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Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle Zélande juillet 21, 2022

juillet 21, 2022

Par Dr Nicole Delépine

Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle Zélande – La vérité vous rendra libres (la-verite-rendra-libres.org)

 

 

ATTENTION MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID  LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS REIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement lié à l’existence commune ». 

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Il est bien triste que la première ministre néozélandaise 1ne soit pas informée de la littérature internationale sur le masque ou ne veuille pas en tenir compte

Etre plus royaliste que le roi ne mène qu’à des désastres, que Mr Ciotti se le dise ! Le populisme qui consiste à imposer ce qu’on croit être le vœu du peuple est toxique.

« Jacinda Ardern se dit « déconcertée » par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque.. »

« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

UNE MUSELIÈRE NÉGATION DU RAPPORT A L’AUTRE, NÉGATION DE L’ÊTRE

Qui peut s’en étonner. Des dizaines d’articles ont déjà démontré depuis le début de la folie covid que le masque n’est qu’une muselière fort symbolique des pouvoirs désireux de mater leur population et qu’il est parfaitement incapable de limiter les contaminations covid..

Nous avions écrit à ce sujet en octobre 21 une petite tribune inspirée de Jean-Claude Paye et Tülay Umay (Mondialisation.ca, 01 octobre 2021)2 :

« Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position « d’être un » avec l’intentionnalité du pouvoir. Il représente une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible.

Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.

Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.

Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement lié à l’existence commune. 

Le covidisme impose l’obligation de se taire. Le langage doit être vidé de sa fonction. Ce qui doit gouverner relève d’une mécanique mimétique. Le port du masque est alors un refus de ce qui fait de nous des êtres humains, c’est une négation du rapport à l’Autre. »

Malgré la disparition du virus de la covid remplacé par des variants de moins en moins contagieux, les gouvernements mondialistes imaginent de réimposer le masque obligatoire dès que possible. Objet de contraintes psychologiques qui isolent les personnes, bloquent de fait les conversations et enferment la population dans la peur, l’angoisse l’isolement.

Il FAUT REFUSER LE PORT DU MASQUE INUTILE (les virus passent allègrement les pores,( c’est écrit sur la boite) et toxique sur différents plans comme cela a été démontré à de nombreuses reprises par des auteurs de tous pays. Il favorise les surinfections bactériennes, les mycoses et diminue l’apport correct d’oxygène tout en favorisant sa propre intoxication par son CO2 mal expulsée.

Summit.news rapporte : Le taux de mortalité par habitant du COVID en Nouvelle-Zélande a également dépassé celui de l’Australie en mars, en dépit de ses obligations strictes en matière de masques, et est resté plus élevé depuis.

« À Singapour, les taux de mortalité sont passés sous la barre de l’Australie en avril après avoir fait la course en tête entre octobre et Noël, mais ils font maintenant une folle remontée et sont prêts à dépasser à nouveau l’Australie », rapporte le Daily Mail.

« Bien sûr, ce n’est que le dernier exemple en date qui montre que les masques ne font rien ou presque pour empêcher la propagation des virus en suspension dans l’air, et peuvent même aggraver les choses », écrit Will Jones.

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes »3.

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude menée au Danemark auprès de 6 000 participants4 a également révélé qu’« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

Malgré les données accablantes selon lesquelles les masques sont inutiles ou peuvent même exacerber le problème, certains pays se préparent déjà à les réintroduire. L’Allemagne est prête à réimposer son obligation de porter un masque en septembre, bien que la vague estivale de COVID ait déjà « perdu de son élan » . Ces règles seraient en passe de devenir permanentes si les citoyens ne s’y opposent pas de toutes leurs forces.

Rappelons notre revue récente de la littérature internationale 5 (toutes les références des articles ci-dessous insérées). Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masque même dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.

Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.

La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel: « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.

Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :

« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous le (faux) prétexte qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq196 ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est près de deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

 

comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.

Et pourquoi ce masque est-il dangereux : l’effet FOEGEN

L’étude observationnelle – « The Foegen Effect: A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate »7(L’effet Foegen : Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de mortalité des cas COVID-19) – a été publiée dans la revue Medicine en février 2022, sous la direction du médecin allemand Zacharias Fögen.8

Thenationalpulse.com rapporte : L’article a analysé « si le port obligatoire du masque a influencé le taux de mortalité par cas au Kansas » pendant la période allant du 1er août 2020 au 15 octobre. Le Kansas a été utilisé à des fins de comparaison parce que l’État a permis à chacun de ses 105 comtés de décider de mettre en œuvre ou non le port obligatoire du masque, 81 comtés ayant décidé de s’opposer à cette mesure.

« La conclusion la plus importante de cette étude est que, contrairement à la pensée admise selon laquelle moins de personnes meurent parce que les taux d’infection sont réduits par les masques, ce n’était pas le cas », résume l’article.

« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que les obligations de masques ont en fait causé environ 1,5 fois le nombre de décès ou ∼50% de décès supplémentaires par rapport aux mandats sans masque. »

« Une justification de l’augmentation du RR en rendant le masque obligatoire est probablement que les virions qui pénètrent ou ceux qui sont crachés dans les gouttelettes sont retenus dans le tissu du masque facial, et après une évaporation rapide des gouttelettes, les gouttelettes hypercondensées ou les virions purs (virions qui ne sont pas à l’intérieur d’une gouttelette) sont réinspirés à une très courte distance pendant l’inspiration. »

Baptisée « effet Foegen », cette théorie suggère que les virions du COVID-19 « se propagent (en raison de leur plus petite taille) plus profondément dans les voies respiratoires ». « Ils contournent les bronches et sont inhalés profondément dans les alvéoles, où ils peuvent provoquer une pneumonie au lieu d’une bronchite, ce qui serait typique d’une infection virale. »

Un autre article publié dans la revue Cureus9 et intitulé « Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe » (Corrélation entre le respect du port du masque et les résultats du COVID-19 en Europe) est arrivé à la conclusion étonnante que plus le taux de respect du masque est élevé, plus le taux de cas de COVID-19 est élevé.

Pour ceux qui ne sont pas très au fait des statistiques, c’est exactement le contraire de ce que les chercheurs devraient trouver si les masques étaient effectivement « efficaces ».

« Le masquage a été l’intervention non pharmaceutique la plus courante au cours de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19) », indique l’article. « La plupart des pays ont mis en œuvre des recommandations ou des obligations concernant l’utilisation de masques dans les espaces publics. L’objectif de cette courte étude était d’analyser la corrélation entre le port du masque et les taux de morbidité et de mortalité au cours de l’hiver 2020-2021 en Europe. Les données de 35 pays européens sur la morbidité, la mortalité et l’utilisation de masques pendant une période de six mois ont été analysées et croisées. »

« Ces résultats indiquent que les pays ayant des niveaux élevés de respect des masques n’ont pas obtenu de meilleurs résultats que ceux ayant une faible utilisation des masques », écrit l’auteur Beny Spira, professeur à Sao Paolo.

« Pour cette analyse, tous les pays européens, y compris l’Europe de l’Ouest et de l’Est, comptant plus d’un million d’habitants ont été sélectionnés, ce qui représente un total de 602 millions de personnes. Tous les pays analysés ont connu un pic d’infection au COVID-19 pendant ces six mois », écrit le professeur avant de fournir l’ensemble des données.

« De manière surprenante, de faibles corrélations positives ont été observées lorsque le respect du masque a été rapporté à la morbidité (cas/million) ou à la mortalité (décès/million) dans chaque pays », note l’étude.

Le professeur montre un diagramme de dispersion de la conformité des masques par rapport aux cas et aux décès par million, ainsi qu’une ligne de régression ajustée. Comme on peut le voir, la relation est positive (pas bonne).

« Bien qu’aucune conclusion de cause à effet n’ait pu être déduite de cette analyse observationnelle, l’absence de corrélations négatives entre l’utilisation de masques et les cas et décès de COVID-19 suggère que l’utilisation généralisée de masques à un moment où une intervention efficace était la plus nécessaire, c’est-à-dire pendant le fort pic automne-hiver 2020-2021, n’a pas permis de réduire la transmission de COVID-19 », conclut l’étude. « En outre, la corrélation positive modérée entre l’utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l’utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences néfastes involontaires. »

Les résultats de l’étude sur les masques sont similaires à ceux des chercheurs dirigés par Harvard lorsqu’ils ont constaté que plus les taux de vaccination d’une nation étaient élevés, plus les taux de cas étaient élevés. L’étude de Harvard, portant sur 68 nations et 2 947 comtés des États-Unis, a été publiée dans le European Journal of Epidemiology à la fin de 2021.

AUCUN GOUVERNEMENT JOURNALISTES ACADÉMIES OU AUTRES NE PEUVENT AFFIRMER UN EFFET BÉNÉFIQUE DU MASQUE

BIEN AU CONTRAIRE IL FAUT LES JETER (de surcroit ils polluent la planète qu’on oublie bizarrement !)10

Le port du masque est source de nombreuses complications11

Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.

Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.

Complications cutanées

La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente. Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI.12

Hypoxie et troubles respiratoires

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et all ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Kisielinski K et ses coauteurs  montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Problèmes de communication

Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.

Tsantanie et ses coauteurs montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.

La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise, ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste joue un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.

Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.

Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.

Les troubles psychologiques et psychiatriques

Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui.

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.

Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.

L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress, d’abord constatée en Chine s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.

Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.

D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.]

Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade

Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.

Dans sa version française:

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.

Ou dans sa version internationale du serment de Genève :

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient

D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.

Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.

L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.

Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.

Et s’ils craignent encore qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.

 

L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France

 

Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine que de porter un masque! Il faut rester méfiant car le pouvoir veut nous faire prescrire du Paxlovid à la rentrée inefficace toxique et cher

Et AVEU DE FAUCI 13

« C’est plus une question de principe de savoir où se trouve l’autorité. »

Lors de son passage récent sur Fox News, Anthony Fauci a semblé admettre que les efforts de l’administration Biden pour rétablir l’obligation de porter un masque dans les avions et les trains visaient à préserver l’« autorité » sur les décisions de santé publique, et non à assurer la sécurité des personnes.

Auteur : Dr Nicole Delépine

Notes et références :

1 femme d’État néo-zélandaise, Première ministre depuis le 26 octobre 2017. Membre de la Chambre des représentants depuis 2008, elle devient chef du Parti travailliste de Nouvelle-Zélande le 1er août 2017 et à ce titre, se trouve dès lors à la tête de l’opposition1. Après les élections législatives du 23 septembre 2017 où son parti obtient 35,7 % des suffrages, elle parvient en octobre à un accord avec le parti Nouvelle-Zélande d’abord et avec le Parti vert pour former un gouvernement de coalition. Serait une des personnes les plus influentes au monde…..

2 Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Coronavirus. https://reseauinternational.net/le-port-du-masque-un-mimetisme-sacrificiel/

3 https://www.bbc.com/news/health-59895934

4 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/

5 Masques inutiles et dangereux : refusons cette nouvelle mascarade – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

6 Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim

7 Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18;101(7 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/ .

8 L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com)

9 Cureus | Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe avril 22

10 Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

11 Ibid réf 5 avec l’ensemble des références

12 L’étude coréenne de Choi SY précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.

Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.

13 Vidéo : Fauci admet ouvertement que le mandat de Biden sur les masques vise à préserver son « autorité » (anguillesousroche.com)

23 juillet 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/CovidMascarade.jpg 2120 1337 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-07-23 18:47:162022-07-23 18:47:16Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle Zélande juillet 21, 2022
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STOPPEZ LES INJECTIONS INUTILES ET DANGEREUSES

9/07/2022 (2022-07-19)

« Un film d’horreur » selon les démissionnaires des agences de santé américaines[1]

Par Nicole Delépine

« Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. »

Les agences de santé publique des États-Unis ne « suivent pas la science », disent des responsables démissionnaires. « Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire. »

Voici en résumé ce que racontent les fonctionnaires des agences de santé des USA qui n’en peuvent plus de tant de mensonges depuis deux ans mettant en péril la vie de leurs concitoyens.

« Les appels et les SMS sont implacables. À l’autre extrémité se trouvent des médecins et des scientifiques aux plus hauts niveaux des NIH[2], de la FDA et du CDC. Ils sont diversement frustrés, exaspérés et alarmés par l’orientation des agences auxquelles ils ont consacré leur carrière ».

Les hauts responsables conscients n’en peuvent plus ! « C’est comme un film d’horreur que je suis obligé de regarder et je ne peux pas fermer les yeux », a déploré un haut responsable de la FDA. »

Ils ont toléré longtemps, très longtemps, peut-être naïfs au début, mais vite conscients du rôle pervers qu’on leur faisait jouer. Mais pour comme nos pompiers suspendus sans salaire (alors que la France brûle, nos médecins et personnel soignant également écartés de leur fonction avec mépris, diffamation et sans salaire, ni RSA), démissionner est un acte difficile parfois quasiment impossible. Nos « malgré nous » injectés parce que devant continuer à payer la maison, nourrir les enfants et… de plus, faire cesser les drames avec le conjoint, la famille, d’un autre avis, pour ne pas divorcer, ne pas couper tout lien, comprennent bien ce qu’ont ressenti les fonctionnaires des agences américaines qui parlent aujourd’hui comme probablement voudraient le faire ceux des agences européennes qui se taisent encore par peur…

Ils ont tout toléré, mais l’attaque frontale des nourrissons en a fait exploser un certain nombre. Ces enfants et a fortiori nourrissons qui ne risquent RIEN du covid et qu’on voudrait nous forcer à injecter.

La goutte d’eau a fait craquer ce médecin de la FDA qui fait référence à deux développements récents au sein de l’agence :

— comment, en l’absence de données cliniques solides, l’agence a-t-elle autorisé les vaccins Covid pour les nourrissons et les tout-petits, y compris ceux qui avaient déjà le Covid ?

— deuxièmement, le fait que quelques mois auparavant, la FDA a contourné ses experts externes pour autoriser les injections de rappel pour les jeunes enfants.

« Ce médecin n’est pas seul. Au NIH, les médecins et les scientifiques se plaignent auprès de nous d’un moral bas et d’un manque de personnel : le Centre de recherche sur les vaccins des NIH a vu beaucoup de ses scientifiques principaux partir au cours de la dernière année, y compris le directeur, le directeur adjoint et le médecin en chef ».

Il semble bien que le bateau NIH n’ait plus de capitaine et que de très nombreux postes soient à pourvoir, y compris des emplois de haut niveau. Le CDC[3] a connu un exode similaire.

Bien que les bénéfices aient été élevés, « le moral est bas », selon un haut responsable du CDC. « Les choses sont devenues si politiques, pourquoi sommes-nous là ? » Un autre scientifique du CDC dit : « J’étais fier de dire aux gens que je travaille au CDC. Maintenant, je suis gêné. »

Pourquoi gênés ? Leur travail n’a plus rien à voir avec la science, la vraie, celle du doute légitime, celle des données non truquées au gré des ordres du ministère, etc.

