Comme aux USA, en France et dans de nombreux pays, aussi la pandémie est terminée !

23/09/2022 (2022-09-22)

Par Gérard Delépine

18 septembre 2022, le président américain, Joe Biden, a déclaré sur CBS : « la pandémie est terminée » au grand dam des commentateurs des médias complices de la propagande terrorisante du gouvernement depuis plus de 30 mois. Les fabricants de vaccins ont immédiatement perdu 9 milliards de dollars avec la chute de 9 % de la valeur marchande de leurs actions1 2 3 4.

Les données de l’OMS traduites en graphique par l’université John Hopkins confirment en effet que la pandémie est terminée dans le monde, aux USA ; en Europe et en France.

Et cette forte diminution de cas s’accompagne d’une forte diminution de la mortalité mondiale.

En France d’après les données de l’OMSl’évolution de l’épidémie est semblable à celle du reste du monde avec une très importante chute des contaminations depuis 8 mois :

Cette évolution très favorable de l’épidémie est confirmée par le réseau sentinelle : 5

« En semaine 2022s37, le taux d’incidence des cas de Covid-19 présentant des signes respiratoires vus en consultation de médecine générale a été estimé à 25 cas pour 100 000 habitantsce qui représente 16 892 nouveaux cas de Covid-19 présentant des signes respiratoires ayant consulté un médecin généraliste. »

Et la mortalité quotidienne a baissé d’autant :

Par ailleurs, les indicateurs hospitaliers continuent de baisser dans la majorité des régions. En outre-mer, les indicateurs virologiques sont également en diminution sur l’ensemble des territoires.

Cette disparition française de l’épidémie rend encore plus scandaleuse la décision du 21 juillet 2022 de la HAS contre la levée de l’obligation vaccinale pour lesprofessionnels des secteurs sanitaire et médico-social et les discours alarmistes des agences sanitaires et de l’académie de médecine. Mais il est vrai que ces dernières se sont comportées tout au long de cette crise comme de véritables « covid terroristes » par des prédictions apocalyptiques destinées à entretenir la peur dans la population pour qu’elle accepte des mesures antidémocratiques et des pseudovaccins expérimentaux inefficaces et souvent toxiques.

Quelle mauvaise nouvelle que cette fin de pandémie pour les actionnaires !

Le PDG de Moderna, Stéphane Bancel est pessimiste pour son entreprise :

« la période pandémique, de l’évolution rapide du virus et de contamination planétaire presque continue, sera terminée fin 2022. En 2022, il y aura plus de vaccins sur la planète que de gens désirant se faire vacciner ou avoir un rappel ».

En Europe, la montagne de pseudovaccins commandés depuis le début de la crise par Ursula Von der Leyen s’élève à plus de 4 milliards de doses pour 445 millions d’habitants (près de 12 par adulte !) et transforme en petite plaisanterie la gabegie à 1 milliard d’euros de Roselyne Bachelot lors de la grippe H1N1 avec une commande 94 millions de doses dont seulement 7,8 millions ont été utilisées6.

On peut craindre de nouvelles tentatives de nos gouvernants de nous forcer à nous faire injecter ces substances expérimentales inefficaces et dangereuses comme le présagent les « séances d’informations sur la vaccination »7 que le ministre veut imposer dans les écoles pour manipuler nos enfants et les appels à la vaccination des femmes enceintes et des personnes fragiles avec de nouveaux pseudo vaccins bivalents 8 et pas plus testés que les précédents.

Il n’y avait aucune raison médicale objective de se faire injecter ces médicaments préventifs abusivement présentés fallacieusement comme « vaccin » et mis sur le marché trop rapidement alors que leurs essais n’étaient pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).

Maintenant que ces pseudo vaccins se sont révélés inefficaces tant pour la protection individuelle (vacciné, vous n’êtes pas protégé !) que pour la prévention de la transmission (vacciné, vous pouvez quand même contaminer vos proches) et potentiellement dangereux et que l’épidémie est terminée, il est scandaleux de continuer à promouvoir ces injections expérimentales inutiles dont la balance avantages/risques penche indiscutablement du côté des risques.


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17/09/2022 (2022-09-17)

Par Gérard Delépine

Le 15 septembre 2021, est entrée en vigueur l’obligation vaccinale pour certaines professions, excluant de leur vocation des milliers de soignants, d’ambulanciers et de pompiers vaccinoprudents sans indemnité, ni droit au chômage et à toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Cette obligation pseudo vaccinale n’a jamais eu le moindre intérêt médical

Il n’y a aucun article démontrant que les professionnels concernés constitueraient des vecteurs de transmission significatifs. Durant l’année 2020 (sans pseudo vaccins) les analyses des cas de contaminations nosocomiales répertoriés1 2 3ont surtout mis en cause les contacts mal protégés de malades de covid avec les autres : conditions d’attente aux urgences, ventilations insuffisantes des salles d’hospitalisation, l’utilisation inappropriée de l’équipement de protection individuelle chez les patients à haut risque…

Il est démontré (et même reconnu par le ministère) que les pseudo vaccins sont incapables de limiter les transmissions et de protéger les contacts. Les données de l’OMS ont même largement confirmé que les contaminations avaient été accélérées après les campagnes de vaccinations aussi bien en France :

Que sur l’ensemble du globe :

Comment des pseudo vaccins incapables d’empêcher les transmissions auraient-il pu protéger les contacts des professionnels qui, sans vaccin, ne contaminaient pas ? Que l’Académie de Médecine et la Haute Autorité de Santé aient pu prétendre qu’il fallait prolonger cette obligation démontre simplement qu’elles ont abandonné toute indépendance et se comportent en agences de justification des décisions de E. Macron, même lorsqu’elles sont contraires aux données acquises de la science.

L’argument avancé par la HAS : « les données de sécurité et d’efficacité en vie réelle des vaccins contre la Covid-19 autorisés en France sont en faveur de la vaccination en contexte Omicron » est du plus haut ridicule lorsqu’on observe l’échec total des pseudo vaccins contre ce variant en France, tel qu’il apparaît dans les données officielles de l’OMS.

Cette obligation vaccinale n’est qu’un acte extrême de censure

Les soignants et les pompiers chassés de leur profession ne sont pas des anti-vaccins : ils avaient jusqu’alors accepté tous les vaccins qu’on leur avait proposés et imposés, et avaient vacciné largement autour d’eux. En 2020, ils ont défendu les valeurs du soin au point d’être considérés, un temps donné, comme nos héros.

Ce sont des vaccino prudents qui ont rapidement compris que les injections n’étaient pas des vaccins (ils ne contiennent aucun antigène extrait du sars-cov2 ni aucune anatoxine), qu’il s’agissait de médicaments expérimentaux (les essais phase 3 ne seront pas terminés avant 2023) issus d’une technologie jamais utilisée en pathologie infectieuse et que leur mise sur le marché beaucoup trop rapide (10 mois au lieu de 10 ans) avait négligé les règles habituelles des essais de sécurité.

De plus, les professionnels ostracisés avaient constaté la mauvaise tolérance des injections chez leurs collègues très tôt vaccinés, mauvaise tolérance qui avait conduit la HAS à recommander de ne pas vacciner en même temps tous les soignants d’un même service pour ne pas perturber le fonctionnent dudit service. Ils avaient aussi observé les nombreuses complications post vaccinales : thromboses, accidents vasculaires, péricardites chez leurs patients à leur cabinet ou dans leurs ambulances et/ou véhicules de secours.

Il ne fallait pas qu’ils puissent témoigner de leurs constatations !

Les conditions de cette exclusion créent un précédent d’une extrême brutalité, invraisemblable en démocratie

Et totalement disproportionnées. Même si le ministre estimait qu’il fallait exclure des soins ces professionnels vaccino prudents, les conditions qu’on leur a appliquées sont totalement disproportionnées : pourquoi les priver des allocations chômage et du RSA sinon pour prendre leur famille en otage ? Vaccinez-vous, ou bien vous et vos enfants serez SDF !

De telles mesures n’avaient jusqu’ici été utilisées que par les pires régimes dictatoriaux, qu’ils soient communistes (contre leurs opposants politiques) ou nazis (contre les juifs, opposants, tziganes, etc..).

En ne protestant pas et en laissant se créer un tel précédent contre notre contrat social, les syndicats français, au-delà de la honte de ne pas les avoir défendus, ont pris le risque que la mesure soit utilisée contre les travailleurs dans d’autres conflits au cours desquels E. Macron déciderait « d’emmerder » ses opposants.

Cette obligation a dramatiquement aggravé le manque de soignants et de pompiers

Le manque de soignants n’est pas nouveau. En 2018, la Drees avait en effet constaté dans un rapport que les recrutements ne compensaient pas les départs et que le recul de l’âge de départ à la retraite ne suffirait pas à compenser les cessations d’activité.

L’obligation vaccinale a directement exclu de la profession au moins 15 000 professionnels expérimentés considérés comme héros lors de la première vague. Mais elle a de plus incité beaucoup de médecins à prendre leur retraite plus tôt que prévu et dissuadé de nombreux futurs soignants de s’engager dans une profession aussi maltraitée par le gouvernement.

Le manque de soignants n’a jamais atteint de tels sommets en France et peut provoquer l’effondrement du système de santé4. L’Organisation mondiale de la santé prévient :

« le remplacement des médecins partis à la retraite et des autres soignants sera un défi majeur pour les gouvernements et les autorités sanitaires dans les prochaines années ».5

On constate aujourd’hui les conséquences de cette exclusion de soignants pour les malades. À l’AP-HP, 1 000 postes d’infirmiers vacants et 18 % de lits fermés dans les hôpitaux de Paris6. Plus de 100 services d’urgence ferment la nuit. Et les déserts médicaux se multiplient même dans les zones où l’on ne manque ni d’école ni de commerces ni de spectacles comme la banlieue parisienne proche.

Le président Macron vient récemment de prétendre que l’exclusion des soignants n’a pas changé grand-chose à la pénurie de soignants et qu’il n’y a donc pas de raison de les réintégrer. Mais l’enquête du sénat7 vient de prouver que : le ministère n’avait pas de données en temps réel » sur le nombre de soignants ! Comme d’habitude le président vit dans son monde virtuel et affirme ce qu’il veut être sa vérité alors que les Français souffrent dans le monde réel.

Si on veut retrouver des soignants, il faut réintégrer les vaccino prudents injustement exclus, ce qui renflouera le pool global et sera un signe de changement de comportement envers les professionnels en poste, limitant ainsi l’épidémie de démissions et de suicides.


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18/09/2022 (2022-09-18)

IL FAUT FINIR PAR APPELER UN CHAT, UN CHAT !

Vous êtes triste, déprimé, révolté, agacé, fatigué, douloureux, nauséeux, anorexique ou boulimique, hagard, impuissant devant l’aveuglement de trop de citoyens devant la violence et la puissance mortifère des quelques milliers de milliardaires qui gouvernent le monde occidental. Ils sont menés par Bill Gates, l’informaticien, Tedros le patron de l’OMS, non-médecin au passé éthiopien sulfureux1, Fauci le MR Vaccin des USA2 depuis 50 ans et bientôt retraité tout de même (l’État profond s’effondrerait-il ?), le pouvoir politique américain, et évidemment la présidente de la Commission européenne non élue qui régente les pays soumis de l’UE et quelques autres leurs effecteurs, les dirigeants des pays européens

Le refus de la réintégration des soignants non injectés est cohérent avec l’ensemble du « projet »

Les psychiatres formés sont débordés par les vagues de suicides chez les adultes, mais aussi chez les enfants. Bien sûr, vous pouvez piocher dans les milliers de « thérapeutes » en tous genres disponibles sur le net, de formations et valeurs diverses et variées et qui ont l’avantage, n’étant pas soignants, de ne pas être interdits d’exercice pour refus d’injection expérimentale et leurs actes non remboursés par la sécurité sociale, donc beaucoup moins persécutés que les psychiatres formés à l’université par l’assurance-maladie.

Évidemment vous y trouverez de bons psychothérapeutes bien formés (dont certains actes reconnus et remboursés), mais aussi beaucoup de plus ou moins farfelus aux méthodes et pratiques diverses, mais dont une caractéristique trop fréquente est leur sentiment de supériorité, leurs incompétences médicales, leur rejet extrême de la médecine traditionnelle qui a failli certes, mais guéri des millions de patients depuis un siècle… On plonge dans le délire.

Danger, donc, mais en attendant le rendez-vous donné par un vrai professionnel dans six mois pour un premier contact pour votre ado cassé par le confinement, les cours en visio, les discours dissonants des radios, et la peur, terrible peur véhiculée par leurs enseignants manipulés par leur rectorat, parfois la terreur de l’avenir, que ferez-vous ?

Le pouvoir mondialiste a tout prévu

Manifestement depuis plusieurs années, l’obsession des pouvoirs politiques occidentaux n’était pas de former de meilleurs docteurs et assez nombreux praticiens, mais bien de les REMPLACER ». Il ne faut pas croire que la réduction drastique du numerus clausus était une « erreur » politique. Non, le scénario a consisté à progressivement priver les médecins de leur pouvoir médical en les soumettant à une administration prétentieuse et incompétente dans les soins, mais obéissante, dirigée le plus souvent par des énarques apparemment frustrés de ne pas être médecins, et parallèlement à en diminuer le nombre et la qualité (remplacement des enseignants cliniciens par des « savants » biologistes ou épidémiologistes, ou « médecins » de santé publique n’ayant jamais écouté un cœur ni palpé un foie…).

