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10/09/2023 (2023-09-10)

Par Dr Gérard Delépine chirurgien cancérologue et statisticien

Ne faites pas courir de risques inutiles en vaccinant vos enfants par le Gardasil, inefficace contre les cancers et responsable d’effets délétères non négligeables

Faits avérés concernant cette vaccination

Depuis l’annonce de notre président à Jarnac, les lobbys des entreprises pharmaceutiques, les médias, l’institut national de lutte contre le cancer et le nouveau ministre de la Santé font la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus) contre les prétendus « cancers du HPV » nouvelle formule à la mode en cette rentrée.

Tous assènent quotidiennement des contre-vérités visant à inquiéter les enfants et à culpabiliser les parents. Comment peuvent-ils nous tromper à ce point et cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ?

Nous démentirons ici quatre points de leur propagande à la lumière des faits avérés

1°) le lien causal entre HPV et les différents cancers accusés n’est pas prouvé.

2°) Ces cancers sont rares et globalement et à bon pronostic. Ils ne constituent pas un sujet prioritaire de santé publique

3°) Le Gardasil est efficace contre l’infection, mais pas contre les cancers.

4°) le Gardasil expose à de nombreuses complications.

Le lien causal cancer-HPV n’est pas prouvé : les HPV ne sont peut-être que des témoins

Un ami gendarme m’a confié :

« Sur les lieux d’un crime, on trouve le coupable, mais aussi des témoins innocents ».

Avant la mise au point de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin ont démontré que ce dernier était multifactoriel1 2 3 4 5 6 7 et sa fréquence statistiquement corrélée à de très nombreux facteurs liés entre eux dont : la précocité de l’activité sexuelle, le nombre élevé de partenaires (source de microtraumatismes répétés), le tabagisme8 9 et l’exposition à la poussière de tabac10, l’usage prolongé des contraceptifs oraux11, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq)12, le Sida et les autres déficits immunitaires et les infections génitales (responsables d’inflammations chroniques qui constituent une cause classique de cancérisation) dont l’herpès, la chlamydia et plus d’une vingtaine de souches de HPV…

Les papillomavirus qui ne donnent aucun signe clinique sont comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin ou le bacille de Doderlein dans le vagin. Plus de 150 souches de papillomavirus peuvent infester l’homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50 % des vierges sont ou ont été infectées13) ou lors d’un acte sexuel. Près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre, souvent à plusieurs reprises, et se débarrasseront naturellement du HPV dans 90 % des cas en quelques mois, sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée. Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes. La multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorisent la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer. Il existe, certes, une corrélation statistique entre persistance d’infection à HPV et cancer, mais aucune preuve de causalité directe n’a jamais été établie.

Depuis la mise sur le marché des vaccins anti-HPV, les publications, dont la quasi-totalité des auteurs reconnaissent des liens d’intérêts avec les marchands du vaccin, se focalisent uniquement sur ce virus et prétendent qu’il serait le seul responsable, malgré un certain nombre de cancéreuses HPV négatives.

Ce crédo est repris par l’agence officielle Santé publique France et l’INCa qui présentent même cette infection comme une condition indispensable aux cancers qu’ils présentent maintenant comme « cancers du HPV. »

Le virus HPV représente en effet le coupable idéal, car il se révèle colossalement rentable, générant 12 200 % de bénéfice brut (une dose de vaccin qui coûte moins d’un euro à produire est vendue plus de 123 euros.).

La présence de HPV constituant un témoin fiable de l’activité sexuelle, qui représente le premier facteur favorisant le cancer du col, il est vraisemblable que la corrélation statistique HPV-cancer ne soit que la conséquence de la corrélation HPV — activité sexuelle. Une analyse multivariée pourrait permettre de le confirmer, mais jusqu’ici aucune étude n’en a publié.

Le contraste entre la considérable fréquence de l’infection HPV (80 à 90 % des femmes sexuellement actives) et la grande rareté des cancers invasifs du col (0,006 %) en France plaide aussi contre la responsabilité causale exclusive des HPV.

Étiologie des cancers ORL et anal

Pour tenter de convaincre les garçons de se faire vacciner par Gardasil, les entreprises de vaccins tentent de leur faire peur avec les cancers anal et ORL. Pour se faire, il suffit de pratiquer systématiquement la recherche de HPV chez ces cancéreux et comme les contaminations HPV sont extrêmement répandues dans la population, on en retrouve aussi fréquemment chez les malades souffrant de cancer du canal anal ou de cancers ORL. Les virus sont alors accusés d’être responsables, alors qu’il n’y a aucune preuve directe de leur culpabilité.

Il faut souligner la rareté du cancer anal dans la population générale (inférieure à 1/100000)14. Les groupes à risque de cancer anal sont les femmes VIH+ aux ATCD de condylomes et/ou dysplasies ou cancers ano-génitaux et les homosexuels mâles pratiquant des relations sexuelles anales passives, avec multiplicité de partenaires sexuels, la séropositivité HIV (Sida) et le tabagisme. Dans les pays occidentaux, l’incidence du cancer anal a augmenté depuis trois décennies en parallèle avec la pratique plus fréquente de la sodomie et l’infection par le VIH. L’infection par le virus du sida multiplie le risque de cancer anal par plus de 30 et le sur risque atteint 130 chez les homosexuels mâles passifs souffrant du Sida. Ces constatations avaient en 2016 décidé le Haut Conseil de la santé publique à « recommander la vaccination des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes ».

Pour les hétérosexuels mâles, le risque de cancer anal est infime et ne justifierait pas la vaccination, même si celle-ci était efficace.

Les cancers accusés d’être des cancers du HPV sont en réalité des cancers avec HPV !

L’absence de lien de causalité exclusive démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti-HPV contre les cancers associés au virus, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL et explique certainement l’échec de la prévention contre le cancer dans les pays adeptes de cette vaccination, d’autant que le faux sentiment de sécurité créé par la propagande « vaccinée vous êtes protégée » peut inciter certaines jeunes filles à commencer plus tôt leurs expériences sexuelles, et d’autres à négliger le dépistage cytologique.

Ces cancers rares, et à bon pronostic ne constituent pas un sujet prioritaire de santé publique

Les cancers prétendument dus aux HPV sont rares et leurs traitements en obtiennent la guérison dans près de 70 % des cas. Ils ne participent que pour moins de 2 % de la mortalité due aux cancers, très loin derrière le poumon (31 100 morts), le côlon-rectum (17 000), le pancréas (11 400), le sein (12 100) ou la prostate (8100). Les 200 millions d’euros annuels nécessaires pour vacciner une classe d’âge, sans espoir d’obtenir une improbable diminution de mortalité dans 20 ans, seraient beaucoup plus utiles dans l’amélioration urgente de notre système de santé.

Mais pour les actionnaires de Merckx, la vaccination est beaucoup plus rentable…

Le Gardasil est efficace contre l’infection, mais pas contre les cancers

Tous les articles montrent la bonne efficacité du Gardasil pour prévenir les contaminations par les souches ciblées par les vaccins. Mais celles-ci ne sont que 9 dans la dernière formule vaccinale, alors que plus de 20 des plus de150 souches connues sont accusées d’être cancérigènes.

De fait, la consultation des registres des cancers des pays pionniers de cette vaccination anti-HPV montre que nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus !15

En Australie, la vaccination n’a pas fait reculer l’incidence des cancers invasifs

L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Des journalistes ignorants (ou corrompus ?) proclament régulièrement que le pays va « éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination »1617, mais les chiffres officiels montrent que depuis la généralisation de la vaccination, l’incidence standardisée18 des cancers invasifs ne diminue plus alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006 grâce aux dépistages par frottis cytologiques.

La capture d’écran qui suit illustre cette vérité officielle que chacun peut vérifier à l’adresse Internet qui y figure. On peut regretter que ce graphique publié en décembre 2022 par l’agence sanitaire australienne (AIHW) ne donne des chiffres observés que jusqu’en 2019 (les services statistiques officiels australiens ne sont pas très réactifs), mais les prévisions officielles des années suivantes ne font que confirmer la tendance avec une incidence 2022 estimée à 7,1/100 000 contre moins de 6/100000 en France peu vaccinée).

De plus, le nombre annuel de nouveaux cancers invasifs, loin de diminuer, augmente.

Les articles qui claironnent la victoire de la vaccination sur le cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur la croyance que la diminution des infections à HPV entraînera une diminution des cancers invasifs, à l’aide de simulations aux hypothèses incertaines, alors que les faits constatés dans le monde réel démontrent le contraire. Prétendre comme tant de journalistes que l’Australie serait en train d’éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination n’est donc qu’un énorme mensonge auquel le président a cru et qu’il a répété !

En Grande-Bretagne non plus, la vaccination n’a pas fait régresser les cancers invasifs

La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école. En 2008, la Grande-Bretagne a mis en place une campagne de vaccination systématique contre les papillomavirus humains dès 2008 pour les jeunes filles de 12 – 13 ans et en rattrapage entre 2008 et 2010 pour les 14 – 18 ans. Entre 2008 – 2009 et 2011 – 2012, la couverture annuelle (pour une dose du vaccin) en Angleterre se situait entre 85,9 % et 90,6 %.

Un article mensonger récent19 mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « Vaccin anti-HPV: quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais, curieusement, l’agence officielle Cancer research UK (CRUK) publie sur son site la dernière incidence standardisée de cancer invasif à 9,6/100 000 (soit supérieure de 50 % au taux français actuel).

Depuis les campagnes de vaccination, l’évolution globale d’incidence des cancers invasifs au Royaume-Uni se caractérise par l’absence de diminution, ainsi que le constate Cancer Research UK :

« Au cours de la dernière décennie, au Royaume uni (entre 2006-2008 et 2016-2018) les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables »

De 1993 à 2006, grâce au dépistage cytologique, l’incidence standardisée avait régressé de 13/100 000 à 9/100 000, mais depuis le début de la vaccination, elle est passée de 9/100 000 en 2006 – 2008 à 10/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

Et cette estimation globale dissimule l’augmentation d’incidence dans les groupes les plus vaccinés. L’analyse par groupe d’âges objective en effet une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées.

À l’opposé, le groupe des 20-24 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19 % des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée en mars 2023.

En Grande-Bretagne aussi la vaccination est donc très loin d’amorcer l’éradication du cancer que promettent les avocats du vaccin avec une augmentation d’incidence dans le groupe le plus vacciné !

En Suède, l’incidence des cancers invasifs a franchement augmenté depuis la vaccination

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée entre 1965 et 2007 (de 24/100 000 à 8/100 000).20

La généralisation de la vaccination à l’école en 2010 a été suivie, au contraire, d’une augmentation de l’incidence des cancers invasifs21 de 7/100 000 en 2006 – 2009 à 11,5/100 000 en 2014–2015 (p <0.03) et même 13/100 000 en 2021, augmentation que reconnaissent les avocats de cette vaccination qui tentent seulement de nier le lien de causalité avec la vaccination22 23. L’analyse en break point (recherche du point de rupture) faite par l’agence sanitaire suédoise date l’apparition de cette augmentation en 2011, un an après la généralisation de la vaccination et plaide pour sa responsabilité.

En Norvège, l’incidence des cancers invasifs a augmenté depuis la vaccination

La vaccination HPV a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer24montre que l’incidence de ce cancer a augmenté depuis la vaccination passant de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-

2021 (2 fois plus élevée qu’en France !)

RÉSULTATS GLOBAUX DES VACCINATIONS ANTI-HPV DANS LE MONDE : EFFICACE SUR LE VIRUS, INEFFICACE SUR LA PRÉVENTION DU CANCER

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais s’est jusqu’ici révélée inefficace (avec 16 ans de recul) sur la fréquence des cancers invasifs.

En 2016, nous avions fait part de nos inquiétudes au président de l’Institut national du cancer (INCa) par courrier privé, et le député Gérard Bapt25 avait interrogé oralement la ministre de la Santé de l’époque, ne s’attirant comme réponse qu’un « il est trop tôt pour juger ». Et pourtant ce vaccin existait déjà depuis 10 ans à l’époque. De nombreux cris d’alarme avaient été émis depuis de longues années sans effet, par exemple par le dr De Chazournes26.

Six ans plus tard, la situation est toujours aussi préoccupante, alors que la publicité mensongère s’intensifie en France et s’accompagne de déclarations gouvernementales ahurissantes, sans jamais évoquer les problèmes que soulève cette vaccination (inefficacité contre le cancer et effets secondaires possibles).

En France, faible taux de vaccination et faible incidence du cancer invasif du col utérin

En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers moindre que chez les champions de la vaccination, tendance qui s’est amorcée dès la généralisation de la vaccination selon les données de l’agence internationale de recherche sur le cancer illustrée par le graphique suivant :

En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1/100 000 et est depuis passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège.

Pourquoi, le Président, fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les taux de cancers invasifs élevés dans les pays adeptes des vaccinations scolaires ? Ses conseillers sont-ils incompétents ou trop liés aux laboratoires pharmaceutiques ? L’ont-ils informé sur les dégâts éventuels de cette injection ? Pourquoi le trompent-ils ?

Des accidents post vaccination graves ont été constatés dans de nombreux pays

En France, le calvaire de Marie-Océane 27 28 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés possiblement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et peut-être à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges, retoquée en appel. L’affaire est en cassation.

Les complications post Gardasil ont été rapportées dans de nombreux autres pays (Danemark, Bolivie, Japon, Irlande) où elles ont motivé des manifestations de parents que personne ne peut pourtant qualifier d’antivax, puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants en étant persuadés de bien faire et qu’ils le regrettent après la survenue des complications. Celles-ci ont motivé des procès aux USA29 30 31.

En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin Gardasil 32 33 et les premières audiences devaient se tenir en avril 2023.

Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin. 

L’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins, n’a pas convaincu la commission.

« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral ».

Ne vaccinons pas surtout pas les garçons par le Gardasil

Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le prétexte de la proposition du CDC américain (qui reçoit des royalties sur les ventes de vaccin) et de la Haute Autorité de santé française (dont beaucoup d’experts ont des liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique) de vacciner les garçons. Mais ce cancer, exceptionnel (800 cas/an en France), ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle : les homosexuels adeptes de rapports anaux passifs34 avec de multiples partenaires (74 % des cas), et séropositifs au sida (77 % des cas) 35 36 et les personnes souffrant de déficit immunitaires, ce qui ne justifie donc pas une vaccination généralisée des garçons d’autant plus que là aussi l’efficacité contre le cancer anal n’est pas du tout démontrée.

Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer anal, mais une fois de plus le lien causal n’est pas démontré contrairement au fait d’être homosexuel passif et porteur du virus du sida. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif ni malade du Sida, le risque de cancer anal est infime, même si on est porteur de HPV.

De plus, les exemples de l’Australie, de la Grande-Bretagne et des USA suggèrent l’inefficacité des vaccins anti-HPV contre le cancer anal, car, depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur risque de cancer anal a augmenté 3 à 4 fois plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.

Aux USA, la vaccination par Gardasil a été popularisée dès 2008, mais depuis l’incidence des cancers anaux a augmenté plus que dans les précédentes décennies comme le précise le Surveillance and End Results Program (SEER) du National Cancer Institute 37 :

« Les taux ajustés selon l’âge pour les nouveaux cas de cancer anal ont augmenté en moyenne de 2,2 % chaque année de 2010 à 2019. Les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge ont augmenté en moyenne de 3,9 % par an entre 2011 et 2020. »

En Grande-Bretagne, Cancer Research UK précise ainsi 38:

« Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer anal chez les femmes ont augmenté de plus de la moitié (53 %) et les taux chez les hommes ont augmenté d’environ un septième (13 %). »

On peut donc craindre que ce vaccin anti-HPV favorise paradoxalement l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition plus précoce et fréquente d’un cancer du col utérin !

Les arguments avancés par la Haute Autorité de Santé pour généraliser ce vaccin chez les garçons sont d’ailleurs révélateurs de l’absence de bénéfice médical démontré pour les garçons et de la volonté de faciliter le passage à l’homosexualité.

Initialement les recommandations visaient seulement les homosexuels mâles et les immunodéprimés 39 « La vaccination par GARDASIL 9® (9 HPV) est recommandée chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) jusqu’à l’âge de 26 ans et chez les adolescents immunodéprimés ». Mais le 16 décembre 2019, à la suite d’une saisine de la direction générale de la santé et de la Ministre chargée de la santé, la Haute Autorité de santé (HAS) a élargi ses recommandations40 à l’ensemble des mâles « pour ne pas stigmatiser des adolescents ou des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à un âge où la préférence sexuelle n’est pas connue ou pas affirmée. »

La HAS recommande un vaccin potentiellement dangereux et totalement inutile chez les hétérosexuels pour calmer les angoisses de potentiels homosexuels mâles passifs !

