Maître Jacques Schroeter: Vaccins Covid — Un peuple gravement trompé par ses autorités

Par Maître Jacques Schroeter     Mondialisation.ca, 03 novembre 2022

covidhub.ch      Région : L’Europe  Thème: Loi et JusticeScience et médecine

Analyses: COVID-19    

TOUT EST DIT ET BIEN DIT

A PARTAGER  A ENVOYER A TOUS LES DEPUTES ET SENATEURS FRANCAIS ET A TOUS ELUS

Lettre de l’avocat Jacques Schroeter au Conseil fédéral. Il accuse les autorités de déni face aux dégâts des mesures et des vaccins Covid. Et annonce des suites judiciaires possibles – notamment pour lésions corporelles et homicide.

Voici le texte intégral de la lettre adressée le 25 octobre 2022 au nom de 700 mandants par l’avocat valaisan au gouvernement. Intertitres de Covidhub.

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Maître Jacques Schroeter

Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux,

Dans ma lettre du 24 août 2022, je vous demandais si le fait d’inoculer vos sujets d’une substance expérimentale pour laquelle vous n’aviez aucune connaissance sur les conséquences à long terme vous avait causé un cas de conscience et, si oui, ce que vous aviez fait de ce sentiment ?

A ce jour, je ne connais toujours pas votre point de vue sur le sujet. Mais nous y reviendrons plus loin.

Votre mensonge des «vaccins efficaces et sûrs à 95%»

Dans ma lettre suivante du 8 septembre 2022, je vous demandais si le fait d’avoir affirmé à vos sujets que vos pseudo « vaccins » étaient efficaces et sûrs à 95 %, alors que cela est un mensonge, et même un mensonge d’envergure, vous pose également un cas de conscience et, dans l’affirmative, si vous nourrissez quelques regrets d’avoir trompé vos administrés ?

Je n’ai pas plus de réponse de votre part à ce sujet.

L’absence de réponse serait-elle à mettre en rapport avec celle de la bonne conscience ? La question peut pour l’instant rester ouverte.

Comment avez-vous pu vous laisser embarquer… ?

Mais aujourd’hui, je me demande comment vous n’avez pas pu voir la réalité des choses? Comment le Conseil fédéral et les autorités cantonales ont pu se faire embarquer dans ce grand mensonge qu’est l’épidémie Covid ? Comment les autorités ont pu se laisser amener à instaurer toutes les mesures insensées prises au détriment du peuple ? Avec au final, l’espoir de voir ces autorités sortir de leur torpeur, prendre conscience de la gravité de la situation, changer de cap, œuvrer pour le bien des citoyens et assumer les responsabilités qui sont les leurs.

Et si je devais me tromper sur le fait que les autorités ont été manipulées et s’il devait s’avérer que c’est sciemment qu’elles ont agi, alors là, la situation atteindrait un niveau de gravité tel que ces autorités s’inscriraient malheureusement à jamais dans les pages les plus sombres de notre histoire.

Bref rappel historique

Mars 2020, l’épidémie Covid 19 débute en Europe. C’est la panique générale. Une campagne médiatique de peur hors du commun se met en place. Médias et gouvernements s’allient, probablement poussés par les entreprises pharmaceutiques aux mains des grands financiers de ce monde, pour faire passer à longueur de journée et sans relâche des images chocs et tenir des propos terrorisant la population et lui laissant croire que nous allions tous mourir.

Ce fut le point de départ d’une véritable dystopie. Des mesures exceptionnelles furent prises dans la précipitation, fermeture des commerces, fermeture des écoles, confinement, port du masque… mesures dont on n’a pas fini de payer le prix sur les plans économiques, psychologiques, sociétaux, médicaux etc., tout cela en balayant d’un revers de manche tous les droits fondamentaux des citoyens.

Climat anxiogène savamment entretenu

Le premier élément surprenant fut de voir gouvernants et responsables paniquer et perdre leur sang froid, contribuant ainsi fortement au climat de peur alors qu’il eût été de leur rôle de conserver calme et réflexion.

En effet, déjà à l’époque, soit en avril 2020, de nombreux spécialistes indiquaient que l’épidémie COVID 19 ne présentait pas de préoccupation particulière. Ce fut notamment le cas du Professeur John P. A. loannidis de l’université de Standford, considéré comme l’un des plus éminents scientifiques actuels dans le domaine médical. D’autres éminents spécialistes se sont exprimés en ce sens.

Mais toutes ces voix discordantes ont été tues au profit d’un climat anxiogène savamment entretenu, une terreur qui allait finalement permettre la mise en place d’une campagne mondiale de vaccination sans précédent. Par là, je fais référence à la censure des opinions divergentes, censure à l’encontre de laquelle vous n’avez malheureusement rien fait, permettant ainsi un grave déficit de démocratie.

Médicaments efficaces et bon marché interdits

Devant la maladie, les médecins se sont immédiatement mis à faire ce pourquoi ils avaient été formés, à savoir soigner les gens. Pour cela, ils ont utilisé les médicaments qu’ils connaissaient de longue date, tels que l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine, médicaments bien connus, bon marché et sûrs. Et ça fonctionnait… Mais soudain, ô surprise, ces médicaments ont été interdits ! Du jour au lendemain, ils furent déclarés dangereux.

La corruption était passée par là et nous verrons pourquoi plus loin. Les acteurs de cette corruption ont même réussi à faire publier dans le Lancet , la célèbre «bible scientifique à comité de lecture», un article affirmant que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux à ne pas utiliser, article se disant fondé sur des rapports scientifiques alors qu’il n’en était rien, article même contresigné par un professeur d’université de Zürich.

 

La corruption dans le domaine médical

Cet article, donc parfaitement mensonger puisque ne se reposant sur rien, donnera bien lieu à des excuses du Lancet, excuses dont les médias « mainstream » se sont bien gardés de faire état. Et pour cause, il fallait surtout ne rien changer au discrédit jeté sur le médicament bon marché et utile. Et le professeur d’université zurichoise de continuer sans souci à dispenser son bon savoir à ses braves étudiants…

A l’époque, personnellement surpris de constater que la corruption dans le domaine médical pouvait aller jusqu’à publier de fausses études dans un magazine aussi prestigieux que le Lancet, j’avais moi-même questionné un ami pharmacien sur la question de la dangerosité de l’hydroxychloroquine.

Sa réponse fut textuellement la suivante « Jacques, si tu avales une boîte entière d’hydroxychloroquine tu ne meurs pas, mais si tu avales une boîte entière de Dafalgan, tu meurs, c’est ça la dangerosité de l’hydroxychloroquine… ». Voilà ce que tout pharmacien et tout médecin savait, et ce qui était à la portée du savoir de tout individu quelque peu désireux de se renseigner !

 

Pourquoi a-t-on laissé mourir des gens ?

Pourquoi donc ces médicaments bon marché ont-ils été subitement interdits ou mis au ban ? Pourquoi a-t-on dit aux gens malades de rester chez eux et de ne venir à l’hôpital qu’en présence de détresse respiratoire ? Pourquoi n’a-t-on pas soigné les gens comme on aurait pu le faire avec les médicaments existants ? Pourquoi tant de gens non correctement soignés sont décédés seuls chez eux ? Pourquoi a-t-on laissé mourir tant de personnes âgées seules dans leur chambre en EMS, sans même la visite d’un proche ?

On le sait aujourd’hui. C’était pour permettre l’arrivée du « graal », les vaccins, présentés comme les sauveurs du monde. Les grands laboratoires pharmaceutiques avaient en effet flairé la bonne affaire. Ils sont arrivés sur le marché avec ce qu’ils annonçaient être «vaccins» mais qui en fait sont des produits expérimentaux de manipulation génique.

Des produits expérimentaux non testés correctement

Ces produits, fabriqués dans la précipitation et sans avoir passé tous les tests, furent autorisés au motif qu’il n’existait pas de médicaments. On comprend dès lors pourquoi les médicaments existants et sûrs devaient être soigneusement et préalablement discrédités !

Sont ainsi arrivés sur le marché (juteux) les vaccins, substances présentées par vous comme sûres et efficaces, vaccins dont les 2 fonctions ordinaires et essentielles auraient dû être :

  • de protéger l’individu
  • et d’empêcher la propagation de la maladie

Et c’est là que le déni de réalité a pris une ampleur considérable.

Le «vaccin Covid» comme protection de l’individu

Il est aujourd’hui clairement admis que le « vaccin Covid » ne protège pas de la maladie. C’est indiscutable. Tout un chacun a pu constater dans son entourage que les personnes vaccinées ont tout de même contracté la maladie.

Vous rétorquerez, et c’est votre « roue de secours actuelle », que le « vaccin Covid » protège contre les formes graves. C’est amusant de constater que par ces mots, vous reconnaissez tout d’abord expressément que le vaccin ne protège pas contre la maladie !

Ce fait avéré et reconnu devrait à lui seul vous faire stopper la vaccination, ce d’autant plus que vous ne savez rien sur les conséquences à long terme de cette dernière, conséquences qui sont de plus en plus catastrophiques comme nous le verrons plus loin.

Protection contre les formes graves ? C’est faux !

Mais ensuite, l’assertion selon laquelle le vaccin protégerait contre les formes graves est totalement fausse. Il n’existe aucun rapport sérieux le démontrant. Du reste, en toute logique, comment pourrait-on affirmer qu’une personne vaccinée tombant malade aurait eu une forme grave sans le vaccin puisqu’il n’est pas possible de lui ôter le vaccin pour voir quel en aurait été l’effet ?

Or, les dernières études indépendantes démontrent exactement le contraire, à savoir que les personnes vaccinées développent plus de formes graves que les personnes non vaccinées, et cela même chez les personnes de plus de 85 ans. Les chiffres de septembre 2022 de la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) du gouvernement français indiquent clairement que la triple vaccination expose davantage les personnes aux formes graves du Covid et aux décès que les personnes non vaccinées.

Merveilleux monde que celui dans lequel on vaccine des personnes qui deviennent ainsi plus susceptibles de contracter la maladie et de mourir que les personnes non vaccinées !

Les pays les plus vaccinés comme Israël ont eu des pics d’infections

Très rapidement, il fut possible de se rendre compte que la protection annoncée n’existait pas.

Dès juillet 2021, vous pouviez constater que dans les pays qui avaient vacciné le plus, notamment Israël et d’autres encore, non seulement le vaccin n’avait pas stoppé la maladie, mais que c’était dans ces pays-là que l’on enregistrait les plus gros pics de personnes infectées, des pics encore plus forts que ceux enregistrés avant le vaccin !

Et vous pouviez également constater que la situation était bien meilleure dans les pays qui vaccinaient le moins ou qui n’avaient pas accès au vaccin. C’était visible par tout un chacun. De nombreux spécialistes l’ont relevé, spécialistes malheureusement immédiatement censurés et discrédités. Je vous avais moi-même rendus attentifs à cela dans mes premiers courriers. Cela fait donc longtemps que le vaccin n’avait déjà plus de sens. Du reste, on peut même raisonnablement se demander s’il en a eu un à un certain moment ?

Toujours est-il qu’aujourd’hui il est acquis que le « vaccin Covid » ne protège pas contre la maladie.

Le vaccin comme obstacle à la propagation

La 2ème qualité essentielle d’un vaccin est celle de faire obstacle à la propagation du virus et donc de casser les chaînes de transmission. Vous vous souvenez du slogan « tous vaccinés, tous protégés » et l’abondante propagande médiatique qui s’en est suivie, propagande à laquelle les gouvernements ont généreusement participé. Et bien cela est également un mensonge d’Etat.

Sauf à vouloir encore ignorer la réalité des choses, vous avez certainement vu ou entendu le récent témoignage devant la commission européenne de Mme J. Small, assistante de M. Bourla, PDG de Pfizer (qui s’était fait porter pâle et pour cause), laquelle a reconnu qu’il n’y avait pas d’études faites concernant la protection du vaccin contre la transmission du virus.

Cette audition parlementaire fait actuellement grand bruit, malgré la censure. Vous avez bien saisi, la question de la protection sociale du vaccin ou son effet collectif n’a tout simplement jamais été examinée. Et vous autorités, qu’avez-vous dit à votre population ? « Vaccine-toi pour protéger grand-mère », vaccine-toi par altruisme… alors que vous n’en saviez rien !

 

Certificat de la honte

Ce mensonge a permis au Conseil fédéral de mettre sur pied le certificat Covid, certificat qui a privé les citoyens non-vaccinés de leurs droits fondamentaux les plus élémentaires. Les parias non-vaccinés, citoyens irresponsables, n’ont eu ainsi qu’à rester chez eux. Ils ne méritaient pas d’accéder aux restaurants, aux cinémas, concerts, etc…

Par contre, il était juste de réserver ces agréments aux dociles citoyens trompés et soumis. Quelle belle réussite pour un gouvernement que celle de promouvoir un certificat qui discrimine une partie de sa population !

Obligation vaccinale déguisée

Par ce certificat Covid, le Conseil fédéral a mis en place une obligation vaccinale déguisée, obligation totalement interdite par différentes législations. Vous avez organisé à grands frais des concerts pour promouvoir le vaccin auprès de la jeunesse du pays et amener cette jeunesse à accepter une thérapie dont vous ne saviez rien sur ses conséquences à long terme.

Vous avez même été jusqu’au point d’envisager de payer les citoyens qui en amèneraient d’autres à se faire inoculer cette substance inutile et dangereuse. Comment ne pas avoir honte d’une idée aussi répugnante ?

«Vaccinés = altruistes, non vaccinés = égoïstes»

Pire encore, le Conseil fédéral a fait passer au sein de sa population le message selon lequel les vaccinés étaient des citoyens responsables et altruistes, au contraire des non-vaccinés qui eux étaient des citoyens égoïstes.

Vous avez ainsi créé au sein de votre population une scission entre les « bons » et les « mauvais » citoyens. Des familles se sont déchirées. Des amitiés se sont défaites. La peur de l’autre s’est installée au sein de votre population. Comment avez-vous pu mettre en place un terreau de division et de peur alors que l’histoire a si souvent montré les ravages et les exactions d’une telle chose ?

 

Le pire des maux : un gouvernement qui divise son peuple

Je vous pose la question : pensez-vous qu’il est possible pour un gouvernement de faire plus mal que de diviser son peuple ? Qui plus est sur la base d’arguments inexistants ? J’ai moi-même entendu un homme d’Etat valaisan dire de façon totalement irréfléchie qu’il n’était pas normal que l’économie soit l’otage de quelques irresponsables non-vaccinés. Et j’ai moi-même entendu dans mon entourage quelqu’un de très instruit dire qu’un non vacciné ne devait pas être soigné s’il tombait malade. C’est cela le résultat social de votre action politique : dissension et haine.

Je pourrai encore m’étendre sur l’ampleur des dégâts économiques, sociaux et psychiques de ces mesures, notamment sur notre jeunesse. Je m’arrête là pour ne pas allonger en vous signalant que vous trouverez la liste de ces dégâts et leurs détails auprès des différents spécialistes indépendants des domaines concernés. Je vous y renvoie.

Les effets indésirables du vaccin

Nous avons vu que le « vaccin Covid » ne protégeait pas l’individu contre la maladie et n’empêchait pas la transmission de la maladie, et donc qu’il ne remplissait aucune des 2 fonctions essentielles d’un vaccin. Au concours des mesures inutiles, ce vaccin occuperait donc une place de choix !

Si seulement l’inutilité était son seul défaut, ce ne serait pas trop dramatique. A cette inutilité s’ajoute cependant et malheureusement des effets indésirables nombreux et graves. Parmi ces effets indésirables figurent non seulement des maladies, mais également la mort.

Nous avons déjà vu plus avant sur la base des chiffres de septembre 2022 de la DREES que la triple vaccination expose davantage les personnes aux formes graves du Covid et aux décès que les personnes non vaccinées.

On n’a jamais vu autant d’effets secondaires

Selon les rapports du VAERS (système américain de suivi des effets secondaires des vaccins), on n’a jamais vu autant d’effets indésirables à la suite d’un vaccin. Nombre de vaccins ont été interdits avec des effets secondaires bien moins nombreux. Ces effets indésirables sont plus nombreux en proportion que n’importe quel autre vaccin, ceci dans un rapport conséquent de 1 à 100, voire de 1 à 200.

Selon les données américaines, le 99 % des signalements d’effets indésirables en 2021 et 2022 concernent les « vaccins Covid ». Il y a 1 myocardite toutes les 1 000 injections, une hospitalisation toutes les 1 000 injections et un décès toutes les 5 000 injections.

Les jeunes paient le prix fort

Selon les données européennes, 800 000 effets indésirables ont été signalés et 26 000 décès. Chez les 12-17 ans, on enregistre 15 000 effets graves déclarés, et chez les 5-11 ans 1 700 effets graves déclarés.

Ceci au sein d’une population qui ne meurt pas du Covid et que vos mentors veulent aujourd’hui vacciner. Chez les ados, on enregistre plus de 250 jeunes filles victimes d’aménorrhée, plus de 2 000 myocardites dont 900 avec hospitalisation, 45 thromboses, 25 arrêts cardiaques et environ 50 cécités et 1 myocardite tous les 1 500 vaccinés. Des jeunes en bonne santé et sans antécédents meurent.

Beaucoup de décès

Toutes classes d’âges confondues, c’est 1 effet grave tous les 100 vaccinés et 1 décès tous les 3000 vaccinés. Et il est statistiquement prouvé qu’au mieux seul le 10 % des effets indésirables remonte jusqu’aux agences de recensement. Vous pouvez imaginer la catastrophe.

Le risque de décéder du vaccin en cas de survenance d’un effet secondaire est plus grand que celui de décéder du Covid 19 en cas de symptômes, et cela même chez les personnes de plus de 85 ans. C’est cela la balance bénéfice/risque, balance bien négative.