La première étape, « invisible » pour le peuple, a été d’embaucher dans des conditions précaires des médecins venus d’ailleurs, de formation plus ou moins bonne. Surtout leurs principaux défauts aux urgences, leur lieu d’accueil privilégié, étaient leur manque de maîtrise du français et donc du contact humain avec le public. Notons que cette difficulté aurait pu et dû être comblée rapidement avant embauche par un apprentissage intensif de la langue, comme cela se pratique partout pour les expatriés.

Mais les bureaucrates au pouvoir ne souhaitaient manifestement pas qu’ils comprennent les maux de leurs consultants, surtout pas tout ce qui pouvait concerner la médecine de l’âme.

ÉTAPE PRÉLIMINAIRE : HABITUER ET CONDITIONNER LES MALADES AUX ROBOTS SOIGNANTS3

On nous parlait de robots au lit du malade remplaçant fièrement, dans les congrès médicaux de démonstration, les infirmiers absents, déprimés et maintenant interdits d’exercice sous prétexte de refus d’injection expérimentale dangereuse et inefficace. Nous rigolions plus ou moins, vaguement inquiets.

Le robot s’avançait dans le couloir de l’hôpital pour prendre la tension artérielle du vieux monsieur et apporter le repas à la vieille dame. On a OSÉ nous présenter ces machines comme des progrès ! Naïfs, des téléspectateurs ont regardé, ébahis, le malade dans sa triste chambre d’hôpital et mal fagoté dans sa chemise blanche inadaptée, être distrait par un petit robot sympathique, mais terriblement inhumain.

Les fous de la connexion seraient-ils dispensés (avec bonne conscience ?) de visite à la grand-mère en fin de vie ou à la vieille tante qui sent mauvais, voire au petit frère cancéreux sans cheveux et décharné ?

Ne vous inquiétez pas, le gouvernement veille à remplacer les soins palliatifs longs et coûteux par une euthanasie acceptée rapide — quand vous sentez gêner tout le monde et qu’on vous a suffisamment culpabilisé sur le coût de vos soins., vous la demandez cette finale piqûre et ils oseront parler de « consentement libre et éclairé ». Oui éclairé sur la cruauté du monde…

« LES ROBOTS-INFIRMIERS : UN RÉEL PROGRÈS MÉDICAL ?

Présenté à Tokyo en 2011, le voilà maintenant arrivé sur le marché depuis novembre 2013 : le robot-infirmier de Panasonic, Hospi. Si son écran HD affiche un large sourire, sa commercialisation ferait en revanche plutôt grincer des dents. Après le robot qui réalise les prises de sang, cette nouvelle invention incarne-t-elle l’avenir du monde médical ou sa déshumanisation programmée ?

UNE AIDE MÉDICALE

Tout d’abord mis en place et étudié dans un des hôpitaux du groupe Panasonic, Hospi a su convaincre le personnel soignant d’Osaka. Malgré son poids important (120 kg), il a su se faire apprécier de ses “collègues” en les délestant de certaines tâches fastidieuses. Il sait gérer la programmation de la distribution des médicaments à heures fixes en les déposant aux infirmières. Mieux encore, un modèle permettrait de laver les cheveux du patient de façon semi-automatique !

Un gain de temps très appréciable pour les infirmières qui avouent avoir ainsi été déchargées de diverses tâches ingrates grâce à ces assistants, elles pourraient de ce fait mieux assurer leurs rôles de soin et de surveillance auprès des malades.

Hospi et ses camarades prototypes robotisés seraient des assistants médicaux parfois même “plus patients que les infirmières” selon Roselind Picard : ils n’hésitent pas, par exemple, à répéter inlassablement et autant de fois que nécessaire les recommandations et prescriptions faites aux malades, contrairement aux personnels soignants, malheureusement trop souvent débordés. Le personnel précise toutefois qu’il ne croit pas que les robots vont un jour remplacer médecins et infirmières…

Pourtant le robot Hospi n’a-t-il pas été créé, selon son concepteur, pour répondre à un manque de personnel au Japon ?

ET SI LE ROBOT REMPLAÇAIT L’INFIRMIÈRE

Si la technologie a rendu de nombreux services médicaux, notamment dans le domaine de la chirurgie, doit-on pour autant estimer que l’on puisse répondre à une surcharge continue de responsabilités et de travail du personnel hospitalier en lui offrant un amas de circuits intégrés ? Un manque cruel de main-d’œuvre causé par un désamour de la profession d’infirmier pourrait-il trouver réponse grâce à un service robotisé ?

Et le patient dans tout cela ? Sa dignité, son besoin d’écoute et de réconfort, la magie d’un sourire, d’un regard compatissant, d’une main tendue… N’oublions pas que les soins infirmiers découlent en effet des deux faces du concept soigner : traiter la maladie, et prendre soin de la personne ».

Il y a quelques années, en 2008 précisément, on craignait les bracelets d’identification risquaient de « chosifier » le malade en lui ôtant son identité. Pourtant, depuis octobre 2012, son usage s’est généralisé. Le malade ne deviendrait-il plus à l’avenir qu’un numéro, un dossier, une pathologie ? (…)»

OUI, ON AVAIT RAISON DE LES CRAINDRE CES BRACELETS QUI NOUS TRANSFORMENT EN VEAUX D’ABATTAGE et n’ont pas évité certaines erreurs. L’étape suivante a été le pass, le QR CODE pour aller boire un café au pub du coin ou entrer au cinéma et oui, les veaux comme les appelait de Gaulle n’ont pas moufté…

« Infirmières, infirmiers, en hôpitaux, en cliniques ou en libéral, vous qui pratiquez ce métier par amour de l’autre et de son bien-être, laisserez-vous un robot rassurer ou réconforter votre patient ? »

Et d’où vient le désamour du métier si ce n’est le management financier déshumanisé à visée de rentabilité ?

On remplace les soignants par les robots, alors qu’en même temps, comme dirait E. M., il y aurait trop d’humains sur terre… Mais qu’on s’empresse de faire disparaître via des refus de soins, des injections de Rivotril et des pseudovaccins expérimentaux toxiques, mais aussi des guerres… Eugénisme, quand tu nous tiens… LES ROBOTS SERONT-ILS PLUS OBÉISSANTS que ces médecins pourtant globalement très soumis ?

ÂPRES LES SOIGNANTS ROBOTISES, LES MÉDECINS :

MON PSY EST UN CHATBOT4

ATTENTION, cette image n’est pas un rêve d’eurocrate en délire nocturne, mais bien un projet « sérieux » de nos bureaucrates jaloux de l’Humanité de (certains) médecins dignes d’Hippocrate et non remplaçables par une machine même dotée d’intelligence artificielle.

Les chatbots, vous connaissez ? Ces logiciels — appelés également agents conversationnels — qui dialoguent avec leurs utilisateurs et dont le moteur est l’intelligence artificielle (ou IA). Si l’on ne peut encore dire qu’ils sont partout, ces enfants du high-tech investissent déjà de multiples domaines. Et notamment celui de la santé mentale. Mis à l’épreuve du réel lors des confinements liés à la pandémie de Covid, les psys chatbots ont ainsi pu mesurer leur pertinence et leur efficacité. Imaginez.

Vous — disons plutôt l’un de vos patients — traversez un moment difficile. Petite déprime passagère ou prémisses d’une authentique dépression ? Vous prenez votre smartphone et cliquez sur l’appli dédiée (Woebot, Mon Sherpa ou Sayana). Un psy synthétique vous prend alors en charge : « Comment vous sentez-vous ? Vous pouvez me répondre en mots ou en émoticônes… », propose-t-il. La suite de cette conversation est alors le produit d’une analyse sémantique fine de vos propos, où chacune des réponses de la machine est prédéterminée et déclenchée par des situations « si-alors ».

LES BOTS DU QUOTIDIEN : RAS-LE-BOL

Finalement, que vous appeliez votre banque, une agence de voyage ou immobilière, les administrations des impôts ou des assurances publiques ou privées, vous avez pris l’habitude, contraints et forcés, de converser avec ces inhumains, en tapant sur la touche 1,2 3, etc., et en recommençant dix fois parce que le robot bogue et repasse l’interrogatoire en boucle…

MAIS APPELER UN CHATBOT PSYCHIATRE, il fallait y penser et oser !5

« Mais il y a mieux. Les psys chatbots du type de Therabot arrivent. Cette application sur le point d’être testée pour la première fois dans un essai contrôlé randomisé se distingue en effet des générations précédentes en cela qu’elle est alimentée par une intelligence artificielle générative.

Autrement dit, Therabot peut utiliser les données et la documentation existantes pour développer des actions et des réponses originales, et pas seulement parcourir un arbre de décision. Un fonctionnement qui fait dire à certains qu’un début de conscience anime la machine. À voir… Car aussi sophistiquées soient-elles, ces aides électroniques ne remplaceront pas de sitôt la prise en charge en chair et en os par des psychiatres aguerris. Tout au plus pourront-elles pallier la pénurie croissante de professionnels et faire entrer dans le parcours de soins certains patients encore rétifs à s’y inscrire. »

Didier Doukhan

Alors vous révolterez-vous ?

Les cabines dites de télémédecine se répandent, semble-t-il, avec l’assentiment des patients ou au moins de suffisamment de citoyens pour les rentabiliser. Votre pharmacie a-t-elle installé un de ces gadgets ? Formidable, le rendez-vous du généraliste le jour même, et du spécialiste en trois jours ! Que demande le peuple ?

« Comment ça marche ? Durant la téléconsultation, le médecin guide le patient en vidéoconférence pour effectuer les prises de constantes physiologiques (tension artérielle, saturation en oxygène, pouls, la température frontale) et examens médicaux qu’il juge nécessaires au diagnostic en utilisant un panel de dispositifs médicaux assemblés.

La cabine médicale connectée est ergonomique favorisant l’autonomie du patient lors de sa téléconsultation. Elle est également munie d’une vitre teintée garantissant la confidentialité des échanges entre le patient et le médecin.’

À l’intérieur, un écran assure la vidéotransmission des échanges avec le téléconsultant. En suivant ses instructions, le patient manipule des dispositifs connectés : tensiomètre, thermomètre, stéthoscope, otoscope, balance, dermatoscope, oxymètre et, bientôt, un spiromètre pour mesurer les capacités respiratoires si nécessaire. Autant d’outils permettant d’aboutir à un diagnostic puis une ordonnance médicale si nécessaire.

La cabine médicale est entièrement insonorisée et équipée d’un système de ventilation. »6

Combien faudra-t-il de retards diagnostiques, d’erreurs rattrapables ou non, et de constats de la déshumanisation de ces pratiques pour que les citoyens les désertent, les rendant non “rentables”… La visite chez le médecin apportait toute une dimension humaine réconfortante au-delà de l’examen clinique indispensable aux patients isolés. Qui depuis la cabine pourra passer une main chaleureuse dans le dos de son patient en le raccompagnant à la porte du cabinet ?

Combien d’accidents pour la voiture automatique ?

On comprend bien sûr que la maltraitance du malade par ces techniques à distance n’est pas dans les préoccupations du pouvoir politique eugéniste et transhumaniste actuel. Le confinement quasi mondial et prolongé a manifestement été conçu dans la volonté de nous conditionner à toutes ces techniques connectées tant dans l’enseignement que dans la médecine. Il nous a obligés à accepter ces techniques à distance qui sont, il est vrai, parfois “mieux que rien” avec les avantages en exergue de la visio : “Avantages de la Visio : La prise en charge supposée identique à celle effectuée en cabinet, nous dit-on, ce qui est de fait faux. Il manque le contact direct, le toucher par une poignée de main réconfortante ou une embrassade de fin de consultation tant appréciée des patients. Le Respect des gestes barrières qui peut encore en rassurer certains et sans masque. Ce qui est essentiel en thérapie afin d’être à l’écoute du langage non verbal et mieux comprendre les émotions.

Problèmes de santé ou de déplacement, pas d’arrêt ou de pause dans la prise en charge thérapeutique.

Mais qu’en pensent les citoyens dont les yeux s’entrouvrent enfin ?

Comme a dit le médecin suspendu qui accompagnait le député Dupont Aignan à la manifestation de défense du Pr Perronne et des soignants suspendus, la volonté réelle du gouvernement est de nous remplacer par des robots :


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06/09/2022 (2022-09-06)

Par DR Gerard Delépine

Monsieur,

Ce fut un immense plaisir de vous entendre sur Cnews sur l’émission de Yvan Rioufol, le dimanche 4 septembre 2022, plaider avec détermination et éloquence pour la sortie de l’Europe de Maastricht. Ce fut un ravissement de vous entendre défendre une ligne politique souverainiste cohérente en cette période où tant de politiques se comportent en girouettes, mais toujours pro Maastricht, pour plaire aux électeurs d’après les sondages biaisés dont nous abreuvent les médias dominants.

Créer un mouvement d’union large pour le Frexit qui se présenterait aux élections européennes donnerait enfin de l’espoir à la majorité des classes populaires et devrait les motiver pour sortir de l’abstention où les a enfermés jusqu’à présent l’absence d’alternance politique crédible.

