Alexandra Henrion-Caude
@CaudeHenrion

Je vous avais informé être parmi les 52 cosignataires d’un courrier au 1er ministre AUSTRALIEN (voir les liens en bas de ce post). Que s’est-il passé depuis?

La motion « demandant une suspension immédiate des produits Pfizer et Moderna COVID-19 » présentée le 11 octobre par le Conseil de Port Hedland, en Australie occidentale, a REMPORTÉ le vote majoritaire de 5 contre 2

 

IL FAUT QUE CETTE INFORMATION DIFFUSE POUR FAIRE PRESSION

 

Ce qui signifie que:

 

Les 537 conseils locaux d’Australie seront informés de cette demande de suspension immédiate du vaccin à ARNm contre le covid, et des preuves + recherches sur la contamination de l’ADN qui la sous-tendent

A leur tour les conseils doivent «diffuser les résultats à tous les autres conseils et comtés des collectivités locales australiennes [informant] tous les conseils et comtés des conclusions »

«Le Conseil exhorte fortement les praticiens à partager ces informations avec les patients»

 

« Le Conseil demande une réponse officielle et publique du ministre Butler » qui est le ministre fédéral australien de la Santé

 

Dans cette video, on voit les conseillers discuter de « la gravité de la question » autour de cette contamination jusqu’à 145 fois plus élevés [que] les limites de sécurité fixées par la TGA

 

Pour rappel, des études indépendantes menées au Canada, en Allemagne et aux États-Unis ont toutes confirmé des niveaux de contamination similaires.

Des experts internationaux, dont certains des plus grands oncologues, généticiens, virologues, immunologistes, microbiologistes et biochimistes du monde, ont uni leurs forces pour alerter les gouvernements du monde entier, y compris le nôtre, des dangers que représentent ces contaminants.

« Cela pourrait vraiment être le début d’un mouvement populaire au sein des petits conseils gouvernementaux, informant les petites communautés dans toute l’Australie, poussant les gouvernements fédéraux et les États à prendre de véritables mesures.

 » Liens expliquant ce courrier de

et les 52: -en anglais: youtube.com/watch?v=ICNdzP

-en français: x.com/CaudeHenrion/s

 

Lien expliquant ce vote historique de Port Hedland, Australie: x.com/Humanspective/

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dysphorie de genre et enfance sacrifiee la roche sur yon 10 FEV 24

 

 

dysphorie de genre^J éducation sexuelle et transhumanise NICE 24 F2VRIER 24

 

l’éducation sexuelle et la théorie du genre : manipulation et  dangers psychiques pour  les enfants !

 

 

 

Par le docteur N Delépine pédiatre cancérologue

 

Si le désir de changer de sexe (rebaptisé transition de genre) a toujours existé chez les adultes, l’irruption du phénomène contagieux et exponentiel de la dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents appelle à une extrême vigilance, car elle s’intègre dans une volonté de destruction de la famille traditionnelle pour aller vers le transhumanisme et la disparition de l’homme normal.

On change de registre. Sous prétexte d’écouter les enfants ou adultes pour leur confort, c’est toute une société qu’on veut changer subrepticement par petites touches  (comme l’avait exprimé clairement le ministre de l’ éducation nationale en 2014 avec les abc de l’égalité…) Peu importe les victimes sur le chemin.

Comment admettre, en effet, qu’un mineur, qui n’est pas assez mature pour voter ou avoir des relations sexuelles, puisse consentir à des traitements qui supprimeront sa fertilité et modifieront son corps de manière irréversible ?

Que peut savoir un enfant de six ans interrogé à six ans sur ses choix futurs d’être un homme, une femme ou encore bien autre chose ? Manipulation diffuse.

Quelles sont les conséquences médicales des hormones, et quelles en sont les conséquences psychologiques et psychiatriques ? Pourquoi une prise en charge totale du cout des traitements et opérations par la Sécurité Sociale, alors que l’OMS déclare que la dysphorie de genre n’est plus classée parmi les maladies ? Pourquoi la détransition reste-t-elle un phénomène tabou ? Comment le transgenrisme est-il entré dans le débat politique ?

Autant de questions et de réponses pour tenter d’ éclairer les risques et les dérives de la transition de genre chez les mineurs que nous avons abordé dans notre récent livre dans l’ambition d’aider les parents, enseignants et citoyens soumis à des rencontres avec des enfants ou jeunes taraudés par cette nouvelle « mode » dérivée du wokisme, doublée de la marchandisation du corps.

Aider familles et tous citoyens concernés afin qu’ils puissent disposer de quelques informations objectives, sans tabou, ni jugement, pour tenter d’aider ces jeunes manipulés, le plus souvent par des réseaux sociaux où fleurissent les influenceurs grassement subventionnés par les marchands de rêve. Ces derniers les conduisent le plus souvent, à la place du paradis promis, vers un enfer quotidien à travers les médicaments, les mutilations irréversibles, les échecs des rapports sexuels et le rejet qu’ils subissent s’ils osent faire le chemin inverse de la détransition Idéologie LGBTQ+[1]

Ce sont singulièrement ceux qui souhaitent prendre le chemin inverse, revenir à leur genre initial conforme à leur sexe de naissance, qui sont alors diffamés, critiqués, abandonnés par les nouveaux amis et comble du ridicule, traités de transphobes ! [2]

Un scandale médical aussi horrible que les lobotomies[3]

Ainsi pour certains psychiatres, la transition de genre à travers la médicalisation à outrance (pour une situation rappelons-le -la dysphorie de genre- considérée comme non médicale, mais remboursée à 100 % en France), il s’agirait d’un scandale médical comparable aux lobotomies.

Le Dr Grossman explique ce que tous les parents devraient savoir sur ce que l’on appelle les « soins d’affirmation du genre » et une série de mesures que les parents peuvent prendre à la maison et à l’école pour protéger leurs enfants.

« Ces enfants qui reçoivent des soins d’affirmation du genre deviennent des patients à vie. Ils deviennent des consommateurs de produits pharmaceutiques à vie », [4]

 

Les parents aussi appellent au secours !

Des parents se révoltent devant la manipulation qu’a subi leur enfant, souvent à leur insu, particulièrement pendant ces périodes de confinement plus ou moins longues selon les pays. Les enfants et adolescents se sont penchés sur leur ordinateur 24/24 et se sont trouvés de nouveaux amis.

 

« Elle est encore ma fille, elle restera à jamais ma fille »[5] : une mère se fraye un chemin à travers le mouvement transgenre « Pourquoi prendre un corps sain et en faire un patient médical à vie ? »

Telle est la question qu’Amy s’est retrouvée à poser à sa fille adolescente, aux communautés médicales et scientifiques, et à la société dans son ensemble. Pour une mère qui n’a pas pu empêcher la transition de genre de sa fille, c’est plus qu’une question : c’est un cri de détresse. Amy, comptable à Long Island, menait une vie normale avec son mari et ses enfants. Sa vie a basculé.

Leur appel de détresse donne à réfléchir au sort des enfants manipulés par la mode du wokisme qui casse les familles et n’autorise plus les parents à interférer dans la vie de leur enfant qui risquent de se retrouver devant les tribunaux s’ils osent ouvrir la bouche. C’est la loi du tout affirmatif : l’enfant décide, même à huit ans, et tout le monde doit accepter, singulièrement à l’école sous l’égide de la circulaire Blanquer de septembre 21. Les résistants à l’ukase seront traités de transphobes, licenciés pour certains enseignants, et risquent d’être démis de leurs droits parentaux par les juges.

Les transgenres sont avant tout des victimes manipulées par quelques-uns qui se servent des minorités pour accéder à des hauts postes de pouvoir. Victimes abusées par un rêve inaccessible : on peut changer de genre, mais jamais de sexe, on ne peut que tromper son corps, tromper les autres, mais jamais ses chromosomes.  Ces personnes sont des victimes car elles étaient bien portantes[6], et on les transforme en malades chroniques à vie.

 

Et pourtant que de victimes sous prétexte de vouloir soi-disant les aider [7]

Une adolescente ex-trans poursuit les médecins qui l’ont mutilée alors qu’elle était mineure[8]. Chloé Cole a reçu des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles, et subi une ablation de la poitrine à l’âge de 15 ans. Elle a décidé de poursuivre le groupe médical et l’hôpital qui ont facilité sa transition de genre sans lui donner toutes les informations ni le temps nécessaire à un consentement éclairé alors qu’elle était mineure. Car aujourd’hui elle regrette profondément ses choix.

Même plainte en justice de Jay Langadinos en Australie[9] .

La première chose, oubliée en ce nouveau siècle, est que ces personnes devraient bénéficier d’un consentement véritablement éclairé et non d’une propagande reposant sur l’idéologie wokiste et transhumaniste parfois doublée du « business is business ».

Les étapes de la transition de genre (assistée par des traitements hormonaux et gestes chirurgicaux) comprenaient d’abord la préparation psychologique qui visait à éliminer les psychoses, les dépressions, et à tenter d’expliquer aux candidats trans les conséquences des interventions médicochirurgicales. Cette phase durait en général de deux ans, mais elle tend à se raccourcir sous l’influence des lobbies du genre (business du genre ?)[10].

La réassignation génitale se traduit par un long et pénible parcours pour obtenir les apparences de ce changement de sexe et ce n’est qu’après ces longs mois, voire années qu’ils peuvent enfin bénéficier de prises en charge psychologiques ou psychiatriques. Et cela ne fait pas diminuer le drame des suicides qui touche finalement 40% des transgenres (20 fois plus que la population hétéro sexuelle). Leur éviter un suicide est l’argument, le mensonge utilisé pour convaincre les parents (lorsqu’ils sont informés) alors que les transgenres ont ce triste record.[11]

 

 

 

La théorie du genre  aurait-elle transformé nos sociétés occidentales ?

De fait, non !

 Seule une extrême minorité qui se croit l’élite a prospéré et surfé sur ces nouvelles affirmations pseudo progressistes et fait croire que c’est généralisé .

Le lobby trans affirmatif a de gigantesques moyens et ceci explique cela !

Soutenu notamment par la fondation Thomson Reuters, la société mondiale de services d’information, et par l’un des plus gros cabinets internationaux d’avocats, Dentons.

Se demande-t-on alors pourquoi les pouvoirs publics accordent une telle importance aux militants trans-affirmatifs qui ne représentent que très peu de personnes. Pourquoi leur ouvre-t-on les portes des ministères (en premier lieu santé, éducation, etc.), des collectivités locales qui financent abondamment leurs projets  ou d’ autorités administratives ?

 

A couts de subventions obtenues par les cinéastes, les directeurs de club de sport, ou de sociétés privées, on a trompé la grande majorité de la population

Et cette publicité outrancière a aggravé le rejet des homosexuels et les transgenres qui, comme la plupart des gens, souhaitent vivre tranquillement, selon leurs désirs, loin des caméras.

 

Les échecs récents de Disney[12] ou de la bière Budweiser[13] qui ont vu chuté leurs actions boursières à la suite de modifications carrément wokistes et transgenres de leurs spectacles et publicités démontrent bien que les populations occidentales ne sont pas consentantes à ces tentatives de transformations radicales de nos sociétés millénaires.

 

S’il est désormais de notoriété médiatique officielle que considérer qu’un homme est un homme et une femme est une femme est conservateur, combien de citoyens sont-ils tombés dans cette folie et ce fantasme ?

 

En tout cas, pas le premier ministre anglais actuel Rishi Sunak qui, lors du congrès annuel du Parti conservateur le mercredi 4 octobre 2023, a déclaré sous les applaudissements : : « Nous ne devrions pas nous laisser intimider par la croyance selon laquelle les gens peuvent avoir le sexe de leur choix », « Un homme est un homme et une femme est une femme, c’est juste du bon sens ! »

 

Et comme premier ministre, il a échappé à la poursuite en justice pour transphobie !

Contre disant ainsi les affirmations bientôt oubliées d’A Buzyn l’ancienne ministre de la santé : « un oncle peut être la mère… ».  Mais  c’est elle aussi qui a classé substance vénéneuse l’hydroxychloroquine sous prétexte que les Français prendraient trop de médicaments… Ne nous étonnons plus de rien.

 

Quant aux Polonais, Hongrois ou Russes, qui ne cautionnent pas cette théorie du genre et protègent nos acquis culturels, la littérature, la musique, les traditions familiales etc… ils ont déjà subi la même qualification de réactionnaire dans nos médias.

 

Il est probable que les professionnels de la santé qui prescrivent les hormones sexuelles croisées et les bloqueurs de la puberté chez les enfants seront un jour tenus responsables de maltraitance des enfants et de fautes professionnelles  [14] médicales, comme cela se passe dans les pays qui ont développé ces techniques bien avant la France et qui les abandonnent (comme la Suède et le Royaume Uni) ou les interdisent (comme la Russie, et beaucoup  d’états africains et américains).

 

Les professionnels de la santé qui pratiquent les chirurgies transgenres et les mutilations génitales sur leurs patients risquent d’être à terme l’objet d’une vague de poursuites judiciaires Tout n’est pas aussi simple que les séries télévisées voudraient le faire croire.

Pour les parents ou grands-parents que nous sommes le plus important est de communiquer des informations honnêtes sans jugement sur leurs choix pour les protéger de manipulations à motivation commerciale non négligeable.

Ensuite, à l’âge adulte, ce sera leur détermination qui devra compter et alors à nous de les accompagner et de les aider le mieux.