En Angleterre et aux USA, des embaumeurs chargés de préparer les corps affirment avoir trouvé des caillots fibreux et caoutchouteux de grande taille à l’intérieur des cadavres. Le même cas m’a été rapporté de France.

La plus grande erreur médicale, la plus grande attaque contre la démocratie

Se basant sur des études israéliennes et américaines avec des données claires et précises, le célèbre cardiologue Assem Malhotra affirme qu’il y a une augmentation de 25 % des crises cardiaques et d’arrêts cardiaques associée au vaccin et non au Covid, que le vaccin est plus susceptible de causer des problèmes que de protéger, même pour les personnes au-delà de 60 ans, et qu’il faut arrêter immédiatement la vaccination.

 

Il est persuadé qu’avec le recul une enquête sera finalement menée afin de déterminer les responsables de ce qui constitue probablement la plus grande erreur de la science médicale jamais commise, la plus grande attaque contre la démocratie, dommage à la santé de la population et perte de confiance dans le système de santé. Il faut arrêter cela immédiatement pour éviter plus de dommages encore.

 

Tout cela n’est finalement pas étonnant si l’on sait que les fabricants de vaccins ont arrêté leurs tests sur les rats, après qu’ils soient tous morts, ceci pour faire les tests directement sur les hommes. Profits et rapidité obligent.

En conclusion, nous sommes en présence de vaccins qui ne protègent pas de la maladie, n’empêchent pas sa transmission et qui, de surcroît, entraînent de graves effets indésirables, dont la mort.

Les conséquences juridiques

Je reviens sur la seule chose que vous ayez reconnue jusqu’à maintenant, à savoir que vous n’aviez aucune connaissance sur les conséquences à long terme des « vaccins » Covid, ignorance qui, comme nous l’avons vu, n’a pas empêché un soutien massif de la campagne de vaccination.

Poussons maintenant le raisonnement un peu plus loin. Admettre que l’on ne connaît pas les conséquences d’une thérapie, c’est admettre en toute logique qu’elle puisse avoir du bon, mais également du mauvais.

Une thérapie génique autorisée sur la base d’études bâclées

Et si l’on sait que la thérapie en question est une thérapie génique nouvelle (ARNm) différente des vaccins ordinaires, qu’elle a été mise sur le marché dans la précipitation, sans passer par toutes les phases ordinaires de tests, qu’elle a été autorisée sur la base d’études bâclées faites uniquement par les fabricants du produit, fabricants plusieurs fois condamnés pour malversations et fraudes, si l’on sait également que ce pseudo-vaccin introduit dans le corps humain des éléments pour le moins surprenants (graphène,…) et dont la nature exacte n’a volontairement pas été révélée par lesdits fabricants, il était à la portée de toute personne sensée et non servile d’envisager que la substance en question puisse avoir des effets secondaires néfastes, notamment entraîner des maladies, des handicaps, et même la mort.

 

Effets à long terme: le Conseil fédéral aurait dû nous informer de son ignorance

Ceci d’autant plus lorsque l’on est dans l’ignorance des conséquences à long terme du produit ! La plus grande prudence s’imposait donc de toute évidence, prudence qui a fait défaut ! Le Conseil fédéral aurait dû informer la population de son ignorance et s’assurer de lui faire signer des consentements éclairés, consentements d’autant plus essentiels qu’il était concrètement demandé aux citoyens de participer à une expérience médicale.

Vous savez parfaitement qu’en possession de cette information cruciale, nombre de citoyens ne vous auraient pas suivis. Mais en lieu et place d’une information correcte, le citoyen s’est retrouvé confronté à une publicité unidirectionnelle vers le vaccin. Vous avez soutenu une campagne vaccinale sans précédent, campagne menée avec les deniers publics, finalement au profit des bénéfices records des entreprises pharmaceutiques et de leurs actionnaires.

 

Infraction pénale

Ces rappels et précisions ne sont pas sans conséquences sur le plan juridique. En effet, une infraction pénale est commise non seulement lorsque son auteur a la volonté de commettre le résultat (causer des lésions corporelles, donner la mort etc.), mais aussi lorsque, sans vouloir directement le résultat délictuel (lésions corporelles, mort), une personne admet que ce résultat puisse survenir à la suite de ses actes, et que cette personne agit malgré tout.

 

C’est ce que le droit qualifie de « dol éventuel ». Le reproche qui est fait à l’auteur de tels actes c’est d’agir tout de même malgré qu’il ait connaissance du fait que ses actes puissent avoir des conséquences dommageables, et qu’il s’en accommode.

 

Autorités coupables de lésions corporelles et d’homicide

Ainsi, dans la mesure où les autorités sanitaires suisses avaient reconnu ne rien savoir sur les conséquences à long terme des vaccins et que ces autorités ne pouvaient pas exclure, compte tenu du fait qu’il s’agissait de toucher ni plus ni moins à l’intégrité physique des citoyens, que ces conséquences pouvaient être des lésions corporelles, voire la mort, et qu’elles ont agi malgré tout, elles se sont rendues coupables de lésions corporelles (art. 122 ss CP) et d’homicide (art. 111 CP) par dol éventuel.

 

Ainsi, toute personne ayant subi des conséquences du fait des vaccins Covid est en droit de réclamer justice et réparation de la part de toute autorité ayant activement participé à la campagne de vaccination Covid expérimentale. Les homicides et les lésions corporelles graves étant des infractions poursuivies d’office, les autorités pénales auraient même l’obligation d’ouvrir des enquêtes.

Je rappelle en outre que ce ne sont pas là les seules dispositions légales qui ont été enfreintes. Sur le plan constitutionnel, les dispositions suivantes ont été violées :

Huit violations de la Constitution

  • l’article 8 Cst qui garantit l’interdiction de discrimination des individus
  • l’article 10 Cst qui garantit à tout individu le droit à la liberté personnelle, notamment l’intégrité physique et psychique et à la liberté de mouvement
  • l’article 11 Cst qui garantit aux enfants et aux jeunes une protection particulière de leur intégrité
  • l’article 13 Cst qui garantit la sphère privéede toute personne, notamment la protection de ses données personnelles
  • l’article 19 Cst qui garantit la liberté d’enseignement
  • l’article 22 Cst qui garantit la liberté de réunion
  • l’article 27 Cst qui garantit la liberté économique, notamment le libre accès à une activité économique lucrative privée et son libre exercice
  • l’article 35 Cst qui garantit la réalisation des droits fondamentauxdans l’ensemble de l’ordre juridique

Sur le plan pénal, en plus des dispositions évoquées plus haut, les dispositions suivantes ont été enfreintes :

  • l’article 181 CP qui interdit la contrainte : contrainte de vaccination et contrainte des non-vaccinés privés des différentes libertés
  • l’article 258 CP qui interdit les menaces alarmant la population : c’est sans cesse, et même lorsque l’état sanitaire était bon, que la population a été apeurée et maintenue dans cet état
  • l’article 312 CP qui interdit l’abus d’autorité et l’abus de pouvoir : sous le couvert d’éléments scientifiques totalement absents, la population a été victime de graves atteintes aux libertés et maintenue dans une peur généralisée, notamment de l’autre, en procurant aux entreprises pharmaceutiques des profits colossaux, profits qui n’avaient pas de raison d’être.

Enfin, par rapport aux conventions internationales, les textes suivants ont été violés:

  • la résolution 2361 du Conseil de l’Europe qui interdit la vaccination obligatoireet qui interdit toute pression sociale, politique ou autre amenant une personne à se faire vacciner
  • La CEDH, Convention européenne des droits de l’homme, notamment son article 8 qui garantit le droit au respect de la vie privée et familialeet son article 14 qui interdit toute discrimination
  • le Code de Nurembergqui prévoit les conditions précises et minimales à remplir pour la conduite de la recherche sur des sujets humains, leur information complète et objective, leur liberté d’acceptation, et l’interdiction de la contrainte ou de la coercition
  • la Déclaration d’Helsinki,qui impose le respect des normes éthiques dans la recherche médicale
  • l’article 7 duPacte international de droits civils et politiques qui interdit de soumettre une personne à une expérience médicale sans son libre consentement éclairé
  • l’article 5 de la Convention d’Oviedo de 1997qui en fait de même et interdit de soumettre une personne à une expérience médicale sans son libre et éclairé consentement

Epilogue

Je vous ai présenté sans détour la réalité des faits et leurs conséquences dans l’espoir, comme indiqué initialement, de vous voir prendre conscience de l’extrême gravité de la situation dans laquelle nous nous trouvons tous du fait de la corruption à grande échelle de la science médicale, et dans l’espoir également de vous voir enfin prendre des chemins résultant de vos réflexions personnelles, chemins uniquement dictés par le bien-être de vos citoyens et par la cohésion sociale, ce pourquoi vous avez été élus.

Je souhaiterais vous voir sortir de la servitude imposée par le monde des puissants dont le seul objectif est de maximiser ses profits, même si cela doit se faire au prix de sacrifices humains.

A défaut, il vous appartiendra, tôt ou tard selon l’éveil des populations, de répondre des différentes dispositions légales enfreintes.

Corruption du monde médical : renseignez-vous !

 

Vous doutez encore de la corruption généralisée du monde médical ? Renseignez-vous. Elle existe depuis de nombreuses années. Des bibliothèques entières regorgent de livres sur le sujet. Et puis, posez-vous simplement la question usuelle dans de tels cas : « à qui profite le crime » ? Aux entreprises pharmaceutiques et à leurs actionnaires. Ils sont faciles à trouver puisqu’ils sont partout et non loin de vous.

Les privilèges colossaux de GAVI

Examinez notamment l’accord passé avec GAVI le 1er janvier 2009. Ne trouvez-vous pas étonnant que GAVI, entité créée par la famille Gates, ait reçu de la Confédération une série colossale d’avantages — inviolabilité des locaux — liberté totale d’action sur le territoire — exonération fiscale — inviolabilité des archives — immunité de juridiction — privilèges douaniers – droits de commercer toute valeur — immunité d’arrestation et de juridiction de ses membres etc., sans aucune contrepartie. GAVI pourrait même blanchir tout argent que la Confédération s’est interdite par avance de sanctionner. Et quel est le but de GAVI ? La promotion des vaccins et la vaccination du monde entier.

L’OMS derrière laquelle vous vous retranchez souvent a elle aussi pour objectif de vacciner le monde entier. Elle ne s’en cache pas et elle fait le forcing actuellement pour promouvoir les vaccins Covid. Et qui trouve-t-on parmi les principaux financiers privés de l’OMS ? La fondation Bill et Melinda Gates ainsi que GAVI.

L’opacité des commandes de vaccins par l’UE

Autre exemple récent : Mme Ursula Von der Leyen, Présidente de la  Commission européenne, a pris l’initiative de passer dans la plus grande opacité des commandes pour 4,5 milliards de doses de « vaccins Covid » pour le montant colossal de 71 milliards d’euros, chacune des doses ayant subitement passé de 4,50 euros, prix payés jusqu’ici, à 19,50 euros ! Cet accord généreux prévoit encore d’exonérer les pharmas de toute responsabilité pour leurs produits : il est même prévu que les frais et honoraires des avocats de ces pharmas soient à la charge des Etats acheteurs. L’opacité est telle (les courriels auraient subitement disparus !) qu’une plainte a été déposée par le procureur européen contre Mme Ursula Von der Leyen, Présidente de la commission européenne.

Si vous ne voyez aucun mal à tout cela, il vous faut, comme l’a récemment dit un complotiste éclairé, « retourner au pied du sapin en attendant que le père Noël vous fasse des cadeaux ».

 

La vérité va bientôt apparaître

La corruption et la vérité font peu à peu surface, ceci malgré la censure et les efforts colossaux faits pour les occulter. La vérité finira cependant par apparaître, c’est certain. Vos actions seront alors appréciées à l’aune de cette réalité. A vous donc de choisir maintenant dans quel camp vous souhaitez apparaître ? La première ministre de l’Alberta l’a bien compris, elle qui vient de présenter ses excuses à ses citoyens pour les discriminations infligées.

Si rien ne change nous n’éviterons pas que, dans quelques années et lorsque la vérité apparaîtra au grand jour, les citoyens de ce monde se demanderont comment une telle folie a pu s’installer, en disant jamais plus ça, de la même manière que récemment encore, nous nous posions la même question et émettions le même vœu lorsque nous examinions les éléments de la dernière guerre.

Je vous prie de croire, Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux, à l’expression de ma considération distinguée.

Jacques Schroeter, avocat

Le 25 octobre 2022

La source originale de cet article est covidhub.ch

Copyright © Maître Jacques Schroetercovidhub.ch, 2022

 

Les soignants non vaccinés doivent être réintégrés sans délai. Après New York, l’Italie l’a fait

Par le Dr Gérard Delépine

Après la Belgique, la Grande-Bretagne, la Suisse, l’Alberta et New York, l’Italie vient de décider de réintégrer les soignants suspendus pour avoir refusé l’injection anti-covid. Combien de temps notre gouvernement continuera-t-il de s’obstiner à maintenir cette discrimination sans aucune justification médicale ?

L’exclusion des soignants vaccino prudents est une mesure médicalement infondée et inutile

Nous avons déjà souligné qu’il n’existait aune étude scientifique apportant le moindre début de soupçon de preuve que la pseudo vaccination des soignants était susceptible de diminuer le risque de contamination de leurs contacts. Ce gouvernement, qui a interdit la prescription de la chloroquine en prétextant qu’il n’existait pas de preuve de son efficacité contre le Covid, a pourtant imposé cette mesure en violation de sa prétention affichée de « suivre la science ». Le caractère infondé de la mesure vient d’être trois fois confirmé durant les trois derniers jours par la Cour suprême de l’état de New York, par le gouverneur de l’Alberta et par le chef du gouvernement italien.

La Belgique n’a jamais imposé d’obligation d’injection covid aux soignants1

L’obligation a été votée malgré l’opposition au projet de loi : « Ce n’est pas un projet de loi vaccination, mais un projet de loi de licenciement des soignants. Votre discours est celui de la brutalité », a dénoncé Catherine Fonck, tandis que Sophie Rohonyi parlait « d’une gifle aux héros de la crise»

Mais elle n’a pas été appliquée, car jugée « non conforme au principe de proportionnalité », selon la Taskforce Covid, après avoir consulté le Conseil supérieur de la santé et le « Risk Assessment Group » (RAG), dans un avis diffusé le 2 mai 2022.

La Grande-Bretagne non plus

Le gouvernement britannique avait annoncé en novembre 2021 que la vaccination anti-Covid deviendrait obligatoire en avril 2022 pour les soignants. Mais elle a annoncé le 1er mars 2022 qu’elle renonçait à imposer le vaccin contre le Covid-19 à tous les soignants du public2.

L’Alberta a mis fin à l’obligation vaccinale des soignants depuis 6 mois3

Depuis le 10 mars 2022, l’obligation pour les employés de Services de santé Alberta d’être vaccinés a été suppriméeLes employés n’ont plus à présenter une preuve de vaccination ou un résultat négatif à un test rapide pour travailler. Les employés non vaccinés en congé forcé ont repris le travail.

Et depuis la reprise de travail des soignants non vaccinés, aucune poussée d’infection n’a suivi confirmant l’inutilité de l’obligation vaccinale a priori évidente puisqu’aucun des pseudo vaccins injectés n’est capable d’éviter les transmissions.

À New York, la réintégration dans l’emploi des personnels d’assainissement de la ville exclus pour refus des injections anti-covid expérimentales a été ordonnée par le juge Ralph J. Forzio de la Cour suprême de l’État.

New York City a licencié environ 1 700 employés après que le décret d’obligation de vaccination pour tous ses employés, de l’ancien maire Bill de Blasio. La plupart des personnes licenciées étaient des policiers et des pompiers. Le tribunal a estimé le 28/10/2022 que « le fait d’être vacciné n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le COVID » et précisé :

« rien ne justifie de conserver une obligation vaccinale pour les employés et en même temps d’en exclure certaines professions telles que les athlètes et artistes ; cela est clairement arbitraire et capricieux ».

Pour ces raisons, le tribunal a ordonné la réintégration des employés non vaccinés avec paiement des arriérés de salaires4 5. Les responsables de la ville ont déposé un recours, de sorte que la réintégration en attente pour le moment. Mais les attendus du jugement sont clairs.

En Italie, Meloni réintègre les soignants vaccino prudents

Le gouvernement de l’ancien Premier ministre Mario Draghi avait rendu la vaccination obligatoire pour les enseignants et les agents de santé en 2021 et l’avait étendue à toutes les personnes de plus de 50 ans en janvier de cette année. Les refus ont été sanctionnés par une exclusion du travail sans solde pour les fonctionnaires, tandis que les Italiens âgés de plus de 50 ans qui refusaient les pseudo vaccins expérimentaux ont été condamnés à des amendes de 100 euros.

Quelques actions en justice contre ces sanctions médicalement infondées avaient obtenu justice. Un médecin avait été réintégré en juillet 2022 en Sardaigne par la juge Eleonora Carsana du tribunal de Tempio Pausania qui avait de plus ordonné qu’elle reçoive les salaires accumulés depuis le jour de sa suspension jusqu’au jour de sa réintégration effective6.

Mais devant l’incapacité démontrée des faux vaccins à empêcher les contaminations et les transmissions et le manque dramatique de soignants, le Premier ministre Melloni vient d’annoncer qu’elle allait réintégrer tous les soignants suspendus pour avoir refusé l’injection avec récupération des salaires. Et allant plus loin dans la dénonciation de la tyrannie sanitaire imposée par le gouvernement précédent, elle a déclaré qu’elle ferait rembourser les amendes dont ont été victimes les personnes âgées qui ont refusé les pseudo vaccins.

