorités sanitaires de l’efficacité du vaccin Pfizer. Le gouvernement a réintroduit l’obligation légale de porter des masques dans les lieux publics, deux semaines seulement après son abandon et conseille maintenant une troisième injection aux plus de 60 ans. Lui qui prétendait qu’après deux injections les Israéliens seraient libres et protégés, accuse ses concitoyens d’indiscipline au lieu de reconnaître que le vaccin Pfizer est inefficace. Néanmoins, selon les médias israéliens, le ministère de la Santé a annoncé qu’à partir du 1er août, tout Israélien de plus de 18 ans recevant sa première dose recevra le vaccin Moderna. Aucune explication pour ce changement.

 

Aux Emirats Arabes Unis, champion arabe des injections, celles-ci ne sont pas  plus efficaces

Aux EAU,  la vaccination a débuté en fin décembre 2020 à l’aide de Pfizer et Sinopharm et actuellement plus de 80% de la population a reçu les deux doses de vaccin depuis plus de 3 mois. Mais le nombre de nouvelles contaminations et la mortalité quotidienne restent toujours plus élevés qu’avant la vaccination

 

Avant la vaccination, en 9 mois d’épidémie, les EAU comptaient 197124 cas et  632 morts. Après 7 mois de vaccination, au 1/8/2021, ces chiffres ont plus que  triplé avec respectivement  682377 cas et 1943 morts. Dans ce pays aussi les injections anticovid ne sont pas efficaces.

Dans ces pays champions des vaccins anti-covid, ceux-ci n’ont pas protégé les vaccinés de la maladie, ni empêché les transmissions, ni prévenu les formes graves, ni évité une nouvelle vague d’infections.

Les campagnes de vaccination ont de plus été suivies à chaque fois pendant deux mois ou plus d’une augmentation forte des contaminations et de la mortalité (hécatombe post vaccinale) établissant les records mensuels de nouveaux cas et de morts depuis le début de l’épidémie.

 

 

Catastrophe post vaccinale aux Seychelles

Dans ce petit pays d’environ 100000 habitants les injections anti covid Sinopharm ainsi qu’une version indienne du sérum AstraZeneca ont été administrées à plus de 75% de la population avec des suites franchement délétères.

 

Avant la vaccination débutée en février 2021 les Seychelles recensaient 1243 cas et 3 morts. Six mois après la vaccination, le 2/8/21 elles comptent 18189 cas et 94 morts malgré le confinement et les autres mesures sanitaires qui leur ont été imposées depuis la campagne d’injections anti-covid.

 

Catastrophe post vaccinale en Mongolie

Avant la vaccination débutée le 23 février 2021 la Mongolie avait été épargnée par le Covid et ne recensait que 2723 cas et 2 morts. 5 mois après la vaccination, le 2/8/21 malgré une couverture vaccinale très élevée, supérieure à 65% elle comptabilise 164155 cas et 827 morts.

 

 

 

 

 

 

Catastrophe post vaccinale au Cambodge

Avant la vaccination le Cambodge avait été épargné par l’épidémie et ne recensait aucun mort de Covid. La vaccination a commencé le 7 février 2021. Neuf jours plus tard a été observé le premier décès dont le nombre total atteignait 1442 au 2 aout 2021.

 

Dans ces trois pays, auparavant quasiment indemne de Covid, les injections anti-covid ont exacerbé l’épidémie de manière dramatique

 

Pourquoi les injections anti-covid sont-elles aussi inefficaces ?

Contrairement à ce qui est officiellement raconté, les injections actuelles ne sont pas des vaccins (elles ne contiennent pas d’antigènes viral ni de virus inactivé) mais des injections d’ARN messager. Cette technique n’a jamais été utilisée chez l’homme pour lutter contre des infections et les résultats des essais de phase 3 ne seront pas connus avant 2023. Il s‘agit donc d’un traitement totalement expérimental qui n’aurait jamais dû être commercialisé avant la fin et l’analyse des essais cliniques phase 3 (2023). En population réelle, ils se révèlent trop peu efficaces.

 

L’aggravation dépendante des anticorps[1] [2] [3] [4] peut expliquer les hécatombes post injections

L’explosion précoce des cas et de la mortalité après les campagnes d’injections anti-covid traduit vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants (aggravation dépendante des anticorps ADE) déjà observé dans plusieurs infections virales, notamment le virus de la dengue, et les infections précédentes à coronavirus le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Sa nocivité a été tristement démontrée par la mort de plusieurs centaines d’enfants lors de la catastrophe sanitaire du vaccin Dengvaxia aux Philippines.

L’aggravation dépendante des anticorps (ADEantibody-dependent enhancement) est un large concept qui survient en lien avec certaines infections virales, lors de réinfection ou de primo-infection, en dépit d’une vaccination. Il peut s’agir : d’une « maladie aggravée associée à l’infection (initiale) » (IAEDinfection-associated enhanced disease) ou d’une « maladie aggravée associée à la vaccination » (VAEDvaccine-associated enhanced disease). Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou une faible spécificité de ces anticorps, par exemple lors d’immunité croisée entre deux infections virales.
Ce risque avait été évoqué par l’académie de médecine en janvier 2021[5] : « le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

 

La fuite immunitaire avec l’apparition des variants explique l’incapacité à prévenir les futures rechutes

L’Académie avait averti que la généralisation d’un traitement insuffisamment efficace facilite l’apparition des variants ainsi « au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le Pr Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique dans un article [6] en anglais malheureusement non relayé en France avaient averti : « la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… Au niveau de la population…, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. »

 

Conclusions

L’examen des faits avérés publiés par l’OMS montrent que les injections anti-covid actuelles sont incapables de protéger ceux qui les reçoivent de la maladie, ni des formes graves, ni d’en mourir.