En l’état actuel de la science, la prévention pratique du cancer anal repose sur l’utilisation systématique du préservatif (pour éviter la contamination par le virus du sida), la limitation de la fréquence des rapports anaux passifs et peut-être le traitement des lésions précancéreuses par radiofréquence41. La vaccination anti HPV, qui confère un faux sentiment de sécurité, risque de favoriser la survenue de la maladie comme on l’a constaté lors des essais de vaccins contre le Sida.

Un vaccin jugé peu efficace et trop cher par 400 praticiens 42

Rappelons que la vaccination anti-HPV ne permet pas de se dispenser du dépistage et peut-être justifierait même une fréquence accrue chez les vaccinées, comme le suggèrent les Suédois43. La vaccination ne diminue donc pas le coût de la prévention du cancer, mais l’augmente.

Le coût financier de la généralisation de cette vaccination serait exorbitant, car, avec près de 500 euros le coût de chaque vaccination complète (trois doses plus quatre consultations), il faudrait dépenser environ 400 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! En prenant les hypothèses d’efficacité les plus invraisemblables (100 % d’efficacité sur 100 % des cancers concernés) le coût/efficacité financière atteindrait 200 000 euros par année de vie gagnée ajustés sur la qualité de vie (QALY), alors que la Grande-Bretagne fixe le seuil d’acceptabilité à 30 000 euros par qaly. Un bénéfice très incertain (et potentiellement négatif) pour un coût colossal, totalement disproportionné de plus en cette période de déficit budgétaire.

Comme le souligne Bijan Esfandiari, avocat spécialisé dans les litiges en matière de responsabilité du fait des produits pharmaceutiques et associé principal chez Wisner Baum à Los Angeles 44 :

« Le moyen le plus efficace et sans effets secondaires pour prévenir le cancer du col de l’utérus est le test de Papanicolaou. Des études montrent que les jeunes femmes qui ont reçu du Gardasil ont un faux sentiment de sécurité et renoncent aux frottis vaginaux de routine. Les données ont également montré que, dans les pays où l’utilisation du Gardasil est élevée, les taux de cancer augmentent chez les jeunes femmes, pour un cancer qui apparaît généralement lorsque les femmes atteignent la cinquantaine et la soixantaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici et nos enfants ne devraient pas être soumis à une obligation de l’État qui les transforme en cobayes et les expose à un risque accru de contracter la maladie, même si on leur dit que ce vaccin la prévient. »

On peut conseiller à Monsieur le Président de ne plus croire des conseillers incompétents ou corrompus qui le décrédibilisent, et de vérifier personnellement les données officielles des pays qui ont généralisé le Gardasil. Il constatera qu’il ne faut pas promouvoir cette vaccination efficace sur l’infection et les verrues, mais inefficace contre les cancers, hors de prix et dont les dangers conduisent actuellement à de nombreux procès aux USA.

Dans l’état actuel de la science, il ne faut vacciner ni filles ni garçons avec le Gardasil !


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Refuser la marche forcée pour injecter petits et femmes enceintes par un médicament génique expérimental

03/12/2022 (2022-12-03)

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

En Californie, l’échec du gouvernement et des associations provax à faire vacciner les enfants malgré toutes leurs pressions et leur propagande nous réjouit. Le mythe covid commence à ne plus fonctionner, même dans les pires États comme la Californie ou New York qui réintègre et indemnise les suspendus, soignants et autres.

« Contrairement aux prévisions de Rochelle Walensky, directrice du centre de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), il semblerait que la vaccination des enfants suscite peu d’engouement. À ce jour, près de 70 % des enfants américains âgés de 5 à 11 ans ne sont toujours pas vaccinés. En Californie, l’Association médicale de Californie, l’Académie américaine de pédiatrie, l’Académie californienne des médecins de famille et la Coalition californienne pour l’immunisation ont demandé à tous les prestataires de services pédiatriques de recommander la vaccination contre le Covid-19 et la grippe pour protéger les enfants. Pourtant jusqu’à ce jour, aucun variant agressif pour les enfants n’est apparu. Aussi est-on en droit de s’interroger sur les raisons réelles de cette propagande pour la vaccination, qui soulève de nombreuses questions. »1

Des chiffres d’origine incertaine sans mise en perspective pour effrayer les parents : « Selon l’Association médicale de Californie et ses partenairesmême si les cas de Covid-19 grave sont rares chez les enfants, la maladie a causé 122 000 hospitalisations et 1500 décès aux États-Unis. On aimerait connaître la source de ces données, car parmi les 0-17 ans, malgré de fortes incertitudes2 au 1/12/2022, le CDC recensait moins de 1000 décès attribués au covid3.

Pour illustrer le faible risque vital  que courent les enfants avec le covid19   le Dr Daniel Rauch, chef du service pédiatrique au Tufts Children’s Hospital de Boston prend en exemple la coupe du monde :

« Pensez-y en termes de stades de football : sur 100 000 enfants, l’un d’eux ne s’en sortira pas avec COVID. Tous les autres qui sont entrés vont sortir. »

De plus, on aimerait aussi vérifier les dossiers médicaux pour voir si ces petits sont morts malades du covid ou le plus souvent morts d’une autre cause avec seulement avec un test PCR positif comme la Société française de pédiatrie a pu le démontrer en France :

« Pour 21 décès avec une investigation qui a pu être menée à son terme, il a été retrouvé pour 17 enfants des comorbidités très sévères »… “dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie ».

Enfin, ce chiffre étonnamment élevé de 50 morts d’enfants par mois brandi par l’association médicale de Californie doit être comparé aux autres causes de décès d’enfants aux USA : par arme à feu : 358 par mois4, par accident de la route : 325 par mois. La troisième cause de décès est la mort par surdose et empoisonnement et en 2021, le National Cancer Institute estime que 15 590 enfants et adolescents âgés de 0 à 19 ans ont souffert de cancer et que 1800 en sont morts,5 permettant de chiffrer à 150 le nombre mensuel moyen de décès d’enfants par cancer.

Chacun avertit, mais il y a encore trop de sourds et aveugles au danger encouru par l’Humanité.

👉IMPARDONNABLE – 125 enfants morts, 1 000 handicapés et 50 000 lésés à cause de la vaccination Covid-19 aux USA au 3 juin 2022

« Les derniers chiffres publiés par les Centres américains de contrôle des maladies révèlent que 50 000 enfants ont été affectés par la vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis. Malheureusement, 1 112 de ces enfants ont souffert d’une complication mettant leur vie en danger ou d’un handicap permanent, tandis que 125 autres enfants ont malheureusement perdu la vie. »6

LES PARENTS OUVRENT LES YEUX 7 ET LES MENSONGES ACCUMULÉS SUR L’INJECTION COVID JETTENT LE TROUBLE SUR LES AUTRES VACCINS

16/11/2022

Dr McCullough (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/9495) explique à Robert Kennedy Jr (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6891) que les parents sont beaucoup plus réticents à faire des vaccins depuis le “désastre de l’injection Covid19” :

« On a ouvert la boîte de Pandore et les gens examinent tous les vaccins avec attention. Et nous comprenons le sens d’essais de contrôle appropriés. Nous voyons maintenant des vaccins administrés pour des maladies facilement traitables comme la coqueluche ou la diphtérie et nous assistons maintenant à une attaque incroyable ! Nous voyons maintenant des enfants recevoir plus de 17 injections. Quand j’étais petit, il n’y en avait que 3 ! Et il y a probablement eu une attribution inappropriée du succès de ces vaccins.

Ainsi, même certains des premiers succès jamais revendiqués par les vaccins sont probablement davantage attribuables à l’assainissement ou à d’autres formes de soins médicaux.

Donc, ce qui se passe maintenant, c’est qu’ils avaient l’habitude de recenser un taux de réticence à la vaccination ce qu’on appelle : ‘l’hésitation aux vaccins’ aux États-Unis. Ce taux était d’environ 2,5 % de la population avant. Actuellement, du fait des mensonges permanents constatés par la population, la confiance en la parole de l’état a fortement chuté et l’hésitation aux vaccins dépasse les 25 %.

J’ai fait une excellente interview avec le Dr Sherri Tenpenny (https://www.tenpennyimc.com/sherri-tenpenny-bio) récemment.

Moi je suis un médecin entièrement vacciné et elle est un médecin entièrement non vacciné, elle n’a jamais pris un seul vaccin de sa vie !

Nous avions donc deux perspectives différentes, mais ce sur quoi nous nous sommes mis d’accord, c’est que les vaccins, comme toute thérapie médicale, méritent une réévaluation dans le temps.

Rien n’a de permanence, rien n’a de talisman, rien n’a une existence basée sur la foi. Tout a un état dans le temps. Les médicaments que nous utilisons maintenant ne sont pas les mêmes que ceux que nous utilisions l’année dernière. Et si les médicaments sont retirés, les vaccins devraient être retirés. Tout doit faire l’objet d’une évaluation critique.

Et la catastrophe du vaccin Covid-19 a ouvert la boîte de Pandore et maintenant, selon des estimations récentes, environ 30 % des parents sont maintenant très préoccupés par l’ensemble du calendrier vaccinal. »8

MORTINAISSANCES AVOUÉES EN AUSTRALIE

Voici un graphique intéressant sur les mortinaissances australiennes. Pourquoi y aurait-il un bond aussi astronomique des mortinaissances à partir de 2021-2022 ?

AUX USA, FAUSSES COUCHES ET MORTALITÉ PÉRINATALE IMPORTANTES

Même si VAERS est connu pour avoir supprimé de grandes quantités de données rapportées, celle-ci affiche encore suffisamment de chiffres pour susciter de sérieuses inquiétudes.9

VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports

LA DUPERIE COMMENCE À ÊTRE RÉVÉLÉE : SCOOP !

Les remarques du Dr Bourla sur le vaccin des enfants étaient « honteusement trompeuses » et « de nature extrêmement promotionnelle » 10

ET LA MORTALITÉ GLOBALE AUGMENTE

🔵🌍Nos enfants meurent du vaccin covid

Les données recueillies dans 24 pays montrent le dépassement de surmortalité.

Dépassement du pic hebdomadaire des enfants de 0 à 14 ans :
215 morts en 2020

Autorisation vaccinale des enfants de 12 à 5 ans de l’EMA.
481 morts

2022 : Vaccinations et rappels des enfants
+ de 807 morts
C’est un record absolu.

ET POURTANT pour les enfants de 0 à 14 ans, la probabilité de mourir du covid est très proche de zéro.11

EUDRAVIGILANCE POUR UE

EudraVigilance data updates

Data status 19/11/2022

– EMA data update (Cf. z. data status 11/14/2022):
→ 2,120,667 cases (+13,852)
→ 26,870 deaths (+32)
→ 610,753 serious adverse events (+3,248).

– Affected children:
→ 40,567 cases (+242)
→ 243 deaths (+0)
→ 14,501 serious adverse events (+56)

Et si vous souhaitez écouter une vidéo sur les problèmes des fœtus :

Et globalement en UE effets toxiques des pseudovax anticovid comparés à ceux des effets des vaccins administrés en UE de 2010 à 2022 NOV :

Au niveau mondial, les données de mortalité de l’OMS montrent que l’épidémie est en voie d’extinction :

NE VACCINEZ NI LES ENFANTS,
NI LES FEMMES ENCEINTES,
NI TOUTE PERSONNE JEUNE OU VIEILLE QUE VOUS AIMEZ !


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INJECTIONS GENIQUES CHEZ LES ENFANTS 24 NOV 22 PDF

Par le Dr Gérard Delepine

 

Situation sanitaire mondiale le point au 22 01 2022 : pays avec traitement précoce, versus les tout vax – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

 

Si les gouvernements et les médecins honnêtes avaient voulu faire autrement et utiliser les traitements précoces : le point au 22 01 2022

 

 

 

 

Depuis le début de la crise Covid, une propagande effrénée assortie d’une censure féroce nous assène « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez vous et prenez du Doliprane…le confinement sauve des vies…la fin de la crise viendra des vaccins… »

Puis après la mise sur le marché des pseudo vaccins « les vaccins sont efficaces à 97 %. Ils sont sûrs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres…vaccinez-vous et vous retrouverez vos libertés… »

 

 

Mais la réalité est têtue et, progressivement, dément tous ces slogans mensongers. Après un an d’une vaccination imposée à plus de 80 % des Français, les restrictions s’intensifient dans une stratégie du tout vaccinal dont l’échec est maintenant reconnu par l’OMS, qui en a pourtant été la grande conseillère, et de nombreux pays qui abandonnent actuellement toute restriction (Espagne, Grande-Bretagne, etc.…).

 

L’argument le plus fréquemment utilisé par les médias et le pouvoir pour justifier la politique sanitaire qui nous empêche de vivre libre est : « tous les pays pratiquent la même politique ».

 

Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces, permettant des comparaisons solides avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire du tout injection.

Lors des comparaisons, pour évaluer l’efficacité des politiques anti-covid, nous utilisons les données officielles publiées par l’OMS avec, pour étalon la mortalité mondiale cumulée au 11/1/2022 qui atteint 693/Million.

Globalement l’analyse des données de l’OMS est porteuse d’espoir en objectivant l’efficacité des traitements précoces et/ou préventifs utilisés entre autres en Afrique et en Inde et la très grande bénignité d’Omicron qui va sauver les pays soumis à la dictature vaccinale.

L’Afrique tropicale démontre que les traitements précoces sont efficaces

Certains pays africains par choix et/ou nécessité n’ont pas ou très peu vacciné et ont utilisé des traitements anciens et bon marché (antipaludéens et Ivermectine) ou des plantes locales qu’ils utilisent depuis longtemps pour lutter contre le paludisme et de nombreuses parasitoses (Artemisia annua).

En janvier 2022, l’OMS recense en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial), alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

 

Cette très faible mortalité africaine pourrait sembler d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus délabrés que les nôtres, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés. D’ailleurs, depuis le début de la crise, les médias mainstream aux ordres de l’ordre mondial avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent et nos gouvernants voudrait leur imposer la thérapie génique expérimentale.

Certes la jeunesse des Africains constitue un facteur protecteur important : le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 12 % (Maurice) alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA. Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est en moyenne quatre fois inférieure à celle de l’Europe et pourrait expliquer une partie de sa sous-mortalité constatée.

De fait, après correction de la mortalité par l’âge, les Africains bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants (en excluant l’Afrique du Sud qui concentre 45 % de la mortalité africaine globale pour les raisons explicitées plus loin).

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid, parfois évoquée, est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

 

La mortalité Covid des pays africains exposés au paludisme est inférieure à 80/million soit, 22 fois plus faible qu’en France.

 

 

La comparaison au 20/1/2022 des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence du paludisme montre que les pays, dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour, bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible 10 à 180 fois inférieure à celle de la France (1847/M) comme : le Nigéria (14/M), le Mali (33/M), le Congo (65/M), La Tanzanie (12/M), le Tchad (11/M), le Cameroun (68/M), le Niger (11/M), la Côte d’Ivoire (27/M), la Guinée (30/M), le Kenya (99/M), le Sénégal (116/M), le Gabon (129/M).

 

 

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, la population à risque, les plus de 60 ans, représente 25 % du total. Dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé. Au 19/1/2022, la mortalité cumulée ne dépasse pas 144/M, soit 13 fois moins que la France.

Le 31 mai 2021 sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 19/1/2022 la mortalité cumulée atteint 401/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 19/1/2022, la mortalité Covid atteint les chiffres européens : 2165/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin. Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le second pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1556 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne, mais paraît être sortie de l’épidémie depuis la fin de la vague Omicron.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens et/ou d’Ivermectine/Artémisine.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens et/ou Ivermectine/Artémisine sont efficaces.

La comparaison des îles Africaines de l’océan Indien met en évidence la supériorité du traitement par Artémisine sur les pseudo vaccins

Dans l’océan Indien, quatre îles se situent dans un cercle de 1000 kilomètres de rayon : Maurice, la Réunion, les Seychelles, Madagascar. Leurs conditions climatiques, leur mode de vie et les caractéristiques de leurs populations sont très proches. Mais les trois premières ont adopté la stratégie de l’OMS, tandis que Madagascar adoptait le traitement précoce par l’Artémisine. La comparaison de leurs évolutions est démonstrative.

Madagascar : 29 millions d’habitants, dont 2 % de vaccinés

Le gouvernement a fait la promotion de l’utilisation préventive d’un antipaludéen local, l’Artemisia qui a été beaucoup consommée.