Il est troublant de constater que des mesures antidémocratiques majeures décrétées par un gouvernement qui se prétendait démocratique sont abrogées par une Première ministre que les médias français qualifient volontiers de fasciste. La volonté de défendre les libertés aurait-elle changé de camp ?

À ce jour, la France est le seul grand pays européen qui maintient cette exclusion des soignants qui refusent l’injection expérimentale. Contre toute logique puisque l’épidémie n’est plus guère mortifère et que seuls les fabricants de vaccins, leurs mercenaires et les organismes trop liés au pouvoir (haute autorité de santé et académie) osent encore prétendre qu’ils seraient susceptibles d’empêcher les transmissions.

Dans ce contexte mondial où l’échec complet des injections est maintenant patent pour les populations, les pseudo vaccins ne font plus recette, en France comme dans le reste du monde.

Actuellement, malgré une propagande permanente pour faire peur, moins d’un français sur 10 000 se laisse encore injecter quotidiennement.

Alors, pourquoi discriminer les soignants et pompiers qui ont toujours été conscients des enjeux médicaux et ont toujours accepté les vrais vaccins ?

Messieurs et Mesdames les députés, suivez l’exemple du reste du monde, votez une loi qui mette fin au scandale de la suspension des soignants et pompiers qui refusent l’injection expérimentale inefficace.

Leur réintégration est urgente pour tenter de renforcer les personnels hospitaliers, remonter le moral des troupes et stopper la désertification médicale. Ces personnels sont attendus avec impatience par leurs collègues, comme le prouve le dernier communiqué du syndicat National des Médecins Hospitaliers Force Ouvrière :

« IMPERITIE MINISTERIELLE ET COERCITION… Les patients ont besoin de médecins… Le maintien des suspensions, au titre de la loi du 5 août, prend un sens nouveau aujourd’hui : celui d’un acharnement déraisonnable. »

 


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Saintes V3 28 10 22

 

[Transféré de Bon Sens]
NOUS SOMMES ENTRAIN DE CHANGER DE MONDE………. MAIS CHUT ! C’EST UN SECRET.

3 ans après, quel bilan ? (https://t.me/vivrecorrectement/3954) Pour les plus téméraires, voici la conférence sur la crise sanitaire qui a eu lieu à Saintes, 3h35 d’interventions. Au programme de cette 1ère partie, Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur, membre fondateur de Réinfocovid : «Agonie, effondrement et renouveau du système de santé», Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste oncologue : «Bilan catastrophique de la stratégie française anti-covid : rappel des faits», Vincent Pavan, maître de conférences et chercheur en mathématiques : «Quelles sont les nouvelles théories évolutionnistes qui sous-tendent le retour du totalitarisme ?», Nicole Delépine, pédiatre oncologue : «Le Covid et l’enfant : bilan sur les faits et résultats», Jean-Dominique Michel, anthropologue médical et expert en santé publique en Suisse : «L’évolution de notre société à travers la Covid», Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse en informatique : «Transhumanisme : révélations d’une dégénéescence programmée», Mehdi Belhaj-Kacem, philosophe : «Qu’est-ce que le
Concept de santé ?», Olivier Soulier, médecin homéopathe : «Dans quel contexte général s’inscrit la crise sanitaire actuelle au niveau médical, économique et politique. Quelles sont les solutions ?»

 

 

 

 

« Longue est encore la route, nombreux seront les obstacles, mais j’ai la certitude que rien n’est au dessus des forces de ceux qui ne renoncent pas » Jacques Eberhard

 

 

Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux !

31/10/2022 (2022-10-31)

Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux 1

 

Par Nicole Delépine

Malgré les révélations inattendues de Pfizer au parlement européen avouant publiquement que la transmission du virus n’a jamais été étudiée dans les essais, les mondialistes tentent rapidement de pérenniser la vente de milliards de dollars de vaccin, avant que la population ne soit complètement réveillée. On apprend que la commissaire européenne poursuivie pour manque de transparence dans les contrats avec les firmes tente de réintroduire le pass vaccinal. Course de vitesse !

En France lors du récent congrès de pédiatrie français début octobre 2022, le Pr Fischer a regretté que les petits Français aient échappé en grand nombre à l’injection toxique.

Selon le groupe Telegram, la présidente de la Société française de pédiatrie s’est dramatiquement trompée ou a volontairement menti dans le but d’encourager les injections du sérum de Pfizer sur les enfants français.2 3 Par exemple, concernant les risques d’effets secondaires, selon TF1, elle avait indiqué aux journalistes du Monde :

« Dans le cas de porteurs de maladies chroniques, le débat sur la balance bénéfices-risques chez l’enfant ne tient plus, puisque le bénéfice est largement supérieur aux effets secondaires du vaccin ». Et d’ajouter que « ces enfants ont été vaccinés sans hésitation ».

Comment pouvait-elle évaluer cette balance bénéfices-risques, alors que ces vaccinations n’ont commencé aux États-Unis que l’été dernier et que, selon Pfizer, les essais cliniques ne s’étaient faits que sur 8 souris ? 4

Et comment pouvait-elle évoquer un quelconque bénéfice alors que les enfants ne risquent presque rien du covid, et que ces faux vaccins sont incapables de protéger les injectés de la maladie et leurs contacts de la transmission ?

D’autre part, en décembre 2021, sur France-Inter (* à partir de la minute 31), elle a affirmé qu’on attendait les résultats de la pharmacovigilance américaine concernant les effets secondaires sur la tranche d’âge des 5-11 ans… alors que la France avait déjà fait injecter le sérum adulte de Pfizer sur plus de 22 490 enfants, dont plus de 4500 petits de moins de 5 ans !5

Aux USA comme en UE, les autorisations pour injecter les enfants de six mois à 5 ans viennent d’être accordées. Nous devons absolument nous opposer à la pseudo vaccination inutile et dangereuse. Combien de complications graves ou de morts pour rien ? Ou plutôt pour les bénéfices des entreprises, de leurs actionnaires et de leurs complices (médecins, journalistes et politiques corrompus) et la manipulation des populations en vue de leur réduction.

Covid : l’EMA autorise la vaccination des enfants d’au moins 6 mois avec Moderna et Pfizer (Leparisien.fr)6 7

Onze mois après avoir autorisé la vaccination pour les 5-11 ans, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a recommandé d’étendre l’utilisation des vaccins Comirnaty (de Pfizer) et de Spikevax (de Moderna) contre le coronavirus.

Une première en Europe. Ils pourront désormais être utilisés chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans pour le produit de Pfizer, et pour ceux âgés de 6 mois à 5 ans pour celui de Moderna.

Un comité d’experts convoqué par l’agence américaine des médicaments avait donné son accord, en juin, à la vaccination des très jeunes enfants. En Europe, les doses des deux vaccins dans ces nouvelles tranches d’âge plus jeunes « seront plus faibles », prévient l’EMA dans un communiqué publié ce mercredi. « Chez les enfants de 6 mois à 4 ans, Comirnaty peut être administré en primo-vaccination consistant en trois doses, les deux premières doses sont administrées à trois semaines d’intervalle, suivies d’une troisième dose administrée au moins 8 semaines après la deuxième dose », explique le comité d’experts.

En ce qui concerne le vaccin de Moderna, « chez les enfants de 6 mois à 5 ans, il peut être administré en primo-vaccination consistant en deux doses à quatre semaines d’intervalle », détaillent-ils. L’EMA s’appuie sur une étude menée chez des enfants de 6 mois à 4 ans qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible de Pfizer « était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 16 à 25 ans ». De même pour une étude du vaccin Moderna « qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible chez les plus jeunes était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 18 à 25 ans ».

Des effets secondaires comparables aux adultes

Selon l’EMA les effets secondaires les plus courants pour les deux vaccins, chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ou 5 ans, sont « comparables à ceux observés dans les groupes d’âge plus âgés ». L’EMA précise que « l’irritabilité, la somnolence, la perte d’appétit, les éruptions cutanées et la sensibilité au site d’injection sont des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 23 mois avec Pfizer, tandis que l’irritabilité, les pleurs, la perte d’appétit et la somnolence étaient des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 36 mois avec Moderna ». Pour les deux vaccins, les effets secondaires se dissipent plusieurs jours après la vaccination. l’EMA considère donc que « les bénéfices l’emportent sur les risques ». Ces vaccins sont jugés « efficaces pour prévenir les maladies graves, les hospitalisations et les décès associés au Covid-19 ».

Mais comment l’EMA peut-elle énoncer de pareils mensonges alors que les données de l’OMS montrent que loin de diminuer la mortalité les faux vaccins paraissent l’augmenter ?

L’EMA prévient que « conformément au plan de surveillance de la sécurité de l’UE pour les vaccins coronavirus », ces deux produits sont « étroitement surveillés » et soumis à plusieurs activités qui s’appliquent spécifiquement aux vaccins Covid-19.

Les recommandations de l’EMA seront désormais transmises à la Commission européenne, qui rendra des décisions finales applicables dans tous les États membres de l’UE, précise le communiqué. L’EMA a averti le mois dernier que la pandémie de Covid-19 était « toujours en cours » et a exhorté les pays à instaurer des programmes de rappels de vaccins avant l’hiver.

L’EMA ment en prétendant que la pandémie est toujours en cours alors qu’elle n’est responsable que de 3 % de la mortalité européenne quotidienne globale.

UNE HISTOIRE DE GROS SOUS #LesPierresCrieront

Quelques heures seulement après que le vaccin ait été ajouté au calendrier de vaccination des enfants aux USA, le tarif de la dose de vaccin #Pfizer est passé à 130 $. Prix de vente en augmentation de 500 % par rapport au prix initial de 20 $. Pfizer réalise ainsi une marge de 10 000 % sur le coût de fabrication.

« De quoi stimuler les revenus pendant des années malgré une demande plus faible. »8 9

LE PASS VACCINAL BASE SUR UN MENSONGE, ARNAQUE MONDIALE 10

Auditionnée au Parlement européen ce 10 octobre 2022, Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, a été interrogée par le député néerlandais Rob Roos :

« Le vaccin Covid de Pfizer a-t-il été testé sur l’arrêt de la transmission du virus avant d’être mis sur le marché ? Si non, veuillez le dire clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux vraiment une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte de la recevoir. »

« Un seul but : forcer les gens »

« Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation [lapsus avec le mot “transmission”, ndlr] avant la mise sur le marché ? Non », a répondu Small, expliquant que Pfizer avait « vraiment dû avancer à la vitesse de la science ». Elle a ensuite mis en avant les investissements risqués — à hauteur de 2 milliards — pour la recherche et le développement du vaccin. »

En réalité Pfizer avait avancé à la vitesse du commerce pour être le premier sur le marché à proposer quelque chose sous le nom de vaccin !

Rob Roos a médiatisé cette « révélation », diffusant sur les réseaux sociaux le message suivant :

« Lors de l’audience sur le Covid, le directeur de Pfizer admet : le vaccin n’a jamais été testé sur la prévention de la transmission. “Se faire vacciner pour les autres” a toujours été un mensonge. Le seul but du passeport Covid : forcer les gens à se faire vacciner. Le monde doit savoir. Partagez cette vidéo ! »

Dans la vidéo, M. Roos ajoute : Je trouve que c’est choquant et même criminel.

En un peu plus de 24 heures, la vidéo a été vue près de 10 millions de fois sur Twitter. D’innombrables articles, vidéos et publications sur tous les réseaux sociaux ont relayé cette information dans de nombreuses langues.

Évidemment cette autorisation d’injecter les enfants de six mois à 5 ans, en plus des plus grands, désespèrent tous les citoyens protecteurs des enfants en commençant par tous ceux qui depuis deux ans et demi tentent d’avertir le peuple des dangers majeurs des injections ARNm.

Selon le Pr Henrion-Caude, ce qui s’est passé aux USA : DES MOUTONS DE PANURGE ?

«  Ce soir 15/15 médecins-experts ont transformé leur serment d’Hippocrate en serment d’hypocrites Sans la moindre contestation, ils ont enchaîné les “yes” au CDC pour ajouter le vax COVID au calendrier de vaccination des 5-11 ans A écouter PATHÉTICODRAMATIQUE 11

Par quelle sidération collective, ont-ils pu zapper le fait que ce vax n’empêche pas la transmission ? Que les risques pour les enfants sont dans ces produits et non dans le COVID, car ils ont une immunité naturelle ? Et que les expériences du faux vaccin au Costa Rica saturent d’enfants les hôpitaux ? »

ALEXANDRA HENRION-CAUDE EXPOSE LES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS DU COSTA RICA

Les autorités rapportent une centaine d’enfants hospitalisés avec fermeture nationale de toutes les écoles pour virus respiratoire 12 ainsi qu’une comparaison inquiétante entre août 2021-juillet 2022 et août 2020-juillet 2021 :

  • – une baisse des naissances : -452
  • – une hausse des décès de nourrissons : +90
  • – une hausse des décès d’enfants pour mille naissances : 9,8 contre 7,5613

« Pourtant » voici la réalité du Costa Rica en matière de vaccination :

  • pour les adultes : 87 % une dose, 81 % 2 doses (50 % 3 doses, 9 % 4 doses) 14
  • Pour les jeunes : Une incitation qui a commencé dès janvier 2022 15
  • Une relance faite pour les 190 000 enfants vaccinés entre 5 et 11 ans (20/04)
  • Une arrivée massive de 300 000 doses pédiatriques Pfizer (8/09).

Une nouvelle explication pédagogique (19/09) suivi, il y a 1 semaine, d’une mise en œuvre chez les tout-petits 6mois-5ans (3/10)16.

Et commentaire terrible :

les enfants peuvent être injectés sans la nécessité d’un consentement écrit des parents au Costa Rica. Juste un adulte (n’importe lequel), un carnet de santé et une carte d’identité.17 Des réactions locales ? Alexandra Henrion nous invite à les aider

OUI ! AIDEZ-LES SVP ! un appel à solidarité internationale de médecins, car ils campent 24 h/7 jours/7 devant le Président LIEN : https://t.me/wch_org/1859 18

ET un appel à sauver les enfants aujourd’hui :

https://t.me/alexandrahenrioncaude

UNE COURSE DE VITESSE ENTRE LES MONDIALISTES QUI ACCÉLÈRENT L’AGENDA ET LE MONDE QUI SE RÉVEILLE

En UE, l’injection toxique est autorisée chez les plus de six mois en même temps que la commissaire est de plus en plus acculée en justice pour les contrats abusifs passés en secret avec Pfizer.

AINSI CRISTIAN TERHES APPELLE À LA DESTITUTION D’URSULA VAN DER LEYEN POUR CORRUPTION AGGRAVÉE

Commentaire du YouTube le 19 oct. 2022 :

La vérité va exploser dans quelques jours sur les contrats entre Pfizer et la Présidente de la commission européenne Ursula van der layen qui espèrerait un conflit nucléaire avec la Russie pour éviter de parler de la corruption la plus importante de toute l’histoire de l’humanité.

Ursula von der Leyen doit être destituée immédiatement sans condition de toutes ses fonctions comme présidente de la Commission européenne » en raison de l’enquête ouverte pour se présenter aux interrogatoires, fournir les SMS et les documents de négociations. Elle doit préparer son procès et son passeport doit lui être retirée pour éviter qu’elle s’échappe dans un paradis fiscal qui n’extrade pas. (https://www.eppo.europa.eu/en/news/on…»

le Bureau du procureur européen , l’EPPO, a lancé le 17 octobre l’eurodéputé roumain au Parlement de l’UE :

Les contrats entre Pfizer et la commission européenne aux clauses abusives et secrètes sont inacceptables :

  • Commande ferme avec paiement en avance pour 4 milliards de doses
  • Commande obligatoire non annulable d’un montant de 70 milliards dont 35 milliards « négocié » directement par un échange de SMS entre Ursula van der layen et Albert Bourla
  • Augmentation du prix de la dose de 15 à 20 EUR totalement injustifiée
  • Non responsabilité des effets secondaires de Pfizer
  • En cas de versement d’indemnité, l’Union Européenne versera seule
  • En cas de procès contre Pfizer, l’Union Européenne paiera les avocats de Pfizer
  • une probable commission estimée en milliards pour Ursula, sa famille et les fonctionnaires qui ont validé le contrat.

Cristian Terhes met en garde contre un crédit social à la chinoise en Europe (https://t.me/kompromatmedia/1434) Ursula a bel et bien mené des négociations avec son grand ami Albert Bourla (https://t.me/kompromatmedia/1486), en infraction des règles mêmes de la Commission dont elle est présidente, a relevé l’eurodéputée Virginie Joron (https://twitter.com/v_joron/status/1570339024128315393), qui a fouillé le rapport de la Cour des comptes de l’UE (https://www.eca.europa.eu/Lists/ECADocuments/).

Mais ce n’est pas tout. L’entre-soi oligarchique de Bruxelles est étonnant : Entre autres, Heiko, époux d’Ursula, est directeur médical de la biotech Orgenesis (https://fr.wikipedia.org/wiki/Orgenesis), avec le même actionnaire que Pfizer : Vanguard Group.

Demande de destitution immédiate.

Christine Cotton biostatisticienne depuis 1995, ayant pratiqué 23 ans dans l’industrie pharmaceutique insiste sur le fait que la plus grosse arnaque de l’essai Pfizer n’est pas l’absence d’étude de la transmission (car c’est USUEL), mais qu’il n’y ait PAS mesure des ANTICORPS à 3 mois post dose 2… pour ne pas montrer que ça CHUTE 19 20

CHUTE à 56 jours post DOSE 2 !