Une réponse détaillée a été reçue par les auteurs. Les fonctionnaires ne supportent plus « que les dirigeants de leurs agences utilisent des données faibles ou erronées pour prendre des décisions de santé publique d’une importance cruciale ».

« Que de telles décisions sont motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens à Washington ou pour l’administration Biden. Et qu’ils se concentrent comme des myopes sur un virus plutôt que sur la santé globale ».

LA LIMITE ENFIN DÉPASSÉE ?

Mais trop c’est trop et toucher aux enfants est peut-être enfin la limite qu’on ne peut franchir.

On l’a longtemps espéré en France comme aux USA devant le confinement invraisemblable d’enfants innocents du covid, devant le port du masque devant des nourrissons qui ne savent plus ce qu’est un nez une bouche après 18 mois d’adultes muselés devant eux, des petits en maternelle qui n’apprennent plus à parler, des enfants en élémentaire qui n’apprennent plus à lire, etc. On espérait que la population réagirait, enfin…

 

 

Autopsie d’un confinement aveugle OK2

La politique officielle de santé publique concernant les enfants et le Covid a fait craquer les employés des agences. Voici ce qu’ils résument :

« Premièrement, ils ont exigé que les jeunes enfants soient masqués dans les écoles. Sur ce point, les agences se sont trompées. Des études convaincantes ont révélé plus tard que les écoles qui masquaient les enfants n’avaient pas de taux de transmission différents. Et pour le développement social et linguistique, les enfants ont besoin de voir les visages des autres.

Viennent ensuite les fermetures d’écoles. Les agences avaient tort — et de manière catastrophique. Les enfants pauvres et minoritaires ont subi une perte d’apprentissage avec une baisse de 11 points des scores en mathématiques et une baisse de 20 % des taux de réussite en mathématiques. Il existe des dizaines de statistiques de ce genre. »

« Ensuite, ils ont ignoré l’immunité naturelle. Encore une fois, c’est faux. La grande majorité des enfants ont déjà eu le Covid, mais cela n’a fait aucune différence dans les obligations globales pour les injections infantiles.

« Et maintenant, en rendant obligatoires les vaccins et les rappels pour les jeunes en bonne santé, sans données solides à l’appui, ces agences ne font qu’éroder davantage la confiance du public ».

ET LA HONTE MONTA ENCORE ET ENCORE ET LE POUVOIR SE RETROUVA DE PLUS EN PLUS SEUL

Une scientifique du CDC :

« Le CDC n’a pas réussi à équilibrer les risques de Covid avec d’autres risques liés à la fermeture des écoles ». Les pertes d’apprentissage, les exacerbations de la santé mentale étaient évidentes dès le début et celles-ci se sont aggravées à mesure que les directives insistaient pour garder les écoles virtuelles. Les directives du CDC ont aggravé l’équité raciale pour les générations à venir. Il a SACRIFIE cette génération d’enfants. »

confirmant les données de notre livre « Les enfants sacrifiés du covid »[4]

Un responsable de la FDA :

« Je ne peux pas vous dire combien de personnes à la FDA m’ont dit : “Je n’aime rien de tout cela, mais j’ai juste besoin de prendre ma retraite. »

LA POURSUITE DES MENSONGES POUR IMPOSER LE VAX AUX PETITS

Fin juin, le CDC a vigoureusement recommandé les vaccins Covid à ARNm pour 20 millions d’enfants de moins de cinq ans. Le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a déclaré que les vaccins Covid à ARNm devraient être administrés à tous les patients de six mois ou plus « parce qu’ils sont sûrs et efficaces. »

TERRIBLES MENSONGES DONT ELLE POURRAIT ÊTRE UN JOUR OBLIGÉE DE RÉPONDRE DEVANT LES TRIBUNAUX.

Cette recommandation radicale était basée sur des données « extrêmement faibles et peu concluantes » fournies par Pfizer et Moderna.

LES NOUVEAUX MENSONGES DE PFIZER ET MODERNA ET LA SOUMISSION COUPABLE DES AGENCES

« Commencez par Pfizer. En utilisant un vaccin à trois doses chez 992 enfants âgés de six mois à cinq ans, Pfizer n’a trouvé aucune preuve statistiquement significative de l’efficacité du vaccin. Dans le sous-groupe d’enfants âgés de six mois à deux ans, l’essai a révélé que le vaccin pourrait entraîner une réduction de 99 % du risque d’infection, mais qu’ils pourraient également avoir un risque accru de 370 % d’être infectés. En d’autres termes, Pfizer a rapporté une gamme d’efficacité vaccinale si large qu’aucune conclusion n’a pu être déduite. Aucune revue médicale réputée n’accepterait des résultats aussi bâclés et incomplets avec un échantillon aussi petit. Plus précisément, ces résultats auraient dû faire réfléchir ceux qui sont en charge de la santé publique. »

Avis d’un haut responsable du CDC — expert dans l’évaluation des données cliniques — il a plaisanté : « Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. » parlant du vax Pfizer chez les jeunes enfants en bonne santé et de son efficacité supposée.

Pour Moderna — l’étude sur 6 388 enfants avec deux doses — n’étaient pas plus convaincante. Contre les infections asymptomatiques, ils ont revendiqué une très faible efficacité vaccinale de seulement 4 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans. Ils ont également affirmé une efficacité de 23 % chez les enfants âgés de deux à six ans, mais aucun des deux résultats n’était statistiquement significatif et aucun n’avait le moindre intérêt pour les enfants puisqu’ils ne souffraient de rien. Contre les infections symptomatiques, le vaccin de Moderna a montré une efficacité statistiquement significative, mais l’efficacité était faible : 50 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans et 42 % chez les enfants âgés de deux à six ans.

UNE GIFLE À LA SCIENCE

Durée de la protection ? Inconnue « Il semble criminel que nous ayons émis la recommandation de donner des vaccins Covid à ARNm aux bébés sans bonnes données. Nous ne savons vraiment pas encore quels sont les risques. Alors, pourquoi le pousser si fort ? » selon un médecin du CDC.

Un haut responsable de la FDA a ressenti la même chose : « Le public n’a aucune idée de la gravité de ces données. Il ne passerait pas la barre pour toute autre autorisation ».

Et pourtant, la FDA et le CDC l’ont fait passer.

Le bon sens existe encore, ce qui explique pourquoi seulement 2 % des parents américains d’enfants de moins de cinq ans ont choisi de se faire vacciner contre le Covid, et 40 % des parents des zones rurales disent que leurs pédiatres n’ont pas recommandé le vaccin Covid pour leur enfant.

ESPÉRONS QUE LES EUROPÉENS ET EN PARTICULIER LES FRANÇAIS NE SACRIFIERONT PAS LEURS ENFANTS AUX SIRÈNES DU PRÉSIDENT ET DE LEURS AFFIDÉS MÉDIATIQUES MERCENAIRES DE PFIZER

La propagande terrorisante des médias reprend avec vigueur appliquant l’injonction présidentielle[5] répétitive « Il faut qu’on dramatise un peu pour que tout le monde se vaccine ». Et pourtant l’épidémie est de fait terminée. Il faut absolument joindre nos députés, sénateurs pour leur dire qu’on ne veut pas de mauvaise surprise à la rentrée comme une injonction de vacciner les enfants innocents du covid et à risque de l’injection expérimentale.[6] Et sans hésiter informer aussi les médias dont le rôle est capital dans la manipulation des citoyens.[7]

Les français commencent à comprendre, devant le nombre d’accidents vaccinaux graves, ou moins dramatiques, mais gênant la vie de tant de voisins, parents, amis ou collègues toujours absents, car fatigués infectés, sans endurance comme en témoignent les coureurs du Tour de France 22.

Les recommandations de vaccins Covid basées sur le peu de preuves transmises par ces agences.

En mai 2022, le manque de preuves cliniques pour les injections de rappel chez les jeunes a créé une tension à la FDA.

La Maison-Blanche l’a promu durement avant même que les régulateurs de la FDA n’aient vu des données. Une fois qu’ils ont vu les données, ils ont découvert qu’aucun bénéfice clair contre les maladies graves chez les personnes de moins de 40 ans n’a été démontré.

DES DÉMISSIONS OCCULTÉES EN FRANCE

Les deux principaux régulateurs des vaccins de la FDA — le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause — avaient quitté l’agence l’année dernière en raison de pressions politiques pour autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes.

Après leur départ, ils ont expliqué pourquoi les données ne justifiaient pas une large autorisation de rappel, arguant dans le Washington Post que « la pression pour des boosters pour tout le monde pourrait en fait prolonger la pandémie », citant des préoccupations selon lesquelles le renforcement basé sur une variante obsolète pourrait être contre-productif.

Quel dommage que ces informations n’aient pas réussi à atteindre nos journaux télévisés !

« C’était comme si nous étions un outil politique » selon un scientifique du CDC. « Il y a un silence, une réticence pour les scientifiques de l’agence à dire quoi que ce soit. Même s’ils savent qu’une partie de ce qui est dit de l’agence est absurde. »

ON SE CROIRAIT EN URSS AU BON VIEUX TEMPS OU EN RDA SOUS LA STASI

Les gens avaient l’impression de ne pas pouvoir parler librement, même à l’interne au sein de leurs agences.

« Vous êtes étiqueté en fonction de ce que vous dites. Si vous en parlez, vous en souffrirez, j’en suis convaincu », selon un membre du personnel de la FDA. Une autre personne a ajouté : « Si vous parlez honnêtement, vous êtes traité différemment. »

Et ainsi ils restent silencieux, se parlant en privé ou en groupes de texte sur Signal.

Nos lecteurs français nous diront-ils combien d’entre eux dans leurs entreprises ne se parlent plus que par « signal » dont on voit chaque jour les correspondants augmenter….

L’IMMUNITÉ NATURELLE, GRAND SUJET TABOU AUX USA COMME EN EUROPE

Pourquoi vacciner les enfants déjà une certaine immunité contre la maladie en l’ayant rencontrée, et qui de toute façon sont innocents du covid, ne font pas de maladie grave et ne transmettent pas ?

En février 2022, 75 % des enfants aux États-Unis avaient déjà une immunité naturelle contre une infection antérieure. Cela pourrait représenter plus de 90 % des enfants aujourd’hui étant donné l’omniprésence d’Omicron depuis lors.

Les propres recherches du CDC montrent que l’immunité naturelle est meilleure que l’immunité vaccinée et une étude récente du New England Journal of Medicine en Israël a remis en question les avantages de la vaccination des personnes précédemment infectées.

La Suède n’a jamais offert la vaccination aux enfants de moins de 12 ans. La Finlande limite les vaccins Covid aux enfants de moins de 12 ans à haut risque. L’Institut norvégien de santé publique a déclaré « l’infection antérieure offre une protection aussi bonne que le vaccin contre la réinfection ». Le Danemark a annoncé le 22 juin que sa recommandation de vacciner tous les enfants de moins de 16 ans était une erreur. « Les vaccinations n’étaient pas principalement recommandées pour le bien de l’enfant, mais pour assurer le contrôle de la pandémie », a déclaré Søren Brostrøm, chef du ministère danois de la Santé.

La réponse officielle de la santé publique au Covid a sapé la croyance du public dans la parole publique elle-même aux USA, mais aussi dans les pays européens dont la France.

Les dirigeants du CDC, de la FDA et des NIH et des agences européennes et mondiales devraient accueillir favorablement les discussions internes — voire les dissensions — basées sur les preuves. La science naît de la confrontation entre ce que l’on croit (les hypothèses) et les faits avérés. Nier les faits au profit d’une croyance érigée en dogme relève d’une attitude religieuse anti-scientifique.

Faire taire les médecins, ce n’est pas « suivre la science ».

 

 

et écoutez la vidéo de JD Michel sur citizen light sur le même sujet

Source vidéo Odyssée : https://odysee.com/@citizen-light:1/Vaccins–la-v%C3%A9rit%C3%A9-en-train-d’%C3%A9clater-aux-USA:9

CDCCitizen Lightdanger des vaccinseffets indésirables vaccins covidJean-Dominique MichelJean-Dominique Michel AnthropologueNIHPierre Barnériasrisque vaccins covidvaccin effets indésirablesvaccins effets secondaires

  1. [1] U.S. Public Health Agencies Aren’t “Following the Science,” Officials Say (commonsense.news)
    Marty Makary M.D., M.P.H. and Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
    Jul 14 22
    Dr. Marty Makary is a Johns Hopkins professor and public policy researcher. He is a member of the National Academy of Medicine, writes for the WSJ and the Washington Post, and is author of the NYT bestselling book, The Price We Pay.
    Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
    Consultant epidemiologist with Florida Department of Health, PM&R physician in Northern California, mom of four and Danish-American dual citizen.[⮬]
  2. [2] https://www.nih.govOfficial website of the National Institutes of Health (NIH). NIH is one of the world’s foremost medical research centers. An agency of the U.S. Department of Health and Human Services, …[⮬]
  3. [3] Center for disease control and prevention: officiel dans chaque état et un fédéral
    Centers for Disease Control and Prevention (cdc.gov) [⮬]
  4. [4] Fauves éditions[⮬]
  5. [5] https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-quon-dramatise-un-peu-emmanuel-macron-et-ses-ministres-jouent-le-tout-pour-le-tout_474389[⮬]
  6. [6] Appel aux Sénateurs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) [⮬]
  7. [7] https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juillet-2022/160722-lettre-ouverte-a-julien-dray-ex-elephant-socialiste-sur-les-dangers-et-linefficacite-des-injections-anticovid-dr-nicole-delepine/[⮬]
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21 juillet 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg 0 0 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-07-21 12:46:182022-07-21 12:46:18STOPPEZ LES INJECTIONS INUTILES ET DANGEREUSES
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Le vax tue de plus en plus de célébrités et combien d’anonymes et de vies brisées? Stoppons le massacre

Exigeons son arrêt immédiat et définitif pour tous !

2022-07-10Nicole Delépine2 commentaires

10/07/2022 (2022-07-10)

Et si l’ annulation du concert d’Amsterdam de Mick Jaggers  en juin 22 pour un covid (malgré sa malveillance pour les non vax  et ses injections répétées),   avait pu réveiller les plus âgés, et la terrible noyade de la nageuse artistique coulant au fond de sa piscine en compétition mondiale et sauvée in extremis réveillait les plus jeunes ?

Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)[1] en imposant de fait l’injection. en imposant de fait l’injection.

Une seule solution, informer encore et encore et tenter de faire prendre conscience à nos proches et amis que les symptômes qu’ils présentent ne sont pas des « coïncidences » (troubles menstruels, AVC, sensations neurologiques bizarres, fatigue extrême, flambée du cancer du papa, Alzheimer précoce, etc.) mais bien des effets secondaires de l’injection.

Et surtout qu’ils regardent à deux fois avant la troisième ou quatrième dose dont la toxicité globale est supérieure. L’accumulation des doses aggrave les effets du poison. Et il y a certainement beaucoup moins de placebos que dans la première ou deuxième dose…

Une vidéo récente récapitule des décès ou souffrances majeures de célébrités. Plus efficace que de longs discours ? Diffusons-la !

