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Liberté vaccinale : l’effet Kennedy changera-t-il la donne ? | Vaccinoprudence | Delépine & Léonard – Profession Gendarme

 

loin des polémiques théoriques, vaguement intellectuelles sur l’utilité ou non des vaccins car le virus n’existerait pas … les parents de jeunes enfants sont stressés à l’idée de devoir faire piquer aveuglément leur bébé pour des risques tout aussi opaques

il est clair que, quoiqu’en pensent certains, l’arrivée du nouveau secrétaire à la santé aux USA RFKennedyJ. permet d’espérer une ouverture ne serait-ce que parce que son intérêt sur les dérives de BIGPharma, et les risques potentiels de certains vaccins sont étayés par ses livres que chacun peut ouvrir.

 

voici le diaporama commenté dans la vidéo mais peut-etre plus facile à lire sous cette forme

voici la vidéo

Liberté vaccinale : l’effet Kennedy changera-t-il la donne ? | Vaccinoprudence | Delépine & Léonard

 

Mise au point sur le combat pour la suppression de l’obligation vaccinale 8 FEVRIER 2025 N G

 

Courrier Vautrin avec logos _vaxMnB et MnACWY_18.02.25_Parents et Citoyens F_

 

 

 

 

2025 1 03 vaccine non vaccine diaporama extrait du livre de r kennedy

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

241206_ couverture et quatrième du cancer à la vie

 

 

Le monde et nous. Avec le Dr Gérard Delépine et Rebecca Horiot – Profession Gendarme  

 

 

Exemple d’un combat qui semblait perdu d’avance 2

 

 

 

Voici les liens de l’émission enregistrée sur tvadp le 6 mars 2025

 

https://www.youtube.com/watch?v=VO0yBoeUD24

 

https://crowdbunker.com/v/NqtbprDi

 

https://vkvideo.ru/video430568862_456242233?t=1h11m38s

 

 

et un très beau témoignage : merci Karen

Bon Dimanche sous la pluie à Bordeaux … 😊☔🙋

envoyé : 9 mars 2025 à 07:50
de : Karen BRANDIN
objet : parution : Du CANCER à la VIE

Commentaire :

TITRE  : « Parlez-moi de votre fille … » (le Docteur N. Delépine à une maman)

« On vous emmène faire le tour de notre drôle de vie,

Et un peu de elle aussi de patients que l’on a guéris,

On est partis tous les deux pour une drôle vie,

Pour vous on reste curieux

Et l’on fait ce que l’on s’est promis … »

Si ce beau livre débute par un poème de Victor Hugo, il aurait tout aussi bien pu s’ouvrir je crois, sur cette revisite d’un texte de Véronique Sanson.

En effet, ce recueil est une invitation à découvrir ou redécouvrir deux carrières complémentaires et en tous points exceptionnelles. Par discrétion, parce que tous les hommages seraient nécessairement vains en plus d’être incomplets, je n’entreprendrai pas d’égrener l’interminable liste des qualités d’honnêteté, de dévouement et de droiture dont Nicole et Gérard Delépine n’ont jamais cesser de faire preuve au cours de leurs quarante années de pratique médicale.

En réalité, selon moi : « Nul n’est censé ignorer l’existence de cet extraordinaire couple de médecins » ;-). Cette mention serait d’ailleurs bien inspirée d’être ajoutée à la toute fin du serment d’Hippocrate si fréquemment bafoué depuis la crise Covid.

Je vais donc simplement me permettre de pointer du doigt l’intelligence de ces deux âmes sœurs ; leur rigueur, leur insatiable curiosité vis à vis d’une littérature scientifique internationale qu’ils n’ont jamais cessé d’écumer, d’interroger et cette formidable agilité intellectuelle qui aura permis de les rendre, – mais surtout de les garder -, libres envers et contre tout.

Parfois contre “tous” (lire ou relire : « Neuf petits lits sur le trottoir » paru aux éditions Fauves – 2015).

S’ils sont un exemple, un modèle, c’est qu’en plus de faire preuve d’une éthique sans faille, ce sont toujours à l’heure actuelle des bourreaux de travail, à un moment pourtant où la tentation de la paresse gangrène tout.

Des vices, c’est sans doute celui qui semble le plus sympathique : on plaisante sur la flemme de la jeunesse, de nos élèves notamment. Sauf que cette paresse draine avec elle tout un cortège macabre : les concessions, l’indifférence, l’approximation, la corruption et, à terme, le mensonge ; jusqu’à fragiliser très sérieusement notre démocratie.

Justement, je perçois dans cet ouvrage, et ce bien au-delà d’une touchante galerie de portraits de jeunes gens, de jeunes parents épanouis, l’occasion de deux legs de nature différente mais d’égale importance.

Le premier est d’ordre scientifique, car il ne s’agit surtout pas de se résigner à évoquer le service atypique du Dr Nicole Delépine (aujourd’hui malheureusement fermé ; brutalement fermé en réalité à grand renfort de camions de CRS), avec une certaine nostalgie.

Il était trop essentiel pour faire partie du passé ou encore des archives de la médecine. Il faut au contraire impérativement en faire renaître l’esprit de sorte de faire vivre la liberté thérapeutique (qui est une composante fondamentale de la liberté d’expression). Ces prises en charge, drôlement qualifiées « d’alternatives » (chimiothérapie et/ou chirurgie conservatrice, pour le coup innovante), ces protocoles largement éprouvés dont on maîtrise de fait la toxicité, pour lesquels on dispose d’antidotes, doivent être transmis, enseigné le plus largement possible aux générations futures qui confondent trop souvent “innovation” et « progrès. » Il faut dire que les sirènes des laboratoires sont de si douces et de si lucratives chaînes …

En ce sens, ce livre est un cadeau tout désigné pour des étudiants en médecine que l’on souhaiterait “affranchir” avant qu’ils ne soient corrompus “par la matrice” et deviennent addict aux contentions, aux graphiques tronqués et à l’assistanat numérique : IA, obsession des essais thérapeutiques en première intention et autres séduisantes thérapies dites « ciblées » (quand on ne parle pas de « médicaments intelligents. » On attend avec une terreur non-dissimulée le moment où ils vont s’auto-prescrire puis s’auto-administrer !).

Le second legs est quant à lui d’ordre affectif. On parle parfois « de leçon de vie. » On est, au travers de ces pages, les témoins privilégiés de morceaux d’existence que l’on découvre pleines et entières.

Ces sourires radieux ne sont pas plus amputés que ne l’ont été les jambes ; jamais empruntés non plus. Encore moins condamnés à n’être rien de mieux que définitivement “convalescents” ; ce sont autant d’espoirs pour les familles aujourd’hui frappées par une si douloureuse épreuve. Bien sûr que l’annonce d’une maladie grave, en outre si tragiquement présente dans notre imaginaire, est incompréhensible, injuste, obscène même quand elle frappe un bout de chou. Il s’agit d’une déflagration difficile à atténuer.

Mais ces témoignages viennent rappeler que si le cancer dévie votre route, que le terrain de l’existence semble désormais à des années-lumières d’un terrain pourtant de jeux il y a quelques jours encore ; qu’il est tellement escarpé, incertain, accidenté que l’envie de prendre la tangente s’invite régulièrement. Que vous n’en pouvez plus de tous ces virages de l’existence qui vous donnent la nausée, et bien il y a toutes les chances pourtant, tous les espoirs, que ce soit provisoire. Le cancer est une maladie, pas une sentence ; il ne s’agit pas d’une maladie comme une autre bien sûr car elle est extrêmement complexe, presque « rusée » mais cela reste une maladie dont on peut souvent guérir.

L’axe principal de la Vie victorieuse est donc au loin. Il faut river, attacher son regard à l’horizon ; ne jamais baisser ni la garde, ni les yeux. Ne pas se retourner surtout car l’heure est bel et bien aux projets, pas au bilan surtout quand on a douze ans.

Ce que l’on comprend aussi au détour de ces récits, c’est que l’amour des parents, des proches, leur présence comme leur vigilance et celle de l’équipe soignante font partie intégrante du processus de rémission puis de guérison. Ils sont aussi le soin. La tendresse, l’optimiste, le rire, sont de taille à inhiber ou à atténuer les effets secondaires de traitements agressifs par nécessité. Et ce sont en même temps des catalyseurs exceptionnels. L’amour peut tout ce qu’il peut, si l’on peut dire …

Si seulement il pouvait tout.

Un ouvrage profondément humain donc, à offrir sans réserve et à placer dans chaque service de pédiatrie oncologique qui se respecte et respecte les patients. Il donnera aussi aux familles des pistes via l’association Ametist ( http://www.ametist.org) en plus de la force morale qui peut parfois manquer lorsque l’on souhaite extraire son petit d’un protocole de prise en charge dont on devient simplement le spectateur impuissant. Oserais-je rappeler que le titre d’un reportage (toujours disponible sur YouTube) consacré au service de Nicole Delépine avait été intitulé par la journaliste : « Les enfants du Docteur Delépine. » 

Un enfant malade, ce n’est pas un enfant cobaye ; ce n’est pas un terrain privilégié d’expérimentation. Ce n’est pas davantage une occasion. Quant à l’annonce du diagnostic, elle n’est ni une condamnation, ni un compte à rebours. C’est par contre le moment pour le petit patient, comme pour l’ensemble de sa famille, de revêtir la lourde armure des guerriers avec la ferme intention de remporter la première course : de vitesse ; puis la seconde : d’endurance cette fois. Alors, « Hauts les coeurs » car sous les pavés, la plage.

KB

N.B : Bravo à Ingrid pour ces magnifiques photographies. Je comprends, sans la connaître, qu’elle a su créer un climat précieux de confiance et de complicité.

« Il fait beau, je sors
Je trouverai le bon chemin
Et je me sens mieux dehors
Vivre. (…)

Faites, faites, faites couler l’eau
Regarder comme on est beau
On va vivre

Plantes, plantes grimpez
Sève rentre dans nos corps
Venez danser sur la mort
Et vivre. »

Michel Berger

 

par le DR G Delépine

Que l’année 2025 soit celle de la réaffirmation de nos libertés et de nos droits fondamentaux !

L’épidémie de covid a constitué le prétexte de réduction des libertés publiques, et d’autres droits fondamentaux sans précédent en France depuis l’occupation allemande[1] : liberté de circulation, liberté de réunion, liberté de culte, liberté de parole, secret médical, liberté de prescription, liberté d’expression des médecins : toutes ont été attaquées sous des prétexte fallacieux.

Cette nouvelle année 2025 doit devenir celle de la réaffirmation de nos droits fondamentaux gravement menacés par une floppée de décrets qui témoignent de l’inventivité sans borne des fonctionnaires et de leur mépris de la démocratie, détaillés dans l’excellente enquête juridique publiée par Focus[2] dont nous présentons ici un résumé commenté.

Les confinements et couvre-feux ont aboli la liberté de circulation des citoyens.

Ces mesures contraires aux données de la science de l’époque ont été à l’origine de décisions ubuesques de nombreux préfets. Celui du Tarn-et-Garonne a interdit au public « tous les parcs et jardins municipaux, les voies pédestres et cyclables des berges de canaux et cours d’eau, les zones de loisirs, les sentiers de randonnée balisés »[3]. Celui d’Ille-et-Vilaine a prohibé le déplacement « sur les plages du littoral, les espaces de promenade balnéaires, l’espace naturel de la pointe du Grouin, les digues, les cales de mise à l’eau des bateaux, les chemins de halage, les bords du Rance et sur les rives des plans d’eau intérieurs »[4]. Celui de la Gironde a interdit l’accès aux « espaces dunaires, parcs et forêts et la route des phares » [5]. Celui des Vosges interdisant « l’accès à l’ensemble des aires de jeux, en plein air et toute présence (piétonne et motorisée) à leurs abords »[6]  L’usage de drones pour identifier et sanctionner les contrevenants se promenant seul dans des espaces déserts a même été utilisé malgré, les décisions du Conseil d’État [7] [8].

Apparemment ces préfets ne savaient pas qu’il est impossible se contaminer en se promenant seul dans des lieux déserts. Espérons qu’ils l’ont compris depuis…

Les libertés de réunion et de manifestation ont été supprimées.[9]

Les libertés de réunion et de manifestation ont souffert durant la crise d’atteintes de plus en plus radicales, limitant le nombre maximum des participants de 5 000 à 10 personnes [10] [11] [12],  limite trop tardivement suspendue par le Conseil d’État [13].