Et comme Pfizer savait que les anticorps baissaient, dès décembre 2020, ils étudiaient déjà un BOOST !?!?! comme indiqué dans l’avis de la HAS de décembre 2020.21

Donc on ne mesure pas ce qu’on ne veut pas voir, on prépare 1 BOOST et on le vend 6 mois après !

D’AUTRES VOIX S’ÉLÈVENT AU PARLEMENT EUROPÉEN

EXCLUSIF — TOUT EST BASÉ SUR UN GIGANTESQUE MENSONGE !

Christine Anderson

le 21 oct. 2022 :

« Révélation sur la réalité de la situation et sur les produits injectables expérimentaux. Christine Anderson, Député européen et membre de l’équipe d’investigation sur les contrats signés entre Ursula von der Layen et Pfizer pour 70 milliards qui permet une augmentation des prix de 15 à 150 EUR la dose. La plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité et un empoisonnement encouragé. À partager ! »

Partout les citoyens s’inquiètent

22

Des mamans, des collectifs, des papas s’inquiètent et se mettent en lien 23

« Nous venons de créer l’Union pour la santé et la protection des enfants24, regroupant

– collectif de santé pédiatrique
– collectif des psys
– collectif des orthophonistes
– SOS éducation
– mamans louves
– enfance et liberte

Nous sommes en lien +++ avec beaucoup de parlementaires. Pour mettre au point des actions.

Voici une nouvelle explication des raisons qui poussent les pédiatres à promouvoir les injections géniques anti-Covid sur les enfants… »

Martine Leonard [23/10/2022 15 h 54]

[Transféré de Stock infos PEC]

⬆️ Les Collectifs des Parents En Colère de France entrent en action et en appellent aux associations, collectifs, parents, grands-parents, personnels médico sociaux, enseignants ou toutes personnes soucieuses du bien-être des enfants, à se joindre à cette action nationale auprès des établissements scolaires de toute la France afin d’affirmer notre détermination de refus de l’éventuelle réitération de mesures sanitaires et notamment le port du masque.

Nous avons constaté et sommes intervenus auprès de plusieurs établissements déjà qui ont fait appliquer en leur sein différentes mesures, se basant sur un protocole, qui n’a pas de valeur juridique et contrevient à la loi.

Nous en appelons à la solidarité pour faire cesser cette maltraitance !

Cette action vise à montrer notre détermination à protéger nos enfants, la force que nous représentons dans notre union pour cette action et notre étendue sur tout le territoire français.

Nous organisons deux réunions en visioconférences les mardi 25 et mercredi 26 octobre afin de répondre à vos questions.

« Pour nos enfants et parce que de l’union de chacun de nous donnera la puissance à cette action : rejoignez-nous dès maintenant pour entrer dans l’action sur le fil Telegram dédié : https://t.me/PECACTIONMASQUES2022 ou contactez-nous ici 👉pec.collectifs.actions@proton.me »

Les enfants comptent sur nous…

Ils sont notre avenir. Protégeons-les !

ESPOIR

L’État d’Alberta s’excuse auprès des non-vax et tance le WEF alors que New York doit réhabiliter ses salariés non vaccinés. 25 26

C’est au niveau local que les batailles contre la doxa officielle du Covid modifient petit à petit les rapports de force. Après la Floride, l’État d’Alberta au Canada prend une position claire contre la discrimination des non-vaccinés par la voix de sa nouvelle première ministre Danielle Smith.

Et L’Italie va réintégrer les suspendus et rembourser les amendes chez les non-vaccinés de plus de cinquante ans qui avaient résisté.27

LE MONDE SE RÉVEILLE : INFORMONS, PROTÉGEONS LES ENFANTS !


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31/10/2022 (2022-10-31)

Pourquoi les patients posent-ils tant de lapins 1 2 aux médecins ?

Par Gérard Delépine

Les lapins sont devenus le fléau numéro un des cabinets médicaux, si l’on en croit certains médecins. Les lapins, ces rendez-vous médicaux auxquels les patients ne se présentent pas sans prévenir, se seraient multipliés ces dernières années.

Désorganisation du cabinet, perte de chance pour les patients… les conséquences sont majeures sur l’organisation des soins, estime l’URPS Médecins libéraux Île-de-France qui pointe du doigt le comportement des usagers, accusés de multiplier les rendez-vous sur les plateformes en ligne.

Une thèse (« Rendez-vous manqués en médecine générale par les patients précaires : quels sont les motifs ? »), soutenue par le Dr Francis Gatier, donne un autre son de cloche. Le point de départ de cette analyse : une grande majorité des rendez-vous manqués le seraient par des patients en tiers-payant social, bénéficiaires de la couverture maladie universelle.

« Les patients en situation de précarité sont susceptibles de manquer plus de rendez-vous que la population générale avec leur médecin généraliste » (…)

Conséquence, ces rendez-vous manqués devraient être pris « comme signaux d’alerte et, au minimum, être explorés à la consultation suivante », estime le généraliste qui suggère d’intégrer la situation sociale des patients précaires dans les dossiers médicaux. (…)

Près de 5 % de rendez-vous non honorés (…)

Pourquoi les lapins se multiplient-ils ?

Sans surprise, la raison principale du rendez-vous manqué par le patient est l’oubli, non pas par désinvolture, mais parce qu’il est souvent « le dernier maillon d’une chaîne d’événement, les causes d’absences étant multifactorielles ». Les difficultés de la vie courante, principalement la précarité du travail (horaires imposés, heures supplémentaires au dernier moment), sont une cause d’absence fréquente, relève l’auteur. (..°

Autre explication invoquée : la charge mentale. « Les patients sont souvent isolés, avec peu de moyens et peu d’aide extérieure. Ils doivent gérer de multiples rendez-vous nécessaires à leur qualité de vie ».

Le moral et les troubles de l’humeur, la dépression, un sentiment de lassitude, jouent également un rôle important dans les absences, sans qu’il puisse être établi un lien de causalité avec la précarité des patients…

Si l’auteur de cette enquête reconnaît que les médecins ont peu de moyens d’agir, il invite ses confrères à ne pas stigmatiser ces patients, mais à s’interroger sur les motifs d’une absence, qu’elle peut être parfois perçue comme « un signal d’alarme pouvant cacher une aggravation de la situation sociale et de la santé du patient ». Les sanctionner « serait vécu comme une double peine et une forme d’abandon », par des médecins pourtant considérés souvent comme protecteurs. »

Le colloque singulier médecin-patient si fondamental, si estimé, respecté des patients a disparu au fil des nombreuses réformes destructrices depuis des décennies, transformant l’acte médical en acte marchand banal avec conclu le plus souvent avec un anonyme, comme on achète une salade au commerçant du coin, ou un coca au distributeur.

Avec la disparition de la nature si singulière de l’acte médical auquel était accroché le secret médical absolu, inviolable, permettant de tout dire, l’estime, le respect, la considération du médecin ont disparu. Comment s’étonner que le niveau des lapins ne fasse qu’augmenter ? Les mondialistes tentent de faire croire qu’on peut remplacer un médecin formé sur de longues années par l’étude, le compagnonnage et l’expérience, par des cabines téléphoniques reliées à des robots parfois aidés d’un praticien anonyme qui par définition ne connaît pas vos spécificités.

Si on adhère à ce scénario qui vise à faire disparaître les vrais médecins, 3 y compris les psychiatres par une virtuelle intelligence artificielle, il ne faut pas s’étonner que les malades oublient ce qu’est un « docteur », un médecin de famille qui vous connaît sur plusieurs générations et dont on n’aurait jamais pu oublier la visite tant attendue. Il vous avait fait naître et parfois accoucher de votre enfant, et fermer les yeux de votre grand-mère dans un accompagnement respectueux, sans seringue de Rivotril. Le passé, c’est notre histoire et il faut la connaître pour défendre notre avenir.

L’abandon des patients par une partie du corps médical sur ordre de Veran et de Salomon

Obéissant petit doigt sur la couture du pantalon. Ces deux dernières années de lâcheté, de soumission, d’abandon des principes hippocratiques de notre métier, foulant au pied ce serment qui place le patient avant toute autre considération font perdurer ce phénomène. Où sont passés les « docteurs » au sens où votre voisine vous parlait de son docteur et de ses « petits soins » ?

Ils se sont cachés, ont accepté d’être dévalorisés pendant la crise du covid et n’ont pas réagi collectivement contre l’ordre aberrant du gouvernement de ne pas consulter son médecin traitant en cas de troubles respiratoires, ou SOS médecin, mais d’appeler le 15 et de rester chez soi jusqu’à aggravation. INIMAGINABLE. Comment les patients pourraient oublier cette désertion ?

Certes, certains médecins ont été héroïques4 et ont tenté de soigner leurs patients, encourant multiples sanctions qui tombent actuellement.5 Quelques milliers ou centaines, ils sont en tous cas très minoritaires. Trop de médecins sont restés silencieux, acceptant cette désertion sur ordre, et n’ont pas dénoncé les persécutions des collègues courageux. Les milliers de soignants suspendus, sans droit au chômage ou RSA sont largement oubliés par leurs propres collègues et leurs patients. Pas de grève des soignants envisagée pour exiger que cesse ce scandale médical et politique ; une grève qui, si elle était effective, résoudrait le problème en quelques jours. Et le soutien des patients aux soignants suspendus est tout aussi timide. Le déni continue et cela arrange bien le pouvoir.

Collectivement les dizaines de milliers de médecins français sur les plus de 200 000 inscrits au conseil de l’ordre auraient pu réagir sur la disparition de fait de leur métier, dès mars 2020. Les Guadeloupéens n’ont pas cédé. Ils ont partiellement gagné. Que ne nous les avons pas imité en métropole ?

En 2022, 99 941 médecins généralistes exercent en France.6

Le nombre de médecins en activité s’élevait à 218 296 au 1er janvier 2013. Ce chiffre inclut les médecins militaires et les fonctionnaires, lesquels ne sont pas tous inscrits au tableau de l’Ordre des médecins. l’article L 412-6 du Code de la santé publique stipule en effet que « L’inscription à un tableau de l’ordre ne s’applique pas aux médecins, chirurgiens-dentistes et sages-femmes appartenant aux cadres actifs du service de santé des armées. Elle ne s’applique pas non plus à ceux des médecins, chirurgiens-dentistes ou sages-femmes qui ayant la qualité de fonctionnaire de l’État ou d’agent titulaire d’une collectivité locale ne sont pas appelés, dans l’exercice de leurs fonctions, à exercer la médecine ou l’art dentaire ou à pratiquer les actes entrant dans la définition de la profession de sage-femme. »

Un âge moyen de 51,3 ans. L’âge moyen des praticiens, qui comptent 41,9 % de femmes, est de 51,3 ans. Les médecins en activité sont ceux qui sont en exercice et ont au moins une activité en France.

On compte ainsi 333 médecins pour 100 000 habitants (199 libéraux pour 100 000 habitants), mais cette densité cache d’importantes disparités géographiques. Les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Île-de-France sont sans surprise mieux dotées.

Dans le détail, on compte 101 803 généralistes, les autres étant des spécialistes (14 619 psychiatres, 10 841 anesthésistes, 8 392 radiologues, etc.). Par ailleurs, 130 106 médecins ont une activité libérale ou mixte et près d’un médecin sur cinq exerce plus d’une activité.7

LES MÉDECINS SILENCIEUX SE SONT-ILS DÉSHONORÉS AUX YEUX DES CITOYENS ?

Combien de personnes autour de vous ont-elles accepté l’injection sur le conseil de leur médecin, les yeux fermés ? Nous aimions ce rapport de confiance au début de nos études dans les années 70, mais il fallait en être dignes comme les médecins de famille que j’évoquais plus haut, comme les médecins qui ne comptaient pas leurs heures à l’hôpital enchaînant gardes (non payées) travail du jour, consultations. Et de surcroît nous en étions heureux.

La société des loisirs, du commerce, de l’abrutissement voulue par l’ordre mondial qui avançait masqué, advint au début des années 80 en même temps que de l’arrivée du Président Mitterand et de Mme Thatcher, tentant de nous transformer en esclaves avec des jeux et du pain… Et les médecins sont tombés dans le panneau des 35 heures, des RTT, des réunions multiples et variées censées améliorer la qualité (en même temps qu’elles vous détournaient de votre métier), etc. L’hôpital devint une entreprise dont la finalité n’était plus le soin des malades, mais la rentabilité et le médecin libéral de plus en plus un commercial.

Ils ont perdu leur âme en acceptant le flicage des secrétaires par le badge, puis celui des soignants dévoués et finalement le leur. Ceux qui restaient facilement si besoin une heure ou deux de plus (quitte à partir plutôt un autre jour) se sont mis à compter des heures durant les minutes à récupérer.

D’humains auprès des patients, beaucoup sont devenus des robots, acceptant l’idée que la machine avec les algorithmes, les logiciels, les recommandations devenues injonctions imposées, bref la pseudo-intelligence, vraiment artificielle (l’IA) allait les soulager, comme l’avènement des cabines machines tentent de le faire dans les supermarchés en attendant de les remplacer. Et comme le symbole met trente ans à se modifier, aujourd’hui les plus jeunes n’y voient pas malice…

ILS ONT FERMÉ LES YEUX

Ils n’ont pas hurlé collectivement au décret Rivotril 8de fin mars 2020 donnant l’injonction de prescrire une injection létale disponible dans la chambre du résident d’EHPAD et de malades en hospitalisation à domicile, et même aux jeunes handicapés. Injection à appliquer en cas de symptômes compatibles avec le covid19. ILS N’ONT PAS HURLE, pire ils ont appliqué. Comme en leur temps les médecins allemands de l’Aktion T49 10

On sait maintenant qu’environ dix mille personnes ont été ainsi euthanasiées, pour la grande majorité d’entre eux sans leur consentement, ni celui de leur famille entre fin mars et avril 2020. Quels furent les prescripteurs initiaux, sinon des médecins, laissant trop souvent au soignant présent — infirmier ou aide-soignant — la terrible tâche de l’injection après accord téléphonique ? Beaucoup racontent ne pas s’en remettre11.

Ils ont accepté que le pouvoir interdise aux familles d’entourer leur patient dans ces moments terribles de la peur de la mort, de leur tenir la main, de leur parler. Et ils les ont laissé mettre nus dans de grands sacs plastiques sans que leurs proches ne puissent les revoir avant leur incinération. Ils ont laissé priver les familles d’obsèques libres avec nombre de personnes limité au cimetière. L’inhumanité a émaillé ces deux ans et demi et plane encore violemment.

Il me semble que peu de médecins ont réagi collectivement pour tenter de protester contre l’aberration de l’obligation du masque et ses dangers chez les enfants, du dépistage fallacieux par des tests PCR répétés chez des personnes saines et le pire, les injections à ARNm, sans essais thérapeutiques terminés et analysés, et faisant écho aux allégations mensongères gouvernementales sur la protection conférée par le pseudo vax.

En cet automne 2022, trop d’entre eux ont masqué et masquent encore la responsabilité de l’injection dans les complications dont souffrent les patients qui les consultent… Coïncidence, coïncidence. Tant de familles ont compris le lien, surtout quand les coïncidences s’accumulent, mais le médecin traitant continue souvent à nier le lien de causalité, quand il ne prend pas de haut la question du patient, ou ne le vire pas manu militari pour « insulte à la science !

Les témoignages s’accumulent par téléphone, par mail sans besoin de réseaux sociaux, d’où ce papier. Et ils voudraient qu’on leur fasse confiance, que l’on continue à les respecter, comme avant, à l’époque où la parole du médecin de famille était sacrée, à juste raison car celui-ci faisait le maximum pour son malade qui le savait.

On ne peut pas impunément trahir les patients et s’étonner des “lapins” irrespectueux…

Certes cela ne date pas du covid, mais le changement de comportement de certains médecins non plus. Il reste heureusement encore beaucoup de docteurs formidables et humains, et on les traite de héros, alors qu’ils ne font qu’exercer leur métier et en tirent plus de bonheurs que leurs collègues devenus marchands.

Certains médecins semblent tomber des nues sur le comportement de trop de patients envers eux. La multiplication des “lapins” comme ils disent si bien que l’illustre Dr Marty bien connu des téléspectateurs accros aux émissions TV voudraient leur faire payer les rendez-vous manqués…

LA CULPABILISATION DES CITOYENS NON INJECTÉS A CREUSÉ LE TROU ET AUGMENTÉ LA PERTE DE CONFIANCE

Les horreurs entendues ou lues sur les non-vaccinés par des représentants du milieu médical sont légion et ont sali la profession entière, de même que les calomnies et les insultes de certains d’entre eux contre nos collègues célèbres comme le Pr Raoult ou le Pr Perronne.

Une tribune signée d’une quinzaine de médecins est parue fin décembre dans Le Monde posait déjà la question honteuse12 de “la prise en compte du statut vaccinal dans la priorisation des patients Covid-19 en réanimation”.

un post sur Telegram résumait ce qu’iI serait souhaitable de rappeler à tous ces propagandistes aux ordres du gouvernement : “ils peuvent être poursuivis pour :

✓ “discrimination en raison de l’état de santé” et qu’ils ne peuvent pas bénéficier du fait justificatif “d’état de nécessité” : 13

✓ Non-assistance à personne en danger : Article 223-6, alinéa 2 du Code pénal

quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours”14

Et aux vues des propos tenus par les membres du gouvernement, notamment Véran et Castex, quant au fait de “rendre la vie impossible pour les non -vaccinés”

✓ Article 211-1 du Code pénal :

Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle….. d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

— atteinte volontaire à la vie ;

— atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;

— soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité”

✓ Article 211-2 du Code pénal : “La provocation publique et directe, par tous moyens, à commettre un génocide est punie de la réclusion criminelle à perpétuité si cette provocation a été suivie d’effet. Si la provocation n’a pas été suivie d’effet, les faits sont punis de 7 ans d’emprisonnement et de 100 000 € d’amende”. 15

LES TÉMOIGNAGES MULTIPLES DÉMONTRENT LA PERTE DE CONFIANCE EN LA CONFRÉRIE MÉDICALE

Malheureusement les vrais médecins sont souvent aussi victimes de la méfiance, car il est difficile pour un patient de les reconnaître.