Des célébrités souffrent d’effets indésirables et meurent après avoir été injectées (odysee.com)

Il faut la voir avec courage, car cette énumération est terrible et la diffuser largement en tentant de joindre des naïfs, vaccinés ou non. Nous sommes tous dans le même bateau. Plusieurs illustrations en sont extraites. Plus que de longs articles savants sur les raisons de cette hécatombe liée aux injections expérimentales à ARN messager qui ne touchent que certains d’entre nous, la diffusion de ces FAITS AVÉRÉS ouvrira peut-être d’autres yeux et ainsi de suite…

Des concerts annulés

Après s’être fait vacciner, Jane Birkin, (AVC), Mick Jagger (covid post vaccinal), Céline Dion (graves troubles neurologiques), Justin Bieber (paralysie faciale)[2] reportent leurs concerts, ainsi que de nombreux autres artistes.

D’autres meurent…

Des compétitions interrompues

Emma Raducanu avait dû abandonner Wimbledon en 21. Comment n’avaient-ils pas tous compris ce à quoi ils s’exposaient et que Djokovic mettait en lumière par son refus inébranlable de s’injecter le poison.

En 2022 des tennismen forcés d’abandonner en pleine compétition découvrent l’ampleur de la toxicité des injections. Raphael Nadal arrive à Wimbledon avec des sensations nerveuses étranges en juillet 2022.

Footballers, basketteurs, nageurs, hockeyeurs, entraîneurs, meurent brutalement sur le terrain ou sont obligés d’abandonner leur carrière et passion.

La nageuse artistique Anita Alvarez, double championne olympique a perdu connaissance après avoir senti des engourdissements dans les doigts, puis tout est devenu noir. Elle est restée sous l’eau deux minutes et a pu être réanimée, car sa coach a réussi à la remonter à temps.

D’autres voient leurs pathologies comme des cancers, s’aggraver et flamber

Certains meurent de cancers aggravés par la vaccination ou développés rapidement à sa suite, comme cette belle gymnaste de 16 ans.

Des journalistes n’échappent pas aux complications, voire au décès en direct

Énormément de sites ou de pages Telegram, etc. recensent ces FAITS AVÉRÉS

Et si vous voulez d’autres témoignages, ils s’accumulent entre autres sur COVID VACCINE INJURIES

Ou sur Telegram : https://t.me/covidvaccineinjuriesdotcom

Et en français :

  • https://t.me/recensementeffetsecondaire
  • https://t.me/VVC_19 :
  • 💉 #29ans #ErranceMedicale #EffetsSecondaires #VaccinsCovid19 #Covid19 #Temoignage #VVC19 #Victime
  • 🗣 #Victime11 — Témoignage vidéo d’effets secondaires des vaccins Covid-19
  • « 📣 Pour que les victimes soient reconnues, pour que les enfants ne se fassent pas vacciner, pour ne pas être contraint à recevoir une dose de plus, toi aussi témoignes des effets secondaires dont tu es victime en nous envoyant un mail à :
  • 📧 victimes-vaccins-covid19@proton.me
  • Tu peux témoigner anonymement ou à visage découvert 👍 Nous avons besoin de toi 🙂
  • ✅ Pour contourner la censure, rejoins-nous sur nos Chaînes Odyssée et Telegram 🚀
  • 🔗 Odysée : https://odysee.com/@VVC-19
  • 🔗 Télégram : https://t.me/VVC_19
  • Pour protéger tes proches qui pensent que ces vaccins sont sûrs, partage-leur ce témoignage 🔥 »
  • Ensemble nous sommes plus fort 💪
  • 🔎 Source : Christine Cotton (https://twitter.com/ChrisCottonStat/status/1542244403963740161)
  • & Collectif ReactC19 (https://www.reactc19.com/)

Ne regardez pas ailleurs : la vie de vos proches, amis, relations en dépend, même s’ils ont déjà reçu l’injection. Chaque dose aggrave le risque actuel et à long terme. Le sort de l’Humanité dépend de nous tous. INFORMONS.

 

Quelques chiffres récents

 

 

  1. [1] Les enfants sacrifiés du covid : génération meurtrie à travers isolement, masque et vax extorqué | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation[⮬]
  2. [2] https://www.globalizacion.ca/los-tragicos-destinos-de-estrellas-mundiales-como-celine-dion-y-justin-bieber-abriran-los-ojos-de-sus-fans/
    https://www.globalresearch.ca/will-the-tragic-fate-of-world-stars-like-celine-dion-and-justin-bieber-open-the-eyes-of-their-fans-impacts-of-covid-19-vaccine/5783700
    Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid ? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation[⮬]
11 juillet 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg 0 0 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-07-11 13:01:512022-07-12 14:14:03Le vax tue de plus en plus de célébrités et combien d’anonymes et de vies brisées? Stoppons le massacre
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APPEL A MR FABIEN ROUSSEL ET TOUS DEPUTES: un moratoire s’impose pour le vaccin anticovid

Lettre ouverte à Mr Le Député Fabien Roussel et à ses collègues : le pseudovaccin antiCovid est dangereux et inutile, il faut l’interdire

2022-07-09Nicole DelépineAucun commentaire

09/07/2022 (2022-07-09)

Par les Dr Gérard Delépine et Nicole Delépine

Non, Monsieur le Député, le pseudo vaccin ne réduit ni le risque de porter le virus (ce qui n’a aucune incidence), ni les contaminations, ni les formes graves. Il faut écouter les vrais scientifiques, ceux qui ne sont pas liés aux laboratoires pharmaceutiques et qui basent leurs conclusions sur les seuls faits établis au lieu de croire en des simulations biaisées.

Ce graphique publié par l’OMS sur https://Covid19.who.int/ montre que les vaccinations n’ont pas réduit les contaminations, mais ont au contraire été suivies par une accélération de l’épidémie :

D’ailleurs, comme nous, vous devez connaître parmi vos proches de nombreuses personnes totalement vaccinées et qui ont été malades du Covid parfois même à plusieurs reprises.

De plus, cette injection expérimentale est à l’origine de nombreux effets secondaires, dont des décès rapides, des maladies neurologiques comme certaines maladies de la vache folle, de perturbations hormonales majeures et de risque d’atteinte de la fertilité à plus ou moins long terme. La diminution de l’immunité personnelle qui s’aggrave avec les doses successives entraîne une fragilité des personnes sources d’infections répétées et d’augmentation du nombre de cancers.

Les collègues médecins du monde entier, dont de grands scientifiques et chercheurs, multiplient les appels pour un moratoire mondial auxquels vous ne pourrez rester indifférent, si comme nous le pensons, vous ne voulez que le bien de l’Humanité et singulièrement des électeurs qui vous ont fait confiance.

Votre tweet[1] témoigne d’une désinformation dont vous avez été victime comme tant d’autres et que nous tentons de combattre comme beaucoup en publiant les FAITS AVÉRÉS, malgré la censure qui rend leur accès difficile et malgré la propagande permanente répétant les opinions de médecins trop liés aux laboratoires pharmaceutiques.

La réponse d’Antoine Léaument à votre tweet est justifiée. Espérons qu’il sera entendu :

« J’ai interpellé aujourd’hui le ministre de la Santé. Je lui ai dit qu’il FAUT réintégrer les soignants suspendus. Puisqu’être vacciné n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus, à quoi bon continuer avec cette absurdité ? »

@ALeaument · 5 juil.

Quelques rappels parmi les démonstrations quotidiennes de l’inefficacité des pseudo vaccins :

La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid

La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais à la lumière des chiffres de l’OMS, l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité Covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85 % des habitants, dont plus de 95 % des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le plus vacciné d’Amérique du Sud le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).

À l’opposé, les pays africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts Covid. Leurs mortalités cumulées ne dépassent pas les 200 par million !

Mais le vax inutile est aussi dangereux

Il augmente les fausses couches de façon drastique tant en UE comme la dia en témoigne qu’aux USA :

Les cancers augmentent de façon spectaculaire, comme les médecins militaires américains l’ont signalé depuis des mois demandant eux aussi un arrêt de ces injections expérimentales :

Mr Le Député, ne prenez pas le risque d’envoyer vos concitoyens à l’injection de trop, car vous en supporteriez au moins la responsabilité morale. L’histoire tragique de Céline Dion et de Justin Bieber, entre autres vedettes qui avaient exigé la preuve des injections pour assister à leur concert, est terrible.[2]

« Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-Covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes, loin de la vraie médecine et probablement trop proches des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser leur vie, en tous cas d’ores et déjà leur vie d’artiste ?

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination antiCovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans — qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux. On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par Big Pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. » (…)

Dre Nicole Delépine
Extrait de l’article : Les destins tragiques de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber vont-ils ouvrir les yeux de leurs fans ? Mondialisation.ca, le 12 juin 2022.

Et que direz-vous de la hausse de la mortalité globale constatée et publiée par l’Office National des Statistiques anglais beaucoup plus transparent que nous ?

Cette augmentation de la mortalité hors Covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.

Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)[3], aux USA[4] en Allemagne[5][6] et plus globalement en Europe[7].

Cette surmortalité des vaccinés, tant Covid que non Covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid.

La négation de ce paradoxe prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator, du Vioxx, ou du sang contaminé…

Lisez l’appel du conseil mondial de la santé :

Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)


 

 

  1. [1] « @AvecRoussel
    Le vaccin fonctionne. Le vaccin réduit le risque de porter le virus. Le vaccin permet de réduire la contagiosité. Il faut écouter les scientifiques ». sous réserve que ce tweet soit authentique.[⮬]
  2. [2] Entretien avec le Pr Chossudovsky : les stars qui ont promu le vax et qui en sont victimes devraient aider à la campagne pour stopper cette injection dangereuse — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) [⮬]
  3. [3] https://www.zinfos974.com/Mortalite-38-par-rapport-a-2019-la-plus-forte-augmentation-de-France_a184422.html[⮬]
  4. [4] https://resistance-mondiale.com/un-rapport-de-la-fda-revele-que-la-mortalite-toutes-causes-confondues-est-plus-elevee-chez-les-vaccines
    https://www.epochtimes.fr/pourquoi-le-nombre-de-deces-a-t-il-augmente-de-40-aux-etats-unis-par-rapport-a-lannee-derniere-1932664.html
    Il y a eu une augmentation inattendue de 40 % des « décès toutes causes » en 2021 :
    https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/[⮬]
  5. [5] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/22/des-medecins-allemands-confirment-a-nouveau-la-correlation-entre-vaccin-et-surmortalite/[⮬]
  6. [6] L’expérience anglaise démontre l’augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés antiCovid — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) [⮬]
  7. [7] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/19/explosion-de-la-surmortalite-hors-Covid-19-en-europe/[⮬]
9 juillet 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/NV8LIVRE.png 1887 1290 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-07-09 17:43:112022-07-09 17:43:11APPEL A MR FABIEN ROUSSEL ET TOUS DEPUTES: un moratoire s’impose pour le vaccin anticovid
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L’injection expérimentale doit être stoppée dans le monde entier selon le conseil mondial de la santé

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé

2022-06-16Nicole Delépine1 commentaire

16/06/2022 (2022-06-16)

Par Nicole Delépine

Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections

Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org)[1]

Nous rapportons ici le travail du Conseil Mondial de la Santé qui s’est constitué en 2021 pour combattre la censure et le manque d’informations des citoyens concernant les injections géniques.

QUE REPRÉSENTE LE CONSEIL MONDIAL DE LA SANTÉ ?

C’est une organisation à but non lucratif pour le peuple, informée et financée par le peuple, coalition mondiale d’organisations axées sur la santé et de groupes de la société civile, plus de 130 organisations dans 40 pays, qui cherche à élargir les connaissances en santé publique et la création de sens grâce à la science et à la sagesse partagée.

Ils s’engagent à protéger les droits de l’homme et le libre arbitre tout en donnant aux gens les moyens de prendre le contrôle de leur santé et de leur bien-être. Fondé en 2021, le Conseil mondial de la santé est une initiative à but non lucratif soutenue par EbMCsquared CiC, organisation d’intérêt communautaire.[2]

« La liberté est le droit de dire, de penser et de faire ce que vous voulez faire sans être limité. Tout le monde a ce droit humain inné. Il est de notre responsabilité de l’utiliser à bon escient ».[3]

RECHERCHE DE PREUVES SUR LA SÉCURITÉ OU NON DES VAX ANTICOVID

Ce rapport a été conçu pour voir s’il existe ou non suffisamment de preuves sur les bases de données de l’OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellowcard pour établir un signal de sécurité sur les vaccins Covid-19.

« Dans des circonstances ordinaires, les essais de phase 3 et 4 établiraient l’innocuité et l’efficacité d’un produit pharmaceutique. Cependant, ces essais ne sont pas terminés pour les produits Covid-19. Les produits ont été administrés à une large population qui n’est pas surveillée par les essais cliniques. Il est donc nécessaire d’examiner toutes les preuves disponibles pour établir l’innocuité de ces produits et leur impact sur ceux qui ont pris le produit, mais qui ne sont pas surveillés par les essais cliniques. »

Le développement d’un vaccin contre le Covid-19 dans le cadre de l’opération Warp Speed a été précipité. Traditionnellement, la mise au point d’un vaccin prend 10 ans ou plus avant la production et la distribution à grande échelle à une large population. Avec les vaccins contre le Covid-19, le produit est passé d’essais précliniques exploratoires à une fabrication à grande échelle en seulement 10 mois. Les données sur leur sécurité sont incomplètes. Ce rapport tend à combler le vide sur les informations post injection.

Il s’agit d’un rapport d’information créé par le Conseil mondial de la santé pour aider les professionnels de la santé, les scientifiques et les citoyens à prendre des décisions éclairées sur les vaccins contre le Covid-19. La sécurité des produits Covid-19 n’a pas été établie à l’issue des essais cliniques de phase 3 et de phase 4. Les produits Covid-19 n’ont pas l’efficacité des vaccins utilisés jusqu’ici. (ils n’empêchent pas une personne de contracter le virus, ni de tomber malade, ni de propager la maladie)

Les produits Covid-19 sont utilisés sur des milliards de personnes, y compris des enfants, alors que la phase d’essai clinique n’est pas terminée. La grande majorité de ces personnes injectées ne sont pas surveillées.

« Les données d’essai de 6 mois de Pfizer (qui faisaient suite aux données préliminaires d’essai originales sur lesquelles les produits ont été autorisés) n’ont pas montré de réduction de la mortalité toutes causes confondues dans le groupe vacciné. Cela pourrait indiquer que tout bénéfice obtenu grâce à la vaccination peut être annulé par des événements indésirables, y compris le décès ».

 

Les vaccins contre le Covid-19 font l’objet d’essais de phase 3 et leur innocuité et leur efficacité n’ont pas encore été établies.

ABSENCE DE SUIVI DES INJECTÉS, AU MOINS OFFICIELLEMENT

La majorité de ceux qui ont reçu l’injection (plusieurs milliards de personnes) ne sont pas surveillés par les vaccinateurs, (du moins à leur connaissance). Quid du suivi via les codes-barres injectés ? Mystère.

