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Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée.

Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée.

merci à Alain Tortosa de nous autoriser à publier son texte in extenso  que vous pouvez retrouver sur le lien en fin d’article

 

 

 

Si lorsque le résultat d’un problème donne 1/3 et si en cours de math, vous donnez comme résultat
0,3 le professeur de mathématique vous dira que votre résultat est inexact.
Et si en revanche vous donnez 1/3 de litres à votre prof de physique, c’est alors celui-ci qui vous
dira que c’est faux.

La médecine n’est pas une science exacte, elle ne peut se résoudre avec des équations et des modèles mathématiques.
Est-ce inhérent à la discipline, est-ce parce que notre espèce est trop primitive pour comprendre,
est-ce du fait d’un nombre quasi infini de paramètres que nous ne maîtrisons pas…

Toujours est-il que nous en sommes là.

Mais quel rapport avec le Covid ?
(Les décès du Covid chez les moins de 30 ans)
Prenons par exemple la population des moins de 30 ans et regardons les statistiques officielles de
Santé Publique France (1)
.
Nous avons au 28 janvier, 55 personnes décédées depuis le mois de mars, soit 0,0002% des moins
de 30 ans sur deux saisons (2)
.
Voici donc un premier biais manipulateur ou pervers.
Il y a 2 ans, lorsqu’une personne avec le VIH décédait après avoir croisé une grippe, strictement
personne sur la planète n’avait l’idée d’attribuer sa mort à la grippe.
Le moindre rhume aurait pu tout autant lui être fatale !
Mais depuis 2019, une personne avec un cancer en phase terminale testée positive 3 mois
auparavant et qui décède augmentera les statistiques Covid.
Ce qui est tout bonnement inadmissible mais pour autant préconisé par l’OMS (3)  !
Il n’y a donc PAS 55 décès dus au Covid chez les moins de 30 ans en France et sur deux saisons,
mais moins de 8 si on se focalise sur les personnes sans maladies chroniques connues (4)
.
Ce qui nous donne un taux de mortalité de 0,000032% , soit 1 décès pour plus de 3 millions
d’habitants, plus que la ville de Paris !

En tant que mathématicien,  je pourrais vous dire que le risque de décéder du Covid pour une personne en bonne santé de moins de 30 ans est donc de UN sur 3,1 millions.
Mais il y a 1,7 fois plus de décès par an en France de personnes jeunes tuées par la foudre, que de
décès chez les moins de 30 ans en bonne santé (5)  !!!

Ils ont ainsi plus de risque de mourir de la foudre que du Covid !
Je voudrais aussi rajouter quil y a 10 fois plus de jeunes qui décèdent par an en s’étouffant lors d’un
repas que de morts du Covid
.
Si j’affirme en physicien que le risque de mourir du Covid pour une personne de moins de 30 ans en bonne santé, (et même en mauvaise santé d’ailleurs) est NUL alors vous pourrez me rétorquer que c’est mathématiquement et factuellement faux.

J’imagine le titre d’un média décodeur de l’information du Ministère de la Vérité qui dirait
« Vous ne pouvez pas affirmer cela, il y a eu des morts chez les jeunes ! »

Si pour vous détendre, je vous propose maintenant de vous servir une menthe à l’eau mais que je ne
dilue qu’UNE seule goutte de sirop de menthe dans 185 litres d’eau (7) (soit 1 goutte pour environ 750
verres ) et que je vous sers alors un verre de « menthe » …
Qui est le menteur ?
– Celui qui vous dit qu’il y a quand même de la menthe dans votre verre ?
ou
– Celui qui vous dit que c’est de l’eau sans menthe ?
Si pour éviter la critique des pseudos-décodeurs de l’information, nous annonçons que  le risque de
décès est quasi nul pour les moins de 30 ans en bonne santé…
… alors nous induisons dans la tête du public qu’il y a un risque alors qu’il est NUL
C’est exactement de même nature que de laisser entendre qu’il pourrait y avoir de la menthe dans
une eau dépourvue de menthe.
Imaginons donc le Dr Poussa face à un patient de 25 ans en pleine forme qui lui parlerait vaccin et
qui lui demanderait quel danger mortel représente le Covid pour lui.

Si le Dr Poussa lui disait « le risque est quasi nul pour vous » alors son patient pourrait entendre «
quasi » et non « nul » alors même que le risque est plus faible pour lui que de mourir d’un coup de
foudre ou 10 fois plus faible que de s’étouffer en avalant son repas !
Allez-vous lui préconiser de se nourrir en intraveineuse pour éviter ce « risque » de décès en
mangeant alors même que la solution de l’intraveineuse n’est pas sans danger ?!

Mettre en place une thérapeutique pour diminuer un risque nul, ne peut que l’accroître !

Je rajouterai un bref mot sur les moins de 65 ans.
Selon Santé Publique France, moins de 1500 personnes sans problèmes de santé connus, sont
officiellement décédées du Covid depuis le mois de mars, soit 0,003% de la tranche d’âge sur deux
saisons (8)
!
Les moins de 65 ans ont ainsi plus de risque de mourir en tombant dans un escalier que du Covid.
La réalité est donc que l’on ne meurt pas du Covid quand on a moins de 65 ans et que l’on est en
bonne santé !
Cela a été confirmé par les statistiques INSEE sur l’année qui confirment qu’il y a eu moins de décès
dans cette tranche d’âge en 2020 qu’en 2019, c’est bien ce que l’on appelle un risque NUL9 !
Une vérité mathématique statistiquement infinitésimale qui est rapportée est donc de nature à
introduire une contre vérité factuelle.
Ne tombons pas dans ce piège pour éviter la critique de manipulateurs malhonnêtes vendeurs de
peur.

(brefs rappels sur la maladie)
Le Covid participe, en n’étant qu’une des causes, au décès de malades chroniques et de personnes en
fin de vie.
La preuve en est que l’âge médian des décès est de 85 ans (10), soit supérieur à l’espérance de vie.
93% des personnes décédées ont plus de 65 ans.

Je peux statistiquement affirmer que le Covid ne tue pas mais participe au décès.
– Il ne diminue pas statistiquement l’espérance de vie des moins de 65 ans
Et
Il n’entraîne qu’une baisse de surplus d’espérance de vie chez des personnes qui ont
généralement dépassé leur espérance de vie.

 

Parlons maintenant des tests et des fameuses personnes dites « positives ».
Nous sommes confinés, masqués, privés de nos libertés fondamentales uniquement pour rendre
visible une maladie dont nous ignorerions totalement son existence sans les médias…
Sans ce cirque médiatique mortifère, nous ne verrions que des malades chroniques décéder et des
personnes en fin de vie s’éteindre avec « une sale grippe ».
Mais depuis le mois de mars 2020 tout individu en bonne santé est devenu « un tueur en série
potentiel ».
Les autorités ont inventé le « psychopathe asymptomatique tueur froid de grand-parents » âgé de 7
ans !
Cela pourrait faire sourire, si ce n’était si dramatique et maltraitant.

 

Parlons du taux d’incidence, mensonge numéro 1 de mon intervention du jour.

Au 28 janvier.
Le taux d’incidence officiel qui permet de nous assigner à résidence et ainsi de nous priver
de liberté était de 210 pour 100 000 (Nombre de positifs pour 100 000 habitants ) (11)
Ce nombre est un faux car on ne calcule PAS un taux d’incidence par rapport aux nombre de
positifs mais par rapport au nombre de malades symptomatiques.

Plus de 90% des positifs ne sont pas des malades et ne seront pas des malades.
Et donc moins de 10% des positifs sont des symptomatiques, des « malades » ou de futurs
malades, soit environ 21 cas pour 100 000.
La preuve en est donné par le réseau Sentinelles.
Selon lui, le taux d’incidence en semaine 3 est de 15 pour 100 000 habitants
(12) .
Il était de 19 cas pour 100 000 en semaine 2 et de 26 cas pour 100 000 habitants en semaine

1.
Pour la petite histoire, le nombre de cas de Covid ne fait donc que chuter depuis le début de
l’année selon Sentinelles.
Dans le même temps le Bulletin épidémiologique de Santé Publique France ne reprend QUE
les données de surveillance des Infections Respiratoires Aiguës (Covid et autres) qui elles,
sont en hausse depuis le début de l’année.

En résumé Santé Publique France manipule les informations pour faire croire à une
augmentation du taux d’incidence de Covid en ne publiant que les données de
l’ensemble des infections respiratoires, alors que le taux d’incidence de Covid ne fait
que baisser depuis le début de l’année.
Cela voudrait dire que pour les trois premières semaines de janvier ce n’est pas le variant anglais, sud-africains ou de Papouasie du sud qui prend le dessus en France mais des
infections respiratoires autres que le Covid !

 

 

Pour revenir au taux d’incidence de la grippe, on considère qu’il y a un début d’épidémie à
partir de 170 cas pour 100 000 habitants (pic épidémique entre 300 et 500 cas pour 100
000).
Des positifs, ce n’est pas des malades.
Pour la grippe on ne teste pas des personnes asymptomatiques pour compter les cas, on
compte des malades avec des symptômes.

Autre preuve…
Au 3 avril, au pic épidémique, le taux d’incidence officiel était de 51 pour 100 000 alors
même que nous étions au pic des personnes en réanimation (13).
Deux fois plus de personnes en réanimation qu’en ce moment avec un taux d’incidence
quatre fois inférieur !
Pourquoi ? Parce que l’on ne fabriquait pas de faux malades à la pelle, comme aujourd’hui.
On ne testait pas des millions d’asymptomatiques (et on ne testait même pas tous les
malades).
Enfin si les asymptomatiques des semaines précédentes détectés par Santé Publique France
étaient ne serait-ce qu’un peu contaminants ou de futurs malades, cela se traduirait
mathématiquement par une augmentation des cas rapportés par le réseau sentinelles dans les
semaines suivantes, ce que nous ne constatons absolument pas.
Le taux d’incidence de positifs ne fait que croître depuis 3 semaines alors que le taux
d’incidences de cas rapportés par le réseau sentinelle ne fait que baisser.
Donc nous avons un ensemble de preuves « de terrain » que les positifs ne sont ni des
malades, ni des futurs malades, ni des contaminants.
En a t-on alors quelque chose à faire de détecter des positifs ?

 

Bienvenue à Pervers et Manipul’Land !
On nous dit aussi que nous devons renoncer aux droits de l’homme et introduire le délit de bonne
santé officiellement pour ne pas saturer les réanimations.

Les Hospitalisations, mensonge numéro 2 de mon intervention du jour.
Santé Publique France annonce au 29 janvier que 11 155 personnes14 ont été hospitalisées pour
Covid en semaine 3.
Le problème est qu’il n’y a que 4 147 hospitalisations suite à un passage aux urgences !
Où sont passés les 7 000 autres ?
Nous trouvons un début de réponse sur le site gouvernement.fr rubrique nombre de personnes
hospitalisées et la petite note que voici :

« Nombre de patients atteints de Covid 19 actuellement hospitalisés (15). »
Chaque mot ayant son importance, il n’est pas inscrit « hospitalisés pour Covid » mais uniquement
« hospitalisés ».
Nous pouvons trouver une explication de texte sur le document des autorités de santé «

Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie (16) ».

Page 13 :
« En effet, il convient de préciser que l’outil SI-VIC ne permet pas de distinguer les patients
hospitalisés pour des formes graves de Covid, des patients admis à l’hôpital pour d’autres
raisons (opération planifiée, crise d’appendicite, etc.) et qui s’avèrent être également
infectés par le SARS-Cov2. Ces derniers ne représentaient probablement que très peu de cas
au début de l’épidémie, mais leur proportion a pu augmenter par la suite, sans que l’on
puisse quantifier ce phénomène. »

On ne saurait être plus clair…
Une personne qui rentre à l’hôpital pour une opération programmée et qui est testée positive lors de
son admission, et ce sans le moindre symptôme, et sans être transférée dans un service Covid,
entrera dans les statistiques de personnes hospitalisées pour Covid !

Si on ajoute au nombre de personnes transférées des services d’urgence vers une unité Covid, les infections nosocomiales officielles de 0,35% (17) et que l’on considère que 10% (nombre très
pessimiste) des personnes testées positives lors de leur admission seront par la suite hospitalisées
pour Covid déclaré alors…

Les autorités sanitaires assument que des personnes non malades sont considérées comme hospitalisées pour Covid !

Plus de la moitié (56% au moins) des hospitalisations officielles pour Covid sont mensongères.
Nous pouvons déduire que le nombre total de personnes hospitalisées en France pour Covid
en semaine 3 n’était pas de 27 041 mais de 11 836.

 

 

Les Réanimations, mensonge numéro 3 de mon intervention du jour.
Santé Publique France annonce au 29 janvier que 61% des lits de réanimations (18) sont occupés par
des patients Covid.
C’est tout simplement FAUX, un mensonge d’État assumé par celui-ci.

Les données officielles montrent que 16% des lits de soins critiques sont occupés par des patients
Covid.
Pour rappel, les lits de soin critique sont la somme des lits de réanimation, des lits de soins intensifs
et de soins continue (19)… et il y en a plus de 19 000 en France vs 5400 de réanimation.
Santé Publique France n’a JAMAIS, je dis bien JAMAIS, fourni le nombre de personnes en
réanimation pour Covid, seul le nombre de personnes en soin critique est donné par les autorités.

Vous pouvez aller vérifier mes propos sur le site gouvernement.fr pour vous en assurer.
On nous dit donc que nous devons empêcher la propagation du virus pour ralentir les contagions et
de fait que nous devons détecter et isoler les personnes positives pour éviter qu’elles ne contaminent
d’autres personnes.

Tout ça dans le but de ne pas saturer des lits de soin critique qui n’ont JAMAIS été saturés au niveau national… 36% de taux d’occupation selon les données officielles au pic épidémique.
Nous nous préparons donc à une nouvelle augmentation du confinement pour 16% de patients  officiellement en soin critique pour cause de Covid… oui 16%

La contagion chez les personnes jeunes en bonne santé, mensonge numéro 4 de mon
intervention.

Les enfants et les moins de 30 ans en bonne santé ont un risque NUL comme les chiffres officiels le
montrent.
Pourquoi devraient-ils éviter la contamination alors même que leur contamination participe à l’immunité naturelle de masse et protège de fait les personnes en fin de vie ou à risque ?

 

A quoi bon détecter une personne jeune, en bonne santé et sans symptômes ?
A quoi bon isoler une personne jeune à moins que vous ne désiriez contrecarrer la protection des
personnes à risque !

Partons maintenant de l’hypothèse délirante, car factuellement démentie, que le but du
gouvernement serait de protéger les personnes à risque.

Hypothèse folle parce que :
– De 1, il n’y a jamais eu la moindre politique en direction des personnes à risque.
– De 2, quand on confine dans un même lieu des personnes à risque malades et non malades
vous vous attendez à quoi ?
– De 3, quand vous les empêchez de sortir, de voir du monde, leur famille, de prendre l’air,
vous imaginez quoi ?
– De 4, quand vous interdisez ou mettez toutes les barrières possibles pour les traitements
précoces, quel est votre objectif ?
On nous dit pour cela que nous devons porter des masques, nous isoler, nous tester en masse, etc.

Abordons les tests RT-PCR et la prévention des contagions, mensonge numéro 5 de mon
intervention.
Un individu positif au rt-pcr nasopharyngé nous informe-t-il de la présence de virus vivant dans son
organisme ?
Absolument pas.
Le test peut détecter du Sars-Cov2 vivant, des traces de virus « mort » et n’importe quoi si
on pousse trop le nombre de cycles d’amplification.
Le Test-PCR nous informe-t-il sur la charge virale d’une personne ?
Ici encore absolument pas.
Et il demeure évident qu’une personne qui a quasiment aucun virus ne sera pas en capacité
de contaminer qui que ce soit…
Une personne asymptomatique (positive sans symptômes qui ne développera jamais la maladie) ou
une personne pré-symptomatique (positive sans symptômes et qui développera plus tard des
symptômes) est elle contagieuse ?

Une fois de plus, le RT-PCR n’apporte pas la moindre réponse !
Avoir une trace de virus n’est pas prédictif de la possibilité d’être contaminant ou pas.
C’est ainsi que l’on en vient à « confinons toute la population » et au délit de bonne santé.

Nos autorités n’ont pas la possibilité et probablement pas l’intention de déterminer qui est
contagieux ou pas.

Je vous rappelle que si elles reconnaissaient que les asymptomatiques ne sont pas contaminants
alors toutes les mesures liberticides et dictatoriales s’effondreraient !
Plus de masques généralisés, plus de gestes barrières généralisés, plus de confinements généralisés, plus de commerces ou de loisirs fermés… un retour à la normale !

 

De fait, grâce au mythe de l’asymptomatique contaminant, une personne en bonne santé est
devenue, je le répète, un psychopathe potentiel… Nous nageons bien en plein moyen-âge !
Comment une personne asymptomatique, porteuse du virus, virus qui est un virus dont la
transmission est aéroportée ou indirectement par contact (exemple doigt dans la bouche puis sur
une poignée de porte, poignée touchée par une personne négative) pourrait contaminer son voisin si
elle ne tousse pas, ne mouche pas ou ne crache pas ?
Personnellement je n’ai pas besoin d’études en double aveugle pour me dire que cela ne va pas être
facile, facile pour le virus de contaminer le voisin.

Je peux vous affirmer sans risque et sans peur des décodeurs et autre manipulateurs que les
asymptomatiques ou les pré-symptomatiques ne peuvent pas constituer un circuit de contagion
significatif.
Notons au passage que la Suède a des résultats identiques à la France sans confinement, sans
masques et avec des restaurants ouverts.

Si la contamination asymptomatique était significative, la Suède devrait avoir une hécatombe

Et pour ceux qui sont rassurés par des études, celle de Wuhan sur environ 10 millions de personnes
suivies nous confirment bien que les asymptomatiques ne sont PAS (rappelez-vous de l’importance
de ne pas prendre pour réalité ce qui est statistiquement marginal), ne sont PAS contaminants, ce
qui demeure totalement logique et vérifié !
Vous pourriez me rétorquer, et notamment à propos des pré-symptomatiques que ceux-ci pourraient
avoir le virus dans la bouche sans pour autant tousser et cracher et ainsi contaminer autrui …

Pour répondre à cette question…
Est-ce que le test rt-pcr nous apporte une réponse ?
Non…
A l’inverse, une personne avec un rt-pcr négatif est-elle non contaminante ?

Vous n’en avez strictement aucune idée…elle a peut-être contracté le virus en touchant la
poignée de porte du centre où elle se rendait pour faire le test… Peut-être que les centres de
tests sont les plus importants clusters… et il serait alors peu probable que les autorités
communiquent sur le sujet.
Comment savoir si un cas contact devenu malade a été contaminé par le fameux positif
identifié ou par n’importe qui d’autre ? Nous n’en avons strictement aucune idée !

 

Avant de poursuivre ma démonstration, je voudrais vous apporter quelques précisions sur le RT
PCR.
Le RT-PCR peut se faire au fond du nez (nasopharyngé) ou dans la bouche (salivaire)
Le test rt-pcr salivaire n’est pas pratiqué en France, pourquoi ?
Soit disant parce qu’il ferait trop de faux négatifs  (20.)..

Expliquez moi un peu, le gouvernement cherche à fabriquer des positifs pour nous terroriser, nous
masquer, nous vacciner ou il cherche des personnes potentiellement contagieuses ?
Ne serait-ce pas le test nasopharyngé qui ferait des faux positifs et non le test salivaire qui ferait des
faux négatif ?

