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Détransition, conséquence d’une épidémie factice et de diagnostic de « dysphorie de genre » surestimé

11/03/2023 (2023-03-11)

Par Nicole Delépine

Les enfants sacrifiés de la théorie du genre : arrêtez le Trans train comme en Suède

Les lobbies, la mode, le business conduisent beaucoup d’adolescents qui se sentent mal dans leur peau (ce qui est bien normal à cet âge) à se laisser convaincre que leurs soucis viennent d’une erreur de « genre », idée induite par la publicité mensongère à tous niveaux : cinéma, télévision et malheureusement école, y compris chez les très jeunes, âge de la plus grande facilité de la manipulation.

Certains tentent parfois de revenir en arrière : on les appelle les détransitionneurs !

[Voir aussi :
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan
Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie]

Un acteur britannique, influenceur sur les réseaux raconte sur une TV américaine son parcours.1

« L’influenceur Oli London, 32 ans, révèle qu’il est en train de revenir d’une femme coréenne à un homme britannique — et dénonce les écoles pour avoir “normalisé le changement de genre” et enseigné aux enfants “à idolâtrer les hommes faibles comme Harry Styles”.

L’influenceur britannique a suscité la controverse après s’être identifié comme “transracial” et avoir dépensé plus de 271 000 dollars pour ressembler à des pop-stars coréennes.

London a déclaré que les guerres culturelles américaines sur le genre et les écoles ont laissé les gens confus sur le sujet.

Les enfants apprennent dès leur plus jeune âge, dès l’âge de cinq ans dans certains cas, qu’il n’y a pas de mal à changer de sexe, qu’il n’y a pas de mal à porter une jupe, qu’il n’y a pas de mal à ce qu’un garçon utilise des toilettes neutres quand cela met les filles en danger »

La pub et les réseaux sociaux, les influenceurs et même la publicité gouvernementale en France, la peur d’être poursuivi pour transphobie des familles et des médecins psychiatres en cas de refus immédiat du souhait de l’enfant (politique pro affirmative d’emblée),2 conduisent trop de candidats à foncer d’emblée dans le TGV de la transition, sans avoir le droit, de fait, à une période suffisante de maturation de leur décision. Qui sont finalement les victimes si ce ne sont ces enfants pris en otage de la mode ?

Nouvelle normalité

La question n’est pas qu’un certain nombre de personnes se sentent d’un autre sexe que celui de leur corps visible, cela a toujours existé, mais de façon très minoritaire.

Le problème est lorsque des personnes arrivant au pouvoir politique affirment que c’est « la nouvelle normalité » et tentent de marginaliser tous ceux qui ne ressentent pas cette différence.

La nouvelle culture portée par un petit groupe puissant surreprésenté parmi nos dirigeants occidentaux3 4 5 6 et lobbies auprès des parlements, conduisent à des erreurs de diagnostic chez des enfants ou jeunes en mal être qu’il eut été nécessaire d’écouter longuement ainsi que leurs familles et proches, avant de s’engager dans un long parcours du combattant qui le plus souvent ne les satisfait pas d’après leurs témoignages. D’où ce nouveau chapitre de l’histoire de la théorie du genre, les détransitionneurs.7

Le transgenrisme a pris une dimension politique aux USA et par contamination habituelle, en UE

Rachel Levine, ministre de Biden est transgenre : « Les enjeux de représentation sont devenus centraux » (marianne.net) « La question des transgenres était déjà au centre de la campagne de 2015-2016. »8 Nommée ministre adjointe de la Santé par Joe Biden, Rachel Levine « représente un choix historique » a écrit Joe Biden en annonçant sa nomination comme ministre adjointe de la Santé. Jusqu’alors directrice de la Santé de l’État de Pennsylvanie, Rachel Levine devrait devenir la première responsable fédérale transgenre. Un choix hautement politique, entre lutte contre l’épidémie de Covid-19 et sur représentation des minorités. »Elle officie au sein d’« Equality Pennsylvania », organisation pour le droit des personnes LGBT.

LE DROIT DES PERSONNES TRANSGENRES FORTEMENT POLITISÉ

« Elle représente un choix historique et extrêmement qualifié pour aider à mener les politiques de santé de notre administration », s’est enthousiasmé Joe Biden, ajoutant qu’elle « apportera le leadership ferme et l’expertise cruciale dont nous avons besoin pour guider les gens à travers cette pandémie, peu importe d’où ils viennent, leur race, religion, orientation sexuelle, identité de genre ou leur handicap. »

0,6 % DE LA POPULATION ADULTE AMÉRICAINE

« Joe Biden fait comprendre que les personnes transgenres constituent une part importante de notre pays » a réagi Mara Keisling, directrice exécutive du National Center for Transgender Equality. Joe Biden avait nommé Shawn Skelly, une vétéran trans, dans son équipe de transition.

« Les personnes transgenres représenteraient 0,6 % de la population adulte des États-Unis, mais leurs revendications résonnent plus fortement dans le débat public. 9

Les associations mettent régulièrement en avant leur situation précaire. Selon le National Center for Transgender Equality, 29 % des personnes transgenres aux États-Unis vivraient dans la pauvreté ».

LA REPRÉSENTATION DES MINORITÉS, STRATÉGIE POLITIQUE

Les politiques de tous pays sont rarement désintéressés. Chez les démocrates aux USA la représentation des minorités est devenue une réelle stratégie politique dominante.

« La communication sur l’identité sert à donner des gages à certaines clientèles électorales et surtout à la gauche du parti », reconnaît Lauric Henneton, maître de conférences à l’Université de Versailles Saint-Quentin, « on peut imaginer que c’est une version américaine du “en même temps”. »

On peut comprendre que des politiques tentent de se trouver de nouvelles clientèles et quoi de mieux de chercher dans les minorités, voire les extrêmes minorités.. Mais combien de victimes converties trop rapidement à un changement de genre alors que leur état relevait d’une autre pathologie (ou pas) ou d’un mal être transitoire ?

J’ÉTAIS SÛR : JE SUIS UN GARÇON

Charlie Evans est né femme, a vécu comme un homme pendant dix ans et est maintenant une femme à nouveau. Elle met en garde contre les décisions précoces et incontestées.

Le « detransitioner » de Manchester est un combattant déterminé contre le changement de sexe trop rapide. Elle parle très ouvertement de ses expériences personnelles. Elle a fondé le Detransition Advocacy Network. Elle a parlé lors de la « Lesbian Strength March » à Leeds.10

« Je savais que j’étais un garçon parce que j’aimais les voitures, les camions, la boue et les boîtes — et les filles. Je savais que j’étais un garçon parce que je n’agissais pas comme une fille. Rien chez moi ne semblait girly, et l’idéologie trans dit que tout le monde ressent son genre. Je ne me sentais pas comme une fille.

Je savais que j’étais un garçon parce que je répondais aux critères de la dysphorie de genre : une forte aversion pour les jouets et les vêtements typiquement féminins ; amis principalement masculins ; sentir que mes sentiments et mon comportement étaient typiques d’un garçon ; le désir d’être traité comme un garçon ».

Tous l’ont conforté dans son changement de genre tout de suite, amis comme les thérapeutes qu’il a consultés ! Comme si une fille n’avait pas le droit d’être finalement « un garçon manqué » pendant son enfance !

EN SUÈDE, PRÉCURSEURS EN UE DES TRANSITIONS MÉDICOCHIRURGICALES, ILS METTENT LE FREIN : ARRÊTEZ LE TRANS-TRAIN 11!

28 avril 202112 de Christine Westerhaus

Dans la Suède libérale, le débat trans a fait rage sur les faux diagnostics et une nouvelle loi scandaleuse. Les médecins et les parents étaient en colère. La femme trans Aleksa Lundberg s’est également rangée du côté des critiques, déclarant :

« Quelque chose ne va pas fondamentalement. »

Alors qu’une nouvelle loi devait faciliter la chirurgie chez les mineurs, y compris sans l’accord des parents la polémique a permis de réagir.

Mais au fil des ans, des doutes se sont accrus en elle quant à savoir si elle faisait toujours la bonne chose. Surtout avec ses patientes.

« Ces dernières années, de plus en plus de filles biologiques sont venues à notre cabinet. Beaucoup d’entre elles avaient d’autres diagnostics tels que l’autisme, les troubles de l’alimentation ou le trouble de stress traumatique.Néanmoins, on s’attendait à ce que nous répondions aux souhaits de ces patients en matière de traitement de changement de sexe. »

En 2019, Sämfjord a quitté son emploi.

« J’avais peur d’infliger des dommages irréversibles aux jeunes. »

Dans l’équipe KID de l’hôpital universitaire Karolinska, les cas avaient explosé depuis la création de l’équipe en 2000, passant de cinq à dix par an à 200 par an, la plupart d’entre eux étant des filles.

Des psychologues et des médecins, des parents, mais aussi des centres de conseil trans et des soi-disant détransitionnaires se sont plaints de la négligence avec laquelle les filles de 14 ans de l’hôpital universitaire ont été amputées des seins, sans qu’aucune autre cause de leur malaise avec leur propre corps n’ait été suffisamment clarifiée ou même traitée.

Dans le documentaire, elle se sent « comme un cobaye », explique une jeune femme qui s’est laissée transformer en homme trans.

« Ils expérimentent avec des jeunes sans preuves scientifiques. C’est irresponsable et cela me met en colère ! »

Dans Svenska Dagbladet, C Gillberg, psychiatre à Göteborg, a averti que les traitements hormonaux et chirurgicaux sur les enfants étaient « une grande expérience » qui pourrait potentiellement devenir « l’un des plus grands scandales médicaux du pays ».

Les parents ont également pris la parole. À 16 ans, la plus jeune fille de Jannika Häggström a dit à sa mère qu’elle était un homme. La mère a refusé de consentir au traitement de changement de sexe. À l’âge de 18 ans, la fille adulte a été amputée des seins et a pris de la testostérone.

« À l’âge de 20 ans, à peine deux ans plus tard, elle a réalisé que tout cela n’était qu’une idée fixe. »

En 2018, Häggström a créé le « Gender Identity Challenge Sweden » (GENID) avec d’autres parents pour protéger parents et enfants

Le Suédois avait observé une tendance inquiétante :

« Presque aucune mère ou père n’ose refuser à son enfant le consentement à des interventions chirurgicales. Ce souhait n’est plus guère remis en question, car de nombreux parents rapportent que leurs enfants ont rompu le contact avec eux parce que d’autres jeunes trans leur ont conseillé de le faire sur Internet. »

D’autres parents avaient indiqué que le « Bureau de protection de la jeunesse » les avait contacté car ils avaient refusé de s’adresser à l’enfant avec le « pronom correct ». PRESSION INSUPPORTABLE DES BUREAUCRATES AU SERVICE DES POLITIQUES.

Le réseau compte une centaine de membres. « Nous voulons empêcher les médecins de continuer à faire des expériences sur nos enfants », explique Jannika Häggström.

« Les opérations et les traitements hormonaux sont une expérience, il n’y a pas d’études scientifiques à long terme sur les conséquences de telles interventions. Les jeunes ne peuvent donc pas donner leur consentement éclairé. »

GENID exige un âge minimum de 25 ans pour les interventions chirurgicales.

Finalement, le gouvernement suédois a arrêté le « Trans Train ». Elle a chargé l’Agence d’évaluation des technologies de la santé d’examiner les données sur l’augmentation du nombre d’adolescents atteints de dysphorie de genre. Résultat : Il existe très peu de données, tant sur les raisons de l’augmentation que sur les risques ou les bénéfices des traitements hormonaux et des chirurgies.

Un rapport de l’autorité nationale de la santé a révélé qu’une fille sur trois âgée de 13 à 17 ans souffrant de dysphorie de genre avait reçu un diagnostic de trouble anxieux et qu’un autre tiers souffrait de dépression. Un sur cinq souffrait de TDAH et un sur sept d’autisme. Enfin, une analyse de l’autorité sociale suédoise « Socialstyrelsen » est arrivée à la conclusion :

« Il y a plus d’inconvénients que d’avantages possibles à abaisser l’âge minimum pour la chirurgie de conversion sexuelle. »

« Lorsque les adolescents voient le changement de sexe comme une solution à leurs problèmes d’identité pendant la puberté, quelque chose ne va pas », explique Aleksa Lundberg femme de 39 ans, de Stockholm qui vit en tant que femme depuis près de 20 ans. »

« Quand je me suis réveillé et que j’ai réalisé que j’avais perdu une partie importante de mon sens sexuel, ce fut un véritable choc pour moi»

Elle dit qu’elle déciderait différemment aujourd’hui.

« J’ai réalisé que j’étais en fait un homme gay féminin qui sentait qu’il devait changer son corps pour être accepté. »

Autre chose est devenu clair pour elle :

« Les jeunes fondent leur décision pour ou contre le traitement sur les histoires ensoleillées que nous, les personnes trans, racontons dans les médias. Et j’ai caché une partie importante de mon histoire aux gens. » 13

DE PLUS EN PLUS DE FEMMES DEVIENNENT DES HOMMES

Il y a 30 ans, il y avait 3 000 transsexuels en Allemagne, aujourd’hui il y en a 24 000. De plus en plus de femmes fuient vers le sexe opposé. Pourquoi ? Battage médiatique pour les jeunes femmes ou néoféminisme en panne d’idées ?

Lea venait d’avoir 16 ans, et a présenté sa solution au problème à ses parents. « Elle nous a expliqué qu’elle détestait son corps féminin et qu’elle était en fait un garçon. » La mère était consternée. Sur Internet, elle a constaté que de nombreux parents ressentent la même chose qu’elle. Le phénomène a même récemment eu un nom : « Rapid Onset Gender Dysphoria » (ROGD).14

TRANS EST UNE TENDANCE15

« DETRANSITIONNEURS » : DES ADOLESCENTS REGRETTENT LEUR CHANGEMENT DE SEXE ET DÉNONCENT DES DIAGNOSTICS DE DYSPHORIE DE GENRE TROP HÂTIFS, QUI FERAIENT FI DE CERTAINES PATHOLOGIES16.

Les personnes qui regrettent leur transition sexuelle seraient en nombre croissant, d’après un avis de l’Académie de médecine :

« Le risque de surestimation diagnostique est réel, comme en atteste le nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant détransitionner. Il convient donc de prolonger autant que faire se peut la phase de prise en charge psychologique ».

Un député britannique dévoile sa transidentité et dit avoir été victime de chantage et de viol.

« En France, on sait par ailleurs que le nombre de mineurs qui ont souhaité changer de sexe a été multiplié par vingt sur la même période », selon Arnaud Alessandrin, sociologue spécialiste de la transidentité à Bordeaux, et certains regrettent.

Ces « détransitionneurs » peuvent être classés en deux catégories, selon le sociologue : « Il y a ceux qui ont été opérés lorsqu’ils étaient majeurs, ont été surdiagnostiqués et le regrettent. Ils représentent entre 1 et 2 % de la population trans ». Puis, les plus jeunes qui ont suivi un traitement hormonal. « Entre 20 et 40 % de ces jeunes disent ensuite que cela ne leur convient pas ».

Un chiffre considérable qui devrait faire réfléchir les partisans de la transition rapide.

Des diagnostics de dysphorie de genre trop hâtifs ignoreraient certaines pathologies responsables du mal être du mineur.

« Parmi les adolescentes qui détransitionnent, on se rend compte que souvent, une autre pathologie antérieure à la transition était en cause, comme l’anorexie, la boulimie, l’autisme », indique Nicole Athea, gynécologue au Parisien.

« Que peut-on décider quand on a 15 ans, qu’on est dans une situation de souffrance psychologique et bien souvent sous l’emprise d’une idéologie trans ? »17

Transgenrisme : « De jeunes détransitionneurs viennent nous apporter le récit de leur parcours »18

Attaquées dans un article sur Mediapart sur la question de la prise en charge des mineurs qui se déclarent transgenres, Caroline Eliacheff et Céline Masson, codirectrices de l’Observatoire La Petite Sirène19, répondent.

