L’association Trump Kennedy permet d’espérer un changement majeur dans la santé, l’agriculture, la protection de la liberté de parole
Discours complet doublé en français de Robert Kennedy Jr. en Arizona en août 24
L’arrivée de D. Trump à la Maison Blanche accompagnée de Robert Kennedy Junior apporte un immense espoir à nous médecins, soignants qui souffrons depuis plusieurs décennies de la captation des agences de santé par la bureaucratie au service de big pharma, big agri et plus globalement du capitalisme financier, aboutissant après cinquante ans de malfaisance à des systèmes de santé à la fois inefficaces et extrêmement couteux[1]. Espérons que R. Kennedy junior réussira à assainir le domaine en supprimant la corruption omniprésente dans leur bureaucratie et qu’ils serviront de modèle pour notre pays. Nous copions les USA depuis plus de 70 ans. Espérons et battons-nous pour informer et les suivre dans cette voie. Nous sommes très optimistes, connaissant depuis plusieurs années Robert Kennedy. Nous avons apprécié sa sincérité, sa droiture, sa fidélité, sa gentillesse et son immense travail à travers ses livres et son association children ’s health defense[2]. Nous nous réjouissons donc que le président Trump lui confie ces tâches majeures, tant pour les USA que pour l’ Occident globalement et singulièrement notre pays la France. Make France Great Again….
Robert a assisté à l’âge de 6 ans à sa première convention démocrate et expose tous les changements advenus en plusieurs décennies qui l’ont amené tout récemment à se rallier à Trump.
Les médias n’ont pas réussi à faire taire ses idées, malgré la censure et la caricature systématiques de ses opinions. Il a suspendu sa campagne pour la présidence. Trois grandes causes motivent ses combats actuels : la liberté d’expression, la guerre en Ukraine et la guerre contre les enfants.
Voici quelques extraits de la transcription de la vidéo jointe centrés sur les dérives du parti démocrate, les obstacles élevés contre sa candidature par le parti démocrate et le président Biden et sur les dérives de la politique fédérale de santé.
Les dérives du parti démocrate
« J’ai assisté à la convention démocrate à l’âge de 6 ans pour la présidence et à cette époque les démocrates étaient les champions de la Constitution et des droits civiques.
Les démocrates s’opposaient au régime totalitaire, à la censure au colonialisme, à l’impérialisme et aux guerres injustes. Nous étions le Parti des Travailleurs de la classe ouvrière, le parti de la transparence gouvernementale et les champions de l’environnement. Notre parti était le rempart contre les intérêts de l’argent et le pouvoir des entreprises. Fidèle à son nom, c’était le parti de la démocratie.
Comme vous le savez j’ai quitté ce parti en octobre 2023 car il s’était éloigné de manière si dramatique des valeurs fondamentales avec lesquelles j’ai grandi. Il est devenu le parti de la guerre, de la censure, de la corruption, des big pharmas, des big tech, de l’agro-industrie et de l’argent.
Quand il a abandonné la démocratie en annulant les primaires pour dissimuler le déclin cognitif du président en exercice, j’ai quitté le parti pour me présenter comme indépendant.
Les obstacles élevés contre sa candidature par le parti démocrate et le président Biden
La majorité des politiques et du journalisme américain a ridiculisé ma décision! Le consensus disait qu’il était impossible même de figurer sur le bulletin de vote en tant qu’indépendant, car chaque État impose un enchevêtrement insurmontable de règles arbitraires pour la collecte des signatures. J’aurais besoin de plus d’un million de signatures, ce qu’aucun candidat indépendant à la présidentielle n’avait jamais réalisé dans l’histoire, et ensuite j’aurais besoin d’une équipe d’avocats et de millions de dollars pour gérer toutes les contestations juridiques des démocrates.
Nos détracteurs disaient que nous escaladions une montagne de l’impossible : alors la première chose que je veux vous dire, c’est que nous avons prouvé qu’ils avaient tort. Nous l’avons fait parce qu’à l’abri des radars des organes des médias grand public, nous avons inspiré un mouvement politique indépendant massif plus de 100000 bénévoles. Ils se sont mobilisés espérant pouvoir inverser le déclin de notre nation. Beaucoup ont travaillé des journées de 10h parfois dans des tempêtes de neige ou dans une chaleur torride; ils ont sacrifié du temps en famille, des engagements personnels et du sommeil, mois après mois, dynamisés par une mission partagée d’une nation guérie de ces divisions.
Ils ont installé des stands dans des églises et des marchés, ils ont fait du porte à porte en Utah et dans le New Hampshire. Les bénévoles ont collecté des signatures lors de tempête de neige, convainquant chaque supporter de s’arrêter dans un froid glacial, d’enlever leurs gants et de signer lisiblement.
Pendant une vague de chaleur au Nevada j’ai rencontré un bénévole grand et athlétique qui m’a joyeusement dit qu’il avait perdu 25 livres, 13 kg en récoltant des signatures sous une chaleur de 117° fahrenheit, pour financer cet effort. De jeunes Américains ont donné l’argent de leur épargne et des personnes âgées ont renoncé à une partie de leur chèque de pension.
Notre organisation couvrant les 50 états a recueilli un million de signatures et plus encore.
Aucune campagne présidentielle dans l’histoire politique américaine n’a jamais fait cela. Je veux donc remercier tous ces bénévoles dévoués et féliciter le personnel de campagne qui a coordonné cet exploit logistique énorme. Vos réalisations étaient considérées comme impossibles, vous m’avez porté au plus haut de cette montagne.
Vous avez réalisé un miracle, vous avez accompli ce que tous les experts disaient impossible, vous avez ma plus profonde gratitude et je n’oublierai jamais cela non seulement par ce que vous avez fait pour ma campagne, mais pour les sacrifices que vous avez fait parce que vous aimez votre pays, vous avez montré à tout le monde que la démocratie est encore possible.
Ici elle continue de survivre dans la presse et dans les énergies humaines idéalistes qui prospèrent encore sous un voile de négligence et de corruption des institutions.
Aujourd’hui je suis ici pour vous dire que je ne laisserai pas vos efforts vains. Je suis ici pour vous dire que je vais tirer parti de vos formidables réalisations pour servir les idéaux que nous partageons, les idéaux de paix, de prospérité, de liberté, de santé, tous les idéaux qui ont motivé ma campagne.
Je suis ici aujourd’hui pour décrire le chemin que vous avez ouvert par votre engagement et votre dur labeur. Maintenant dans un système honnête je crois que j’aurais gagné l’élection dans un système dans lequel mon père et mes oncles prospérait, un système avec des débats ouverts, avec des primaires justes, avec des débats programmés régulièrement des primaires avec des médias vraiment indépendants, non attachés à la propagande gouvernementale et la censure dans un système de tribunaux, et de commission électorale non partisane. Tout serait différent. Les sondages ont constamment montré que je battais chacun des deux candidats tant en popularité qu’en affrontement direct. Je suis désolé de dire que bien que la démocratie soit encore vivante à la base, elle est devenue guère plus qu’un slogan pour nos institutions politiques pour nos médias ou pour notre gouvernement, et encore plus triste pour moi, pour le Parti démocrate.
Au nom de la sauvegarde de la démocratie, le Parti démocrate s’est employé à démanteler et à fragiliser la confiance en son candidat pour gagner l’élection. Le parti démocrate a mené une guerre juridique permanente contre à la fois le président Trump et moi-même chaque fois que nos bénévoles ont remis ces énormes boîtes de signatures nécessaires pour être sur le bulletin de vote. Les démocrates nous ont traîné en justice état après état tentant d’effacer le travail de nos bénévoles et de subvertir la volonté des électeurs qui avaient signé ces pétitions.
Le parti démocrate a chargé des juges proches de lui pour me jeter, ainsi que d’autres candidats, hors du bulletin de vote et pour emprisonner le président Trump. Ses dirigeants ont organisé une primaire truquée pour empêcher tout défi sérieux au président Biden, puis lorsqu’ils se sont rendus compte de la prévisible mauvaise performance lors du débat, ils ont opéré un coup d’État contre le président Biden. Les mêmes responsables démocrates ont nommé son successeur également sans élection : ils ont installé un candidat si impopulaire auprès de leurs électeurs qu’elle s’était retiré en 2020 sans gagner un seul délégué.
Mon oncle et mon père adoraient les débats ils se vantaient de tenir tête à n’importe quel adversaire dans la bataille des idées. il serait étonné d’apprendre qu’un candidat présidentiel du Parti démocrate qui comme la vice-présidente Harris n’a pas participé à une seule interview ou une seule rencontre non scriptée avec des électeurs depuis 35 jours : c’est profondément antidémocratique. Comment les gens peuvent-ils juger s’ils ne savent pas qui ils choisissent et pour qui passe- t-on auprès du reste du monde ?
Mon père et mon oncle étaient toujours conscients de l’image de l’Amérique à l’étranger à cause du rôle de notre nation en tant que modèle de la démocratie, de modèle des processus démocratiques et le leader du monde libre au lieu de nous montrer sa substance et son caractère le parti démocrate et ses organes médiatiques ont fabriqué une montée de popularité pour la vice-présidente Harris fondée sur absolument rien, aucune politique, aucune interview, pas de débat, seulement des effets de fumée et des ballons dans un cirque.
Une série d’orateurs démocrates ont mentionné Donald Trump 147 fois rien que le premier jour pour inciter à détester Trump. en revanche lors de la convention républicaine le président Biden n’a été mentionné que deux fois en 4 jours
J’ai fait des interviews tous les jours beaucoup d’entre vous ici dans la pièce m’ont interviewé. Quiconque le demande peut m’interviewer. Certains jours j’en ai fait une dizaine. Le président Trump qui a effectivement été nommé et a gagné une élection fait également des interviews quotidiennement quand le Parti démocrate a choisi un démocrate qui n’a fait aucune interview et aucun débat pendant tout un cycle électoral.
Comment est-ce possible ? nous connaissons les réponses : ils l’ont fait en utilisant les agences gouvernementales, ils l’ont fait en abandonnant la démocratie. Ils l’ont fait en poursuivant l’opposition en justice et en privant les électeurs américains de leurs droits.
Ce qui m’inquiète le plus, ce n’est pas la manière dont le parti démocrate gère ses affaires internes ou dirige ses candidats, ce qui m’inquiète c’est le recours à la censure et au contrôle des médias ainsi que l’instrumentalisation des agences fédérales. «
La censure organisée aux plus hauts niveaux de l’état.
« Quand un président des États-Unis collabore avec, ou contraint directement les entreprises médiatiques à censurer le discours politique, c’est une attaque contre notre droit le plus sacré à savoir la liberté d’expression et c’est le droit même sur lequel repos tous nos autres droits constitutionnels
Le président Biden s’est moqué de la trop belle victoire à 88 % de Vladimir Poutine lors des élections russes arguant que Poutine et son parti contrôlait la presse russe et que Poutine empêchait les adversaires sérieux de figurer sur le bulletin de vote mais ici, en Amérique, le parti démocrate a également empêché les opposants de figurer sur les bulletins de vote et les chaînes de télévision se sont comportées en tant qu’organe du Parti démocrate. Au cours de plus d’une année de la campagne, alors que mes chiffres de sondage atteignaient parfois 20 % d’intention de vote, les réseaux médiatiques grand public, alignés sur le parti démocrate ont maintenu un embargo presque parfait sur mes interviews pendant ces 10 mois de campagne présidentielle.
En 1992 un candidat avait donné 34 interviews sur les grands réseaux publics ; en revanche au cours des 16 derniers mois, depuis ma déclaration et mon annonce à la candidature à la présidence, ABC NBC CBS MSNBC et CNN ne m’ont accordé que deux interviews en direct. Ces réseaux ont plutôt diffusé un déluge continu d’articles diffamatoires avec des insultes souvent fausses et diffamatoires. Certains de ces mêmes réseaux ont conspiré avec le dnc pour me garder hors de la scène du débat. Les représentants de ces réseaux sont dans cette salle en ce moment et je vais juste prendre un moment pour vous demander de considérer les nombreuses façons dont vos institutions ont renoncé à cette responsabilité vraiment sacrée :
le devoir d’une presse libre de protéger la démocratie et de toujours contester le parti au pouvoir. Au lieu de maintenir cette posture de scepticisme féroce envers l’autorité vos institutions se sont faites porte-parole du gouvernement et sténographe des organes du pouvoir.