Mais pour être totalement crédible, il est nécessaire que vous constatiez et admettiez votre erreur lorsque vous avez réclamé une « obligation vaccinale » anti-covid comme Ursula von der Leyen le demandait. On peut comprendre que vous ayez « cru » en un médicament abusivement qualifié « vaccin » présenté comme « la solution » à la crise covid. Je ne conteste pas non plus votre droit à vous le faire injecter, mais votre célébrité utilisée dans cette manipulation mondiale nous a attristé, effondré.

Ce traitement est expérimental, car ses essais phase 3 ne sont pas terminés (ils le seront peut-être en 2023). Imposer une obligation pour un médicament expérimental est contraire au code de Nuremberg[1], base de l’éthique médicale depuis 1946[2], mais aussi à la déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale[3], et à la convention d’Oviedo[4], texte juridique contraignant que la France a signé et transposé en droit national.

L’avis du conseil de l’Europe du 27 janvier 2021[5] l’a rappelé en demandant instamment aux États membres et à l’Union européenne de :

« s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

L’absence de consentement libre et éclairé pour un traitement expérimental a, en effet, été le principal motif de la condamnation des médecins nazis lors du procès de Nuremberg.

Je suis médecin, j’ai exercé en France près de 50 ans. De principe je ne suis ni pro ni anti-vaccin. J’ai toujours défendu les vaccins efficaces sans danger qui permettent d’éviter les maladies graves. Je suis contre les vaccins inutiles et contre les vaccins insuffisamment étudiés comme celui contre la dengue (qui a causé des centaines de morts aux Philippines), comme le vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer invasif du col) et, pour l’instant, contre les pseudos vaccins Covid dont l’efficacité prétendue est contredite par les données officielles de l’OMS.

Les données officielles de l’OMS confirment en effet que loin d’éradiquer la maladie les campagnes de vaccination ont été suivies d’une accélération des contaminations (rythme mensuel de nouveaux cas par million multiplié par 3).

Cet échec des pseudo vaccins n’est pas dû aux non-vaccinés comme tente de le faire croire la propagande dominante, car les données officielles de l’OMS montrent que ce sont les pays très vaccinés qui souffrent de cette explosion de contaminations.

L’inefficacité totale des pseudo vaccins à prévenir les transmissions, maintenant prouvée, enlève toute justification à une éventuelle obligation vaccinale. De même les vaccins ne sont pas efficaces contre les formes graves, car les mortalités n’ont pas diminué depuis les vaccins.

Toutes les données présentées, officielles et publiées par l’OMS, démentent formellement la propagande officielle de la prétendue utilité des injections anti-covid. L’acceptation apparente des injections par la population a été extorquée par des mensonges permanents sur la nature et l’efficacité des pseudovaccins et des chantages répétés d’une violence extrême excluant des catégories de professionnels de leur sacerdoce et les discriminations exercées contre les vaccino prudents :

car la sécurité alléguée des vaccins n’a pas été confirmée, bien au contraire. De nombreux médecins le craignaient d’emblée, car leur élaboration a utilisé des techniques nouvelles jamais employées en infectiologie, a souvent sauté les étapes de sécurité :

pas d’études animales sérieuses, essai mélangeant phase 2 et 3, trop peu de sujets dans les essais, études sur des sujets en bonne santé de 18 à 55 ans qui ne constitue pas la population pour laquelle le vaccin pouvait être utile), recul de suivi ridicule (quelques semaines) et leur mise sur le marché trop rapide.

De même leurs indications, qui pouvaient se discuter pour les personnes à risques (pour lesquels existaient d’emblée des traitements précoces efficaces) n’auraient jamais dû concerner la majorité de la population (les moins de 65 ans) qui ne risquait presque rien et les enfants qui ne risquaient rien du tout. De ce point de vue, les chiffres actuels des organes officiels de surveillance des accidents vaccinaux (VAERS aux USA et Eudravigilance en Europe) sont angoissants et confirment qu’on aurait dû appliquer le principe de précaution tant que les essais n’étaient pas terminés.

Compte tenu de ces données, il paraîtrait utile que vous reveniez sur votre position passée sur l’obligation pseudo vaccinale (que d’ailleurs aucun pays démocratique n’a imposée). Étant donné la propagande actuelle pour un xième booster, et surtout pour l’injection des jeunes selon les préconisations de la Commission européenne que le gouvernement français suit rigoureusement, et par ailleurs votre célébrité, vous pourriez aider à protéger singulièrement les enfants et les jeunes.

Il est toujours difficile de reconnaître ses erreurs passées, mais une telle attitude grandit ceux qui en sont capables. La Première ministre norvégienne, Erna Solberg, a reconnu à la télévision que le confinement était inutile et qu’elle l’avait décrété par peur ; elle a été félicitée pour cela par ses compatriotes. Merci de l’imiter !

Je regrette d’avoir été aussi long, mais l’énoncé des faits avérés est nécessaire tant les mensonges officiels sont permanents. Je reste à votre disposition pour vous fournir tout renseignement que vous pourriez désirer sur ce problème. En vous souhaitant beaucoup de succès dans vos projets.

Bien à vous.

DR Gerard Delépine, chirurgien orthopédiste cancérologue et statisticien


 

  1. [1] https://famous-trials.com/nuremberg/1903[]
  2. [2] https://nouveau-monde.ca/les-decisions-du-proces-de-nuremberg-sont-dune-brulante-actualite/[]
  3. [3] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/[]
  4. [4] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention[]
  5. [5] https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-004802_FR.html[]
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04/09/2022 (2022-09-04)

Par Gérard Delépine

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les alliés, pour juger les criminels nazis, ont instauré une juridiction spéciale, le tribunal de Nuremberg, qui a défini le « crime contre l’humanité », posé les bases de l’éthique médicale moderne et les a utilisées pour la première fois en droit international. La ville de Nuremberg avait été symboliquement choisie, car elle représentait la capitale idéologique du troisième Reich et le lieu préféré de la glorification du nazisme.

Ce tribunal a jugé séparément les politiques et les médecins.

La nécessité d’un code international sur les expérimentations humaines a fait l’objet de deux réunions préparatoires dans les mois qui ont précédé l’ouverture du procès (9 décembre 1946) à Francfort (mai 1946) et à l’Institut Pasteur de Paris (31 juillet et 1er août 1946).

Le code est finalement élaboré par les deux experts du tribunal, surtout Leo Alexander (en) (1905-1985), et les quatre juges, surtout Harold Sebring (en) (1898-1968). Inscrit dans les attendus du jugement selon la common law, il comporte dix articles sur la légalité de l’expérimentation humaine ;

Ce code s’inspire de quatre sources historiques :

C’est un code légal JURIDIQUE de droits humains et pas seulement un code de déontologie médicale destinée uniquement à des médecins.

Le Procès des médecins à Nuremberg[1][2]

Les 3 membres du tribunal des médecins étaient qualifiés par leurs antécédents professionnels : Walter Beals (président de la Cour Suprême de l’État de Washington), Harold Sebring (juge à la Cour Suprême de Floride), Johnson Crawford (ancien juge d’un tribunal de district d’Oklahoma). L’accusation fut dirigée par le procureur James Mac Harney, assisté de deux conseils, Alexandre Hardy et Arnost Hochwald. Le long travail de documentation et d’interrogatoires requis pour la préparation du procès des médecins occupa plus de cent juristes. Chaque accusé fut représenté par un ou plusieurs avocats de son choix. Ainsi, il y eut 19 avocats de la défense, dont 13 avaient été membres du parti national-socialiste, et un également de la SS.

Le procès des 23 médecins a débuté le 21 novembre 1946 par la signification des actes d’accusation, puis se déroula du 9 décembre 1946 au 19 juillet 1947 dans la grande salle d’audience du palais de Justice de Nuremberg.

Les accusés et les recherches médicales inhumaines

En poste dans les camps de concentration du Reich, les prévenus avaient pratiqué sur des civils ou des militaires, et sans le consentement de ceux-ci, des expériences au cours desquelles ils avaient commis « meurtres, brutalités, cruautés, tortures, atrocités et autres actes inhumains d’une « cruauté indicible », d’après le réquisitoire du procureur général Telford Taylor.

Les recherches initiées par l’armée allemande visaient entre autres à mettre au point et à tester des médicaments et des méthodes de traitement de blessures et de maladies que les soldats allemands pouvaient subir ou contracter au combat.

La plupart avaient été planifiées lors de conférences réunissant de nombreux responsables des services de santé[3]. Si l’on se réfère aux pratiques scientifiques de l’époque, la principale différence était l’utilisation d’êtres humains à la place d’animaux. C’était une différence insignifiante pour les médecins nazis, puisque le cobaye était déshumanisé à leurs yeux par sa condition de détenu, son origine ou son statut social.

Beaucoup de ces essais, réalisés dans des bâtiments construits à cet effet, concernaient les maladies infectieuses et leurs traitements et en particulier les vaccins : expériences sur le paludisme conduites à Dachau de février 1942 à avril 1945, essai sur le typhus, réalisé à Buchenwald et à Natzwzeiler de décembre 1941 à février 1945, recherches sur la fièvre jaune, la variole, la typhoïde, le choléra et la diphtérie effectuées à Natzweiler, sur l’hépatite virale à Sachsenhausen et Natzweiler…

Comme ces essais étaient réalisés pour bénéficier aux soldats allemands, les victimes étaient habituellement sélectionnées pour être proches du « sang allemand » selon les critères raciaux nazis : droits communs, « asociaux » (homosexuels, opposants politiques tziganes), prisonniers de guerre. Seuls les expériences de stérilisations ou les assassinats pour récupérer les squelettes concernaient essentiellement les juifs.

Les arguments de la défense

La défense ne nia pas la réalité des expériences décrites dans l’acte d’accusation, mais prétendit qu’elles n’étaient pas si dangereuses que l’accusation l’affirmait, qu’elles étaient justifiées par la nécessité de trouver en urgence des solutions aux graves maladies étudiées et qu’elles n’étaient guère différentes d’essais en cours dans d’autres pays, dont les États-Unis.

Les hommes qui commirent ces crimes n’étaient pas des savants fous ou des SS fanatiques, mais les représentants d’une médecine allemande pervertie par l’idéologie nazie illustrant la banalité du mal décrite par Hannah Arendt[4] (à l’occasion du procès Eichmann en 1961 et 62).

Durant la guerre, 70 % des médecins allemands étaient membres du parti nazi (et déjà de nombreux, dès les années 30). À partir de 1933, l’éthique médicale « s’était inversée, l’individu n’était rien. Le peuple était tout ». Ils croyaient comme une majorité des Allemands de l’époque les théories de l’hygiène raciale et ont saisi l’opportunité de les mettre en pratique.

La défense soutint aussi que ses clients n’étaient pas responsables puisqu’ils avaient obéi à des ordres auxquels ils ne pouvaient pas se soustraire et opéré dans les limites admises de l’expérimentation de l’époque.

Le jugement fut rendu les 20 et 21 août 1947 et le verdict prononcé le 21 août. Des 23 accusés, 15 furent jugés coupables et condamnés : 7 à la pendaison, 5 à l’emprisonnement à vie et 3 à des peines de prison.

La justice ne frappa que des exécutants, tandis que beaucoup d’autres médecins qui avaient participé aux essais incriminés parvinrent à préserver leur position sociale et leur influence. Car, tandis que le gouvernement militaire de la zone américaine d’occupation préparait la tenue d’autres procès contre des responsables nazis, d’autres organes de l’armée et du gouvernement américains récupéraient près de 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel de l’Allemagne nazie dans le cadre de l’opération Paperclip[5] afin de les recruter et récupérer les armes secrètes du Troisième Reich pour lutter contre l’URSS.

Définir l’éthique des expérimentations sur l’homme

Le procès de Nuremberg ne jugea pas seulement le nazisme et les médecins nazis, mais aussi les concepts qui inspirent l’art d’être médecin : la compassion devant la souffrance, la bonne utilisation des connaissances reçues, le respect de l’être humain, de sa pensée, de son corps, de sa santé et de sa vie.

Ce procès tranche l’éternel dilemme de la priorité de la science et de la nécessité médicale sur le respect de l’éthique. Les nazis prétextant l’urgence de la guerre choisirent de tout faire pour tenter de protéger le soldat allemand aux dépens du respect des droits de l’être humain.

Ce procès permit de rappeler les principes élémentaires qui régissent les rapports entre les hommes dans le monde démocratique, les droits fondamentaux qui avaient été gravement violés par les accusés.

Il ne s’agissait pas de discuter l’utilité éventuelle des expériences réalisées[6], mais de constater que des médecins qui ont juré d’apaiser la souffrance de leurs semblables les ont fait souffrir et ont entraîné la mort de beaucoup d’entre eux (plus de 7000).

Constatant que la soumission à l’autorité et au mirage de la science pouvait transformer en bourreau une personne jusqu’alors censée et douée de compassion, les juges estimèrent qu’il fallait fournir à tous les médecins un système de protection éthique solide et indiscutable afin de leur permettre de résister aux pressions éventuelles du pouvoir. Il était nécessaire de fixer des limites, et tout particulièrement celles de l’expérimentation sur l’Homme.