Atteinte des libertés du culte, des enterrements, du commerce et de l’industrie

La liberté du culte a été restreinte par l’interdiction de participer aux messes, mais aussi les restrictions d’accompagner les défunts au cimetière, la liberté de rendre visite à ses parents dans les Ehpads, les libertés du commerce déclaré « non essentiel » et de l’industrie…

L’obligation du port du masque pourtant inefficace contre les transmissions

L’utilité du port généralisé des masques contre la diffusion des virus dans la population n’est pas prouvée scientifiquement. Les virus sont beaucoup plus petits (entre 60 et 120 nanomètres) que les pores des masques (300 nanomètres). En 2010 trois études contrôlées sur l’efficacité des masques faciaux en milieu communautaire, pour limiter la diffusion du virus grippal avaient été publiées [14] [15] [16]. Aucune de ces études ne fournissait de preuve concluante de l’efficacité des masques faciaux. Cette inefficacité des masques en papier porté en extérieur a été largement confirmé pour la grippe.

Dans le contexte de la pandémie de COVID-19, le port d’un masque par les personnes infectées pourrait empêcher la projection directe de gouttelettes contenant le virus, mais l’intérêt de l’utilisation de masques chirurgicaux généralisée à l’échelle de la communauté n’est pas non plus démontré comme l’a rappelé le 6 avril 2020 l’Organisation mondiale de la santé affirmant  « aucune donnée ne montre actuellement que le port du masque (médical ou d’un autre type) par les personnes en bonne santé dans les espaces collectifs, y compris s’il est généralisé, peut prévenir les infections par des virus respiratoires, dont celui de la COVID-19. » [17]

D’ailleurs le seul essai randomisé réalisé pour évaluer l’intérêt du port du masque sur la prévention de la transmission du covid (Danmasq19) [18] a confirmé l’incapacité du port généralisé du masque à protéger la population.

Mais cela n’a pas empêché nos gouvernants et nos préfets de faire preuve d’ingéniosité dans l’autoritarisme [19] pour tenter de les imposer avec l’utilisation d’une vidéosurveillance « intelligente », par détection faciale [20] malgré plusieurs contestations qui ont donné partiellement raison aux requérants et enjoint aux préfets du Bas-Rhin et du Rhône de corriger leurs arrêtés [21].

La discrimination inefficace du passeport vaccinal

L’obligation du passeport vaccinal a été instaurée par la loi instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires[22] [23] qui permet à l’exécutif de subordonner les déplacements, les activités ou l’accès aux moyens de transport à la présentation d’une preuve d’administration du vaccin. Cela rejoint d’ailleurs la volonté de Commission Européenne d’imposer un passeport appelé « certificat vert numérique » doté d’un QR code pourtant contraire à une résolution du Conseil de l’Europe[24], tendant à « s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ».

Et, d’après les données publiées par l’OMS, ce pass sanitaire a été totalement inefficace dans tous les pays européens qui l’ont imposé

 

Si les citoyens ne se mobilisent pas, le risque est grand de voir se constituer deux catégories de citoyens, l’une pleinement capable et autorisée à jouir de sa liberté, l’autre discriminée par l’amputation d’une part notable de sa liberté y compris dans le domaine scolaire [25].

Des restrictions de liberté inefficaces contre l’épidémie covid

Ces mesures liberticides ont été d’autant plus inappropriées que les données de l’OMS prouvent que les confinements et les autres restrictions de liberté ont été inefficaces contre l’épidémie comme les données de la science de l’époque permettaient d’ailleurs de le prédire [26] ».

La comparaison des données OMS de la Belgique (confinée) et des pays -Bas (non confinés) est très démonstrative de l’échec des mesures liberticides.

Les mesures de restriction des libertés n’ont pas ralenti le nombre de contaminations, ni diminué la mortalité covid. Ce sont les pays les plus confinés qui ont le plus souffert du covid, tandis que les pays qui se sont contentés de consignes de prudence et de quarantaine des malades (comme la Finlande, la Biélorussie, le Japon, la Corée du sud, Taiwan, ou Singapour) s’en sont beaucoup mieux sortis.

 

La liberté de parole censurée dans les médias et sur internet

Pour empêcher la tenue tout débat sur l’utilité des mesures imposées, les gouvernants ont entretenu une propagande terrorisante sur la gravité de la maladie, et diffusé en permanence des mensonges sur l’efficacité et l’innocuité prétendues des restrictions des libertés et des injections…

Pour décrédibiliser les faits rapportés par les opposants, ils ont créé des entreprises de « fast checkers » largement financées.

Ils ont instrumentalisé l’Agence France Presse et les médias subventionnées pour diffuser exclusivement leurs crédos. Ils ont institué une censure sévère sur les médias et sur internet qui a été reconnue aux USA par Zuckerberg dans une lettre envoyée à une commission du Congrès américain  [27], et lors d’une interview à ABC News admettant que les fact-checkers étaient « trop politiquement biaisés ».

En France, la censure d’Internet repose entre autres sur le blocage de sites web par les fournisseurs d’accès à Internet, sans que la liste des sites censurés ne soit connue du public. L’importance de la censure d’Internet en France a conduit certaines ONG comme Freedom House à classer la France parmi les pays où la liberté sur Internet a le plus reculé et Reporters sans frontières comme un des pays « sous surveillance ».

 

La liberté d’expression des médecins a été arbitrairement réduite

Avant 2020, le Code de la santé publique, demandait aux médecins de respecter la « prudence » et à s’affranchir « de toute attitude publicitaire »[28]. Mais pour censurer toute critique des mesures covid il a été modifié [29] [30] afin de limiter l’information que le médecin peut communiquer. Il doit maintenant « se garder de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées », et doit « tenir compte des recommandations émises par le conseil national de l’ordre » dont les prises de position se révèlent malheureusement constamment plus politiques que scientifiques.

Et le conseil national de l’Ordre des médecins a retrouvé les habitudes totalitaires nées de sa création par le régime de Vichy[31]  témoignant de l’ancrage idéologique du gouvernement collaborateur dans le corporatisme à la mode. L’ «Ordre » rassure, car la démocratie peut faire peur. Certains médecins y voient une protection contre la « vindicte  » de leurs patients, les gouvernements y voient un moyen finalement assez docile de contrôle de la profession. Regroupant dans une même structure corporatiste les pouvoirs réglementaires, exécutifs et juridiques, il est à l’antithèse de la démocratie qui se définit notamment par la séparation des pouvoirs. Durant la collaboration, il a communiqué la liste des médecins juifs, puis demandé aux médecins de déclarer à la police toute plaie par balle. En 2020 Il a sanctionné les résistants pour avoir guéri des malades en utilisant le traitement Raoult ou même simplement pour avoir rappelé que le confinement et les masques n’étaient pas efficaces contre les virus…

Les médecins retraités se trouvent maintenant les seuls à conserver leur liberté de parole de citoyen ordinaire, un peu comme les femmes de gendarmes qui peuvent seules exprimer les doléances de leur maris…

La suppression de la liberté de prescription

La liberté de prescription des médecins est reconnue comme principe général du droit français qui stipule « le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance »[32].

Mais dès le début de l’épidémie de covid-19, un arrêté du ministre de la Santé (Mme Buzyn[33] a classé l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses, interdisant sa vente libre en pharmacie, puis un mois plus tard l’interdiction du traitement par l’hydroxychloroquine a été signifiée aux médecins libéraux[34] et sa limitation dans les établissements hospitaliers aux formes sévères. Cette atteinte à la liberté de prescription a été validée par le Conseil d’État[35]. Puis, après la publication de l’étude frauduleuse[36] du Lancet, la prescription et la délivrance de cette substance ont été totalement interdites[37]. Cette interdiction a été abrogé par arrêté du 10 juillet 2020.

 Le secret médical menacé

 

Le fichage systématique des personnes susceptibles d’être vaccinées ou passant un examen médical en vue de la vaccination a constitué une première violation. Une délibération de la CNIL[38] a demandé que l’on puisse faire opposition à ce fichage, et « invite le ministère à la parfaite information des personnes concernées s’agissant notamment de l’exercice de leurs droits. Elle invite par ailleurs le ministère à prévoir un dispositif permettant à chaque personne concernée de faire exercice de son droit d’opposition à la transmission d’informations à la PDS et à la CNAM », mais si le décret est déjà entré en vigueur, la procédure d’opposition ne l’est guère.

Dans l’affaire des caméras thermiques visant à prendre à distance la température des passants installées par la commune de Lisses[39], le Conseil d’État a mis fin à l’expérience, manifestement illégale [40] sans une préalable analyse de la protection des données[41].

La protection des données personnelles, couverte par le secret médical, n’est plus assurée puisque le Conseil d’État n’a pas interdit l’outil de collecte et de centralisation des données de santé aux fins de recherche et d’analyse (le Health Data Hub), et  s’est contenté d’enjoindre à la CNIL de travailler avec Microsoft au renforcement de la protection des droits des personnes concernées quant à leurs données personnelles[42], malgré le choix de l’entreprise américaine sans procédure de marché public, et le fait que ces données  sont stockées sur des serveurs américains, régis par le droit américain qui oblige les entreprises de « communiquer les contenus de communications électroniques et tout enregistrement ou autre information relatifs à un client ou abonné, qui sont en leur possession ou dont ils ont la garde ou le contrôle, que ces communications, enregistrements ou autres informations soient localisés à l’intérieur ou à l’extérieur des États-Unis »[43] [44].

 

Les organismes de défense de la démocratie ont été défaillants

Face à ces attaques contre les libertés, le Conseil d’État ou le Conseil constitutionnel se sont montrés d’une discrétion désolante, plus soucieux de ménager le pouvoir politique que de protéger les droits et libertés des Français.

C’est, sous prétexte d’urgence sanitaire, le renversement des principes posés par le commissaire du Gouvernement Corneille, « la liberté est la règle, la restriction de police l’exception » [45].

Les libertés n’existent que tant que les citoyens les défendent. Battons-nous !

Devant les menaces permanentes que notre gouvernement et la commission européenne continuent de faire peser sur nos libertés les citoyens doivent lutter dans de nombreux domaines.

Combattre toute censure du droit de s’exprimer et d’informer.

Sous prétexte de lutter contre les discriminations ou la haine, certains veulent imposer toujours plus de contrôle des médias et de censure d’internet comme l’Union européenne qui multiplie les législations pour encadrer les contenus diffusés sur les réseaux sociaux. Le Digital Services Act veut imposer aux grandes entreprises de la tech des obligations strictes en matière de modération des contenus. En réalité, ce que redoute la Commission, ce ne sont pas les contenus évidemment délictueux, comme la pédopornographie ou les appels au terrorisme, mais la contestation de la propagande mondialiste qui lui est propre.

De la manie de tout réglementer au nom du grand marché unique, la Commission est passée à la manie de tout contrôler.  Face à ces exigences anti démocratiques les géants de la tech américaine affichent une position commune en faveur d’une plus grande liberté d’expression.

Ce combat pour la liberté d’expression, pivot essentiel de toute société démocratique est le nôtre. Soutenons-le par tous les moyens.

Refusons tout fichage généralisé des citoyens comme l’organise l’identité numérique que prône la Commission européenne et la coopération entre les États membres sur l’interopérabilité des schémas d’identification électronique. Battons-nous pour conserver nos vielles cartes d’identité et refuser tout QR code!

 

Luttons contre la volonté des gouvernants de limiter ou de supprimer les paiements en liquide.

Ils veulent que les citoyens dépendent totalement des banques dans leur vie quotidienne pour qu’ils deviennent plus faciles à surveiller par leurs dépenses et pour  les forcer à obéir en interdisant aux protestataires l’usage de leur argent, comme cela a été réalisé au Canada contre les camionneurs des convois de la liberté [46]. Pour lutter contre cette tentative efforcez-vous de payer en liquide partout et toujours.

Contre la suppression du droit de prescrire librement, du secret médical et du droit d’expression des médecins.

Réaffirmons la primauté du droit de prescrire librement prévu dans le droit français et de s’exprimer librement des médecins. Demandons la suppression du conseil de l’ordre comme toutes les autres créations du fascisme[47], comme l’avait promis Mitterrand dans une de ses 111 propositions de gouvernement. [48]

 

Contre la mainmise des gouvernements sur notre santé. Notre corps nous appartient. Nul ne doit y toucher sans notre consentement libre et éclairé.

La crise du covid a démontré que les gouvernants pouvaient privilégier les intérêts de l’industrie pharmaceutique à la sécurité sanitaire de leur citoyen, à mentir, et à supprimer nos libertés fondamentales pour leur seul bénéfice.

Ce n’est pas à un ministre de décider quel traitement doit être administré contre une maladie, mais à un médecin qui connait les antécédents, les risques et les besoins du malade qu’il a examiné.