Vous n’avez pas causé seuls la dégradation de la démocratie américaine mais vous auriez pu empêcher la censure des réseau sociaux par le Parti démocrate.
Cette semaine, un juge fédéral a confirmé mon injonction contre le président Biden qualifiant le projet de censure par la Maison Blanche de « la violation la plus flagrante du
premier amendement dans l’histoire des États-Unis d’Amérique » Dans sa décision de 150 pages il détaille comment, seulement 37 heures après avoir prêté serment pour défendre la Constitution, le président Biden et sa Maison Blanche ont invité la CIA et le FBI et d’autres agences gouvernementales à se comporter comme une agence de censure : c’est le centre du complexe industriel de la censure mais aussi le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis et l’ Internal Revenue Service et d’autres agences pour me censurer ainsi que d’autres dissidents politiques. Sur les réseaux sociaux encore aujourd’hui, les utilisateurs qui essayent de publier mes vidéos de campagne sur Facebook ou YouTube reçoivent des messages disant que ce contenu viole les standards de la communauté. 2 jours après que le juge a rendu sa décision cette semaine, Facebook attacha encore des étiquettes d’avertissement à une pétition en ligne demandant à ABC de m’inclure dans le débat. Ils ont dit que cela violait leurs standard de communauté.
Les médias grand public étaient autrefois les gardiens du premier amendement et des principes démocratiques et ils ont rejoint cette attaque systémique contre la démocratie. ils justifient également leur censure au motif de combattre la Désinformation, mais les gouvernements et les oppresseurs ne censurent pas les Mensonges, ils n’ont pas peur des mensonges, ils craignent la vérité et c’est ça qu’ils censurent : je ne veux pas que tout cela ressemble à une plainte personnelle car ce n’est pas le cas pour moi, cela fait partie d’un voyage et c’est un voyage dans lequel je me suis inscrit, mais je dois faire ces observations parce que je pense qu’elles sont essentielles. (….) »
Les rencontres entre Trump et Kennedy Junior et leur partenariat.
« Moins de 2 heures après l’attentat auquel le président Trump a échappé de justesse, on m’a appelé sur mon téléphone (…) me considérant comme le principal défenseur de la sécurité alimentaire et de la régénération des sols et de la lutte contre l’épidémie de maladie chronique qui détruit la santé de l’Amérique et ruine notre économie. Il m’a dit qu’il était impatient de me parler de la maladie chronique et d’autres sujets et d’explorer des possibilités de coopération.
Le président Trump m’a téléphoné quelques minutes plus tard. Je l’ai rencontré le lendemain, et à nouveau quelques semaines plus tard en Floride avec les membres de sa famille et certains de ses conseillers proches. Au cours de discussions longues et intenses j’ai été surpris de de découvrir que nous étions alignés sur de nombreuses questions clés.
Il a suggéré que nous unissions nos forces. Nous avons également parlé d’Abraham Lincoln qui avait utilisé la même stratégie : cet arrangement nous permettait de désapprouver publiquement, mais aussi en privé et férocement si nécessaire les questions sur lesquelles nous divergions tout en travaillant ensemble sur les questions existentielles sur lesquelles nous sommes en accord. »
« Nous sommes alignés sur de nombreuses questions clés comme la fin des guerres sans fin, la fin de l’épidémie de maladie infantile, la sécurisation des frontières et la protection de la liberté d’expression mais aussi le démantèlement des agences de réglementation capturées par les entreprises, la sortie des agences de renseignement américaines des affaires de propagande, de censure et de surveillance des Américains, et aussi de l’ingérence dans les élections.
Après discussion avec le président Trump j’ai essayé sans succès d’ouvrir des discussions similaires avec la vice-présidente Harris la vice-présidente qui a refusé de me rencontrer ou même de me parler.
Le président Trump a le potentiel de nous rassembler : alors permettez-moi de partager un peu pourquoi je crois que c’est si urgent. »
Une politique de santé catastrophique.
Aujourd’hui, nous dépensons plus en soin de santé que n’importe quel autre pays sur terre deux fois plus que ce qu’ils payent en Europe et pourtant nous avons les pires résultats de santé de tous les pays du monde. Nous sommes environ 79 ième en terme de résultats de santé derrière le Costa Rica, le Nicaragua et la Mongolie et d’autres pays.
personne n’a un fardeau de maladies chroniques comme nous et pendant l’épidémie de covid nous avons eu le plus grand nombre décès de décès de tous les pays du monde nous avons eu 16 % de décès dû au covid pourrait 0,2 % de la population mondiale.
l’Américain moyen qui est mort du covid avait 3,8 maladies chroniques, personnes qui avaient un effondrement de système immunitaire.
Aucun autre pays n’a quelque chose de similaire : 2/3 des Américains adultes et enfants souffrent de problème de santé chronique : il y a 50 ans ce chiffre était inférieur à 1 % nous sommes donc passés de 1 % à 66 %.
En Amérique 74 % des Américains sont maintenant en surpoids ou obèses.
50 % sont des enfants.
il y a 120 ans quand quelqu’un était obèse, il était envoyé au cirque littéralement !
l’obésité est presque inconnue au Japon le taux d’obésité infantile est de 3 % contre 50 % .
La moitié des Américains sont prédiabétiques ou ont un diabète de type 2. Quand mon oncle était président et que j’étais enfant le diabète juvénile était effectivement inexistant un pédiatre type voyait un cas de diabète pendant toute sa carrière de 40 ou 50 ans.
Aujourd’hui un enfant sur 3 qui franchit la porte de son cabinet est
diabétique ou prédiabétique et le trouble mitochondrial qui cause le diabète cause également la maladie d’Alzheimer. Ce qui est maintenant classé comme diabète coute à ce pays plus que notre budget militaire
Chaque année il y a une explosion de maladies neurologiques chez les enfants : hyperactivité TDAH, retard de la parole, retard sur le langage, syndrome de Tourette, narcolepsie, syndrome d’Asperger, autisme.
En l’an 2000 le taux d’autisme était de 1 sur 1500, maintenant le taux d’autisme chez les enfants est de 1 sur 36 selon le CDC à l’échelle nationale et personne n’en parle !
Un enfant sur 22 en Californie est autiste. C’est une crise : 77 % de nos enfants sont trop
Handicapés pour servir dans l’armée américaine
Qu’est-ce qui se passe dans notre pays ? (…) Dans ma génération, chez les hommes de 70 ans, les taux d’autisme étaient d’environ de 1 sur 10000 et la génération de mes enfants 1 sur 34 : je répète en Californie 1/ 22 !
18 % des adolescents américains souffrent maintenant de stéatose hépatique : c’est un sur 5. Cette maladie, quand j’étais enfant, n’affectait que les alcooliques en phase terminale qui étaient âgés.
Les taux de cancer sont en plein essor chez jeunes et vieux : les cancers des jeunes adultes sont en hausse de 79 %
Une femme américaine sur 4 prend des antidépresseurs 40% des adolescents ont des problèmes de santé mentale, et un million d’enfants prennent des ISRS (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, classe d’antidépresseurs.
Qu’est-ce qui cause cette souffrance ? Je vais nommer deux coupables
le premier et le pire et la nourriture ultra transformée : environ 70 % de l’alimentation des enfants américains est ultra transformé : cela signifie qu’elles sont fabriquées industriellement dans une usine.
Ces aliments sont composés principalement de sucre transformé de grains ultra transformés et d’huile végétale. Des scientifiques, dont beaucoup travaillaient autrefois pour l’industrie du tabac, ont acheté toutes ces grandes entreprises alimentaires dans les années 1970 -1980. Ils ont déployé des milliers de scientifiques pour trouver de nouveaux produits chimiques pour rendre la nourriture plus addictive.
Ces ingénieurs n’existaient pas il y a 100 ans. Les ,humains ne sont pas biologiquement adaptés pour manger ce genre de chose, ces centaines de ces produits chimiques maintenant interdits en Europe mais omniprésents dans les aliments transformés américains.
Le deuxième coupable : les produits chimiques toxiques dans notre alimentation dans nos médicaments, et dans notre environnement. Les pesticides, les additifs alimentaires les médicaments pharmaceutiques et les déchets toxiques imprègnent chaque cellule de notre corps.
Cette attaque contre les cellules et les hormones de nos enfants est incessante et pour ne nommer qu’un problème, beaucoup de ces produits chimiques augmentent les œstrogènes.
Comme les jeunes enfants ingèrent tellement de ces perturbateurs hormonaux, le taux de puberté en Amérique survient maintenant dès l’âge de 10 ans, de 10 à 13 ans soit 6 ans plus tôt qu’ en 1900 quand les filles atteignaient la puberté
Notre pays a un taux de puberté le plus précoce de tous les continents sur terre. Non ce n’est pas à cause d’une meilleure nutrition, ce n’est pas normal ! Le cancer du sein est également favorisé par les œstrogène et frappe maintenant une femme sur 8.
Nous empoisonnons massivement tous nos enfants et nos adultes
Compte tenu du coût humain accablant de cette épidémie tragique de maladie chronique, il semble presque grossier de mentionner les dommages qu’elle cause à notre économie, mais je le dirais : elle paralyse les finances de notre nation !
Quand mon oncle était président, notre pays ne dépensait rien pour les maladies chroniques. Aujourd’hui les dépenses de santé publique du gouvernement sont presque toutes consacrées aux maladies chroniques et c’est le poste budgétaire le plus en croissance, la maladie chronique coûte le plus à l’économie dans son ensemble : ça coûte au moins 4000 milliards de dollars
Dans les communautés minoritaires ce fardeau est disproportionné les personnes qui s’inquiètent de la diversité de l’inclusion et du sectarisme de toute nature éclipsent ça.
Nous empoisonnons les pauvres, nous empoisonnons systématiquement les minorités au travers de ce pays de l’industrie. On fait en sorte que la plupart des programmes de distribution d’aide alimentaire pour le déjeuner 70 % des bons alimentaires 70 ou 77 % des déjeuners scolaires soient des aliments transformés…
Il n’y a pas de légumes, il n’y a rien que vous voudriez manger ! Nous empoisonnons juste les citoyens pauvres et c’est pour ça qu’ ils ont le fardeau des maladies chroniques le plus élevé de tous les groupes démographiques dans notre pays et le plus élevé au monde !
La même industrie alimentaire a fait pression pour que presque toutes les subventions agricoles, les cultures de base qui sont les matières premières de l’industrie alimentaire transformée, détruisent les petites exploitations agricoles. Elles détruisent nos sols.
Nous donnons plus en subvention au tabac qu’en fruits et légumes ! Ça n’a aucun sens si nous voulons un pays en bonne santé.
La bonne nouvelle est que nous pouvons changer tout ça, même très très rapidement.
L’Amérique peut redevenir saine
Pour se faire nous devons faire trois choses prioritairement :
1 nous devons éradiquer la corruption dans nos agences de santé
2 nous devons changer les incitations dans notre système de santé
3 nous devons inspirer les Américains à redevenir sains
80% des subventions vont à des personnes ayant des conflits d’intérêt. Joe Biden vient de nommer un nouveau panel pour décider des recommandations alimentaires.
Mais ce sont tous des gens de l’industrie, des gens des entreprises alimentaires transformées. Ils décident de ce que les Américains vont entendre être sains, des recommandation sur la pyramide alimentaire de ce qui va dans les programmes de déjeuners scolaires..
Vous le savez tous : les programmes de bons alimentaires sont construits par des individus corrompus avec conflits d’intérêt. Ces agences : la FDA (agence de santé américaine, l’USDA (Us department of agriculture ) et le CDC (centres de contrôle des maladies, un fédéral et un par état) sont toutes contrôlées par des entreprises géantes à but lucratif.
75 % du financement de la FDA ne provient pas des contribuables, mais de l’industrie pharmaceutique. Les cadres de l’industrie pharmaceutique, les consultants et les employés font des allers-retours dans ces agences (des entreprises big pharma aux agences et vice versa).
Avec le soutien du président Trump, je vais changer cela : nous allons doter ces agences de scientifiques et de médecins honnêtes dépourvus de financement de l’industrie.
