lue sur vk (partagé par Penoa A que nous remercions) une lettre d’une maman divorcée désespérée de l’accord unilatéral de son ex mari pour la thérapie génique expérimentale :

« Bonjour,

J’espère que vous lirez mon message.

Je suis maman d’un garçon de 12 ans. Son père vient de le vacciner contre ma volonté. Je suis effondrée. L’amendement proposé par le député parlementaire Sasha Houlié est inhumain et créé un précédent terrible pour tous les parents séparés ou divorcés, avec l’autorisation de vaccination possible donnée uniquement par l’un des deux parents.

J’ai écrit une lettre de réponse à son père, et je vous la partage ici, en espérant qu’elle donne du courage à beaucoup de parents en souffrance.

Merci pour vos partages nombreux, force et courage, nous vaincrons !

—-

Ainsi tu as décidé seul du destin de notre enfant, honte à toi !

Comment oses-tu faire une telle chose, alors même que tu sais que j’y suis formellement opposée, et que je te l’ai notifié à maintes reprises par écrit ?

Comment oses-tu imposer un essai expérimental à notre fils qui n’a que 12 ans et toute sa vie devant lui ?

Comment oses-tu le mettre en danger alors qu’il est en bonne santé et qu’il n’y a jamais eu autant de morts et d’effets secondaires pour des prétendus vaccins, notamment chez les adolescents ?

Comment oses-tu me dire de ne pas s’en prendre à lui et de t’ériger de la sorte comme le protecteur que tu n’as pas voulu être pour ton unique enfant ?

Honte à toi !

Penses-tu donc que tu as ce pouvoir là tout simplement parce qu’un décret, qui remet en question le principe-même de l’autorité parentale partagée, le stipule ?

Quelles sombres motivations t’animent, pour que tu précipites une vaccination inefficace, dangereuse, et inutile de la sorte ?

Penses-tu donc que lorsque toute cette mascarade sera dévoilée, et les innombrables effets secondaires et morts ne pourront même plus se compter, que les criminels complices seront traduits en justice, penses-tu donc que tu t’en sortiras indemne ?

Penses-tu donc que ton confort est plus important que la sauvegarde de nos libertés pour notre génération et les générations futures ?

Penses-tu donc que les inventeurs mêmes des tests PCR et de l’ARN messager, qui critiquent violemment l’utilisation de leurs inventions dans le cadre de dépistage de masse ou de vaccination, soient des illuminés ?

Penses-tu donc que ton fils, qui te posera des questions dans quelques jours, quelques mois ou même quelques années sur ce que tu as fait pour le protéger, te pardonnera quand il comprendra que tu as failli à ton devoir de protection parentale ?

Penses-tu donc que ton fils ne reviendra pas vers toi pour te demander des comptes l’heure venue, sur tous les dommages possibles sur sa santé ?

Honte à toi !

Tu as fait des choix qui ne t’appartiennent pas, et qui auront possiblement de lourdes conséquences sur son futur.

Tu n’as pas exercé ton devoir d’information impartiale auprès de ton fils des risques encourus, et a préféré privilégier ton confort immédiat et égoïste.

Honte à toi !

Je me décharge par la présente de toutes les conséquences médicales et financières occasionnées par cette thérapie génique que tu as choisi unilatéralement de lui faire injecter et te tiens seul responsable auprès de ton fils de tous les effets secondaires qu’il pourrait encourir à court, moyen et long terme.

J’espère du fond de mon cœur que notre fils sera épargné et qu’il pourra vivre longtemps et en bonne santé.  »

 

 

Comme pédiatre et cancérologue d’enfants  et contact de nombreuses familles connues au cours de mon exercice, je partage cette lettre qui reflète le drame vécu par tant de familles séparées et qui voient leur difficultés décupler par cette autorisation unilatérale d’un des deux parents !

Quelle cruauté supplémentaire infligée aux parents séparés ! Parents, vous avez aimé l’autre assez pour donner ensemble la vie à un enfant! Au nom de cet amour maintenant évanoui, respectez l’autre et son avis et ne donnez pas votre enfant comme cobaye à une expérimentation dont lui ne peut rien attendre (le covid n’atteint pas les enfants sans comorbidité sévère (trouble immunitaire, cancers etc.). Et les effets secondaires graves semblent encore plus fréquents que chez les gens âgés comme les atteintes cardiaques.

Laissez votre enfant disposer de sa vie lorsqu’il sera adulte sans lui infliger cette injection morbide, pour des facilités immédiates (voyages, resto, etc.. ) et aux conséquences à long terme inconnues et terrifiantes pour de nombreux généticiens.

Ne laissons pas les décideurs actuels diviser la nation entre vaccinés et non vaccinés, ni entre parents divorcés. Tenons la barre d’une société civilisée.

Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens

Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 – Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22

Nous contacter : csape.sg@hotmail.com  – site : www.csape.international

 

 

                                                                                                                              

COMMUNIQUE DE PRESSE 22/08/2021

LEPILLER Patrice SG et  COHEN Raphaël DJ   

 

    Plainte conjointe d’avocats internationaux à la CPI pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant Sars-cov2 et le vaccin covid19                                                                                             

 

Comme certains le savent, le 28 Juin 2021 le CSAPE a déposé une plainte de 64 pages accompagnée de 371 preuves toutes factuelles à la Cour pénale internationale, le conjecturel (comme la presse ou autres) ayant été écarté.

Le 02 juillet 2021, le CSAPE a reçu un accusé de réception officiel de la CPI et un numéro d’affaire (OTP-CR-271/21).

Suite à des évènements de collusion dont nous garderons les détails pour l’instant, le 27 juillet nous nous sommes rendus à la CPI pour déposer les preuves. L’accès étant refusé pour raison invoquée de période de congés nous les avons renvoyées sur place par recommandé avec accusé de réception.

Le 28 juillet à 12:55 la CPI a accusé réception des preuves et le 29 juillet au matin à 09:06, elle tentait d’écarter la plainte, précisant toutefois qu’elle pouvait être réétudiée sous réserve de nouveaux éléments de preuves, au motif que les éléments allégués (code de Nuremberg et autres) ne semblent pas relever de la CPI et qu’elle n’a pas à se substituer aux Etats !

Un appel a été introduit à la CPI le 10 aout 2021, les motifs de la décision du procureur s’avérant impropres à caractériser un rejet n’étant pas conforme au Statut de Rome tel que rappelé par la Chambre d’appel et en y ajoutant des éléments nouveaux.

Nous continuons à rassembler et à examiner de nouvelles preuves qui pourraient être utilisées dans notre demande à la CPI si elle était acceptée pour enquête.

Nous avons également établi activement des liens avec des avocats et des chercheurs du monde entier.

Nous avons le plaisir d’annoncer que des avocats de la Slovaquie, du Royaume-Uni et de la République tchèque se sont joints à nous et que le 12 août 2021, nous avons envoyé une plainte conjointe à la CPI avec une demande d’autorisation d’accepter cette soumission conjointe.

Nous avons soumis des preuves préliminaires pour les allégations qui nous sont communes, tout en demandant de nous réserver le droit de faire examiner par la CPI les allégations spécifiques à nos pays individuels, à savoir :

Pour le France, nous avons demandé un examen pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, mise en servitude, génocide.

Nous avons également demandé, dans notre plainte commune, un moratoire immédiat sur l’ensemble du programme de produits expérimentaux « vaccins COVID-19 » dans les quatre pays et la fin des tests sur les personnes asymptomatiques.

 

Nous sommes heureux d’annoncer également avoir obtenu des déclarations sous serments d’experts de premier rang, dont le chercheur et cardiologue nucléaire Dr Richard M. Fleming, le Dr Kevin Mc Cairn, le neuroscientifique et expert en maladies neurologiques, ainsi que le biologiste virologue professeur Luc Montagnier lauréat prix Nobel pour ses travaux sur le virus du VIH et d’autres, dont pour l’instant, leur anonymat est maintenu jusqu’à ouverture d’enquête.

 

Nous avons maintenant des preuves irréfutables que le virus SRAS-CoV-2 et les produits expérimentaux « vaccins COVID-19 » sont des armes biologiques délibérément conçues qui ont été libérées en deux phases sur les peuples du monde entier.

Nous avons eu l’amabilité de recevoir un accès exclusif à un exemplaire anticipé des travaux du Dr Richard M. Fleming, «Le COVID-19 est-il une arme biologique ? Une étude scientifique et médico-légale», qui fournit les preuves irréfutables à la CPI sur la nature d’arme biologique du virus SRAS-CoV-2 et des prétendus produits expérimentaux « vaccins COVID-19 ».

Nous attendons maintenant la décision de la CPI pour savoir si :

  1. a) elle autorise en principe la présentation d’une demande conjointe par plusieurs pays.
  2. b) elle accepte notre  » demande d’enquête  » conjointe.

 

Compte tenu de la nature extrêmement grave de la situation qui prévaut dans nos quatre pays en ce qui concerne l’escalade de l’apartheid médical, la perte des libertés et des droits fondamentaux et le nombre très élevé et sans cesse croissant de décès et d’effets indésirables graves subis par les personnes ayant reçu les produits expérimentaux « vaccins COVID-19 », nous avons attiré l’attention de la CPI sur la nécessité urgente pour la Cour d’agir rapidement et sans plus attendre et, à cette fin, nous avons demandé une réunion à La Haye dès que possible.

 

Dans l’attente d’une réponse de la CPI, nous restons en discussion avec des avocats d’autres pays qui n’ont pas encore déposé leurs demandes individuelles auprès de la CPI, mais qui ont indiqué qu’ils souhaitaient se joindre à nous et nous avons l’intention de leur apporter toute notre assistance.

 

Nous publierons d’autres éléments dès que nous aurons des nouvelles.

Quoi qu’il arrive nous sommes motivé à employer tous les moyens, tous les recours, pour que la vérité et la justice sortent.

Nous comprenons que la CPI ne travaille pas de manière isolée au sein d’autres institutions internationales et que les procureurs peuvent être soumis à diverses pressions politiques.

Cependant, nous voulons croire que la substance de nos allégations et les preuves présentées sont si fondamentales que la CPI remplira son rôle international et la raison de son existence, enquêtera de manière approfondie sur nos allégations et condamnera les criminels.

Si notre confiance s’avère illusoire, nous mettrons toutes les preuves scientifiques et factuelles à la disposition du public mondial.

 

En attendant, nous tenons à remercier toutes les personnes qui, à leur manière, contribuent à la lutte pour la vérité et la justice, voire pour l’avenir même de l’humanité, de nos enfants.

Law theme, mallet of judge, wooden gavel

 

 

 

LEPILLER P. Secrétaire général                  COHEN R. Directeur juridique

 

 CSAPE – Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens enregistré sous le n° 20210012

Siège social : Les Tricolores, 15, rue des Halles – 75001 PARIS –

Effets catastrophiques et encore trop méconnus des injections géniques anticovid 19

 

 

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice » …

Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté alternant confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et au minimum de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien….

 

Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio …

 

Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les évènements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire voire indispensable pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs pour donner une idée de l’ampleur du sujet.

 

LE NOMBRE D’EFFETS INDESIRABLES DECLARES EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DEPASSE, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES.[1]

L’Etude d’Enzololo[2] de début aout rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

Vaccins anti-Covid :  depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes : pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-covid ont été autorisés :

le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

 Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

 

 

 Selon la VAERS :

La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées.  C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID. Les données VAERS publiées début aout par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.[3]

 

Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

 

Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées en date du 30 juillet :

139 millions de doses du vaccin de Moderna

193 millions de doses de Pfizer

13 millions de doses du vaccin Johnson &Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.[4] Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès etc..). Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

 

 

EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

  • 15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la COVID, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021 et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1505250) décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

  • Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1406840 et 1431289) décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1463061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1187918, 1382906 et 1242573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1420630, 1466009, 1225942, 1475434 et 1386841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1199455, 1388042 et 1420762).
  • 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

ont été attribués au vaccin de Pfizer.

  • 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.
  • 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

 

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID : AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITE

Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

 

Selon les CDC les chiffres sont comparables [5]

Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.[6]

Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

 

Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

 

Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

Selon l’étude des CDC[7], en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

 

L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas de raison d’hospitalisation, et il n’est pas possible de déterminer si l’hospitalisation était liée à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par le CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

 

Réactions les plus courantes liées à la myocardite

Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine[8], une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

 

RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PERICARDITE SIGNALES PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination.  Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP[9] le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la COVID à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la COVID l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de COVID pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la COVID. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la COVID aux États-Unis à demander une approbation complète.

 

ACCIDENTS PREOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

 

Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique :  suicide, tentatives de suicide -idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

 

On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique. « Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… » Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie.  Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832[10] sur twitter.

 

 FERTILITE ET PSEUDOVACCIN

Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter[11].

« Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

 

Les vaccins anti-covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu.

Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire « stérilisation de masse« … [12]

Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

 

 

 

LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTEINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes etc.