Les vaccinations ont été utiles dans l’histoire et le restent pour certains et dans certaines circonstances mais elles exposent, comme tout traitement, à de possibles complications.

Les obligations vaccinales doivent être abandonnées au profit d’une information loyale sur les bénéfices et les inconvénients de chacune d’entre elles, en laissant à chaque citoyen le choix d’y recourir en fonction de ses besoins propres.

La propagande constante selon laquelle elle devrait être imposée « pour protéger les autres » est éthiquement condamnable (car un traitement ne doit être prescrit que dans l’intérêt de celui auquel on l’administre), et scientifiquement illogique car si la vaccination est efficace, son administration « aux autres » devrait suffire à les protéger.

Contactez vos représentants et signez les pétitions pour la liberté vaccinale!

Tous ces combats pour recouvrer pleinement nos libertés et nos droits seront facilités en 2025 par les actions du nouveau gouvernement américain élu par des citoyens qui ont souffert des dérives du Wokisme et de la tyrannie des minorités et qui nous donneront l’exemple.

Battons-nous et nous gagnerons !

[1] https://www.lexbase.fr/encyclopedie-juridique/66997065-etude-focus-l-effondrement-des-libertes-publiques-en-periode-de-crise-sanitaire-redigee-le-29-04-202

[2] Le décret n° 2020-260 du 16 mars 2020, portant réglementation des déplacements

[3] Arrêté n° 82-2020 du 19 mars 2020, art. 1er

[4] Arrêté du 1er avril 2020, art. 1er

[5] Arrêté du 30 mars 2020, art. 1er)

[6] Arrêté P088-20200408 du 8 avril 2020, art. 1 et 2

[7] CE, ord., 18 mai 2020, n° 440442, 440445 N° Lexbase : A64093LX, cons. n° 7

[8] Lexbase éd. pub., n° 588, 11 juin 2020 N° Lexbase : N3602BY3

[9] CE, ord., 22 décembre 2020, n° 446155 N° Lexbase : A97924AW

[10] hr. Eoche-Duval, Les ‘rassemblements sur la voie publique’ sous état d’urgence sanitaire. Nouvelle catégorie juridique ou donnée épidémiologique ?, JCP éd. G, n°4, 25 janvier 2021, doctr. 100)

[11] C. le décret n° 2020-548 du 11 mai 2020 (N° Lexbase : L8355LWD

[12] décret n° 2020-663 du 31 mai 2020 (N° Lexbase : L2457LXB)

[13] CE, ord., 13 juin 2020, n° 440846, 440856, 441015 N° Lexbase : A55113NG

[14] Cowling , BJ , et al. Masques faciaux et hygiène des mains pour prévenir la transmission de la grippe dans les ménages : un essai randomisé . Annals of Internal Medicine 2009 ; 151 : 437 – 446.

[15] MacIntyre , CR , et al. Utilisation de masques faciaux et contrôle de la transmission des virus respiratoires dans les ménages .Emerging Infectious Diseases 2009 ; 15 : 233 – 241

[16] Cowling , BJ , et al. Résultats préliminaires d’un essai randomisé d’interventions non pharmaceutiques visant à prévenir la transmission de la grippe dans les ménages . PLoS One 2008 ; 3 : e2101

[17] https://iris.who.int/bitstream/handle/10665/331831/WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-2020.3-fre.pdf?sequence=1&isAllowed=y

[18] Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers, Annals of internal medicine, mars 2021

[19] décret 29 octobre 2020, art. 1, II

[20] Décret n° 2021-269 du 10 mars 2021, relatif au recours à la vidéo intelligente pour mesurer le taux de port de masque dans les transports N° Lexbase : L5290L3C

[21] Ordonnances de tribunaux administratifs (Strasbourg et Lyon) des 2 et 4 septembre 2020

[22] Loi n° 3714, déposé le 21 décembre 2020

[23] article L. 3131 9, 6° du Code de la santé publique (N° Lexbase : L6075LRG

[24] n° 2361 (2021) du 27 janvier 2021

[25] Les représentants de la France sont intervenues  devant la CEDH dans l’affaire « Vavricka c/ République tchèque », déclarant que « le Gouvernement français considère que l’instauration d’un système de vaccination obligatoire pour les enfants, ayant pour corollaire d’une part la mise en place de sanctions pénales pour les parents ne procédant pas à cette vaccination, et d’autre part le refus de scolarisation des enfants non vaccinés, n’est pas contraire à l’article 8 et à l’article 9 de la Convention, ni à l’article 2 du protocole n° 1 à la Convention »

[26] Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » 27 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712

[27] https://www.vanityfair.fr/article/marc-zuckerberg-reconnait-avoir-cede-aux-pressions-de-censure-de-ladministration-biden-a-lepoque-du-covid

[28] Article R. 4127-13

[29] Décret n° 2020-1662 du 22 décembre 2020 (N° Lexbase : L2356LZB)

[30] article R. 4127-19-1 du Code de la santé publique (N° Lexbase : L5845LZI).

[31] Charte du  4 octobre 1941 organisant des professions, sous le contrôle de l’État

[32] CE, 18 février 1998, n°171851 N° Lexbase : A6414ASD

[33] Arrêté du 13 janvier 2020

[34] décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 N° Lexbase : L5675LW4

[35] CE, ord., 22 avril 2020, n° 439951 N° Lexbase : A98933KM).

[36] Publiée le 22 mai 2020, rétractée le 4 juin 2020

[37] Décret n° 2020-630 du 26 mai 2020 (N° Lexbase : L2057LXH)

[38] Délibération n° 2020-126 du 10 décembre 2020 N° Lexbase : Z4025198

[39] Validées par le tribunal administratif de Versailles (TA Versailles, ord., 22 mai 2020, n° 2002891 N° Lexbase : A95683MC

[40] Articles 9, al. 3 et 35 du RGPD exigeant la manipulation de ces données par des professionnels de santé tenus au secret médical,

[41] CE, ord., 26 juin 2020, n° 441065 N° Lexbase : A34863PS

[42] CE, ord., 13 octobre 2020, n° 444937 N° Lexbase : A48813X3

[43] Clarifying lawful overseas use of data act (H.R. 4943), 6 février 2018)

[44] O. de Maison Rouge, L’affaire Health Data Hub : entre nécessité de recherche médicale et souveraineté numérique, Dalloz IP/IT, 2021. 103

[45] CE, 10 août 1917, Baldy, n° 59855 N° Lexbase : A7421B7Y).

[46] https://www.20minutes.fr/monde/3236175-20220215-convoi-liberte-manifestants-canadiens-risquent-gel-comptes-bancaires-oui

[47] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-sante/20120612.RUE0570/l-ordre-des-medecins-verrue-sur-la-republique.html

[48] https://www.lemonde.fr/archives/article/1978/10/12/un-violent-requisitoire-de-m-mitterrand-contre-le-conseil-de-l-ordre_2975942_1819218.html

 

 

 

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VDT Déclin A3 Sophie L

2023 Copier 02 (youtube.com)

 

Vidéos Bing  soigner ou obéir ou la mort d’Hippocrate   émission de TVlibertés Elise Blaise

 

 

Soigner ou obéir, Dr Nicole et Gérard Delépine – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

 

« Accuser Big Pharma de tous nos maux serait un raccourci dangereux. Les Italiens expliquent que la mafia ne devient vraiment dangereuse que lorsqu’elle investit les rouages de l’État.

Qui, si ce n’est le ministre, autorise la mise sur le marché de médicaments peu testés, après quelques mois d’études dites pivot sur des critères allégés, donc potentiellement dangereux, souvent peu utiles, à des prix délirants ? Qui dissimule les liens d’intérêt entre agences gouvernementales, experts et labos ? Qui donne le pouvoir bureaucratique via une multiplication d’agences médicales si ce n’est le politique à travers ordonnances, lois successives (Juppé, Bachelot, Touraine) en sus des plans cancer et nombreux décrets et circulaires ? L’État est au coeur du système monopolistique : il impose aux médecins comme aux professeurs honnêtes leur soumission aux diktats thérapeutiques.

Ce document lève le voile sur les moyens utilisés par la dictature bureaucratique au service des lobbies, et propose quelques mesures indispensables comme la suppression des Agences régionales de santé (Ars), lourdes et coûteuses inquisitions sans contre-pouvoir. Il n’y aura pas de médecine de qualité, quel que soit le mode d’exercice, sans liberté de prescription, ni liberté de choix du patient. Que cet ouvrage soit un outil pour poser les bonnes questions aux candidats sur leurs engagements en santé ! » (Soigner ou Obéir ? | Blog.Psycho-Ressources – Psychologie)

Présentation vidéo sur TVL
Mag Oxygène – Soigner ou obéir: La mort d’Hippocrate.
– http://www.tvlibertes.com/2016/11/24/11518/oxygene-soigner-obeir-mort-dhippocrate  

 

Delépine Soigner ou obéir (youtube.com)   cercle ARISTOTE   VIDEOCONFERENCE 2017

 

Nouveau Monde — Les Choniques du Totalitarisme : la bureaucratie au pouvoir (nouveau-monde.ca)  2023   COLLOQUE TOTALITARISME ET ENFANTS

 

Nouveau Monde — Big Pharma et son hégémonie via l’autoritarisme des agences : un phénomène qui date des années 2000 (nouveau-monde.ca)  2023

 

Nouveau Monde — Le pharmacien de Cholet lanceur d’alerte est révoqué. C’est le CNG et autres agences qu’il faut fermer (nouveau-monde.ca)  2023

 

L’association Ametist pour les enfants cancéreux continue à se battre pour les soins individualisés – Ametist

 

 

Association AMETIST   message de Line Turco la présidente et le Bureau

 

Le 15 mai 2023 Mme, Mademoiselle, Monsieur, chers amis, chers parents, chers adhérents

 

Retrouver la liberté de soigner et d’être soigné et informé pour le traitement des cancers de l’enfant et l’adolescent

 

Protéger les enfants cancéreux des campagnes de vaccination anti covid, anti papillomavirus (Gardasil) et des graves atteintes à leur développement en refusant la propagande de la dite « éducation sexuelle » qui met en danger leur avenir par effraction cérébrale et leurs capacités de résistance au cancer ou autres maladies chroniques

 

Rendre aux parents leur rôle majeur de protection de leurs enfants et donc des choix thérapeutiques et éducationnels

 

Depuis notre dernier courrier, les membres d’AMETIST ne sont pas restés inactifs.

Les membres  disponibles se sont réunis en direct, pour se retrouver entre humains en chair et en os. Ils ont poursuivi nos combats communs en informant directement ou par mail ou/et téléphone les parents en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Avec la disparition progressive du corps médical ouvert, ces parents « perdus » se sont multipliés.

Comme les années précédentes, nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques, éviter une amputation et/ou abandon et euthanasie.

 

Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019, a continué à répondre aux sollicitations des familles ainsi que notre trésorière et médecins conseillers fort scandalisés par la publicité médiatique sur le covid et sur le Gardasil après les annonces retentissantes du président de la République en mars 23 pour vacciner toutes les cinquième de collège.

 

Le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est malheureusement de plus en plus d’actualité dans davantage de spécialités médicales et il est impératif de l’expliquer.  Le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas qui ont fait leurs preuves dans le monde réel et les traitements expérimentaux et les nouvelles molécules hors de prix.

 

Les établissements et les médecins sont soumis aux ukases des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est durci depuis 2009. Certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie alors que c’était leur pratique quotidienne depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice, comme en chimiothérapie.

 

Les autorisations s’imposent à tous les établissements, publics ou privés, conventionnés ou non .Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer, des essais thérapeutiques pour l’essentiel. Les interdictions d’opérer des sarcomes hors de quelques centres agréés s’étendent aux adultes depuis quelques mois. IL N’EXISTE PLUS DE MEDECINE LIBRE EN FRANCE.

 

« Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements de haut niveau adaptés de très près à chacun ». On nous impose de ne plus traiter des malades mais des maladies.

 

Les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour chaque malade, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale.  Notre combat est plus que jamais nécessaire afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.

 

Les conséquences des injections anti-covid forcées se dévoilent dans toute leur horreur et en particulier des turbocancers, d’où de nombreux questionnements des familles.

 

Grâce à un gros don ciblé d’une bénévole bretonne, nous avons distribué le livre « les enfants sacrifiés du covid ed FauveS de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, et élus, par courrier en juillet 22 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue. Certains élus ont été à l’écoute et réceptifs à ces informations.

 

Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.