C’est pour ces raisons que les juges ont élaboré le Code de Nuremberg, ensemble des principes qui constituent les bases de la bioéthique moderne et de ce qui est tolérable en matière d’expérimentation sur l’homme.

Les 10 principes qui forment le code de Nuremberg

Tribunal militaire américain, Nuremberg, 1947[7]

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentielCela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir, qu’elle doit être laissée libre de décider sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contrainte ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.

L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens ; elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions à l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus, l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et tout dommage physique ou mental non nécessaire.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu’elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui effectuent les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience s’il estime avoir atteint le seuil de résistance mentale ou physique au-delà duquel il ne peut aller.

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Ces dix principes réunis sous le nom de code de Nuremberg constituent la référence majeure des textes ultérieurs — éthiques et juridiques — en matière d’expérimentation médicale, comme la déclaration d’Helsinki de l’Association médicale Mondiale[8]. Ils ont été repris par la convention d’Oviedo[9], seul instrument international juridiquement contraignant sur la protection des droits de l’homme dans le domaine biomédical, que la France a signée et s’est engagé à respecter et qu’elle a transposée dans son droit national.[10]

Le code de Nuremberg visait à refonder le monde sur des valeurs opposées à celles qui ont conduit à la construction des États totalitaires. Esprit qui a présidé également à la fondation de l’ONU et à l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme le 10 décembre 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies.

Il représente un des piliers de la démocratie. Par ce seul code, Walter Beals, Harold Sebringet et J Johnson Crawford sont déjà rentrés dans l’histoire.[11]

Les violations du code de Nuremberg à l’occasion du covid

Les prétendus vaccins anti-covid étaient (et sont toujours expérimentaux), car leurs essais phase 3 ne sont toujours pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).

Toutes les stratégies sanitaires des gouvernements occidentaux visaient à obliger la population à se faire injecter ces traitements expérimentaux.

Les violations du premier principe du code (consentement libre et éclairé) sont multiples et majeures

Fraude sur la nature réelle des produits injectés qui ne sont pas des vaccins, car ils ne contiennent ni antigène ni anatoxine, mais des médicaments préventifs à base d’ARN comme l’a d’ailleurs récemment reconnu le professeur Delfraissy.[12]

Utilisation permanente de supercherie, de duperie sur l’efficacité des injections sur la prévention de la maladie (ils prétendaient 97 % !), de la transmission (ils affirmaient plus de 90 % !)[13], et sur la protection contre les formes graves alors que depuis la vaccination la mortalité n’a pas diminué, mais au contraire fortement augmenté.

Utilisation de contraintes majeures contre certains professionnels (soignants, pompiers, ambulanciers, militaires, personnels du transport aérien, sportifs) ont été exclus de leur métier s’ils refusaient le traitement expérimental alors que les pseudo vaccins n’empêchent nullement les transmissions.

Contrainte et coercition largement répandues contre toute la population avec la création des pass sanitaires, puis vaccinaux pourtant totalement inefficace contre la maladie

Mensonge la durée des traitements que les gouvernants veulent sans cesse prolonger (une dose, puis deux, puis trois, puis quatre puis tous les six mois[14]…)

Négation des risques encourus et les conséquences possibles pour sa santé même chez les femmes enceintes[15][16], même chez les allergiques[17] alors que les injections anticovid sont suivies du plus grand nombre de complications recensées par le VAERS américain et Eudravigilance depuis leur création, que l’incidence des réactions anaphylactiques provoquées par les deux vaccins anti-covid est supérieure à celle qui est observée pour la plupart des autres vaccins (de l’ordre de 1,31 par million de doses)[18] et que de nombreux décès par réaction allergique ont été signalés.

Rappelons enfin que le code de Nuremberg stipule textuellement que l’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent au médecin qui travaille à cette campagne d’injection expérimentale.

Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à ce professionnel qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivi. Les vaccinateurs ont gravement contrevenu à leur obligation et encourent de ce fait des risques pénaux qu’ils sous-estiment largement.

Les violations majeures du code de Nuremberg qu’ont réalisées certains gouvernants pour imposer des traitements expérimentaux manifestement inefficaces ont fait courir des risques inutiles aux populations manipulées par une propagande totalitaire souvent élaborée par McKinsey.

Faisons respecter les fondements éthiques et juridiques qui définissent nos démocraties. Il faut juger et condamner ces apprentis sorciers dont les agissements n’ont respecté le code de Nuremberg ni nos droits fondamentaux en imposant une dictature prétendument sanitaire.


  1. [1] Trials of War Criminals Before the Nürnberg Military Tribunals Under Control Council Law No. 10. October 1946—April 1949, Vol. II, Chap. XII Judgment, pp. 181-184. The Library of Congress[]
  2. [2] Le procès s’est déroulé dans le cadre de l’Accord de Londres du 8 août 1945 instaurant une structure juridique, le Tribunal Militaire International qui juge les crimes « non localisables » (celui des hauts dignitaires nazis ou procès de Nuremberg). Cet accord délègue compétence et pouvoir aux quatre puissances des zones d’occupation pour les autres crimes (article 10 de l’Accord de Londres) 20, qui font l’objet d’autres procès dont ceux tenus à Nuremberg pour des professions ou des corps particuliers.
    Code de Nuremberg — Wikipédia (wikipedia.org) []
  3. [3] https://www.cairn.info/revue-revue-d-histoire-de-la-shoah1-1997-2-page-10.htm[]
  4. [4]Tous ces gens incriminés pour des crimes d’une gravité exemplaire étaient d’une banalité si confondante, que cela rendait la question du génocide encore plus terrifiante.
    http://www.institut-ethique-contemporaine.org/article%2520ethique_arendt.htm[]
  5. [5] Linda Hunt : L’affaire Paperclip — La Récupération des Scientifiques Nazis par les Américains, 1945-1990[]
  6. [6] Les responsables américains de Paperclip se sont tout particulièrement intéressés aux expériences de l’Armée de l’Air allemande sur les hautes altitudes, le froid et l’eau de mer.[]
  7. [7] Nicole Delepine — Le code de Nuremberg. 1947
    Département d’Histoire et de Philosophie des sciences de la vie et de la Santé (D.H.V.S.). Conservation du Patrimoine et des Musées — 1947
    Le code de Nuremberg. 1947[]
  8. [8] https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique/declaration-dhelsinki/[]
  9. [9] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention[]
  10. [10] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000026151968/[]
  11. [11] https://guyboulianne.com/2019/09/11/le-code-de-nuremberg-et-le-consentement-eclaire-comme-prealable-absolu/[]
  12. [12] F Delfraissy « le vaccin est un peu un médicament. France info janvier 2022 https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html[]
  13. [13] Damien Mascret sur le plateau de France Info le vendredi 26 février 2021 prétendait. Les infections sont en effet réduites de 92 %. « Aujourd’hui, on en est à peu près sûr, pour plus de 90 % des cas, [une personne] ne transmettra pas, elle ne s’infectera pas
    https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-pfizer-protege-contre-la-transmission-du-virus_4312241.html[]
  14. [14] https://www.dailymail.co.uk/news/article-10264927/Britain-buys-114m-extra-vaccine-doses-battle-Covid-19.html[]
  15. [15] https://www.allodocteurs.fr/covid-les-vaccins-a-arn-messager-sans-danger-pendant-la-grossesse-33204.html[]
  16. [16] Covid-19 : les vaccins sont « sans danger » pour les femmes enceintes, selon cette vaste étude. Selon l’ANSM
    https://www.huffingtonpost.fr/science/article/covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-les-femmes-enceintes-selon-cette-vaste-etude_206523.html[]
  17. [17] https://www.santemagazine.fr/sante/maladies/allergies/allergie-peut-on-se-vacciner-sans-risque-contre-la-covid-19-895268[]
  18. [18] M.M. McNeil, E.S. Weintraub et coll. Risk of anaphylaxis after vaccination in children and adults. J Allergy Clin Immunol. 2016 Mar; 137(3): 868–878. doi: 10.1016/j.jaci.2015.07.048.[]
Vera Sharav alerte : résistons tous ; c’est maintenant ou jamais !

Alors que nous célébrions  le 20 août dernier les 75 ans du Code de Nuremberg, Jérémie Mercier  a reçu  Vera Sharav, présidente de l’association « Alliance for Human Research Protection », rescapée de la Shoah qui milite depuis plusieurs décennies pour faire respecter les droits humains dans le cadre de la recherche médicale…


Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 août 2022 | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

MERCI MADAME, VOUS MÉRITEZ TOUT NOTRE RESPECT ET NOTRE RECONNAISSANCE.

LISEZ ET DIGÉREZ LE DISCOURS DE CETTE SURVIVANTE DE L’HOLOCAUSTE QUI NOUS PRÉVIENT DEPUIS DÉJÀ DEUX ANS SUR LES SIMILITUDES ENTRE L’HOLOCAUSTE D’HITLER ET CELUI DE SCHWAB.

DISTRIBUEZ-LE PARTOUT, QUE LES GENS COMPRENNENT ENFIN CE QUI ARRIVE !

L’URGENCE EST À LA PRISE DE CONSCIENCE ET À LA RÉSISTANCE.

« L’Holocauste n’a pas commencé dans les chambres à gaz d’Auschwitz et de Treblinka.
L’Holocauste a été précédé de 9 ans de restrictions progressives de la liberté individuelle et de la suspension des droits légaux et des droits civils.

Le décor a été planté par une propagande alarmiste et haineuse. »

Une série d’édits gouvernementaux discriminatoires et humiliants ont diabolisé les Juifs en les qualifiant de « propagateurs de maladies ». Nous étions comparés à des poux.

(…)

La véritable maladie virale qui a infecté l’Allemagne nazie est l’eugénisme – L’eugénisme est l’idéologie élitiste à l’origine de tous les génocides.

  • L’eugénisme est recouvert d’un manteau de pseudo-science.
  • Il a été adopté par l’establishment académique et médical ainsi que par le système judiciaire — en Allemagne et aux États-Unis.
  • Les eugénistes justifient les inégalités sociales et économiques.
    Ils légitiment la discrimination, l’apartheid, la stérilisation, l’euthanasie et le génocide.
  • Les nazis appelaient cela « nettoyage ethnique » — pour la protection du patrimoine génétique.
  • La médecine a été détournée de sa mission de guérison & a été militarisée.
    D’abord, il s’agissait de contrôler la reproduction par la stérilisation forcée ; ensuite, il s’agissait d’éliminer ceux qui étaient considérés comme des « sous-hommes » (« Untermenschen »).
  • Les premières victimes du meurtre médical ont été 1 000 enfants et jeunes handicapés allemands. Cette opération meurtrière a été étendue à environ 10 000 enfants jusqu’à l’âge de 17 ans.
  • Les victimes suivantes étaient les malades mentaux, puis les personnes âgées dans les maisons de retraite. Tous ces êtres humains ont été condamnés comme des « mangeurs sans valeur ».
  • Dans le cadre de l’opération T-4, des hôpitaux désignés sont devenus des stations d’extermination où diverses méthodes d’extermination ont été testées — y compris le Zyclon B — le gaz qui a été utilisé dans les camps de la mort. » (…)

Les victimes humaines de ce génocide sans précédent étaient 6 millions de Juifs et 9 millions d’autres personnes que les nazis ont déshumanisées en les qualifiant d’« Untermenschen » [Sous-hommes].

Le but des mémoriaux de l’Holocauste est d’avertir et d’informer les générations futures sur la façon dont une société éclairée et civilisée peut se transformer en un univers génocidaire régi par une dépravation morale absolue.

Si nous voulons éviter un autre Holocauste, nous devons identifier les parallèles actuels inquiétants avant qu’ils n’empoisonnent le tissu social.

Depuis l’ère nazie, l’étude de l’histoire et de la plupart des sciences humaines — y compris la philosophie, la religion et l’éthique — a été éclipsée par l’accent mis sur la science et la technologie utilitaires.

En conséquence, peu de gens reconnaissent les similitudes inquiétantes entre les politiques actuelles et celles du régime nazi.

En déclarant l’état d’urgence — en 1933 et en 2020 — la liberté individuelle, les droits légaux et les droits civils protégés par la constitution ont été balayés. Des décrets répressifs et discriminatoires ont suivi. »

(…)

« En 1933, les Juifs étaient la principale cible de la discrimination ; aujourd’hui, ce sont les personnes qui refusent de se faire injecter des vaccins expérimentaux issus du génie génétique qui sont visées. Hier comme aujourd’hui, les dictats gouvernementaux ont été conçus pour éliminer des segments de la population.

En 2020, les dictats gouvernementaux ont interdit aux hôpitaux de traiter les personnes âgées dans les maisons de retraite. Le résultat a été un meurtre de masse.
Les décrets gouvernementaux continuent d’interdire aux médecins de prescrire des médicaments vitaux, approuvés par la FDA ; les protocoles dictés par le gouvernement continuent de tuer.

Les médias sont silencieux — comme ils l’étaient à l’époque.
Les médias diffusent un récit unique, dicté par le gouvernement — tout comme sous les nazis. Une censure stricte réduit au silence les opinions opposées.
Dans l’Allemagne nazie, peu de personnes s’opposaient à ces idées ; celles qui le faisaient étaient emprisonnées dans des camps de concentration.

