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L’association Trump Kennedy  permet d’espérer un changement majeur dans la santé, l’agriculture, la protection de la liberté de parole

Discours complet doublé en français de Robert Kennedy Jr. en Arizona en août 24

L’arrivée de D. Trump à la Maison Blanche accompagnée de Robert Kennedy Junior apporte  un immense espoir à nous médecins, soignants qui souffrons depuis plusieurs décennies de la captation des agences de santé par la bureaucratie au service de big  pharma, big agri et plus globalement du capitalisme financier, aboutissant après cinquante ans de malfaisance à des systèmes de santé à la fois  inefficaces et extrêmement couteux[1].  Espérons que R. Kennedy junior réussira à assainir le domaine en supprimant la corruption omniprésente dans leur bureaucratie et qu’ils serviront de modèle pour notre pays. Nous copions les USA depuis plus de 70 ans. Espérons et battons-nous pour informer et les suivre dans cette voie.  Nous sommes très optimistes, connaissant depuis plusieurs années Robert Kennedy. Nous avons apprécié sa sincérité, sa droiture, sa fidélité, sa gentillesse et son immense travail à travers ses livres et son association children ’s health defense[2]. Nous nous réjouissons donc que le président Trump lui confie ces tâches majeures, tant pour les USA que pour l’ Occident globalement et singulièrement notre pays la France. Make France Great Again….

Robert a assisté à l’âge de 6 ans à sa première convention démocrate et expose tous les changements advenus en plusieurs décennies qui l’ont amené tout récemment à se rallier à Trump.

Les médias n’ont pas réussi à faire taire ses idées, malgré la censure et la caricature systématiques de ses opinions. Il a suspendu sa campagne pour la présidence. Trois grandes causes motivent ses combats actuels : la liberté d’expression, la guerre en Ukraine et la guerre contre les enfants.

 

Voici quelques extraits de la transcription de la vidéo jointe centrés sur les dérives du parti démocrate, les obstacles élevés contre sa candidature par le parti démocrate et le président Biden et sur les dérives de la politique fédérale de santé.

Les dérives du parti démocrate

« J’ai assisté à la convention démocrate à l’âge de 6 ans pour la présidence et à cette époque les démocrates étaient les champions de la Constitution et des droits civiques.

 

Les démocrates s’opposaient au régime totalitaire, à la censure au colonialisme, à l’impérialisme et aux guerres injustes. Nous étions le Parti des Travailleurs de la classe ouvrière, le parti de la transparence gouvernementale et les champions de l’environnement. Notre parti était le rempart contre les intérêts de l’argent et le pouvoir des entreprises. Fidèle à son nom, c’était le  parti de la démocratie.

 

Comme vous le savez j’ai quitté ce parti en octobre 2023 car il s’était éloigné de manière si dramatique des valeurs fondamentales avec lesquelles j’ai grandi. Il est devenu le parti de la guerre, de la censure, de la corruption, des big pharmas, des big tech, de l’agro-industrie et de l’argent.

 

Quand il a abandonné la démocratie en annulant les primaires pour dissimuler le déclin cognitif du président en exercice, j’ai quitté le  parti pour me présenter comme indépendant.

 

 

 

Les obstacles élevés contre sa candidature par le parti démocrate et le président Biden

 

La majorité des politiques et du journalisme américain a ridiculisé ma décision! Le consensus disait qu’il était impossible même de  figurer sur le bulletin de vote en tant qu’indépendant, car chaque État impose un enchevêtrement  insurmontable de règles arbitraires pour la collecte des signatures.  J’aurais besoin de plus d’un million de signatures, ce qu’aucun candidat indépendant à la présidentielle n’avait jamais réalisé dans l’histoire, et ensuite j’aurais besoin d’une équipe d’avocats et de millions de dollars pour gérer toutes les contestations  juridiques des démocrates.

 

 Nos détracteurs disaient que nous escaladions une montagne de l’impossible :  alors la première chose que je veux vous dire,  c’est que nous avons prouvé qu’ils avaient tort. Nous l’avons fait parce qu’à l’abri des radars des organes des médias grand public, nous avons inspiré un mouvement politique indépendant massif plus de 100000 bénévoles. Ils se sont mobilisés espérant pouvoir inverser le déclin de notre nation. Beaucoup ont travaillé des journées de 10h parfois dans des tempêtes de neige ou dans une chaleur  torride; ils ont sacrifié du temps en famille, des engagements personnels et du sommeil, mois après mois, dynamisés par une  mission partagée d’une nation guérie de ces divisions.

 

 Ils ont installé des stands  dans des églises et des marchés, ils ont fait du porte à porte en Utah et dans le  New Hampshire. Les bénévoles ont collecté des signatures lors de tempête de neige, convainquant chaque supporter de s’arrêter dans un froid glacial, d’enlever leurs gants et de signer lisiblement.

 

 Pendant une vague de chaleur  au Nevada j’ai rencontré un bénévole grand et athlétique qui m’a joyeusement dit qu’il avait perdu 25 livres, 13 kg en récoltant des signatures sous une chaleur de 117° fahrenheit, pour financer cet effort. De  jeunes Américains ont donné l’argent de leur épargne et des personnes âgées ont renoncé à une partie de leur chèque de pension.

 

Notre organisation couvrant les 50 états a recueilli un million de signatures et plus encore.

 

Aucune campagne présidentielle dans l’histoire politique américaine n’a  jamais fait cela. Je veux donc remercier tous ces bénévoles dévoués et féliciter le personnel de campagne qui a coordonné cet exploit logistique  énorme.  Vos réalisations étaient considérées comme impossibles, vous m’avez porté au plus haut de cette montagne.

 

 Vous avez réalisé un miracle, vous avez accompli ce que tous les experts disaient  impossible, vous avez ma plus profonde gratitude et je n’oublierai jamais cela non seulement par ce que vous avez fait  pour ma campagne, mais pour les sacrifices que vous avez fait parce que vous aimez votre  pays, vous avez montré à tout le monde que la démocratie est encore possible.

 

Ici elle continue de survivre dans la  presse et dans les énergies humaines idéalistes qui prospèrent encore sous un voile de négligence et de corruption des  institutions.

 

 Aujourd’hui je suis ici pour vous dire que je ne laisserai pas vos efforts vains. Je suis ici pour vous dire que je vais tirer parti de vos formidables réalisations pour servir les idéaux que nous partageons, les idéaux de paix, de prospérité, de liberté, de santé, tous les idéaux qui ont motivé ma campagne.

 

 Je suis ici aujourd’hui pour décrire le chemin que vous avez ouvert par votre engagement et votre dur labeur. Maintenant dans un système honnête je crois que j’aurais gagné l’élection dans un système dans lequel mon père et mes oncles prospérait, un système avec des débats ouverts, avec des primaires justes, avec des débats programmés régulièrement des primaires avec des médias vraiment indépendants, non attachés à la propagande gouvernementale et la censure dans un système de tribunaux, et de commission électorale non partisane.  Tout serait différent.  Les sondages ont constamment montré que je battais chacun des deux candidats tant en popularité qu’en affrontement direct. Je suis désolé de dire que bien que la démocratie soit encore vivante à la base, elle est devenue guère plus qu’un slogan pour nos institutions politiques pour nos médias ou pour notre gouvernement, et encore plus triste pour moi, pour le Parti démocrate.

 

Au nom de la sauvegarde de la démocratie,  le Parti démocrate s’est employé à démanteler et à fragiliser la confiance en son candidat pour gagner l’élection. Le parti démocrate a mené une guerre juridique permanente contre à la fois le président Trump et moi-même chaque fois que nos bénévoles ont remis ces énormes boîtes de signatures nécessaires pour être sur le bulletin de vote. Les démocrates nous ont traîné en justice état après état tentant d’effacer le travail de nos bénévoles et de subvertir la volonté des électeurs qui avaient signé ces pétitions.  

 

Le parti démocrate a chargé des juges proches de lui pour me jeter, ainsi que d’autres candidats, hors du bulletin de vote et pour emprisonner le président Trump. Ses dirigeants ont organisé une primaire truquée pour empêcher tout défi sérieux au président Biden, puis lorsqu’ils se sont rendus compte de la prévisible mauvaise performance lors du débat, ils ont opéré un coup d’État contre le président Biden.  Les mêmes responsables démocrates ont nommé son successeur également sans élection :  ils ont installé un candidat si impopulaire auprès de leurs électeurs qu’elle s’était retiré en 2020 sans gagner un seul délégué.

 

Mon oncle et mon père adoraient les débats ils se vantaient de tenir tête à n’importe quel adversaire dans la bataille des idées. il serait étonné d’apprendre qu’un candidat présidentiel du Parti démocrate qui comme la vice-présidente Harris n’a pas participé à une seule interview ou une seule rencontre non scriptée avec des électeurs depuis 35 jours : c’est profondément antidémocratique.  Comment les gens peuvent-ils juger s’ils ne savent pas  qui ils choisissent et pour qui passe- t-on auprès du reste du monde ?

 Mon père et mon oncle étaient toujours conscients de l’image de l’Amérique à l’étranger à cause du rôle de notre nation en tant que modèle de la  démocratie, de modèle des processus démocratiques et le leader du monde  libre au lieu de nous montrer sa substance et son caractère le parti démocrate  et ses organes médiatiques ont fabriqué une montée de popularité pour la vice-présidente Harris fondée sur absolument rien,  aucune politique, aucune interview, pas de débat, seulement des effets de fumée et  des ballons dans un cirque.

 Une série d’orateurs démocrates ont mentionné Donald Trump 147 fois rien que le premier jour pour inciter à détester Trump.  en revanche lors de la convention républicaine le président Biden n’a été mentionné que deux fois en 4 jours

 

J’ai fait des interviews tous les jours beaucoup d’entre vous ici dans la pièce m’ont interviewé.  Quiconque le demande peut m’interviewer. Certains jours j’en ai fait une dizaine. Le président Trump qui a effectivement été nommé et a gagné une élection fait également des interviews quotidiennement quand le Parti démocrate a choisi un démocrate qui n’a fait aucune interview et aucun débat pendant tout un cycle électoral.  

Comment est-ce possible ? nous connaissons les réponses : ils l’ont fait en utilisant les agences gouvernementales, ils l’ont fait en abandonnant la démocratie. Ils l’ont fait en poursuivant l’opposition en justice  et en privant les électeurs américains de leurs droits.

Ce qui m’inquiète le plus, ce n’est pas la manière dont le parti démocrate gère ses affaires internes ou dirige ses candidats, ce qui m’inquiète c’est le recours à la censure et au contrôle des médias ainsi que l’instrumentalisation des agences fédérales. « 

 

La censure organisée aux plus hauts niveaux de l’état.

« Quand un président des États-Unis collabore avec, ou contraint directement les entreprises médiatiques à censurer le discours politique, c’est une attaque contre notre droit le plus sacré à savoir la liberté d’expression et c’est le droit même sur lequel repos tous nos autres droits constitutionnels

 

Le président Biden s’est moqué de la trop belle victoire à 88 % de Vladimir Poutine lors des élections russes arguant que Poutine et son parti contrôlait la presse russe et que Poutine empêchait les adversaires sérieux de figurer sur le bulletin de vote mais ici, en Amérique, le parti démocrate a également empêché les opposants de figurer sur les bulletins de vote et les chaînes de télévision se sont comportées en tant qu’organe du Parti démocrate. Au cours de plus d’une année de la campagne, alors que mes chiffres de sondage atteignaient parfois 20 % d’intention de vote, les réseaux médiatiques grand public, alignés sur le parti démocrate ont maintenu un embargo presque parfait sur mes interviews pendant ces 10 mois de campagne présidentielle.

 

En 1992 un candidat avait donné 34 interviews sur les grands réseaux publics ; en revanche au cours des 16 derniers mois, depuis ma déclaration et mon annonce à la candidature à la présidence, ABC NBC CBS MSNBC et CNN ne m’ont accordé que deux interviews en direct.  Ces réseaux ont plutôt diffusé un déluge continu d’articles diffamatoires avec des insultes souvent fausses et diffamatoires. Certains de ces mêmes réseaux ont conspiré avec le dnc pour me garder hors de la scène du débat. Les représentants de ces réseaux sont dans cette salle en ce moment et je vais juste prendre un moment pour vous demander de considérer les nombreuses façons dont vos institutions ont renoncé à cette responsabilité vraiment sacrée :

le devoir d’une presse libre de protéger la démocratie et de toujours contester le parti au pouvoir. Au lieu de maintenir cette posture de scepticisme féroce envers l’autorité vos institutions se sont faites porte-parole du gouvernement et sténographe des organes du pouvoir.