« Cliniciennes auprès d’enfants et d’adolescents depuis plusieurs décennies nous récusons ce procès en légitimité. C’est à ce titre qu’avec d’autres partenaires de différentes disciplines, nous avons créé l’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent (Petite Sirène — l’OPS).20 »

De nombreux témoignages de parents et de détransitionneurs attestent d’une prescription hormonale trop rapide, en dépit de troubles psychiques avérés.

Il est important de savoir comment est éclairé le consentement du jeune et de ses parents concernant les traitements, leurs effets secondaires, leur éventuelle irréversibilité et notamment le risque d’infertilité.

Sont-ils informés de la permanence incertaine de l’identité de genre d’un enfant ou d’un adolescent et, qu’à ce jour, aucun critère fiable ne permet de dire qui persistera et qui changera d’avis ? Sont-ils informés des alternatives au traitement médical telles que la psychothérapie et l’attente bienveillante que préconisent actuellement la Suède et la Finlande ? (Après avoir été les pionniers des pratiques chirurgicales de transformations sexuelles.)

Les parents savent-ils que de nombreux experts (Genspect)21 déconseillent la transition sociale totale des enfants soulignant que cela concrétiserait ce qui pourrait n’être que « transition temporaire ? »

INFLUENCE DES RÉSEAUX SOCIAUX

À Paris, 30 à 50 % d’enfants persistent dans leur identité inversée alors dans d’autres équipes, notamment celle du Pr Zucker au Canada, 70 à 90 % d’enfants retrouvent une harmonie avec leur sexe quand ils sont pris en charge autrement.

Toutes les publications qui affirment une amélioration après traitement hormono-chirurgical ont été jugées de « très faible fiabilité » et court-termistes.

En revanche, la sursuicidalité pendant toute la vie des personnes trans est bien démontrée (43 % soit dix fois plus que la population hétérosexuelle) et sert même d’argument (discutable) pour dénoncer la discrimination dont les trans sont l’objet alors pourtant, que d’autres minorités sexuelles (homosexuels et bisexuels) ou autres, tout autant discriminées, ne souffrent heureusement pas d’un taux de suicide aussi élevé.

LE CONFINEMENT LIÉ AU COVID A LARGEMENT AMPLIFIÉ LA SUREXPOSITION AUX RÉSEAUX SOCIAUX

Dans l’accélération récente du phénomène, il faut sans nul doute analyser la part terrible de l’invraisemblable confinement imposé à une grande partie du monde, folie organisée qui a abouti à une augmentation majeure des troubles psychiques et singulièrement chez les plus jeunes.

Le confinement lié au Covid a largement amplifié la surexposition aux réseaux sociaux.

« C’est là que les jeunes s’endoctrinent, s’autodiagnostiquent et acquièrent le vocabulaire et les codes pour convaincre leurs parents et les médecins ; c’est là qu’un avenir meilleur leur est promis s’ils s’éloignent de leurs parents, forcément transphobes si ceux-ci émettent la moindre réticence ; c’est là qu’ils adhèrent à leur nouvelle communauté qui les encourage dans leur détermination et les héroïse. »

Ils étaient perdus, isolés à la suite des mesures coercitives de la plandémie covid, ils deviennent membres d’un groupe chaleureux, qui les comprend et au passage les manipule et les utilisent : ils trouvent le nom de médecins complices qui prescrivent des hormones à la première consultation ou s’en procurent sur Internet. Ils y trouvent même le nom de chirurgiens (parfois même indiqués par nos grands centres de référence !) pratiquant des mastectomies

Ces mutilations sexuelles sont souvent voilées par des euphémismes tels que torsoplastie ou encore « chirurgie du haut » (les médecins reprenant à leur compte le vocabulaire trans) — opérations autorisées en France avant dix-huit ans avec l’accord des deux parents et réalisées dans des cliniques privées, à Paris et en province.

LES DÉTRANSITIONS

Il est bien sûr très difficile d’en établir le nombre, car les services spécialisés ne les voient pas forcément et ne tiennent pas forcément à mettre en exergue les échecs de leurs pratiques discutables, mais fort lucratives.22

« Les détransitionneurs ont rarement envie de revoir les médecins qui les ont traités et estiment-ils souvent, mal traités. »23

Ces jeunes gens découvrent qu’ils sont toujours aussi malheureux, qu’ils ont été soignés de leur mal-être en dépit du bon sens (bon nombre se découvrent simplement homosexuels ou bisexuels), et/ou qu’ils étaient en réalité atteints de troubles psychiatriques bien plus lourds (autisme, psychose, traumatismes, etc.) que la dystrophie de genre présumée qui les a conduit à des mutilations irréversibles et à des traitements hormonaux inutiles et potentiellement dangereux.24

La vraie médecine prend du temps et doit avant tout ne pas nuire.

Quand un mineur mal dans sa peau se croit atteint de dystrophie de genre, il faut l’écouter patiemment, le rassurer sur l’amour et le respect qu’on lui porte et la solidité des liens parents-enfant, lui expliquer les conséquences avérées d’une transition sexuelle complète (traitement à vie, mutilations irréversibles, stérilité) et promouvoir un accompagnement psychologique prudent. L’écoute, le dialogue, l’information, le refus de décisions hâtives irréfléchies et le temps parviennent à rassurer 75 % à 90 % des adolescents qui se croient trans sous la pression.

Cette prudence dans l’usage de traitements qui nous a toujours guidés dans notre pratique pédiatrique, cancérologique et chirurgicale sauvera de nombreux mineurs et permettra peut-être d’éviter un scandale sanitaire à venir.


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Bilan catastrophique de la politique sanitaire Française 24 NOV 22

diaporama confinement du 27 2 22

 

à l’occasion d’une réunion de l’association AMETIST  chez sa présidente, nous avons fait le point sur différents aspects de la crise covid19 ET de ses conséquences particulièrement chez les enfants et les jeunes

 

ici se trouve le diaporama à propos des conséquences délétères des confinements  (cliquez sur le lien)

 

et les développements et la bibliographie détaillée dans nos livres sur le sujet

 

 

Delépine, Les enfants sacrifiés Covid

 

 

 

Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

Propos recueillis par Pierre Cassen pour RL

C’est avec grand plaisir que nous accueillons ce jour Nicole Delépine qui, avec son mari Gérard, depuis le début de cette crise, fait profiter nos lecteurs, sur la crise sanitaire, d’une vision rationnelle et plutôt rassurante, aux antipodes du discours angoissant véhiculé par le pouvoir et, hélas, nombre de confrères de Nicole et Gérard. 

Nicole nous présente le nouveau livre qu’elle vient de publier…

Toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants

RL : Vous publiez ce jour votre dernier livre, intitulé « Les enfants sacrifiés du covid », et vous sous-titrez « Isolement, masques et vaccins ». Considérez-vous que la France a vraiment plus mal traité ses enfants que les autres pays européens, ou dans le monde ?

Nicole Delépine : Il est évident que la France a considérablement plus maltraité ses enfants que certains pays européens comme la Suède ou la Biélorussie qui n’ont jamais fermé leurs écoles, ni imposé des masques, ni tests aux enfants. Ni inventé des pass limitant la pratique des sports, ni restreint l’accès aux lieux de culture et de spectacle, etc…

Et ces pays ont pourtant un bilan Covid moins mauvais que le nôtre. Comme quoi il apparait que ce que nous évoquions dès les premiers mois du coronacircus, toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants et adolescents dont ils paient un lourd tribu.

Les 11 vaccins imposés aux enfants en 2017 furent une répétition générale

R L: Dès l’arrivée de Macron au pouvoir, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a fait passer les vaccinations obligatoires de trois vaccins (diphtérie, tétanos, poliomyélite) à onze (rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B…). Des spécialistes ont estimé qu’on mettait en danger les enfants. Pourtant, apparemment, cette vaccination accrue n’a pas créé de problèmes nouveaux, quatre ans après. Pensez-vous que ces nouvelles dispositions étaient légitimes ?

Nicole Delépine : Effectivement les onze vaccins imposés aux nouveau-nés qui posent un problème majeur pour la santé des enfants ont été acceptés dans l’indifférence de trop de Français, comme à un autre bout de la vie l’abandon des vieux dans les EHPAD et leur euthanasie forcée dès mars 2020.

Dire qu’il n’y a pas de conséquences est bien sûr impossible tant il faudrait évaluer l’impact de ces charges d’aluminium entre autres imposées aux bébés très supérieures à ce que nous avons reçu dans toute notre vie de boomer. La fragilité des enfants très vaccinés aux infections, allergies etc., relève aussi de l’analyse nécessaire qu’ont déjà abordé d’autres auteurs.

Quant aux jeunes parents, ils continuent à vivre dans la terreur de ces injections multiples dont Mme Buzyn avait promis le caractère temporaire d’autant que les organisations consultées avaient voté en défaveur de ce projet. Certains retardent leur projet d’enfant en raison de ces contraintes absurdes et dangereuses destinées à satisfaire Big pharma et l’UE.

En fait, 2017 fut une répétition pour tester la tolérance des citoyens à accepter n’importe quel ukase sans aucune justification médicale et en urgence. Voici ce que nous écrivions en novembre 2017 évoquant le code de Nuremberg, avant ce vote cruel des vaccinations obligatoires :

«  Pourtant il semble que le nœud de la question du vote parlementaire siège à ce niveau. En effet, personne n’a probablement l’intention de transformer en quelques minutes de débat, à l’Assemblée ou au Sénat, nos parlementaires en vaccinologues de haut rang. Seraient-ils capables d’assimiler en peu de temps (puisque le vote est une urgence pour le gouvernement !) l’épidémiologie, l’histoire des vaccins et de l’hygiène, et de leurs rôles respectifs ou complémentaires, l’efficacité clinique des vaccins en passe d’être imposée sur la mortalité à long terme, et pas seulement sur la montée d’anticorps chez les vaccinés , et surtout les effets secondaires attendus, sans parler des côtés économiques – que la justification de leur vote sur l’obligation ne pourrait y trouver ses racines.

Quel devrait-être en démocratie le rôle du Parlement pour la santé, si ce n’est de mettre à la disposition du citoyen les meilleures conditions de soin, sans interférer dans son libre choix de personne pensante, ni dans celui des professionnels, les médecins. Bref, je n’avais pas compris que l’assemblée se devait de réécrire les traités de médecine, et les imposer aux robots médecins et aux patients-citoyens objets ».

Et la loi fut votée très vite dans le silence assourdissant des médias et des associations, en dehors de quelques exceptions.

Nous écrivions déjà :

« Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’Ordre ou des médecins connus  se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ? »

Le professeur Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux… »

Relisant cette tribune vous ne serez pas étonné de ce qui nous arriva depuis 2020, du comportement de l’ordre des médecins, foulant au pied le consentement éclairé des patients et le libre choix du médecin à donner les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science, diffamant et poursuivant les docteurs osant soigner leurs patients.

Le Pr Holland  avait pourtant insisté à la tribune de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination ».
 « Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….). »

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables

Riposte Laïque : On est passé du masque obligatoire à l’école à partir de 11 ans, au masque obligatoire à partir de 6 ans. On est passé de la vaccination à partir de 12 ans, avec 90 % de vaccinés, à celle à partir de 5 ans. Pourtant, les associations de défense des droits de l’enfant ont été fort discrètes. Les associations de Parents d’élèves et les Syndicats d’enseignants n’ont pas protesté, si ce n’est pour réclamer encore plus de mesures restrictives. Et rares ont été, sur les plateaux de télévision, mis à part Marie-Estelle Dupont, les chroniqueurs à protester contre ce que certains appellent la maltraitance des enfants. Comment expliquez-vous cela ?

Nicole Delépine : La crédulité à la propagande gouvernementale, la peur, fille de l’ignorance, la censure, le conformisme, et la corruption ont réussi à fait croire que les enfants pouvaient être dangereux.

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables, en fermant les écoles puis en leur imposant des mesures soi-disant sanitaires alors que les toutes les études épidémiologiques mondiales montraient pourtant que les enfants sont innocents du covid et l’ont toujours été depuis le début.

Le ministère a honteusement diffusé une pub dans laquelle un enfant était accusé d’avoir envoyé sa grand-mère en réanimation.

Quelle violence cruelle intégrée dans la tête des enfants ? Combien de temps mettront-ils à effacer ces images, malgré nos explications réitérées de mensonge médiatique et de manipulation ?

Les médecins honnêtes ont été exclus des grands médias et seuls les alarmistes invités et pour bon nombre corrompus et en tous cas manipulés et manipulateurs .

Une fois la peur des enfants installée, parents et enseignants ont accepté les mesures pourtant absurdes. Des associations se sont montées progressivement dans les provinces, tentant chacune d’obtenir une amélioration ponctuelle sur le port insupportable du masque par exemple, mais avec bien des difficultés.

Mais ce sont les syndicats de l’éducation nationale qui sont le plus à blâmer, répétant à loisir les mensonges de leur administration, comme si leur seule obsession était de poursuivre un combat purement syndical sans tenir une seule seconde compte des tragiques conséquences tant scolaires que psychologiques sur les enfants, mais aussi sur les professeurs.

On parle de décrochage des élèves et étudiants, mais ne faut-il pas insister aussi sur celui des profs ?

37.000 décès, et ils continuent l’injection expérimentale !

Riposte Laïque : Pouvez-vous nous faire le point sur les effets secondaires du vaccin, en France et dans le monde ?

Nicole Delépine : Nous avons déjà, à de multiples reprises publié le point sur les effets secondaires officiellement reconnus sur les bases de données internationales, telle le Vaers américain, l’ANSM agence française, Eudravigilance pour l’EMA ou le MHRA pour la Grande- Bretagne.

L’augmentation exponentielle des effets rapportés n’a cessé de nous interpeller, en particulier par exemple le nombre de décès relaté par l’UE de plus de 37 000 en ce début janvier 22. L’interrogation majeure est de comprendre pourquoi les médecins ont accepté la poursuite de cette injection expérimentale (premiers résultats prévus en janvier 2023 selon clinicaltrials.gov ), devant un tel nombre de décès, alors que n’importe quel essai clinique a toujours été interrompu après quelques décès (par exemple le H1N1 a été stoppé après 53 décès).

Nous pouvons en ce jour donner les informations récentes fournies par la publication de lanceurs d’alerte militaires américains qui ont étudié les données militaires en comparaison aux années précédentes avant l’épisode covid.

« Outre le pic des diagnostics de fausses couches (avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000 !

Voici d’autres chiffres donnés lors de l’interview :
⦁ infarctus du myocarde 269% d’augmentation
⦁ paralysie de Bell 291 % d’augmentation
⦁ malformations congénitales (pour les enfants de militaires) 156 % d’augmentation
⦁ infertilité féminine augmentation de 471%
⦁ embolies pulmonaires augmentation de 467%
Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci : « C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19″.

Nous pouvons aussi vous montrer les derniers tableaux de EudraVigilance qui résume les effets délétères reconnus par l’agence européenne qui même si tout le monde considère qu’ils sont sous-estimés restent très impressionnants.

Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

R L  : Pourquoi avez-vous éprouvé le besoin d’écrire ce livre ?

Nicole Delépine : Il nous a semblé que la multiplication des articles, vidéos, interviews, manifestations, tracts etc.… tant en France qu’à l’étranger, pourtant de plus en plus nombreux et souvent de grande qualité n’ont pas encore suffi à ouvrir les yeux de tant de personnes hypnotisés par le discours initial gouvernemental permanent d’un message unique des médias, aboutissant à l’hypnose bien décrite par des psychologues de la manipulation comme Ariane Bilheran.