Aujourd’hui, les médecins et les scientifiques qui remettent en question le récit approuvé sont calomniés, leur réputation est détruite. Ils risquent de perdre leur licence d’exercice et de voir leur domicile et leur lieu de travail perquisitionnés par des équipes d’intervention ». (…)

« La culture génocidaire qui imprégnait le régime nazi n’a pas pris fin en 1945. Elle s’est métastasée aux États-Unis.

À la fin de la guerre, des agents du gouvernement américain ont aidé 1 600 scientifiques, médecins et ingénieurs nazis de haut rang à échapper à la justice de Nuremberg. »

Ces technocrates nazis ont facilité les opérations meurtrières des nazis. Ils étaient les partenaires d’Hitler dans les crimes contre l’humanité. Ils ont été secrètement introduits aux États-Unis dans le cadre de l’opération Paperclip. Ceci en violation des ordres explicites du président Harry Truman.

Ces criminels nazis ont été placés à des postes de haut niveau dans de grandes institutions scientifiques et médicales américaines où ils ont poursuivi leurs travaux.

Qui plus est, ces technocrates nazis ont formé une génération de scientifiques, de médecins et d’ingénieurs américains.
C’est ainsi que les méthodes nazies et le mépris immoral des valeurs humaines se sont enracinés en Amérique.

En 1961, dans son discours d’adieu à la nation, le président Dwight Eisenhower a mis en garde contre la domination croissante du « complexe militaro-industriel » dont « l’influence totale — économique, politique, voire spirituelle — se fait sentir [partout] ».

Eisenhower a averti :

« Nous devons être attentifs au danger que la politique publique devienne elle-même captive d’une élite scientifico-technologique ».

En 1979, un rapport au Président, par la Commission américaine sur l’Holocauste, présidée par Elie Wiesel, survivant d’Auschwitz, mettait en garde :

« … l’inclination à reproduire l’option nazie et à exterminer une fois de plus des millions de personnes reste une menace hideuse »

Ceux qui déclarent que les analogies avec l’Holocauste sont « hors limites » trahissent les victimes de l’Holocauste en niant la pertinence de l’Holocauste.

Le Code de Nuremberg sert de base à la recherche clinique éthique depuis sa publication il y a 75 ans.

La pandémie de Covid est exploitée comme une occasion de renverser les paramètres moraux et juridiques établis par le Code Nuremberg.

Le Code de Nuremberg est notre défense contre les expérimentations abusives. »(…)

« L’humanité est actuellement assiégée par les héritiers mondiaux des nazis.

Une bande de milliardaires mondiaux, impitoyables et interconnectés, a pris le contrôle des institutions nationales et internationales qui définissent les politiques.

Ils se sont lancés dans la mise en œuvre d’un programme diabolique :

  • Renverser la démocratie et la civilisation occidentale ;
  • Dépeupler la population mondiale ;
  • Éliminer les États-nations et établir un gouvernement mondial unique ;
  • Éliminer l’argent liquide et établir une monnaie numérique unique ;
  • Injecter des identifiants numériques et des capacités d’intelligence artificielle dans chaque être humain. Si ces objectifs deviennent une réalité, nous serons surveillés numériquement 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. »

« En mai 2022, au Forum économique mondial de Davos, Klaus Schwab, l’architecte de la Grande Réinitialisation dystopique, a déclaré :
Soyons clairs, le futur ne se produit pas tout seul ; le futur est construit par nous, une communauté puissante ici dans cette salle. Nous avons les moyens d’imposer l’état du monde”. »

« Le but ultime de ces mégalomanes est de prendre le contrôle total des ressources naturelles et financières du monde et de remplacer les humains par des robots transhumains. »

Non, nous ne sommes pas des ANIMAUX PIRATABLES

Selon le vœu de Yuval Noah Harari, Israélien formé à l’Université d’Oxford. Harari partisan du Nouvel Eugénisme et du Transhumanisme et conseiller de K Schwab grand ordonnateur du forum de Davos et du Grand Reset mondialiste.

Harari a déclaré : « Nous avons la technologie pour pirater les humains à grande échelle… »

Les transhumanistes méprisent les valeurs humaines et nient l’existence d’une âme humaine. Harari déclare qu’il y a trop de « gens inutiles ». Le terme nazi était « mangeurs inutiles ».

Lisez le discours de Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 août 2022.

Diffusons le code de Nuremberg qui doit rester notre guide pour revenir à de la vraie science et de la vraie médecine.

La science, en particulier celle de la médecine​,​ est devenue la victime d’une corruption massive, idem pour les études dites « scientifiques ». 

Ils sont en train de viol​er les trait​és, les codes bioéthiques, notamment le serment d’Hippocrate, et les conventions internationales dont OVIEDO. Sous un faux prétexte ils ont déclaré une pandémie. Celle-ci ayant été déclarée pour nous imposer des sanctions liberticides ​et inédites, sans fondement​s​ scientifique​s, ​et ​qui mettent en danger notre santé, en ignor​ant totalement no​tre​ immunité naturelle.[1][2]

Voici les 10 points du code Nuremberg :

Le code de Nuremberg — 1947

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de la capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.
Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens : elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions de l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et tout dommage physique et mental, non nécessaires.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu’elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui font les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience, s’il estime avoir atteint le seuil de résistance, mentale ou physique, au-delà duquel il ne peut aller

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Tous ceux qui violent le protocole de Nuremberg en forçant des personnes à se faire injecter un traitement expérimental quel qu’en soit le prétexte adoptent un comportement nazi et doivent être dénoncés comme tels.

Ne laissons pas se répéter l’histoire.

Résistons !
Résistons à la censure et à la désinformation permanente du gouvernement et des médias en publiant des informations sourcées sur les quelques réseaux sociaux encore libres.

Parlez avec les gens autour de vous pour les informer.
Faites et distribuez des tracts et des flyers.
Affichez la vérité partout où vous le pouvez.
Allez aux manifestations pour défendre les libertés.
Dites non à ce gouvernement totalitaire qui veut détruire notre modèle social, nous imposer des restrictions sévères et nous entraîner vers une guerre qui n’est pas la nôtre.

Résistons !


Le code de Nuremberg prise de conscience bioéthique — AgoraVox le média citoyen[]

Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? — AgoraVox le média citoyen[] Le code de Nuremberg prise de conscience bioéthique — AgoraVox le média citoyen[

La fable criminelle de la « vaccination sans danger » des femmes enceintes – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

17/08/2022 (2022-08-17)

Par Dr Gérard Delépine

« Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es »

Depuis deux ans et huit mois, le gouvernement et les médias aux ordres nous mentent pour nous inciter à accepter des injections expérimentales abusivement qualifiées de vaccin alors qu’il s’agit de médicaments à ARN dont les essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023.

L’un des derniers mensonges en vogue concerne les femmes enceintes qu’on trompe en prétendant[1]:

« Une vaste étude canadienne… confirme que les vaccins à ARN messager contre le Covid-19 sont “sans danger” pendant la grossesse… L’étude a été menée sur 200 000 femmes enceintes canadiennes vaccinées ».

Ce pur mensonge estampillé AFP a été répété partout avec la complicité de France info, Médisite[2], La dépêche[3], Elle[4], 20 minutes Santé[5] le quotidien du pharmacien[6] et bien d’autres médias.

Existe-t-il dans ces rédactions des journalistes qui vérifient leurs sources et les données ? Sont-ils paresseux ou volontairement menteurs ? S’ils avaient fait leur travail de journaliste, ils auraient remarqué les faits suivants déjà dénoncés brillamment par Gibertie[7].

L’étude[8] ne porte que sur 5 625 femmes enceintes vaccinées !

Car la lecture de l’article qu’ils citent montre que l’effectif réel des vaccinées est près de 40 fois inférieur à ce qu’ils annoncent !

L’étude se limite à de simples contacts par e-mails et/ou téléphoniques !

Il ne s’agit en aucun cas d’un article médical. Aucun examen clinique ni biologique n’a été réalisé. Il est heureusement douteux que les gynécologues canadiens suivent leurs patientes et l’évolution de leur grossesse par ces seuls moyens !

L’étude ne porte que sur les 7 jours post injection !

C’est quand même très court pour affirmer que les grossesses qui durent 9 mois n’ont pas été altérées par les injections et que les futurs nouveau-nés n’en ont pas souffert.

En 7 jours de suivi, ils ont quand même réussi à avoir chez les vaccinées : 4 qui ont perdu la vue, 7 incapables de marcher, 91 infections respiratoires, 1 paralysie soudaine du visage, et de nombreuses fausses couches.

Il ne s’agit pas d’un essai prospectif randomisé.

Mais d’une analyse rétrospective de cohorte dont la fiabilité scientifique est faible et la valeur probante très faible d’autant que l’effectif du groupe témoin (non vacciné) n’est que 339, chiffre totalement insuffisant pour estimer les risques et les comparer à des groupes numériquement 10 fois plus importants.

Les auteurs sont très liés à l’industrie des vaccins.

Il suffit de consulter les liens d’intérêt détaillés à la fin de l’article :

MS a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, Symvivo et VBI Vaccines.

OGV a été chercheur, co-chercheur ou panéliste expert sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer et Seqirus, en dehors du travail soumis.

JDK a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna et Pfizer

KAT a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline.

JEI a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline et Sanofi-Pasteur.

AJM a été chercheuse sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer, Sanofi-Pasteur et Seqirus, , et a reçu des honoraires pour sa participation à des conseils consultatifs d’Astra-Zeneca, GlaxoSmithKline, Medicago, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, et pour les présentations d’Astra-Zeneca et Moderna.

GDS a été enquêteur sur un projet financé par Pfizer.

L’étude a été financée par les organismes d’État qui vivent des campagnes vaccinales et en font la promotion constante.

Ce travail a été soutenu par le financement COVID-19 Vaccine Readiness des Instituts en santé du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada CANVAS (numéro de subvention CVV-450980) et par le financement de l’Agence de la santé publique du Canada, par le biais du Document de référence sur la surveillance des vaccins Group et le groupe de travail sur l’immunité COVID-19.

La publication par le Lancet d’un tel torchon rappelle le précédent Lancetgate[9][10][11][12]

Jamais un tel article bidon n’aurait passé l’examen par un comité de lecture à l’époque où le Lancet était indépendant et que son impartialité faisait sa réputation. Le Docteur Richard Horton rédacteur en chef du Lancet a d’ailleurs prévenu ses lecteurs :

« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l’efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d’intérêts flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d’autres subventions ».

L’agence France presse, et les médias qui ont diffusé sans modération ce mensonge se sont comportés non pas comme des organes d’information, mais comme des propagandistes sans état d’âme d’un pseudovaccin expérimental dont les premiers résultats avérés en population réelle sont très inquiétants.


  1. [1] D’après Franceinfo ![]
  2. [2] https://www.medisite.fr/coronavirus-covid-19-les-vaccins-a-arn-messager-sans-danger-pour-les-femmes-enceintes.5648211.806703.html[]
  3. [3] https://www.ladepeche.fr/2022/08/12/vaccination-covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-la-grossesse-dapres-une-etude-canadienne-10485217.php[]
  4. [4] https://www.ladepeche.fr/2022/08/12/vaccination-covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-la-grossesse-dapres-une-etude-canadienne-10485217.php[]
  5. [5] https://www.20minutes.fr/sante/3336759-20220812-covid-19-vaccins-arn-messager-danger-pendant-grossesse-selon-etude-canadienne[]
  6. [6] https://www.lequotidiendupharmacien.fr/medicament-parapharmacie/recherche/grossesse-et-vaccins-arnm-une-nouvelle-etude-confirme-labsence-de-risques[]
  7. [7] https://www.profession-gendarme.com/dangerosite-de-la-vaccination-pour-les-femmes-enceintes-les-journalistes-sont-de-gros-menteurs/comment-page-1/[]
  8. [8] Manish Sadarangani, et al for the Canadian Immunization Research Network Safety of COVID-19 vaccines in pregnancy: a Canadian National Vaccine Safety (CANVAS) network cohort study
    https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(22)00426-1/fulltext[]
  9. [9] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931[]
  10. [10] https://www.lefigaro.fr/demain/sante/hydroxychloroquine-3-des-auteurs-de-l-etude-du-lancet-se-retractent-20200604[]
  11. [11] https://tribune-diplomatique-internationale.com/la-corruption-de-la-science-le-scandale-de-letude-sur-lhydroxychloroquine-qui-etait-derriere-tout-cela-lintention-danthony-fauci-de-bloquer-lhcq-au-nom/[]
  12. [12] https://www.causeur.fr/the-lancet-revues-universitaires-177545/[]
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03/08/2022 (2022-08-03)

Par Nicole Delépine

Pourquoi ne se débarrassent-ils pas de la muselière ?

Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente ![1][2] SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.

Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.

Plus grave encore qu’en première analyse :

« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique. 

Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime ».[3]

« L’obligation devient alors une loi suprême conditionnant notre “liberté” et instituant un rapport négatif avec soi et avec l’autre. Elle nous enjointde renoncer à notre vie d’humain. Le réel de la mort n’étant plus canalisé par la culture, il recouvre la totalité de l’existence.