 

Vous n’avez pas causé seuls la dégradation de la démocratie américaine mais vous auriez pu empêcher la censure des réseau sociaux par le Parti démocrate.

 

Cette semaine, un juge fédéral a confirmé mon injonction contre le président Biden qualifiant le projet de censure par la Maison Blanche de « la violation la plus flagrante du

premier amendement dans l’histoire des États-Unis d’Amérique » Dans sa décision de 150 pages il détaille comment, seulement 37 heures après avoir prêté serment pour défendre la Constitution, le président Biden et sa Maison Blanche ont invité la CIA et le FBI et d’autres agences gouvernementales à se comporter comme une agence de censure : c’est le centre du complexe industriel de la censure mais aussi le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis et l’ Internal Revenue Service et d’autres agences pour me censurer ainsi que d’autres dissidents politiques. Sur les réseaux sociaux encore aujourd’hui, les utilisateurs qui essayent de publier mes vidéos de campagne sur Facebook ou YouTube reçoivent des messages disant que ce contenu viole les standards de la communauté. 2 jours après que le juge a rendu sa décision cette semaine, Facebook attacha encore des étiquettes d’avertissement à une pétition en ligne  demandant à ABC de m’inclure dans le débat. Ils ont dit que cela violait leurs standard de communauté.

 

Les médias grand public étaient autrefois les gardiens du premier amendement et des principes démocratiques et ils ont rejoint cette  attaque systémique contre la démocratie. ils justifient également leur  censure au motif de combattre la Désinformation, mais les gouvernements et les oppresseurs ne censurent pas les Mensonges, ils n’ont pas peur des mensonges, ils craignent la vérité et c’est ça qu’ils censurent :  je ne veux pas que tout cela ressemble à une plainte personnelle car ce n’est pas le  cas pour moi, cela fait partie d’un voyage et c’est un voyage dans lequel je me suis inscrit, mais je dois faire ces observations parce que je pense qu’elles sont essentielles. (….) »

 

 

Les rencontres entre Trump et Kennedy Junior et leur partenariat.

« Moins de 2 heures après l’attentat auquel le président Trump a échappé de justesse, on m’a appelé sur mon téléphone (…) me considérant comme le principal défenseur de la sécurité alimentaire et de la régénération des sols et de la lutte contre l’épidémie de maladie chronique qui détruit la santé de l’Amérique et ruine notre économie. Il m’a dit qu’il était impatient de me parler de la maladie chronique et d’autres sujets et d’explorer des possibilités de coopération.

Le président Trump m’a téléphoné quelques minutes plus tard. Je l’ai rencontré le lendemain, et à nouveau quelques semaines plus tard en Floride avec les membres de sa famille et certains de ses conseillers proches. Au cours de discussions longues et intenses j’ai été surpris de de découvrir  que nous étions alignés sur de nombreuses questions clés.

 

 Il a suggéré que nous unissions nos forces. Nous avons également parlé d’Abraham Lincoln qui avait utilisé la même stratégie : cet arrangement nous permettait de désapprouver publiquement, mais aussi en privé et férocement si nécessaire les questions sur lesquelles nous divergions tout en travaillant ensemble sur les questions existentielles sur lesquelles nous sommes en accord. »

 

« Nous sommes alignés sur de nombreuses questions clés comme la fin des guerres sans fin, la fin de l’épidémie de maladie infantile, la sécurisation des frontières et la protection de la liberté d’expression mais aussi le démantèlement des agences de réglementation capturées par les entreprises, la sortie des agences de renseignement américaines des affaires  de propagande, de censure et de surveillance des Américains, et aussi de l’ingérence dans les élections.

Après discussion avec le président Trump j’ai essayé sans succès d’ouvrir des discussions similaires avec la vice-présidente Harris la vice-présidente qui a refusé de me rencontrer ou même de me parler.

Le président Trump a le potentiel de nous rassembler : alors permettez-moi de partager un peu pourquoi je crois que c’est si urgent. »

 

Une politique de santé catastrophique.

 Aujourd’hui, nous dépensons plus en soin de santé que n’importe quel autre pays sur terre deux fois plus que ce qu’ils payent en Europe et pourtant nous avons les pires résultats de santé de tous les pays du monde.  Nous sommes environ 79 ième  en terme  de résultats de santé derrière le Costa Rica, le Nicaragua et la Mongolie et d’autres pays.

 

 personne n’a un fardeau de maladies chroniques comme nous et pendant l’épidémie de covid nous avons eu le plus grand nombre décès de décès de  tous les pays du monde nous avons eu 16 % de décès dû au covid pourrait 0,2 % de la population mondiale.

 

l’Américain moyen qui est mort du covid avait 3,8 maladies  chroniques,  personnes qui avaient un effondrement de système immunitaire.

 

Aucun autre pays n’a quelque chose de similaire : 2/3 des Américains adultes et enfants souffrent  de problème de santé chronique :  il y a 50 ans ce chiffre était   inférieur à 1 % nous sommes donc passés de 1 % à 66 %.

 

En Amérique 74 % des Américains sont maintenant en surpoids ou obèses.

 50 % sont des enfants.

 

 il y a 120 ans quand quelqu’un était obèse, il était envoyé au cirque littéralement !

 

 l’obésité est presque inconnue au Japon le taux d’obésité infantile est   de 3 % contre 50 % .

La moitié des Américains sont prédiabétiques ou ont un  diabète de type 2. Quand mon oncle était président et que j’étais enfant le diabète juvénile était  effectivement inexistant un pédiatre type voyait un cas de diabète pendant toute sa carrière de 40 ou 50 ans.

 

Aujourd’hui un enfant sur 3 qui franchit la porte de son cabinet est

diabétique ou prédiabétique et le trouble mitochondrial qui cause le diabète cause également la maladie  d’Alzheimer. Ce  qui est maintenant classé comme diabète coute à ce pays plus que  notre budget militaire

 

 Chaque année il y a une explosion de maladies neurologiques chez les enfants : hyperactivité TDAH,   retard de la parole, retard sur le langage, syndrome de Tourette, narcolepsie, syndrome d’Asperger, autisme.

 

 En l’an 2000 le taux d’autisme était de 1 sur 1500, maintenant le taux d’autisme chez les enfants est de 1 sur 36 selon le CDC à l’échelle nationale et personne n’en parle !

 

Un enfant sur 22 en Californie est autiste.  C’est une crise : 77 % de nos enfants sont trop

Handicapés pour servir dans l’armée américaine

 

Qu’est-ce qui se passe dans notre pays ? (…)   Dans ma génération, chez les hommes de 70 ans, les taux d’autisme étaient d’environ de 1 sur 10000 et la génération de mes enfants 1 sur 34 : je répète en Californie 1/ 22 !

 

 18 % des adolescents américains souffrent maintenant de stéatose hépatique : c’est un sur 5. Cette maladie, quand j’étais enfant, n’affectait que les alcooliques en phase terminale qui étaient âgés.

 

 Les taux de cancer sont en plein essor chez jeunes et vieux : les cancers des jeunes adultes sont en hausse de 79 %

 

Une femme américaine sur 4 prend des antidépresseurs 40% des adolescents ont des problèmes de santé mentale, et un million d’enfants prennent des ISRS (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, classe d’antidépresseurs.

 

 

Qu’est-ce qui cause cette souffrance ?  Je vais nommer deux coupables

 

le premier et le pire et la nourriture ultra transformée : environ 70 % de l’alimentation des enfants américains est ultra transformé : cela signifie qu’elles sont fabriquées industriellement dans une usine.

 

Ces aliments sont composés principalement de sucre transformé de grains ultra transformés et d’huile végétale. Des scientifiques, dont beaucoup travaillaient autrefois pour l’industrie du tabac, ont acheté toutes ces grandes entreprises alimentaires dans les années 1970 -1980.  Ils ont déployé des milliers de scientifiques pour trouver de nouveaux produits chimiques pour rendre la nourriture plus addictive.

 

Ces ingénieurs n’existaient pas il y a 100 ans.  Les ,humains ne sont pas biologiquement adaptés pour manger ce genre de chose, ces centaines de ces produits chimiques maintenant interdits en Europe mais omniprésents dans les aliments transformés américains.

 

 Le deuxième coupable :  les produits chimiques  toxiques dans notre alimentation dans nos médicaments,  et dans notre environnement. Les pesticides, les additifs alimentaires les médicaments pharmaceutiques et les déchets toxiques imprègnent chaque cellule de notre corps.

 

Cette attaque contre les cellules et les hormones de nos enfants est incessante et pour ne nommer qu’un problème, beaucoup de ces produits chimiques augmentent les œstrogènes.

 

 Comme les jeunes enfants ingèrent tellement de ces perturbateurs hormonaux, le taux de puberté en Amérique survient maintenant dès l’âge de 10 ans, de 10 à 13 ans soit 6 ans plus tôt qu’ en 1900 quand les filles atteignaient la puberté

 

Notre pays a un taux de puberté le plus précoce de tous les continents sur terre. Non ce n’est pas à cause d’une meilleure nutrition, ce n’est pas normal !  Le cancer du sein est également favorisé par les œstrogène et frappe maintenant une femme sur 8.

 

 

Nous empoisonnons massivement tous nos enfants et nos adultes

 

Compte tenu du coût humain accablant de cette épidémie tragique de maladie chronique, il semble presque grossier de mentionner les dommages qu’elle cause à notre économie, mais je le dirais : elle paralyse les finances de notre nation !

 

Quand mon oncle était président, notre pays ne dépensait rien pour les maladies chroniques. Aujourd’hui les dépenses de santé publique du gouvernement sont presque toutes consacrées aux maladies chroniques et c’est le poste budgétaire le plus en croissance, la maladie chronique coûte le plus à l’économie dans son ensemble : ça coûte au moins 4000 milliards de dollars

 

Dans les communautés minoritaires ce fardeau est disproportionné les personnes qui s’inquiètent de la diversité de l’inclusion et du sectarisme de toute nature éclipsent ça.

 

Nous empoisonnons les pauvres, nous empoisonnons systématiquement les minorités au travers de ce pays de l’industrie. On fait en sorte que la plupart des programmes de distribution d’aide alimentaire pour le déjeuner 70 % des bons alimentaires 70 ou 77 % des déjeuners scolaires soient des aliments transformés…

 

 Il n’y a pas de légumes, il n’y a rien que vous voudriez manger !   Nous empoisonnons juste les citoyens pauvres et c’est pour ça qu’ ils ont le fardeau des maladies chroniques le plus élevé de tous les groupes démographiques dans notre pays et le plus élevé au monde !

 

 La même industrie alimentaire a fait pression pour que presque toutes les subventions agricoles, les cultures de base qui sont les matières premières de l’industrie alimentaire   transformée, détruisent les petites exploitations agricoles.  Elles détruisent nos sols.

 

 Nous donnons plus en subvention au tabac qu’en fruits et légumes !  Ça n’a aucun sens si nous voulons un pays en bonne santé.

 

 

La bonne nouvelle est que nous pouvons changer tout ça, même très très rapidement.

 

 L’Amérique peut redevenir saine

 

 Pour se faire nous devons faire trois choses prioritairement :

1 nous devons   éradiquer la corruption dans nos agences de santé

 2 nous devons changer les incitations dans notre système de santé

 3 nous devons inspirer les Américains à redevenir sains

 

80% des subventions vont à des personnes ayant des conflits d’intérêt. Joe Biden vient de nommer un nouveau panel pour décider des recommandations alimentaires.

Mais ce sont tous des gens de l’industrie, des gens des entreprises alimentaires transformées.  Ils décident de ce que les Américains vont entendre être sains, des recommandation sur la pyramide alimentaire de ce qui va dans les programmes de déjeuners scolaires..