 

Laisserons-nous sans rien dire des enfants se faire martyriser, mutiler, transformer à un âge où la sexualité est silencieuse chez les plus jeunes, puis questionnable chez les adolescents, sans tenter de les protéger d’une idéologie mondialiste et d’un lobby extraordinairement puissant et lucratif…Les parents ont été dépouillés de leur droit de regard : nous devons le leur rendre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Un Transgenre raconte sa détransition

[2] Voir sur telegram le canal des détransitionneurs.

[3] ttps://www.infotrad.fr/2023/08/28/un-scandale-medical-aussi-horrible-que-les-lobotomies-miriam-grossman-sur-les-soins-daffirmation-du-genre-et-ce-que-les-parents-doivent-savoir/

[4] Miriam Grossman , psychiatre pour enfants et adolescents et auteur de « Lost in Trans Nation: A Child Psychiatrist’s Guide Out of the Madness (Perdu dans la nation trans : Le guide d’un pédopsychiatre pour sortir de la folie) ».

[5] https://www.epochtimes.fr/elle-est-encore-ma-fille-elle-restera-a-jamais-ma-fille-une-mere-se-fraye-un-chemin-a-travers-le-mouvement-transgenre-2377749.html

[6] Parmi les candidats au changement de genre, il y a  néanmoins un certain nombre malades de formes d’autisme, de dépression ou autre trouble psychiatrique etc, qui devraient être dépistés avant toute intervention médicale ou chirurgicale pour bénéficier des traitements adaptés à leur pathologie

[7] Nouveau Monde — Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan (nouveau-monde.ca)

[8] https://www.juristespourlenfance.com/2023/07/28/temoignage-de-chloe-cole-detransitionneuse-lors-de-son-proces-contre-les-medecins-qui-lont-mutilee/

[9] ttps://www.smh.com.au/national/absolutely-devastating-woman-sues-psychiatrist-over-gender-transition-20220823-p5bbyr.html

[10] Nouveau Monde — Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE (nouveau-monde.ca)/

[11] Par rapport aux autres minorités sexuelles (homosexuels, lesbiennes et bisexuels), les transsexuels souffrent d’une tendance suicidaire beaucoup plus élevée (4 à 6 fois) qui constitue un vrai problème.   nouveau-monde.ca/devenir-trans-mene-trop-souvent-au-suicide-informez-familles-et-candidats-pour-leur-securite/

 

 

[12] https://hitek.fr/actualite/disney-detestee-pour-wokisme_42968

[13] https://www.journaldemontreal.com/2023/04/12/publicite-pour-bud-light-anheuser-busch-perd-de-5-g-us-apres-un-partenariat-avec-une-transgenre

[14] Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres

 

2 dysphorie de genre et enfance sacrifiee CHOISY LE ROI 8 fev 24

 

et version un peu plus courte  à la Mothe près de la Roche sur Yon

dysphorie de genre et enfance sacrifiee la roche sur yon 10 FEV 24

 

 

 

 

 

Par N Delépine pédiatre, oncologue

https://t.me/DrDelepine

 

Excrétion des composants du vax anti-covid19 dans le lait maternel : une inquiétude croissante

car des études ont détecté de l’ARNm vaccinal dans le lait maternel de certaines femmes, notamment dans des vésicules extracellulaires. L’ARNm vaccinal persiste dans le lait jusqu’à au moins une semaine après la vaccination.

Les ARNm des vésicules extracellulaires peuvent traverser la barrière intestinale.

 

Principe de précaution oublié :  les gynécologues, pédiatres  et tous les médecins qui ont conseillé et conseillent encore la vaccination aux femmes allaitantes se soucient-ils du passage éventuel d’ARNm ?

 

Rechercher les anticorps dans le lait maternel après injection des mères pour conseiller la pseudo vaccination des femmes enceintes est un extraordinaire raccourci.

Les pédiatres hollandais ont été les premiers à l’emprunter et leur idée a été reprise larga manu dans le monde, comme si le taux d’anticorps suffisait à protéger et à éviter toutes les autres conséquences inconnues d’un produit expérimental susceptible de s’intégrer au génome.

 

« Finalement, un total de 1.650 échantillons de lait maternel provenant de 124 mères allaitantes a été inclus dans l’analyse ; presque toutes les participantes qui ont reçu un vaccin à base d’ARNm ont montré des IgA détectables dans leur lait, soit 96 % des mères vaccinées avec le vaccin Pfizer-BioNTech ; 97 % des mères vaccinées avec le vaccin Moderna ; et 39 % des mères vaccinées avec le vaccin Oxford/AstraZeneca ; 48% des mères vaccinées avec le vaccin Johnson & Johnson/Janssen.

 

« après les 2 doses de vaccins Pfizer-BioNTech , Moderna et Oxford/AstraZeneca, toutes les participantes avaient des IgG détectables. Cependant, après les vaccins à base d’ARNm, c’était le jour 23 et le jour 32 après la première dose, tandis qu’après le vaccin Oxford/AstraZeneca, tous les participants ont montré des IgG au jour 94 ; après la vaccination avec le vaccin Johnson & Johnson/Janssen (1 seule dose), seules 28 % des mères avaient des IgG détectables dans leur lait.

Les  anticorps IgA spécifiques du SARS-CoV-2 dans le lait maternel sont présents plus fréquemment après la vaccination avec un vaccin à ARNm ».

« Les IgGs sont présentes chez toutes les participantes après les 2 doses de vaccin, indépendamment du type de vaccin, cependant, ces immunoglobulines sont détectables plus tôt après la vaccination avec un vaccin à ARNm ».

 

 

Mais la capacité neutralisante des anticorps du lait maternel n’a pas été évaluée dans cette étude.

L’anticorps le plus abondant dans le lait maternel est donc l’IgA, qui joue un rôle clé dans la première ligne de défense contre les virus. Sur la base de ces données, les chercheurs suggèrent qu’un vaccin à base d’ARNm est le choix optimal pour les femmes qui allaitent lorsqu’elles souhaitent transférer des anticorps à leurs nourrissons.[1]    Cet article ne porte que sur les anticorps censés protéger de la maladie covid, mais ne prend absolument pas en compte les complications potentielles du pseudovax covid dont nous avons déjà noté quelques démonstrations chez des nouveau-nés de mères injectées.

 

 

Une autre démonstration du passage des anticorps de la mère allaitante et peut-être plus en janvier 22[2]

Curieusement la question des effets toxiques du pseudo vax n’est que survolée.   « Selon les résultats d’un travail publié dans la revue Obstetrics & Gynecology  des scientifiques de l’Université du Massachusetts à Amherst ont suivi 30 femmes ayant reçu un vaccin à ARN messager entre janvier et avril 2021. Les participantes ont fourni des échantillons de lait maternel avant d’être vaccinées, pendant trois semaines après leur première dose et trois semaines après la deuxième dose. Des échantillons de selles de nourrissons ont été prélevés 21 jours après cette deuxième injection.

Les auteurs ont ainsi trouvé des anticorps capables de neutraliser la protéine spike du virus d’origine et de quatre variants, dans les échantillons de lait maternel et dans plus de 30% des échantillons de selles de nourrissons. « Cette recherche est la première à détecter les anticorps anti-SARS-CoV-2 dans des échantillons de selles de nourrissons de mères vaccinées » « Notre étude montre qu’ils sont transférés via le lait maternel. »

Remarque intéressante, les niveaux d’anticorps étaient en lien avec les effets secondaires du vaccin subis par la mère :  en clair, plus les femmes ont été touchées par des effets indésirables de l’injection, plus les échantillons de selles renfermaient des anticorps.   Enfin les anticorps ont été détectés chez des nourrissons quel que soit leur âge, de 1,5 à 23 mois ».

 

 

 

TRACES D’ ARNm dans le lait maternel

Or l’on sait depuis plusieurs mois que des traces du vax et de l’ARNm directement sont retrouvés dans le lait maternel

Des traces d’ARNm du vaccin #COVID19 ont été détectées dans le lait maternel de certaines femmes allaitantes.  [3][4]

 

 

L’étude très détaillée d’Helene Banoun pose des questions intéressantes[5], tant sur la contamination des bébés via le lait maternel que sur la contamination plus générale des non injectés par les injectés.

 

Nous détaillerons ici ce qui concerne les bébés allaités. On peut lire dans le texte d’Helene Banoun la référence à une éventuelle excrétion du vaccin dans les documents de Pfizer (voir les références détaillées dans le texte complet réf 2)

« le protocole de l’essai de phase I/II/III de Pfizer sur les vaccins à ARNm COVID-19 (qui a débuté en mai 2020) mentionne la possibilité de passage du produit étudié par inhalation ou contact cutané et de passage par le sperme d’un homme exposé par inhalation ou contact cutané et de passage par le lait maternel; la possibilité d’une réaction indésirable au vaccin par suite de ces expositions est également mentionnée.

« Les données de Pfizer indiquent clairement qu’une femme enceinte peut être exposée à » l’intervention étudiée en raison d’une exposition environnementale[6].  » L’exposition environnementale peut se produire par « inhalation ou contact avec la peau ». Voici quelques exemples d’exposition environnementale pendant la grossesse : -Un membre de la famille ou un fournisseur de soins de santé de sexe féminin signale qu’enceinte elle a été exposée à l’intervention étudiée par inhalation ou par contact cutané. -Un membre de la famille ou un prestataire de soins de santé de sexe masculin qui a été exposé à l’intervention étudiée par inhalation ou contact cutané expose ensuite sa partenaire féminine avant ou autour de la période de conception.

 « Cela signifie clairement que tout contact, y compris le contact sexuel avec une personne ayant reçu les vaccins, expose ceux qui n’ont pas reçu les vaccins à « l’intervention », c’est-à-dire à l’ARNm. L’exposition pendant l’allaitement devait également être immédiatement notifiée pendant l’essai : on suppose que l’investigateur craint qu’une mère qui allaite puisse transmettre l’ARNm expérimental à son bébé si elle a reçu le vaccin directement ou si elle est « exposée à l’intervention de l’étude par inhalation ou contact avec la peau. (…) »

Passage de l’ARNm du vaccin dans le lait

 Selon l’article d’Hélène B : de l’ARNm du vaccin est retrouvé dans le lait de 1/10 des femmes étudiées (4/40)  la première semaine après la vaccination avec le vaccin à ARNm (que ce soit après la dose 1 ou après la dose 2).

Les quantités peuvent atteindre 2ng/ml de lait.  Cette quantité peut sembler faible par rapport aux 30 microgrammes d’ARNm injectés avec le vaccin, mais elle peut suffire à produire une quantité non négligeable de spike. En effet, un nourrisson fait plusieurs tétées par jour, pour environ 240 à 360 ml par jour et un total sur une semaine de 1680 à 2520 ml dans la première semaine.

Le nouveau-né, pesant entre 2 et 5 kg, pourrait donc être exposé à une dose de 5 µg d’ARNm dans sa première semaine. Cela semble disproportionné comparativement aux 10 µg injectés à des enfants de 5 à 11 ans qui pèsent respectivement 18 à 35 kg environ (…)

De plus des observations réalisées après la campagne massive de vaccination peuvent soutenir l’excrétion du pseudovaccin

« Les scientifiques ont comparé des enfants non vaccinés vivant avec des parents non vaccinés avec des enfants également non vaccinés mais vivant avec des parents vaccinés. Les enfants de parents vaccinés ont des IgG anti-Covid dans le nez et la différence avec les enfants de parents non vaccinés est significative ». (..)

 

Cet article rappelle qu’il existe de nombreux témoignages de personnes non vaccinées ayant présenté des symptômes identiques aux effets indésirables du vaccin après avoir été en contact avec des personnes fraîchement vaccinées.[7]

Une étude montre un excès de mortalité dans les classes d’âge non vaccinées au début des campagnes de vaccination, qui pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits.

« Il est important de ne pas négliger ces témoignages car les études requises de pharmacocinétique et notamment d’excrétion du vaccin et de ses produits n’ont pas été réalisées malgré la réglementation en vigueur pour les thérapies géniques, qui incluent les vaccins à ARNm selon la définition de ces produits géniques ».

 

Un autre article signale la présence d’ARNm du vaccin dans le lait maternel

« La majorité des mères allaitantes avaient des isotypes d’anticorps SARS-CoV-2 détectables et des anticorps neutralisants dans le sérum et le lait maternel, en particulier après la dose 2 de vaccination BNT162b2. De faibles niveaux transitoires d’ARNm du vaccin ont été détectés dans le sérum des mères vaccinées avec un transfert occasionnel dans leur lait maternel. »[8]

 

Signalons  ce post[9]

LA FDA SAIT DEPUIS AU MOINS 2015 QUE LES PRODUITS GENIQUES SONT EXCRETES

On peut lire aussi sur telegram que la FDA est au courant de l’excrétion des vaccins depuis des années; elle a même publié des lignes directrices sur la façon d’évaluer le risque.

En 2015, la FDA a publié des lignes directrices sur la manière de mener des études d’excrétion pendant le développement de produits de thérapie génique à base de virus ou de bactéries.

Le produit de thérapie génique excrété peut être infectieux et soulève donc des problèmes de sécurité « liés au risque de transmission à des personnes non traitées ».  Diverses études et documents vont dans ce sens.

 

▪️Pfizer STUDY indique que l’excrétion et la transmission du vaccin se produisent ; et que les prestataires de soins de santé, les bébés allaités et les femmes enceintes étaient à risque d’ « exposition environnementale ».[10] [11]

Diverses études et documents, y compris une étude de Pfizer, indiquent que l’excrétion et la transmission des vaccins se produisent.