« La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation. ~ Dr. Byram Bride

L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. » Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

  1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la COVID-19 et aux vaccins.
  2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)
  3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques
  4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre COVID-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels. »[13],[14]. Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60% des IRM cérébrales de personnes vaccinées.  Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements etc. et pas à l’aveugle.

 

 

 VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFERE

 

Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent pas, ni les vaccinés, ni les autres. Voyez les expérience à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

 

En Israël, « 85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés » à 2 doses.   95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés [15]!

En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que « sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4% ».

 

 

LE  REMEDE CONTRE L’HYSTERIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs élysées à la Bretagne etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides aient la même éefficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.[16]

 

 

[1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/

 

[2] : https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance

Covid-19 – Les vaccins vu à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo – Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.

 

Notons que Médiapart a censuré le document ! selon l’auteur enzololo le 5 aout : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours « les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS » (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle : https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins

 

[3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.

 

 

[4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/

[5]Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

 

[6] L’auteure correspondante du CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :

« Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires.

Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque.

[7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine : 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

 

[8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic

[9] Advisory Committee on Immunization Practices

Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis

[10]   Le 1 er aout 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale – en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours

[11]  7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale

[12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid – Résumé. (wordpress.com)

[13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin COVID-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… »  27 juillet 2021 par mirastnews in Europe /Par le Dr Joseph Mercola

[14]Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif-(covid19)-(post%C3%A9-par-Dr-Perronne)-(1):7?src=embed

[15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/  à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive

 

[16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! – Boris Karpov (tvs24.ru)

« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres « standard » de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sur les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !

Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5.000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de « trahison », au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc. etc. C’est un véritable raz de marée. »

Le pass sanitaire n’a aucun intérêt médical : expérience internationale

 

Accepté sans vraie modification par le conseil constitutionnel, la loi scélérate instaure la discrimination par un pass prétendument sanitaire qui n’a pourtant aucune efficacité dans la lutte contre l’épidémie.

 Faits avérés : le pass ne crée pas de sanctuaire 

Tous les 1300 marins du porte avion Queen Elizabeth ont reçu leurs deux injections Covid depuis plus de 3 mois et bénéficieraient à ce titre d’un passe sanitaire s’ils étaient français (les juridictions britanniques ont refusé ce passe jugé contraire aux droits fondamentaux). Après une escale une épidémie de plus de cent cas s’est déclarée à bord chez ces vaccinés prouvant qu’un passe n’aurait protégé personne.

Tous les 20000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur passe sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus[1] (dont une majorité de vaccinés !). Selon les informations de l’AD[2] au moins 448 festivaliers ont été infectés le premier jour et 516 le deuxième jour !

Tous les 50 000 participants des festivals, Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont présenté des tests négatifs et porté des masques. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [3] [4] [5] : 466 participants au Vida Festival, 956 au Canet Rock, et 857 à la Cruïlla soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents. Durant cette période, dans les groupes de contrôle (dont les participants ne se sont pas rendus au festival) ces chiffres sont de 197, 524 et 571. Ce surplus de contaminations confirme que ni les tests ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

 

En France, le passe n’empêche pas les clusters

Malgré leurs pass sanitaires, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse,

L’Autriche a instauré le pass le 1 juillet 2021 à une période où l’épidémie régressait ( taux moyen lissé sur 7 jours : 79 nouvelles contaminations journalières). Le gouvernement demande la présentation d’un test PCR négatif ou un certificat de vaccination pour toutes les activités en contact avec un public, le rendant obligatoire pour l’accès aux restaurants, aux hôtels, aux théâtres, aux concerts, dans les stades ou les salles de sport.

 

Depuis l’instauration du pass, l’épidémie est repartie de plus belle et se stabilise à 6 fois la valeur d’avant pass (479 cas/jour).

 

 

 

 

La Grèce, espérant ainsi sauver sa saison touristique a fortement milité pour la vaccination et le passe européen et a été la première à l’imposer à sa population après que le Premier ministre grec, Kyriákos Mitsotákis ait promis

« nous pourrons fermer le dernier chapitre de cette crise sanitaire seulement si chacun possède à son bras le vaccin de la liberté« .

Mais l’inefficacité totale de ces mesures contre le variant delta et les restrictions récentes du gouvernement sur les cafés et les bars depuis ce 6 août d’interdire tous les espaces intérieurs aux personnes non vaccinées ont sonné le glas de ses espoirs.

 

 

Le mirage de retrouver la liberté et la clientèle touristique par la vaccination et le passe s’est évanoui.

 

 

 

L’inutilité du passe est habituellement reconnue en moins de 3 mois

A Moscou, il a été abandonné en moins d’un mois.

En Israel, il a été abandonné après deux mois même si l’inefficacité maintenant évidente de l’injection Pfizer  le fait à nouveau utilisé pour les très grands rassemblements.

Le 21 avril 21 , le Danemark avait fait le choix de mettre en place un coronapass en promettant qu’il était est indispensable pour retrouver « la vie d’avant ». Mais le 14 juin 21,  7 semaines plus tard une majorité des députés a voté pour l’abandon immédiat des masques et progressiF  du passe.

Fin avril 21, alors que l’épidémie régressait fortement, la Hongrie a choisi de rendre obligatoire la présentation d’un « certificat d’immunité », pour accéder aux hôtels, théâtres, ou salles intérieures des restaurants. Alors que la mortalité qui avait commencé de décroître plusieurs semaines avant le pass est maintenant proche de zéro, la carte d’immunité reste obligatoire sans aucune justification médicale pour les événements sportifs, les spectacles en salles fermées ou dans les évènements accueillant plus de 500 personnes.

 

Combien de temps les français supporterons ce passe inefficace qui nie notre devise Liberté, Egalité, Fraternité ?

Le 31 juillet, plusieurs millions de personnes ont manifesté dans près de 50 villes de France avec pour seule slogan Liberté. Ils n’ont pas été entendus ni par les médias qui ont diffusé des chiffres de manifestants ridicules et faux, ni par le Président qui s’est moqué d’eux, ni par la justice, ni par le Conseil Constitutionnel dont le président est en  conflit d’intérêt majeur[6] avec le conseiller du Président de la Republique pour l’organisation de la vaccination, son propre fils et directeur du cabinet de conseil pour la France.

 

 

 

Samedi 7 août, nous devons redoubler d’effort pour imposer qu’enfin la France redevienne une démocratie, par le peuple, pour le peuple souverain et non plus une république bananière où le gouvernement ment sans arrêt et où le lobby des vendeurs de pseudo—vaccins inefficaces dicte les lois en empêchant l’utilisation des traitements précoces performants.

 

 

 

 

 

 

.

[1] Ouest France  Covid-19. Aux Pays-Bas, un millier de contaminés après un festival malgré l’usage du pass sanitaire https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-au-pays-bas-un-millier-de-contamines-apres-un-festival-malgre-l-usage-du-pass-sanitaire-b5f05ae6-e54f-11eb-8ee1-0deddf8c8ae2

[2] https://www.sudinfo.be/id405517/article/2021-07-14/coronavirus-enorme-cluster-apres-un-festival-utrecht-pres-dun-millier-de

[3] El Pays Près de 2 300 personnes testées positives pour le coronavirus après avoir assisté à des festivals de musique en Catalogne https://english.elpais.com/society/2021-08-05/nearly-2300-people-test-positive-for-coronavirus-after-attending-music-festivals-in-catalonia.html

[4] L’express 5/8  https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/en-catalogne-des-festivals-tests-se-transforment-en-clusters-geants_2156128.html

[5] Huffpost Covid: En Catalogne, des festivals-tests tournent au fiasco https://www.huffingtonpost.fr/entry/covid-catalogne-festivals-tests-fiasco_fr_610add17e4b038cedb3b0ea5

[6] le cabinet de conseil Mc Kinsey qui accompagne la Présidence de la République en France sur la politique vaccinal actuelle est également celui qui conseille dans le monde les principaux laboratoires pharmaceutiques pour leur développement commercial et  l’un des directeurs associés du cabinet en France qui bénéficie de ce contrat de conseil de l’Elysée n’est autre que Victor Fabius le fils de Laurent Fabius, Président du Conseil constitutionnel, Conseil constitutionnel et pass-sanitaire : Fabius en conflit d’intérêt ? www.economiematin.fr/news-pass-sanitaire-conseil-constitutionnel-conflit-interet-fabius-redaction

Modèle de plainte si les responsables scolaires ou universitaires insistent

 

 

 

Nom………….

Prénom ……………………

Date et lieu de naissance………………………

Profession……………………………..

Adresse…………………………..

 

 

                                                                       Monsieur le Procureur de la                                                                             République près le Tribunal                                                                              Judiciaire de………………..

 

 

 

 

Le………………………………..

 

 

 

Recommandée avec A.R.

 

OBJET : Plainte pour :

-Complicité de tentative d’empoisonnement (art. 121-7 et 221-5 C.P.)

-Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.)

 

Monsieur le Procureur,

 

J’ai l’honneur de vous exposer les faits suivants.

 

(exposé de la situation que l’on subit. Ex. « le …aout 2021, le Proviseur du Lycée…. a indiqué à mon fils mineur…………………… qu’il ne pourrait pas revenir en septembre s’il n’était pas muni du Pass sanitaire, c’est à dire, s’il n’avait pas reçu les 2 doses au moins d’un des produits promotionnés par les autorités, et appelés faussement « vaccins »)

 

Je considère que cette attitude est hautement répréhensible pénalement pour les raisons suivantes :

 

I- LES FAITS :

 

Courant 2008, un rapport de l’UNESCO de 256 pages (disponible sur UNESDOC) évoque la particularité troublante de certains vaccins, contenant des nano-puces et des cristaux liquides pouvant influer sur le comportement humain, sans souci d’éthique politique.  Si l’on s’en réfère aux déclarations même des « décideurs » et de leurs « conseillers », l’objectif de l’opération pourrait bien être d’inoculer aux populations un vaccin très spécial. Ainsi la peur créée par la « pandémie »  aurait pour objectif de rabattre les populations vers un « vaccin » contre lequel l’UNESCO met en garde et dont on sait qu’il comportera en réalité des nano-puces, vecteurs d’identification biométriques, et des cristaux liquides.

 

Lors de la conférence TED 2010, Bill Gates indique espérer réduire la population mondiale « avec de bons résultats sur les nouveaux vaccins »

Courant 2017, après que Bill Gates ait versé des subventions importantes à l’O.M.S., (organisme créé par la famille Rockefeller) la faisant ainsi devenir progressivement, une organisation privée, Tedros Adhanom Ghebreyesus est nommé à sa tête.

 

Ce personnage fut membre du bureau politique du Tigray People Liberation Front (TPLF), une organisation inscrite dans la liste des organisations terroristes du U.S. Homeland Security. Il fut Ministre de la Santé en Ethiopie de 2005 à 2012, et est membre du Conseil d’administration de l’alliance pour la vaccination (GAVI) qui œuvre au profit de l’industrie pharmaceutique pour imposer la multi-vaccination avec des puces RFID à la terre entière.

 

On comprend aujourd’hui, pourquoi l’O.M.S. préconisait de ne pas utiliser d’anti-inflammatoire contre le Covid 19, et n’a cessé d’affirmer qu’il n’existait pas de traitement, mais « qu’un vaccin est à l’étude… »

 

Le 23 février 2017, Monsieur Bernard CAZENEUVE, premier ministre, prononce le discours à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 à WUHAN, (République Populaire Chinoise), en présence,

notamment, du mari (Président de l’Inserm) de Madame Agnès BUZIN, elle même à l’époque, présidente de la Haute Autorité de Santé (H.A.S.)

 

Le 21 septembre 2018, la société Microsoft Technology  Licensing (fondée par Bill Gates) dépose aux USA un brevet intitulé CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA. Ce brevet ne sera publié que courant mars 2020 (WO2020/060606A1).

 

Il concerne des nanoparticules qui auraient la faculté, lorsqu’elles sont introduites  dans le corps humain par des injections, d’être  identifiées et localisées par n’importe quel ordinateur.

 

Courant 2018, la Banque mondiale WITS (World integrated Trade Solution) publie sur son site, des millions de commandes émanant de nombreux pays, pour lesquelles on lit « : COVID-19 Diagnostic-Test instruments and apparatus« 

 

Dès que cette information a filtrée, la mention « Covid-19 » a été effacée, et devant l’indignation sur les réseaux sociaux, la WITS a déclaré que cette appellation était une coïncidence…

 

A l’automne 2019, a lieu aux U.S.A., sous la présidence du milliardaire, fondateur de la société Microsoft Technology  Licensing, et finançant une grande partie du budget de l’O.M.S., une simulation d’une pandémie qui serait due à un coronavirus, sur la base d’un roman écrit en 1981 : « The eyes of darkness ». Cette simulation portait le nom de « Event201 ».

 

Lors de la conférence ID2020 Sommet 2019, Bill Gates fait la promotion du vaccin contenant le « marqueur » à nano-puce électronique, destiné à « marquer » et à contrôler 7 milliards d’humains. (mais il ne fait pas vacciner ses enfants).