Dans ce rapport, le WCH vise à utiliser les bases de données de pharmacovigilance établies pour détecter s’il existe un signal de sécurité préoccupant chez les « vaccinés ». Ce rapport rassemble les données sur les événements indésirables sur les vaccins contre la COVID-19 à partir des bases de données de pharmacovigilance internationales.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 recueillies dans chaque base de données de pharmacovigilance sont comparées aux données sur les événements indésirables de produits pharmacologiques similaires (autres vaccins courants) dans les mêmes bases de données, dans la mesure du possible. Ce rapport examine les paramètres par lesquels d’autres vaccins et médicaments ont été rappelés dans le passé.

Méthode

Les auteurs ont examiné chaque base de données — OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card Scheme — et documenté combien d’événements indésirables étaient liés aux vaccins Covid-19.

Rapports d’événements indésirables

Les données de pharmacovigilance sont généralement recueillies par le biais de la déclaration des événements indésirables. En règle générale, les rapports d’événements indésirables sont établis par :

  • Une personne qui a subi un événement indésirable
  • Un professionnel de la santé qui soupçonne un événement indésirable chez un patient
  • Organisations qui créent des rapports à partir de programmes de soutien aux patients
  • Sociétés pharmaceutiques sous forme d’études cliniques ou post-commercialisation
  • Revues de littérature
  • Reportages dans les médias
  • Études
  • Les données de pharmacovigilance peuvent également être recueillies dans le cadre d’autres études, notamment :
    • Études rétrospectives
    • Études de cohorte
    • Études cliniques
    • Études post-commercialisation
    • Revues de littérature

Les données de pharmacovigilance établissent des signaux

Les rapports établis sur les bases de données de pharmacovigilance n’établissent pas le lien de causalité. Une relation causale possible établie par ce processus est connue sous le nom de « signal ». Si un signal est détecté, une enquête plus approfondie est nécessaire.

Bases de données sur la déclaration des effets indésirables ou des réactions vaccinales

Les vaccins contre le Covid-19 sont un nouveau type de thérapie. Il est particulièrement important de signaler les effets secondaires graves. Selon l’endroit où vous vous trouvez dans le monde, il existe différentes bases de données mises en place pour enregistrer les réactions indésirables aux médicaments.[4]

OMS VigiAccess

Lancé en 2015 par l’OMS, VigiAccess base de données internationales des événements indésirables potentiels signalés liés aux médicaments, pour « analyser les rapports de dommages présumés causés par les médicaments, trouver des “signaux” de réactions indésirables potentielles aux médicaments ». Créés en 1968, 170 pays collaborent pour surveiller et identifier les dommages causés par les médicaments. Cette collaboration couvre environ 99 % de la population mondiale.

Les rapports sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 sur VigiAccess englobent tous les vaccins Covid-19

Vaccin Nombre d’effets indésirables Pourcentage d’enfants de 1 an qui ont été vaccinés dans le monde depuis
Vaccin contre la tuberculose 37 335 88 % 1968
Vaccin contre la poliomyélite 123 732 86 % 1968
Vaccin contre la diphtérie 1914 85 % 1979
Vaccin contre le tétanos 15 381 85 % 1968
Vaccin contre la coqueluche 2259 85 % 1972
Vaccin contre l’hépatite B 106 761 85 % 1984
H. Vaccin contre la grippe B 90 044 72 % 1986
Vaccin contre la rougeole 6231 71 % 1968
Vaccin contre la rubéole 2640 71 % 1971
Vaccin Contre le Covid-19 3 777 652 65,7 %*** 2020

Pour les vaccins courants qui ont été distribués à la grande majorité de la population mondiale, gamme de rapports d’événements indésirables au nombre de 2000 à 100 000 sur VigiAccess.

Pour les vaccins Covid-19, qui ont actuellement été administrés à environ 65 % de la population mondiale, il y a plus de 3,7 millions de rapports d’événements indésirables sur VigiAccess.

VigiAccess montre un nombre d’événements indésirables sans précédent dans la base de données de tout autre produit pharmaceutique ou vaccin.

Dans le tableau suivant, 37 335 événements indésirables sont rapportés après environ 4 milliards de vaccins contre la tuberculose (moins de 1/100000) et plus de 3,7 millions de rapports provenant d’environ 5,1 milliards de personnes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 (environ 72/100000).

En corrigeant la différence dans le nombre de personnes qui ont reçu les deux vaccins, on constate une augmentation de 77 fois du nombre d’événements indésirables signalés à VigiAccess pour le vaccin Covid-19 par rapport à celui contre la tuberculose

Compte tenu de l’objectif déclaré de VigiAccess — analyser les rapports de dommages présumés causés par des médicaments, trouver des « signaux » d’effets indésirables potentiels des médicaments — une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part de l’Organisation mondiale de la santé.

CDC VAERS

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a été créé en 1990 et cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des USA et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis : système conçu pour être un système d’alerte précoce pour les problèmes de sécurité liés aux vaccins homologués aux États-Unis. VAERS saisit et analyse les rapports d’événements indésirables qui se produisent après une vaccination.

Toute personne qui a subi un événement indésirable à la suite d’un vaccin peut le signaler au VAERS. En outre, les professionnels de la santé sont tenus de signaler les événements prescrits qui se produisent chez leurs patients après la vaccination, et les fabricants de vaccins sont tenus de signaler tous les événements indésirables qui sont portés à leur attention. Il s’agit d’un système de déclaration qui repose sur les individus pour s’auto-déclarer ou sur les fournisseurs de soins de santé pour faire rapport en leur nom. C’est une infraction fédérale aux États-Unis de soumettre un faux rapport VAERS

Les rapports VAERS recensent les événements indésirables de 1990 à nos jours. Les données sur les vaccins Covid-19 sur VAERS englobent les vaccins Moderna, Pfizer et Jansen depuis leur autorisation de mise sur le marché.

Données VAERS : Pourcentage du nombre total de déclarations d’événements indésirables par type de vaccin[5].Plus de 50 % du total des rapports d’événements indésirables faits sur VAERS, c’est-à-dire les rapports faits pour TOUS les vaccins depuis 1990, sont attribués aux vaccins COVID-19.

À partir de 2020 et jusqu’en 2022, nous assistons à une augmentation spectaculaire et sans précédent des décès signalés au VAERS. Actuellement, sur les plus de 37 000 décès signalés au VAERS depuis 1990, 27 968 sont liés aux produits Covid-19. Un décès à proximité d’un vaccin indique une relation causale plus probable. Or la grande majorité des rapports sont faits dans les 3 jours suivant l’administration du vaccin.

Rapports VAERS Covid-19 par âge

https://worldcouncilforhealth.org/wp-content/uploads/2022/06/2022-05-25-3.png

https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=F9E61FE2A2B457AD46D5FC21F667

ALERTE CONCERNANT LES ENFANTS

Il y a 209 rapports d’événements indésirables sur VAERS pour les enfants de moins de 2 ans.

Ces vaccins n’ont pas été autorisés pour ces groupes d’âge. Il y a 1499 rapports supplémentaires dans le groupe des 2 à 5 ans, dont beaucoup concernent probablement des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé. Celles-ci peuvent être liées à une exposition au produit in utero, par l’allaitement ou à l’administration à des enfants pour lesquels le produit n’est pas autorisé.

Les données du VAERS montrent une proportion écrasante d’événements indésirables liés au vaccin Covid-19, plus de 50 % du total des rapports depuis 1990 étant attribués au vaccin.

Nous constatons une différence de 10 fois dans le nombre de rapports d’événements indésirables pour le vaccin ROR et le vaccin Covid-19. En outre, il y a une augmentation de 169 fois des décès signalés au VAERS après la vaccination contre le Covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe et une augmentation de 56 fois des rapports d’événements indésirables sur le VAERS après la vaccination covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe.

La plupart des décès et des événements indésirables sont survenus quelques jours après la vaccination, ce qui rend une relation de cause à effet plus probable. Étant donné que les vaccins contre le Covid-19 sont nouveaux et sont encore en cours d’essais cliniques, les données VAERS sont suffisantes pour établir un signal de sécurité préoccupant.

Les rapports sur les VAERS qui se sont produits chez les enfants de groupes d’âge qui n’ont pas été autorisés à recevoir le vaccin sont extrêmement préoccupants. Cela indique la possibilité d’événements indésirables obtenus in utero, de l’allaitement ou de l’administration du vaccin à des groupes d’âge pour lesquels il n’a pas été autorisé.

Compte tenu des objectifs énoncés par le VAERS — détecter les événements indésirables nouveaux, inhabituels ou rares, évaluer l’innocuité des vaccins nouvellement homologués et fournir un système national de surveillance de l’innocuité qui s’étend à l’ensemble de la population pour répondre aux urgences de santé publique, telles que les programmes de vaccination contre la grippe pandémique à grande échelle — une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part du CDC et de la FDA.

EudraVigilance

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés dans EudraVigilance est le suivant :

  • Vaccin Moderna – 294 772 ;
  • Vaccin Pfizer-BioNTech (Tozinameran) – 956 913 ;
  • Vaccin Astrazeneca – 488 769 ;
  • Vaccin Janssen – 59 751 ;
  • Vaccin Novavax — 756.

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés pour tous les vaccins Covid-19 sur EudraVigilance est supérieur à 1,8 million.

Comme dans le VAERS, plus d’un millier de cas ont été signalés dans la catégorie des 0 à 2 ans, un groupe d’âge pour lequel les vaccins ne sont pas autorisés. Cela indique potentiellement que les nourrissons et les enfants subissent des événements indésirables liés à l’exposition in utero, à l’allaitement maternel et/ou administrés à des personnes pour lesquelles les produits ne sont pas autorisés.

Le nombre total de personnes vaccinées dans les pays de l’UE/EEE est de 341 628 772, soit environ 75,4 % de la population.

En 2018, environ 90 % des enfants européens ont été vaccinés contre la rougeole dans le cadre du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Environ 90 % des Européens ont été vaccinés contre la rougeole. Sur les quelque 673,2 millions de personnes qui ont reçu le vaccin contre la rougeole en Europe, EudraVigilance a reçu un total de 48 913 rapports d’événements indésirables sur EudraVigilance.

Environ 341 millions d’Européens ont été vaccinés contre le Covid-19. Parmi ceux-ci, 1,8 million de rapports d’événements indésirables ont été effectués sur EudraVigilance.

Il y a une augmentation de plus de 70 fois du nombre d’événements indésirables individuels signalés à EudraVigilance pour le vaccin Covid-19.

Étant donné que les vaccins Covid-19 sont en cours d’essais cliniques, les données d’EudraVigilance sont suffisantes pour établir un signal de sécurité alarmant pour ces produits.

Les plus de 1000 rapports d’événements indésirables survenus chez des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé indiquent la nécessité d’une action immédiate et urgente.

SYSTÈME DE CARTON JAUNE DU ROYAUME-UNI

Les rapports sont faits au programme de carton jaune volontairement par les patients, les parents ou les soignants et par les professionnels de la santé. Les fabricants sont légalement tenus de signaler les problèmes liés aux produits de santé à la MHRA.

Au Royaume-Uni, plus de 53 millions de personnes ont reçu au moins une dose du vaccin contre le Covid-19. Le système britannique de carton jaune documente actuellement plus de 450 000 rapports d’effets indésirables.

Les données sur les cartes jaunes pour d’autres vaccins ne sont actuellement pas disponibles sur le site Web de la carte jaune. Cependant, le paracétamol est l’un des médicaments les plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Des millions de personnes au Royaume-Uni ont pris ce médicament pendant plusieurs décennies. Le rapport ci-dessus montre 25 158 réactions et 585 décès associés à son utilisation depuis 1964. Le programme de carton jaune affiche plus de 450 000 rapports de carton jaune liés aux vaccins Covid-19 — une action immédiate et urgente est nécessaire.

SYNTHÈSE

Nombre et types d’événements indésirables signalés sur l’ensemble des bases de données[6]

Leur gravité varie de mineure telle que la douleur au site d’injection à des événements majeurs comme l’arrêt cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite et la mort.

Dans VigiAccess, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 1 500 000
  • Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif — ~ 1 000 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 691 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 477 000
  • Troubles vasculaires — ~193 000

Dans EudraVigilance

  • Troubles du système nerveux — ~ 746 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 543 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 344 000
  • Infections et infestations — ~ 220 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 213 000

Dans le système de carton jaune du Royaume-Uni, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 285 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 175 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 135 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 101 000
  • Troubles du système reproducteur et du sein — ~ 57 000

Résultats courants des effets indésirables du vaccin contre le Covid-19 : VAERS

Source : wonder.cdc.gov/

Nombre de rapports sur les VAERS[7]

  • Myocardite/péricardite 22 000
  • Crises cardiaques 6 400
  • Guillain-Barre 2 600
  • Thrombocytopénie 6 000
  • Convulsions/Convulsions 16 000
  • Anaphylaxie 49 000
  • Paralysie de Bell 15 000
  • Thromboembolie veineuse 25 000
  • Arthrite et arthralgie/lésion articulaire 78 000
  • Mort 28 000

Plus de 54 % des événements indésirables signalés au VAERS sont attribués au vaccin Covid-19, y compris le décès, les blessures potentiellement mortelles, l’invalidité permanente, les anomalies congénitales/malformations congénitales, les hospitalisations, les visites aux urgences, les visites chez le médecin et autres.

Il y a plus de 28 000 décès, soit plus de 75 % de tous les décès signalés au VAERS depuis 1990, associés au vaccin Covid-19.

Les événements indésirables dans les bases de données de pharmacovigilance sont sous-déclarés.

Dans une étude comparant la surveillance active et passive des événements indésirables, 8,8 % des personnes sous surveillance active ont signalé un événement indésirable, tandis que seulement 0,1 % de ceux sous surveillance passive.

C’est une différence de 88 fois dans le nombre de rapports pour cette étude particulière. L’OMS note également que la surveillance passive « rend difficile l’exhaustivité et l’actualité de la collecte des données ». Le nombre réel d’événements indésirables survenus dans le temps en relation avec les vaccins Covid-19 serait beaucoup plus élevé que ce qui est révélé par les données de ces bases de données de pharmacovigilance.

Un rapport d’événement indésirable n’indique pas que le vaccin a causé un événement, mais simplement qu’il était lié. Les données VAERS révèlent une relation temporelle étroite entre l’administration du vaccin Covid-19 et l’événement indésirable ultérieur, la majorité des événements indésirables se produisant dans les 2 jours suivant la réception du vaccin. Cela indique une relation causale plus probable.

Le cas unique des vaccins contre le Covid-19 Opération Warp Speed

Lorsque le Covid-19 est apparu comme un nouveau virus en 2019, on savait peu de choses sur sa virulence et sur ses impacts sur la population en général. Les premiers modèles ont surestimé la morbidité et la mortalité de la maladie et, par conséquent, l’opération Warp Speed a été introduite pour accélérer le développement d’un vaccin et d’autres traitements contre le nouveau virus.

TOUS les vaccins contre le Covid-19 sont en phase 3 d’essai. Aucun n’a terminé ses essais phase 3.