Nous espérons que le format livre atteigne des personnes différentes, éloignées des réseaux sociaux et que dans l’immédiat, cette synthèse du sacrifice des enfants pendant ces deux ans puisse ouvrir des yeux à temps pour éviter la sinistre « vaccination » que le pouvoir essaie encore d’imposer alors qu’il sait l’épidémie terminée, qu’il sait que les enfants ne risquent rien et ne contaminent pas. Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure.

Si certains peuvent hésiter à injecter leurs petits, cela donnera le temps d’en sauver quelques-uns, de faire jour à cette sinistre plandémie dont le voile se déchire rapidement comme l’extraordinaire cortège vers Ottawa des routiers canadiens et américains et de la population le démontre depuis quelques jours. Espérons qu’ils gagneront et que l’effet domino permettra une libération rapide des autres peuples martyrs dans le monde.

R L : Que pensez-vous de l’attitude de certains de vos confrères, qui, sur les plateaux de télévision, multiplient les pressions sur le gouvernement pour qu’il accentue les mesures répressives contre les non-vaccinés ? Attribuez-vous cette attitude aux seuls conflits d’intérêt ?

ND : Le propre du régime totalitaire est d’arriver à dire 2 + 2 = 5 sans être choqué comme l’a bien démontré George Orwell. Il crée des conditions de manipulation de masse par un discours unique permanent, visible et subliminal, effaçant le reste et conduit à la capacité d’éliminer ce qu’on voit. On a vu, on refoule, et on voit quelqu’un qui dit ce qu’on a vu et celui-là on le diffame, on le maudit, on le maltraite.

Alors le comportement de nos confrères n’est pas homogène. Il y a les corrompus d’emblée, les employés de Big pharma qui n’ont fait que leur travail parmi lesquels des « grands professeurs » d’emblée sur les plateaux. Et puis il y a des situations plus complexes des niveaux intermédiaires.

La corruption pudiquement rebaptisée liens d’intérêts explique que beaucoup de ces confrères se comportent comme les représentants de commerce des marchands de vaccins ou de médicaments nouveaux hors de prix. Mais la corruption n’est pas uniquement financière; en disant ce que l’élite voulait les entendre dire, ils ont été invités sur les grands médias et se sont fait connaître sans que leurs travaux scientifiques, ni leur connaissances ne le justifient.

Le désir de reconnaissance médiatique parfois d’ailleurs relativement bien rémunéré en a conduit à la griserie des plateaux dans une société starisée et adepte de la téléréalité.

Une histoire antérieure de plusieurs décennies a conditionné les médecins

Mais n’oublions pas que la soumission de trop nombreux collègues a été conditionnée progressivement par la main mise de la sécurité sociale (vidée de son sens initial) et des agences régionales de santé sur les prescriptions via les références médicales opposables dès 1993, puis les recommandations rapidement imposées et les certifications, et le plan cancer qui a par exemple enlevé aux cancérologues tout pouvoir de prescription individualisée depuis les années 2000.
N’oublions pas non plus que dans les années 30 plus de 60% des médecins allemands étaient membres du parti nazi. Notre formation ne prépare guère à l’indépendance d’esprit.

RL : Nous sommes à moins de trois mois de l’élection présidentielle. Quel est votre regard sur la posture des principaux candidats, concernant la politique vaccinale des prétendants ?

ND: Il est évident que la posture des candidats sur la situation sanitaire permet de faire un tri rapide de ceux qu’il faut absolument éliminer de la sphère politique comme tous ceux qui les suivraient et convoiteraient des postes de députés ou conseillers municipaux ou autres. Tout candidat digne de ce nom doit clairement affirmer qu’il doit rendre aux médecins la liberté de pratiquer la médecine et qu’il faudra faire de plus un grand ménage dans l’organisation administrative du domaine de la santé. Notre ouvrage « soigner ou obéir » avait abordé ce sujet dans l’indifférence générale en 2016 lors de la précédente élection présidentielle. Ce travail est à reprendre et compléter. Nous sommes à leur disposition pour éclaircir ce domaine.

RL : Le passe vaccinal vient d’être mis en application, ce 24 janvier , en France. Castex a promis des allègements, dans trois semaines, si la situation sanitaire le permettait. Certains pays allègent le dispositif, comme la Grande-Bretagne ou l’Espagne, mais d’autres accentuent la pression, comme la Grèce et l’Autriche, qui veulent rendre la vaccination obligatoire, avec lourdes amendes pour les contrevenants. Pensez-vous, comme le dit régulièrement Florian Philippot, que c’est la mobilisation des Français, tous les samedis, qui empêche le régime d’aller plus loin ?

Nicole Delépine : Le pouvoir va rapidement être dépassé (y compris en Grèce ou en Autriche) puisqu’en quatre jours la situation est déjà complètement différente, et les mesures coercitives sont de plus en plus décalées avec la réalité qui nous entoure et en particulier le recul de tous les pays par rapport à leurs exigences initiales, y compris l’Autriche et l’Allemagne qui renoncent à imposer la vax obligatoire. Le gouvernement a déjà renoncé à faire appliquer le pass vaccinal en Guadeloupe.

Les manifestations hebdomadaires ont été évidemment d’une importance cruciale, démontrant une frange de population déterminée jamais prête à céder et se solidifiant par ces rencontres importantes en nombre et en symbolique. Il est évident qu’il va falloir passer à la vitesse supérieure et pourquoi pas, comme en Allemagne passer à des manifestations quotidiennes dans nombreuses villes de France en même temps, et pourquoi pas imaginer un convoi de la Liberté inspiré de nos amis canadiens.

Soyons sûrs que les résistants patriotes, gilets jaunes et autres s’unissent rapidement pour faire sauter TOUTES LES MESURES SANITAIRES devenues intolérables dans un monde où des pays voisins comme l’Espagne ou l’Angleterre revivent normalement et où la Suède n’a jamais abandonné cette vie normale d’antan.

A moins que le domino international n’aille encore plus vite ?

RL : Comment fait-on pour se procurer votre livre ?

N D : Dans toutes les bonnes librairies ou sur le site de FAUVES EDITIONS ou autres sites en ligne comme Amazon ou Fnac ou les sites de libraires en ligne

R L : Souhaitez-vous ajouter quelque chose ?

Oui, il faut rapidement sortir de cette tragédie, évitant les injections qu’on voudrait encore faire subir aux petits, mais aussi aux grands, puis passer à la reconstruction de notre système de santé, mais aussi de l’éducation nationale, etc…

Prendre soin de tous ceux que cette crise a abimés, en particulier les injectés hypnotisés ou les « malgré eux » qui ont accepté de se faire injecter pour sauver leurs revenus et nourrir leur famille etc. Les tentatives de traitement des effets secondaires vont se multiplier et il faudra en faire profiter nos amis, connaissances et surtout ne pas diviser, mais se réconcilier.

Remonter le moral des troupes dans un grand mouvement positif qui engagera chacun et lui redonnera des objectifs réparateurs permettant résilience et avenir ouvert et enthousiasmant. Une reconstruction post guerre mondiale de fait !

Bref pour nous tous du travail sur la planche et de nombreux projets de livres en ce qui nous concerne.

www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram

 

Couv Les enfants sacrifiés[43011]

Couv Les enfants sacrifiés[43011]

 

le 22 janvier 2022

SAUVEZ LES ENFANTS DE L’INJECTION INUTILE ET TOXIQUE

 

Bonjour  à tous

 

Nous avons pour beaucoup compris que la pression de tests aux petits y compris en crèche (!) vise à épuiser les familles et les faire consentir à l’injection souvent toxique.

 

Il est temps de sortir de l’hypnose et de faire échapper enfin les enfants de ce scénario tragique. Nous avons avec le Dr G Delépine tenter de résumer comment les enfants, adolescents et jeunes adultes ont été les SACRIFIES de cette plandémie. Nous espérons que ce petit livre synthétique pourra servir à quelques-uns pour sortir de ce scénario terrible et en aider quelques autres.

 

 

MERCI  de votre lecture, à votre disposition pour réponses aux questions par ce mail ou celui de gerard.delepine@bbox.fr   et merci à tous de votre aide pour sauver les petits, chacun par ses moyens.

 

Les courbes correspondant aux chapitres seront sur notre site  pour ne pas surcharger le livre. (voir article du 23 Janvier 22 sur le bilan sanitaire des pays utilisant les TAP (traitements précoces) versus le tout vaxx.

 

Continuons la résistance avec espoir car les yeux s’ouvrent même sur nos médias..

 

Delépine Les enfants sacrifiés du Covid

 

 

FAUVES

 

Le 24 janvier 2022

 

 

Nicole et Gérard DELÉPINE

Les enfants sacrifiés du Covid

Isolement, masques et vaccins

Essai

 

214 pages – 16 €

 

Le livre

Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnose générale a occulté les dangers des atteintes aux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant.

 

Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les menace. Cette injection expérimentale est d’autant plus injustifiée qu’ils sont à risque zéro et ne contaminent personne. De plus, elle met en péril leur avenir immédiat et à long terme, avec des effets secondaires connus et inconnus.

 

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérément ses enfants ? Il est temps d’ouvrir les yeux.

 

 

Les auteurs

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, et Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de quarante ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

 

FAUVES

 

 

 

 

 

 

 

Nicole Delépine Pédiatre,ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à Garches APHP

Gérard Délépine chirurgien orthopédiste et cancérologue, diplômé de statistiques médicales

 

Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram

 

MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL SUR LA COVID19 AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

 

 

Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses, impact horrible sur l’économie mondiale…autodestruction et suicide collectif. Il faut lire l’intégralité de cette lettre au président de la république, et pour les plus courageux ouvrir les liens et articles qui démontrent leurs dires.

 

 

United-Health-Professionals-France.pdf (reseauinternational.net)   IN EXTENSO CLIQUEZ SUR LE LIEN

 

 

Très Urgent : message d’alerte international sur la COVID-19   12 FEVRIER 2021

Mr Emmanuel Macron : Président de la France, Mr Jean Castex : Premier Ministre et Mr Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé,

 EXTRAITS

Nous sommes des professionnels de santé du collectif international : United Health Professionals,

composé de plus de 1,500 membres (y compris des professeurs de médecine, des anesthésistes-réanimateurs et des infectiologues) de différents pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et

d’Océanie et nous avons adressé le 26 Août 2020 aux gouvernements et aux citoyens des pays du monde entier un message d’alerte concernant l’épidémie de COVID. Tout d’abord, commençons par les conclusions du rapport de 2010 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur la gestion de l’épidémie de H1N1 (…)

 

 

 Les conclusions majeures sont les suivantes

« 1-Levez toutes les restrictions : supprimez les mesures illégales, non scientifiques et non sanitaires suivantes : confinement, port du masque obligatoire pour les sujets sains, distanciation sociale d’un ou deux mètres.

Ces mesures folles et stupides sont des hérésies inventées en 2020 qui n’existent ni en médecine ni en santé publique et qui ne reposent sur aucune preuve scientifique.

Ce n’est pas comme ça qu’on gère une épidémie : – « Le monde est devenu fou » en mettant en place les confinements qui « vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus » (Dr Anders Tegnell, épidémiologiste en chef de la Suède, 24 Juin 2020). –

« Le taux de létalité réel semble être à peu près le même que pour la grippe, mais nous n’avons jamais introduit ces mesures drastiques auparavant, lorsque nous avons eu des pandémies de grippe » (Pr Peter Gøtzsche, 1er Décembre 2020). –

 

« La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques… » (Pr Didier Raoult, 24 Juin 2020). –

« L’histoire naturelle du virus [le coronavirus] n’est pas influencée par des mesures sociales [confinement, masques, fermeture des restaurants, couvre-feu, etc.] …Le confinement n’a pas enclenché la décroissance des cas…Quant à la fermeture des restaurants qui avaient mis en place des protocoles sanitaires très stricts…je n’ai, bien entendu, aucun moyen de le défendre…il n’a pas du tout influencé l’épidémie…Le confinement n’a rien changé… » (Pr Philippe Parola, 3 Décembre 2020). –

« Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous » (Professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, 19 Juin 2020). –

 

« Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses…un impact horrible sur l’économie mondiale…Autodestruction et suicide collectif… » (Pr Sucharit Bhakdi, Mars 2020. Il a aussi envoyé, à l’époque, une lettre à la Chancelière Allemande Angela Merkel).

 

Ces mesures tyranniques violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dans ses articles : 3, 5, 9, 12, 13, 17, 18, 20, 26, 27, 28, 30 et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF dans ses articles : 28, 29, 32, 37. –

 

« Lorsque l’État sait le mieux et viole les droits de l’homme, nous sommes sur une voie dangereuse. La pandémie a conduit à la violation des droits fondamentaux de l’homme…Il n’y a pas eu la moindre analyse éthique pour savoir si c’était justifié. Ça ne l’est pas » (Pr Peter Gøtzsche, 4 Décembre 2020)

 

. Obliger des gens non malades à porter des masques est non seulement une hérésie mais c’est aussi nuisible à la santé ainsi qu’à l’écologie et une maltraitance évidente : – « Dictature des masques totalement infondée » (Pr Christian Perronne, 22 Septembre 2020). -3- –

« Le couvre-feu…c’était pendant l’occupation allemande où la milice et la Gestapo venait à la maison. Et maintenant on va avoir la police débarquée à la maison pour voir s’il y a plus de six personnes à table ! C’est quoi ce délire ?! » (Pr Christian Perronne, 15 Octobre 2020). –

 

« Tous les hivers à Paris, les lits de réanimation sont totalement saturés. Nous transférons des patients…tous les hivers, en temps normal » (Pr Bruno Mégarbane, anesthésiste-réanimateur, 27 Septembre 2020)

« Dans aucune des deux vagues…toutes les réanimations n’ont été saturées, c’est faux ! » (Pr Michaël Peyromaure, 18 Janvier 2021)

 

 

.2-Ouvrez l’économie, les écoles, les universités, le transport aérien et les services hospitaliers.

 

3-Ecartez vos experts et vos conseillers qui ont des liens ou des conflits d’intérêts avec les entreprises pharmaceutiques

 

4-Exigez une enquête internationale et indépendante

 

et que les responsables de cette escroquerie soient jugés : Le 1er Octobre 2020, Reiner Fuellmich -un avocat Allemand- annonce qu’un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : « Les mesures anti coronavirus ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par (…) l’OMS doivent être légalement qualifiés de véritables crimes contre l’humanité tel que défini dans la section 7 du code pénal international ».

Il a dit aussi qu’on doit parler d’un « scandale du coronavirus et les responsables doivent être poursuivis pénalement et pour dommages civils ».

 

 

(…) Les effets du confinement « ont été absolument délétères. Ils n’ont pas sauvé les vies qu’ils avaient annoncées pouvoir être capable de sauver…C’est une arme de destruction massive dont on voit les effets sanitaires…sociaux…économiques…qui forment la réelle deuxième vague » (Pr Jean-François Toussaint, 24 Septembre 2020).

 

Emprisonner son peuple est un crime contre l’humanité que même les nazis n’ont pas commis !

 

– « Ce pays vit une erreur dramatique…qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ! …on est en train de mettre le feu à la planète » (Pr Didier Raoult, 27 Octobre 2020).

 

« C’est un grand délire mais qui est instrumentalisé par big pharma et aussi les politiciens…C’est une peur qui est organisée pour des raisons politiques et économiques » (Pr Christian Perronne, 31 Août 2020).

 

– « Il ne s’agit que d’une arnaque mondiale pour générer des profits monstrueux, renflouer les banques et pendant ce temps ruiner les classes moyennes au nom d’une épidémie…rendue destructrice p par des mesures liberticides prétendument sanitaires » (Dr Nicole Delépine, 18 Décembre 2020). –

 

« Nous avons des preuves médicales qu’il s’agit d’une escroquerie » (Dr Heiko Schöning, Juillet 2020).