 

Les premiers cas de Covid 19 seraient apparus au marché de Wuhan, à 180m. du laboratoire inauguré par M. CAZENEUVE.

 

 

1ères anomalies et contradictions

 

On commence à en parler en France en fin décembre 2019, et en même temps, l’hydroxychloroquine est brusquement classée dans les substances interdites, par un arrêté ministériel signé en janvier  2020 par Mme BUZYN, dont le mari (encore lui) fut nommé en Octobre 2019, « Conseiller d’Etat en service extraordinaire », et quitta ses fonctions au moment du 1er déconfinement. (« La Dépêche.fr » 22 mai 2020).  N.B. : Pendant le confinement, presque tous les recours déposés au Conseil d’Etat par ceux qui critiquaient les textes liberticides, ou réclamaient simplement que l’on fasse connaître les thérapeutiques existantes, ont été rejetés…

 

Début mars, les scientifiques nous expliquaient sur les media, que le masque ne servait à rien et que l’idée d’un confinement aurait plus d’inconvénients que d’avantages.

 

En réalité, le recul, et les déclarations occultées de nombreux scientifiques, nous permettent d’affirmer  :

 

-que ce jour là ils avaient raison,

 

-mais qu’une pensée unique s’est, juste après,  brusquement introduite dans tous les milieux officiels et dans les media, ce qui fait que le discours officiel va brusquement changer.

 

15 jours plus tard, l’on va confiner,  et, curieusement, alors que des traitements de cette nouvelle grippe  étaient utilisés avec succès, personne n’en parle :

 

  1. a) l’hydroxychloroquine, préconisée par le Pr. RAOULT, et curieusement interdite dès janvier 2020, alors que ce produit était connu et largement utilisé depuis 70 ans. Courant avril 2021, l’on apprend que le Sénégal qui, dès le début, a suivi le protocole du Pr. RAOULT a recensé 61 morts par million d’habitants, soit 23 fois moins que la France.

 

  1. b) La Vitamine C en perfusion et à forte dose (100 % d’efficacité et sans effets indésirables sérieux dans les services des Pr. MARIK et VARON aux U.S.A.),

Par courrier du 11 mars 2020, le Dr. LABREZE, médecin dans les Bouches du Rhône, en informe M. le Ministre de la Santé, et ajoute, concernant les USA :

« Le Pr MARIK a traité deux groupes de 47 patients atteints d’une pathologie infectieuse grave (voire critique),  pris en charge dans son service de réanimation.
Il y a eu 19 décès dans le groupe pris en charge avec les méthodes aujourd’hui utilisées dans tous les centres hospitaliers, y compris dans les CHU français .
Dans le groupe  traité avec des injections de vitamine C, d’hydrocortisone et de  thiamine (Vit B1), aucun patient n’est décédé des conséquences de son infection !

Nous parlons ici de 19 décès versus zéro décès !!

Compte tenu du fait que la rigueur professionnelle et scientifique des auteurs de cette  publication ne peut être raisonnablement mise en doute, ne pas agir immédiatement, sur la base de cette information, alors que plus de quatre mille patients sont actuellement en services de réanimation,  représenterait, à mon sens, une négligence grave et, très clairement, une mise en danger de la vie de ces patients, ou de ceux dont l’état de santé actuel pourrait se dégrader très rapidement, faute d’avoir pu bénéficier des traitements que j’ai portés et porte à nouveau à votre connaissance… »

« Dans les circonstances actuelles, faisant craindre le développement d’une épidémie liée au coronavirus et la mort d’un nombre important de nos concitoyens, quel que soit d’ailleurs leur état de santé antérieur et l’existence ou non de comorbidités, il me semble important et urgent de porter à votre connaissance l’existence de ressources thérapeutiques validées mais encore insuffisamment connues de la communauté médicale, notamment dans notre pays….

Je pense qu’une large diffusion de ces informations apparaît aujourd’hui comme une action prioritaire de santé publique, puisqu’elle va donner aux équipes médicales hospitalières particulièrement démunies face aux formes sévères de COVID-19, une ressource thérapeutique particulièrement efficace qui leur permettra indiscutablement de sauver des vies».

Fin mars, le Pr MARIK, de la Eastern Virginia Medical School, écrit :

« …Nous avons traité 4 patients avec un syndrome de détresse respiratoire aigüe lié au COVID et tous se sont améliorés dans les 6 à 12h ayant suivi l’instauration du traitement.

L’intubation a été évitée pour l’un d’entre eux et les 3 autres sont maintenant sevrés.

Le Dr VARON, Président du conseil d’administration de l’United General Hospital et médecin chef et responsable du département des soins intensifs, a, à ce jour, traité 14 patients atteints du COVID avec notre protocole. Il a rapporté également une amélioration rapide dans les 12 heures qui ont suivi l’administration du traitement.

Six de ces patients ont été extubés dans les 4 jours, et tous les autres sont aujourd’hui sevrés….

La vitamine C a été intégrée dans l’algorithme de traitement du COVID de l’Université du Wisconsin. 

Nous croyons que l’utilisation de notre protocole va sauver des vies. Et, ce qui est important également, c’est qu’elle va permettre d’éviter l’intubation pour un grand nombre de patients, écourtera le recours à une ventilation assistée lorsqu’elle aura été mise en œuvre, libérant ainsi ces équipements essentiels qui pourront ainsi être utilisés pour d’autres patients. La vitamine C est bon marché, facilement disponible et totalement dépourvue d’effets secondaires… »

Le Pr. VARON indique, le 13 avril 2020 :

« Notre succès avec la combinaison thérapeutique est incroyable. Aujourd’hui nous avons traité plus de 25 patients à l’United Memorial Medical Center de Houston, et pas un seul n’a dû être intubé. Tous étaient atteints d’une forme sévère de pneumopathie due au Covid 19, et furent rapidement guéris par l’acide ascorbique, la Thiamine, des stéroïdes, et de l’Heparin. Nous avons aussi ajouté l’hydroxychloroquine et l’azythromicine à ces patients… »

N.B. Le Pr. J. VARON fait partie des scientifiques nationalement connus aux U.S.A.

Il enseigne au Texas, et au Mexique.

Il totalise plus de 400 publications scientifiques et a publié une dizaine d’ouvrages.

Le Ministre de la Santé a reçu toutes ces informations.

 

Devant l’absence de réaction du Ministre de la Santé, un groupe de médecins saisit 2 fois le Conseil d’Etat, en vain.

 

  1. c) Artemisia annua utilisée avec succès également en Afrique et à Madagascar);

En mars 2021, Madagascar qui totalise environ 27.000.000 d’habitants, annonçait moins de 400 décès du Covid depuis le début de l’épidémie…

 

  1. d) Dans le courant de l’année 2020, l’on apprenait également que l’Ivermectine, médicament utilisé depuis des décennies, était très efficace concernant cette pathologie. Curieusement, ce médicament avait été, lui aussi, interdit : tout médecin le prescrivant serait poursuivi devant le Conseil de l’Ordre.

 

Parallèlement,  dans Paris-Match, du  9 au 15 av. 2020, le Pr. BRECHOT, ancien Directeur de l’institut Pasteur, Président du Global Virus Network, déclarait « …Aucun vaccin fiable n’a été mis au point contre un coronavirus… »

 

 

Ainsi, il devenait de plus en plus clair que l’objectif était :

 

-De faire croire que la maladie risquait de décimer tout le monde, en manipulant les chiffres,

-De faire croire qu’il n’existait aucun traitement

-De faire croire que seul le vaccin serait salvateur.

 

La Manipulation des chiffres :

 

Le Secrétaire général des Nations Unies monsieur Antonio GUTERRES déclarait publiquement :

«… Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adoptés des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non gouvernementales, des défenseurs du droit humain, des journalistes, des avocats, des militants, des  professionnels de la santé, ont fait l’objet d’arrestations, de poursuites, et des mesures d’intimidations et de surveillances pour avoir critiqué les mesures ou le manque de mesures…, les restrictions servent d’excuse pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques, l’accès à   l’information vitale a été entravé, tandis que la désinformation mortelle a été amplifiée, y compris par certains dirigeants…»

 

S’il est incontestable qu’il existe un virus (sars-cov 2), toutefois il a été volontairement surévalué dans sa dangerosité « pour établir la peur » et les restrictions sur les droits fondamentaux pour la population, tel que le révèle le courrier du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY publié dans « The Lancet » :

Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract § 3.

«… Hence, it is time to abandon fear based approaches based on seemingly haphazard stop-start generalized confinement as the main response to the pandemic»  Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021

https://doi.org/10.1016/S24682667(21)00036-0

 

Il est remarqué que, partout dans le monde, le taux de mortalité lié au covid-19 a été purement fabriqué artificiellement en y incluant toutes les pathologies à son compte ; ainsi en France, à de multiples reprises, le président de la commission des affaires sociales, commission permanente de l’Assemblée nationale, a demandé au ministre de la santé :

« …je ne reviens pas sur la question polémique du masque et la question de Leprus, que pouvez-vous me dire sur la surmortalité invisible qui est occulté par le covid-19, je pense au cancer, aux maladies cardiovasculaires et autres, et on a des certificats de décès que j’ai pu constater dans la mairie où j’appartiens, à savoir des personnes très âgées qui sont décédées marquées covid-19, or ces patients n’ont jamais eu le covid-19, c’est le médecin qui a marqué covid-19, on ne sait pas pourquoi, mais il y a une surmortalité qui existe dans les certificats médicaux, j’ai posé la question à monsieur Salomon « Jérôme Salomon, le ‘Monsieur coronavirus’ du gouvernement», mais il m’a dit qu’il regarderait ça ? ».

 

Il est clairement établi la fabrication de faux certificat de décès avec la complicité de certaines personnes au nom du covid-19 ; par ailleurs, la grippe n’existe plus en France, le taux de mortalité étant de 0 ; ainsi toutes les personnes décédées de cancer, de problème pulmonaire, de vieillesse ou d’autres pathologies, sont déclarées covid-19.

Il n’y a pas lieu de s’étendre sur l’interprétation des« sur-hospitalisations » invisibles liées au covid-19, la France employant le même schéma de mensonges, en modifiant la norme régissant la réanimation : « lits pour accueillir des patients avec des défaillances multi-organiques, nécessitant une assistance respiratoire» ré-exprimée depuis le covid-19″.

 

Ainsi, a été gonflé artificiellement le nombre de personnes hospitalisées en réanimation pour covid-19. Prenons cet exemple : une personne atteinte de septicémie se retrouve en surveillance continue, est-elle pour autant en réanimation atteinte du covid-19 justifiant une surcharge hospitalière covid-19 ? En France : oui!

 

L’Institut    National    de    la    Statistique    et    des    Études    Économiques    montre    une    faible   surmortalité   en   2020   en   dehors   des   périodes   de   confinement.

 

Selon les données de l’Insee, statistiques de l’Etat Civil, le nombre  de décès moyen par jour en France était de :

-1.863 en Février 2018

-1.994 en février 2019

-1.772 en février 2020

 

Les autorités de Santé Publique avaient parfaitement connaissance de ces chiffres démontrant que la gravité de l’épidémie n’existait que sur les grands médias qui se contentaient de véhiculer ce que leur disaient les porte-paroles des autorités.

 

 

 

 

II- LES INFRACTIONS PENALES :

 

1°) Complicité de tentative d’empoisonnement : (art. 221-5  C. Pénal)

 

Dès le début de la vaccination, de nombreuses voix  se sont élevées, provenant de scientifiques du monde entier (Docteur Alexandra Henrion-Caude, Docteur Sheri Tenpeny, Professeur RAOULT, docteur Eric MENAT, Dr. AGRET etc…) indiquant :

 

  • Que les contrats signés entre la commission européenne et les laboratoires Pfeizer, Moderna, Astra Zenecha contenaient d’étranges dispositions par lesquelles :
  • Les parties reconnaissent ne rien savoir sur l’efficacité des produits,
  • Les parties reconnaissent ignorer les effets indésirables à long terme,
  • En cas d’effets indésirables, les laboratoires bénéficient d’une exonération de responsabilité.

 

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres médecins ont voulu attirer l’attention des pouvoirs publics et des médias sur le fait que les produits qualifiés de vaccins ne correspondaient pas du tout à la définition classique du vaccin.

En effet, un vaccin est un produit contenant un virus inactivé ou atténué ayant pour but de créer des anticorps.

Les produits actuels ne répondent pas du tout à cette définition, et sont en réalité des médicaments de thérapie génique, lesquels médicaments seront injectés à des gens bien portants.

 

Les scientifiques précités s’élèvent contre le fait que tous les produits qualifiés de vaccins anticovid n’ont qu’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché puisqu’ils  sont tous en phase 3 d’essai clinique. Cette phase 3 ne se terminera qu’en 2022 ou 2023.

 

Les scientifiques précités ont tenté d’alerter les pouvoir publics et les médias sur le fait que les essais effectués sur des animaux avaient mis en évidence le fait que les éléments OGM injectés allaient déclencher une protection éventuelle contre le covid19,  mais allaient parallèlement neutraliser tous les anticorps naturels de l’être vivant  qui n’aura ainsi plus la moindre défense immunitaire contre tous les autres virus.