Le corps médical a perdu son prestige par sa Soumission aux ordres du gouvernement et à la peur des sanctions ordinales.

Beaucoup trop de médecins qui n’ont pas pris le temps d’étudier les articles scientifiques et ont conseillé l’injection à leur patient.

Ce Renoncement est ancien et progressif depuis les Références médicales opposables de 1993, les recommandations, puis des protocoles obligatoires.

Ils ont bafoué le serment d’Hippocrate et la corruption par l’argent, les honneurs ou le désir de rester dans le groupe a achevé le tableau.

Le Courrier du Soir 16avait déjà fait cette révélation en mars dernier. Cependant, en raison du contexte actuel et à la suite de ce grand cirque auquel nous avons eu droit au Parlement européen lors de l’audition de la représentante de Pfizer, notre rédaction a jugé bon de republier cet article afin que les citoyens français et du monde sachent que la plupart des ‘experts sanitaires’ qui défilent sur les plateaux de télé ne sont rien d’autre que des crétins grassement payés par Big Pharma pour manipuler l’opinion publique et faire taire les vrais scientifiques qui, eux, n’agissent qu’au nom de la Science et dont le seul tort est d’avoir l’âme trop pure pour troquer leur dignité contre milliers d’euros (idem au Canada et aux USA »).

Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour tromper les médecins et se remplir les proches 17

D’après une étude relayée par Le Quotidien du Médecin, l’industrie pharmaceutique accorde d’importants cadeaux (financiers) à des médecins KOL pour vendre ses produits.

Les montants débloqués sont faramineux., entre 2014 et 2019, les industriels ont fléché 6 milliards d’euros (au niveau mondial) vers les médecins dont notamment 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature.

D’après le même journal médical, 548 médecins influenceurs sont en France :

« Sans surprise, les KOL sont plus gâtés que les autres. Alors que les leaders d’opinion ne représentent que 0,24 % des praticiens en France, ils concentrent à eux seuls 0,68 % du nombre total de cadeaux et 1,5 % de la valeur totale de ces avantages en nature et 99 % des associations médicales comptaient au moins un membre de son conseil d’administration pour lequel un cadeau avait été déclaré. »

Les chiffres dévoilés sont hallucinants. Ainsi, de 2017 à 2019, 1,67 million d’accords contractuels ont été déclarés pour un montant 125 millions d’euros. Et rien qu’en France, entre 2014 et 2019, 7 354 492 cadeaux ont été déclarés pour un montant de 818 millions d’euros. Les cadeaux accordés aux KOL ont été estimés à 12,3 millions d’euros, soit 3700 euros de cadeau par an pour chaque médecin influenceur.

Comment à ce jour un malade peut — il penser que son médecin a raison quand il lui refuse un antibiotique pour un mal de gorge traînant ou de la vitamine D dont chacun connaît les multiples bienfaits. Et quand encore maintenant le médecin et le pharmacien refusent ivermectine, hydroxychloroquine sous prétexte d’ukases politiques, quand ils ne poussent pas encore à injecter leurs enfants avec un produit génique toxique ou à vacciner même les garçons contre le HPV dont ils ne risquent quasiment rien.

En cancérologie l’application quasi aveugle des protocoles imposés par la HAS et l’INCa via les contrôles des ARS désespère les patients qui ne sont plus dupes après les scandales de la crise covid19. Les refus de soins probablement illégaux en l’absence d’injections morbides ont conduit au fond de l’horreur. La perte de confiance est généralisée sans solution de rechange néanmoins. Le désespoir, pas la meilleure chance d’aider à guérir leur cancer !

En conclusion, il faudra du temps avant que les médecins retrouvent leur virginité, dans un monde qui devra globalement revenir à de vraies valeurs humaines.

UNE PARTIE DE LA SOLUTION : LE RETOUR DES MÉDECINS SUSPENDUS ET DES SOIGNANTS SUSPENDUS

Une solution sera bien sûr le retour des médecins suspendus qui l’ont été parce qu’ils étaient particulièrement intègres, qu’ils savaient les injections dangereuses et inutiles et qu’ils refusaient d’utiliser de faux certificats de vaccination qu’ils pouvaient pourtant facilement se délivrer.

Les patients les attendent avec impatience. Les citoyens éveillés pourront alors trouver en cas de besoin un médecin éveillé et retrouver alors la confiance si indispensable au dialogue singulier.

Espérons que la relaxe du PR Perronne pourra faire jurisprudence et limiter les sanctions des médecins qui n’ont fait que leur devoir en traitant leurs malades ou en les avertissant de l’absence de recul sur les injections covid19.


Les procès américains contre le Gardasil rappellent les dangers du vaccin contre le papillomavirus, de plus en plus « imposé » en France

Les lobbies de l’industrie des vaccins s’efforcent, via les médecins généralistes (1), pédiatres,  infirmiers, pharmaciens etc.. de convaincre les parents de faire vacciner garçons et filles contre les HPV en agitant le spectre du cancer (2, 3, 4, 5) (col de l’utérus pour les filles, anus et ORL pour les garçons). Ils prétendent que ces vaccins sont efficaces contre les cancers et sans risque, et nous avons déjà démontré depuis plusieurs années le caractère fallacieux de ces informations. (6 ,7, 8, 9)

Les procès Gardasil (10, 11) qui s’ouvrent aux USA prouvent que ces vaccins ne sont pas dénués de complications graves.

Les complications post Gardasil ont déjà motivé des manifestations de victimes et de leurs familles dans de nombreux pays : Japon (12), Danemark (13), Irlande (14), Colombie (15) alors qu’on ne peut pas accuser ces familles d’être des antivax puisqu’elles ont fait vacciner leurs enfants !

En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-VPH Gardasil. 

Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin.  La commission n’a pas été « convaincue » par l’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins.

Les poursuites intentées comprennent des recherches en responsabilité des produits, des actions en rupture de garantie, en fraude, en négligence et, dans certains cas, en violation des lois étatiques de protection des consommateurs.

« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux Etats-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral », a déclaré Kennedy.

Baum Hedlund et Kennedy ont intenté de nombreuses actions en justice contre Merck, accusant la société de dissimuler sciemment les effets indésirables associés à son vaccin Gardasil. Les victimes viennent de nombreux états notamment : Victoria Trevisan (Californie) Merrick Brunker (Californie) Emma Sullivan (New Jersey) Ashley Dalton (Michigan) Abigail Stratton (Caroline du Sud) Savannah Flores (Nevada) Korrine Herlth (Connecticut) Kayla Carrillo (Californie) Michael Colbath (Californie) Sahara Walker (Wisconsin) Zachariah Otto (Californie) Julia Balasco (Rhode Island) 

Bien que chaque cas soit unique, tous les plaignants s’accordent à dire que si Merck avait dit la vérité sur les dangers connus associés à Gardasil, ils n’auraient jamais consenti au vaccin contre le VPH.

 En France plusieurs plaintes ont été déposées pour complications graves en rapport avec le Gardasil (une cinquantaine de familles). A ce jour, le combat de la jeune Océane  et de ses parents se poursuit depuis 2013 (16). Plus de 700 familles seraient concernées.

Aux Etats-Unis (17), la justice est moins dépendante du pouvoir politique qu’en France

En France le premier alinéa de l’article 64 de la Constitution du 4 octobre 1958 dispose que « le Président de la République est garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire » rappelant un peu trop qu’avant 1789 la justice était rendue « au nom du roi ». Comme l’a indiqué le professeur Guy Carcassonne (18), « autant proclamer que le loup est garant de la sécurité de la bergerie ». De fait l’indépendance des magistrats du parquet, dont découle le libre exercice de leur action devant les juridictions, (…) doit être conciliée avec les prérogatives du Gouvernement et (…) n’est pas assurée par les mêmes garanties que celles applicables aux magistrats du siège ». Leur carrière dépend considérablement du pouvoir et du Conseil supérieur de la magistrature.

Cela explique les discordances fréquentes entre les sentences rendues contre le pouvoir ou ses protégés jugées trop tardives et/ou trop faibles par la population en particulier dans les scandales sanitaires (sang contaminé, médiator, hormone de croissance..)

Aux USA beaucoup de juges sont élus par le peuple (19) au lieu d’être nommés par des puissants corruptibles. Les avocats ont le droit d’enquêter, de parler aux témoins, de réunir les preuves, et de parler en public de leur affaire (20). On peut donc attendre de cette série de procès américains des preuves supplémentaires solides de l’ingérence de Merck dans la décision de la FDA d’autoriser la mise sur le marché du Gardasil sans aucune preuve d’efficacité anticancer et dans la responsabilité du Gardasil dans les complications constatées.

Il faut espérer que les médias français rendront compte objectivement des procès et que les preuves qu’ils apporteront permettront de relancer un débat démocratique sur la réelle balance avantages/risques de ce vaccin inefficace, dangereux et hors de prix.

Un vaccin inefficace sur les cancers invasifs du col de l’utérus

Nous avons à maintes reprises (21, 22, 23, 24) rappelé que si ces vaccins sont efficaces contre les virus cibles, leur prétention à prévenir les cancers du col de l’utérus, des organes génitaux, de l’anus ou de la gorge n’ont jamais été prouvées et ne reposent pas sur les faits avérés publiés dans les registres des cancers, mais seulement sur des simulations fausses basées sur des hypothèses incertaines. 

Les médias proclament partout que l’Australie, qui a été la première à généraliser cette vaccination à l’école, serait en train d’éradiquer le cancer du col de l’utérus (25, 26, 27), mais les publications officielles(28) démontrent le contraire : le nombre global des cancers invasifs qui avait fortement diminué grâce aux frottis cytologiques systématiques (tous les trois ans)  augmente depuis la vaccination. 

« En 2018, 936 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus ont été diagnostiqués en Australie. En 2022, on estime que 942 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus seront diagnostiqués en Australie »

Et l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus, qui avait fortement diminué jusqu’en 2000 grâce aux frottis cytologiques, reste stable malgré les annonces publicitaires fracassantes sur l’efficacité supposée du Gardasil contre le cancer invasif.

En 2017, le taux d’incidence normalisé selon l’âge était de 6,6 cas pour 100 000 femmes. En 2021, on estime que le taux d’incidence standardisé selon l’âge restera à 6,8 cas pour 100 000 femmes

La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser le Gardasil en milieu scolaire et là aussi fleurissent des simulations publicitaires (29) relayées par des articles dithyrambiques annonçant la disparition prochaine du cancer invasif.

Mais là encore les publications officielles (30) affirment que depuis la vaccination l’incidence standardisée globale ne diminue plus. Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer du col de l’utérus sont restés stables chez les femmes au Royaume-Uni (2016-2018)

Et dans la classe d’âge 20-24 ans, vaccinée à plus de 80%, l’incidence des cancers invasifs a commencé à augmenter trois ans après le début de la campagne de vaccination.

En Grande-Bretagne comme en Australie les faits avérés dans le monde réel démentent totalement la propagande publicitaire des simulations réalisés par des auteurs liés aux fabricants de vaccin ou aux organismes réalisant les campagnes de vaccinations.

D’ailleurs les prévisions de cancer-research UK sont très inquiétantes :

On observe la même évolution paradoxale et les mêmes campagnes permanentes de propagande marchande dans tous les pays assez riches pour payer ces vaccins hors de prix. 

En France métropolitaine la couverture vaccinale anti HPV faible fait le désespoir des marchands de vaccins et de leurs actionnaires, mais permet de considérer notre pays comme un pays témoin.

En France, depuis la pratique du dépistage par frottis l’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué passant de 15/100000 en 1995 à 7,5 en 2007, 6,7 en 2012, et est estimée en dessous de 6/100000 en 2018 (31), seuil définissant les maladies rares d’après l’OMS. Cette diminution de l’incidence s’est accompagnée d’une diminution de la mortalité. Il n’y a donc aucune urgence à utiliser un vaccin au résultat cancérologique incertain et potentiellement dangereux.

La comparaison des incidences du cancer invasif du col de l’utérus en France et dans les pays très vaccinés est très démonstrative : Le taux français relativement faible de vaccinées (37% de la population cible) va de pair avec une incidence standardisée plus faible (6/100000) que dans les pays apôtres du vaccin, que ce soit en Australie (6,8/100000 [32] pour 83% de vaccinées), en Grande -Bretagne (9,7/200000 pour 85% de vaccinées) , en Suède (10,4/100000 pour 83% de vaccinées), en Norvège (15/100000 pour 90% de vaccinées) ou au Portugal (16,1/100000 pour 76% de vaccinées) (34).

Manifestement l’efficacité du Gardasil contre les cancers invasifs du col n’a toujours pas fait ses preuves contrairement au dépistage cytologique qui a partout réduit l’incidence de plus de 50% en quelques années. 

Pourquoi devrions-nous prendre modèle sur des pays dont la stratégie vaccinale aboutit à un risque de cancer invasif du col de l’utérus supérieur au nôtre ? Ce qui compte, ce ne sont pas les mirages des simulations, mais les résultats avérés en population réelle.

 

Dès 2010, Diane Harper dans « Cervical cancer incidence can increase despite  HPV vaccination », (35) craignait que la propagande prétendant que « le vaccin ferait disparaître le cancer » dissuade trop de femmes de continuer le dépistage cytologique et aboutisse ainsi à perdre une partie des considérables progrès (diminution de 50 à 70% du nombre de cancers du col utérin dans tous les pays qui l’ont pratiqué) accomplis depuis les années 1960. Les résultats actuels des registres des cancer lui donnent malheureusement raison.

Un Vaccin hors de prix et un projet délirant d’obligation vaccinale

Ce vaccin est vendu à un prix astronomique. C‘est d’ailleurs peut-être la raison de l’intensité de la propagande en sa faveur. Une dose de vaccin contre la fièvre jaune coute actuellement 60 euros et vous protège à vie contre cette maladie mortelle dans 20 à 60% des cas selon les épidémies (37)et une dose d’Hexyon, le vaccin hexavalent de Sanofi, est vendu 37,49 euros.

La vaccination par Gardasil nécessite trois doses, pour un prix d’achat de 370,32 euros avec un reste à charge de 129,61 euros sans compter le reste à charge des 4 consultations nécessaires (en moyenne 120 euros). Et personne ne connait la durée de protection contre les souches virales ciblées, et encore moins si cela préviendra vraiment un seul cancer ! 

Certains députés ont proposé à deux reprises un projet de loi rendant obligatoire la vaccination par Gardasil. Ont-ils seulement mesuré le cout exorbitant d’une telle mesure ? Si l’on tient compte du prix des vaccins et des consultations nécessaires, la vaccination d’une classe d’âge couterait en effet environ 500 euros par personne, soit environ 350 millions d’euros chaque année. Et en acceptant les hypothèses les plus invraisemblables d’une durée de protection illimitée et d’une efficacité anti cancer totale cette dépense permettrait d’éviter moins de 1000 décès par cancer du col et moins de 400 décès par  cancers de l’anus, soit plus de 200000 euros par décès théorique évité, soit vingt fois plus que couramment admis en France pour estimer rentable une action sanitaire. Ces députés croient-ils encore qu’il existe de l’argent magique ? Sont-ils incapables de compter, ignares ou corrompus ?

Une mesure sanitaire ne doit pas reposer sur la foi dans une vaccination ou des conflits d’intérêts cachés, mais sur des faits avérés, vérifiables par chaque citoyenOr les faits établis par les relevés officiels des registres du cancer montrent que la vaccination anti HPV ne protège pas contre le cancer invasif du col de l’utérus, mais parait plutôt maintenir sa fréquence à un niveau élevé, voire parfois même l’augmenter. Il n’existe aucune preuve même minime que le vaccin anti HPV puisse protéger contre les cancers de l’anus et ORL.

Ne vaccinez pas vos enfants par Gardasil avant qu’il n’ait été prouvé en population réelle son hypothétique efficacité anti-cancer. Nous en sommes très loin. Cependant les complications sont reconnues.

Dr Gérard Delépine

 

Notes :

1 https://nouveau-monde.ca/ne-vaccinons-pas-non-plus-les-garcons-par-le-gardasil/ 

2 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2022/10/17/prevention-du-cancer-du-col-de-l-uterus-itineraire-d-un-echec_6146187_1650684.html 

3 https://www.leprogres.fr/sante/2022/04/27/la-vaccination-contre-les-hpv-concerne-autant-les-filles-que-les-garcons 

4 https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cancer/faut-il-vacciner-les-garcons-contre-le-papillomavirus_131256 

5 https://www.lefigaro.fr/sciences/pourquoi-faire-vacciner-son-garcon-contre-le-hpv-20210111 

6 Hystérie vaccinale Gardasil et cancer un paradoxe   n et g Delépine    et  Faith and propaganda versus hard evidence, Gardasil, Nicole Delépine, Gérard Delépine, Fauves Ed ». .

