par N Delépine

Georgia Meloni élue en Italie serait-elle réactionnaire, car opposée à la théorie du genre ?

Il est désormais de notoriété médiatique que considérer qu’un homme est un homme et une femme est une femme est conservateur. Et comme a expliqué A Buzyn : « un oncle peut être la mère… ». D’ailleurs, regardez les cartes d’identité instituées par l’UE avec un être humain d’un nouveau genre si l’on peut dire sans humour déplacé. Quant aux Polonais, Hongrois ou Russes, puisqu’ils ne cautionnent pas cette théorie, ils ont déjà subi la même qualification de réactionnaire dans nos médias.

D’où vient la théorie du genre ? 1

Pour comprendre ce qui nous est arrivé en seulement quelques années, de la falsification de nos cartes d’identité et des carnets scolaires de nos enfants (avec parent 1 et parent 2 et bientôt parent 3) en fonction des progrès d’une prétendue science, je me suis finalement décidée à étudier les différents aspects et conséquences de cette fameuse théorie qui régit maintenant les écoles, universités, hôpitaux, livres, et théâtre. Ne va -t-on pas jouer Roméo et Juliette entre deux homosexuels et représenter Blanche-Neige par un Africain noir ? Ils ont bien le droit de jouer des pièces de théâtre, mais pourquoi se moquer des auteurs classiques, tout casser, tout salir, tout déconstruire ?

Il faudra approfondir les fondements et les conséquences de cette « révolution » sociétale, mais voici déjà quelques éléments pour ceux qui comme moi, avaient considéré qu’il en allait de la liberté de chacun et n’ont pas cherché plus loin. En fait c’est notre liberté, notre équilibre mental et celui de nos enfants qui sont menacés de disparaître en moins d’une génération les bases des sociétés humaines, par la volonté sectaire de ces déconstructeurs.

Cette fumeuse théorie a progressivement et insidieusement envahi, depuis les années 1980, l’enseignement à l’école publique — plus obsédée par la formation des jeunes à la sexualité diversifiée et aux notions de genres (masculin, féminin, neutre, trans ou autre) — qu’à l’écriture et au calcul. L’enseignement universitaire en est transformé avec l’exclusion des voix divergentes (ou seulement ouvertes à la discussion), interdites de conférence à Science Po ou à Grenoble et Clermont-Ferrand. Quant à la désastreuse écriture inclusive, dans une époque où l’orthographe a perdu pied et où 9 % des jeunes sont illettrés2, n’en parlons même pas…

La théorie du genre a imprégné en une trentaine d’années le contenu des séries et des films, particulièrement sur Netflix, dans lesquels doivent nécessairement figurer les symboles des minorités : un handicapé, un individu d’origine africaine, un couple d’homosexuels féminins ou masculins, si possible un transgenre, en tentant de n’oublier aucune minorité. Seul l’Asiatique est le plus souvent ignoré.

[Voir aussi :
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION]

Les discours politiques doivent faire preuve de bienveillance envers ces minorités agissantes pour être considérés comme bien-pensants, appartenir au camp du bien et donc être présentables dans les médias. Les émissions des chaînes publiques supposées être neutres comme France Info, France Culture, France Inter et autres éliminent soigneusement les interlocuteurs non politiquement corrects, appauvrissant ainsi leur contenu et limitant tout débat démocratique. Les autres discours, comme ceux de Mme Meloni (et bientôt même de Madame Badinter ?) sont rapidement taxés de réactionnaires, puis d’homophobie, d’extrême droite, de fasciste ou post fasciste ou pourquoi pas d’antisémite.

Définition : le genre comme la conduite sexuelle qu’on choisit d’adopter, en dehors de notre sexe de naissance

John Money sexologue et psychologue néo-zélandais, spécialiste de l’hermaphrodisme3 à l’université américaine Johns Hopkins, a défini en 1955 le genre comme la conduite sexuelle qu’on choisit d’adopter, en dehors de notre sexe de naissance4après avoir étudié des cas d’enfants nés intersexués.

Test in vivo sur des jumeaux nés en 1966

La première expérimentation de la théorie du genre avait pourtant bien mal commencé, aboutissant à une catastrophe sur un couple de jumeaux nés garçons, 5 dont les parents avaient été convaincus par John Money d’élever l’un des deux comme une fille. Les parents de jumeaux âgés de huit mois souhaitaient les faire circoncire, mais l’un d’eux, Bruce subit la brûlure de son pénis à la suite d’une cautérisation électrique. John Money sauta sur l’occasion, espérant démontrer que le sexe biologique ne serait qu’un leurre et proposa aux parents désespérés d’élever Bruce comme une fille, sans jamais lui révéler son sexe de naissance.

Bruce-Brenda recevra des hormones, subira l’ablation des testicules, sera élevée en fille avec robes et poupées. Tout se passa, semble-t-il, assez bien pendant l’enfance, si bien que son initiateur crut à une réussite et publia de nombreux articles à la gloire de sa « découverte » et même un livre en 1972, Homme-femme, garçon-fille, dans lequel il affirma que ce serait l’éducation et non le sexe de naissance qui détermine si l’on est homme ou femme.

Mais le réel revint au galop

À l’adolescence, la voix de « Brenda » devint grave et elle fut attirée par les filles. Les parents avouèrent la mystification. Elle eut le courage et la force de caractère pour renoncer à ses hormones femelles et reçut de la testostérone, hormone mâle.

« Dès lors, Brenda redevient un homme, David, auquel on recréa chirurgicalement un pénis et retira les seins. Ce dernier se mariera même à une femme, à l’âge de 24 ans. Mais cette expérience identitaire hors norme a laissé des dégâts irréparables chez les jumeaux. Brian se suicide en 2002 et David en mai 2004. »

LES DÉGÂTS EN MÉDECINE D’UN MARCHÉ PROMETTEUR

Il faudrait plus d’un petit article pour décrire la longue liste de drames, conséquences de cette négation du réel et des extraordinaires instrumentalisations de la folie collective, de la manipulation des jeunes, puis des enfants et de leurs parents par l’appât du « fric » et aussi de la jouissance de pouvoir sur les autres êtres humains. Se prendre pour Dieu, remodeler ce qui serait une erreur de fabrication et en même temps devenir super riche, quel bel avenir pour des chirurgiens dégoûtés des mesquineries bureaucratiques et pour les pédiatres et endocrinologues frustrés par la routine grise quotidienne. Jouer à Dieu, qui y résisterait ?

Collusion de l’argent et des intérêts politiques et psychiques. Les « spécialistes » endocrinologues, dealers de drogues hormonales d’une clientèle devenue captive à vie et les chirurgiens plastiques peu regardants sur les ablations d’organes sexuels, puis les reconstructions en fonction des souffrances de l’individu maltraité (sous prétexte de répondre à ses pulsions du moment). Après trente ans de business majeur, les scandales commencent à apparaître. Nous y reviendrons. 6

Par exemple celui de la « clinique transgenre pédiatrique » du centre médical de l’Université Vanderbilt qui « soulève de graves préoccupations morales, éthiques et juridiques qui font l’objet d’une enquête judiciaire ».

Depuis le 1er janvier 2017, conformément à la Loi Obama « sur les soins abordables » (Obamacare), les compagnies d’assurance américaines sont tenues de couvrir les frais médicaux des personnes qui veulent changer de sexe. Le reportage de Walsh a mis en évidence que Vanderbilt « drogue, castre chimiquement, et effectue des doubles mastectomies sur des mineurs », et calme l’opposition parmi ses médecins par « des menaces et de la coercition », emploie des militants transgenres pour assurer la conformité du personnel, et le fait à des fins lucratives.

Walsh a rappelé les prix de diverses opérations : 40 000 $ pour la « reconstruction thoracique » de femme à homme, 20 000 $ pour une vaginoplastie, et jusqu’à 100 000 $ pour les chirurgies complètes de femme à homme. L’ensemble de ces problèmes justifie l’enquête judiciaire en cours.

Aux USA, le coût des médicaments et des interventions chirurgicales peut atteindre 200 000 $ 7pour un seul « patient ».

La propagande d’identité trans est maintenant une mode qui cible spécifiquement les jeunes

« Es-tu un enfant qui souffre de dysphorie de genre et qui a besoin de produits chimiques bloquant la puberté ? Selon la clinique d’identité sexuelle Tavistock de Londres, la plupart des enfants en ont besoin. Et elle a fonctionné en toute impunité de 1983 jusqu’au mois dernier. La clinique a récemment été fermée par le NHS, alors que les enquêtes se multiplient et que le public s’indigne des allégations selon lesquelles Tavistock diagnostiquait au hasard des troubles de l’identité sexuelle chez les enfants, même s’ils étaient normaux.

Le concept de transsexualité étant largement promu par les médias d’entreprise, les parents gauchistes, les enseignants des écoles publiques et de nombreux gouvernements occidentaux, il n’est pas étonnant que tant d’enfants commencent à ressentir le besoin de rejoindre la tendance et de signaler leur vertu. En général, la plupart des enfants veulent rendre les adultes qui les entourent heureux et la pression pour se conformer aux modes en matière d’identité sexuelle est immense. Tavistock, la seule clinique de changement de genre et de sexe en Grande-Bretagne, est passée d’environ 130 enfants patients par an en 2010 à près de 2400 en 2021. »

Le féminisme des années 80 déclinant, les néoféministes se sont saisies des délires de la théorie du genre pour alimenter leur discours à une époque où la contraception, le large droit à l’avortement, et l’élargissement de la place des femmes en politique et dans l’entreprise stérilisaient leurs discours.

Bienvenue la théorie du genre, et peu importe les nombreuses vies gâchées qu’elle engendrera. Car le mal être de ces enfants est à terme habituellement aggravé par les mutilations et les traitements qu’ils subissent et les conduits à un risque important de suicide. Une étude libanaise 8 montre que 55 % des participants transgenres avaient des pensées suicidaires actives contre 0 % chez les témoins. Dans la population trans, le passage à l’acte « suicide » dépasse 40 % 9 soit dix fois plus que la population standard et 2 fois plus que les bisexuels ou homosexuels.

Ils ne se seraient peut-être moins suicidés si au lieu de leur faire croire que les transformer les rendrait heureux, on leur avait appris que le bonheur nécessite l’acceptation de soi tel qu’on est (et tel que l’on naît ?) et aider avec des prises en charge psychologiques et/ou psychiatriques de qualité.

LES DÉGÂTS À L’ÉDUCATION NATIONALE

C’est environ 2014 que les dégâts dans l’Éducation Nationale apparaissent avec une première tentative de stopper le mouvement appelé pudiquement « abc de l’égalité » conduisant à l’intrusion dans l’école publique de discours qui n’ont rien à y faire.

Théorie du genre : des élèves absents du fait d’une étrange rumeur (lefigaro.fr)

Une tentative de résistance apparaît dans les médias via le site internet du mouvement « JRE2014 » : « une action nationale inédite pour sauver nos enfants », explique le tract :

« Vous justifierez l’absence de votre enfant le lendemain par le motif: “journée de retrait de l’école pour l’interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires”,

« Le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, sur les traces de son prédécesseur Luc Chatel veut généraliser et officialiser l’enseignement de la théorie du genre (…) à la rentrée 2014 (…) Des centaines d’écoliers sont déjà victimes de ces programmes à titre expérimental », développe le texte en référence aux ABCD de l’égalité, lancés conjointement par Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem, dans dix académies.