L’efficacité et l’innocuité des vaccins contre le Covid-19 n’ont donc pas été établies. Les taux d’efficacité (95-97 % !) et de tolérance allégués par les gouvernements et les agences sanitaires diffusent sans aucune vérification les chiffres fournis par les services de communication des laboratoires pharmaceutiques.

La grippe porcine de 1967 : un cas de campagne de vaccination de masse précipitée

En février 1967, une enquête a été lancée sur la mort mystérieuse d’un soldat américain décédé lors d’un exercice d’entraînement de base. Les tests du CDC ont révélé que le soldat David Lewis avait contracté une souche de grippe porcine. Par la suite, 11 autres soldats ont été testés positifs pour le virus tandis que des centaines d’autres ont été testés positifs pour les anticorps.

Le CDC et le président de l’époque, Gerald Ford, ont adopté une approche « mieux vaut prévenir que guérir » et ont lancé une campagne de vaccination de masse contre la grippe porcine. Des rapports ont fait état d’effets indésirables présumés, notamment de crises cardiaques, du syndrome de Guillain-Barré et de 53 décès signalés. La pandémie ne s’est pas matérialisée, le gouvernement a interrompu le programme de vaccination de masse le 16 décembre.

Une approche « mieux vaut prévenir que guérir » est injustifiée et dangereuse car les preuves n’existent pas pour affirmer qu’une vaccination précipitée est plus sûre que l’exposition à un virus dont on sait peu de choses.

Les rapports faisant état de seulement 50 décès liés à la vaccination contre la grippe porcine ont suffi à mettre définitivement fin au programme.

Les réponses à toute pandémie présumée doivent s’aligner sur les meilleures preuves disponibles sur la nature de la menace et ne pas être guidées par la politique, les médias, leurs liens d’intérêts avec l’industrie ou les émotions du grand public soumis à une intense propagande de terreur.

Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit.

Source : vaersanalysis.info/2022/05/14/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-5-6-2022/

Le vaccin contre la poliomyélite a été rappelé en moins d’un an après 10 décès signalés, le vaccin contre la grippe porcine a été rappelé en moins de 1 an après 53 décès signalés. Le vaccin contre le Covid-19, avec plus de 28 000 rapports de décès associés, n’a pas été rappelé.

Il existe un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19 détectés dans toutes les bases de données examinées dans ce rapport.

Conclusion

Ce rapport visait à examiner les données de pharmacovigilance de VigiAcess, VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card pour les vaccins Covid-19. L’objectif était de déterminer si les données de ces bases de données étaient suffisantes pour établir un signal de sécurité sur ces produits.

Toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport révèlent un nombre de rapports d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 qui sont entre 10 et 169 fois plus que ce qui est observé dans d’autres produits couramment administrés

Il y a plusieurs milliers de rapports d’événements indésirables chez les enfants pour lesquels le produit Covid-19 n’a pas été approuvé

Il existe suffisamment de preuves sur toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport pour établir un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19.

Les bases de données sur la pharmacovigilance, telles que celles examinées dans le présent rapport, reposent sur la surveillance passive. Les événements indésirables sont sous-déclarés.

Les produits Covid-19 sont uniques en ce sens qu’ils ont été développés rapidement et administrés à de grandes populations alors qu’ils étaient encore en phase 3 d’essais cliniques.

Il existe suffisamment de preuves d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 pour indiquer qu’un rappel de produit est immédiatement nécessaire.

Références

AstraZeneca. (May 2022). Case Series Drug Analysis Print: Covid-19 AstraZeneca Vaccine
Analysis Print. Gov.uk.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1080309/COVID-19_AstraZeneca_Vaccine_Analysis_Print_DLP_25.05.2022.pdf

Connor Stewart. (May 2022). COVID-19 vaccination rate in European countries. Statista.
https://www.statista.com/statistics/1196071/covid-19-vaccination-rate-in-europe-by-country/

Elflein, John. (May 2022). Vaccinations in the U.S.—Statistics & Facts. Statista.
https://www.statista.com/topics/3283/vaccinations-in-the-us/#topicHeader__wrapper

EudraVigilance. (May 2022). European database of suspected adverse drug reaction reports.

European Medicines Agency.
https://www.adrreports.eu/en/eudravigilance.html#

European Centre for Disease Prevention and Control. (May 2022). COVID-19 Vaccine Tracker.

European Centre for Disease Prevention and Control.
https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/covid-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

European Medicines Agency. (May 2022). Human regulatory: EudraVigilance. European Medicines Agency.

  1. [1] Ce rapport a été rédigé par Adele Paul et finalisé et approuvé par le Comité de la santé et de l’humanité du WCH.[⮬]
  2. [2] « Nous croyons en un monde sain, où chacun bénéficie de la transparence de l’information, de l’accès à des médicaments éprouvés et d’une action réelle face à la maladie — tout en respectant les décisions personnelles de chaque individu en matière de santé, sans crainte de discrimination ou de persécution. Nous croyons en un monde où nous gardons notre eau et notre air propres, la nourriture non contaminée et les familles ensemble ».[⮬]
  3. [3] La force du Conseil mondial de la santé réside dans son approche de la collaboration. Nous sommes presque entièrement alimentés par des bénévoles dans notre nombre croissant de comités composés de scientifiques, de médecins, d’avocats, d’activistes et de patients. Nous travaillons au-delà des frontières à éliminer les obstacles grâce à des partenariats de coalition internationale unis pour la protection de l’humanité.[⮬]
  4. [4] Royaume-Uni le Medicines and Healthcare products Regulatory Advisory (MHRA) utilise le système de carton jaune pour surveiller les rapports, et toute personne qui soupçonne un effet indésirable peut le signaler directement sur son site Web : https://coronavirus-yellowcard.mhra.gov.ukÉTATS-UNIS Système de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS) Aux États-Unis, les Centres for Disease Control (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) gèrent la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), qui permet aux individus d’envoyer des rapports via le site Web :
    https://vaers.hhs.gov/reportevent.htmlCanada vous pouvez signaler un événement indésirable sur le site Web du gouvernement du Canada :
    https://www.canada.ca/en/health-canada/services/drugs-health-products/medeffect-canada/adverse-reaction-reporting.html. Il existe également la Base de données en ligne sur les effets indésirables de Vigilance Canada :
    https://cvp-pcv.hc-sc.gc.ca/arq-rei/index-eng.jspAustralie la Therapeutic Goods Administration (TGA) surveille les événements indésirables et un rapport peut être déposé ici :
    https://aems.tga.gov.au

    France Signalement-sante.gouv.fr
    https://solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/signalement-sante-gouv-fr/

    Afrique du Sud https://thj-africa.org.za/ a un lien avec le VAERS sud-africain.
    Nouvelle-Zélande les professionnels de la santé, le public et les « autres » peuvent signaler les effets indésirables ici —
    https://report.vaccine.covid19.govt.nz/s/

    Amérique centrale Système de reporting Noti-FACEDRA
    http://www.notificacentroamerica.net/n/Pages/mapa.aspx#no-back-button

    Les Philippines VARR-PH
    https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSezImFX8-euM35Oc_UsSuhv6nql0J0iWRT0NM9Syyf4FAZrlA/viewform?fbclid=IwAR2zQ-CPYb4bnnvd713w1ICwECHm_UA8cRB8z8rmFApkpHmtqIPSzcWGKEQ[⮬]

  5. [5] https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=CB19840534D33730BADDAAEB1AE0[⮬]
  6. [6] Source : wonder.cdc.gov/[⮬]
  7. [7] Source : vaersanalysis.info/2022/05/14/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-5-6-2022/[⮬]
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8 juillet 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg 0 0 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-07-08 19:29:252022-07-08 19:29:25L’injection expérimentale doit être stoppée dans le monde entier selon le conseil mondial de la santé
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L’expérience anglaise démontre l’augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés anticovid

Que nous a appris l’Angleterre sur la crise covid et les vaccins ?

2022-07-04Gérard Delépine1 commentaire

04/07/2022 (2022-07-04)

Par le Dr Gérard Delépine

L’Angleterre est la championne européenne des injections anti-covid. C’est aussi un pays beaucoup plus transparent que le nôtre dans lequel les données sanitaires brutes sont publiées sur internet par l’Office National des Statistiques. Chacun peut ainsi les analyser permettant d’apprécier les effets des pseudo vaccins avec le plus long recul européen connu.

Les données officielles du gouvernement britannique montrent qu’après six mois la vaccination anti-covid augmente le risque de décès par covid 19 et hors covid.[1]

Rappel de la politique vaccinale anti-covid anglaise

La première injection de Covid-19 a été administrée en Angleterre le 8 décembre 2020. La campagne d’injection a ciblé en priorité les personnes les plus âgées (>80 ans) puis très rapidement les autres groupes par âge décroissant.

La flambée d’épidémie et de mortalité post vaccinale

Les injections ont été immédiatement suivies par une augmentation franche des contaminations et de la mortalité covid pendant 6 à 8 semaines réalisant une véritable « hécatombe post vaccinale » semblable à celle observée dans tous les autres pays[2] qui ont injecté rapidement leurs populations.

Les données officielles du gouvernement britannique montrent que le nombre de nouveaux cas a alors considérablement augmenté.

Les chiffres et la courbe publiés par l’OMS montrent que la mortalité a également fortement augmenté après les injections, les mois de janvier et février 2021 battant les records mensuels du moment et totalisant à eux deux autant de décès covid que les dix mois d’épidémie d’avant les vaccins.

L’hécatombe post vaccinale a été suivie pendant plusieurs mois par une accalmie observée en Europe en même temps dans les pays vaccinés comme dans les pays non injectés

Le surrisque des vaccinés d’attraper la maladie, d’être hospitalisés et de mourir de covid

Six mois après le début des injections, partir de mai 2021, les doubles vaccinés ont progressivement souffert d’un surrisque d’attraper le Covid et cette augmentation de risque s’est confirmé au fil des mois atteignant au total 100 % à 200 % en mars 2022.

Cette augmentation de risque de contracter la maladie des vaccinés s’est traduite par l’envolée du nombre total de cas en Grande-Bretagne alors qu’elle n’a pas été observée au Nigéria ni à Madagascar qui ont préféré les traitements précoces aux vaccins.

La différence est d’autant plus démonstrative que le nombre de cas dépend peu de l’âge et très peu du climat (ainsi que le prouve la comparaison de l’Afrique et de l’Amérique du Sud).

Au bout de quelques mois, les Anglais vaccinés ont été hospitalisés plus que les non-vaccinés pour covid sévère :

Et aussi davantage de risques de mourir de covid :

Au total, en juillet 2022 la stratégie tout vaccin de la Grande-Bretagne a abouti à une mortalité cumulée soixante fois plus élevée qu’au Nigéria (20 fois plus élevée après correction selon la population à risque).

La vaccination augmente-t-elle la mortalité globale ?

Depuis mai 2021, les Anglais vaccinés ont commencé à souffrir d’une augmentation de mortalité toutes causes confondues. Cette tendance s’est aggravée progressivement.

Elle est d’abord apparue chez les Anglais, les plus âgés qui ont reçu les injections de Covid-19 en premier (dès décembre 2020). Ainsi en mai 2021, les vaccinés de 70-79, 80-89 et les 90 ans et plus avaient un taux de mortalité plus élevé que les non-vaccinés du même âge.

Le graphique suivant montre les taux de mortalité standardisés selon l’âge pour 100 000 années-personnes par statut vaccinal et groupe d’âge pour le mois de mai 2021

En juin 2021 les 60-69 ans, vaccinés un mois plus tard, rejoignaient le groupe à mortalité le plus élevé :

Et en juillet celui des 50-59 ans rejoignait le club du taux de mortalité le plus élevé :

Ces données indiquent que les injections de Covid-19 prennent environ 5 mois pour augmenter la mortalité des vaccinés toutes causes confondues

Les plus récentes publications de l’ONS (juin 2022) confirment qu’en décembre 2021 et janvier 2022 la mortalité toutes causes confondues des vaccinés est nettement supérieure à celle des non-vaccinés à l’exception de ceux qui ont reçu 3 injections, mais dont le recul beaucoup plus faible ne permet pas une comparaison significative.

Cette augmentation de la mortalité hors covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.

Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)[3], aux USA[4][5][6] en Allemagne[7]…

Cette surmortalité des vaccinés, tant covid que non covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid. La négation de ce paradoxe constitue, non pas une erreur, mais une faute de nos agences et de nos dirigeants et prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator.


  1. [1] New UK Gov. report confirms COVID Vaccination significantly increases the risk of Death and kills hundreds of thousands after five monthsBY THE EXPOSÉ ON JUNE 2, 2022
    https://expose-news.com/2022/06/02/uk-gov-confirms-covid-vaccination-kills-thousands-after-5-months/[⮬]
  2. [2] https://michelledastier.com/hecatombe-post-vaccinale-dans-le-monde-dr-gerard-delepine/[⮬]
  3. [3] https://www.zinfos974.com/Mortalite-38-par-rapport-a-2019-la-plus-forte-augmentation-de-France_a184422.html[⮬]
  4. [4] https://resistance-mondiale.com/un-rapport-de-la-fda-revele-que-la-mortalite-toutes-causes-confondues-est-plus-elevee-chez-les-vaccines[⮬]
  5. [5] https://www.epochtimes.fr/pourquoi-le-nombre-de-deces-a-t-il-augmente-de-40-aux-etats-unis-par-rapport-a-lannee-derniere-1932664.html[⮬]
  6. [6] Il y a eu une augmentation inattendue de 40 % des « décès toutes causes » en 2021
    https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/[⮬]
  7. [7] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/22/des-medecins-allemands-confirment-a-nouveau-la-correlation-entre-vaccin-et-surmortalite/[⮬]
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8 juillet 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg 0 0 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-07-08 19:05:252022-07-08 19:23:53L’expérience anglaise démontre l’augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés anticovid
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la catastrophe vaccinale au Pérou démontre l’inefficacité de l’injection expériementale. APPEL A UN MORATOIRE

La catastrophe vaccinale du Pérou démontre encore qu’il faut stopper ces injections expérimentales

2022-07-07Gérard Delépine 

07/07/2022 (2022-07-07)

Par Dr Gérard Delépine

Ce pays d’Amérique latine de 32 millions d’habitants a été un élève particulièrement obéissant de l’OMS et a appliqué sa stratégie « interdiction de la chloroquine et des autres traitements précoces. Tout vaccin ».

L’Algérie, pays du Maghreb de 45,5 millions d’habitants a appliqué le traitement précoce prôné par le professeur Raoult et les pays d’Afrique subsaharienne, souffrant chroniquement du paludisme, ont poursuivi l’utilisation des antipaludéens.

Après plus de 2 ans, l’échec des vaccins au Pérou est dramatique alors que l’Algérie comme les pays africains utilisant les antipaludéens ont traversé l’épidémie sans beaucoup en souffrir. Rappelons les faits avérés publiés par l’OMS et mis en figures par l’université John Hopkins

La vaccination n’a pas protégé les Péruviens de la maladie

Début 2022, le Pérou a enregistré plus de 70 000 nouveaux cas en une seule semaine, dépassant les sommets atteints lors des première et deuxième vagues de la pandémie

Vaccinés mais pas protégés !