Comment expliquez-vous que le test salivaire soit valide pour la grippe (21) mais pas pratiqué pour le
Covid ?
Alors même si nous vivons au moyen-âge avec un président du conseil scientifique, SCIEN-TI-FIQUE qui affirme que nous avons à faire à un virus intelligent et diabolique (22)… si si ce n’est pas une
blague…

Pouvez-vous m’expliquer comment une personne positive au RT-PCR nasopharyngé et négative au
même test RT-PCR mais cette fois ci, salivaire, pourrait être contagieuse alors même qu’elle est
asymptomatique, qu’elle ne tousse pas, qu’elle ne mouche pas, qu’elle ne crache pas et, suivez-moi
bien, qu‘il est impossible de détecter la moindre trace de virus dans sa salive ?!
Cela me permet d’affirmer sans le moindre doute que si l’objectif des autorités de santé était de
détecter des personnes potentiellement contagieuses elles généraliseraient le test salivaire aussi bien aussi bien
rt-pcr qu’antigénique… Il y aurait moins de positifs et donc moins de faux-positifs…

Prendre la décision de mettre en œuvre quasi-exclusivement des tests nasopharyngés constitue une
preuve que l’objectif du gouvernement n’est pas la prévention mais la terreur.

Si nous voulions réellement prévenir la saturation des réanimations :
– Nous inviterions les personnes à risque à booster leur système immunitaire et prendre
des traitements préventifs.
– Nous testerions régulièrement les personnes à haut risque avec des tests salivaires et
culture virale si positifs.
– Nous inviterions les personnes à risque à se rendre chez leur médecin des les
premiers symptômes, médecins qui mettraient en place des traitements pour prévenir les
formes graves et avec une surveillance notamment de la saturation en oxygène pour détecter
une évolution défavorable de la maladie.
– Nous arrêterions totalement les tests pour les personnes qui ne sont pas à risque et
asymptomatiques.

Pour résumer :
Je réaffirme que les contaminations des asymptomatiques ou pré-symptomatiques sont nulles et si
elles existent, elles ne peuvent être que marginales.

Nous pourrions en savoir sans doute un peu plus en interdisant les tests nasopharyngés et en les
remplaçant par des tests salivaires.

Parler de risque de contagion asymptomatique est de fait du même ordre que de parler d’un risque
infime de décès pour les moins de 30 ans.
Rendre existant un fait statistiquement nul et non prouvé relève de l’erreur ou de la manipulation.

Le terrain nous confirme que les tests tels qu’ils sont pratiqués se servent qu’à fabriquer de la peur.
Je me répète mais transformer des asymptomatiques en tueurs potentiels n’a pour but que de rendre
visible une épidémie dont nous ignorerions jusqu’à son existence si les médias ne nous avaient pas «
informé ».

Le seul objet est de nous obliger à porter un masque et réduire drastiquement les droits de l’homme.
La manipulation systématique des données, les faire converger dans une seule direction,
promouvoir une vision la plus catastrophique possible et la plus éloignée de la réalité épidémique,
ne peut pas relever du simple hasard mais n’être qu’intentionnelle...

En revanche je ne dispose pas de réponses, disons plus de preuves à la question « qui » (décide) et «
pour quoi » (en deux mots).
Les mesures liberticides imposées ne sont de fait QUE politiques et ne visent en rien la santé des
français.

Alain Tortosa

31 janvier de l’an II de la dictature sanitaire.

https://7milliards.fr/tortosa20210131-asymptomatiques-perversion-chiffres.pdf

1 https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=19&i=covid_hospit_clage10.dc&s=2020-12-
31&t=a01&view=map1
2 Population Insee https://www.insee.fr/fr/statistiques/1892086?sommaire=1912926
3 OMS classification des décès https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-
20200423_FR.pdf
4 Comorbidités. Bulletin épidémiologique. https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
5 Foudre https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2534528-orage-foudre-definition-foudroiementdefinition-que-faire-eviter-risques-danger/
6 Décès de la vie courante http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2017/1/pdf/2017_1_1.pdf
7 Volume goutte eau https://fr.wikipedia.org/wiki/Goutte_(volume)
8 Pourcentage décès sans comorbidités Bulletin épidémiologique.
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
9 Insee décès 2020 https://www.insee.fr/fr/statistiques/4931039?sommaire=4487854
10 Age médian des décès https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
11 Taux d’incidence https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
12 Taux d’incidence réseau sentinelles https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/
13 Taux d’incidence en avril https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
14 Hospitalisations
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/315275/document_file/COVID19_PE_20210128_VF.pdf
15 Patients hospitalisés https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
16 Parcours hospitalier https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dd67.pdf
17 Infections nosocomiales https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
18 Taux occupation lits de réanimation
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/315275/document_file/COVID19_PE_20210128_VF.pdf
19 Patients en soin critique SR/SI/SC https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
20 Test salivaire « Viral Load Kinetics of SARS-CoV-2 Infection in Saliva in Korean Patients: a Prospective Multicenter Comparative Study » https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32776725/
21 Test salivaire grippe Comparison of Nasal and Nasopharyngeal Swabs for Influenza Detection in Adults
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3494547/
22 Virus diabolique https://www.bfmtv.com/sante/jean-francois-delfraissy-on-a-affaire-a-un-virus-diabolique-etbeaucoup-plus-intelligent-qu-on-ne-le-pense_VN-202101240184.htm

Bilan chiffré des confinements en France et à l’international : une catastrophe sanitaire générale

 

Par le dr G Delépine

 

Depuis le début de la crise, le gouvernement impose des mesures contre-productives en santé, aggravant la misère des plus pauvres et ruinant les classes moyennes et les petits commerçants pour faire accepter des médicaments hors de prix et dangereux, des vaccins bâclés et des lois de régression sociale. Il suit en cela fidèlement les prescriptions du conseil sanitaire de l’OMS et de son faux prophète Ferguson[1] qui a d’emblée affirmé qu’il faudrait confiner au moins jusqu’en décembre 2021, ou l’arrivée d’un traitement miracle[2], ou les vaccins sans se préoccuper des conséquences catastrophiques de ses préconisations.

Ceci s’intègre dans le cadre de l’agenda du forum de Davos décidé par l’oligarchie mondialiste dans les mains des milliardaires mondiaux en accord avec les gouvernements liés et actuellement réunis en forum virtuel.

Ce bilan sanitaire est d’autant plus d’actualité que le conseil prétendument scientifique composé de médecins trop proches de l’industrie appellent sur tous les médias à un troisième confinement sans aucune justification médicale, pour raviver le chantage « vous serez astreint à domicile à vie ou vacciné ! »

Dans ce chapitre, nous dresserons le bilan sanitaire des mesures liberticides qui nous ont été imposées. Pour rester le plus factuel possible cette analyse repose principalement sur les données publiées par l’OMS, les agences sanitaires des pays concernés et les organismes internationaux comme l’OCDE, illustrés par des interviews de médecins de terrain.

 

Effets constatés du confinement sur la propagation de l’épidémie

Une étude de l’OCDE sur les confinements de la première vague précise que sur les 31 pays européens étudiés, la moitié (16) ont demandé à leurs citoyens de rester chez eux durant la première vague. Ces confinements plus ou moins souples et plus ou moins obligatoires ont duré 47,5 jours en moyenne. Cinq grands pays ont basé leur politique sanitaire sur le confinement aveugle (sans isoler les malades des autres) de toute leur population : l’Italie, l’Espagne, la Belgique, la France et la Grande-Bretagne. Les plus durs ont été la France et l’Italie avec 55 jours, l’Espagne avec 50 jours et le Royaume-Uni avec 46 jours.

 

A l’opposé les Pays-Bas, la Suède, la Finlande, la Biélorussie ont fait confiance à leurs citoyens en leurs prodiguant des conseils et en les laissant libres de circuler.

L’étude des courbes de progression de la maladie dans les différents pays d’Europe par la recherche des inversions de tendance (break point analysis)[3] montre que le confinement aveugle a été incapable de ralentir la progression de l’épidémie.

En France, le nombre des contaminations n’a diminué qu’en avril, six semaines après le début de l’épidémie, en même temps qu’aux Pays-Bas et en Allemagne, pays qui n’ont pas astreint à domicile leurs populations.

Cette régression spontanée après 6 semaines d’évolution paraît une caractéristique de cette maladie d’après le professeur Ben Israel[4] « C’est comme ça partout dans le monde. Tant dans les pays où ont été prises des mesures de confinement comme l’Italie, que dans les pays qui n’ont pas eu de confinement comme Taiwan ou Singapour. Dans tel ou tel pays, il y a une augmentation jusqu’à la quatrième ou la sixième semaine, et immédiatement après la régression jusqu’à ce qu’elle disparaisse au cours de la huitième semaine.”

 

 Les autorités norvégiennes ont reconnu l’inutilité du confinement

 

La Norvège est fréquemment citée comme preuve de l’efficacité du confinement par ses partisans français, mais ce n’est pas l’avis de l’autorité sanitaire norvégienne qui a publié un rapport dont la conclusion est sans ambiguïté : le virus était déjà en voie de disparition lorsque le verrouillage a été ordonné. Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique précise ainsi [5]  « le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19 car le taux de reproduction effectif était déjà tombé à environ 1,1 lorsque les mesures les plus restrictives ont été mises en œuvre le 12 mars ».

 

 

Impact des confinements à l’international : échec général

 

De nombreuses autres études [6] [7] [8] [9] [10] [11] [12] ont évalué l’effet des mesures coercitives sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a montré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie. C’est le cas de l’étude danoise sur le Nord Jutland [13] de l’étude néo- zélandaise[14], de l’analyse indienne[15], de l’étude des pays d’Europe occidentale[16] et de toutes les études internationales basées sur les faits avérés. Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont celles qui n’analysent pas les faits constatés, mais reposent sur des simulations et des scénarios sans rapport avec la réalité.

 

Pour innocenter les gouvernements qui ont astreint leur population à domicile, on pourrait croire que les pays qui ont confiné policièrement l’ont fait parce que leur situation était plus menaçante au moment où ils en ont pris la décision.

Mais la comparaison des contaminations en Belgique et aux Pays-Bas (pays les plus proches par leurs origines ethniques, leur mode de vie et l’âge moyen de leurs habitants) montre qu’il n’en est rien; avant le confinement belge, le nombre quotidien des contaminations par million d’habitants évoluait de la même manière dans ces deux pays frères; ce n’est que dix jours après le début du confinement belge que le nombre de malades a fortement augmenté en Belgique tandis qu’il progressait sans modification aux Pays-Bas.

 

 

Les raisons de l’augmentation des contaminations par le confinement aveugle sont simples ; le traitement traditionnel des épidémies (l’endiguement-quarantaine) repose sur la séparation des malades des sujets sains ; le confinement aveugle prévoit au contraire de renvoyer les malades sans signes de gravité dans leur famille, et les pensionnaires d ’Ehpad dans leur établissement d’origine favorisant ainsi la contamination de leur entourage.

L’étude récente Comcor[17] sur les lieux de contamination rapporte que le tiers d’entre eux est le foyer familial où l’un des parents a contaminé l’autre ou son/ses enfants confirme cette hypothèse.

 

Le confinement aveugle entraîne une augmentation de la mortalité liée au Covid19.

Les données de l’OMS du 26 janvier 2021[18] prouvent que le confinement aveugle est contre-productif : les pays qui ont confiné policièrement sans isoler réellement les malades sont tous dans le top 5 européen des plus fortes mortalités globales attribuées au Covid19

avec respectivement : Belgique : 1793/Million, Italie : 1245/M, Espagne : 1177/M, Grande-Bretagne : 1443/M, France : 1113/M

contre 790/M pour les Pays-Bas, 117/M en Finlande, 173/M en Biélorussie et 1090/M en Suède. La probabilité qu’une telle distribution des mortalités selon les mesures sanitaires soit due au seul hasard n’est que 0,007[19].

 

 

Ferguson et ses élèves se glorifient de leurs erreurs de prédictions.

De nombreux articles d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle prétendent qu’il aurait sauvé des vies ; il ne s’agit que de propagande totalement mensongère qui repose sur la comparaison entre leurs prévisions très exagérées de mortalité et les mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement des morts virtuelles évitées. Dans un article de Nature, ils prétendent ainsi avoir sauvé 3 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement, sans avoir remarqué que les suédois n’avaient jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai prouvait seulement que leur prévision surestimait par dix le risque réel.

 

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que la technique classique d’endiguement ne pourrait pas ralentir l’épidémie et que si l’Allemagne ne confinait pas elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020. L’Allemagne n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué l’endiguement et ne comptait au 5 mai que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement (qui n’a pas été pratiqué) !

 

Lancetgate et Naturegate

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour affirmer que la chloroquine était dangereuse. Dans ce qui peut s’appeler le Nature Gate, il n’y a pas eu fabrication de données mais refus de regarder la réalité des mesures réellement utilisées pour se glorifier de ses erreurs ; il est étonnant qu’aucun membre du comité de lecture d’une revue de bonne réputation ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique prétendant[20] que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement. Les erreurs de conception, des hypothèses et des conclusions d’un étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques[21]  [22] [23] mais les médias mainstream en ont très peu parlé[24].

 

Le confinement a créé des victimes d’autres pathologies (victimes collatérales)

En France, quelques jours avant le premier confinement, les Agences Régionales de Santé ont activé le plan blanc réservant tous les moyens sanitaires publics et privés aux malades du Covid19 et interdisant entre autres aux chirurgiens d’opérer sauf les extrêmes urgences vitales, en négligeant les malades ordinaires. Elles ont ainsi laissé des pans entiers de nos hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radios empêchés de traiter les malades ordinaires.

Les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance ont des conséquences critiques sur la vie des malades, sans compter l’angoisse générée et leur effet connu sur la diminution des défenses immunitaires.  La notion de traitement « précoce » doit s’évaluer avec le médecin traitant dont on tente de plus en plus à minimiser le rôle pourtant essentiel pour l’adaptation des soins à chaque personne unique.

On peut estimer à 40 000 victimes supplémentaires actuelles et/ou futures par les défauts de soins et regretter le silence de la plupart des politiques et des médias pour ces victimes.

 

Malades urgents d’autres pathologies, déjà morts des confinements

En Ile-de-France, la crise a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé. « Les Franciliens ont eu moins recours aux soins, ce qui peut malheureusement engendrer, pour les cas les plus graves, des décès. » a avoué l’agence régionale de santé d’Ile-de-France

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière a précisé que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer de nouvelles dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Mais comme prétend encore le ministre et comme le répètent toujours en boucle les médias « le confinement permet de sauver des vies » …

Le Monde rapporte le cas d’une Parisienne de 65 ans qui a subi un gros infarctus à son domicile, mais a préféré rester confinée. Sept jours plus tard, elle est conduite à la Pitié-Salpêtrière. Elle meurt d’une « rupture cardiaque ».

Une étude de l’Inserm menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

En Grande-Bretagne, une étude portant sur neuf hôpitaux a constaté que durant le confinement le nombre total d’admissions et de fréquentation aux urgences a diminué de 57,9% par rapport à l’année précédente. L’activité pour les affections cardiaques, cérébro-vasculaires et autres affections vasculaires a chuté de 31% à 88% après le verrouillage, avec les plus fortes réductions observées pour les pontages coronariens, l’endartériectomie carotidienne, la réparation de l’anévrisme de l’aorte et la maladie artérielle périphérique.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

Pourquoi les prévisions de Ferguson et les décisions des gouvernements obéissants n’ont-elles pas prévu ces morts indirectes bien réelles pour ne s’intéresser qu’aux morts Covid virtuelles imaginés par des simulations mathématiques fausses ?

 

 

Malades chroniques abandonnés à cause du plan blanc

 

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale.  La télémédecine tant vantée par les énarques désincarnés ne peut remplacer le contact humain direct avec le malade. Des patients fragiles, angoissés, désespérés, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les traitements des cancéreux ont été désorganisés par les injonctions des ARS[25]. Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation.  Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure sans précision sur une éventuelle reconvocation. C’est l’ARS qui a bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et possiblement remplacées par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Raisonnement médical perdu, médecins transformés en robots devant obéir à des administratifs sous la surveillance inquisitoriale des agences régionales de santé, petites dictatures locales contre lesquelles il n’existe aucune voie de recours. Il semble bien que cela a recommencé lors des autres confinements puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre le plan blanc alors que le nombre de morts attribués au Covid est très inférieur à celui de mars.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies : cardiologie, neurologie, endocrinologie, rhumatologie, insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs dizaines de milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de prévoir précisément leur nombre car évidemment cela va se compter sur des années.

 

Malades nouveaux diagnostiqués et traités avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants : même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

En cardiologie, au Danemark une baisse de 47% des nouveaux cas de fibrillation auriculaire a été observée. De même, le nombre de patients hospitalisés avec une aggravation de l’insuffisance cardiaque ou un diagnostic de nouvelle apparition a été nettement réduit après le confinement soulevant « des inquiétudes quant à un sous-traitement potentiel de l’IC actuellement qui pourrait avoir un impact sur le pronostic à long terme ».

 

 Le drame des cancéreux

En cancérologie en France, 380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le premier plan blanc[26] 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard) dans son communiqué du 15 Mai 2020 : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Durant le confinement, ce chiffre semble être descendu de moitié. En cancérologie l’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne : « pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

Les auteurs de l’étude estiment à près de 10000 morts les conséquences prévisibles des retards de diagnostic pour les seuls cancers du sein et du colon.

Les dermatologues espagnols ont constaté : « en l’absence de diagnostic et de traitement adéquats du carcinome et du mélanome, la survie spécifique à la maladie à 2, 5 et 10 ans chez les patients dont la chirurgie a été retardée de 3 mois a diminué de 6,2%, 8,2% et 5,2%, respectivement ».

Au Royaume-Uni, the Centers for Disease Control and Prevention estiment que, « du fait du confinement, une augmentation de mortalité de 20% des nouveaux cancers est à craindre. »

Une autre étude britannique estime à 59 204 – 63 229 ans le nombre d’années de vie perdues pour les seuls cancers colo-rectaux, du sein, de l’œsophage et du poumon en raison des retards de diagnostic dus au confinement.

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer”, explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès.”

Si on fait la somme des morts en excès toutes pathologies or Covid confondues, le bilan mortifère des retards diagnostiques s’élève actuellement pour la France à plus de 40000 morts à venir. Cette estimation ne constitue qu’un minima

 

L’hécatombe programmée de nos ainés

Le confinement avait pour premier prétexte de protéger particulièrement nos ainés, mais dix mois de mesure sanitaires inventées de toutes pièces sans fondement scientifiques ont abouti à une hécatombe sans précédent.

Pour les vieillards, pensionnaires des EHPAD, la solitude complète imposée par le confinement les a conduits au « syndrome de glissement » et à la mort, presque aussi sûrement que le virus. Quelle ineptie et quelle honte de leur interdire les visites de leurs proches, alors que leurs soignants sortent chaque jour et prennent des transports publics bondés et reviennent un jour ou l’autre porteurs du virus qu’ils propagent à leur insu car scandaleusement peu protégés. Et que dire de l’interruption des rééducations en particulier pour dysphagie nécessaires à beaucoup des pensionnaires ?

Et que penser de la note du ministère aux directeurs d’EHPAD précisant clairement que les personnes âgées malades ou susceptibles de l’être ne doivent en aucun cas être adressées aux urgences, car elles ne seront ni hospitalisées, ni traitées, ni réanimées. Précisons qu’il s’agit de critères d’âge, sans tenir aucun compte de l’état physique et intellectuel des résidents. Nous connaissons tous de beaux vieillards de plus de 90 ans et des « très vieux » de 70 ans ou moins.  Les médecins ont toujours pesé ces éléments du temps où ils pouvaient exercer leur vocation selon Hippocrate, et non sous l’autorité dictatoriale de bureaucrates interdisant d’hospitaliser les infectés de plus de 70-75 ans « afin qu’ils ne puissent pas occuper inutilement les lits de réanimation ». Les nazis à la descente du train de déportés triaient selon l’âge physiologique. Pas nos bureaucrates. Les plus de 70 ans infectés sont renvoyés dans leurs EHPAD ou faute de possibilité d’isolement réel, de traitement, de personnel et de matériel de protection, ils contaminent leurs compagnons d’infortune sans même pouvoir dire adieu à leurs familles. Et pour tout traitement le ministre propose le Rivotril censé leur adoucir la mort. Nos technocrates auraient-ils imaginé un début de solution au financement des retraites par le génocide des plus vieux retraités, suivant ainsi les conseils de J. Attali, mentor du président ?