 

Ainsi, AMETIST continue à se battre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science et protégés des agressions physiques et psychologiques imposées par la bureaucratie. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles par mail ou téléphone ou posées à travers les sites (http://association.ametist.org/ mail :  lt4@live.fr

 

Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation et/ou de votre soutien physique et/ou financier. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaitre, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements les meilleurs y compris à l’étranger.

 

BON DE SOUTIEN 2023    à découper et à joindre à votre envoi

……………………………Euros

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Code Postal :  ……………………………       Ville : …………………………………

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Par chèque à l’ordre d’AMETIST

Ou paiement par PAYPAL sur notre site http://www.ametist.org

 

Vous pouvez déduire 66% du montant de votre don de votre impôt sur le revenu

Reçu fiscal adressé sur demande à préciser sur ce bon

 

Pour que nos actions puissent continuer, merci de votre aide. MERCI de diffuser le message et de relayer l’information

 

AMETIST   Bat C, 50 bis Avenue de la République 93190 LIVRY GARGAN

Mail de la présidente : lt4@live.fr

 

 

 

 

 

Appel aux parlementaires et hommes politiques de bonne volonté

 

MERCI A KAREN PROF DE MATHS QUI ECRIT SI BIEN AUX PARLEMENTAIRES  POUR SAUVER LES SOIGNANTS ET LES CITOYENS EN MANQUE DE SOINS

PARTAGEONS SON APPEL  OU ECRIVONS LE NOTRE, A VOTRE CHOIX, MAIS PORTONS CE CRI

La réintégration des soignants et la reconnaissance de l’injustice majeure qu’ils subissent depuis plus d’un an (pas de salaire et pas de chômage contre tout le droit du travail) permettrait de soutenir nos services exsangues par les interdits de séjour actuels.

De plus, en reconnaissant leur combat, leur courage, leur choix, cela soutiendrait aussi beaucoup de collègues en burn-out, en arrêt de travail ou passés à autre chose qui peut-être pourraient revenir également, touchés comme nous tous par le drame quotidien que vivent nos concitoyens cherchant à des centaines de km parfois (y compris dans le sud soi-disant surdoté) un service en état d’accueillir un patient en grande urgence.

Il est urgent d’imposer aux décideurs « les soins au système hospitalier » détruit par plus de quarante ans de bureaucratie galopante en réintégrant les soignants injustement mis à l’écart sous prétexte de les « punir de désobéissance »  à un pouvoir aveuglé par une injection encore expérimentale jusqu’en 2023.

Que chacun joigne son député, son sénateur.

La situation est urgentissime tant pour les soignants, que pour les patients.  Est-il supportable qu’un vieillard attende quatorze heures aux urgences sur un brancard à l’hôpital Pompidou dans le 15 ième arrondissement parisien, présenté comme le navire-amiral de l’APHP ?

Chacun connait des exemples identiques, il n’est point besoin de les multiplier mais d’imposer au pouvoir la réintégration des soignants, la mise à l’écart des cadres au service des ARS ( et donc du budget et des économies de sparadrap, de couches ou des compresses mais pas des patients !)..   Remettons dans les services  AU LIT DU MALADE,  et les soignants suspendus, et les cadres qui harcèlent les personnels au nom des directions économes, les cadres cachés dans les nombreuses agences dites de santé.

Les mesures urgentes et efficaces sont listées depuis longtemps (lire par exemple soigner ou obéir écrit à l’attention des candidats à la présidentielle de 2017). La situation n’ a fait que s’aggraver, les causes sont les mêmes.

 

 

Ou le livre récent du DR Bernard Kron

 

18/11/2022 (2022-11-18)

Par Karen Brandin.

Chère Madame, cher Monsieur,

Vous avez été nombreux en avril dernier à nous exhorter à aller voter et nous nous sommes rendus aux urnes, même si ce n’est pas aussi massivement qu’attendu.

Vous nous avez ensuite encouragés à écouter attentivement les débats à l’Assemblée Nationale et comme vous, avec vous, nous avons veillé parfois jusque tard dans la nuit, tant nous étions désireux de rester au chevet d’une démocratie que l’on savait depuis des mois déjà, agonisante.

Comme vous nous y aviez encouragés aussi, nous avons joint, écrit à nos députés et nos sénateurs respectifs pour les mobiliser, les assurer de notre vigilance, de notre clairvoyance et les rappeler à leur rôle, leur devoir de porte-voix comme à celui de porte-parole.

En vain trop souvent.

Enfin, lorsque nous avons appris qu’en Italie les soignants non vaccinés allaient être réintégrés puisque c’est le mot consacré, nous avons naïvement cru que la France aurait la décence de ne pas s’entêter dans sa décision inique en plus d’être dégradante de bêtise, de priver un personnel simplement vaccino-prudent, de toute existence sociale. Nous avons naïvement espéré que la France aurait la décence de ne pas s’entêter dans sa décision absurde de SE priver d’un personnel dévoué et ô combien indispensable.

Nous avons eu la faiblesse de penser un instant que la liberté, l’égalité et la fraternité, à force d’être portées, d’être nourries par des voix discordantes exceptionnelles de courage, d’intelligence aussi, celles de médecins magnifiques dont certains ont abattu pour nous servir un travail d’exégèse titanesque de la littérature scientifique, auraient finalement raison de l’idéologie de l’injection génique, devenue injection magique.

Malheureusement, un an et deux mois plus tard, c’est-à-dire une éternité, la situation semble figée et le temps, comme ces soignants, ces pompiers, bel et bien suspendus. À croire que Carl Gustav Jung avait eu une prémonition et évoquait le gouvernement actuel lorsqu’il déclarait :

« Les gens pourraient apprendre de leurs erreurs s’ils n’étaient pas si occupés à les nier. »

Pire, nous apprenions hier via une communication de l’avocat David Guyon que certains praticiens ont été convoqués dans les commissariats, car suspectés de travail dissimulé. C’est-à-dire que l’on reproche finalement à ces citoyens d’oser survivre quand on souhaiterait de toute évidence les voir agoniser, expiant leur faute dans un dernier râle, suppliant qu’on les pardonne d’avoir osé défendre leur intégrité physique.

Faut-il rappeler qu’un soignant est avant tout un citoyen et qu’en tant que tel, il doit pouvoir, avant de se soumettre à un acte médical intrusif et définitif, donner son consentement « libre et éclairé » ?

Faut-il rappeler que ces soignants n’ont commis aucune faute professionnelle en faisant simplement montre d’une prudence et d’un esprit critique qui les honorent au contraire ? or :

« Si j’exécute ce serment et ne l’enfreins pas, qu’il me soit donné de jouir de ma vie et de mon art, honoré de tous les hommes pour l’éternité. »

(Hippocrate)

« Suspendus ; » le mot est terrible mais tellement réaliste dans un monde désormais de marionnettistes car la vie de ces femmes, de ces hommes de conviction continue bel et bien d’être « suspendue » à un fil : celui du bon vouloir d’un ministre de la santé sous influence de la HAS dont on peut d’ailleurs légitimement douter de l’indépendance. L’argumentaire avéré et désormais trans-partisan selon lequel la vaccination ne protège ni de l’infection, ni de la transmission est pourtant largement admis, mais rien n’y fait : pas davantage les tribunes, les témoignages que les manifestations organisées dans la capitale, rassemblements que le gouvernement semble percevoir comme une curiosité sans importance, un débordement marginal, voire tout au plus un simple gravillon dans sa chaussure. Rien de suffisamment gênant en somme, de suffisamment « collectif » non plus sans doute, pour entraver sa marche funeste.

Il faut bien avoir à l’esprit que parmi ces personnes empêchées de travailler, il y a des personnels de haute technicité engagés dans des domaines pointus (urgences, chirurgie, anesthésie) qui, en plus d’être indispensables puisque coutumiers des gestes qui sauvent, doivent impérativement avoir la possibilité d’exercer pour assurer leurs pratiques, affermir leur art et les techniques de prise en charge.

En plus d’une expropriation de biens puisque ces personnes ont été amputées de la totalité de leur salaire, il y a donc une expropriation des savoirs, des savoir-faire et des compétences. C’est inadmissible. C’est inadmissible depuis un an et deux mois.

Bien sûr, des vagues d’indignation naissent aux quatre coins d’une mer déjà tourmentée par un quotidien devenu difficile pour la plupart d’entre-nous, mais malheureusement, elles viennent toutes se briser sur le rivage de nos lâchetés, de notre individualisme.

La France des Lumières devenue France des Ténèbres est donc désormais plongée dans une insondable obscurité qui ne nous honore pas. Alors non, « ce n’est plus Versailles ici ». Ici désormais, c’est la France du mensonge avec sa litanie : « Tous vaccinés, tous protégés, » et celle des rituels, avec : « Je baisse, j’éteins, je décale. »

Il est donc urgent d’agir. Une poignée d’employés de l’entreprise Total a bien réussi le pari de bloquer tout un pays sur des revendications salariales. Comment imaginer, alors que nous sommes des millions, qu’il ne soit pas possible de décider d’une journée France morte où nous porterions collectivement le deuil de notre humanité ; une France figée, silencieuse, recueillie, jusqu’à l’obtention de la réintégration de l’ensemble de ces personnels ? Je compte sur vous et la nécessité de nous rassembler pour que cette action solidaire, loin de toute considération de parti, ne reste pas un vœu pieux.

J’ai conclu ma précédente tribune (https://nouveau-monde.ca/la-parole-en-danger/) par un extrait du célèbre film : « Le cercle des poètes disparus » ; c’est une autre réplique qui me vient aujourd’hui, oh capitaine, mon capitaine :

« Sommes-nous homme ou amibe ? »

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur l’expression de mes sentiments, les plus respectueux.

Karen Brandin

Citoyenne — Enseignante – Docteure en mathématiques

 

 

 

 

signalons aussi

Les sénatrices Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn envoient une lettre au ministre François Braun pour exiger la réintégration des soignants suspendus et enchaînent dans celle-ci des arguments irréfutables!

Les soignants non vaccinés doivent être réintégrés sans délai. Après New York, l’Italie l’a fait

Par le Dr Gérard Delépine

Après la Belgique, la Grande-Bretagne, la Suisse, l’Alberta et New York, l’Italie vient de décider de réintégrer les soignants suspendus pour avoir refusé l’injection anti-covid. Combien de temps notre gouvernement continuera-t-il de s’obstiner à maintenir cette discrimination sans aucune justification médicale ?

L’exclusion des soignants vaccino prudents est une mesure médicalement infondée et inutile

Nous avons déjà souligné qu’il n’existait aune étude scientifique apportant le moindre début de soupçon de preuve que la pseudo vaccination des soignants était susceptible de diminuer le risque de contamination de leurs contacts. Ce gouvernement, qui a interdit la prescription de la chloroquine en prétextant qu’il n’existait pas de preuve de son efficacité contre le Covid, a pourtant imposé cette mesure en violation de sa prétention affichée de « suivre la science ». Le caractère infondé de la mesure vient d’être trois fois confirmé durant les trois derniers jours par la Cour suprême de l’état de New York, par le gouverneur de l’Alberta et par le chef du gouvernement italien.

La Belgique n’a jamais imposé d’obligation d’injection covid aux soignants1

L’obligation a été votée malgré l’opposition au projet de loi : « Ce n’est pas un projet de loi vaccination, mais un projet de loi de licenciement des soignants. Votre discours est celui de la brutalité », a dénoncé Catherine Fonck, tandis que Sophie Rohonyi parlait « d’une gifle aux héros de la crise»

Mais elle n’a pas été appliquée, car jugée « non conforme au principe de proportionnalité », selon la Taskforce Covid, après avoir consulté le Conseil supérieur de la santé et le « Risk Assessment Group » (RAG), dans un avis diffusé le 2 mai 2022.

La Grande-Bretagne non plus

Le gouvernement britannique avait annoncé en novembre 2021 que la vaccination anti-Covid deviendrait obligatoire en avril 2022 pour les soignants. Mais elle a annoncé le 1er mars 2022 qu’elle renonçait à imposer le vaccin contre le Covid-19 à tous les soignants du public2.

L’Alberta a mis fin à l’obligation vaccinale des soignants depuis 6 mois3

Depuis le 10 mars 2022, l’obligation pour les employés de Services de santé Alberta d’être vaccinés a été suppriméeLes employés n’ont plus à présenter une preuve de vaccination ou un résultat négatif à un test rapide pour travailler. Les employés non vaccinés en congé forcé ont repris le travail.

Et depuis la reprise de travail des soignants non vaccinés, aucune poussée d’infection n’a suivi confirmant l’inutilité de l’obligation vaccinale a priori évidente puisqu’aucun des pseudo vaccins injectés n’est capable d’éviter les transmissions.