La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid

La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85 % des habitants, dont plus de 95 % des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).

À l’opposé, les pays Africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts covid. Leurs mortalités cumulées ne sont pas les 200 par million !

Par million d’habitants les mortalités constatées dans les pays africains adeptes des traitements précoces sont 200 à 400 fois inférieures à celle du Pérou confirmant la catastrophe sanitaire du tout vaccin.

Qui peut encore croire que les pseudo vaccins vont résoudre le problème Covid ou qu’ils protègent des formes graves et de la mort ?

8 juillet 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/telechargement-2.jpg 183 275 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-07-08 18:40:442022-07-08 19:31:48la catastrophe vaccinale au Pérou démontre l’inefficacité de l’injection expériementale. APPEL A UN MORATOIRE
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The Incidence of Cancer, Triggered by the Covid 19 “Vaccine” Oct 12, 2021

The Incidence of Cancer, Triggered by the Covid 19 “Vaccine”

October 12, 2021 TLB Staff HEALTH 2

ER Editor: We remind readers of an article we published a little while back by Dr. Mike Williams, who reveals how mRNA technology in the ‘vaccines’ turns off a key pathway of the immune system at the individual cell level, which involves the ‘killer’ CD8 cells. See

Are Covid Vaccines Engineered to Disable Our Immune Systems?

Dr. Nicole Délépine, author of the article below, is a paediatric oncologist.

********

The Incidence of Cancer, Triggered by the Covid 19 “Vaccine”

DR. NICOLE DELEPINE

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***

Coincidence? The Key Word 

Several months ago, we expressed at least “theoretical reservations” about vaccinating cancer patients or former patients who had been cured, because of the underlying mechanism of the gene injection on immunity.

Several geneticists had also expressed their concerns about the possible interference between active or dormant cancer cells and the activity of gene therapy on lymphocytes in particular.

Months have passed, and the vaccine madness has amplified, leading to the refusal of patients without a passport in hospitals (which, as is well known, are intended to receive only healthy people) and to the demand that patients be vaccinated  before receiving any treatment, including cancer patients.

We are in a world gone mad, and yet these stories are multiplying, such as this young man of 22 years who had a chronic cough leading to an X-ray discovering a mediastinal mass. The two big Paris hospitals that received him refused to start the treatment (without it being explained in detail) if the patient refused the experimental injection, of absolutely unknown effects on the development of cancers.

The doctors’ justification? None: “that’s the way it is”, and we have accepted it!

Silence on the colleagues suspended for lack of obedience, and even more on the objective reasons that made them prefer to lose their jobs, their remuneration, their houses, their families intolerant of these decisions as well, rather than submit to the presidential ukase to accept experimental drugs…

Would more than three hundred thousand caregivers (a figure that is probably highly underestimated given the number of hospitals and clinics currently forced to close beds and postpone interventions due to lack of personnel) be crazy, conspiratorial or delusional to the point of putting themselves in great personal, social, family, professional and psychological danger?

Have the doctors who claim that vaccination is safe taken the time to look at the statistics of the effects reported and accepted by the official agencies? Are the FDA, EMA, MHRA also “conspiratorial” when they release statistics, as in the case of VAERS, which is entity of the CDC:

VAERS as of September 26, 2021

More than 726,000 Covid vaccine-related adverse events reported to VAERS as CDC and FDA overturn advisory committee recommendations on Pfizer’s third vaccine.

VAERS data released by the CDC included a total of 726,965 adverse event reports from all age groups following Covid vaccines, including 15,386 deaths and 99,410 serious complications between December 14, 2020, and September 17, 2021.[1]

Or Eudra Vigilance pharmacovigilance body of the European Medicines Agency

Or even the ANSM, our French agency, which shows more than 1,200 deaths accepted as at least possibly related to these experimental injections.

All therapeutic trials for fifty years were stopped after a few deaths for investigation (53 deaths stopped the H1N1 vaccine). Here, thousands of deaths throughout the world and children are shamelessly attacked[2]. How can we continue to believe that this is a health policy?

Why this denial of the most solid sects on the part of theoretically educated doctors, capable of obtaining information directly from reliable sources and equipped with a brain?

Fear of the boss, of the director, who in a few months’ time will inevitably be called into question, since many countries are backtracking and even Germany wants to get out of vaccine terrorism, perhaps on the occasion of Mrs Merkel’s departure[3].

“The leading organizations of contracted physicians in Germany are demanding an immediate end to the “anti-corona” measures and an end to the “horror rhetoric and panic politics”. Obviously, French hospital doctors in Paris and elsewhere do not read German newspapers and are terrorized by the threats of their professional association, their minister, and become kapos[4] and terrorize their patients.

More and More Testimonies are Coming In 

Whatever their unacceptable reasons, testimonies are multiplying.

A young girl accompanies her friend to her mother’s funeral… such a mother, mother of a high school friend, 34 years old, in remission from breast cancer for two years, who is injected with the vaccine and collapses a few days later in a coma and dies after three days of hospitalization… Politically correct explanation: the cancer exploded and took her away. Close the chapter and the coffin.

What would Maigret have said? [Historic Police Investigator] 

But too many coincidences shock the police investigators in front of a corpse. Only doctors would not have the right to think about coincidences of time, for example: “temporality” is their key word…

Like the misleading slogan, “the numbers are always right”. Yes, if they are true and observed in the real world.

But how much confidence can we have in the rigged simulations that the government and the media feed us, without ever specifying that they are only predictions or estimates? [5] But one can do what one wants with the figures, when one chooses them, or creates them to justify the chosen hypothesis, and the the results are totally blurred.

In any case, as far as “cancer and gene injection” is concerned, the vagueness unfortunately dissipates in front of the multitude of terrible stories.

From the colleague who sees multiple “balls” appearing under her armpits, which the check-ups in the hospital do not explain… Obviously no possible link with the vax. And yet the ganglions that appear some time after the injection are a frequent observation after these vax.

So clearly there seems to be three situations:

  • The appearance of a cancer rapidly after the injection (two weeks to a few months) and very progressive, in a person who was previously free of known carcinological pathologies.

  • The resumption of cancer in a patient who has been in complete remission for several months or years.

  • The rapid, even explosive, evolution of a cancer that is not yet controlled.

Beyond the testimonies that are pouring in from relatives and friends and on social networks, a Swiss newspaper has finally addressed the subject in a broader way.

Here are some excerpts from their article[6] and their references[7]:

“Can covid vaccines cause cancer?

In some cases, the answer seems to be yes. Certainly, there is no evidence that the covid vaccines themselves are carcinogenic. However, it has been shown that in up to 50% of vaccinees, covid vaccines can induce temporary immunosuppression or immune dysregulation (lymphocytopenia) that can last for about a week or possibly longer.

Furthermore, covid mRNA vaccines have been shown to “reprogram” (i.e., influence) adaptive and innate immune responses and, in particular, to downregulate the so-called TLR4 pathway, which is known to play an important role in the immune response to infections and cancer cells.”

Thus the authors conclude that it is quite possible that these immune changes could have unintended consequences on the condition of the recipient of the gene injection. A matter of common sense indeed!

“Thus, if there is already a tumor somewhere – known or unknown – or if there is a predisposition to a certain type of cancer, such a state of vaccine-induced immune suppression or immune dysregulation could potentially trigger sudden tumor growth and cancer within weeks of vaccination. It should be noted that lymphocytopenia was also frequently observed in cases of severe covid.

Post-vaccination reactivation of latent viral infections, including shingles virus, EBV (Epstein-Barr) and hepatitis virus, has also been observed.

“Vaccine-induced temporary immunosuppression is also a factor that may contribute to the post-vaccination spike in coronavirus infections seen in many countries.”

Frequency of Vaccine Related Adverse Event in Cancer 

There are already a few thousand observations in official adverse event reporting and online patient groups. There are certainly true coincidences or diagnostic delays due to delayed diagnosis related to lockdown. But we should not dismiss the huge problems that these real people affected in their daily lives and even more, the responsibility that cancer doctors take by imposing the injection before any treatment or protocol continuation. Their main argument: “we did it right, without discussion” does not seem worthy of a once thoughtful profession.

In August 2021, Dr. Ryan Cole,[8] an American pathologist for many years, described a significant increase in certain types of cancer (e.g. endometrial cancer, uterine cancer) since the beginning of the covid mass vaccination campaign. More recently, German pathologists have also noted the problem of post-vaccination immune dysregulation and sudden tumor growth in some patients.

On the French networks, several testimonies coincide with the reappearance of vaginal hemorrhages in women over 85 years of age leading to the diagnosis of endometrial cancer and rapid death… The spike protein produced by the body following the injection is particularly attracted to the genitals, and this would be a new demonstration of this.

So until we know more, let’s be careful, both doctors and caregivers, and not play the sorcerer’s apprentice!

Caution is required with all experimental treatments and even more so when they are the result of a technique never used before in infectious pathology. First, do no harm must guide the decisions of any physician faithful to his Hippocratic oath.

************

Source

Dr. Nicole Delépine: Pediatrician, oncologist, former head of the pediatric oncology department at the R Poincaré Garches Hospital APHP France

Website www.docteurnicoledelepine.fr and ametist.org for the defense of children with cancer

Featured image: cancer cells. Source: Flickr.com

Notes:

[1] More Than 726,000 COVID Vaccine Injuries Reported to VAERS as CDC, FDA Overrule Advisory Committees’ Recommendations on Third Pfizer Shot • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

[2] Les simulations, alibi truqué de la vaccination extorquée aux enfants — Docteur Nicole Delépine

[3] Les médecins libéraux allemands pour la fin de « la politique de la panique »
le 27/09/2021 Dr Stephan Hofmeister, Dr Andreas Gassen, Dr Thomas Kriedel
KBV Lopata/axentis.de     France-Soir
Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de « la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique ».
Lors de la convention des délégués des médecins conventionnés allemands, le directeur adjoint de la Kassenärztlichen Bundesvereinigung (KBV, association nationale des médecins de l’assurance maladie) le Dr Stephan Hofmeister, et le président, le Dr Andreas Gassen, ont exigé la fin des mesures dites « anti-Corona » en Allemagne et la fin de la « politique de la panique et la rhétorique de l’horreur ».
Le communiqué de presse de la KBV déclare : « tous ceux qui souhaitent se faire vacciner ont la possibilité de le faire. Désormais ce n’est plus une décision qui revient à l’État : chacun doit décider à titre individuel pour lui-même. » Selon le Dr Hofmeister les sondages indiquent que plus insistantes se font les pressions politiques, plus les gens refusent toute vaccination en signe de protestation. « C’est une confusion malsaine », a-t-il dit en exigeant que l’on arrête cette politique de la peur.

[4] Ainsi étaient appelés les déportés qui, en échange de quelques avantages, devenaient complices des nazis et se montraient parfois aussi inhumains que leurs bourreaux.

[5] RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA « PLANDEMIE » COVID – Docteur Nicole Delépine

[6] Covid Vaccines and Cancer – Swiss Policy Research (swprs.org)

[7] The Testimonies Project – Israeli Jab Victims Speak Out [VIDEO] | Europe Reloaded

[8] Dr Ryan Cole sur le cancer post-vaccination :
Le docteur Ryan Cole constate une recrudescence de cas de cancers comme jamais auparavant. Vidéo. | Pro Fide Catholica

The original source of this article is Nouveau Monde

Also published by mondialisation.ca. Translated from French by Global Research

Copyright © Dr Nicole Delépine, Nouveau Monde, 2021

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2 COMMENTS ON THE INCIDENCE OF CANCER, TRIGGERED BY THE COVID 19 “VACCINE”

  1.  Rhonda J Leonard JANUARY 7, 2022 AT 11:00 PM

    My 87 year old mother developed vaginal bleeding 9 months after receiving her vaccines….she was diagnosed with endometrial cancer in November of this year. She had a hysterectomy and found out that it spread to the lining of her stomach and bladder. Dr. gave her about a year…I’m praying for a year!

  2.  bbbbb OCTOBER 13, 2021 AT 8:25 AM

    I knew this would happen when they first brought up mrna deathjab,I am not a dr.Do any of the LOGICAL INTELLIGENT HUMANS RESEARCH AND THINK ABOUT THIS?Genetics and dna etc. Are discussed even in The Book of Enoch.I recommend you read it aling with Montauk Babies,and Jonas Salj autibiography in which he admits suppirt for genocide by way of vx.Experimentalvaccines.org,Joyce-bowen blog.c,Camelotprojectportal.org,whatreallyhappened.c,orwellcity.c,henrymakow.c,Matrixofgog.c,humansarefree.c,auricmedia.net,Patriots4Truth.org,Peterdavidbeter.com,Forbiddenknowledgetv.cnet,disclose.tv.net,Indianinthemachine.com will help clarify things.All this is part of R.fellers,Operation Lockstep which wven details steps in making people unemployed,hungry,medically untreated to make them more pliable.Operation Gardenplot and Operation Bluebeam.Theorionlines.orgHumans need to unify in live and light.Turn away from the evil insanity and practice prayer,meditation,mutual Ssistance,traditional healing.Kathara,Reiki,grounding,essential oils,massage,frequency machines-Royalrife.org,oscillators,infrared sauna,actual healing modalities,not toxins.

26 juin 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/06/CANCERS-VAERS-2022-05-16-17-08-22.jpg 864 640 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-06-26 11:49:472022-06-26 11:49:47The Incidence of Cancer, Triggered by the Covid 19 “Vaccine” Oct 12, 2021
Actus, Articles, Bibliographie, Littérature Médicale

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé

Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections

Par Dre Nicole Delépine
Mondialisation.ca, 17 juin 2022
nouveau-monde.ca

 

 

 

 

Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org)[1]

Nous rapportons ici le travail du Conseil Mondial de la Santé qui s’est constitué en 2021 pour combattre la censure et le manque d’informations des citoyens concernant les injections géniques.

QUE REPRÉSENTE LE CONSEIL MONDIAL DE LA SANTÉ ?

C’est une organisation à but non lucratif pour le peuple, informée et financée par le peuple, coalition mondiale d’organisations axées sur la santé et de groupes de la société civile, plus de 130 organisations dans 40 pays, qui cherche à élargir les connaissances en santé publique et la création de sens grâce à la science et à la sagesse partagée.

Ils s’engagent à protéger les droits de l’homme et le libre arbitre tout en donnant aux gens les moyens de prendre le contrôle de leur santé et de leur bien-être. Fondé en 2021, le Conseil mondial de la santé est une initiative à but non lucratif soutenue par EbMCsquared CiC, organisation d’intérêt communautaire.[2]

« La liberté est le droit de dire, de penser et de faire ce que vous voulez faire sans être limité. Tout le monde a ce droit humain inné. Il est de notre responsabilité de l’utiliser à bon escient ».[3]

RECHERCHE DE PREUVES SUR LA SÉCURITÉ OU NON DES VAX ANTICOVID

Ce rapport a été conçu pour voir s’il existe ou non suffisamment de preuves sur les bases de données de l’OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellowcard pour établir un signal de sécurité sur les vaccins Covid-19.