« D’ores et déjà, des militants du lobby LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels) s’invitent en classe », explique-t-il. « L’éducation de nos enfants nous appartient », martèle le tract qui milite pour le retour d’« un ministère de l’instruction publique ». Sur le site, une soixantaine de contacts locaux assurent le relais du message en région ».

Commandé par Najat Vallaud-Belkacem, un rapport vise à « lutter contre les stéréotypes », notamment à l’école.10

Une infiltration douce et discrète de l’école avec des termes trompeurs

 « Le rapport “lutter contre les stéréotypes filles-garçons, un enjeu d’égalité et de mixité dès l’enfance”, du Commissariat général à la stratégie et à la prospective remis à Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, ne contient aucune proposition détonante. »

« Cela résonne plus joliment que les oukases à la Peillonqui voulait s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités ! », commente Olivier Vial, porte-parole de l’Observatoire de la théorie du genre. C’est juste un début de propagande douce : on va essayer, par une série de micro-incitations insidieuses, de guider le comportement des gens et de remplacer peu à peu un modèle de société par un autre.

NOUS SOMMES EN 2014

Les controversés « ABCD de l’égalité », censés lutter contre le sexisme, arrivent dans 600 classes. 11 ÉLÈVES COBAYES SUR DÉCISION DES « ÉLITES »

Les « ABCD de l’égalité » : le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, et sa collègue des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, portent conjointement cette expérimentation.

Au total, dix académies volontaires, soit plus de 600 classes, sont concernées par ce dispositif visant à « déconstruire les stéréotypes de genre » et à « transmettre, dès le plus jeune âge, une culture de l’égalité et du respect entre les filles et les garçons, en agissant sur les pratiques des acteurs de l’éducation et sur les préjugés des élèves ». Objectifs affichés : sensibiliser les élèves aux représentations et aux rôles assignés aux filles et aux garçons, et agir ainsi sur les orientations professionnelles que l’on sait sexuées » (…), démarche plus globale se proposant d’agir sur les mentalités, et dont l’école est un volet.

Olivier Vial, président du syndicat de droite UNI, invite à la vigilance, comme des responsables de l’Association des familles catholiques, qui craignent à l’école une démarche de déconstruction des repères transmis par les parents.

Des heures de formation spécifiques

En 2014, plusieurs milliers d’élèves, de la maternelle au CM2, ont fait l’apprentissage de cette « égalité », via des séquences pédagogiques mises en œuvre par les enseignants.

Exemple d’une séquence pédagogique autour des « représentations esthétiques de l’enfant, de la femme et de l’homme » au fil des siècles, du portrait par Rigaud de Louis XIV portant des talons hauts, au smoking pour femme d’Yves Saint Laurent en 1966 ; ou cette réflexion sur « la figure de la belle » dans les contes.

Objectifs: démontrer aux enfants que les notions de féminin et masculin évoluent suivant les sociétés et les époques.

Pour les deux ministères, le but est de « sensibiliser les élèves aux représentations, aux rôles assignés aux filles et aux garçons » et d’aider les enseignants dans cette tâche en offrant « des entrées au sein de programmes officiels existants: sciences, éducation physique et sportive, maîtrise de la langue, histoire… ». 12

Néanmoins, il semble bien que selon les enseignants bénéficiant d’une certaine liberté dans leur classe, le message ait été plus ou moins doux, limité pour certains à tenter de limiter utilement certaines idées préconçues. Par exemple les filles sont aussi capables de faire de hautes études scientifiques que les garçons.

Finissons pour ce jour par une chronique de Russie rapporté par Boris Karpov dans la série « valeurs occidentales » : La littérature pour enfants a fait son chemin vers les histoires transgenres de la maternelle : le portail des enseignants du Royaume-Uni recommande My Sister Daisy comme une excellente lecture pour expliquer les problèmes d’identité de genre aux enfants.

« Tu es sûr d’être une fille ? J’ai demandé. — J’ai un ami qui est à la fois un garçon et une fille, tu dois lui parler comme “ils” et “eux”. “Je suis sûr ! Je suis une fille ! Et je m’appellerai ‘elle’ et ‘elle’, as-tu dit. Maman et papa pensaient que j’étais un garçon quand je suis né, mais ils avaient tort. Je sais qui je suis et je sais que je suis une fille.”

Le portail du blog des enseignants de littérature pour enfants dit que c’est un excellent livre pour les parents ou les enseignants pour parler aux enfants des questions d’identité de genre et de pronoms.

C’est l’histoire vraie d’une famille où le deuxième enfant est conscient d’être transgenre. L’auteur lui-même élève un tel bébé. Selon l’histoire, le frère aîné devra s’habituer au fait que son frère est désormais une sœur. Après que le garçon ait été envoyé à la maternelle, il a dit qu’il était maintenant une fille nommée Daisy” ».

Huit ans après l’arrivée des ABC de l’égalité, il sera capital de faire le point sur ses effets dans le monde réel. Suite à venir…


 

 

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La disparition des médecins compétents organisée par l’ordre des médecins aux ordres : une nouvelle victime, le Dr S. Gayet

https://nouveau-monde.ca/la-disparition-des-medecins-competents-organisee-par-lordre-des-medecins-aux-ordres-une-nouvelle-victime-le-dr-s-gayet/

26/09/2022 (2022-09-26)

Par le Dr Gérard Delépine

Combien de temps les citoyens français vont-ils rester silencieux, passifs, soumis face à cette destruction massive des hôpitaux français et du tissu libéral de ville ? En dehors des quelques milliers de résistants qui viennent soutenir les médecins persécutés le jour de leur convocation1, le silence des Français n’a d’égal que leur désespoir et désolation, lorsqu’ils sonnent à des urgences hospitalières fermées pour la nuit, y compris dans des grandes villes comme Bordeaux. Quant aux médecins de ville, ils se raréfient… Combien d’affiches comme celles de Juvisy sur la nationale 7, autrefois synonyme de vacances au bout du chemin, et maintenant de pénuries rappelées par ces affiches tous les trois kilomètres…

Alors quand une nouvelle fois, nous voyons un médecin compétent, infectiologue, enseignant, RADIE de l’ordre des médecins, donc interdit de consulter, de soigner, d’aider, d’utiliser ses compétences à rassurer les patients, on se dit une nouvelle fois que notre pays sombre dans la folie. Et le même jour le ministre pleure de la multiplication des téléconsultations et arrêts de travail trop nombreux à son goût… Les robots ne seraient-ils pas parfaits ou pas encore automatiques…

Scandale : Le Dr Stéphane Gayet2 radié de l’Ordre des Médecins pour avoir prescrit des traitements précoces contre le Covid-19 ! En note son CV extrait de MEDISITE Pr Stéphane Gayet — Les experts Medisite. À quoi bon toutes ces formations, toutes ces conférences, pour être radié comme un malpropre pour divergences de vues avec le pouvoir et pour avoir commis deux « fautes » dont les citoyens le remercient chaque jour :

Avoir soigné ceux qui le nécessitaient précocement et les avoir guéris

Avoir informé dès décembre 2021 des effets secondaires, parfois graves, voire mortels des pseudovaccins, injections géniques à ARN.

@LouisEymard 23 sept.

En décembre 2021 le Dr Stéphane Gayet alertait des effets secondaires des injections et a dévoilé la clause d’irresponsabilité imposée par les laboratoires pharmaceutiques. #JusticePourLesSuspendus

 

@ErikLoridan

23 sept. Le Dr Stephane Gayet, médecin infectiologue strasbourgeois, radié par l’ordre des médecins pour avoir osé soigner des covid long ! Faites du bruit !!

 

@LemoineSbastie2 @ErikLoridan@psy_paris‬‬‬‬

Le Dr Gayet a aussi critiqué le totalitarisme EBMcile que Bigpharma et les zéts font passer pour LA science mais qui est en réalité une démarche marketing et nazi pic.twitter.com/ehe2USDjNv

23/09/2022 19:49

25 SEPTEMBRE 2022 À LA UNE, COVID-19 3

« Le Dr Stéphane Gayet a officiellement été radié de l’Ordre des Médecins cette semaine, simplement pour avoir usé de sa liberté de prescription ! Le médecin a en effet prescrit divers médicaments comme l’hydroxychloroquine à ses patients atteints de Covid-19, mais comme l’État a choisi dès le départ de disqualifier ces médicaments, on se retrouve aujourd’hui avec des médecins radiés de l’Ordre car ils en ont prescrit !

Le Dr Gayet lançait également l’alerte en décembre 2021 sur les effets secondaires des vaccins et la clause de non-responsabilité des laboratoires, qui rend l’État coupable des complications liées aux vaccins en laissant les labos libres de tout souci.

C’est donc sans aucun doute une chasse aux sorcières qui s’est enclenchée dès ce moment-là, car un médecin qui ose prononcer une parole contredisant les “mesures préconisées par les autorités sanitaires” se met en danger de représailles… Voilà où en est malheureusement la France aujourd’hui. »

Dissident Officiel

Et pourtant elle agit !

Pardonne-nous Galilée de te paraphraser, mais nous sommes devant une nouvelle inquisition tout aussi dogmatique et anti-scientifique que celle que tu as affrontée.

Pour s’en convaincre il suffit de regarder le succès des pays qui ont utilisé le protocole Raoult comme l’Algérie et le Cameroun où les antipaludéens comme les pays africains ou Madagascar par rapport à la stratégie gouvernementale que défend le conseil de l’ordre.

LES SOIGNANTS ET POMPIERS SUSPENDUS

Toujours étranglés par les mesures sauvages contre eux les privant de travail et même de RSA, de chômage4

Les suicides des soignants ou de membres de leurs familles se multiplient dans l’indifférence ou au moins le silence du peuple. 5 6

Combien de temps accepterons-nous qu’une femme de 98 ans reste 24 h sans soin, sans repas, sur un brancard dans un célèbre hôpital parisien ? 7

« Le SAMU m’a emmenée à l’hôpital Lariboisière, à midi et demi, le dimanche 4 septembre pour examens. Je me suis retrouvée couchée au milieu de malades qui hurlaient de douleur, de rage, d’abandon, que sais-je. Et les infirmières couraient là-dedans, débordées… Elles distribuaient des “J’arrive !” et des “ça marche !” “J’arrive, j’arrive !”. Mais personne n’arrivait. Jamais.