 

Ils indiquent  que lorsqu’un sujet « vacciné » entrera en contact avec n’importe lequel autre virus grippal, ou virus de la rougeole ou de la coqueluche, etc…, même s’il a reçu des vaccins classiques antérieurement, ses défenses immunitaires étant totalement neutralisées, la guérison ne sera pas possible et le nombre de décès risque d’être impressionnant dès l’entrée de l’hiver 2021.

 

Déjà, le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), indiquait qu’au 21 mai 2021, il y avait déjà 37.000 cas d’effets indésirables dont 9.000 graves et environ 700 décès.

 

La base de données Européenne d’effets indésirables indique début juin 2021 1.354.336 effets indésirables dont plus de 600.000 graves et 13.867 décès !

 

         NB : Les organismes de pharmacovigilance de nombreux pays, dont la France, indiquent n’avoir connaissance que de 10 % des effets  indésirables…

 

         Les chiffres réels sont donc certainement à multiplier par 10….

 

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres indiquent que, outre les cas de thromboses survenus immédiatement après l’injection ou dans les 15 jours qui suivent, les produits vont entraîner la stérilité de nombreux êtres et déclencher de nombreuses fausses couches chez les femmes enceintes.

 

 

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias,  tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison. Les français sont tellement manipulés et induits en erreur qu’ils n’ont même pas remarqué que les premières vaccinations en Europe qui ont eu lieu en Grande Bretagne ont été suivies presque immédiatement par l’apparition du variant anglais.

 

Ainsi, de nombreux médecins redoutent qu’à l’automne, les effets indésirables graves soient faussement attribués  à un variant, et  que la France ne revive une 4ème vague pour laquelle tant les autorités que les médias se garderont bien de s’interroger sur la nocivité de ce produit et le lien de causalité, même si les personnes hospitalisées seront quasiment toutes des personnes ayant reçu des injections.

 

J’estime que cette opération visant soi-disant à nous protéger d’un virus qui n’a occasionné que 0,035 % de décès parmi les personnes contaminées, soit un des taux les plus faibles  parmi toutes les épidémies contemporaines, n’est qu’en fait une vaste tentative d’empoisonnement.

 

Je m’interroge sur les véritables motivations de cette opération et estime qu’en ayant interdit toutes les thérapeutiques, en ayant gonflé artificiellement les chiffres des soi-disant morts du virus, et en tentant de nous convaincre de nous faire injecter un produit qui à long terme peut être mortel, les français se trouvent face à une véritable tentative collective d’empoisonnement.

 

Monsieur Dupont Moretti, Ministre de la Justice, déclarait lui-même récemment « On ne va pas obliger les détenus à se  vacciner, car les détenus ne sont quand même pas des cobayes ».

 

Fin Mai 2021, le Dr. Geert Van Den Bossche, pourtant l’un des créateurs de vaccins les plus réputés dans le monde, a adressé une lettre ouverte à des milliers de professionnels de santé, indiquant qu’il fallait d’urgence arrêter ce programme de vaccinations.

Il y  lieu de préciser que Geert Van den Bossche a été :

-biologiste au sein du laboratoire GSK,

-directeur des programmes de recherche des adjuvants chez Novartis,

-directeur de projets de vaccins contre la grippe au sein de la fondation Bill et Melinda Gates,

-agent principal de santé mondiale et découverte de vaccins chez Gavi

etc…

 

Toutes ces informations sont connues des autorités de santé depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, ainsi que des responsables des administrations qui ont été inondées de courriers.

 

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité apparait de plus en plus.

 

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes dont ils ont eu connaissance.

 

Ces informations ont été transmises au          Recteur d’Académie,

                                                                       Président de l’Université

                                                                       Proviseur du Lycée

                                                                       Directeur du Collège…..

 

Ainsi, en connaissance de cause, cette personne tente de

-contraindre mon fils mineur à se faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

-me contraindre à me faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

 

J’estime qu’il y a de la part de cette personne, une volonté de « ne pas savoir » ,et de participer à une tentative d’empoisonnement collectif, d’autant plus que l’efficacité protectrice de ces produits est de plus en plus douteuse :

 

En Israel, l’un des pays les plus vaccinés au monde, j’ai appris que plus de 50% des personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » étaient correctement vaccinées, et qu’il existe une surmortalité de 20% chez les jeunes par rapport à l’année précédente.

 

2°) Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.) :

 

Le fonctionnaire qui

m’a empêché

a empêché mon fils

 

d’entrer dans l’établissement scolaire, en sachant que cette décision empêche tout élève ou étudiant de continuer un cursus d’études normal, constatant que la consigne qui lui a été donnée par sa hiérarchie, est contraire aux conventions internationales que la France a ratifiées, et notamment la Convention d’Oviedo, constatant que depuis le procès de Nuremberg, le procès de Klaus BARBIE, ou le procès de Maurice Papon, s’est dessinée une Jurisprudence indiquant que le fonctionnaire destinataire d’une consigne illégitime, a le devoir de désobéir, se devait d’ignorer cette consigne, et de permettre l’accès à l’établissement d’une personne n’ayant pas reçu le produit qualifié de « vaccin ».

 

Faute d’ignorer ce principe, les accusés du procès de Nuremberg ayant tous « obéi aux ordres » n’auraient jamais pu être condamnés.

 

Ainsi Monsieur le    Recteur d’Académie,         

                              Président de l’Université

                              Proviseur du Lycée

                              Directeur du Collège…..

 

 

s’est rendu coupable d’un abus d’autorité, dans la mesure où il a refusé l’exercice d’un droit accordé par la loi, à savoir le droit pour tout citoyen, de fréquenter un établissement d’enseignement, au motif que ce citoyen n’a pas reçu les injections prévues par le plan vaccinal, ce qui rend cette décisions hautement discriminatoire.

 

EN CONSEQUENCE,

 

J’ai l’honneur, par la présente de déposer plainte entre vos mains contre :

Monsieur le Recteur d’Académie,

                    Président de l’Université

                    Proviseur du Lycée

                    Directeur du Collège…..

 

pour :           -Complicité de tentative d’empoisonnement, faits prévus par les                 art. 121-7 et 221-5 C.P.

                  -Abus d’autorité, faits prévis par l’art. 432-7 C.P.

 

Je vous prie de croire, Monsieur le Procureur, à l’assurance de ma Considération.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                      

 

 

Non, le sacrifice des enfants au Dieu « vaccin » expérimental ne sauvera personne !

 

 

 

Devant les interrogations de nombreuses familles, des juristes ont accepté de partager ce modèle de lettre de réponse aux injonctions adressées actuellement, via des directions d’école ou d’universités à des parents perdus devant les annonces contradictoires.

A ce jour  2 aout 2021, aucune obligation n’est votée et énormément de problèmes légaux se posent au delà de l’éthique médicale et de la médecine proprement dite. Des plaintes de toutes sortes sont déposées et il est très difficile de prévoir l’avenir même proche. Dans cette période d’incertitudes il faut garder son sang froid et se garder de se précipiter.

Nous remercions les juristes de leur aide.

 

 

Modèle de lettre de réponse aux autorités françaises scolaires ou universitaires pour les parents incités (parfois avec menaces) à faire « vacciner / injecter » leurs enfants avant la rentrée scolaire ou universitaire

 

 

 

 

EXPLICATIONS PRÉALABLES :

 

A la suite de la réception par des parents d’élèves ou d’étudiants de lettres envoyées par les autorités scolaires ou universitaires évoquant une prétendue obligation « vaccinale » ou plus exactement une prétendue obligation d’injection de « substances géniques en essais cliniques »,  une équipe d’Avocats et de Juristes vous propose ce modèle de courrier de réponse à ces « menaces » non fondées juridiquement.

 

Important : N’anticipez pas,  attendez d’être « menacés » à ce sujet par l’établissement scolaire ou universitaire avant d’envoyer ce courrier.

 

Cette lettre est à adresser à tout directeur d’établissement scolaire ou Président d’Université ou Recteur d’Académie qui imposerait aux étudiants/lycéens/collégiens/écoliers la vaccination Covid19 pour la rentrée scolaire 2021/2022).

 

Il ne vous reste plus qu’à adapter le courrier en utilisant les mentions adaptées parmi celles proposées et séparées d’un « / ».

 

Le modèle est établi sur base du droit français. Toutefois, les parents dans les pays limitrophes et francophones (Belgique, Luxembourg, Suisse) peuvent s’en inspirer et conserver en tout ou en partie les références aux dispositions du droit de l’Union européenne (Belgique, Luxembourg) et du droit supranational (Conseil de l’Europe et conventions internationales).


Vous pouvez bien entendu soumettre ce document à votre avocat ou à des associations constituées, pour l’adapter à votre droit interne.

 

Si une réunion est organisée dans l’établissement scolaire, n’hésitez pas à demander à un représentant du corps médical (notamment les médecins des associations « Reinfo Covid », « Laissons les médecins prescrire », etc.) de vous accompagner pour donner une caution scientifique.

 

La fin du document contient (en police de caractères rouge pour l’instant) un paragraphe spécifique pour les situations où l’élève suit une filière professionnelle orientée vers l’aide à la personne. Supprimez bien sûr ce paragraphe s’il ne correspond pas à votre situation spécifique.

 

Enfin, si vous êtes majeur et que vous écrivez ce courrier pour vous-même (étudiants de 18 ans et +), il vous suffira de modifier la formulation en conséquence.

 

Dans la mesure du possible, il est conseillé que les DEUX titulaires de l’autorité parentale signent ce document lorsque l’élève est mineur.

 

 

 

 

Madame,
Monsieur,

Nous sommes les parents et civilement responsables de notre fils/fille mineur(e) ………………………………
…………………………………..

Dans votre courrier/message du ………….… (date) vous nous informiez de votre souhait que notre enfant soit vacciné(e) d’ici la rentrée scolaire.

Votre demande suscite toutefois de notre côté de nombreuses interrogations, à propos desquelles nous aimerions nous entretenir avec vous, éventuellement lors d’une réunion qui rassemblerait l’ensemble des parents intéressés.

Nous serions en effet désireux de savoir :

Ceci étant posé, comment comptez-vous concilier votre demande de vaccination obligatoire avec les principes issus des textes suivants, présentés dans un ordre décroissant de force obligatoire au regard de la hiérarchie des normes juridiques :

 

Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une « urgence » qui resterait pour le surplus à démontrer.

 

 

  • Si, après injection des produits, notre enfant présente des effets secondaires graves ou décède, êtes-vous en mesure d’en supporter, tant personnellement qu’au nom de l’établissement que vous dirigez, les conséquences ? En effet, les fabricants des produits injectés ayant obtenu de l’Union européenne une immunité civile totale, l’imposition par vos soins d’un produit en phrase d’essais cliniques pourrait avoir des conséquences potentiellement dramatiques.

(Pour les enfants inscrits dans des filières professionnelles de service à la personne, et dont les enfants sont soudain assimilés à du personnel soignant pour justifier la pression exercée, il est conseillé d’ajouter le paragraphe suivant, pour l’instant en rouge) :

  • Enfin, sur base de quelle disposition procédez-vous à l’assimilation d’un élève au « personnel soignant », même dans l’hypothèse où des stages sont organisés de façon ponctuelle pendant l’année scolaire ? Nous ne voyons pas ce qui permet une telle assimilation.

Nous restons bien sûr à votre entière écoute pour évoquer ce sujet ensemble, tout en attirant à nouveau votre attention sur la gravité particulière des mesures à caractère essentiellement politique annoncées et non encore inscrites dans le marbre de la loi eu égard au nombre de dispositions normatives supérieures que ces obligations violeraient.

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées et préoccupées.

 

(Signatures)

 

 

 

 

 

 

GAULOIS REFRACTAIRES ET OBLIGATION « VACCINALE »

 

Les sans-dents et les riens répondent aux journaleux de la secte Covidiste

Un de nos collègues fidèle à Hippocrate, dont les patients covid sont en vie grâce aux traitements précoces, nous conseille de partager sa conclusion : « Bon vent à toutes et tous et faites savoir qu’entre 40 euros d’un traitement inoffensif et le cout du réa et des obsèques, il n’y a pas photo ». Merci Bernard.

Le jour des règlements de comptes arrive déjà en Inde. Pourquoi notre ministre de la Santé et notre premier ministre ne s’inquiètent-ils pas du sort de la responsable de l’OMS indienne mise en accusation ? Les négationnistes et censeurs des traitements précoces responsables de milliers de morts par absence de traitements adaptés et peu chers, devront rendre des comptes.