 

 Vous le savez tous :   les programmes de bons alimentaires sont construits par des individus corrompus avec conflits d’intérêt.  Ces agences :  la FDA (agence de santé américaine, l’USDA  (Us department of agriculture ) et le CDC (centres de contrôle des maladies, un fédéral et un par état) sont toutes contrôlées par des entreprises géantes à but lucratif.

 

75 % du financement de la FDA ne provient pas des contribuables, mais de l’industrie pharmaceutique. Les cadres de l’industrie pharmaceutique, les consultants et les employés  font des allers-retours dans ces agences (des entreprises big pharma aux agences et vice versa).

 

Avec le soutien du président Trump, je vais changer cela : nous allons doter ces agences de scientifiques et de médecins honnêtes dépourvus de financement de l’industrie.
Nous allons nous assurer que les consommateurs, médecins et patients soient informés par une science impartiale.

 

Un enfant malade est la meilleure chose pour l’industrie pharmaceutique !

 Quand les enfants américains ou adultes tombent malades avec une maladie chronique, ils sont mis sous médicament toute leur vie. Imaginez ce qui se passe ! 

Un exemple : Ozempic (sémaglutide ) est  recommandé comme coupe faim pour les enfants dès l’âge de 6 ans, tout cela pour obésité  complètement évitable et qui n’existait presque pas il y a 100 ans.74 % des Américains sont obèses :  le coût si tous prenaient leur prescription, serait de 3000 Milliards de dollars par an :  médicament fabriqué par Novo Nordisk

la plus grande entreprise d’Europe, entreprise danoise.
Le gouvernement danois ne le recommande même pas : il recommande de changer de régime alimentaire pour traiter l’obésité et de faire de l’exercice.  Dans notre pays, la recommandation maintenant, c’est l’Ozempic pour les enfants dès 6 ans.

 La plus grande entreprise d’Europe et pratiquement toute sa valeur boursière repose sur ses projections de ce qu’elle va vendre d’ozempic à l’Amérique !

 

Nous avons les lobbyistes alimentaires qui ont un projet de loi devant le Congrès, aujourd’hui soutenu par la Maison Blanche, par la vice-présidente Harris et le président Biden pour permettre que cela se produise !  Cette clause de 3000 milliards de dollars qui va ruiner notre pays. Pour une fraction de ce montant, nous pourrions acheter de la nourriture biologique pour chaque famille américaine, trois repas par jour et éliminer complètement le diabète.
Nous allons ramener des aliments sains dans les déjeuners scolaires, nous allons cesser de subventionner les pires aliments avec nos subventions agricoles, nous allons éliminer les produits chimiques toxiques de notre alimentation, nous allons réformer tout le système alimentaire et pour cela nous avons besoin d’un nouveau leadership à Washington parce que maintenant les Partis démocrate et républicain sont de mèche avec les grands producteurs alimentaires et Big culture qui compte parmi les principaux donateurs des démocrates.


La vice-présidente Harris n’a montré aucun intérêt à aborder cette question. Quatre années supplémentaires de règne démocrate achèveraient la consolidation du pouvoir des entreprises et des néoconservateurs et nos enfants seront ceux qui souffriraient le plus.

 

 Je me suis impliqué dans les maladies chroniques il y a 20 ans, non pas parce que je l’avais choisi ou voulu, mais cela m’a essentiellement été imposé car ce problème aurait dû être central pour le mouvement environnemental qu’il l’a oublié.

 

 J’étais un leader central de la protection de l’environnement à cette époque ; mais il était largement ignoré par toutes les institutions y compris les organisations à but non lucratif qui auraient dû protéger nos enfants contre ces toxines.

C’était un problème orphelin et j’avais une faiblesse pour les orphelins : j’ai vu des générations d’enfants devenir de plus en plus malades : j’avais 11 frères et sœurs et

7 enfants moi-même : j’étais conscient de ce qui se passait dans leur classe et avec leurs amis et j’ai vu ces enfants malades de cette génération, presque tous endommagés et personne au pouvoir ne semblait s’en soucier ou même le remarquer.

 

Pendant 19 ans, j’ai prié chaque matin pour que Dieu me mette en position de mettre fin à cette calamité, la crise des maladies chroniques. Cela a été l’une des principales raisons pour laquelle je me suis présenté à la présidence, avec la fin de la censure et  de la guerre en Ukraine, mais la raison pour laquelle j’ai pris la décision déchirante de suspendre ma campagne et de soutenir le président Trump.

 

Cette décision est déchirante pour moi en raison des difficultés qu’elle cause à ma femme et à mes enfants et à mes amis, mais j’ai la certitude que c’est ce que je dois faire et cette certitude me donne la paix intérieure même dans les tempêtes.

 

Si j’ai la chance de résoudre la crise des maladies chroniques, de réformer notre production alimentaire je promets que dans 2 ans nous verrons le fardeau des maladies chroniques diminuer de manière significative. Nous rendrons l’Amérique saine à nouveau et dans 4 ans l’Amérique sera un pays en bonne santé. Nous serons plus fort plus résilients, plus optimistes  et plus heureux.

 

 je ne vais pas échouer en fin de compte car  l’avenir quelle que soit la manière dont il se déroule, est entre les mains de Dieu et entre les mains des  électeurs américains et de celle du président Trump.

 

 Si le président Trump est élu et honore sa parole le fardeau immense des maladies chroniques qui démoralise et ruine le pays disparaîtra.

 

C’est un voyage spirituel pour moi, après une prière profonde à travers une logique rigoureuse, je me suis demandé quelle décision je devais prendre pour maximiser mes chances de sauver les enfants d’Amérique et de restaurer la santé nationale.

 

J’ai ressenti que si je refusais cette opportunité, je ne pourrais pas me regarder dans le miroir sachant que j’aurais pu sauver la vie d’innombrables enfants et d’inverser l’épidémie de maladies chroniques dans ce pays. (..)

 

 Le président Trump m’a dit qu’il voulait que ce soit son héritage, je choisis de croire qu’il tiendra parole. Son fils, ses plus grands donateurs, ses amis les plus proches, tous soutiennent cet objectif. Mon adhésion à la campagne de Trump sera un sacrifice difficile pour ma femme et mes enfants, mais cela en vaudra la peine s’il y a même une petite chance de sauver ces enfants.  En fin de compte, la seule chose qui sauvera notre pays, ce sont nos enfants, si nous choisissons d’aimer nos enfants plus que nous nous détestons les uns les autres.

 

 C’est pourquoi j’ai lancé ma campagne pour unifier l’Amérique.

 

Mon père et mon oncle ont laissé une marque si durable sur le caractère de notre nation, pas autant par la politique particulière qu’ils ont promue, mais parce qu’ils ont été capables d’inspirer un amour profond pour notre pays et de fortifier notre sentiment de nous-même en tant que communauté nationale unie par des  idéaux.

 

Ils ont pu mettre leur amour dans les institutions et le cœur des Américains ordinaires et unifier un mouvement populiste national d’Américains noirs et blancs, hispaniques, urbains et ruraux en inspirant de l’amour, de grands espoirs  et une culture de la gentillesse qui continuent de rayonner parmi les Américains, grâce à leur  mémoire. C’est l’esprit dans lequel j’ai mené ma campagne, et j’ai l’intention de porter la campagne du président Trump.

 

 Au lieu de vitriol et de polarisation, je vais faire appel aux valeurs qui nous unissent, aux objectifs que nous pourrions atteindre si seulement nous n’étions pas à la gorge des uns et des autres.

 Le thème le plus unificateur pour tous les Américains est que nous aimons tous nos enfants. Si nous nous unissons autour de cette question, maintenant, nous pourrons enfin leur offrir la protection la santé  et l’avenir qu’ils méritent

  Merci à tous.

 

Voici quelques éléments des choix de RFK  confirmés après l’élection du président Trump, le 6 nov 24

En particulier sur les vaccins (après les attaques le traitant d’antivax )

Robert F. Kennedy Jr. : « Je tiens à préciser que je ne veux pas priver les Américains de vaccins. Je ne veux pas imposer mes choix aux Américains. Si les vaccins fonctionnent pour vous, vous devriez pouvoir les obtenir. Et je veillerai à ce que cela soit le cas. Mais les gens doivent pouvoir faire un choix éclairé. Ils doivent donc disposer de données scientifiques fiables qui leur indiquent le coût et les avantages de ces produits, en particulier lorsqu’on leur ordonne de les utiliser. » « 76 millions d’enfants par an doivent les utiliser. Et ce sont des enfants en bonne santé. C’est donc le seul produit médical qui est administré à des personnes en bonne santé. Il faut qu’un produit comme celui-là soit très solide, pour s’assurer qu’il n’y a aucun risque, car vous pouvez prendre certains risques si vous êtes malade pour aller mieux. Bien sûr. Mais si vous n’êtes pas malade, et vous ne devriez pas être obligé de prendre un produit à moins qu’il ne soit infaillible, à moins que vous ne sachiez quels sont les… vous savez, quels sont tous les coûts et les avantages. » « Le problème avec les vaccins, c’est qu’ils ont été introduits à l’origine par le Service de santé publique, qui est l’un des cinq services militaires. C’est pourquoi il existe un médecin général. Et le Service de santé publique les a introduits et les a promus comme une défense de sécurité nationale contre les attaques biologiques contre notre pays. Ils voulaient donc s’assurer que si les Russes nous attaquaient avec de l’anthrax ou un autre agent biologique, ils pourraient rapidement formuler un vaccin et le déployer ensuite auprès de 220 millions de civils américains sans obstacles réglementaires. » « Un produit médical normal prend environ huit ans pour arriver sur le marché, car il doit passer par des essais contrôlés en double aveugle contre placebo et il faut voir les effets à long terme. Il y a de nombreux effets sur chaque produit médical qui ont de longs horizons de diagnostic et de longues périodes d’incubation. Ils ne voulaient pas passer par là parce qu’ils disaient que ce serait une urgence nationale. Donc au lieu de l’appeler un médicament, nous allons l’appeler un produit biologique et nous allons exempter les produits biologiques des études de sécurité préalables à l’homologation. » « Il n’existe donc aucun vaccin de ce programme, parmi les 72 vaccins, qui ait jamais fait l’objet d’une étude de sécurité préalable à l’homologation, contrôlée par placebo, contre un véritable placebo. Et c’est faux, car cela signifie que personne ne sait quels sont les profils de risque de ces produits. Et personne ne peut vous dire si ce produit évite plus de problèmes qu’il n’en cause. » « Et ce que je ferai, vous savez, si on me donne ce poste à la Maison Blanche, c’est que je m’assurerai que ces études soient réalisées, que les comités qui approuvent ces produits soient composés de personnes qui ne soient pas chargées de conflits d’intérêts. C’est donc de la vraie science, que les gens soient désintéressés et que les médecins, les patients et les Américains sachent exactement quels sont les coûts et les avantages de chaque vaccin et puissent prendre une décision rationnelle. »

 

 

 

Et depuis l’élection la confirmation de sa nomination auprès du président le 6 novembre 2024
Robert Kennedy Jr : « Le président Trump m’a demandé de faire trois choses.

Premièrement, il veut que j’élimine la corruption, les conflits d’intérêts et le phénomène de ‘capture d’agence’, c’est-à-dire la capture des autorités de santé publique par des intérêts privés, qui ont détourné ces autorités de leur mission première, à savoir la protection de la santé publique ».
« Leur objectif principal est désormais de faire progresser les intérêts commerciaux des entreprises pharmaceutiques. Oui, et il veut que la corruption soit éliminée.

Deuxièmement, il veut que ces autorités retrouvent leur excellence scientifique d’antan. Il veut que la recherche et le travail scientifique soient à nouveau menés à un niveau fondé sur des preuves, empirique, pour lequel ils étaient célèbres dans le monde entier lorsque nous étions enfants. Ils ont depuis perdu cette réputation, car ils ont été accaparés par l’industrie ».


« Et troisièmement, il veut mettre fin à l’épidémie de maladies chroniques. Le président Trump m’a dit qu’il voulait voir des résultats concrets et mesurables dans les deux ans. Et je lui ai promis que je pouvais y arriver. Nous n’avons pas encore décidé si cela se fera en tant que secrétaire à la santé (HHS Secretary) ou en tant que responsable de la santé à la Maison Blanche. Mais dans tous les cas, nous mettrons fin aux maladies chroniques ».

