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Maladie de la vache folle chez les injectés covid :  avis de deux grands scientifiques

(interview du Dr Henrion Caude, généticienne par le Dr Delépine pédiatre oncologue)

Mise au point sur leurs convictions réciproques par rapport au virus covid, et les liens entre Alexandra Henrion Caude et Luc Montagnier.

Les temps de crises sont propices à ce que des imposteurs aux carrières moyennes surgissent attirés par l’espoir d’une reconnaissance sociale.

Cela ne date pas de la plandémie et le professeur de psychopathologie Roland Gori nous y avait préparé avec son livre (et vidéos associées) « la fabrique des imposteurs »[2]. Il avait très clairement décrit ce monde de l’imposture qui sévit dans notre société tant en politique (oh combien) qu’en science et malheureusement en médecine…Depuis que celle-ci veut se faire passer pour de la science alors qu’elle n’est qu’un art, un humanisme utilisant les données scientifiques autant que possible, la qualité des soins a régressé, les cliniciens ayant été mis au second plan par les vrais et surtout les faux scientifiques au service de l’industrie pharmaceutique.

« Notre société de la norme, même travestie sous un hédonisme de masse et fardée de publicité tapageuse, fabrique de l’imposture, sœur siamoise du conformisme. De cette civilisation du faux-semblant, notre démocratie de caméléons est malade, enfermée dans ses normes et propulsée dans l’enfer d’un monde qui tourne à vide. Seules l’ambition de la culture et l’audace de la liberté partagée nous permettraient de créer l’avenir. »

Roland Gori a complété ses analyses au sein de nombreux livres et en particulier en 2022 dans « la fabrique de nos servitudes » [3].

 

Ces derniers temps, combien d’entre nous présentés comme « résistants » pour avoir à un moment donné sonné l’alerte contre ces mesures intempestives (de confinement, masques, fermeture des écoles, distanciation sociale pour imposer ces injections expérimentales) se sont déchirés publiquement sur les réseaux, voire en conférences ? Cette participation active à la division et à la sur-subdivision conduit au morcellement de la « résistance », qui si on ne tire pas la sonnette d’alarme, conduira à sa disparition.

Nous sommes étonnés et attristés de voir de plus en plus de courageux scientifiques, qui ont aidé à la prise de conscience de la comédie covid en utilisant à bon escient leurs compétences et en conséquence ont sauvé des vies, sortir de leur domaine de connaissances pour partager leurs visions en d’autres domaines, voire en virologie, en statistique ou en sociologie comme si la scène médiatique leur octroyait une crédibilité tous-domaines-confondus. Occuper le devant de la scène devient facilement une drogue[4] et pour certains, leur statut de « héros », auquel ils n’avaient jamais aspiré antérieurement, paraît leur manquer, leur être devenu indispensable. Pour rester sur les podiums et profiter des applaudissements du public, ils n’hésitent pas à toutes les ré-écritures possibles.

Il nous semble impératif de rappeler l’importance majeure de ne jamais tomber dans l’insulte ad personam qui ne peut conduire qu’aux vraies manipulations, mais de tenter, autant que faire se peut, de toujours rétablir les faits, rien que les faits.

 

Chacun dans la vie devrait faire ce qu’il peut et ne pas exiger d’autrui la perfection. Mon père, un des fondateurs de la sécurité sociale de 1946 (qui serait bien désespéré de voir ce qu’on en a fait aujourd’hui avec l’imposture de lui laisser le même nom) nous expliquait souvent qu’ « un pur trouve toujours un plus pur qui l’épure ». On le constate au quotidien en tous domaines, santé ou politique au premier chef. Il nous conseillait aussi de travailler avec le « marais » tant que celui qui y appartient reste utile à la cause défendue.  Que de bons conseils de ces vrais « résistants » dont on usurpe de nos jours bien trop souvent la qualification …

 

A ce titre, Gérard et moi avons bataillé depuis longtemps sur de nombreux fronts[5] : l’inefficacité de nombreuses drogues anticancéreuses hors de prix présentées comme révolutionnaires[6], les risques des dépistages des cancers de la prostate et du sein[7] [8], les limites et les risques de certains vaccins[9] ou prétendus tels comme ceux contre le covid[10] en passant par l’endoctrinement sexuel des petits[11].