7 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-augmentation-du-taux-de-218354

8 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-alerte-risque-imminent-d-206314 

9 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-societe-sante/gardasil-resultats-cancerologiques-actuels-des-vaccins-anti-hpv

10  https://t /defender/un-proces-intente-recemment-contre-le-vaccin-gardasil-hpv-de-merck-pour-cause-dinfertilite-et-de-crises-depilepsie/?lang=fr 

11 https://childrenshealthdefense.org/defender/premier-proces-pour-deces-injustifie-lie-au-gardasil-alleguant-que-le-vaccin-contre-le-vph-a-cause-la-mort-dun-adolescent-de-13-ans/?lang=fr 

12 HPV: le Japon ne recommande plus les vaccins Gardasil et Cervarix contre le cancer de l’utérus https://www.slate.fr/life/74167/vaccin-japon-hpv 

13 http://initiativecitoyenne.be/2015/05/desastre-du-vaccin-gardasil-au-danemark-le-documentaire.html 

14 https://thenewamerican.com/irish-nurse-seeks-withdrawal-of-license-for-gardasil/ 

15 https://sanevax.org/hpv-vaccine-damaged-girls-colombia-stir-international-quest-justice/ 

16 Gardasil in France: Marie-Océane Bourguignon’s Experience – SaneVax, Inc.

17  https://www.legislationlab.org/election-juge-usa/ 

18 https://www.conseil-constitutionnel.fr/la-constitution/l-independance-de-l-autorite-judiciaire#ii_la_consecration_pretorienne_de_l’independance_des_juridicti 

19 http://loiseaumoqueur.com/?p=1652 

20 https://www.ladepeche.fr/article/2011/07/01/1119967-juges-jures-avocats-qui-fait-quoi-aux-etats-unis-et-en-france.html  

21 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-augmentation-du-taux-de-218354 

22 https://www.auchan.fr/hysterie-vaccinale-vaccin-gardasil-et-cancer-un-paradoxe-delepine-nicole/pr-62adb0ad-a7de-44cb-b45c-7f73b2af1bd7 

23 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/vaccin-gardasil-augmente-t-il-le-204313 

24 https://atlantico.fr/article/decryptage/pourquoi-les-predictions-sur-la-disparition-du-cancer-du-col-de-l-uterus-grace-a-la-vaccination-sont-a-prendre-avec-beaucoup-de-pincettes-nicole-delepine 

25 https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/diplomatie-scientifique-et-universitaire/veille-scientifique-et-technologique/australie/article/l-australie-sur-la-voie-de-l-eradication-du-cancer-du-col-de-l-uterus 

26 https://www.gyneco-online.com/gynecologie/elimination-du-cancer-du-col-en-australie-une-projection-pour-lavenir 

27 Hall MT , Simms, Lew, Smith, Brotherton, Saville, Frazer, Canfell  The projected timeframe until cervical cancer elimination in Australia: a modelling study. Lancet Public Health. 2018 Oct 1. pii: S2468-2667(18)30183-X. doi: 10.1016/S2468-2667(18)30183-X. [Epub ahead of print

28 https://ncci.canceraustralia.gov.au/diagnosis/cancer-incidence/cancer-incidence 

29 Falcaro M, Castañon A, Ndlela B, et al. The effects of the national HPV vaccination programme in England, UK, on cervical cancer and grade 3 cervical intraepithelial neoplasia incidence: a register-based observational study. Lancet 2021;398(10316) :2084-2092.

30 https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence#heading-Two 

31 F. F. HAMER Cancer du col de l’utérus en France : tendances de l’incidence et de la

mortalité jusqu’en 2018 Revue de Biologie Médicale/N° 353 – MARS-AVRIL 2020

32 https://cdn.who.int/media/docs/default-source/country-profiles/cervical-cancer/cervical-cancer-swe-2021-country-profile-fr.pdf?sfvrsn=df523911_1 

33 https://www.kreftregisteret.no/globalassets/cancer-in-norway/2019/cin_report.pdf 

34 https://hpvcentre.net/statistics/reports/PRT_FS.pdf 

35 https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S1473-3099%2810%2970182 

36 https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/fievre-jaune 

37 contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la poliomyélite et les maladies invasives à Haemophilus influenzae type b (Hib).


 


 

 

     


18 octobre 2022 | LIBEREZ LES « PRISONNIERS » DES EHPADs

L’enfermement inhumain des personnes âgées dans les EHPADs est la démonstration la plus aboutie du déshonneur de certains humains, dès qu’on leur donne un petit pouvoir et qu’on les manipule par la peur.. Alors ceux qui ont un grand pouvoir, n’en parlons pas.

Il n’y a jamais eu AUCUNE raison d’enfermer un vieillard dans sa chambre sans visites, ni contact avec ses « codétenus », sans sortie dans le jardin …

Rappelons les réflexions de bon sens des comités d’éthique 1:

« Les droits de l’Homme et de la Femme s’arrêtent-ils à l’entrée de l’EHPAD ? La restriction pour les résidents des sorties de l’EHPAD est-elle légale ? …

La Constitution de notre pays garantissant la liberté d’aller et de venir, cette question ne devrait pas se poser. Une personne âgée, capable au sens de la Loi, apte à comprendre la nécessité et la pratique des gestes barrières, est et devrait rester libre de sortir de l’EHPAD…

« Il est exclu de priver pendant les temps de confinement, comme observé lors de la première vague de la Covid-19, toute visite car l’enjeu éthique recoupe celui plus médicopsychologique, à savoir l’indispensable mission de lien que l’accompagnement des familles permet de réaliser auprès des résidents âgés.. »

Et malheureusement le silence et la poursuite de la coercition règnent encore et l’on apprend par des blessés de la vie (prisonniers ou visiteurs discriminés) qu’en octobre 2022 des « enfermés », Alzheimer de surcroit, n’ont pas le droit de voir leur proche sans masque, qu’ils ne peuvent évidemment pas reconnaître et se sentent donc abandonnés.

Ils le sont de fait, si ce n’est pas par leurs proches dont certains multiplient plaintes et lettres aux autorités diverses (ARS, directeurs etc..) mais par la société tout entière ou presque. Après les près de 10000 résidents d’EHPAD « euthanasiés » en mars avril 2020 sans leur consentement ni celui de leurs familles, au prétexte de quelques symptômes compatibles avec le virus2 3 4, et les multiples syndromes de glissement et décès liés à l’isolement, sans explication de l’absence de visites de leurs enfants, les autorités les ont piquousé de force.

Le consentement libre et éclairé ne fut qu’une vaste imposture dans ces circonstances, avec toutes les conséquences physiques, psychiques que l’on commence à connaitre5. Mais il est clair que les effets dits indésirables (de fait jamais désirés) ont été probablement largement sous-estimés, tant il est vrai que Robert Marchand qui à 109 ans faisait du vélo deux semaines plus tôt, décédé quelques jours plus tard d’une crise cardiaque après le pseudovax, ne pouvait être qu’une « coïncidence »6… Et que le grand nombre de ces « coïncidences » devraient interroger nos criminalistes..

Aujourd’hui alors que l’épidémie est terminée depuis belle lurette7 et que la plupart des pays même les plus covidistes8 abandonnent les mesures coercitives et les injections, en France, on veut nous faire croire à une nouvelle vague… Nouvelle vague de délire alimentée par des tests (dont même le CDC a reconnu la non spécificité)9, « masque » des drames sociaux, grèves, pénuries qui se jouent dans notre pays. Alors si on pouvait dévier l’attention…

Un correspondant fait le point du jour mettant en évidence les chiffres réels. https://covid.irsan.eu : situation le 15 Oct 202210 : pas d’épidémie, que du vent médiatique.

Nos ainés, comme nos enfants et tous les citoyens doivent être libres de leur mouvement, de leurs sorties dehors dans le jardin ou au restaurant, et dans l’établissement lui-même entre résidents. A ce que je sache, on ne retire pas les droits civiques lorsqu’on entre en EHPAD ! Qui se permet, encore aujourd’hui de maltraiter nos ainés ?

Voici ce témoignage reçu d’un proche d’un résident EHPAD, accrochez-vous …

Je suis Marie

Par Ity le dimanche 10 octobre 2021, 22:22

De nombreux mois maintenant
Que je vis dans cette résidence
Où le temps passe lentement
Entre le vide et le silence

Trois ans passés déjà qu’on m’y a remisée
Dans cet endroit nouveau qu’on appelle foyer
Trois longues, pénibles et monotones années
Passées loin de chez moi, perdue, déracinée

Les jours pareils, je les regarde passer
Par ma fenêtre, je vois le vent souffler
Le soleil tant aimé ne me réchauffe même plus
Derrière ces murs livides, tout n’est que superflu

Mes journées sont longues, ennuyeuses à pleurer
Pas de lecture, de jeux, juste un écran télé
Que je regarde d’un œil sans même m’intéresser
Quand je patiente assise entre déjeuner et dîner

Et puis il y a ces jours un petit peu animés
Quand j’aperçois la bouille de l’un d’mes bien-aimés
Mon regard est tout de suite rallumé, éclairé
Et sur mes lèvres soudain un sourire est posé

Il y a mes enfants fidèles et réguliers
Et les petits-enfants un peu plus espacés
Tous ces moments précieux me réchauffent le cœur
Dans cet endroit bien glauque envahi de froideur

Les accolades et les petits baisers
Font de ces visites moments privilégiés
Et même si là-haut, du mal à me rappeler
Mes familiers se lassent jamais de répéter

Puis un jour, les voilà se présentant masqués
Leur beau sourire d’un tissu habillé
Plus que nos yeux pour quelques émotions
Quand leurs visages avaient avant tant d’expressions

Je n’ai jamais compris pourquoi cette mascarade
Enfermée seule ici hors de cette parade
Pourquoi mes proches ne veulent plus m’embrasser
Quand mes années commencent pourtant à s’décompter

Mais qu’ont-ils donc tous bien pu faire
De mon monde où il faisait bon vivre
Est-ce vraiment à ce point devenu un enfer
Où plus personne n’a de chance de survivre

Alors on m’a parlé d’un très méchant virus
Tueur impitoyable, contagieux et bien plus
Qu’il s’attaquait à tous et spécialement au vieux
Que c’était en prison que je serai le mieux

Puis les visites fréquentes sont devenues bien rares
Mes enfants mes chéris m’avaient-ils oubliée
Plus le bruit de leurs pas arrivant dans l’couloir
Et cette porte verte désespérément fermée

Et c’est bien une prison que l’on m’a imposée
Avec interdiction de voir mes bien-aimés
Avec même privation de toute liberté
Quand nos repas de groupe nous sont même retirés

Enfermée dans cette chambre à longueur de journée
Quelle était donc ma faute pour y être condamnée
Exemplaire toute ma vie désormais en prison
Même la moindre visite se heurtait à un non !

Et sans le moindre mot de mes geôliers en blouse
Je ne savais même pas qu’ils refoulaient mes proches
Les jours si longs sans eux me refilaient le blues
Et dans ma tête en boucle, les idées les plus moches

Puis vint l’heure du parloir à des heures encadrées
Derrière ces murs de verre comme en maison d’arrêt
Pourquoi ne plus pouvoir toucher mes fils mes filles
Quand c’est tout ce qu’il reste d’une vie qui s’effile

Mais qu’y avait-il donc à redouter comme ça
Était-ce l’hécatombe narrée dans les médias
Même mon écran monotone ne parlait que de ça
Des chiffres en tous sens et des morts à tout va

Je ne comprenais plus ce qu’il s’passait dehors
Pourquoi vivre recluse abandonnée de tous
Qu’avais-je donc commis pour mériter tel sort
Pour finir ma vie, bannie que l’on repousse

Et puis on m’a piquée à multiples reprises
Pour mon bien parait-il, pour ma santé fragile
J’ai subi tout ce cirque sans aucune maîtrise
Avec l’accord éclairé de mes enfants serviles

Les vieux comme cobayes, c’est tellement plus pratique
Même si dans nos entrailles, ça semble si sadique
Pourquoi n’pas nous laisser finir nos vies en paix
N’avons rien demandé sauf dignité, respect

Et puis les jours passant, mon souffle devenu court
Mes jambes lourdes maintenant, serrées dans mes collants
Mes forces disparaissant, plus faible de jour en jour
C’était bien leur poison qui me tuait lentement

J’ai continué ainsi sans la moindre complainte
À l’image de ma vie, femme discrète et simple
Mais jusqu’à l’épuisement, l’inéluctable malaise
Quand la mort vous attire au bord de la falaise

Je ne me relèverai pas de ce terrible coup
Embolie pulmonaire, ma vie ne vaut plus rien
Je vais finir mes jours, épuisée, presque à bout
Aujourd’hui plus qu’hier, dépérir vers la fin

On me dit qu’aujourd’hui pour me rendre visite
Il faut être classé comme aux heures les plus sombres
Mais moi j’en connais un qui quand l’Histoire hésite
Ne cédera jamais à une nation qui sombre

Mais qui sont donc ces gens pour me priver de lui
Que sont devenues nos lois dans une telle folie
Faudra-t-il sortir d’ici les 2 pieds en avant
Pour qu’il puisse à nouveau me serrer tendrement

On m’a privée des sourires en cette fin de vie
De la chaleur des miens en cette fin d’chemin
Des bisous, des câlins, d’la famille, des amis
Quand chaque heure qui passe menace le lendemain

Moi qui croyais en dieu, je ne crois plus personne
De ces sombres années, je veux que mon glas sonne
Je n’ai donc plus la force de continuer ici
N’importe où mais ailleurs, sera le paradis

C’est donc ainsi ici que l’on chérit nos aïeux
Avec tant de mépris, parfois même sans adieux
J’avais rêvé finir, entourée par les miens
Non pas au cri d’Je suis Marie[1], détruite de chagrin…

Note du rédacteur de ce témoignage terrible traduisant le vécu de tant de nos ainés : [1] Au nom de tous les prisonniers de nos EHPADs, de ces victimes, de ces sans-voix, de ces sacrifiés de la folie humaine et contre tous les suiveurs bien plus coupables que les meneurs..11.
Si ce texte vous a plu et/ou surtout touché, partagez-le au plus grand nombre pour lancer un mouvement de libération de nos aïeux qui méritent bien mieux qu’un emprisonnement indigne privés de la chaleur de leurs proches pour finir leurs jours !
Alors comme en janvier 2015 lorsque la folie s’est déchaînée sur notre pays et que le peuple a réagi, aujourd’hui ce peuple doit se réveiller. Il est temps de crier « Je suis Marie » !12

Ce témoignage doit nous faire honte à tous, car nous avons échoué à réveiller la population et laisser mourir tant d’ainés dans l’indifférence générale, quasi absolue. Les quelques articles que nous avons écrit 13 14 et bien d’autres auteurs, 15 pour transmettre les cris des patients hospitalisés, isolés, abandonnés, interdits d’accompagnement à l’approche de la mort, et de nos ainés devenus prisonniers, en pire car privés du droit à la promenade journalière des vrais prisonniers, sont tombés dans le silence et le fonds du puits de l’égoïsme intégral.

Cette indifférence n’a d’égale que celle concernant les soignants et pompiers suspendus, sans salaire depuis plus d’un an, sans droit au RSA, ni allocation chômage, et dont certains se sont suicidés16 ou sont devenus SDF.17

Nous n’avons pas su trouver les mots et espérons que cet appel de Marie résonnera au fond du cœur de chacun, car la libération de ceux qui ont survécu et sont encore enfermés est une Urgence !

Transférez le poème de Marie à tous les députés, sénateurs qu’ils votent une loi de libération s’il faut en arriver là. La loi d’aout 2218 supprimant les mesures coercitives aurait dû les libérer, mais un funeste décret a autorisé les établissements de soins à imposer le masque s’ils le souhaitent.

Au nom de quelle justification médicale, de quelle compétence alors que le masque est démontré être inefficace et dangereux 19202122…

LA BANALITÉ DU MAL

De façon plus générale, il est temps de réfléchir à nouveau à ces concepts oubliés et pourtant si présents, la banalité du mal, si bien explicitée (mais si longtemps incomprise) par Hannah Arendt qu’il est urgent de relire.

Le comportement de trop de soignants dans les Ehpad ou instituts d’handicapés, de médecins obéissants à la doctrine du non-soin imposé par le gouvernement pour la première fois depuis Hippocrate, soit 2500 ans, de citoyens ordinaires vis-à-vis de leurs familles ou dans les supermarchés envers une personne non soumise, qui porte la muselière sous le menton, nous a plongés en moins d’un an dans l’univers kafkaïen des descriptions de Primo Levi.23

1 https://www.espace-ethique-bretagne.fr/actualites/news_ereb/ethique-de-proximite-et-ehpad-pour-un-dialogue-securisant/

2 https://m.alterinfo.net/Le-Dr-Nicole-Delepine-balance-tout-sur-le-decret-du-28-mars-autorisant-l-euthanasie-par-Rivotril_a154310.html

3 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion-223015

4 http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/au-secours-le-droit-deuthanasier-nos-aines-en-ehpad-revient-dans-le-decret-du-16

5 France — Vaccinations dans les EHPAD : l’arnaque au consentement ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

6 Covid-19 : cinq morts après l’injection du vaccin en France, dont un en Occitanie, annonce le ministère – ladepeche.fr

7 Comme aux États-Unis, en France et dans de nombreux pays aussi, la pandémie est terminée – PLANETES360

8 Par exemple l’Australie

9 La mystification des tests PCR continue en France via le Sénat et ruine la sécurité sociale – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

10 54 malades du Covid-19 en une semaine pour 100 000 habitants en France métropolitaine détectés par le Réseau Sentinelles. En intégrant les données d’autres médecins généralistes de premiers recours (SOS Médecins), il passe à 40. Ce chiffre est supérieur à la valeur moyenne de 33 [28 ; 38] malades du Covid-19 par semaine pour 100 000 habitants en France depuis le début de l’épidémie en mars 2020.