Nul doute que leur vocation est réduite en charpie. Moi-même, j’ai mis douze heures pour obtenir la moitié d’un verre d’une eau douteuse. Tiède. Je suis restée 24 heures sur le même brancard, sans rien manger, dans un no man’s land. C’était Kafka. »

Soutenons nos médecins persécutés8, nos soignants, nos pompiers, nos malades qui ont besoin d’être pris en charge correctement. Il faut que cette dictature molle cesse et que la démocratie reprenne tous ses droits, que les médecins, les journalistes, les avocats, et tous citoyens puissent s’exprimer librement et que les lois liberticides soient supprimées par le nouveau parlement.9

Et finalement ce silence aboutit à un désespoir de citoyens tel que ce tweet en témoigne :

@chidoricha‬‬‬
Que les gens qui ferment les yeux et se taisent devant leur entourage ! En disant bah tant qu’on me touche pas, je m’en fous !
Le karma va s’occuper de vous ! Quand il restera juste des médecins sans éthique/corrompus/ à la solde du pouvoir. Faudra pas pleurer !
Merci Dr Gayet ! »

Un nouveau Lancet gate prétend que les vaccins anti-covid auraient sauvé 20 millions de personnes

 

 

25/09/2022 (2022-09-25)

Par le DR Gérard DELÉPINE

Lorsque le monde réel vous déplait, il suffit pour, se rassurer de se réfugier dans un monde virtuel que l’on peut modéliser à sa guise. L’impérial collège applique à nouveau cette recette magique pour transformer ses colossales erreurs de prédictions du monde réel en incroyable succès virtuel des vaccins.

Attention aux simulations présentées comme des faits établis

Nous avons à maintes reprises1 2 3 4 5 dénoncé les fausses nouvelles basées sur des simulations en médecine. Par leur conception et leurs hypothèses hasardeuses, les simulations de résultats médicaux sont toujours à risques de biais. Il faut tout particulièrement se méfier de leurs conclusions lorsqu’elles font la promotion d’un médicament rentable, que leurs auteurs sont liés aux firmes et que l’ensemble des médias du monde entier claironne « la bonne nouvelle », alors qu’il ne s’agit en aucun cas de faits établis, mais seulement d’espoirs résultant d’hypothèses incertaines.

Un article hallucinant du Lancet6 ose prétendre que la vaccination aurait sauvé plus de 20 millions de personnes en 2021 et le comité de lecture l’a accepté sans émettre de réserve !

Cet article fait la promotion de pseudo vaccins extrêmement rentables puisqu’ils ont rapporté près de 300 milliards de dollars depuis leur mise sur le marché.

Les auteurs de cette étude ne sont pas indépendants, mais liés pour les deux tiers aux marchands de vaccins ou aux organismes qui ont été les moteurs de la vaccination7.

Les folles conclusions de cet article ont été reprises sans aucune modération par plus de 50 médias du monde entier qui ont « oublié » de signaler qu’il ne s’agissait que de résultats de simulation. Nous en signalons quelques-uns8 qui ont ainsi démontré leur absence d‘esprit critique et/ou leur dépendance aux marchands de vaccin.

Tous les signaux d’alerte à la fake news sont donc réunis.

Comment biaiser une simulation

Pour chanter les louanges de la vaccination, des mathématiciens de l’Imperial College de Londres ont une nouvelle fois utilisé leur modèle totalement faux de simulation de propagation et de mortalité du COVID-19 entre le 8 décembre 2020 (lorsque les vaccins ont été déployés pour la première fois) au 8 décembre 2021 pour une simulation sans vaccin qu’ils ont comparée avec leur estimation du nombre des morts avec vaccins.

Ils déclarent sans ambages « nous avons estimé que 31,4 millions (95% CrI 30·6–32·1) décès dus au COVID-19 seraient survenus sans vaccination au cours de la première année de la vaccination » alors que la première année de l’épidémie sans vaccin avait entraîné « seulement »1,63 million de morts.

Et ils ne s’étonnent pas que leur simulation prédirait une mortalité 20 fois supérieure la seconde année ! Ils auraient dû s’intéresser à l’évolution des pays très peu vaccinés comme le Nigéria, le Cameroun ou Madagascar dans lesquels la seconde année sans vaccin a été marquée par un simple doublement de la mortalité pour vérifier l’absence de fiabilité de leurs prédictions.

Le même programme délirant de simulation avait prédit que sans confinement la Suède allait être dévastée par le covid. La Suède n’a pas confiné et le nombre de morts observé a été dix fois inférieur à l’estimation de l’impérial collège.9

Les auteurs de l’Imperial college n’ont apparemment pas tenu compte de leurs erreurs comme tout scientifique scrupuleux l’aurait fait.

Ils ont ensuite estimé l’impact des programmes de vaccination en retranchant du nombre de décès prophétisés par la simulation sans vaccin au nombre de décès estimés dans le monde réel avec vaccin.

Ils ont une fois de plus comparé les décès virtuels d’une simulation folle aux décès observés dans le monde réel.

Leur colossale surestimation de la simulation sans vaccin10 leur permet ainsi de prétendre que les vaccins auraient été colossalement efficaces.

Ils se prétendent scientifiques, mais au lieu d’analyser les différences observées dans le monde réel entre les pays selon leur stratégie anti-covid, ils comparent le monde virtuel de leur simulation au monde réel pour réciter leur crédo pro injection!

Revenons au monde réel : les vaccins n’ont sauvé personne !

Après 20 mois de vaccination, il est facile d’évaluer son impact réel sur l’évolution du nombre de contaminations et de la mortalité selon la période considérée et selon les stratégies sanitaires des différents pays en se basant sur les données publiées par l’OMS (disponibles à OMS Covid dashboard) et mises en graphiques par l’université John Hopkins (consultable à : OurWorldinData covid).

La comparaison des dix mois sans vaccin (de mars à décembre 2020) aux 20 mois avec les pseudos vaccins montre qu’au niveau mondial ces derniers ont été incapables de ralentir l’épidémie et qu’ils paraissent même avoir pu la stimuler, puisque le rythme mensuel des contaminations été multiplié par 6 depuis leur mise sur le marché.

De même, les pseudo vaccins se sont révélés incapables de diminuer la mortalité :

Dans leur article, les auteurs de l’impérial college accusent « la faible couverture vaccinale de nombreux pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure et des pays à faible revenu » d’être responsable de l’échec des injections, tant sur la transmission mondiale de l’épidémie que sur la mortalité.

Mais ont-ils seulement regardé les chiffres officiels de l’OMS qui montrent, au contraire, que l’épidémie a frappé beaucoup plus violement les pays riches ?

Et que la mortalité a été maximale dans les pays riches !

On peut donc décerner à cet article le qualificatif du plus gros canular du siècle, au Lancet, celui de la revue la moins pointilleuse pour la vérification des données.

Après revue de ses prédictions, on peut aussi attribuer à l’Impérial Collège le titre de cancre absolu des prophètes. En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante et qui a couté environ 6 milliards de livres aux éleveurs anglais. Lors de la crise de grippe H1N1 de 2009, ses prédictions du avaient annoncé 8 000 morts au Canada qui n’en a déploré que 428 ! Et ses simulations n’ont pas été plus avisées sur la maladie de la vache folle, la grippe aviaire, Ebola.

Mais pourquoi l’OMS et tant de dirigeants font-ils encore confiance à un devin qui se trompe presque toujours ?


The conditioning of young people is a strong marker of totalitarian regimes

Le conditionnement des jeunes est un marqueur fort de régimes totalitaires | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

 

 

In this period marked by the disastrous consequences of the closure of schools 1 denounced in their time by Unicef ​​2 , the wearing of masks 3 and distance learning (deschooling, learning delays, psychological disorders) and by the concerns that arouses the possible reduction of school periods to « save heating » 4 , the minister has just asked teachers to hold four « information sessions » on vaccination for students in Cycle 2 (CP CE1 CE2) and 3 (CM1 CM2) 6 , thus eliminating 6 to 8 additional hours of useful teaching to distill its propaganda in the absence of the parents.

Analysis of the content of these so-called « information sessions » shows that it is in fact only false propaganda aimed at convincing them to get vaccinated against covid when they have none . need and that their vaccination has no societal interest.

Let’s take a look  at the “Vaccine Discovery Activities  ” program

The first session violates medical secrecy

She plans to publicly ask students personal questions about their health data  :

Ask the students collectively about their knowledge and experience of vaccination:

⇨ “ Have you ever been vaccinated? »
⇨ « By whom were you vaccinated? »
⇨ « Were you afraid of the injection?
⇨ “  How did you feel during the injection  ? How did it go ? »
⇨ « Against which disease have you been vaccinated  ? »
⇨ « And why do you think you were vaccinated? »
⇨ « What is vaccination? What is it for? »
⇨ « Do you have questions about vaccination? »

Listen and note, on a poster or on the board, the students’ answers and questions.

A little further on the text curiously claims  :

It is by no means a question here of knowing who is vaccinated against what . ( So ​​why is it specifically asking “  Have you ever been vaccinated?”, “  What disease have you been vaccinated against?” ). The instructions still recognize :

“  The vaccination status corresponds to individual health data which should therefore not be mentioned in a collective context. »

The snake that tries to hypnotize our children bites its own tail!

3rd session: indoctrination by a film

The third session:

“  is mainly based on the analysis of a video from Public Health France. The proposed video is centered on measles, but the principle of vaccination remains the same for other diseases (flu, mumps, tetanus or covid-19 …”

It is extremely doubtful that this film reminds children of the proven facts that concern them and in particular: that they are less at risk of covid than of the flu, that they hardly ever transmit the disease either to other children or to their parents or their grandparents that these pseudo-vaccines can lead to complications that are sometimes very serious and even fatal.

In session 4 the intention to push the children to be vaccinated is clearly acknowledged

Official goals  :

«  Protecting against Covid-19 A — Session objectives Now that the mechanism of vaccination has been studied, as well as other concepts related to germs and diseases, it is possible to relate these notions to the Covid epidemic -19. This will allow :

• on the one hand to remobilize the concepts worked on in the previous sessions in order to improve their mastery
• on the other hand to make these concepts operational by having them applied to the very concrete case of SARS-CoV-2.

Have students describe, orally or in writing, the current epidemic context . When the pupils mobilize notions studied during the previous sessions, point them out and possibly reformulate them. In order to help the pupils to verbalize the situation, more or less open questions can be proposed to them:

• What is the disease that has been talked about a lot for two years?
• How is it transmitted?
• 
How to protect against it  ?
• What are the barrier gestures?
• Is there a vaccine against this disease?
• Why do we get vaccinated?

This last session can also give rise to the completion of a final task which will allow the sequence to be concluded, possibly with a summative evaluation of the students. »

And to be sure that the students have learned the government’s covid credo, the teacher is asked to check that they recite it correctly:

 »  Quiz proposal to assess the achievements of this sequence A quiz can be carried out to take stock of the students’ achievements »

We can imagine that the possible advice of the McKinsey firm will soon be to rate this quiz and take its results into account for the transition to the next year!

Teacher misinformation by the “Vaccinations 2021 Teacher Guide Debate Cards”

Teachers are not doctors; it is therefore easy to misinform them about the covid crisis and the ministry has designed this ‘teacher’s guide’ for this purpose.

This guide which claims to be factually lies directly and also by omission on many points. In  »  Essential Notions » , he calls anti-covid injections « RNA vaccines » which is misleading  : covid injections that contain neither antigen nor toxoids are not Pasteurian vaccines 7 , but preventive gene drugs like has also recognized Delfraissy. 8

It claims to help children argue their opinions on an evidence-based basis, but falsely attacks cautious vaccinators by labeling them anti-vaccine and claiming that ‘ the anti-vaccine movements born out of the controversy surrounding the MMR vaccine have therefore taken hold of the issue of the vaccine against COVID-19′ while the current challenge arose from the hasty marketing (and the experimental nature of these injections) not even mentioned by this guide, and challenge reinforced by their ineffectiveness and their complications observed in the population real .