Nous allons nous assurer que les consommateurs, médecins et patients soient informés par une science impartiale.
Un enfant malade est la meilleure chose pour l’industrie pharmaceutique !
Quand les enfants américains ou adultes tombent malades avec une maladie chronique, ils sont mis sous médicament toute leur vie. Imaginez ce qui se passe !
Un exemple : Ozempic (sémaglutide ) est recommandé comme coupe faim pour les enfants dès l’âge de 6 ans, tout cela pour obésité complètement évitable et qui n’existait presque pas il y a 100 ans.74 % des Américains sont obèses : le coût si tous prenaient leur prescription, serait de 3000 Milliards de dollars par an : médicament fabriqué par Novo Nordisk
la plus grande entreprise d’Europe, entreprise danoise.
Le gouvernement danois ne le recommande même pas : il recommande de changer de régime alimentaire pour traiter l’obésité et de faire de l’exercice. Dans notre pays, la recommandation maintenant, c’est l’Ozempic pour les enfants dès 6 ans.
La plus grande entreprise d’Europe et pratiquement toute sa valeur boursière repose sur ses projections de ce qu’elle va vendre d’ozempic à l’Amérique !
Nous avons les lobbyistes alimentaires qui ont un projet de loi devant le Congrès, aujourd’hui soutenu par la Maison Blanche, par la vice-présidente Harris et le président Biden pour permettre que cela se produise ! Cette clause de 3000 milliards de dollars qui va ruiner notre pays. Pour une fraction de ce montant, nous pourrions acheter de la nourriture biologique pour chaque famille américaine, trois repas par jour et éliminer complètement le diabète.
Nous allons ramener des aliments sains dans les déjeuners scolaires, nous allons cesser de subventionner les pires aliments avec nos subventions agricoles, nous allons éliminer les produits chimiques toxiques de notre alimentation, nous allons réformer tout le système alimentaire et pour cela nous avons besoin d’un nouveau leadership à Washington parce que maintenant les Partis démocrate et républicain sont de mèche avec les grands producteurs alimentaires et Big culture qui compte parmi les principaux donateurs des démocrates.
La vice-présidente Harris n’a montré aucun intérêt à aborder cette question. Quatre années supplémentaires de règne démocrate achèveraient la consolidation du pouvoir des entreprises et des néoconservateurs et nos enfants seront ceux qui souffriraient le plus.
Je me suis impliqué dans les maladies chroniques il y a 20 ans, non pas parce que je l’avais choisi ou voulu, mais cela m’a essentiellement été imposé car ce problème aurait dû être central pour le mouvement environnemental qu’il l’a oublié.
J’étais un leader central de la protection de l’environnement à cette époque ; mais il était largement ignoré par toutes les institutions y compris les organisations à but non lucratif qui auraient dû protéger nos enfants contre ces toxines.
C’était un problème orphelin et j’avais une faiblesse pour les orphelins : j’ai vu des générations d’enfants devenir de plus en plus malades : j’avais 11 frères et sœurs et
7 enfants moi-même : j’étais conscient de ce qui se passait dans leur classe et avec leurs amis et j’ai vu ces enfants malades de cette génération, presque tous endommagés et personne au pouvoir ne semblait s’en soucier ou même le remarquer.
Pendant 19 ans, j’ai prié chaque matin pour que Dieu me mette en position de mettre fin à cette calamité, la crise des maladies chroniques. Cela a été l’une des principales raisons pour laquelle je me suis présenté à la présidence, avec la fin de la censure et de la guerre en Ukraine, mais la raison pour laquelle j’ai pris la décision déchirante de suspendre ma campagne et de soutenir le président Trump.
Cette décision est déchirante pour moi en raison des difficultés qu’elle cause à ma femme et à mes enfants et à mes amis, mais j’ai la certitude que c’est ce que je dois faire et cette certitude me donne la paix intérieure même dans les tempêtes.
Si j’ai la chance de résoudre la crise des maladies chroniques, de réformer notre production alimentaire je promets que dans 2 ans nous verrons le fardeau des maladies chroniques diminuer de manière significative. Nous rendrons l’Amérique saine à nouveau et dans 4 ans l’Amérique sera un pays en bonne santé. Nous serons plus fort plus résilients, plus optimistes et plus heureux.
je ne vais pas échouer en fin de compte car l’avenir quelle que soit la manière dont il se déroule, est entre les mains de Dieu et entre les mains des électeurs américains et de celle du président Trump.
Si le président Trump est élu et honore sa parole le fardeau immense des maladies chroniques qui démoralise et ruine le pays disparaîtra.
C’est un voyage spirituel pour moi, après une prière profonde à travers une logique rigoureuse, je me suis demandé quelle décision je devais prendre pour maximiser mes chances de sauver les enfants d’Amérique et de restaurer la santé nationale.
J’ai ressenti que si je refusais cette opportunité, je ne pourrais pas me regarder dans le miroir sachant que j’aurais pu sauver la vie d’innombrables enfants et d’inverser l’épidémie de maladies chroniques dans ce pays. (..)
Le président Trump m’a dit qu’il voulait que ce soit son héritage, je choisis de croire qu’il tiendra parole. Son fils, ses plus grands donateurs, ses amis les plus proches, tous soutiennent cet objectif. Mon adhésion à la campagne de Trump sera un sacrifice difficile pour ma femme et mes enfants, mais cela en vaudra la peine s’il y a même une petite chance de sauver ces enfants. En fin de compte, la seule chose qui sauvera notre pays, ce sont nos enfants, si nous choisissons d’aimer nos enfants plus que nous nous détestons les uns les autres.
C’est pourquoi j’ai lancé ma campagne pour unifier l’Amérique.
Mon père et mon oncle ont laissé une marque si durable sur le caractère de notre nation, pas autant par la politique particulière qu’ils ont promue, mais parce qu’ils ont été capables d’inspirer un amour profond pour notre pays et de fortifier notre sentiment de nous-même en tant que communauté nationale unie par des idéaux.
Ils ont pu mettre leur amour dans les institutions et le cœur des Américains ordinaires et unifier un mouvement populiste national d’Américains noirs et blancs, hispaniques, urbains et ruraux en inspirant de l’amour, de grands espoirs et une culture de la gentillesse qui continuent de rayonner parmi les Américains, grâce à leur mémoire. C’est l’esprit dans lequel j’ai mené ma campagne, et j’ai l’intention de porter la campagne du président Trump.
Au lieu de vitriol et de polarisation, je vais faire appel aux valeurs qui nous unissent, aux objectifs que nous pourrions atteindre si seulement nous n’étions pas à la gorge des uns et des autres.
Le thème le plus unificateur pour tous les Américains est que nous aimons tous nos enfants. Si nous nous unissons autour de cette question, maintenant, nous pourrons enfin leur offrir la protection la santé et l’avenir qu’ils méritent
Merci à tous.
Voici quelques éléments des choix de RFK confirmés après l’élection du président Trump, le 6 nov 24
En particulier sur les vaccins (après les attaques le traitant d’antivax )
Robert F. Kennedy Jr. : « Je tiens à préciser que je ne veux pas priver les Américains de vaccins. Je ne veux pas imposer mes choix aux Américains. Si les vaccins fonctionnent pour vous, vous devriez pouvoir les obtenir. Et je veillerai à ce que cela soit le cas. Mais les gens doivent pouvoir faire un choix éclairé. Ils doivent donc disposer de données scientifiques fiables qui leur indiquent le coût et les avantages de ces produits, en particulier lorsqu’on leur ordonne de les utiliser. » « 76 millions d’enfants par an doivent les utiliser. Et ce sont des enfants en bonne santé. C’est donc le seul produit médical qui est administré à des personnes en bonne santé. Il faut qu’un produit comme celui-là soit très solide, pour s’assurer qu’il n’y a aucun risque, car vous pouvez prendre certains risques si vous êtes malade pour aller mieux. Bien sûr. Mais si vous n’êtes pas malade, et vous ne devriez pas être obligé de prendre un produit à moins qu’il ne soit infaillible, à moins que vous ne sachiez quels sont les… vous savez, quels sont tous les coûts et les avantages. » « Le problème avec les vaccins, c’est qu’ils ont été introduits à l’origine par le Service de santé publique, qui est l’un des cinq services militaires. C’est pourquoi il existe un médecin général. Et le Service de santé publique les a introduits et les a promus comme une défense de sécurité nationale contre les attaques biologiques contre notre pays. Ils voulaient donc s’assurer que si les Russes nous attaquaient avec de l’anthrax ou un autre agent biologique, ils pourraient rapidement formuler un vaccin et le déployer ensuite auprès de 220 millions de civils américains sans obstacles réglementaires. » « Un produit médical normal prend environ huit ans pour arriver sur le marché, car il doit passer par des essais contrôlés en double aveugle contre placebo et il faut voir les effets à long terme. Il y a de nombreux effets sur chaque produit médical qui ont de longs horizons de diagnostic et de longues périodes d’incubation. Ils ne voulaient pas passer par là parce qu’ils disaient que ce serait une urgence nationale. Donc au lieu de l’appeler un médicament, nous allons l’appeler un produit biologique et nous allons exempter les produits biologiques des études de sécurité préalables à l’homologation. » « Il n’existe donc aucun vaccin de ce programme, parmi les 72 vaccins, qui ait jamais fait l’objet d’une étude de sécurité préalable à l’homologation, contrôlée par placebo, contre un véritable placebo. Et c’est faux, car cela signifie que personne ne sait quels sont les profils de risque de ces produits. Et personne ne peut vous dire si ce produit évite plus de problèmes qu’il n’en cause. » « Et ce que je ferai, vous savez, si on me donne ce poste à la Maison Blanche, c’est que je m’assurerai que ces études soient réalisées, que les comités qui approuvent ces produits soient composés de personnes qui ne soient pas chargées de conflits d’intérêts. C’est donc de la vraie science, que les gens soient désintéressés et que les médecins, les patients et les Américains sachent exactement quels sont les coûts et les avantages de chaque vaccin et puissent prendre une décision rationnelle. »
Et depuis l’élection la confirmation de sa nomination auprès du président le 6 novembre 2024
Robert Kennedy Jr : « Le président Trump m’a demandé de faire trois choses.
Premièrement, il veut que j’élimine la corruption, les conflits d’intérêts et le phénomène de ‘capture d’agence’, c’est-à-dire la capture des autorités de santé publique par des intérêts privés, qui ont détourné ces autorités de leur mission première, à savoir la protection de la santé publique ».
« Leur objectif principal est désormais de faire progresser les intérêts commerciaux des entreprises pharmaceutiques. Oui, et il veut que la corruption soit éliminée.
Deuxièmement, il veut que ces autorités retrouvent leur excellence scientifique d’antan. Il veut que la recherche et le travail scientifique soient à nouveau menés à un niveau fondé sur des preuves, empirique, pour lequel ils étaient célèbres dans le monde entier lorsque nous étions enfants. Ils ont depuis perdu cette réputation, car ils ont été accaparés par l’industrie ».
« Et troisièmement, il veut mettre fin à l’épidémie de maladies chroniques. Le président Trump m’a dit qu’il voulait voir des résultats concrets et mesurables dans les deux ans. Et je lui ai promis que je pouvais y arriver. Nous n’avons pas encore décidé si cela se fera en tant que secrétaire à la santé (HHS Secretary) ou en tant que responsable de la santé à la Maison Blanche. Mais dans tous les cas, nous mettrons fin aux maladies chroniques ».
[1] Nouveau Monde — Big Pharma et son hégémonie via l’autoritarisme des agences : un phénomène qui date des années 2000
[2] https://childrenshealthdefense.eu/fr/home-francais/
Chantecler : « C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière. »
Luttons contre la société de pulsion de mort (avortement et euthanasie) !
14/03/2024 (2024-03-14)
Par Nicole Delepine, pédiatre
Qu’est-ce qui a pris à nos parlementaires de relégiférer sur l’avortement, intervention que l’on peut comprendre, voire admettre dans certaines circonstances, mais ne jamais en faire un acte de fierté comme trop l’ont dit, clamé et fêté en ce tragique 4 mars 2023 ?