 

 

5-Ne suivez plus aveuglément les recommandations de l’OMS et exigez qu’elle soit totalement réformée :

 

6-Utilisez les mesures reconnues pour la gestion des épidémies

 

7-Responsabilisez les médias

Ils doivent, par exemple, arrêter de parler du coronavirus.

 

 

 8-Supprimez l’obligation de tests

 

Les gens qui incitent à rendre ces tests obligatoires escroquent les gouvernements et visent uniquement des objectifs économiques. Rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. La grippe infecte chaque année un milliard de personnes, soit beaucoup plus que le SARS-CoV-2, se propage plus rapidement et comporte plus de populations à risque et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages

 

 

 

9-Arrêtez les campagnes de vaccination et refusez l’escroquerie du passeport pseudo-sanitaire qui est en réalité un projet politico-commercial : –

 

« On n’en a aucun besoin [le vaccin] …Tout ça, c’est une histoire purement commerciale » (Pr Christian Perronne, 16 Juin 2020)

 

Le vaccin COVID est « tellement, tellement inutile » (Pr Sucharit Bhakdi, 2 Décembre 2020).

 

– « Je n’ai jamais vu dans l’histoire de la médecine qu’on développe en urgence des vaccins pour vacciner des millions, des milliards d’individus pour un virus qui ne tue plus sauf des personnes à risque qu’on peut identifier, qu’on pourrait traiter…Je n’ai jamais vu un vaccin comme ça sortir du chapeau en deux mois ! Il faut des années ! » (Pr Christian Perronne, 2 Décembre 2020).

 

À la question : « On n’a pas besoin d’un vaccin général pour l’humanité entière avec 0,05% de morts ? », le Pr Christian Perronne a répondu : « C’est une évidence ! ».

 

– Le 30 Novembre 2020 : le Pr Christian Perronne rédige une lettre où il alerte sur le danger des vaccins à base de génie génétique :

 

« Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins », sont des apprentis sorciers et prennent (…) les citoyens du monde pour des cobayes ».

 

 

-Si les gens acceptent le vaccin, ça sera : « une erreur parce qu’on risque d’avoir des effets absolument imprévisibles : par exemple, des cancers…On joue à l’apprenti sorcier totalement… Il ne faut pas que l’homme serve de cobaye, il ne faut pas que les enfants servent de cobayes, c’est absolument non éthique. Il ne faut pas qu’il y ait des morts à cause des vaccins » (Pr Luc Montagnier, Virologue et prix Nobel de médecine, 17 Décembre 2020).

 

-En Suisse, un collectif de 700 médecins et professionnels de la santé a demandé le 15 Janvier 2021 d’interrompre la campagne de vaccination.

 

Le virus est totalement innocent dans ce qui se passe (la pauvreté, les pertes d’emploi, les suicides, les morts, la récession économique, le chômage, etc.) et les vrais coupables sont ceux qui ont poussé le monde à utiliser ces mesures et les gouvernements qui continuent d’appliquer ces mesures malgré les alertes et les avertissements.

 

« La Banque mondiale vient d’estimer que la pandémie de coronavirus a provoqué une augmentation d’environ 100 millions de personnes vivant dans l’extrême pauvreté. Ce n’est pas à cause du COVID-19. C’est à cause des mesures draconiennes que nous avons mises en place »

 

(Pr Peter Gøtzsche, 1 er Décembre 2020). La discordance et la disproportion entre le niveau de dangerosité du virus et l’importance des mesures prises (qui sont en plus totalement hérétiques) sont tellement flagrantes que ça pousse inéluctablement à la conclusion qu’il y a d’autres objectifs derrière. »

 

 

Le collectif insiste pour que le président lise la lettre et annexes de près pour éviter ce qui est arrivé par exemple au gouvernement philippin.

 

« Ne faites pas l’erreur de sous-estimer notre lettre ou de l’ignorer. Voici 2 exemples de ce qui se passe lorsqu’un gouvernement fait cette erreur.

 

Malgré les alertes de plusieurs experts sur le danger du Dengvaxia (vaccin contre la dengue), le gouvernement Philippin a décidé en 2016 de lancer une campagne de vaccination qui s’est terminée, plus tard, par un scandale d’état. En effet, selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades.

 

Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu « un vaccin dangereux » et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination « massive et indiscriminée », dans des conditions déplorables. Ce vaccin s’annonçait pourtant comme un triomphe planétaire. »

 

Le 2e exemple est celui du scandale du vaccin H1N1 qui a été acheté par plusieurs pays malgré les alertes du Dr Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, alerte : « Fausses pandémies ») .Le vaccin a fait, rien qu’en Europe, 1500 victimes de narcolepsie dont 80% d’enfants à tel point que le 24 Novembre 2013, le ministre des Affaires sociales de la Suède, Göran Hägglund, s’est dit prêt à présenter des excuses publiques aux victimes du vaccin contre la grippe A.

 

 

 

Voici les extraits que nous avons choisis de cette lettre au président.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer nos salutations respectueuses. Le collectif international : United Health Professionals

 

 

 

VOILA QUELQUES PISTES DE REFLEXION POUR LE PRESIDENT, nos élus, vos voisins et amis et ennemis qui accepteraient de lire… Diffusons largement.

 

 

 

 

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Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons- la en tsunami !

Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons- là en tsunami !

 

 

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille Lacourt, Fantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet.

 

Un appel (bien tardif) de la fédération française de natation à la ministre des sports (ancienne nageuse !) pour la réouverture des piscines apparait enfin sur le net.  Il est évidemment urgent de soutenir cette démarche qui pourra diminuer, si elle réussit, la déprime et la consommation d’antidépresseurs des nageurs frustrés, comme remède aux mesures liberticides globales dont les fermetures des équipements sportifs.

 

 Le sport, une religion de nos sociétés de consommation, actuellement reniée

Alors que la pratique du sport devenait presque une « religion » dans nos pays encore riches, que les cancérologues la recommandaient comme adjuvants des chimiothérapies, allant même jusqu’à demander le remboursement des séances encadrées de différentes spécialités, alors que l’éducation sportive devenait aussi importante que la pratique des mathématiques ou de la philosophie à l’école pour être considéré comme « bon élève », brutalement tout s’écroule !

A l’occasion d’une épidémie grippale particulière, le fameux coronavirus dont on s’aperçut assez vite que sa létalité, (son risque de tuer) était bien faible et ne touchait que les personnes âgées déjà malades d’autres pathologies (cœur, diabète etc. ou d’extrême vieillesse). La moyenne des décès est de 84 ans alors que la moyenne de survie en France est de 82 ans. Bref on allait gagner deux ans sur la moyenne si on décédait de ou avec le coronavirus (moyennes établies sur cette ambiguïté…).

Trêve de plaisanterie, il apparut (plus ou moins vite selon qu’on est collé, ou pas, à BFM Menteur, ou Francedésinfo) que le fameux virus ne touchait ni les enfants, ni les adolescents, exceptionnellement les jeunes adultes et que les enfants même parfois contaminés (quasiment toujours par leurs familles ou un très proche) ne devenaient pas des malades,[1] ne contaminaient ni enfants ni adultes.

Finalement le risque de décès avant 65 ans est de 1 pour 300 000 personnes. Avec plus ou moins d’humour, les intéressés auraient pu vite savoir qu’un jeune avait beaucoup moins de chance (risque) de mourir de Covid19 que par la foudre ou accident domestique ou de la fameuse trottinette.[2]

 

 Le scénario catastrophe de la clique de Davos

Mais peu importe, le grand cinéma se mit en place, pour créer et entretenir la sidération des peuples obnubilés grâce à la mise en scène digne de Goebbels (par répétition des mensonges assénés mille fois par jour, sur toutes tv, radio ou journaux de désinformation même anciennement cotés via leur passé comme libération ou le monde).

Le scénario de panique essayé et raté en 2008 avec le H1N1 avait pour but de rétablir la finance mondiale en ruinant les classes moyennes. En une décennie, le film catastrophe fut rodé en particulier en novembre 2019 avec la répétition du plan « disponible en cas de pandémie ». Ce fut l’Event201 que vous pouvez retrouver sur le web.

Et finalement à l’occasion de la nouvelle épidémie de coronavirus (cousine des épidémies de SRAS ou Mers vite disparues), le plan fut lancé dans la vie réelle avec son cortège de mensonges, de truquages (tests PCR via Drosten dès janvier 2020), de rapports trompeurs réalisés à la demande du gouvernement Merkel par exemple présentant des prévisions catastrophiques (rapport supposé secret et dont on organise la fuite).  Les prévisions tragiques du prophète Ferguson[3] furent le prétexte de notre président en mars 2020 pour nous confiner et stopper l’économie du pays dont les écoles et universités.

L’OMS fut le pivot des annonces terribles via son conseil scientifique de 194 pays ayant signé un accord pour appliquer ses consignes en cas de pandémie[4]. Il ne restait qu’à déclarer la pandémie. Ce qui fut fait rapidement en changeant les critères car ce petit virus peu obéissant n’était pas assez méchant, que diable !

 

Le confinement aveugle et ses suites délirantes

Alors branle-bas de combat, on n’allait pas revivre le ratage de la finance internationale de 2010 et les gouvernements liés dans leur projet de Nouvel Ordre Mondial (NOM) que nous promettait déjà le président Sarkozy. Ils adoptaient des mesures drastiques pour convaincre les peuples de la gravité de la situation et ruiner les classes moyennes selon le mécanisme clairement exposé dans le dernier livre de Klaus Schwab « Covid19 et grande réinitialisation ».

Selon les pays, ce fut plus ou moins drastiquement et intelligemment appliqués. Mais la France, comme la Belgique ou l’Italie versa dans l’extrémisme, pas forcément astucieux, car permettant d’ouvrir les yeux des plus attentifs par le ridicule de certaines décisions. Certes ils voulaient utiliser la dissonance cognitive de nos cerveaux par des ordres contradictoires, mais point trop n’en faut, et les conséquences dramatiques actuelles en sont la démonstration. Le peuple se réveille, certes doucement mais se réveille.

Remplacer le sport en salle par des séances guidées à travers zoom ou autres, n’eût qu’un temps. Et là nos apôtres du tout numérique de la grande révolution industrielle de Schwab, que le NOM veut imposer n’avait pas tout prévu. Ras le bol du yoga, ou de la box à travers un écran, et bien sûr des cours dits en distanciel, nouveau mot à la mode.

 

La piscine en distanciel, pas facile

Par manque d’imagination, ils n’ont pas su proposer des activités aquatiques en distanciel. Il a aussi été difficile de prétendre que les piscines sont des lieux dangereux, tant l’eau de javel et la douche permanente sont omniprésentes toute l’année. Ils n’ont même pas réussi à inventer un cluster, au moins un pour la forme et la panique. Pas de chance !

Alors ils ont fermé quand même contre toute logique et conseillé à la place de marcher (dans le rayon initial de 1 km et d’une heure). On peut avoir un grand projet pour dominer le monde et mettre en esclavage 99 % des habitants de la planète, on n’est pas forcément doué pour y arriver, le syndrome d’Hubris obscurcissant souvent tout bon sens.

Notons qu’ils ont osé interdire les sports aquatiques en mer (#Surf #KiteSurf #BodySurf #StandUpPaddle #Natation) et la marche sur les plages dont les entrées furent obstruées. Sacré virus qu’il fallait laisser se baigner tranquille dans l’océan… Qui a pu croire à leur sincérité sanitaire hormis les journalistes tellement révérencieux qu’ils en ont perdu leurs lunettes ?

Les nageurs, leurs entraineurs, leurs fédérations, se sont soumis comme la grande majorité du reste de la France. Mais le temps passe et les complications et peut-être séquelles de ces décisions sans aucun sens sanitaire, peut-être pas si politiquement efficaces, s’accumulent.

 

 

« Pour la santé de tous nous souhaitons le maintien des activités aquatiques dans toutes les piscines ! Elles ne présentent pas de risque sanitaire et nous demandons un plan de soutien ministériel pour notre réseau fédéral. Parce que savoir nager doit rester une priorité ».

Difficile de comprendre pourquoi depuis septembre, les piscines sont ouvertes aux scolaires pourtant en groupe, mais pas aux licenciés qui pratiquent la natation plusieurs fois par semaine, pourquoi les stages professionnels sont autorisés, mais pas les stages de compétition des plus jeunes.

 

 DEUX PROBLEMES POUR LA FEDERATION : l’argent pour survivre, les nageurs en perdition

Le 1er février dernier, la Fédération Française de Natation (FFN) a publié un communiqué demandant le maintien des activités aquatiques dans les piscines, impactées comme beaucoup de secteurs par les mesures prises au nom de la guerre au Covid-19, souhaitant également un plan de soutien.

 

« Dans mon dernier courrier, je vous ai interpellée sur le plan de soutien qui, à ce jour, est très loin de répondre aux besoins et aux enjeux de la FFN et de ses 1 300 clubs, des 2,6 millions d’euros de perte financière et des 103 000 licences de retard. Pour mémoire, nous sommes la 4e fédération la plus impactée financièrement. », dressait comme constat le président Gilles Sezionale à destination de la ministre déléguée aux Sports Roxana Maracineanu.

 

« Sans soutien fort de votre part, même avec une reprise rapide, de nombreux clubs déjà très affaiblis disparaîtront du paysage fédéral« , souligne-t-il à l’attention de l’ancienne championne du monde du 200m dos (1998) et vice-championne olympique de la distance (2000).

 

La réduction, voire la suspension des activités aquatiques ont obligé licenciés et scolaires à se tourner vers d’autres activités. En effet peu de piscines ont offert la possibilité de nager en extérieur lorsqu’elles possèdent des bassins ad hoc et peu de personnes intéressées par la nage en extérieur dans le grand froid ont conduit à la fermeture des quelques espaces aquatiques pendant de longues semaines. Payer des salariés pour peu d’entrées est moins rentable que de les mettre au chômage technique. Triste France.

 

 « Pour toutes ces raisons, je vous demande de bien vouloir permettre l’accès aux piscines dans lesquelles aucun cluster n’a été répertorié, à nos licenciés, comme aux scolaires, mais aussi d’envisager dès maintenant les modalités claires d’un plan de soutien au niveau fédéral », demandait à la fin de la lettre le président de la FFN.

 

Les nageurs professionnels appuient cette demande de la FFN, en relayant la lettre sur leurs réseaux sociaux associés à des engagements individuels. De nombreux athlètes, dont Florent Manaudou, Charlotte Bonnet, Camille Lacourt et d’autres tentent de créer une vague de soutien au chevet des clubs français, malades des mesures.

 

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille LacourtFantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet.

 

« En tant qu’ambassadrice du programme #nageuretcitoyen, j’ai bien conscience que

l’apprentissage de la natation est un enjeu national. Tous unis pour le maintien des activités aquatiques », a lancé la triple championne d’Europe en grand bassin.

 

Mélanie Henique s’est interrogée : « Pourquoi fermer les piscines si elles ne présentent pas de risque sanitaire ? Tous unis pour maintenir les activités aquatiques et l’apprentissage de la natation ».

 

Une vague de soutien pour un sport souvent pratiqué en intérieur et qui donc souffre particulièrement de la fermeture des établissements couverts afin officiellement d’éviter la propagation de la pandémie de Covid-19.  Le coronavirus aimerait-t-il l’eau de javel ?

 

La détresse physique et psychologique des nageurs

Les enfants et jeunes enfermés avec leur famille à un âge où on a besoin d’espace et des copains sont particulièrement traumatisés comme l’annonçaient les psychiatres et psychologues dès mars 2020. Actuellement, ce ne sont pas les lits covid qui manquent malgré la pub, mais bien les lits de psychiatrie et singulièrement de pédopsychiatrie. On commence à entendre parler de suicides chez les moins de dix ans, ce qui n’arrivait jamais avant ces temps de folie.