Elles n’empêchent pas non plus la transmission aux contacts. Elles sont inefficaces contre le variant delta et donc incapables de prévenir les récidives des épidémies.

Les campagnes d’injection sont presque constamment suivies par une recrudescence de cas et de morts pendant plus de deux mois.

Comme elles exposent de plus à des complications graves, parfois mortelles comme le montre (entre autres) le site européen chargé de la surveillance des effets secondaires des médicaments dépendant de l’agence européenne, il n’existe aucune justification médicale à les conseiller et encore moins de les imposer directement ou indirectement par l’artifice d’un passe discriminatoire.

 

 

Les irresponsables ne sont pas ceux qui doutent des injections anti-covid expérimentales, mais bien ceux qui veulent les imposer sans attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et refusent de recommander les traitements précoces qui ont fait leurs preuves dans de nombreux pays dont l’Inde.

 

 

[1] Stéphane KORSIA-MEFFRE VACCINS CONTRE LA COVID-19 : DOIT-ON S’INQUIÉTER DU RISQUE DE MALADIE AGGRAVÉE CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES ? 03 novembre 2020

[2] Lee, W.S., Wheatley, A.K., Kent, S.J. et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol 5, 1185–1191 (2020). https://doi.org/10.1038/s41564-020-00789-5

[3] Eroshenko, N., Gill, T., Keaveney, MK et al. Implications de l’amélioration de l’infection dépendante des anticorps pour les contre-mesures du SRAS-CoV-2. Nat Biotechnol 38, 789-791 (2020). https://doi.org/10.1038/s41587-020-0577-1

[4] Ricke DO. Two Different Antibody-Dependent Enhancement (ADE) Risks for SARS-CoV-2 Antibodies. Front Immunol. 2021 Feb 24 ;12 :640093. doi : 10.3389/fimmu.2021.640093. PMID : 33717193 ; PMID : PMC7943455.

[5] Communiqué de l’Académie de médecine : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ? 11/1/21

[6]Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract the Lancet public health 18 février 2021 DOI VOLUME 6, NUMÉRO 4, E199-E200,1 AVRIL 2021 : https://doi.org/10.1016/S2468 2667(21)00036-0

Children are not at risk from covid-19

wanting to inject them with untested vaccines is criminal and unnecessary.

 

Stop : ils s’entêtent à vouloir vacciner les enfants ! – 

 

 

 

For more than a year, pharmaceutical company lobbyists have dreamed of imposing anti-covid-19 vaccination on the entire world population by using vaccine obligations and “vaccinated or socially dead” blackmail.

And for more than a month they have been attacking children [1] while they are not at risk of Covid-19, that they do not transmit it and that there is no evidence that vaccines can be effective and safe for them.

Children are not at risk from Covid-19 and therefore cannot derive any individual benefit from the anti-covid-19 vaccination.

All the series reported [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] and all the national and international surveys all confirm that Covid-19 is rare and almost always benign in children, and that they are less at risk of Covid-19 than of seasonal flu.

In France, for a year, Public Health France has recorded only 3 deaths attributed to Covid (all suffering from chronic diseases, cancer or immunodeficiency) out of nearly 8 million children and adolescents under the age of 15 then that the flu kills an average of 8 people each year in this age group.

WHO [9] confirms that children are virtually at risk:

This tiny risk means that no individual benefit can be expected from vaccination in children while post-vaccination complications, sometimes serious, up to death, are reported everywhere in the media.

Children are not vectors for the spread of disease; vaccinating them would not change the course of the epidemic.

All the series reported and all national and international surveys show that children and adolescents are not vectors of transmission and that they are not infected by schoolmates, but usually by parents at home.

More than 20 epidemiological studies in a dozen countries have doggedly sought contamination from children under 15 years of age: none has been able to highlight a single truly convincing example.

The Inserm study [10] is very demonstrative. The child of Contamines was in contact, while he was sick, with 172 people, including 112 students and teachers in three schools and a ski club. He did not infect anyone, not even the two other children of his siblings. And the infection brought from Singapore by an adult remained confined to the occupants of the chalet.

The study by the Institut Pasteur on primary schools in Crépy-en-Valois  [11] involved 1,340 people, including 139 infected (81 adults and 58 children). Among 510 students from six primary schools, they identified three children from three different schools who were infected when schools were still open. None of these three children infected anyone, whether they were other students or adults.

The Coville study [12] , by the Activ group (Clinical and therapeutic infantile association of Val-de-Marne) led by Professor Robert Cohen, vice-president of the French Pediatric Society, involved 600 children from birth at the age of 15 allows the conclusion that: “ without a history of parental Covid, the child has nothing .  »

In the Netherlands, children aged 0 to 17 represent only 1.3% of all patients reported with Covid-19, although they represent 20.7% of the population. Only 0.6% of reported hospitalizations were in children under the age of 18 and there are no cases of children dying from Covid-19. A household study in the Netherlands reported data on 116 children aged 1 to 16 [13] and preliminary results showed that there was no evidence that children under 12 were the first to be infected in the family. .

In Ireland [14] , before the schools were closed, no case of school contamination was detected among the 924 children and 101 adults in contact with six infected (three children, three adults).

In Australia [15]  [16]  9 students and 9 staff infected with SARS-CoV-2 in 15 schools had close contact with a total of 735 students and 128 staff. Only 2 secondary infections were identified, none in adult staff. 1 elementary school student was potentially infected by a staff member.

In Switzerland [17] : out of a total of 4,310 patients with SARS-CoV-2, 40 were under 16 years of age (0.9%). Among the 111 positive family contacts of the children studied, mothers predominated (n = 39), followed by fathers (n = 32), pediatric siblings (n = 23), adult siblings (n = 8) and grandparents (n = 7).

In Finland, a 12-year-old child who went to school during his illness came into contact with 121 people and did not infect any of them.