De fait, acte de tuer en opposition tant morale que juridique au statut de personne humaine du fœtus ? Comment est-ce possible ? Comment alors que toutes les discussions sur le procès Palmade et le décès du bébé in utero de la mère blessée revient dans les médias1, comment la population peut-elle assimiler à la fois qu’une mère puisse tuer volontairement son fœtus et en même temps qu’on puisse poursuivre en justice pour meurtre du fœtus ?
Le « en même temps présidentiel » a-t-il converti les esprits ?
ET nous sommes nombreux à ressentir de la douleur, de la tristesse, voir du désespoir qu’il faut combattre, pour notre société, nos enfants et petits-enfants. Société qui s’est tue sur le meurtre des vieillards en EHPAD autorisé, voire recommandé par le décret E. Philippe2 en mars 2020, par Rivotril, pratique toujours autorisée de fait.
La grande publicité, propagande pour l’euthanasie va revenir en boomerang alors que depuis plus de vingt ans les discussions parlementaires, soignantes l’ont repoussé en raison de tous ses dangers. Société de mort qui ose faire semblant de regretter la baisse de la natalité, mais met en place tous les ingrédients de sa propre déchéance.
De l’embryon sans défense au vieillard en EHPAD, ne sombrons pas dans une société qui perd les repères de l’humanité (dégénérée, satanique disent certains), et défendons l’Homme dans toute sa grandeur et son extraordinaire originalité unique.
L’union de pensée entre ceux qui croient au ciel et ceux qui n’y croient pas que je retrouve au fil de nos conversations me fait irrésistiblement penser à ce poème d’ARAGON dans des temps de totalitarisme nazi où l’Humanité était menacée. Tous les humains peuvent s’unir quelles que soient leurs croyances, et nul ne le dit mieux qu’Aragon :
La Rose et le Réséda
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Tous deux adoraient la belle (*)
Prisonnière des soldats
Lequel montait à l’échelle
Et lequel guettait en bas
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Qu’importe comment s’appelle
Cette clarté sur leur pas
Que l’un fut de la chapelle
Et l’autre s’y dérobât
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Tous les deux étaient fidèles
Des lèvres du cœur des bras
Et tous les deux disaient qu’elle
Vive et qui vivra verra
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
Fou qui songe à ses querelles
Au cœur du commun combat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Du haut de la citadelle
La sentinelle tira
Par deux fois et l’un chancelle
L’autre tombe qui mourra
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Ils sont en prison Lequel
À le plus triste grabat
Lequel plus que l’autre gèle
Lequel préfère les rats
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Un rebelle est un rebelle
Deux sanglots font un seul glas
Et quand vient l’aube cruelle
Passent de vie à trépas
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Répétant le nom de celle
Qu’aucun des deux ne trompa
Et leur sang rouge ruisselle
Même couleur même éclat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Il coule il coule il se mêle
À la terre qu’il aima
Pour qu’à la saison nouvelle
Mûrisse un raisin muscat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
L’un court et l’autre a des ailes
De Bretagne ou du Jura
Et framboise ou mirabelle
Le grillon rechantera
Dites flûte ou violoncelle
Le double amour qui brûla
L’alouette et l’hirondelle
La rose et le réséda.
Louis Aragon (1897-1982) Recueil : La Diane française (1944).3
* La France.
La constitutionnalisation de l’avortement au moins jusqu’à quatorze semaines qui vient d’être votée dans l’allégresse à Versailles avec la réunion du Sénat et de l’assemblée horrifie autant certains croyants que nombre d’athées.
Il ne s’agit pas ici d’un plaidoyer contre l’avortement sur lequel nous avons exprimé notre position sur ses justifications et ses limites, conduisant à demander l’alignement sur la loi Weil de 1975 et contre la tentation de faire dire à cette loi ce qu’elle ne dit pas.4 Mais cette banalisation d’un acte lourd ne peut rester sans réponse. L’être humain en devenir a aussi « ses droits » y compris dans le Code pénal…
Oui, cette situation qui impose le sauvetage d’enfants à naître m’a immédiatement faire revenir à la mémoire ce magnifique poème de Louis Aragon que nous récitions dans notre jeunesse, unissant tous les hommes de la Terre quelles que soient leurs croyances, ouvrant sur l’espérance d’un monde meilleur, enfin humain. Et j’eus forte envie de l’adresser aux journalistes tels Pascal Praud qui admettait que des catholiques puissent être gênés, mais pas les autres. Mais non Mr Praud, on peut être athées (comme nous le sommes) et ne pas supporter de défoncer un crâne de bébé sous prétexte que la mère a changé d’avis trop tardivement. Et après s’être épanchés des jours entiers sur la suppression de la peine de mort par Badinter, comment passer sous silence les meurtres d’êtres sensibles sous prétexte que cachés dans le ventre de leur mère. Notre société n’en a-t-elle pas assez de la compassion à géométrie variable, du SDF dormant dans sa voiture alors que le migrant est logé à l’ibis ? Un peu de cohérence dans nos choix ne ferait pas de mal.
Plus de sept décennies après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’échec est patent. On parle de tuer des enfants in utero, sans anesthésie, oubliant qu’à douze semaines le cœur bat, des mimiques apparaissent sur le visage déjà formé du petit d’homme témoignant pour le moins de ressenti… Rappelez-vous votre main sur le ventre de la maman qui commence à ressentir des soubresauts et à communiquer avec le petit être qui croit dans son corps. N’eût-il pas été possible d’en discuter sereinement sans que soit taboue l’idée que ce geste de tuer devrait rester exceptionnel et non quasiment imposé à tant de jeunes femmes en souffrance ? Alors que les usines à bébés ukrainiennes pour riches occidentaux en mal d’enfants sont maintenant de notoriété publique, pourrait-on imaginer quelques minutes de cesser de prendre les bébés pour des objets disponibles à vendre ou à jeter ?
LE CRÉNEAU DE LA DOULEUR DANS LES SOINS
Dans la deuxième partie du vingtième siècle, la douleur était le nouveau créneau pour créer des postes, pour faire semblant d’humanité à l’hôpital, etc..
La souffrance tant devenue l’obsession des médecins depuis les années 90 avec création des services de soins palliatifs, des généralisations de l’usage des morphiniques larga manu, des anesthésiants hilarants pour une ponction lombaire de l’enfant, etc.5 n’existerait donc pas pour les fœtus ? Tant d’échographies6 ont pourtant banalisé les gestes des bébés in utero… Les premières « photos » du bébé gardées soigneusement par les jeunes parents ont transformé la prise de conscience de la vie fœtale du bébé que l’on voit bouger, téter son pouce, changer de position, etc..
L’haptonomie7 a en son temps transformé le contact du père avec le bébé fait comprendre l’importance des relations mère, père, enfant y compris pendant la grossesse.
« L’haptonomie s’est développée à partir du constat de l’importance du rôle de l’affectivité dans les rapports humains, en particulier dans le développement psychique et affectif de l’enfant.
Cette qualité des relations et des interactions entre père, mère et enfant, s’exprime par un contact tactile respectueux et tendre.
L’haptonomie permet la maturation et l’épanouissement de l’être en devenir, ce que confirment les développements actuels des neurosciences et des sciences du comportement. »
Le néerlandais Frans Veldman (1921-2010) a développé l’haptonomie qu’il appelle « science de l’affectivité » (il aimait citer Paracelse : « l’art du soin est l’amour »).
L’haptonomie est surtout connue pour l’accompagnement de la grossesse et de la parentalité qui favorise la maturation des liens affectifs entre le père, la mère et l’enfant. Elle a néanmoins d’autres applications à tous les âges et en particulier en fin de vie.
À l’ère du déni, la société de la culture de mort fait place à l’humanisation des soins et de la société
Mourir aux urgences se banalise…
La bienveillance poussée parfois à l’extrême dans les services hospitaliers s’est dissoute en quelques années en même temps qu’ont disparu les médecins cliniciens et que les bureaucrates comptent bien faire disparaître la médecin humaine au bénéfice de l’intelligence dite artificielle, des télécabines de consultation et de la disparition de l’examen clinique conduisant à la méconnaissance d’une tumeur que la main ou le doigt aurait pu dépister ou d’un trouble neurologique, etc..
L’avortement d’un bébé présenté comme un objet par les parlementaires et les médias
En effet, comment entendre les commentaires des médias ou des politiques heureux de leur « victoire » sans précédent 8 applaudissant plusieurs minutes après la lecture du vote ?
Combien d’entre les votants ont-ils eu la curiosité de regarder la vidéo d’un avortement à quatorze semaines filmé par un gynécologue coutumier de la pratique et qui l’a abandonnée depuis ?
Ignorent-ils le discours de Simone Veil loi devant l’Assemblée nationale, le 26 novembre 1974 ?
« Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ?
Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme — je m’excuse de le faire devant cette Assemblée presque exclusivement composée d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes.
C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame.
C’est pourquoi, si le projet qui vous est présenté tient compte de la situation de fait existante, s’il admet la possibilité d’une interruption de grossesse, c’est pour la contrôler et, autant que possible, en dissuader la femme. »
Inclure le droit à l’avortement dans la constitution c’est le sanctifier et trahir totalement l’esprit de la loi Veil9 dont l’article 110 précisait clairement :
« La loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi. »
Quand vous ne comprenez pas quelque chose, cherchez l’argent : en septembre 2023, l’UE a autorisé la commercialisation des gamètes embryons et fœtus humains.
Nous sommes officiellement devenus des objets commercialisables
Aux USA en 2015 le prix « des organes vendus entre 30 et 100 $ »12
Les enragés de l’inscription de l’avortement dans la constitution se réfèrent à Simone Veil. Mais relisons la loi : Article 13
« En aucun cas l’interruption volontaire de la grossesse ne doit constituer un moyen de régulation des naissances. À cet effet, le Gouvernement prendra toutes les mesures nécessaires pour développer l’information la plus large possible sur la régulation des naissances, notamment par la création généralisée, dans les centres de protection maternelle et infantile, de centres de planification ou d’éducation familiale et par l’utilisation de tous les moyens d’information. »
Et les phrases de Simone Veil rapportées par Philippe de Villiers qui l’a bien connue :
« “Relisez ma loi, Philippe, l’article 1 garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie, il ne peut être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité”. Cela veut dire que l’embryon est un enfant. 2/ “Ne vous inquiétez pas, le cadre est conditionnel, définitif et immuable. C’est 10 semaines, il y a un délai de réflexion, etc..”
Tout cela a sauté. C’est désormais 14 semaines : la boîte crânienne de l’enfant à naître est écrasée. Au nom de la liberté d’expression, il faut qu’il y ait une voix qui dise “Oui, c’est la tristesse”. Comme souvent, hélas, je suis en avance sur l’humeur publique, mais j’ai le devoir de vous dire ce que je viens de vous dire parce que c’est notre avenir qui est en jeu : il faut défendre la vie. »
Voir l’émission complète :
La France est le premier pays au monde à inscrire dans sa loi fondamentale, parmi les valeurs suprêmes, le droit à l’avortement. Les conséquences sont vertigineuses. C’est la fin de la clause de conscience pour les médecins et le personnel de santé. C’est un viol de conviction intime, c’est la fin du serment d’Hippocrate : « Tu ne tueras pas. » C’est la fin de la liberté d’expression.
En 50 ans, on sera passé de la dépénalisation de l’#avortement à la pénalisation de la parole de vie. Toute parole, toute action, pour défendre l’enfant à naître ou pour contredire la #Constitution, c’est-à-dire l’avortement, sera passible d’une peine judiciaire. C’est la porte ouverte à la dérive eugéniste : en fonction du génome, est éliminé le plus faible. C’est le passeport de toutes les transgressions : la vie n’est plus un absolu. C’est la course à l’abîme d’une civilisation en perdition, c’est la déshumanisation progressive du monde par l’effacement programmé du visage de l’Homme. (Voir l’émission complète dans la vidéo ci-dessus.)
Il ne s’agit à l’évidence pas du droit des femmes, mais bien d’une manœuvre politique dans le cadre d’une tendance à une société mortifère.
Contrairement à ce que le vote large au Parlement pourrait faire croire, l’unanimité de la nation n’est pas évidente. De très nombreuses réactions sont exprimées sur les réseaux.
Combien de votants, de militants pour cette loi savent-ils à quoi ressemble un bébé de douze semaines ?