He does not even recall the extreme mildness of the disease in children (three times less deadly than the ordinary flu against which they are not vaccinated) and therefore the absence of personal benefit from the injections in them. He does not recall that children are not factors of contamination 10 and therefore that injections for children cannot protect others, especially since pseudo-vaccines do not prevent transmission.

This new “little red book” is just a missal from the representatives of the vaccine industry, a tool of false propaganda, which misinforms teachers so that they indoctrinate our children by reciting the creed of the manufacturers of pseudo vaccines .

Let us publicly denounce this fabric of lies which misinforms teachers about vaccination and has no place in our schools. Only totalitarian regimes refuse public debates and indoctrinate children in school.

Dr Gerard Delépine

Die Konditionierung junger Menschen ist ein starkes Kennzeichen totalitärer Regime

 

 0  5  20

In dieser Zeit, die von den katastrophalen Folgen der damals von Unicef ​​2 angeprangerten Schulschließungen 1 , dem Tragen von Masken 3 und dem Fernunterricht (Entschulung, Lernverzögerungen, psychische Störungen) und von den Bedenken geprägt ist, die die mögliche Reduzierung wecken der Schulstunden, um „Heizung zu sparen“ 4 , hat der Minister gerade die Lehrer gebeten, vier „Informationsveranstaltungen“ über Impfungen für Schüler in Zyklus 2 (CP CE1 CE2) und 3 (CM1 CM2) 6 abzuhalten , wodurch 6 bis 8 zusätzliche eliminiert werden Stunden nützlichen Unterrichts, um seine Propaganda in Abwesenheit der Eltern zu destillieren.

Die Analyse des Inhalts dieser sogenannten „Informationsveranstaltungen“ zeigt , dass es sich tatsächlich nur um falsche Propaganda handelt, die darauf abzielt, sie davon zu überzeugen, sich gegen Covid impfen zu lassen, wenn sie keinen Bedarf haben, und dass ihre Impfung kein gesellschaftliches Interesse hat.

Werfen wir einen Blick  auf das Programm „Vaccine Discovery Activities  “ .

Die erste Sitzung verstößt gegen die ärztliche Schweigepflicht

Sie plant , Schülern öffentlich persönliche Fragen zu ihren Gesundheitsdaten zu stellen  :

Fragen Sie die Schülerinnen und Schüler gemeinsam nach ihrem Wissen und ihren Erfahrungen mit Impfungen:

⇨ „ Wurden Sie schon einmal geimpft? »
⇨ « Von wem wurden Sie geimpft? »
⇨ « Hatten Sie Angst vor der Spritze?
⇨ „  Wie haben Sie sich während der Injektion gefühlt  ? Wie ist es gelaufen ? »
⇨ « Gegen welche Krankheit sind Sie geimpft  ? »
⇨ « Und warum glaubst du, wurdest du geimpft? »
⇨ « Was ist eine Impfung? Wofür ist das? »
⇨ « Haben Sie Fragen zur Impfung? »

Hören Sie zu und notieren Sie die Antworten und Fragen der Schüler auf einem Plakat oder an der Tafel.

Etwas weiter im Text wird kurioserweise behauptet  :

Dabei geht es keineswegs darum, wer gegen was geimpft ist . ( Warum wird also ausdrücklich gefragt „  Wurden Sie jemals geimpft?“, „  Gegen welche Krankheit wurden Sie geimpft?“ ). Die Anweisungen erkennen immer noch :

„  Der Impfstatus entspricht individuellen Gesundheitsdaten, die daher nicht in einem Sammelkontext genannt werden sollten. »

Die Schlange, die versucht, unsere Kinder zu hypnotisieren, beißt sich selbst in den Schwanz!

3. Sitzung: Indoktrination durch einen Film

Die dritte Sitzung:

“  basiert hauptsächlich auf der Analyse eines Videos von Public Health France. Das vorgeschlagene Video konzentriert sich auf Masern, aber das Prinzip der Impfung bleibt für andere Krankheiten (Grippe, Mumps, Tetanus oder Covid-19 …) gleich.

Es ist äußerst zweifelhaft, dass dieser Film Kinder an die erwiesenen Tatsachen erinnert, die sie betreffen, und insbesondere: dass sie weniger von Covid als von der Grippe bedroht sind, dass sie die Krankheit kaum jemals an andere Kinder oder an ihre Eltern oder ihre Kinder weitergeben Großeltern, dass diese Pseudo-Impfstoffe zu Komplikationen führen können, die manchmal sehr schwerwiegend und sogar tödlich sein können.

In Sitzung 4 wird die Absicht, die Kinder zur Impfung zu drängen, klar anerkannt

Offizielle Ziele  :

«  Schutz vor Covid-19 A – Ziele der Sitzung Nachdem der Mechanismus der Impfung sowie andere Konzepte im Zusammenhang mit Keimen und Krankheiten untersucht wurden, ist es möglich, diese Begriffe mit der Covid-19-Epidemie in Beziehung zu setzen. Dies ermöglicht:

• einerseits die in den vorangegangenen Sitzungen erarbeiteten Konzepte zu remobilisieren, um ihre Beherrschung zu verbessern
• andererseits diese Konzepte operational zu machen, indem sie auf den sehr konkreten Fall von SARS-CoV-2 angewendet werden.

Lassen Sie die Schüler mündlich oder schriftlich den aktuellen Kontext der Epidemie beschreiben . Wenn die Schüler die in den vorangegangenen Sitzungen untersuchten Begriffe mobilisieren, weisen Sie darauf hin und formulieren Sie sie möglicherweise neu. Um den Schülern zu helfen, die Situation zu verbalisieren, können ihnen mehr oder weniger offene Fragen vorgeschlagen werden:

• Über welche Krankheit wird seit zwei Jahren viel gesprochen?
• Wie wird es übertragen?
• 
Wie kann man sich davor schützen  ?
• Was sind die Barrieregesten?
• Gibt es einen Impfstoff gegen diese Krankheit?
• Warum lassen wir uns impfen?

Diese letzte Sitzung kann auch zur Erledigung einer Abschlussaufgabe führen, die es ermöglicht, die Sequenz abzuschließen, möglicherweise mit einer summativen Bewertung der Schüler. »

Und um sicherzugehen, dass die Schüler das Covid-Credo der Regierung gelernt haben, wird der Lehrer gebeten, zu überprüfen, ob sie es richtig rezitieren:

 »  Vorgeschlagenes Quiz zur Bewertung der Leistungen dieser Sequenz Zur Bestandsaufnahme der Schülerleistungen kann ein Quiz durchgeführt werden « 

Wir können uns vorstellen, dass der mögliche Rat der Firma McKinsey bald sein wird, dieses Quiz zu bewerten und seine Ergebnisse für den Übergang ins nächste Jahr zu berücksichtigen!

Lehrer-Fehlinformationen durch die „Impfkarten 2021 Teacher Guide Debate Cards“

Lehrer sind keine Ärzte; Es ist daher leicht, sie über die Covid-Krise falsch zu informieren, und das Ministerium hat zu diesem Zweck diesen „Leitfaden für Lehrer“ entwickelt.

Dieser Leitfaden, der den Anspruch erhebt, sachlich zu sein, lügt in vielen Punkten direkt und auch durch Unterlassung. In „  Essential Notions“ nennt er Anti-Covid-Injektionen „RNA-Impfstoffe“, was irreführend ist  : Covid-Injektionen, die weder Antigen noch Toxoide enthalten, sind keine Pasteur-Impfstoffe 7 , sondern vorbeugende Gen-Medikamente, wie auch Delfraissy erkannt hat. 8

Es behauptet, Kindern dabei zu helfen , ihre Meinung auf evidenzbasierter Grundlage zu vertreten, greift aber fälschlicherweise vorsichtige Impfer an, indem es sie als Anti-Impfstoff bezeichnet und behauptet, dass „ die aus der Kontroverse um den MMR-Impfstoff entstandenen Anti-Impfstoff-Bewegungen daher die Macht ergriffen haben Problem des Impfstoffs gegen COVID-19′, während die aktuelle Herausforderung aus der hastigen Vermarktung (und dem experimentellen Charakter dieser Injektionen) resultierte, die in diesem Leitfaden nicht einmal erwähnt wurde, und eine Herausforderung, die durch ihre Ineffektivität und ihre in der Bevölkerung beobachteten Komplikationen verstärkt wurde real .

Er erinnert sich nicht einmal an die extreme Milde der Krankheit bei Kindern (dreimal weniger tödlich als die gewöhnliche Grippe, gegen die sie nicht geimpft werden) und daher an den fehlenden persönlichen Nutzen der Injektionen bei ihnen. Er erinnert sich nicht daran, dass Kinder keine Kontaminationsfaktoren sind 10 und dass daher Injektionen für Kinder andere nicht schützen können, zumal Pseudo-Impfstoffe die Übertragung nicht verhindern.

Dieses neue „kleine rote Buch“ ist nur ein Messbuch der Vertreter der Impfstoffindustrie, ein Instrument falscher Propaganda, das Lehrer falsch informiert, damit sie unsere Kinder indoktrinieren, indem sie das Glaubensbekenntnis der Hersteller von Pseudo-Impfstoffen rezitieren.

Lassen Sie uns dieses Lügengebilde öffentlich anprangern, das Lehrer über Impfungen falsch informiert und in unseren Schulen nichts zu suchen hat. Nur totalitäre Regime lehnen öffentliche Debatten ab und indoktrinieren Kinder in der Schule.

Dr. Gérard Delépine


 


 

 


 


The great replacement for doctors: “Chatbots”

 

 

 

Screenshot of a Chatbot asking « How are you feeling today? » « . A chatbot is a computer program that allows human beings to engage in dialogue with a machine.

WE HAVE TO FINALLY CALL A CAT, A CAT!

You are sad, depressed, revolted, annoyed, tired, painful, nauseous, anorexic or bulimic, haggard, powerless in the face of the blindness of too many citizens in the face of the violence and deadly power of the few thousand billionaires who govern the Western world. They are led by Bill Gates, the computer scientist, Tedros the head of the WHO, a non-doctor with a sulphurous Ethiopian past 1 , Fauci the MR Vaccine of the USA 2 for 50 years and soon to be retired all the same (the Deep State s would it collapse?), American political power, and obviously the unelected President of the European Commission who governs the subjugated countries of the EU and some other their effectors, the leaders of the European countries 

Chat Bot in digitized healthcare

Image source:  https://www.smartdatainc.com/role-of-chatbots-in-digitalised-healthcare/

The refusal to reintegrate non-injected caregivers is consistent with the entire « project »

Trained psychiatrists are overwhelmed by waves of suicides among adults, but also among children. Of course, you can draw from the thousands of « therapists » of all kinds available on the net, of diverse and varied training and values ​​and who have the advantage, not being caregivers, of not being prohibited from exercising for refusal of experimental injection and their acts not reimbursed by social security, therefore much less persecuted than university-trained psychiatrists by health insurance.