Le journal l’observateur du Maroc et de l’Afrique informe que[1] le 25 mai, l’Indian Bar Association (IBA)[2] a intenté une action en justice contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’OMS en Inde, l’accusant « d’avoir causé la mort de citoyens indiens, en les trompant sur l’ivermectine. »

Le 10 mai 2021 elle a diffusé un tweet trompeur contre l’utilisation de l’Ivermectine entraînant, le lendemain, dans l’État du Tamil Nadu le retrait de l’ivermectine du protocole de soins recommandé par le ministère de la.  Si le Dr Soumya Swaminathan était déclarée coupable, alors elle pourrait être condamnée à la mort ou à la prison à vie.

L’avocate Dipali Ojha, principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes Le mémoire accuse le Dr Swaminathan d’avoir commis une faute en utilisant sa position d’autorité sanitaire pour servir les intérêts particuliers de la lucrative industrie des vaccins.

 

Invoquer l’autorité ne suffit pas toujours pour se disculper

L’argument classique des criminels nazis pour récuser leur responsabilité personnelle « je n’ai fait qu’exécuter les ordres » suffira-t-il à la juger « responsable mais pas coupable » ? Lorsqu’on rappelle les procès de Nuremberg de 1947 contre les médecins nazis ayant fait des expériences en particulier sur les vaccins, on nous rétorque cela est « dépassé et sans valeur juridique ». Dépassé et depuis quand et pourquoi ? En tous cas, des médecins furent pendus ainsi qu’un journaliste considéré comme complice de leurs expériences médicales criminelles en particulier vaccinales.

Quant à la valeur juridique du code de Nuremberg nié par certains avocats probablement débordés, les conventions régulières de l’Association Médicale Mondiale réunissant les médecins du monde entier ont confirmé la valeur éthique du code de Nuremberg et conforté sa valeur juridique internationale, opposable aux états, lors de la conférence d’Oviedo.[3][4]

LA CONVENTION D’OVIEDO EST JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTE pour tous les états signataires.

 

Lisez l’excellente analyse juridique d’un professeur de Perpignan pour vous en persuader

http://www.revuedlf.com/droit-administratif/sur-la-liceite-dune-obligation-vaccinale-anti-covid/? fbclid=IwAR1aXilFWmLyBOfWlIdx9WKAAnLxF9hlvF7NwpBYnv1Tskt1CU6hz4N0LuM

 

 L’exemple médicolégal du vaccin contre la dengue

Récemment les médecins et politiques philippins qui ont favorisé une publicité mensongère et organisé une vaste campagne de vaccination contre la dengue, (dengvaxia) à l’origine de nombreux décès d’enfants ont perdu leur poste, ruiné leur carrière et certains sont en procès pénal.[5] L’immunité du pouvoir n’est jamais garantie. Nos politiques, médecins et ministres actuels qui ont, parait-il, peur des procès ne devraient pas s’exposer aussi imprudemment.

 

Les vaccins anticovid ne sont commercialisés que parce que les dirigeants nient les traitements précoces et que les médias se soumettent à la doxa officielle

Place aux traitements précoces et stop à l’absurdie des injections géniques en essai

L’absurde situation actuelle en France est due à l’entêtement du ministre de la Santé refusant de reconnaitre les traitements précoces efficaces utilisés dans plus de la moitié du monde, et la complicité agressive de journalistes ou éditorialistes.

 

La propagande a remplacé le journalisme

Des journalistes transformés en propagandistes du pouvoir tancent les réfractaires aux pseudovaccins, sans se demander une seconde pourquoi, les soignants et de plus en plus de sportifs de haut niveau refusent cette injection expérimentale qui, compte tenu de leur âge jeune, ne peut leur apporter aucun bénéfice personnel.

Les envolées lyriques d’une avocate sur Cnews chez Pascal Praud le 29 juin 2021 laissent pantois.  « Comment peut-on refuser le vaccin ? » s’égosille -t-elle ? En évaluant objectivement sa balance avantage/risque sa genèse éclair, ses essais bâclés, pas terminés, ses composés, ses effets réels, ses conséquences dont les 16000 morts européens recensés après cette vaccination juste pour avoir fait confiance aux médias serviles. 16000 malheureuses coïncidences ?  Statistiques de l’agence européenne du médicament EUDRAVIGILANCE déjà traitées de complotistes par des lecteurs peu attentifs !

Les pseudo vaccins anticovid ne sont justement pas des vaccins, mais des drogues expérimentales en essai thérapeutique phase 3 et ce au minimum jusqu’en 2023.

Utiliser Pasteur comme caution est lui faire injure.

 

Les soignants savent que ces injections sont en essai

Comment faire grief aux personnels de santé de leur réticence au pseudovaccin Covid et soutenir une obligation qui n’empêche pas ni d’attraper ni de transmettre la maladie, ni les formes graves contrairement à la propagande ?[6] Beaucoup se sont retrouvés en arrêt de travail sans comprendre, puisqu’on leur avait promis que le « vaccin » était testé, efficace et sans danger. La HAS a recommandé d’étaler les vaccinations et de ne pas injecter en même temps tout le personnel d’un même service de service, pour ne pas risquer l’arrêt du service. Et certains en sont morts comme l’interne en médecine de Nantes en parfait état de santé avant sa vaccination qu’il pensait altruiste. Un interne parisien a suivi.

 SOIGNANTS PAS COBAYES

Nous n’avons pas fait médecine ou choisi d’être infirmière, aide-soignante, kinésithérapeutes, orthophonistes ou infirmier auprès des personnes âgées en EHPAD pour servir de cobayes. Et en 2021, les journalistes osent faire la leçon de morale à ceux qui depuis longtemps et malgré la crise covid subissent humiliations et indifférence et la poursuite de la destruction de notre système hospitalier dans l’indifférence des ces même journalistes.

 

LES EFFETS SECONDAIRES SE MULTIPLIENT DANS LE SILENCE DES MEDIAS ET UNE CENSURE FEROCE avec L’INTERDICTION FORMELLE AUX SOIGNANTS DE PARLER

Les statisticiens de Cambridge indiquent dans the Times que la mortalité (infection fatality rate IFR) ne dépasse pas 0.085% des contaminés du COVID19 Autrement dit 99.915 % des personnes contaminés par le coronavirus n’en décèdent pas. Et l’expérience de l’Inde prouve que ce très minime % peut encore être abaissé si on n’interdit pas les traitements efficaces simples peu chers comme l’ivermectine.

Quand Claude Posternak (IFOP) vient dire que 99 % des vaccinés ne décèderont pas du virus, on le croit puisque les non vaccinés   sont déjà dans cette situation sans courir les risques des pseudo vaccins comme cette fille paralysée après vaccination, victime des illusions de ses parents médecins.

Les effets secondaires précoces sont bien là et on en voit monter régulièrement le nombre en consultant les bases de données officielles comme EUDRAVIGILANCE pour l’EMA (agence européenne du médicament) ou le site officiel VAERS pour les effets secondaires américains ou le MHRA pour la Grande-Bretagne. Pourquoi l’ANSM agence française du médicament vient-elle de bloquer la consultation des effets délétères dont les décès sur son site ? Transparence quand tu nous tiens …

 

Pourquoi tant de vanité, d’arrogance, de certitudes et de tant d’incompétence technique ?

Le syndrome des « bons opposants » ne les sauvera pas de la vindicte populaire

Comment ces journalistes ou éditorialistes osent-ils se permettre une opinion tranchée, voire violente, prêchant même la discrimination, pour défendre ces drogues expérimentales dont les premiers résultats des essais phase 3 n’arriveront qu’en 2023 ?

 

Comment la journaliste Apolline de Malherbe [7] ce 30 juin a-t-elle osé traiter les non vaccinés de « brebis galeuses » ? Savait-elle que l’Ivermectine, qui guérit la grande majorité des patients atteints de Covid, est le traitement de la gale ? Humour noir qui gratte un peu…

« Non-vaccinés récalcitrants : notre patience a des limites », Caroline Fourest, le 25/06/2021, Marianne : la médecine s’apprend-elle en moins de 18 mois puisque tous ces journalistes ont des idées bien arrêtées sur ce qui est bien pour le bon peuple incompétent, les sans dents de Hollande, ou les riens de Macron, et même le personnel soignant aussi ignorant probablement.

Un journaliste de BFM passe les bornes et recueille une volée de bois vert sur les RS : « En 2020, sur la Chine endeuillée, il tenait des propos racistes : « Ils enterrent des Pokémons ». Emmanuel Le Chypre, journaliste de BFMTV va plus loin cette fois : « On vous vaccinera de force. Je vous ferai amener par deux policiers au centre de vaccination. Parfaitement. Je suis très sérieux. » Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut ! »

Quelles compétences sur la sécurité et l’efficacité des substances, sur les contrindications éventuelles, la balance bénéfices-risques ? Ces propos sont dignes des pires totalitarismes du passé.  Trop, c’est trop, des internautes l’ont signalé au CSA « pour atteinte à la dignité humaine voire « incitation à la haine, à la violence et à la ségrégation ». Même ses collègues ne tolèrent pas : « à la suite des propos honteux d’Emmanuel Lechypre, je viens de saisir le conseil de déontologie journalistique et de médiation. Notre profession doit impérativement réagir à ce genre de dérive ».[8]

 Une manifestation est prévue le 3 juillet 2021 pour dénoncer cette dérive.

 

 

NI DROITE NI GAUCHE CONTRE LA DICTATURE SANITAIRE

Et les pseudo-polémistes de droite joignent leurs imprécations à celles des ayatollahs de gauche et du ministre Véran.

Elisabeth Lévy rédactrice en chef de Causeur écrit : « pourtant, que les personnels au contact des malades et des personnes fragiles soient vaccinées relève du bon sens. » Son bon sens à elle peut-être, mais pas les données actuelles de la science. O Veran a reconnu officiellement que le vaccin n’empêchait pas les transmissions ni les formes graves (réponse au Conseil d’Etat en mars).

Les journalistes et les autres mercenaires des vendeurs de vaccin prétendent qu’il « n’y a pas assez de Français vaccinés pour atteindre l’immunité collective. » Mais cette immunité collective post vaccinale que les épidémiologistes des plateaux télé nous proposent comme un Graal n’a jamais démontré son existence dans le monde réel pour les drogues anticovid actuelles.

Les dramatiques échecs de Gibraltar (115% de vaccinés) qui a vu les cas et la mortalité exploser depuis la vaccination

et celui des Seychelles confirment qu’il s’agit d’un mirage publicitaire.

Le gouvernement veut « aller chercher les récalcitrants et les oubliés. Des médecins de ville demandent la liste de leurs patients non-vaccinés en oubliant que le respect du secret médical constitue l’un des piliers éthiques de l’art médical. Ils attendent l’autorisation de la CNIL. « Ils l’auront », selon Véran.

Même Régis de Castelnau  » double vacciné » fait la promo des vax anti-covid sur Sud-Radio SANS PRECISER qu’ils sont EXPERIMENTAUX. « Ne comprend pas les réticences des Français. A -t-il lu les rapports d’EudraVigilance ? Lui aussi cautionne qu’on censure tous les experts vaccino-prudents ? »[9].

Et Thomas Porcher, l’économiste de gauche veut « rendre la vie difficile aux non vaccinés » sur les grandes Gueules sur RMC.

Les vrais opposants n’ont pas ou peu la parole sur les ondes qui les censurent férocement et traitent par ailleurs leur seul espace de liberté, le web de complotiste.  Le tour est-il joué ? Pas vraiment.

Droite, Gauche et les extrêmes, tous ensembles pour la dictature sanitaire qu’ils ont soutenus, nous laissant enfermer pour rien, en redemandant parfois plus qu’E Macron n’en imposait[10].

 

LE RESEAU SENTINELLE DEMONTRE QUE L EPIDEMIE EST TERMINEE

D’où relève le bon sens de vacciner pour une maladie disparue du radar du réseau sentinelle ? En semaine 2021s25, le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARSCoV-2 (COVID-19) vus en consultation de medecine générale estime à 0,3 cas pour 100 000 habitants, soit  170 nouveaux cas de COVID-19 en France ( pour 67 millions d’habitants !) ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux continue à diminuer depuis avril 2020

 

 

Rappelons que le risque vital pour les populations de moins de 65 ans est minimal, voire nul en dessous de cinquante ans et il existe depuis le début des traitements efficaces rapidement comme les antibiotiques macrolides avec zinc et vitamines, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui marche chez les Indiens, les Brésiliens et les Mexicains.

Pour « éviter la Peste », on vous donnera un chèque de 150 € ou une place gratuite à un concert ou à un match [11]

Certains organisent la vaccination express à l’entrée d’un match pour obtenir le tampon sur le pass pour avoir le droit d’entrer…. Consentement éclairé, souvenir d’un autre monde ?

 

 Mais si c’était vraiment la peste, vous seriez mort avant d’arriver.

Si la secte covid n’avait pas privée le peuple de son « bon sens », il aurait vite compris la mascarade. On ne soudoie pas un patient pour lui donner un traitement qui peut le guérir, on ne donne pas encore de cadeau pour qu’un malade accepte sa chimiothérapie. On ne donne pas de la chimiothérapie préventive à tous les Français au nom des 500 morts par jour du cancer.