La machine @CaroleD87859768 Fin de la clause de conscience. Certains ne choisiront plus gynécologie obstétrique à cause de cela, surtout avec l’IMA jusqu’à 9 mois. Celles qui pleuraient de joie à l’annonce de l’inscription de l’IVG dans la Constitution viendront se plaindre du manque de spécialistes.
⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.
Supprimer les subventions aux associations inutiles ou nuisibles permettrait plusieurs milliards € d’économies !
Dr G Delépine
L’Etat donne 23 milliards € de subventions aux associations par an. Plus de deux fois le budget de la justice ! Et avec les collectivités locales c’est plus de 50 milliards de nos impôts [1] qui sont utilisés pour soutenir, sans aucun contrôle, des associations inefficaces, souvent inutiles et parfois même nuisibles…
En cette période de déficit budgétaire dramatique, la suppression ou la réduction des subventions inutiles permettrait de soulager notre déficit annuel de 10 à 20 milliards €, sans nuire à la population et sans augmenter les impôts.
Il est grand temps que nos gouvernants abandonnent leur politique clientéliste en faveur des minorités de toutes natures, pour se consacrer à l’amélioration du bien-être de la majorité des citoyens.
Quelques exemples d’inefficacité d’associations grassement subventionnées
Le planning familial a été créé pour faciliter la contraception et diminuer le recours à l’avortement comme Simone Veil le réclamait en 1975. Mais, dans les 15 dernières années le nombre d’avortements pour 100 naissances a augmenté de 20%, passant de 26,3 en 2008 à 31,5 en 2022[2] ainsi atteignant leur plus haut niveau depuis 30 ans[3].
Ce graphique montre que depuis 1990 le planning familial est totalement inefficace pour réduire les avortements. Dans la plupart des autres pays européens leur nombre est plus faible qu’en France qui se place maintenant au 4ème rang des plus hauts taux d’avortement pour 1000 femmes[4] (14,6/1000 en France contre 4,1 en Suisse, 4,4 en Allemagne, 5 en Italie, 8,6 aux Pays -Bas, 9 en Belgique…).
Cet échec dramatique du planning familial est certainement lié à la dérive de sa propagande qui vise maintenant « garantir à toutes les personnes, et surtout celles en situation de vulnérabilité, une égalité d’accès à l’information et aux droits » et fait la promotion de la théorie du genre en proclamant, contre toute évidence scientifique, qu’un homme peut être enceint !
Chaque année près de 3 millions d’euros de nos impôts sont consacrés à une association qui se révèle totalement incapable de promouvoir la contraception, ni de diminuer le nombre d’avortements comme le voulait madame Veil lors de la présentation de sa loi :
« L’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue ». il nous a paru nécessaire de souligner la gravité d’un acte qui doit rester exceptionnel »[5] .
Cet échec est d’autant plus choquant que les pays voisins parviennent à réduire les recours à l’avortement.
Il est grand temps que nos responsables attribuent les subventions en fonction des résultats obtenus et suppriment celles des associations qui les utilisent à d’autres fins.
Les associations d’aide aux migrants subventionnées pour s’opposer à l’état !
En 2021, près de 1 350 associations d’aide aux migrants ont été subventionnées ou rémunérées par l’État[6]. Le débat sur le budget 2024 a permis de préciser le financement de ces associations[7]. Les 30 associations recevant les montants les plus importants sur le budget 2023 encaissaient 413 millions d’euros. Et cela sans tenir compte des sommes versées au titre de la politique de la ville, du logement, de l’éducation, de la santé, de l’emploi, de l’action extérieure de l’Etat…
La très grande majorité des subventions est destinée aux associations qui emploient du personnel salarié. Ces dernières n’hésitent pas à s’opposer, parfois frontalement, aux décisions de l’Etat lorsqu’il tente de faire appliquer les obligations de quitter le territoire aux migrants irréguliers et potentiellement dangereux.
Rappelons que ce sont des associations subventionnées dont le Parti communiste français[8], le Mrap, la Cimade, RESF 35, le collectif de soutien aux personnes sans-papiers et d’autres qui ont empêché le ministère Valls de renvoyer en Russie Mohammed Mogouchkov permettant ainsi à celui-ci d’assassiner son ancien professeur de français Dominique Bernard.
Cette permanente opposition des associations subventionnées à l’application des OQTF, prises pourtant après examen contradictoire, fait vivre des avocats à nos frais, encombre les tribunaux et entretient un climat de défiance et de contestation chez les migrants.
En transférant les compétences des associations subventionnées intervenant dans les centres de rétention administrative à l’Office français de l’immigration comme l’envisage B. Retailleau[9], on pourrait économiser facilement un milliard d’euros, tout en désengorgeant les tribunaux et en protégeant les Français de nombreux étrangers dangereux.
Des associations largement subventionnées agissent comme passeurs
L’association SOS méditerranée prétend sauver des migrants qui risquent la noyade et respecter le droit maritime. Mais comment peut-elle ignorer que ce droit prévoit de débarquer les personnes recueillies dans le port le plus proche ? En respectant cette règle et en ramenant les migrants dans leur port d’origine, elle diminuerait la durée du transport et serait plus efficace dans le recueil.
En amenant systématiquement ces personnes en Europe, elle n’agit pas comme une association humanitaire, mais comme un véritable passeur de traite humaine, ainsi que ses dirigeants le montrent en affichant des positions politiques contraire à celles de gouvernements élus démocratiquement.
Il est donc tout à fait scandaleux que des subventions lui soient attribuées et que le conseil d’état valide ce détournement de nos impôts[10].
Et ces subventions ne sont pas anecdotiques : parmi les 80 collectivités territoriales, citons les soutiens de 200 000 € par an du département de Nantes après une première subvention de 500 000 €[11]. 100000 euros de la ville de Paris, 130000 euros de Marseille[12], la Haute-Garonne 100.000 euros, la région Occitane 75 000 € après un premier soutien de 60 000 €, 20 000 euros du département de l’Hérault, 14.000 euros de Lyon[13]…
Penser aux autres, c’est bien mais ne pas tenir compte de la misère croissante d’une partie de plus en plus importante de nos concitoyens et l’aggraver par l’augmentation des impôts, c’est mal !
En 2025, les associations ne doivent pas vivre d’argent public, elles doivent compter sur leurs ressources propres.
Il parait nécessaire que le Parlement interdise dorénavant aux collectivités territoriales d’utiliser les impôts locaux à soutenir financièrement toute action internationale, qui ne réponde pas à un intérêt public local certain.
Pour les associations subventionnées, un contrôle de l’utilisation des fonds et de l’efficacité pratique des actions entreprises s’impose, comme le fait la Cour des comptes pour le secteur public.
[1] https://www.ifrap.org/etat-et-collectivites/le-point-sur-les-financements-publics-des-associations
[2] https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/avortements-contraception/avortements/
[3] https://www.rfi.fr/fr/france/20230928-france-le-nombre-d-avortements-au-plus-haut-niveau-depuis-30-ans
[4] https://www.ieb-eib.org/fr/flash/debut-de-vie/avortement/l-avortement-en-europe-derniers-chiffres-et-evolutions-541.html
[5] https://www.nouvelobs.com/politique/20170630.OBS1430/verbatim-l-integralite-du-discours-de-simone-veil-du-26-novembre-1974-sur-l-ivg.html
[6] https://www.valeursactuelles.com/economie/1350-associations-de-soutien-aux-migrants-ont-recu-750-millions-deuros-de-subventions-en-2021
[7] https://atlantico.fr/article/decryptage/le-total-des-subventions-publiques-versees-aux-associations-d-aide-aux-migrants-est-tres-superieur-aux-chiffres-officiels-budget-debats-assemblee-nationale-opposition-immigration-regulation-reformes-cout-jean-paul-gourevitch
[8] Dans un communiqué du 19 février 2014, supprimé depuis d’internet, le PCF local se disait scandalisé par un réveil « manu militari par la police aux frontières à 6h » et commente : « Que de moyens gaspillés pour saboter la vie d’une famille »
[9] https://www.lefigaro.fr/actualite-france/les-associations-d-aide-aux-migrants-dans-le-viseur-de-beauvau-20241006
[10] Décision du lundi 13 mai 2024.
[11] https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes-sos-mediterranee-aide-departementale-accrue-ba480230-5bd7-11eb-ac77-3c5a581679bb
[12] https://www.lefigaro.fr/marseille/marseille-une-subvention-de-130-000-euros-a-sos-mediterranee-enflamme-le-conseil-municipal-20240920
[13] https://www.bvoltaire.fr/sos-mediterranee-plus-de-80-collectivites-subventionnent-lassociation-pro-immigration/
Au moins 40 milliards d’euros d’économies en supprimant les agences inutiles
Par le DR G Delépine chirurgien cancérologue
Le pays, quasiment en faillite est ligoté par des normes et des obligations innombrables souvent inutiles, et parfois stupides que conçoivent, conseillent ou imposent les agences et consœurs[1].
Pour redresser nos finances, on peut augmenter les impôts ou réduire les dépenses.
Augmenter les impôts, déjà très élevés en France, est impopulaire et serait peu efficace sauf si l’augmentation portait lourdement sur la classe moyenne.
Diminuer les dépenses est toujours annoncé comme difficile. Il existe pourtant un domaine où le prochain ministre des Finances peut faire au moins 40 milliards d’économies en supprimant ou en dégraissant les agences et autres Hautes Autorités peu utiles qui paraissent souvent avoir été créées pour offrir une situation enviable[2] à des amis politiques ayant perdu leurs mandats.
Des agences innombrables pour un coût considérable
Les agences administratives indépendantes, hautes autorités et organismes consultatifs ont largement proliféré et leur nombre exact est inconnu et leur coût augmente continuellement.
En 2014, il s’élevait à 50 milliards d’euros. En 2019, leur nombre dépassait les 1300 pour un coût de plus de 80 milliards d’euros[3] et a continué à augmenter depuis les années 1996, sans jamais que leur utilité ne soit évaluée publiquement de manière transparente
Le nouveau ministre sera-t-il capable de réaliser la promesse jadis faite par Manuel Valls [4] en réduisant fortement leurs effectifs et en diminuant leur personnel, leurs surfaces immobilières et leurs coûts de fonctionnement ? On pourrait ainsi économiser rapidement plus de quarante milliards d’ euros ! La situation financière du pays l’exige !
Des Agences et Autorités trop dépendantes de l’état et de l’industrie
Les agences ont été créées pour être des experts indépendants, mais l’expérience des 3 dernières décennies dans le monde réel montre que ces « machins » les agences, les autorités et commissions Théodule créées n’ont d’indépendantes que le nom ! Elles dépendent étroitement du pouvoir politique et très souvent des acteurs ou des entreprises du secteur qu’elles sont censées contrôler.
Ce phénomène de capture du régulateur[5] [6], bien analysé aux USA, anéantit l’efficacité du système de régulation dans son entier.
Les agences dépendent du pouvoir politique qui nomme leurs dirigeants et décide le montant de leur budget de fonctionnement.
Leur étroite dépendance au pouvoir politique se manifeste par la conformité quasi constante de leurs avis aux récits et aux décisions politiques gouvernementales, même lorsqu’elles sont particulièrement discutables.
Chacun se souvient de l’agence de protection nucléaire estimant que le nuage de Tchernobyl avait épargné la France…Ou lors de la crise Covid, l’unanimité des agences sanitaires pour défendre les ukases et déclarations du gouvernement même les plus ubuesques (confinement qui avant cette crise avait été abandonné[7] depuis le catastrophique confinement de Marseille au XVIII ième siècle, masques inutiles puis indispensables et obligatoires…).
En pratique, les agences se comportent généralement comme des faux témoins propagandistes des décisions politiques servant à les justifier l
Les agences ne sont pas non plus indépendantes de l’industrie des secteurs qu’elles sont chargées de réguler. Des liens d’intérêts multiples entre les experts et les firmes, les pressions des lobbys, mais aussi des conventions financières structurelles entre les agences et les industriels ont peu à peu abouti à une capture de la régulation, l’agence prenant ses décisions dans l’intérêt des industriels au détriment de ceux qu’elle est censée protéger.
Cette dérive est particulièrement évidente dans le secteur de la santé où une ministre n’a pas hésité à dire : « un bon expert médical sans lien d’intérêts, ça n’existe pas !»