« Dans des circonstances ordinaires, les essais de phase 3 et 4 établiraient l’innocuité et l’efficacité d’un produit pharmaceutique. Cependant, ces essais ne sont pas terminés pour les produits Covid-19. Les produits ont été administrés à une large population qui n’est pas surveillée par les essais cliniques. Il est donc nécessaire d’examiner toutes les preuves disponibles pour établir l’innocuité de ces produits et leur impact sur ceux qui ont pris le produit, mais qui ne sont pas surveillés par les essais cliniques. »

Le développement d’un vaccin contre le Covid-19 dans le cadre de l’opération Warp Speed a été précipité. Traditionnellement, la mise au point d’un vaccin prend 10 ans ou plus avant la production et la distribution à grande échelle à une large population. Avec les vaccins contre le Covid-19, le produit est passé d’essais précliniques exploratoires à une fabrication à grande échelle en seulement 10 mois. Les données sur leur sécurité sont incomplètes. Ce rapport tend à combler le vide sur les informations post injection.

Il s’agit d’un rapport d’information créé par le Conseil mondial de la santé pour aider les professionnels de la santé, les scientifiques et les citoyens à prendre des décisions éclairées sur les vaccins contre le Covid-19. La sécurité des produits Covid-19 n’a pas été établie à l’issue des essais cliniques de phase 3 et de phase 4. Les produits Covid-19 n’ont pas l’efficacité des vaccins utilisés jusqu’ici. (ils n’empêchent pas une personne de contracter le virus, ni de tomber malade, ni de propager la maladie)

Les produits Covid-19 sont utilisés sur des milliards de personnes, y compris des enfants, alors que la phase d’essai clinique n’est pas terminée. La grande majorité de ces personnes injectées ne sont pas surveillées.

« Les données d’essai de 6 mois de Pfizer (qui faisaient suite aux données préliminaires d’essai originales sur lesquelles les produits ont été autorisés) n’ont pas montré de réduction de la mortalité toutes causes confondues dans le groupe vacciné. Cela pourrait indiquer que tout bénéfice obtenu grâce à la vaccination peut être annulé par des événements indésirables, y compris le décès ».

Les vaccins contre le Covid-19 font l’objet d’essais de phase 3 et leur innocuité et leur efficacité n’ont pas encore été établies.

ABSENCE DE SUIVI DES INJECTÉS, AU MOINS OFFICIELLEMENT

La majorité de ceux qui ont reçu l’injection (plusieurs milliards de personnes) ne sont pas surveillés par les vaccinateurs, (du moins à leur connaissance). Quid du suivi via les codes-barres injectés ? Mystère.

Dans ce rapport, le WCH vise à utiliser les bases de données de pharmacovigilance établies pour détecter s’il existe un signal de sécurité préoccupant chez les « vaccinés ». Ce rapport rassemble les données sur les événements indésirables sur les vaccins contre la COVID-19 à partir des bases de données de pharmacovigilance internationales.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 recueillies dans chaque base de données de pharmacovigilance sont comparées aux données sur les événements indésirables de produits pharmacologiques similaires (autres vaccins courants) dans les mêmes bases de données, dans la mesure du possible. Ce rapport examine les paramètres par lesquels d’autres vaccins et médicaments ont été rappelés dans le passé.

Méthode

Les auteurs ont examiné chaque base de données — OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card Scheme — et documenté combien d’événements indésirables étaient liés aux vaccins Covid-19.

Rapports d’événements indésirables

Les données de pharmacovigilance sont généralement recueillies par le biais de la déclaration des événements indésirables. En règle générale, les rapports d’événements indésirables sont établis par :

  • Une personne qui a subi un événement indésirable
  • Un professionnel de la santé qui soupçonne un événement indésirable chez un patient
  • Organisations qui créent des rapports à partir de programmes de soutien aux patients
  • Sociétés pharmaceutiques sous forme d’études cliniques ou post-commercialisation
  • Revues de littérature
  • Reportages dans les médias
  • Études
  • Les données de pharmacovigilance peuvent également être recueillies dans le cadre d’autres études, notamment :
    • Études rétrospectives
    • Études de cohorte
    • Études cliniques
    • Études post-commercialisation
    • Revues de littérature

Les données de pharmacovigilance établissent des signaux

Les rapports établis sur les bases de données de pharmacovigilance n’établissent pas le lien de causalité. Une relation causale possible établie par ce processus est connue sous le nom de « signal ». Si un signal est détecté, une enquête plus approfondie est nécessaire.

Bases de données sur la déclaration des effets indésirables ou des réactions vaccinales

Les vaccins contre le Covid-19 sont un nouveau type de thérapie. Il est particulièrement important de signaler les effets secondaires graves. Selon l’endroit où vous vous trouvez dans le monde, il existe différentes bases de données mises en place pour enregistrer les réactions indésirables aux médicaments.[4]

OMS VigiAccess

Lancé en 2015 par l’OMS, VigiAccess base de données internationales des événements indésirables potentiels signalés liés aux médicaments, pour « analyser les rapports de dommages présumés causés par les médicaments, trouver des “signaux” de réactions indésirables potentielles aux médicaments ». Créés en 1968, 170 pays collaborent pour surveiller et identifier les dommages causés par les médicaments. Cette collaboration couvre environ 99 % de la population mondiale.

Les rapports sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 sur VigiAccess englobent tous les vaccins Covid-19

Pour les vaccins courants qui ont été distribués à la grande majorité de la population mondiale, gamme de rapports d’événements indésirables au nombre de 2000 à 100 000 sur VigiAccess.

Pour les vaccins Covid-19, qui ont actuellement été administrés à environ 65 % de la population mondiale, il y a plus de 3,7 millions de rapports d’événements indésirables sur VigiAccess.

VigiAccess montre un nombre d’événements indésirables sans précédent dans la base de données de tout autre produit pharmaceutique ou vaccin.

Dans le tableau suivant, 37 335 événements indésirables sont rapportés après environ 4 milliards de vaccins contre la tuberculose (moins de 1/100000) et plus de 3,7 millions de rapports provenant d’environ 5,1 milliards de personnes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 (environ 72/100000).

En corrigeant la différence dans le nombre de personnes qui ont reçu les deux vaccins, on constate uneaugmentation de 77 fois du nombre d’événements indésirables signalés à VigiAccess pour le vaccin Covid-19 par rapport à celui contre la tuberculose

Compte tenu de l’objectif déclaré de VigiAccess — analyser les rapports de dommages présumés causés par des médicaments, trouver des « signaux » d’effets indésirables potentiels des médicaments — une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part de l’Organisation mondiale de la santé.

CDC VAERS

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a été créé en 1990 et cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des USA et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis : système conçu pour être un système d’alerte précoce pour les problèmes de sécurité liés aux vaccins homologués aux États-Unis. VAERS saisit et analyse les rapports d’événements indésirables qui se produisent après une vaccination.

Toute personne qui a subi un événement indésirable à la suite d’un vaccin peut le signaler au VAERS. En outre, les professionnels de la santé sont tenus de signaler les événements prescrits qui se produisent chez leurs patients après la vaccination, et les fabricants de vaccins sont tenus de signaler tous les événements indésirables qui sont portés à leur attention. Il s’agit d’un système de déclaration qui repose sur les individus pour s’auto-déclarer ou sur les fournisseurs de soins de santé pour faire rapport en leur nom. C’est une infraction fédérale aux États-Unis de soumettre un faux rapport VAERS

Les rapports VAERS recensent les événements indésirables de 1990 à nos jours. Les données sur les vaccins Covid-19 sur VAERS englobent les vaccins Moderna, Pfizer et Jansen depuis leur autorisation de mise sur le marché.

Données VAERS : Pourcentage du nombre total de déclarations d’événements indésirables par type de vaccin[5].Plus de 50 % du total des rapports d’événements indésirables faits sur VAERS, c’est-à-dire les rapports faits pour TOUS les vaccins depuis 1990, sont attribués aux vaccins COVID-19.

À partir de 2020 et jusqu’en 2022, nous assistons à une augmentation spectaculaire et sans précédent des décès signalés au VAERS. Actuellement, sur les plus de 37 000 décès signalés au VAERS depuis 1990, 27 968 sont liés aux produits Covid-19. Un décès à proximité d’un vaccin indique une relation causale plus probable. Or la grande majorité des rapports sont faits dans les 3 jours suivant l’administration du vaccin.

Rapports VAERS Covid-19 par âge

https://worldcouncilforhealth.org/wp-content/uploads/2022/06/2022-05-25-3.png

https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=F9E61FE2A2B457AD46D5FC21F667

ALERTE CONCERNANT LES ENFANTS

Il y a 209 rapports d’événements indésirables sur VAERS pour les enfants de moins de 2 ans.

Ces vaccins n’ont pas été autorisés pour ces groupes d’âge. Il y a 1499 rapports supplémentaires dans le groupe des 2 à 5 ans, dont beaucoup concernent probablement des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé. Celles-ci peuvent être liées à une exposition au produit in utero, par l’allaitement ou à l’administration à des enfants pour lesquels le produit n’est pas autorisé.

Les données du VAERS montrent une proportion écrasante d’événements indésirables liés au vaccin Covid-19, plus de 50 % du total des rapports depuis 1990 étant attribués au vaccin.

Nous constatons une différence de 10 fois dans le nombre de rapports d’événements indésirables pour le vaccin ROR et le vaccin Covid-19. En outre, il y a une augmentation de 169 fois des décès signalés au VAERS après la vaccination contre le Covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe et une augmentation de 56 fois des rapports d’événements indésirables sur le VAERS après la vaccination covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe.

La plupart des décès et des événements indésirables sont survenus quelques jours après la vaccination, ce qui rend une relation de cause à effet plus probable. Étant donné que les vaccins contre le Covid-19 sont nouveaux et sont encore en cours d’essais cliniques, les données VAERS sont suffisantes pour établir un signal de sécurité préoccupant.

Les rapports sur les VAERS qui se sont produits chez les enfants de groupes d’âge qui n’ont pas été autorisés à recevoir le vaccin sont extrêmement préoccupants. Cela indique la possibilité d’événements indésirables obtenus in utero, de l’allaitement ou de l’administration du vaccin à des groupes d’âge pour lesquels il n’a pas été autorisé.

Compte tenu des objectifs énoncés par le VAERS — détecter les événements indésirables nouveaux, inhabituels ou rares, évaluer l’innocuité des vaccins nouvellement homologués et fournir un système national de surveillance de l’innocuité qui s’étend à l’ensemble de la population pour répondre aux urgences de santé publique, telles que les programmes de vaccination contre la grippe pandémique à grande échelle— une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part du CDC et de la FDA.

EudraVigilance

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés dans EudraVigilance est le suivant :

  • Vaccin Moderna – 294 772 ;
  • Vaccin Pfizer-BioNTech (Tozinameran) – 956 913 ;
  • Vaccin Astrazeneca – 488 769 ;
  • Vaccin Janssen – 59 751 ;
  • Vaccin Novavax — 756.

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés pour tous les vaccins Covid-19 sur EudraVigilance est supérieur à 1,8 million.

Comme dans le VAERS, plus d’un millier de cas ont été signalés dans la catégorie des 0 à 2 ans, un groupe d’âge pour lequel les vaccins ne sont pas autorisés. Cela indique potentiellement que les nourrissons et les enfants subissent des événements indésirables liés à l’exposition in utero, à l’allaitement maternel et/ou administrés à des personnes pour lesquelles les produits ne sont pas autorisés.

Le nombre total de personnes vaccinées dans les pays de l’UE/EEE est de 341 628 772, soit environ 75,4 % de la population.

En 2018, environ 90 % des enfants européens ont été vaccinés contre la rougeole dans le cadre du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Environ 90 % des Européens ont été vaccinés contre la rougeole. Sur les quelque 673,2 millions de personnes qui ont reçu le vaccin contre la rougeole en Europe, EudraVigilance a reçu un total de 48 913 rapports d’événements indésirables sur EudraVigilance.

Environ 341 millions d’Européens ont été vaccinés contre le Covid-19. Parmi ceux-ci, 1,8 million de rapports d’événements indésirables ont été effectués sur EudraVigilance.

Il y a une augmentation de plus de 70 fois du nombre d’événements indésirables individuels signalés à EudraVigilance pour le vaccin Covid-19.

Étant donné que les vaccins Covid-19 sont en cours d’essais cliniques, les données d’EudraVigilance sont suffisantes pour établir un signal de sécurité alarmant pour ces produits.

Les plus de 1000 rapports d’événements indésirables survenus chez des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé indiquent la nécessité d’une action immédiate et urgente.

SYSTÈME DE CARTON JAUNE DU ROYAUME-UNI

Les rapports sont faits au programme de carton jaune volontairement par les patients, les parents ou les soignants et par les professionnels de la santé. Les fabricants sont légalement tenus de signaler les problèmes liés aux produits de santé à la MHRA.

Au Royaume-Uni, plus de 53 millions de personnes ont reçu au moins une dose du vaccin contre le Covid-19. Le système britannique de carton jaune documente actuellement plus de 450 000 rapports d’effets indésirables.

Les données sur les cartes jaunes pour d’autres vaccins ne sont actuellement pas disponibles sur le site Web de la carte jaune. Cependant, le paracétamol est l’un des médicaments les plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Des millions de personnes au Royaume-Uni ont pris ce médicament pendant plusieurs décennies. Le rapport ci-dessus montre 25 158 réactions et 585 décès associés à son utilisation depuis 1964. Le programme de carton jaune affiche plus de 450 000 rapports de carton jaune liés aux vaccins Covid-19 — une action immédiate et urgente est nécessaire.

SYNTHÈSE

Nombre et types d’événements indésirables signalés sur l’ensemble des bases de données[6]

Leur gravité varie de mineure telle que la douleur au site d’injection à des événements majeurs comme l’arrêt cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite et la mort.

Dans VigiAccess, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 1 500 000
  • Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif — ~ 1 000 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 691 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 477 000
  • Troubles vasculaires — ~193 000

Dans EudraVigilance

  • Troubles du système nerveux — ~ 746 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 543 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 344 000
  • Infections et infestations — ~ 220 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 213 000

Dans le système de carton jaune du Royaume-Uni, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 285 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 175 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 135 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 101 000
  • Troubles du système reproducteur et du sein — ~ 57 000

Résultats courants des effets indésirables du vaccin contre le Covid-19 : VAERS

Source : wonder.cdc.gov/

Nombre de rapports sur les VAERS[7]

  • Myocardite/péricardite 22 000
  • Crises cardiaques 6 400
  • Guillain-Barre 2 600
  • Thrombocytopénie 6 000
  • Convulsions/Convulsions 16 000
  • Anaphylaxie 49 000
  • Paralysie de Bell 15 000
  • Thromboembolie veineuse 25 000
  • Arthrite et arthralgie/lésion articulaire 78 000
  • Mort 28 000

Plus de 54 % des événements indésirables signalés au VAERS sont attribués au vaccin Covid-19, y compris le décès, les blessures potentiellement mortelles, l’invalidité permanente, les anomalies congénitales/malformations congénitales, les hospitalisations, les visites aux urgences, les visites chez le médecin et autres.