Obviously you will find good, well-trained psychotherapists (some of whom are recognized and reimbursed), but also many more or less eccentrics with various methods and practices, but whose too frequent characteristic is their feeling of superiority, their medical incompetence, their rejection extreme of traditional medicine which has certainly failed, but cured millions of patients for a century… We plunge into delirium.

Danger, therefore, but while waiting for the appointment given by a real professional in six months for a first contact for your teenager broken by confinement, video lessons, dissonant speeches on the radios, and fear, terrible fear conveyed by their teachers manipulated by their rectorate, sometimes the terror of the future, what will you do?

The globalist power has planned everything

Obviously for several years, the obsession of Western political powers was not to train better doctors and enough practitioners, but to REPLACE them”. It should not be believed that the drastic reduction of the numerus clausus was a political “error”. No, the scenario consisted in gradually depriving the doctors of their medical power by subjecting them to a pretentious and incompetent administration in the care, but obedient, directed most often by enarques apparently frustrated not to be doctors, and at the same time to reduce the number and quality (replacement of clinical teachers by “scholars” biologists or epidemiologists, or public health “doctors” who have never listened to a heart or palpated a liver, etc.).

The first step, “invisible” to the people, was to hire doctors from elsewhere, with more or less good training, under precarious conditions. Above all, their main faults in the emergency room, their privileged place of reception, were their lack of mastery of French and therefore of human contact with the public. It should be noted that this difficulty could and should have been quickly overcome before hiring by intensive language learning, as is the practice everywhere for expatriates.

But the bureaucrats in power obviously didn’t want them to understand the ailments of their consultants, especially not anything that had to do with soul medicine.

PRELIMINARY STAGE: HABITUING AND CONDITIONING PATIENTS TO CARE ROBOTS 3

We were told about robots at the patient’s bedside proudly replacing, in demonstration medical congresses, nurses who were absent, depressed and now banned from practicing on the pretext of refusing dangerous and ineffective experimental injections. We laughed more or less, vaguely worried.

The robot walked down the hallway of the hospital to take the old gentleman’s blood pressure and bring the meal to the old lady. We dared to present these machines to us as progress! Naive, amazed viewers watched the patient in his sad hospital room and frumpy in his unsuitable white shirt, being distracted by a friendly, but terribly inhuman little robot.

Would connection freaks be excused (with a good conscience?) from visiting the dying grandmother or the old aunt who smells bad, or even the hairless, emaciated little brother with cancer?

Don’t worry, the government is making sure to replace long and expensive palliative care with quick accepted euthanasia — when you feel everyone’s inconvenience and you’ve been blamed enough about the cost of your care, you ask for that final sting and they will dare to speak of « free and informed consent ». Yes enlightened on the cruelty of the world…

“  ROBOT NURSING: A REAL MEDICAL PROGRESS?”

Presented in Tokyo in 2011, it has now arrived on the market since November 2013: Panasonic’s robotic nurse, Hospi . If its HD screen displays a broad smile, its marketing would rather cringe. After the robot that takes blood samples , does this new invention embody the future of the medical world or its programmed dehumanization?

MEDICAL HELP

First set up and studied in one of the hospitals of the Panasonic group, Hospi was able to convince the nursing staff in Osaka. Despite his heavy weight (120 kg), he was able to make himself appreciated by his “colleagues” by relieving them of certain tedious tasks. He knows how to manage the programming of the distribution of drugs at fixed times by depositing them with the nurses. Even better, a model would wash the patient’s hair semi-automatically!

A very appreciable saving of time for the nurses who admit having been relieved of various thankless tasks thanks to these assistants, they could therefore better fulfill their roles of care and supervision of the patients.

Hospi and his robotic prototype comrades would be medical assistants sometimes even “ more patient than nurses” according to Roselind Picard: they do not hesitate, for example, to repeat tirelessly and as many times as necessary the recommendations and prescriptions given to patients, unlike to the nursing staff, unfortunately too often overwhelmed. The staff, however, clarifies that they do not believe that robots will one day replace doctors and nurses…

Yet wasn’t the Hospi robot created, according to its designer, to respond to a lack of personnel in Japan?

WHAT IF THE ROBOT REPLACED THE NURSE

If technology has rendered many medical services, particularly in the field of surgery, should we consider that we can respond to a continuous overload of responsibilities and work of hospital staff by offering them a mass of integrated circuits ? Could a cruel lack of manpower caused by a lack of love for the nursing profession find an answer thanks to a robotic service?

And the patient in all this? Her dignity, her need to be listened to and reassured, the magic of a smile, a compassionate look, an outstretched hand… Let’s not forget that nursing care stems from the two sides of the concept of caring: treating illness, and caring for the  person .

A few years ago, in 2008 to be precise, it was feared that identification bracelets risked “objectifying” the patient by taking away their identity. However, since October 2012, its use has become widespread. Would the patient in the future become nothing more than a number, a file, a pathology? (…)”

YES, WE WERE RIGHT TO FEAR THESE BRACELETS WHICH TURN US INTO CALVES FOR SLAUGHTER and have not avoided certain errors. The next step was the pass, the QR CODE to go have a coffee at the local pub or go to the cinema and yes, the calves as de Gaulle called them did not flinch…

“Nurses, nurses, in hospitals, in clinics or in liberal practice, you who practice this profession out of love for others and their well-being, will you let a robot reassure or comfort your patient? »

And where does the lack of love for the profession come from if not the dehumanized financial management aimed at profitability?

We replace caregivers with robots, while at the same time, as EM would say, there would be too many humans on earth… But that we hasten to eliminate through refusal of care, injections of Rivotril toxic experimental pseudovaccines, but also wars… Eugenics, when you hold us… WILL ROBOTS BE MORE OBEDIENT than these doctors who are generally very submissive?

AFTER ROBOTIC CAREGIVERS, DOCTORS:

MY PSY IS A CHATBOT 4

ATTENTION, this image is not a dream of a Eurocrat in nocturnal delirium, but a « serious » project of our jealous bureaucrats of Humanity of (certain) doctors worthy of Hippocrates and not replaceable by a machine even equipped with ‘artificial intelligence.

Chatbots, you know? These software – also called conversational agents – which dialogue with their users and whose engine is artificial intelligence (or AI). If we can not yet say that they are everywhere, these children of high-tech are already investing in multiple areas. And especially mental health. Put to the test of reality during the confinements linked to the Covid pandemic, chatbot shrinks were thus able to measure their relevance and effectiveness. Imagine.

You — let’s say one of your patients — are going through a difficult time. Small temporary depression or premises of an authentic depression? You take your smartphone and click on the dedicated app (Woebot, My Sherpa or Sayana). A synthetic shrink then takes care of you: “How do you feel? You can answer me in words or in emoticons…”, he suggests. The rest of this conversation is then the product of a fine semantic analysis of your remarks, where each of the machine’s responses is predetermined and triggered by “if-then” situations.

EVERYDAY BOTS: FEEDED UP

Finally, whether you call your bank, a travel or real estate agency, the tax authorities or public or private insurance, you have become accustomed, forced and forced, to converse with these inhumans, by pressing the 1 key, 2 3, etc., and starting over ten times because the robot bugs and repeats the interrogation on a loop…

BUT CALL A CHATBOT PSYCHIATRIST, you had to think about it and dare! 5

“  But there is better. Therabot-type chatbot shrinks are coming . This application about to be tested for the first time in a randomized controlled trial is indeed different from previous generations in that it is powered by generative artificial intelligence.

In other words, Therabot can use existing data and documentation to develop original actions and responses, not just walk through a decision tree. A functioning that makes some say that a beginning of consciousness animates the machine. To see… Because as sophisticated as they are, these electronic aids will not soon replace the care in the flesh by seasoned psychiatrists. At most, they will be able to compensate for the growing shortage of professionals and bring into the care pathway some patients who are still reluctant to register. »

DIDIER DOUKHAN

So will you revolt?

So-called telemedicine booths are spreading, it seems, with the consent of patients or at least of enough citizens to make them profitable. Has your pharmacy installed any of these gadgets? Great, the appointment of the general practitioner the same day, and the specialist in three days! That is the demand of the people ?

“  How does it work? During the teleconsultation, the doctor guides the patient by videoconference to take the physiological constants (blood pressure, oxygen saturation, pulse, forehead temperature) and medical examinations that he deems necessary for diagnosis using a panel of assembled medical devices. .

The connected medical cabin is ergonomic, promoting patient autonomy during teleconsultation. It is also equipped with a tinted glass guaranteeing the confidentiality of exchanges between the patient and the doctor.’

Inside, a screen ensures the video transmission of exchanges with the teleconsultant. By following his instructions, the patient manipulates connected devices: blood pressure monitor, thermometer, stethoscope, otoscope, scale, dermatoscope, oximeter and, soon, a spirometer to measure respiratory capacity if necessary. So many tools to arrive at a diagnosis and then a medical prescription if necessary.

The medical cabin is fully soundproofed and equipped with a ventilation system. » 6

How many diagnostic delays, recoverable errors or not, and observations of the dehumanization of these practices will be needed for citizens to desert them, making them not “profitable”… The visit to the doctor brought a whole human dimension comforting beyond the clinical examination essential to isolated patients. Who from the cabin will be able to pass a warm hand on the back of his patient by accompanying him to the door of the cabinet?

How many accidents for the automatic car?

We understand of course that the mistreatment of the patient by these remote techniques is not in the concerns of current eugenicist and transhumanist political power. The quasi-global and prolonged confinement was clearly designed in the desire to condition us to all these connected techniques both in education and in medicine. He forced us to accept these remote techniques which are, it is true, sometimes “better than nothing” with the highlighted advantages of video: “Advantages of video: Support assumed to be identical to that carried out in the office, we are told, which is in fact false. It lacks direct contact, touch with a comforting handshake or an end-of-consultation hug so appreciated by patients. Respect for barrier gestures which can still reassure some and without a mask. This is essential in therapy in order to listen to non-verbal language and better understand emotions.

Health or travel problems, no stoppage or break in therapeutic care.

But what do the citizens think, whose eyes are finally half-open?

As the suspended doctor who accompanied the deputy Dupont Aignan to the demonstration in defense of Pr Perronne and the suspended caregivers said, the real will of the government is to replace us with robots :


 


 

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About :

Nicole Delépine Pediatrician, oncologist, former head of the pediatric oncology department at the R Poincaré Garches hospital APHP France Website www.docteurnicoledelepine.fr and website ametist.org for the defense of children with cancer

Disclaimer : The opinions expressed in this article are those of the author(s). The Center for Research on Globalization takes no responsibility for the content of this article and will not be held

4 heures avec Dre Nicole Delépine

21/09/2022 (2022-09-21)

[Source : CANALJAC-K]

Le 16 septembre 2022, la Dre Nicole Delépine, cancérologue et pédiatre retraitée, ancienne cheffe de clinique, apporte son commentaire avec 2 ans ½ de recul sur les propos qu’elle avait tenus le 3 avril 2020, dans une entrevue avec André Bercoff à SudRadio.
Les points traités sont :

  • nouveauté du coronavirus chinois, mais faible mortalité
  • efficacité de l’hydroxychloroquine, associée à l’azithromycine
  • hypocrisie des médecins hospitaliers et leur peur de la hiérarchie
  • refus de soin et injection Rivotril par décrets ministériels
  • médecine théorique, bureaucratique et quantitative contre médecine d’Hippocrate
  • les milliards attendus par Big Pharma du Remdésivir et des vaccins anti-Covid
  • l’inutilité et la toxicité des injections expérimentales pour les enfants et ados.