Déclaration reprise par de nombreux médecins, comme le professeur Dautzenberg[8], qui défendent leurs liens d’intérêts qui représentent parfois leur source principale de revenus. Par exemple en cinq ans, entre les déjeuners, les dîners, les hébergements à l’hôtel, les frais de transport et les honoraires, les industriels ont payé pour 449.389 euros d’avantages à neuf experts du conseil scientifique, placés auprès d’Emmanuel Macron[9]
Des liens d’intérêts partout, de l’indépendance nulle part !
Agences et Autorités inefficaces et parfois franchement nuisibles
Dans le domaine de la santé, que nous connaissons bien, l’inefficacité flagrante des agences est responsable de nombreux scandales sanitaires dont nous rappellerons quelques exemples emblématiques.
Le chlordécone est un perturbateur endocrinien reconnu comme neurotoxique, que les Etats-Unis ont banni dès 1977 après un accident industriel. Il a été déclaré cancérogène possible dès 1979 par l’Organisation mondiale de la santé. Mais les agences sanitaires françaises ont délivré des autorisations d’utilisation à une époque où des connaissances scientifiques sur la dangerosité du chlordécone existaient déjà et prolongé son utilisation jusqu’en 1993 pour faire plaisir aux planteurs de bananes. Depuis lors, le risque de cancer de la prostate a triplé en Martinique et atteint actuellement le record du monde avec une incidence annuelle de 230 cas (pour 100 000 hommes)[10] [11] contre 97,4 en Allemagne[12].
Dans la catastrophe du médiator, il est insupportable de constater l’inertie des agences qui s’apparente à une complicité avec le laboratoire. Comment ce médicament, détourné comme coupe-faim, a-t-il pu être prescrit pendant 33 ans malgré les alertes répétées sur sa dangerosité, son retrait des marchés italien et espagnol en 2003 et la constatation à deux reprises (1999 et 2006) d’un service médical rendu insuffisant par la Commission de la transparence ?
De 1995 à 2005, le comité technique de pharmacovigilance de l’Afssaps a abordé à de nombreuses reprises le dossier sur sa dangerosité potentielle en tant que fenfluramine, existence d’un mésusage, effets indésirables, mais sans inscrire son retrait à l’ordre du jour, ni appeler à la prudence dans sa commercialisation du Mediator®, ni diminuer son taux de remboursement élevé par l’assurance maladie.
Au total, près de 5000 victimes auraient dû être évitées si l’Afssaps, ou la HAS, avaient alerté sur les graves dangers de ce médicament, mission pour laquelle elles ont été créées[13].
En 2000 le VIOXX[14] a été présenté comme un antiinflammatoire miracle dépourvu de risque gastrique lors de publicités inaugurales pour 160 millions de dollars, puis 50 à 100 millions de dollars par an pendant les 4 années suivantes. Mais il multipliait par 5 le risque de graves complications cardiovasculaires (infarctus, AVC). Le laboratoire connaissait les risques[15], mais les a dissimulés [16]autant qu’il a pu, n’hésitant pas à menacer les médecins qui évoquaient le problème. La publication d’études confirmant le risque élevé d’infarctus et d’AVC [17]a contraint le laboratoire Merck de retirer le Vioxx® du marché en 2004 pour réduire son risque juridique. Devant la commission d’enquête du Sénat américain, le dr Graham évoque entre 88 000 et 139 000 crises cardiaques[18] [19], dont 30% à 40% probablement mortelles. Le 17 août 2006, un procès attribua 50 millions de dollars de dommages et intérêts à un ancien agent du F.B.I victime du Vioxx.
Lors d’un procès en 2007, le jury unanime déclara que Merck avait commis « un délit en trompant intentionnellement la communauté médicale et en cachant des informations cruciales sur le Vioxx » et a fixé les dommages à 47 500 000 dollars. En 2007 Merck est parvenu à un accord amiable de 4,85 milliards de dollars pour régler plus de 95 % des 26 600 plaintes déposées à son encontre.
Dans cette affaire, la collusion de l’agence fédérale avec le laboratoire est patente : elle n’a élevé aucune critique contre le dossier Vigor malgré les invraisemblances de la protection cardiaque par le Naproxène, a donné une autorisation de mise sur le marché qu’on peut qualifier de « Pony Express », a refusé pendant trois ans de communiquer à la justice le dossier Vioxx jusqu’à ce qu’elle soit directement accusé d’obstruction à la justice et a participé très largement à la campagne de dénigrement du Docteur Graham pour décrédibiliser son témoignage devant la commission d’enquête du sénat américain ..
En France, le Vioxx a été considérablement prescrit entre 2000 et 2004 ; plus de 500 000 malades en ont pris régulièrement et il est même devenu le 10ème médicament le plus remboursé en 2003 avec un montant de 87 millions d’euros.
Mais les agences sanitaires françaises n’ont rien vu, rien entendu et leurs communiqués continuent de prétendre que le Vioxx n’a fait de mal à personne en France. Les experts commis dans les quelques procès intentés ont prétendu qu’ils ne pouvaient pas conclure à la responsabilité du Vioxx ! Il est vrai que l’expert commis dans le dossier Vioxx n’a pas jugé bon de signaler qu’il avait précédemment travaillé pour l’avocat du laboratoire Merck… On peut, en extrapolant les données américaines à la population française estimer qu’environ 5000 victimes françaises du Vioxx auraient été épargnées si les agences sanitaires ne privilégiaient pas l’intérêt de l’industrie à la prudence sanitaire.
Ces trois catastrophes sanitaires ne sont qu’une partie d’une longue liste : distilbène, amiante, hormone de croissance, sang contaminé, Levothyrox, Dépakine, médicaments contre le cholestérol (2001), traitements de la ménopause (2002), antidépresseurs (2004), prothèses mammaires de la société Poly Implant Prothèse (2010), gestion de la grippe H1N1, et plus récemment les décisions insensées lors du covid seulement destinées à promouvoir des tests et des pseudo vaccins inefficaces qui nous ont coûté plus de 13 milliards € en 2021[20] , dont des centaines de millions de doses ont terminé dans des décharges[21] et dont on subit actuellement tant d’effets secondaires[22].
Ces scandales sanitaires ne sont pas accidentels, mais les conséquences logiques d’un système corrompu par le manque de courage ou la complicité des décideurs politiques sensibles au chantage sur les emplois et qui bénéficient trop souvent des largesse de l’industrie, la capture des agences de santé et de leurs experts liés par leurs conflits d’intérêts, les essais biaisés dans leur conception (critères substitutifs, choix de participants non représentatifs) ou dans l’expression de leurs résultats, l’absence d’études indépendantes réalisées par les agences sanitaires qui se fient aux dires des industriels…
Nos agences sanitaires protègent très mal la population de la cupidité des laboratoires et lorsque la justice est saisie, les peines prononcées ne sont pas dissuasives compte tenu du niveau colossal des bénéfices réalisés.
Les Agences Régionales de Santé sont nuisibles et hors de prix.
Les ARS ont été créées par la loi HPST le 21 juillet 2009 pour diminuer les dépenses sanitaires et améliorer le système de santé.
Mais le bilan de leurs 15 années d’exercice est dramatique. Avant leur création, notre système était réputé être l’un des meilleurs du monde, les urgences hospitalières fonctionnaient, les petites villes disposaient de leur maternité, la population en était globalement satisfaite des soins et il n’existait pas de déserts médicaux.
Depuis leur création, les ARS[23] ont fermé plusieurs centaines de petites maternités, plus de 80000 lits d’hospitalisation[24], aussi bien dans les hôpitaux publics que dans les hôpitaux privés. Dès 2017, le nombre de lits de soins curatifs nous situait dans les moins bien lotis d’Europe.
En psychiatrie, les ARS ont imposé une baisse dramatique des lits au point que de nombreux malades psychiatriques trainent dans les rues et sont impliqués dans les faits divers quotidiens. Près d’une centaine de services d’urgence ont cessé leur activité de manière transitoire (quelques nuits, quelques jours) ou définitivement.
Et dans ceux qui restent ouverts, les médias nous rapportent presque chaque semaine qu’un malade meurt en attente sur un brancard sans avoir été examiné par un médecin. Une écrasante majorité de la population estime d’ailleurs que la situation sanitaire se dégrade.
La situation déplorable des Ephad[25] [26] n’a pas été remarquée par les ARS qui ont très mal rempli leur mission de surveillance.
Devant la commission d’enquête, Victor Castanet a mis en cause la « porosité très forte entre le privé et le public dans ce secteur. Un certain nombre d’anciens hauts fonctionnaires des ARS ont été embauchés par (les groupes privés) Orpea, Korian et d’autres »
. « Certains anciens inspecteurs travaillent aujourd’hui au sein du groupe Orpea donc connaissent les mécanismes de contrôle, ont un certain nombre de relations encore avec les ARS »[27].
Depuis la création des ARS, les inégalités sociales de santé conjuguées aux inégalités territoriales se sont accrues. La synergie, hôpital, médecine de ville, médico-social nécessaire est quasi inexistante. La promesse de démocratie sanitaire en termes de proximité et de participation à la décision n’a été qu’un leurre.
La capacité d’anticipation des ARS a été mise en défaut tout particulièrement lors de la crise COVID-19 où elles se sont contentées de répéter les crédos gouvernementaux les plus fous.
J’ai pu personnellement me rendre compte du comportement autoritaire et du pouvoir de nuisance d’une ARS sur la pratique chirurgicale lorsqu’elle décida d’interdire à un chirurgien d’opérer des mineurs pour leur éviter l’amputation.
Cet ukase avait été pris sans enquête médicale préalable ni processus contradictoire pour faire plaisir à un centre anticancéreux de province furieux qu’un malade le quitte pour éviter la mutilation proposée; et bien entendu comme pour les autres décisions des ARS aucun processus d’appel n’est possible…
Lorsque j’exerçais des malades de nombreux pays étrangers venaient en France pour bénéficier de chirurgie conservatrice. Maintenant la férule des ARS oblige certains français à se faire opérer à l’étranger pour éviter l’amputation ! Diriger n’est pas qu’une affaire d’administration et soigner doit rester une tâche de médecins.
Le déclin de notre système de soin jugé l’un des meilleurs au monde avant la création des ARS est souligné par le recul important de notre rang mondial dans toutes les évaluations.
En 2024 le Legatum Prosperity Index classe la France au 20ème rang mondial[28].
Dans le classement OCDE, le système de santé français apparaît peu efficace : 26e place sur 38 pour la qualité des soins., 18e sur 38 pour la sécurité des soins primaires, 19e sur 34 pour le taux de mortalité…
Inefficace pour maintenir la qualité des soins, les agences de santé ont été également incapables d’améliorer le coût du système. La France est le 4e pays avec les dépenses de santé les plus élevées en points de PIB. L’argent du système de santé français est manifestement mal géré et mal dépensé. Mais les directeurs des agences régionales de santé perçoivent des salaires de mensuels bruts de 16 700 à 17 500 euros !
Franche dégradation de notre système de soins malgré une aggravation de son coût, le bilan des ARS pourrait difficilement être pire !
Durant cette année olympique le gouvernement devrait s’inspirer de la logique sportive. Dans le sport lorsque le travail d’un coach se solde par des défaites la direction le vire.
Appliquer cette règle de bon sens aux agences en supprimant toutes celles qui sont inefficaces ou nuisibles génèrerait facilement 40 milliards € d’économies annuelles et libérerait les Français d’un carcan technocratique pesant.
[1] Il n’existe pas d’intitulé unique pour les « agences ». Elles peuvent prendre différentes formes : autorités administratives indépendantes (AAI ), opérateurs (universités, musées, par exemple) qui proposent un service mais n’ont pas une « responsabilité structurante » et sont « duplicables ». établissement public administratif (EPA) ou établissements publics industriels et commerciaux (EPIC) ; groupements d’intérêt public (GIP), associations ou sociétés.