 

La foire aux vaccins

Quelle pression exerce le ministre et/ou les propriétaires des médias pour que les journalistes sortent ainsi de leurs gonds, exposant au grand jour l’énorme marché et le marketing extraordinaire pour vendre ces pseudo vaccins expérimentaux, tous avec le même discours.

  1. Véran parla de peste… Imaginez-vous nécessaire d’organiser des grands rounds de vaccination, des rappels téléphoniques et des lettres de la sécurité sociale, si la Peste était dans nos villes et que nous marchions parmi les cadavres pour sortir de notre maison ?

Les éternelles répétitions sur les ondes des affirmations des vendeurs bateleurs des pseudo vaccins ne leur ont pas donné « la connaissance minimale » pour se faire un avis éclairé ! Peu importe, on répète la leçon marketing.

Typique phénomène de secte dont on aura du mal à sortir et dont une loi d’obligation vaccinale représenterait la caricature extrême, en dépit des lois Kouchner, Huriet, de la déclaration d’Helsinki etc. Aucun pays au monde, même la Chine, Israël ou la Grande-Bretagne n’a été aussi loin dans la folie dictatoriale.

La déclaration des droits de l’homme rappelle que la liberté individuelle est un droit inaliénable et « qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression. »

 MAIS L’ESPOIR RENAIT POUR LES PEUPLES

 Les gouvernants et leurs soutiens ne resteront pas impunis et sentiront le goût du boulet même si la justice est lente.

 Comment la plainte internationale déposée devant la Cour Pénale Internationale   sera- t-elle ressentie par ces gens qui se croient intouchables depuis trop longtemps ?

LE CSAPE COLLECTIF DES SYNDICATS ET ASSOCIATIONS PROFESSIONNELS EUROPEENS [12]  par dépôt Date : 28 juin 2021 Vu les articles 13.c et 15 du Statut de Rome a déposé une plainte dont le PDF joint est à lire en totalité :

« A défaut d’avoir favorisé tout débat en regard de la réalité et d’une abondante littérature scientifique internationale pour n’autoriser sur la scène publique que l’intervention et les avis de professionnels de santé en conflit d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, L’Etat français, par des lois liberticides qui se sont substituées à une véritable politique de santé publique mesurée et adaptée à un virus, a basculé dans un régime totalitaire, voire dictatorial au nom du Covid-19, par une généralisation de l’extorsion au consentement sur le test RT-PCR, sur le « VACCIN », par l’imposition du masque, la contrainte à résidence surveillée, en violation de tous les Traités et codes internationaux. Nous rappelons avec force que l’Etat français ne peut se soustraire au droit international applicable en raison de la situation sanitaire ».

 

Nous y reviendrons rapidement.

  LA PEUR VA CHANGER DE CAMP

PLAINTE_CSAPE-FRA-CRIME_CONTRE_HUMANITE

 

 

 

 

[1] 27 JUIN 2021 HAKIM ARIF

[2] IBA-PRESS-RELEASE-MAY-26-2021.pdf (indianbarassociation.in)

[3] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[4] La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (Convention d’Oviedo). Elle a été signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne Elle est entrée en vigueur le 1er décembre 1999.

[5] REGLEMENTS DE COMPTE AUX PHILIPPINES : responsables poursuivis pour « homicide par imprudence pour avoir facilité l’approbation hâtive du dengvaxia et la mise en place de la campagne scolaire de vaccination »

Les familles manifestent pour obtenir justice, accusent Sanofi d’avoir traité les enfants philippins en cobayes, et accusent les politiques et administratifs de corruption. Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen

[6] O. Veran : ces drogues expérimentales se sont révélées incapables d’empêcher les transmissions (aveu au conseil d’état fin mars).

 

[7] On se rappelle son Interview du pr Raoult auquel elle avait demandé s’il voulait la légion d’Honneur. Manque de chance il était déjà officier. Autrefois les journalistes préparaient leurs dossiers. Un autre monde, un monde d’amateurs comme dit fièrement le Président.

[8] Tweet de Antoine Gavory 30 juin

[9] Twitter

[10] Comme pour l’ouverture des écoles à laquelle Natacha Polony, marine Lepen, les France insoumise entre autres, s’opposaient sans raison scientifique pour le 11 mai 2020 conduisant le ministre à inventer des mesures liberticides à l’école qui ont bousillé l’apprentissage, et le psychisme des enfants.

[11] Mieux vaut répondre à un sondage rémunéré, moins dangereux a priori : Sondage Rémunéré, 150€ de cadeau ! Vous pratiquez une activité artistique (peintures, loisirs créatifs) ?

>> Répondez au sondage : https://bit.ly/3gZY4X8

[12] Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 – Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22

Nous contacter : csape.sg@hotmail.com – site : www.csape.international LEPILLER Patrice Cour pénale internationale Secrétaire général Oude Waalsdorperweg 10, COHEN Raphaël 2597 AK Den Haag, Pays-Bas Directeur juridique Unité des informations et des éléments de preuve Bureau du Procureur Par LRAR internationale n° RK 40 959 466 0 FR Par e. mail à : otp.informationdesk@icc-cpi.int

 

Kinder sind nicht durch covid-19 gefährdet; Ungetestete Impfstoffe injizieren zu wollen, ist kriminell und unnötig.

Seit mehr als einem Jahr träumen Lobbyisten von Pharmaunternehmen davon, der gesamten Weltbevölkerung eine Impfung gegen Covid-19 aufzuerlegen, indem sie Impfpflichten und „geimpfte oder sozial tote“ Erpressungen anwenden.

Und seit mehr als einem Monat greifen sie Kinder an [1], obwohl sie nicht dem Risiko von Covid-19 ausgesetzt sind, dass sie es nicht übertragen und dass es keine Beweise dafür gibt, dass Impfstoffe für sie wirksam und sicher sein können.

Kinder sind von Covid-19 nicht gefährdet und können daher keinen individuellen Nutzen aus der Anti-Covid-19-Impfung ziehen.

Alle berichteten Serien [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] und alle nationalen und internationalen Umfragen bestätigen, dass Covid-19 bei Kindern selten und fast immer gutartig ist und dass sie sind weniger von Covid-19 als von saisonaler Grippe bedroht.

In Frankreich verzeichnete Public Health France seit einem Jahr nur drei Todesfälle, die Covid zugeschrieben werden (alle leiden an chronischen Krankheiten, Krebs oder Immunschwäche), von fast 8 Millionen Kindern und Jugendlichen unter 15 Jahren, an denen die Grippe durchschnittlich abtötet 8 Personen pro Jahr in dieser Altersgruppe.

Die WHO [9] bestätigt, dass Kinder praktisch gefährdet sind:

Dieses winzige Risiko bedeutet, dass von der Impfung bei Kindern kein individueller Nutzen zu erwarten ist, während in den Medien überall über Komplikationen nach der Impfung berichtet wird, die manchmal schwerwiegend bis zum Tod sind.

Kinder sind keine Überträger für die Ausbreitung von Krankheiten; Eine Impfung würde den Verlauf der Epidemie nicht verändern.

Alle berichteten Serien und alle nationalen und internationalen Umfragen zeigen, dass Kinder und Jugendliche keine Übertragungsvektoren sind und nicht von Schulkameraden, sondern in der Regel von Eltern zu Hause infiziert werden.

Mehr als 20 epidemiologische Studien in einem Dutzend Ländern haben hartnäckig nach Kontamination von Kindern unter 15 Jahren gesucht: Keine konnte ein einziges wirklich überzeugendes Beispiel hervorheben.

Die Inserm-Studie [10] ist sehr demonstrativ. Das Kind von Contamines hatte während seiner Krankheit Kontakt zu 172 Personen, darunter 112 Schüler und Lehrer in drei Schulen und einem Skiclub. Er infizierte niemanden, nicht einmal die beiden anderen Kinder seiner Geschwister. Und die von einem Erwachsenen aus Singapur mitgebrachte Infektion blieb auf die Bewohner des Chalets beschränkt.

An der Studie des Instituts Pasteur über Grundschulen in Crépy-en-Valois  [11] nahmen 1.340 Personen teil, darunter 139 Infizierte (81 Erwachsene und 58 Kinder). Unter 510 Schülern aus sechs Grundschulen identifizierten sie drei Kinder aus drei verschiedenen Schulen, die infiziert waren, als die Schulen noch geöffnet waren. Keines dieser drei Kinder infizierte jemanden, egal ob es sich um andere Studenten oder Erwachsene handelte.

Die Coville-Studie [12] der Activ-Gruppe (Klinische und therapeutische Kindervereinigung von Val-de-Marne) unter der Leitung von Professor Robert Cohen, Vizepräsident der Französischen Pädiatrischen Gesellschaft, umfasste 600 Kinder von Geburt an im Alter von 15 Jahren die Schlussfolgerung, dass: „ Ohne eine Geschichte der elterlichen Covid hat das Kind nichts . «  »

In den Niederlanden machen Kinder im Alter von 0 bis 17 Jahren nur 1,3% aller mit Covid-19 gemeldeten Patienten aus, obwohl sie 20,7% der Bevölkerung ausmachen. Nur 0,6% der gemeldeten Krankenhauseinweisungen erfolgten bei Kindern unter 18 Jahren, und es gibt keine Fälle, in denen Kinder an Covid-19 sterben. Eine Haushaltsstudie in den Niederlanden berichtete über Daten zu 116 Kindern im Alter von 1 bis 16 Jahren [13], und vorläufige Ergebnisse zeigten, dass es keine Hinweise darauf gibt, dass Kinder unter 12 Jahren die ersten waren, die in der Familie infiziert waren.

In Irland [14] wurde vor Schließung der Schulen bei 924 Kindern und 101 Erwachsenen, die mit sechs Infizierten in Kontakt standen (drei Kinder, drei Erwachsene), kein Fall von Schulkontamination festgestellt.

In Australien [15]  [16] hatten  9 Schüler und 9 mit SARS-CoV-2 infizierte Mitarbeiter in 15 Schulen engen Kontakt zu insgesamt 735 Schülern und 128 Mitarbeitern. Es wurden nur 2 Sekundärinfektionen identifiziert, keine bei erwachsenen Mitarbeitern. 1 Grundschüler wurde möglicherweise von einem Mitarbeiter infiziert.

In der Schweiz [17] : Von insgesamt 4.310 Patienten mit SARS-CoV-2 waren 40 jünger als 16 Jahre (0,9%). Unter den 111 positiven Familienkontakten der untersuchten Kinder überwogen Mütter (n = 39), gefolgt von Vätern (n = 32), pädiatrischen Geschwistern (n = 23), erwachsenen Geschwistern (n = 8) und Großeltern (n = 7). .

In Finnland kam ein 12-jähriges Kind, das während seiner Krankheit zur Schule ging, mit 121 Menschen in Kontakt und infizierte keine von ihnen.

In Griechenland  [18] ergab die epidemiologische Analyse von 23 Clustern, von denen 109 Personen betroffen waren (66 Erwachsene und 43 Kinder), keinen Fall einer Übertragung von einem Kind.

In Singapur [19] fanden zwei Grundschulen und eine weiterführende Schule Covid-19-Kinder. Keiner der 34 identifizierten Grundschulkontakte wurde positiv getestet. Von den 77 Highschool-Kontakten entwickelten 8 grippeähnliche Symptome, aber keiner von ihnen wurde positiv getestet.

Von den mehr als 11.180 Artikeln zum Thema Kinder und Covid-19, die PubMed am 09.04.2021 aufgelistet hat, und den 1.794 Artikeln, die speziell der möglichen Übertragung durch Kinder gewidmet sind, liefert keiner einen Nachweis über die Übertragung von einem Kind auf ein anderes Kind oder auf einen Erwachsenen in der realen Welt [20] [21] [22] [23] [24] .

Die einzigen Artikel, die diese Möglichkeit erwähnen, basieren auf der Viruslast oder auf Modellen mit falschen Annahmen.

Zugegeben, Kinder in der Schule können krank sein oder positiv getestet werden, aber unter asymptomatischen sind es meistens falsch positive (mehr als 90%) oder alte Infektionen, die sie zu Hause bekommen haben und von denen sie geheilt werden. Schulübertragungen sind möglich, aber alle, die Gegenstand einer ernsthaften epidemiologischen Untersuchung waren, zeigen, dass sie mit erwachsenem Personal verbunden sind.

Da Kinder an der Übertragung der Krankheit unschuldig sind, würde ihre Impfung, selbst wenn sie wirksam wäre, nichts zum Schutz anderer beitragen.

Aktuelle Impfstoffe verhindern nicht die Übertragung von Krankheiten!

In Ländern, die sich für Impfkampagnen einsetzen, werden die Übertragungen fortgesetzt und manchmal sogar erhöht.

So war in den Vereinigten Arabischen Emiraten die Verbreitung des Virus seit der Impfung intensiver

Gleiches Phänomen in Bahrain:

 

Gleiche Entwicklung in Chile

Der Vergleich der Entwicklung der Mortalität in Großbritannien mit und ohne Impfung sowie in unbeschränktem und schlecht geimpftem Schweden legt sogar nahe, dass die Impfung die Übertragung und Mortalität zumindest vorübergehend verschlechtert.