À New York, la réintégration dans l’emploi des personnels d’assainissement de la ville exclus pour refus des injections anti-covid expérimentales a été ordonnée par le juge Ralph J. Forzio de la Cour suprême de l’État.

New York City a licencié environ 1 700 employés après que le décret d’obligation de vaccination pour tous ses employés, de l’ancien maire Bill de Blasio. La plupart des personnes licenciées étaient des policiers et des pompiers. Le tribunal a estimé le 28/10/2022 que « le fait d’être vacciné n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le COVID » et précisé :

« rien ne justifie de conserver une obligation vaccinale pour les employés et en même temps d’en exclure certaines professions telles que les athlètes et artistes ; cela est clairement arbitraire et capricieux ».

Pour ces raisons, le tribunal a ordonné la réintégration des employés non vaccinés avec paiement des arriérés de salaires4 5. Les responsables de la ville ont déposé un recours, de sorte que la réintégration en attente pour le moment. Mais les attendus du jugement sont clairs.

En Italie, Meloni réintègre les soignants vaccino prudents

Le gouvernement de l’ancien Premier ministre Mario Draghi avait rendu la vaccination obligatoire pour les enseignants et les agents de santé en 2021 et l’avait étendue à toutes les personnes de plus de 50 ans en janvier de cette année. Les refus ont été sanctionnés par une exclusion du travail sans solde pour les fonctionnaires, tandis que les Italiens âgés de plus de 50 ans qui refusaient les pseudo vaccins expérimentaux ont été condamnés à des amendes de 100 euros.

Quelques actions en justice contre ces sanctions médicalement infondées avaient obtenu justice. Un médecin avait été réintégré en juillet 2022 en Sardaigne par la juge Eleonora Carsana du tribunal de Tempio Pausania qui avait de plus ordonné qu’elle reçoive les salaires accumulés depuis le jour de sa suspension jusqu’au jour de sa réintégration effective6.

Mais devant l’incapacité démontrée des faux vaccins à empêcher les contaminations et les transmissions et le manque dramatique de soignants, le Premier ministre Melloni vient d’annoncer qu’elle allait réintégrer tous les soignants suspendus pour avoir refusé l’injection avec récupération des salaires. Et allant plus loin dans la dénonciation de la tyrannie sanitaire imposée par le gouvernement précédent, elle a déclaré qu’elle ferait rembourser les amendes dont ont été victimes les personnes âgées qui ont refusé les pseudo vaccins.

Il est troublant de constater que des mesures antidémocratiques majeures décrétées par un gouvernement qui se prétendait démocratique sont abrogées par une Première ministre que les médias français qualifient volontiers de fasciste. La volonté de défendre les libertés aurait-elle changé de camp ?

À ce jour, la France est le seul grand pays européen qui maintient cette exclusion des soignants qui refusent l’injection expérimentale. Contre toute logique puisque l’épidémie n’est plus guère mortifère et que seuls les fabricants de vaccins, leurs mercenaires et les organismes trop liés au pouvoir (haute autorité de santé et académie) osent encore prétendre qu’ils seraient susceptibles d’empêcher les transmissions.

Dans ce contexte mondial où l’échec complet des injections est maintenant patent pour les populations, les pseudo vaccins ne font plus recette, en France comme dans le reste du monde.

Actuellement, malgré une propagande permanente pour faire peur, moins d’un français sur 10 000 se laisse encore injecter quotidiennement.

Alors, pourquoi discriminer les soignants et pompiers qui ont toujours été conscients des enjeux médicaux et ont toujours accepté les vrais vaccins ?

Messieurs et Mesdames les députés, suivez l’exemple du reste du monde, votez une loi qui mette fin au scandale de la suspension des soignants et pompiers qui refusent l’injection expérimentale inefficace.

Leur réintégration est urgente pour tenter de renforcer les personnels hospitaliers, remonter le moral des troupes et stopper la désertification médicale. Ces personnels sont attendus avec impatience par leurs collègues, comme le prouve le dernier communiqué du syndicat National des Médecins Hospitaliers Force Ouvrière :

« IMPERITIE MINISTERIELLE ET COERCITION… Les patients ont besoin de médecins… Le maintien des suspensions, au titre de la loi du 5 août, prend un sens nouveau aujourd’hui : celui d’un acharnement déraisonnable. »

 


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Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux !

31/10/2022 (2022-10-31)

Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux 1

 

Par Nicole Delépine

Malgré les révélations inattendues de Pfizer au parlement européen avouant publiquement que la transmission du virus n’a jamais été étudiée dans les essais, les mondialistes tentent rapidement de pérenniser la vente de milliards de dollars de vaccin, avant que la population ne soit complètement réveillée. On apprend que la commissaire européenne poursuivie pour manque de transparence dans les contrats avec les firmes tente de réintroduire le pass vaccinal. Course de vitesse !

En France lors du récent congrès de pédiatrie français début octobre 2022, le Pr Fischer a regretté que les petits Français aient échappé en grand nombre à l’injection toxique.

Selon le groupe Telegram, la présidente de la Société française de pédiatrie s’est dramatiquement trompée ou a volontairement menti dans le but d’encourager les injections du sérum de Pfizer sur les enfants français.2 3 Par exemple, concernant les risques d’effets secondaires, selon TF1, elle avait indiqué aux journalistes du Monde :

« Dans le cas de porteurs de maladies chroniques, le débat sur la balance bénéfices-risques chez l’enfant ne tient plus, puisque le bénéfice est largement supérieur aux effets secondaires du vaccin ». Et d’ajouter que « ces enfants ont été vaccinés sans hésitation ».

Comment pouvait-elle évaluer cette balance bénéfices-risques, alors que ces vaccinations n’ont commencé aux États-Unis que l’été dernier et que, selon Pfizer, les essais cliniques ne s’étaient faits que sur 8 souris ? 4

Et comment pouvait-elle évoquer un quelconque bénéfice alors que les enfants ne risquent presque rien du covid, et que ces faux vaccins sont incapables de protéger les injectés de la maladie et leurs contacts de la transmission ?

D’autre part, en décembre 2021, sur France-Inter (* à partir de la minute 31), elle a affirmé qu’on attendait les résultats de la pharmacovigilance américaine concernant les effets secondaires sur la tranche d’âge des 5-11 ans… alors que la France avait déjà fait injecter le sérum adulte de Pfizer sur plus de 22 490 enfants, dont plus de 4500 petits de moins de 5 ans !5

Aux USA comme en UE, les autorisations pour injecter les enfants de six mois à 5 ans viennent d’être accordées. Nous devons absolument nous opposer à la pseudo vaccination inutile et dangereuse. Combien de complications graves ou de morts pour rien ? Ou plutôt pour les bénéfices des entreprises, de leurs actionnaires et de leurs complices (médecins, journalistes et politiques corrompus) et la manipulation des populations en vue de leur réduction.

Covid : l’EMA autorise la vaccination des enfants d’au moins 6 mois avec Moderna et Pfizer (Leparisien.fr)6 7

Onze mois après avoir autorisé la vaccination pour les 5-11 ans, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a recommandé d’étendre l’utilisation des vaccins Comirnaty (de Pfizer) et de Spikevax (de Moderna) contre le coronavirus.

Une première en Europe. Ils pourront désormais être utilisés chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans pour le produit de Pfizer, et pour ceux âgés de 6 mois à 5 ans pour celui de Moderna.

Un comité d’experts convoqué par l’agence américaine des médicaments avait donné son accord, en juin, à la vaccination des très jeunes enfants. En Europe, les doses des deux vaccins dans ces nouvelles tranches d’âge plus jeunes « seront plus faibles », prévient l’EMA dans un communiqué publié ce mercredi. « Chez les enfants de 6 mois à 4 ans, Comirnaty peut être administré en primo-vaccination consistant en trois doses, les deux premières doses sont administrées à trois semaines d’intervalle, suivies d’une troisième dose administrée au moins 8 semaines après la deuxième dose », explique le comité d’experts.

En ce qui concerne le vaccin de Moderna, « chez les enfants de 6 mois à 5 ans, il peut être administré en primo-vaccination consistant en deux doses à quatre semaines d’intervalle », détaillent-ils. L’EMA s’appuie sur une étude menée chez des enfants de 6 mois à 4 ans qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible de Pfizer « était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 16 à 25 ans ». De même pour une étude du vaccin Moderna « qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible chez les plus jeunes était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 18 à 25 ans ».

Des effets secondaires comparables aux adultes

Selon l’EMA les effets secondaires les plus courants pour les deux vaccins, chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ou 5 ans, sont « comparables à ceux observés dans les groupes d’âge plus âgés ». L’EMA précise que « l’irritabilité, la somnolence, la perte d’appétit, les éruptions cutanées et la sensibilité au site d’injection sont des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 23 mois avec Pfizer, tandis que l’irritabilité, les pleurs, la perte d’appétit et la somnolence étaient des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 36 mois avec Moderna ». Pour les deux vaccins, les effets secondaires se dissipent plusieurs jours après la vaccination. l’EMA considère donc que « les bénéfices l’emportent sur les risques ». Ces vaccins sont jugés « efficaces pour prévenir les maladies graves, les hospitalisations et les décès associés au Covid-19 ».

Mais comment l’EMA peut-elle énoncer de pareils mensonges alors que les données de l’OMS montrent que loin de diminuer la mortalité les faux vaccins paraissent l’augmenter ?

L’EMA prévient que « conformément au plan de surveillance de la sécurité de l’UE pour les vaccins coronavirus », ces deux produits sont « étroitement surveillés » et soumis à plusieurs activités qui s’appliquent spécifiquement aux vaccins Covid-19.

Les recommandations de l’EMA seront désormais transmises à la Commission européenne, qui rendra des décisions finales applicables dans tous les États membres de l’UE, précise le communiqué. L’EMA a averti le mois dernier que la pandémie de Covid-19 était « toujours en cours » et a exhorté les pays à instaurer des programmes de rappels de vaccins avant l’hiver.

L’EMA ment en prétendant que la pandémie est toujours en cours alors qu’elle n’est responsable que de 3 % de la mortalité européenne quotidienne globale.

UNE HISTOIRE DE GROS SOUS #LesPierresCrieront

Quelques heures seulement après que le vaccin ait été ajouté au calendrier de vaccination des enfants aux USA, le tarif de la dose de vaccin #Pfizer est passé à 130 $. Prix de vente en augmentation de 500 % par rapport au prix initial de 20 $. Pfizer réalise ainsi une marge de 10 000 % sur le coût de fabrication.

« De quoi stimuler les revenus pendant des années malgré une demande plus faible. »8 9

LE PASS VACCINAL BASE SUR UN MENSONGE, ARNAQUE MONDIALE 10

Auditionnée au Parlement européen ce 10 octobre 2022, Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, a été interrogée par le député néerlandais Rob Roos :

« Le vaccin Covid de Pfizer a-t-il été testé sur l’arrêt de la transmission du virus avant d’être mis sur le marché ? Si non, veuillez le dire clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux vraiment une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte de la recevoir. »

« Un seul but : forcer les gens »

« Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation [lapsus avec le mot “transmission”, ndlr] avant la mise sur le marché ? Non », a répondu Small, expliquant que Pfizer avait « vraiment dû avancer à la vitesse de la science ». Elle a ensuite mis en avant les investissements risqués — à hauteur de 2 milliards — pour la recherche et le développement du vaccin. »

En réalité Pfizer avait avancé à la vitesse du commerce pour être le premier sur le marché à proposer quelque chose sous le nom de vaccin !

Rob Roos a médiatisé cette « révélation », diffusant sur les réseaux sociaux le message suivant :

« Lors de l’audience sur le Covid, le directeur de Pfizer admet : le vaccin n’a jamais été testé sur la prévention de la transmission. “Se faire vacciner pour les autres” a toujours été un mensonge. Le seul but du passeport Covid : forcer les gens à se faire vacciner. Le monde doit savoir. Partagez cette vidéo ! »

Dans la vidéo, M. Roos ajoute : Je trouve que c’est choquant et même criminel.

En un peu plus de 24 heures, la vidéo a été vue près de 10 millions de fois sur Twitter. D’innombrables articles, vidéos et publications sur tous les réseaux sociaux ont relayé cette information dans de nombreuses langues.

Évidemment cette autorisation d’injecter les enfants de six mois à 5 ans, en plus des plus grands, désespèrent tous les citoyens protecteurs des enfants en commençant par tous ceux qui depuis deux ans et demi tentent d’avertir le peuple des dangers majeurs des injections ARNm.

Selon le Pr Henrion-Caude, ce qui s’est passé aux USA : DES MOUTONS DE PANURGE ?