[2] souvent bien supérieure aux salaires des fonctionnaires
[3] https://www.lefigaro.fr/conjoncture/1200-agences-d-etat-pour-80-milliards-de-depenses-il-est-temps-de-faire-le-menage-20190529
[4] https://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/05/01/20002-20140501ARTFIG00038-ces-agences-d-etat-inutiles-et-aux-missions-obscures.php
[5] https://mafr.fr/fr/article/capture-du-regulateur/
[6] Le Prix de l’inégalité Joseph Stiglitz Paris, Les liens qui libèrent, 2012. 390 pages ISBN : 978-2-918597-99-Par Bernard Drevon https://shs.cairn.info/revue-idees-economiques-et-sociales-2013-3- r
[7] N et G Delépine Autopsie d’un confinement aveugle 15/9/2020 éditions Fauve
[8] https://www.lexpress.fr/societe/un-bon-expert-medical-sans-lien-d-interets-ca-n-existe-pas_1077815.html
[9] https://www.marianne.net/societe/118000-euros-de-msd-116000-euros-de-roche-faut-il-s-inquieter-des-liens-entre-labos-et
[10] Multigner L, Ndong JR, Giusti A, Romana M, Delacroix-Maillard H, Cordier S, Jégou B, Thome JP, Blanchet P. Chlordecone exposure and risk of prostate cancer. J Clin Oncol. 2010 Jul 20;28(21):3457-62. doi: 10.1200/JCO.2009.27.2153. Epub 2010 Jun 21. PMID: 20566993.
[11]https://la1ere.francetvinfo.fr/martinique/scandale-du-chlordecone-les-cancers-de-la-prostate-reconnus-comme-maladie-professionnelle-1187023.html
[12]https://www.krebsdaten.de/Krebs/EN/Content/Cancer_sites/Prostate_cancer/prostate_cancer_node.html
[13]La face cachée des médicaments N Delépine éditions Michalon 2011
[14] Ce scandale est abondamment détaillé dans notre livre la face cachée des médicaments paru en mai 2011.
[15] En 1998, le docteur Doug Watson, scientifique salarié de Merck, avait présenté une analyse rapportant plus de complications cardiaques avec le Vioxx qu’avec d’autres anti inflammatoires. s. Ces données n’ont apparemment jamais été publiées.
[16] atlantico.fr › article › decryptageLe Vioxx : un scandale passé inaperçu | Atlantico.fr
[17] Risque d’infarctus aigu du myocarde et de mort cardiaque subite chez les patients traités par anti-inflammatoires non stéroïdiens sélectifs et non sélectifs de la cyclo-oxygénase 2 : étude cas-témoin nichée, The Lancet, Février 2005
[18] https://www.finance.senate.gov/imo/media/doc/111804dgtest.pdf
[19] Maître Antoine Béguin, Jean-Christope Brisard « Effets secondaires : le scandale français »,, 2016.
[20] https://www.ladepeche.fr/2022/01/28/covid-19-les-vaccins-et-les-tests-ont-coute-plus-de-13-milliards-deuros-en-2021-10074438.php
[21] ttps://www.lemonde.fr/sciences/article/2022/03/29/pandemie-de-covid-19-le-grand-gaspillage-des-vaccins_6119589_1650684.html
[22] Myocardite, thrombose… Tout ce que l’on sait des effets secondaires de la vaccination contre le Covid (medisite.fr)
[23] Précédé par les ARH agences régionales d’hospitalisation créées en 1996 par A Juppé qui avaient commencé la destruction des maternités et des services de psychiatrie
[24] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-comment-la-france-a-perdu-pres-de-80-000-lits-d-hospitalisation-publics-en-vingt-ans_4833931.html
[25] Victor Castanet Les fossoyeurs: Édition Poche – 25 janvier 2023
[26]Le scandale des EHPAD de France Carp et Hella Kherief
[27] https://www.lavoixdunord.fr/1138671/article/2022-02-09/ehpad-orpea-devant-le-parlement-la-faillite-des-agences-regionales-mise-en-cause
[28] https://prosperity.com/about-prosperity/prosperity-index
2024 04 13 Version courte NUMEROTE CANDE
version anglaise
Transgenrisme : le modèle « affirmatif » de soins de genre abandonné en Grande-Bretagne
Par Dr G DELEPINE[1]
Pendant deux décennies, il suffisait qu’un mineur anglais se dise d’un genre différent de son sexe biologique pour que la clinique Tavistock lui prescrive des bloqueurs de puberté et/ou lui inflige des mutilations génitales, tandis que ceux qui trouvaient cette pratique dangereuse étaient poursuivis pour transphobie [2] [3] [4].
En Grande-Bretagne, les graves conséquences de cette politique ont été révélées par la plainte de Keira Bell[5] en justice[6] [7], médiatisées par des journalistes courageux[8] et parfaitement analysées dans l’étude du docteur Cass[9] réalisée à la demande du service national de santé (NHS). Depuis, le NHS met en application les mesures qu’elle préconisait et qui méritent d’être rappelées.
Quelques conclusions du rapport Cass
Ce rapport contredit totalement les informations que le World Professional Association for Transgender Health (WPATH), les cliniciens et les militants pro transgenre donnaient aux enfants et à leurs parents.
Dans la prise en charge des mineurs en souffrance de genre, le NHS a ignoré les soins de santé fondés sur des preuves que tous les patients ont le droit d’attendre.
Les services de soins de genre ne conservaient pas de données adéquates sur les enfants qu’ils traitaient, ni sur leurs résultats; il est donc impossible de connaître l’ampleur du préjudice qui leur a été causé.
De nombreux adolescents considérés comme atteints de dysphorie de genre souffrent de troubles mentaux et de difficultés neurocognitives, rendant difficile de prédire le développement de leur identité de genre.
Il est surprenant que les autorités médicales aient pu ignorer ces dérives durant des décennies.
Il est scandaleux que les croyances des adultes leur aient permis de décider des soins de santé pour des enfants, et incompréhensible que les militants pros transgenres extérieurs au NHS aient eu autant d’influence sur ces pratiques.
Ce n’est qu’en tirant les leçons de ces erreurs qu’un nouveau scandale sanitaire pourra être évité.
Le diagnostic du « genre » ne doit plus reposer sur la seule « affirmation » d’un ressenti.
Le diagnostic de dystrophie de genre nécessite une approche médicale globale du développement de l’identité sexuelle chez les enfants.
L’affirmation par l’intéressé d’un mal être qu’il attribue à son identité sexuelle ne suffit plus au diagnostic de dystrophie de genre, mais constitue seulement le symptôme d’un malaise qu’il convient d’analyser médicalement.
Les nouvelles directives précisent que « les évaluations doivent être respectueuses de l’expérience de l’enfant ou de l’adolescent et tenir compte de son développement ».
La transition sociale est déconseillée chez les mineurs
La transition sociale consiste à s’identifier d’un genre différent de son sexe tant dans les relations avec autrui (en demandant de se faire appeler par un nouveau prénom du sexe opposé) que dans les formalités administratives.
Les nouvelles directives du NHS considèrent la transition sociale comme une intervention psychosociale qui peut avoir des effets importants sur le fonctionnement psychologique.
Le NHS la déconseille fortement chez les enfants et précise qu’elle ne doit être entreprise que pour atténuer ou prévenir une détresse cliniquement significative ou une altération significative du fonctionnement social, et qu’elle doit toujours être précédée d’un processus de consentement éclairé explicite.
La psychothérapie : premier et principal traitement
Tous les jeunes souffrant de dysphorie de genre seront d’abord traités par une psychothérapie et une psychoéducation axée sur le développement prenant en compte un éventail large de pathologies, en plus de la dysphorie de genre.
Pour ceux qui souhaitent entreprendre un traitement médical, l’éligibilité sera déterminée par un service centralisé, sur recommandation d’un médecin généraliste ou d’un autre prestataire du NHS.
Les traitements hormonaux ne doivent plus être prescrits que dans le cadre d’essais.
Le World Professional Association for Transgender Health et les lobbys pros transgenres avaient imposé le crédo selon lequel les jeunes souffrant de dysphorie de genre bénéficieraient de « soins de santé transgenres » comportant bloqueurs de puberté et/ou hormones croisées.
Cette hypothèse scientifiquement infondée est récusée par le NHS qui prône maintenant une approche médicale adaptée aux besoins spécifiques de la personne à la suite d’une exploration thérapeutique minutieuse et « peut nécessiter de se concentrer sur la prise en charge d’autres besoins et risques cliniques avec des services locaux en réseau ».
Les bloqueurs de puberté dont on ne connait ni les effets à moyen et long terme chez des sujets sains ne seront dorénavant délivrés que dans le cadre de protocoles de recherche formels bien structurés et ayant été revus par les comités d’éthique.
Tous les mineurs pour lesquels un traitement hormonal est envisagé devront être inscrits préalablement à une étude de recherche prospective afin d’en apprendre davantage sur les effets des interventions hormonales, et d’apporter une contribution internationale dans ce domaine de la médecine.
Les études devront suivre les mineurs au moins jusqu’à l’âge adulte.
Un traitement ne peut se discuter qu’en cas de « dysphorie de genre » avérée
Le NHS insiste sur la distinction entre le diagnostic d’« incongruence de genre » qui n’est pas nécessairement associé à une détresse, et le diagnostic de « dysphorie de genre » qui est caractérisé par une détresse importante et/ou des déficiences fonctionnelles.
Les traitements ne doivent envisagés qu’en cas de « dysphorie de genre ».
L’incongruence de genre ne repose pas sur des objectifs cliniques de traitement, au-delà du désir de l’individu d’aligner son corps sur sa vision interne de son identité de genre.
Les nouvelles directives du NHS représentent donc un rejet total de l’approche adoptée au cours de la dernière décennie en matière de gestion des mineurs souffrant de dysphorie de genre.
La France toujours en retard
En France l’idéologie trans genre domine toujours la pratique[10] [11] Les mineurs peuvent décider de leur genre et exiger de se faire appeler par un autre prénom par leurs camarades de classe et leur professeur sans examen médical et psychiatrique préalable, ni discussion en classe du problème avec les autres élèves que cela heurte. Et celui qui s’y refuse et exprime ses inquiétudes est facilement accusé de transphobie dans les médias et poursuivi en justice.[12]
Et si l’Académie de médecine a émis des réticences aux traitements médicaux des mineurs ceux-ci sont toujours autorisés et ne sont pas réservés lors d’ essais strictement surveillés.
Combien de temps encore une pareille situation contraire aux données actuelles de la science démontrées en Grande-Bretagne, Suède, Norvège et dangereuse pour les mineurs sera tolérée ?
Il faut espérer que la prochaine réunion de l’Assemblée nationale validera la loi que les sénateurs républicains ont élaborée pour protéger nos enfants des dérives d’une idéologie mortifère bénéficiant d’une propagande médiatique qui ne sert que les intérêts de certains laboratoires pharmaceutiques et de certains chirurgiens, et autres professionnels de santé, ou de « bien être » concernés (épilation, etc).
[1] Dysphorie de genre par N et G Delepine Fauves éditions 2023
Gender dysphoria N et G Delépine in english fauves éditions 2024
[2] https://www.lefigaro.fr/actualite-france/katheen-stock-lesbienne-et-militante-feministe-derniere-victime-du-wokisme-britannique-20211106
[3] https://etudiant.lefigaro.fr/article/accuses-de-transphobie-200-universitaires-britanniques-denoncent-les-intimidations-de-militants-woke-et-la-complicite-des-universites_c00b8ef6-2f4b-11ec-a72f-84311d091266/
[4] https://www.gov.uk/guidance/equality-act-2010-guidance
[5] https://www.persuasion.community/p/keira-bell-my-story
[6] High Court of Justice, 1/12/2020, Quincy Bell ans A v. Tavistock and Portman NHS Trust and others, 2020 EWHC 3274 https://www.judiciary.uk/judgments/r-on-the-application-of-quincy-bell-and-a-v-tavistock-and-portman-nhs-trust-and-others/
[7] https://www.judiciary.uk/wp-content/uploads/2020/12/Bell-v-Tavistock-Judgment.pdf
[8] https://segm.org/GIDS-puberty-blockers-minors-the-times-special-report
[9] https://cass.independent-review.uk/home/publications/final-report/
[10] Idéologie du genre, cheval de Troie du wokisme et du transhumanisme – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)
[11][11] Dysphorie de genre & transmania : aspects médicaux/sociétaux | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
[12] Circulaire Blanquer Septembre 2021
dysphorie de genre et enfance sacrifiee DIJON 13 JANVIER 24_
Flyer Ed Sexualité verso (2) Flyer Ed Sexualité recto (2)
Mozart, pardonne-leur ils ne savent pas ce qu’ils font
émission TVL sur les dangers de l’éducation sexuelle incluant la théorie du genre chez les jeunes
https://youtu.be/jhrZFvfi3_c?si=IGVEUNpraqkRFv-
merci de partager cette émission de tvlibertés qui nous a permis grâce à Elise Blaise de tenter une nouvelle fois d’informer les citoyens et en particulier les parents du danger de l’éducation sexuelle à l’école incluant la théorie du genre et leurs dangers dans l’effraction psychique subie par les jeunes cerveaux dont ils risquent de subir les conséquences toute leur vie
protégeons nos enfants !