In Greece  [18] the epidemiological analysis of 23 clusters affecting 109 people (66 adults and 43 children found no case of transmission from a child.

In Singapore [19] , two primary schools and one secondary school found childhood covid-19s. None of the 34 identified primary school contacts tested positive. Of the 77 high school contacts, 8 developed flu-like symptoms, but none of them tested positive.

Of the more than 11,180 articles on the subject of children and Covid-19 listed by PubMed on 4/9/2021 and the 1,794 specifically dedicated to possible transmission by children, none provides proof of transmission from one child to another child or to an adult in the real world [20] [21] [22] [23] [24] .

The only articles which mention this possibility are based on viral load or on models with false assumptions.

Admittedly, children in school can be sick or test positive, but among asymptomatic, it is most often false positives (more than 90%), or old infections that they contracted at home and from which they are cured. . School transmissions are possible, but all those which have been the subject of a serious epidemiological investigation show that they are linked to adult staff.

Since children are innocent of the transmission of the disease, their vaccination, even if it were effective, would do nothing to protect others.

Current vaccines do not prevent disease transmission!

In countries that are champions of vaccination campaigns, transmissions continue and are sometimes even increased.

Thus in the United Arab Emirates the circulation of the virus has been more intense since the vaccination

Same phenomenon in Bahrain:

 

Same evolution in Chile

The comparison of the evolution of mortalities in confined and highly vaccinated Great Britain and in unconfined and poorly vaccinated Sweden even suggests that vaccination at least transiently worsens transmission and mortality.

This very dubious effectiveness of current vaccines to prevent the transmission of the virus is recognized by the High Authority of Health and was formalized by O. Véran in his recent argument before the Council of State [25] :  » the vaccine does not prevent to transmit the virus to third parties.  »

Even if the children were contagious, their vaccination would therefore be ineffective in protecting others since vaccines are not able to interrupt transmission!

Vaccines are not even experimental in children: they have not even been tested!

In adults, vaccines are experimental since the trials will not be completed before 2023. In children they are not even experimental because until recently the trials excluded those under 16 and the first trial in children was discontinued after an accident before significant inclusion of child guinea pigs.

It is therefore a drug which has not been tested at all in them and which has not received an MA, even conditional, that the vaccinators would like to inject into children who do not need it!

To regain our freedoms, we just need to want it!

The argument of the vaccination of children  »  necessary to regain our freedoms  » agitated by Stéphane Dhersin takes up the classic blackmail of vaccine advocates. This argument is not based on any scientifically established fact but on faked / false mathematical prophecies.

Swedes, Belarusians, Finns, Dutch who have never been confined suffer from lower mortality than ours.

The governor of Texas removed all supposedly health restrictions on March 10 and since then mortality has been declining as it increases in states (Michigan, Minnesota) still subject to social restrictions.

In a short article in the Lancet, Delfraissy [26] and four other members of the Scientific Council declare that we must change health policy, stop using episodic confinements and no longer rely on vaccination to get us out of the crisis. Why don’t we listen to them?

Let us no longer be needlessly afraid. Let us stop killing the psychological balance, health, education and professional future of our young people. our economy.

And do not sacrifice children on false beliefs and models that can only be useful to shareholders of vaccine dealers.

Children are not at risk of Covid-19 and are not vectors of Covid-19. Trying to inject them with untested vaccines is criminal.

Dr Gérard Delépine

[1] Antoine Beau Covid: should children be vaccinated for a return to normal life in September? SCIENCE

04/07/2021

“Vaccinating minors is a potential lever for action in the fight to live again normally”, explains Jean-Stéphane Dhersin, modeler

[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Pediatrica 24 March 2020

[3] Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23; 35 (11)

[4] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.

[5] Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002 / ppul.24762. Online ahead of print

[6] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

[7] Zhonghua Er Ke Za Zhi for the Pediatric Society and Chinese Medical Association: Recommendations for the Diagnosis, Prevention, and Control of Novel Coronavirus Infection 2019 in Children (First Interim Edition). 2020; 58: 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics

[8] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 March 25; S1473-3099 (20) 30198-5.

[9] WHO Covid19 dashboard consulted on 9/4/2021

[10] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

[11] Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of ​​high transmission medRxiv 2020

[12] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287 []

[13] Based on reports from municipal public health services (GGD

[14] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25: 2000903

[15] According to the Australian National Center for Immunization Research and Surveillance https://www.bing.com/search?q=l%E2%80%99Australian+National+Centre+for+Immunisation+Research+and+ Monitoring & form = QBLH & sp = -1 & pq = & sc = 0-0 & qs = n & sk = & cvid = 4D88315372394AACB2AA964A03900C84

[16] National Center for Immunization Research and Surveillance. COVID-19 in Schools – The NSW Experience. New South Wales, Australia: National Immunization Research and Surveillance Center

[17] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Pediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the first two months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020; 00: 1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432

[18] Helena C. Maltezoua Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece: a study of 23 clusters J Med Virol. 2020 Aug 7; 10.1002 / jmv.26394. doi: 10.1002 / jmv.26394

[19] Singapore government agency. COVID-19: Case in Singapore [Internet]. Singapore, Singapore Government Agency. 2020; [cited March 12, 2020. Available at: https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-singapor [

[20] Weiyong Liu. Et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 April 2; 382 (14): 1370-1371

[21] ) Liu Y, Yan LM, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099 (20) 30232

[22] Hong H, Wang Y, Chung HT, Chen CJ, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j. pedneo.2020.03.001.

[23] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72,314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI: 10.1001 / jama.2020.2648

[24] Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 March 23

[25]   Decision of the Council of State of APRIL 2, 2021 Travel restrictions for vaccinated people are justified

[26] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19social contract Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468 -2667% 2821% 2900036-0

Kinder sind nicht durch covid-19 gefährdet; Ungetestete Impfstoffe injizieren zu wollen, ist kriminell und unnötig.