 

 

 

 

[1] Nouveau Monde — Big Pharma et son hégémonie via l’autoritarisme des agences : un phénomène qui date des années 2000

[2] https://childrenshealthdefense.eu/fr/home-francais/

Ecoutez cette très intéressante vidéo de l’avocat Carlo Brusa qui a crée REACTION19  et s’est beaucoup battu tout au long de la plandémie pour sortir les arguments juridiques capables de nous faire sortir plus vite de cette mascarade planétaire mortifère

gardasil mascarade 

 

Ici Maitre Brusa tente une action juridique pour faire stopper l’injection vaccinale de gardasil en particulier dans les écoles dès cette rentrée !!

 

Merci à lui

 

partagez largement

informez et rejoignez reaction 19

 

LE COMBAT NE FAIT QUE COMMENCER  car ils veulent nous injecter des pseudovax à ARN  (voire superpuissants dits replicants )  il est urgent de rester unis  et d’informer encore et encore

 

 

LA VIDEO DU 4 SEPT 2024

 

Reaction19.fr – 030924 – Gardasil 9 une mascarade vaccinale

 

 

 

 

 

Quelques items

 

mais lisez sa lettre au ministère :040924-lettre-RAR-Minsitere-de-la-Sante-et-de-la-Prevention-

 

 

A la suite des découvertes de l’Association Corvelda italienne (en Italie pas de vax dans les collèges ) il met en exergue que ce qui est déclaré sur le produit gardasil est

 

une   FAUSSE DECLARATION  ( ce qui a été extrait d’une fiole de gardasil  est un Produit non conforme par rapport à la description : deux souches manquent !)

 

 

TROMPERIE  EN BANDE ORGANISEE   CE DOIT ÊTRE SUFFISANT POUR FAIRE INTERDIRE LE PRODUIT

 

CE QUI EST INSCRIT SUR LE PRODUIT N EST PAS LA REALITE

 

 

PAR AILLEURS PRESENCE DE TOXIQUES NON DECLARES   sur le widal   DONC SITUATION JURIDIQUE : mise en circulation d’un produit nuisible pour la santé

 

 

 

 

Faites savoir, connaitre ces informations capitales sur le plan juridique !  la démonstration de l’inefficacité et de la toxicite du Gardasil depuis de nb années n’a pas suffi à éviter cette nouvelle campagne de pub initiée par le président à jarnac au printemps …

 

 

Le Droit va -t-il le permettre ?  Espérons-le

 

 

FAITES LE SAVOIR

 

 

MERCI POUR NOS ENFANTS

 

 

 

 

 

2023 10 10 gardasil résultats et effets secondaires présenté à Marseille le 7 OCT 23

 

2024 06 20 vaccins TV ADP JACKY CASSOU

Halte aux censures qui gangrènent la démocratie

21/04/2024 (2024-04-21)

Par Gérard Delépine

Sans liberté d’expression, pas de démocratie.

Le droit de se déplacer librement et celui d’exprimer ses idées et ses opinions constituent les plus essentiels des droits fondamentaux de l’homme.

La liberté d’expression conditionne l’exercice d’autres libertés comme la liberté d’opinion. Elle est inscrite à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 et rappelée par l’Article 19 de celle de l’ONU : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ». Elle est garantie par la constitution française et de nombreux traités internationaux dont la Convention européenne des droits de l’Homme.

Mais la liberté d’expression insupporte tous ceux qui n’ont pas d’arguments solides pour débattre avec leurs opposants et qui rêvent d’instaurer une censure généralisée pour imposer une pensée unique, premier pas vers le totalitarisme.

Des mairies s’érigent en censeurs

Le dernier exemple en date est la censure des mairies de Paris1 et de Lyon2 contre la publicité pour le livre « Transmania, enquête sur les dérives de l’idéologie transgenre » écrit par les féministes D. Moutot et M. Stern qui estiment qu’une femme est une femme et qu’elle ne doit pas être confondue avec les hommes de naissance qui se déclarent femme trans

On peut être partisan ou adversaire de ce livre, mais dans ce dernier cas il convient de lui opposer des arguments précis démontrant ses faiblesses ou ses erreurs. Le déclarer hérétique et le censurer n’apporte rien au débat, mais constitue un aveu de faiblesse pour éviter toute discussion et un rappel des heures sombres du nazisme brûlant en public les livres qui lui déplaisaient.

L’accusation de discours de haine ne remplace pas des arguments objectifs

Depuis quelques années, quand ils n’ont pas d’arguments objectifs à présenter pour défendre une idéologie, ses promoteurs jugent plus commode d’accuser leurs opposants d’adopter une « attitude discriminatoire » ou de propager un « discours de haine », d’être « d’extrême droite », « complotistes » ou « phobique » (grossophobe, islamophobe, raciste, transphobe, capillarophobe… etc..).

Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la mairie de Paris, a ainsi déclaré « La haine de l’autre n’a pas sa place dans notre ville… Paris n’est pas la vitrine de cette haine crasse » tandis qu’un élu vert de Lyon rajoutait l’accusation de « complotiste »3.

On ne voit pas en quoi un livre, qui critique uniquement une idéologie et les campagnes médiatiques disproportionnées de propagande qui la diffusent, pourrait être haineux ni comment le terme de « complotiste » se justifie concernant une enquête minutieuse citant soigneusement ses sources.

L’identité sexuelle est un fait biologique fondateur de l’identité de tout être humain

Tout homme est différent, tout homme est unique. Reconnaître ses différences lui permet de se forger une identité personnelle, de se définir par rapport aux autres et ainsi de pouvoir les apprécier dans leur originalité, leurs dimensions. Le sexe, comme l’aspect physique et les ascendants font partie de ces caractéristiques fondatrices de l’identité de chacun et les remettre en cause est particulièrement déstabilisateur.

L’apparition de la reproduction sexuée daterait d’un peu plus d’un milliard d’années avec les premiers eucaryotes. Elle a constitué un progrès majeur dans l’évolution des espèces, car elle permet le brassage des chromosomes à chaque génération facilitant la résistance aux pathogènes et l’adaptation aux modifications de l’environnement. La reproduction sexuée s’est ainsi imposée chez toutes les espèces supérieures. L’appartenance au sexe masculin ou féminin est une réalité biologique déterminée lors de la fécondation par les chromosomes sexuels X et Y. Il est donc impossible de changer de sexe.

Le genre n’est qu’un ressenti sans aucun marqueur biologique. La théorie du genre ne constitue qu’une simple idéologie, une croyance sans aucune réalité physique et, comme toute croyance, elle peut être discutée.

Critiquer une croyance ne constitue pas un discours de haine

La critique d’une croyance ne constitue pas un discours de haine, mais seulement l’expression d’une opinion qui appelle au débat. Je ne suis pas chrétien et je critique parfois la doctrine catholique et surtout ses excès lorsqu’elle imposait ses lois à la cité, mais je n’éprouve aucune haine envers cette religion, ni envers ses croyants dont j’apprécie au contraire hautement les principes moraux, fondements de notre société. Le blasphème est d’ailleurs parfaitement autorisé en France depuis la révolution de 1789 et la plupart des chrétiens le tolèrent. Ce qui n’est manifestement pas le cas des militants extrémistes trans qui réagissent comme les convertis à une nouvelle religion.

Critiquer la théorie du genre et tout particulièrement sa propagande médiatique disproportionnée est parfaitement légal en France.

Elle est même nécessaire pour ouvrir le débat public jusqu’ici occulté et pour prendre conscience des conséquences délétères des traitements hormonaux et des chirurgies mutilantes en particulier sur les enfants. Le livre de D. Moutot et M. Stern, comme le nôtre « dysphorie de genre » ne sont pas transphobes, mais tentent au contraire d’aider les personnes mal dans leur peau, à ne pas devenir victimes d’une idéologie à la mode qui attribue, le plus souvent à tort, leur malaise au genre.

Dora Moutot le rappelle clairement sur X4 :

« Notre livre n’est pas transphobe : en aucun cas il ne prône la haine de l’autre et des personnes trans. C’est une enquête sourcée notamment sur les bloqueurs de puberté et sur certains acteurs qui poussent les transitions de genre et en font des profits. »

Le problème a d’ailleurs été bien abordé par André Bercoff sur Sud Radio, et il est dommage que les propagandistes de l’idéologie du genre n’aient pas apporté d’éléments objectifs pour alimenter la discussion.

« C’est intéressant parce que ça me rappelle une phrase de Prévert qui disait il y a des gens qui dansent pour entrer en trans, il y a des gens qui entrent en trans sans danser, ce phénomène s’appelle la transcendance », vous il y a des gens qui entrent en trans pour se donner du genre, et vous avez baptisé ça le transgenre, la transmania, très intéressant, moins rigolote que la star mania, mais quelque part beaucoup plus instructive » 5

Après des années de travail, cibles de toutes les pressions, les deux auteurs signent une enquête fouillée sur les dérives de l’idéologie transgenre qu’elles résument ainsi :

Bienvenue dans un monde où Robert devient Catherine

« Homme enceint », « non-binaire », « iel », « changer de sexe », « naître dans le mauvais corps », « transgenre », ces termes envahissent notre quotidien. Trans par-ci, trans par-là, partout c’est la transmania !

« En France, il est possible d’être légalement reconnu comme femme tout en ayant un pénis. Des hommes se disant femmes remportent des compétitions sportives féminines dans le plus grand des calmes. Des hôpitaux se livrent à des expérimentations médicales sur des enfants dans le but de les faire “changer de sexe”. Et tout incrédule évoquant la binarité des sexes est traîné dans la boue.

C’est l’histoire de l’un des plus gros casses conceptuels du siècle que nous allons te raconter : l’idéologie transgenre est en train de s’infiltrer dans toutes les sphères de la société. Elle se présente comme un simple mouvement pour les droits d’une minorité opprimée, pourtant, derrière les paillettes, se trouve un projet politique néfaste qui s’apprête à bouleverser notre rapport au réel… »

À la lecture des critiques, on réalise que ce livre ne laisse pas indifférent. Quelques-unes le traitent de transphobe sans citer ce qui leur paraît discutable, mais la plupart l’apprécient comme le montrent deux commentaires publiés sur Babelio 6:

Charlottekmnn 15 avril 2024

« Moi qui étais un peu paumée sur le sujet, j’ai appris plein, plein de choses après cette lecture vraiment passionnante et en même temps terrifiante. Je n’avais pas mesuré l’ampleur des conséquences pour ma vie quotidienne en tant que jeune femme qui voudrait peut-être un jour avoir des enfants… »

Beaucoup de thèmes sont abordés, toujours avec sérieux, beaucoup de notes, d’explications. J’ai trouvé ça très didactique, ça se lit très bien et vite malgré la densité d’informations.

GabyLH 17 avril 2024 :

« Un excellent ouvrage sur tous les plans, la forme et le fond. C’est extrêmement sourcé (30 pages de sources) et documenté, on salue l’énorme travail de recherche et de synthèse réalisé. C’est aussi drôle et ça se lit vite. Surtout, tous les points de vue sont considérés et tous les impacts sont traités (conséquences sociales, sanitaires, économiques, environnementales…).

Les auteurs ont plus questionné le mal être/l’origine du sentiment de transidentité que les médecins qui prescrivent à de jeunes adolescents mal dans leur peau (le propre même de l’adolescence) des produits qui les rendront stériles et fragilisent leur squelette à vie !

Vous découvrirez ainsi que les personnes trans souffrent généralement en réalité d’autres pathologies qui sont complètement omises sous couvert du diagnostic de transidentité (auto-diagnostic). Vous découvrirez ce qui se passe dans les pays où l’idéologie avait percé en avance et que la France refuse d’en tirer les leçons.

Vous apprendrez que les produits administrés n’ont pas été testé pour l’usage qui en est fait ainsi que l’identité des gagnants : essentiellement des laboratoires pharmaceutiques.

Vous découvrirez que le mouvement a tous les critères d’un mouvement sectaire (ce passage fait froid dans le dos).

Il ne fait aucun doute qu’un scandale sanitaire est en cours.