Les responsables des jeux para-olympiques de Paris font courir un homme biologique contre des femmes
Par le dr Gerard Delépine
Le 4 sept 24
Pour promouvoir les transgenres, les organisateurs des jeux para olympiques permettent aux hommes biologiques d’essayer de voler des titres que les femmes méritent par leurs efforts intensifs.
Mais que font les associations de défense des femmes pour dénoncer cette injustice ?
Le sexe est une réalité biologique dont on ne peut pas changer.[1][2]
Le sexe est déterminé lors de la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l’embryon deux chromosomes sexuels soit XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin). Le caryotype dirige l’élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques et physiologiques des individus. À l’adolescence, la sécrétion des hormones accentue chez l’individu de sexe masculin, les développements squelettiques et musculaires, conduisant à une différence de force physique entre hommes et femmes, l’élargissement des épaules, un développement supérieur du cœur (+ 20 % en moyenne) et de la capacité pulmonaire, un poids moyen plus élevé et une différence de taille moyenne d’environ 10 %.
Ces caractéristiques physiques plus développées chez l’homme expliquent des performances sportives supérieures. La comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes dans différentes disciplines illustre la différence de 10 % à 20 % en faveur des hommes dans la plupart des sports : lancer de javelot (94 m/72 m), 50 m nage libre (46/51 s), sprint de 100 m (9”58/10”49), lancer de poids (23,37/22,63), course de 200 mètres (19,19 sec/21,34 sec), lever de poids (488 kg/332KG), marathon (2 h 1 min 9 s/2 h 14 min 4 s). Ces différences de performances démentent l’idéologie du genre qui voudrait nous faire croire que le sexe serait un « construit social », qu’on peut en changer selon son bon plaisir. Pour respecter l’équité ces différences de performances liées au sexe imposent de séparer hommes et femmes lors des compétitions sportives de haut niveau.
Les trans doivent être aidés, mais pas aux dépens des femmes.[3] [4]
Les trans sont des êtres qui souffrent car il est difficile de nier sa réalité biologique. Leur mal être se traduit par leur taux de suicide considérable (40%), dix à vingt fois supérieur à celui des hétérosexuels. Prétendant que leur souffrance serait due à la discrimination dont ils se sentent victimes, les trans ont obtenu des dérogations considérables au droit commun et en particulier de pouvoir être reconnu du sexe de leur choix sur simple affirmation, de pouvoir choisir un prénom, d’exiger qu’on les appelle par ce prénom, de fréquenter les vestiaires et toilettes du sexe opposé à leur sexe de naissance, d’être enfermés dans les prisons de leur genre déclaré et dans de nombreux pays de participer aux compétions du sexe auquel ils s’identifient.
Pour les hommes trans (nés femmes) ces dérogations ne posent que des problèmes mineurs pour les hommes de naissance et pour la société, vu l’infériorité habituelle des femmes en compétition (voir plus haut).
Mais les femmes trans (nées hommes et ayant très majoritairement conservé leurs attributs virils) représentent un risque sécuritaire réel pour les femmes dans les lieux qui leur étaient jadis réservés (toilettes, vestiaires, douches, prisons) et un problème grave d’équité dans les sports de haut niveau et les compétitions internationales.
Même avec un taux de testostérone bas, les femmes trans (nées hommes) conservent un avantage physiologique
Un homme qui s’affirme femme trans, même s’il se bourre d’œstrogènes et a un faible taux de testostérone, conserve un cœur et des poumons plus performants, une taille plus grande, des membres plus longs, une répartition des graisses différente et une masse musculaire supérieure qui rend inéquitable la compétition avec les femmes.
L’exemple des icones sportives trans est très démonstratif. En se prétendant femme, Halba Diouf est passé de la 980ème place nationale à la 58ème place mondiale. Lia Thomas, nageuse américaine trans classée 554 ième au 200 m libre et 65e au 500 m libre au classement masculin 2018-2019 avant sa transition est devenue en 2021-2022 cinquième du 200 m libre, et première du 500 m libre dans les catégories féminines.
Accepter l’inclusion des hommes qui se disent femmes dans les compétitions sportives féminines de haut niveau lèse donc gravement le respect de l’égalité femmes/hommes[5], l’équité et les droits des sportives professionnelles, menace leurs financements et risque de remettre en cause les victoires obtenues après de difficiles luttes pour améliorer la visibilité et le statut du sport féminin.
Briser l’espoir de médaille (et de reconnaissance financière) de la majorité des sportives de haut niveau pour permettre à une infime minorité de « réaliser leur rêve » est discriminant et injuste. En démocratie les minorités ne doivent pas dicter leur loi à la majorité. Actuellement rien n’empêche les trans de pratiquer le sport amateur de leur choix.
Mais être professionnel implique de respecter les règles internationales de la profession et s’ils veulent concourir au plus haut niveau ils sont les bienvenus dans les compétitions « libres » maintenant proposées dans de nombreux sports.
Aux jeux olympiques, les fédérations sportives internationales séparent les individus selon leurs capacités physiques.
Le test de féminité basé sur la recherche chromosomique par prélèvement de la muqueuse buccale à l’aide d’un coton tige mis en place en 1968 par les fédérations sportives internationales permettait de voir si les athlètes sont bien biologiquement féminines (XX).
Il a été remplacé en 1991 par le test PCR/SRY afin de non plus chercher le deuxième X mais la présence du chromosome Y ; son utilisation systématique a été supprimé lors des JO de Sydney en 2000 au profit du dosage de la testostérone dont les insuffisances expliquent les victoires en cascade des trans dans les compétitions féminines et les controverses actuelles.
Pour les Jeux olympiques, les fédérations sportives internationales ont édicté des règles séparant, dans les épreuves individuelles, les hommes des femmes, les biens portants des handicapés et ont imposé des catégories de poids dans certains sports (boxe, haltérophilie, judo, lutte, taekwondo, voile). La quasi-totalité des fédérations sportives internationales réservent actuellement la participation aux épreuves féminines aux femmes biologiques, certaines acceptant cependant les femmes trans à condition qu’elles n’aient pas fait de puberté masculine.
A Paris, la propagande pour les transgenres prime sur l’équité sportive comme l’ont montré les cérémonies d’ouverture et les organisateurs des jeux para olympiques appliquent les règles de la World Para Athletics qui reprend les critères en vogue à Sidney en 2000 : l’état civil de l’athlète, pour déterminer son genre, et un taux de testostérone en dessous de dix nanomoles par litre de sang pendant au moins douze mois avant la première compétition.
Après le triste exemple des médailles d’or et d’argent de boxe « féminine » attribuées à des personnes de sexe biologique masculin (porteurs de chromosome Y), la participation de Valentina Petrillo aux épreuves féminines para-athlétiques des 100, 200 et 400 mètres catégorie des déficients visuels confirme la volonté de certaines élites de privilégier le plaisir des femmes trans aux droits des femmes biologiques.
L’inclusion ne doit pas se faire au détriment de l’équité.
En 2021 plus de 30 athlètes féminines italiennes signèrent une pétition réclamant d’exclure les hommes biologiques des compétitions féminines[6].
Mariuccia Quilleri, athlète et avocate italienne, regrettant la non-sélection d’une femme biologique au profit de cet athlète avait alors déclaré :
« Cela me fait bouillir…Une athlète féminine talentueuse, travailleuse et exceptionnelle est exclue du 400 m T12 à cause d’un père de famille de 50 ans qui se produit sur la scène mondiale ». Espérons qu’à Paris les efforts des athlètes femmes leur permettront de conserver les trophées para olympiques aux femmes biologiques.
Pour les trans genres, qui sont des personnes en souffrance qui méritent qu’on les aide, on peut craindre que leur surreprésentation médiatique ne leur soit en réalité nocive en particulier lorsqu’elle expose des injustices commises en leur nom.
Sans le vouloir, les extrémistes de leur cause, la desservent; ils devraient méditer le vieil adage pour vivre heureux vivons caché !
[1] le CIO et « le sexe pour les nuls » – Profession Gendarme (profession-gendarme.com)
[2] Dysphorie de genre & transmania : aspects médicaux/sociétaux | Dr Nicole Delépine pédiatre oncologue – Profession Gendarme (profession-gendarme.com)
[3] Voir « dysphorie de genre » par N et G Delépine fauves editions 2023
[4] Nouveau Monde — Aux JO de Paris, les hommes biologiques peuvent frapper les femmes (nouveau-monde.ca)
[5] Rappelons le scandale de la box féminine aux JO de Paris https://qactus.fr/2024/08/04/france-le-vice-president-europeen-de-la-world-boxing-organization-a-confirme-que-la-boxeuse-algerienne-imane-khelif-est-un-homme/
[6] https://www.nationalreview.com/news/male-qualifies-for-womens-paralympic-sprinting-semi-finals/
Ecoutez cette très intéressante vidéo de l’avocat Carlo Brusa qui a crée REACTION19 et s’est beaucoup battu tout au long de la plandémie pour sortir les arguments juridiques capables de nous faire sortir plus vite de cette mascarade planétaire mortifère
Ici Maitre Brusa tente une action juridique pour faire stopper l’injection vaccinale de gardasil en particulier dans les écoles dès cette rentrée !!
Merci à lui
partagez largement
informez et rejoignez reaction 19
LE COMBAT NE FAIT QUE COMMENCER car ils veulent nous injecter des pseudovax à ARN (voire superpuissants dits replicants ) il est urgent de rester unis et d’informer encore et encore
LA VIDEO DU 4 SEPT 2024
Reaction19.fr – 030924 – Gardasil 9 une mascarade vaccinale
Quelques items
mais lisez sa lettre au ministère :040924-lettre-RAR-Minsitere-de-la-Sante-et-de-la-Prevention-
A la suite des découvertes de l’Association Corvelda italienne (en Italie pas de vax dans les collèges ) il met en exergue que ce qui est déclaré sur le produit gardasil est
une FAUSSE DECLARATION ( ce qui a été extrait d’une fiole de gardasil est un Produit non conforme par rapport à la description : deux souches manquent !)
TROMPERIE EN BANDE ORGANISEE CE DOIT ÊTRE SUFFISANT POUR FAIRE INTERDIRE LE PRODUIT
CE QUI EST INSCRIT SUR LE PRODUIT N EST PAS LA REALITE
PAR AILLEURS PRESENCE DE TOXIQUES NON DECLARES sur le widal DONC SITUATION JURIDIQUE : mise en circulation d’un produit nuisible pour la santé
Faites savoir, connaitre ces informations capitales sur le plan juridique ! la démonstration de l’inefficacité et de la toxicite du Gardasil depuis de nb années n’a pas suffi à éviter cette nouvelle campagne de pub initiée par le président à jarnac au printemps …
Le Droit va -t-il le permettre ? Espérons-le
FAITES LE SAVOIR
MERCI POUR NOS ENFANTS
2023 10 10 gardasil résultats et effets secondaires présenté à Marseille le 7 OCT 23
Ne craignez pas les épidémies mais
les pervers qui les provoquent
La peur n’évite pas le danger mais, en
paralysant la réflexion, accroit le risque
Docteur Gérard Delépine
Ne craignez pas les ouveaux virus mais ceux cliquez sur le lien pour visionner le diaporama
C’est la rentrée sur TV-ADP et on reçoit le Dr Gérard Delépine – CrowdBunker
avec le dr Eric Loridan et Eric Montana
commencer l’écoute à 7 mn pour éviter les pb de sons initiaux
teaser Gerard delépine 2 septembre 2024
idem commencer après la cinquième mn temps de réglage du son
Couv Les enfants sacrifiés[43011]
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