Selon des données de Santé Publique France, 0,5 individu(s) porteur(s) du virus sont décédés en une semaine pour 100 000 habitants en France . Ce chiffre est inférieur à la valeur moyenne de 1,7 [1,4 ; 2] décès du Covid-19 par semaine pour 100 000 habitants en France depuis le début de l’épidémie en mars 2020.

11 Aussi coupables ! Les meneurs sont aussi impardonnables que les suiveurs.. (mon avis N Delépine)

12 Malheureusement le peuple a oublié Charlie… L’assassinat de Samuel Paty dans une quasi-indifférence en est la tragique démonstration.

13 Ehpad : maltraitance et surmortalité de nos anciens, cela suffit ! (ripostelaique.com) 20 Nov 202O

14 La « banalité du mal » : EHPAD, institutions pour handicapés… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) avril 21

15 Q INFOS – APPEL du Professeur Paul Trouillas, Neurologue à LYON. – L’Informateur. 🇳🇱 #WeStandAsOne (qactus.fr) dont je ne connais pas les suites concernant les euthanasies sous Rivotril

16 https://nouveau-monde.ca/suicide-des-professionnels-de-sante-continuerons-nous-a-faire-la-sourde-oreille/

17 Triste anniversaire. N’oublions pas les soignants et pompiers suspendus – (nicoledelepine.fr)

18 France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

19 France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

20 Les masques tombent… Selon une étude allemande, les enfants portant des masques sont victimes d’impacts négatifs majeurs sur leur santé physique, psychologique et comportementale. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

21 https://www.youtube.com/watch?v=Fvp6uah-2hY Covid-19 : Les masques et les « gestes barrières » sont inutiles Pr Denis Rancourt)

22 Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) juin 22

23 Ibid 11

La « Banalité du mal est l’expression paradoxale, utilisée pour la première fois par Hannah Arendt, (philosophe juive réfugiée aux USA, auteur des « origines du totalitarisme »), à l’occasion du procès de Eichmann, responsable nazi capturé à Buenos Aires en mai 1960 par les services secrets israéliens, et jugé à Jérusalem en avril 1961.

Cette notion suscita une énorme polémique, tant elle paraissait inacceptable à l’époque, comme aujourd’hui encore, à chacun d’entre nous. Ces criminels nazis responsables des pires horreurs étaient de fait, semblables à nous tous.

« Voilà donc posée la plus grande interrogation pour la pensée : tous ces gens incriminés pour des crimes d’une gravité exemplaire étaient d’une banalité si confondante que cela rendait la question du génocide encore plus terrifiante. Certes, « il eût été réconfortant de croire qu’Eichmann était un monstre » écrit-elle. Pourtant, beaucoup lui ressemblaient : « ni pervers, ni sadiques ». Ces gens étaient « effroyablement normaux ».

L’inhumain est en chacun d’entre nous (..)

16/10/2022 (2022-10-16)

Par Nicole Delépine

En écho à l’appel des appels de Roland Gori, ici une suggestion pour le lire, l’écouter, puis penser, et aller mieux.

Roland Gori1, comme d’autres veilleurs, est-il l’équivalent du canari dans les mines qui guettait le danger comme il le raconte ? L’écouter fait toujours du bien, car il nous rappelle déjà la nécessité pour soi-même et son équilibre de penser, de lire, de réfléchir et ensuite de confronter ses idées avec d’autres. Et si l’on est en désaccord avec certaines positions, qu’importe, l’essentiel est de discuter avec les autres, avec soi-même, de redevenir humain et non machine obéissante et soumise.

 

Écoutez cette vidéo de 2020 sur son livre : «  et si l’effondrement avait déjà eu lieu »2

Prenez le temps, il sera gagné !

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu : l’étrange défaite de nos croyances3

S’adapter à l’époque, à ses rythmes et mutations, s’impose comme un impératif dans nos sociétés contemporaines.

Dans ces adaptations sociétales, néolibéralisme et scientisme œuvrent au service d’une idéologie du progrès qui semble sans limites. Pris dans une logique du court terme faisant abstraction du temps et de l’espace, le sujet contemporain se trouve contraint à l’adaptabilité, entravé dans sa capacité à penser, à projeter, à créer…

Les crises écologiques et sanitaires actuelles interrogent tout particulièrement ce rapport au monde et à l’humain. S’y associent des discours sur l’effondrement qui ne sont pas sans effet.

Dans son ouvrage intitulé : « Et si l’effondrement avait déjà eu lieu ? L’étrange défaite de nos croyances », Roland Gori nous invite à appréhender et penser l’effondrement, dans une nécessaire articulation entre passé, présent et futur. Relancer la pensée… vers de nouvelles utopies…

Et je dirai pour chacun d’entre nous… Prenons le temps de lire, d’écouter, de réfléchir, il ne sera pas perdu… Sans oublier de lire « la fabrique des imposteurs ».

Appréhendons l’univers de Roland Gori à travers quelques interviews.

Roland Gori : « Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer »4

De « l’Appel des appels » en 20095, à son dernier ouvrage, Un monde sans esprit. La fabrique des terrorismes, en passant par La dignité de penser, La folie évaluation (Les nouvelles fabriques de la servitude) ou L’individu ingouvernable, Roland Gori, apporte sa contribution à l’agora politique.

Question : Vous avez récemment affirmé que plus personne ne croit que le libéralisme puisse réduire les inégalités. Est-ce à dire que le libéralisme est moribond et que la question du « progrès social » par exemple va pouvoir être posée dans de nouvelles conditions ?

R. G. :

« Depuis le début, le libéralisme fait fausse route sur sa conception de l’Homme, il fait l’impasse sur le besoin de reconnaissance sociale, symbolique. Après l’effondrement du Mur de Berlin et l’effondrement du discours révolutionnaire, il y a eu une autoroute pour l’ultralibéralisme ou le néo-libéralisme qui, aujourd’hui, est en train de se discréditer.

Le discours sous la forme du néo-libéralisme des années 1980-1990 n’est plus crédible et on aboutit à une crise qui rappelle la phrase de Gramsci, « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître, et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».

Toutes les affaires qui sortent aujourd’hui mettent en évidence l’état d’un système qui se révèle hypocrite. On fait l’impasse sur le besoin de partager une expérience sensible, une certaine conception de la liberté.

La crise des valeurs libérales de la fin du XIXe siècle a débouché sur la Première Guerre mondiale, dans l’entre-deux-guerres, elle a débouché sur l’émergence de partis totalitaires, qui n’ont pas tenu leurs promesses par rapport à des populations humiliées. On voit comment ces partis ont récolté toutes les colères, les frustrations.

Aujourd’hui, on assiste à l’émergence de nouveaux fruits de cette crise avec Daech, Al-Qaïda, mais aussi le regain des nationalismes avec Trump, le Brexit d’une certaine façon, la montée de l’extrême droite en Autriche, certains gouvernements d’Europe centrale. Nous ne sommes pas dans une situation identique à celle des années 30, mais cela lui ressemble étrangement. D’où l’urgence de proposer une autre conception philosophique, une autre conception de la vie en société. On peut parier sur le progrès social, sur d’autres manières de travailler, de vivre ensemble.

La révolution numérique peut être une chance pour se parler, pour innover, même s’il y a aussi un risque de confiscation du monde, du savoir-faire et du savoir de l’artisan et de l’ouvrier, par le mode d’emploi de la machine.

C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de lancer le « Manifeste des oeuvriers » avec le journaliste Charles Silvestre et le musicien Bernard Lubat. Il s’agit de restituer cette dimension d’œuvre alors que le travail est taylorisé, même chez les médecins, les infirmières, les enseignants, les magistrats où les activités sont de plus en plus semblables à des actes standardisés.

: Vous avez été l’initiateur de « l’Appel des appels » il y a huit ans. Quel chemin a été parcouru depuis selon vous ?

“Aujourd’hui, on voit bien avec « Nuit debout » et les tentatives de culture alternative qu’il y a un peu partout une remise en cause de cette civilisation néo-libérale qui, de mon point de vue, est à l’agonie, Macron relevant de la bulle politique spéculative. Il y a un discrédit du modèle, on y croit de moins en moins. L’échec du gouvernement a été de continuer avec un logiciel à peu près identique. En somme, on veut nous obliger à être pratiquants alors que nous ne sommes plus croyants (…)

L’idéologie libérale a réussi à dévaloriser le mot même d’utopie. Est-ce que ce n’est pas la source du problème ?

« C’est un mot traité de manière péjorative, non pas comme une fiction romanesque. Il y a une interdiction de rêver. Orsi un homme ne peut pas rêver, il crève. Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer. Je crois qu’un des mérites de la ligne de Pierre Laurent est d’inviter à des débats pour construire des projets. Il faut remettre l’utopie au cœur du discours politique. »

[NDLR : à propos d’utopies,
voir Manifeste pour un nouveau monde]

Réflexions de Jalil Bennani — extraits

L’effondrement dont il s’agit dans cet ouvrage6 est celui de nos catégories de pensée et de notre rapport au temps, du lien entre passé, présent et futur. (..) Il nous montre avec une grande érudition, en s’appuyant sur de nombreux exemples historiques, que les crises résultent d’une rencontre entre un événement et des conditions sociales. Il dénonce avec force l’impréparation de nos sociétés face à un facteur environnemental.

… « l’idée de catastrophe, la catégorie de l’effondrement, constituent le retour du refoulé qui se glisse dans le discours d’une civilisation de l’instant, l’irruption d’une temporalité que l’on veut méconnaître à la hauteur de l’oubli de la mort ». Les causes des catastrophes sont bien les inégalités sociales, l’atteinte à la dignité humaine, la dérégulation de la planète, la course à la rentabilité, les exigences toujours plus grandes de productivité et d’utilitarisme.

Parmi les questions qui m’ont fortement interpellé dans ce livre, je retiens celle relative à « l’homme machine ». Tout au long de ses recherches, Roland Gori a été fasciné par le texte de Tausk7, « La genèse de la machine à influencer au cours de la schizophrénie ».

La construction délirante est la véritable machine qui persécute le schizophrène et elle est isomorphe au corps, plus précisément au fantôme d’une totalité du corps à même de contenir et de donner un sens à ses cénesthopathies. J’avais dans les années quatre-vingt montré dans mon ouvrage Le corps suspect, à quel point l’ouvrier, dont le destin était brisé à la suite d’un accident du travail, s’exprimait comme si son corps était une machine.

La subjectivité est cachée et profondément réprimée. Le patient en appelle à une solution technique.

Ce corps sans plaisir interroge l’imaginaire du corps médical qui a montré bien des résistances aux notions freudiennes. Un corps auquel il n’a été demandé que d’être corps-machine a accepté ce contrat. En cela, il a rejoint la machine industrielle et la machine médicale.

Une machine objectivante et normalisante.8

Robert Linhart a vécu cette expérience en devenant ouvrier spécialisé dans l’usine Citroën de la Porte de Choisy à Paris, en 1968. Il a fait partie des centaines de militants intellectuels qui s’embauchaient dans les usines. Il raconte les rythmes, les méthodes de surveillance et de répression. L’auteur rapporte qu’il n’a jamais autant perçu le sens du mot « économie ». Économie de gestes, de paroles, de désirs. Il faut s’être frotté à cette réalité matérielle pour prendre conscience de sa dureté, des souffrances, des risques et de la mise à disposition du corps au profit de la machine.

Roland Gori rappelle bien dans son ouvrage le « spectre » qui hante nos sociétés, la situation des plus pauvres, des plus vulnérables parmi lesquels figurent les migrants. Ils « viennent de notre futur pour hanter notre présent », écrit-il. Sa réflexion sur le temps s’avère ici essentielle : ‘Penser la catastrophe supposerait que nous puissions changer notre rapport au temps.  Nous sommes aujourd’hui dans un paradoxe : en même temps que l’on nous enjoint de penser à l’avenir, nous nous trouvons contraints par « l’actualisme technique » de la civilisation des machinesIl dénonce « la religion positiviste » qui vient au service de l’industrie et dont nous sommes les héritiers : « C’est sur les ruines de cette révolution symbolique avec ses exigences de productivité, d’utilitarisme, de positivisme et d’efficacité louant la force et la raison instrumentale que se profilent les risques d’effondrement ».

Roland Gori relève très justement que le sujet de la psychanalyse a « besoin des normes de son époque pour pouvoir se les réapproprier et les trahir ». Comme l’artiste, le psychanalyste est témoin et acteur de son époque.9

… L’art, comme la vie, est une réparation par les émotions qu’il produit et des juxtapositions des images, des représentations, des installations… Alors que dans les cultures occidentales modernes, la réparation vise à revenir à l’état original, dans les cultures extra-occidentales traditionnelles la réparation procède de l’inverse. Roland Gori écrit très justement : « La vie moderne est une invitation à effacer les traces ». Cacher, masquer la suture d’un objet réparé est une prétention à revenir à l’identique, ce qui est impossible ou pure illusion…

Roland Gori articule avec brio les notions d’individuel et de collectif, en évitant toute confusion entre l’agent social et le sujet de la psychanalyse.

Et la référence à Winnicott apporte un étayage essentiel à l’ouvrage : « Le traumatisme a bien eu lieu, mais à un moment où, pour une raison ou pour une autre, le patient n’était pas en mesure de l’éprouver… à ce moment de son histoire, il n’avait pas la possibilité d’intégrer le traumatisme qui surgissait», la crainte de l’effondrement devenant alors une tentative de donner au traumatisme une existence psychique et sociale.

(…) Le traumatique est déjà là, avant qu’un événement ne lui permette de se révéler. Roland Gori s’appuie sur Winnicott pour poser cette hypothèse : les effondrements que nous craignons voir advenir dans le futur ou le présent ont déjà eu lieu. Ce qui s’est effondré c’est notre cadre mental, symbolique, psychique pour penser le monde, pour nous penser, ce qui justifie le sous-titre de l’ouvrage L’étrange défaite de nos croyances.

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu est un ouvrage fort, psychanalytique, philosophique, sociologique, politique. L’auteur, initiateur de l’Appel des appels, un collectif national « pour résister à la destruction volontaire de tout ce qui tisse le lien social », nous invite à une réflexion riche et incontournable pour inventer de nouvelles catégories de pensée, repenser notre rapport au temps, le lien entre passé, présent et futur, nos oublis, nos croyances.

Sandre Evrard nous livre une autre approche de la pensée de Roland Gori et son analyse de la gestion de la crise du Covid :

« Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir » – Le Comptoir 10

Le Comptoir : Vous avez longtemps traité de la question de l’importance du rapport au patient, du dialogue et des affects mis à mal par un type de modernité asséchante et scientiste. Est-ce que ces mesures autoritaires prises pour lutter contre la covid-19 ne viennent pas justement mettre en place une biopolitique qui renforce la négation du citoyen en tant que sujet — et partant porte atteinte à la démocratie, qui est certes un ordre politique, mais aussi quelque chose qui s’ancre dans les mœurs de l’individu ?

Roland Gori :

Notre modernité accroît une hégémonie culturelle, celle de la rationalité instrumentale qui tend à exploiter les individus et le vivant comme un stock d’énergie à exploiter à l’infini.

D’où les problèmes actuels dont on ne dit pas suffisamment quelle part est la nôtre dans l’émergence des épidémies par nos modes de vie et nos industries qui modifient notre biotope. Nous sommes prisonniers de valeurs et d’un système de pensée qui datent du début des sociétés thermo-industriellesCes astres morts continuent à nous éclairer et les normes qu’ils prescrivent contribuent à la catastrophe dans laquelle nous nous trouvons.

Alors, plutôt que de remettre en cause ces normes dont le système de pensée s’effondre, les pouvoirs préfèrent gérer la crise sanitaire avec les moyens traditionnels de la biopolitique des populations.(..).

Mais le problème demeure, d’abord parce que cette prise en charge concerne le court terme et méconnaît que nous sommes actuellement dans ce que l’on appelle une « transition épidémique », c’est-à-dire une transition culturelle qui s’accompagne toujours de l’émergence des épidémies. Ensuite, au lieu de mobiliser les communautés, les peuples, pour lutter contre la pandémie, les pouvoirs politiques gèrent bureaucratiquement et algorithmiquement les populations avec l’arsenal des moyens de la santé publique, de l’épidémiologie et des nouvelles technologies.

C’est la même langue technocratique qui tend à se mondialiser avec des dialectes différents selon les pays et les régimes politiques. Il n’y a pas de représentants des sciences sociales et humaines dans les Conseils de crise, ce qui est significatif d’un déni du caractère social, culturel et psychologique de la crise.

Ce qui passe à la trappe dans cette approche de la pandémie, c’est le sujet singulier du colloque médical comme le concept de peuple, un peuple souverain de ses responsabilités politiques et sociales, un sujet responsable et solidaire.

À la place vous avez la notion de population qui fait de chaque individu un « segment de population statistique » et du peuple une « collection de catégories statistiques » dépourvue de toute dimension politique. Là est la vraie atteinte à la démocratie et pas dans les « gestes barrières », il faut prendre un peu de recul.

« L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent. »

À cette défaite de la solidarité sociale et de la responsabilité subjective s’ajoute la notion d’opinion publique, notion qui témoigne de la dégénérescence des concepts et des moyens de penser le collectif.

Cette façon de faire appel aux experts pour justifier tout et son contraire, ces discours contradictoires, mais surtout ces appels au civisme et ces consignes comme « se laver les mains » ou « bien aérer la fenêtre »… Sans parler de ces lois qui semblent impossibles à respecter – et poussent ainsi à leur irrespect. Ne peut-on pas parler ici d’infantilisation ? Le cas échéant, quelles pourraient être les conséquences d’une telle infantilisation ?

… Depuis le XIXe siècle, l’hygiène publique joue deux rôles au moins qu’il ne faut surtout pas confondre. D’une part elle tend à éviter aux humains de tomber malades grâce à un dépistage et à une prévention des facteurs de risques des maladies.