Les récits dramatiques se succèdent sur les réseaux sociaux. Couples déchirés dans leurs derniers moments, enfants qui ne reverront jamais leur mère, soignants qui veillent depuis des mois ou années sur des vieillards et les voient brutalement contaminés, refusés d’hôpital, interdits de réanimation, privés de traitement, abandonnés à la mort sans personne pour leur tenir la main puis jetés au tombeau en catimini, sans accompagnement, les familles recevant des contraventions s’ils se retrouvent pour les accompagner au cimetière. Avec l’épidémie de décès dans les EHPADs, les proches risquent même la prison pour récidive d’infraction (présence aux enterrements), en attendant peut-être qu’on les condamne à mort comme l’Antigone de Sophocle, emmurée vivante pour avoir bravé l’interdiction royale d’enterrer son frère. Eternel combat de la morale qui définit notre humanité contre des lois tyranniques injustifiés.

 

Les victimes de pathologies psychiatriques

Le nombre de victimes de maladies organiques du confinement doit être complété par les conséquences des confinements sur les pathologies psychiatriques en traitement, les nouveaux malades psychiques, et les futurs suicides liés entre autres à la crise économique.

Les complications psychiques des personnes saines confinées sont nombreuses et bien connues : dépressions qui persistent dans plus d’un tiers des cas de nombreux mois après sa levée, stress post-traumatique durable, obésité, drames familiaux, divorces, retard scolaire, addiction renforcée à l’alcool aux drogues ou aux écrans. Les complications médicales et sociales de cette mesure moyenâgeuse inefficace, sont avérées et souvent catastrophiques.

Tous les confinés interrogés décrivent un sentiment d’isolement et le manque de contacts sociaux. L’absence de tout contact physique avec les membres de la famille et amis confinés ailleurs, est particulièrement mal vécu surtout lorsque le confinement aveugle est prolongé.

Certains groupes de personnes sont encore plus à risques. Enfants placés, qui se retrouvent encore plus seuls avec la moitié des encadrants absents. Femmes et/ou enfants victimes de violence familiales confinées avec leurs bourreaux eux-mêmes agacés par l’absence de sortie et paniqués par le Covid19. Prisonniers et malades des hôpitaux psychiatriques privés de visites facilitants le syndrome de glissement.

Mais plus généralement les enfants ainsi que le rappellent[27] des professionnels en psychologie, psychanalyse, pédiatrie et pédopsychiatrie qui : « relèvent de graves perturbations dans le vivre-ensemble et la socialisation, la survenue de nouvelles maltraitances au sein des établissements, une condamnation de la tendresse, de l’empathie et un interdit implicite à l’altérité, une entrave au développement relationnel, psychomoteur ainsi que des régressions dans les apprentissages, une fragilisation majeure de l’autorité bienveillante/contenante et de la posture parentale, une perte de repères structurants et des discours paradoxaux. Le tableau clinique conclut à une souffrance psychique croissante chez les enfants, risquant d’entraîner une explosion de troubles psychiques graves et de passages à l’acte suicidaires. »

Les adolescents privés de leurs premières amours sont complètement déprimés, le téléphone et même Skype et/ou face time, Instagram ou WhatsApp ne pouvant en rien remplacer l’intimité qu’ils commençaient à découvrir. Même leur école et leurs professeurs en chair et en os qu’ils critiquaient souvent leur manquent cruellement. Les adolescents sportifs de haut niveau sont particulièrement menacés car ils ont été privés des entraînements et des compétitions nationales permettant de sélectionner nos futurs champions afin de mieux les préparer aux épreuves internationales proches.

Accouchées et nouveaux nés privées de la visite de leurs proches dans une période pourtant anxiogène pour ces jeunes femmes particulièrement en période de psychose publique organisée.

 

 

L’aggravation de la famine par les confinements tue les enfants

 

Le Covid19 ne tue pas les enfants, mais la famine consécutive aux confinements les menace directement[28].

La famine est déjà réapparue en France[29] [30]. Le secours populaire, le secours catholique et les restos du cœur sont débordés, et on lit de plus en plus de témoignages de mamans : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

C’est aussi le cas en Italie[31] où les enfants affamés italiens à la suite de la politique italienne délétère à l’origine d’un nombre de morts directs des plus élevés mais également de morts indirectes très élevées.

Dans les pays pauvres, d’après les responsables de l’ONU[32], de l’Oxcam[33] et du programme alimentaire mondial contre la faim[34], l’aggravation de la famine risque d’entraîner plus d’une centaine de millions de morts.

 

Les principales fautes de notre politique sanitaire

Le comité prétendument scientifique et notre premier ministre suivent l’exemple de Ferguson et ses élèves et continuent de se glorifier de leur politique sanitaire malgré les résultats catastrophique sur la mortalité attribuée au Covid19. Ce déni permanent de la réalité est très inquiétant pour l’avenir car comme le disait A. Einstein : « ce n’est pas avec ceux qui ont créé les problèmes qu’il faut espérer les résoudre ». Rappelons la liste de leurs autres principales erreurs :

-Ils ont cru un mathématicien-prophète prônant le confinement aveugle sans évaluer ses conséquences au lieu d’utiliser la technique médicale éprouvée d’endiguement-quarantaine.

-Ils ont créé un comité prétendument scientifique en réunissant les personnes les plus liées aux firmes pharmaceutiques dont peu de cliniciens, et lui ont accordé un pouvoir discrétionnaire sur nos libertés.

-Ils ont interdit aux médecins de ville de traiter les malades comme ils le jugeait utile : interdiction de la chloroquine, puis interdiction de l’azithromycine et même de l’ivermectine récemment.

-Ils ont interdit l’admission des vieillards en réanimation, puis à l’hôpital puis aux urgences pour les renvoyer sans traitement dans leurs Ephads d’origine

-Ils ont conseillé d’euthanasier par Rivotril sans leur consentement les vieux simplement suspects de Covid19 (les tests leur étant refusés)

-Ils ont discrédité les médecins opposés à leurs mesures infondées, rétabli le délit d’opinion pour les médecins par un décret du 22 décembre 2020, et font poursuivre par le conseil de l’ordre les donneurs d’alerte.

Pourquoi devrions-nous attendre la fin de l’épidémie pour réagir ?

C’est maintenant que nous devons nous soulever pour stopper cette monstruosité, ce génocide de nos ainés qui se poursuit dans les EHPADs, et de nos jeunes isolés, privés de ce qui fait le sel de la vie, les contacts avec les autres humains.

Que chacun d’entre nous joigne le maximum d’élus, maires, conseillers régionaux et députés, sénateurs pour qu’ils transmettent au gouvernement la réalité des chiffres, montrant que le confinement aveugle général s’accompagne de beaucoup plus de morts que l’isolement ciblé des malades et de leurs contacts.

Les mesures sanitaires ont tué plus de français qu’elles n’auraient pu en sauver et sont responsables de notre rang de 5ème européen des plus fortes mortalités Covid19. Elles vont en tuer davantage dans les mois et années qui viennent.

Et ils veulent nous reconfiner !

 

Stop à toutes ces mesures sanitaires sans justification scientifiques. Liberté.

 

[1] Celui qui avait prédit 70000 morts en Suède et 100000 aux Pays-Bas s’ils ne confinaient pas qui, sans confinement, n’en comptent au 5/1/21 respectivement 8727 et 11612

[2] Mais l’opération « tous pour le Remdesevir » soutenue par les médecins liés à Gilead, le conseil prétendument scientifique et le directeur de l’AP-HP Martin Hirsch a piteusement échouée faisant reporter tous leurs efforts sur la promotion des vaccins

[3] Très utilisée en économie et en cancérologie

[4] Professeur Ben-Israel « Je propose que nous mettions fin aux confinements immédiatement…”

interview à Israel National News 16 avril 2020

[5] Norvège : “le confinement n’était pas nécessaire contre le coronavirus” 29 mai 2020 Strategika

[6] Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir, Justyna Bartoszko, Sheila Riazi Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions gouvernementales, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[7] Christof Kuhbandner, Stefan Homburg, Harald Walach, Stefan Hockertz. « Le verrouillage de la couronne allemande était-il nécessaire ? » Sage Preprint, 23 juin 2020.

[8]Simon N. Wood. Les infections au COVID-19 ont-elles diminué avant le verrouillage du Royaume-Uni ?  Pré-impression de l’Université Cornell, 8 août 2020.

[9]Stefan Homburg et Christof Kuhbandner Commentaire sur Flaxman et al. (2020) : Les effets illusoires des interventions non pharmaceutiques sur le COVID-19 en Europe » par. 17 juin 2020. Advance, Sage Pre-Print

[10] Ben Israel Analyse de la transmission du virus par le professeur. 16 avril 202

[11] Paul Raymond Hunter, Felipe Colon-Gonzalez, Julii Suzanne Brainard, Steve Rushton « Impact des interventions non pharmaceutiques contre le COVID-19 en Europe : une étude quasi expérimentale ». MedRxiv Pre-Print 1er mai 2020

[12] « Lockdown and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins » par Surjit S Bhalla, directeur exécutif pour l’Inde du Fonds monétaire international

[13] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.12.28.20248936v1.full.pdf

[14] John Gibson Government mandated lockdowns do not reduce Covid-19 deaths : implications for evaluation the stringent New Zealand response 18 Aug 2020, https://doi.org/10.1080/00779954.2020.1844786 « Les verrouillages imposés par le gouvernement ne réduisent pas le nombre de décès liés au Covid-19 : implications pour l’évaluation de la réponse rigoureuse de la Nouvelle-Zélande »

[15] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins Nov 1, 2020 http://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[16] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident

impacts on the COVID-19 epidemic. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

 

[17] https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/etude-comcor-lieux-contamination-au-sars-cov-2-ou-francais-s-infectent-ils

[18] https://covid19.who.int/

[19] Calcul direct des probabilités

[20] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).

[21] Eric Le Bourg, Quentin de Larochelambert, Jean-François Toussaint Etude critique d’une modélisation des effets du confinement Journal International de médecine 2 mai 2020

[22] Aurélie Haroche Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie, Journal International de Médecine, 25 avril 2020

[23]Gilles Pech de Laclause 1 Arnaud Delenda Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »

[24] Roland Salmon : https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/04/08/roland-salmon-les-donnees-pour-soutenir-la-politique-du-confinement-font-defaut_6035949_3232.html

[25] Agences régionales de santé

[26][26] Interdiction pour les chirurgiens publics ou privés d’opérer les malades non urgents, l’urgence étant décidée par l’ARS et non le chirurgien ou son malade, décret d’Edouard Philippe début mars 2020

[27] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/impacts-traumatiques-de-la-politique-sanitaire-actuelle-sur-les-enfants-un-constat

[28] France culture La faim plus dangereuse que le coronavirus ? 01/05/2020 https://www.franceculture.fr/emissions/radiographies-du-coronavirus/la-faim-plus-dangereuse-que-le-coronavirus

[29] D’après le canard enchaîné Georges-François Leclerc, préfet de Seine-Saint-Denis aurait écrit : « Je redoute des émeutes de la faim. Nous comptons entre 15.000 et 20.000 personnes qui, entre les bidonvilles, les hébergements d’urgence et les foyers de travailleurs migrants vont avoir du mal à se nourrir ».

[30] « Dans mon frigo, il y a de l’eau, du jus d’orange et deux yaourts », a ainsi témoigné Viviane, habitante de Stains, sur France bleu.

[31] Sara Rosenbaum et AFP Coronavirus en Italie : 700.000 enfants en difficulté alimentaire RTL  10/5/2020 https://www.rtl.fr/actu/international/coronavirus-en-italie-700-000-enfants-en-difficulte-alimentaire-7800498903

[32]  » Tiphaine Walton, porte-parole du Programme alimentaire mondial de l’ONU : » Ce qui nous inquiète, c’est la récession économique qui va être engendrée par le coronavirus. On estime qu’il y a plus de personnes qui vont mourir à cause de cette récession qu’à cause du virus en lui-même »

[33] Oxfam, Le nombre de personnes menacées de famine en Afrique de l’Ouest pourrait quasi tripler en trois mois et concerner 50 millions de personnes en août, mardi 21 avril.

[34] Margot van der Velden, directrice du bureau des urgences du PAM :« Lorsque nous déclarons une famine, cela signifie que de nombreuses vies ont déjà été perdues. Si nous attendons d’être sûrs qu’elle soit là, des personnes ont déjà perdu la vie »,

Les jeunes ne sont pas sacrifiés pour les vieux, mais pour la finance mondiale

 

 

Il y a une chose plus forte que toutes les armées du monde, c’est une idée dont le temps est venu.
– Victor Hugo

 

La dernière version de la propagande médiatique qui envahit les esprits même cultivés et intelligents serait que la génération des jeunes est sacrifiée pour sauver les boomers. Comment ont-ils réussi à intégrer dans leurs jeunes cerveaux ce mensonge monstrueux alors que le virus étant trop faible, il a fallu une grande ration de Rivotril pour euthanasier les vieux en Ehpad en cachette pendant que les visites étant interdites.

Il faut rester simple : exiger suppression de toutes mesures, qui ne sont que supercheries

Toutes les mesures sanitaires sont injustifiées et doivent être supprimées maintenant pour tous. Elles reposent sur l’illusion d’une pandémie, alors qu’il n’y a eu qu’une sorte de grippe habituelle en morbidité avec une mortalité inférieure à celle de la grippe asiatique. La supercherie actuelle vient du test PCR imposé par Merkel via son biologiste préféré, Drosten qui a déposé un article le 20 Janvier 2020, accepté le lendemain et déclaré méthode de référence par l’Oms le surlendemain. Une décision mondialiste, à la suite des accords du conseil mondial de l’OMS signés par 194 pays en 2017.
Enfin après de longs mois de dénonciations de l’absence de fiabilité de ce test pour évaluer la pseudo épidémie de covid, la fraude est avérée et affirmée par une plus de 20 scientifiques qui demande la rétractation de l’article de Drosten et l’abandon de ce test pour évaluer l’épidémie éventuelle. Des procès sont en cours en Allemagne, sous la direction de l’avocat Reiner Fuellmich.

 

 

Les enfants et les jeunes sont innocents du covid : laissez-les vivre

Les jeunes ne sont absolument pas responsables de cette épidémie factice. Les mettre en cause en leur mentant gravement, pour une soi-disant protection des sujets âgés est une honte absolue comme la publicité récurrente sur les tv de ces petits enfants qui contaminent leur grand-mère qui va mourir. Rappelons que les enfants ne sont pas contagieux et exceptionnellement malades et ne contaminent JAMAIS ni adultes ni autres enfants, comme l’expérience des Contamines l’a démontré en France. L’enfant contaminé par un adulte de Singapour n’a contaminé aucune des 172 personnes qu’il a côtoyées, même pas sa fratrie et l’épidémie n’a pas franchit les murs de son chalet
Aucune mesure actuelle comme la fermeture des lieux de culture, des bars des restaurants, des discothèques, des salles de sport, des piscines et plus largement de TOUS LES ESPACES DE VIE DES JEUNES ET MOINS JEUNES N’A D’INTERET SANITAIRE. Il faut exiger leur ouverture immédiate par pression sur les gouvernements qui obéissent aux mêmes ordres de l’OMS et Davos .

 

Les faillites sont programmées de même que les confinements successifs

L’épidémie n’est qu’un prétexte pour une vaste mise en condition de la population pour imposer des faillites en série (les restaurants et bars devront avoir fermé à 75 % en juin selon le président klaus Schwab du forum international économique de Davos , et régénérer la finance internationale comme lors des deux guerres mondiales initiées par les mêmes groupes de milliardaires.
Rien à voir avec un virus, la grand-mère et le chaperon rouge. Tout cela est mystification qui apparait de plus en plus au grand jour car les inspirateurs de ce projet funeste comme Gates, Attali et autres s’en sont vantés trop vite, espérant avoir réussi leur coup. Le virus qui devait nous faire peur s’est vite tassé et surtout le pr Raoult a vite démontré l’efficacité de l’hydroxychloroquine et de nombreux pays africains ont décidé de ne pas obéir à l’OMS et utilisé les antipaludéens qui ont stoppé l’épidémie dans ces pays. Les petits cailloux dans la chaussure.

 

Les vieux n’ont aucunement été protégés pendant cette année par les gouvernements
Arriver à faire croire aux jeunes et moins jeunes que nous sommes dans cette privation de liberté pour protéger les ainés est une prouesse de communication des gouvernements mondialistes et des médias complaisantes dont la propagande est fort efficace.

 

De fait, malgré l’efficacité du traitement précoce qui aurait évité la grande majorité des hospitalisations, le traitement par hydroxychloroquine a rapidement été calomnié, puis interdit. Les malades ont été invités à rester chez eux avec pour seul traitement le toxique du foie, le fameux Doliprane, puis refusés d’hospitalisation s’ils étaient jugés trop vieux. Le décret signé Edouard Philippe et Véran fin mars a donné injonction aux médecins des Ehpad et d’hospitalisation à domicile de « soulager » rapidement les patients SUSPECTS de covid (et non démontrés covid) par injection létale de Rivotril, soit de les euthanasier sans témoins, les visites étant interdites sous prétexte de limiter la transmission de ce virus ; transmission qui aurait pu être évitée par hydroxychloroquine mais aussi antibiotiques et vitamines C, D et zinc. Des malades ainés ou handicapés ont été privés de leurs bouteilles d’oxygène qu’ils avaient à domicile et dans certains Ehpad la distribution de vitamine D stoppée. Comme quoi ils savaient.

 

La force de la communication mensongère.

Non les jeunes ne sont pas sacrifiés pour les ainés qu’on pousse au contraire dans la tombe

Comme arrivent-ils à faire se disputer des familles pour savoir si on sauve la vie du grand père au prix des grandes frustrations de plus jeunes, alors que le pouvoir a refusé de soigner ces ainés, et pire encore les a maltraités, au sens juridique du terme, en leur refusant la seule chose à laquelle ils tiennent, leurs relations avec leurs enfants et petits-enfants.
Loin d’occuper des lits qu’on leur refusait (et au passage le plus souvent vides) ils se sont ratatinés sur eux-mêmes privés de leur dose de tendresse indispensable à la vie. Ils se sont laissé mourir bien souvent de désespoir, lassitude de l’attente et de l’incompréhension (se croyant de fait abandonnés par leurs proches). Ces syndromes de glissement menant à la mort seule, non accompagnée ni pendant l’agonie, ni aux obsèques ont bien arrangés les statistiques puisque le plus généralement notés covid selon de multiples témoignages.

 

Alors les jeunes, ouvrez les yeux ! NE VOUS LAISSEZ PAS MANIPULER

Les confinements que vous avez suivis trop sagement ne sont que conditionnement à l’obéissance comme le masque démontré inutile et fort toxique ; il est temps de réagir.
Croire que quelques babyboomers vous sacrifient pour durer est une erreur. Effectivement l’élite mondialiste qui veut la ruine des classes moyennes tous âges confondus comprend des anciens qui ne décollent pas des plateaux télé , mais des jeunes tout autant, les young leaders sélectionnés par les banques et le Bilderberg. Et n’oubliez pas qui tient les manettes dans notre pays, le Président et son âge est 42 ans, pas vraiment le prototype du baby boomer.

Et rappelons une nouvelle fois : « « Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste » avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931. »

 

reinfocovid https://youtu.be/5tPbuiXsfhE

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 La crise est politique et non sanitaire Suicide collectif par soumission au test PCR trompeur

 La crise est politique et non sanitaire. Suicide collectif par soumission au test PCR trompeur

 

 

LE TEST PCR « OUI OU NON AVANT NOEL » !  Les consignes du ministre pour Noel !

Cela fait des semaines que les avocats allemands, portugais, américains ainsi que des groupes nombreux de médecins et scientifiques de très nombreux pays avertissent sur le caractère fallacieux des tests PCR de Drosten mis sur le marché du covid en janvier 2020 par les autorités soumises à l’OMS.