Ce livre est à offrir à tous et surtout aux parents. PROTÉGEZ VOS ENFANTS. »

Les trans maniaques devraient réaliser que la censure est contre-productive !

Depuis la crise covid, la volonté de la censure obsède nos dirigeants qui ne supportent pas qu’on mette en évidence leurs mensonges criminels. Procès baillons contre les donneurs d’alerte, lois européennes contre les réseaux sociaux7, pratiques et lois françaises 8 9 dont l’article 4 de la loi Darmanin1011

Mais cette attitude est souvent contreproductive. La dérive totalitaire de certains militants extrémistes trans, leur constante représentation et leur noyautage conflictuel de certains mouvements féministes et homosexuels est responsable de l’augmentation des actes et des lois homophobes et transphobes que l’on constate partout dans le monde et particulièrement en Occident.

L’interdit stimule toujours le désir. La censure aussi. Ces actes de censure imposés par les maires ont fait plus sûrement connaitre le livre et inciter à le lire que la publicité prévue. Le 19 avril 2024 Transmania est devenu premier des ventes sur Amazone

Combattons toute censure qui nie l’intérêt du débat démocratique et constitue le premier pas vers la tyrannie. Défendons âprement, partout et toujours nos droits fondamentaux et en particulier Les droits de se déplacer librement et celui d’exprimer ses idées et ses opinions.

LIBERTE J’ECRIS TON NOM

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

Paul Eluard 1942


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Refusons la tyrannie pseudo-sanitaire que l’OMS veut nous imposer

16/04/2024 (2024-04-13)

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par Dr Gérard Delépine

Durant la crise Covid, l’OMS a été l’instigatrice de mesures contraires aux libertés et aux données de la science. Elles se sont révélées inefficaces contre la maladie, extrêmement dommageables pour les populations qui y ont été soumises et source de profits colossaux pour les élites.

Mais l’OMS, institution non démocratique, non élue et financée à plus de 80 % par des groupes d’influence privés, veut recommencer et, pour y parvenir plus facilement, disposer de pouvoirs supranationaux qui lui permettraient d’imposer une dictature mondiale totale au service de Big Pharma, des GAFAM et des milliardaires.

[Voir aussi :

LETTRE OUVERTE À
ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ

https://openletter-who.com/fr

et :

]

Les dramatiques échecs des recommandations OMS contre le Covid

Les chiffres de l’épidémie de Covid, publiés par l’OMS et mis en courbe par l’université J. Hopkins, montrent qu’aucune des mesures contraignantes de l’OMS (confinements, obligations du port des masques, pass, obligations vaccinales) n’a été efficace contre la maladie. 939 000 scientifiques et médecins de tous les pays du monde l’avaient clairement annoncé par la déclaration du Great Barrington1.

Nous avions, dès le 27 mars 2020, dénoncé l’imposture des confinements aveugles2 3 4 5. La comparaison des données des Pays-Bas (non confinés) et de la Belgique (sévèrement confinée) a depuis illustré leur nocivité tant sur la recrudescence des infections que sur la mortalité. Avant le confinement, le nombre de contaminations journalières et la mortalité par million étaient semblables dans ces deux pays voisins semblables par leurs démographies et leur mode de vie. Le confinement a fait exploser les contaminations puis la mortalité en Belgique, tandis qu’elles augmentaient deux fois moins aux Pays-Bas non confinés.

Nous avions aussi rappelé6 que la littérature internationale7 montrait que le port généralisé du masque ne protège pas des infections virales. Les données OMS l’ont confirmé : lors du pic d’Omicron les français, soumis à l’obligation du masque ont souffert de 50 % de plus de contaminations journalières/million que les Suédois, non masqués (6000/M versus 4000/M).

Les pseudo vaccins recommandés par l’OMS, et présentés par notre ministre de la santé comme très efficaces, ont été incapables de prévenir la transmission de l’épidémie comme chacun a pu l’observer autour de soi et comme le montrent les comparaisons des données OMS entre les pays très vaccinés et les autres :

Et, contrairement à la propagande de l’OMS et des gouvernements occidentaux, les pseudovaccins n’ont pas non plus protégé les populations ni des formes graves, ni de la mort8 9 :

L’OMS a également prétendu que les traitements précoces étaient inefficaces et milité pour leur interdiction, alors que l’usage du traitement Raoult a sauvé les populations des pays qui l’ont utilisé comme la Côte d’Ivoire, le Sénégal ou l’Algérie (ou la proportion de plus de 65 ans est égale à celle de la France)

Totalement inefficaces les recommandations de l’OMS ont été de plus extrêmement dommageables pour les populations qui les ont subies.

Les confinements ont été source de troubles psychologiques graves persistants10 11, de retards scolaires12, de retard de traitements13, de pertes économiques sans précédent14 et d’un endettement colossal15, d’une aggravation mortifère de la famine en Afrique16.

Les masques ont souvent aggravé les infections respiratoires.

Les pseudo vaccins ont été responsables de nombreuses complications en particulier cardiaques (myocardites), neurologiques, de troubles menstruels et de morts subites.

Les mesures Covid de l’OMS ont permis un enrichissement colossal des milliardaires17.

La fortune des milliardaires dans le monde a augmenté en 19 mois de pandémie Covid plus qu’au cours de toute la décennie précédente.

De mars 2020 à octobre 2021, la fortune des milliardaires français a augmenté de 86 %. Les 5 premières fortunes de France ont gagné 173 milliards d’euros et doublé ainsi leur richesse d’avant le début de la pandémie. Ils ont ainsi capté l’équivalent des trois quarts des 240 milliards du « quoi qu’il en coûte »18. Les 5 milliardaires français les plus riches possèdent désormais autant que les 40 % de leurs compatriotes les plus pauvres.

Avec les milliards d’euros engrangés en 19 mois par les milliardaires français, on aurait pu quadrupler le budget de l’hôpital public ou distribuer un chèque de 3500 euros à chaque Français.

La politique de l’OMS est dictée par ses financeurs privés

Lors de sa création par l’ONU en 1948, l’OMS était financée uniquement par les états en fonction de la fortune et de la population de chaque pays. Mais progressivement les principaux états contributeurs, déçus des politiques adoptées, ont diminué leurs contributions tandis que des entités privées (dont des laboratoires pharmaceutiques, Bill Gates et les fondations Gavi et Bill Melinda Gates prenaient le relais.

Lors de l’exercice 2022-2023, seulement 16 % des ressources de l’OMS provenaient des contributions obligatoires des États membres19 tandis que Bill Gates y participait pour près de 40 %, directement ou indirectement, par ses fondations. Bill Gates est devenu le premier financeur de l’OMS et son influence sur les décisions de l’organisme est d’autant plus importante que la majorité de ses contributions sont fléchées, destinées uniquement à un but précis (pour Bill Gates les vaccinations, si possibles obligatoires, pour toutes les maladies, partout et toujours).

German Velasquez, ancien directeur à l’OMS déclarait à l’occasion d’un entretien sur la politique OMS contre le paludisme20 :

«  Les acteurs privés, comme la Fondation Bill et Melinda Gates, ont pris le contrôle de l’organisation. »

En mars 2020, Tim Schwab21 a souligné les risques moraux de la Fondation Gates qui a donné des centaines de millions de dollars à des sociétés dont elle détient des actions ou des obligations, dont Merck, Sanofi, Lily, Pfizer, Novartis, Teva qui font de plus partie des plus grandes entreprises du monde, telles que GlaxoSmithKline qui développent de nouveaux vaccins et médicaments.

Lionel Astruc estime :

« Une telle participation financière devrait être soumise à un droit de regard des États et des citoyens, tant son pouvoir est grand et sa menace lourde sur nos démocraties »22.

Lors d’une interview au Spiegel23 l’épidémiologiste Tom Jefferson, démontrait les conséquences de la privatisation de l’OMS lors de la crise de la grippe H1N1 :

« Une des caractéristiques les plus ahurissantes de cette grippe, et de tout le roman-feuilleton qui en a découlé, est que, année après année, des gens émettent des prévisions de plus en plus pessimistes. Jusqu’à présent, aucune ne s’est jamais réalisée et ces personnes sont toujours là, à répéter leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais, ce n’est pas cela qui arrête ces gens de faire leurs prédictions. Parfois, on a le sentiment que c’est toute une industrie qui se prête à espérer une pandémie… L’OMS et les responsables de la santé publique, les virologistes et les laboratoires pharmaceutiques ont construit tout un système autour de l’imminence de la pandémie. Beaucoup d’argent est en jeu, ainsi que des réseaux d’influence, des carrières et des institutions tout entières ! Et il a suffi qu’un des virus de la grippe mute pour voir toute la machine se mettre en branle… « Ne trouvez-vous pas frappant que l’OMS ait modifié sa définition de la pandémie ? L’ancienne définition parlait d’un virus nouveau, à propagation rapide, pour lequel l’immunité n’existe pas, et qui entraîne un taux élevé de malades et de décès. Aujourd’hui, ces deux derniers points sur les taux d’infection ont été supprimés, et c’est ainsi que la grippe A est entrée dans la catégorie des pandémies ».

Lors de la crise H1N1, l’OMS et les gouvernements n’avaient pas réussi à convaincre les populations de la réalité du danger et de l’utilité des vaccins, car les médecins étaient septiques et les médias partagés. Leurs bénéfices des milliardaires ont été moindres qu’espérés, mais ils en ont tiré les enseignements. Lors du Covid, ils contrôlaient totalement l’information officielle et ont disqualifié et/ou interdit les médecins prudents qui s’exprimaient.

L’argent est une drogue très addictive et les super riches en veulent toujours plus. Ils poussent l’OMS à s’arroger encore plus de pouvoir pour asservir davantage et mieux bâillonner les populations lors de la prochaine prétendue épidémie. C’est le but réel des modifications que l’OMS veut apporter au traité sanitaire international (RIS).

Les propositions totalitaires mondiales de l’OMS24 25 26

Le neuvième cycle de négociations sur l’accord mondial de prévention contre les pandémies a commencé le 25 mars 2024. Le directeur de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus a présenté son projet de Traité contre les Pandémies et un nouveau règlement sanitaire international prévoyant des transferts majeurs de souveraineté des pays membres vers l’OMS afin de lui permettre de décider d’une politique sanitaire mondiale contraignante à appliquer partout.

1°) Ce projet veut rendre obligatoires les décisions de l’OMS qui jusque-là n’étaient que des recommandations non contraignantes.

2°) Son article 4 veut limiter la souveraineté des états en stipulant « le droit souverain des États n’existe que dans la mesure où les activités des États ne nuisent pas à leurs populations, ni aux autres pays ».

3°) Son article 15 confierait au Directeur général le pouvoir exorbitant de décider seul s’il y a une urgence sanitaire et de son ampleur avec une vaste extension des éventualités pour justifier une urgence, incluant non plus seulement les pandémies, mais aussi le changement climatique, la perte de diversité…

4°) L’article 18 du règlement sanitaire international (RSI) permettrait à l’OMS :

  • – d’exiger des examens médicaux ou une vaccination ou toute autre mesure prophylactique, et d’en rechercher les preuves ;
  • – de placer en quarantaine les personnes suspectes ou leur appliquer d’autres mesures sanitaires, d’isoler ou de traiter les personnes affectées ;
  • – de rechercher les contacts des personnes suspectes ou affectées ou de les soumettre à un dépistage.

Ces propositions supprimeraient en pratique le consentement libre et éclairé des citoyens aux soins et la liberté de prescription des médecins

5°) Les articles 1 et 2 du traité évoquent les « produits de santé » sur lesquels l’OMS aura une autorité totale de se substituer aux agences sanitaires nationales en s’arrogeant :

  • – Le droit de choisir les produits de santé, alors même que plusieurs contributeurs de l’OMS sont très liés à l’industrie pharmaceutique.
  • – De dresser et publier une liste des produits de santé nécessaires. Détablir et publier des spécifications pour la production des produits de santé nécessaires.
  • – D’élaborer des lignes directrices adéquates à l’intention des autorités de réglementation pour l’homologation rapide des produits de santé (…).
  • – De créer une base de données sur les matières premières et les fournisseurs éventuels.
  • – De créer une bibliothèque des lignées cellulaires pour accélérer la production et l’homologation des produits biothérapeutiques similaires et des vaccins.
  • – De passer en revue et mettre à jour la liste des autorités afin de faciliter les homologations qu’elle jugerait utiles.