Et, d’autre part elle tend à se transformer en « bible » des conduites, en « orthographe » des comportements en « pathologisant » les moindres des anomalies de comportement.

La notion « molle » de « troubles du comportement » arrive à point nommé pour séquestrer le plus de monde possible dans des dispositifs de contrôle et de normalisation des citoyens.

La néo-psychiatrie est devenue une hygiène du corps social en vue de contrôler et de normaliser, ce n’est pas la même chose que de dépister les facteurs de risques des épidémies et les moyens de s’en protéger. Ce serait une grave erreur. L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent, au contraire.

Le politique s’est réduit toujours davantage à une « conduite de conduites » rationalisées en vue d’une production économique et industrielle, un « déblocage épistémologique » comme dit Michel Foucault, qui a permis à la médecine d’étendre à l’infini son pouvoir et son champ de compétence en se mettant au service des pouvoirs. C’est cette « médicalisation de l’existence » que Michel Foucault appelle biopolitique, bio-histoire, somatocratie, dans son essai Naissance de la biopolitique. Cet usage social des savoirs médicaux ne doit pas être confondu avec les découvertes et les soins des praticiens.

« Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’“expertise” à laquelle les “experts” se sont livrés au moment de la pandémie. »

L’impression d’infantilisation dont vous parlez est davantage une réaction morale qu’une action politique à la perversion sociale et politique des savoirs médicaux. Ce serait se tromper de cible que de s’en prendre aux mesures sanitaires plutôt qu’au pouvoir en place. Bien au contraire les savoirs médico-biologiques peuvent contribuer à la résistance politique en interrogeant les pouvoirs sur leurs choix décisionnels : pourquoi laisser les grandes surfaces ouvertes et fermer les lieux culturels ? Pourquoi entasser les gens dans des transports en commun et fermer les amphithéâtres ? Pourquoi avoir externalisé la fabrication du matériel sanitaire (masques, tests, respirateurs, médicaments…) en faisant prévaloir les intérêts privés sur le Bien Public ?

L’hygiène publique a aussi, dès la fin du XIXe siècle, servi les intérêts du peuple en obligeant les puissants à reconnaître le rôle des facteurs environnementaux dans la fabrique de maladies (professionnelles en particulier ou le mal-logement).

Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’« expertise » à laquelle les « experts » se sont livrés au moment de la pandémie. Ils n’étaient plus savants, mais « experts » et se sont trouvés associés à la crise d’autorité des politiques. Politiques et experts ont ainsi pris les vices de la « société du spectacle » pour reprendre le concept de Guy Debord. Les informations que les politiques et les scientifiques nous ont offertes se sont transformées en « marchandises » vendues à l’opinion publique à la cantonade des réseaux sociaux et des médias afin d’en capter des parts de marché.

Vous avez beaucoup travaillé sur la question de la normalisation des comportements notamment par l’usage abusif de la raison scientifique, mais aussi par celui des statistiques. Que vous inspire cette façon de faire la politique gouvernée par les statistiques et les modèles ? Peut-on voir là aussi une façon de « nous faire taire » pour reprendre vos mots, de fabriquer du consentement et de l’adhésion, car ce qui a été fait serait fait « pour notre bien » ?

Depuis le début du libéralisme, les pouvoirs politiques ont joué sur deux leviers pour conduire la conduite des citoyens : l’économie et l’opinion au nom desquelles ils rationalisent les comportements et fabriquent des habitus, au sens de Pierre Bourdieu, des schémas de pensée et d’action. La rationalité technoscientifique et les statistiques (qui signifient étymologiquement « en rapport à l’État ») sont au premier plan dans cette manière de gouverner au sein d’un univers désacralisé, désenchanté. De fait, les prescriptions d’hygiène publique apparaissent comme un ensemble de règles établies et codifiées par le savoir médical et scientifique qui sert à réguler socialement la société et à conformer les comportements par une soumission sociale librement consentie, car scientifiquement incontournable. C’est le nouage diabolique qui s’est alors historiquement établi entre le capitalisme (néo)— libéral et les savoirs et les pratiques biopolitiques.

… Il s’agit pour les citoyens de se réapproprier une démocratie confisquée par la technocratie et la propagande de la com’ qui fait de l’information une marchandise. Il faut donc décider, mais pas décider dans un individualisme de masse assassin et suicidaire, non, décider démocratiquement par plus de science, plus de parole et plus de responsabilité.

Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir. La population c’est le peuple moins la politique, un capital humain sans humanité, il faut rétablir l’humanité.

L’opinion publique, c’est le peuple transformé en marchandise, transformé en consommateurs, il faut remettre du politique et dénoncer un pouvoir qui prend ses décisions aux sondages d’opinion !

… La résistance à cette normalisation sociale insidieuse, à cette infantilisation, elle passe par la restitution de la vérité en sciences et en politique, vérité adultérée par le capitalisme néolibéral. Face aux virus et aux épidémies, c’est la fraternité et la solidarité qui prévalent. On ne s’en sortira pas autrement, car nous entrons dans une ère de turbulences, une période de « transition épidémique » dont la pandémie de covid-19 est la sentinelle.11

Avec Roland Gori, relancer la pensée vers de nouvelles utopies – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)


1 Roland Gori est psychanalyste et professeur émérite de psychopathologie à l’université d’Aix Marseille.« Un monde sans esprit. La fabrique du terrorisme », « L’individu ingouvernable », « La dignité de penser », « La santé totalitaire, essai sur la médicalisation de l’existence ».Engagé dans les débats d’actualité de notre société, il plaide notamment pour « des sciences encore humaines » et s’oppose aux « dérives du scientisme » notamment en psychiatrie et plus largement à « l’instrumentalisation de l’humain ».
2 Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu. L’étrange défaite de nos croyances, Les liens qui libèrent, été 2020, 304 pages, 20 €, ISBN : 979-10-209-0864-3.
3  Visioconférence de Roland Gori autour de son dernier livre (appeldesappels.org)4 LA MARSEILLAISE / MARSEILLE / 13/02/2017 | et Jean-François Arnichand

« Politis », n° 1438, du 26 janvier au 1er février 2017.

5 L’Appel des Appels

Nous, professionnels du soin, du travail social, de la justice, de l’éducation, de la recherche, de l’information, de la culture et de tous les secteurs dédiés au bien public, avons décidé de nous constituer en collectif national pour résister à la destruction volontaire et systématique de tout ce qui tisse le lien social.

Réunis sous le nom d’Appel des appels, nous affirmons la nécessité de nous réapproprier une liberté de parole et de pensée bafouée par une société du mépris.

6 [Chronique] Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu, par Jalil Bennani (appeldesappels.org)

7

8 Lire l’ouvrage L’établi de Robert Linhart bouleversant qui raconte ce que représente, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Il montre de manière étincelante le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets, ce que Marx appelait les rapports de production.

9 Lire Kader Attia, un artiste de son temps qui a reçu le Prix Marcel Duchamp en 2016. Ses recherches socioculturelles l’ont conduit à la notion de réparation, un concept qu’il a développé philosophiquement dans ses écrits et symboliquement dans son œuvre.

10 PAR GALAAD WILGOS LE 18 MARS 2022

11 Voir aussi Podcast de France Inter où Roland Gori affirme que « le Progrès est un mirage » et une « doctrine de paresseux »

Tribune de Roland Gori dans L’Humanité : « Je suis en colère »

“Attention au relâchement” : l’infantilisation de masse comme stratégie politique, sur la revue Frustration

Roland Gori et Marie José Del Volgo, 2005, La santé totalitaire. Essai sur la médicalisation de l’existence, Paris, Flammarion, 2008.

R. Gori, De la société d’imposture au courage de la vérité, Conférence à Bordeaux, Colloque 24 février 2021.

Max Weber, 1904-1905, L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, Paris, Pocket, 1991.

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Femmes enceintes, enfants allaités : l’injection anticovid19 est dangereuse. INFORMONS !

15/10/2022 (2022-10-15)

LA PUB pour l’injection revient sur les chaînes de télé et de radio !!!
ATTENTION DANGER !

Nous en avions parlé il y a bien longtemps dès 2021 lorsque les données du VAERS avaient rapporté des drames déjà signalés par les femmes enceintes. Mais curieusement la gent féminine soumise a continué, pour trop d’entre elles, à se laisser injecter sous de terribles et scandaleuses pressions, par ce poison terrible, tant pour elles-mêmes que pour leurs bébés.1

Ce 12 octobre 2022 sur Telegram, cette vidéo déjà connue d’un bébé qui doit souffrir… Remarquez son regard noir très éveillé, caractéristique https://t.me/c/1366813323/439694

Déjà début 2021 un rapport du VAERS signalait une tragédie : le nouveau-né d’une mère « entièrement vaccinée » meurt, ayant saigné de la bouche et du nez

AMPUTER des enfants à naître dans l’utérus… la cruauté est irréelle : Le bras d’un nouveau-né AMPUTÉ après que la mère ait pris des vaccins contre le virus COVID et que le bébé ait souffert de caillots sanguins dans l’utérus. — France Medias Numérique

Publié par Augustin Hamilton le 14/12/2021 15:17

« “Le médecin a dit qu’après la naissance du patient, il y a eu un cri. Lorsque le cordon ombilical a été coupé pour les soins au nouveau-né, le personnel infirmier a constaté que le patient présentait des symptômes de saignement buccal et nasal, et a immédiatement demandé au pédiatre de l’intuber et de lui donner de l’oxygène(.), son résultat d’examen a montré une coagulation sanguine anormale, une hémorragie pulmonaire [saignement aigu des poumons] et un dysfonctionnement cardiaque”.

Selon le rapport du VAERS (n° 1879991), ce décès est survenu à la suite d’une “exposition transplacentaire” au vaccin ARNm

Le décès du nourrisson est l’un des 52 décès signalés parmi les 30 550 événements indésirables enregistrés par le VAERS pour les enfants de moins de 17 ans au 3 décembre 2021. »

Un rapport du VAERS décrit un bébé de cinq mois qui était allaité et est décédé d’un trouble hémorragique auto-immun rare, le purpura thrombocytopénique thrombotique (PTT), après avoir développé une éruption cutanée le jour suivant la vaccination de sa mère par COVID.2

Et les informations se multiplient avec des chiffres ahurissants depuis bientôt deux ans.

L’info du jour d’octobre 2022 nous vient d’Allemagne :

« Le gynécologue-obstétricien James Thorp3 dit ce qu’il remarque chez ses patientes enceintes. Le nombre de fausses couches s’est multiplié. Il enregistre de nombreux cas d’anomalies fœtales, cardiaques en particulier.

Parfois, les anomalies entraînent un arrêt cardiaque, a expliqué Thorp. Il y a aussi de nombreux problèmes avec le placenta, qui bloquent la croissance du fœtus.

Nous avons vu une mortalité fœtale, une croissance anormale des organes et bien plus encore”, a poursuivi le gynécologue.

Il est convaincu que de nombreux enfants souffrent de VAIDS (Vaccine Acquired Immunodeficiency Syndrome), à cause du thymus, très grand chez le fœtus (très petit chez un adulte).

Le thymus est nécessaire au premier contact du corps avec un antigène pour déclencher la réaction des cellules T. La protéine Spike du vaccin s’accumule dans le thymus, entre autres, après une vaccination Covid ».

Et les commentaires, nombreux, confirment ce que tous ceux qui veulent bien parler avouent :

« Je suis naturopathe, et que ce soit mon entourage, les clients… je constate aussi pour beaucoup de problèmes lors de grossesses, il y a beaucoup de préma[turés], de soucis médicaux sur les enfants, de malformations plus ou moins importantes, de femmes alitées ou en arrêt très tôt pour divers soucis… malheureusement ce n’est que le début »

par Van MGL

Ou encore par Patricia Chaibriant :

« les bébés qui ont reçu le vaccin sont à classer dans la catégorie “génétiquement modifiés” comme les jumelles chinoises et leur avenir est derrière eux. »4

Dès juin 2022, l’Australie qui fut pourtant un des pires covidistes de la planète avoue :

Notons sur le VAERS à la date du 30 09 2022

162 enfants de moins de 18 ans décédés.

Oui, l’allaitement par une mère vaccinée fait des risques au le bébé et on le sait depuis des mois…

Après la découverte de traces du vaccin COVID-195 dans le lait maternel de femmes ayant récemment accouché, une nouvelle analyse a révélé6 un problème préoccupant7648 cas d’effets secondaires et 3 décès signalés chez des nourrissons allaités dont les mères avaient reçu le vaccin COVID-19.

📌 Décès 1 « J’allaitais mon fils à l’époque. J’ai tiré mon lait dans l’heure qui a suivi l’injection. Mon fils de 5 mois a été allaité la nuit suivant la piqûre et a ensuite bu le lait pompé que j’avais obtenu le jour même de la piqûre. 11 jours plus tard, il a été retrouvé sans réaction… »8

📌 Décès 2 « La patiente9 a reçu la deuxième dose de Pfizer… son enfant de 5 mois allaité au sein a développé une éruption cutanée et dans les 24 heures, il était inconsolable, refusait de s’alimenter et avait de la fièvre… Le nourrisson a été hospitalisé mais son état a continué à décliner et il est décédé. »10

📌 Décès 3 « La mère du nourrisson a reçu la deuxième dose de Pfizer… La mère allaite activement le nourrisson. 24 heures après que la mère ait reçu la 2e dose de Pfizer, le nourrisson a présenté une bradycardie importante (baisse du rythme cardiaque), une désaturation (faible taux d’oxygène dans le sang entraînant une coloration bleue du nourrisson)… »11

Des preuves académiques existent, comme l’article du JAMA12 de la présence de l’ARNm du « vaccin » dans le lait maternel

Et en Grande-Bretagne :

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 1er juillet 2022, pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans, montrent :

  • 13 rapports de troubles de la coagulation sanguine.

EN RÉSUMÉ, INJECTER UNE FEMME ENCEINTE FAIT COURIR UN GROS RISQUE À SON BÉBÉ

Ces injections sont d’autant plus injustifiées que compte tenu de leur sexe et de leur âge jeune les femmes enceintes ne risquent pratiquement rien du covid (sauf si elles souffrent de pathologie préexistante lourde mais comme les injections sont incapables de les protéger…).

APPLIQUEZ LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION : ABSTENEZ — VOUS !


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05/10/2022 (2022-10-05)

Association AMETIST      Retrouver la liberté de soigner et d’être soigné

Le 9 septembre 2022

Madame, Mademoiselle, Monsieur, chers amis, chers parents, chers adhérents

Pendant ces deux années et demie de vie hors du réel, les membres de l’association Ametist disponibles ont tenté de poursuivre les buts de nos combats communs en informant le plus souvent directement par email et/ou téléphone les parents et patients en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques et en particulier éviter une amputation.

Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019 a, en particulier, beaucoup parlé et discuté avec les parents ainsi que nos secrétaires, trésorière, et médecins conseillers fort sollicités par la pub médiatique sur le covid et le traitement de leurs enfants et adolescents.

Nous écrivions en 2019 que le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est de plus en plus d’actualité, car le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas éprouvés, et les traitements basés sur la recherche et les nouvelles molécules..

Les établissements et les médecins sont soumis aux autorisations des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est raffermi depuis 2009 et certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie, alors que c’était leur pratique depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice dans les cancers osseux entre autres, comme en chimiothérapie. Ces autorisations s’imposent à tous les établissements qu’ils soient publics ou privés, conventionnés ou non. Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer.

« Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements haute couture adaptés de très près à chacun ».

Tout cela reste plus que jamais vrai, car comme nous l’avons tous vécu depuis février 2020 les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour leurs patients, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale.

Notre combat se poursuit plus que jamais afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.

Malheureusement d’autres obligations existent et/ou menacent nos enfants.  La volonté ouverte de nos gouvernants d’imposer l’injection génique expérimentale anticovid aux enfants y compris les plus jeunes  est combattue par de nombreux collectifs de parents auxquels nous apportons notre aide. Nous avons participé à des campagnes d’information sur le mésusage du masque et ses dangers et sur les dramatiques effets secondaires des pseudovax chez les jeunes, pourtant à risque zéro du covid et ne transmettant pas le virus, donc chez lesquels l’injection est à bénéfice zéro et à risques importants (myocardites, troubles menstruels, maladie auto-immune, lymphomes, etc. ).

Grâce à un gros don ciblé d’une de nos bénévoles nous avons pu distribuer le livre « les enfants sacrifiés du covid », Éditions Fauves de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, élus, par courrier en juillet 2022 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue.

Le projet de loi visant à imposer la vaccination par Gardasil aux filles et garçons, alors que les résultats sont inquiétants, est un exemple du poids des autorités sur notre santé et notre libre arbitre.    Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.

Ainsi, AMETIST continue à combattre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles nombreuses par mail ou téléphone ou posées à travers les réseaux (https://association.ametist.org/ et Facebook AMETIST).

Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation auprès de vos amis, et connaissances, et de votre soutien financier, aussi petit soit-il en ces temps difficiles. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaître, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements éprouvés.

La présidente Line Turco-Patras et le bureau


BON DE SOUTIEN 2022     à découper et à joindre à votre envoi   ……………………………Euros

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Par chèque à l’ordre d’AMETIST  Ou paiement par PAYPAL sur notre site http://www.ametist.org    Vous pouvez déduire 66% du montant de votre don de votre impôt sur le revenu  Reçu fiscal adressé sur demande à préciser sur ce bon

Pour que nos actions puissent continuer, merci de votre aide. MERCI de diffuser le message et de relayer l’information

AMETIST   Bat C, 50 bis Avenue de la République 93190 LIVRY GARGAN

Mail de la présidente : lt4@live.fr