« Papa, quand on est mort, est-on encore obligé de porter le masque » question d’un petit de 5 ans qui montre l’extrême détresse des enfants.

Il est évident que le sport de groupe, et de compétition chez les jeunes aurait pu être un bon moyen de les maintenir en bon état psychologique, par l’activité sportive elle-même mais aussi par l’activité de groupe qui aurait maintenu un lien social tellement indispensable.

D’autant que les jeunes ne risquent rien de ce virus[5], et qu’ils ne participent pas à la diffusion de la maladie. Mais non, on ferme, peu importe la perte des performances, l’absence de compétition pour les non professionnels mais engagés dans les championnats de France depuis quelques mois ou années. Seuls les trois premiers d’une tranche d’âge ont pu aller en compétition et ont été autorisés à s’entrainer depuis l’été. Mais la quatrième ou la cinquième ? Comment peut-on espérer assurer la relève de nos champions dans une discipline où la période d’excellence est courte ?

Nada, pas de piscine, ni de compétition. Les stages toujours prévus sautent aussi au dernier moment. La dépression suit et si on a choisi natation, ce n’est pas pour marcher seul dans les rues de son quartier guetté par la police pour voir si on ne dépasse pas la distance autorisée (et maintenant avant 18 h et peu importe si on a cours).

Les élites qui veulent imposer le grand reset sont indifférents à ces considérations psychologiques, c’est logique, ils font leur « boulot » sans état d’âme au service des milliardaires.

Mais l’acceptation de ceux qui se sont soumis, croyant protéger leurs concitoyens par des mesures sans fondement scientifique ni médical est incompréhensible D’autant que dès mars 2020, le pr Raoult avait largement expliqué qu’il existait un traitement efficace de ce petit virus à condition de le donner tôt ; incompréhensible.

 

Alors oui, les nageurs non professionnels mais titulaires d’une licence de la fédération ont besoin de retrouver leurs piscines, leurs coachs, leurs amis et de reprendre l’entrainement quotidien, autant que faire se peut, pour retrouver leurs performances d’avant le grand chambardement.

Cela fera toujours autant de travail en moins pour les psychiatres. Même si le mal est fait, comme pour la classe, avec les décrochages nombreux, il faut vite ouvrir pour tous ceux qui attendent chaque jour de retrouver leur vie et pleurent à chaque annonce du ministre de laisser en plan la situation catastrophique, en particulier pour notre jeunesse, avenir du pays.

Jeunesse dont on sous-estime la souffrance que seuls les suicides qui s’accumulent dans les universités semble réveiller (a minima) les médias. Jeunesse abandonnée, comme les seniors qui n’ont pas été protégés davantage puisqu’on leur a refusé les hospitalisations et pire les traitements précoces, et que le ministre et premier ministre ont signé en décret en mars puis en octobre permettant des euthanasies facilitées par le Rivotril au moindre doute de difficultés respiratoires possiblement en rapport avec le covid.  Non la jeunesse n’a pas été sacrifiée pour les vieux, mais en même temps que les plus âgés. Seule la force de travail utilisée dans les entreprises importe encore un peu aux dirigeants.

 

L’épidémie est terminée. Nous vivons avec des milliards de virus depuis des millions d’années. Ce virus est de plus sensible à de nombreuses molécules de l’artémisine qui a sauvé Madagascar, à l’ivermectine en passant par l’hydroxychloroquine.

Des milliers de médecins engagés[6] [7]sont prêts à vous soigner malgré les menaces du conseil de l’ordre qui ne tiendront pas, vu le nombre de plus en plus grand de résistants. Vous ne sauverez personne en acceptant les ukases du ministère, du masque qui apporte germes et champignons si portés trop d’heures d’affilée, au confinement ou pseudo confinement et méfiez-vous des vaccins peu expérimentés pour l’instant, et dont les premières campagnes en Israël et en Grande-Bretagne ont été suivies d’une augmentation considérable de la mortalité. Prenons du recul.

 

 

 

 

N’oubliez pas que ce virus tue moins de 0,001 % personne en France. N’ayez plus peur et battez-vous pour reprendre une vie normale le plus vite possible. La vie libre de notre jeunesse est plus importante que des mesures pseudo sanitaires inefficaces.

 

[1] Sauf immunodéprimés congénitaux, ou sous traitement pour maladie chronique ou leucémies etc.

[2] Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée. – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[3] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine

[4] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

 

[5] D’après santé publique France en 1 an le covid a été incriminé dans 3 morts chez les moins de15 ans (dont deux chez des patients qui souffraient de graves maladies antérieures) alors que la grippe en tue chaque année entre 7 et 10.

[6] Laissons-les prescrire

[7] : https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/

Une guerre tiède

Ceci n’est pas un complot – YouTube à voir absolument et à diffuser. Parlez-en entre vous.

 

 

Ceci n’est pas un complot », un film de Bernard Crutzen   6 février 2021

« Vous avez vu « Malaria Business ». de Bernard Crutzen, voici « Ceci n’est pas un complot », sorti cette semaine, sur le traitement médiatique de la crise par les médias belges francophones. L’exemple belge est bien sûr généralisable. Un discours alternatif qui pourrait être rapidement censuré et est donc à partager massivement pour voir la réaction caricaturale prévisible des médias dominants la semaine prochaine ».

 

https://vimeo.com/504845318?fbclid=IwAR3v1kmZFssz_VC7c2XbpunuMuLEvjy2Re7dhcqOFVSAyxK2aMnT_ZaFD_A

 

Voici quelques phrases symboliques extraites de ce beau film qui invite à retrouver notre liberté de penser, de réfléchir, de vivre sans masques, sans distanciation. RETROUVER NOTRE LIBERTE.

 

Répétition des messages subliminaux.

Tous les médias participent à la campagne prétendument antivirus dont le but réel est de terroriser la population. La tv crée une hypnose collective puis une phobie collective. Les messages subliminaux se multiplient. Les images de patient jeune maquillé sont mises en avant alors que ce sont les vieux qui meurent de covid (ou le plus souvent d’une maladie ancienne accompagnée par un test covid19 positif).

Les entreprises d’information font de l’audience.

Le taux de mortalité du covid19 est pourtant extrêmement faible. Ce qui frappe est la discordance majeure entre le faible nombre de décès et l’intensité de la phobie. Pourtant les décès ont été largement surestimés en attribuant au coronavirus tous les décès avec tests positifs. Seuls 4 % des résidents décédés en Belgique sont vraiment décédés du seul covid. Mais on a interdit aux familles de leur faire des adieux dignes.

L’opposition médicale très large dans tous les pays ne peut s’exprimer que dans les médias alternatifs car elle n’a pas d’accès aux médias nationaux. Elle est traitée de complotisme qui permet d’éviter tout questionnement et empêche de poser les questions qui dérangent.  Est-ce que c’est être complotiste que de chercher et de révéler les conflits d’intérêts des doc TV ou des politiques ?

Les gens qui conseillent un gouvernement public mais ont en même temps des relations financières (ou autres) avec les entreprises privées du secteur concerné ne doivent-ils pas en informer les médias qui les interrogent ? En France la loi transparence santé l’exige mais les médecins des plateaux télé et les diffuseurs ne respectent pas cette loi et le conseil de l’ordre chargé par la loi de la faire respecter regarde ailleurs

 

Le documentaire revient sur les tests PCR falsifiés qui depuis des mois alimentent la peur, les mensonges d’état diffusés par les télévisions, truqués.

 

Il revient sur l’enfant de trois ans prétendument décédé du covid en Belgique alors que cette version a été contestée d’emblée par le père de l’enfant choqué qu’on instrumentalise sa fille. En fait le père dit que l’enfant avait une maladie neuromusculaire et une thrombose. La communication manipule la peur. L’info n’a pas été rectifiée malgré l’insistance de son père, y compris trois mois plus tard.

 

Le réalisateur interviewe le réanimateur belge Pascal Sacré, licencié pour avoir informé (faute grave !)

Les états de stress vont aggraver des problèmes de santé plus dangereux que le covid19 ; la peur est associée à une inhibition de l’action. La personne qui a peur est capable d’accepter tout et n’importe quoi.

 

Silence sur les évènements importants qui contestent la politique officielle

Le documentaire détaille les premiers rassemblements s’opposant au masque en aout 2020 et le silence sur l’énorme rassemblement à Berlin fin août en présence de Robert F Kennedy.

Puis grande propagande publicitaire pour les vaccins covid19 qui serait la seule solution à une crise dont on nie la possibilité de traiter simplement. Les pouvoirs qui envient la dictature chinoise voudrait nous imposer le vaccin puis un « passeport vaccinal » pour suivre tous nos déplacements (voir projet DAVOS).

Puis il raconte comment les gouvernants et les médias fustigent les comportements sociaux et en particulier les jeunes qu’on culpabilise en faisant croire qu’ils seraient responsables de la diffusion de l’épidémie. La presse s’en prend aux professionnels de la santé qui s’autorise à parler. On les traite de « marchands de déni », de « complotistes », de « rassuristes ».  Il rappelle l’exclusion du Dr Pascal Sacré réanimateur belge et les poursuites contre les médecins français pour avoir parlé.

Pourquoi les médias ne parlent-ils pas des manifestations dans plusieurs pays occidentaux, ni des décisions judiciaires comme celle du Portugal. Il analyse les censures médiatiques.

 

En fin de vidéo, il aborde ce que cache la crise du coronavirus, révélateur du fait qu’on a désinvesti le système de santé et que le désendettement de l’état avait diminué mais que tout a été effacé en 2020.
Le virus va être accusé de la faillite du système alors que c’est le confinement qui a couté des centaines de milliards. Les gouvernements ont détruit l’économie. Démission politique. Les exécutifs mènent la danse. Les médecins bafouent le secret médical, communiquent les données.  En quelques semaines on a bafoué les données personnelles.

 

Pourquoi a -t­-on fermé tous les lieux d’échange, universités, bars, théâtre ?  éviter au maximum les échanges entre humains qui pourraient contester cette hystérie organisée au service de la finance ?

La presse accompagne le pouvoir même dans ses délires.

MES AMIS SONT DEVENUS DES PIXELS

Ceci est une opportunité pour ceux qui rêvent de pouvoir fort et de peuple sage auquel les gouvernants font confiance. L’auteur espère un sursaut de l’intelligence collective, il faut en finir avec cette crise.

 

 

A regarder, partager, discuter entre vous, vos amis, reprendre contact au-delà de cette distanciation sociale sans fondement sanitaire (qui s’oppose à l’immunité collective qui a fonctionné dans les pays non confinés comme la Suède.)

 

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Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée.

Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée.

merci à Alain Tortosa de nous autoriser à publier son texte in extenso  que vous pouvez retrouver sur le lien en fin d’article

 

 

 

Si lorsque le résultat d’un problème donne 1/3 et si en cours de math, vous donnez comme résultat
0,3 le professeur de mathématique vous dira que votre résultat est inexact.
Et si en revanche vous donnez 1/3 de litres à votre prof de physique, c’est alors celui-ci qui vous
dira que c’est faux.

La médecine n’est pas une science exacte, elle ne peut se résoudre avec des équations et des modèles mathématiques.
Est-ce inhérent à la discipline, est-ce parce que notre espèce est trop primitive pour comprendre,
est-ce du fait d’un nombre quasi infini de paramètres que nous ne maîtrisons pas…

Toujours est-il que nous en sommes là.

Mais quel rapport avec le Covid ?
(Les décès du Covid chez les moins de 30 ans)
Prenons par exemple la population des moins de 30 ans et regardons les statistiques officielles de
Santé Publique France (1)
.
Nous avons au 28 janvier, 55 personnes décédées depuis le mois de mars, soit 0,0002% des moins
de 30 ans sur deux saisons (2)
.
Voici donc un premier biais manipulateur ou pervers.
Il y a 2 ans, lorsqu’une personne avec le VIH décédait après avoir croisé une grippe, strictement
personne sur la planète n’avait l’idée d’attribuer sa mort à la grippe.
Le moindre rhume aurait pu tout autant lui être fatale !
Mais depuis 2019, une personne avec un cancer en phase terminale testée positive 3 mois
auparavant et qui décède augmentera les statistiques Covid.
Ce qui est tout bonnement inadmissible mais pour autant préconisé par l’OMS (3)  !
Il n’y a donc PAS 55 décès dus au Covid chez les moins de 30 ans en France et sur deux saisons,
mais moins de 8 si on se focalise sur les personnes sans maladies chroniques connues (4)
.
Ce qui nous donne un taux de mortalité de 0,000032% , soit 1 décès pour plus de 3 millions
d’habitants, plus que la ville de Paris !

En tant que mathématicien,  je pourrais vous dire que le risque de décéder du Covid pour une personne en bonne santé de moins de 30 ans est donc de UN sur 3,1 millions.
Mais il y a 1,7 fois plus de décès par an en France de personnes jeunes tuées par la foudre, que de
décès chez les moins de 30 ans en bonne santé (5)  !!!

Ils ont ainsi plus de risque de mourir de la foudre que du Covid !
Je voudrais aussi rajouter quil y a 10 fois plus de jeunes qui décèdent par an en s’étouffant lors d’un
repas que de morts du Covid
.
Si j’affirme en physicien que le risque de mourir du Covid pour une personne de moins de 30 ans en bonne santé, (et même en mauvaise santé d’ailleurs) est NUL alors vous pourrez me rétorquer que c’est mathématiquement et factuellement faux.

J’imagine le titre d’un média décodeur de l’information du Ministère de la Vérité qui dirait
« Vous ne pouvez pas affirmer cela, il y a eu des morts chez les jeunes ! »

Si pour vous détendre, je vous propose maintenant de vous servir une menthe à l’eau mais que je ne
dilue qu’UNE seule goutte de sirop de menthe dans 185 litres d’eau (7) (soit 1 goutte pour environ 750
verres ) et que je vous sers alors un verre de « menthe » …
Qui est le menteur ?
– Celui qui vous dit qu’il y a quand même de la menthe dans votre verre ?
ou
– Celui qui vous dit que c’est de l’eau sans menthe ?
Si pour éviter la critique des pseudos-décodeurs de l’information, nous annonçons que  le risque de
décès est quasi nul pour les moins de 30 ans en bonne santé…
… alors nous induisons dans la tête du public qu’il y a un risque alors qu’il est NUL
C’est exactement de même nature que de laisser entendre qu’il pourrait y avoir de la menthe dans
une eau dépourvue de menthe.
Imaginons donc le Dr Poussa face à un patient de 25 ans en pleine forme qui lui parlerait vaccin et
qui lui demanderait quel danger mortel représente le Covid pour lui.

Si le Dr Poussa lui disait « le risque est quasi nul pour vous » alors son patient pourrait entendre «
quasi » et non « nul » alors même que le risque est plus faible pour lui que de mourir d’un coup de
foudre ou 10 fois plus faible que de s’étouffer en avalant son repas !
Allez-vous lui préconiser de se nourrir en intraveineuse pour éviter ce « risque » de décès en
mangeant alors même que la solution de l’intraveineuse n’est pas sans danger ?!

Mettre en place une thérapeutique pour diminuer un risque nul, ne peut que l’accroître !

Je rajouterai un bref mot sur les moins de 65 ans.
Selon Santé Publique France, moins de 1500 personnes sans problèmes de santé connus, sont
officiellement décédées du Covid depuis le mois de mars, soit 0,003% de la tranche d’âge sur deux
saisons (8)
!
Les moins de 65 ans ont ainsi plus de risque de mourir en tombant dans un escalier que du Covid.
La réalité est donc que l’on ne meurt pas du Covid quand on a moins de 65 ans et que l’on est en
bonne santé !
Cela a été confirmé par les statistiques INSEE sur l’année qui confirment qu’il y a eu moins de décès
dans cette tranche d’âge en 2020 qu’en 2019, c’est bien ce que l’on appelle un risque NUL9 !
Une vérité mathématique statistiquement infinitésimale qui est rapportée est donc de nature à
introduire une contre vérité factuelle.
Ne tombons pas dans ce piège pour éviter la critique de manipulateurs malhonnêtes vendeurs de
peur.