6°) L’article 44 et l’article 18 du règlement sanitaire international institueraient une censure mondiale pire que celle qu’on a subie depuis le Covid.

En vue de « contrer la diffusion d’informations erronées ou non fiables » et « combattre les informations fausses et trompeuses ou la désinformation ». La définition des informations « fausses et trompeuses ») serait celle de l’OMS :

« [des informations] qui font “obstacle à l’adhésion aux mesures sociales (…) et qui sapent la confiance envers la science et les institutions de santé publique”. »

L’OMS veut ainsi s’ériger ainsi en juge de la vérité scientifique, grand prête du crédo officiel, pouvant décréter hérétique et censurer toute opinion qui serait contraire aux intérêts de ses financeurs, comme l’a fait d’ailleurs fait en France le gouvernement Macron avec son « conseil scientifique Covid » dont les délibérations sont toujours protégées par le secret défense.

Contre l’OMS, réaffirmons partout nos droits fondamentaux !

Lors d’une conférence de presse à Genève le 28 mai 2023, l’Alliance internationale pour la justice et la démocratie a alerté :

« La centralisation du pouvoir dans les mains de l’OMS menace la démocratie ».

Le président Macron, Ursula von der Leyen et le gouvernement américain actuel sont favorables à ces textes liberticides qui vont être reproposés au vote le 26 mai 2024. S’ils étaient acceptés, nous n’aurions plus de recours légaux.

Si nous voulons refuser que notre santé et nos libertés fondamentales dépendent du bon vouloir de l’OMS, des entreprises privées et des milliardaires qui la financent et qui l’inspirent, c’est maintenant que nous devons nous battre !

Les menaces que ce projet de traité font peser sur nos libertés paraissent autrement plus importantes que la discrimination capillaire qui a récemment occupé nos parlementaires ! Exigeons que l’Assemblée Nationale en débatte, que le Sénat crée une commission d’enquête et/ou que la décision soit soumise à référendum.

Nous ne sommes pas seuls à nous battre pour défendre les libertés fondamentales des citoyens : le Syndicat Liberté Santé27, Bon sens,le Collectif des 300, des juristes français et lInternational Association of Lawyers for Human Rightset bien d’autres au travers le monde se sont déjà mobilisés.

De nombreux pays ont d’ailleurs déjà refusé de donner leur accord aux propositions autoritaires de l’OMS : dont plusieurs nations africaines avec l’Ouganda comme tête de file, mais aussi l’Iran, la Malaisie, l’Estonie, les Philippines et le Brésil28.

Le ministre britannique adjoint aux Affaires étrangères, Andrew Mitchell, a déclaré au Telegraph « qu’il bloquerait toute loi empêchant le Royaume-Uni d’établir sa propre politique de santé ».

Le Sénat de l’État de Louisiane a adopté à l’unanimité le projet de loi 133, une déclaration claire de souveraineté contre l’agenda de l’ONU, de l’OMS et du FEM.

« Aucune règle, réglementation, frais, taxe, politique ou mandat de quelque nature que ce soit de l’Organisation mondiale de la santé, des Nations Unies et du Forum économique mondial ne sera appliqué ou mis en œuvre par l’État de Louisiane ou par toute agence, département, conseil, commission, subdivision politique, entité gouvernementale de l’État, paroisse, municipalité ou toute autre entité politique ».

Informons nos élus pour qu’ils prennent conscience du problème et qu’ils persuadent notre gouvernement d’adopter une attitude semblable. La France ne peut pas abandonner le premier terme de sa devise : LIBERTÉ.

Lire ou écouter aussi :

Appel solennel de N. Farage ex-député européen Nigel Farage plaide pour que tout le monde dise non au Traité sur la pandémie de l’OMS :

« Il s’agit littéralement d’un traité mondialiste qui enlève le pouvoir à l’État-nation. Nous ne devrions pas verser d’argent à cette épouvantable organisation. »

« Là où le Professeur Perronne pourrait aller plus loin, c’est que c’est vrai pour l’environnement, pour les antibiotiques, c’est vrai pour tout !»

@DIVIZIO1

alerte sur l’élargissement considérable du champ d’action de l’OMS dans le cadre de son action #OneHealth. De la…

Et bien d’autres. Le combat est international. Poursuivons-le et nous le gagnerons !


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dysphorie de genre et enfance sacrifiee la roche sur yon 10 FEV 24

 

 

dysphorie de genre^J éducation sexuelle et transhumanise NICE 24 F2VRIER 24

 

l’éducation sexuelle et la théorie du genre : manipulation et  dangers psychiques pour  les enfants !

 

 

 

Par le docteur N Delépine pédiatre cancérologue

 

Si le désir de changer de sexe (rebaptisé transition de genre) a toujours existé chez les adultes, l’irruption du phénomène contagieux et exponentiel de la dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents appelle à une extrême vigilance, car elle s’intègre dans une volonté de destruction de la famille traditionnelle pour aller vers le transhumanisme et la disparition de l’homme normal.

On change de registre. Sous prétexte d’écouter les enfants ou adultes pour leur confort, c’est toute une société qu’on veut changer subrepticement par petites touches  (comme l’avait exprimé clairement le ministre de l’ éducation nationale en 2014 avec les abc de l’égalité…) Peu importe les victimes sur le chemin.

Comment admettre, en effet, qu’un mineur, qui n’est pas assez mature pour voter ou avoir des relations sexuelles, puisse consentir à des traitements qui supprimeront sa fertilité et modifieront son corps de manière irréversible ?

Que peut savoir un enfant de six ans interrogé à six ans sur ses choix futurs d’être un homme, une femme ou encore bien autre chose ? Manipulation diffuse.

Quelles sont les conséquences médicales des hormones, et quelles en sont les conséquences psychologiques et psychiatriques ? Pourquoi une prise en charge totale du cout des traitements et opérations par la Sécurité Sociale, alors que l’OMS déclare que la dysphorie de genre n’est plus classée parmi les maladies ? Pourquoi la détransition reste-t-elle un phénomène tabou ? Comment le transgenrisme est-il entré dans le débat politique ?

Autant de questions et de réponses pour tenter d’ éclairer les risques et les dérives de la transition de genre chez les mineurs que nous avons abordé dans notre récent livre dans l’ambition d’aider les parents, enseignants et citoyens soumis à des rencontres avec des enfants ou jeunes taraudés par cette nouvelle « mode » dérivée du wokisme, doublée de la marchandisation du corps.

Aider familles et tous citoyens concernés afin qu’ils puissent disposer de quelques informations objectives, sans tabou, ni jugement, pour tenter d’aider ces jeunes manipulés, le plus souvent par des réseaux sociaux où fleurissent les influenceurs grassement subventionnés par les marchands de rêve. Ces derniers les conduisent le plus souvent, à la place du paradis promis, vers un enfer quotidien à travers les médicaments, les mutilations irréversibles, les échecs des rapports sexuels et le rejet qu’ils subissent s’ils osent faire le chemin inverse de la détransition Idéologie LGBTQ+[1]

Ce sont singulièrement ceux qui souhaitent prendre le chemin inverse, revenir à leur genre initial conforme à leur sexe de naissance, qui sont alors diffamés, critiqués, abandonnés par les nouveaux amis et comble du ridicule, traités de transphobes ! [2]

Un scandale médical aussi horrible que les lobotomies[3]

Ainsi pour certains psychiatres, la transition de genre à travers la médicalisation à outrance (pour une situation rappelons-le -la dysphorie de genre- considérée comme non médicale, mais remboursée à 100 % en France), il s’agirait d’un scandale médical comparable aux lobotomies.

Le Dr Grossman explique ce que tous les parents devraient savoir sur ce que l’on appelle les « soins d’affirmation du genre » et une série de mesures que les parents peuvent prendre à la maison et à l’école pour protéger leurs enfants.

« Ces enfants qui reçoivent des soins d’affirmation du genre deviennent des patients à vie. Ils deviennent des consommateurs de produits pharmaceutiques à vie », [4]

 

Les parents aussi appellent au secours !

Des parents se révoltent devant la manipulation qu’a subi leur enfant, souvent à leur insu, particulièrement pendant ces périodes de confinement plus ou moins longues selon les pays. Les enfants et adolescents se sont penchés sur leur ordinateur 24/24 et se sont trouvés de nouveaux amis.

 

« Elle est encore ma fille, elle restera à jamais ma fille »[5] : une mère se fraye un chemin à travers le mouvement transgenre « Pourquoi prendre un corps sain et en faire un patient médical à vie ? »

Telle est la question qu’Amy s’est retrouvée à poser à sa fille adolescente, aux communautés médicales et scientifiques, et à la société dans son ensemble. Pour une mère qui n’a pas pu empêcher la transition de genre de sa fille, c’est plus qu’une question : c’est un cri de détresse. Amy, comptable à Long Island, menait une vie normale avec son mari et ses enfants. Sa vie a basculé.

Leur appel de détresse donne à réfléchir au sort des enfants manipulés par la mode du wokisme qui casse les familles et n’autorise plus les parents à interférer dans la vie de leur enfant qui risquent de se retrouver devant les tribunaux s’ils osent ouvrir la bouche. C’est la loi du tout affirmatif : l’enfant décide, même à huit ans, et tout le monde doit accepter, singulièrement à l’école sous l’égide de la circulaire Blanquer de septembre 21. Les résistants à l’ukase seront traités de transphobes, licenciés pour certains enseignants, et risquent d’être démis de leurs droits parentaux par les juges.

Les transgenres sont avant tout des victimes manipulées par quelques-uns qui se servent des minorités pour accéder à des hauts postes de pouvoir. Victimes abusées par un rêve inaccessible : on peut changer de genre, mais jamais de sexe, on ne peut que tromper son corps, tromper les autres, mais jamais ses chromosomes.  Ces personnes sont des victimes car elles étaient bien portantes[6], et on les transforme en malades chroniques à vie.

 

Et pourtant que de victimes sous prétexte de vouloir soi-disant les aider [7]

Une adolescente ex-trans poursuit les médecins qui l’ont mutilée alors qu’elle était mineure[8]. Chloé Cole a reçu des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles, et subi une ablation de la poitrine à l’âge de 15 ans. Elle a décidé de poursuivre le groupe médical et l’hôpital qui ont facilité sa transition de genre sans lui donner toutes les informations ni le temps nécessaire à un consentement éclairé alors qu’elle était mineure. Car aujourd’hui elle regrette profondément ses choix.

Même plainte en justice de Jay Langadinos en Australie[9] .

La première chose, oubliée en ce nouveau siècle, est que ces personnes devraient bénéficier d’un consentement véritablement éclairé et non d’une propagande reposant sur l’idéologie wokiste et transhumaniste parfois doublée du « business is business ».

Les étapes de la transition de genre (assistée par des traitements hormonaux et gestes chirurgicaux) comprenaient d’abord la préparation psychologique qui visait à éliminer les psychoses, les dépressions, et à tenter d’expliquer aux candidats trans les conséquences des interventions médicochirurgicales. Cette phase durait en général de deux ans, mais elle tend à se raccourcir sous l’influence des lobbies du genre (business du genre ?)[10].

La réassignation génitale se traduit par un long et pénible parcours pour obtenir les apparences de ce changement de sexe et ce n’est qu’après ces longs mois, voire années qu’ils peuvent enfin bénéficier de prises en charge psychologiques ou psychiatriques. Et cela ne fait pas diminuer le drame des suicides qui touche finalement 40% des transgenres (20 fois plus que la population hétéro sexuelle). Leur éviter un suicide est l’argument, le mensonge utilisé pour convaincre les parents (lorsqu’ils sont informés) alors que les transgenres ont ce triste record.[11]

 

 

 

La théorie du genre  aurait-elle transformé nos sociétés occidentales ?

De fait, non !

 Seule une extrême minorité qui se croit l’élite a prospéré et surfé sur ces nouvelles affirmations pseudo progressistes et fait croire que c’est généralisé .

Le lobby trans affirmatif a de gigantesques moyens et ceci explique cela !