Il y a plus de 28 000 décès, soit plus de 75 % de tous les décès signalés au VAERS depuis 1990, associés au vaccin Covid-19.

Les événements indésirables dans les bases de données de pharmacovigilance sont sous-déclarés.

Dans une étude comparant la surveillance active et passive des événements indésirables, 8,8 % des personnes sous surveillance active ont signalé un événement indésirable, tandis que seulement 0,1 % de ceux sous surveillance passive.

C’est une différence de 88 fois dans le nombre de rapports pour cette étude particulière. L’OMS note également que la surveillance passive « rend difficile l’exhaustivité et l’actualité de la collecte des données ». Le nombre réel d’événements indésirables survenus dans le temps en relation avec les vaccins Covid-19 serait beaucoup plus élevé que ce qui est révélé par les données de ces bases de données de pharmacovigilance.

Un rapport d’événement indésirable n’indique pas que le vaccin a causé un événement, mais simplement qu’il était lié. Les données VAERS révèlent une relation temporelle étroite entre l’administration du vaccin Covid-19 et l’événement indésirable ultérieur, la majorité des événements indésirables se produisant dans les 2 jours suivant la réception du vaccin. Cela indique une relation causale plus probable.

Le cas unique des vaccins contre le Covid-19 Opération Warp Speed

Lorsque le Covid-19 est apparu comme un nouveau virus en 2019, on savait peu de choses sur sa virulence et sur ses impacts sur la population en général. Les premiers modèles ont surestimé la morbidité et la mortalité de la maladie et, par conséquent, l’opération Warp Speed a été introduite pour accélérer le développement d’un vaccin et d’autres traitements contre le nouveau virus.

TOUS les vaccins contre le Covid-19 sont en phase 3 d’essai. Aucun n’a terminé ses essais phase 3.

L’efficacité et l’innocuité des vaccins contre le Covid-19 n’ont donc pas été établies. Les taux d’efficacité (95-97 % !) et de tolérance allégués par les gouvernements et les agences sanitaires diffusent sans aucune vérification les chiffres fournis par les services de communication des laboratoires pharmaceutiques.

La grippe porcine de 1967 : un cas de campagne de vaccination de masse précipitée

En février 1967, une enquête a été lancée sur la mort mystérieuse d’un soldat américain décédé lors d’un exercice d’entraînement de base. Les tests du CDC ont révélé que le soldat David Lewis avait contracté une souche de grippe porcine. Par la suite, 11 autres soldats ont été testés positifs pour le virus tandis que des centaines d’autres ont été testés positifs pour les anticorps.

Le CDC et le président de l’époque, Gerald Ford, ont adopté une approche « mieux vaut prévenir que guérir » et ont lancé une campagne de vaccination de masse contre la grippe porcine. Des rapports ont fait état d’effets indésirables présumés, notamment de crises cardiaques, du syndrome de Guillain-Barré et de 53 décès signalés. La pandémie ne s’est pas matérialisée, le gouvernement a interrompu le programme de vaccination de masse le 16 décembre.

Une approche « mieux vaut prévenir que guérir » est injustifiée et dangereuse car les preuves n’existent pas pour affirmer qu’une vaccination précipitée est plus sûre que l’exposition à un virus dont on sait peu de choses.

Les rapports faisant état de seulement 50 décès liés à la vaccination contre la grippe porcine ont suffi à mettre définitivement fin au programme.

Les réponses à toute pandémie présumée doivent s’aligner sur les meilleures preuves disponibles sur la nature de la menace et ne pas être guidées par la politique, les médias, leurs liens d’intérêts avec l’industrie ou les émotions du grand public soumis à une intense propagande de terreur.

Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit.

Source : vaersanalysis.info/2022/05/14/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-5-6-2022/

Le vaccin contre la poliomyélite a été rappelé en moins d’un an après 10 décès signalés, le vaccin contre la grippe porcine a été rappelé en moins de 1 an après 53 décès signalés. Le vaccin contre le Covid-19, avec plus de 28 000 rapports de décès associés, n’a pas été rappelé.

Il existe un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19 détectés dans toutes les bases de données examinées dans ce rapport.

Conclusion

Ce rapport visait à examiner les données de pharmacovigilance de VigiAcess, VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card pour les vaccins Covid-19. L’objectif était de déterminer si les données de ces bases de données étaient suffisantes pour établir un signal de sécurité sur ces produits.

Toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport révèlent un nombre de rapports d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 qui sont entre 10 et 169 fois plus que ce qui est observé dans d’autres produits couramment administrés

Il y a plusieurs milliers de rapports d’événements indésirables chez les enfants pour lesquels le produit Covid-19 n’a pas été approuvé

Il existe suffisamment de preuves sur toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport pour établir un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19.

Les bases de données sur la pharmacovigilance, telles que celles examinées dans le présent rapport, reposent sur la surveillance passive. Les événements indésirables sont sous-déclarés.

Les produits Covid-19 sont uniques en ce sens qu’ils ont été développés rapidement et administrés à de grandes populations alors qu’ils étaient encore en phase 3 d’essais cliniques.

Il existe suffisamment de preuves d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 pour indiquer qu’un rappel de produit est immédiatement nécessaire.

Dre Nicole Delépine

Références

AstraZeneca. (May 2022). Case Series Drug Analysis Print: Covid-19 AstraZeneca Vaccine
Analysis Print. Gov.uk.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1080309/COVID-19_AstraZeneca_Vaccine_Analysis_Print_DLP_25.05.2022.pdf

Connor Stewart. (May 2022). COVID-19 vaccination rate in European countries. Statista.
https://www.statista.com/statistics/1196071/covid-19-vaccination-rate-in-europe-by-country/

Elflein, John. (May 2022). Vaccinations in the U.S.—Statistics & Facts. Statista.
https://www.statista.com/topics/3283/vaccinations-in-the-us/#topicHeader__wrapper

EudraVigilance. (May 2022). European database of suspected adverse drug reaction reports.

European Medicines Agency.
https://www.adrreports.eu/en/eudravigilance.html#

European Centre for Disease Prevention and Control. (May 2022). COVID-19 Vaccine Tracker.

European Centre for Disease Prevention and Control.
https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/covid-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

European Medicines Agency. (May 2022). Human regulatory: EudraVigilance. European Medicines Agency.

La source originale de cet article est nouveau-monde.ca
Copyright © Dre Nicole Delépine, nouveau-monde.ca, 2022

 


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25 juin 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/02/courez-vite.jpg 330 660 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-06-25 14:05:592022-06-25 14:05:59Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé
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REFUSONS LE PASS : NOUS SOMMES DES MILLIARDS, ILS NE SONT QUE QUELQUES MILLIERS

Stop aux pass, chantages inefficaces sur la maladie et sources de méfiance contre la vaccination

2022-06-24Nicole DelépineAucun commentaire

24/06/2022 (2022-06-24)

Par Gérard Delépine

Le gouvernement s’est félicité de l’efficacité des pass et rêve de les prolonger. Pourtant dans le monde réel, les pass sanitaires se sont révélés sanitairement contre-productifs et économiquement et sociologiquement désastreux. Les chiffres publiés par l’OMS montrent en effet que les pass favorisent les contaminations. Une quinzaine de pays ont instauré des pass. Partout leur installation a été suivie d’une augmentation des cas et d’une épidémie échappant à tout contrôle.

Israël a été le pionnier du pass et y a renoncé

Lors de la première vague, le pic de nouveaux cas journaliers atteignait 6000. Depuis la campagne massive d’injection et l’instauration du pass sanitaire, puis vaccinal, les contaminations ont été de plus en plus nombreuses. Fin janvier 2022 le nombre de contaminations quotidiennes a dépassé les 100000 et en juin 2022 le total des contaminations cumulées dépassait 4,2 millions six fois plus qu’avant l’instauration des pass.

La comparaison des nombres de cas cumulés par million en Israël et en Palestine suggère que la stratégie du tout vaccinal et des pass pourrait peut-être même favoriser les contaminations.

Nadav Davidovitch, expert conseillant le gouvernement israélien constate « maintenir le pass vert sous sa forme actuelle peut créer de fausses assurances ».. Constatant cet échec, le gouvernement israélien a mis fin au pass.[1]

Le sévère échec du pass en Grande-Bretagne a justifié sa suppression

La Grande-Bretagne a suivi la même politique vaccinale et restrictive des libertés qu’Israël. Depuis Omicron, l’échec est patent.

Constatant l’échec sanitaire et les lourdes conséquences économiques et sociales des pass, le gouvernement britannique en a lui aussi décidé la suppression dès le 28 janvier 2022.

Partout en Europe le même constat d’inefficacité des pass s’est imposé. Le Danemark, l’Irlande, l’Islande, Malte, la Tchéquie, la Roumanie, la Hongrie, le Portugal, la Belgique, l’Autriche, l’Espagne, la Grèce, la Suisse, la Suède, la Finlande, L’Estonie, la Lettonie, la Lituanie et l’Italie ont observé l’échec total du pass contre l’épidémie avec l’arrivée d’Omicron.

Et la quasi-totalité de ces pays (Suisse, Suède, Slovénie, Slovaquie, Royaume-Uni, Roumanie, République tchèque, Pologne, Pays-Bas, Norvège, Autriche) a abandonné cette mesure inefficace.

En France aussi les pass ont démontré leur totale inefficacité contre Omicron. Nous n’avons jamais été aussi « vaccinés », aussi soumis à autant de mesures sans justifications scientifiques (pass vaccinal dans les hôpitaux et obligation vaccinale pour les soignants et pompiers) et compté autant de contaminations !

Avant l’instauration des pass, en dix-sept mois d’épidémie, nous avions recensé un peu moins de 6 millions de contaminés. Depuis les pass en 12 mois ce chiffre est passé à plus de trente millions. Il faut être vraiment négationniste des faits établis pour croire encore que cette mesure puisse être bénéfique contre l’épidémie.

Tout dirigeant objectif reconnaîtrait l’échec de cette stratégie et abandonnerait toutes ses mesures inefficaces et mortifères qui démolissent notre jeunesse et notre économie. Mais comme toujours depuis le début de la crise nos dirigeants refusent de considérer les faits avérés et persistent dans leur autoritarisme religieux médicalement stupide et socialement tragique tant pour les professionnels concernés[2] que pour la population privée de leurs compétences avec plus de 20 % des lits fermés faute de soignants, des urgences incapables d’assurer leurs missions et des déserts médicaux qui se multiplient partout.

Même l’INSERM reconnaît la nocivité du pass qui aggrave la méfiance contre la vaccination

Le 25 janvier 2022 sur LCI après avoir réduit unilatéralement la validité de l’immunité « naturelle » de 6 à 4 mois, Olivier Véran annonçait avec gourmandise que des millions de Français allaient bientôt « perdre le bénéfice du pass vaccinal » confirmant ainsi qu’il ne s’agissait pour lui que d’un chantage brutal pour imposer la pseudo vaccination pourtant sans intérêt médical.

Mais même dans ce but les pass sont contre-productifs ainsi que vient de l’affirmer l’étude récente de l’INSERM parue dans Nature[3] :

« Le laissez-passer sanitaire a encouragé la vaccination de nombreuses personnes hésitantes ou réticentes, mais il n’a pas réduit l’hésitation elle-même. Une enquête de septembre 2021 a révélé que 42 % des personnes vaccinées étaient encore réticentes ou avaient des doutes sur le vaccin au moment de leur première dose[4]. Plus important encore, la part des personnes vaccinées ayant des doutes sur le vaccin est passée de 44 % à 61 % après la mise en place du pass santé. Les leçons tirées du laissez-passer sanitaire COVID-19 en France suggèrent que des mesures coercitives telles que la vaccination obligatoire peuvent être efficaces pour augmenter les taux de vaccination, mais ne résolvent pas tous les problèmes qui affectent l’adoption. La vaccination obligatoire contre le COVID-19 risque de politiser davantage la vaccination et de renforcer la méfiance à l’égard des vaccins ».

« Rien ne laisse penser que le laissez-passer sanitaire a convaincu de nombreux sceptiques quant aux avantages de cette vaccination, et il reste une proportion faible, mais considérable (environ 5 à 10 % de la population) qui a décidé de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19. La vaccination des personnes hésitantes ou réticentes a des conséquences potentiellement négatives, qui peuvent renforcer la méfiance à l’égard des institutions et du système de santé ».

Ces constatations publiées dans Nature par l’INSERM sont d’autant plus remarquables que l’institut national de la santé et de la recherche en médecine, est un fervent partisan des vaccinations tous azimuts.

Pour sortir de cette situation ubuesque et retrouver la confiance de la population, il est nécessaire que l’état cesse de suivre les recommandations sanitaires de cabinets de conseils trop liés aux industriels du vaccin, qu’il supprime les censures, qu’il reconnaisse ses erreurs, qu’il pratique la transparence totale sur les données sanitaires réelles au lieu de publier des analyses de pure propagande et qu’il base enfin ses décisions sur l’examen des faits réels au lieu de croire en des simulations biaisées.

Dans l’immédiat, il faut supprimer toutes les mesures restrictives des libertés et en premier lieu le pass sanitaire dans les hôpitaux et réintégrer les pompiers et soignants injustement exclus. Mesures qui ne coûteraient pas grand-chose et qui permettraient au système de santé de souffler un peu.

 

 

  1. [1] https://www.rtbf.be/article/coronavirus-pionnier-du-pass-sanitaire-israel-annonce-son-abandon-10937556[⮬]
  2. [2] Rappelons le sort inhumain imposé aux pompiers et soignants vaccino prudents qui ont eu l’honnêteté (le tort ?) de ne pas se faire de faux certificat de vaccination alors qu’ils pouvaient probablement facilement les obtenir aussi facilement que les politiques, et qui se retrouvent sans travail, sans chômage, obligés de changer de profession pour ne pas devenir SDF. Une pareille brutalité n’avait jusqu’ici réservée qu’aux citoyens juifs par Hitler.[⮬]
  3. [3] Jeremy K. Ward, Fatima Gauna, Amandine Gagneux-Brunon, Elisabeth Botelho-Nevers, Jean-Luc Cracowski, Charles Khouri, Odile Launay, Pierre Verger and Patrick Peretti-Wate The French health pass holds lessons for mandatory COVID-19 vaccination.[⮬]
  4. [4] Ward, J. K. et al. http://www.orspaca.org/sites/default/files/Note-SLAVACO-Vague2.pdf (2021) [⮬]
image_pdfPDF A4image_printImprimer
25 juin 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/02/IMG_20210731_104545.jpg 792 692 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-06-25 13:23:562022-06-25 13:23:56REFUSONS LE PASS : NOUS SOMMES DES MILLIARDS, ILS NE SONT QUE QUELQUES MILLIERS
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