(brefs rappels sur la maladie)
Le Covid participe, en n’étant qu’une des causes, au décès de malades chroniques et de personnes en
fin de vie.
La preuve en est que l’âge médian des décès est de 85 ans (10), soit supérieur à l’espérance de vie.
93% des personnes décédées ont plus de 65 ans.

Je peux statistiquement affirmer que le Covid ne tue pas mais participe au décès.
– Il ne diminue pas statistiquement l’espérance de vie des moins de 65 ans
Et
Il n’entraîne qu’une baisse de surplus d’espérance de vie chez des personnes qui ont
généralement dépassé leur espérance de vie.

 

Parlons maintenant des tests et des fameuses personnes dites « positives ».
Nous sommes confinés, masqués, privés de nos libertés fondamentales uniquement pour rendre
visible une maladie dont nous ignorerions totalement son existence sans les médias…
Sans ce cirque médiatique mortifère, nous ne verrions que des malades chroniques décéder et des
personnes en fin de vie s’éteindre avec « une sale grippe ».
Mais depuis le mois de mars 2020 tout individu en bonne santé est devenu « un tueur en série
potentiel ».
Les autorités ont inventé le « psychopathe asymptomatique tueur froid de grand-parents » âgé de 7
ans !
Cela pourrait faire sourire, si ce n’était si dramatique et maltraitant.

 

Parlons du taux d’incidence, mensonge numéro 1 de mon intervention du jour.

Au 28 janvier.
Le taux d’incidence officiel qui permet de nous assigner à résidence et ainsi de nous priver
de liberté était de 210 pour 100 000 (Nombre de positifs pour 100 000 habitants ) (11)
Ce nombre est un faux car on ne calcule PAS un taux d’incidence par rapport aux nombre de
positifs mais par rapport au nombre de malades symptomatiques.

Plus de 90% des positifs ne sont pas des malades et ne seront pas des malades.
Et donc moins de 10% des positifs sont des symptomatiques, des « malades » ou de futurs
malades, soit environ 21 cas pour 100 000.
La preuve en est donné par le réseau Sentinelles.
Selon lui, le taux d’incidence en semaine 3 est de 15 pour 100 000 habitants
(12) .
Il était de 19 cas pour 100 000 en semaine 2 et de 26 cas pour 100 000 habitants en semaine

1.
Pour la petite histoire, le nombre de cas de Covid ne fait donc que chuter depuis le début de
l’année selon Sentinelles.
Dans le même temps le Bulletin épidémiologique de Santé Publique France ne reprend QUE
les données de surveillance des Infections Respiratoires Aiguës (Covid et autres) qui elles,
sont en hausse depuis le début de l’année.

En résumé Santé Publique France manipule les informations pour faire croire à une
augmentation du taux d’incidence de Covid en ne publiant que les données de
l’ensemble des infections respiratoires, alors que le taux d’incidence de Covid ne fait
que baisser depuis le début de l’année.
Cela voudrait dire que pour les trois premières semaines de janvier ce n’est pas le variant anglais, sud-africains ou de Papouasie du sud qui prend le dessus en France mais des
infections respiratoires autres que le Covid !

 

 

Pour revenir au taux d’incidence de la grippe, on considère qu’il y a un début d’épidémie à
partir de 170 cas pour 100 000 habitants (pic épidémique entre 300 et 500 cas pour 100
000).
Des positifs, ce n’est pas des malades.
Pour la grippe on ne teste pas des personnes asymptomatiques pour compter les cas, on
compte des malades avec des symptômes.

Autre preuve…
Au 3 avril, au pic épidémique, le taux d’incidence officiel était de 51 pour 100 000 alors
même que nous étions au pic des personnes en réanimation (13).
Deux fois plus de personnes en réanimation qu’en ce moment avec un taux d’incidence
quatre fois inférieur !
Pourquoi ? Parce que l’on ne fabriquait pas de faux malades à la pelle, comme aujourd’hui.
On ne testait pas des millions d’asymptomatiques (et on ne testait même pas tous les
malades).
Enfin si les asymptomatiques des semaines précédentes détectés par Santé Publique France
étaient ne serait-ce qu’un peu contaminants ou de futurs malades, cela se traduirait
mathématiquement par une augmentation des cas rapportés par le réseau sentinelles dans les
semaines suivantes, ce que nous ne constatons absolument pas.
Le taux d’incidence de positifs ne fait que croître depuis 3 semaines alors que le taux
d’incidences de cas rapportés par le réseau sentinelle ne fait que baisser.
Donc nous avons un ensemble de preuves « de terrain » que les positifs ne sont ni des
malades, ni des futurs malades, ni des contaminants.
En a t-on alors quelque chose à faire de détecter des positifs ?

 

Bienvenue à Pervers et Manipul’Land !
On nous dit aussi que nous devons renoncer aux droits de l’homme et introduire le délit de bonne
santé officiellement pour ne pas saturer les réanimations.

Les Hospitalisations, mensonge numéro 2 de mon intervention du jour.
Santé Publique France annonce au 29 janvier que 11 155 personnes14 ont été hospitalisées pour
Covid en semaine 3.
Le problème est qu’il n’y a que 4 147 hospitalisations suite à un passage aux urgences !
Où sont passés les 7 000 autres ?
Nous trouvons un début de réponse sur le site gouvernement.fr rubrique nombre de personnes
hospitalisées et la petite note que voici :

« Nombre de patients atteints de Covid 19 actuellement hospitalisés (15). »
Chaque mot ayant son importance, il n’est pas inscrit « hospitalisés pour Covid » mais uniquement
« hospitalisés ».
Nous pouvons trouver une explication de texte sur le document des autorités de santé «

Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie (16) ».

Page 13 :
« En effet, il convient de préciser que l’outil SI-VIC ne permet pas de distinguer les patients
hospitalisés pour des formes graves de Covid, des patients admis à l’hôpital pour d’autres
raisons (opération planifiée, crise d’appendicite, etc.) et qui s’avèrent être également
infectés par le SARS-Cov2. Ces derniers ne représentaient probablement que très peu de cas
au début de l’épidémie, mais leur proportion a pu augmenter par la suite, sans que l’on
puisse quantifier ce phénomène. »

On ne saurait être plus clair…
Une personne qui rentre à l’hôpital pour une opération programmée et qui est testée positive lors de
son admission, et ce sans le moindre symptôme, et sans être transférée dans un service Covid,
entrera dans les statistiques de personnes hospitalisées pour Covid !

Si on ajoute au nombre de personnes transférées des services d’urgence vers une unité Covid, les infections nosocomiales officielles de 0,35% (17) et que l’on considère que 10% (nombre très
pessimiste) des personnes testées positives lors de leur admission seront par la suite hospitalisées
pour Covid déclaré alors…

Les autorités sanitaires assument que des personnes non malades sont considérées comme hospitalisées pour Covid !

Plus de la moitié (56% au moins) des hospitalisations officielles pour Covid sont mensongères.
Nous pouvons déduire que le nombre total de personnes hospitalisées en France pour Covid
en semaine 3 n’était pas de 27 041 mais de 11 836.

 

 

Les Réanimations, mensonge numéro 3 de mon intervention du jour.
Santé Publique France annonce au 29 janvier que 61% des lits de réanimations (18) sont occupés par
des patients Covid.
C’est tout simplement FAUX, un mensonge d’État assumé par celui-ci.

Les données officielles montrent que 16% des lits de soins critiques sont occupés par des patients
Covid.
Pour rappel, les lits de soin critique sont la somme des lits de réanimation, des lits de soins intensifs
et de soins continue (19)… et il y en a plus de 19 000 en France vs 5400 de réanimation.
Santé Publique France n’a JAMAIS, je dis bien JAMAIS, fourni le nombre de personnes en
réanimation pour Covid, seul le nombre de personnes en soin critique est donné par les autorités.

Vous pouvez aller vérifier mes propos sur le site gouvernement.fr pour vous en assurer.
On nous dit donc que nous devons empêcher la propagation du virus pour ralentir les contagions et
de fait que nous devons détecter et isoler les personnes positives pour éviter qu’elles ne contaminent
d’autres personnes.

Tout ça dans le but de ne pas saturer des lits de soin critique qui n’ont JAMAIS été saturés au niveau national… 36% de taux d’occupation selon les données officielles au pic épidémique.
Nous nous préparons donc à une nouvelle augmentation du confinement pour 16% de patients  officiellement en soin critique pour cause de Covid… oui 16%

La contagion chez les personnes jeunes en bonne santé, mensonge numéro 4 de mon
intervention.

Les enfants et les moins de 30 ans en bonne santé ont un risque NUL comme les chiffres officiels le
montrent.
Pourquoi devraient-ils éviter la contamination alors même que leur contamination participe à l’immunité naturelle de masse et protège de fait les personnes en fin de vie ou à risque ?

 

A quoi bon détecter une personne jeune, en bonne santé et sans symptômes ?
A quoi bon isoler une personne jeune à moins que vous ne désiriez contrecarrer la protection des
personnes à risque !

Partons maintenant de l’hypothèse délirante, car factuellement démentie, que le but du
gouvernement serait de protéger les personnes à risque.

Hypothèse folle parce que :
– De 1, il n’y a jamais eu la moindre politique en direction des personnes à risque.
– De 2, quand on confine dans un même lieu des personnes à risque malades et non malades
vous vous attendez à quoi ?
– De 3, quand vous les empêchez de sortir, de voir du monde, leur famille, de prendre l’air,
vous imaginez quoi ?
– De 4, quand vous interdisez ou mettez toutes les barrières possibles pour les traitements
précoces, quel est votre objectif ?
On nous dit pour cela que nous devons porter des masques, nous isoler, nous tester en masse, etc.

Abordons les tests RT-PCR et la prévention des contagions, mensonge numéro 5 de mon
intervention.
Un individu positif au rt-pcr nasopharyngé nous informe-t-il de la présence de virus vivant dans son
organisme ?
Absolument pas.
Le test peut détecter du Sars-Cov2 vivant, des traces de virus « mort » et n’importe quoi si
on pousse trop le nombre de cycles d’amplification.
Le Test-PCR nous informe-t-il sur la charge virale d’une personne ?
Ici encore absolument pas.
Et il demeure évident qu’une personne qui a quasiment aucun virus ne sera pas en capacité
de contaminer qui que ce soit…
Une personne asymptomatique (positive sans symptômes qui ne développera jamais la maladie) ou
une personne pré-symptomatique (positive sans symptômes et qui développera plus tard des
symptômes) est elle contagieuse ?

Une fois de plus, le RT-PCR n’apporte pas la moindre réponse !
Avoir une trace de virus n’est pas prédictif de la possibilité d’être contaminant ou pas.
C’est ainsi que l’on en vient à « confinons toute la population » et au délit de bonne santé.

Nos autorités n’ont pas la possibilité et probablement pas l’intention de déterminer qui est
contagieux ou pas.

Je vous rappelle que si elles reconnaissaient que les asymptomatiques ne sont pas contaminants
alors toutes les mesures liberticides et dictatoriales s’effondreraient !
Plus de masques généralisés, plus de gestes barrières généralisés, plus de confinements généralisés, plus de commerces ou de loisirs fermés… un retour à la normale !

 

De fait, grâce au mythe de l’asymptomatique contaminant, une personne en bonne santé est
devenue, je le répète, un psychopathe potentiel… Nous nageons bien en plein moyen-âge !
Comment une personne asymptomatique, porteuse du virus, virus qui est un virus dont la
transmission est aéroportée ou indirectement par contact (exemple doigt dans la bouche puis sur
une poignée de porte, poignée touchée par une personne négative) pourrait contaminer son voisin si
elle ne tousse pas, ne mouche pas ou ne crache pas ?
Personnellement je n’ai pas besoin d’études en double aveugle pour me dire que cela ne va pas être
facile, facile pour le virus de contaminer le voisin.

Je peux vous affirmer sans risque et sans peur des décodeurs et autre manipulateurs que les
asymptomatiques ou les pré-symptomatiques ne peuvent pas constituer un circuit de contagion
significatif.
Notons au passage que la Suède a des résultats identiques à la France sans confinement, sans
masques et avec des restaurants ouverts.

Si la contamination asymptomatique était significative, la Suède devrait avoir une hécatombe

Et pour ceux qui sont rassurés par des études, celle de Wuhan sur environ 10 millions de personnes
suivies nous confirment bien que les asymptomatiques ne sont PAS (rappelez-vous de l’importance
de ne pas prendre pour réalité ce qui est statistiquement marginal), ne sont PAS contaminants, ce
qui demeure totalement logique et vérifié !
Vous pourriez me rétorquer, et notamment à propos des pré-symptomatiques que ceux-ci pourraient
avoir le virus dans la bouche sans pour autant tousser et cracher et ainsi contaminer autrui …

Pour répondre à cette question…
Est-ce que le test rt-pcr nous apporte une réponse ?
Non…
A l’inverse, une personne avec un rt-pcr négatif est-elle non contaminante ?

Vous n’en avez strictement aucune idée…elle a peut-être contracté le virus en touchant la
poignée de porte du centre où elle se rendait pour faire le test… Peut-être que les centres de
tests sont les plus importants clusters… et il serait alors peu probable que les autorités
communiquent sur le sujet.
Comment savoir si un cas contact devenu malade a été contaminé par le fameux positif
identifié ou par n’importe qui d’autre ? Nous n’en avons strictement aucune idée !

 

Avant de poursuivre ma démonstration, je voudrais vous apporter quelques précisions sur le RT
PCR.
Le RT-PCR peut se faire au fond du nez (nasopharyngé) ou dans la bouche (salivaire)
Le test rt-pcr salivaire n’est pas pratiqué en France, pourquoi ?
Soit disant parce qu’il ferait trop de faux négatifs  (20.)..

Expliquez moi un peu, le gouvernement cherche à fabriquer des positifs pour nous terroriser, nous
masquer, nous vacciner ou il cherche des personnes potentiellement contagieuses ?
Ne serait-ce pas le test nasopharyngé qui ferait des faux positifs et non le test salivaire qui ferait des
faux négatif ?

Comment expliquez-vous que le test salivaire soit valide pour la grippe (21) mais pas pratiqué pour le
Covid ?
Alors même si nous vivons au moyen-âge avec un président du conseil scientifique, SCIEN-TI-FIQUE qui affirme que nous avons à faire à un virus intelligent et diabolique (22)… si si ce n’est pas une
blague…

Pouvez-vous m’expliquer comment une personne positive au RT-PCR nasopharyngé et négative au
même test RT-PCR mais cette fois ci, salivaire, pourrait être contagieuse alors même qu’elle est
asymptomatique, qu’elle ne tousse pas, qu’elle ne mouche pas, qu’elle ne crache pas et, suivez-moi
bien, qu‘il est impossible de détecter la moindre trace de virus dans sa salive ?!
Cela me permet d’affirmer sans le moindre doute que si l’objectif des autorités de santé était de
détecter des personnes potentiellement contagieuses elles généraliseraient le test salivaire aussi bien aussi bien
rt-pcr qu’antigénique… Il y aurait moins de positifs et donc moins de faux-positifs…

Prendre la décision de mettre en œuvre quasi-exclusivement des tests nasopharyngés constitue une
preuve que l’objectif du gouvernement n’est pas la prévention mais la terreur.