Depuis cette date, les 194 pays ayant signé en 2017, l’accord du conseil mondial de l’OMS, suivent, sauf exception résistante comme la Suède, les consignes de ce conseil qui se déclarent supérieures aux traités nationaux et internationaux en cas de pandémie. L’OMS a déclaré le covid pandémie (en modifiant les critères antérieurs). Le tour était joué.

Récemment les preuves scientifiques d’une fraude dans les résultats de l’article initial sur le test PCR de Drosten et Cie ont été mises au grand jour, comparable à l’escroquerie monstrueuse du Lancet sur la chloroquine qui révéla au monde la trahison des grandes revues internationales. La requête pour le retrait de l’article a été publiée.

 

Le château de cartes s’écroule si on met en évidence la fraude des tests PCR

L’histoire internationale en est donc à exiger que les tests PCR disparaissent des critères qui servent à justifier le confinement, les masques, les vaccins et à casser l’économie sous prétexte de protéger la population.

Le combat devrait, sur les conseils stratégiques de l’avocat Reiner Fuellmich se focaliser sur la médiatisation de cette supercherie, escroquerie mondiale qui a permis de transformer une crise politique décidée par les membres du forum de Davos pour remettre à plat l’économie mondiale, en utilisant une pseudo- crise sanitaire.

Mais les français se laissent distraire des problèmes globaux fondamentaux par des récits quotidiens sur une parole pseudo-raciste sur un stade, sur des violences policières provoquées ou non, sur des attaques personnelles de médecins, mais on lit peu de réactions qui pourraient éclairer le citoyen et le conduire à réagir, en jetant son masque, en refusant le confinement et les mesures qui tuent notre économie et concrètement conduisent au suicide d’artisans, restaurateurs, étudiants etc. dans un silence médiatique invraisemblable, tant sur les grands médias que sur les réseaux sociaux. Comme si ce pouvoir était capable de distraire notre attention afin de masquer les graves décisions prises quotidiennement à coup de décrets, d’interdictions, de mise en garde et toujours de fabrication de la peur.

 

LE COUVRE FEU DANS UN SILENCE ABYSSAL

Il est fascinant et désespérant de constater qu’à l’heure où le premier ministre annonce des mesures extraordinairement liberticides comme un couvre-feu au-delà de 20 heures et la fermeture prolongée des théâtres et tous lieux culturels, la poursuite d’interdiction de travailler des restaurants et bars, artisans, salles de sport, et plus ou moins universités (?), le silence se fasse tant sur les tv officielles et autres médias, sur les réseaux sociaux.

On fonce ; mais pas dans la rue pour mettre fin à notre propre enfermement général perdu de vue par tous, comme s’il était naturel.

Au diable les suicides et dépressions des étudiants, des artisans, au diable les faillites, pas de manifestation pour la liberté de tous, notre révolte est astucieusement canalisée sur un cas possiblement scandaleux mais ne résumant pas à lui seul l’emprisonnement de 67 millions de français désemparés.

Seuls quelques commentateurs, exclus des journaux officiels, font une analyse globale, mais effrayante par son réalisme.[1]  « Toute la question est de savoir par quelle perversité, par quel sadisme, cette décision sanitaire se transforme en examen collectif de conscience, et en culpabilisation déprimante et anxiogène pour tous les Français. »

 

Epidémie de COVID et culpabilisation collective

« Une deuxième lecture consiste à prêter à ce surgissement naturel du virus un sens métaphysique, ou téléologique comme disent les philosophes. Au fond, ce virus est là pour punir les hommes d’un excès d’hybris, d’arrogance vis-à-vis de leur place dans l’histoire et dans la création. Cette croyance selon laquelle les épidémies arrivent par la faute de l’homme, par son arrogance, par sa jouissance excessive, par son impiété, est tout sauf nouvelle.

Dans son « De Rerum Natura », Lucrèce la décrivait déjà. Et lorsque la peste noire a décimé l’Europe entre 1347 et 1349, des Flamands ont empoigné des fouets et ont fait la tournée des villages en se fouettant le dos pour expier les fautes qui avaient conduit à l’épidémie. Ils étaient à l’unisson d’une certaine conviction de l’époque selon laquelle la maladie était le résultat d’une faute qui aurait pu ne pas être commise.

Jean Castex, en bon flagellant, ainsi que Macron, en bon élève des Jésuites, ne nous suggèrent pas autre chose : au lieu de nous expliquer qu’il faut confiner la France en hiver pour ralentir l’épidémie, ils font reposer celle-ci sur le comportement des Français. Et dans la logique du discours officiel, on n’est pas très loin des péchés mortels que la société du Moyen-Âge se reprochait pour expliquer la peste. Le virus circule parce que nous ripaillons trop, nous folâtrons trop, nous jouissons trop. Vivons en ascète, et l’ordre reviendra. » (…).

 

Ce pouvoir est extraordinairement efficace dans la manipulation.

N’en déplaisent à des correcteurs de France soir, la propagande est bien apprise de celle de Goebbels et notre seul pouvoir actuel en tant que peuple est d’éviter de passer à la phase suivante. Nous sommes en démocrature, évitons de passer au fascisme complet où des millions de gens seront enfermés pour leurs idées.  Réagissons ! Vous rendez- vous compte que depuis 48 H on ne parle plus de masque, ni d’interdiction de théâtre, ni de couvre-feu… une lettre à la poste et chacun évidemment perturbé se croit le seul, se tait, se déprime et éventuellement se suicide … On en reste là, ou bien on réagit.

Faut-il clouer au pilori les députés qui ont voté pour le dépistage obligatoire ou bien exiger de TOUTE LA CLASSE politique qu’elle impose la fin des mesures liberticides, l’interdiction de ces tests faux et trompeurs qui au passage ruinent la sécurité sociale. Pourquoi demander le droit à la messe, et pas à la piscine, l’interdiction de l’obligation des tests trompeurs et pas leurs suppressions….

 

« Il faut vraiment porter un magnifique formatage religieux pour transformer avec autant de sadisme un phénomène naturel en culpabilité collective. Alors, si, collectivement, vous n’atteignez pas trois critères chiffrés de santé publique, vous serez punis par du confinement ? L’affaire est bien montée : elle fait croire aux Français qu’ils sont la cause d’un phénomène, alors qu’ils n’en sont que les victimes. »

Ce qu’il faut mesurer maintenant, c’est le coût social et humain de ce sadisme. On parle beaucoup de la détresse psychique des Français, mais elle est pour le coup parfaitement orchestrée par une élite technocratique imbibée d’esprit animiste, pour qui les phénomènes naturels s’expliquent par des fautes humaines. Si l’on confine, ce n’est pas parce que le virus sévit, ni parce que la France était mal préparée à une épidémie pourtant maintes fois annoncée depuis 15 ans. Si l’on confine, c’est parce que nous sommes trop indisciplinés.

Combien de temps faut-il pour reconstituer l’énergie vitale d’un peuple qu’on traite aussi mal ? »

 

 La veste retournée de Véran sur les tests en cette période de Noel : « Véran ne veut plus qu’on se teste, pour qu’on se croit infectés[2] »

« Si je comprends bien l’article, ces tests covid qui sont à l’origine de tous nos malheurs puisqu’on nous bassine à longueur de journée sur le nombre de personnes INFECTÉES – et donc testées même sans symptômes (marrant, ça, malade sans symptôme !), eh bien ces tests, il ne faut pas les faire “avant Noël” ! Faut savoir, Véran ! Si on ne teste plus, les stats vont tomber à zéro et tu vas faire comment pour nous enfermer ?

Ce que je comprends, c’est que cette équipe de fadas au gouvernement veut qu’on ne se teste pas et qu’on IMAGINE ÊTRE INFECTÉS, et donc qu’on reste enfermés ! Foi de Marcel, ils sont forts, très forts, ces malades !

Allez Véran, écoute-moi, je te donne la recette miracle : fous tous ces tests à la benne, déclare tous les Français POTENTIELLEMENT infectés, et ordonne un enfermement à domicile pour tous jusqu’à ce que mort s’ensuive ! Ce sera plus simple car franchement, on voit tous que tu as perdu la boule !

Bon les gars, c’est l’heure de la traite ! À la revoyure !

Marcel Berrichon (https://ripostelaique.com/veran-ne-veut-plus-quon-se-teste-pour-qu’on-se-croit-infectes.html)

 

 Ce paysan a fort bien compris la situation : il n’y a quasiment plus de malades symptomatiques du covid19, mais les ordres de l’OMS et du forum économique international de Davos sont de poursuivre la mise en condition par la panique, pour que les peuples et la France en particulier acceptent la destruction du pays pas encore complète et donc les confinements successifs (les six prévus par l’OMS et Ferguson). Mais beaucoup d’éléments ont filtré et les populations commencent à ouvrir les yeux. Donc les focaliser sur Noel, en faisant semblant de les protéger en fermant cinémas théâtres (tout en laissant métros RER et supermarchés open bar, puis les préparer à être largement positifs après noel. Désobéissants ils auront fêté le jour de l’an ensemble malgré les interdictions du père fouettard. Ils seront probablement faciles à culpabiliser et à se laisser réenfermer le 4 janvier. CQFD.

 

Mais l’histoire ira peut-être plus vite et se rira du diable.

 

On apprend le 11 décembre via global Research[3] :

 

« Le modèle allemand très apprécié d’Angela Merkel pour faire face à la pandémie de COVID-19 est maintenant englouti dans une série de scandales potentiellement dévastateurs allant au cœur même des tests et des conseils médicaux utilisés pour déclarer des fermetures économiques draconiennes et ensuite, des vaccinations obligatoires de facto. Les scandales impliquent un professeur au cœur du groupe consultatif corona de Merkel. Les implications vont bien au-delà des frontières allemandes jusqu’à l’OMS elle-même et ses recommandations mondiales »

 

Ainsi l’article rappelle que les confinements et toutes les mesures liberticides imposées dans le monde qui l’ont accepté (la plupart des 194 signataires du conseil international de l’OMS ayant signé l’accord pour appliquer consignes de l’OMS en cas de pandémie déclarée) reposent sur le test PCR introduit dès janvier 2020 par le DR Drosten conseiller de M Merkel.[4] L’OMS l’a immédiatement validé.

Mais après de nombreux articles depuis des mois dans la presse internationale démontrant par a+b l’absence de fiabilité de ce test, une étude large en novembre 2020 sonne la fin de la supercherie.

 

Le 27 novembre, un groupe de 23 scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour qu’il retire l’article de Drosten du 23 janvier 2020.Ils accusent Drosten et coll d’incompétence scientifique « fatale » et de 10 failles majeures dans la promotion de leur test.

 

L’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne sans relecture des pairs. Drosten et son co-auteur, le Dr Chantal Reusken, n’ont pas révélé de conflit d’intérêts flagrant. Tous deux étaient également membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance.

 

De plus sans entrer dans les détails les relecteurs précisent «la RT-PCR n’est pas recommandée pour le diagnostic primaire de l’infection. C’est pourquoi le test RT-PCR utilisé en routine clinique pour la détection du COVID-19 n’est pas indiqué pour le diagnostic du COVID-19 sur une base réglementaire »

 

Cycles d’amplification

 

 

Le rapport Borger note : « Ces types de tests de diagnostic virologique doivent être basés sur une SOP (Standard Operational Protocol), comprenant un nombre validé et fixe de cycles PCR (valeur Ct) après lequel un échantillon est jugé positif ou négatif.

 

La valeur Ct maximale raisonnablement fiable est de 30 cycles. Au-dessus d’un Ct de 35 cycles, il faut s’attendre à un nombre rapidement croissant de faux positifs… des études scientifiques montrent que seuls les virus non infectieux (morts) sont détectés avec des valeurs de Ct de 35. »

 

L’OMS et Drosten recommandent un Ct de 45 cycles et, semble-t-il, actuellement, les responsables de la santé allemands le font également. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent.

 

Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement et en termes de diagnostic absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30). Tout cela doit être communiqué très clairement.

 

W Engdal conclue en résumé :

 

« Tout l’édifice de la fondation Gates, du gouvernement Merkel, de l’OMS et du forum économique mondial, ainsi que le cas des vaccins de facto forcés non testés, repose sur les résultats d’un test PCR pour le coronavirus qui ne vaut pas un tas de haricots.

 

Le test de Drosten et de l’OMS est plus ou moins de la merde scientifique ».

 

 

 A n’en pas douter l’histoire va s’éclaircir, car ruiner le monde par des confinements injustifiés, mortifères,[5] priver les citoyens de liberté par une arme magique inventée par des fraudeurs, acceptée par l’OMS et les gouvernements ne saura longtemps laisser « confiner » les vraies raisons du désastre et ses responsables.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] COVID : comment transformer une épidémie en suicide national (plus ou moins) larvé ? – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

[2] Véran ne veut plus qu’on se teste, pour qu’on se croit infectés… – PAGE GAULLISTE DE RéINFORMATION. Les médias nous manipulent et nous mentent, sachons trier le bon grain de l’ivraie (wordpress.com)

[3] https://www.globalresearch.ca/coronavirus-scandal-breaking-merkel-germany/5731891

Par F. William Engdahl Global Research, 11 décembre 2020

 

[4] Dr Drosten, l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charité, et société de biotechnologie berlinoise, TIB Molbiol Syntheselabor Gmbh, publient une étude affirmant avoir développé le premier test efficace pour détecter si une personne est infectée par le nouveau coronavirus identifié les premiers jours à peine à Wuhan. « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel » (Eurosurveillance 25 (8) 2020).

 

[5] Le programme alimentaire mondial dans un communiqué récent chiffre à 250 millions les affamés créés par le confinement dont plusieurs centaines de milliers vont à mourir.

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« Je suis pneumologue, il faut que je vois la tête des gens »

Je suis pneumologue, il faut que je vois la tête des gens

 

 

Encore un médecin privé de son droit de soigner par la bureaucratie 

On manque de médecins et encore plus de pneumologues, si on veut croire à la saga Covid et en tous cas à la pseudo deuxième vague qui semble essentiellement liée aux infections bactériennes et mycosiques en rapport avec le rapport prolongé du masque.

Un pneumologue désire soigner ses malades correctement en voyant leurs visages, leurs sourires, leur langage non verbal. Un médecin, bref !

Et bien malgré les évidences de la toxicité et de l’inutilité du port du masque encore prouvé par l’étude danoise randomisée publiée il y a quelques semaines, l’agence régionale de santé locale, l’interdit d’exercice et cinq mois, ce qui est une période fort longue et non symbolique de surcroit.

Décidément les médecins convoqués devant les instances bureaucratiques et l’ordre des Médecins sont les cliniciens qui soignent, dont le malade également a besoin de voir leur visage pour comprendre et entendre ses avis et prescriptions.

 

« Le médecin Patrick Bellier a fait l’objet d’une mesure de suspension temporaire à son encontre, « au regard des enjeux de santé publique.[1]
Il refusait de porter un masque et d’examiner des patients masqués : un pneumologue de la métropole de Lyon, le Dr Patrick Bellier, vient d’être interdit d’exercer pendant cinq mois, a indiqué l’Agence régionale de santé (ARS), vendredi 11 décembre
. »

Cette mesure est effective « à compter du jour de sa signification au médecin, c’est-à-dire le 8 décembre, a précisé l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes à l’AFP

« Je suis interdit d’exercer pendant cinq mois parce que je refuse de porter un masque. Bienvenue dans la dictature Macron ! », s’est insurgé vendredi le Dr Bellier.

« Je suis pneumologue, il faut que je voie la tête des gens »

« L’ARS précise qu’il s’agit d’une « mesure conservatoire, le temps que la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins qui a été saisie par l’ARS, et aussi par le Conseil départemental de l’Ordre des médecins (CDOM) du Rhône, statue« .

« Je ne suis pas un extrémiste mais porter un masque, c’est inutile et ça m’emmerde ! ».

 

 

 AUCUNE PREUVE D’EFFICACITE DU MASQUE

Rappelons néanmoins que la controverse « masque « dure depuis plusieurs mois et qu’aucune preuve de son utilité n’a été mise en évidence. Bien au contraire. Devant la maltraitance entrainée en particulier chez les enfants [2],[3] des parents ont protesté d’abord auprès des directeurs puis auprès d’avocats. L’association reactionfr19 a donc déposé une plainte contre le port du masque chez l’enfant, puis chez l’ensemble de la population.

« Des professionnels en psychologie, psychanalyse, pédiatrie et pédopsychiatrie dressent un constat alarmant au sujet des impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants. Décrivant leurs observations, ainsi que les symptômes relevés dans leurs consultations et analysant les témoignages de parents, enseignants et enfants, ils relèvent de graves perturbations dans le vivre-ensemble et la socialisation, la survenue de nouvelles maltraitances au sein des établissements, une condamnation de la tendresse, de l’empathie et un interdit implicite à l’altérité, une entrave au développement relationnel, psychomoteur ainsi que des régressions dans les apprentissages, une fragilisation majeure de l’autorité bienveillante/contenante et de la posture parentale, une perte de repères structurants et des discours paradoxaux. Le tableau clinique conclut à une souffrance psychique croissante chez les enfants, risquant d’entraîner une explosion de troubles psychiques graves et de passages à l’acte suicidaires »

 

La plainte contre l’obligation du port du masque est disponible sur le site de reaction19fr et téléchargeable.[4]

Plainte relative au port du masque déposée auprès du Procureur de la République de Paris sous le numéro 20323000756.

 

L’évolution récente de l’épidémie en Europe montre que le port généralisé du masque n’est pas efficace. Dans les pays nordiques seulement 5 à 10 % des personnes affirment porter un masque dans les lieux publics depuis le début de la crise alors qu’en France, Espagne et Italie ce taux atteint 70 à 80 %. Mais malgré leur taux très bas d’utilisation des masques, les pays nordiques peuvent se targuer d’une incidence de nouveaux cas hebdomadaires[5] nettement inférieure à celle des pays masqués (266/M en Finlande, 549/M en Norvège, 992/M en Suède et 1198/M au Danemark contre 1973/M en Espagne,2893/M en Italie, et 4226 en France). En situation réelle le port du masque ne parait donc guère efficace.

 

Compte tenu de l’absence de contagiosité des enfants et des adolescents, et de l’inefficacité des masques, les mesures imposées aux enfants et adolescents apparaissent complètement inutiles, ubuesques sinon pour entretenir la panique-soumission.

Toutes les sociétés de pédiatrie françaises critiquent les mesures sanitaires inutiles imposées aux enfants

Dans un communiqué les sociétés françaises de pédiatrie soulignent l’absence de logique médicale, le danger et les incohérences des mesures sanitaires imposées par le gouvernement.

« Nous ne pouvons que nous montrer inquiets devant l’organisation de la rentrée telle qu’elle se profile, tant sur le plan de la prévention que de celui de la prise en charge des enfants. »

Elles s’opposent à la pratique généralisée des tests par prélèvement nasopharyngés chez l’enfant : « la pratique des prélèvements nasopharyngés quasi-systématiques (tels qu’ils sont recommandés aujourd’hui) chez les enfants présentant une fièvre, des signes respiratoires ou digestifs n’est pas si anodine qu’elle peut le paraître. »

 

Les masques ont été démontrés inefficaces par la dernière étude randomisée danoise [6]. Détail de l’étude dans notre article : « Une étude confirme l’inutilité du port généralisé du masque ».

 

« L’obligation du port du masque, est-elle « légale » ? [7]

 

Il est intéressant de lire le post de Nuria Iturralde, Avocate, Barreau de Luxembourg sur sa page fb.

 

  • Pour Nuria : « l’obligation du port du masque constitue une ingérence dans la vie privée des individus.

En effet, la vie privée englobe tous les aspects de l’identité physique et sociale des personnes et comprend le choix concernant l’apparence, qui relève de l’expression de la personnalité de chaque sujet.