Nous nous sommes encore retrouvés avec toi, Alexandra, à dénoncer auprès des autorités sanitaires le danger de ces 11 vaccins pour les petits , comme le récent décret  passé à quinze à partir de 2025, ainsi que les dérives au sujet de l’avortement jusqu’à neuf mois et l’euthanasie.

 

En ce qui vous concernent, Alexandra et notre regretté le Pr Luc Montagnier,  aux carrières respectivement et unanimement reconnues, vous prirent le risque de vous confronter à ce marais. Qu’il soit le marais du pouvoir des médias, des gouvernants et des autorités scientifiques officielles, afin de rendre vos connaissances accessibles au plus grand nombre et utiles aux politiques pour servir le bien de l’humanité au lieu d’intérêts financiers de l’industrie. Ou qu’il soit, celui des rues en France comme dans d’autres pays. Pour partager vos mises en garde, il vous fallait quitter le confort (tout relatif) du monde scientifique et monter sur des poubelles, utilisées comme podium, le plus souvent sans micro, ou être trahis par de mauvaises traductions ! Que d’arènes, que de pièges et de mauvaise fois à réfuter… Un combat qui se poursuivait sur les plateaux, comme celui de Touche Pas A mon Poste dont certains ont compris la difficulté de l’exercice (micro mis au plus bas, temps de parole donné aux incompétents), mais qui permettait de toucher des populations que, sinon, on n’atteignait pas. C’est d’ailleurs lors de l’un de ces exercices de gladiateurs que tu as eu Alexandra la joie de rencontrer Gérard (et réciproquement)!

Une chose que j’ai pu apprécier directement, au -delà de votre gentillesse respective, c’est la complémentarité qu’apportaient des disciplines et des êtres comme Luc Montagnier et toi. De quoi raviver le besoin de confronter vos talents pour les conforter, au lieu de les utiliser comme des occasions de divisions. Quels sont tes souvenirs à cet égard car, vous connaissant tous les deux, je fus évidemment sensible à vos prises de position et rencontres ?

(Alexandra) : « Je me souviens en particulier, en 2020, de Luc Montagnier chez Pascal Praud qui expliquait que l’on avait retrouvé des séquences de VIH dans la séquence du virus SARS-CoV-2, alors que je détaillais d’abord sur ThanaTV puis chez Elise Blaise sur TVL et Nexus que je croyais à une expérience de gain de fonction, avec insertion de furine dans le virus, pour le rendre compatible à l’homme. »

Ce qui est remarquable dans cette histoire, c’est que l’un et l’autre aviez exprimé la certitude d’une création du virus en laboratoire. Or, affirmer que le virus était issu de recherche d’un gain de fonction, c’était accepter d’être mis au ban de la communauté scientifique et taxé de complotiste. Nous avions été prévenus par un Lancet[12] puis le journal Science[13] que tout scientifique qui douterait de l’origine naturelle (pangolin/chauve-souris) du virus devrait être condamné et considéré comme propageant des théories conspirationnistes.

Scandale de l’origine du virus : « Nous nous unissons pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’est pas d’origine naturelle » déclaraient les scientifiques dans le journal Lancet du 7 mars 2020 dont il s’avèrerait que 26 des 27 avaient un lien avec Wuhan, d’après les révélations du Daily Mail[14].

Ainsi, sans vous connaitre à cette époque, et sur la base d’analyses différentes mais complémentaires, vos prises de paroles ont agacé les médias au point de vous malmener. Tandis que ces théories dites complotistes ont finalement été reconnues officiellement comme exactes devant le congrès américain en 2023.