«  Ce soir 15/15 médecins-experts ont transformé leur serment d’Hippocrate en serment d’hypocrites Sans la moindre contestation, ils ont enchaîné les “yes” au CDC pour ajouter le vax COVID au calendrier de vaccination des 5-11 ans A écouter PATHÉTICODRAMATIQUE 11

Par quelle sidération collective, ont-ils pu zapper le fait que ce vax n’empêche pas la transmission ? Que les risques pour les enfants sont dans ces produits et non dans le COVID, car ils ont une immunité naturelle ? Et que les expériences du faux vaccin au Costa Rica saturent d’enfants les hôpitaux ? »

ALEXANDRA HENRION-CAUDE EXPOSE LES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS DU COSTA RICA

Les autorités rapportent une centaine d’enfants hospitalisés avec fermeture nationale de toutes les écoles pour virus respiratoire 12 ainsi qu’une comparaison inquiétante entre août 2021-juillet 2022 et août 2020-juillet 2021 :

  • – une baisse des naissances : -452
  • – une hausse des décès de nourrissons : +90
  • – une hausse des décès d’enfants pour mille naissances : 9,8 contre 7,5613

« Pourtant » voici la réalité du Costa Rica en matière de vaccination :

  • pour les adultes : 87 % une dose, 81 % 2 doses (50 % 3 doses, 9 % 4 doses) 14
  • Pour les jeunes : Une incitation qui a commencé dès janvier 2022 15
  • Une relance faite pour les 190 000 enfants vaccinés entre 5 et 11 ans (20/04)
  • Une arrivée massive de 300 000 doses pédiatriques Pfizer (8/09).

Une nouvelle explication pédagogique (19/09) suivi, il y a 1 semaine, d’une mise en œuvre chez les tout-petits 6mois-5ans (3/10)16.

Et commentaire terrible :

les enfants peuvent être injectés sans la nécessité d’un consentement écrit des parents au Costa Rica. Juste un adulte (n’importe lequel), un carnet de santé et une carte d’identité.17 Des réactions locales ? Alexandra Henrion nous invite à les aider

OUI ! AIDEZ-LES SVP ! un appel à solidarité internationale de médecins, car ils campent 24 h/7 jours/7 devant le Président LIEN : https://t.me/wch_org/1859 18

ET un appel à sauver les enfants aujourd’hui :

https://t.me/alexandrahenrioncaude

UNE COURSE DE VITESSE ENTRE LES MONDIALISTES QUI ACCÉLÈRENT L’AGENDA ET LE MONDE QUI SE RÉVEILLE

En UE, l’injection toxique est autorisée chez les plus de six mois en même temps que la commissaire est de plus en plus acculée en justice pour les contrats abusifs passés en secret avec Pfizer.

AINSI CRISTIAN TERHES APPELLE À LA DESTITUTION D’URSULA VAN DER LEYEN POUR CORRUPTION AGGRAVÉE

Commentaire du YouTube le 19 oct. 2022 :

La vérité va exploser dans quelques jours sur les contrats entre Pfizer et la Présidente de la commission européenne Ursula van der layen qui espèrerait un conflit nucléaire avec la Russie pour éviter de parler de la corruption la plus importante de toute l’histoire de l’humanité.

Ursula von der Leyen doit être destituée immédiatement sans condition de toutes ses fonctions comme présidente de la Commission européenne » en raison de l’enquête ouverte pour se présenter aux interrogatoires, fournir les SMS et les documents de négociations. Elle doit préparer son procès et son passeport doit lui être retirée pour éviter qu’elle s’échappe dans un paradis fiscal qui n’extrade pas. (https://www.eppo.europa.eu/en/news/on…»

le Bureau du procureur européen , l’EPPO, a lancé le 17 octobre l’eurodéputé roumain au Parlement de l’UE :

Les contrats entre Pfizer et la commission européenne aux clauses abusives et secrètes sont inacceptables :

  • Commande ferme avec paiement en avance pour 4 milliards de doses
  • Commande obligatoire non annulable d’un montant de 70 milliards dont 35 milliards « négocié » directement par un échange de SMS entre Ursula van der layen et Albert Bourla
  • Augmentation du prix de la dose de 15 à 20 EUR totalement injustifiée
  • Non responsabilité des effets secondaires de Pfizer
  • En cas de versement d’indemnité, l’Union Européenne versera seule
  • En cas de procès contre Pfizer, l’Union Européenne paiera les avocats de Pfizer
  • une probable commission estimée en milliards pour Ursula, sa famille et les fonctionnaires qui ont validé le contrat.

Cristian Terhes met en garde contre un crédit social à la chinoise en Europe (https://t.me/kompromatmedia/1434) Ursula a bel et bien mené des négociations avec son grand ami Albert Bourla (https://t.me/kompromatmedia/1486), en infraction des règles mêmes de la Commission dont elle est présidente, a relevé l’eurodéputée Virginie Joron (https://twitter.com/v_joron/status/1570339024128315393), qui a fouillé le rapport de la Cour des comptes de l’UE (https://www.eca.europa.eu/Lists/ECADocuments/).

Mais ce n’est pas tout. L’entre-soi oligarchique de Bruxelles est étonnant : Entre autres, Heiko, époux d’Ursula, est directeur médical de la biotech Orgenesis (https://fr.wikipedia.org/wiki/Orgenesis), avec le même actionnaire que Pfizer : Vanguard Group.

Demande de destitution immédiate.

Christine Cotton biostatisticienne depuis 1995, ayant pratiqué 23 ans dans l’industrie pharmaceutique insiste sur le fait que la plus grosse arnaque de l’essai Pfizer n’est pas l’absence d’étude de la transmission (car c’est USUEL), mais qu’il n’y ait PAS mesure des ANTICORPS à 3 mois post dose 2… pour ne pas montrer que ça CHUTE 19 20

CHUTE à 56 jours post DOSE 2 !

Et comme Pfizer savait que les anticorps baissaient, dès décembre 2020, ils étudiaient déjà un BOOST !?!?! comme indiqué dans l’avis de la HAS de décembre 2020.21

Donc on ne mesure pas ce qu’on ne veut pas voir, on prépare 1 BOOST et on le vend 6 mois après !

D’AUTRES VOIX S’ÉLÈVENT AU PARLEMENT EUROPÉEN

EXCLUSIF — TOUT EST BASÉ SUR UN GIGANTESQUE MENSONGE !

Christine Anderson

le 21 oct. 2022 :

« Révélation sur la réalité de la situation et sur les produits injectables expérimentaux. Christine Anderson, Député européen et membre de l’équipe d’investigation sur les contrats signés entre Ursula von der Layen et Pfizer pour 70 milliards qui permet une augmentation des prix de 15 à 150 EUR la dose. La plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité et un empoisonnement encouragé. À partager ! »

Partout les citoyens s’inquiètent

22

Des mamans, des collectifs, des papas s’inquiètent et se mettent en lien 23

« Nous venons de créer l’Union pour la santé et la protection des enfants24, regroupant

– collectif de santé pédiatrique
– collectif des psys
– collectif des orthophonistes
– SOS éducation
– mamans louves
– enfance et liberte

Nous sommes en lien +++ avec beaucoup de parlementaires. Pour mettre au point des actions.

Voici une nouvelle explication des raisons qui poussent les pédiatres à promouvoir les injections géniques anti-Covid sur les enfants… »

Martine Leonard [23/10/2022 15 h 54]

[Transféré de Stock infos PEC]

⬆️ Les Collectifs des Parents En Colère de France entrent en action et en appellent aux associations, collectifs, parents, grands-parents, personnels médico sociaux, enseignants ou toutes personnes soucieuses du bien-être des enfants, à se joindre à cette action nationale auprès des établissements scolaires de toute la France afin d’affirmer notre détermination de refus de l’éventuelle réitération de mesures sanitaires et notamment le port du masque.

Nous avons constaté et sommes intervenus auprès de plusieurs établissements déjà qui ont fait appliquer en leur sein différentes mesures, se basant sur un protocole, qui n’a pas de valeur juridique et contrevient à la loi.

Nous en appelons à la solidarité pour faire cesser cette maltraitance !

Cette action vise à montrer notre détermination à protéger nos enfants, la force que nous représentons dans notre union pour cette action et notre étendue sur tout le territoire français.

Nous organisons deux réunions en visioconférences les mardi 25 et mercredi 26 octobre afin de répondre à vos questions.

« Pour nos enfants et parce que de l’union de chacun de nous donnera la puissance à cette action : rejoignez-nous dès maintenant pour entrer dans l’action sur le fil Telegram dédié : https://t.me/PECACTIONMASQUES2022 ou contactez-nous ici 👉pec.collectifs.actions@proton.me »

Les enfants comptent sur nous…

Ils sont notre avenir. Protégeons-les !

ESPOIR

L’État d’Alberta s’excuse auprès des non-vax et tance le WEF alors que New York doit réhabiliter ses salariés non vaccinés. 25 26

C’est au niveau local que les batailles contre la doxa officielle du Covid modifient petit à petit les rapports de force. Après la Floride, l’État d’Alberta au Canada prend une position claire contre la discrimination des non-vaccinés par la voix de sa nouvelle première ministre Danielle Smith.

Et L’Italie va réintégrer les suspendus et rembourser les amendes chez les non-vaccinés de plus de cinquante ans qui avaient résisté.27

LE MONDE SE RÉVEILLE : INFORMONS, PROTÉGEONS LES ENFANTS !


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Programme santé et réintégration des soignants au cœur des préoccupations des Français

02/06/2022 (2022-06-02)

Par Nicole Delépine

Qu’en est-il des candidats aux législatives ?

La non-réintégration des #SoignantsSuspendus dans un système hospitalier à l’agonie est au-delà de la faute politique. En l’état de la science sur les vaccins Covid et de leur incapacité à protéger de la maladie, il s’agit d’un crime organisé !

11:57 PM · 31 mai 2022·Twitter @medicalfollower

 

Questionnaire aux candidats. Les mettre au pied du mur pour savoir de quel côté ils seront : soignants-soignés ou gouvernement ?

La santé dont on nous rebat les oreilles pour dire que l’été sera chaud dans les hôpitaux publics en l’absence d’un nombre suffisant de soignants et de médecins est cruellement absente des législatives. L’exigence de réintégration des soignants abusivement suspendus sans justification scientifique devrait être au premier plan de tous les programmes.

Notons que la Martinique a voté à l’unanimité la réintégration des soignants.

Un candidat en Essonne aux législatives nous informe que sur douze candidats il serait le seul à mettre la santé au cœur de son programme dans sa circonscription.

www.listecitoyenne-essonne.fr

Malheureusement nous craignons que ce soit le cas général

Nous vous proposons donc sur suggestion d’un correspondant motivé J H. des questions à poser à vos candidats dont certaines sont capitales comme la réintégration des soignants. Une réponse à chaque question par oui ou non est intéressante, mais libre à vous de demander en direct à l’occasion d’une rencontre un développement justifiant leurs réponses.

Voici les questions proposées :

12 questions aux candidats aux élections législatives sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé.

Merci d’y répondre et de renvoyer les réponses à nicole.delepine1@gmail.com

OU AU SITE DE PUBLICATION DE L’ARTICLE à votre choix ou de publier un article vous-même sur ce sujet

Si les réponses sont suffisamment nombreuses, nous vous en ferons un compte-rendu.

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?

OUI — NON

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? 

OUI — NON

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? 

OUI — NON

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ?

OUI — NON

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?

OUI — NON

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ?

OUI — NON

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ?

OUI — NON

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ?

OUI — NON

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ?

OUI — NON

Question n° 10

Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ?

OUI — NON

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ?

OUI — NON

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? 

OUI — NON

IL EST URGENT D’INFORMER NOTRE NOUVELLE MINISTRE DE LA SANTÉ SUR LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE DU SYSTÈME DE SANTÉ

Nous réinsistons sur les points principaux déjà évoqués :

Appel aux candidats députés sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé

Par Nicole Delépine

« À partir d’une certaine masse critique, une bureaucratie tend à croître de façon automatique, sans rapport avec le réel, échappant à toute autorité. »[1]

Mmes, Mrs, vous prenez la décision de devenir nos représentants si les citoyens vous élisent.

Nous voulons attirer votre attention sur la tragique situation du système de santé français détruit en moins de 20 ans par la bureaucratie galopante ayant évincé les professionnels de santé dans l’organisation, et sur les décisions à rendre rapidement pour le sortir du gouffre.

Il est impossible en quelques lignes de tout détailler, mais quelques points sont fondamentaux à expliquer aux Français que vous rencontrerez qui n’ont pas toujours compris ce qui se passe et mettent la cause sur « l’argent ».