« Transmission par aérosol et vaccins contagieux

Une étude de l’Université du Colorado publiée en mai a fourni des preuves « d’un nouveau mécanisme par lequel l’immunité collective peut se manifester – le transfert d’anticorps par aérosol entre hôtes immunisés et non immunisés ».

Conformément aux résultats rapportés par d’autres, les chercheurs ont détecté des anticorps dans la salive des personnes vaccinées et leurs masques faciaux. « Compte tenu de ces observations, nous avons émis l’hypothèse que le transfert de gouttelettes / anticorps aérosolisés pourrait se produire entre les individus, un peu comme les particules virales en gouttelettes / aérosols peuvent être échangées par la même voie. »

Pour vérifier si la transmission se produisait, les chercheurs ont prélevé des écouvillons nasaux d’enfants non vaccinés de parents vaccinés et les ont testés pour les anticorps spécifiques du SRAS-CoV-2 et ont trouvé une relation positive significative.

Le concept de vaccins auto-répandus n’est pas « nouveau » comme le prétend l’étude de l’Université du Colorado. Mais l’étude nous laisse nous demander si les chercheurs ont prouvé que seuls les anticorps sont transmis ou si des particules virales, telles que la protéine de pointe contenue dans les injections, ou le graphène sont également éliminés ».

Dans son étude de détermination de la dose de novembre 2020, Pfizer a appelé cette transmission, ou excrétion, « exposition environnementale ». Ce qui, selon Pfizer, peut se produire en respirant le même air ou en touchant la peau de la personne vaccinée. C’est-à-dire que, selon Pfizer, le contenu du « vaccin » est à la fois infectieux et contagieux. Le document de Pfizer mentionne spécifiquement les fournisseurs de soins de santé, les membres de la famille, les bébés qui allaitent et les femmes enceintes comme étant à risque d’exposition environnementale. »

Slate a rapporté la publication des résultats intermédiaires des données de Pfizer et BioNTech : « c’est prometteur – mais des questions importantes demeurent. »

 Directives de la FDA sur l’excrétion des vaccins[12]

La connaissance de l’excrétion des vaccins géniques remonte beaucoup plus loin que l’ère Covid, comme le démontrent les directives publiées par la FDA en 2015 aux « promoteurs de produits de thérapie génique à base de virus ou de bactéries » (« produits VBGT »).

« Des études d’excrétion devraient être menées pour chaque VBGT ou produit oncolytique afin de fournir des informations sur la probabilité de transmission à des personnes non traitées, car les données historiques seules peuvent ne pas être prédictives du profil d’excrétion.

Les données [des essais sur les animaux] peuvent aider à estimer la probabilité et le profil potentiel d’excrétion chez les humains, en particulier lorsqu’il y a des préoccupations au sujet de la transmission à des personnes non traitées. Cependant, de telles données ne peuvent pas remplacer l’excrétion humaine pour plusieurs raisons … »

Pacou54, [30/08/2022]

« La stratégie risquée qui consiste à autoriser l’utilisation d’urgence des « vaccins » à ARNm avant l’achèvement des tests non cliniques rigoureux sur les animaux pour les risques de reproduction et de génotoxicité, suivie de la préconisation d’une utilisation généralisée pendant la grossesse est un NON-SENS [13] »

VACCINER LES FEMMES ENCEINTES EST UNE FOLIE ABSOLUE ! VRAIMENT !

Voici le résumé du rapport d’évaluation public du vaccin COVID-19 Pfizer/BioNTech de la MHRA britannique, mis à jour le 16 août 2022. Conclusions sur la toxicité, paragraphe 3.4 Toxicologie…

« Dans le cadre de l’approvisionnement au titre du règlement 174, il est considéré qu’il n’est pas possible à l’heure actuelle de garantir suffisamment la sécurité d’utilisation du vaccin chez la femme enceinte. Cependant, l’utilisation chez la femme en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de santé soient invités à exclure toute grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne doivent pas non plus être vaccinées. »[14]

Pour un consentement libre et éclairé, voici les chiffres officiels d’Israël (02/2022) sur les Mortinaissances, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées via https://t.me/vivrecorrectement/3374

 

CHD.TV Israël – « Vaccins et allaitement : un sujet passé sous les radars… et pourtant déjà vieux de plusieurs mois » [15]

 

 

 

 

 

Données de décès infantiles du VAERS

 

 

 Ces données officielles confirment le drame des enfants vaccinés

 

La plupart des bébés affectés par des effets nocifs sont allaités, ils ont été exposés aux vaccins à travers le lait maternel : 644 cas d’enfants souffrant de complications liées au lait maternel et 607 dont la mère a reçu le vaccin  Pfizer ! »     Si les mères étaient informées, iraient-elles se faire injecter ? [16]

 

 

VACCINER LES FEMMES ENCEINTES EST UNE FOLIE ABSOLUE ! Ils savent qu’ils tuent des bébés ! Gardez ces vaccins hors de portée des femmes enceintes et des bébés. [17]

 

 

Soutenu par la désinformation médiatique, le faux vaccin à ARNm (thérapie génique) a été présenté comme une solution pour endiguer la pandémie. Le faux vaccin a pourtant déclenché dès son apparition en décembre 2020 une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

 

La FOIA (Freedom of Information) révèle que Pfizer et les agences de régulation ont caché les dangers de l’injection contre la Covid pendant la grossesse.

 

L’étude a révélé qu’il augmente le risque de malformations congénitales et d’infertilité. L’étude réalisée sur le produit Pfizer C19 a révélé que les membres des agences sanitaires ont dissimulé des anomalies alarmantes du fœtus en développement et ont faussement minoré le risque réel de la vaccination pendant la grossesse.

Cette fraude et cette tromperie ont causé au moins 4113 décès fœtaux dus à la vaccination contre la Covid-19 rien qu’aux États-Unis[18] contre 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant les injections à Covid-19…

 

Une autre étude montre que la vaccination contre la Covid-19 augmente en fait le risque de fausse couche d’au moins 1517%... 1517% plus élevé que le risque de faire une fausse couche après la vaccination contre la grippe…

 

ON CONTINUE DANS LE DÉNI ? [19]

 

Le CDC a admis que seulement 1 à 10% des effets indésirables sont effectivement signalés au VAERS, de sorte que le chiffre réel pourrait être bien pire. Mais pour mettre ces chiffres en perspective, il n’y a eu que 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant l’autorisation d’utilisation d’urgence des injections de Covid-19 en décembre 2020. [20]

 

Et une autre étude, a révélé que le risque de subir une fausse couche après la vaccination Covid-19 est 1 517% plus élevé que le risque de subir une fausse couche après la vaccination contre la grippe.

 

Le risque réel pourrait cependant être beaucoup plus élevé car les femmes enceintes sont un groupe cible pour la vaccination contre la grippe, alors qu’elles ne constituent jusqu’à présent qu’un petit groupe démographique en termes de vaccination Covid-19.

 

Pfizer et les régulateurs – agences des médicaments qui ont accordé une autorisation d’urgence pour les injections de Covid-19 savaient que des études appropriées sur les animaux n’avaient pas été effectuées pour déterminer la sécurité du vaccin Pfizer pendant la grossesse, et ont ensuite faussement sous-estimé le risque dans leurs communiqués.

 

Ils savaient également que l’étude limitée sur les animaux montrait un risque important pour le fœtus en développement, mais ils ont activement choisi de supprimer cette information des documents publics.

 

L’information a été révélée grâce à une demande d’accès à l’information (FOI) adressée à la Government Department of Health Therapeutic Goods Administration (TGA) du gouvernement australien.

 

 Les résultats cachés de la toute petite étude animale

L’étude a été réalisée sur 42 rats femelles Wistar Han. Vingt et un ont reçu l’injection de Pfizer Covid-19, et 21 ne l’ont pas été. L’évaluateur du module 4 a initialement demandé à Pfizer d’inclure la ligne

 

« Une étude combinée de fertilité et de toxicité pour le développement chez le rat a montré une augmentation de la fréquence des côtes lombaires surnuméraires chez les fœtus de rats femelles traités par COMIRNATY ». de plus : Le taux de « perte préimplantatoire » dans le groupe vacciné de rats était le double de celui du groupe témoin, et non seulement cette information a été ignorée, mais aucune demande n’a été faite pour l’évaluer davantage.»

 

La perte préimplantatoire fait référence aux ovules fécondés qui ne parviennent pas à s’implanter. Par conséquent, cette étude suggère que l’injection de Pfizer Covid-19 réduit les chances d’une femme de tomber enceinte. Donc, par conséquent, augmente le risque d’infertilité. »

 

Mensonge éhonté et dangereux commis en toute conscience par Pfizer et agences de contrôle

Malgré les preuves scientifiques prouvant le contraire, les agences régulatrices de la médecine et Pfizer ont faussement affirmé que « les études animales n’indiquent pas d’effets nocifs directs ou indirects en ce qui concerne la grossesse ».

LE SOUVENIR DE LA THALIDOMIDE

« Il y a soixante ans, les femmes ont été exposées à un nouveau produit contre les nausées matinales appelé thalidomide[21], ce qui a entraîné au moins 10 000 malformations à la naissance. Les résultats ci-dessus montrent que les régulateurs de la médecine n’ont rien appris de cette tragédie et ont pris un risque sans précédent dans leur évaluation de l’injection de Pfizer Covid-19.

Ce risque sans précédent a conduit à une campagne scandaleuse de propagande et de mensonges ciblant les femmes enceintes et les poussant à suivre un traitement expérimental et non éprouvé et cette campagne scandaleuse de propagande et de mensonges a conduit à des milliers de morts fœtales.».

 

CES DONNEES POURRAIT EN PARTIE EXPLIQUER LA BAISSE LE TAUX DE NATALITE

Une analyse des données sur les taux de natalité dans les pays européens montre une baisse.[22] significative (pouvant atteindre 19%) des naissances vivantes chez les 18-49 ans neuf mois après le début des vaccinations COVID, tout particulièrement dans les pays à taux de vaccination élevés.

UN SEUL MOT D’ORDRE DANS LES TOUS LES PAYS : STOPPEZ TOUTES LES INJECTIONS A ARNm

NON SEULEMENT LES PSEUDOVAX ANTICOVID 

MAIS AUSSI CEUX COUPLES AU VACCIN DE LA ROUGEOLE

Et les NOUVEAUX VAX ANTIGRIPPAUX ET LES TENTATIVES DE VAX ARNm ANTICANCER

 

 

 

 

 

 

[1] Source: JAMA Pediatrics 14 Mar, 2022 DOI : 10.1001/jamapediatrics.2022.0084  Comparing human milk antibody response after different COVID-19 vaccines

[2] Covid-19 : les mères vaccinées transmettent des anticorps via le lait maternel – ladepeche.fr

[3] https://t.me/libreetinsoumis2/5075

[4] https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2796427

[5]https://www.researchgate.net/publication/365233482_Etat_actuel_des_connaissances_sur_l’excretion_de_l’ARNm_et_de_la_spike_produite_par_les_vaccins_a_ARNm_anti-Covid-19_possibilite_de_contamination_de_l’entourage_des_personnes_vaccinees_par_ces_produit

 

 

[6] Nom donné à l’injection …

[7] Voir les témoignages et questions sur le canal telegram qui lui est consacré : https://t.me/temoignageshedding

[8] Neutralizing Activity and SARS-CoV-2 Vaccine mRNA Persistence in Serum and Breast milk After BNT162b2 Vaccination in Lactating Women. Front Immunol. 2022 Jan 11;12:783975

[9] https://twitter.com/tatiann69922625/status/1576094250051461120   Etude: https://t.co/t8KVDJ0JTI

 

[10] https://expose-news.com/2022/09/08/fda-knows-about-vaccine-shedding/

[11] https://t.me/HocineLeDZ

[12] Design and analysis of Shedding Studies for Virus or Bacteria-based Gene Therapy and Oncolytic Products Guidance for Industry, US Food and Drug Administration, août 2015

[13] (https://t.me/vivrecorrectement/3716).

[14] https://www.gov.uk/government/publications/regulatory-approval-of-pfizer-biontech-vaccine-for-covid-19/summary-public-assessment-report-for-pfizerbiontech-covid-19-vaccine

[15] Stillbirths, Miscarriages and Abortions in Vaccinated vs. Unvaccinated Women (substack.com)

[16]https://twitter.com/NicolasPichot6/status/1558381678548209664?t=fYXBIdk1PTffw9W5i4q2iQ&s=35     https://t.me/VeriteDiffusee

[17] https://t.me/vivrecorrectement/3716)

[18] Selon la base de données sur les événements indésirables des vaccins (VAERS) des Centers for Disease Control (CDC), au 22 avril 2022

[19] https://expose-news.com/2022/07/19/foia-pfizer-hid-dangers-covid-vaccination-pregnancy/

[20] Health Impact News

 

[21] Lire la face cachée des médicaments N Delépine 2011 éditions Michalon

[22] https://www.lifesitenews.com/news/data-analyst-suggests-covid-jabs-linked-to-steep-birth-rate-drop-in-europe/

Résumé du diaporama covid. 25/10/2020  Le point sur la situation mi octobre 2020

et visionnez le diaporama en cliquant sur le lien ci-dessous situé en bas du résumé

 

Depuis de la crise du Covid19, les ministères et les médias mentent sur la réalité de la situation afin de créer et d’entretenir une peur panique dans la population, leur permettant d’instaurer un état d’urgence injustifié et de supprimer les libertés publiques qui caractérisent les états démocratiques.