Diese sehr zweifelhafte Wirksamkeit der derzeitigen Impfstoffe zur Verhinderung der Übertragung des Virus wird von der Hohen Gesundheitsbehörde anerkannt und von O. Véran in seinem jüngsten Argument vor dem Staatsrat [25] formalisiert :  » Der Impfstoff verhindert nicht die Übertragung den Virus an Dritte. «  »

Selbst wenn die Kinder ansteckend wären, wäre ihre Impfung daher unwirksam, um andere zu schützen, da Impfstoffe die Übertragung nicht unterbrechen können!

Impfstoffe sind nicht einmal experimentell bei Kindern: Sie wurden noch nicht einmal getestet!

Bei Erwachsenen sind Impfstoffe experimentell, da die Studien nicht vor 2023 abgeschlossen sein werden. Bei Kindern sind sie nicht einmal experimentell, da die Studien bis vor kurzem diejenigen unter 16 Jahren ausschlossen und die erste Studie bei Kindern nach einem Unfall vor der signifikanten Einbeziehung von Meerschweinchen abgebrochen wurde .

Es handelt sich also um ein Medikament, das in ihnen überhaupt nicht getestet wurde und das keine MA erhalten hat, auch wenn es bedingt ist, dass die Impfstoffe Kindern injizieren möchten, die es nicht benötigen!

Um unsere Freiheiten wiederzugewinnen, müssen wir es nur wollen!

Das von Stéphane Dhersin angeregte Argument der Impfung von Kindern, « das  notwendig ist, um unsere Freiheiten wiederzugewinnen « , greift die klassische Erpressung von Impfstoffanwälten auf. Dieses Argument basiert nicht auf wissenschaftlich fundierten Tatsachen, sondern auf gefälschten / falschen mathematischen Prophezeiungen.

Schweden, Weißrussen, Finnen und Niederländer, die noch nie eingesperrt waren, leiden unter einer geringeren Sterblichkeit als wir.

Der Gouverneur von Texas hat am 10. März alle angeblichen Gesundheitsbeschränkungen aufgehoben und seitdem ist die Sterblichkeit zurückgegangen, da sie in Staaten (Michigan, Minnesota) zunimmt, die immer noch sozialen Beschränkungen unterliegen.

In einem kurzen Artikel im Lancet erklären Delfraissy [26] und vier weitere Mitglieder des Wissenschaftlichen Rates, dass wir die Gesundheitspolitik ändern, keine episodischen Einschränkungen mehr anwenden und uns nicht mehr auf Impfungen verlassen müssen, um aus der Krise herauszukommen. Warum hören wir ihnen nicht zu?

Lasst uns keine unnötige Angst mehr haben. Hören wir auf, das psychische Gleichgewicht, die Gesundheit, die Bildung und die berufliche Zukunft unserer jungen Menschen zu zerstören. unsere Wirtschaft.

Und opfern Sie Kinder nicht mit falschen Überzeugungen und Modellen, die nur für Aktionäre von Impfstoffhändlern nützlich sein können.

Kinder haben kein Risiko für Covid-19 und sind keine Vektoren von Covid-19. Der Versuch, ihnen ungetestete Impfstoffe zu injizieren, ist kriminell.

Dr. Gérard Delépine

[1] Antoine Beau Covid: Sollten Kinder geimpft werden, um im September wieder zum normalen Leben zurückzukehren? WISSENSCHAFT

04/07/2021

„Die Impfung von Minderjährigen ist ein potenzieller Hebel für Maßnahmen im Kampf um eine normale Wiederbelebung“, erklärt Jean-Stéphane Dhersin, Modellbauer

[2] Peter Brodin Warum ist COVID-19 bei Kindern so mild? Editorial Acta Pediatrica 24. März 2020

[3] Ji Young Park Erster pädiatrischer Fall der Coronavirus-Krankheit 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020, 23. März; 35 (11)

[4] LiangSua die verschiedenen klinischen Merkmale von Fällen von Koronaviruserkrankungen zwischen Kindern und ihren Familien in China – der Charakter von Kindern mit COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.

[5] Neuartige Coronavirus-Infektion mit Qinxue Shen bei Kindern außerhalb von Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002 / ppul.24762. Online vor dem Druck

[6] Ya-Nan Han et al. Eine vergleichend-deskriptive Analyse der klinischen Merkmale in der mit Coronavirus infizierten Kinder- und Erwachsenenpädiatrie 2019, April 2020

[7] Zhonghua Er Ke Za Zhi für die Pediatric Society und die Chinese Medical Association: Empfehlungen für die Diagnose, Prävention und Kontrolle der neuartigen Coronavirus-Infektion 2019 bei Kindern (erste Zwischenausgabe). 2020; 58: 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics

[8] Haiyan Qiu Klinische und epidemiologische Merkmale von 36 Kindern mit Coronavirus-Krankheit 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: eine Beobachtungskohortenstudie Lancet Infect Dis. 2020 25. März; S1473-3099 (20) 30198-5.

[9] Das WHO-Covid19-Dashboard wurde am 04.09.2021 konsultiert

[10] Kostas DANIS et al. Für Santé Publique France Cluster der Coronavirus-Krankheit 2019 (Covid-19) in den französischen Alpen, 2020 Klinische Infektionskrankheiten Oxford University Press für die Infectious Diseases Society of America.

[11] SARS-CoV-2-Infektion von Fontanet et al. In Grundschulen in Nordfrankreich: Eine retrospektive Kohortenstudie in einem Gebiet mit hoher Transmission medRxiv 2020

[12] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287 []

[13] Gestützt auf Berichte der kommunalen öffentlichen Gesundheitsdienste (GGD)

[14] Heavey L., Casey G., Kelly C. et al. Keine Hinweise auf eine sekundäre Übertragung von COVID-19 von Kindern, die in Irland die Schule besuchen, 2020. Euro Surveill 2020; 25: 2000903

[15] Laut dem australischen Nationalen Zentrum für Immunisierungsforschung und -überwachung https://www.bing.com/search?q=l%E2%80%99Australian+National+Centre+for+Immunisation+Research+and+ Monitoring & Form = QBLH & sp = -1 & pq = & sc = 0-0 & qs = n & sk = & cvid = 4D88315372394AACB2AA964A03900C84

[16] Nationales Zentrum für Immunisierungsforschung und -überwachung. COVID-19 in Schulen – Die NSW-Erfahrung. New South Wales, Australien: Nationales Forschungs- und Überwachungszentrum für Immunisierung

[17] Hildenwall H., Luthander J., Rhedin S. et al. Pädiatrische COVID-19-Aufnahme in einer Region mit offenen Schulen in den ersten zwei Monaten der Pandemie. Acta Paediatr. 2020; 00: 1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432

[18] Helena C. Maltezoua Übertragungsdynamik von SARS-CoV-2 in Familien mit Kindern in Griechenland: eine Studie von 23 Clustern J Med Virol. 2020, 7. August; 10.1002 / jmv.26394. doi: 10.1002 / jmv.26394

[19] Regierungsbehörde von Singapur. COVID-19: Fall in Singapur [Internet]. Singapur, Regierungsbehörde von Singapur. 2020; [Zitiert am 12. März 2020. Verfügbar unter: https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-singapor [

[20] Weiyong Liu et al.: Nachweis von Covid-19 bei Kindern Anfang Januar 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. No. 2020 2. April; 382 (14): 1370 & ndash; 1371

[21] ) Liu Y., Yan LM., Wan L. et al. Virendynamik in leichten und schweren Fällen von COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099 (20) 30232

[22] Hong H., Wang Y., Chung HT., Chen CJ., Klinische Merkmale der neuartigen Coronavirus-Krankheit 2019 (COVID-19) bei Neugeborenen, Säuglingen und Kindern, Pädiatrie und Neonatologie, https://doi.org/10.1016/j. pedneo.2020.03.001.

[23] Wu Z, McGoogan JM. Merkmale und wichtige Lehren aus dem Ausbruch der Coronavirus-Krankheit 2019 (COVID-19) in China: Zusammenfassung eines Berichts über 72.314 Fälle des chinesischen Zentrums für die Kontrolle und Prävention von Krankheiten. JAMA 2020; online veröffentlicht am 24. Februar. DOI: 10.1001 / jama.2020.2648

[24] Jonas F. Ludvigsson-Makroanalyse von Covid 19 bei Kindern. Acta Paediatr. 2020 23. März

[25]   Entscheidung des Staatsrates vom 2. April 2021 Reisebeschränkungen für geimpfte Personen sind gerechtfertigt

[26] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immunevasion Mittel , die wir brauchen einen neuen COVID-19social Vertrag Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468 -2667% 2821% 2900036-0

 

MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL SUR LA COVID19 AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

 

 

Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses, impact horrible sur l’économie mondiale…autodestruction et suicide collectif. Il faut lire l’intégralité de cette lettre au président de la république, et pour les plus courageux ouvrir les liens et articles qui démontrent leurs dires.

 

 

United-Health-Professionals-France.pdf (reseauinternational.net)   IN EXTENSO CLIQUEZ SUR LE LIEN

 

 

Très Urgent : message d’alerte international sur la COVID-19   12 FEVRIER 2021

Mr Emmanuel Macron : Président de la France, Mr Jean Castex : Premier Ministre et Mr Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé,

 EXTRAITS

Nous sommes des professionnels de santé du collectif international : United Health Professionals,

composé de plus de 1,500 membres (y compris des professeurs de médecine, des anesthésistes-réanimateurs et des infectiologues) de différents pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et

d’Océanie et nous avons adressé le 26 Août 2020 aux gouvernements et aux citoyens des pays du monde entier un message d’alerte concernant l’épidémie de COVID. Tout d’abord, commençons par les conclusions du rapport de 2010 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur la gestion de l’épidémie de H1N1 (…)

 

 

 Les conclusions majeures sont les suivantes

« 1-Levez toutes les restrictions : supprimez les mesures illégales, non scientifiques et non sanitaires suivantes : confinement, port du masque obligatoire pour les sujets sains, distanciation sociale d’un ou deux mètres.

Ces mesures folles et stupides sont des hérésies inventées en 2020 qui n’existent ni en médecine ni en santé publique et qui ne reposent sur aucune preuve scientifique.

Ce n’est pas comme ça qu’on gère une épidémie : – « Le monde est devenu fou » en mettant en place les confinements qui « vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus » (Dr Anders Tegnell, épidémiologiste en chef de la Suède, 24 Juin 2020). –

« Le taux de létalité réel semble être à peu près le même que pour la grippe, mais nous n’avons jamais introduit ces mesures drastiques auparavant, lorsque nous avons eu des pandémies de grippe » (Pr Peter Gøtzsche, 1er Décembre 2020). –

 

« La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques… » (Pr Didier Raoult, 24 Juin 2020). –

« L’histoire naturelle du virus [le coronavirus] n’est pas influencée par des mesures sociales [confinement, masques, fermeture des restaurants, couvre-feu, etc.] …Le confinement n’a pas enclenché la décroissance des cas…Quant à la fermeture des restaurants qui avaient mis en place des protocoles sanitaires très stricts…je n’ai, bien entendu, aucun moyen de le défendre…il n’a pas du tout influencé l’épidémie…Le confinement n’a rien changé… » (Pr Philippe Parola, 3 Décembre 2020). –

« Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous » (Professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, 19 Juin 2020). –

 

« Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses…un impact horrible sur l’économie mondiale…Autodestruction et suicide collectif… » (Pr Sucharit Bhakdi, Mars 2020. Il a aussi envoyé, à l’époque, une lettre à la Chancelière Allemande Angela Merkel).

 

Ces mesures tyranniques violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dans ses articles : 3, 5, 9, 12, 13, 17, 18, 20, 26, 27, 28, 30 et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF dans ses articles : 28, 29, 32, 37. –

 

« Lorsque l’État sait le mieux et viole les droits de l’homme, nous sommes sur une voie dangereuse. La pandémie a conduit à la violation des droits fondamentaux de l’homme…Il n’y a pas eu la moindre analyse éthique pour savoir si c’était justifié. Ça ne l’est pas » (Pr Peter Gøtzsche, 4 Décembre 2020)

 

. Obliger des gens non malades à porter des masques est non seulement une hérésie mais c’est aussi nuisible à la santé ainsi qu’à l’écologie et une maltraitance évidente : – « Dictature des masques totalement infondée » (Pr Christian Perronne, 22 Septembre 2020). -3- –

« Le couvre-feu…c’était pendant l’occupation allemande où la milice et la Gestapo venait à la maison. Et maintenant on va avoir la police débarquée à la maison pour voir s’il y a plus de six personnes à table ! C’est quoi ce délire ?! » (Pr Christian Perronne, 15 Octobre 2020). –

 

« Tous les hivers à Paris, les lits de réanimation sont totalement saturés. Nous transférons des patients…tous les hivers, en temps normal » (Pr Bruno Mégarbane, anesthésiste-réanimateur, 27 Septembre 2020)

« Dans aucune des deux vagues…toutes les réanimations n’ont été saturées, c’est faux ! » (Pr Michaël Peyromaure, 18 Janvier 2021)

 

 

.2-Ouvrez l’économie, les écoles, les universités, le transport aérien et les services hospitaliers.