Si nous voulions réellement prévenir la saturation des réanimations :
– Nous inviterions les personnes à risque à booster leur système immunitaire et prendre
des traitements préventifs.
– Nous testerions régulièrement les personnes à haut risque avec des tests salivaires et
culture virale si positifs.
– Nous inviterions les personnes à risque à se rendre chez leur médecin des les
premiers symptômes, médecins qui mettraient en place des traitements pour prévenir les
formes graves et avec une surveillance notamment de la saturation en oxygène pour détecter
une évolution défavorable de la maladie.
– Nous arrêterions totalement les tests pour les personnes qui ne sont pas à risque et
asymptomatiques.

Pour résumer :
Je réaffirme que les contaminations des asymptomatiques ou pré-symptomatiques sont nulles et si
elles existent, elles ne peuvent être que marginales.

Nous pourrions en savoir sans doute un peu plus en interdisant les tests nasopharyngés et en les
remplaçant par des tests salivaires.

Parler de risque de contagion asymptomatique est de fait du même ordre que de parler d’un risque
infime de décès pour les moins de 30 ans.
Rendre existant un fait statistiquement nul et non prouvé relève de l’erreur ou de la manipulation.

Le terrain nous confirme que les tests tels qu’ils sont pratiqués se servent qu’à fabriquer de la peur.
Je me répète mais transformer des asymptomatiques en tueurs potentiels n’a pour but que de rendre
visible une épidémie dont nous ignorerions jusqu’à son existence si les médias ne nous avaient pas «
informé ».

Le seul objet est de nous obliger à porter un masque et réduire drastiquement les droits de l’homme.
La manipulation systématique des données, les faire converger dans une seule direction,
promouvoir une vision la plus catastrophique possible et la plus éloignée de la réalité épidémique,
ne peut pas relever du simple hasard mais n’être qu’intentionnelle...

En revanche je ne dispose pas de réponses, disons plus de preuves à la question « qui » (décide) et «
pour quoi » (en deux mots).
Les mesures liberticides imposées ne sont de fait QUE politiques et ne visent en rien la santé des
français.

Alain Tortosa

31 janvier de l’an II de la dictature sanitaire.

https://7milliards.fr/tortosa20210131-asymptomatiques-perversion-chiffres.pdf

1 https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=19&i=covid_hospit_clage10.dc&s=2020-12-
31&t=a01&view=map1
2 Population Insee https://www.insee.fr/fr/statistiques/1892086?sommaire=1912926
3 OMS classification des décès https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-
20200423_FR.pdf
4 Comorbidités. Bulletin épidémiologique. https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
5 Foudre https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2534528-orage-foudre-definition-foudroiementdefinition-que-faire-eviter-risques-danger/
6 Décès de la vie courante http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2017/1/pdf/2017_1_1.pdf
7 Volume goutte eau https://fr.wikipedia.org/wiki/Goutte_(volume)
8 Pourcentage décès sans comorbidités Bulletin épidémiologique.
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
9 Insee décès 2020 https://www.insee.fr/fr/statistiques/4931039?sommaire=4487854
10 Age médian des décès https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
11 Taux d’incidence https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
12 Taux d’incidence réseau sentinelles https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/
13 Taux d’incidence en avril https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
14 Hospitalisations
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/315275/document_file/COVID19_PE_20210128_VF.pdf
15 Patients hospitalisés https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
16 Parcours hospitalier https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dd67.pdf
17 Infections nosocomiales https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
18 Taux occupation lits de réanimation
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/315275/document_file/COVID19_PE_20210128_VF.pdf
19 Patients en soin critique SR/SI/SC https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
20 Test salivaire « Viral Load Kinetics of SARS-CoV-2 Infection in Saliva in Korean Patients: a Prospective Multicenter Comparative Study » https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32776725/
21 Test salivaire grippe Comparison of Nasal and Nasopharyngeal Swabs for Influenza Detection in Adults
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3494547/
22 Virus diabolique https://www.bfmtv.com/sante/jean-francois-delfraissy-on-a-affaire-a-un-virus-diabolique-etbeaucoup-plus-intelligent-qu-on-ne-le-pense_VN-202101240184.htm

Bilan chiffré des confinements en France et à l’international : une catastrophe sanitaire générale

 

Par le dr G Delépine

 

Depuis le début de la crise, le gouvernement impose des mesures contre-productives en santé, aggravant la misère des plus pauvres et ruinant les classes moyennes et les petits commerçants pour faire accepter des médicaments hors de prix et dangereux, des vaccins bâclés et des lois de régression sociale. Il suit en cela fidèlement les prescriptions du conseil sanitaire de l’OMS et de son faux prophète Ferguson[1] qui a d’emblée affirmé qu’il faudrait confiner au moins jusqu’en décembre 2021, ou l’arrivée d’un traitement miracle[2], ou les vaccins sans se préoccuper des conséquences catastrophiques de ses préconisations.

Ceci s’intègre dans le cadre de l’agenda du forum de Davos décidé par l’oligarchie mondialiste dans les mains des milliardaires mondiaux en accord avec les gouvernements liés et actuellement réunis en forum virtuel.

Ce bilan sanitaire est d’autant plus d’actualité que le conseil prétendument scientifique composé de médecins trop proches de l’industrie appellent sur tous les médias à un troisième confinement sans aucune justification médicale, pour raviver le chantage « vous serez astreint à domicile à vie ou vacciné ! »

Dans ce chapitre, nous dresserons le bilan sanitaire des mesures liberticides qui nous ont été imposées. Pour rester le plus factuel possible cette analyse repose principalement sur les données publiées par l’OMS, les agences sanitaires des pays concernés et les organismes internationaux comme l’OCDE, illustrés par des interviews de médecins de terrain.

 

Effets constatés du confinement sur la propagation de l’épidémie

Une étude de l’OCDE sur les confinements de la première vague précise que sur les 31 pays européens étudiés, la moitié (16) ont demandé à leurs citoyens de rester chez eux durant la première vague. Ces confinements plus ou moins souples et plus ou moins obligatoires ont duré 47,5 jours en moyenne. Cinq grands pays ont basé leur politique sanitaire sur le confinement aveugle (sans isoler les malades des autres) de toute leur population : l’Italie, l’Espagne, la Belgique, la France et la Grande-Bretagne. Les plus durs ont été la France et l’Italie avec 55 jours, l’Espagne avec 50 jours et le Royaume-Uni avec 46 jours.

 

A l’opposé les Pays-Bas, la Suède, la Finlande, la Biélorussie ont fait confiance à leurs citoyens en leurs prodiguant des conseils et en les laissant libres de circuler.

L’étude des courbes de progression de la maladie dans les différents pays d’Europe par la recherche des inversions de tendance (break point analysis)[3] montre que le confinement aveugle a été incapable de ralentir la progression de l’épidémie.

En France, le nombre des contaminations n’a diminué qu’en avril, six semaines après le début de l’épidémie, en même temps qu’aux Pays-Bas et en Allemagne, pays qui n’ont pas astreint à domicile leurs populations.

Cette régression spontanée après 6 semaines d’évolution paraît une caractéristique de cette maladie d’après le professeur Ben Israel[4] « C’est comme ça partout dans le monde. Tant dans les pays où ont été prises des mesures de confinement comme l’Italie, que dans les pays qui n’ont pas eu de confinement comme Taiwan ou Singapour. Dans tel ou tel pays, il y a une augmentation jusqu’à la quatrième ou la sixième semaine, et immédiatement après la régression jusqu’à ce qu’elle disparaisse au cours de la huitième semaine.”

 

 Les autorités norvégiennes ont reconnu l’inutilité du confinement

 

La Norvège est fréquemment citée comme preuve de l’efficacité du confinement par ses partisans français, mais ce n’est pas l’avis de l’autorité sanitaire norvégienne qui a publié un rapport dont la conclusion est sans ambiguïté : le virus était déjà en voie de disparition lorsque le verrouillage a été ordonné. Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique précise ainsi [5]  « le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19 car le taux de reproduction effectif était déjà tombé à environ 1,1 lorsque les mesures les plus restrictives ont été mises en œuvre le 12 mars ».

 

 

Impact des confinements à l’international : échec général

 

De nombreuses autres études [6] [7] [8] [9] [10] [11] [12] ont évalué l’effet des mesures coercitives sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a montré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie. C’est le cas de l’étude danoise sur le Nord Jutland [13] de l’étude néo- zélandaise[14], de l’analyse indienne[15], de l’étude des pays d’Europe occidentale[16] et de toutes les études internationales basées sur les faits avérés. Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont celles qui n’analysent pas les faits constatés, mais reposent sur des simulations et des scénarios sans rapport avec la réalité.

 

Pour innocenter les gouvernements qui ont astreint leur population à domicile, on pourrait croire que les pays qui ont confiné policièrement l’ont fait parce que leur situation était plus menaçante au moment où ils en ont pris la décision.

Mais la comparaison des contaminations en Belgique et aux Pays-Bas (pays les plus proches par leurs origines ethniques, leur mode de vie et l’âge moyen de leurs habitants) montre qu’il n’en est rien; avant le confinement belge, le nombre quotidien des contaminations par million d’habitants évoluait de la même manière dans ces deux pays frères; ce n’est que dix jours après le début du confinement belge que le nombre de malades a fortement augmenté en Belgique tandis qu’il progressait sans modification aux Pays-Bas.

 

 

Les raisons de l’augmentation des contaminations par le confinement aveugle sont simples ; le traitement traditionnel des épidémies (l’endiguement-quarantaine) repose sur la séparation des malades des sujets sains ; le confinement aveugle prévoit au contraire de renvoyer les malades sans signes de gravité dans leur famille, et les pensionnaires d ’Ehpad dans leur établissement d’origine favorisant ainsi la contamination de leur entourage.

L’étude récente Comcor[17] sur les lieux de contamination rapporte que le tiers d’entre eux est le foyer familial où l’un des parents a contaminé l’autre ou son/ses enfants confirme cette hypothèse.

 

Le confinement aveugle entraîne une augmentation de la mortalité liée au Covid19.

Les données de l’OMS du 26 janvier 2021[18] prouvent que le confinement aveugle est contre-productif : les pays qui ont confiné policièrement sans isoler réellement les malades sont tous dans le top 5 européen des plus fortes mortalités globales attribuées au Covid19

avec respectivement : Belgique : 1793/Million, Italie : 1245/M, Espagne : 1177/M, Grande-Bretagne : 1443/M, France : 1113/M

contre 790/M pour les Pays-Bas, 117/M en Finlande, 173/M en Biélorussie et 1090/M en Suède. La probabilité qu’une telle distribution des mortalités selon les mesures sanitaires soit due au seul hasard n’est que 0,007[19].

 

 

Ferguson et ses élèves se glorifient de leurs erreurs de prédictions.

De nombreux articles d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle prétendent qu’il aurait sauvé des vies ; il ne s’agit que de propagande totalement mensongère qui repose sur la comparaison entre leurs prévisions très exagérées de mortalité et les mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement des morts virtuelles évitées. Dans un article de Nature, ils prétendent ainsi avoir sauvé 3 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement, sans avoir remarqué que les suédois n’avaient jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai prouvait seulement que leur prévision surestimait par dix le risque réel.

 

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que la technique classique d’endiguement ne pourrait pas ralentir l’épidémie et que si l’Allemagne ne confinait pas elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020. L’Allemagne n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué l’endiguement et ne comptait au 5 mai que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement (qui n’a pas été pratiqué) !

 

Lancetgate et Naturegate

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour affirmer que la chloroquine était dangereuse. Dans ce qui peut s’appeler le Nature Gate, il n’y a pas eu fabrication de données mais refus de regarder la réalité des mesures réellement utilisées pour se glorifier de ses erreurs ; il est étonnant qu’aucun membre du comité de lecture d’une revue de bonne réputation ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique prétendant[20] que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement. Les erreurs de conception, des hypothèses et des conclusions d’un étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques[21]  [22] [23] mais les médias mainstream en ont très peu parlé[24].

 

Le confinement a créé des victimes d’autres pathologies (victimes collatérales)

En France, quelques jours avant le premier confinement, les Agences Régionales de Santé ont activé le plan blanc réservant tous les moyens sanitaires publics et privés aux malades du Covid19 et interdisant entre autres aux chirurgiens d’opérer sauf les extrêmes urgences vitales, en négligeant les malades ordinaires. Elles ont ainsi laissé des pans entiers de nos hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radios empêchés de traiter les malades ordinaires.

Les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance ont des conséquences critiques sur la vie des malades, sans compter l’angoisse générée et leur effet connu sur la diminution des défenses immunitaires.  La notion de traitement « précoce » doit s’évaluer avec le médecin traitant dont on tente de plus en plus à minimiser le rôle pourtant essentiel pour l’adaptation des soins à chaque personne unique.

On peut estimer à 40 000 victimes supplémentaires actuelles et/ou futures par les défauts de soins et regretter le silence de la plupart des politiques et des médias pour ces victimes.

 

Malades urgents d’autres pathologies, déjà morts des confinements

En Ile-de-France, la crise a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé. « Les Franciliens ont eu moins recours aux soins, ce qui peut malheureusement engendrer, pour les cas les plus graves, des décès. » a avoué l’agence régionale de santé d’Ile-de-France

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière a précisé que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer de nouvelles dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Mais comme prétend encore le ministre et comme le répètent toujours en boucle les médias « le confinement permet de sauver des vies » …

Le Monde rapporte le cas d’une Parisienne de 65 ans qui a subi un gros infarctus à son domicile, mais a préféré rester confinée. Sept jours plus tard, elle est conduite à la Pitié-Salpêtrière. Elle meurt d’une « rupture cardiaque ».

Une étude de l’Inserm menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

En Grande-Bretagne, une étude portant sur neuf hôpitaux a constaté que durant le confinement le nombre total d’admissions et de fréquentation aux urgences a diminué de 57,9% par rapport à l’année précédente. L’activité pour les affections cardiaques, cérébro-vasculaires et autres affections vasculaires a chuté de 31% à 88% après le verrouillage, avec les plus fortes réductions observées pour les pontages coronariens, l’endartériectomie carotidienne, la réparation de l’anévrisme de l’aorte et la maladie artérielle périphérique.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

Pourquoi les prévisions de Ferguson et les décisions des gouvernements obéissants n’ont-elles pas prévu ces morts indirectes bien réelles pour ne s’intéresser qu’aux morts Covid virtuelles imaginés par des simulations mathématiques fausses ?

 

 

Malades chroniques abandonnés à cause du plan blanc

 

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale.  La télémédecine tant vantée par les énarques désincarnés ne peut remplacer le contact humain direct avec le malade. Des patients fragiles, angoissés, désespérés, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les traitements des cancéreux ont été désorganisés par les injonctions des ARS[25]. Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation.  Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure sans précision sur une éventuelle reconvocation. C’est l’ARS qui a bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et possiblement remplacées par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Raisonnement médical perdu, médecins transformés en robots devant obéir à des administratifs sous la surveillance inquisitoriale des agences régionales de santé, petites dictatures locales contre lesquelles il n’existe aucune voie de recours. Il semble bien que cela a recommencé lors des autres confinements puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre le plan blanc alors que le nombre de morts attribués au Covid est très inférieur à celui de mars.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies : cardiologie, neurologie, endocrinologie, rhumatologie, insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs dizaines de milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de prévoir précisément leur nombre car évidemment cela va se compter sur des années.

 

Malades nouveaux diagnostiqués et traités avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants : même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

En cardiologie, au Danemark une baisse de 47% des nouveaux cas de fibrillation auriculaire a été observée. De même, le nombre de patients hospitalisés avec une aggravation de l’insuffisance cardiaque ou un diagnostic de nouvelle apparition a été nettement réduit après le confinement soulevant « des inquiétudes quant à un sous-traitement potentiel de l’IC actuellement qui pourrait avoir un impact sur le pronostic à long terme ».