Soutenu notamment par la fondation Thomson Reuters, la société mondiale de services d’information, et par l’un des plus gros cabinets internationaux d’avocats, Dentons.

Se demande-t-on alors pourquoi les pouvoirs publics accordent une telle importance aux militants trans-affirmatifs qui ne représentent que très peu de personnes. Pourquoi leur ouvre-t-on les portes des ministères (en premier lieu santé, éducation, etc.), des collectivités locales qui financent abondamment leurs projets  ou d’ autorités administratives ?

 

A couts de subventions obtenues par les cinéastes, les directeurs de club de sport, ou de sociétés privées, on a trompé la grande majorité de la population

Et cette publicité outrancière a aggravé le rejet des homosexuels et les transgenres qui, comme la plupart des gens, souhaitent vivre tranquillement, selon leurs désirs, loin des caméras.

 

Les échecs récents de Disney[12] ou de la bière Budweiser[13] qui ont vu chuté leurs actions boursières à la suite de modifications carrément wokistes et transgenres de leurs spectacles et publicités démontrent bien que les populations occidentales ne sont pas consentantes à ces tentatives de transformations radicales de nos sociétés millénaires.

 

S’il est désormais de notoriété médiatique officielle que considérer qu’un homme est un homme et une femme est une femme est conservateur, combien de citoyens sont-ils tombés dans cette folie et ce fantasme ?

 

En tout cas, pas le premier ministre anglais actuel Rishi Sunak qui, lors du congrès annuel du Parti conservateur le mercredi 4 octobre 2023, a déclaré sous les applaudissements : : « Nous ne devrions pas nous laisser intimider par la croyance selon laquelle les gens peuvent avoir le sexe de leur choix », « Un homme est un homme et une femme est une femme, c’est juste du bon sens ! »

 

Et comme premier ministre, il a échappé à la poursuite en justice pour transphobie !

Contre disant ainsi les affirmations bientôt oubliées d’A Buzyn l’ancienne ministre de la santé : « un oncle peut être la mère… ».  Mais  c’est elle aussi qui a classé substance vénéneuse l’hydroxychloroquine sous prétexte que les Français prendraient trop de médicaments… Ne nous étonnons plus de rien.

 

Quant aux Polonais, Hongrois ou Russes, qui ne cautionnent pas cette théorie du genre et protègent nos acquis culturels, la littérature, la musique, les traditions familiales etc… ils ont déjà subi la même qualification de réactionnaire dans nos médias.

 

Il est probable que les professionnels de la santé qui prescrivent les hormones sexuelles croisées et les bloqueurs de la puberté chez les enfants seront un jour tenus responsables de maltraitance des enfants et de fautes professionnelles  [14] médicales, comme cela se passe dans les pays qui ont développé ces techniques bien avant la France et qui les abandonnent (comme la Suède et le Royaume Uni) ou les interdisent (comme la Russie, et beaucoup  d’états africains et américains).

 

Les professionnels de la santé qui pratiquent les chirurgies transgenres et les mutilations génitales sur leurs patients risquent d’être à terme l’objet d’une vague de poursuites judiciaires Tout n’est pas aussi simple que les séries télévisées voudraient le faire croire.

Pour les parents ou grands-parents que nous sommes le plus important est de communiquer des informations honnêtes sans jugement sur leurs choix pour les protéger de manipulations à motivation commerciale non négligeable.

Ensuite, à l’âge adulte, ce sera leur détermination qui devra compter et alors à nous de les accompagner et de les aider le mieux.

 

Laisserons-nous sans rien dire des enfants se faire martyriser, mutiler, transformer à un âge où la sexualité est silencieuse chez les plus jeunes, puis questionnable chez les adolescents, sans tenter de les protéger d’une idéologie mondialiste et d’un lobby extraordinairement puissant et lucratif…Les parents ont été dépouillés de leur droit de regard : nous devons le leur rendre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Un Transgenre raconte sa détransition

[2] Voir sur telegram le canal des détransitionneurs.

[3] ttps://www.infotrad.fr/2023/08/28/un-scandale-medical-aussi-horrible-que-les-lobotomies-miriam-grossman-sur-les-soins-daffirmation-du-genre-et-ce-que-les-parents-doivent-savoir/

[4] Miriam Grossman , psychiatre pour enfants et adolescents et auteur de « Lost in Trans Nation: A Child Psychiatrist’s Guide Out of the Madness (Perdu dans la nation trans : Le guide d’un pédopsychiatre pour sortir de la folie) ».

[5] https://www.epochtimes.fr/elle-est-encore-ma-fille-elle-restera-a-jamais-ma-fille-une-mere-se-fraye-un-chemin-a-travers-le-mouvement-transgenre-2377749.html

[6] Parmi les candidats au changement de genre, il y a  néanmoins un certain nombre malades de formes d’autisme, de dépression ou autre trouble psychiatrique etc, qui devraient être dépistés avant toute intervention médicale ou chirurgicale pour bénéficier des traitements adaptés à leur pathologie

[7] Nouveau Monde — Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan (nouveau-monde.ca)

[8] https://www.juristespourlenfance.com/2023/07/28/temoignage-de-chloe-cole-detransitionneuse-lors-de-son-proces-contre-les-medecins-qui-lont-mutilee/

[9] ttps://www.smh.com.au/national/absolutely-devastating-woman-sues-psychiatrist-over-gender-transition-20220823-p5bbyr.html

[10] Nouveau Monde — Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE (nouveau-monde.ca)/

[11] Par rapport aux autres minorités sexuelles (homosexuels, lesbiennes et bisexuels), les transsexuels souffrent d’une tendance suicidaire beaucoup plus élevée (4 à 6 fois) qui constitue un vrai problème.   nouveau-monde.ca/devenir-trans-mene-trop-souvent-au-suicide-informez-familles-et-candidats-pour-leur-securite/

 

 

[12] https://hitek.fr/actualite/disney-detestee-pour-wokisme_42968

[13] https://www.journaldemontreal.com/2023/04/12/publicite-pour-bud-light-anheuser-busch-perd-de-5-g-us-apres-un-partenariat-avec-une-transgenre

[14] Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres

 

2 dysphorie de genre et enfance sacrifiee CHOISY LE ROI 8 fev 24

 

et version un peu plus courte  à la Mothe près de la Roche sur Yon

dysphorie de genre et enfance sacrifiee la roche sur yon 10 FEV 24

 

 

2023 12 8 la resistance paye nouveau monde

Les Français doutent du Gardasil, le refusent largement : il faut continuer à informer !

12/12/2023 (2023-12-12)

Par Dr Delépine

Le gardasil n’a jamais démontré son utilité contre les cancers du col ou de l’anus, qui se développent lentement sur des décennies. Son efficacité contre les infections à papillomavirus (HPV) n’a que peu d’intérêt contre une contamination qui guérit spontanément chez 90 % des gens. Ses potentielles complications (perte de la fertilité, accidents neurologiques, etc.) et son énorme coût financier plaident pour un abandon de cette vaccination et surtout un renoncement à toute obligation et/ou pression sur les familles.

Mise à jour :

Gardasil 2023-24: Alertes et Responsabilités

(…)

Depuis le début de la campagne généralisée avec le Gardasil-9, des associations et des médecins alertent les parents, les personnels de l’éducation nationale, les personnels et organismes de santé et leurs Ministères de tutelle, ainsi que les élus sur un grave manque d’informations claires et loyales concernant ce vaccin et ses conséquences:

Quelle est l’efficacité connue de ce vaccin Gardasil-9 contre le cancer du col de l’utérus ?
Quels sont ses bénéfices en regard des risques possibles d’effets secondaires graves, voire de décès, comme cela est indiqué dans la notice américaine du vaccin ou encore d’après les notifications dans les bases de pharmacovigilance ?
N’est-il pas légalement obligatoire d’informer chaque parent de ces risques ?
Le déroulement de la campagne dans les collèges respecte-t-il cette obligation d’informer les parents de façon appropriée  (notamment sur les pertes de connaissances et autres conséquences indésirables possibles ) ?
Des consignes de surveillance et de sécurité suffisantes en « per injection » sont-elles respectées pour les collégiens ?
Ces questions et de nombreuses autres se posent. Certaines ne sont pas nouvelles et font suite au travail d’associations de victimes et de médecins de terrain qui informent et alertent depuis plus de 15 ans. Dans de nombreux pays, les données des registres des cancers sont publiques et permettent d’analyser s’il y a un bénéfice réel à vacciner en masse des enfants et jeunes adultes.

Devant le silence assourdissant des médias officiels et des autorités de santé, nous avons essayé de répondre à une quinzaine de questions afin que tous les parents puissent s’informer de façon libre et éclairée et ainsi puissent exercer, en toute connaissance de cause, leur consentement ou leur refus que l’on vaccine leur enfant en milieu scolaire. (…)

 

 

Depuis le coup de Jarnac, où le président s’est transformé en représentant de commerce du Gardasil, toutes les agences de l’État, les médias et même la sécurité sociale font la propagande de ce vaccin en n’hésitant pas à mentir, sans limites.

L’une des « désinformations » les plus diffusées par ces propagandistes concerne l’Australie où ils prétendent : en Australie, le succès de la campagne de vaccination contre les HPV, associée au dépistage du cancer du col de l’utérus, ouvre la perspective d’une éradication du cancer du col de l’utérus d’ici une quinzaine d’années.

Pour vérifier qu’il s’agit d’une fake news, il suffit d’interroger l’agence sanitaire australienne en demandant sur internet « https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics » et en précisant comme langue « français ». On obtient alors le nombre de cancers du col (942 en 2022 contre 727 en 2006) et la courbe d’incidence de ce cancer qui montre que depuis la vaccination, l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus n’a plus baissé depuis la vaccination alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % à l’ère du dépistage seul entre 1987 et 2006 (de 14,2 à 7,1).

Et surtout dans le groupe d’âge le plus vacciné on observe une augmentation d’incidence de 15 % entre 2006 (7,9/100 000) et 2019 (9,1), dernière date analysée par groupe d’âge en décembre 2023.

Comment tous ces médias et agences peuvent-ils être aussi ignorants ?

Mentent-ils volontairement ?

Et ils diffusent bien d’autres fausses informations sur d’autres pays pour faire croire à l’efficacité anticancéreuse du Gardasil, alors que les faits publiés par les agences officielles et les registres du cancer démontrent le contraire.

Le Royaume-Uni a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école en 2008. Un article mensonger récent mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, très largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « vaccin anti-HPV: quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais fin 2022, l’agence officielle « Cancer research UK » (CRUK) affirme sur son site : « dans la dernière décennie, l’incidence du cancer du col est restée stable » et annonce une incidence standardisée de cancer invasif de 9,6/100 000 (supérieure de 50 % au taux français actuel) ainsi que l’illustre ce graphique.

L’analyse par groupe d’âge objective une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées qui ont globalement poursuivi le dépistage cytologique.

À l’opposé, le groupe des 25-34 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

 

Cette inefficacité anticancéreuse du Gardasil est également observée dans les pays scandinaves. Elle est dénoncée depuis maintenant plus de cinq ans.1

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée de 24/100 000 (en 1965) à 8/100 000 (en 2011). La généralisation de la vaccination à l’école, au contraire, a été suivie d’une augmentation de l’incidence standardisée globale des cancers invasifs de 7 en 2006 – 2009 à 11,5 en 2014–2015 (p <0.03),et même 13 en 2021 y compris dans le groupe d’âge le plus vacciné celui des 25-34 ans.

En Norvège, la vaccination scolaire a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer2 montre que l’incidence standardisée sur l’ensemble de la population de ce cancer est passée de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-2021 et surtout qu’elle a augmenté de 30 % dans le groupe de femmes les plus vaccinées.

En Finlande même phénomène

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais avec 16 ans de recul s’est jusqu’ici révélée inefficace sur les cancers invasifs.

Même si elle était totalement efficace contre le cancer et sans danger la vaccination anti hpv ne serait pas justifiée !

En particulier chez les garçons où le cancer anal est rarissime (350 cas annuels en France d’après l’INSERM3), bénéficie de traitements efficaces et ne touche dans la quasi-totalité des cas que des homosexuels passifs et surtout lorsqu’ils sont atteints du SIDA.