 

Le droit au respect de la vie privée est reconnu dans des multiples textes internationaux, parmi eux, la Convention Européenne des droits de l’homme (article 8) et la Charte de Droits fondamentaux de l’Union Européenne (article 7), tous les deux invocables de manière directe devant les tribunaux.

 

Ainsi, l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme :

« 1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.

  1. Il ne peut y avoir ingérence d’une autorité publique dans l’exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu’elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l’ordre et à la prévention des droits et libertés d’autrui. »

Dans le même sens, la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne dispose :

Article 7

« Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de ses communications. » Article 52

 

 (…)

« Il en résulte que dans des termes généraux, il ne peut pas être affirmé que le port du masque soit nécessaire pour protéger la santé de la population.

 

En outre, dans des affaires concernant le port du voile, parmi autres, n. 4619/12 Dakir c. Belgique et n. 37798/13 Oussar c. Belgique (applicables à l’espèce en ce qui concerne la dissimulation du visage), la Cour Européenne des droits de l’homme a considéré que l’individualisation des personnes, dont le visage est un élément fondamental, constitue une condition essentielle au fonctionnement d’une société démocratique dont chaque membre est un sujet de droit, du fait que éviter la dissimulation du visage répond à un besoin social impérieux :

« l’individualité de tout sujet de droit d’une société démocratique ne peut se concevoir sans que l’on puisse percevoir son visage, qui en constitue un élément fondamental. La circulation dans la sphère publique, qui concerne par essence la collectivité, de personnes dont cet élément fondamental de l’individualité n’apparaît pas, rend impossible l’établissement de rapports humains indispensables à la vie en société.

 

La dissimulation du visage a pour conséquence de priver le sujet de droit, membre de la société, de toute possibilité d’individualisation par le visage alors que cette individualisation constitue une condition fondamentale liée à son essence même… »

 

La Cour a également considéré que cette individualité fait partie des droits et libertés d’autrui qui méritent une protection particulière.

 

Il s’ensuit que non seulement le port du masque ne remplirait pas le critère d’être nécessaire à la protection de la santé publique et résulterait, d’après de différentes sources/études, dans un préjudice chez les personnes qui le portent, mais en plus cette obligation irait à l’encontre du besoin social impérieux consistant à ce que chaque personne puisse montrer/exprimer son individualité afin d’établir de rapports humains indispensables à la vie en société. »

 

 

Quant à l’élément de la proportionnalité, sur la base des données disponibles, dans la plupart des pays la grande majorité des individus qui se font tester du virus SARS-COV-2 obtiennent un résultat négatif, et de la minorité qui teste positif une grande majorité sont asymptomatiques ou présentent des formes très légères de la maladie. Il s’ensuit qu’une écrasante majorité des individus sont des personnes saines, à qui on impose pourtant le port du masque, avec les effets advers mentionnés ci-dessus. Vu le risque relativement faible que le port du masque sert à combattre, le critère de la proportionnalité ne serait pas rempli non plus.

 

De tout ce qui a été exposé, la conclusion est que le port du masque ne remplirait pas les critères nécessaires pour être « légal » et cela non pas seulement en ce qui concerne les lieux publics ouverts mais sauf, le cas échéant, pour les espaces particulièrement clos, petits ou peu ventilés (i.e. transports publics) aussi en ce qui concerne les lieux publics fermés. »

 

En conséquence, l’interdiction d’exercice ne parait pas fondée juridiquement d’autant qu’il n’y a pas de procédure d’appel sur une décision de l’ARS. Il est nécessaire que ce médecin bénéficie d’un large soutien de ses collègues et de la population.

 

 

 

 

 

[1] Rhône : un pneumologue « anti-masque » suspendu de ses fonctions (orange.fr)

[2] Impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants : un constat clinique alarmant (francesoir.fr)

[3] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la-maltraitance

[4] Plainte-masques-fusionnée-signée.pdf

[5] D’après l’OMS Covid19 weekly situation report 12 du 3/11/2020

[6] (Publié le 21 novembre 2020 – par Gérard Delépine sur riposte laïque)

 

[7] Post sur face book 5 OCT 2020

 

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Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité ?

 

 

« Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité. Une avocate dénonce les mesures sanitaires et la manipulation autour du Covid-19 [Interview] (breizh-info.com) 3 12 2020 »

Une avocate française dénonce les mesures sanitaires et la manipulation autour du Covid-19 sur breizh-info.com. Après la plainte allemande initiée par Reiner Fuellmich en vue d’un Nuremberg 2[1], et la jurisprudence portugaise condamnant l’utilisation du test PCR comme moyen insuffisant de diagnostic, d’autres juristes s’intéressent au sujet. Nous citerons come exemple, une interview de l’avocate Virginie de Araujo-Recchia sur Breizh-info (reprise par dreuz info) relatant son point de vue particulièrement sévère de la situation de notre pays, depuis presque un an.

 

A la suite de l’article de Breiz info s’interrogeant sur la possibilité de faire reconnaitre les mesures sanitaires et leurs conséquences sur la population française avec la dénomination de « torture », l’avocate a adressé au site cité un rapport accablant pour l’Etat Français.

Elle rapporte avoir relevé de nombreuses et graves atteintes à l’intégrité physique, psychique et morale des citoyens ainsi que de nombreuses atteintes aux intérêts fondamentaux de la Nation. Elle fait part de son analyse au regard des principes juridiques applicables et son anticipation des problématiques relatives à la vaccination.

Ce rapport contient une partie spécifique concernant le port du masque obligatoire pour les enfants et adolescents dès six ans, car l’atteinte à leur développement et à leur santé est extrêmement préoccupante.

Conclusions de l’avocate :

« Les mesures prises depuis le début de la crise et les techniques de manipulation employées tendent à qualifier pénalement ces actes de terrorisme d’Etat et de crime contre l’humanité, étant donné les graves atteintes portées à la santé physique et mentale des citoyens et plus généralement aux intérêts fondamentaux de la Nation, en troublant l’ordre public par l’usage de la peur et de la terreur ».

En ce qui concerne les enfants et les adolescents, le fait d’imposer le port du masque obligatoire dès 6 ans, avec les conséquences que cela implique pour leur santé, correspond pénalement à un acte de maltraitance et de torture.

En outre, dans l’hypothèse où le vaccin/thérapie génique serait imposé dans le futur (à un groupe ou à l’intégralité de la population) par la voie légale ou par la terreur, alors qu’il s’agit d’un traitement expérimental, des poursuites pénales pourraient alors être engagées par dépôt de plainte pour acte de terrorisme et crime contre l’humanité. »

Virginie de Araujo-Recchia dit avoir analysé les faits pris dans leur ensemble afin de les qualifier juridiquement. Les actes de terrorisme et les crimes contre l’humanité sont clairement définis par le Code pénal français (articles du Code pénal repris in extenso dans le rapport).

« Pensez-vous que le fait de bâillonner et de confiner toute une population sans justification scientifique établie, le fait de manipuler la population en employant des techniques de torture décrites dans la Charte de Biderman ou les expériences de Milgram pour soumettre la population ne sont pas des procédés disproportionnés et criminels ? » dit -elle.

Les griefs énoncés correspondent aux faits constatés et croyez-moi, cela ne me réjouit absolument pas de faire ce terrible constat.

 D’après Virginie de Araujo-Recchia : des actions juridiques sont envisageables à plusieurs niveaux :

Sur le plan pénal, les tests PCR, utilisés pour justifier toutes les mesures liberticides prises en cascade ont déjà été condamnés par la cour d’appel de Lisbonne (arrêt du 11 novembre 2020 – 1783/20.7T8PDL.L1-3, Margarid Ramos de Almeida). Ce jugement a déclaré illégale une mesure de quarantaine car basée sur les seuls tests PCR positifs [2]

L’Allemagne a engagé des poursuites pour crime contre l’humanité et des associations de consommateurs italiennes ont déposé plainte auprès de neuf parquets, pour délit de fraude aggravée, fausse idéologie et homicide involontaire à l’encontre du gouvernement italien.

–L’avocate imagine encore que des parlementaires intègres pourraient engager les procédures suivantes :

« Une procédure de destitution du président de la République étant donné les graves manquements à ses devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice de son mandat dont la mise en péril des intérêts fondamentaux de la Nation, terrorisme d’Etat et crime contre l’humanité (article 68 de la Constitution).

Une procédure de motion de censure à l’égard du gouvernement étant donné le caractère objectivement disproportionné des mesures prises depuis le début de la crise et pour les mêmes raisons sus-indiquées (article 49,3 de la Constitution) ».

 L’avocate pense qu’il est urgent d’agir car « un test d’obéissance a été effectué à grande échelle et il porte ses fruits ». L’Europe serait pour elle, « un véritable champ d’expérimentation pour les plus grandes fortunes de la planète, adeptes du transhumanisme, vers un monde aux antipodes des aspirations de la majorité des citoyens ».

 

Virginie de Araujo-Recchia souhaite dire aux citoyens, qu’il n’est pas trop tard pour agir et revendiquer nos libertés les plus fondamentales, mais le temps nous est compté.

Quant aux dirigeants, « ils sont responsables de dommages conséquents et irréversibles. A ce titre, l’atteinte est telle qu’ils ne pourront jamais indemniser les citoyens du temps de vie perdu tout au long de ces mois confinés, masqués, réprimés, abusés, manipulés, torturés, humiliés. »

« Il est encore temps de limiter les conséquences désastreuses de leurs décisions. Il est temps pour eux de démissionner pour laisser place à des personnes compétentes et intègres, qui ne seront pas à la solde d’intérêts supranationaux. Les citoyens français ont besoin qu’on leur fasse confiance et ils ont besoin de faire confiance pour avancer et reprendre le cours normal de leur existence ». [3]

 

Le rapport de l’avocate est très intéressant.[4] Il rappelle que « le principe de respect de la dignité de la personne humaine fait partie du bloc constitutionnel (i.e. ensemble des principes et dispositions que doivent respecter les lois, cet ensemble prime sur les Traités, les Conventions et le Droit européen dans la hiérarchie des normes).

« Concrètement, le principe de dignité exige, pour reprendre la formule du Conseil constitutionnel, de sauvegarder la personne humaine « contre toute forme d’asservissement ou de dégradation ». La dignité implique que la personne reste maître de son corps et d’elle-même, ce qui suppose qu’elle ne se trouve pas aliénée ou asservie à des fins étrangères à elle-même. »

Elle détaille dans son rapport des Décisions allant à l’encontre des intérêts fondamentaux de la Nation et des citoyens :

« Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel de ces mesures.

Nous pouvons notamment le constater à la lecture de la décision du Conseil constitutionnel n°2020-808 DC du 13 novembre 2020, relative à la loi autorisant la prolongation de l’état d’urgence sanitaire , par laquelle le Conseil constitutionnel refuse  de censurer ladite loi alors que: – le gouvernement a utilisé la procédure des votes bloqués (art. 44, al.3 de la Constitution), empêchant ainsi d’adopter un amendement réduisant la période de confinement (amendement qui avait été adopté lors du premier vote), l’exécutif bafoue continuellement le bloc constitutionnel depuis le début de la crise.

Les conséquences découlant de ces confinements sont désastreuses pour la santé,

-la vie des citoyens et l’économie du pays en violant par là même les droits du peuple :

– Violation de la liberté individuelle et du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation.

– Violation de la liberté de circuler/d’aller et venir : en ce sens l’Etat est coupable de détention arbitraire à l’égard des citoyens en temps de paix. Les citoyens qui contreviennent à une mesure de confinement sont verbalisés.

Volonté de mettre à l’isolement des citoyens « positifs » au test et non pas malades s’apparentera à des mesures de séquestration. L’Etat entend verbaliser les personnes qui enfreindraient la « quarantaine » à hauteur de 10 000 euros.

– Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.

Violation de la liberté d’entreprendre et inégalité de traitement : les P.M.E. soit les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel etc.

En somme tous les non-fonctionnaires (or alimentaire, pharmacie, journaux et tabac) pâtissent de ces mesures liberticides et mortifères. De nombreuses procédures de liquidation judiciaire sont attendues, mais les mesures ne sont pas levées malgré l’appel du peuple.

– Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple.

– Violation du droit à l’éducation durant le premier confinement.

– Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Eglises de France alors que les croyants ont besoin d’apaisement.

– Accord de la France concernant le plan de relance européen, lequel ouvre la porte à l’intégration européenne en créant un budget européen, sans qu’aucun débat politique n’ait été mené en France. Les citoyens doivent désormais s’attendre à la création d’un impôt européen. »

Il est évident que ce rapport est une mine d’informations qui justifiera plus amples commentaires et permettra à l’auteur de défendre les citoyens devant les tribunaux. Merci à elle pour cette immense aide pour tous.

 

Nos droits fondamentaux sont bafoués sans aucune raison sanitaire réelle. Nous ne pourrons retrouver nos libertés qu’en appuyant les plaintes en justice par des actions collectives massives.

 

[1] L’objectif des 5000 cas par jour : encore une énorme arnaque – Riposte Laïque Riposte Laïque (ripostelaique.com)

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[2] Car les tests PCR positifs réalisés chez des sujets asymptomatiques avec plus de 40 cycles d’amplification correspondent dans 90% des cas à des personnes ni malades ou ni contagieuses.

[3] Propos recueillis par YV Breiz-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine.

[4] file:///C:/Users/nicol/Desktop/RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

 

 

Raisons du recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales

 

 

La commission d’enquête extra-parlementaire allemande sur la COVID-19 lance un recours collectif contre les criminels du Coronavirus et pas seulement contre les politiques des gouvernements et leurs conseillers, mais aussi directement contre les fabricants.

 

La punition financière sera-t-elle plus efficace que tous les arguments moraux et scientifiques ?

 

« L’Allemagne est à nouveau en première ligne dans la lutte contre les mesures relatives au Coronavirus, qui sont dévastatrices, injustifiées, destructrices pour l’économie, affadissantes pour les personnes et carrément génocidaires.[1]  Et attaquer la base de la manipulation et de la désinformation qui permet à la peur de se répandre et donc à l’opinion d’être sidérée et trop silencieuse est sûrement une excellente idée de la commission allemande qui a initié dès juillet ses travaux pour un Nuremberg du covid.

 

Ainsi les fabricants du test PCR qui sert à justifier l’enfermement des ainés en EHPAD et la désorganisation de votre entreprise avec l’isolement de vos employés pour un « contact » vont enfin devoir rendre des comptes éventuellement sonnants et trébuchants pour avoir mis sur le marché un test non fiable.

« Le PCR – Polymerase Chain Reaction est une technique utilisée pour « amplifier » de petits segments d’ADN qui, selon de réputés virologues du monde entier, est absolument inadapté pour dépister la COVID-19.

 

Car un test positif ne signifie pas que vous êtes malade ou contagieux et ne justifie donc en rien votre isolement.

 

Pour transmettre la maladie, vous devez recéler du virus entier, son génome complet et l’excréter. Or le test met en évidence non pas le virus capable de se reproduire, mais simplement des fragments de son ARN qui ne sont en aucun cas infectieux. Ce test manque donc souvent de spécificité en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (les chinois en recherchent 5 à 6).

 

Et lorsque le nombre de séances d’amplifications est trop élevé, le test répond anormalement souvent positif. Pour évaluer la contagiosité, il est plus logique de voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Une très large étude [2] comparant positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures montre qu’il existe une bonne corrélation (supérieure à 70% des cas) pour un nombre de cycles d’amplification inférieur à 25, puis qu’elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente !

 

 

 

 

 

Néanmoins, le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l’OMS – et par d’autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID / NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l’hôpital Charité de Berlin. » il est utilisé en France comme la panacée.

 

Le grand gagnant du test PCR est le conseiller chercheur favori de Mme Merkel, le dr Drosten[3] qui a convaincu les autorités allemandes puis mondiales de tester et compter les « cas » et non plus les vrais malades cliniques, manipulant les populations pour leur faire croire ainsi à la persistance d’une pandémie.

 La taille du marché mondial du diagnostic COVID-19 est évaluée à 19,8 milliards de dollars en 2020  [4] et devrait croître chaque année de 3,1% d’ici 2027.

Coup double : aubaine politique pour les gouvernements qui souhaitent imposer des lois anti démocratiques (interdiction de se réunir et/ de manifester) et pactole commercial avec des centaines de millions de tests vendus par le monde.

Jackpot, mais responsabilité directe dont ils devront répondre. En tous cas c’est ce qu’espèrent les initiateurs de la plainte internationale, Reiner Fuellmich et associés et tous ceux qui les suivent dans de très nombreux pays (au moins une cinquantaine).

 

Le test PCR tel qu’il est réalisé en France avec des cycles d’amplification trop nombreux n’est pas spécifique, comme l’avait énoncé son inventeur Karys Mullis et même confirmé par le dr Drosten en 2014. Mais les temps changent et les objectifs politiques et financiers aussi.

En conséquence le test PCR a été généralisé et souvent imposé parfois illégalement pour faire peur (la Peur est le nom du Jeu dit Peter Koenig) en n’imposant évidemment pas une limite du taux de replication <33 et en cachant sur ordre des gouvernements l’amplification utilisée. [5]

Selon Fuellmich, le consensus est que tout ce qui est plus de 35 cycles est scientifiquement indéfendable. Pourtant, les tests et les tests de Drosten recommandés par l’Organisation mondiale de la Santé sont fixés à 45 cycles.

Des gens ont été privés de travail, leurs bureaux fermés comme les écoles, et les ainés enfermés comme des délinquants au premier test positif. Actuellement encore des EHPAD sont interdits de visite pour un test positif !

De plus, la panique entretenue par les médias pousse beaucoup de personnes à se faire tester plusieurs fois (et peuvent également être comptabilisées X fois).

 

Les nombre de « cas » peuvent être ainsi multipliés et instrumentalisés

Pour justifier les confinements qui bloquent la vie sociale et économique des pays entraînant d’innombrables faillites, chômage record, misère extrême, famine et suicides.

 

  Réparations financières et pénales ?

Les dommages sociaux et économiques qui découlent de la supercherie des tests PCR sont colossaux et on imagine les sommes fabuleuses que devront payer les entreprises qui ont fabriqué et vendu ces tests prétendant à tort qu’ils dépistent la contagiosité, ainsi que les dommages et intérêts que les politiques responsables pourraient être amenés à payer, tant en civil qu’en pénal.

Ainsi, lorsque l’idée d’un recours international et in fine d’un procès Nuremberg 2 est apparue, une bouffée d’espoir nous a enfin saisie permettant d’imaginer une sortie autre que tragique de ce scénario catastrophe que nous vivons depuis bientôt un an.[6]

le Dr Reiner Fuellmich, avocat de l’ACU, (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss ou ACU)   explique dans sa première vidéo d’octobre 2020 comment le recours collectif, pourrait mettre un terme à ces mesures destructrices et les inverser, en dédommageant les personnes lésées et les petites et moyennes entreprises qui n’ont eu d’autre choix que de déclarer faillite et de licencier leurs employés.[7]

 

 

Un futur big bang ?

 

Envisageable si des millions de personnes dans le monde entier se joignent au procès de recours collectif.

Ce recours collectif sera déposé très bientôt aux États-Unis, pays coutumier des class actions et plus de cinquante pays sont d’ores et déjà susceptibles de rejoindre le mouvement par des plaintes nationales, mais aussi des citoyens se joignant individuellement les class actions américaines.

Dans les premiers mois de 2020, l’avocat Fuellmich a découvert de nombreuses anomalies dans le processus de décisions politiques allemandes et interrogé des amis scientifiques allemands et étrangers. Par exemple il a découvert que Beate Bahner, avocate spécialisée en droit médical, qui affirmait que les mesures de quarantaine de l’Allemagne étaient inconstitutionnelles a été empêchée de présenter sa requête devant la cour constitutionnelle ; elle a été arrêtée et détenue dans un service psychiatrique pendant plusieurs jours[8].  Cela rappelle les sombres heures et les méthodes totalitaires des dictatures.