L’argent existe : 11,2 % du PIB utilisé pour la santé

Il faut rediriger l’argent vers les soins en dégraissant la bureaucratie énergivore, coûteuse, et paralysante : trop d’agences de santé doublons, 18 ARS dictatoriales et doublant le rôle des directions hospitalières, trop d’observatoires et autres. Tout cela est connu, détaillé dans rapports sénatoriaux, articles, livres multiples depuis deux décennies.[2]

Il faut le courage politique coupant ces structures inutiles et toxiques et répartir le personnel administratif dans d’autres secteurs (juridique par exemple) et remettre les nombreux soignants égarés dans les agences[3][4][5] auprès des patients.

Rendre la liberté de soigner

Pour les médecins la liberté de prescription est capitale.

2020. C’est la première fois dans l’Histoire qu’un politique se permet d’interdire une ordonnance d’un médicament (en plus connu depuis 70 ans) et en même temps d’imposer un pseudo vaccin en essai thérapeutique sans recul. Tout laisse penser que les documents PFIZER (enfin disponibles) étaient connus d’emblée par la FDA, l’EMA et probablement l’ANSM et donc par nos chefs d’État. Ces documents établissaient dès 2020 qu’ils étaient trop peu efficaces et dangereux.

Ils savaient d’emblée que le vax était toxique (1200 morts dans les premiers mois de l’essai initial) et inefficace.[6][7]

La vraie médecine a été violée par nos gouvernants suivant les directives de l’OMS contraires à la science.[8][9]

Pour les soignants en général et les infirmières en particulier il faut supprimer la persécution des cadres qui empêchent de se consacrer aux malades. Ces cadres qui gèrent les plannings de façon insupportable, etc., perdent leur temps utile en multiples réunions sans intérêt, et les contrôles permanents des « traceurs » qui conduisent les infirmiers par ex à passer 4 h par jour sur l’écran. Cocher un médicament sur un tableau ne prouve pas qu’on l’a donné et n’a donc aucun intérêt sinon de perdre du temps de soin au lit du malade et d’humilier le soignant.

En ville, il faut de même supprimer la persécution des contrôles permanents par les ARS et la CNAM qui désorganisent le travail du médecin, kiné, psychologue ou autre.

Il faut bien sûr compléter cette liberté retrouvée par des salaires décents qu’il suffit d’aligner sur les moyennes des pays de l’ouest de l’UE qui les attirent, et ne pas compter sur de petites augmentations ou primes à la suite d’un scénario Ségur répétitif[10][11] qui n’a rien résolu.

Pour embaucher, il faut des volontaires !

Les politiques qui croient pouvoir embaucher X soignants n’ont pas compris qu’ils ne les trouveront pas sans leur rendre leur liberté de soigner et de s’organiser tant en ville qu’à l’hôpital : les postes vacants se multiplient de jour en jour et les mesures discriminatoires récentes contre les non-vaccinés n’ont fait qu’aggraver largement la situation.

Il n’existe plus de médecine libérale en France, les ukases, accréditations, normes sont les mêmes dans tous les secteurs, public comme privé. Croire, comme l’a dit le président de la FHF, qu’obliger les médecins libéraux à prendre des gardes de nuit pourrait être efficace montre qu’ils n’ont rien compris à l’état d’épuisement et d’exaspération de tous les soignants.

Démission ou expatriation sont des solutions déjà utilisées par de nombreux soignants exclus du système sans revenu par la honteuse « pseudo vax obligatoire » en essai thérapeutique, en violation de tous les traités signés par la France[12]. De plus, ils sont beaucoup mieux rémunérés en Suisse, Allemagne, Canada ou Belgique qui les ont accueillis avec joie.

Médecins étrangers esclaves, combien de volontaires peut-on espérer, Mme la ministre ?

Les espoirs du gouvernement sur l’embauche de médecins étrangers pour faire fonctionner les hôpitaux cet été laissent pantois. À la recherche d’esclaves modernes qui accepteraient les ukases des ARS, cadres de santé, sécurité sociale, etc.. Ils ne restent jamais longtemps en France que ce soit dans les hôpitaux ou les maisons de santé que bien des maires tentent de remplir en promettant logement, prime, etc..

L’exercice médical en France est devenu insupportable par son manque de liberté chèrement acquis après dix ans d’études et les médecins étrangers trompés s’en rendent vite compte. La solution n’est pas là, mais à la liberté de soigner.

Réintégrer les soignants injustement mis à l’écart et sans rémunération, pour refus d’injection d’un produit expérimental en phase 3 et dont les accidents s’accumulent.[13]

15 000 à 30 000 soignants ont été écartés par une décision politique injustifiée (le vax ne protège ni le soignant, ni ses contacts des contaminations, ni des formes graves). Un bon nombre ne reviendra pas, parti à l’étranger, ou reconverti. Si on veut récupérer les autres, il faut faire vite, reconnaître qu’on s’est trompé (le vax ne protège pas) et leur rendre leurs salaires gelés depuis le 15 septembre 2021.

Sans ces mesures et un minimum de mea-culpa, il est peu probable qu’ils reviennent et que les écoles d’infirmiers se remplissent à nouveau. Qui voudrait entrer dans ce noble métier défiguré et dans l’impossibilité de l’exercer ?

Supprimer le pass et le masque à l’entrée des hôpitaux[14]

Pour ceux qui pourraient revenir, il faut absolument supprimer toute mesure discriminatoire à l’entrée de l’hôpital tant pour eux que pour les patients qu’ils refusent de discriminer !

Il faut supprimer les contrôles de pass sanitaires : 60 millions € par mois de contrôle par des vigiles, pass qui sont abandonnés par la majorité des pays qui les ont utilisés ! il faut supprimer le masque, mesure autoritaire inutile qui empêche les rapports humains normaux, en particulier entre malade et soignant. Manifestement les autorités qui ont imposé ce port du masque n’avaient aucune idée des conséquences multiples engendrées physiques, psychologiques, etc. Ce masque est un symbole d’autorité sans utilité médicale, sauf pour les malades aigus récents et les soignants à leur contact.[15]

Dans les hôpitaux publics et privés, cesser la gestion entrepreneuriale d’économies

Une organisation basée sur le taylorisme !

Ce mode de gestion a tout cassé depuis les années 80, transformé nos hôpitaux publics puis privés, nos cabinets de ville (transformés en “maisons de santé”), en usines, organisées sur le mode de la fabrication des voitures du début du XXe siècle. Procédures, checklists, protocoles, audits externes et internes, réunionnites aiguës et chroniques, contrôles ARS et décisions unilatérales, le tout sorti d’ordinateurs coûteux, ont remplacé les relations humaines.

Cesser la suppression de lits et de services, imposée par les ARS au lieu de laisser les hôpitaux se réorganiser librement.

L’hôpital est brisé dit le Pr Peyromaure.[16]

Un manque de soignants devenu dramatique

Même à Cochin le célèbre service d’urologie parisien qui a vu passer Mitterand ferme encore actuellement 30 % de ses blocs opératoires, faute de personnels.

Plus de 120 servies d’urgence limitent actuellement leur activité faute de personnel et beaucoup trop risquent d’être contraints de fermer durant les vacances.[17]

Le nombre des déserts médicaux tant en campagne et même en certaines villes, qui progressait régulièrement depuis plusieurs années a fortement augmenté depuis l’obligation vaccinale imposée aux soignants ; beaucoup de vaccino prudents ont préféré prendre leur retraite ou se reconvertir plutôt que de se laisser injecter des médicaments dont ils avaient observé les complications chez leurs patients.

Les obligations supplémentaires proposées par certains bureaucrates et politiques, qu’il s’agisse d’obligation de garde ou de restriction à la liberté d’installation, seront contre-productives à terme, car elles dissuaderont encore plus de médecins à s’installer.

Pour retrouver des soignants, il faut leur rendre la liberté de prescrire, leur éviter de perdre leur temps en tâches administratives, leur garantir le choix de leur lieu installation et de respecter leur non-consentement éventuel au pseudo vaccin.

Cette dernière mesure remettrait immédiatement en activité plusieurs dizaines de milliers qui manquent si cruellement.

  1. [1] ARS, syndrome de l’étatisation sanitaire (francesoir.fr)
  2. [2] Une liste non exhaustive vous sera fournie à votre demande nicole.delepine@bbox.fr
  3. [3] Soigner ou obéir N et G Delépine, Fauves Éditions 2016
  4. [4] Blouses blanches colère noire par B Kron : « Paniqués par les déficits, nos gouvernants ont essayé de légiférer pour freiner cette descente aux enfers du système de santé depuis plus de 20 ans. Le retour de J.Castex aux affaires en est le symbole le plus prégnant. Le Premier Ministre est en effet l’un des principaux responsable de cette situation qui a transformé l’hôpital en entreprise à flux tendu, le rendant incapable d’assurer et de combattre les crises sanitaires. Les médecins, et plus largement les soignants n’ont plus aucun pouvoir dans le système de santé en France. Dans cet essai, l’auteur analyse ainsi ce combat depuis cinquante ans pour contrôler les médecins dans les hôpitaux publics, les cliniques privées, et les médecins libéraux. Il reprend les principales réformes qui ont mené à la catastrophe. » Blouses blanches colère noire — Bernard Kron — Babelio
  5. [5] La bureaucratie étouffe le système de santé. Dégraissons le mammouth pour vaincre ce fléau — AgoraVox le média citoyen.
  6. [6] Il faut interdire la vaccination anticovid des enfants à la suite des révélations Pfizer : inefficacité et millions de complications — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
  7. [7] BioNTech Pfizer : Nouveau « silence des MédiA-agneaux » Français ? | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Le « vaccin » conçu avec Pfizer ne serait pas concluant :
    • Le produit a été conçu pour œuvrer dans l’urgence.
    • Le produit n’est qu’expérimental, et les citoyens ont été des cobayes.
    • « des » évènements indésirables peuvent mettre fin aux essais et mettre un terme à une utilisation pérenne et définitive. Lire document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech
  8. [8] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr)
  9. [9] Ce pouvoir devrait être renforcé si les pays votent le nouveau traité. Stopthetreaty
    Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
  10. [10] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? (francesoir.fr)
  11. [11] SEGUR DE LA SANTÉ, un funeste conte, fallait-il en attendre autre chose ? (francesoir.fr)
  12. [12] Convention d’Oviedo opposable à tous les pays signataires dont le nôtre et foulée au pied.
  13. [13] Le reportage choc sur les soignants suspendus : » Ils nous ont soignés, on les a méprisés » F. Moine — YouTube
    Disponible sur fabien moine exuvie. Fr en participation libre et consciente
    Le reportage choc sur les soignants suspendus : » Ils nous ont soignés, on les a méprisés » F. Moine — YouTube
  14. [14] Pr Michaël Peyromaure : « Le système de santé français est brisé ! » – YouTube
  15. [15] Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Afin de produire une double réaction interdépendante : l’automutilation du moi et le rejet de l’autre, le masque fait disparaître le sujet parlant.
  16. [16] Pr Michaël Peyromaure : « Le système de santé français est brisé ! » – YouTube
  17. [17] LES SOIGNANTS REMPLACÉS PAR DES BÉNÉVOLES AU CHU DE BORDEAUX : TOUT UN SYMBOLE —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

 

Exigeons la réintégration des soignants !!! La rumeur monte !

https://exuvie.fr/livre/suspendus_des_soignants_entre_deux_mondes/

Le 12 juillet 2021, sans concertation, les soignants du pays ont été confrontés à un choix : conserver leur emploi en ayant recours à une série d’injections médicales ou être suspendus de leurs fonctions au 15 septembre. A cette date des dizaines de milliers d’entre eux se sont retrouvés sans travail, sans revenu et sans aide. Dans l’indifférence populaire mais aussi celle de leur institution et des médias.

Ils demeurent suspendus, entre deux mondes… Celui d’un passé technocratique en plein effondrement, sans considération ni moyen, basé sur le rendement et la technologie. Et un autre où tout est à construire, libérés du chantage et de la pression des autorités de tutelle, avec une vision résolument humaine et intégrative de la santé.

Ce documentaire revient sur deux années de crise et décortique un système dans lequel les soignants auront été utilisés et manipulés. Tantôt en sous effectifs, en étant exposés à un virus inconnu en étant parfois contaminés, vêtus de sacs poubelle avec des masques et des gants de fortune. Ou applaudis le soir aux fenêtre.  Avant de subir un chantage pour accepter un traitement encore en phase expérimentale en étant traités de lâches, des traîtres et d’égoïstes. Comment ont-ils vécus cela ? Quels ont été leurs doutes, leurs peurs et les réactions de leur institution et de leurs collègues ? Quelle est leur vision de la médecine, de la santé ? Se considèrent-ils toujours comme soignants ? Comment vivent-ils aujourd’hui et comment se projettent-ils dans l’avenir dans un système en déroute ?