Seit mehr als einem Jahr träumen Lobbyisten von Pharmaunternehmen davon, der gesamten Weltbevölkerung eine Impfung gegen Covid-19 aufzuerlegen, indem sie Impfpflichten und „geimpfte oder sozial tote“ Erpressungen anwenden.

Und seit mehr als einem Monat greifen sie Kinder an [1], obwohl sie nicht dem Risiko von Covid-19 ausgesetzt sind, dass sie es nicht übertragen und dass es keine Beweise dafür gibt, dass Impfstoffe für sie wirksam und sicher sein können.

Kinder sind von Covid-19 nicht gefährdet und können daher keinen individuellen Nutzen aus der Anti-Covid-19-Impfung ziehen.

Alle berichteten Serien [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] und alle nationalen und internationalen Umfragen bestätigen, dass Covid-19 bei Kindern selten und fast immer gutartig ist und dass sie sind weniger von Covid-19 als von saisonaler Grippe bedroht.

In Frankreich verzeichnete Public Health France seit einem Jahr nur drei Todesfälle, die Covid zugeschrieben werden (alle leiden an chronischen Krankheiten, Krebs oder Immunschwäche), von fast 8 Millionen Kindern und Jugendlichen unter 15 Jahren, an denen die Grippe durchschnittlich abtötet 8 Personen pro Jahr in dieser Altersgruppe.

Die WHO [9] bestätigt, dass Kinder praktisch gefährdet sind:

Dieses winzige Risiko bedeutet, dass von der Impfung bei Kindern kein individueller Nutzen zu erwarten ist, während in den Medien überall über Komplikationen nach der Impfung berichtet wird, die manchmal schwerwiegend bis zum Tod sind.

Kinder sind keine Überträger für die Ausbreitung von Krankheiten; Eine Impfung würde den Verlauf der Epidemie nicht verändern.

Alle berichteten Serien und alle nationalen und internationalen Umfragen zeigen, dass Kinder und Jugendliche keine Übertragungsvektoren sind und nicht von Schulkameraden, sondern in der Regel von Eltern zu Hause infiziert werden.

Mehr als 20 epidemiologische Studien in einem Dutzend Ländern haben hartnäckig nach Kontamination von Kindern unter 15 Jahren gesucht: Keine konnte ein einziges wirklich überzeugendes Beispiel hervorheben.

Die Inserm-Studie [10] ist sehr demonstrativ. Das Kind von Contamines hatte während seiner Krankheit Kontakt zu 172 Personen, darunter 112 Schüler und Lehrer in drei Schulen und einem Skiclub. Er infizierte niemanden, nicht einmal die beiden anderen Kinder seiner Geschwister. Und die von einem Erwachsenen aus Singapur mitgebrachte Infektion blieb auf die Bewohner des Chalets beschränkt.

An der Studie des Instituts Pasteur über Grundschulen in Crépy-en-Valois  [11] nahmen 1.340 Personen teil, darunter 139 Infizierte (81 Erwachsene und 58 Kinder). Unter 510 Schülern aus sechs Grundschulen identifizierten sie drei Kinder aus drei verschiedenen Schulen, die infiziert waren, als die Schulen noch geöffnet waren. Keines dieser drei Kinder infizierte jemanden, egal ob es sich um andere Studenten oder Erwachsene handelte.

Die Coville-Studie [12] der Activ-Gruppe (Klinische und therapeutische Kindervereinigung von Val-de-Marne) unter der Leitung von Professor Robert Cohen, Vizepräsident der Französischen Pädiatrischen Gesellschaft, umfasste 600 Kinder von Geburt an im Alter von 15 Jahren die Schlussfolgerung, dass: „ Ohne eine Geschichte der elterlichen Covid hat das Kind nichts . «  »

In den Niederlanden machen Kinder im Alter von 0 bis 17 Jahren nur 1,3% aller mit Covid-19 gemeldeten Patienten aus, obwohl sie 20,7% der Bevölkerung ausmachen. Nur 0,6% der gemeldeten Krankenhauseinweisungen erfolgten bei Kindern unter 18 Jahren, und es gibt keine Fälle, in denen Kinder an Covid-19 sterben. Eine Haushaltsstudie in den Niederlanden berichtete über Daten zu 116 Kindern im Alter von 1 bis 16 Jahren [13], und vorläufige Ergebnisse zeigten, dass es keine Hinweise darauf gibt, dass Kinder unter 12 Jahren die ersten waren, die in der Familie infiziert waren.

In Irland [14] wurde vor Schließung der Schulen bei 924 Kindern und 101 Erwachsenen, die mit sechs Infizierten in Kontakt standen (drei Kinder, drei Erwachsene), kein Fall von Schulkontamination festgestellt.

In Australien [15]  [16] hatten  9 Schüler und 9 mit SARS-CoV-2 infizierte Mitarbeiter in 15 Schulen engen Kontakt zu insgesamt 735 Schülern und 128 Mitarbeitern. Es wurden nur 2 Sekundärinfektionen identifiziert, keine bei erwachsenen Mitarbeitern. 1 Grundschüler wurde möglicherweise von einem Mitarbeiter infiziert.

In der Schweiz [17] : Von insgesamt 4.310 Patienten mit SARS-CoV-2 waren 40 jünger als 16 Jahre (0,9%). Unter den 111 positiven Familienkontakten der untersuchten Kinder überwogen Mütter (n = 39), gefolgt von Vätern (n = 32), pädiatrischen Geschwistern (n = 23), erwachsenen Geschwistern (n = 8) und Großeltern (n = 7). .

In Finnland kam ein 12-jähriges Kind, das während seiner Krankheit zur Schule ging, mit 121 Menschen in Kontakt und infizierte keine von ihnen.