Au 19/1/2022, l’épidémie est maîtrisée depuis début juin 2021 après 55 827 cas et 1169 morts, soit une incidence globale de 1963/Million et une mortalité globale 39/Million, soit 18 fois moins que la moyenne mondiale et 48 fois moins que celle de la France.

Île Maurice 70 % d’injectés

En 2022, la population de l’île Maurice compte 1 280 000 personnes. La vaccination a commencé mi-février 2021 et au 17/11/2021 plus de 70 % de la population avait reçu au moins une injection.

Depuis la campagne de vaccination le nombre de morts par a été multiplié par 24 (de 10 à 240). Au 12/12/2021, la mortalité cumulée s’élève à 200/million, soit 5 fois supérieure à celle de Madagascar.

La Réunion compte 905 000 habitants dont 58 % sont vaccinés

La politique sanitaire suivie est celle de la métropole avec l’interdiction des traitements précoces et un tout vaccin. Au 12/12/2021, l’épidémie reste active, le nombre de cas cumulé atteint 63 863 avec 391 morts (mortalité 415/M), soit le triple la moyenne africaine et 12 fois celle de Madagascar.

La catastrophe vaccinale des Seychelles vaccinées à 90 %

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid-19 confirmés et 3 morts. En espérant sauver sa prochaine saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. En janvier 2022, la couverture vaccinale dépasse 90 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles ont dû faire face à une hausse considérable des cas qui a incité le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos…

Au 19 janvier 2022, le pays comptait 32 850 cas confirmés et 133 morts contre 500 cas et 3 morts avant la vaccination. Ainsi après 12 mois de vaccination, le nombre de cas a été multiplié par 64, la mortalité par 44. L’incidence globale atteint 332078/million et la mortalité globale attribuée au Covid s’élève à 1415/million, 8 fois plus que la moyenne africaine et 38 fois celle de Madagascar.

 

 

Cette analyse des îles africaines de l’océan Indien confirme l’efficacité du traitement par Artemisia et l’inefficacité dangereuse des vaccins. Le traitement précoce et/ou préventif par Artemisia a permis à Madagascar de compter 40 fois moins de morts par million que la stratégie OMS du tout vaccin adoptée aux Seychelles.

 

 

L’Inde très peu vaccinée a utilisé avec succès les traitements précoces et préventifs

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4 690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles, les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu.

Le 22/3/2020, lors de la première vague, l’Indian covid19 Task force a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet et a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant, des forces de l’ordre et des foyers, contenant des personnes contaminées par le Covid-19. Ce traitement préventif a contrôlé la première vague en limitant considérablement la diffusion de la maladie avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072/M.

Au 30 janvier 2021 l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542), soit six fois plus.

Cette forte réduction du risque de contamination lors de la première vague ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde comptait dix fois moins de morts que la France (118 morts/M contre 1156/M).

Le début timide de la vaccination en janvier 2021 a été suivi par relatif abandon des traitements préventifs et l’explosion du nombre de cas en mars 2021 puis de la mortalité en avril, obligeant le ministère de la Santé indien à actualiser ses recommandations, en ajoutant l’Ivermectine à la liste des traitements officiellement recommandés. Les contaminations journalières ont très rapidement diminué ainsi que la mortalité. Grâce à l’Ivermectine, l’Inde bénéficie depuis juillet 2021 d’une accalmie qui confine à la guérison et sa mortalité cumulée globale par million d’habitants est quatre fois et demie plus faible que celle de la France (395 vs 1843).

 

Depuis l’utilisation de l’Ivermectine, la mortalité quotidienne attribuée au covid en Inde se maintient autour de 300, équivalent français de 15/J, alors que notre moyenne actuelle tourne autour de 200/J.

L’Inde n’est pas le seul pays à avoir utilisé l’Ivermectine avec succès

Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer la mortalité avec l’Ivermectine.

Plus de 20 études randomisées ont démontré avec certitude que l’Ivermectine a une très grande efficacité contre la Covid-19 — en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital.[1] En France, le Dr Gérard Maudruxa publié une synthèse complète[2][3] de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine.

De très nombreux scientifiques et médecins du monde entier militent pour généraliser la prescription d’Ivermectine, comme l’Alliance FLCCC aux États-Unis, le groupe BIRD en Grande-Bretagne, le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation mondiale de la Santé. Au Japon, le président de l’Association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament.

Les négationnistes institutionnels : aveugles ou corrompus ?

L’Autorité européenne du médicament (EMA) déconseille ce médicament prétendant« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d’essais cliniques » de même que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) prétextant que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes ». L’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’Ivermectine une recommandation temporaire d’utilisation, estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable » alors que certaines de ces mêmes agences ont défendu ou autoriser sans preuves réelles les pseudo vaccins, le Remdesivir, l’Evusheld[4] et le 21 janvier 2021 le Paxlovid qui serait donné aux patients susceptibles de faire une forme grave !

C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’Ivermectine est nul : avec trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, même à des enfants et des personnes âgées, aucun risque sérieux n’a été signalé aux doses recommandées.

Ces refus de l’Ivermectine, comme celui de l’hydroxychloroquine, ne reflètent que le crédo d’un petit groupe de pseudoscientifiques trop liés à l’industrie pharmaceutique et sous la pression de politiques qui refusent qu’un médicament du domaine public à un prix ridicule puisse concurrencer les dernières inventions brevetées et hors de prix de leurs amis industriels.

L’excellente nouvelle de l’arrivée d’Omicron, possible futur « vaccin » naturel idéal

Manifestement, nos dirigeants veulent continuer de gouverner par la peur, via les tests multiples que tout le monde ou presque va pouvoir pratiquer (décret du 21 janvier 2022), pour prolonger des mesures contraires aux données de la science, au simple bon sens et aux droits de l’homme pour leurs profits et ceux de Big Pharma.

Mais leur dernier croquemitaine (Omicron) que les médias montent en épingle risque fort de les décevoir en mettant définitivement fin au coronacircus.

En effet sa plus grande contagiosité va progressivement le rendre dominant en 2022. Or il est très peu mortifère et son installation devrait progressivement réduire la mortalité vers zéro comme tendent à le démontrer l’Afrique du Sud et la Grande-Bretagne.

Il pourrait représenter le vaccin idéal : naturel, gratuit et efficace pour la vie.

Vive le variant omicron et n’en ayez pas peur ! Il va nous libérer.


 

PDf
  1. [1] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2021/03/BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.[]
  2. [2] BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.[]
  3. [3] Ivermectine for COVID-19: real-time meta analysis of 75 studies Covid Analysis, Jan 17, 2022, Version 172
    https://ivmmeta.com[]
  4. [4] nouvelle bithérapie d’anticorps monoclonaux contre la Covid-19, autorisée en accès précoce sur le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament[]

 

Le passe accélère-t-il la progression de l’épidémie ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

L’état pitoyable actuel de la France n’est pas dû au virus,[1] mais avant tout aux mesures prétendument sanitaires qui nous été imposées pour soi-disant éviter la submersion du système hospitalier.

Le caractère dogmatique et politique des mesures devient encore plus évident avec l’imposition du passe en France sans considérer ses résultats sur l’évolution de l’épidémie dans les pays qui l’ont instauré avant nous.

Ce résumé court vise à combler cette lacune en s’appuyant sur les chiffres officiels de l’OMS et leurs transcriptions en courbes par l’université John Hopkins.

 

Les données de l’OMS prouvent que le passe est médicalement dangereux

Quelques pays européens ont imposé le passe à leur population depuis plus de deux mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que cette mesure, loin de ralentir les contaminations, paraît les exacerber.

 

 

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22

 

 

 

La Grèce a imposé le passe en espérant attirer ainsi les touristes étrangers

 

 

 

Malheureusement le passe a été suivi par la multiplication par 5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %)

 

 

La Tchéquie a instauré le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

 

 

 

 

En Roumanie le passe a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

 

 

 

Au Danemark la mise en route du passe a été suivi par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.)

 

 

 

 

Depuis lors, le Danemark a supprimé le passe.

 

 

Ainsi dans tous les pays champions du passe, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations

L’échec du passe a été également observé dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un passe.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur passe sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le passe n’empêche pas les clusters d’apparaître.

Malgré le passe sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

 

Comment peut-on expliquer ces échecs cuisants du passe partout où il est utilisé ?

 

Le concept du passe repose sur les hypothèses que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

Les porteurs de passe, victime de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec passe aux Pays-Bas comme en Catalogne.

 

 

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le passe, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne.

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le passe l’accélère.

Le Danemark dont la situation sanitaire actuelle ressemble beaucoup à la nôtre vient d’abandonner le passe. On ne comprend pas que notre gouvernement s’obstine à l’imposer, niant ainsi le monde réel.

  1. [1] L’épidémie de grippe asiatique de 1958 a entraîné le même nombre de victimes, mais le gouvernement de l’époque s’est efforcé de ne « pas ajouter l’hystérie à l’épidémie » et la crise s’est terminée sans mesures autoritaires ni conséquences économiques, psychologiques[]

 

 

source Le passe accélère-t-il la progression de l’épidémie ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) par le docteur G Delépine

 

 

GAULOIS REFRACTAIRES ET OBLIGATION « VACCINALE »

 

Les sans-dents et les riens répondent aux journaleux de la secte Covidiste

Un de nos collègues fidèle à Hippocrate, dont les patients covid sont en vie grâce aux traitements précoces, nous conseille de partager sa conclusion : « Bon vent à toutes et tous et faites savoir qu’entre 40 euros d’un traitement inoffensif et le cout du réa et des obsèques, il n’y a pas photo ». Merci Bernard.

Le jour des règlements de comptes arrive déjà en Inde. Pourquoi notre ministre de la Santé et notre premier ministre ne s’inquiètent-ils pas du sort de la responsable de l’OMS indienne mise en accusation ? Les négationnistes et censeurs des traitements précoces responsables de milliers de morts par absence de traitements adaptés et peu chers, devront rendre des comptes.

Le journal l’observateur du Maroc et de l’Afrique informe que[1] le 25 mai, l’Indian Bar Association (IBA)[2] a intenté une action en justice contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’OMS en Inde, l’accusant « d’avoir causé la mort de citoyens indiens, en les trompant sur l’ivermectine. »

Le 10 mai 2021 elle a diffusé un tweet trompeur contre l’utilisation de l’Ivermectine entraînant, le lendemain, dans l’État du Tamil Nadu le retrait de l’ivermectine du protocole de soins recommandé par le ministère de la.  Si le Dr Soumya Swaminathan était déclarée coupable, alors elle pourrait être condamnée à la mort ou à la prison à vie.

L’avocate Dipali Ojha, principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes Le mémoire accuse le Dr Swaminathan d’avoir commis une faute en utilisant sa position d’autorité sanitaire pour servir les intérêts particuliers de la lucrative industrie des vaccins.

 

Invoquer l’autorité ne suffit pas toujours pour se disculper

L’argument classique des criminels nazis pour récuser leur responsabilité personnelle « je n’ai fait qu’exécuter les ordres » suffira-t-il à la juger « responsable mais pas coupable » ? Lorsqu’on rappelle les procès de Nuremberg de 1947 contre les médecins nazis ayant fait des expériences en particulier sur les vaccins, on nous rétorque cela est « dépassé et sans valeur juridique ». Dépassé et depuis quand et pourquoi ? En tous cas, des médecins furent pendus ainsi qu’un journaliste considéré comme complice de leurs expériences médicales criminelles en particulier vaccinales.

Quant à la valeur juridique du code de Nuremberg nié par certains avocats probablement débordés, les conventions régulières de l’Association Médicale Mondiale réunissant les médecins du monde entier ont confirmé la valeur éthique du code de Nuremberg et conforté sa valeur juridique internationale, opposable aux états, lors de la conférence d’Oviedo.[3][4]

LA CONVENTION D’OVIEDO EST JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTE pour tous les états signataires.

 

Lisez l’excellente analyse juridique d’un professeur de Perpignan pour vous en persuader

http://www.revuedlf.com/droit-administratif/sur-la-liceite-dune-obligation-vaccinale-anti-covid/? fbclid=IwAR1aXilFWmLyBOfWlIdx9WKAAnLxF9hlvF7NwpBYnv1Tskt1CU6hz4N0LuM

 

 L’exemple médicolégal du vaccin contre la dengue

Récemment les médecins et politiques philippins qui ont favorisé une publicité mensongère et organisé une vaste campagne de vaccination contre la dengue, (dengvaxia) à l’origine de nombreux décès d’enfants ont perdu leur poste, ruiné leur carrière et certains sont en procès pénal.[5] L’immunité du pouvoir n’est jamais garantie. Nos politiques, médecins et ministres actuels qui ont, parait-il, peur des procès ne devraient pas s’exposer aussi imprudemment.

 

Les vaccins anticovid ne sont commercialisés que parce que les dirigeants nient les traitements précoces et que les médias se soumettent à la doxa officielle

Place aux traitements précoces et stop à l’absurdie des injections géniques en essai

L’absurde situation actuelle en France est due à l’entêtement du ministre de la Santé refusant de reconnaitre les traitements précoces efficaces utilisés dans plus de la moitié du monde, et la complicité agressive de journalistes ou éditorialistes.

 

La propagande a remplacé le journalisme

Des journalistes transformés en propagandistes du pouvoir tancent les réfractaires aux pseudovaccins, sans se demander une seconde pourquoi, les soignants et de plus en plus de sportifs de haut niveau refusent cette injection expérimentale qui, compte tenu de leur âge jeune, ne peut leur apporter aucun bénéfice personnel.

Les envolées lyriques d’une avocate sur Cnews chez Pascal Praud le 29 juin 2021 laissent pantois.  « Comment peut-on refuser le vaccin ? » s’égosille -t-elle ? En évaluant objectivement sa balance avantage/risque sa genèse éclair, ses essais bâclés, pas terminés, ses composés, ses effets réels, ses conséquences dont les 16000 morts européens recensés après cette vaccination juste pour avoir fait confiance aux médias serviles. 16000 malheureuses coïncidences ?  Statistiques de l’agence européenne du médicament EUDRAVIGILANCE déjà traitées de complotistes par des lecteurs peu attentifs !

Les pseudo vaccins anticovid ne sont justement pas des vaccins, mais des drogues expérimentales en essai thérapeutique phase 3 et ce au minimum jusqu’en 2023.

Utiliser Pasteur comme caution est lui faire injure.

 

Les soignants savent que ces injections sont en essai

Comment faire grief aux personnels de santé de leur réticence au pseudovaccin Covid et soutenir une obligation qui n’empêche pas ni d’attraper ni de transmettre la maladie, ni les formes graves contrairement à la propagande ?[6] Beaucoup se sont retrouvés en arrêt de travail sans comprendre, puisqu’on leur avait promis que le « vaccin » était testé, efficace et sans danger. La HAS a recommandé d’étaler les vaccinations et de ne pas injecter en même temps tout le personnel d’un même service de service, pour ne pas risquer l’arrêt du service. Et certains en sont morts comme l’interne en médecine de Nantes en parfait état de santé avant sa vaccination qu’il pensait altruiste. Un interne parisien a suivi.

 SOIGNANTS PAS COBAYES

Nous n’avons pas fait médecine ou choisi d’être infirmière, aide-soignante, kinésithérapeutes, orthophonistes ou infirmier auprès des personnes âgées en EHPAD pour servir de cobayes. Et en 2021, les journalistes osent faire la leçon de morale à ceux qui depuis longtemps et malgré la crise covid subissent humiliations et indifférence et la poursuite de la destruction de notre système hospitalier dans l’indifférence des ces même journalistes.

 

LES EFFETS SECONDAIRES SE MULTIPLIENT DANS LE SILENCE DES MEDIAS ET UNE CENSURE FEROCE avec L’INTERDICTION FORMELLE AUX SOIGNANTS DE PARLER

Les statisticiens de Cambridge indiquent dans the Times que la mortalité (infection fatality rate IFR) ne dépasse pas 0.085% des contaminés du COVID19 Autrement dit 99.915 % des personnes contaminés par le coronavirus n’en décèdent pas. Et l’expérience de l’Inde prouve que ce très minime % peut encore être abaissé si on n’interdit pas les traitements efficaces simples peu chers comme l’ivermectine.

Quand Claude Posternak (IFOP) vient dire que 99 % des vaccinés ne décèderont pas du virus, on le croit puisque les non vaccinés   sont déjà dans cette situation sans courir les risques des pseudo vaccins comme cette fille paralysée après vaccination, victime des illusions de ses parents médecins.