Plus que des témoignages c’est un regard profond sur notre système, nos institutions, la passion de l’autre et l’engagement vers un monde meilleur, collectif.

Caroline Blondel, Gregory Pamart, Carole Fouché, Louis Fouché, Judith Rémy, Éric Loridan et Aurélie Colin nous racontent leur vécu de cette crise et leurs espoirs. Le tout porté avec poésie sur une musique originale de Cécile Petit et des chorégraphies d’Aurore Borgo. Car danser avec la crise et sourire à demain est un des nombreux messages portés par ce film.

Nicole Delépine

Par le Dr Gérard Delepine

 

Situation sanitaire mondiale le point au 22 01 2022 : pays avec traitement précoce, versus les tout vax – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

 

Si les gouvernements et les médecins honnêtes avaient voulu faire autrement et utiliser les traitements précoces : le point au 22 01 2022

 

 

 

 

Depuis le début de la crise Covid, une propagande effrénée assortie d’une censure féroce nous assène « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez vous et prenez du Doliprane…le confinement sauve des vies…la fin de la crise viendra des vaccins… »

Puis après la mise sur le marché des pseudo vaccins « les vaccins sont efficaces à 97 %. Ils sont sûrs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres…vaccinez-vous et vous retrouverez vos libertés… »

 

 

Mais la réalité est têtue et, progressivement, dément tous ces slogans mensongers. Après un an d’une vaccination imposée à plus de 80 % des Français, les restrictions s’intensifient dans une stratégie du tout vaccinal dont l’échec est maintenant reconnu par l’OMS, qui en a pourtant été la grande conseillère, et de nombreux pays qui abandonnent actuellement toute restriction (Espagne, Grande-Bretagne, etc.…).

 

L’argument le plus fréquemment utilisé par les médias et le pouvoir pour justifier la politique sanitaire qui nous empêche de vivre libre est : « tous les pays pratiquent la même politique ».

 

Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces, permettant des comparaisons solides avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire du tout injection.

Lors des comparaisons, pour évaluer l’efficacité des politiques anti-covid, nous utilisons les données officielles publiées par l’OMS avec, pour étalon la mortalité mondiale cumulée au 11/1/2022 qui atteint 693/Million.

Globalement l’analyse des données de l’OMS est porteuse d’espoir en objectivant l’efficacité des traitements précoces et/ou préventifs utilisés entre autres en Afrique et en Inde et la très grande bénignité d’Omicron qui va sauver les pays soumis à la dictature vaccinale.

L’Afrique tropicale démontre que les traitements précoces sont efficaces

Certains pays africains par choix et/ou nécessité n’ont pas ou très peu vacciné et ont utilisé des traitements anciens et bon marché (antipaludéens et Ivermectine) ou des plantes locales qu’ils utilisent depuis longtemps pour lutter contre le paludisme et de nombreuses parasitoses (Artemisia annua).

En janvier 2022, l’OMS recense en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial), alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

 

Cette très faible mortalité africaine pourrait sembler d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus délabrés que les nôtres, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés. D’ailleurs, depuis le début de la crise, les médias mainstream aux ordres de l’ordre mondial avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent et nos gouvernants voudrait leur imposer la thérapie génique expérimentale.

Certes la jeunesse des Africains constitue un facteur protecteur important : le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 12 % (Maurice) alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA. Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est en moyenne quatre fois inférieure à celle de l’Europe et pourrait expliquer une partie de sa sous-mortalité constatée.

De fait, après correction de la mortalité par l’âge, les Africains bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants (en excluant l’Afrique du Sud qui concentre 45 % de la mortalité africaine globale pour les raisons explicitées plus loin).

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid, parfois évoquée, est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

 

La mortalité Covid des pays africains exposés au paludisme est inférieure à 80/million soit, 22 fois plus faible qu’en France.

 

 

La comparaison au 20/1/2022 des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence du paludisme montre que les pays, dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour, bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible 10 à 180 fois inférieure à celle de la France (1847/M) comme : le Nigéria (14/M), le Mali (33/M), le Congo (65/M), La Tanzanie (12/M), le Tchad (11/M), le Cameroun (68/M), le Niger (11/M), la Côte d’Ivoire (27/M), la Guinée (30/M), le Kenya (99/M), le Sénégal (116/M), le Gabon (129/M).

 

 

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, la population à risque, les plus de 60 ans, représente 25 % du total. Dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé. Au 19/1/2022, la mortalité cumulée ne dépasse pas 144/M, soit 13 fois moins que la France.

Le 31 mai 2021 sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 19/1/2022 la mortalité cumulée atteint 401/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 19/1/2022, la mortalité Covid atteint les chiffres européens : 2165/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin. Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le second pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1556 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne, mais paraît être sortie de l’épidémie depuis la fin de la vague Omicron.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens et/ou d’Ivermectine/Artémisine.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens et/ou Ivermectine/Artémisine sont efficaces.

La comparaison des îles Africaines de l’océan Indien met en évidence la supériorité du traitement par Artémisine sur les pseudo vaccins

Dans l’océan Indien, quatre îles se situent dans un cercle de 1000 kilomètres de rayon : Maurice, la Réunion, les Seychelles, Madagascar. Leurs conditions climatiques, leur mode de vie et les caractéristiques de leurs populations sont très proches. Mais les trois premières ont adopté la stratégie de l’OMS, tandis que Madagascar adoptait le traitement précoce par l’Artémisine. La comparaison de leurs évolutions est démonstrative.

Madagascar : 29 millions d’habitants, dont 2 % de vaccinés

Le gouvernement a fait la promotion de l’utilisation préventive d’un antipaludéen local, l’Artemisia qui a été beaucoup consommée.

Au 19/1/2022, l’épidémie est maîtrisée depuis début juin 2021 après 55 827 cas et 1169 morts, soit une incidence globale de 1963/Million et une mortalité globale 39/Million, soit 18 fois moins que la moyenne mondiale et 48 fois moins que celle de la France.

Île Maurice 70 % d’injectés

En 2022, la population de l’île Maurice compte 1 280 000 personnes. La vaccination a commencé mi-février 2021 et au 17/11/2021 plus de 70 % de la population avait reçu au moins une injection.

Depuis la campagne de vaccination le nombre de morts par a été multiplié par 24 (de 10 à 240). Au 12/12/2021, la mortalité cumulée s’élève à 200/million, soit 5 fois supérieure à celle de Madagascar.

La Réunion compte 905 000 habitants dont 58 % sont vaccinés

La politique sanitaire suivie est celle de la métropole avec l’interdiction des traitements précoces et un tout vaccin. Au 12/12/2021, l’épidémie reste active, le nombre de cas cumulé atteint 63 863 avec 391 morts (mortalité 415/M), soit le triple la moyenne africaine et 12 fois celle de Madagascar.

La catastrophe vaccinale des Seychelles vaccinées à 90 %

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid-19 confirmés et 3 morts. En espérant sauver sa prochaine saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. En janvier 2022, la couverture vaccinale dépasse 90 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles ont dû faire face à une hausse considérable des cas qui a incité le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos…

Au 19 janvier 2022, le pays comptait 32 850 cas confirmés et 133 morts contre 500 cas et 3 morts avant la vaccination. Ainsi après 12 mois de vaccination, le nombre de cas a été multiplié par 64, la mortalité par 44. L’incidence globale atteint 332078/million et la mortalité globale attribuée au Covid s’élève à 1415/million, 8 fois plus que la moyenne africaine et 38 fois celle de Madagascar.

 

 

Cette analyse des îles africaines de l’océan Indien confirme l’efficacité du traitement par Artemisia et l’inefficacité dangereuse des vaccins. Le traitement précoce et/ou préventif par Artemisia a permis à Madagascar de compter 40 fois moins de morts par million que la stratégie OMS du tout vaccin adoptée aux Seychelles.

 

 

L’Inde très peu vaccinée a utilisé avec succès les traitements précoces et préventifs

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4 690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles, les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu.

Le 22/3/2020, lors de la première vague, l’Indian covid19 Task force a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet et a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant, des forces de l’ordre et des foyers, contenant des personnes contaminées par le Covid-19. Ce traitement préventif a contrôlé la première vague en limitant considérablement la diffusion de la maladie avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072/M.

Au 30 janvier 2021 l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542), soit six fois plus.

Cette forte réduction du risque de contamination lors de la première vague ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde comptait dix fois moins de morts que la France (118 morts/M contre 1156/M).

Le début timide de la vaccination en janvier 2021 a été suivi par relatif abandon des traitements préventifs et l’explosion du nombre de cas en mars 2021 puis de la mortalité en avril, obligeant le ministère de la Santé indien à actualiser ses recommandations, en ajoutant l’Ivermectine à la liste des traitements officiellement recommandés. Les contaminations journalières ont très rapidement diminué ainsi que la mortalité. Grâce à l’Ivermectine, l’Inde bénéficie depuis juillet 2021 d’une accalmie qui confine à la guérison et sa mortalité cumulée globale par million d’habitants est quatre fois et demie plus faible que celle de la France (395 vs 1843).

 

Depuis l’utilisation de l’Ivermectine, la mortalité quotidienne attribuée au covid en Inde se maintient autour de 300, équivalent français de 15/J, alors que notre moyenne actuelle tourne autour de 200/J.

L’Inde n’est pas le seul pays à avoir utilisé l’Ivermectine avec succès

Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer la mortalité avec l’Ivermectine.

Plus de 20 études randomisées ont démontré avec certitude que l’Ivermectine a une très grande efficacité contre la Covid-19 — en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital.[1] En France, le Dr Gérard Maudruxa publié une synthèse complète[2][3] de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine.

De très nombreux scientifiques et médecins du monde entier militent pour généraliser la prescription d’Ivermectine, comme l’Alliance FLCCC aux États-Unis, le groupe BIRD en Grande-Bretagne, le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation mondiale de la Santé. Au Japon, le président de l’Association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament.

Les négationnistes institutionnels : aveugles ou corrompus ?

L’Autorité européenne du médicament (EMA) déconseille ce médicament prétendant« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d’essais cliniques » de même que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) prétextant que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes ». L’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’Ivermectine une recommandation temporaire d’utilisation, estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable » alors que certaines de ces mêmes agences ont défendu ou autoriser sans preuves réelles les pseudo vaccins, le Remdesivir, l’Evusheld[4] et le 21 janvier 2021 le Paxlovid qui serait donné aux patients susceptibles de faire une forme grave !

C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’Ivermectine est nul : avec trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, même à des enfants et des personnes âgées, aucun risque sérieux n’a été signalé aux doses recommandées.

Ces refus de l’Ivermectine, comme celui de l’hydroxychloroquine, ne reflètent que le crédo d’un petit groupe de pseudoscientifiques trop liés à l’industrie pharmaceutique et sous la pression de politiques qui refusent qu’un médicament du domaine public à un prix ridicule puisse concurrencer les dernières inventions brevetées et hors de prix de leurs amis industriels.

L’excellente nouvelle de l’arrivée d’Omicron, possible futur « vaccin » naturel idéal

Manifestement, nos dirigeants veulent continuer de gouverner par la peur, via les tests multiples que tout le monde ou presque va pouvoir pratiquer (décret du 21 janvier 2022), pour prolonger des mesures contraires aux données de la science, au simple bon sens et aux droits de l’homme pour leurs profits et ceux de Big Pharma.

Mais leur dernier croquemitaine (Omicron) que les médias montent en épingle risque fort de les décevoir en mettant définitivement fin au coronacircus.

En effet sa plus grande contagiosité va progressivement le rendre dominant en 2022. Or il est très peu mortifère et son installation devrait progressivement réduire la mortalité vers zéro comme tendent à le démontrer l’Afrique du Sud et la Grande-Bretagne.

Il pourrait représenter le vaccin idéal : naturel, gratuit et efficace pour la vie.

Vive le variant omicron et n’en ayez pas peur ! Il va nous libérer.


 

PDf
  1. [1] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2021/03/BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.[↩]
  2. [2] BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.[↩]
  3. [3] Ivermectine for COVID-19: real-time meta analysis of 75 studies Covid Analysis, Jan 17, 2022, Version 172
    https://ivmmeta.com[↩]
  4. [4] nouvelle bithérapie d’anticorps monoclonaux contre la Covid-19, autorisée en accès précoce sur le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament[↩]