In Griechenland  [18] ergab die epidemiologische Analyse von 23 Clustern, von denen 109 Personen betroffen waren (66 Erwachsene und 43 Kinder), keinen Fall einer Übertragung von einem Kind.

In Singapur [19] fanden zwei Grundschulen und eine weiterführende Schule Covid-19-Kinder. Keiner der 34 identifizierten Grundschulkontakte wurde positiv getestet. Von den 77 Highschool-Kontakten entwickelten 8 grippeähnliche Symptome, aber keiner von ihnen wurde positiv getestet.

Von den mehr als 11.180 Artikeln zum Thema Kinder und Covid-19, die PubMed am 09.04.2021 aufgelistet hat, und den 1.794 Artikeln, die speziell der möglichen Übertragung durch Kinder gewidmet sind, liefert keiner einen Nachweis über die Übertragung von einem Kind auf ein anderes Kind oder auf einen Erwachsenen in der realen Welt [20] [21] [22] [23] [24] .

Die einzigen Artikel, die diese Möglichkeit erwähnen, basieren auf der Viruslast oder auf Modellen mit falschen Annahmen.

Zugegeben, Kinder in der Schule können krank sein oder positiv getestet werden, aber unter asymptomatischen sind es meistens falsch positive (mehr als 90%) oder alte Infektionen, die sie zu Hause bekommen haben und von denen sie geheilt werden. Schulübertragungen sind möglich, aber alle, die Gegenstand einer ernsthaften epidemiologischen Untersuchung waren, zeigen, dass sie mit erwachsenem Personal verbunden sind.

Da Kinder an der Übertragung der Krankheit unschuldig sind, würde ihre Impfung, selbst wenn sie wirksam wäre, nichts zum Schutz anderer beitragen.

Aktuelle Impfstoffe verhindern nicht die Übertragung von Krankheiten!

In Ländern, die sich für Impfkampagnen einsetzen, werden die Übertragungen fortgesetzt und manchmal sogar erhöht.

So war in den Vereinigten Arabischen Emiraten die Verbreitung des Virus seit der Impfung intensiver

Gleiches Phänomen in Bahrain:

 

Gleiche Entwicklung in Chile

Der Vergleich der Entwicklung der Mortalität in Großbritannien mit und ohne Impfung sowie in unbeschränktem und schlecht geimpftem Schweden legt sogar nahe, dass die Impfung die Übertragung und Mortalität zumindest vorübergehend verschlechtert.

Diese sehr zweifelhafte Wirksamkeit der derzeitigen Impfstoffe zur Verhinderung der Übertragung des Virus wird von der Hohen Gesundheitsbehörde anerkannt und von O. Véran in seinem jüngsten Argument vor dem Staatsrat [25] formalisiert :  » Der Impfstoff verhindert nicht die Übertragung den Virus an Dritte. «  »

Selbst wenn die Kinder ansteckend wären, wäre ihre Impfung daher unwirksam, um andere zu schützen, da Impfstoffe die Übertragung nicht unterbrechen können!

Impfstoffe sind nicht einmal experimentell bei Kindern: Sie wurden noch nicht einmal getestet!

Bei Erwachsenen sind Impfstoffe experimentell, da die Studien nicht vor 2023 abgeschlossen sein werden. Bei Kindern sind sie nicht einmal experimentell, da die Studien bis vor kurzem diejenigen unter 16 Jahren ausschlossen und die erste Studie bei Kindern nach einem Unfall vor der signifikanten Einbeziehung von Meerschweinchen abgebrochen wurde .

Es handelt sich also um ein Medikament, das in ihnen überhaupt nicht getestet wurde und das keine MA erhalten hat, auch wenn es bedingt ist, dass die Impfstoffe Kindern injizieren möchten, die es nicht benötigen!

Um unsere Freiheiten wiederzugewinnen, müssen wir es nur wollen!

Das von Stéphane Dhersin angeregte Argument der Impfung von Kindern, « das  notwendig ist, um unsere Freiheiten wiederzugewinnen « , greift die klassische Erpressung von Impfstoffanwälten auf. Dieses Argument basiert nicht auf wissenschaftlich fundierten Tatsachen, sondern auf gefälschten / falschen mathematischen Prophezeiungen.

Schweden, Weißrussen, Finnen und Niederländer, die noch nie eingesperrt waren, leiden unter einer geringeren Sterblichkeit als wir.

Der Gouverneur von Texas hat am 10. März alle angeblichen Gesundheitsbeschränkungen aufgehoben und seitdem ist die Sterblichkeit zurückgegangen, da sie in Staaten (Michigan, Minnesota) zunimmt, die immer noch sozialen Beschränkungen unterliegen.

In einem kurzen Artikel im Lancet erklären Delfraissy [26] und vier weitere Mitglieder des Wissenschaftlichen Rates, dass wir die Gesundheitspolitik ändern, keine episodischen Einschränkungen mehr anwenden und uns nicht mehr auf Impfungen verlassen müssen, um aus der Krise herauszukommen. Warum hören wir ihnen nicht zu?

Lasst uns keine unnötige Angst mehr haben. Hören wir auf, das psychische Gleichgewicht, die Gesundheit, die Bildung und die berufliche Zukunft unserer jungen Menschen zu zerstören. unsere Wirtschaft.

Und opfern Sie Kinder nicht mit falschen Überzeugungen und Modellen, die nur für Aktionäre von Impfstoffhändlern nützlich sein können.

Kinder haben kein Risiko für Covid-19 und sind keine Vektoren von Covid-19. Der Versuch, ihnen ungetestete Impfstoffe zu injizieren, ist kriminell.