Ainsi, le masque corona n’est pas l’articulation du symbolique et du réel. Il n’est donc pas un masque, car il n’est pas voilement. »[4]

« Quelque chose du Réel est capturé : le désir de relation. Dès lors, les gens qui mettent le masque ne portent pas la parole, mais le cri de celui qui est devenu personne. Ils exhibent à la fois le rejet de l’autre et ce qui en résulte, leur propre anéantissement ».

« Le port du masque corona produit une perte de “l’appétence symbolique”, de ce désir de relation se manifestant en dehors de la satisfaction des besoins élémentaires de la survie. La “rencontre primordiale avec l’autre” est une poussée pulsionnelle, celle de la pulsion de vie, essentielle dans la mise en place d’un lien avec l’extérieur. »

Ce désir naturel, cette pulsion de vie, est aujourd’hui attaqué par le port du masque et sa pérennisation après la suppression de la loi d’urgence et de tout danger de ce petit virus témoigne clairement de son instrumentalisation par le pouvoir mondialisteeugéniste et transhumaniste. L’homme normal doit disparaître à leurs yeux et ils en utilisent leurs moyens.

« Le port du masque corona entraîne une indifférenciation du moi et du non-moi, du sujet et de l’objet. (…).  De cette indifférenciation, résulte une fusion avec les choses elles-mêmes. Le masque corona permet ainsi l’installation d’une structure schizophrénique, où l’individu s’identifie avec les objets du discours. Il devient son masque ». 

Ainsi le pouvoir médiatique des milliardaires prend prise sur l’Humain via l’outil MASQUE.

LE MASQUE, UN OUTIL DE POUVOIR SANITAIREMENT NUISIBLE[5]

La parution d’arrêtés (d’une légalité discutable, les juristes approfondissent) autorisant un pharmacien, médecin ou établissement de santé à l’imposer, dès le vote de la loi française supprimant l’état d’urgence le 26 juillet 22, le même jour, démontre la volonté certaine en tant qu’OUTIL du pouvoir pour poursuivre la mise en condition des populations.

Ne doutons pas que des prétextes tels que la pollution, l’ozone ou le monstre du Lockness serviront aux dirigeants pour ne pas lâcher son très efficace collaborateur, la muselière.

Ce ne serait que moyennement grave, si ce bout de tissu infecté et infectant de divers miasmes ne maintenait pas la population globale dans la peur et donc dans la soumission aux instances dirigeantes. Malgré les nombreuses preuves mondiales de l’inefficacité du masque contre les virus et son danger de diffusion des bactéries et champignons (en particulier chez les personnes fragiles, cancéreuses, immunodéprimées primaires ou secondaires aux injections géniques, etc.), l’attraction du chiffon perdure pour des raisons que les psychiatres éclaireront en nous aidant à comprendre le fonctionnement.

« Le monde à travers un masque n’est pas le même. Il est inconfortable, étrange et en décalage avec notre normalité. »[6]

Il peut être amusant et terrible à la fois de lire des réflexions de psychanalyste pendant le covid19 à propos du masque :

« Il se joue ainsi un étrange jeu autour du masque dans les cabinets et nous le savons le langage est aussi non verbal. Ce corps nous parle beaucoup avec l’objet masque ! Il y a ceux qui le portent facilement, ceux qui l’oublient, ceux qui ne viendront pas aussi et qui peut être prendront l’option de la ligne comme espace de liberté crée, ceux qui en parlent avec de la colère de se sentir enfermé, étouffé et objectivé et ceux qui le tordent dans tous les sens comme s’il voulait se l’arracher du visage comme si cette double peau les dérangeait. D’autres qui ne le voient plus.

Il y a aussi ceux qui, “par hasard” au moment d’ouvrir la porte du cabinet, viennent juste de casser leur masque en le mettant. Bel acte manqué non ?

C’était le cas de cette patiente, qui dans la vie, ne supportait plus le masque du simulacre. Devant la porte, son masque avait craqué. C’était donc une bonne chose et nous en avons parlé.

Et de cette autre qui réalise devant ma porte qu’elle “est partie sans”, lâchant prise pour la première fois sur tant d’interdits surmoïques.

Bravo ! Devant la porte du cabinet oui, les masques tombent comme les actes manqués se multiplient depuis toujours. Masqué(e) et démasqué(e) à la fois. »[7]

La peur est incrustée après ces mois de manipulation et il est difficile d’en sortir comme le navrant spectacle de conducteurs masqués seuls dans leur voiture, de jeunes gens qui courent sur une plage, masque collé par la sueur et la canicule, et pire encore : Pelosi qui affronte les avions chinois pour atterrir à Taiwan et sort masquée sur le tarmac de l’aéroport. De sa part peur ou manipulation ? Quelle tristesse !

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID SÉRIEUX, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité. Informons voisins et amis encore dans la peur du risque pour eux-mêmes de ce chiffon infectant et déshumanisant. Ne prenons pas à la légère sa prolongation au-delà des infections dont les antibiotiques viendront à bout, les troubles induits vers la schizophrénie et la psychose ne doivent pas être sous-estimés. Nous en voyons déjà les dégâts chez certaines personnes normales avant tout covid et devenues très « spéciales » et sourdes à tout raisonnement.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID[8][9]

« Les inconvénients et risques comprennent qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; étant donné l’environnement chaud et humide et la source constante, où les tissus pour la maison sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes ».[10]

L’expérience mondiale a confirmé cette affirmation du Pr Rancourt de décembre 2020.

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Les pays non masqués sont moins infectés

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes ».[11]

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude prospective randomisée menée au Danemark auprès de 6 000 participants[12] a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

L’OMS A TRAHI LA SCIENCE

Un « faire voir »

C’est bien dans le cadre d’un « faire voir » que l’OMS recommande de porter le masque, alors qu’en même temps, il reconnaît que ce dispositif ne permet pas d’arrêter le virus et de protéger celui qui le porte. L’avantage que l’organisation voit dans cette incitation réside dans la modification des comportements des populations, qui sont encouragées à fabriquer elles-mêmes leur propre masque et de prendre ainsi activement part à leur destruction ».[1]

L’OMS,[13] dont le rôle pervers et toxique dans cette crise Covid est bien démontré, a annulé le 5 juin 2020 plus d’une décennie de décisions d’organismes de santé publique à travers le monde qui ne recommandait pas de masques pour la population en général.

L’OMS a fait sa recommandation 2020 sur l’intervention médicale préventive des masques faciaux pour l’ensemble de la population mondiale en reconnaissant :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte ».

L’OMS et les responsables locaux de la santé publique entravent le progrès scientifique, en promouvant des « études observationnelles » sans essais contrôlés, plutôt qu’en protégeant la santé publique. Il devrait être très préoccupant pour tous que le prétexte de l’OMS « d’un recueil croissant de données d’observation sur l’utilisation des masques par le grand public dans plusieurs pays » s’est transformé dans le mantra « un nombre croissant de preuves », qui se retrouve sur les lèvres de pratiquement tous les agents de santé publique et les maires des villes du pays. »

Ce mantra d’« un nombre croissant de preuves » est avancé comme la fausse justification miracle des lois de masquage draconiennes, dans des circonstances réelles dans lesquelles :

  • Il n’y a eu AUCUNE nouvelle étude randomisée soutenant le masquage
  • Toutes les nombreuses études randomisées passées ne soutiennent pas le masquage

Aucun des dommages connus du masquage n’a été étudié (application sur l’ensemble de la population générale).

C’est le contraire de la politique fondée sur la science.

Les politiciens et les responsables de la santé publique mettent en œuvre le pire modèle décision qui puisse être appliqué dans une société qui se prétend rationnelle et démocratique : des mesures préventives forcées sans fondement scientifique, tout en ignorant imprudemment les conséquences.

Denis Rancourt prouve dès 2020 qu’il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir le masquage forcé sur la population générale, et que toutes les études médicales de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.

Rappelons en synthèse détaillée dans de nombreux articles que les obligations de masque facial pour toute la population provoquent :

  • – inconfort généralisé,
  • – troubles de la respiration,
  • – troubles de la vision (p. ex. buée sur les lunettes),
  • – communication altérée,
  • – distanciation sociale psychologique,
  • – irritation cutanée et infections,
  • – expression de soi altérée,
  • – exposition prolongée à des cultures bactériennes à proximité des yeux, du nez et de la bouche,
  • – la collecte et l’administration possibles d’agents pathogènes viraux qui, autrement, ne seraient pas inhalés, et
  • – amplification possible de la fraction granulométrique de l’aérosol expiré des particules infectieuses.

Le mantra « de plus en plus de preuves » est totalement mensonger[14]

Le port du masque est particulièrement nuisible chez l’enfant à risque de troubles d’apprentissage. Restons vigilants dans la crainte de mauvaises idées à la rentrée dans l’enseignement[15][16][17]. Protégeons-les de l’injection génique inutile et toxique, mais aussi du port du masque que voudraient possiblement nous imposer les enfermistes à la rentrée de septembre 2022.

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! | FranceSoir rappel d’un article d’août 2020. Ils savaient ! Il est très illogique et extrêmement grave de réclamer des masques pour les enfants, car ils ne contaminent pas les autres. C’est totalement aberrant de réclamer des masques pour les enfants en classe alors que, contrairement aux épidémies de grippe, l’école ne constitue aucunement un lieu de propagation du Covid19 (9) et qu’en cas de grippe qui se transmet fréquemment par les enfants à l’école jamais ceux-ci n’ont été soumis à pareille obligation ni d’ailleurs aux vaccins antigrippal.

Sur les plus de 3700 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid répertoriés par PubMed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.[18]

Ces articles confirment tous, sans exception, que le Covid 19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants et l’arrêt des activités scolaires sont responsables de troubles psychologiques comportementaux et sociaux fréquents, en plus d’une incidence évidente sur leur scolarité. TOUS CES ARTICLES ONT ÉTÉ CONFIRMÉS PAR L’EXPÉRIENCE MONDIALE.

N’oublions jamais : le masque est une technique d’enfermement

« Le traitement réservé actuellement à notre corps fait immédiatement penser à la technique d’enfermement utilisée au bagne de Guantanamo. Ce camp inaugure une nouvelle exhibition, non du corps, comme dans l’ancien régime ou dans la mise au travail du début du capitalisme, mais de son image, plus précisément une négation de l’image du corps.

Non seulement les yeux des prisonniers étaient masqués par des lunettes opaques, mais leur nez et leur bouche étaient recouverts par un masque chirurgical. Le corps du prisonnier est confisqué, non pas pour le soumettre, mais pour qu’il reste enfermé en lui-même. Rien ne doit détourner l’esprit du prisonnier d’un enfermement, devant être perçu comme n’ayant ni début et surtout ni fin ».

Par rapport à la réception, sans condamnation explicite, des images de Guantanamo, l’embrigadement dans la « guerre contre le coronavirus » est une étape supplémentaire dans le renoncement de notre humanité. (…)

Dans la « guerre contre le coronavirus » bien nommée par le président macron en mars 2020 et entérinée par le terme « commando » que devrait créer le nouveau ministre de la Santé, le langage militaire est omniprésent, et il n’y a plus de distinction intérieur/extérieur. Cette fusion d’ordre psychotique existe, non seulement au niveau individuel, mais aussi sociétal.

La fabrication de la psychose est depuis longtemps une préoccupation de nos dirigeants. Les techniques de privation sensorielles appliquées à Guantanamo permettaient de fabriquer des individus psychotiques en deux jours. Ces techniques étaient une application directe des recherches de psychologues comportementalistes, dont Donald O. Hebb de l’université McGill au Québec.[19]

Démasquer la pulsion de mort

Le principe d’identité se loge essentiellement sur le visage, le port du masque se présente comme une donnée originaire, porteur d’un trouble obsessionnel compulsif empêchant toute inscription de l’autre.

Si le visage rend possible le lien social, le masque corona est un dévoilement qui dérobe les traits de son porteur. Il « lève le verrou du moi et laisse libre cours au jaillissement de la pulsion ».

Le port du masque corona, comme support de l’appareillage pulsionnel, est au cœur du dispositif « sanitaire ». Il a pour fonction la décomposition du corps symbolique, l’annihilation de ce qui fait de nous des êtres humains.

Le port du masque empêche toute rupture avec le discours du pouvoir et permet l’éternel retour du traumatisme. Il est un fétiche se substituant à toute symbolisation.

Or symboliser, c’est déjà établir une distance avec l’injonction surmoïque et exister comme un « nous », c’est refuser d’être « pris un par un » dans cette guerre contre le genre humain et ainsi contrer une « attaque du collectif à travers les individus » par Jean-Claude PayeTülay Umay dont il faut lire l’article in extenso.

En conclusion, l’usage du masque, au-delà des multiples inconvénients physiques, sociétaux, éducatifs, etc., que nous avons rapidement perçus comme maltraitance tant chez les enfants que chez les adultes est bien plus que cela.

Il est l’outil de la perversité consciente des dirigeants qui nous persécutent, veulent nous déshumaniser et le font en pleine conscience.