Pour montrer la cohérence de leur parcours professionnel et de leurs alertes sur la destruction du système de soins en France, diffusion de 6 reportages et entretiens avec la Dre Nicole Delépine et son mari, le Dr Gérard Delépine, entre 2000 et 2018 :

Source de l’entrevue du 3 avril 2020 à SudRadio :
https://www.youtube.com/watch?v=rO_K-yp6LDQ
Adresse de N. Delépine le 10 décembre 2020 via Réinfocovid :
https://odysee.com/@Reinfocovid:2/nicole-del-pine-laissez-les-enfants:8
Site Internet des Drs Nicole et Gérard Delépine :
https://docteur.nicoledelepine.fr/

 

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Comme aux USA, en France et dans de nombreux pays, aussi la pandémie est terminée !

23/09/2022 (2022-09-22)

Par Gérard Delépine

18 septembre 2022, le président américain, Joe Biden, a déclaré sur CBS : « la pandémie est terminée » au grand dam des commentateurs des médias complices de la propagande terrorisante du gouvernement depuis plus de 30 mois. Les fabricants de vaccins ont immédiatement perdu 9 milliards de dollars avec la chute de 9 % de la valeur marchande de leurs actions1 2 3 4.

Les données de l’OMS traduites en graphique par l’université John Hopkins confirment en effet que la pandémie est terminée dans le monde, aux USA ; en Europe et en France.

Et cette forte diminution de cas s’accompagne d’une forte diminution de la mortalité mondiale.

En France d’après les données de l’OMSl’évolution de l’épidémie est semblable à celle du reste du monde avec une très importante chute des contaminations depuis 8 mois :

Cette évolution très favorable de l’épidémie est confirmée par le réseau sentinelle : 5

« En semaine 2022s37, le taux d’incidence des cas de Covid-19 présentant des signes respiratoires vus en consultation de médecine générale a été estimé à 25 cas pour 100 000 habitantsce qui représente 16 892 nouveaux cas de Covid-19 présentant des signes respiratoires ayant consulté un médecin généraliste. »

Et la mortalité quotidienne a baissé d’autant :

Par ailleurs, les indicateurs hospitaliers continuent de baisser dans la majorité des régions. En outre-mer, les indicateurs virologiques sont également en diminution sur l’ensemble des territoires.

Cette disparition française de l’épidémie rend encore plus scandaleuse la décision du 21 juillet 2022 de la HAS contre la levée de l’obligation vaccinale pour lesprofessionnels des secteurs sanitaire et médico-social et les discours alarmistes des agences sanitaires et de l’académie de médecine. Mais il est vrai que ces dernières se sont comportées tout au long de cette crise comme de véritables « covid terroristes » par des prédictions apocalyptiques destinées à entretenir la peur dans la population pour qu’elle accepte des mesures antidémocratiques et des pseudovaccins expérimentaux inefficaces et souvent toxiques.

Quelle mauvaise nouvelle que cette fin de pandémie pour les actionnaires !

Le PDG de Moderna, Stéphane Bancel est pessimiste pour son entreprise :

« la période pandémique, de l’évolution rapide du virus et de contamination planétaire presque continue, sera terminée fin 2022. En 2022, il y aura plus de vaccins sur la planète que de gens désirant se faire vacciner ou avoir un rappel ».

En Europe, la montagne de pseudovaccins commandés depuis le début de la crise par Ursula Von der Leyen s’élève à plus de 4 milliards de doses pour 445 millions d’habitants (près de 12 par adulte !) et transforme en petite plaisanterie la gabegie à 1 milliard d’euros de Roselyne Bachelot lors de la grippe H1N1 avec une commande 94 millions de doses dont seulement 7,8 millions ont été utilisées6.

On peut craindre de nouvelles tentatives de nos gouvernants de nous forcer à nous faire injecter ces substances expérimentales inefficaces et dangereuses comme le présagent les « séances d’informations sur la vaccination »7 que le ministre veut imposer dans les écoles pour manipuler nos enfants et les appels à la vaccination des femmes enceintes et des personnes fragiles avec de nouveaux pseudo vaccins bivalents 8 et pas plus testés que les précédents.

Il n’y avait aucune raison médicale objective de se faire injecter ces médicaments préventifs abusivement présentés fallacieusement comme « vaccin » et mis sur le marché trop rapidement alors que leurs essais n’étaient pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).

Maintenant que ces pseudo vaccins se sont révélés inefficaces tant pour la protection individuelle (vacciné, vous n’êtes pas protégé !) que pour la prévention de la transmission (vacciné, vous pouvez quand même contaminer vos proches) et potentiellement dangereux et que l’épidémie est terminée, il est scandaleux de continuer à promouvoir ces injections expérimentales inutiles dont la balance avantages/risques penche indiscutablement du côté des risques.


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17/09/2022 (2022-09-17)

Par Gérard Delépine

Le 15 septembre 2021, est entrée en vigueur l’obligation vaccinale pour certaines professions, excluant de leur vocation des milliers de soignants, d’ambulanciers et de pompiers vaccinoprudents sans indemnité, ni droit au chômage et à toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Cette obligation pseudo vaccinale n’a jamais eu le moindre intérêt médical

Il n’y a aucun article démontrant que les professionnels concernés constitueraient des vecteurs de transmission significatifs. Durant l’année 2020 (sans pseudo vaccins) les analyses des cas de contaminations nosocomiales répertoriés1 2 3ont surtout mis en cause les contacts mal protégés de malades de covid avec les autres : conditions d’attente aux urgences, ventilations insuffisantes des salles d’hospitalisation, l’utilisation inappropriée de l’équipement de protection individuelle chez les patients à haut risque…

Il est démontré (et même reconnu par le ministère) que les pseudo vaccins sont incapables de limiter les transmissions et de protéger les contacts. Les données de l’OMS ont même largement confirmé que les contaminations avaient été accélérées après les campagnes de vaccinations aussi bien en France :

Que sur l’ensemble du globe :

Comment des pseudo vaccins incapables d’empêcher les transmissions auraient-il pu protéger les contacts des professionnels qui, sans vaccin, ne contaminaient pas ? Que l’Académie de Médecine et la Haute Autorité de Santé aient pu prétendre qu’il fallait prolonger cette obligation démontre simplement qu’elles ont abandonné toute indépendance et se comportent en agences de justification des décisions de E. Macron, même lorsqu’elles sont contraires aux données acquises de la science.

L’argument avancé par la HAS : « les données de sécurité et d’efficacité en vie réelle des vaccins contre la Covid-19 autorisés en France sont en faveur de la vaccination en contexte Omicron » est du plus haut ridicule lorsqu’on observe l’échec total des pseudo vaccins contre ce variant en France, tel qu’il apparaît dans les données officielles de l’OMS.

Cette obligation vaccinale n’est qu’un acte extrême de censure

Les soignants et les pompiers chassés de leur profession ne sont pas des anti-vaccins : ils avaient jusqu’alors accepté tous les vaccins qu’on leur avait proposés et imposés, et avaient vacciné largement autour d’eux. En 2020, ils ont défendu les valeurs du soin au point d’être considérés, un temps donné, comme nos héros.

Ce sont des vaccino prudents qui ont rapidement compris que les injections n’étaient pas des vaccins (ils ne contiennent aucun antigène extrait du sars-cov2 ni aucune anatoxine), qu’il s’agissait de médicaments expérimentaux (les essais phase 3 ne seront pas terminés avant 2023) issus d’une technologie jamais utilisée en pathologie infectieuse et que leur mise sur le marché beaucoup trop rapide (10 mois au lieu de 10 ans) avait négligé les règles habituelles des essais de sécurité.

De plus, les professionnels ostracisés avaient constaté la mauvaise tolérance des injections chez leurs collègues très tôt vaccinés, mauvaise tolérance qui avait conduit la HAS à recommander de ne pas vacciner en même temps tous les soignants d’un même service pour ne pas perturber le fonctionnent dudit service. Ils avaient aussi observé les nombreuses complications post vaccinales : thromboses, accidents vasculaires, péricardites chez leurs patients à leur cabinet ou dans leurs ambulances et/ou véhicules de secours.

Il ne fallait pas qu’ils puissent témoigner de leurs constatations !

Les conditions de cette exclusion créent un précédent d’une extrême brutalité, invraisemblable en démocratie

Et totalement disproportionnées. Même si le ministre estimait qu’il fallait exclure des soins ces professionnels vaccino prudents, les conditions qu’on leur a appliquées sont totalement disproportionnées : pourquoi les priver des allocations chômage et du RSA sinon pour prendre leur famille en otage ? Vaccinez-vous, ou bien vous et vos enfants serez SDF !

De telles mesures n’avaient jusqu’ici été utilisées que par les pires régimes dictatoriaux, qu’ils soient communistes (contre leurs opposants politiques) ou nazis (contre les juifs, opposants, tziganes, etc..).

En ne protestant pas et en laissant se créer un tel précédent contre notre contrat social, les syndicats français, au-delà de la honte de ne pas les avoir défendus, ont pris le risque que la mesure soit utilisée contre les travailleurs dans d’autres conflits au cours desquels E. Macron déciderait « d’emmerder » ses opposants.

Cette obligation a dramatiquement aggravé le manque de soignants et de pompiers

Le manque de soignants n’est pas nouveau. En 2018, la Drees avait en effet constaté dans un rapport que les recrutements ne compensaient pas les départs et que le recul de l’âge de départ à la retraite ne suffirait pas à compenser les cessations d’activité.

L’obligation vaccinale a directement exclu de la profession au moins 15 000 professionnels expérimentés considérés comme héros lors de la première vague. Mais elle a de plus incité beaucoup de médecins à prendre leur retraite plus tôt que prévu et dissuadé de nombreux futurs soignants de s’engager dans une profession aussi maltraitée par le gouvernement.

Le manque de soignants n’a jamais atteint de tels sommets en France et peut provoquer l’effondrement du système de santé4. L’Organisation mondiale de la santé prévient :

« le remplacement des médecins partis à la retraite et des autres soignants sera un défi majeur pour les gouvernements et les autorités sanitaires dans les prochaines années ».5

On constate aujourd’hui les conséquences de cette exclusion de soignants pour les malades. À l’AP-HP, 1 000 postes d’infirmiers vacants et 18 % de lits fermés dans les hôpitaux de Paris6. Plus de 100 services d’urgence ferment la nuit. Et les déserts médicaux se multiplient même dans les zones où l’on ne manque ni d’école ni de commerces ni de spectacles comme la banlieue parisienne proche.