Dr. Gérard Delépine

[1] Antoine Beau Covid: Sollten Kinder geimpft werden, um im September wieder zum normalen Leben zurückzukehren? WISSENSCHAFT

04/07/2021

„Die Impfung von Minderjährigen ist ein potenzieller Hebel für Maßnahmen im Kampf um eine normale Wiederbelebung“, erklärt Jean-Stéphane Dhersin, Modellbauer

[2] Peter Brodin Warum ist COVID-19 bei Kindern so mild? Editorial Acta Pediatrica 24. März 2020

[3] Ji Young Park Erster pädiatrischer Fall der Coronavirus-Krankheit 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020, 23. März; 35 (11)

[4] LiangSua die verschiedenen klinischen Merkmale von Fällen von Koronaviruserkrankungen zwischen Kindern und ihren Familien in China – der Charakter von Kindern mit COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.

[5] Neuartige Coronavirus-Infektion mit Qinxue Shen bei Kindern außerhalb von Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002 / ppul.24762. Online vor dem Druck

[6] Ya-Nan Han et al. Eine vergleichend-deskriptive Analyse der klinischen Merkmale in der mit Coronavirus infizierten Kinder- und Erwachsenenpädiatrie 2019, April 2020

[7] Zhonghua Er Ke Za Zhi für die Pediatric Society und die Chinese Medical Association: Empfehlungen für die Diagnose, Prävention und Kontrolle der neuartigen Coronavirus-Infektion 2019 bei Kindern (erste Zwischenausgabe). 2020; 58: 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics

[8] Haiyan Qiu Klinische und epidemiologische Merkmale von 36 Kindern mit Coronavirus-Krankheit 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: eine Beobachtungskohortenstudie Lancet Infect Dis. 2020 25. März; S1473-3099 (20) 30198-5.

[9] Das WHO-Covid19-Dashboard wurde am 04.09.2021 konsultiert

[10] Kostas DANIS et al. Für Santé Publique France Cluster der Coronavirus-Krankheit 2019 (Covid-19) in den französischen Alpen, 2020 Klinische Infektionskrankheiten Oxford University Press für die Infectious Diseases Society of America.

[11] SARS-CoV-2-Infektion von Fontanet et al. In Grundschulen in Nordfrankreich: Eine retrospektive Kohortenstudie in einem Gebiet mit hoher Transmission medRxiv 2020

[12] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287 []

[13] Gestützt auf Berichte der kommunalen öffentlichen Gesundheitsdienste (GGD)

[14] Heavey L., Casey G., Kelly C. et al. Keine Hinweise auf eine sekundäre Übertragung von COVID-19 von Kindern, die in Irland die Schule besuchen, 2020. Euro Surveill 2020; 25: 2000903

[15] Laut dem australischen Nationalen Zentrum für Immunisierungsforschung und -überwachung https://www.bing.com/search?q=l%E2%80%99Australian+National+Centre+for+Immunisation+Research+and+ Monitoring & Form = QBLH & sp = -1 & pq = & sc = 0-0 & qs = n & sk = & cvid = 4D88315372394AACB2AA964A03900C84

[16] Nationales Zentrum für Immunisierungsforschung und -überwachung. COVID-19 in Schulen – Die NSW-Erfahrung. New South Wales, Australien: Nationales Forschungs- und Überwachungszentrum für Immunisierung

[17] Hildenwall H., Luthander J., Rhedin S. et al. Pädiatrische COVID-19-Aufnahme in einer Region mit offenen Schulen in den ersten zwei Monaten der Pandemie. Acta Paediatr. 2020; 00: 1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432

[18] Helena C. Maltezoua Übertragungsdynamik von SARS-CoV-2 in Familien mit Kindern in Griechenland: eine Studie von 23 Clustern J Med Virol. 2020, 7. August; 10.1002 / jmv.26394. doi: 10.1002 / jmv.26394

[19] Regierungsbehörde von Singapur. COVID-19: Fall in Singapur [Internet]. Singapur, Regierungsbehörde von Singapur. 2020; [Zitiert am 12. März 2020. Verfügbar unter: https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-singapor [

[20] Weiyong Liu et al.: Nachweis von Covid-19 bei Kindern Anfang Januar 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. No. 2020 2. April; 382 (14): 1370 & ndash; 1371

[21] ) Liu Y., Yan LM., Wan L. et al. Virendynamik in leichten und schweren Fällen von COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099 (20) 30232

[22] Hong H., Wang Y., Chung HT., Chen CJ., Klinische Merkmale der neuartigen Coronavirus-Krankheit 2019 (COVID-19) bei Neugeborenen, Säuglingen und Kindern, Pädiatrie und Neonatologie, https://doi.org/10.1016/j. pedneo.2020.03.001.

[23] Wu Z, McGoogan JM. Merkmale und wichtige Lehren aus dem Ausbruch der Coronavirus-Krankheit 2019 (COVID-19) in China: Zusammenfassung eines Berichts über 72.314 Fälle des chinesischen Zentrums für die Kontrolle und Prävention von Krankheiten. JAMA 2020; online veröffentlicht am 24. Februar. DOI: 10.1001 / jama.2020.2648

[24] Jonas F. Ludvigsson-Makroanalyse von Covid 19 bei Kindern. Acta Paediatr. 2020 23. März

[25]   Entscheidung des Staatsrates vom 2. April 2021 Reisebeschränkungen für geimpfte Personen sind gerechtfertigt

[26] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immunevasion Mittel , die wir brauchen einen neuen COVID-19social Vertrag Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468 -2667% 2821% 2900036-0

 

MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL SUR LA COVID19 AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

 

 

Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses, impact horrible sur l’économie mondiale…autodestruction et suicide collectif. Il faut lire l’intégralité de cette lettre au président de la république, et pour les plus courageux ouvrir les liens et articles qui démontrent leurs dires.