Ce diaporama vise à rétablir la vérité en privilégiant les faits établis publiés par l’OMS et Santé Publique France et les articles scientifiques des revues médicales. Pour que chacun puisse vérifier la véracité de ce que nous affirmons les sources des données sont systématiquement citées.

Ce diaporama s’articule en 10 chapitres principaux :

1°) le covid19 n’est qu’une mauvaise grippe

2°) Les pays asiatiques démocratiques ont vaincu le Covid19 par la technique eb  médicale classique de l’endiguement

3°) La prophétie apocalyptique de N Ferguson a prétendu que seul le confinement aveugle (sans séparer les malades des sujets sains) pouvait éviter la mort de millions de personnes. La comparaison des ses prédictions aux faits observés montre qu’il s’agit d’une colossale erreur, voire d’une manipulation volontaire.

4°) Une propagande massive a terrorisé les populations et les gouvernants occidentaux.

5°) En France le confinement aveugle et la prescription de Rivotril ont considérablement aggravé la mortalité de la maladie.

6°) l’interdiction faîte aux médecins de traiter leurs malades par la chloroquine, et même par antibiotiques est une première historique

7°) Au lieu de reconnaître leurs erreurs, nos gouvernants ont décidé de mesures sanitaires inefficaces qui détruisent l’économie, l’avenir des jeunes et créent des famines mortifères dans les pays pauvres.

8°) La peur panique leur a permis de piétiner les droits de l’homme.

9°) L’épidémie est terminée en Europe, mais ils poursuivent les lois d’exception et des mesures prétendument sanitaire ineptes.

10°) Il est grand temps de se battre pour retrouver nos libertés fondamentales.

Bonne lecture

 

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COVID19 25 10 2020   

 

vous pouvez envoyer vos questions à gerard.delepine@bbox.fr

 

 

 

Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique 

publié initialement sur France Soir

 

 

 

Le communiqué du 2 juin du conseil scientifique se décerne un satisfécit sans regarder les faits et tente par des scénarios improbables (issues de modélisation erronées) de faire perdurer la peur qui paralyse la population et l’empêche de défendre ses libertés. Ainsi il prétend sans avoir étudié cette cinétique :

« La période du confinement a permis de ralentir la dynamique de l’épidémie de façon marquée »

L’utilisation des analyses de rupture de tendance lui aurait permis de constater que le confinement aveugle et policier à la française n’a été suivi du moindre ralentissement des contaminations dans aucun des pays qui l’a pratiqué et que la baisse des contaminations a été observée bien plus tard (5 semaines) et naturellement de la même manière dans les pays confinés ou pas.

La comparaison entre la Belgique et les Pays bas permet de suggérer même que le confinement strict accélère les contaminations.

Épidémie terminée et « en même temps » confinement relatif poursuivi 

Les conséquences du confinement sont désastreuses et vont nous faire souffrir plusieurs années. Alors que ces deux mois et demi furent délétères pour la France, les limites lourdes à la liberté imposées par le gouvernement empêcheraient-elles la vie de reprendre normalement, tant sur le plan psychique que médical, scolaire, social, économique?

Pourtant nous sommes en fin d’épidémie et les quelques cas encore décelables ne justifient en aucun cas de bloquer 67 millions d’habitants. En revanche, ils justifieraient d’un traitement efficace, utilisé dans le monde entier.

Pourquoi les en priver et en conduire certains à une maladie éventuellement longue sur plusieurs semaines ?

Un but subliminal : poursuivre la terreur ?

Ceci nous conditionnerait à accepter des vaccins (qui ne verront sûrement jamais le jour), ou au moins une drogue chère comme le Remdesivir de Gilead. Il suffit de jeter un rapide coup d’œil aux cours en Bourse de Gilead et de laboratoires tonitruants sur un éventuel vaccin, pour voir que les acrobaties médiatiques du genre Lancet ne sont pas gratuites. Elles permettent, en quelques jours, de doper le cours de l’action boursière et pour les initiés de gagner beaucoup d’argent.

Depuis le desserrement du confinement policier mortifère qui nous a été imposé inutilement, le lobby de la peur essaie d’entretenir la panique créée par les médias et le gouvernement, afin de maintenir notre soumission et l’abandon de notre bien le plus précieux, notre liberté.

En témoignent de nombreux articles mensongers qui prétendent que le confinement aurait « sauvé des vies », qu’il faut « craindre une deuxième vague » d’épidémie parce que « l’immunité collective serait insuffisante » (note 1,2,3), que « l’application stop Covid serait utile ». Même le syndicat des avocats a dénoncé cette application à éviter absolument et à désinstaller, si elle a été installée silencieusement lors d’une mise à jour de votre portable (Note 4).

En réalité, l’épidémie se termine en France comme partout en Europe. Il n’y aura pas de vraie deuxième vague de Covid19, car cela n’est jamais observé dans les maladies virales (Note 5). Et il ne faut pas se préoccuper de la faible prévalence de la maladie dans la population, car l’observation des épidémies précédentes montre que l’immunité collective ne détermine presque jamais leur évolution. L’enthousiasme pour les tests, toujours peu au point, et non spécifiques, ne repose que sur l’envie du gouvernement de perpétuer la peur, et de nous maintenir dans l’angoisse de nouvelles contaminations. Ils n’ont pas d’intérêt alors que l’épidémie est terminée.

Ne cédez pas à la pression des médias et des autorités pour vous faire ficher ; l’usage du test est devenu une arme politique pour faire croire qu’on s’occupe de son peuple, de sa ville. Il n’a plus aucun intérêt à ce stade de disparition de cette virose.

Le confinement aveugle et policier n’a ni diminué, ni ralenti l’épidémie

Contrairement aux prédictions issues des simulations qui l’ont motivé (Note 6), le confinement policier n’a ni ralenti, ni diminué la propagation de l’épidémie. Plutôt que de croire aux annonces de propagande basées sur les succès virtuels de modélisations biaisées (Note 7) qui encensent cette technique moyenâgeuse et inefficace (Note 8), ou de ceux qui veulent à tout prix se consoler d’avoir été emprisonné sans faute, il faut regarder les faits réels, les faits observés, les faits constatés.

Résultats comparatifs des pays confinés ou non, d’après les chiffres OMS

Les données publiées par l’OMS prouvent que la propagation de l’épidémie n’a été ni retardée, ni amoindrie par le confinement aveugle dans aucun des pays qui l’ont imposé à leur population.

Dans les pays confinés, les évolutions du nombre de contaminations quotidiennes avant et après le verrouillage, ne montrent en effet aucun signe de discontinuité (Note 9), ni dans leurs taux de croissance, ni dans leurs temps de doublement. Cette remarque a été le sujet d’un article bien documenté (Note 10). Ceux qui prétendent que le confinement aurait évité l’accélération, protégeant de fait d’une surcharge des hôpitaux, sont démentis par les faits que démontrent les résultats comparés entre pays voisins de même culture.

Infections cumulées Belgique versus Pays-Bas

Et si on compare la propagation de l’épidémie dans les pays adeptes du confinement autoritaire à la française à celle observée dans les autres pays, on s’aperçoit que le confinement aveugle a été délétère. A titre d’exemple, la comparaison des courbes d’infections cumulées entre la Belgique (confinée) et les Pays-Bas (non confinés), pays proches, suggère que le confinement policier aurait même pu accélérer l’épidémie. En effet c’est dix à quinze jours après le début du confinement belge que la propagation de l’épidémie s’accélère dans ce pays, alors qu’elle reste stable aux Pays-Bas non confinés.

Le bilan médical actuel du confinement aveugle franco-italien appliqué aussi en Belgique et en Espagne est catastrophique

Pour évaluer la balance avantages/risques du confinement, il ne faut pas se baser sur les résultats des simulations (Note 10) qui inventent des morts virtuels, théoriques, mais se baser uniquement sur les faits réels, avérés et publiés.

Mortalités comparées

D’après les données publiées par l’OMS le 30 mai 2020 (note 11), la mortalité directe du Covid19 est beaucoup plus élevée dans les pays qui ont pratiqué le confinement aveugle (sans séparer les porteurs de virus des autres) et autoritaire (avec contrôle policier), que dans ceux qui ont pratiqué la quarantaine ciblée (réservée aux seuls porteurs de virus) et fait confiance à leurs citoyens (conseillés et non astreints à domicile).

Au 29 mai 2020, exprimée par million d’habitants, la mortalité officielle directement liée au Covid19 atteint 810 en Belgique, 621 en Espagne, 548 en Italie et 459 en France, pays adeptes du confinement aveugle et policier, contre 100 en Allemagne, 98 au Danemark et 4 à 7 dans les pays asiatiques démocratiques qui n’ont pas confiné leur population.

En adoptant les mesures sanitaires de l’Allemagne, nous aurions probablement 23.000 morts de Covid19, en moins à déplorer. Et sans aucune mesure sanitaire, à l’instar des Pays-Bas, nous pourrions avoir eu 6.100 morts directes du Covid19 en moins.

Morts de Covid19 ou suspectés, et morts « politiques « liées aux conséquences d’une mesure politique et non sanitaire (note 12)

A ce surplus de mortalité directe lié au confinement aveugle, il convient d’ajouter les victimes collatérales et en particulier les malades souffrant de pathologies chroniques (cancéreux, cardiaques, déprimés) qui ont subi l’arrêt des traitements prévus, arrêt imposé par le plan Blanc (note 13) et les nouveaux malades qui n’ont pas pu être diagnostiqués, ni traités du fait de l’interdiction d’opérer les malades non reconnus urgents par les agences régionales de santé.

Les morts pendant le confinement, et les décès anticipés, non dus au Covid19 mais au retard de soins (note 14)

Depuis le début du confinement, 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer. Même l’académie de chirurgie s’en inquiète dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Plus d’un million d’interventions auraient été déprogrammées, remises aux calendes grecques, puisqu’on ne sait toujours pas quand le véritable déconfinement aura lieu, et que les mesures déjà discutables au début de l’épidémie sont maintenant imposées alors qu’elles sont aujourd’hui devenues complètement inutiles.

De combien de morts supplémentaires ces retards aux traitements seront-ils responsables ? Et cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie (infarctus dont seulement la moitié des malades attendus se sont présentés en consultation), de neurologie (là aussi moitié moins d’accidents vasculaires constatés à l’hôpital), d’endocrinologie, rhumatologie etc. (note 15)

Alors que l’épidémie se termine et que les hôpitaux sont aux trois quarts vides, le plan blanc a interdit jusque récemment aux chirurgiens d’opérer (note 16), blocage maintenu par les agences régionales de santé pour une durée indéterminée et un nombre croissant de victimes supplémentaires. (note 17). L’étau semble se desserrer, mais les cliniques craignent de manquer de produits anesthésiques, alors que les besoins en réanimation sont en grande baisse.

Le bilan médical du confinement devra aussi prendre en compte les complications psychologiques et en particulier les suicides liés à l’astreinte à domicile, aux pertes de salaires et au chômage que constate déjà la presse australienne (note 18, 19 20)et qui pourrait atteindre jusqu’à 150000 victimes aux USA si le déconfinement est trop lent (note 21). Ce bilan n’est pas près d’être terminé.

Les raisons du dramatique échec médical du confinement à la française

Les simulations des prophètes de l’OMS qui ont convaincu de nombreux gouvernements de confiner aveuglément leurs populations ont très largement surestimé le risque réel de la maladie virale et oublié les autres pathologies, le gain espéré de leur mesure et refusé de prendre en compte les complications médicales, sociétales et économiques qui s’annoncent catastrophiques. Nos gouvernants, plutôt que de croire ces prophètes de malheur auraient dû suivre l’exemple des pays asiatiques démocratiques qui ont protégé leurs populations du covid19 et des complications du confinement policier aveugle à la française.

Dans toute l’histoire de l’humanité la lutte contre les épidémies repose sur l’hygiène, la compréhension des modes de propagation des maladies infectieuses, la mise en place de mesures efficaces de désinfection et la séparation des porteurs de germes de la population saine. Ainsi, actuellement le règlement sanitaire international prévoit en cas de peste, l’isolement de tout le groupe de voyageurs, même si une seule personne est touchée, tandis qu’en cas de fièvre jaune ou de choléra, seul l’isolement de la personne atteinte est obligatoire.

Le confinement aveugle de toute une population tel qu’il nous a été imposé est une mesure connue pour être inefficace. En France, elle avait été utilisée pour la dernière fois lors de la peste de Marseille entraînant la mort de la moitié de la population de la ville, sans empêcher la diffusion de la maladie à toute la Provence avec 70.000 victimes supplémentaires. Cette méthode du passé, remise à la mode par la dictature chinoise, a été présentée par le mathématicien -prophète de l’OMS, N Ferguson comme la méthode la plus efficace (note 23 24) de lutte contre l’épidémie.

Mais la simulation de l’Imperial College n’avait apparemment pas envisagé que le confinement d’un adulte malade à la maison (avec seulement du doliprane) constituait le meilleur moyen de contaminer toute la famille, voire les voisins.

Un confinement aveugle sans réflexion

Il eut fallu réfléchir à l’illogisme d’enfermer soignants, policiers ou agents de transport RATP, bus, etc. exposés à de fortes charges virales qui vont et viennent avec leurs familles bloquées à domicile, en milieu clos peu aéré (en raison de la peur transmise sur les médias du vol de virus à travers l’air extérieur, « au-dessus d’un nid de coucous »).