L’arrêté autorisant sa poursuite dans les hôpitaux, publié le même jour que la suppression de la loi d’urgence covid le 26 juillet 2022 en est une tragique démonstration. Ils savaient, ils savent et devraient rapidement comprendre que nous savons aussi, et que leurs regrets, voire remords, récents tels ceux de JF Delfraissy et d’A Fischer ne suffiront pas à les absoudre de leurs gravissimes décisions qui ont ruiné de trop nombreuses vies et en gâcheront encore tant les effets délétères de toutes leurs décisions liberticides vont s’étaler sur des décennies, tant par leurs conséquences psychologiques que par les complications à long terme des injections géniques.


  1. [1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) [][]
  2. [2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) []
  3. [3] Coronavirus. Ceci n’est pas un masque ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Par Jean-Claude Paye et Tülay Umay, 13 avril 2021[]
  4. [4] « La pulsion de mort est la structure même de la pandémie. Générique et universelle, elle se « fonde sur une détresse physiologique et sur la rage impuissante » de l’infans, de celui qui ne peut parler. Elle empêche tout libre arbitre et induit une acceptation généralisée du port du masque. Cette pulsion devient la revendication d’un idéal qui est d’échapper à la condition humaine et ainsi l’acceptation d’un passage vers le transhumanisme. » CQFD[]
  5. [5] Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation mise à jour de la bibliographie internationale fin juin 2022[]
  6. [6] Le monde à travers un masque : l’impact psychologique — Nos Pensées (nospensees.fr) []
  7. [7] Masque et acte manqué — Psychologue.net[]
  8. [8] France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation[]
  9. [9] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/
    L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) []
  10. [10] Face Masks, Lies, Damn Lies, and Public Health Officinals: “A Growing Body of Evidence” | PDF | Randomized Controlled Trial | Infection (scribd.com) Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique : « Un nombre croissant de preuves »
    Un nouveau mantra vil est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et de tous les politiciens de la campagne mondiale pour imposer un masquage universel au grand public :
    « il y a un nombre croissant de preuves ».
    Cette phrase propagandiste est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :
    • Donner la fausse impression qu’un bilan des preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19 ;
    • Assimiler à tort les commentaires faits dans des lieux scientifiques avec des « preuves » ;
    • Masquer le fait qu’une décennie de preuves de niveau politique prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales ;
    • Masquer le fait qu’il existe désormais une preuve d’observation directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’exhalation de nuages ​​de particules d’aérosol en suspension (dessus, dessous et à travers les masques) ;
    • Détourner l’attention des méfaits et risques connus considérables dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières.[]
  11. [11] https://www.bbc.com/news/health-59895934[]
  12. [12] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
    https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/[]
  13. [13] Attention l’OMS veut manipuler à nouveau le monde via le moneypox (monkeypox) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation[]
  14. [14] revue de la littérature scientifique par Denis Rancourt concernant l’(in)efficacité mesurée des masques pour réduire le risque de transmission des maladies respiratoires virales, article publié le 11 avril 2020 chez ResearchGate, intitulé « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science pertinente à la politique sociale de COVID-19 ». lu quelque 400 000 fois sur ResearchGate, publié dans plusieurs lieux et objet de nombreux articles de commentaires et d’interviews. Ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas.[]
  15. [15] Cavadini, T., Fort, M., Pascalis, O., & Gentaz, É. (2022). Quels sont les effets du port du masque sur la reconnaissance des visages et des émotions chez les enfants et les adultes ? Apports des recherches. A.N.A.E., 176, 113-125.[]
  16. [16] Discussions autour des effets du port du masque — Psychologie du Développement Sensori-Moteur, Affectif et Social — UNIGE[]
  17. [17] Impact of lip-reading on speech perception in French-speaking children at risk for reading failure assessed from age 5 to 7 | Cairn.info[]
  18. [18] • Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
    • Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2
    • Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
    • Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. • JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
    • Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.
    • Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
    • Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)
    • LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9
    • Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
    • Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
    • Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.
    • Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
    • Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com[]
  19. [19] in « Un taxi pour l’enfer », fim documentaire américain réalisé par Alex Gibney, 2007[]
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Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique d’E. Macron[1], serait-il devenu complotiste ?

 

Par le DR G Delépine

Alors que le nouveau ministre F Braun s’apprête à mettre en place un  « commando » contre les virus et autres monstres nous menaçant (??), l’ancien président du conseil scientifique commence à avouer sur les antennes tous ses mensonges, ses manipulations et servitudes aux politiques et cabinets privés type Mc Kinsey qui ont donné les ordres  aux « scientifiques ». Il dénonce de fait la mascarade …

Dès mars 2020 nous avons dénoncé les mesures prétendument sanitaires (confinement et autres privations de liberté), comme inefficaces car contraires à la vérité scientifique[2] [3] [4] [5], les tests PCR chez les asymptomatiques comme une arnaque sans intérêt médical uniquement destinée à faire croire à des poussées de l’épidémie[6] et l’objectif officiel du zéro covid comme un mirage de la propagande marchande provax.

Depuis la mise sur le marché des pseudo vaccins et la propagande forcenée que martèlent les médias pour nous les imposer, nous répétons que les injections anti-covid ne sont pas des vaccins mais des médicaments, qu’elles sont totalement expérimentales et issues d’une technique jusqu’alors jamais utilisée en infectiologie, qu’elles ne protègent ni de la maladie, ni des transmissions, ni des formes graves, ni de la mort.

Ces constatations scientifiques des faits publiés par l’OMS ont été constamment traitées de fake news par de pseudo journalistes peu scrupuleux qui nous qualifient de complotistes[7] en suggérant même que nous serions d’extrême droite, voire antisémites pour nous diffamer. Malheureusement pour ces mercenaires de la désinformation la vérité est têtue et ce que nous proclamons depuis près de deux ans et demi est progressivement confirmé et reconnu même par les anciens avocats des mesures sanitaires dès qu’ils quittent le monde imaginaire des simulations biaisées pour examiner le monde réel..

Un très bel exemple d’un retour très tardif au monde réel est celui de J.F Delfraissy[8].

Confinement déclaré indispensable puis reconnu dévastateur

Début 2020 J.F Delfraissy. avait prétendu que le confinement était indispensable malgré ses doutes qu’il a récemment confié au Parisien: « Mais qu’est-ce qu’on a fait ?[9]», avant de se rassurer rapidement: « Plusieurs autres membres du Conseil scientifique doutaient, eux aussi, et on s’est remonté le moral, se répétant qu’on n’avait pas d’autre choix. ». Attitude vraiment incroyable d’un prétendu scientifique censé analyser la balance avantage/risques d’une mesure avant de la conseiller.

Un an plus tard malgré le bilan catastrophique avéré du premier confinement[10] il récidivait avec Denis Malvy et Karine Lacombe plaidant pour une nouvelle astreinte à résidence de la population “Le confinement apparaît vraiment irrémédiable. » !

Mais l’inefficacité sanitaire et les conséquences dramatiques des confinements ont depuis été largement démontrées par tous les scientifiques indépendants des gouvernements et des organismes qui les ont imposés [11] [12] [13] [14].

En février 2021 dans une lettre au Lancet[15], J. Delfraissy reconnaissait enfin, avec 5 autres membres du conseil scientifique que le confinement avait été nocif et qu’il fallait changer de politique : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. »« Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Alors pourquoi a-t-il conseillé le premier confinement et persisté ensuite dans l’erreur plusieurs fois ?

 

 

Le scandale des pass inefficaces et discriminatoires

Le conseil scientifique et son président ont présenté les pass comme des  mesures permettant de retrouver les libertés sans risque alors qu’ils ne constituaient que des chantages aux libertés pour forcer à l’injection les gens qui n’en avaient aucun besoin.

Lors de son audition au sénat à la question : « Est-ce que le pass protège réellement ? La réponse de J. Delfraissy a été. ‘non»,

Alors pourquoi ont-ils menti aux français en prétendant le contraire ?

 

Le mirage du “Zéro Covid” reconnu un « échec total. »

Pendant près de deux ans le conseil scientifique a fait croire que les mesures sanitaires et la vaccination allaient éradiquer le virus selon la stratégie du zéro covid inventée par les Chinois. Ils nous ont promis qu’on obtiendrait l’immunité collective après la vaccination de 60% des Français, puis de 70%, puis de 90%. Mais tous les pays (sauf la Chine) qui nous avaient précédé dans cette stratégie ont reconnu qu’il s’agissait d’un mirage impossible à atteindre dans le monde réel.

Mais après deux ans d’atteintes majeures à nos libertés fondamentales cautionnées par son comité prétendument scientifique J. Delfraissy avoue : « Le “Zéro Covid” est un échec total. ..Il faut vivre avec le virus !»[16]

Cette stratégie n’a jamais permis d’éradiquer une épidémie avec réservoir animalier connu comme l’est le covid. Alors pourquoi l’a-t-il conseillée sinon pour vendre des prétendus vaccins ?

 

Les  « vaccins sûrs et efficaces » devenus des «vax médicaments inefficaces »

Le comité scientifique et son président ont validé tous les mensonges de Pfizer comme celui d’appeler vaccin un médicament expérimental ne contenant aucun antigène et celui « d’une efficacité de 95%. » pour inciter la population à se faire injecter. Plus tard, alors que l’échec contre la diffusion virale devenait évident ils ont persisté. « Les vaccins sont efficaces contre le variant delta, si l’on a eu deux injections. il faut se faire vacciner » et quelques mois plus tard ils ont persévéré en prétendant « le vaccin est toujours efficace contre le Covid-19 (…) s’il a été administré trois fois».

Encore plus choquantes ont été les déclarations de Delfraissy à Sciences-Po Lille conseillant la vaccination des plus jeunes qui ne risquent rien du covid et celle poussant à la vaccination des femmes enceintes, hérésie scientifique jusqu’ici toujours contre-indiquée.

Ce n’est qu’après la fin annoncée de son comité anti scientifique que J. Delfraissy avoue « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion »

Alors pourquoi ne s’excuse-t-il pas d’avoir menti pendant au moins dix-huit mois et des complications et des morts que ces médicaments expérimentaux ont causé ?

Le Pr. Delfraissy a été en pointe dans la propagande alarmiste et les décisions portant atteinte à nos libertés fondamentales en leur donnant un alibi scientifique mensonger. Il a bafoué et décrédibilisé la science en trompant les Français pour qu’ils supportent l’inacceptable.

« SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME » (Pantagruel, RABELAIS)

 

Il reconnait enfin que ce sont les compagnies pharmaceutiques qui ont tout pouvoir sur les décisions prétendument scientifiques en rapport à ces pseudo vaccins. Mais pourquoi ne l’a-t-il pas dénoncé plus tôt et démissionné du conseil scientifique comme l’a fait très rapidement le Pr D. Raoult ?

Le ministre proclame son désir de transparence. Pour nous en convaincre, il faudrait qu’il fasse lever  le secret défense ubuesque qui pèse sur les 300 réunions et les 80 avis ou notes rédigés en deux ans et quatre mois par ce comité scientifique pour que chacun puisse en faire l’analyse.

A défaut, l’opposition parlementaire devrait l’exiger car qui peut croire que  la divulgation de ces  documents  jusqu’à présent classés secrets[17],  puisse  renforcer la virulence du Sars-CoV-2 ?

La démocratie nécessite une information honnête et durant ces deux ans et demi, elle ne l’a pas jamais été.

[1] Conseil qui disparait ce 31 juillet 22 en même temps que la loi d’urgence.

[2] Delépine « Confinement, mesure sanitaire ou politique ? » Agoravox samedi 21 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478

[3] Nicole Delépine, Gérard Delépine Autopsie d’un confinement aveugle Edition Fauves septembre 2020 https://docteur.nicoledelepine.fr/autopsie-dun-confinement-aveugle/

[4]Delépine « Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » Agoravox » https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712

[5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-cette-mesure-d-223105

[6] Vers le faire-part de décès des tests PCR https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vers-le-faire-part-de-deces-des-tests-pcr

[7] Le  Collectif citoyen Quand la démocratie devient un complot  https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/quand-la-democratie-devient-un-complot

[8] Jean-François Delfraissy, né le 19 mai 1948 à Paris, est un médecin et professeur de médecine français, spécialisé dans l’immunologie.

 

Il est nommé président du Comité consultatif national d’éthique en 2016. Il prend en 2020 la présidence du Conseil scientifique Covid-19, institué par le ministre Olivier Véran pour conseiller le gouvernement dans la lutte contre la pandémie de Covid-19

[9] Capture BFMTV

« Mais qu’est-ce qu’on a fait ? » : Jean-François Delfraissy sans filtre sur la gestion de la Covid-19 Capture BFMTV

[10] Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire

[11] Surjit S BhallaLockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID WinsNov 1, 2020 https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b

[12] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident

impacts on the COVID-19 epidemic. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

[13] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ONCOVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022 https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf

[14] Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JPA. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. doi: 10.1111/eci.13484. Epub 2021 Feb 1. PMID: 33400268; PMCID: PMC7883103. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/

[15] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,

https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext

[16] https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/mais-qu-est-ce-qu-on-a-fait-jean-fran%C3%A7ois-delfraissy-sans-filtre-sur-la-gestion-de-la-covid-19/ar-AA1086Uu

[17] Le secret défense a été créé pour protéger les informations militaires ou diplomatiques nécessaires à la sécurité militaire du pays. On ne comprend pas en quoi cela s’est appliqué à un virus, pas plus que le nouveau « commando » que veut mettre en place le ministre Braun.