 

 

United-Health-Professionals-France.pdf (reseauinternational.net)   IN EXTENSO CLIQUEZ SUR LE LIEN

 

 

Très Urgent : message d’alerte international sur la COVID-19   12 FEVRIER 2021

Mr Emmanuel Macron : Président de la France, Mr Jean Castex : Premier Ministre et Mr Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé,

 EXTRAITS

Nous sommes des professionnels de santé du collectif international : United Health Professionals,

composé de plus de 1,500 membres (y compris des professeurs de médecine, des anesthésistes-réanimateurs et des infectiologues) de différents pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et

d’Océanie et nous avons adressé le 26 Août 2020 aux gouvernements et aux citoyens des pays du monde entier un message d’alerte concernant l’épidémie de COVID. Tout d’abord, commençons par les conclusions du rapport de 2010 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur la gestion de l’épidémie de H1N1 (…)

 

 

 Les conclusions majeures sont les suivantes

« 1-Levez toutes les restrictions : supprimez les mesures illégales, non scientifiques et non sanitaires suivantes : confinement, port du masque obligatoire pour les sujets sains, distanciation sociale d’un ou deux mètres.

Ces mesures folles et stupides sont des hérésies inventées en 2020 qui n’existent ni en médecine ni en santé publique et qui ne reposent sur aucune preuve scientifique.

Ce n’est pas comme ça qu’on gère une épidémie : – « Le monde est devenu fou » en mettant en place les confinements qui « vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus » (Dr Anders Tegnell, épidémiologiste en chef de la Suède, 24 Juin 2020). –

« Le taux de létalité réel semble être à peu près le même que pour la grippe, mais nous n’avons jamais introduit ces mesures drastiques auparavant, lorsque nous avons eu des pandémies de grippe » (Pr Peter Gøtzsche, 1er Décembre 2020). –

 

« La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques… » (Pr Didier Raoult, 24 Juin 2020). –

« L’histoire naturelle du virus [le coronavirus] n’est pas influencée par des mesures sociales [confinement, masques, fermeture des restaurants, couvre-feu, etc.] …Le confinement n’a pas enclenché la décroissance des cas…Quant à la fermeture des restaurants qui avaient mis en place des protocoles sanitaires très stricts…je n’ai, bien entendu, aucun moyen de le défendre…il n’a pas du tout influencé l’épidémie…Le confinement n’a rien changé… » (Pr Philippe Parola, 3 Décembre 2020). –

« Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous » (Professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, 19 Juin 2020). –

 

« Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses…un impact horrible sur l’économie mondiale…Autodestruction et suicide collectif… » (Pr Sucharit Bhakdi, Mars 2020. Il a aussi envoyé, à l’époque, une lettre à la Chancelière Allemande Angela Merkel).

 

Ces mesures tyranniques violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dans ses articles : 3, 5, 9, 12, 13, 17, 18, 20, 26, 27, 28, 30 et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF dans ses articles : 28, 29, 32, 37. –

 

« Lorsque l’État sait le mieux et viole les droits de l’homme, nous sommes sur une voie dangereuse. La pandémie a conduit à la violation des droits fondamentaux de l’homme…Il n’y a pas eu la moindre analyse éthique pour savoir si c’était justifié. Ça ne l’est pas » (Pr Peter Gøtzsche, 4 Décembre 2020)

 

. Obliger des gens non malades à porter des masques est non seulement une hérésie mais c’est aussi nuisible à la santé ainsi qu’à l’écologie et une maltraitance évidente : – « Dictature des masques totalement infondée » (Pr Christian Perronne, 22 Septembre 2020). -3- –

« Le couvre-feu…c’était pendant l’occupation allemande où la milice et la Gestapo venait à la maison. Et maintenant on va avoir la police débarquée à la maison pour voir s’il y a plus de six personnes à table ! C’est quoi ce délire ?! » (Pr Christian Perronne, 15 Octobre 2020). –

 

« Tous les hivers à Paris, les lits de réanimation sont totalement saturés. Nous transférons des patients…tous les hivers, en temps normal » (Pr Bruno Mégarbane, anesthésiste-réanimateur, 27 Septembre 2020)

« Dans aucune des deux vagues…toutes les réanimations n’ont été saturées, c’est faux ! » (Pr Michaël Peyromaure, 18 Janvier 2021)

 

 

.2-Ouvrez l’économie, les écoles, les universités, le transport aérien et les services hospitaliers.

 

3-Ecartez vos experts et vos conseillers qui ont des liens ou des conflits d’intérêts avec les entreprises pharmaceutiques

 

4-Exigez une enquête internationale et indépendante

 

et que les responsables de cette escroquerie soient jugés : Le 1er Octobre 2020, Reiner Fuellmich -un avocat Allemand- annonce qu’un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : « Les mesures anti coronavirus ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par (…) l’OMS doivent être légalement qualifiés de véritables crimes contre l’humanité tel que défini dans la section 7 du code pénal international ».

Il a dit aussi qu’on doit parler d’un « scandale du coronavirus et les responsables doivent être poursuivis pénalement et pour dommages civils ».

 

 

(…) Les effets du confinement « ont été absolument délétères. Ils n’ont pas sauvé les vies qu’ils avaient annoncées pouvoir être capable de sauver…C’est une arme de destruction massive dont on voit les effets sanitaires…sociaux…économiques…qui forment la réelle deuxième vague » (Pr Jean-François Toussaint, 24 Septembre 2020).

 

Emprisonner son peuple est un crime contre l’humanité que même les nazis n’ont pas commis !

 

– « Ce pays vit une erreur dramatique…qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ! …on est en train de mettre le feu à la planète » (Pr Didier Raoult, 27 Octobre 2020).

 

« C’est un grand délire mais qui est instrumentalisé par big pharma et aussi les politiciens…C’est une peur qui est organisée pour des raisons politiques et économiques » (Pr Christian Perronne, 31 Août 2020).