Même si les autorités n’y avaient pas pensé, rien ne les empêchait de rajuster la mise lorsqu’il apparut au début de l’épidémie et la virulence du coronavirus que les soignants étaient les plus rapidement et fortement touchés. D’ailleurs soulignons que les autorités nous ont vanté, tout au long de cet enfermement liberticide accompagné de mesures humiliantes, le modèle de Wuhan. Mais les Chinois, eux, recherchaient avec opiniâtreté les citoyens fiévreux dans les appartements et extrayaient les personnes suspectes pour les isoler rapidement de leur famille.

Nous n’avons retenu que l’autoritarisme chinois, mais moins la logique sanitaire.

Incompétence ou malveillance des ARS ?

Les directions des Agences Régionales de Santé ont imposé aux responsables d’EHPAD de garder les infectés de retour des urgences, y compris après un séjour à l’hôpital où ils avaient été étiquetés Covid19. Ils revinrent sans traitement autre que le doliprane et donc rien ne permettant de faire baisser la charge virale. Ils rejoignirent les autres résidents au moins dans les premières semaines et personne ne s’étonna de la forte contamination chez les ainés, de plus fragiles. N’auraient-ils pas dû comprendre qu’ils favorisaient ainsi la contamination de tous les pensionnaires pourtant les plus fragiles d’entre nous, ceux qu’ils devaient protéger ?

Au-delà du 20 Mars et la circulaire précédent le décret Rivotril du 26 mars (note 24) interdisant le traitement actif des ainés et autorisant l’injection de Rivotril en cas d’insuffisance respiratoire possiblement Covid, les patients ne furent même plus envoyés aux urgences pour préciser le diagnostic. Les habituels infarctus, embolies pulmonaires ou pneumonie bactérienne furent laissés de côté et le résident atteint bientôt euthanasié et étiqueté Covid19.

Que penser du ministre dont les décrets ont interdit la chloroquine soi-disant dangereuse pour prôner le Rivotril à coup sûr mortel en cas de complications respiratoires !

Curieusement, les simulations n’imaginèrent pas non plus que les soignants (qui ne disposaient pourtant pas de protection lors du premier mois de l’épidémie) puissent contaminer leurs malades venus consulter ou leurs voisins dans les transports publics.

Ni que les employés des transports publics et les policiers puissent être contaminés et contaminants parce que non protégés (même interdits de l’être par leur ministre). On entendit ainsi un haut responsable de la santé déclaré à la télévision que les soignants malades s’étaient infectés chez eux !

La sommation de ces erreurs explique que les pays adeptes du confinement strict, mais sans isolement des malades ou des personnes à risque, comme les soignants, comptent davantage de morts que ceux qui ont pratiqué les méthodes médicales éprouvées de l’endiguement (quarantaine) et même que ceux qui n’ont presque rien imposé à leurs populations (Pays-Bas, Suède, Islande).

Le rôle et la responsabilité de l’OMS, ainsi que de Neil Ferguson de l’Imperial College seront à évoquer en détail lors d’une enquête sur le devenir et l’efficacité de nos contributions à cette organisation ainsi qu’à ses publications. La confiance n’excluant pas le contrôle, il sera d’autant plus important de conduire un audit approfondi des recommandations faites par l’OMS qui a ce jour donne plus le sentiment de se comporter comme la FIFA jadis. Verra-t-on le prochain scandale venir des modes opératoires de l’OMS ? FIFA gate, OMS gate ?

Il faudra aussi auditer les décisions publiques autoritaires qui ont été prises en France ont été particulièrement nocives et justifient des enquêtes approfondies (note 25) pour éviter que cela ne puisse se reproduire. Un regard sur la politique italienne de réduction de la mortalité journalière est parlant.

Heureusement, l’épidémie se termine en France comme dans les autres pays d’Europe

Les données publiées par l’OMS montrent que l’épidémie se termine en Europe continentale et en Méditerranée orientale. Depuis la seconde semaine d’avril, le nombre moyen quotidien de nouvelles contaminations a régulièrement diminué ; ce recul atteint 92% en France et dépasse les 85% chez la plupart de nos voisins, même ceux qui présentaient les plus gros chiffres de contaminations depuis le confinement.

La comparaison de l’évolution de l’épidémie en Belgique et aux Pays-Bas, proches par leur situation géographique et leurs modes de vie, est particulièrement frappante et questionne une fois de plus sur l’utilité même du confinement. En effet, les Pays-Bas, qui n’ont pas restreint les libertés publiques, bénéficient de la même régression (83%) de l’épidémie et dans les mêmes délais que la Belgique confinée policièrement après avoir pleuré au total 344 décès par million d’habitants contre 810/1000000 en Belgique.

Il n’y aura pas de deuxième vague (note 26) ou se sera une vaguelette comme pour les autres épidémies

Lors des épidémies virales il n’existe pratiquement jamais de deuxième vague du même virus. Il y a eu précédemment deux épidémies comparables : le SRAS et le Mers et aucune ne s’est exprimée en plusieurs vagues.

Après quelques mois et sans qu’on ne sache pourquoi, l’épidémie s’éteint même si au total peu de personnes ont été immunisées. Contrairement à ce que prétendent les simulations et en particulier celle de Ferguson ou de ses élèves de l’institut Pasteur parisien, ce n’est pas le pourcentage de personnes immunisées qui explique l’arrêt des contaminations.

Le professeur Jean-François Toussaint, lors d’un entretien à la Charente Libre, précise que l’hypothèse d’une deuxième vague est très peu crédible « sur l’analyse dans les 188 pays qui ont déclaré des cas et sur la dynamique évolutive de la maladie ».

Mais certaines épidémies, comme la grippe dont le virus ne dure le plus souvent qu’une saison, reviennent chaque année.

Et jusqu’ici, nous surmontions ces épreuves sans imposer à la population des mesures autoritaires injustifiées et souvent ubuesques qui ont aggravé la situation sanitaire immédiate et impacté l’économie pour plusieurs années.

Le tsunami économique qui nous attend sera pire que celui de 1930

Selon l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques (Note 27), les huit semaines de confinement ont déjà diminué le PIB 2020 de 120 milliards d’euros (soit 5 points de PIB). Les secteurs les plus durement touchés sont ceux des transports, de l’hébergement et de la restauration, la construction et les activités de loisirs et le commerce de détail. En tenant compte du rétablissement ralenti par la persistance incongrue des mesures de déconfinement, l’impact global pour 2020 serait de -10 points de PIB.

D’après l’INSEE, le PIB français diminuerait d’environ 20 % au deuxième trimestre 2020 (après –5,8 % au premier). Ce serait la plus forte récession depuis la création des comptes nationaux français en 1948. Même si l’activité économique revenait intégralement à son niveau d’avant crise dès le mois de juillet, le PIB français diminuerait de 8 % sur l’année 2020, or un retour aussi rapide à la normale semble peu réaliste. L’impact global de la crise sanitaire en 2020 sera donc certainement supérieur à ce chiffre.

L’Organisation Internationale du Travail alerte sur les ravages sanitaires et sociaux de la crise qualifiant l’impact sur l’emploi de profond, d’une grande portée et sans équivalent. 1,25 milliard de travailleurs sont exposés à des licenciements, pertes d’activité et de revenus, du fait du confinement dans le monde.

Comme toutes les grandes crises économiques, celle de 2020 a été baptisée : celle du « Grand Confinement » par Gita Gopinath. Selon les prédictions du FMI, l’économie mondiale va connaître « sa pire récession depuis la Grande Dépression ».

Et lorsqu’on constate que l’étendue (5 817 385 infectés) et la mortalité mondiale (362 705) du Covid19 au 30 mai, se situent dans la fourchette basse des grippes saisonnières (environ 20 millions d’infectés et 290 000 à 550 000 morts), on peut déplorer que les mesures injustifiées pour lutter contre une fausse pandémie aient créé une vraie misère.

En urgence, lever les mesures liberticides inutiles et toxiques

Ces constatations conduisent à demander en urgence aux décideurs de lever les mesures coercitives de confinement encore imposées :

Reprendre les activités scolaires partout, à tous les âges et sans mesure de distanciation ni masques, particulièrement chez les petits très traumatisés par ce théâtre tragique.

Libérer les « EHPAD » dans lesquels nos ainés sont devenus des bêtes de zoo, dans leurs prisons même pas dorées. (Note 28) Signez les pétitions pour accélérer leurs sorties de prison, alors que leur seule faute est le grand âge et/ou la dépendance.

Libérez l’activité économique, dans les cafés, restaurants etc. Ces mesures de distanciation imposées sont grotesques, alors que l’épidémie se termine et bloquent de fait la reprise économique dont le pays a tellement besoin.

Impérativement rendre aux médecins de ville et d’hôpital leur liberté de soigner, en particulier libérer la prescription de chloroquine après le triste feuilleton de l’étude biaisée ou inventée du Lancet et la décision brutale du ministre d’aggraver encore le décret mortifère du 26 Mars.

Abroger les décrets liberticides du 26 mars et sa prolongation injustifiée.

Faire stopper complètement le plan blanc, afin que les chirurgiens puissent reprogrammer leurs patients, les rassurer et finalement les soigner. Le bilan spécifique du plan blanc devra être passé à la loupe, car complètement inutile et extrêmement toxique pour les patients et leurs équipes chirurgicales.

Selon Frédéric Bizard, « l’impact sur le volume de la crise Covid19 a été estimé en chirurgie avec une baisse comprise entre 1,7 million et 2 millions d’actes chirurgicaux, soit une chute du volume comprise entre 25% et 29% selon la date de levée du plan blanc. L’évolution des tarifs a été estimée selon les engagements gouvernementaux de 2019 pour les années 2020 à 2022 en chirurgie. L’impact économique global est compris entre 4,2 milliards d’euros et 5 milliards d’euros de baisse des dépenses de chirurgie pour l’assurance maladie en 2020 ». (Note 29)

Activités médicales interdites pour RIEN ! Tout Covid, rien que Covid

Les lits libérés restèrent vides tant en privé qu’en public, et la surcharge en réanimation jamais soulagée par cette privation générale d’activité, les ARS, encore elles, ayant refusé de transférer les malades dans les lits privés (sauf en IDF dans quelques établissements), préférant jouer à la guéguerre à coups d’hélicoptères, et de TGV avec transferts en France ou à l’étranger. En public, ce fut la même chanson, pas d’autres malades que covid19 sauf urgence extrême. Les internes se sont beaucoup ennuyés pendant deux mois et racontent avec beaucoup d’émotion les pertes de chance de leurs patients « habituels ».

Quant au Ségur (Note 30), il est certain que si l’on en espère quelque chose, il serait impératif qu’il se déroule avec une équipe neuve, sous la houlette d’un ministre non responsable des erreurs récentes avant et pendant la crise sanitaire, et surtout après la prise de position ahurissante du ministre de la santé interdisant la chloroquine sur la foi d’un article complètement caviardé, qu’il ne peut avoir lu, et qui fait de nous la risée du monde entier.

Bien curieux film que la gestion de ce Covid19 qu’aucun scénariste n’aurait osé écrire. Pas crédible !

Notes

Note 1 : Jean-François Delfraissy, le Président du conseil scientifique, a annoncé que « le taux d’immunité de la population française face au coronavirus est plus faible que prévu ».

Note 2 : Simon Cauchemez dans Le Monde « dans tous les cas, on sera très loin des 70 % dont on aurait besoin pour pouvoir faire une sortie du confinement sans problème »

Note 3 : Toute cette propagande de la terreur repose sur des simulations mathématiques dont « l’étude de Pasteur qui a utilisé l’un des meilleurs modèles qui existe actuellement » ; ce modèle prédisait 70000 morts en Suède si elle refusait de confiner. La Suède n’a pas restreint les libertés et ne comptait au 30 mai que 4266 morts soit quatorze fois moins qu’annoncé.

Note 4 : Allez sur réglages, confidentialité, puis santé avec un cœur rouge et là si installée, désinstaller et vérifier régulièrement, sauf si vous souhaitez cette application, mais ce doit être un choix et non pas une manœuvre cachée.

Note 5 : La soi-disant « deuxième vague » de la grippe espagnole était en fait une poussée d’infections bactériennes favorisées par la malnutrition et l’épuisement de la population après l’épidémie de grippe ; une telle complication ne peut plus se reproduire depuis l’arrivée des antibiotiques (sauf si on refusait d’en donner aux patients comme cela s’est passé avec l’injonction Rivotril et rien d’autre, imposée en début d’épidémie de Covid, mais les français se seront réveillés.

Note 6 : www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 7 ripostelaique.com/le-confinement-na-pas-sauve-61-000-vies-mais-i…

Note 8 La dernière fois que cette technique a été utilisée en France au 18ème siècle, elle a abouti à la mort de 50% de la population marseillaise sans empêcher l’extension de l’épidémie à la Provence (70000 morts supplémentaires) et à l’Italie.

Note 9 : Analyse de recherche de changement de tendance (break point analysis) négative = aucune différence sur la vitesse de propagation du virus n’est apparue entre la période d’avant le confinement et pendant le confinement. Le confinement n’a pas ralenti l’épidémie contrairement à trop de racontars sur les TV. Seuls les chiffres font foi.

Note 14 : www.academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/6ef75…

Note 15 : academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/449c6ce34…

Note 16 : www.economiematin.fr/news-ouverture-bloc-operatoire-danger-malades-confi… ?