En 2021, une nouvelle complémentarité entre toi et Luc apparait utile pendant que la France découvre le terrible sort de Mauricette Doyer, atteinte de Creutzfeldt-Jakob et où on va vous voir intervenir encore une fois de façon distincte et complémentaire. Je me souviens de Luc Montagnier qui alertait sur le risque de maladie par la formation de prions (interview sur France Soir, octobre 2021).

Et toi Alexandra, ayant fouillé les documents de Pfizer, tu t’étais rendue compte du risque de contaminations qui pourraient engendrer des maladies spongiformes transmissibles.

Lors de différentes réunions, tu avais d’ailleurs alerté des collègues du monde entier dont certains américains, comme le montre ce tweet qui relate ta prise de contact dès septembre 2021 (voir capture d’écran) [15] puisque c’est une publication par Pfizer de février 2021 qui t’avait mis la puce à l’oreille !

C’est d’ailleurs par ce biais que notre collègue, la députée Martine Wonner pensera à te mettre en lien avec Marc Doyer très précocément. Là encore, vos deux hypothèses (celle de Luc sur les prions[16] et celle de toi, Alexandra sur une contamination[17]) sont totalement complémentaires.

(Alexandra) : « Je pense que dans les cas de survenue rapide, dans les 15 jours post-vaccination, il y a eu effectivement besoin d’un élément extérieur telle qu’une contamination, mais que pour les cas de survenue plus tardive, la formation de prions soit primordiale. Ainsi, les deux hypothèses ne sont en rien exclusives l’une de l’autre, mais au contraire complémentaires. J’ai donc transmis ces documents officiels à la famille Doyer en octobre 2021. C’est à ce moment que nous avons travaillé sur les 10 cas de Creutzfeldt-Jacob qui feront l’objet d’une présentation au Congrès de Controverses en Neurologie[18]. A titre posthume, Perez reprendra les données de cette présentation pour en faire une publication avec Moret-Chalmin[19] en 2023, complétant le nombre de cas à 21.»

 

J’en profite pour redire à toutes les familles de patients Creutzfeldt-Jacob survenu après vaccination que mon hypothèse de contamination devrait leur permettre d’attaquer Pfizer sans attendre. J’ai d’ailleurs la grande fierté d’avoir appris par hasard que mon livre « Les apprentis sorciers », dans sa version japonaise, avait été choisi par des avocats pour instruire un procès de victimes contre Pfizer au Japon. »

Cela me rappelle un autre joli fait d’armes où on vous a vus, l’un à côté de l’autre, en vaillants soldats français combattre avec panache en 2022 au Parlement du Luxembourg pour éviter qu’ils ne rendent la vaccination anti-covid obligatoire[20]!»

(Alexandra) : « Effectivement Nicole, un combat que nous avons remporté, en faisant vaciller les députés luxembourgeois dans leurs certitudes qui n’avaient finalement pas passer la vaccination obligatoire chez les moins de 50 ans. La victoire de l’union des compétences même si, là encore, que d’attaques extérieures et presque plus via ceux qui se proclament être de nos rangs ! »

 

Alexandra et moi-même restons très attristées par la disparition brutale et inattendue du Pr Montagnier, ce scientifique intellectuellement très en forme, dont l’absence se fait cruellement sentir en ces temps de grande confusion volontairement entretenue et nous souhaiterions que sa mémoire ne soit pas salie par des combats qui allient puérilité et mensonges. C’est le but de ce petit papier.

 

[2] Editions Babelio 2015  et livre de poche

[3] Editions les liens qui libèrent

[4] Idem pour les politiques chez lesquels le manque d’applaudissements, de reconnaissance les éloigne parfois de leurs convictions moins « populaires » et moins source de compliments etc..