Exclusion des soignants et pompiers non vaccinés, acte de censure dissimulée

L’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés est aussi un acte de censure dissimulée – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

Comme l’a dit Marie Estelle Dupont, les pompiers ne risquent pas de contaminer les arbres, en feu de surcroit.  Et les pompiers qui arriveront de l’étranger ne sont probablement pas tous vaccinés ! Encore une nouvelle discrimination, mais le ridicule ne tue pas !
https://twitter.com/EnModeMacaron/status/1557652637528498176?s=20
@EnModeMacaron  « Le vaccin ne protège pas de l’infection et de la contamination mais Macron ne réintègre pas les pompiers suspendus! La sénatrice Sylviane Noël veut la réintégration des pompiers suspendus alors que la France brûle! RT si tu soutiens cette demande »!
@DelormeEric2  « Pour faire face aux incendies la France reçoit le renfort de pompiers allemands grecs roumains autrichiens… sans aucune vérification de leur statut vaccinal quand 5000 pompiers volontaires français  sont toujours suspendus! Mais quel est ce pays! #SoignantsSuspendus #incendies

10/08/2022 (2022-08-09)

Par Nicole et Gérard Delépine

Les soignants vaccino prudents ainsi que les pompiers, premiers témoins des désastres vaccinaux, ont été exclus du milieu médical, puis ostracisés parce que le ministre ne voulait pas qu’ils parlent, racontent leurs constatations, ni qu’ils servent d’exemple !

Maintenant les hôpitaux, les cliniques obstétricales ferment tandis que les déserts médicaux se multiplient aux dépens des malades.

Il n’y avait aucune raison sanitaire d’exclure les soignants vaccino prudents

Avant la mise sur le marché des vaccins, lors de la première vague, aucune étude n’a prouvé que les soignants constituaient une source notable de dissémination de la maladie. Les 300 covids nosocomiaux répertoriés en France sont dus aux conditions d’attente aux urgences et à l’absence de ventilation efficace des services.

Au moment où le gouvernement a imposé cette obligation, il reconnaissait lui-même que les pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre donc que les injections des soignants ne pouvaient pas protéger les malades au vu des courbes d’évolution de l’épidémie mondiale publiées par l’OMS.

On pouvait s’en douter depuis plus d’un an, au vu de la flambée épidémique dans les pays précocement et massivement vaccinés, Islande, Royaume-Uni, Gibraltar, Israël alors que l’Afrique et Madagascar peu vaccinés ont beaucoup moins souffert.

Les vaccinés sont aussi dangereux pour les personnes qu’ils approchent que les non-vaccinés.

Les données sur le mois de juin 2022 de la Direction de la recherche, des études, évaluations et statistiques du ministère de la Santé laisseraient même envisager que la vaccination avec rappel augmente le risque d’infection. La proportion de tests positifs se révèle plus faible chez les non-vaccinés que chez les vaccinés avec rappel (788/100 000 vs 846) dans la catégorie des 40-59 ans, comme dans celle des 60-79 ans (584 vs 757).

Le gouvernement se réfugiait derrière la prétendue protection des formes graves qui s’est depuis elle aussi révélée fausse et qui ne pouvait en aucune manière constituer un argument d’obligation vaccinale.

Alors pourquoi le gouvernement a-t-il imposé cette obligation ?

Il n’y a aucune raison sanitaire de maintenir l’exclusion des soignants vaccino prudents

L’académie de médecine s’est opposée à une éventuelle réintégration des soignants non vaccinés sans aucun argument scientifique. Lorsqu’elle prétend qu’un « revirement mettrait en péril les malades fragiles », elle est incapable d’apporter la moindre étude clinique à l’appui de son affirmation infondée. Et son affirmation est d’autant moins crédible qu’elle a accepté que les soignants covid positifs continuent leur activité auprès de ces malades fragiles…

Elle se réfugie derrière des motifs psychologiques en prétendant croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister entre soignants », alors que ceux qui travaillent encore n’attendent que d’être renforcés par leurs collègues et amis.

Elle fait aussi semblant de croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister avec les patients » alors que ceux-ci préfèrent avoir des soignants expérimentés plutôt que des vigiles à l’entrée des hôpitaux et que la peur qui en paralyse encore beaucoup n’est pas la conséquence d’un danger réel, mais seulement de la propagande terrorisante qui se poursuit et qu’elle pourrait contribuer à calmer.

Lorsque les vieux retraités de la médecine qui constitue la majorité de l’académie prétendent que « la réintégration ne résoudrait pas les difficultés de l’hôpital », ils paraissent ignorer la réalité du terrain rappelée par les médecins en activité comme Gérald Kierzek[1], Jean-François Cibien, (président de l’intersyndicale Action Praticien Hôpital)[2], Yannick Neuder, Patrick Pelloux[3], Antoine Flahault[4] pourtant infatigable provax, le professeur Yonathan Freund, urgentiste à l’AP-HP…

« Outre la pénurie de soignants, il est dommage de se priver de compétences et de personnes qui ont donné parfois 20 ou 25 ans à leur métier. Aucune quantité n’est négligeable aujourd’hui. Dans une équipe à flux tendu, quand on enlève une ou deux personnes, c’est très compliqué… On a besoin de tout le monde pour assurer la qualité et la sécurité des soins. »

Quant à la HAS, on comprend mal la base scientifique de son avis, dont la conclusion est en contradiction avec l’exposé. Pour justifier le maintien de l’obligation vaccinale, les experts de la HAS prétendent en effet que « la protection vaccinale se situe entre 45 % et 55 % contre les infections symptomatiques dans les trois mois suivant l’injection » mais se contredisent plus loin en reconnaissant que « le niveau d’efficacité contre les infections après trois mois n’est pas précisément connu à ce jour ». L’absence d’indépendance de la HAS dont tous les membres sont nommés par les politiques a été démontrée ailleurs et fait peser bien des doutes sur la fiabilité de leurs avis.[5]

En réalité l’exclusion visait à empêcher que ces soignants et pompiers n’informent les patients avec des informations directes du vécu du terrain (qualifiées de complotistes)

La censure des médecins vaccino prudents, et leur diabolisation, ont commencé très tôt dans les médias excluants systématiquement ceux qui contredisaient les mensonges officiels (tels que l’utilité du confinement et d’autres mesures prétendument sanitaires telles que le masque ou la distanciation des écoliers [!], la qualification « vaccin » attribuée à des médicaments sans antigène ni anatoxine, la nature expérimentale des injections jusqu’en 2023, leur efficacité proclamée de 95 %, leur intérêt chez les enfants…).[6] Très vite après les premières injections, les ambulanciers, urgentistes, pompiers ont été frappés par les « accidents » type AVC, crise cardiaque qu’ils étaient amenés à prendre en charge. Et très rapidement ils ont été soumis au SILENCE imposé par leur hiérarchie sous peine de sanctions, voire de licenciement.

Les témoignages personnels et par les réseaux sociaux sont légion de ces personnes soumises à des pressions fortes et déstabilisatrices et dont l’état psychologique est aujourd’hui gravement perturbé, ajoutant à la peur vécue, un sentiment de culpabilité. Ils ont su tôt et n’ont rien dit, en dehors des plus « forts » qui ont osé refuser l’injection et se laisser suspendre et vilipender.

Cette censure des professionnels a été avouée et officialisée par la modification du code de la santé publique obligeant les médecins qui s’expriment à se conformer dorénavant à la propagande gouvernementale.[7]

Elle a été renforcée par le conseil de l’ordre qui a rétabli le délit d’opinion[8], poursuivi les médecins, et en a condamné pour la simple expression de vérités dérangeantes. Récemment une nouvelle charrette de médecins poursuivis est dénoncée d’autant qu’il s’agit de médecins ayant eu l’extrême audace de soigner et guérir leurs malades au nom du serment d’Hippocrate et contre l’interdiction du ministre Véran d’utiliser l’hydroxychloroquine et les antibiotiques contre ce petit virus (qui a l’outrecuidance de passer à travers les pores des masques imposés).

L’exclusion des soignants vaccino prudents et des pompiers est en réalité essentiellement un acte de censure visant à empêcher les professionnels du soin et de leur accompagnement, conscients de l’inefficacité et surtout des complications des injections rapidement apparues et constatées dans leur pratique quotidienne, d’en informer les patients. Les autres, demeurés dans le système, ont été soumis à la règle du silence absolu et du pseudo devoir de réserve. Demandez-leur !

Cette exclusion fait partie du plan de propagande pro vaccin mis au point avec un cabinet de conseil (McKinsey ?) utilisant la vieille technique des sociétés communistes d’exclure les opposants politiques de leur profession. Ont-ils pris des leçons auprès du PCC[9] ?

Cette haine contre les opposants à sa dictature sanitaire explique seule leur exclusion du chômage et de toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Seule cette haine contre les résistants peut justifier la persistance de l’obligation en France et en Italie alors que la quasi-totalité des pays européens voisins n’y a pas eu recours ou l’a supprimée

Traiter les soignants vaccino prudents d’antivax est une diffamation

Les soignants qui ont refusé les pseudo vaccins ne sont pas des anti vax : jusqu’à la mise sur le marché conditionnelle des injections expérimentales ils étaient à jour de leurs vaccinations et n’avaient jamais rechigné à administrer à leurs patients de vrais vaccins.

Les traiter d’antivax comme le font couramment ministère et médias constitue donc un mensonge et une injure destinés à les discréditer aux yeux de la population.

Les pouvoirs publics les ont désignés comme de dangereux irresponsables, des antisciences, un comble pour des médecins et infirmiers. L’équivalent, prétendaient-ils, « de matheux contestant les théorèmes les plus solides » alors qu’ils avaient scientifiquement raison.

Avec des vaccins qui empêchent mal la transmission contre Omicron, le refus de la réintégration des soignants vaccino prudents ne constitue donc pas une protection des patients contre le virus, mais une mesure de censure féroce contre la diffusion d’un prétendu « complotisme » dans les hôpitaux. Cette décision aggrave évidemment le vide hospitalier et l’incompréhension des équipes de plus en plus conscientes de la bêtise de cette exclusion sans argument scientifique, relevant d’un totalitarisme qu’ils devinent et ne voudraient pas voir.

Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale plaide pour l’apaisement :

« On est dans une société fragilisée, fracturée. On a besoin de retrouver de la cohésion, du lien social, du respect réciproque, de la responsabilisation, et je ne pense pas que cela se fasse en jetant le discrédit et l’anathème sur des personnes qui, au tout début de la crise, sont allées sur le terrain, dans les EHPAD, dans les services hospitaliers sans le moindre soutien, sans les moindres moyens. “Ces soignants ont été souvent considérés comme des héros. Et du jour au lendemain, les répudier d’une manière aussi rapide et brutale me pose problème”.

La réintégration des soignants non vaccinés, ainsi que d’ailleurs des pompiers réfractaires, qui seraient bien utiles sur le front des incendies de forêt, se révèle donc nécessaire. Le pragmatisme y rejoindrait la morale. Toutefois, pour calmer les craintes des patients ayant succombé à sa campagne de communication, il faudrait que les pouvoirs publics admettent avoir cloué au pilori pour rien de nombreux professionnels. Voire, via le pass sanitaire puis vaccinal, commis un chantage à l’emploi et à la vie sociale sur des millions de jeunes et piétiné allègrement leurs droits et libertés au prétexte de les empêcher de contaminer les personnes à risques… sans raison médicale valable ».

Il faut réintégrer immédiatement les soignants et les pompiers scandaleusement ostracisés et supprimer toutes les censures qui empêchent tout débat démocratique depuis plus de deux ans.

Heureusement des voix s’élèvent pour la réintégration des non-vaccinés y compris à l’Assemblée nationale !

La sénatrice Laurence Muller-Bronn prend la défense des soignants suspendus non vaccinés sur France Soir : « On les traite comme… — (les-republicains.net)


Quelques témoignages


 

  1. [1] émission Points de vue du 13 juillet 2022.
    https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-reintegrer-les-soignants-non-vaccines-gerald-kierzek-pousse-un-coup-de-gueule_498050[]
  2. [2]« Ils ne sont pas des parias », s’insurge-t-il.
    https://www.midilibre.fr/2022/06/24/crise-a-lhopital-face-a-la-penurie-de-soignants-faut-il-reintegrer-le-personnel-non-vaccine-contre-le-covid-10394277.php[]
  3. [3] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-5-medecins-repondent-sans-langue-de-bois[]
  4. [4] https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549756425928327168[]
  5. [5] HONTE A LA HAS EMANATION DU POUVOIR DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  6. [6] AUTOPSIE D’UN CONFINEMENT AVEUGLE, G ET N DELEPINE, ÉDITIONS FAUVES SEPT 2020[]
  7. [7] Le décret du 24 décembre 2020 modifiant l’Article R. 4127 — 19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle[]
  8. [8] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion[]
  9. [9] Parti communiste chinois. N’oublions pas que notre gouvernement a suivi à la lettre les règles aberrantes de confinement appliquées en Chine, avant toute épidémie avérée et dangereuse démontrée en France. E. Macron nous expliquait, quelques jours avant d’imposer le confinement strict, qu’il fallait aller au théâtre, vivre normalement. Qui l’a fait changer d’avis en quelques jours ?[]