 

Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires

La séparation des pouvoirs a été violée dans les pays du monde qui appliquent les consignes de l’OMS à la suite de l’accord signé par 194 pays en cas de pandémie[9]. Et c’est évidemment l’OMS qui a changé les critères pour déclarer que la crise du covid était une « pandémie ». Pendant ce temps, ces gouvernements liés entre eux continuent à imposer par ordonnances des mesures liberticides sans rapport avec le danger réel du virus.

 Le judiciaire reprend la main

Il était temps que le judiciaire prenne la main, les peuples sidérés et enfermés par la peur et les mesures policières n’ayant pas jusqu’à présent réussi à faire stopper la propagande qui marche encore sur cette peur, terrible moyen connu depuis des lustres pour obtenir sidération et soumission des peuples. L’enseignement de Machiavel et de Goebbels sont présents dans nos mémoires.

Néanmoins de grands mouvements populaires voient le jour en Allemagne, Italie, Angleterre, Espagne et plus récemment la France, depuis fin août, à commencer par l’énorme rassemblement à Berlin d’un million de personnes en présence du très respecté Robert F Kennedy Jr, avocat et défenseur de la cause des enfants depuis de nombreuses années (voir son site children’s health Defense).

 

Le Panic Paper

Reiner Fuellmich a pu étudier le « PANIC PAPER ». Ce document classifié a été divulgué à la presse, et révèle qu’il y avait un plan intentionnel au niveau du gouvernement allemand pour induire une panique généralisée.

Selon Fuellmich, la seule raison pour laquelle le test PCR est utilisé d’une manière incorrecte est de créer suffisamment de peur et panique, afin que personne ne remette en question les mesures pandémiques mises en place et tout simplement faire ce qu’on leur dit. Il passe ensuite en revue le soi-disant « Panic Paper » écrit par le ministère allemand de l’Intérieur.

L’une des stratégies énoncées dans le document est parfaitement reproduite en France par nos médias et le gouvernement : le but est de culpabiliser les enfants et de les conditionner dans le respect de la « conformité », de leur faire sentir responsables « de la mort de leurs parents et grands-parents s’ils ne suivent pas les règlements anti-corona ». Cette stratégie est particulièrement perverse puisque toutes les études internationales ont démontré depuis mars 2020 que les enfants et adolescents de moins de 19 ans ne contaminent jamais ni adultes, ni enfants.[10]

Selon Fuellmich, ce que nous avons, c’est une pandémie de test PCR par étapes. Il ne s’agit pas d’une pandémie mortelle de virus, « et je peux le prouver devant les tribunaux ».

 

Le pouvoir judiciaire est « le dernier point d’ancrage de la démocratie » selon Fuellmich

Il soulève un point important. L’OMS, le Forum économique mondial et les Nations Unies sont tous des sociétés privées, mais elles exercent un pouvoir énorme sur les gouvernements du monde.

« Nous devons leur reprendre le pouvoir et le remettre à sa place, avec le gouvernement, et nous devons examiner de très près qui est au gouvernement et qui est devenu trop proche de ces sociétés » …

 Son plan de bataille consiste à démontrer au tribunal qu’il n’y a pas de pandémie de virus mais une pandémie de tests PCR par étapes.

 

À l’heure actuelle, des recours collectifs sont en cours d’élaboration aux États-Unis et au Canada. Des poursuites judiciaires sont également en cours d’élaboration en Allemagne.

L’ACU travaille également à la création de lignes directrices juridiques et de dossiers de données que les avocats du monde entier pourront utiliser pour intenter leurs propres poursuites.

 

Quant au citoyen lambda, Fuellmich exhorte tout le monde à, tout d’abord, ne pas abandonner, et autrement dit, poser beaucoup de questions. Continuez à poser des questions parce que plus les questions seront posées, plus les réponses seront claires.

 Continuez à contrer la censure en posant des questions. Une fois que les audiences commenceront, l’information commencera à se propager plus rapidement.

Pour en savoir plus, toutes les réunions de l’ACU sont diffusées en direct et disponibles sur la chaîne YouTube25 du Comité. Reiner Fuellmich peut être contacté via www.fuellmich.com, et le Comité d’enquête Corona via corona-ausschuss.de

Des informations en plusieurs langues devraient également être disponibles sur www.ACU2020.com.

 

 

 

 

 

[1] La commission d’enquête extra-parlementaire allemande sur la COVID-19 lance un recours collectif contre les criminels du Coronavirus   Par Peter Koenig Mondialisation.ca, 09 octobre 2020

Article original en anglais : Germany’s Extra-Parliamentary Corona Investigative Commission Launching a Class Action Suit Against Corona Criminals, le 4 octobre 2020 Traduit par Maya pour Mondialisation

[2] Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates Clinical Infectious Diseases Downloaded from https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciaa1491/5912603 by guest on 06 December 2020

[3] En tant que directeur de l’Institut de virologie du Centre médical de l’Université de Bonn, Drosten est surtout connu pour avoir mis au point le premier test diagnostique pour le SRAS en 2003. Il a également mis au point un test diagnostique pour la grippe porcine,6 et en 2009 a contribué tambour jusqu’à la panique avec des prophéties délirantes sur la grippe H1N1.

[4] https://www.grandviewresearch.com/industry-analysis/covid-19-diagnostics-market

[5] Beaucoup sinon la plupart des laboratoires amplifient l’ARN recueilli beaucoup trop de fois, ce qui entraîne des tests de santé « positifs ».

En résumé, l’écouvillon PCR recueille l’ARN de votre cavité nasale. Cet ARN est ensuite transcrit à l’envers dans l’ADN. Cependant, ils doivent être amplifiés pour devenir discernables. Chaque tour d’amplification est appelé cycle, et le nombre de cycles d’amplification utilisés par un test ou un laboratoire donné est appelé seuil de cycle.

Lorsque vous dépassez les 30 cycles, même des séquences insignifiantes d’ADN viral finissent par être amplifiées au point que le test se lit positif même si votre charge virale est extrêmement faible ou si le virus est inactif et ne représente aucune menace pour vous ou pour quelqu’un d’autre.

[6] (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss,3 ou ACU),4,5 lancé le 10 juillet 2020.

 

[7] A retrouver sur odyssee.com car supprimée de YouTube, censure après plus d’un million de vues

[8] Elle voulait se rendre devant la Cour constitutionnelle fédérale. La police a placé l’avocate du Coronavirus dans un service psychiatrique Polizei bringt Corona-Anwältin in Psychiatrie

Article originel :  Sie wollte vors Bundesverfassungsgericht Polizei bringt Corona-Anwältin in Psychiatrie https://www.bild.de/regional/frankfurt/news-inland/corona-anwaeltin-beate-bahner-in-psychiatrie-gebracht-sie-wollte-vors-verfassung-70024242.bild.html

[9] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

 

[10]  Voir nexus Gerard Delépine septembre 2020

www.francesoir.fr/…/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la- maltraitance

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

 

chaine  TVlibertés

 

écoutez le samedi politique du 14 NOV 2020 présenté par Elise Blaise sur tvlibertés avec Gerard Delépine

 

http://mtr.cool/bopdenlohw

« Encore 15 jours (minimum) de confinement. Le premier ministre Jean Castex l’a annoncé, les Français vont devoir encore attendre pour avoir une chance de revoir la liberté… Plus le temps passe, plus les populations s’attendent à être assignées à résidence éternellement… Une situation inquiétante tant sur le plan des libertés que sur celui de la santé. Seule solution présentée par les dirigeants politiques : le vaccin… Une perspective qu’illustre bien l’annonce du laboratoire américain Pfizer présentant son vaccin contre le Covid-19 en cours d’élaboration comme « efficace » à 90%… Il n’en fallait pas plus pour que des responsables politiques sautent à pieds joints dans l’obligation vaccinale. Une option bien incertaine au vu de l’absence de recul possible sur ce fameux vaccin. Face à ce totem, un véritable désintérêt se dessine pour des solutions thérapeutiques. Le professeur Didier Raoult, qui propose un traitement que l’on rechigne à tester sérieusement dans des conditions conformes au protocole de l’infectiologue marseillais, est de son côté poursuivi par l’Ordre des médecins… Un Ordre des médecins qui semble plus timide quand il s’agit d’enquêter sur les conflits d’intérêts de certains praticiens médiatiques… Dans cette hystérie globale, où ordres, contre-ordres, et mensonges se succèdent, les Français semblent perdus. Ils cherchent des réponses ailleurs, notamment dans le documentaire « Hold-Up »… Le docteur Gérard Delépine, chirurgien oncologue et statisticien (auteur avec Nicole Delépine de Autopsie d’un confinement aveugle Ed. Fauves disponible ici https://www.tvlibertes.com/produit/ni…) revient pour nous sur une situation souvent incompréhensible rythmée par des choix politiques opaques. Retrouvez-nous sur : https://www.tvlibertes.com/ https://www.facebook.com/tvlibertes/ https://twitter.com/tvlofficiel?lang=fr  « 

Non aux reconfinements mortifères, même locaux

 

 

Par le docteur G. Delépine

 

Le confinement aveugle qui nous a été imposé de manière totalitaire représente la plus grande catastrophe dont la France a souffert depuis 75 ans. Ce n’est pas le Covid19 qui est responsable de la majorité des morts observés ni de l’état catastrophique actuel du pays, mais les mesures sanitaires inadaptées[1] et disproportionnées qui nous ont été imposées.

 

 

 

Ne savent-ils pas compter ou veulent ils veulent-ils sciemment nous nuire ?

Une politique se juge à ses résultats. La politique sanitaire française a été particulièrement contreproductive puisqu’elle nous a amené dans le top 6 européen des plus hauts taux de morts par Covid derrière la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la Grande Bretagne et la Suède avec quatre fois plus de morts qu’en Allemagne (490/million contre 114/M) et 25% de plus qu’aux Pays-Bas qui ont laissé leur population libre de ses mouvements, ne pleurent pas de victimes collatérales et bénéficient de perspectives économiques moins catastrophiques que les nôtres.

 

 

Ce confinement aveugle (astreignant à résidence ensemble les malades contagieux et les biens portants contre toute logique sanitaire ) a été directement responsable d’un excès de 25000 morts [2][3] attribuées au covid19, de 25000 à 30000 morts collatéraux supplémentaires (survenues ou à venir) par arrêt des soins des autres pathologies, d’une aggravation des violences familiales, des pathologies psychiatriques, d’un décrochage scolaire massif[4], d’une fracture sociale sévère[5] et de la plus grave crise économique [6] depuis la dernière guerre mondiale.

Ce bilan catastrophique du confinement ne perturbe apparemment pas le lobby de la terreur qui prône en permanence de le réimposer, sans qu’un débat démocratique ne puisse avoir lieu dans les médias, car les opposants sont le plus souvent exclus.

Ainsi J F Delfraissy, président du Conseil scientifique n’exclut pas un re confinement local[7]. » ni Esther Duflo vante les mérites d’une organisation « sereine » d’un re confinement. Ni Jérôme Marty, président du syndicat de l’Union française pour une médecine libre (UFML) qui estime que  » ce qu’il risque d’arriver c’est un re confinement total, comme ils vont le faire au Royaume-Uni à la Toussaint » ni Christine Rouzioux qui croit que les mesures prises par le gouvernement n’étaient pas assez drastiques et prophétise  » les hôpitaux seront pleins très rapidement et seront submergés.

Le Canard Enchainé a récemment dévoilé le scénario de l’Elysée des confinements locaux prévoyant dans certaines régions avec le passage possible à l’état d’urgence sanitaire. Apparemment, pour eux, quand une mesure a été catastrophique il faut la réutiliser !

L’absence de débat, les mensonges permanents inversant les versions, les chiffres faux et différents selon les sources officielles diverses créent la confusion mentale des citoyens et l’impossibilité totale de comprendre. Ce n’est pas être uniquement de l’incompétence, mais évoque plutôt l’application d’une technique totalitaire bien éprouvée et décrite depuis des lustres, même si elle peut utiliser des incompétents, ou naïfs ou ignorants pour la mettre en œuvre avec le plus grand naturel.

 

Comment avions-nous fait auparavant lors des grandes pandémies modernes ?

Depuis la guerre de 40-45, deux autres épidémies majeures (grippe asiatique et grippe de Hong Kong) ont fait plus de victimes que le Covid19 en France et dans le monde. Elles n’ont justifié ni l’état d’urgence, ni la suspension de nos droits fondamentaux et n’ont pas causé les dommages colossaux que nous constatons actuellement tant pour la société, que pour l’éducation et l’économie.

Et plus récemment en janvier 2017 la grippe banale a tué près de 14000 français. Les médias en ont peu parlé et la vie a continué, normalement. Car la vie est une maladie sexuellement transmissible, en permanence exposée aux dangers, et constamment mortelle…

 

Comment ont fait les pays qui ont vaincu le Covid19 ?

Après la Chine, quatre pays ont affronté le Covid19 avec succès et sans confinement en reposant leur stratégie sur les méthodes traditionnelles de lutte contre les pandémies le contrôle des frontières et l’isolement des malades (la quarantaine de 15 jours).

 

Prophéties mathématiques mensongères et faits constatés dans le monde réel

 

De nombreux articles ont vanté les mérites du confinement aveugle à la française en prétendant, comme les prophéties de Ferguson, qu’il ralentirait le rythme des contaminations, éviterait la surcharge hospitalière, permettant ainsi aux autres malades d’être soignés et d’hospitaliser nos ainés qui en auraient besoin.

En comparant les morts recensés à leur prophéties initiales, ils ont même prétendu avoir sauvé 60000 français et 3 millions d’européens. Leur méthode réside à comparer leur prédiction catastrophique (multipliant par 10 à 20 le nombre des morts attendus) au nombre réellement observé et à s’attribuer le mérite d’avoir grâce à leur recommandation, sauvé la différence.

Leur trucage est évident lorsqu’on analyse l’article où ils se vantent d’avoir sauvé 3 millions d’européens[8] ; dans leur « extended data tableau 1 », ils donnent leurs résultats pays par pays au 4 mai 2020.

 

 

 

Pour la Suède, ils constatent le faible nombre de décès observés (2769), le comparent à leur estimation initiale sans confinement pour cette date (28000) et affirment alors avoir sauvé 26000 suédois, grâce au confinement.

Malheureusement pour eux, les suédois n’ont jamais confiné, démontrant ainsi que les prophéties de Ferguson et ses élèves majorent par dix le risque réel, qu’ils ignorent les politiques sanitaires appliquées par les pays « étudiés » et que leur « vies sauvées » virtuelles ne constituent en réalité que la mesure de l’erreur de leurs estimations.

Il est triste de constater que cet article, grossièrement erroné, a été publié dans la revue Nature jadis réputée pour son sérieux.

 

Les conséquences dramatiques du confinement aveugle dans le monde réel.

Echec contre le Covid19

L’examen des courbes de contamination observées montre que l’astreinte à domicile (ou dans leur Ehpad), ensemble malades et biens portants, n’a pas ralenti le rythme des contaminations en France, comme dans les pays voisins qui ont appliqué cette technique moyenâgeuse.

 

 

 

En Belgique, la propagation de l’épidémie a même été franchement accélérée par le confinement aveugle ainsi que le montre la comparaison des courbes de contaminations en Belgique (confinée) et aux Pays-Bas (non confinés).

 

 

L’accroissement du risque de contamination par le confinement aveugle vient d’ailleurs d’être confirmé par une étude espagnole[9] démontrant, sur des tests sanguins, que les personnes qui n’étaient pas confinées ont été moins infectées que les personnes confinées.

 

 

Cette accélération des contaminations explique l’augmentation de la mortalité dans tous les pays qui ont confiné à l’aveugle. La comparaison des courbes de mortalité entre la France et l’Allemagne (qui n’a pas confiné aveuglément mais pratiqué des quarantaines ciblées est éloquente :

 

Le confinement aveugle pratiqué en France a été suivi d’une considérable augmentation de la mortalité Covid19 contrairement à l’Allemagne

 

Le confinement aveugle est de plus responsable d’environ 30000 victimes supplémentaires actuelles/futures par défauts de soins

Le confinement s’est accompagné du plan blanc réservant la quasi-totalité des moyens hospitaliers au Covid, imposant un arrêt de toutes les activités médicales hors Covid, interdisant toutes les interventions chirurgicales nécessaires aux malades ordinaires. Ce plan blanc a laissé de très nombreux hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et a conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radio etc.

 

En Ile-de-France, le confinement a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé[10].

Or les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt (en général et à bon escient) et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance menacent la vie des malades à court ou moyen terme.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard …) dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

 

Malades aigus déjà morts du confinement

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière affirme que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer des dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Une étude de l’Inserm[11] menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

 

Malades chroniques abandonnés

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale. Des patients fragiles, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les soins en cancérologie désorganisée par les ARS

Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation. Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure. Ce sont les ARS qui ont bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et exigeant qu’on les remplace par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Pays perdu dont les médecins transformés en robots doivent obéir à des administratifs. Il semble bien que cela recommence puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre un nouveau plan blanc alors que le nombre de morts par covid (supposé) est dix fois inférieur à celui de mars au plus fort de l’épidémie.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie comme on l’a vu, de neurologie, d’endocrinologie, rhumatologie, d’insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de les chiffrer précisément avant des années, d’autant qu’il faudra aussi additionner l’excès de morts par suicide à venir à la suite du choc post traumatique subi. Comme nous l’avons déjà écrit la deuxième vague sera psychiatrique.[12]

 

Maladies nouvelles diagnostiquées et traitées avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations observée a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

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380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le plan blanc 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer mais ce chiffre semble être descendu de moitié. L’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne : « pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer”, explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès.”

Si on ajoute les morts prévisibles des autres pathologies, le bilan mortifère du plan blanc s’élève actuellement pour la France à plus de 25000-30000 morts.

 

Au total 25000 morts du Covid19 qu’on aurait pu éviter, 25000-30000 victimes collatérales par défaut de soins soit un total de plus de 50000 victimes du confinement. Ces estimations ne constituent que des minimas auxquels il faut ajouter celles des violences familiales, de l’explosion des pathologies psychiatriques et des suicides, d’une fracture sociale inédite entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées), une catastrophe éducative (avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent pas les autres enfants ni les adultes.

 

Les victimes de la crise économique parfois lointaines et ignorées

La crise économique du confinement s’annonce d’une ampleur inégalée depuis 1945 avec une diminution prévue de plus de 10% du PIB, des dépôts de bilan qui s’accumulent et le chômage reparti vers des records historiques.

La famine sévit déjà en France, où le nombre de pauvres a bondit de plus d’un million et ou les restaurants du cœur doivent faire face à des affluences record. De plus en plus de mamans témoignent : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et je ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

En Afrique l’aggravation de la famine dû à la crise économique du confinement va entraîner, plus d’une centaine de millions de morts d’après l’ONU et le programme alimentaire mondial contre la faim[13] .

 

Une Crise démocratique majeure sans équivalent depuis la dictature de vichy. Le gouvernement de la France qui prétend donner des leçons de démocratie au monde est dirigée depuis plus de six mois sous un état d’urgence plus autoritairement que Taiwan, la république de Corée ou Singapour dont les taux de mortalité Covid19 sont près de 100 fois inférieurs au nôtre, qui ne déplorent pas de victimes collatérales et dont les dégâts économiques s’annoncent deux fois moindres.

La poursuite de prétendues mesures sanitaires dont l’efficacité n’a jamais été prouvée contribue à aggraver la panique et à détruire l’économie.

Reconfiner priverait à nouveau inutilement nos enfants de leur éducation et ferait tellement de dégâts à notre économie déjà très malade que notre capacité à financer sur le long terme notre système de santé et d’autres services publics serait sérieusement entamée.

 

Que peut-ton faire ?

L’opposition – et pourquoi pas des députés et sénateurs de la majorité conscients de foncer dans le mur, et les grands médias doivent cesser d’être à la remorque du gouvernement et adopter une attitude critique constructive sans concession.