Cette vaccination inefficace contre le cancer expose de plus à des complications !

Les brûlures cutanées dont ont tout récemment souffert 7 élèves d’Agde

Et Le décès d’un collégien à Nantes vient de rappeler qu’aucune vaccination ni qu’aucun médicament n’est dénué de risque4. Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA le VAERS recensait 523 décès et une quantité d’effets secondaires qui ont motivé plus de 100 plaintes en justice aux USA et des manifestations dans de nombreux pays.

L’inefficacité du Gardasil contre les cancers, voire sa nocivité paradoxale et ses nombreuses complications dont certaines très graves témoignent d’une balance avantage/risque franchement défavorable qui justifie d’arrêter cette vaccination, et au minimum de ne pas l’imposer via des campagnes scolaires et de laisser à chaque famille le loisir d’en discuter avec son médecin personnel afin d’obtenir une information claire et objective d’où un possible consentement éclairé.

Mais depuis la crise covid durant laquelle nos gouvernants, toutes leurs agences et les médias ont menti sans arrêt pour nous imposer des injections expérimentales qualifiées abusivement de vaccins dont chacun a pu constater autour de soi l’inefficacité et la toxicité, les Français sont devenus moins crédules. Ils se renseignent au lieu de se précipiter lorsqu’on leur annonce qu’un vaccin est nécessaire, sûr et efficace.

Et les informations que les résistants, les collectifs de parents, soignants, etc. ont su transmettre autour d’eux ont été efficaces : au 31 octobre 2023, après deux mois de campagne de vaccination scolaire, seulement 20 000 collégiens (2,5 % de la population ciblée) ont été vaccinés en France.

Ce n’est qu’un début, continuons sans relâche le combat contre la propagande mensongère du Gardasil, car l’information via des conférences, mais surtout des tracts distribués individuellement à la sortie des écoles, des marchés, des magasins est efficace ! Ne nous décourageons pas, car la campagne mensongère continue comme en témoignent des invitations à des conférences par les officiels pour tenter d’imposer ce vaccin inutile aux enfants.

 


 

 

2024 01 10 Le parisien et elsa marie mentent

 

 

12/01/2024 (2024-01-12)

[Publication initiale : francesoir.fr]

Par Gérard Delépine

Dans un article récemment publié dans Le Parisien, l’absence de neutralité de la journaliste Elsa Mari est évidente dans son analyse de l’actuel échec de la campagne scolaire de vaccination par Gardasil. Elle se contente de répéter les déclarations trompeuses d’experts étroitement liés à l’industrie pharmaceutique.

Elle cite en exemple « l’Australie, qui table sur une quasi-disparition du cancer du col de l’utérus d’ici 2035 » sans préciser que l’article qui le prétend n’est qu’une simulation publicitaire établie sur des hypothèses fausses, et elle ne consulte pas non plus les données de l’agence officielle australienne.

Dans le monde réel, depuis la campagne de vaccination scolaire, le nombre annuel de cancers invasifs a augmenté de 25 % passant de 756 en 2007 à 942 en 2022 :

Et l’incidence globale standardisée, qui corrige les modifications liées au vieillissement et à l’augmentation de la population, ne diminue plus, se stabilisant autour de 7,2/100 000 :

Même dans le groupe d’âge des 25-34 ans, le plus vacciné, l’incidence des cancers invasifs est passé de 7,9/100 000 à 9,1 :

Sur la base de ces données, comment peut-on y voir une « quasi-disparition du cancer du col de l’utérus » ?

La journaliste prétend aussi que « l’annonce du président de vacciner les collégiens contre le papillomavirus à la rentrée avait fait briller les yeux des médecins »alors qu’elle ne réjouissait que les médecins liés au laboratoire et ceux qui vivent des vaccinations (pédiatres et gynécologues).

Cet article du Parisien prétend encore que « l’Australie fait rêver l’Hexagone » et nous décerne « un bonnet d’âne » pour notre réticence à cette vaccination qui nous placerait loin derrière l’Angleterre, l’Italie, le Portugal, l’Espagne, la Suède, les Pays-Bas.

Mais elle cache que l’incidence du cancer invasif du col dans tous ces pays apôtres du Gardasil dépasse celle de France (6/100000) : 7,1/100 000 en Australie, 6,4 en Italie (en 2017)1, 6,9 aux Pays-Bas.

Il est invraisemblable de la voir citer des pays où le risque de cancer invasif du col est de 67 % à 170 % supérieur au nôtre, tel que le Royaume-Uni (10/100000), la Suède (10,4/100 000), ou le Portugal, champion du Gardasil, mais aussi du cancer du col avec une couverture vaccinale dépassant les 80 % et une incidence de cancer du col atteignant 16,2/100 000.

Tout comme les lobbys pro-Gardasil et les médecins trop liés à l’industrie pharmaceutique, la journaliste préfère prendre comme critère d’efficacité d’une campagne de vaccination le pourcentage de vaccinées à l’incidence du cancer du col dans la population !

Elle rapporte encore les regrets de Xavier Carcopino2 qui accuse « l’autorisation des deux parents d’avoir complexifié l’accès de leur enfant à la piqûre » sans rappeler qu’il ne s’agit que de l’application de l’autorité parentale qui instituent les parents coresponsables du bien-être de leur enfant mineur.

L’article répète mot pour mot le slogan des injections Covid : « Ce vaccin est efficace et sûr, on a un excellent recul » alors que le Gardasil, efficace contre les infections aux souches de HPV du vaccin (9 sur plus de 150 !), n’a toujours pas prouvé son efficacité contre le cancer 17 ans après sa mise sur le marché, et que de nombreuses manifestations dénonçant ses graves complications ont eu lieu dans de nombreux pays :

Et enfin que des procès en class action dénonçant les mensonges de Merck se tiennent actuellement aux USA, rassemblant les plaintes de centaines de victimes.

La parole est donnée à Daniel Floret 3 qui tente d’innocenter le vaccin anti-hépatite B des complications neurologiques marquées par une augmentation de 65 % de SEP après le pic de vaccination contre l’hépatite B en 1994. Vaccin dont la responsabilité a été reconnue par la justice française et européenne par les arrêts de la cour administrative d’appel de Lyon (du 4 mai 2016), de la Cour de cassation (9 Juillet 2009) et le pourvoi n° 08-11.073 de la Cour de justice de l’Union européenne du 21 juin 2017.

Sans compter que ce vaccin anti-hépatite B, présenté comme moyen d’éviter le cancer du foie, a été suivi dans tous les pays occidentaux qui l’ont rendu obligatoire, du triplement (voire plus) de l’incidence du cancer qu’il était censé prévenir, comme en France :

Le dramatique résultat de la première vaccination présentée comme anti-cancéreuse justifie donc la plus grande prudence !

L’échec de la campagne de vaccination Gardasil ne provient pas de l’ignorance de la population mais, depuis la catastrophe Covid, de sa prise de conscience que les autorités sanitaires mentent fréquemment pour nous imposer par tous les moyens des vaccins et traitements aux bénéfices incertains et aux complications nombreuses qu’elles nient ensuite opiniâtrement.

La soi-disant « malédiction française » contre le Gardasil est la conséquence de la prise de conscience croissante des mensonges du gouvernement et de la presse.

Redonner confiance à la population nécessite une transparence complète. Créer des pseudo-comités scientifiques protégés par le secret-défense, refuser de rendre publics les contrats d’achat des vaccins et nier les complications reconnues dans les pays étrangers décrédibilise totalement la parole de l’État et la confiance dans les vaccins.

De même le plaidoyer pro-Gardasil d’Elsa Mari qui ne donne la parole qu’à des témoins pro-vax et ne se réfère pas aux faits établis, comme les chiffres publiés par l’OMS, décrédibilise le Parisien et participe à la chute des ventes.

Comme l’aurait affirmé le président Abraham Lincoln : « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. »


1 National burden of cancer in Italy, 1990–2017: a systematic analysis for the global burden of disease study 2017.2 Présid2024 01 10 Le parisien et elsa marie mentent2024 01 10 Le parisien et elsa marie mententent de la société française de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale dont les membres vivent en partie de l’administration du vaccin.

3 Qui a touché près de 80 000 euros, d’Alliance Healthcare, 43 900 euros, d’UTIP, 33 650 euros, du Collège des hautes études de Médecine 1600 euros, mais aussi de IP SC : BioMERIEUX, Sanofi, Pasteur MSD, Cemka Eval, Abbott Synagis…

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dysphorie de genre et enfance sacrifiee DIJON 13 JANVIER 24

 

merci à réaction19 et reinfobourgogne pour cette conférence à 4 mains  qui nous a permis de parler à nouveau du danger qui guette tous les enfants français de la maternelle au collège via les séances obligatoires d’éducation sexuelle, incluant la théorie du genre,

puisqu’il s’agit de lutter contre les « stéréotypes » c’est à dire contre l’évidence de bon sens qu’il existe deux sexes depuis des millénaires

 

le diaporama est visible en cliquant sur le lien ci-dessus

INFORMEZ VOS PROCHES  VOS ASSOCIATIONS VOS AMIS ET RELATIONS

ON NE PEUT PAS LAISSE CASSER LES CERVEAUX DES ENFANTS PAR DES DISCOURS ET DES IMAGES PROCHES DE LA PEDOPHILIE

 

 

 

distribuez des tracts comme ceux ci-dessous  surtout à ceux qui ne fréquentent pas les réseaux sociaux et peuvent ignorer ces horreurs  MERCI A TOUS  PROTEGEZ NOS ENFANTS

Flyer Ed Sexualité recto Flyer Ed Sexualité verso

 

Ces violences psychiques entrainent des stress traumatiques peu curables  et compromettent l’avenir des enfants soumis à ces « séances d’éducation sexuelle »

 

 

 

 

 

 

Couv Dysphorie de genre

L’idéologie contre la science et la médecine

23/12/2023 (2023-12-23)

[Source : Chaîne officielle TVL]

Nicole Delépine est pédiatre et oncologue en retraite, Gérard Delépine est chirurgien orthopédiste et oncologue en retraite. Après une vie professionnelle marquée par un engagement total au service des malades et tout particulièrement des enfants, ils poursuivent inlassablement leur mission pour alerter le plus grand nombre sur les dangers qui menacent tous les pans de la santé publique.

Leur dernier ouvrage, Dysphorie de genre, publié aux Éditions Fauves, (disponible ici 📖 https://boutiquetvl.fr/notre-selection/nicole-et-gerard-delepine-dysphorie-de-genre) n’échappe pas à la règle. Il est un manuel pour comprendre, décrypter et résister à la propagande woke qui contamine les écoles et déboussole les enfants jusqu’à leur nuire dans leur être profond.

À l’heure du relativisme, de la corruption généralisée, des études tronquées et caviardées, d’une science idéologisée et d’une médecine mise en coupe réglée par l’État, ils publient un livre édifiant sur les ravages de la promotion de la dysphorie de genre.

Nicole Delépine et Gérard Delépine expliquent combien le seul souci fondamental d’un bon médecin doit être la prise en charge du patient dans sa singularité, dans une atmosphère de confiance totale, seul principe lui permettant ensuite de donner son consentement éclairé.

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Nouveau Monde — Conférence Dr Nicole Delépine : STOP au sabotage de l’école et à la sexualisation de l’enseignement (nouveau-monde.ca) juillet 23

 

Il est question dans cette intervention de la dangereuse dérive de l’Éducation nationale, de l’école publique, qui perd le nord, qui ne remplit plus sa mission d’instruction publique auprès des nouvelles générations. C’est un véritable sabotage du pilier central de toute civilisation, l’enseignement des enfants, avec une chute spectaculaire du niveau scolaire et du classement international de l’école française. Et comme ce n’est pas suffisant, il fallait que les autorités politiques introduisent dans cette école en perdition l’enseignement de la sexualité aux plus jeunes ! Le Dr Nicole Delépine tente de sensibiliser la population sur le danger de cette dérive en l’informant et en la poussant à réagir.

(Vidéo 47 min)

 

 

 

 

 

 

 

 

LE TOTALITARISME IMPOSE AUX ENFANTS ET THEORIE DU GENRE OCT 2023

 

dysphorie de genre et enfance sacrifiee ANTIBES 4 NOV 23