[5] Antérieurement nous tentions d’informer le plus clairement possible sur les faits avérés dans le traitement du cancer afin de guider les patients pour interroger au mieux leur médecin et comprendre leur traitement. Cela a fait depuis les années 2000 l’objet d’une  quinzaine de livres publiés chez Michalon et Fauves éditeurs, et entre autres

[6] Médicaments peu efficaces, souvent toxiques et hors de prix: Inventaire par pathologie des nouveaux traitements qui posent problème (2013)

[7] Le cancer – Un fléau qui rapporte (février 2013)

[8]Cancer – Les bonnes questions à poser à votre médecin (Edition Fauve 2016)

[9] Hystérie vaccinale : Vaccin Gardasil et cancer: un paradoxe (2018, 2024)

[10]Enfants sacrifies du covid (Les) 2022

[11]Dysphorie de genre (octobre 2023)

[12] https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S0140-6736%2820%2930418-9

[13] https://www.science.org/content/article/scientists-strongly-condemn-rumors-and-conspiracy-theories-about-origin-coronavirus

[14] https://www.dailymail.co.uk/news/article-9980015/26-Lancet-scientists-trashed-theory-Covid-leaked-Chinese-lab-links-Wuhan.html

[15] https://x.com/veryvirology/status/1450201898808582145

 

[16] https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/pr-luc-montagnier-des-cas-de-creutzfeldt-jakob-lies-au-vaccin-contre-le (19 novembre 2021)

[17] https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf (19 février 2021). Relayé avec une note d’informations à la famille Doyer le 8 octobre 2021 et au public en mars 2022 https://x.com/CaudeHenrion/status/1751706188025340287

[18] Moret-Chalmin, Doyer, Henrion-Caude and Montagnier. Abstract sélectionné sous forme de e-poster https://cony2022.comtecmed.com/wp-content/uploads/2022/03/7.pdf

[19] https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/66 Publication posthume

[20] https://x.com/CaudeHenrion/status/1547677403819847680

 

Lettre d’information aux élus, maires, députés, sénateurs et citoyens sur les complications post injections et le risque du pass pour notre démocratie, le 7 janvier 2022

 

 

L’épidémie due au covid-19 a provoqué au courant de l’année 2020 une situation considérée comme une urgence sanitaire majeure. Devant ce coronavirus inconnu, dont la première forme a été déclarée à Wuhan en 2019, les gouvernements se sont retrouvés face à une situation complexe.

 

La France a décidé d’appliquer des mesures plus sécuritaires que sanitaires, qui ont  affecté  une grande partie de nos citoyens : mesures barrières, confinement, couvre-feu, et masques y compris chez les enfants encore aujourd’hui, etc.

 

Puis, le Gouvernement a choisi d’appliquer une stratégie uniquement « vaccinale » s’appuyant sur des injections de médicaments préventifs géniques expérimentaux, promettant des effets rapides. Une stratégie du « tout vaccinal » s’est alors mise en place, réponse unique aux vagues successives de cas positifs, en interdisant les traitements précoces (pour des raisons qu’il restera à évaluer lors d’autres commissions d’enquête), pourtant utilisés avec succès dans de nombreux pays comme en Inde.

 

Pseudo-vaccins usant de nouvelles technologies

 

Ces « vaccins » ne reposent pas, dans leur conception et dans leur action, sur des méthodes traditionnelles d’élaboration des vaccins selon Pasteur. Ces médicaments préventifs géniques expérimentaux utilisent de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager et ADN recombinés, jamais utilisées chez l’homme pour lutter contre une infection.

 

Leur autorisation de mise sur le marché (AMM) a été donnée dans le cadre d’une procédure d’urgence, après étude accélérée de phase I et II dont les conditions d’exécution n’ont pas été transparentes. La phase III est toujours en cours, les premiers résultats sont attendus pour 2023 : il s’agit de substances expérimentales dont les effets bénéfiques, s’ils existent, semblent de très courte durée et dont les effets indésirables à long et moyen terme sont inconnus et, pour certains, inquiétants (modification du génome et de l’épigénétique ?).

 

Du fait de son ampleur même, cette campagne « vaccinale », réalisée en pleine épidémie et à un rythme très soutenu, devrait être suivie d’une campagne de surveillance et de gestion du risque, similaire aux procédés habituels de surveillance et d’évaluation des risques en population générale.