Le président Macron vient récemment de prétendre que l’exclusion des soignants n’a pas changé grand-chose à la pénurie de soignants et qu’il n’y a donc pas de raison de les réintégrer. Mais l’enquête du sénat7 vient de prouver que : le ministère n’avait pas de données en temps réel » sur le nombre de soignants ! Comme d’habitude le président vit dans son monde virtuel et affirme ce qu’il veut être sa vérité alors que les Français souffrent dans le monde réel.

Si on veut retrouver des soignants, il faut réintégrer les vaccino prudents injustement exclus, ce qui renflouera le pool global et sera un signe de changement de comportement envers les professionnels en poste, limitant ainsi l’épidémie de démissions et de suicides.


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18/09/2022 (2022-09-18)

IL FAUT FINIR PAR APPELER UN CHAT, UN CHAT !

Vous êtes triste, déprimé, révolté, agacé, fatigué, douloureux, nauséeux, anorexique ou boulimique, hagard, impuissant devant l’aveuglement de trop de citoyens devant la violence et la puissance mortifère des quelques milliers de milliardaires qui gouvernent le monde occidental. Ils sont menés par Bill Gates, l’informaticien, Tedros le patron de l’OMS, non-médecin au passé éthiopien sulfureux1, Fauci le MR Vaccin des USA2 depuis 50 ans et bientôt retraité tout de même (l’État profond s’effondrerait-il ?), le pouvoir politique américain, et évidemment la présidente de la Commission européenne non élue qui régente les pays soumis de l’UE et quelques autres leurs effecteurs, les dirigeants des pays européens

Le refus de la réintégration des soignants non injectés est cohérent avec l’ensemble du « projet »

Les psychiatres formés sont débordés par les vagues de suicides chez les adultes, mais aussi chez les enfants. Bien sûr, vous pouvez piocher dans les milliers de « thérapeutes » en tous genres disponibles sur le net, de formations et valeurs diverses et variées et qui ont l’avantage, n’étant pas soignants, de ne pas être interdits d’exercice pour refus d’injection expérimentale et leurs actes non remboursés par la sécurité sociale, donc beaucoup moins persécutés que les psychiatres formés à l’université par l’assurance-maladie.

Évidemment vous y trouverez de bons psychothérapeutes bien formés (dont certains actes reconnus et remboursés), mais aussi beaucoup de plus ou moins farfelus aux méthodes et pratiques diverses, mais dont une caractéristique trop fréquente est leur sentiment de supériorité, leurs incompétences médicales, leur rejet extrême de la médecine traditionnelle qui a failli certes, mais guéri des millions de patients depuis un siècle… On plonge dans le délire.

Danger, donc, mais en attendant le rendez-vous donné par un vrai professionnel dans six mois pour un premier contact pour votre ado cassé par le confinement, les cours en visio, les discours dissonants des radios, et la peur, terrible peur véhiculée par leurs enseignants manipulés par leur rectorat, parfois la terreur de l’avenir, que ferez-vous ?

Le pouvoir mondialiste a tout prévu

Manifestement depuis plusieurs années, l’obsession des pouvoirs politiques occidentaux n’était pas de former de meilleurs docteurs et assez nombreux praticiens, mais bien de les REMPLACER ». Il ne faut pas croire que la réduction drastique du numerus clausus était une « erreur » politique. Non, le scénario a consisté à progressivement priver les médecins de leur pouvoir médical en les soumettant à une administration prétentieuse et incompétente dans les soins, mais obéissante, dirigée le plus souvent par des énarques apparemment frustrés de ne pas être médecins, et parallèlement à en diminuer le nombre et la qualité (remplacement des enseignants cliniciens par des « savants » biologistes ou épidémiologistes, ou « médecins » de santé publique n’ayant jamais écouté un cœur ni palpé un foie…).

La première étape, « invisible » pour le peuple, a été d’embaucher dans des conditions précaires des médecins venus d’ailleurs, de formation plus ou moins bonne. Surtout leurs principaux défauts aux urgences, leur lieu d’accueil privilégié, étaient leur manque de maîtrise du français et donc du contact humain avec le public. Notons que cette difficulté aurait pu et dû être comblée rapidement avant embauche par un apprentissage intensif de la langue, comme cela se pratique partout pour les expatriés.

Mais les bureaucrates au pouvoir ne souhaitaient manifestement pas qu’ils comprennent les maux de leurs consultants, surtout pas tout ce qui pouvait concerner la médecine de l’âme.

ÉTAPE PRÉLIMINAIRE : HABITUER ET CONDITIONNER LES MALADES AUX ROBOTS SOIGNANTS3

On nous parlait de robots au lit du malade remplaçant fièrement, dans les congrès médicaux de démonstration, les infirmiers absents, déprimés et maintenant interdits d’exercice sous prétexte de refus d’injection expérimentale dangereuse et inefficace. Nous rigolions plus ou moins, vaguement inquiets.

Le robot s’avançait dans le couloir de l’hôpital pour prendre la tension artérielle du vieux monsieur et apporter le repas à la vieille dame. On a OSÉ nous présenter ces machines comme des progrès ! Naïfs, des téléspectateurs ont regardé, ébahis, le malade dans sa triste chambre d’hôpital et mal fagoté dans sa chemise blanche inadaptée, être distrait par un petit robot sympathique, mais terriblement inhumain.

Les fous de la connexion seraient-ils dispensés (avec bonne conscience ?) de visite à la grand-mère en fin de vie ou à la vieille tante qui sent mauvais, voire au petit frère cancéreux sans cheveux et décharné ?

Ne vous inquiétez pas, le gouvernement veille à remplacer les soins palliatifs longs et coûteux par une euthanasie acceptée rapide — quand vous sentez gêner tout le monde et qu’on vous a suffisamment culpabilisé sur le coût de vos soins., vous la demandez cette finale piqûre et ils oseront parler de « consentement libre et éclairé ». Oui éclairé sur la cruauté du monde…

« LES ROBOTS-INFIRMIERS : UN RÉEL PROGRÈS MÉDICAL ?

Présenté à Tokyo en 2011, le voilà maintenant arrivé sur le marché depuis novembre 2013 : le robot-infirmier de Panasonic, Hospi. Si son écran HD affiche un large sourire, sa commercialisation ferait en revanche plutôt grincer des dents. Après le robot qui réalise les prises de sang, cette nouvelle invention incarne-t-elle l’avenir du monde médical ou sa déshumanisation programmée ?

UNE AIDE MÉDICALE

Tout d’abord mis en place et étudié dans un des hôpitaux du groupe Panasonic, Hospi a su convaincre le personnel soignant d’Osaka. Malgré son poids important (120 kg), il a su se faire apprécier de ses “collègues” en les délestant de certaines tâches fastidieuses. Il sait gérer la programmation de la distribution des médicaments à heures fixes en les déposant aux infirmières. Mieux encore, un modèle permettrait de laver les cheveux du patient de façon semi-automatique !

Un gain de temps très appréciable pour les infirmières qui avouent avoir ainsi été déchargées de diverses tâches ingrates grâce à ces assistants, elles pourraient de ce fait mieux assurer leurs rôles de soin et de surveillance auprès des malades.

Hospi et ses camarades prototypes robotisés seraient des assistants médicaux parfois même “plus patients que les infirmières” selon Roselind Picard : ils n’hésitent pas, par exemple, à répéter inlassablement et autant de fois que nécessaire les recommandations et prescriptions faites aux malades, contrairement aux personnels soignants, malheureusement trop souvent débordés. Le personnel précise toutefois qu’il ne croit pas que les robots vont un jour remplacer médecins et infirmières…

Pourtant le robot Hospi n’a-t-il pas été créé, selon son concepteur, pour répondre à un manque de personnel au Japon ?

ET SI LE ROBOT REMPLAÇAIT L’INFIRMIÈRE

Si la technologie a rendu de nombreux services médicaux, notamment dans le domaine de la chirurgie, doit-on pour autant estimer que l’on puisse répondre à une surcharge continue de responsabilités et de travail du personnel hospitalier en lui offrant un amas de circuits intégrés ? Un manque cruel de main-d’œuvre causé par un désamour de la profession d’infirmier pourrait-il trouver réponse grâce à un service robotisé ?

Et le patient dans tout cela ? Sa dignité, son besoin d’écoute et de réconfort, la magie d’un sourire, d’un regard compatissant, d’une main tendue… N’oublions pas que les soins infirmiers découlent en effet des deux faces du concept soigner : traiter la maladie, et prendre soin de la personne ».

Il y a quelques années, en 2008 précisément, on craignait les bracelets d’identification risquaient de « chosifier » le malade en lui ôtant son identité. Pourtant, depuis octobre 2012, son usage s’est généralisé. Le malade ne deviendrait-il plus à l’avenir qu’un numéro, un dossier, une pathologie ? (…)»

OUI, ON AVAIT RAISON DE LES CRAINDRE CES BRACELETS QUI NOUS TRANSFORMENT EN VEAUX D’ABATTAGE et n’ont pas évité certaines erreurs. L’étape suivante a été le pass, le QR CODE pour aller boire un café au pub du coin ou entrer au cinéma et oui, les veaux comme les appelait de Gaulle n’ont pas moufté…

« Infirmières, infirmiers, en hôpitaux, en cliniques ou en libéral, vous qui pratiquez ce métier par amour de l’autre et de son bien-être, laisserez-vous un robot rassurer ou réconforter votre patient ? »

Et d’où vient le désamour du métier si ce n’est le management financier déshumanisé à visée de rentabilité ?

On remplace les soignants par les robots, alors qu’en même temps, comme dirait E. M., il y aurait trop d’humains sur terre… Mais qu’on s’empresse de faire disparaître via des refus de soins, des injections de Rivotril et des pseudovaccins expérimentaux toxiques, mais aussi des guerres… Eugénisme, quand tu nous tiens… LES ROBOTS SERONT-ILS PLUS OBÉISSANTS que ces médecins pourtant globalement très soumis ?

ÂPRES LES SOIGNANTS ROBOTISES, LES MÉDECINS :

MON PSY EST UN CHATBOT4

ATTENTION, cette image n’est pas un rêve d’eurocrate en délire nocturne, mais bien un projet « sérieux » de nos bureaucrates jaloux de l’Humanité de (certains) médecins dignes d’Hippocrate et non remplaçables par une machine même dotée d’intelligence artificielle.

Les chatbots, vous connaissez ? Ces logiciels — appelés également agents conversationnels — qui dialoguent avec leurs utilisateurs et dont le moteur est l’intelligence artificielle (ou IA). Si l’on ne peut encore dire qu’ils sont partout, ces enfants du high-tech investissent déjà de multiples domaines. Et notamment celui de la santé mentale. Mis à l’épreuve du réel lors des confinements liés à la pandémie de Covid, les psys chatbots ont ainsi pu mesurer leur pertinence et leur efficacité. Imaginez.

Vous — disons plutôt l’un de vos patients — traversez un moment difficile. Petite déprime passagère ou prémisses d’une authentique dépression ? Vous prenez votre smartphone et cliquez sur l’appli dédiée (Woebot, Mon Sherpa ou Sayana). Un psy synthétique vous prend alors en charge : « Comment vous sentez-vous ? Vous pouvez me répondre en mots ou en émoticônes… », propose-t-il. La suite de cette conversation est alors le produit d’une analyse sémantique fine de vos propos, où chacune des réponses de la machine est prédéterminée et déclenchée par des situations « si-alors ».