Les effets secondaires précoces sont bien là et on en voit monter régulièrement le nombre en consultant les bases de données officielles comme EUDRAVIGILANCE pour l’EMA (agence européenne du médicament) ou le site officiel VAERS pour les effets secondaires américains ou le MHRA pour la Grande-Bretagne. Pourquoi l’ANSM agence française du médicament vient-elle de bloquer la consultation des effets délétères dont les décès sur son site ? Transparence quand tu nous tiens …

 

Pourquoi tant de vanité, d’arrogance, de certitudes et de tant d’incompétence technique ?

Le syndrome des « bons opposants » ne les sauvera pas de la vindicte populaire

Comment ces journalistes ou éditorialistes osent-ils se permettre une opinion tranchée, voire violente, prêchant même la discrimination, pour défendre ces drogues expérimentales dont les premiers résultats des essais phase 3 n’arriveront qu’en 2023 ?

 

Comment la journaliste Apolline de Malherbe [7] ce 30 juin a-t-elle osé traiter les non vaccinés de « brebis galeuses » ? Savait-elle que l’Ivermectine, qui guérit la grande majorité des patients atteints de Covid, est le traitement de la gale ? Humour noir qui gratte un peu…

« Non-vaccinés récalcitrants : notre patience a des limites », Caroline Fourest, le 25/06/2021, Marianne : la médecine s’apprend-elle en moins de 18 mois puisque tous ces journalistes ont des idées bien arrêtées sur ce qui est bien pour le bon peuple incompétent, les sans dents de Hollande, ou les riens de Macron, et même le personnel soignant aussi ignorant probablement.

Un journaliste de BFM passe les bornes et recueille une volée de bois vert sur les RS : « En 2020, sur la Chine endeuillée, il tenait des propos racistes : « Ils enterrent des Pokémons ». Emmanuel Le Chypre, journaliste de BFMTV va plus loin cette fois : « On vous vaccinera de force. Je vous ferai amener par deux policiers au centre de vaccination. Parfaitement. Je suis très sérieux. » Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut ! »

Quelles compétences sur la sécurité et l’efficacité des substances, sur les contrindications éventuelles, la balance bénéfices-risques ? Ces propos sont dignes des pires totalitarismes du passé.  Trop, c’est trop, des internautes l’ont signalé au CSA « pour atteinte à la dignité humaine voire « incitation à la haine, à la violence et à la ségrégation ». Même ses collègues ne tolèrent pas : « à la suite des propos honteux d’Emmanuel Lechypre, je viens de saisir le conseil de déontologie journalistique et de médiation. Notre profession doit impérativement réagir à ce genre de dérive ».[8]

 Une manifestation est prévue le 3 juillet 2021 pour dénoncer cette dérive.

 

 

NI DROITE NI GAUCHE CONTRE LA DICTATURE SANITAIRE

Et les pseudo-polémistes de droite joignent leurs imprécations à celles des ayatollahs de gauche et du ministre Véran.

Elisabeth Lévy rédactrice en chef de Causeur écrit : « pourtant, que les personnels au contact des malades et des personnes fragiles soient vaccinées relève du bon sens. » Son bon sens à elle peut-être, mais pas les données actuelles de la science. O Veran a reconnu officiellement que le vaccin n’empêchait pas les transmissions ni les formes graves (réponse au Conseil d’Etat en mars).

Les journalistes et les autres mercenaires des vendeurs de vaccin prétendent qu’il « n’y a pas assez de Français vaccinés pour atteindre l’immunité collective. » Mais cette immunité collective post vaccinale que les épidémiologistes des plateaux télé nous proposent comme un Graal n’a jamais démontré son existence dans le monde réel pour les drogues anticovid actuelles.

Les dramatiques échecs de Gibraltar (115% de vaccinés) qui a vu les cas et la mortalité exploser depuis la vaccination

et celui des Seychelles confirment qu’il s’agit d’un mirage publicitaire.

Le gouvernement veut « aller chercher les récalcitrants et les oubliés. Des médecins de ville demandent la liste de leurs patients non-vaccinés en oubliant que le respect du secret médical constitue l’un des piliers éthiques de l’art médical. Ils attendent l’autorisation de la CNIL. « Ils l’auront », selon Véran.

Même Régis de Castelnau  » double vacciné » fait la promo des vax anti-covid sur Sud-Radio SANS PRECISER qu’ils sont EXPERIMENTAUX. « Ne comprend pas les réticences des Français. A -t-il lu les rapports d’EudraVigilance ? Lui aussi cautionne qu’on censure tous les experts vaccino-prudents ? »[9].

Et Thomas Porcher, l’économiste de gauche veut « rendre la vie difficile aux non vaccinés » sur les grandes Gueules sur RMC.

Les vrais opposants n’ont pas ou peu la parole sur les ondes qui les censurent férocement et traitent par ailleurs leur seul espace de liberté, le web de complotiste.  Le tour est-il joué ? Pas vraiment.

Droite, Gauche et les extrêmes, tous ensembles pour la dictature sanitaire qu’ils ont soutenus, nous laissant enfermer pour rien, en redemandant parfois plus qu’E Macron n’en imposait[10].

 

LE RESEAU SENTINELLE DEMONTRE QUE L EPIDEMIE EST TERMINEE

D’où relève le bon sens de vacciner pour une maladie disparue du radar du réseau sentinelle ? En semaine 2021s25, le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARSCoV-2 (COVID-19) vus en consultation de medecine générale estime à 0,3 cas pour 100 000 habitants, soit  170 nouveaux cas de COVID-19 en France ( pour 67 millions d’habitants !) ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux continue à diminuer depuis avril 2020

 

 

Rappelons que le risque vital pour les populations de moins de 65 ans est minimal, voire nul en dessous de cinquante ans et il existe depuis le début des traitements efficaces rapidement comme les antibiotiques macrolides avec zinc et vitamines, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui marche chez les Indiens, les Brésiliens et les Mexicains.

Pour « éviter la Peste », on vous donnera un chèque de 150 € ou une place gratuite à un concert ou à un match [11]

Certains organisent la vaccination express à l’entrée d’un match pour obtenir le tampon sur le pass pour avoir le droit d’entrer…. Consentement éclairé, souvenir d’un autre monde ?

 

 Mais si c’était vraiment la peste, vous seriez mort avant d’arriver.

Si la secte covid n’avait pas privée le peuple de son « bon sens », il aurait vite compris la mascarade. On ne soudoie pas un patient pour lui donner un traitement qui peut le guérir, on ne donne pas encore de cadeau pour qu’un malade accepte sa chimiothérapie. On ne donne pas de la chimiothérapie préventive à tous les Français au nom des 500 morts par jour du cancer.

 

La foire aux vaccins

Quelle pression exerce le ministre et/ou les propriétaires des médias pour que les journalistes sortent ainsi de leurs gonds, exposant au grand jour l’énorme marché et le marketing extraordinaire pour vendre ces pseudo vaccins expérimentaux, tous avec le même discours.

  1. Véran parla de peste… Imaginez-vous nécessaire d’organiser des grands rounds de vaccination, des rappels téléphoniques et des lettres de la sécurité sociale, si la Peste était dans nos villes et que nous marchions parmi les cadavres pour sortir de notre maison ?

Les éternelles répétitions sur les ondes des affirmations des vendeurs bateleurs des pseudo vaccins ne leur ont pas donné « la connaissance minimale » pour se faire un avis éclairé ! Peu importe, on répète la leçon marketing.

Typique phénomène de secte dont on aura du mal à sortir et dont une loi d’obligation vaccinale représenterait la caricature extrême, en dépit des lois Kouchner, Huriet, de la déclaration d’Helsinki etc. Aucun pays au monde, même la Chine, Israël ou la Grande-Bretagne n’a été aussi loin dans la folie dictatoriale.

La déclaration des droits de l’homme rappelle que la liberté individuelle est un droit inaliénable et « qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression. »

 MAIS L’ESPOIR RENAIT POUR LES PEUPLES

 Les gouvernants et leurs soutiens ne resteront pas impunis et sentiront le goût du boulet même si la justice est lente.

 Comment la plainte internationale déposée devant la Cour Pénale Internationale   sera- t-elle ressentie par ces gens qui se croient intouchables depuis trop longtemps ?

LE CSAPE COLLECTIF DES SYNDICATS ET ASSOCIATIONS PROFESSIONNELS EUROPEENS [12]  par dépôt Date : 28 juin 2021 Vu les articles 13.c et 15 du Statut de Rome a déposé une plainte dont le PDF joint est à lire en totalité :

« A défaut d’avoir favorisé tout débat en regard de la réalité et d’une abondante littérature scientifique internationale pour n’autoriser sur la scène publique que l’intervention et les avis de professionnels de santé en conflit d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, L’Etat français, par des lois liberticides qui se sont substituées à une véritable politique de santé publique mesurée et adaptée à un virus, a basculé dans un régime totalitaire, voire dictatorial au nom du Covid-19, par une généralisation de l’extorsion au consentement sur le test RT-PCR, sur le « VACCIN », par l’imposition du masque, la contrainte à résidence surveillée, en violation de tous les Traités et codes internationaux. Nous rappelons avec force que l’Etat français ne peut se soustraire au droit international applicable en raison de la situation sanitaire ».

 

Nous y reviendrons rapidement.

  LA PEUR VA CHANGER DE CAMP

PLAINTE_CSAPE-FRA-CRIME_CONTRE_HUMANITE

 

 

 

 

[1] 27 JUIN 2021 HAKIM ARIF

[2] IBA-PRESS-RELEASE-MAY-26-2021.pdf (indianbarassociation.in)

[3] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[4] La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (Convention d’Oviedo). Elle a été signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne Elle est entrée en vigueur le 1er décembre 1999.

[5] REGLEMENTS DE COMPTE AUX PHILIPPINES : responsables poursuivis pour « homicide par imprudence pour avoir facilité l’approbation hâtive du dengvaxia et la mise en place de la campagne scolaire de vaccination »

Les familles manifestent pour obtenir justice, accusent Sanofi d’avoir traité les enfants philippins en cobayes, et accusent les politiques et administratifs de corruption. Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen

[6] O. Veran : ces drogues expérimentales se sont révélées incapables d’empêcher les transmissions (aveu au conseil d’état fin mars).

 

[7] On se rappelle son Interview du pr Raoult auquel elle avait demandé s’il voulait la légion d’Honneur. Manque de chance il était déjà officier. Autrefois les journalistes préparaient leurs dossiers. Un autre monde, un monde d’amateurs comme dit fièrement le Président.

[8] Tweet de Antoine Gavory 30 juin

[9] Twitter

[10] Comme pour l’ouverture des écoles à laquelle Natacha Polony, marine Lepen, les France insoumise entre autres, s’opposaient sans raison scientifique pour le 11 mai 2020 conduisant le ministre à inventer des mesures liberticides à l’école qui ont bousillé l’apprentissage, et le psychisme des enfants.

[11] Mieux vaut répondre à un sondage rémunéré, moins dangereux a priori : Sondage Rémunéré, 150€ de cadeau ! Vous pratiquez une activité artistique (peintures, loisirs créatifs) ?

>> Répondez au sondage : https://bit.ly/3gZY4X8

[12] Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 – Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22

Nous contacter : csape.sg@hotmail.com – site : www.csape.international LEPILLER Patrice Cour pénale internationale Secrétaire général Oude Waalsdorperweg 10, COHEN Raphaël 2597 AK Den Haag, Pays-Bas Directeur juridique Unité des informations et des éléments de preuve Bureau du Procureur Par LRAR internationale n° RK 40 959 466 0 FR Par e. mail à : otp.informationdesk@icc-cpi.int

 

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STOP AU HARCELEMENT VIA SMS – VACCIN ANTICOVID

Non au harcèlement par SMS pour le vaccin covid, virus qui a tué moins de 0,1 % des Français[1]

 

 

Au secours Goebbels, roi de la propaganda d’Hitler est revenu.

 

La publicité mensongère du gouvernement sur toutes la chaines de télévision (payée par nos impôts), et les médias dominants est maintenant complétée par le harcèlement individuel sur notre propre téléphone par SMS.

 

Attention ne vous laissez pas manipuler !

 

Ces SMS comme les appels de la sécurité sociale pour passer des tests PCR ne sont en rien des obligations, mais des incitations répétées qui constituent du harcèlement (possiblement passible de poursuites ?)

 

Combien de victimes déjà de ce harcèlement honteux qui ont passé des tests PCR dangereux[2] inutiles couteux[3], ruineux pour la sécu et non fiables, les asymptomatiques positifs étant à 97 % des faux positifs ne montrant que des traces de virus non spécifiques et aucunement preuve ni d’une infection active à corona ni d’une contagiosité.[4]

 

Combien de fermetures de classes nuisibles aux enfants, d’arrêt maladie inutile et destructeur pour le citoyen bloqué (et non malade et non contagieux)[5] et pour les entreprises désorganisées, alors que les asymptomatiques ne contaminent jamais personne comme l’étude de Nature sur dix millions de chinois[6] l’a démontré s’il en était besoin.[7]

 

 

MONSTRUEUSE DESINFORMATION PLURIQUOTIDIENNE SUR LES TV

 

Cette vidéo montrant des petits-enfants qui courent embrasser leur grand-mère qu’on retrouve ensuite à l’hôpital est scandaleusement culpabilisante, mensongère[8] et honteuse !

 

Les enfants ne contaminent ni adultes ni enfants.

 

Les lits de réanimation ne sont pas encombrés davantage que les dernières années en dépit des nombreuses suppressions de lits réalisées ces dernières années et qui été poursuivies durant la pandémie. (300000 lits en trente ans).

 

Le traitement précoce du covid diminue fortement le risque d’hospitalisation.

 

 Pire encore, depuis mars 2020, les personnes âgées ne sont pas acceptées et mises rapidement sous Rivotril dans les EHPADs pour les « soulager » c’est -à- dire les euthanasier sans leur accord, ni ceux de leurs familles.  

 

NON ILS N’ONT PAS VOULU SAUVER LES ANCIENS

 CETTE PROPAGANDE EST MENSONGERE

 Ne vous laissez pas intoxiquer si on vous dit que les mesures imposées à tous le sont pour sauver les vieux ! Depuis le début de la pandémie, les personnes âgées ont subi des refus de traitement précoce et en cas d’aggravation des refus d’hospitalisation à l’hôpital et du Rivotril injectable et létal en cas de détresse respiratoire débutante suspecte !

 

 D’ailleurs de quoi discute-t-on à l’Assemblée nationale actuellement, non pas de légaliser l’usage de l’ivermectine, de la chloroquine et de tous les traitements précoces, mais de l’euthanasie.

Politique de mort contre la vie. Heureusement que des Français se réveillent et font de la musique en dansant dans les gares.

 

Il nous parait important de partager avec vous cette lettre que vous pourriez adresser à votre docteur s’il vous harcèle lui aussi (il y en a de nombreux en ce moment, probablement eux aussi harcelés par leurs instances sécurité sociale, ordre etc…)

 

« Voici un exemple de lettre-réponse à adresser à votre médecin qui, hypnotisé par le coronacircus vous incite à la vaccination sans s’embarrasser de la notion de consentement libre et éclairé. 

 

Lettre-réponse au médecin qui vous propose de vous piquer[9]

 

« Madame, Monsieur,

J’ai bien reçu l’invitation à recevoir un vaccin ARNm contre le SRAS-CoV-2 et vous en remercie.

Avant de prendre une quelconque décision y étant relative, j’aimerais que vous m’informiez1 en me répondant par écrit sur les points suivants qui me semblent fondamentaux :

  1. Me donner la liste complète des ingrédients des vaccins mis en circulation actuellement dans notre pays

 

  1. Me certifier que le vaccin que vous projetez de m’injecter ne contient pas de MRC5 (des cellules de fœtus avortés ou traces d’ADN humains), ce qui irait à l’encontre de mes convictions religieuses
  2. Me certifier qu’il n’y a aucun risque de réactions iatrogènes ;
  3. M’informer de toutes les contre-indications et de tous les effets secondaires potentiels, réparables ou irréparables, à court, moyen et long terme
  4. Me certifier de façon sans équivoque et de bonne foi, dans le respect de l’article 13 de la Convention d’Oviedo, que cette technologie n’a pas le potentiel de modifier l’ADN humain grâce à ce que l’on appelle la transcriptase inverse, qui permet explicitement le transfert d’informations de l’ARNm à l’ADN
  5. 6. Me certifier que ce vaccin ne contient pas d’inserts du virus VIH

 

  1. Me certifier que le vaccin ne contient pas de puce d’Identification par Radiofréquence (Rfid) ou de nanotechnologie se présentant sous une forme quelconque
  2. 8. Me certifier que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits
  3. Me préciser quels sont les autres traitements possibles pour lutter contre le SRAS-CoV-2, en détaillant les avantages et les inconvénients de chaque traitement, au sens de l’article 2 du Code de Nuremberg.