 

Incertitudes sur les effets secondaires.

 

L’incertitude de sécurité de ces nouveaux « vaccins » utilisés en France s’est confirmée par le suivi des stratégies vaccinales mises en œuvre tant sur notre territoire, que sur celui des pays européens voisins.

 

Le vaccin Astrazeneca, d’abord proposé sans contre-indication particulière à l’ensemble de notre population, a été remis en cause du fait de nombreux cas de thromboses dans de nombreux pays européens, constatant une balance bénéfice de la « vaccination » et risque du covid, au moins incertaine, si ce n’est négative.  Puis, un avis de la Haute Autorité de Santé du 9 juillet a demandé de vacciner par les autres vaccins disponibles. La France a d’ailleurs arrêté de commander ce vaccin.

 

Concernant le « vaccin » Moderna, après avoir été injecté sans restriction particulière concernant les catégories d’âge ou état de santé, il est maintenant remis en question par des pays voisins européens, en particulier scandinaves (Suède, Norvège, Danemark puis Finlande) et le Japon qui l’ont interdit aux hommes de moins de 30 ans.

 

Ces revirements dans les stratégies « vaccinales » confirment l’incertitude qui règne sur les effets secondaires de ces injections.

 

Cette incertitude, illustrée par ces deux revirements, interpelle, car les effets secondaires avérés touchent une population relativement jeune, peu ou pas sujette aux complications du covid, mais risquant de développer un effet grave post-vaccinal.

 

Il convient de mettre ces deux faits en perspective des effets secondaires déclarés par différents organismes officiels dépendant des Etats.

 

Le VAERS (Vaccine Adverse Events Reports, base de données des effets secondaires des vaccins aux États-Unis) rapporte plus d’un million d’effets secondaires, dont 21 000 décès confirmés au 27 décembre 21 et 20 560 myocardites. Selon le VAERS, les inoculas contre le covid-19 ont accumulé, en 1 an, plus d’effets secondaires graves que TOUS LES AUTRES VACCINS RÉUNIS EN 34 ANS.

 

L’agence européenne du médicament (EMA) relève des effets secondaires suspectés d’être associés à cette campagne de vaccination, publiés sur EudraVigilance (base de données de l’EMA, de rapport d’effets indésirables de l’UE hors UK )[1] :

 

les effets indésirables globaux retenus par EudraVigilance sont publiés pour un total de signalements de 1 327 876 observations, au 1er janvier 2022.

 

Pfizer : 668 442 ; Moderna : 188 082 ; Astra: 428 330 ; Janssen: 43 022.

 

Et, un total de 36 267 décès susceptibles d’être en rapport avec l’administration de l’injection.

(Pfizer : 16 481 décès ; Moderna : 10 170 décès ; AstraZeneca : 7 371 décès ; Janssen : 2 245 décès).

 

D’autres chiffres dans le monde interpellent, 50 % des myocardites et des péricardites sont survenues après l’injection de la seconde dose singulièrement chez les moins de 30 ans, (chiffres VAERS  confirmés en UE, en UK, en Israël) et touchent d’autant plus les plus jeunes (moins de 20 ans).

 

En France, selon les mots de la directrice générale de l’ANSM, elle-même, lors de son audition au Sénat, le 29 décembre 2021,  « on le sait, il y a une sous-déclaration en pharmacovigilance ». Malgré tout, elle s’inquiète du taux élevé de déclarations, comparativement aux années précédentes :

 

« A mi-novembre 2021, nous avons 110 000 déclarations d’effets indésirables pour les 4 vaccins anticovid. Dans une année normale, nous avons 45 000 déclarations tous médicaments confondus ».

 

Les effets secondaires déclarés à l’ANSM en moins d’un an en France s’élèvent à  121 486 cas dont 24 % graves. Thrombose, myocardite, péricardite, pancréatite aigüe, polyarthrite, troubles du rythme cardiaque, zona et maintenant encéphalites et maladie à prions (dite de la vache folle) sont des complications bien décrites. Plus de 1 100 décès, rien que pour le vaccin Pfizer, sont signalés sur le site de l’ANSM.