LES BOTS DU QUOTIDIEN : RAS-LE-BOL

Finalement, que vous appeliez votre banque, une agence de voyage ou immobilière, les administrations des impôts ou des assurances publiques ou privées, vous avez pris l’habitude, contraints et forcés, de converser avec ces inhumains, en tapant sur la touche 1,2 3, etc., et en recommençant dix fois parce que le robot bogue et repasse l’interrogatoire en boucle…

MAIS APPELER UN CHATBOT PSYCHIATRE, il fallait y penser et oser !5

« Mais il y a mieux. Les psys chatbots du type de Therabot arrivent. Cette application sur le point d’être testée pour la première fois dans un essai contrôlé randomisé se distingue en effet des générations précédentes en cela qu’elle est alimentée par une intelligence artificielle générative.

Autrement dit, Therabot peut utiliser les données et la documentation existantes pour développer des actions et des réponses originales, et pas seulement parcourir un arbre de décision. Un fonctionnement qui fait dire à certains qu’un début de conscience anime la machine. À voir… Car aussi sophistiquées soient-elles, ces aides électroniques ne remplaceront pas de sitôt la prise en charge en chair et en os par des psychiatres aguerris. Tout au plus pourront-elles pallier la pénurie croissante de professionnels et faire entrer dans le parcours de soins certains patients encore rétifs à s’y inscrire. »

Didier Doukhan

Alors vous révolterez-vous ?

Les cabines dites de télémédecine se répandent, semble-t-il, avec l’assentiment des patients ou au moins de suffisamment de citoyens pour les rentabiliser. Votre pharmacie a-t-elle installé un de ces gadgets ? Formidable, le rendez-vous du généraliste le jour même, et du spécialiste en trois jours ! Que demande le peuple ?

« Comment ça marche ? Durant la téléconsultation, le médecin guide le patient en vidéoconférence pour effectuer les prises de constantes physiologiques (tension artérielle, saturation en oxygène, pouls, la température frontale) et examens médicaux qu’il juge nécessaires au diagnostic en utilisant un panel de dispositifs médicaux assemblés.

La cabine médicale connectée est ergonomique favorisant l’autonomie du patient lors de sa téléconsultation. Elle est également munie d’une vitre teintée garantissant la confidentialité des échanges entre le patient et le médecin.’

À l’intérieur, un écran assure la vidéotransmission des échanges avec le téléconsultant. En suivant ses instructions, le patient manipule des dispositifs connectés : tensiomètre, thermomètre, stéthoscope, otoscope, balance, dermatoscope, oxymètre et, bientôt, un spiromètre pour mesurer les capacités respiratoires si nécessaire. Autant d’outils permettant d’aboutir à un diagnostic puis une ordonnance médicale si nécessaire.

La cabine médicale est entièrement insonorisée et équipée d’un système de ventilation. »6

Combien faudra-t-il de retards diagnostiques, d’erreurs rattrapables ou non, et de constats de la déshumanisation de ces pratiques pour que les citoyens les désertent, les rendant non “rentables”… La visite chez le médecin apportait toute une dimension humaine réconfortante au-delà de l’examen clinique indispensable aux patients isolés. Qui depuis la cabine pourra passer une main chaleureuse dans le dos de son patient en le raccompagnant à la porte du cabinet ?

Combien d’accidents pour la voiture automatique ?

On comprend bien sûr que la maltraitance du malade par ces techniques à distance n’est pas dans les préoccupations du pouvoir politique eugéniste et transhumaniste actuel. Le confinement quasi mondial et prolongé a manifestement été conçu dans la volonté de nous conditionner à toutes ces techniques connectées tant dans l’enseignement que dans la médecine. Il nous a obligés à accepter ces techniques à distance qui sont, il est vrai, parfois “mieux que rien” avec les avantages en exergue de la visio : “Avantages de la Visio : La prise en charge supposée identique à celle effectuée en cabinet, nous dit-on, ce qui est de fait faux. Il manque le contact direct, le toucher par une poignée de main réconfortante ou une embrassade de fin de consultation tant appréciée des patients. Le Respect des gestes barrières qui peut encore en rassurer certains et sans masque. Ce qui est essentiel en thérapie afin d’être à l’écoute du langage non verbal et mieux comprendre les émotions.

Problèmes de santé ou de déplacement, pas d’arrêt ou de pause dans la prise en charge thérapeutique.

Mais qu’en pensent les citoyens dont les yeux s’entrouvrent enfin ?

Comme a dit le médecin suspendu qui accompagnait le député Dupont Aignan à la manifestation de défense du Pr Perronne et des soignants suspendus, la volonté réelle du gouvernement est de nous remplacer par des robots :


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06/09/2022 (2022-09-06)

Par DR Gerard Delépine

Monsieur,

Ce fut un immense plaisir de vous entendre sur Cnews sur l’émission de Yvan Rioufol, le dimanche 4 septembre 2022, plaider avec détermination et éloquence pour la sortie de l’Europe de Maastricht. Ce fut un ravissement de vous entendre défendre une ligne politique souverainiste cohérente en cette période où tant de politiques se comportent en girouettes, mais toujours pro Maastricht, pour plaire aux électeurs d’après les sondages biaisés dont nous abreuvent les médias dominants.

Créer un mouvement d’union large pour le Frexit qui se présenterait aux élections européennes donnerait enfin de l’espoir à la majorité des classes populaires et devrait les motiver pour sortir de l’abstention où les a enfermés jusqu’à présent l’absence d’alternance politique crédible.

Mais pour être totalement crédible, il est nécessaire que vous constatiez et admettiez votre erreur lorsque vous avez réclamé une « obligation vaccinale » anti-covid comme Ursula von der Leyen le demandait. On peut comprendre que vous ayez « cru » en un médicament abusivement qualifié « vaccin » présenté comme « la solution » à la crise covid. Je ne conteste pas non plus votre droit à vous le faire injecter, mais votre célébrité utilisée dans cette manipulation mondiale nous a attristé, effondré.

Ce traitement est expérimental, car ses essais phase 3 ne sont pas terminés (ils le seront peut-être en 2023). Imposer une obligation pour un médicament expérimental est contraire au code de Nuremberg[1], base de l’éthique médicale depuis 1946[2], mais aussi à la déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale[3], et à la convention d’Oviedo[4], texte juridique contraignant que la France a signé et transposé en droit national.

L’avis du conseil de l’Europe du 27 janvier 2021[5] l’a rappelé en demandant instamment aux États membres et à l’Union européenne de :

« s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

L’absence de consentement libre et éclairé pour un traitement expérimental a, en effet, été le principal motif de la condamnation des médecins nazis lors du procès de Nuremberg.

Je suis médecin, j’ai exercé en France près de 50 ans. De principe je ne suis ni pro ni anti-vaccin. J’ai toujours défendu les vaccins efficaces sans danger qui permettent d’éviter les maladies graves. Je suis contre les vaccins inutiles et contre les vaccins insuffisamment étudiés comme celui contre la dengue (qui a causé des centaines de morts aux Philippines), comme le vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer invasif du col) et, pour l’instant, contre les pseudos vaccins Covid dont l’efficacité prétendue est contredite par les données officielles de l’OMS.

Les données officielles de l’OMS confirment en effet que loin d’éradiquer la maladie les campagnes de vaccination ont été suivies d’une accélération des contaminations (rythme mensuel de nouveaux cas par million multiplié par 3).

Cet échec des pseudo vaccins n’est pas dû aux non-vaccinés comme tente de le faire croire la propagande dominante, car les données officielles de l’OMS montrent que ce sont les pays très vaccinés qui souffrent de cette explosion de contaminations.

L’inefficacité totale des pseudo vaccins à prévenir les transmissions, maintenant prouvée, enlève toute justification à une éventuelle obligation vaccinale. De même les vaccins ne sont pas efficaces contre les formes graves, car les mortalités n’ont pas diminué depuis les vaccins.

Toutes les données présentées, officielles et publiées par l’OMS, démentent formellement la propagande officielle de la prétendue utilité des injections anti-covid. L’acceptation apparente des injections par la population a été extorquée par des mensonges permanents sur la nature et l’efficacité des pseudovaccins et des chantages répétés d’une violence extrême excluant des catégories de professionnels de leur sacerdoce et les discriminations exercées contre les vaccino prudents :

car la sécurité alléguée des vaccins n’a pas été confirmée, bien au contraire. De nombreux médecins le craignaient d’emblée, car leur élaboration a utilisé des techniques nouvelles jamais employées en infectiologie, a souvent sauté les étapes de sécurité :

pas d’études animales sérieuses, essai mélangeant phase 2 et 3, trop peu de sujets dans les essais, études sur des sujets en bonne santé de 18 à 55 ans qui ne constitue pas la population pour laquelle le vaccin pouvait être utile), recul de suivi ridicule (quelques semaines) et leur mise sur le marché trop rapide.

De même leurs indications, qui pouvaient se discuter pour les personnes à risques (pour lesquels existaient d’emblée des traitements précoces efficaces) n’auraient jamais dû concerner la majorité de la population (les moins de 65 ans) qui ne risquait presque rien et les enfants qui ne risquaient rien du tout. De ce point de vue, les chiffres actuels des organes officiels de surveillance des accidents vaccinaux (VAERS aux USA et Eudravigilance en Europe) sont angoissants et confirment qu’on aurait dû appliquer le principe de précaution tant que les essais n’étaient pas terminés.

Compte tenu de ces données, il paraîtrait utile que vous reveniez sur votre position passée sur l’obligation pseudo vaccinale (que d’ailleurs aucun pays démocratique n’a imposée). Étant donné la propagande actuelle pour un xième booster, et surtout pour l’injection des jeunes selon les préconisations de la Commission européenne que le gouvernement français suit rigoureusement, et par ailleurs votre célébrité, vous pourriez aider à protéger singulièrement les enfants et les jeunes.

Il est toujours difficile de reconnaître ses erreurs passées, mais une telle attitude grandit ceux qui en sont capables. La Première ministre norvégienne, Erna Solberg, a reconnu à la télévision que le confinement était inutile et qu’elle l’avait décrété par peur ; elle a été félicitée pour cela par ses compatriotes. Merci de l’imiter !

Je regrette d’avoir été aussi long, mais l’énoncé des faits avérés est nécessaire tant les mensonges officiels sont permanents. Je reste à votre disposition pour vous fournir tout renseignement que vous pourriez désirer sur ce problème. En vous souhaitant beaucoup de succès dans vos projets.

Bien à vous.

DR Gerard Delépine, chirurgien orthopédiste cancérologue et statisticien


 

  1. [1] https://famous-trials.com/nuremberg/1903[]
  2. [2] https://nouveau-monde.ca/les-decisions-du-proces-de-nuremberg-sont-dune-brulante-actualite/[]
  3. [3] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/[]
  4. [4] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention[]
  5. [5] https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-004802_FR.html[]
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