 

 

 

De plus, je vous prie de bien vouloir me répondre simplement, par oui ou par non, aux questions suivantes :

 

  1. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter de porter un masque ?
  2. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter la distanciation sociale ?
  3. Si je me fais vacciner, dois-je encore respecter le couvre-feu ?
  4. Si mes parents, mes grands-parents et moi-même sommes tous vaccinés, pouvons-nous nous étreindre à nouveau ?
  5. Si je me fais vacciner, serai-je résistant à la Covid et à ses nombreux variants et pour combien de temps ?
  6. Si je me fais vacciner, est-ce que j’éviterai les formes graves avec

hospitalisation, ainsi que la mort ?

  1. Si je me fais vacciner, serai-je contagieux pour les autres ?
  2. Si j’éprouve une réaction indésirable grave, des effets à long terme (encore inconnus) entraînant même la mort, serai-je (moi ou ma famille) indemnisé ? Et par qui ?

 

 

D’autre part, outre vos réponses, je compte m’informer de façon contradictoire par les indications données par les laboratoires et les experts officiels du gouvernement, mais également par des scientifiques indépendants et des témoignages de personnes ayant déjà été vaccinées : ce n’est que lorsque j’aurai recueilli toutes ces informations que je serai à même de vous remettre mon consentement libre et éclairé, après avoir évalué objectivement la balance bénéfices/risques.

 

Le cas échéant, je reviendrai vers vous, en ayant éventuellement sélectionné le vaccin qui me conviendrait le mieux. Je suis en parfaite santé et n’ai nullement l’intention de voyager, ce qui me permet de prendre un peu de recul afin de prendre une décision réfléchie et responsable, ayant toujours en mémoire le serment d’Hippocrate qui reste la pierre fondatrice de notre médecine :

 

 « primum non nocere ».

 

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.

 

Notes :

  1. « J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins ». Serment d’Hippocrate, version adaptée par le Conseil national de l’Ordre des Médecins de Belgique (juillet 2011).
  2. Loi du 22 août 2002 relative aux Droits du Patient– article 7 §2 : « La communication avec le patient se déroule dans une langue claire. Le patient peut demander que les informations soient confirmées par écrit. »
  3. « Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »
  4. « L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature. »

(Merci à Philippe L.)

P.J. Document au format PDF

 

 Un commentaire de Zorba44

 

Il serait bon d’ajouter à cette lettre une demande à votre médecin deux choses :

+ liste de ses conflits d’intérêts éventuels avec des labos pharmaceutiques
+ une copie de son attestation d’assurance professionnelle et les conditions générales et particulières des risques et des montants couverts

 

 VOICI CE QUE VOUS POURREZ DEMANDER A VOTRE MEDECIN !

 

Si vous voulez des informations complémentaires laissées de côté avant la pression monstrueuse que nous subissons, écoutez les vidéos de notre éminente collègue Alexandra Henrion Caude[10] « amoureuse de l’ARN » qui le connait bien :

« Je travaille depuis 12 ans sur l’ARN. Je suis une amoureuse de l’ARN… une adepte de ses capacités immenses… Je suis très malheureuse de ce qui se passe… Administrer de l’ARN à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie… C’est inconcevable compte tenu de la versatilité de cette molécule, sa capacité à interagir avec une multitude de molécules… Et d’ailleurs on a essayé ce genre de thérapie sur des malades… Si on n’y arrive même pas encore sur des malades, alors le mettre en œuvre sur une population saine… Ce n’est pas de la folie dans l’absolu, c’est de la folie dans les circonstances actuelles d’une dizaine d’années de développement et de connaissances qui s’accumulent. »

 

« L’essai de Pfizer se terminera en 2022… D’ici là, toute personne qui se fera vacciner sera un sujet d’un essai biomédical…. Un cobaye. »

[1]  Une récente étude John Ioannidis estime que l’infection fatality rate (IFR) dû à 0.15 % soit semblable à celui de la grippe saisonnière

[2] Académie de médecine les tests par prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque, https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19

https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/08/covid-19-les-tests-naso-pharynges-ne-sont-pas-sans-risque-previent-l-academie-de-medecine_6076072_3244.html

[3] Les dépenses liées à ces tests sont actuellement estimées à deux milliards d’euros

[4] L’OMS admet enfin que les tests PCR créent des faux positifs France Soir 1/1/2021

[5] Jonas F Ludvigsson   Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ;109(8) :1525-1530.  doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.

[6] Cao S et al Dépistage des acides nucléiques du SRAS-CoV-2 après le verrouillage chez près de dix millions d’habitants de Wuhan, en Chine. Nat Commun 2020 ; 11 : 5917. doi : 10.1038 / s41467-020-19802-w. pmid : 33219229

[8] Aucun cas d’une telle évolution n’a été décrit dans la littérature par ailleurs extrêmement improbable en l’état actuel de la science

[9] Lettre-réponse à adresser aux médecins qui vous proposent de vous vacciner (lemediaen442.fr) Publié le 28 mars 2021 par Olivier Demeulenaere

[10] Alexandra Henrion-Caude : « Utiliser de l’ARN sur des gens sains est une pure folie | « Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie (wordpress.com)

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Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée.

Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée.

merci à Alain Tortosa de nous autoriser à publier son texte in extenso  que vous pouvez retrouver sur le lien en fin d’article

 

 

 

Si lorsque le résultat d’un problème donne 1/3 et si en cours de math, vous donnez comme résultat
0,3 le professeur de mathématique vous dira que votre résultat est inexact.
Et si en revanche vous donnez 1/3 de litres à votre prof de physique, c’est alors celui-ci qui vous
dira que c’est faux.

La médecine n’est pas une science exacte, elle ne peut se résoudre avec des équations et des modèles mathématiques.
Est-ce inhérent à la discipline, est-ce parce que notre espèce est trop primitive pour comprendre,
est-ce du fait d’un nombre quasi infini de paramètres que nous ne maîtrisons pas…

Toujours est-il que nous en sommes là.

Mais quel rapport avec le Covid ?
(Les décès du Covid chez les moins de 30 ans)
Prenons par exemple la population des moins de 30 ans et regardons les statistiques officielles de
Santé Publique France (1)
.
Nous avons au 28 janvier, 55 personnes décédées depuis le mois de mars, soit 0,0002% des moins
de 30 ans sur deux saisons (2)
.
Voici donc un premier biais manipulateur ou pervers.
Il y a 2 ans, lorsqu’une personne avec le VIH décédait après avoir croisé une grippe, strictement
personne sur la planète n’avait l’idée d’attribuer sa mort à la grippe.
Le moindre rhume aurait pu tout autant lui être fatale !
Mais depuis 2019, une personne avec un cancer en phase terminale testée positive 3 mois
auparavant et qui décède augmentera les statistiques Covid.
Ce qui est tout bonnement inadmissible mais pour autant préconisé par l’OMS (3)  !
Il n’y a donc PAS 55 décès dus au Covid chez les moins de 30 ans en France et sur deux saisons,
mais moins de 8 si on se focalise sur les personnes sans maladies chroniques connues (4)
.
Ce qui nous donne un taux de mortalité de 0,000032% , soit 1 décès pour plus de 3 millions
d’habitants, plus que la ville de Paris !

En tant que mathématicien,  je pourrais vous dire que le risque de décéder du Covid pour une personne en bonne santé de moins de 30 ans est donc de UN sur 3,1 millions.
Mais il y a 1,7 fois plus de décès par an en France de personnes jeunes tuées par la foudre, que de
décès chez les moins de 30 ans en bonne santé (5)  !!!

Ils ont ainsi plus de risque de mourir de la foudre que du Covid !
Je voudrais aussi rajouter quil y a 10 fois plus de jeunes qui décèdent par an en s’étouffant lors d’un
repas que de morts du Covid
.
Si j’affirme en physicien que le risque de mourir du Covid pour une personne de moins de 30 ans en bonne santé, (et même en mauvaise santé d’ailleurs) est NUL alors vous pourrez me rétorquer que c’est mathématiquement et factuellement faux.

J’imagine le titre d’un média décodeur de l’information du Ministère de la Vérité qui dirait
« Vous ne pouvez pas affirmer cela, il y a eu des morts chez les jeunes ! »

Si pour vous détendre, je vous propose maintenant de vous servir une menthe à l’eau mais que je ne
dilue qu’UNE seule goutte de sirop de menthe dans 185 litres d’eau (7) (soit 1 goutte pour environ 750
verres ) et que je vous sers alors un verre de « menthe » …
Qui est le menteur ?
– Celui qui vous dit qu’il y a quand même de la menthe dans votre verre ?
ou
– Celui qui vous dit que c’est de l’eau sans menthe ?
Si pour éviter la critique des pseudos-décodeurs de l’information, nous annonçons que  le risque de
décès est quasi nul pour les moins de 30 ans en bonne santé…
… alors nous induisons dans la tête du public qu’il y a un risque alors qu’il est NUL
C’est exactement de même nature que de laisser entendre qu’il pourrait y avoir de la menthe dans
une eau dépourvue de menthe.
Imaginons donc le Dr Poussa face à un patient de 25 ans en pleine forme qui lui parlerait vaccin et
qui lui demanderait quel danger mortel représente le Covid pour lui.

Si le Dr Poussa lui disait « le risque est quasi nul pour vous » alors son patient pourrait entendre «
quasi » et non « nul » alors même que le risque est plus faible pour lui que de mourir d’un coup de
foudre ou 10 fois plus faible que de s’étouffer en avalant son repas !
Allez-vous lui préconiser de se nourrir en intraveineuse pour éviter ce « risque » de décès en
mangeant alors même que la solution de l’intraveineuse n’est pas sans danger ?!

Mettre en place une thérapeutique pour diminuer un risque nul, ne peut que l’accroître !

Je rajouterai un bref mot sur les moins de 65 ans.
Selon Santé Publique France, moins de 1500 personnes sans problèmes de santé connus, sont
officiellement décédées du Covid depuis le mois de mars, soit 0,003% de la tranche d’âge sur deux
saisons (8)
!
Les moins de 65 ans ont ainsi plus de risque de mourir en tombant dans un escalier que du Covid.
La réalité est donc que l’on ne meurt pas du Covid quand on a moins de 65 ans et que l’on est en
bonne santé !
Cela a été confirmé par les statistiques INSEE sur l’année qui confirment qu’il y a eu moins de décès
dans cette tranche d’âge en 2020 qu’en 2019, c’est bien ce que l’on appelle un risque NUL9 !
Une vérité mathématique statistiquement infinitésimale qui est rapportée est donc de nature à
introduire une contre vérité factuelle.
Ne tombons pas dans ce piège pour éviter la critique de manipulateurs malhonnêtes vendeurs de
peur.

(brefs rappels sur la maladie)
Le Covid participe, en n’étant qu’une des causes, au décès de malades chroniques et de personnes en
fin de vie.
La preuve en est que l’âge médian des décès est de 85 ans (10), soit supérieur à l’espérance de vie.
93% des personnes décédées ont plus de 65 ans.

Je peux statistiquement affirmer que le Covid ne tue pas mais participe au décès.
– Il ne diminue pas statistiquement l’espérance de vie des moins de 65 ans
Et
Il n’entraîne qu’une baisse de surplus d’espérance de vie chez des personnes qui ont
généralement dépassé leur espérance de vie.

 

Parlons maintenant des tests et des fameuses personnes dites « positives ».
Nous sommes confinés, masqués, privés de nos libertés fondamentales uniquement pour rendre
visible une maladie dont nous ignorerions totalement son existence sans les médias…
Sans ce cirque médiatique mortifère, nous ne verrions que des malades chroniques décéder et des
personnes en fin de vie s’éteindre avec « une sale grippe ».
Mais depuis le mois de mars 2020 tout individu en bonne santé est devenu « un tueur en série
potentiel ».
Les autorités ont inventé le « psychopathe asymptomatique tueur froid de grand-parents » âgé de 7
ans !
Cela pourrait faire sourire, si ce n’était si dramatique et maltraitant.

 

Parlons du taux d’incidence, mensonge numéro 1 de mon intervention du jour.

Au 28 janvier.
Le taux d’incidence officiel qui permet de nous assigner à résidence et ainsi de nous priver
de liberté était de 210 pour 100 000 (Nombre de positifs pour 100 000 habitants ) (11)
Ce nombre est un faux car on ne calcule PAS un taux d’incidence par rapport aux nombre de
positifs mais par rapport au nombre de malades symptomatiques.

Plus de 90% des positifs ne sont pas des malades et ne seront pas des malades.
Et donc moins de 10% des positifs sont des symptomatiques, des « malades » ou de futurs
malades, soit environ 21 cas pour 100 000.
La preuve en est donné par le réseau Sentinelles.
Selon lui, le taux d’incidence en semaine 3 est de 15 pour 100 000 habitants
(12) .
Il était de 19 cas pour 100 000 en semaine 2 et de 26 cas pour 100 000 habitants en semaine

1.
Pour la petite histoire, le nombre de cas de Covid ne fait donc que chuter depuis le début de
l’année selon Sentinelles.
Dans le même temps le Bulletin épidémiologique de Santé Publique France ne reprend QUE
les données de surveillance des Infections Respiratoires Aiguës (Covid et autres) qui elles,
sont en hausse depuis le début de l’année.

En résumé Santé Publique France manipule les informations pour faire croire à une
augmentation du taux d’incidence de Covid en ne publiant que les données de
l’ensemble des infections respiratoires, alors que le taux d’incidence de Covid ne fait
que baisser depuis le début de l’année.
Cela voudrait dire que pour les trois premières semaines de janvier ce n’est pas le variant anglais, sud-africains ou de Papouasie du sud qui prend le dessus en France mais des
infections respiratoires autres que le Covid !

 

 

Pour revenir au taux d’incidence de la grippe, on considère qu’il y a un début d’épidémie à
partir de 170 cas pour 100 000 habitants (pic épidémique entre 300 et 500 cas pour 100
000).
Des positifs, ce n’est pas des malades.
Pour la grippe on ne teste pas des personnes asymptomatiques pour compter les cas, on
compte des malades avec des symptômes.

Autre preuve…
Au 3 avril, au pic épidémique, le taux d’incidence officiel était de 51 pour 100 000 alors
même que nous étions au pic des personnes en réanimation (13).
Deux fois plus de personnes en réanimation qu’en ce moment avec un taux d’incidence
quatre fois inférieur !
Pourquoi ? Parce que l’on ne fabriquait pas de faux malades à la pelle, comme aujourd’hui.
On ne testait pas des millions d’asymptomatiques (et on ne testait même pas tous les
malades).
Enfin si les asymptomatiques des semaines précédentes détectés par Santé Publique France
étaient ne serait-ce qu’un peu contaminants ou de futurs malades, cela se traduirait
mathématiquement par une augmentation des cas rapportés par le réseau sentinelles dans les
semaines suivantes, ce que nous ne constatons absolument pas.
Le taux d’incidence de positifs ne fait que croître depuis 3 semaines alors que le taux
d’incidences de cas rapportés par le réseau sentinelle ne fait que baisser.
Donc nous avons un ensemble de preuves « de terrain » que les positifs ne sont ni des
malades, ni des futurs malades, ni des contaminants.
En a t-on alors quelque chose à faire de détecter des positifs ?

 

Bienvenue à Pervers et Manipul’Land !
On nous dit aussi que nous devons renoncer aux droits de l’homme et introduire le délit de bonne
santé officiellement pour ne pas saturer les réanimations.

Les Hospitalisations, mensonge numéro 2 de mon intervention du jour.
Santé Publique France annonce au 29 janvier que 11 155 personnes14 ont été hospitalisées pour
Covid en semaine 3.
Le problème est qu’il n’y a que 4 147 hospitalisations suite à un passage aux urgences !
Où sont passés les 7 000 autres ?
Nous trouvons un début de réponse sur le site gouvernement.fr rubrique nombre de personnes
hospitalisées et la petite note que voici :

« Nombre de patients atteints de Covid 19 actuellement hospitalisés (15). »
Chaque mot ayant son importance, il n’est pas inscrit « hospitalisés pour Covid » mais uniquement
« hospitalisés ».
Nous pouvons trouver une explication de texte sur le document des autorités de santé «

Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie (16) ».