 

3-Ecartez vos experts et vos conseillers qui ont des liens ou des conflits d’intérêts avec les entreprises pharmaceutiques

 

4-Exigez une enquête internationale et indépendante

 

et que les responsables de cette escroquerie soient jugés : Le 1er Octobre 2020, Reiner Fuellmich -un avocat Allemand- annonce qu’un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : « Les mesures anti coronavirus ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par (…) l’OMS doivent être légalement qualifiés de véritables crimes contre l’humanité tel que défini dans la section 7 du code pénal international ».

Il a dit aussi qu’on doit parler d’un « scandale du coronavirus et les responsables doivent être poursuivis pénalement et pour dommages civils ».

 

 

(…) Les effets du confinement « ont été absolument délétères. Ils n’ont pas sauvé les vies qu’ils avaient annoncées pouvoir être capable de sauver…C’est une arme de destruction massive dont on voit les effets sanitaires…sociaux…économiques…qui forment la réelle deuxième vague » (Pr Jean-François Toussaint, 24 Septembre 2020).

 

Emprisonner son peuple est un crime contre l’humanité que même les nazis n’ont pas commis !

 

– « Ce pays vit une erreur dramatique…qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ! …on est en train de mettre le feu à la planète » (Pr Didier Raoult, 27 Octobre 2020).

 

« C’est un grand délire mais qui est instrumentalisé par big pharma et aussi les politiciens…C’est une peur qui est organisée pour des raisons politiques et économiques » (Pr Christian Perronne, 31 Août 2020).

 

– « Il ne s’agit que d’une arnaque mondiale pour générer des profits monstrueux, renflouer les banques et pendant ce temps ruiner les classes moyennes au nom d’une épidémie…rendue destructrice p par des mesures liberticides prétendument sanitaires » (Dr Nicole Delépine, 18 Décembre 2020). –

 

« Nous avons des preuves médicales qu’il s’agit d’une escroquerie » (Dr Heiko Schöning, Juillet 2020).

 

 

5-Ne suivez plus aveuglément les recommandations de l’OMS et exigez qu’elle soit totalement réformée :

 

6-Utilisez les mesures reconnues pour la gestion des épidémies

 

7-Responsabilisez les médias

Ils doivent, par exemple, arrêter de parler du coronavirus.

 

 

 8-Supprimez l’obligation de tests

 

Les gens qui incitent à rendre ces tests obligatoires escroquent les gouvernements et visent uniquement des objectifs économiques. Rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. La grippe infecte chaque année un milliard de personnes, soit beaucoup plus que le SARS-CoV-2, se propage plus rapidement et comporte plus de populations à risque et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages

 

 

 

9-Arrêtez les campagnes de vaccination et refusez l’escroquerie du passeport pseudo-sanitaire qui est en réalité un projet politico-commercial : –

 

« On n’en a aucun besoin [le vaccin] …Tout ça, c’est une histoire purement commerciale » (Pr Christian Perronne, 16 Juin 2020)

 

Le vaccin COVID est « tellement, tellement inutile » (Pr Sucharit Bhakdi, 2 Décembre 2020).

 

– « Je n’ai jamais vu dans l’histoire de la médecine qu’on développe en urgence des vaccins pour vacciner des millions, des milliards d’individus pour un virus qui ne tue plus sauf des personnes à risque qu’on peut identifier, qu’on pourrait traiter…Je n’ai jamais vu un vaccin comme ça sortir du chapeau en deux mois ! Il faut des années ! » (Pr Christian Perronne, 2 Décembre 2020).

 

À la question : « On n’a pas besoin d’un vaccin général pour l’humanité entière avec 0,05% de morts ? », le Pr Christian Perronne a répondu : « C’est une évidence ! ».

 

– Le 30 Novembre 2020 : le Pr Christian Perronne rédige une lettre où il alerte sur le danger des vaccins à base de génie génétique :

 

« Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins », sont des apprentis sorciers et prennent (…) les citoyens du monde pour des cobayes ».

 

 

-Si les gens acceptent le vaccin, ça sera : « une erreur parce qu’on risque d’avoir des effets absolument imprévisibles : par exemple, des cancers…On joue à l’apprenti sorcier totalement… Il ne faut pas que l’homme serve de cobaye, il ne faut pas que les enfants servent de cobayes, c’est absolument non éthique. Il ne faut pas qu’il y ait des morts à cause des vaccins » (Pr Luc Montagnier, Virologue et prix Nobel de médecine, 17 Décembre 2020).

 

-En Suisse, un collectif de 700 médecins et professionnels de la santé a demandé le 15 Janvier 2021 d’interrompre la campagne de vaccination.

 

Le virus est totalement innocent dans ce qui se passe (la pauvreté, les pertes d’emploi, les suicides, les morts, la récession économique, le chômage, etc.) et les vrais coupables sont ceux qui ont poussé le monde à utiliser ces mesures et les gouvernements qui continuent d’appliquer ces mesures malgré les alertes et les avertissements.

 

« La Banque mondiale vient d’estimer que la pandémie de coronavirus a provoqué une augmentation d’environ 100 millions de personnes vivant dans l’extrême pauvreté. Ce n’est pas à cause du COVID-19. C’est à cause des mesures draconiennes que nous avons mises en place »

 

(Pr Peter Gøtzsche, 1 er Décembre 2020). La discordance et la disproportion entre le niveau de dangerosité du virus et l’importance des mesures prises (qui sont en plus totalement hérétiques) sont tellement flagrantes que ça pousse inéluctablement à la conclusion qu’il y a d’autres objectifs derrière. »

 

 

Le collectif insiste pour que le président lise la lettre et annexes de près pour éviter ce qui est arrivé par exemple au gouvernement philippin.

 

« Ne faites pas l’erreur de sous-estimer notre lettre ou de l’ignorer. Voici 2 exemples de ce qui se passe lorsqu’un gouvernement fait cette erreur.

 

Malgré les alertes de plusieurs experts sur le danger du Dengvaxia (vaccin contre la dengue), le gouvernement Philippin a décidé en 2016 de lancer une campagne de vaccination qui s’est terminée, plus tard, par un scandale d’état. En effet, selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades.

 

Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu « un vaccin dangereux » et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination « massive et indiscriminée », dans des conditions déplorables. Ce vaccin s’annonçait pourtant comme un triomphe planétaire. »

 

Le 2e exemple est celui du scandale du vaccin H1N1 qui a été acheté par plusieurs pays malgré les alertes du Dr Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, alerte : « Fausses pandémies ») .Le vaccin a fait, rien qu’en Europe, 1500 victimes de narcolepsie dont 80% d’enfants à tel point que le 24 Novembre 2013, le ministre des Affaires sociales de la Suède, Göran Hägglund, s’est dit prêt à présenter des excuses publiques aux victimes du vaccin contre la grippe A.

 

 

 

Voici les extraits que nous avons choisis de cette lettre au président.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer nos salutations respectueuses. Le collectif international : United Health Professionals

 

 

 

VOILA QUELQUES PISTES DE REFLEXION POUR LE PRESIDENT, nos élus, vos voisins et amis et ennemis qui accepteraient de lire… Diffusons largement.

 

 

 

 

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RETOURNEMENTS DE VESTE ET DESINFORMATION

 

Le règne du mensonge sans vergogne

Alors qu’une partie de la population prend progressivement conscience de l’immense escroquerie des tests PCR avec CT à 40 ou 50, du couvre feu à 18 h et des masques, nous assistons  à une série de retournements de veste inquiétants qui interrogent.

Deux exemples

Le Pr Douste Blazy , ancien ministre avait courageusement et clairement défendu la chloroquine en avril 2020 mais brutalement ne parle plus de traitement, mais prône des camps d’internement pour les testés positifs récalcitrants. Quelle tristesse ? Je ne connais pas l’explication de ces propos honteux et discordants, rumeurs de dossiers compromettants, ou espoir d’un poste mirobolant au gouvernement ou à l’OMS, chacun fera son choix,  mais son image en sort bien ternie. La gloire est fugace et il le sait, mais c’est bien attristant.

Une autre très mauvaise surprise d’un personnage moins célèbre (madame Le Guen)  mais tout de même important aux yeux du public et des médecins, celle du retournement à 180° sur le port des masques chez l’enfant.

Mr Alain Tortosa en est sorti de son silence devant tant de mauvaise foi contre les enfants qu’elle pédiatre est avant tout le reste censé défendre.

 

tortosa20210224-le-guen-masques-vomir (7milliards.fr)

 

Nous vous livrons quelques extraits de sa tribune pour vous donner envie de la lire in extenso

 

Les enfants sont innocents du COVID

 

Notons que les pédiatres jusqu’à une période récente avaient donné des avis raisonnables et raisonnés sur l’absence de danger de contamination par les enfants, en particulier au moment de la reprise des cours en mai 2020. Conformément à toutes les études internationales dont nous avons souvent parlées confirmant TOUTES depuis février 2020 que les enfants ne font jamais de formes graves (sauf de grands malades immunodéprimés) ne contaminent jamais ni les adultes, ni les enfants. Quand ils sont contaminés, ils l’ont toujours été par un adulte confiné ou un très proche au sport par exemple.

 

Rappelons ces évidences confirmées par la littérature internationale revue régulièrement, édictées alors par cette pédiatre renégate aujourd’hui :

« En juin 2021, Mme le Guen (je précise « Mme » et non « docteur » car comment pourrais-je lui
accorder la légitimité de se nommer docteur ou professeur en pédiatrie. Un pédiatre est un médecin
au service des enfants, primum non nocere) était corédactrice d’un texte appelé « Primum non
nocere : tous les enfants doivent retourner dès aujourd’hui en collectivité ! »

Primum non nocere qui veut dire « en premier ne pas nuire ».
Texte dans lequel il était possible de lire notamment :
« Les enfants qui n’ont que très peu été concernés par cette infection sont pourtant aujourd’hui ceux qui font l’objet des mesures les plus coercitives. »
« Aujourd’hui, en dépit des données scientifiques internationales qui s’accumulent et confirment que les enfants sont moins souvent infectés et moins contaminants que les adultes, force est de constater que les enfants, les adolescents et les spécialistes de leur santé physique, psychique et sociale n’ont pas encore été entendus. »
« Quatre semaines après la réouverture progressive des écoles, fixée par le Président de la
République au 11 mai, les conditions d’accueil des enfants en collectivité sont très disparates et
parfois coercitives lorsqu’elles sont appliquées à la lettre, voire conduisent à des maltraitances
institutionnelles »
Le 26 avril, dans un document « Propositions de la société française de pédiatrie et des sociétés de
spécialités pédiatriques pour favoriser le retour des enfants avec maladie chronique dans leur
1 20h00 du 23 février 2021
https://www.france.tv/france-2/journal-20h00/2264029-edition-du-mardi-23-fevrier-2021.html
établissement scolaire2
» il était précisé :
« Le port d’un masque dans les crèches, les écoles maternelles et primaires pour les
enfants sans pathologie sous-jacente grave n’est ni nécessaire, ni souhaitable, ni
raisonnable. En revanche, le port de masque pour les adolescents ainsi que pour les
adultes en charge d’enfants peut être envisagé. »
« De plus, et si l’usage du masque se généralise, la SNP veut attirer l’attention sur le respect des
gestes barrière et le « bon usage du masque chez l’enfant » pour bien signifier que ce n’est pas
d’avoir un masque qui protège, tant que la manière de l’utiliser et de le porter, et le lavage des
mains est tout aussi important. »

 

Alors comment aujourd’hui prétendre que le masque chez l’enfant n’a pas de danger, alors que s’accumulent les données tant sur les conséquences psychologiques majeures que sur l’hypoxie importante chez les petits soumis à un port sectaire du masque, sans échappement de quelques minutes ou laissés gentiment sous le nez. La peur instillée aux enseignants qui ont pourtant la littérature internationale à leur disposition reste incompréhensible, mais en tous cas ils n’ont, pour trop d’entre eux, pas protégé leurs élèves, pas plus que les parents qui ont préféré se soumettre. De nombreuses procédures sont en cours dans lesquelles vous retrouverez tous les inconvénients du masque chez l’enfant, comme le site de Maitre Brusa reaction19fr , mais aussi dans la procédure judiciaire mise en ligne le 23 Février

TR: Procédure judiciaire de Maitre JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire
Date : 23/02/2021 22:44:43 Europe/Paris

Associez-vous à cette procédure   pour la suppression du masque obligatoire !

Tous documents explicites dans l’article du site à télécharger Procédure judiciaire de Maitre JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire

https://docteur.nicoledelepine.fr/procedure-judiciaire-de-maitre-jp-joseph-pour-la-suppression-du-masque-obligatoire/