Note 17 : youtu.be/eay-Txlr-GQ

Hôpitaux & Cliniques : Interdiction d’opérer » Dr Nicole DELÉPINE 16 MAI 2020

Note 18 : www.telegraph.co.uk/news/2020/05/07/australia-fears-suicide-spike-due-virus-shutdown/

Note 19 : www.breitbart.com/health/2020/05/07/report-suicide-rise-from-lockdowns-to-kill-more-than-coronavirus-in-australia/

Note 20 : www.sbs.com.au/news/australia-s-suicide-rate-could-surge-due-to-economic-fallout-of-coronavirus

Note 21 : Petterson, Steve et al. “Projected Deaths of Despair During the Coronavirus Recession,” Well Being Trust. May 8, 2020. WellBeingTrust.org

Note 22 : Présentée comme le technique ‘extinction’ de la maladie dans la simulation du rapport 9 d l’Impérial College

Note 23 : http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 24 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion…

Note 25 : Car il s’agit de récidivistes ; les précédentes simulations de Ferguson sur le Sida, la grippe H1N1, la maladie de la vache folle, l’Ebola ont été toutes aussi fausses, exagérant à chaque fois considérablement les risques

Note 26 : https://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-genese-et-consequences-dune-hys…

Note 27 : Evaluation au 20 avril 2020 de l’impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures de confinement en France”,

Note 28 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/epidemie-terminee-mesures-224795

Note 29 : Et combien d’autres professions impactées : « l’activité chirurgicale génère en amont du geste opératoire de l’activité pour d’autres secteurs (secrétariats médicaux, analyses biologiques, prothèses, masques, produits d’hygiène, activités de recherche…) ainsi qu’en aval (infirmières, aide soignantes, kinésithérapeutes en ville, soins de suite, ambulances, taxis, laboratoires d’anatomopathologies…). »

Note 30 : http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-contes-de-segur-revus-et-…

 de nombreux commentaires méritent lecture :  par exemple en copie  sur le site Les 7 du Québec
savoureux  message de Nadine le 13 juin 20

 

« En résumé, il y a eu sur-réactions en chaîne, en sacrifiant l’activité du pays au risque … épidémique.
A noter, le mutisme absolu de l’opposition.

1° – La crainte d’une épidémie ?
Non, même si les architectes de l’ordre mondial et leurs partisans l’ont possiblement lorgnée.

2° – Sur-réactions des autorités ?
Non plus, hors divagations significatives…

– 13 janvier 2020 – En l’absence de données scientifiques sur le sujet (!), Jérome Salomon, directeur général de la santé, par délégation pour Agnès Buzyn (dont l’incompétence fût patente et dangereuse), classe de facto l’hydroxychloroquine « sur la liste II des substances vénéneuses ».

19 février 2020 – Macron a décidé de manifester sa solidarité avec le peuple chinois confronté au coronavirus, et annonce l’envoi de 17 tonnes de matériels médicaux (masques, gants, produits désinfectants, combinaisons médicales de protections) à destination de Wuhan. Avec, entre autres, l’appui du groupe LVMH selon France Diplomatie.

– 26 février 2020 – autorisation du match de football O.L/Juventus, au Groupama Stadium à Décines (15 km de Lyon).
Avant de rejoindre le stade, une dizaine de milliers de supporters turinois (bien plus que les 3 000 attendus) se sont baladés toute l’après-midi dans les rues de Lyon, à un moment où la Lombardie, notamment, était déjà particulièrement affectée par le coronavirus.

– 6 mars 2020 – Sortie médiatisée de Macron et Brigitte au théâtre Antoine à Paris.
La pièce « Par le bout du nez » met en scène un tout nouveau président qui, pris d’une démangeaison nasale alors qu’il doit prononcer son discours d’investiture, est contraint de consulter un psychiatre.
Voilà qui laisse songeur …
Selon des témoins, Macron aurait alors déclaré : « La vie continue. Il n’y a aucune raison, mis à part pour les populations fragilisées, de modifier nos habitudes de sortie ».

11 mars 2020 – Tweet Emmanuel Macron @EmmanuelMacron :
« Nous ne renoncerons à rien.
Surtout pas à rire, à chanter, à penser, à aimer. Surtout pas aux terrasses, aux salles de concert, aux fêtes de soir d’été… ».

Cocaïné le président … ?

– 15 mars 2020 – 1er tour des municipales.
Macron, Levy, Buzyn, Philippe et tant d’autres savaient, et auraient choisi de se taire ?

– 15 mars 2020 – Après être allée voter, sortie médiatisée de Brigitte Macron sur les quais de Seine à Paris. Masquée et accompagnée de ses gardes du corps, elle saluait les badauds en leur demandant de « rester à distance respectable ».
La mise en scène n’a pas de secrets pour une ancienne prof de théâtre.

– 17 mars 2020/12:00 – ordre de confinement généralisé de la population.

Aucun problème pour d’éventuelles suites ou poursuites. Dans un grand élan de solidarité parlementaire, les apôtres du confinement se sont auto immunisés … contre la justice.

On ne peut donc que noter l’absence de risque épidémique.

3° – Vent de panique ?
Non. Sauf réactions politiques inappropriées, l’inavouable étant de justifier l’effondrement de l’économie par le confinement, lequel effondrement – épidémie ou pas – se serait de toute façon matérialisé suite à la gestion vereuse et calamiteuse du pays depuis des dizaines d’années.
Miracle, c’est la faute au coronavirus ! Il arrive à point nommé celui-là.

– 21 mars 2020 – Sur LCI, le professeur Christian Perronne (PU-PH) alerte sur la disparition totale des stocks d’hydroxychloroquine en France.

21 mars 2020 – Mise en scène sur mesure pour E. Macron. Montage d’une structure hospitalière (militaire) de campagne à Mulhouse. Capacité initiale « 30 lits réanimation » aussitôt passée à 20 lits.
Opérationnelle le 24 mars 2020, en partie démontée dès le 17 avril 2020, matériels/lits/respirateurs retirés le 22 avril 2020.
Sans parler du coût d’une telle prestation, de qui se fiche-t-on ?

– 22 mars 2020 – Communication navrante et inopportune d’Ursula von der Leyen, présidente de l’UE, via une vidéo à destination des peuples européens, où elle se met en scène dans une séquence de lavage des mains.
« Inopportune » dans la mesure où l’UE a été la grande absente dans cette crise dite « sanitaire ».
L’infantilisation dans la communication n’est pas de bonne augure.

– 27 mars 2020 – Les médecins généralistes ne sont plus autorisés à prescrire l’hydroxychloroquine. On se demande bien pourquoi ?
Il apparaît choquant que c’est l’Ordre des Médecins qui est à la manoeuvre alors que cette Institution est responsable des déserts médicaux en France.
La non indépendance du CNO (Conseil National de l’Ordre), et en particulier de son Président, par rapport à certaines « influences » est mise en cause.

– Parallèlement à une tension due au manque d’approvisionnements en Plaquenil (dérivé hydroxychloroquine), les pharmaciens ne peuvent plus vendre ni masques ni tests. Pourquoi ?

Les cliniques privées ne peuvent pas accueillir les malades du civil (3 000 lits sont restés inoccupés). Pourquoi ?

– Les pensionnaires contaminés dans les EHPAD avaient droit au Rivotril, avec le succès qu’on lui connaît.

– 8 avril 2020 – Castaner, ministre de l’Intérieur, affirme devant la Commission du Sénat qu’il n’y a « pas eu de réquisition, ni par l’armée ni par qui que ce soit » des masques commandés par la région Bourgogne-Franche-Comté.

– 10 avril 2020 – Suite à la plainte pour réquisition de masques à l’aéroport de Bâles/mulhouse , Castaner reconnaît les faits. Inutile de poursuivre dans le parjure, les documents confirmant cette « réquisition » commencent à sortir. Mensonge d’Etat avéré, sans conséquence aucune pour son auteur.

– 24 avril 2020 – Suite à la polémique, le Ministère des Armées reconnaît « avoir acheté, par précaution, un stock important de chloroquine … à la Chine ».
Étrange explication, d’autant que cette molécule avait été classée « vénéneuse » en … 1999, ce qui avait entraîné de facto la même issue pour l’hydroxychloroquine en janvier 2020.

– 18 mai 2020 – L’attitude plus que déconcertante de l’OMS dans cette affaire, ses stratégies divergentes, le vaccin « obligatoire » pour tous, sèment le trouble quant aux réelles compétences de ses membres et à l’occulte dépendance de l’Institution aux lobbies pharmaceutiques.

– 26 mai 2020 – La très sérieuse revue médicale « The Lancet » y est allée de sa plume, et a publié – avant de se rétracter le 4 juin suivant – une étude falsifiée dans laquelle le ministre de la santé Olivier Veran a foncé tête baissée pour justifier l’interdiction de l’hydroxychloroquine.
Bien synchronisé ce coup là !

– 2 juin 2020 – Appli Stop Covid19. Tester la population et voir si elle se soumettait aux mesures liberticides imposées.

Demander aux peuples de la rigueur dans la gestion financière, pour mieux relancer l’économie, alors que ces mêmes prophètes étaient, et sont encore aux premières loges pour accélérer la débâcle, est d’un cynisme abyssal.
Nous sommes gouvernés par des imposteurs et le masque est devenu muselière.
Le rideau de fumée commence à piquer les yeux. Ce n’est plus de masques qu’on a besoin, mais de lunettes.

En résumé, il y a bien eu « conspiration ».
Libre à ceux qui veulent croire à la fable de la chauve-souris et du pangolin. »

 

 

 

Analisis Epidemia COVID 19 España  slides diaporama

 

Gérard Delépine es oncólogo, cirujano ortopédico y estadístico en el Hospital Raymond Poincaré de París (hoy jubilado). Ha desarrollado métodos quirúrgicos innovadores para tratar los tumores óseos y de los tejidos blandos. Su equipo en la Unidad Pediátrica Oncológica (POU) ha alcanzado una reputación internacional por combinar quimioterapia avanzada individualizada y cirugía conservadora. Junto con su esposa, la Doctora Nicole Delépine, pediatra y oncóloga, es autor e 3 libros y de más de 100 artículos de prensa.

 

 

 

 

Tasa de letalidad COVID-19 en las cárceles francesas:

-Las cárceles son un lugar de promiscuidad y no de confinamiento (en el patio los detenidos se abrazan, escupen al hablar cuando se enfadan, no respetan las distancias de seguridad).

-Por lo tanto en las cárceles, la epidemia de COVID-19 debería propagarse rápidamente

-El 03/04/2020 según estudio publicado sobre las 60.000 presos en las cárceles francesas:

48 presos testados positivos, 687 sintomáticos, o sea un total de 735 infectados y 3 muertos

lo que representa un tasa de letalidad de 3/735 = 0,4%

Tasa de letalidad COVID-19 España según datos oficiales OMS al 23/05/2020:

Infectados : 234.823   Fallecidos : 28.628

lo que representa una letalidad de 28628/234823 = 12,2% que NO es real

  (se han testado sólo los sintomáticos que acudían a urgencias y se ha aumentado ficticiamente el   número de muertos por COVID-19)

Tasa letalidad Gripe estacional en España 2018/2019:

-En la temporada de Gripe estacional Otoño-Invierno 2018-2019 según datos CSIC en España :

525.000 infectados, 6.300 fallecidos

lo que representa una letalidad de 6300/525000 = 1,2%

 

 

 

Ultimas análisis realizadas en Francia por médicos según datos de campo en Francia 10/05/2020 :

-Para los menos de 30 años sin patologías asociadas, el riesgo de morir de COVID-19 es prácticamente nulo

-Para los menos de 50 años sin patologías asociadas (obesidad, diabetes, hipertensión, cáncer, etc.), el riesgo es bajo

-El riesgo de fallecimiento es alto para los más de 70 años (85% de los fallecimientos en Francia)

Tasa contagio en el cárcel “La Santé” en Francia al 29/04/2020 :

Presos : 870   Infectados : 6     Fallecidos : 0

lo que representa una tasa de contagio de 6/870 = 0,7%

  lo que sugiere una tasa de contagio baja

Tasa contagio en España al 23/03/2020 :

Infectados : 234.823 (OMS)     Población : 46.940.000

lo que representa una tasa de contagio de 234823/46940000 = 0,5%

  Si suponemos que en realidad el número de infectados es el doble :

tasa de contagio de 469646/46940000 = 1% que sigue siendo bajo y similar a la gripe estacional

Tasa contagio en España gripe estacional Otoño-Invierno 2018-2019 :

Infectados : 525.300 (CSIC)     Población : 46.940.000

lo que representa una tasa de contagio de 525300/46940000 = 1,1%

 

 

« On trouve des lésions cancéreuses au niveau de la prostate chez la plupart des hommes qui n’ont aucun symptôme et n’en auront jamais.
Les études épidémiologiques internationales montrent que le dépistage du cancer de la prostate ne permet pas de réduire la mortalité des hommes qui s’y soumettent et aucune organisation de santé ne promeut le dépistage du cancer de la prostate.
Malgré cela, les urologues ainsi que les médecins généralistes qui n’ont pas cherché à remettre en question la propagande des urologues continuent à recommander le dépistage du cancer de la prostate.

Dans cette vidéo, le cancérologue et chirurgien Gérard Delépine nous explique pourquoi le dépistage du cancer de la prostate est un problème et pourquoi même dans le cas (peu fréquent) d’un cancer de la prostate évolutif, les traitements ne sont pas efficaces pour ralentir la maladie, et au mieux palliatifs.