Page 13 :
« En effet, il convient de préciser que l’outil SI-VIC ne permet pas de distinguer les patients
hospitalisés pour des formes graves de Covid, des patients admis à l’hôpital pour d’autres
raisons (opération planifiée, crise d’appendicite, etc.) et qui s’avèrent être également
infectés par le SARS-Cov2. Ces derniers ne représentaient probablement que très peu de cas
au début de l’épidémie, mais leur proportion a pu augmenter par la suite, sans que l’on
puisse quantifier ce phénomène. »

On ne saurait être plus clair…
Une personne qui rentre à l’hôpital pour une opération programmée et qui est testée positive lors de
son admission, et ce sans le moindre symptôme, et sans être transférée dans un service Covid,
entrera dans les statistiques de personnes hospitalisées pour Covid !

Si on ajoute au nombre de personnes transférées des services d’urgence vers une unité Covid, les infections nosocomiales officielles de 0,35% (17) et que l’on considère que 10% (nombre très
pessimiste) des personnes testées positives lors de leur admission seront par la suite hospitalisées
pour Covid déclaré alors…

Les autorités sanitaires assument que des personnes non malades sont considérées comme hospitalisées pour Covid !

Plus de la moitié (56% au moins) des hospitalisations officielles pour Covid sont mensongères.
Nous pouvons déduire que le nombre total de personnes hospitalisées en France pour Covid
en semaine 3 n’était pas de 27 041 mais de 11 836.

 

 

Les Réanimations, mensonge numéro 3 de mon intervention du jour.
Santé Publique France annonce au 29 janvier que 61% des lits de réanimations (18) sont occupés par
des patients Covid.
C’est tout simplement FAUX, un mensonge d’État assumé par celui-ci.

Les données officielles montrent que 16% des lits de soins critiques sont occupés par des patients
Covid.
Pour rappel, les lits de soin critique sont la somme des lits de réanimation, des lits de soins intensifs
et de soins continue (19)… et il y en a plus de 19 000 en France vs 5400 de réanimation.
Santé Publique France n’a JAMAIS, je dis bien JAMAIS, fourni le nombre de personnes en
réanimation pour Covid, seul le nombre de personnes en soin critique est donné par les autorités.

Vous pouvez aller vérifier mes propos sur le site gouvernement.fr pour vous en assurer.
On nous dit donc que nous devons empêcher la propagation du virus pour ralentir les contagions et
de fait que nous devons détecter et isoler les personnes positives pour éviter qu’elles ne contaminent
d’autres personnes.

Tout ça dans le but de ne pas saturer des lits de soin critique qui n’ont JAMAIS été saturés au niveau national… 36% de taux d’occupation selon les données officielles au pic épidémique.
Nous nous préparons donc à une nouvelle augmentation du confinement pour 16% de patients  officiellement en soin critique pour cause de Covid… oui 16%

La contagion chez les personnes jeunes en bonne santé, mensonge numéro 4 de mon
intervention.

Les enfants et les moins de 30 ans en bonne santé ont un risque NUL comme les chiffres officiels le
montrent.
Pourquoi devraient-ils éviter la contamination alors même que leur contamination participe à l’immunité naturelle de masse et protège de fait les personnes en fin de vie ou à risque ?

 

A quoi bon détecter une personne jeune, en bonne santé et sans symptômes ?
A quoi bon isoler une personne jeune à moins que vous ne désiriez contrecarrer la protection des
personnes à risque !

Partons maintenant de l’hypothèse délirante, car factuellement démentie, que le but du
gouvernement serait de protéger les personnes à risque.

Hypothèse folle parce que :
– De 1, il n’y a jamais eu la moindre politique en direction des personnes à risque.
– De 2, quand on confine dans un même lieu des personnes à risque malades et non malades
vous vous attendez à quoi ?
– De 3, quand vous les empêchez de sortir, de voir du monde, leur famille, de prendre l’air,
vous imaginez quoi ?
– De 4, quand vous interdisez ou mettez toutes les barrières possibles pour les traitements
précoces, quel est votre objectif ?
On nous dit pour cela que nous devons porter des masques, nous isoler, nous tester en masse, etc.

Abordons les tests RT-PCR et la prévention des contagions, mensonge numéro 5 de mon
intervention.
Un individu positif au rt-pcr nasopharyngé nous informe-t-il de la présence de virus vivant dans son
organisme ?
Absolument pas.
Le test peut détecter du Sars-Cov2 vivant, des traces de virus « mort » et n’importe quoi si
on pousse trop le nombre de cycles d’amplification.
Le Test-PCR nous informe-t-il sur la charge virale d’une personne ?
Ici encore absolument pas.
Et il demeure évident qu’une personne qui a quasiment aucun virus ne sera pas en capacité
de contaminer qui que ce soit…
Une personne asymptomatique (positive sans symptômes qui ne développera jamais la maladie) ou
une personne pré-symptomatique (positive sans symptômes et qui développera plus tard des
symptômes) est elle contagieuse ?

Une fois de plus, le RT-PCR n’apporte pas la moindre réponse !
Avoir une trace de virus n’est pas prédictif de la possibilité d’être contaminant ou pas.
C’est ainsi que l’on en vient à « confinons toute la population » et au délit de bonne santé.

Nos autorités n’ont pas la possibilité et probablement pas l’intention de déterminer qui est
contagieux ou pas.

Je vous rappelle que si elles reconnaissaient que les asymptomatiques ne sont pas contaminants
alors toutes les mesures liberticides et dictatoriales s’effondreraient !
Plus de masques généralisés, plus de gestes barrières généralisés, plus de confinements généralisés, plus de commerces ou de loisirs fermés… un retour à la normale !

 

De fait, grâce au mythe de l’asymptomatique contaminant, une personne en bonne santé est
devenue, je le répète, un psychopathe potentiel… Nous nageons bien en plein moyen-âge !
Comment une personne asymptomatique, porteuse du virus, virus qui est un virus dont la
transmission est aéroportée ou indirectement par contact (exemple doigt dans la bouche puis sur
une poignée de porte, poignée touchée par une personne négative) pourrait contaminer son voisin si
elle ne tousse pas, ne mouche pas ou ne crache pas ?
Personnellement je n’ai pas besoin d’études en double aveugle pour me dire que cela ne va pas être
facile, facile pour le virus de contaminer le voisin.

Je peux vous affirmer sans risque et sans peur des décodeurs et autre manipulateurs que les
asymptomatiques ou les pré-symptomatiques ne peuvent pas constituer un circuit de contagion
significatif.
Notons au passage que la Suède a des résultats identiques à la France sans confinement, sans
masques et avec des restaurants ouverts.

Si la contamination asymptomatique était significative, la Suède devrait avoir une hécatombe

Et pour ceux qui sont rassurés par des études, celle de Wuhan sur environ 10 millions de personnes
suivies nous confirment bien que les asymptomatiques ne sont PAS (rappelez-vous de l’importance
de ne pas prendre pour réalité ce qui est statistiquement marginal), ne sont PAS contaminants, ce
qui demeure totalement logique et vérifié !
Vous pourriez me rétorquer, et notamment à propos des pré-symptomatiques que ceux-ci pourraient
avoir le virus dans la bouche sans pour autant tousser et cracher et ainsi contaminer autrui …

Pour répondre à cette question…
Est-ce que le test rt-pcr nous apporte une réponse ?
Non…
A l’inverse, une personne avec un rt-pcr négatif est-elle non contaminante ?

Vous n’en avez strictement aucune idée…elle a peut-être contracté le virus en touchant la
poignée de porte du centre où elle se rendait pour faire le test… Peut-être que les centres de
tests sont les plus importants clusters… et il serait alors peu probable que les autorités
communiquent sur le sujet.
Comment savoir si un cas contact devenu malade a été contaminé par le fameux positif
identifié ou par n’importe qui d’autre ? Nous n’en avons strictement aucune idée !

 

Avant de poursuivre ma démonstration, je voudrais vous apporter quelques précisions sur le RT
PCR.
Le RT-PCR peut se faire au fond du nez (nasopharyngé) ou dans la bouche (salivaire)
Le test rt-pcr salivaire n’est pas pratiqué en France, pourquoi ?
Soit disant parce qu’il ferait trop de faux négatifs  (20.)..

Expliquez moi un peu, le gouvernement cherche à fabriquer des positifs pour nous terroriser, nous
masquer, nous vacciner ou il cherche des personnes potentiellement contagieuses ?
Ne serait-ce pas le test nasopharyngé qui ferait des faux positifs et non le test salivaire qui ferait des
faux négatif ?

Comment expliquez-vous que le test salivaire soit valide pour la grippe (21) mais pas pratiqué pour le
Covid ?
Alors même si nous vivons au moyen-âge avec un président du conseil scientifique, SCIEN-TI-FIQUE qui affirme que nous avons à faire à un virus intelligent et diabolique (22)… si si ce n’est pas une
blague…

Pouvez-vous m’expliquer comment une personne positive au RT-PCR nasopharyngé et négative au
même test RT-PCR mais cette fois ci, salivaire, pourrait être contagieuse alors même qu’elle est
asymptomatique, qu’elle ne tousse pas, qu’elle ne mouche pas, qu’elle ne crache pas et, suivez-moi
bien, qu‘il est impossible de détecter la moindre trace de virus dans sa salive ?!
Cela me permet d’affirmer sans le moindre doute que si l’objectif des autorités de santé était de
détecter des personnes potentiellement contagieuses elles généraliseraient le test salivaire aussi bien aussi bien
rt-pcr qu’antigénique… Il y aurait moins de positifs et donc moins de faux-positifs…

Prendre la décision de mettre en œuvre quasi-exclusivement des tests nasopharyngés constitue une
preuve que l’objectif du gouvernement n’est pas la prévention mais la terreur.

Si nous voulions réellement prévenir la saturation des réanimations :
– Nous inviterions les personnes à risque à booster leur système immunitaire et prendre
des traitements préventifs.
– Nous testerions régulièrement les personnes à haut risque avec des tests salivaires et
culture virale si positifs.
– Nous inviterions les personnes à risque à se rendre chez leur médecin des les
premiers symptômes, médecins qui mettraient en place des traitements pour prévenir les
formes graves et avec une surveillance notamment de la saturation en oxygène pour détecter
une évolution défavorable de la maladie.
– Nous arrêterions totalement les tests pour les personnes qui ne sont pas à risque et
asymptomatiques.

Pour résumer :
Je réaffirme que les contaminations des asymptomatiques ou pré-symptomatiques sont nulles et si
elles existent, elles ne peuvent être que marginales.

Nous pourrions en savoir sans doute un peu plus en interdisant les tests nasopharyngés et en les
remplaçant par des tests salivaires.

Parler de risque de contagion asymptomatique est de fait du même ordre que de parler d’un risque
infime de décès pour les moins de 30 ans.
Rendre existant un fait statistiquement nul et non prouvé relève de l’erreur ou de la manipulation.

Le terrain nous confirme que les tests tels qu’ils sont pratiqués se servent qu’à fabriquer de la peur.
Je me répète mais transformer des asymptomatiques en tueurs potentiels n’a pour but que de rendre
visible une épidémie dont nous ignorerions jusqu’à son existence si les médias ne nous avaient pas «
informé ».

Le seul objet est de nous obliger à porter un masque et réduire drastiquement les droits de l’homme.
La manipulation systématique des données, les faire converger dans une seule direction,
promouvoir une vision la plus catastrophique possible et la plus éloignée de la réalité épidémique,
ne peut pas relever du simple hasard mais n’être qu’intentionnelle...

En revanche je ne dispose pas de réponses, disons plus de preuves à la question « qui » (décide) et «
pour quoi » (en deux mots).
Les mesures liberticides imposées ne sont de fait QUE politiques et ne visent en rien la santé des
français.

Alain Tortosa

31 janvier de l’an II de la dictature sanitaire.

https://7milliards.fr/tortosa20210131-asymptomatiques-perversion-chiffres.pdf

1 https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=19&i=covid_hospit_clage10.dc&s=2020-12-
31&t=a01&view=map1
2 Population Insee https://www.insee.fr/fr/statistiques/1892086?sommaire=1912926
3 OMS classification des décès https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-
20200423_FR.pdf
4 Comorbidités. Bulletin épidémiologique. https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
5 Foudre https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2534528-orage-foudre-definition-foudroiementdefinition-que-faire-eviter-risques-danger/
6 Décès de la vie courante http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2017/1/pdf/2017_1_1.pdf
7 Volume goutte eau https://fr.wikipedia.org/wiki/Goutte_(volume)
8 Pourcentage décès sans comorbidités Bulletin épidémiologique.
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
9 Insee décès 2020 https://www.insee.fr/fr/statistiques/4931039?sommaire=4487854
10 Age médian des décès https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
11 Taux d’incidence https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
12 Taux d’incidence réseau sentinelles https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/
13 Taux d’incidence en avril https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
14 Hospitalisations
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/315275/document_file/COVID19_PE_20210128_VF.pdf
15 Patients hospitalisés https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
16 Parcours hospitalier https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dd67.pdf
17 Infections nosocomiales https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
18 Taux occupation lits de réanimation
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/315275/document_file/COVID19_PE_20210128_VF.pdf
19 Patients en soin critique SR/SI/SC https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
20 Test salivaire « Viral Load Kinetics of SARS-CoV-2 Infection in Saliva in Korean Patients: a Prospective Multicenter Comparative Study » https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32776725/
21 Test salivaire grippe Comparison of Nasal and Nasopharyngeal Swabs for Influenza Detection in Adults
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3494547/
22 Virus diabolique https://www.bfmtv.com/sante/jean-francois-delfraissy-on-a-affaire-a-un-virus-diabolique-etbeaucoup-plus-intelligent-qu-on-ne-le-pense_VN-202101240184.htm

Les jeunes ne sont pas sacrifiés pour les vieux, mais pour la finance mondiale

 

 

Il y a une chose plus forte que toutes les armées du monde, c’est une idée dont le temps est venu.
– Victor Hugo

 

La dernière version de la propagande médiatique qui envahit les esprits même cultivés et intelligents serait que la génération des jeunes est sacrifiée pour sauver les boomers. Comment ont-ils réussi à intégrer dans leurs jeunes cerveaux ce mensonge monstrueux alors que le virus étant trop faible, il a fallu une grande ration de Rivotril pour euthanasier les vieux en Ehpad en cachette pendant que les visites étant interdites.

Il faut rester simple : exiger suppression de toutes mesures, qui ne sont que supercheries

Toutes les mesures sanitaires sont injustifiées et doivent être supprimées maintenant pour tous. Elles reposent sur l’illusion d’une pandémie, alors qu’il n’y a eu qu’une sorte de grippe habituelle en morbidité avec une mortalité inférieure à celle de la grippe asiatique. La supercherie actuelle vient du test PCR imposé par Merkel via son biologiste préféré, Drosten qui a déposé un article le 20 Janvier 2020, accepté le lendemain et déclaré méthode de référence par l’Oms le surlendemain. Une décision mondialiste, à la suite des accords du conseil mondial de l’OMS signés par 194 pays en 2017.
Enfin après de longs mois de dénonciations de l’absence de fiabilité de ce test pour évaluer la pseudo épidémie de covid, la fraude est avérée et affirmée par une plus de 20 scientifiques qui demande la rétractation de l’article de Drosten et l’abandon de ce test pour évaluer l’épidémie éventuelle. Des procès sont en cours en Allemagne, sous la direction de l’avocat Reiner Fuellmich.

 

 

Les enfants et les jeunes sont innocents du covid : laissez-les vivre

Les jeunes ne sont absolument pas responsables de cette épidémie factice. Les mettre en cause en leur mentant gravement, pour une soi-disant protection des sujets âgés est une honte absolue comme la publicité récurrente sur les tv de ces petits enfants qui contaminent leur grand-mère qui va mourir. Rappelons que les enfants ne sont pas contagieux et exceptionnellement malades et ne contaminent JAMAIS ni adultes ni autres enfants, comme l’expérience des Contamines l’a démontré en France. L’enfant contaminé par un adulte de Singapour n’a contaminé aucune des 172 personnes qu’il a côtoyées, même pas sa fratrie et l’épidémie n’a pas franchit les murs de son chalet
Aucune mesure actuelle comme la fermeture des lieux de culture, des bars des restaurants, des discothèques, des salles de sport, des piscines et plus largement de TOUS LES ESPACES DE VIE DES JEUNES ET MOINS JEUNES N’A D’INTERET SANITAIRE. Il faut exiger leur ouverture immédiate par pression sur les gouvernements qui obéissent aux mêmes ordres de l’OMS et Davos .