 

 Le drame des cancéreux

En cancérologie en France, 380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le premier plan blanc[26] 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard) dans son communiqué du 15 Mai 2020 : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Durant le confinement, ce chiffre semble être descendu de moitié. En cancérologie l’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne : « pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

Les auteurs de l’étude estiment à près de 10000 morts les conséquences prévisibles des retards de diagnostic pour les seuls cancers du sein et du colon.

Les dermatologues espagnols ont constaté : « en l’absence de diagnostic et de traitement adéquats du carcinome et du mélanome, la survie spécifique à la maladie à 2, 5 et 10 ans chez les patients dont la chirurgie a été retardée de 3 mois a diminué de 6,2%, 8,2% et 5,2%, respectivement ».

Au Royaume-Uni, the Centers for Disease Control and Prevention estiment que, « du fait du confinement, une augmentation de mortalité de 20% des nouveaux cancers est à craindre. »

Une autre étude britannique estime à 59 204 – 63 229 ans le nombre d’années de vie perdues pour les seuls cancers colo-rectaux, du sein, de l’œsophage et du poumon en raison des retards de diagnostic dus au confinement.

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer”, explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès.”

Si on fait la somme des morts en excès toutes pathologies or Covid confondues, le bilan mortifère des retards diagnostiques s’élève actuellement pour la France à plus de 40000 morts à venir. Cette estimation ne constitue qu’un minima

 

L’hécatombe programmée de nos ainés

Le confinement avait pour premier prétexte de protéger particulièrement nos ainés, mais dix mois de mesure sanitaires inventées de toutes pièces sans fondement scientifiques ont abouti à une hécatombe sans précédent.

Pour les vieillards, pensionnaires des EHPAD, la solitude complète imposée par le confinement les a conduits au « syndrome de glissement » et à la mort, presque aussi sûrement que le virus. Quelle ineptie et quelle honte de leur interdire les visites de leurs proches, alors que leurs soignants sortent chaque jour et prennent des transports publics bondés et reviennent un jour ou l’autre porteurs du virus qu’ils propagent à leur insu car scandaleusement peu protégés. Et que dire de l’interruption des rééducations en particulier pour dysphagie nécessaires à beaucoup des pensionnaires ?

Et que penser de la note du ministère aux directeurs d’EHPAD précisant clairement que les personnes âgées malades ou susceptibles de l’être ne doivent en aucun cas être adressées aux urgences, car elles ne seront ni hospitalisées, ni traitées, ni réanimées. Précisons qu’il s’agit de critères d’âge, sans tenir aucun compte de l’état physique et intellectuel des résidents. Nous connaissons tous de beaux vieillards de plus de 90 ans et des « très vieux » de 70 ans ou moins.  Les médecins ont toujours pesé ces éléments du temps où ils pouvaient exercer leur vocation selon Hippocrate, et non sous l’autorité dictatoriale de bureaucrates interdisant d’hospitaliser les infectés de plus de 70-75 ans « afin qu’ils ne puissent pas occuper inutilement les lits de réanimation ». Les nazis à la descente du train de déportés triaient selon l’âge physiologique. Pas nos bureaucrates. Les plus de 70 ans infectés sont renvoyés dans leurs EHPAD ou faute de possibilité d’isolement réel, de traitement, de personnel et de matériel de protection, ils contaminent leurs compagnons d’infortune sans même pouvoir dire adieu à leurs familles. Et pour tout traitement le ministre propose le Rivotril censé leur adoucir la mort. Nos technocrates auraient-ils imaginé un début de solution au financement des retraites par le génocide des plus vieux retraités, suivant ainsi les conseils de J. Attali, mentor du président ?

Les récits dramatiques se succèdent sur les réseaux sociaux. Couples déchirés dans leurs derniers moments, enfants qui ne reverront jamais leur mère, soignants qui veillent depuis des mois ou années sur des vieillards et les voient brutalement contaminés, refusés d’hôpital, interdits de réanimation, privés de traitement, abandonnés à la mort sans personne pour leur tenir la main puis jetés au tombeau en catimini, sans accompagnement, les familles recevant des contraventions s’ils se retrouvent pour les accompagner au cimetière. Avec l’épidémie de décès dans les EHPADs, les proches risquent même la prison pour récidive d’infraction (présence aux enterrements), en attendant peut-être qu’on les condamne à mort comme l’Antigone de Sophocle, emmurée vivante pour avoir bravé l’interdiction royale d’enterrer son frère. Eternel combat de la morale qui définit notre humanité contre des lois tyranniques injustifiés.

 

Les victimes de pathologies psychiatriques

Le nombre de victimes de maladies organiques du confinement doit être complété par les conséquences des confinements sur les pathologies psychiatriques en traitement, les nouveaux malades psychiques, et les futurs suicides liés entre autres à la crise économique.

Les complications psychiques des personnes saines confinées sont nombreuses et bien connues : dépressions qui persistent dans plus d’un tiers des cas de nombreux mois après sa levée, stress post-traumatique durable, obésité, drames familiaux, divorces, retard scolaire, addiction renforcée à l’alcool aux drogues ou aux écrans. Les complications médicales et sociales de cette mesure moyenâgeuse inefficace, sont avérées et souvent catastrophiques.

Tous les confinés interrogés décrivent un sentiment d’isolement et le manque de contacts sociaux. L’absence de tout contact physique avec les membres de la famille et amis confinés ailleurs, est particulièrement mal vécu surtout lorsque le confinement aveugle est prolongé.

Certains groupes de personnes sont encore plus à risques. Enfants placés, qui se retrouvent encore plus seuls avec la moitié des encadrants absents. Femmes et/ou enfants victimes de violence familiales confinées avec leurs bourreaux eux-mêmes agacés par l’absence de sortie et paniqués par le Covid19. Prisonniers et malades des hôpitaux psychiatriques privés de visites facilitants le syndrome de glissement.

Mais plus généralement les enfants ainsi que le rappellent[27] des professionnels en psychologie, psychanalyse, pédiatrie et pédopsychiatrie qui : « relèvent de graves perturbations dans le vivre-ensemble et la socialisation, la survenue de nouvelles maltraitances au sein des établissements, une condamnation de la tendresse, de l’empathie et un interdit implicite à l’altérité, une entrave au développement relationnel, psychomoteur ainsi que des régressions dans les apprentissages, une fragilisation majeure de l’autorité bienveillante/contenante et de la posture parentale, une perte de repères structurants et des discours paradoxaux. Le tableau clinique conclut à une souffrance psychique croissante chez les enfants, risquant d’entraîner une explosion de troubles psychiques graves et de passages à l’acte suicidaires. »

Les adolescents privés de leurs premières amours sont complètement déprimés, le téléphone et même Skype et/ou face time, Instagram ou WhatsApp ne pouvant en rien remplacer l’intimité qu’ils commençaient à découvrir. Même leur école et leurs professeurs en chair et en os qu’ils critiquaient souvent leur manquent cruellement. Les adolescents sportifs de haut niveau sont particulièrement menacés car ils ont été privés des entraînements et des compétitions nationales permettant de sélectionner nos futurs champions afin de mieux les préparer aux épreuves internationales proches.

Accouchées et nouveaux nés privées de la visite de leurs proches dans une période pourtant anxiogène pour ces jeunes femmes particulièrement en période de psychose publique organisée.

 

 

L’aggravation de la famine par les confinements tue les enfants

 

Le Covid19 ne tue pas les enfants, mais la famine consécutive aux confinements les menace directement[28].

La famine est déjà réapparue en France[29] [30]. Le secours populaire, le secours catholique et les restos du cœur sont débordés, et on lit de plus en plus de témoignages de mamans : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

C’est aussi le cas en Italie[31] où les enfants affamés italiens à la suite de la politique italienne délétère à l’origine d’un nombre de morts directs des plus élevés mais également de morts indirectes très élevées.

Dans les pays pauvres, d’après les responsables de l’ONU[32], de l’Oxcam[33] et du programme alimentaire mondial contre la faim[34], l’aggravation de la famine risque d’entraîner plus d’une centaine de millions de morts.

 

Les principales fautes de notre politique sanitaire

Le comité prétendument scientifique et notre premier ministre suivent l’exemple de Ferguson et ses élèves et continuent de se glorifier de leur politique sanitaire malgré les résultats catastrophique sur la mortalité attribuée au Covid19. Ce déni permanent de la réalité est très inquiétant pour l’avenir car comme le disait A. Einstein : « ce n’est pas avec ceux qui ont créé les problèmes qu’il faut espérer les résoudre ». Rappelons la liste de leurs autres principales erreurs :

-Ils ont cru un mathématicien-prophète prônant le confinement aveugle sans évaluer ses conséquences au lieu d’utiliser la technique médicale éprouvée d’endiguement-quarantaine.

-Ils ont créé un comité prétendument scientifique en réunissant les personnes les plus liées aux firmes pharmaceutiques dont peu de cliniciens, et lui ont accordé un pouvoir discrétionnaire sur nos libertés.

-Ils ont interdit aux médecins de ville de traiter les malades comme ils le jugeait utile : interdiction de la chloroquine, puis interdiction de l’azithromycine et même de l’ivermectine récemment.

-Ils ont interdit l’admission des vieillards en réanimation, puis à l’hôpital puis aux urgences pour les renvoyer sans traitement dans leurs Ephads d’origine

-Ils ont conseillé d’euthanasier par Rivotril sans leur consentement les vieux simplement suspects de Covid19 (les tests leur étant refusés)

-Ils ont discrédité les médecins opposés à leurs mesures infondées, rétabli le délit d’opinion pour les médecins par un décret du 22 décembre 2020, et font poursuivre par le conseil de l’ordre les donneurs d’alerte.

Pourquoi devrions-nous attendre la fin de l’épidémie pour réagir ?

C’est maintenant que nous devons nous soulever pour stopper cette monstruosité, ce génocide de nos ainés qui se poursuit dans les EHPADs, et de nos jeunes isolés, privés de ce qui fait le sel de la vie, les contacts avec les autres humains.

Que chacun d’entre nous joigne le maximum d’élus, maires, conseillers régionaux et députés, sénateurs pour qu’ils transmettent au gouvernement la réalité des chiffres, montrant que le confinement aveugle général s’accompagne de beaucoup plus de morts que l’isolement ciblé des malades et de leurs contacts.

Les mesures sanitaires ont tué plus de français qu’elles n’auraient pu en sauver et sont responsables de notre rang de 5ème européen des plus fortes mortalités Covid19. Elles vont en tuer davantage dans les mois et années qui viennent.

Et ils veulent nous reconfiner !

 

Stop à toutes ces mesures sanitaires sans justification scientifiques. Liberté.

 

[1] Celui qui avait prédit 70000 morts en Suède et 100000 aux Pays-Bas s’ils ne confinaient pas qui, sans confinement, n’en comptent au 5/1/21 respectivement 8727 et 11612

[2] Mais l’opération « tous pour le Remdesevir » soutenue par les médecins liés à Gilead, le conseil prétendument scientifique et le directeur de l’AP-HP Martin Hirsch a piteusement échouée faisant reporter tous leurs efforts sur la promotion des vaccins

[3] Très utilisée en économie et en cancérologie

[4] Professeur Ben-Israel « Je propose que nous mettions fin aux confinements immédiatement…”

interview à Israel National News 16 avril 2020

[5] Norvège : “le confinement n’était pas nécessaire contre le coronavirus” 29 mai 2020 Strategika

[6] Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir, Justyna Bartoszko, Sheila Riazi Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions gouvernementales, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[7] Christof Kuhbandner, Stefan Homburg, Harald Walach, Stefan Hockertz. « Le verrouillage de la couronne allemande était-il nécessaire ? » Sage Preprint, 23 juin 2020.

[8]Simon N. Wood. Les infections au COVID-19 ont-elles diminué avant le verrouillage du Royaume-Uni ?  Pré-impression de l’Université Cornell, 8 août 2020.

[9]Stefan Homburg et Christof Kuhbandner Commentaire sur Flaxman et al. (2020) : Les effets illusoires des interventions non pharmaceutiques sur le COVID-19 en Europe » par. 17 juin 2020. Advance, Sage Pre-Print

[10] Ben Israel Analyse de la transmission du virus par le professeur. 16 avril 202

[11] Paul Raymond Hunter, Felipe Colon-Gonzalez, Julii Suzanne Brainard, Steve Rushton « Impact des interventions non pharmaceutiques contre le COVID-19 en Europe : une étude quasi expérimentale ». MedRxiv Pre-Print 1er mai 2020

[12] « Lockdown and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins » par Surjit S Bhalla, directeur exécutif pour l’Inde du Fonds monétaire international

[13] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.12.28.20248936v1.full.pdf

[14] John Gibson Government mandated lockdowns do not reduce Covid-19 deaths : implications for evaluation the stringent New Zealand response 18 Aug 2020, https://doi.org/10.1080/00779954.2020.1844786 « Les verrouillages imposés par le gouvernement ne réduisent pas le nombre de décès liés au Covid-19 : implications pour l’évaluation de la réponse rigoureuse de la Nouvelle-Zélande »

[15] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins Nov 1, 2020 http://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[16] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident

impacts on the COVID-19 epidemic. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

 

[17] https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/etude-comcor-lieux-contamination-au-sars-cov-2-ou-francais-s-infectent-ils

[18] https://covid19.who.int/

[19] Calcul direct des probabilités

[20] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).

[21] Eric Le Bourg, Quentin de Larochelambert, Jean-François Toussaint Etude critique d’une modélisation des effets du confinement Journal International de médecine 2 mai 2020

[22] Aurélie Haroche Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie, Journal International de Médecine, 25 avril 2020

[23]Gilles Pech de Laclause 1 Arnaud Delenda Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »

[24] Roland Salmon : https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/04/08/roland-salmon-les-donnees-pour-soutenir-la-politique-du-confinement-font-defaut_6035949_3232.html

[25] Agences régionales de santé

[26][26] Interdiction pour les chirurgiens publics ou privés d’opérer les malades non urgents, l’urgence étant décidée par l’ARS et non le chirurgien ou son malade, décret d’Edouard Philippe début mars 2020

[27] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/impacts-traumatiques-de-la-politique-sanitaire-actuelle-sur-les-enfants-un-constat

[28] France culture La faim plus dangereuse que le coronavirus ? 01/05/2020 https://www.franceculture.fr/emissions/radiographies-du-coronavirus/la-faim-plus-dangereuse-que-le-coronavirus

[29] D’après le canard enchaîné Georges-François Leclerc, préfet de Seine-Saint-Denis aurait écrit : « Je redoute des émeutes de la faim. Nous comptons entre 15.000 et 20.000 personnes qui, entre les bidonvilles, les hébergements d’urgence et les foyers de travailleurs migrants vont avoir du mal à se nourrir ».

[30] « Dans mon frigo, il y a de l’eau, du jus d’orange et deux yaourts », a ainsi témoigné Viviane, habitante de Stains, sur France bleu.

[31] Sara Rosenbaum et AFP Coronavirus en Italie : 700.000 enfants en difficulté alimentaire RTL  10/5/2020 https://www.rtl.fr/actu/international/coronavirus-en-italie-700-000-enfants-en-difficulte-alimentaire-7800498903

[32]  » Tiphaine Walton, porte-parole du Programme alimentaire mondial de l’ONU : » Ce qui nous inquiète, c’est la récession économique qui va être engendrée par le coronavirus. On estime qu’il y a plus de personnes qui vont mourir à cause de cette récession qu’à cause du virus en lui-même »

[33] Oxfam, Le nombre de personnes menacées de famine en Afrique de l’Ouest pourrait quasi tripler en trois mois et concerner 50 millions de personnes en août, mardi 21 avril.

[34] Margot van der Velden, directrice du bureau des urgences du PAM :« Lorsque nous déclarons une famine, cela signifie que de nombreuses vies ont déjà été perdues. Si nous attendons d’être sûrs qu’elle soit là, des personnes ont déjà perdu la vie »,