Les résultats réels catastrophiques du confinement français doivent être rappelés et dénoncés de même que la prolongation de l’état d’urgence et des mesures sanitaires totalement inutiles, voire nocives (port du masque toute la journée à haut risque d’infection) qui bloquent l’économie avec des normes fantaisistes jamais validées par aucune étude scientifique et des évictions de personnels non malades dont le seul tors a été de se faire tester.

Le Premier ministre norvégien E Solberg a reconnu à la télévision nationale Le 27 mai dernier. « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur » « fermer des écoles et des jardins d’enfants, faire travailler tout le monde à domicile ou limiter les rassemblements à un maximum de cinq personnes a été excessif » C Stoltenberg, directrice de l’Institut norvégien de santé publique a confirmé « le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19. ». Le président Macron se grandirait en reconnaissant, comme elle, avoir agi par peur d’une prophétie catastrophe manipulatrice.

Une politique sanitaire efficace doit être fondée sur l’expérience médicale des pays qui ont vaincu la maladie et pas sur des prédictions mathématiques qui se sont toutes révélées totalement fantaisistes. Plutôt que de prendre modèle sur la Chine, nous aurions dû méditer l’expérience de Taiwan, qui a démontré que « la meilleure façon de contenir le coronavirus n’est pas de mettre en quarantaine les informations sur l’épidémie, mais de les rendre plus faciles et plus pratiques pour personnes à accéder aux informations pertinentes. »

Arrêtons cette propagande de la terreur. Rassurons la population. Mettons fin à cette accumulation de mesures grotesques qui pourrissent inutilement la vie de nos compatriotes et vont achever l’économie.

L’épidémie est terminée et la deuxième vague dont on nous menace depuis quatre mois n’est qu’une vaguelette qui conforte progressivement, grâce aux jeunes, l’immunité collective qui protégera nos ainés comme elle le fait dès maintenant en Suède[14]

 

 

Retrouvons nos libertés pour redresser le pays.

Renforçons le système sanitaire en le libérant du carcan bureaucratique des ARS qui ont montré leur grave pouvoir de nuisance lors de cette crise[15].

Affectons immédiatement plusieurs milliards aux hôpitaux pour qu’ils accroissent leur capacité de réanimation, et l’effectif de leur personnel soignant en augmentant immédiatement d’au moins 300 euros les soignants au contact des malades et en allégeant leurs contraintes administratives. On ne manque pas d’infirmière ni de médecins en France mais leurs conditions de travail en ont dégouté un trop grand nombre ; redonnons-leur le plaisir de traiter les malades et d’être à nouveau utiles.

 

L’OMS lui-même réfute le confinement.

Le Dr David Nabarro a lancé un appel aux dirigeants mondiaux leur demandant d’arrêter « d’utiliser les confinements comme méthode de contrôle principale » du coronavirus. « Les confinements n’ont qu’une seule conséquence que vous ne devez jamais prendre à la légère, c’est qu’ils rendent les gens pauvres beaucoup plus pauvres » « Nous, au sein de l’Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle de ce virus ».

 

 

[1] Aucune des mesures de distanciation sociale qui ont été imposées ne repose sur des preuves scientifiques ni sur une utilisation médicale réussie. Seule la quarantaine a prouvé son efficacité.

[2] Professeur Christian Perronne 16 juin 2020 : « On a eu 30 000 morts en France, j’ai honte pour notre pays. Sur ces 30 000, on aurait pu en éviter 20 000 voire 25 000 »

[3] Par rapport à l’Allemagne qui n’a pas confiné mais pratiqué la prévention classique des épidémies par l’endiguement 24500 morts de trop en France estimation finale Christian Perronne avait vu juste France soir 5 8 2020 http://www.francesoir.fr/covid-19-24500-morts-de-trop-en-france-estimation-finale-christian-perronne-avait-vu-juste

[4] Avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes

[5] Entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées

[6] Chômage en forte hausse, baisse record du PIB. En France, il est estimé que les faillites d’entreprises devraient croître de 25 %, hausse similaire à ce qui est attendu en Italie et en Belgique. En comparaison, l’Allemagne et le Japon devraient mieux s’en tirer (+10 %) sur cette période.

[7] Le 9 10 au micro de BFM TV

[8] Seth Flaxman Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe Nature

. 2020 Aug ;584(7820) :257-261. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32512579/

[9] : Estudio nacional de sero–epidemiologia de la infection por SARS-COV-2 en Espana. Informe preliminar 13 de mayo de 2020.

[10] Parmi ce décompte de consultations, combien en télémédecine, combien avec examen clinique et contact direct en la présence du médecin et du patient ?

[11] Eloi Marijon*, Out-of-hospital cardiac arrest during the COVID-19 pandemic in Paris, France : a population-based, observational study Lancet Public Health 2020 May 27, 2020 https://doi.org/10.1016

 

[12] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vague-psychiatrique-deja-rude-ne-sera-pas-en-cloche : Les psychiatres ont mis en garde dès le début du confinement sur les effets pervers de l’enfermement chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées mais qui décompenseront. Curieusement, s’il l’on compte chaque jour les quelques patients malades du covid ou supposés tels, les vrais et faux positifs et surtout les consultants pour « angoisse de covid » qui constitue le nouvel indice de « vague », un silence de mort pèse sur le versant psychiatrique de cette crise majeure.

 

[13] D’après D Beasley, patron du PAM Lors d’une visioconférence du 21 avril au Conseil de sécurité de l’ONU

[14] D’après le rapport OMS -weekly-epi-update-9 du 9 octobre la France a compté dans la dernière semaine 110 665 nouveaux cas et 480 morts contre 2804 tests positifs et 5 morts en Suède.

[15] En particulier en refusant l’accès des réas puis de l’hôpital aux pensionnaires des Ehpad, en bloquant les soins et les interventions ordinaires durant le confinement et maintenant, en imposant des tests avant tout traitement ce qui aboutit à retarder inutilement les soins nécessair

 

 

 

Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique 

publié initialement sur France Soir

 

 

 

Le communiqué du 2 juin du conseil scientifique se décerne un satisfécit sans regarder les faits et tente par des scénarios improbables (issues de modélisation erronées) de faire perdurer la peur qui paralyse la population et l’empêche de défendre ses libertés. Ainsi il prétend sans avoir étudié cette cinétique :

« La période du confinement a permis de ralentir la dynamique de l’épidémie de façon marquée »

L’utilisation des analyses de rupture de tendance lui aurait permis de constater que le confinement aveugle et policier à la française n’a été suivi du moindre ralentissement des contaminations dans aucun des pays qui l’a pratiqué et que la baisse des contaminations a été observée bien plus tard (5 semaines) et naturellement de la même manière dans les pays confinés ou pas.

La comparaison entre la Belgique et les Pays bas permet de suggérer même que le confinement strict accélère les contaminations.

Épidémie terminée et « en même temps » confinement relatif poursuivi 

Les conséquences du confinement sont désastreuses et vont nous faire souffrir plusieurs années. Alors que ces deux mois et demi furent délétères pour la France, les limites lourdes à la liberté imposées par le gouvernement empêcheraient-elles la vie de reprendre normalement, tant sur le plan psychique que médical, scolaire, social, économique?

Pourtant nous sommes en fin d’épidémie et les quelques cas encore décelables ne justifient en aucun cas de bloquer 67 millions d’habitants. En revanche, ils justifieraient d’un traitement efficace, utilisé dans le monde entier.

Pourquoi les en priver et en conduire certains à une maladie éventuellement longue sur plusieurs semaines ?

Un but subliminal : poursuivre la terreur ?

Ceci nous conditionnerait à accepter des vaccins (qui ne verront sûrement jamais le jour), ou au moins une drogue chère comme le Remdesivir de Gilead. Il suffit de jeter un rapide coup d’œil aux cours en Bourse de Gilead et de laboratoires tonitruants sur un éventuel vaccin, pour voir que les acrobaties médiatiques du genre Lancet ne sont pas gratuites. Elles permettent, en quelques jours, de doper le cours de l’action boursière et pour les initiés de gagner beaucoup d’argent.

Depuis le desserrement du confinement policier mortifère qui nous a été imposé inutilement, le lobby de la peur essaie d’entretenir la panique créée par les médias et le gouvernement, afin de maintenir notre soumission et l’abandon de notre bien le plus précieux, notre liberté.

En témoignent de nombreux articles mensongers qui prétendent que le confinement aurait « sauvé des vies », qu’il faut « craindre une deuxième vague » d’épidémie parce que « l’immunité collective serait insuffisante » (note 1,2,3), que « l’application stop Covid serait utile ». Même le syndicat des avocats a dénoncé cette application à éviter absolument et à désinstaller, si elle a été installée silencieusement lors d’une mise à jour de votre portable (Note 4).

En réalité, l’épidémie se termine en France comme partout en Europe. Il n’y aura pas de vraie deuxième vague de Covid19, car cela n’est jamais observé dans les maladies virales (Note 5). Et il ne faut pas se préoccuper de la faible prévalence de la maladie dans la population, car l’observation des épidémies précédentes montre que l’immunité collective ne détermine presque jamais leur évolution. L’enthousiasme pour les tests, toujours peu au point, et non spécifiques, ne repose que sur l’envie du gouvernement de perpétuer la peur, et de nous maintenir dans l’angoisse de nouvelles contaminations. Ils n’ont pas d’intérêt alors que l’épidémie est terminée.

Ne cédez pas à la pression des médias et des autorités pour vous faire ficher ; l’usage du test est devenu une arme politique pour faire croire qu’on s’occupe de son peuple, de sa ville. Il n’a plus aucun intérêt à ce stade de disparition de cette virose.

Le confinement aveugle et policier n’a ni diminué, ni ralenti l’épidémie

Contrairement aux prédictions issues des simulations qui l’ont motivé (Note 6), le confinement policier n’a ni ralenti, ni diminué la propagation de l’épidémie. Plutôt que de croire aux annonces de propagande basées sur les succès virtuels de modélisations biaisées (Note 7) qui encensent cette technique moyenâgeuse et inefficace (Note 8), ou de ceux qui veulent à tout prix se consoler d’avoir été emprisonné sans faute, il faut regarder les faits réels, les faits observés, les faits constatés.

Résultats comparatifs des pays confinés ou non, d’après les chiffres OMS

Les données publiées par l’OMS prouvent que la propagation de l’épidémie n’a été ni retardée, ni amoindrie par le confinement aveugle dans aucun des pays qui l’ont imposé à leur population.

Dans les pays confinés, les évolutions du nombre de contaminations quotidiennes avant et après le verrouillage, ne montrent en effet aucun signe de discontinuité (Note 9), ni dans leurs taux de croissance, ni dans leurs temps de doublement. Cette remarque a été le sujet d’un article bien documenté (Note 10). Ceux qui prétendent que le confinement aurait évité l’accélération, protégeant de fait d’une surcharge des hôpitaux, sont démentis par les faits que démontrent les résultats comparés entre pays voisins de même culture.

Infections cumulées Belgique versus Pays-Bas

Et si on compare la propagation de l’épidémie dans les pays adeptes du confinement autoritaire à la française à celle observée dans les autres pays, on s’aperçoit que le confinement aveugle a été délétère. A titre d’exemple, la comparaison des courbes d’infections cumulées entre la Belgique (confinée) et les Pays-Bas (non confinés), pays proches, suggère que le confinement policier aurait même pu accélérer l’épidémie. En effet c’est dix à quinze jours après le début du confinement belge que la propagation de l’épidémie s’accélère dans ce pays, alors qu’elle reste stable aux Pays-Bas non confinés.

Le bilan médical actuel du confinement aveugle franco-italien appliqué aussi en Belgique et en Espagne est catastrophique

Pour évaluer la balance avantages/risques du confinement, il ne faut pas se baser sur les résultats des simulations (Note 10) qui inventent des morts virtuels, théoriques, mais se baser uniquement sur les faits réels, avérés et publiés.

Mortalités comparées

D’après les données publiées par l’OMS le 30 mai 2020 (note 11), la mortalité directe du Covid19 est beaucoup plus élevée dans les pays qui ont pratiqué le confinement aveugle (sans séparer les porteurs de virus des autres) et autoritaire (avec contrôle policier), que dans ceux qui ont pratiqué la quarantaine ciblée (réservée aux seuls porteurs de virus) et fait confiance à leurs citoyens (conseillés et non astreints à domicile).

Au 29 mai 2020, exprimée par million d’habitants, la mortalité officielle directement liée au Covid19 atteint 810 en Belgique, 621 en Espagne, 548 en Italie et 459 en France, pays adeptes du confinement aveugle et policier, contre 100 en Allemagne, 98 au Danemark et 4 à 7 dans les pays asiatiques démocratiques qui n’ont pas confiné leur population.

En adoptant les mesures sanitaires de l’Allemagne, nous aurions probablement 23.000 morts de Covid19, en moins à déplorer. Et sans aucune mesure sanitaire, à l’instar des Pays-Bas, nous pourrions avoir eu 6.100 morts directes du Covid19 en moins.

Morts de Covid19 ou suspectés, et morts « politiques « liées aux conséquences d’une mesure politique et non sanitaire (note 12)

A ce surplus de mortalité directe lié au confinement aveugle, il convient d’ajouter les victimes collatérales et en particulier les malades souffrant de pathologies chroniques (cancéreux, cardiaques, déprimés) qui ont subi l’arrêt des traitements prévus, arrêt imposé par le plan Blanc (note 13) et les nouveaux malades qui n’ont pas pu être diagnostiqués, ni traités du fait de l’interdiction d’opérer les malades non reconnus urgents par les agences régionales de santé.

Les morts pendant le confinement, et les décès anticipés, non dus au Covid19 mais au retard de soins (note 14)

Depuis le début du confinement, 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer. Même l’académie de chirurgie s’en inquiète dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Plus d’un million d’interventions auraient été déprogrammées, remises aux calendes grecques, puisqu’on ne sait toujours pas quand le véritable déconfinement aura lieu, et que les mesures déjà discutables au début de l’épidémie sont maintenant imposées alors qu’elles sont aujourd’hui devenues complètement inutiles.

De combien de morts supplémentaires ces retards aux traitements seront-ils responsables ? Et cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie (infarctus dont seulement la moitié des malades attendus se sont présentés en consultation), de neurologie (là aussi moitié moins d’accidents vasculaires constatés à l’hôpital), d’endocrinologie, rhumatologie etc. (note 15)

Alors que l’épidémie se termine et que les hôpitaux sont aux trois quarts vides, le plan blanc a interdit jusque récemment aux chirurgiens d’opérer (note 16), blocage maintenu par les agences régionales de santé pour une durée indéterminée et un nombre croissant de victimes supplémentaires. (note 17). L’étau semble se desserrer, mais les cliniques craignent de manquer de produits anesthésiques, alors que les besoins en réanimation sont en grande baisse.

Le bilan médical du confinement devra aussi prendre en compte les complications psychologiques et en particulier les suicides liés à l’astreinte à domicile, aux pertes de salaires et au chômage que constate déjà la presse australienne (note 18, 19 20)et qui pourrait atteindre jusqu’à 150000 victimes aux USA si le déconfinement est trop lent (note 21). Ce bilan n’est pas près d’être terminé.

Les raisons du dramatique échec médical du confinement à la française

Les simulations des prophètes de l’OMS qui ont convaincu de nombreux gouvernements de confiner aveuglément leurs populations ont très largement surestimé le risque réel de la maladie virale et oublié les autres pathologies, le gain espéré de leur mesure et refusé de prendre en compte les complications médicales, sociétales et économiques qui s’annoncent catastrophiques. Nos gouvernants, plutôt que de croire ces prophètes de malheur auraient dû suivre l’exemple des pays asiatiques démocratiques qui ont protégé leurs populations du covid19 et des complications du confinement policier aveugle à la française.

Dans toute l’histoire de l’humanité la lutte contre les épidémies repose sur l’hygiène, la compréhension des modes de propagation des maladies infectieuses, la mise en place de mesures efficaces de désinfection et la séparation des porteurs de germes de la population saine. Ainsi, actuellement le règlement sanitaire international prévoit en cas de peste, l’isolement de tout le groupe de voyageurs, même si une seule personne est touchée, tandis qu’en cas de fièvre jaune ou de choléra, seul l’isolement de la personne atteinte est obligatoire.

Le confinement aveugle de toute une population tel qu’il nous a été imposé est une mesure connue pour être inefficace. En France, elle avait été utilisée pour la dernière fois lors de la peste de Marseille entraînant la mort de la moitié de la population de la ville, sans empêcher la diffusion de la maladie à toute la Provence avec 70.000 victimes supplémentaires. Cette méthode du passé, remise à la mode par la dictature chinoise, a été présentée par le mathématicien -prophète de l’OMS, N Ferguson comme la méthode la plus efficace (note 23 24) de lutte contre l’épidémie.

Mais la simulation de l’Imperial College n’avait apparemment pas envisagé que le confinement d’un adulte malade à la maison (avec seulement du doliprane) constituait le meilleur moyen de contaminer toute la famille, voire les voisins.

Un confinement aveugle sans réflexion

Il eut fallu réfléchir à l’illogisme d’enfermer soignants, policiers ou agents de transport RATP, bus, etc. exposés à de fortes charges virales qui vont et viennent avec leurs familles bloquées à domicile, en milieu clos peu aéré (en raison de la peur transmise sur les médias du vol de virus à travers l’air extérieur, « au-dessus d’un nid de coucous »).

Même si les autorités n’y avaient pas pensé, rien ne les empêchait de rajuster la mise lorsqu’il apparut au début de l’épidémie et la virulence du coronavirus que les soignants étaient les plus rapidement et fortement touchés. D’ailleurs soulignons que les autorités nous ont vanté, tout au long de cet enfermement liberticide accompagné de mesures humiliantes, le modèle de Wuhan. Mais les Chinois, eux, recherchaient avec opiniâtreté les citoyens fiévreux dans les appartements et extrayaient les personnes suspectes pour les isoler rapidement de leur famille.

Nous n’avons retenu que l’autoritarisme chinois, mais moins la logique sanitaire.

Incompétence ou malveillance des ARS ?

Les directions des Agences Régionales de Santé ont imposé aux responsables d’EHPAD de garder les infectés de retour des urgences, y compris après un séjour à l’hôpital où ils avaient été étiquetés Covid19. Ils revinrent sans traitement autre que le doliprane et donc rien ne permettant de faire baisser la charge virale. Ils rejoignirent les autres résidents au moins dans les premières semaines et personne ne s’étonna de la forte contamination chez les ainés, de plus fragiles. N’auraient-ils pas dû comprendre qu’ils favorisaient ainsi la contamination de tous les pensionnaires pourtant les plus fragiles d’entre nous, ceux qu’ils devaient protéger ?

Au-delà du 20 Mars et la circulaire précédent le décret Rivotril du 26 mars (note 24) interdisant le traitement actif des ainés et autorisant l’injection de Rivotril en cas d’insuffisance respiratoire possiblement Covid, les patients ne furent même plus envoyés aux urgences pour préciser le diagnostic. Les habituels infarctus, embolies pulmonaires ou pneumonie bactérienne furent laissés de côté et le résident atteint bientôt euthanasié et étiqueté Covid19.

Que penser du ministre dont les décrets ont interdit la chloroquine soi-disant dangereuse pour prôner le Rivotril à coup sûr mortel en cas de complications respiratoires !

Curieusement, les simulations n’imaginèrent pas non plus que les soignants (qui ne disposaient pourtant pas de protection lors du premier mois de l’épidémie) puissent contaminer leurs malades venus consulter ou leurs voisins dans les transports publics.

Ni que les employés des transports publics et les policiers puissent être contaminés et contaminants parce que non protégés (même interdits de l’être par leur ministre). On entendit ainsi un haut responsable de la santé déclaré à la télévision que les soignants malades s’étaient infectés chez eux !

La sommation de ces erreurs explique que les pays adeptes du confinement strict, mais sans isolement des malades ou des personnes à risque, comme les soignants, comptent davantage de morts que ceux qui ont pratiqué les méthodes médicales éprouvées de l’endiguement (quarantaine) et même que ceux qui n’ont presque rien imposé à leurs populations (Pays-Bas, Suède, Islande).