 

Les faillites sont programmées de même que les confinements successifs

L’épidémie n’est qu’un prétexte pour une vaste mise en condition de la population pour imposer des faillites en série (les restaurants et bars devront avoir fermé à 75 % en juin selon le président klaus Schwab du forum international économique de Davos , et régénérer la finance internationale comme lors des deux guerres mondiales initiées par les mêmes groupes de milliardaires.
Rien à voir avec un virus, la grand-mère et le chaperon rouge. Tout cela est mystification qui apparait de plus en plus au grand jour car les inspirateurs de ce projet funeste comme Gates, Attali et autres s’en sont vantés trop vite, espérant avoir réussi leur coup. Le virus qui devait nous faire peur s’est vite tassé et surtout le pr Raoult a vite démontré l’efficacité de l’hydroxychloroquine et de nombreux pays africains ont décidé de ne pas obéir à l’OMS et utilisé les antipaludéens qui ont stoppé l’épidémie dans ces pays. Les petits cailloux dans la chaussure.

 

Les vieux n’ont aucunement été protégés pendant cette année par les gouvernements
Arriver à faire croire aux jeunes et moins jeunes que nous sommes dans cette privation de liberté pour protéger les ainés est une prouesse de communication des gouvernements mondialistes et des médias complaisantes dont la propagande est fort efficace.

 

De fait, malgré l’efficacité du traitement précoce qui aurait évité la grande majorité des hospitalisations, le traitement par hydroxychloroquine a rapidement été calomnié, puis interdit. Les malades ont été invités à rester chez eux avec pour seul traitement le toxique du foie, le fameux Doliprane, puis refusés d’hospitalisation s’ils étaient jugés trop vieux. Le décret signé Edouard Philippe et Véran fin mars a donné injonction aux médecins des Ehpad et d’hospitalisation à domicile de « soulager » rapidement les patients SUSPECTS de covid (et non démontrés covid) par injection létale de Rivotril, soit de les euthanasier sans témoins, les visites étant interdites sous prétexte de limiter la transmission de ce virus ; transmission qui aurait pu être évitée par hydroxychloroquine mais aussi antibiotiques et vitamines C, D et zinc. Des malades ainés ou handicapés ont été privés de leurs bouteilles d’oxygène qu’ils avaient à domicile et dans certains Ehpad la distribution de vitamine D stoppée. Comme quoi ils savaient.

 

La force de la communication mensongère.

Non les jeunes ne sont pas sacrifiés pour les ainés qu’on pousse au contraire dans la tombe

Comme arrivent-ils à faire se disputer des familles pour savoir si on sauve la vie du grand père au prix des grandes frustrations de plus jeunes, alors que le pouvoir a refusé de soigner ces ainés, et pire encore les a maltraités, au sens juridique du terme, en leur refusant la seule chose à laquelle ils tiennent, leurs relations avec leurs enfants et petits-enfants.
Loin d’occuper des lits qu’on leur refusait (et au passage le plus souvent vides) ils se sont ratatinés sur eux-mêmes privés de leur dose de tendresse indispensable à la vie. Ils se sont laissé mourir bien souvent de désespoir, lassitude de l’attente et de l’incompréhension (se croyant de fait abandonnés par leurs proches). Ces syndromes de glissement menant à la mort seule, non accompagnée ni pendant l’agonie, ni aux obsèques ont bien arrangés les statistiques puisque le plus généralement notés covid selon de multiples témoignages.

 

Alors les jeunes, ouvrez les yeux ! NE VOUS LAISSEZ PAS MANIPULER

Les confinements que vous avez suivis trop sagement ne sont que conditionnement à l’obéissance comme le masque démontré inutile et fort toxique ; il est temps de réagir.
Croire que quelques babyboomers vous sacrifient pour durer est une erreur. Effectivement l’élite mondialiste qui veut la ruine des classes moyennes tous âges confondus comprend des anciens qui ne décollent pas des plateaux télé , mais des jeunes tout autant, les young leaders sélectionnés par les banques et le Bilderberg. Et n’oubliez pas qui tient les manettes dans notre pays, le Président et son âge est 42 ans, pas vraiment le prototype du baby boomer.

Et rappelons une nouvelle fois : « « Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste » avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931. »

 

reinfocovid https://youtu.be/5tPbuiXsfhE

, ,
Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques

 

Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, procédures en cours

 

 

Vers le Nuremberg du Covid :  les procédures en cours

 

 En Autriche, la Cour constitutionnelle a rendu une ordonnance le 12 novembre 2020, non seulement pour clarifier la séparation des pouvoirs et souligner que le pouvoir législatif doit être impliqué, mais aussi pour qu’il y ait une discussion approfondie où les deux parties sont entendues (d’autres scientifiques que ceux oints par le gouvernement, leurs opinions doivent également être prises en considération).

 

Au Portugal, la cour d’appel a confirmé en novembre que le test PCR ne peut en aucun cas justifier un isolement d’une personne de surcroit non malade.

 

Nous avons informé les lecteurs de France Soir[1] de l’aventure portugaise de quatre allemands isolés sous contrainte dans un hôtel sous le fallacieux prétexte que l’un d’entre eux avait un test PCR positif à l’arrivée de l’avion (négatif au départ). La plainte de ces personnes retenues et isolées de force en raison d’un simple test positif a été très utile à l’ensemble des populations de la planète soumise à cette hégémonie d’un test que son inventeur H Mullis[2] estimait lui-même absolument inadapté pour poser un diagnostic d’une infection virale. La justice a donc statué sur l’enfermement illégal des plaignants et ordonné leur libération[3].

 

 

 

Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR [4]

 

Les principales conclusions juridiques sont :

 

Le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire

 

 La justice n’a pas vocation à poser un diagnostic en lieu et place d’un médecin

 

 Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins

 

 Le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens.

 Elle n’est pas respectée car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes [5].

 

 

 En Allemagne : Le château de cartes va s’effondrer par la mise en cause des tests PCR

 

 

 

L’analyse de la commission d’enquête parlementaire allemande et internationale extra- parlementaire [6] [7]  a amené aux conclusions suivantes :

 

 

 

Les confinements furent inutiles et le sont toujours !

 

La commission confirme ici les analyses publiées dès le 20 mars et jusqu’à maintenant [8] [9]  [10]affirmant que le confinement aveugle est inutile et toxique, ce que de nombreux auteurs dans le monde ont également affirmé, publié, déclaré dans nombre de vidéos.

 

« 1. Des confinements ont été imposés à un moment où le virus reculait déjà et où les taux d’infection commençaient à baisser.

 

  1. Les preuves scientifiques montrent qu’une majorité de personnes bénéficient déjà d’une immunité contre le virus en raison de l’immunité des lymphocytes T à réaction croisée contre l’exposition aux virus du rhume et de la grippe

 

  1. Le test PCR – qui sert à mesurer les taux d’infection et à justifier les mesures restrictives – « ne donne aucune indication d’une infection par un virus, encore moins une infection par le SRAS-CoV-2 ».»

 

Le conseil du dr Reiner Fuellmich :

 

« Aux politiciens, qui croient ces gens corrompus, ces faits sont offerts comme une bouée de sauvetage, qui peuvent vous aider à réajuster votre ligne de conduite et à entamer le débat public scientifique attendu depuis longtemps et à ne pas tomber avec ces charlatans et ces criminels. »

 

La fraude du test PCR

 

Le test PCR n’a pas été approuvé à des fins de diagnostic. Son inventeur, Kary Mullis, a souligné à plusieurs reprises, mais sans succès, que ce test ne devait pas être utilisé comme outil de diagnostic.

 

« Les tests PCR sont tout simplement incapables de diagnostiquer une maladie … Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente. Si une personne est testée positive, cela ne signifie pas qu’elle est infectée par quoi que ce soit, encore moins par le virus contagieux du SRAS-CoV-2. Même le CDC des États-Unis… est d’accord avec cela et je cite directement la page 38 de l’une de ses publications sur le coronavirus et les tests PCR du 13 juillet 2020.
La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques.
Les performances de ce test n’ont pas été établies pour le suivi du traitement de l’infection au 2019-nCoV.

Ce test ne peut pas exclure des maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Les écouvillons PCR prennent une ou deux séquences d’une molécule qui sont invisibles à l’œil humain et doivent donc être amplifiées en plusieurs cycles pour la rendre visible. Tout > 35 cycles est  considéré comme totalement non fiable et scientifiquement injustifiable. »

Cependant, le test Drosten ainsi que les tests recommandés par l’OMS… sont fixés à 45 cycles. Est-ce que cela peut être dû au désir de produire autant de résultats positifs que possible et de fournir ainsi la base de l’hypothèse erronée qu’un grand nombre d’infections ont été détectées ?  » se demande l’avocat Reiner Fuellmich
Les tests PCR ne peuvent pas faire la distinction entre virus inactifs et « vivants » ou reproducteurs. En conséquence, ils peuvent ramasser des débris morts ou des particules virales inactives qui ne présentent aucun risque pour le patient et les autres.

 

Le test peut détecter la présence d’autres coronavirus, donc un résultat positif peut simplement indiquer que vous avez récupéré d’un rhume dans le passé. Nombre d’entre nous ont déjà donné toutes ces informations et espérons que le fait qu’elles viennent d’une grande instance internationale convaincra plus de personnes encore adeptes malgré elles de la secte Covid.[11]
« Même Drosten[12] lui-même a déclaré dans une interview accordée à un magazine économique allemand en 2014… que ces tests PCR sont si sensibles que même des personnes en très bonne santé et non infectieuses peuvent être testées positives », note Fuellmich.
« À mon avis, il est tout à fait invraisemblable que [Drosten] ait oublié en 2020 ce qu’il savait des tests PCR et a dit au magazine économique en 2014. Bref, ce test ne peut détecter aucune infection, contrairement à toutes les fausses allégations selon lesquelles il le pourrait. »
Une infection, une soi-disant infection avec fièvre, nécessite que le virus… pénètre dans les cellules, s’y réplique et provoque des symptômes tels que maux de tête ou mal de gorge. Ce n’est qu’alors qu’une personne est réellement infectée, au sens d’une infection avec fièvre ; car ce n’est qu’alors qu’une personne est contagieuse, c’est-à-dire capable d’infecter les autres.
Jusque-là, le virus est totalement inoffensif pour l’hôte et toutes les autres personnes avec lesquelles l’hôte entre en contact … Un certain nombre de scientifiques hautement respectés dans le monde affirment qu’il n’y a jamais eu de pandémie de la corona mais seulement une pandémie de test PCR … »[13]
Dommage collatéral
La pandémie n’a pas entraîné un nombre supplémentaire de décès ou un nombre de morts plus élevé que la normale, MAIS les dommages collatéraux des mesures de riposte à la pandémie sont presque incalculables.

 

La santé publique, tant physique que mentale, ainsi que l’économie mondiale, ont toutes subi des coups terribles.

 

ARTICLE DE LA FAUSSE ALERTE

 

Fuellmich cite un document divulgué par un fonctionnaire allemand du ministère de l’Intérieur, surnommé « l’article de la fausse alerte » : « il n’y a aucune preuve suggérant que le SRAS-CoV-2 pose un risque grave pour la santé de la population, du moins, le danger n’est pas plus grand que celui de nombreux autres virus, tandis que les mesures pandémiques ont des conséquences « multiples » et « graves ».

 

« Ceci, conclut-il, conduira à des demandes de dommages-intérêts très élevées, dont le gouvernement sera tenu pour responsable. Cela est maintenant devenu une réalité mais l’auteur du journal a été suspendu », a déclaré Fuellmich.
« De plus en plus de scientifiques, mais aussi d’avocats, reconnaissent qu’en raison de la panique délibérée et des mesures corona permises par cette panique, la démocratie est en grand danger d’être remplacée par des modèles totalitaires fascistes …

Selon les psychologues et psychothérapeutes qui ont témoigné devant le comité corona, les enfants sont traumatisés en masse, avec les pires conséquences psychologiques à prévoir à moyen et long terme ».

Rien qu’en Allemagne, de 500 000 à 800 000 faillites devraient frapper à l’automne les petites et moyennes entreprises qui constituent l’épine dorsale de l’économie. Cela se traduira par des pertes fiscales incalculables et des transferts d’argent de la sécurité sociale incalculablement élevés et à long terme pour, entre autres, des allocations de chômage. « 

 

Conséquences juridiques

Fuellmich passe en revue les conséquences juridiques actuellement en cours dont l’examen de la constitutionnalité des mesures. Il note :
« Très récemment, un juge, Torsten Schleife… a déclaré publiquement que la justice allemande, tout comme le grand public, était tellement paniquée qu’elle n’était plus en mesure de rendre la justice correctement. (…). » Il souligne que les citoyens allemands
subissent actuellement la réduction la plus grave de leurs droits constitutionnels depuis la fondation de la République fédérale d’Allemagne en 1949. »

 

 

 

Fraudes et manipulations intentionnelles

 

 

Fuellmich montre des preuves qu’«une gamme de mensonges et de fausses déclarations de faits ont été délibérément diffusées », de sorte que, selon les règles du droit pénal, « cela ne peut être considéré que comme une fraude » et « selon les règles de la responsabilité civile, cela se traduit par des dommages intentionnels. « [14]
Pour répondre à ces griefs, la commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona va intenter un recours collectif – un recours juridique disponible aux États-Unis et au Canada – contre les parties responsables.

« Il convient de souligner que personne ne doit se joindre au recours collectif, mais chaque partie lésée peut se joindre au recours collectif« , explique Fuellmich. 

« L’avantage du recours collectif est qu’un seul procès est nécessaire, à savoir, pour juger la plainte d’un représentant des plaignants qui est touché d’une manière typique de tout le monde dans le groupe. »

Les choses ont pris forme et la plainte a pu être déposée le 23 novembre

 

Voici le communiqué de presse : « Le test PCR va au tribunal »

 

Poursuite intentée à Berlin – infections non détectables :  communiqué de presse fourni par l’avocat Reiner Fuellmich [15]

 

« Le test PCR est suspendu comme une épée de Damoclès sur des millions d’Allemands depuis des mois.

 

 Selon le résultat, il existe un risque d’interruption massives dans la vie quotidienne.

 Ce test a maintenant trouvé son chemin vers les tribunaux : une action a été déposée auprès du tribunal régional de Berlin.

 L’argument principal : le test n’est ni adapté ni destiné à la détection d’une infection. Et cela rend la chaîne : test positif – infecté – contagieux, fausse et donc dangereuse pour les autres

 

 

Première étape : le procès en diffamation

 

 

Globalement, la plainte de 54 pages aborde le procès en diffamation contre le site Web « Volksverpetzer ». Ce dernier en tant que « vérificateurs de faits », a insulté des personnes qui s’expriment de manière critique à propos des mesures corona et les ont diffamées en les qualifiant de menteurs, d’idiots et d’extrémistes de droite.

 

 

 Par exemple, le spécialiste du poumon bien connu Dr. Wolfgang Wodarg, ancien chef d’un service de santé et membre du Bundestag et du Conseil de l’Europe.

 

 Avec la grippe porcine, il a exposé les machinations de l’industrie pharmaceutique en 2010 et a probablement sauvé d’innombrables personnes du mal. Des centaines d’enfants vaccinés souffrent maintenant de narcolepsie. Début 2020, Wodarg a reconnu des parallèles inquiétants entre ce qui s’est passé alors et Corona aujourd’hui.  

 

Stratégie globale des avocats allemands

 

Cette action en diffamation n’est qu’une partie d’une stratégie plus globale : il s’agit essentiellement d’exposer l’utilisation incorrecte du test PCR.

 

« Nous voulons faire d’une pierre deux coups ici », a expliqué l’avocat, Dr. Reiner Füllmich, dans le bureau duquel la plainte a été rédigée sur la base des travaux préliminaires du Comité Corona de Berlin. Le lien est Wodarg, qui a également critiqué les tests.

 

« Le test PCR inadapté est la pierre angulaire de toute la débâcle corona. Cette pierre doit être brisée pour que tout le château de cartes s’effondre finalement », a déclaré Füllmich, expliquant le but réel du procès.

 

 

« Le test PCR est inadapté pour déterminer une infection » – c’est la conclusion unanime de plusieurs scientifiques de la pratique clinique et de la recherche quotidiennes.

 

En juillet, un groupe d’avocats composé de Viviane Fischer, Dr. Justus Hoffmann, Antonia Fischer et Dr. Fuellmich avait ainsi fondé le « Comité d’enquête sur la gestion di corona » de Berlin et a par la suite invité toute une armada d’experts de divers domaines spécialisés pour découvrir le contexte de la crise. Le test PCR a été discuté encore et encore.

 

 Les experts ont confirmé que le test PCR n’est pas adapté pour poser le diagnostic de Covid19, jugement critique est confirmé par le CDC – la plus haute autorité sanitaire américaine. Le test PCR recherche des extraits de virus.

 

Le CDC a déclaré : « La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou ni que le COVID-19 est l’agent causal des symptômes cliniques. »  L’agence conclut qu’une grande proportion de décisions sérieuses sont très probables est basé sur des résultats de test incorrects « .