Retrouve cette vidéo et l’article complet sur le  blog  du réalisateur de la vidéo : https://www.jeremie-mercier.com/depis… « 

 

« https://www.youtube.com/watch?v=N7jKp26YGDI

« Le Gardasil censé prévenir l’apparition du cancer du col de l’utérus DOUBLE en fait le risque de déclarer ce cancer chez les jeunes femmes vaccinées.

Les autorités sanitaires françaises veulent rendre ce vaccin obligatoire en dépit des données scientifiques alarmantes que l’on découvre en analysant les registres du cancer des grands pays où la couverture vaccinale est très élevée (Suède, Norvège, Royaume-Uni, Australie).

Découvrez pourquoi les vaccins Gardasil® et Cervarix® sont un danger pour la santé et pourquoi vous devriez refuser ce vaccin anti-HPV et demander au gouvernement français de ne pas le rendre obligatoire en lisant le livre de Nicole et Gérard Delépine :  » Hystérie vaccinale: Vaccin Gardasil et cancer: un paradoxe  » par Jérémie Mercier
https://amzn.to/32Ypgft

diaporama K foie 2019 – 7 juin 2019  

cliquez sur le lien pour découvrir le diaporama

 

 

Résultats cancérologiques du vaccin anti-hépatite B

 

 

mise au point JUIN  2019

 

Par Gérard Delépine chirurgien cancérologue et statisticien

 

gerard.delepine@bbox.fr

 

Introduction Parmi les cancers liés à la présence de virus, le cancer primitif du foie[1] occupe une place pionnière, car il a été le premier visé par une tentative de prévention par un vaccin. Cette étude vise à en évaluer les résultats avec plus de 20 ans de recul.

 

Méthodes. Interrogation par internet des registres des cancers des pays qui ont organisé de larges campagnes de vaccination et comparaison aux taux de couverture vaccinale et à l’incidence des infections HBV de 1991 à la dernière estimation publiée (2014 à 2016). Les variations d’incidence (nombre de nouveaux cas annuels pour 100000 femmes) ont été testées par le coefficient de corrélation (CC)

Résultats. Six pays sont actuellement analysables : Taiwan, Australie, Grande Bretagne ,USA, Canada, France

 

Le miracle de Taïwan et les folles illusions 

 

L’espoir que le vaccin anti-hépatite B puisse prévenir le cancer est basé sur l’expérience de pays asiatiques, et en particulier de Taiwan. Dans cette île, la vaccination systématique des nourrissons, débutée en 1984, a entraîné une baisse spectaculaire de l’incidence du cancer du foie chez l’enfant, atteignant près de 50% chez l’enfant de 6 à 14 ans et même 75% chez ceux âgés de 6 à 9 ans, avec baisse concomitante de la mortalité[2] [3].

 

Mais parallèlement, l’incidence du cancer du foie chez les personnes de plus de 14 ans a doublé entre 1981 et 1992 et, sur l’ensemble de la population, la mortalité par cancer du foie a augmenté passant de 30/100000 en 1986 à 40/100000 en 1997 et 47/100000 en 2012.

 

En Chine, en Thaïlande et à Singapour, les campagnes de vaccination ont été suivies d’évolutions similaires chez les enfants.

 

PROMOTION MONDIALE SUR INTERPRETATION ERRONEE POUR L’ADULTE A PARTIR DES RESULTATS DES NOURISSONS

 

La diminution des cancers primitifs du foie observée chez les enfants de Taiwan et de Thaïlande[4] a servi d’argument pour une campagne de promotion mondiale intense de vaccination, négligeant ses résultats inquiétants chez les adultes, et les différences majeures entre les situations épidémiques des populations asiatiques et celles des pays occidentaux.

 

En Asie, la prévalence de l’infection virale était très élevée et son mode de transmission principalement vertical et précoce (de la mère à l’enfant lors de l’accouchement), alors qu’en Occident, l’incidence était faible et la transmission, horizontale et tardive (à partir de l’adolescence par voie sexuelle ou sanguine), le risque de cancer hépatique se concentrant sur les adultes[5].

 

DIFFERENCES IMPORTANTES ENTRE POPULATIONS

 

Sans [6]compter les différences d’habitudes alimentaires, l’exposition aux toxiques (aflatoxines) et les prédispositions génétiques pouvant favoriser certaines maladies.

 

Ce qui a été un succès pour les enfants de Taiwan, a pu malheureusement aboutir à un échec cuisant pour les adultes des pays industrialisés peuplés d’occidentaux.

 

 

RESULTATS A LONG TERME (25 ans) DES LARGES CAMPAGNES DE VACCINATION

 

Près de 25 ans sont passés depuis le début des campagnes de vaccination, et un premier bilan objectif peut être tiré des points de vue infectieux et cancérologique.

 

Comme pour le vaccin anti HPV (gardasil ), la discordance entre efficacité contre l’infection et nocivité pour le cancer est frappante. Ces constatations devraient susciter beaucoup de réflexion et de travaux de chercheurs à l’échelle mondiale.

 

Contre l’infection, les campagnes de vaccination contre l’hépatite B ont été très efficaces, entraînant une baisse spectaculaire de l’incidence des hépatites aigues : 90% aux Etats-Unis (passant de 10.8 en 1990 à 0.9 en 2014)[7], 62% en Italie (de 5,4 en 1990 à 2 en 2000), plus de 80% en Allemagne[8].

 

Au Canada, où la stratégie vaccinale a été similaire à celle mise en place aux Etats-Unis, le taux d’incidence de l’hépatite B aiguë en 1998-99 a été estimé à 2,3 pour 100 000, selon les données du Registre national des maladies à déclaration obligatoire.

En France, chez les femmes enceintes, la prévalence du portage de l’antigène de l’hépatite B (AgHBs) a été estimée à 0,41 %. Chez les donneurs de sang, la prévalence de l’AgHBs est passée de 5,3 pour 100 000 en 1991 à 1,8 pour 100 000 en 2003.

 

 

INFECTION ET CANCER, DES DESTINS OPPOSES

 

Les succès considérables du vaccin contre l’infection ont suscité l’espoir d’une réduction comparable de l’incidence des cancers du foie. Mais contrairement aux espoirs et aux affirmations de l’INCa et du ministère, la vaccination dans les pays occidentaux n’a pas entraîné une diminution de l’incidence du cancer du foie, mais au contraire une augmentation considérable de celle-ci.

 

Ainsi, en Grande-Bretagne entre 1993 et 2015, l’incidence du carcinome hépatique a été multiplié par 2.5 [9]

 

En Australie, l’incidence et le taux de mortalité standardisés par cancer du foie ont triplé en trente ans (de 2 /100000 en 1980 à 6 en 2013[10].

 

Aux USA, le vaste plan d’éradication de l’hépatite virale, débuté en 1991, a abouti au triplement de l’incidence des cancers du foie celle-ci atteignant 14/100000 en 2015.[11]

Parallèlement, le taux de mortalité aux États-Unis a augmenté de 40% entre 1990 et 2004 et continue d’augmenter.

 

Au Canada, entre1992 et 2012, l’incidence des cancers du foie a plus que triplé, passant de 2.0 en 1970 à 6.2 en 2007 et 9.9 en 2017 chez les hommes. Les taux de mortalité par cancer du foie ont également augmenté davantage chez les hommes (2.8% par an) que chez les femmes (1.7% par an)[12].

 

En France, la vaccination anti-hépatite B a été suivie d’une augmentation considérable de l’incidence du cancer du foie (3,2 % par an), aboutissant à doubler son incidence en 20 ans (de 6.8 pour 100000 en 1995 à 13,4 en 2017[13]). Pourtant, pendant cette période, la consommation d’alcool, principale cause de ce cancer, a régressé considérablement.

 

ESTIMATION GLOBALE MONDIALE

Du point de vue cancérologique, la généralisation de la vaccination contre l’hépatite B a été paradoxalement suivie d’une augmentation sans précédent de l’incidence du cancer du foie.

Au niveau mondial, depuis la vaccination, l’incidence et la mortalité par cancer du foie ont, en moyenne, triplé dans les régions dans lesquelles elles étaient faibles, telles que les Amériques et l’Europe.

Et cette augmentation considérable, parfois même comparée à un tsunami[14], ne peut guère être attribué au tabac ou à l’alcoolisme, car ces deux intoxications ont fortement diminué durant cette période. Certes la prévalence de l’hépatite C, de l’obésité et de la stéatose non alcoolique ont augmenté, mais dans des proportions incapables d’entraîner une augmentation d’une telle rapidité et d’une telle ampleur. De plus les chronologies respectives des augmentations des hépatite C et des HCC cadrent mal avec cette hypothèse. Il est admis qu’il faut en moyenne 20 ans entre l’hépatite et l’apparition du cancer post hépatite. La prévalence de l’hépatite C n’a augmenté qu’à partir des années 80 aux USA et 1990 en Europe pouvant ainsi partiellement expliquer une augmentation des HCC à partir de 2000 aux USA et 2010 en Europe mais pas avant 2000

 

On peut s’étonner que cet échec cancérologique cuisant n’ait pas suscité d’études en vue de l’expliquer et regretter que ces données scientifiques indiscutables et publiques, n’aient pas été prises en compte par le ministère de la santé et les parlementaires, lorsqu’ils ont voté la loi d’obligation vaccinale en décembre 2017, incluant ce vaccin dangereux.

 

Comme le disait Montaigne : « Quelle vérité que ces montagnes bornent, qui est mensonge au monde qui se tient au-delà ».

 

L’obligation d’un vaccin censé prévenir un cancer sans aucune preuve de sa capacité à atteindre son but constitue une expérimentation médicale sur la population susceptible de menacer sa vie, car les chances de guérison après ce cancer restent faibles, malgré les quelques progrès des deux dernières décennies. Et cette expérimentation s’est d’ores et déjà révélée dangereuse.

En attendant les résultats d’études indépendantes sur les raisons de cet échec cancérologique cuisant de la vaccination contre l’hépatite B, le principe de précaution exigerait de ne plus imposer ce vaccin à l’ensemble de la population.

 

 

[1] Par opposition aux métastases de cancers venus d’autres organes. La forme anatomopathologique la plus fréquent est le carcinome hépatique.

[2] Huang K, Lin S. Nationwide vaccination: a success story in Taiwan. Vaccine. 2000 Feb 18;18 Suppl 1:S35-8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10683542

[3] Chang MH et al. Universal hepatitis B vaccination in Taiwan and the incidence of hepatocellular carcinoma in children. Taiwan Childhood Hepatoma Study Group. New England Journal of Medicine, 1997, 336:1855–1859 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9197213

[4] Wichajarn K, Kosalaraksa P, Wiangnon S. Incidence of hepatocellular carcinoma in children in Khon Kaen before and after National Hepatitis B Vaccine Program. Asian Pac J Cancer Prev. 2008; 9:507–9. [PubMed: 18990029] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18990029

[5] Mast E, Mahoney FJ, Kane M, Margolis H. Hepatitis B vaccine. In Plotkin SA, Orenstein WA.“Vaccines”,Saunders Ed, Philadelphia, 2004: pp 299-337.

[6] Centers for Disease Control and Prevention Surveillance Summaries mortality and morbidity weekly report sMay 22, 2009 / Vol. 58 / No. SS-3 www.cdc.gov/mmwr

[7] Nelson NP, Easterbrook PJ, McMahon BJ.Epidemiology of Hepatitis B Virus Infection and Impact of Vaccination on Disease. Clin Liver Dis. 2016 Nov;20(4):607-628. doi: 10.1016/j.cld.2016.06.006. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27742003

[8] Nienhaus A Infections in Healthcare Workers in Germany-22-Year Time Trends. Int J Environ Res Public Health. 2018 Nov 26;15(12). pii: E2656. doi: 10.3390/ijerph15122656. https://www.mdpi.com/1660-4601/15/12/2656

[9] Cancer Research United Kingdom Liver cancer incidence statistics

https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/liver-cancer/incidence

[10] https://liver-cancer.canceraustralia.gov.au/statistics

[11] Hashem B El-Serag, Fasiha Kanwal Epidemiology of Hepatocellular Carcinoma in the United States: Where Are We? Where Do We Go? Hepatology. 2014 November ; 60(5): 1767–1775 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24839253

[12] L. Kachuri, MPH (1); P. De, PhD (1, 2); L. F. Ellison, MSc (3); R. Semenciw, MSc Cancer incidence, mortality and survival trends in Canada,1970–2007

https://www.canada.ca/content/dam/phac-aspc/migration/phac-aspc/publicat/hpcdp-pspmc/33-2/assets/pdf/CDIC_MCC_Vol33_2_3_Kachuri_E_69.pdf

[13]Jéhannin-Ligier K, Dantony E, Bossard N, Molinié F, Defossez G, Daubisse-Marliac L, Delafosse P, Remontet L, Uhry Z Projection de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017 http://invs.santepubliquefrance.fr/Publications-et-outils/Rapports-et-syntheses/Maladies-chroniques-et-traumatismes/2018/Projection-de-l-incidence-et-de-la-mortalite-par-cancer-en-France-metropolitaine-en-2017

[14] https://theconversation.com/doctors-are-drowning-in-a-tsunami-of-liver-disease-and-cancer-98061

 

PARADOXICAL EFFECT OF ANTI-HPV VACCINE GARDASIL ON CERVICAL CANCER RATE

State of published results in registers,  on January 2019

Dr G Delépine, oncologist, surgeon

gerard.delepine@bbox.fr

 

 

“How wonderful that we have met with a paradox. Now we have some hope of making progress”. Niels Bohr (Nobel prized for his works on the structure of the atom and chemical reactions )

 

 

Changing the natural history of cancer that increases in frequency and occurs faster.