 

– « Il ne s’agit que d’une arnaque mondiale pour générer des profits monstrueux, renflouer les banques et pendant ce temps ruiner les classes moyennes au nom d’une épidémie…rendue destructrice p par des mesures liberticides prétendument sanitaires » (Dr Nicole Delépine, 18 Décembre 2020). –

 

« Nous avons des preuves médicales qu’il s’agit d’une escroquerie » (Dr Heiko Schöning, Juillet 2020).

 

 

5-Ne suivez plus aveuglément les recommandations de l’OMS et exigez qu’elle soit totalement réformée :

 

6-Utilisez les mesures reconnues pour la gestion des épidémies

 

7-Responsabilisez les médias

Ils doivent, par exemple, arrêter de parler du coronavirus.

 

 

 8-Supprimez l’obligation de tests

 

Les gens qui incitent à rendre ces tests obligatoires escroquent les gouvernements et visent uniquement des objectifs économiques. Rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. La grippe infecte chaque année un milliard de personnes, soit beaucoup plus que le SARS-CoV-2, se propage plus rapidement et comporte plus de populations à risque et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages

 

 

 

9-Arrêtez les campagnes de vaccination et refusez l’escroquerie du passeport pseudo-sanitaire qui est en réalité un projet politico-commercial : –

 

« On n’en a aucun besoin [le vaccin] …Tout ça, c’est une histoire purement commerciale » (Pr Christian Perronne, 16 Juin 2020)

 

Le vaccin COVID est « tellement, tellement inutile » (Pr Sucharit Bhakdi, 2 Décembre 2020).

 

– « Je n’ai jamais vu dans l’histoire de la médecine qu’on développe en urgence des vaccins pour vacciner des millions, des milliards d’individus pour un virus qui ne tue plus sauf des personnes à risque qu’on peut identifier, qu’on pourrait traiter…Je n’ai jamais vu un vaccin comme ça sortir du chapeau en deux mois ! Il faut des années ! » (Pr Christian Perronne, 2 Décembre 2020).

 

À la question : « On n’a pas besoin d’un vaccin général pour l’humanité entière avec 0,05% de morts ? », le Pr Christian Perronne a répondu : « C’est une évidence ! ».

 

– Le 30 Novembre 2020 : le Pr Christian Perronne rédige une lettre où il alerte sur le danger des vaccins à base de génie génétique :

 

« Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins », sont des apprentis sorciers et prennent (…) les citoyens du monde pour des cobayes ».

 

 

-Si les gens acceptent le vaccin, ça sera : « une erreur parce qu’on risque d’avoir des effets absolument imprévisibles : par exemple, des cancers…On joue à l’apprenti sorcier totalement… Il ne faut pas que l’homme serve de cobaye, il ne faut pas que les enfants servent de cobayes, c’est absolument non éthique. Il ne faut pas qu’il y ait des morts à cause des vaccins » (Pr Luc Montagnier, Virologue et prix Nobel de médecine, 17 Décembre 2020).

 

-En Suisse, un collectif de 700 médecins et professionnels de la santé a demandé le 15 Janvier 2021 d’interrompre la campagne de vaccination.

 

Le virus est totalement innocent dans ce qui se passe (la pauvreté, les pertes d’emploi, les suicides, les morts, la récession économique, le chômage, etc.) et les vrais coupables sont ceux qui ont poussé le monde à utiliser ces mesures et les gouvernements qui continuent d’appliquer ces mesures malgré les alertes et les avertissements.

 

« La Banque mondiale vient d’estimer que la pandémie de coronavirus a provoqué une augmentation d’environ 100 millions de personnes vivant dans l’extrême pauvreté. Ce n’est pas à cause du COVID-19. C’est à cause des mesures draconiennes que nous avons mises en place »

 

(Pr Peter Gøtzsche, 1 er Décembre 2020). La discordance et la disproportion entre le niveau de dangerosité du virus et l’importance des mesures prises (qui sont en plus totalement hérétiques) sont tellement flagrantes que ça pousse inéluctablement à la conclusion qu’il y a d’autres objectifs derrière. »

 

 

Le collectif insiste pour que le président lise la lettre et annexes de près pour éviter ce qui est arrivé par exemple au gouvernement philippin.

 

« Ne faites pas l’erreur de sous-estimer notre lettre ou de l’ignorer. Voici 2 exemples de ce qui se passe lorsqu’un gouvernement fait cette erreur.

 

Malgré les alertes de plusieurs experts sur le danger du Dengvaxia (vaccin contre la dengue), le gouvernement Philippin a décidé en 2016 de lancer une campagne de vaccination qui s’est terminée, plus tard, par un scandale d’état. En effet, selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades.

 

Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu « un vaccin dangereux » et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination « massive et indiscriminée », dans des conditions déplorables. Ce vaccin s’annonçait pourtant comme un triomphe planétaire. »

 

Le 2e exemple est celui du scandale du vaccin H1N1 qui a été acheté par plusieurs pays malgré les alertes du Dr Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, alerte : « Fausses pandémies ») .Le vaccin a fait, rien qu’en Europe, 1500 victimes de narcolepsie dont 80% d’enfants à tel point que le 24 Novembre 2013, le ministre des Affaires sociales de la Suède, Göran Hägglund, s’est dit prêt à présenter des excuses publiques aux victimes du vaccin contre la grippe A.

 

 

 

Voici les extraits que nous avons choisis de cette lettre au président.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer nos salutations respectueuses. Le collectif international : United Health Professionals

 

 

 

VOILA QUELQUES PISTES DE REFLEXION POUR LE PRESIDENT, nos élus, vos voisins et amis et ennemis qui accepteraient de lire… Diffusons largement.