 

Même l’industrie pharmaceutique avoue. Dr. Mike Yeadon, ancien directeur et scientifique en chef du géant pharmaceutique Pfizer, aurait déclaré : « Ce test est fatalement défectueux et doit être retiré immédiatement. » Les tests sont à environ 90% de faux positifs. Ils seraient « utilisés uniquement pour créer la peur ».

 

Une évaluation similaire vient du Canada : le professeur de médecine Roger Hodgkinson a récemment déclaré lors d’une audition au Parlement à Ottawa : « Je tiens à souligner que je suis actif dans l’industrie du dépistage du COVID. Je tiens à souligner que des résultats de test positifs ne signifient pas une infection clinique. Cela ne fait que susciter l’hystérie publique. » Le Risque pour les moins de 65 ans de mourir du COVID-19, est inférieur à un à 300 000 personnes.

 

 « Il y a une hystérie publique totalement infondée qui est menée par les médias et les politiciens. C’est la plus grosse fraude jamais commise contre un public sans méfiance. « 

 

L’inventeur du test PCR, le lauréat du prix Nobel Kary Mullis, décédé en 2019, a souligné à plusieurs reprises que le test PCR ne peut diagnostique une infection virale.

Même le virologue en chef allemand Christian Drosten, développeur du test PCR pour COVID-19, avait déclaré dans le « Wirtschaftswoche » en 2014 que le test PCR testerait également des personnes très saines et non contagieuses positives.

 

 

Depuis mi-janvier 2020, cependant, le « test Drosten » est l’outil utilisé pour évaluer les « personnes infectées ». Une contradiction flagrante.

 

 

En outre, la plainte indique clairement que, en particulier lors du développement du test Drosten PCR, qui a été vendu des millions de fois aux États-Unis sur la base de la recommandation de l’OMS, des erreurs flagrantes ont été commises.

 

 

 

 STRATEGIE PLUS GLOBALE

 

. « Ce procès n’est que le premier pas vers une stratégie encore plus large », a expliqué l’avocat Füllmich.

 

Après tout, toutes les mesures du confinement – avec des conséquences économiques et psychologiques dévastatrices – au déclin de l’éducation, de l’art et de la culture et à l’obligation de porter un masque, reposent sur ce test inadapté.

 

 Pour l’avocat, la crise corona est une « pandémie par étapes » qui constitue également une menace pour la démocratie et la liberté d’expression. Tout cela doit être traité légalement et les responsables doivent rendre des comptes. »

 

 

 

Füllmich travaille en étroite collaboration avec les autres avocats du comité Corona Viviane Fischer, Dr. Justus Hoffmann et Antonia Fischer, leurs conseillers médicaux Prof. Dr. Ulrike Kämmerer et Dr. Wolfgang Wodarg et leur conseiller juridique, le Prof. Dr. Martin Schwab.

 

Il existe également une coopération étroite avec des cabinets d’avocats renommés aux États – Unis – dont un groupe d’avocats dirigé par Robert F. Kennedy, jr. et sa défense de la santé des enfants – et le Canada ; les premiers procès y sont attendus ces jours-ci.

 

L’Autriche est également dans les starting-blocks avec un procès avec le même contenu. Un tribunal portugais a récemment levé les mesures de quarantaine en raison du test PCR inadapté, car il s’agissait d’une « détention sans fondement factuel ».

 

« Sur la base des données que nous avons méticuleusement collectées, tout avocat peut désormais travailler ici en Allemagne et à l’étranger », a déclaré Füllmich.

 

Cela s’applique à la fois à une attaque contre les tests PCR et aux poursuites judiciaires contre d’autres médias coupables de diffamation de personnes ayant une attitude critique. La valeur en litige du procès contre le « peuple perfide » est de 250 000 euros.

Ce communiqué de presse a été commenté dans la presse allemande, mais ne semble pas avoir franchi les frontières de la presse française grand public ni des médias télévisés (sauf France Soir).

 

Une  interview  Dr. Reiner Füllmich publié le 11 novembre 2020 dans le Fuldaer Zeitung et version  en ligne sur fuldaerzeitung.de . « Critique sévère du verrouillage de la covid19 : l’avocat Reiner Füllmich attaque le virologue Drosten et le patron du RKI Wieler   parVolker Nies[16]

En résumé, l’avocat Dr. Reiner Füllmich réclame des dommages-intérêts pour les entreprises qui ont subi des pertes en raison du confinement lié au covid par des Recours collectif aux États-Unis et procès devant les tribunaux allemands. Il accuse ceux qui disent que le test PCR permet de diagnostiquer les infections. Ce sont avant tout le virologue Prof. Dr. Christian Drosten et Lothar Wieler, président de l’Institut Robert Koch.

 Les poursuites visent également les politiciens qui se sont appuyés sur les conseils de Drosten et Wieler.

Au tribunal, les avocats demanderont pourquoi les politiciens n’ont pas également entendu d’autres experts – tels que le lauréat du prix Nobel et le professeur de Stanford John Ioannidis. Selon lui, le virus est beaucoup moins dangereux que Drosten et le RKI (robert koch Institute) le prétendent. Il a calculé que 0,14% des patients atteints de Corona meurent. Cela signifie que le coronavirus n’est pas plus dangereux que la grippe.                    

Les restrictions ont été ordonnées par les gouvernements fédéral et des États. Pourquoi ne les poursuivez-vous pas ?  Nous voulons que les personnes responsables – droit civil et pénal – soient responsables dans tous les cas. Nous commençons là où nous sommes sûrs de réussir.

De quoi accusez-vous les experts médicaux ?

Si nous pouvons prouver à MM. Drosten et Wieler devant le tribunal qu’ils ont délibérément menti, alors il y a des dommages immoraux intentionnels selon l’article 826 BGB. Lors de l’obtention des preuves, les politiciens devront bien entendu également répondre.      

Même si les conseils de Drosten et Wieler étaient erronés, ils ne sont pas responsables du confinement.

La politique pour le verrouillage du Conseil de Drosten et Wieler est familière.

 Les deux ont fait deux fausses déclarations : ils disent qu’il y a une infection asymptomatique – des personnes sans signe de maladie pourraient propager le virus – et l’infection peut sur la PCR – des tests sont détectés. Les personnes qui diffusent ces fausses déclarations en sont responsables.

 Nous serons devant la cour et prouverons que les tests PCR ne sont pas appropriés pour détecter une infection.                       

L’Institut Robert Koch explique que la précision du test PCR est de près de 100% s’il est effectué et évalué correctement. Mais il s’agit de la bonne utilisation.

 Dans le processus du test PCR, des traces du génome du virus sont reproduites – dans de nombreux cycles. En Allemagne, tous les tests sont évidemment ajustés à des valeurs élevées sur un grand nombre de cycles afin de produire autant de résultats positifs que possible. Cependant, un résultat positif ne signifie pas que la personne affectée est toujours contagieuse. Même les composants génétiques d’une grippe antérieure peuvent conduire à un résultat positif.        

Le problème est le nombre élevé de cycles dans l’analyse ?

Entre autres choses. Le « New York Times » rapporte que la majorité des vrais résultats de PCR faux positifs aux Etats-Unis sont basés sur des valeurs de cycles aussi élevées. Là, il est discuté de rejeter généralement les tests avec plus de 30 cycles. Le département de la santé de Francfort discute maintenant complètement correctement dans le but de tout ignorer à partir de 25 cycles.  Si le danger du coronavirus est de 0,14% [17]et donc au niveau de la grippe, et que les tests PCR sont pour la plupart faux positifs, alors quelque chose est exagéré de le présenter comme une maladie très dangereuse, ce qui n’est pas la vérité.

 Les tests PCR ne sont évidemment qu’un outil de panique

Pourquoi ne pas faire les tests correctement ? Alors pourquoi Drosten, contre son propre jugement, fait-il 45 cycles ? Pourquoi, contre un meilleur jugement, une seule séquence de gène est-elle généralement examinée – et non six, comme l’ont suggéré les Chinois ?

Leur méthode est beaucoup plus précise, mais c’est évidemment le but dans le monde occidental de produire autant de cas positifs, mais de faux positifs que possible. Cette pandémie est une pandémie de tests.           

Si les résultats positifs sont pour la plupart faux et que Coronavirus est aussi dangereuse que la grippe, comment se produisent les nombreux décès en Italie, en Espagne, aux États-Unis ?

Ici, en Allemagne, il n’y a aucune surmortalité d’une année sur l’autre. Cela est également dû au bon système de santé. En ce qui concerne les pays étrangers, la question du lien de causalité ne doit en aucun cas être simplifiée.

Abus dans le système de santé, traitements médicaux excessifs prescrits par peur et population particulièrement âgée en Italie – vous ne pouvez pas simplement tout attribuer au danger d’un virus sans examiner plus en détail les circonstances.

Mais il fallait évidemment des photos de panique pour garder la population sous le choc et empêcher quiconque de poser des questions. Ces images d’horreur venaient de Bergame et de New York. J’étais aux États-Unis à l’époque. J’y vis partiellement et je suis autorisé à pratiquer le droit en Californie.        

Mon ami Wolfgang Wodarg, pneumologue et ancien membre du SPD du Bundestag, entretient d’excellentes relations avec les médecins de New York. Certains hôpitaux n’étaient pas surpeuplés du tout.

Le navire-hôpital de 1 000 lits envoyé par les militaires était occupé par 20 ou 30 patients. Les hôpitaux touchés souffrent chaque année pendant la saison grippale de conditions que le professeur Ioannidis a qualifiées de « zone de théâtre de guerre ».       

Mais il y a eu non seulement de nombreux décès par corona à New York, mais partout aux États-Unis – 240 000 à ce jour.

330 millions de personnes vivent aux États-Unis, dont environ 7 300 meurent chaque jour, cela ne doit pas être oublié. Sur les 9,9 millions de personnes testées positives, environ 0,2% sont décédées. Cependant, il n’est pas précisé ici s’ils sont morts avec ou de covid.

Quand souhaitez-vous intenter une action en justice ?

Cette semaine. Aux États-Unis, notre équipe travaille avec l’avocat Robert F. Kennedy et son équipe.   Bob Kennedy et moi nous sommes rencontrés pour la première fois le 29 août à Berlin, lors de la manifestation contre les mesures liberticides en Allemagne.

Pourquoi poursuivez-vous aux États-Unis ?

En Amérique, il est beaucoup plus facile pour un grand nombre de plaignants de mettre en commun leurs intérêts dans un recours collectif. Il n’y a rien de tel en Allemagne. Le droit de preuve est également plus équitable aux États Unis lorsqu’un consommateur poursuit une puissante société.     

Qui sont les plaignants ?

Il existe plusieurs recours collectifs. Les plaignants sont principalement des entrepreneurs américains qui réclament leurs dommages. Au cours du procès, les plaignants diront qu’il y a des millions d’autres victimes dans le monde. Ils demanderont à toute personne lésée par les tests et les confinements de la même manière qu’elle soit admise en tant que plaignant. Les entreprises allemandes aussi.           

Où voulez-vous intenter une action en Allemagne ?

Nous poursuivons les responsables devant les tribunaux lorsque cela est possible. L’accusation permet d’intenter une action en dommages-intérêts devant les 200 tribunaux allemands, et cela va se produire maintenant. Nous représentons des entreprises qui disent : cela suffit, je veux savoir, et les coûts n’ont pas d’importance.     

Voulez-vous demander une indemnisation au tribunal ou poursuivez-vous un objectif politique ? 

Pour moi, il s’agit des deux – ou mieux : nous sommes un groupe de plus de 100 avocats. À l’origine, nous y sommes allés pour les dommages. Mais la question de la responsabilité politique est au moins aussi importante.    

 La demande de dommages-intérêts

Les procédures peuvent durer des années. Mais nous pensons que le cap sera fixé dès le début. Les tribunaux prendront les preuves, au sujet de la question : Que sont vraiment ces tests PCR ?  Nous supposons que les choses bougeront très vite si, par exemple, le lien entre Christian Drosten et l’entrepreneur Olfert Landt est discuté en public.      

Le 2 novembre, le tribunal de district de Dortmund a déclaré les restrictions liées au covid invalides car fondées sur une ordonnance du gouvernement et non sur une loi du Bundestag. Comment évaluez-vous le jugement contre lequel le procureur a déjà porté plainte ?

C’est un très bon jugement. Il est situé sur une ligne avec les décisions de l’Autriche en Cour constitutionnelle et de nombreux tribunaux américains

Le gouvernement peut prendre pour quelques jours des mesures d’urgence. Des coupes plus longues, comme nous l’avons fait et nous le faisons actuellement en Allemagne, ne peuvent être décidées que par le législateur. Il y a un débat public – même au – delà des questions : pourquoi un masque, et que montre un test PCR ?       

Le Bundestag souhaite désormais clarifier la loi sur la protection contre les infections : les décisions que l’État peut ordonner doivent être déterminées plus précisément. 

Cela arrive trop tard, mais au moins il y a maintenant une discussion sur ce que l’État peut et ne peut pas ordonner.   

Y aura-t-il vraiment une discussion ouverte ? Ce qui est visible en surface n’est pas toute la réalité. Les deuxième et troisième rang des groupes politiques ont une vision très différente. Nous avons reçu des signaux de nombreux membres du Bundestag pour la CDU / CSU et le SPD, y compris les Verts, et bien sûr l’AfD.

Les députés nous demandent n’y a-t-il pas d’alternative au confinement ? À quel point la puissance de la première ligne est encore grande, cela reste à voir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

[2] Kary Mullis : « Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade » (laveritesansmasque.blogspot.com)

[3] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés

[4]http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

 

 

[5] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés

[6] Voir article Nuremberg covid 1 sur RL n delepine

  https://resistancerepublicaine.com/2020/10/12/vers-la-mise-en-place-dun-nuremberg-du-covid/

[7]http://www.cielvoile.fr/2020/10/scandale-de-fraude-du-coronavirus-le-plus-important-combat-commence-juste.html  Dr Mercola – Le 17 octobre 2020

[8] Autopsie d’un confinement aveugle N et G Delépine éditions fauves septembre 2020

[9] http://www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire-economique

[10] ww.francesoir.fr/opinions-entretiens/autopsie-dun-confinement-aveugle-temoignage-dune-periode

[11] https://ripostelaique.com/la-supercherie-des-tests-pcr-devient-officielle-et-aggrave-la-situation.html

[12] Le conseiller de Mme Merkel et donc de toute l’UE

[13] Le Dr Yeadon, en accord avec les professeurs d’immunologie, Camera d’Allemagne, Capel des Pays-Bas et Cahill d’Irlande, le microbiologiste, le Dr Harvey d’Autriche ont tous témoigné devant le comité corona allemand, soulignent explicitement qu’un test positif ne signifie pas qu’un virus intact a été trouvé. « 
[14] Le professeur allemand de droit civil, Martin Schwab, soutient cette conclusion lors d’entretiens publics dans un avis juridique complet d’environ 180 pages

« « En vertu des règles du droit de la responsabilité civile délictuelle, tous ceux qui ont été lésés par ces tests PCR, les tests PCR induits par des confinements ont le droit de recevoir une compensation complète pour leurs pertes.

 En particulier, il existe une obligation d’indemnisation, c’est-à-dire une obligation de verser des dommages et intérêts, pour la perte de bénéfices subie par les entreprises et les indépendants du fait du confinement, et d’autres mesures.

 

 Dans l’intervalle, cependant, les mesures anti-corona ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par MM. Drosten, Wieler et l’OMS doivent être juridiquement qualifiés de crimes contre l’humanité, comme défini à l’article 7 du Code pénal international. « 

 

[15] Our reference (always indicate) Date Z-99/20-rf/nw23.11.2020 Wodarg, Dr Wolfgang./. Kreißel, Philip Plainte du Dr. med. Wolfgang Wodarg, Wiesenweg 40, 24646 Gardien – Demandeur – représenté par : Rechtsanwälte Dr. Fuellmich & Associates, Sen-derstrasse 37 à 37077 Göttingen contre Philip Kreißel, [adresse] – Défendeur – pour omission, révocation et compensation monétaire. Montant provisoire du litige : 250.000 € Nous nous désignons comme représentants du plaignant

[16] „WERKZEUG ZUR PANIKMACHE“

Harsche Kritik an Corona-Lockdown : Anwalt Reiner Füllmich greift Virologen Drosten und RKI-Chef Wieler an

[17] Avec neuf mois de recul, on sait maintenant que la létalité est encore beaucoup plus faible que ce chiffre, plutôt de l’ordre de 0,05 % des sujets malades