It takes a long time to affirm that a preventive action really protects. But the failure of this supposed protection can sometimes be very quickly obvious. To prove that the Titanic was truly unsinkable would have required decades of navigation on the most dangerous seas of the world. Demonstrating that it wasn’t, took only a few hours … This  » Titanic  » demonstration is unfortunately reproduced by the Gardasil vaccination.

Evidence that vaccination increases the risk of invasive cancer can be rapid, if the vaccine changes the natural history of cancer by accelerating it. The analysis of trends in the incidence of invasive cervical cancer published in official statistics (registers) was studied in the first and most fully vaccinated countries (Australia, Great Britain, Sweden and Norway). Unfortunately, it’s the case for HPV vaccines.

 

Pre-vaccination period : spectacular success of cervical smear screening with a steady decrease in the rate of invasive cervical cancer.   

In all countries that performed smear screening, the pre-vaccination period from 1989 to 2007 was marked by a significant decrease in the standardized incidence of cervical cancer.

In less than 20 years, the incidence of invasive cancer of the cervix decreased from :

13.5 to 9.4 n Great Britain [1]

13.5 to 7 in Australia[2] ,

11.6 to 10.2 in Sweden [3],

15.1 to 11 in Norway [4],

10.7 to 6.67 in the USA [5],

11 to 7.1 in France.

Globally, in the countries that used smear screening, the average annual rate of decline was 2.5% between 1989 and 2000 and 1% between 2000 and 2007, resulting in a total decrease of nearly 30% across 1989-2007.

 

Era of vaccination: reversal of the trend. Gardasil’s prevention failure erases the beneficial effects of the smear and accelerates the onset of cervical cancer. 

 

Since vaccination, in all the countries implemented with a large vaccination program, there is a reversal of the trend, with a significant increase in the frequency of invasive cancers in the most vaccinated groups. Let’s look at OFFICIAL sources.

 

AUSTRALIA : contrary to the FAKE NEWS OF THE MEDIA AND POLITICS, REGISTER DOES NOT SHOW CANCERS OF THE CERVIX DISAPPEAR, BUT INCREASE.

Australia was the first country to organize routine immunization for girls (April 2007 school-based program for females aged 12–13 years, July 2007 time-limited catch-up program targeting females aged 14–26 years) and then for boys (2013).. According to the last Australian Institute of Health and Welfare publication (2018 publication describing the detailed rates until 2014 ) [6] , the standardized incidence in the overall population has not decreased since vaccination 7/100000 in 2007 versus 7.4 in 2014.

This global stabilization results from two contradictory trends that only appears by examining trends, according to age groups.

Vaccinated age groups women have seen their risk increase:

100% increase for those aged 15 to 19 (from 0.1 in 2007 to 0.2 in 2014)

113% increase (from 0.7 to 1.5) in groups aged 20 to 24 more than 80% of them were catch up vaccinated when 13 to 17 years old.

But, as the figures are very small, this increase does not reach statistical significance.

About a third increase for 25-29 group (from 5.9 to 8 ,p=0.06) and for 30-34 (from 9.9 to 12.4 c=0.80 p=0.01) less vaccinated. These increases are statistically significant cannot be due to hazard.

 

A drama known to one top athlete  Sarah Tait

This increased risk of cancer following vaccination was dramatically illustrated by the sad story of Sarah Tait, olympic rowing champion, at the 2012 London Olympics. This champion saw her life shattered in full glory : she suffered invasive cervical cancer a few years later, being vaccinated and died at age 33. Of course, we don’t know if vaccination was the direct cause of her cancer, but she has, statistically, a one in two chances of having suffered from a cancer linked to vaccination (to be part of the 113% increase of cancer observed after vaccination). In addition, we remark that cancer appears very early in this woman.

 

Non vaccinated women continue to benefit from screening with pap smear

During the same period, older women (and therefore unvaccinated) saw their cancer risk decrease significantly:

less 17% for women aged 55 to 59 (from 9.7 to 8.1),

less 13% for women aged 60 to 64 ( from 10.3 to 8.9),

less 23% for those aged 75 to 79 (from 11.5 to 8.8)

and even less 31% for those aged 80 to 84 (from 14.5 to 10).

 

GREAT BRITAIN : THE PARADOXICAL EFFECT OF GARDASIL PROMOTING CANCER

In UK, a national program was introduced in 2008 to offer HPV vaccination routinely to 12–13-year-old and offer catch-up vaccination to girls up to 18 years old. The UK national program initially used the bivalent HPV vaccine (Cervarix), but, changed in 2012 to use the quadrivalent vaccine (Gardasil). HPV vaccination coverage in England has been high with over 80% of 12–13 years old receiving the full course coverage. The catch-up cohort has been lower covered (ranging from 39% to 76%).

Since the vaccination, the standardized incidence in the overall population increased from 9.4 per 100000 in 2007 to 9.6 in 2015. We observe contrasting trends between the age groups.

Vaccination promoters expected cervical cancer rates decrease in women aged 20 to 24 from 2014, as vaccinated adolescents enter their second decade. However, in 2016, national statistics showed a sharp and significant increase in the rate of cervical cancer in this age group. This information of 2016 has unfortunately not been publicized. They could have served as an alert.

Women aged between 20 and 25 years, vaccinated for more than 85% of them, when they were between 14 and 18 years old, have seen their cancer risk increase by 70% in 2 years (from 2.7 in 2012 to 4.6 per 100,000 in 2014 p = 0.0006) and those aged 25 to 30, ( aged between 18 and 23 at the time of the vaccination campaign)  have seen their cancer risk increase by 100% between 2007 and 2015[7] (from 11 / 100,000 to 22 / 100,000 ).

Women 25 to 34 years, (less vaccinated, only exposed to some catch-up vaccinations), have seen their risk increased by 18% (from 17 in 2007 to 20 in 2014).

In Great Britain, as in Australia, older, unvaccinated women have seen their risk decrease:

( -13% for women aged 65 to 79 and -10% for those over 80 ), most likely because continuation of smear screening.

 

 

SAME PARADOXICAL PHENOMENON OF GARDASIL IN SWEDEN : THE RATE OF CANCER INCREASES IN THE VACCINATED AGE GROUPS . ALERT!

In Sweden, Gardasil has been used since 2006. The vaccination program was rolled out in 2010, with vaccination coverage of 12-year-old girls approaching 80%. In 2012-2013, with a catch-up program, almost all girls aged 13 to 18 were vaccinated.

In this country, the standardized incidence of cervical cancer in the global population has increased steadily since vaccination from 9.6 per 100000 in 2006 to 9.7 in 2009, 10.3 in 2012 and 11.49 in 2015[8]. This increase is mostly due to the increase in the incidence of invasive cancers among women aged 20-24 whose incidence doubled ( from 1.86 in 2007 to3.72 in 2015 p<0.001)[9] and in women aged 20 to 29 the incidence of invasive cancer of the cervix increased by 19% (from 6.69 to 8.01)

In contrast, as in Australia and Great Britain, a decrease in the incidence of invasive cancer has been observed in women over 50, a group that has not been included in the vaccination program. The incidence of invasive cancer of the cervix decreased between 2007 and 2015 by 6% for women aged 50 to 59 (from 14.24 to 13.34), and 4% for those aged 60 to 69 (12.63%). at 12.04,) 17% for those aged 70 to 79 (from 15.28 to 12.66) and 12% for those over 80 (from 15.6 to 13.68).

 

 

IN  NORWAY

Cancer registry shows an increase in the standardized incidence of invasive cancer of the cervix from 11.7 in 2007 to 12.2 in 2009, 13.2 in 2012 and 14. 9 2015 [10].

This increase is due -almost exclusively- to young women, which include all vaccinated, as evidenced by the sharp decline of the average age of onset of the cervix cancer from 48 years in 2002 -2006 to 45 years in 2012-2016.

 

Between 2007 and 2015 , the incidence of invasive cervical cancer increased by 8% among women aged 20 to 29 (from 7.78 to 8.47)[11].

 

During the same period, a decrease in the incidence of invasive cancer was observed in older women, not involved in the vaccination program: -11% for women aged 55 to 64 (15.47 to 13.7), -16% for those aged 65 to 74 (17.7 to 14.71) and -29% for those aged 75 to 85 (18.39 to 13) .

 

In USA

 

In this country, vaccination coverage is lower than in previous countries (close to 60%).

According to the Cancer Statistics Review 1975-2015[12], the standardized incidence of invasive cervical cancer remains stable(+0.1) since vaccination.

 

In US, the same discrepancy is observed according to age groups, but of lesser amplitude. Women over 50, benefit a 5% decrease in their risk (from 10.37 per 100000 in 2007 to 9.87 in 2015), whereas younger women, which include vaccinated, have given their risk increase of 4% (5.24 in 2007 to 5.47 in 2015).

 

 

WITNESS COUNTRY: FRANCE 

The evolution of these countries, with high immunization coverage, can be compared to the trend observed in metropolitan France, where HPV vaccination coverage is very low (around 15%). France can be considered, for this reason, as a control country. In France[13] the incidence of cervical cancer has steadily decreased from 15 in 1995 to 7.5 in 2007, 6.7 in 2012 and 6 in 2017, much lower than those of countries with high vaccine coverage.

This decrease in incidence was accompanied by a decrease in mortality from 5 in 1980 to 1.8 in 2012 and 1.7 in 2017.

It is paradoxical and very worrying that these excellent French results, with low cervix cancer rate and low related mortality, could be jeopardized by an obligation considered in the short term by our policies, for some misinformed and other big pharma links[14].

 

DRAMATIC AND UNEXPECTED PARADOXICAL EFFECT OF GARDASIL: THE ALERT MUST BE GIVEN TO DECISION MAKERS AND THE MEDIA. 

In all countries that achieved high HPV vaccination coverage, official cancer registries show an increase in the incidence of invasive cervical cancer. 

For women under 20, the crude number are to small to reach statistical significance, but the similar increases in all the studied countries constitutes a strong alarm signal.

For women 20-30 the incidence increases after catch up vaccination, and is highly significant (p<0.01or 0.001). In these same countries, during the same period, older women, not vaccinated, have seen their risk of cervical cancer continue to decline.

Similarly, in metropolitan France, a country with low vaccination coverage, the incidence of cervical cancer continues to decline at a rate comparable to the pre-vaccination period.

These paradoxical results plea for a rapid revision of recommendations and intensive research to explain this catastrophic issue.

 

 

[1] Cancer Research UK, Cervical Cancer (C53): 1993-2015, European Age-Standardized Incidence Rates per 100,000 Population, Females, UK Accessed 08 [ 2018 ].

[2] AIHW [2]. 13. AIHW 2017. Cancer in Australia 2017. Cancer series no. 101. Cat. No. CAN 100. Canberra: AIHW.

[3] NORDCAN, Association of the Nordic Cancer Registries 3.1.2018

[4] Bo T Hansen, Suzanne Campbell, Mari Nygård Long-term incidence of HPVrelated cancers, and cases preventableby HPV vaccination: a registry-based study in Norway BMJ Open 2018; 8: e019005

[5] Table 5.1 Cancer of the Cervix Uteri (Invasive) Trends in SEER Incidence and US Mortality SEER Cancer Statistics Review 1975-2012

[6] Australian Institute of Health and Welfare (AIHW) 2017 Australian Cancer Incidence and Mortality (ACIM) books: cervical cancer Canberra: AIHW. <Http://www.aihw.gov.au/acim-books>.

[7] A Castanona, P Sasienia Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20-24 years in

England a cause for concern? Preventive Medicine 107 (2018) 21-28

[8] Nationellt Kvalitetsregister für Cervix cancer prevention (NKCx), http://nkcx.se/templates/_rsrapport_2017.pdf [in Swedish]

[9] Engholm G, Ferlay J, Christensen N, Hansen HL, Hertzum-Larsen R, Johannesen TB, Kejs AMT, Khan S, Olafsdottir E, Petersen T, Schmidt LKH, Virtanen A and Storm HH: Cancer Incidence, Mortality, Prevalence and Survival in the Nordic Countries, Version 8.1 (28.06.2018). Association of the Nordic Cancer Registries. Danish Cancer Society. Available from http://www.ancr.nu, accessed it 30 / 09 / 2018 .

[10] Cancer in Norway 2016

[11] Engholm G, Ferlay J, Christensen N, Hansen HL, Hertzum-Larsen R, Johannesen TB, Kejs AMT, Khan S, Olafsdottir E, Petersen T, Schmidt LKH, Virtanen A and Storm HH: Cancer Incidence, Mortality, Prevalence and Survival in the Nordic Countries, Version 8.1 (28.06.2018). Association of the Nordic Cancer Registries. Danish Cancer Society. Available from http://www.ancr.nu, accessed is 1 / 10 / 2018

[12] SEER 9 National Center for Health Statistics, CDC

[13] Francim, HCL, Public Health France, INCa. Projections of Cancer Incidence and Mortality in Metropolitan France in 2017 – Solid Tumors [Internet]. Saint-Maurice: Public health France [updated 02/01/2018; viewed on the 09/05/2018

[14] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-alerte-risque-imminent-d-206314 Gardasil, alert, imminent risk of mandatory vaccination against HPV unnecessary, and sometimes dangerous , for girls and boys.