Le rôle et la responsabilité de l’OMS, ainsi que de Neil Ferguson de l’Imperial College seront à évoquer en détail lors d’une enquête sur le devenir et l’efficacité de nos contributions à cette organisation ainsi qu’à ses publications. La confiance n’excluant pas le contrôle, il sera d’autant plus important de conduire un audit approfondi des recommandations faites par l’OMS qui a ce jour donne plus le sentiment de se comporter comme la FIFA jadis. Verra-t-on le prochain scandale venir des modes opératoires de l’OMS ? FIFA gate, OMS gate ?

Il faudra aussi auditer les décisions publiques autoritaires qui ont été prises en France ont été particulièrement nocives et justifient des enquêtes approfondies (note 25) pour éviter que cela ne puisse se reproduire. Un regard sur la politique italienne de réduction de la mortalité journalière est parlant.

Heureusement, l’épidémie se termine en France comme dans les autres pays d’Europe

Les données publiées par l’OMS montrent que l’épidémie se termine en Europe continentale et en Méditerranée orientale. Depuis la seconde semaine d’avril, le nombre moyen quotidien de nouvelles contaminations a régulièrement diminué ; ce recul atteint 92% en France et dépasse les 85% chez la plupart de nos voisins, même ceux qui présentaient les plus gros chiffres de contaminations depuis le confinement.

La comparaison de l’évolution de l’épidémie en Belgique et aux Pays-Bas, proches par leur situation géographique et leurs modes de vie, est particulièrement frappante et questionne une fois de plus sur l’utilité même du confinement. En effet, les Pays-Bas, qui n’ont pas restreint les libertés publiques, bénéficient de la même régression (83%) de l’épidémie et dans les mêmes délais que la Belgique confinée policièrement après avoir pleuré au total 344 décès par million d’habitants contre 810/1000000 en Belgique.

Il n’y aura pas de deuxième vague (note 26) ou se sera une vaguelette comme pour les autres épidémies

Lors des épidémies virales il n’existe pratiquement jamais de deuxième vague du même virus. Il y a eu précédemment deux épidémies comparables : le SRAS et le Mers et aucune ne s’est exprimée en plusieurs vagues.

Après quelques mois et sans qu’on ne sache pourquoi, l’épidémie s’éteint même si au total peu de personnes ont été immunisées. Contrairement à ce que prétendent les simulations et en particulier celle de Ferguson ou de ses élèves de l’institut Pasteur parisien, ce n’est pas le pourcentage de personnes immunisées qui explique l’arrêt des contaminations.

Le professeur Jean-François Toussaint, lors d’un entretien à la Charente Libre, précise que l’hypothèse d’une deuxième vague est très peu crédible « sur l’analyse dans les 188 pays qui ont déclaré des cas et sur la dynamique évolutive de la maladie ».

Mais certaines épidémies, comme la grippe dont le virus ne dure le plus souvent qu’une saison, reviennent chaque année.

Et jusqu’ici, nous surmontions ces épreuves sans imposer à la population des mesures autoritaires injustifiées et souvent ubuesques qui ont aggravé la situation sanitaire immédiate et impacté l’économie pour plusieurs années.

Le tsunami économique qui nous attend sera pire que celui de 1930

Selon l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques (Note 27), les huit semaines de confinement ont déjà diminué le PIB 2020 de 120 milliards d’euros (soit 5 points de PIB). Les secteurs les plus durement touchés sont ceux des transports, de l’hébergement et de la restauration, la construction et les activités de loisirs et le commerce de détail. En tenant compte du rétablissement ralenti par la persistance incongrue des mesures de déconfinement, l’impact global pour 2020 serait de -10 points de PIB.

D’après l’INSEE, le PIB français diminuerait d’environ 20 % au deuxième trimestre 2020 (après –5,8 % au premier). Ce serait la plus forte récession depuis la création des comptes nationaux français en 1948. Même si l’activité économique revenait intégralement à son niveau d’avant crise dès le mois de juillet, le PIB français diminuerait de 8 % sur l’année 2020, or un retour aussi rapide à la normale semble peu réaliste. L’impact global de la crise sanitaire en 2020 sera donc certainement supérieur à ce chiffre.

L’Organisation Internationale du Travail alerte sur les ravages sanitaires et sociaux de la crise qualifiant l’impact sur l’emploi de profond, d’une grande portée et sans équivalent. 1,25 milliard de travailleurs sont exposés à des licenciements, pertes d’activité et de revenus, du fait du confinement dans le monde.

Comme toutes les grandes crises économiques, celle de 2020 a été baptisée : celle du « Grand Confinement » par Gita Gopinath. Selon les prédictions du FMI, l’économie mondiale va connaître « sa pire récession depuis la Grande Dépression ».

Et lorsqu’on constate que l’étendue (5 817 385 infectés) et la mortalité mondiale (362 705) du Covid19 au 30 mai, se situent dans la fourchette basse des grippes saisonnières (environ 20 millions d’infectés et 290 000 à 550 000 morts), on peut déplorer que les mesures injustifiées pour lutter contre une fausse pandémie aient créé une vraie misère.

En urgence, lever les mesures liberticides inutiles et toxiques

Ces constatations conduisent à demander en urgence aux décideurs de lever les mesures coercitives de confinement encore imposées :

Reprendre les activités scolaires partout, à tous les âges et sans mesure de distanciation ni masques, particulièrement chez les petits très traumatisés par ce théâtre tragique.

Libérer les « EHPAD » dans lesquels nos ainés sont devenus des bêtes de zoo, dans leurs prisons même pas dorées. (Note 28) Signez les pétitions pour accélérer leurs sorties de prison, alors que leur seule faute est le grand âge et/ou la dépendance.

Libérez l’activité économique, dans les cafés, restaurants etc. Ces mesures de distanciation imposées sont grotesques, alors que l’épidémie se termine et bloquent de fait la reprise économique dont le pays a tellement besoin.

Impérativement rendre aux médecins de ville et d’hôpital leur liberté de soigner, en particulier libérer la prescription de chloroquine après le triste feuilleton de l’étude biaisée ou inventée du Lancet et la décision brutale du ministre d’aggraver encore le décret mortifère du 26 Mars.

Abroger les décrets liberticides du 26 mars et sa prolongation injustifiée.

Faire stopper complètement le plan blanc, afin que les chirurgiens puissent reprogrammer leurs patients, les rassurer et finalement les soigner. Le bilan spécifique du plan blanc devra être passé à la loupe, car complètement inutile et extrêmement toxique pour les patients et leurs équipes chirurgicales.

Selon Frédéric Bizard, « l’impact sur le volume de la crise Covid19 a été estimé en chirurgie avec une baisse comprise entre 1,7 million et 2 millions d’actes chirurgicaux, soit une chute du volume comprise entre 25% et 29% selon la date de levée du plan blanc. L’évolution des tarifs a été estimée selon les engagements gouvernementaux de 2019 pour les années 2020 à 2022 en chirurgie. L’impact économique global est compris entre 4,2 milliards d’euros et 5 milliards d’euros de baisse des dépenses de chirurgie pour l’assurance maladie en 2020 ». (Note 29)

Activités médicales interdites pour RIEN ! Tout Covid, rien que Covid

Les lits libérés restèrent vides tant en privé qu’en public, et la surcharge en réanimation jamais soulagée par cette privation générale d’activité, les ARS, encore elles, ayant refusé de transférer les malades dans les lits privés (sauf en IDF dans quelques établissements), préférant jouer à la guéguerre à coups d’hélicoptères, et de TGV avec transferts en France ou à l’étranger. En public, ce fut la même chanson, pas d’autres malades que covid19 sauf urgence extrême. Les internes se sont beaucoup ennuyés pendant deux mois et racontent avec beaucoup d’émotion les pertes de chance de leurs patients « habituels ».

Quant au Ségur (Note 30), il est certain que si l’on en espère quelque chose, il serait impératif qu’il se déroule avec une équipe neuve, sous la houlette d’un ministre non responsable des erreurs récentes avant et pendant la crise sanitaire, et surtout après la prise de position ahurissante du ministre de la santé interdisant la chloroquine sur la foi d’un article complètement caviardé, qu’il ne peut avoir lu, et qui fait de nous la risée du monde entier.

Bien curieux film que la gestion de ce Covid19 qu’aucun scénariste n’aurait osé écrire. Pas crédible !

Notes

Note 1 : Jean-François Delfraissy, le Président du conseil scientifique, a annoncé que « le taux d’immunité de la population française face au coronavirus est plus faible que prévu ».

Note 2 : Simon Cauchemez dans Le Monde « dans tous les cas, on sera très loin des 70 % dont on aurait besoin pour pouvoir faire une sortie du confinement sans problème »

Note 3 : Toute cette propagande de la terreur repose sur des simulations mathématiques dont « l’étude de Pasteur qui a utilisé l’un des meilleurs modèles qui existe actuellement » ; ce modèle prédisait 70000 morts en Suède si elle refusait de confiner. La Suède n’a pas restreint les libertés et ne comptait au 30 mai que 4266 morts soit quatorze fois moins qu’annoncé.

Note 4 : Allez sur réglages, confidentialité, puis santé avec un cœur rouge et là si installée, désinstaller et vérifier régulièrement, sauf si vous souhaitez cette application, mais ce doit être un choix et non pas une manœuvre cachée.

Note 5 : La soi-disant « deuxième vague » de la grippe espagnole était en fait une poussée d’infections bactériennes favorisées par la malnutrition et l’épuisement de la population après l’épidémie de grippe ; une telle complication ne peut plus se reproduire depuis l’arrivée des antibiotiques (sauf si on refusait d’en donner aux patients comme cela s’est passé avec l’injonction Rivotril et rien d’autre, imposée en début d’épidémie de Covid, mais les français se seront réveillés.

Note 6 : www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 7 ripostelaique.com/le-confinement-na-pas-sauve-61-000-vies-mais-i…

Note 8 La dernière fois que cette technique a été utilisée en France au 18ème siècle, elle a abouti à la mort de 50% de la population marseillaise sans empêcher l’extension de l’épidémie à la Provence (70000 morts supplémentaires) et à l’Italie.

Note 9 : Analyse de recherche de changement de tendance (break point analysis) négative = aucune différence sur la vitesse de propagation du virus n’est apparue entre la période d’avant le confinement et pendant le confinement. Le confinement n’a pas ralenti l’épidémie contrairement à trop de racontars sur les TV. Seuls les chiffres font foi.

Note 14 : www.academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/6ef75…

Note 15 : academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/449c6ce34…

Note 16 : www.economiematin.fr/news-ouverture-bloc-operatoire-danger-malades-confi… ?

Note 17 : youtu.be/eay-Txlr-GQ

Hôpitaux & Cliniques : Interdiction d’opérer » Dr Nicole DELÉPINE 16 MAI 2020

Note 18 : www.telegraph.co.uk/news/2020/05/07/australia-fears-suicide-spike-due-virus-shutdown/

Note 19 : www.breitbart.com/health/2020/05/07/report-suicide-rise-from-lockdowns-to-kill-more-than-coronavirus-in-australia/

Note 20 : www.sbs.com.au/news/australia-s-suicide-rate-could-surge-due-to-economic-fallout-of-coronavirus

Note 21 : Petterson, Steve et al. “Projected Deaths of Despair During the Coronavirus Recession,” Well Being Trust. May 8, 2020. WellBeingTrust.org

Note 22 : Présentée comme le technique ‘extinction’ de la maladie dans la simulation du rapport 9 d l’Impérial College

Note 23 : http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 24 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion…

Note 25 : Car il s’agit de récidivistes ; les précédentes simulations de Ferguson sur le Sida, la grippe H1N1, la maladie de la vache folle, l’Ebola ont été toutes aussi fausses, exagérant à chaque fois considérablement les risques

Note 26 : https://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-genese-et-consequences-dune-hys…

Note 27 : Evaluation au 20 avril 2020 de l’impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures de confinement en France”,

Note 28 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/epidemie-terminee-mesures-224795

Note 29 : Et combien d’autres professions impactées : « l’activité chirurgicale génère en amont du geste opératoire de l’activité pour d’autres secteurs (secrétariats médicaux, analyses biologiques, prothèses, masques, produits d’hygiène, activités de recherche…) ainsi qu’en aval (infirmières, aide soignantes, kinésithérapeutes en ville, soins de suite, ambulances, taxis, laboratoires d’anatomopathologies…). »

Note 30 : http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-contes-de-segur-revus-et-…

 de nombreux commentaires méritent lecture :  par exemple en copie  sur le site Les 7 du Québec
savoureux  message de Nadine le 13 juin 20

 

« En résumé, il y a eu sur-réactions en chaîne, en sacrifiant l’activité du pays au risque … épidémique.
A noter, le mutisme absolu de l’opposition.

1° – La crainte d’une épidémie ?
Non, même si les architectes de l’ordre mondial et leurs partisans l’ont possiblement lorgnée.

2° – Sur-réactions des autorités ?
Non plus, hors divagations significatives…

– 13 janvier 2020 – En l’absence de données scientifiques sur le sujet (!), Jérome Salomon, directeur général de la santé, par délégation pour Agnès Buzyn (dont l’incompétence fût patente et dangereuse), classe de facto l’hydroxychloroquine « sur la liste II des substances vénéneuses ».

19 février 2020 – Macron a décidé de manifester sa solidarité avec le peuple chinois confronté au coronavirus, et annonce l’envoi de 17 tonnes de matériels médicaux (masques, gants, produits désinfectants, combinaisons médicales de protections) à destination de Wuhan. Avec, entre autres, l’appui du groupe LVMH selon France Diplomatie.

– 26 février 2020 – autorisation du match de football O.L/Juventus, au Groupama Stadium à Décines (15 km de Lyon).
Avant de rejoindre le stade, une dizaine de milliers de supporters turinois (bien plus que les 3 000 attendus) se sont baladés toute l’après-midi dans les rues de Lyon, à un moment où la Lombardie, notamment, était déjà particulièrement affectée par le coronavirus.

– 6 mars 2020 – Sortie médiatisée de Macron et Brigitte au théâtre Antoine à Paris.
La pièce « Par le bout du nez » met en scène un tout nouveau président qui, pris d’une démangeaison nasale alors qu’il doit prononcer son discours d’investiture, est contraint de consulter un psychiatre.
Voilà qui laisse songeur …
Selon des témoins, Macron aurait alors déclaré : « La vie continue. Il n’y a aucune raison, mis à part pour les populations fragilisées, de modifier nos habitudes de sortie ».

11 mars 2020 – Tweet Emmanuel Macron @EmmanuelMacron :
« Nous ne renoncerons à rien.
Surtout pas à rire, à chanter, à penser, à aimer. Surtout pas aux terrasses, aux salles de concert, aux fêtes de soir d’été… ».

Cocaïné le président … ?

– 15 mars 2020 – 1er tour des municipales.
Macron, Levy, Buzyn, Philippe et tant d’autres savaient, et auraient choisi de se taire ?

– 15 mars 2020 – Après être allée voter, sortie médiatisée de Brigitte Macron sur les quais de Seine à Paris. Masquée et accompagnée de ses gardes du corps, elle saluait les badauds en leur demandant de « rester à distance respectable ».
La mise en scène n’a pas de secrets pour une ancienne prof de théâtre.

– 17 mars 2020/12:00 – ordre de confinement généralisé de la population.

Aucun problème pour d’éventuelles suites ou poursuites. Dans un grand élan de solidarité parlementaire, les apôtres du confinement se sont auto immunisés … contre la justice.

On ne peut donc que noter l’absence de risque épidémique.

3° – Vent de panique ?
Non. Sauf réactions politiques inappropriées, l’inavouable étant de justifier l’effondrement de l’économie par le confinement, lequel effondrement – épidémie ou pas – se serait de toute façon matérialisé suite à la gestion vereuse et calamiteuse du pays depuis des dizaines d’années.
Miracle, c’est la faute au coronavirus ! Il arrive à point nommé celui-là.

– 21 mars 2020 – Sur LCI, le professeur Christian Perronne (PU-PH) alerte sur la disparition totale des stocks d’hydroxychloroquine en France.

21 mars 2020 – Mise en scène sur mesure pour E. Macron. Montage d’une structure hospitalière (militaire) de campagne à Mulhouse. Capacité initiale « 30 lits réanimation » aussitôt passée à 20 lits.
Opérationnelle le 24 mars 2020, en partie démontée dès le 17 avril 2020, matériels/lits/respirateurs retirés le 22 avril 2020.
Sans parler du coût d’une telle prestation, de qui se fiche-t-on ?

– 22 mars 2020 – Communication navrante et inopportune d’Ursula von der Leyen, présidente de l’UE, via une vidéo à destination des peuples européens, où elle se met en scène dans une séquence de lavage des mains.
« Inopportune » dans la mesure où l’UE a été la grande absente dans cette crise dite « sanitaire ».
L’infantilisation dans la communication n’est pas de bonne augure.

– 27 mars 2020 – Les médecins généralistes ne sont plus autorisés à prescrire l’hydroxychloroquine. On se demande bien pourquoi ?
Il apparaît choquant que c’est l’Ordre des Médecins qui est à la manoeuvre alors que cette Institution est responsable des déserts médicaux en France.
La non indépendance du CNO (Conseil National de l’Ordre), et en particulier de son Président, par rapport à certaines « influences » est mise en cause.

– Parallèlement à une tension due au manque d’approvisionnements en Plaquenil (dérivé hydroxychloroquine), les pharmaciens ne peuvent plus vendre ni masques ni tests. Pourquoi ?

Les cliniques privées ne peuvent pas accueillir les malades du civil (3 000 lits sont restés inoccupés). Pourquoi ?

– Les pensionnaires contaminés dans les EHPAD avaient droit au Rivotril, avec le succès qu’on lui connaît.

– 8 avril 2020 – Castaner, ministre de l’Intérieur, affirme devant la Commission du Sénat qu’il n’y a « pas eu de réquisition, ni par l’armée ni par qui que ce soit » des masques commandés par la région Bourgogne-Franche-Comté.

– 10 avril 2020 – Suite à la plainte pour réquisition de masques à l’aéroport de Bâles/mulhouse , Castaner reconnaît les faits. Inutile de poursuivre dans le parjure, les documents confirmant cette « réquisition » commencent à sortir. Mensonge d’Etat avéré, sans conséquence aucune pour son auteur.

– 24 avril 2020 – Suite à la polémique, le Ministère des Armées reconnaît « avoir acheté, par précaution, un stock important de chloroquine … à la Chine ».
Étrange explication, d’autant que cette molécule avait été classée « vénéneuse » en … 1999, ce qui avait entraîné de facto la même issue pour l’hydroxychloroquine en janvier 2020.

– 18 mai 2020 – L’attitude plus que déconcertante de l’OMS dans cette affaire, ses stratégies divergentes, le vaccin « obligatoire » pour tous, sèment le trouble quant aux réelles compétences de ses membres et à l’occulte dépendance de l’Institution aux lobbies pharmaceutiques.

– 26 mai 2020 – La très sérieuse revue médicale « The Lancet » y est allée de sa plume, et a publié – avant de se rétracter le 4 juin suivant – une étude falsifiée dans laquelle le ministre de la santé Olivier Veran a foncé tête baissée pour justifier l’interdiction de l’hydroxychloroquine.
Bien synchronisé ce coup là !

– 2 juin 2020 – Appli Stop Covid19. Tester la population et voir si elle se soumettait aux mesures liberticides imposées.

Demander aux peuples de la rigueur dans la gestion financière, pour mieux relancer l’économie, alors que ces mêmes prophètes étaient, et sont encore aux premières loges pour accélérer la débâcle, est d’un cynisme abyssal.
Nous sommes gouvernés par des imposteurs et le masque est devenu muselière.
Le rideau de fumée commence à piquer les yeux. Ce n’est plus de masques qu’on a besoin, mais de lunettes.

En résumé, il y a bien eu « conspiration ».
Libre à ceux qui veulent croire à la fable de la chauve-souris et du pangolin. »