 

On estime habituellement que 10 % seulement des cas sont déclarés.

 

Cette absence dans le suivi de pharmacovigilance est constatée par nombre de travaux universitaires, soulignant le manque d’informations des soignants, leur temporalité restreinte pour exercer un suivi des patients. Ce déficit de moyens peut entraîner des dérives, comme un fort taux de non-prise en compte d’effets secondaires et l’autocensure des soignants sur les déclarations par méconnaissance du mécanisme compliqué de déclaration en pharmacovigilance.

 

De plus, les vaccinodromes n’ont pas assuré le service « après-vente », laissant les personnes en situation de détresse et sans réel recours possible.

 

L’incertitude sur les effets secondaires de ces vaccins doit être levée

 

Les effets secondaires des pseudo-vaccins ne sont pas pris en compte dans l’action gouvernementale, le ministre de la Santé s’obstinant à nier les décès, pourtant signalés par l’agence gouvernementale française.

 

Ces déclarations négationnistes sont suivies d’une forte incitation vaccinale de la part du Gouvernement, que ce soit par des discours, mais également par des mesures restrictives de liberté qui ont été votées au sein de l’hémicycle.

 

La loi n° 2021-1465 du 10 novembre 2021 prolonge l’obligation vaccinale pour les soignants et soumet les libertés fondamentales au pass sanitaire pour les citoyens à partir de 12 ans et risque d’être aggravée par le vote de la loi en cours d’examen en ce début janvier, transformant le pass sanitaire en vaccinal.

 

Actuellement, les autorités sanitaires poussent à la vaccination des enfants à partir de 5 ans, alors que les enfants de moins de 19 ans risquent moins du covid que de la grippe saisonnière ordinaire (zéro risque du covid chez les enfants sans comorbidités) et que le pseudo-vaccin ne protège pas des contaminations : aucun intérêt individuel, ni collectif, mais des effets indésirables qui pourraient se révéler catastrophiques pour notre pays dans un futur proche. Souvenons-nous notamment de la Dépakine et du Dengvaxia de SANOFI qui a causé la mort de centaines d’enfants aux Philippines.

 

L’action gouvernementale ne prend pas en compte les effets secondaires déclarés liés aux « vaccins » et poursuit une politique de quasi-obligation vaccinale, sans un système de pharmacovigilance proportionné à ces mesures.

 

Rôle de protection du Parlement

 

Le rôle du Parlement est de contrôler l’action gouvernementale. Il est aussi de faire le lien entre politiques et citoyens, indispensable à la vie démocratique de notre pays.

 

Depuis plusieurs mois, ce lien est distendu et une rupture de confiance s’observe entre une partie de la population et le pouvoir. Des manifestations citoyennes d’ampleur et à l’opposé, les mesures attentatoires aux libertés fondamentales du Gouvernement s’accentuent.

 

L’impératif est d’autant plus grand, au vu de l’échelle de « vaccination », avec pour rappel une troisième dose nécessaire pour la validité du passe sanitaire et bientôt une quatrième et l’élargissement de la vaccination des enfants à partir de 5 ans.

 

Devant le nombre de décès et d’accidents graves laissant des séquelles à long terme, un moratoire de la « vaccination » est urgent.

 

Afin d’éviter une catastrophe sanitaire d’ampleur nationale dans les prochaines années, le Sénat se doit, avant de laisser l’exécutif poursuivre sa stratégie d’obligation indirecte de participation à des essais cliniques d’injections géniques, de s’assurer que la pharmacovigilance est suffisante pour détecter des effets secondaires sur court, moyen et long terme.

 

 

Une pétition a été déposée sur le site des pétitions du Sénat, le 7 janvier 2022, par le Docteur Julien Devillerger, demandant un arrêt immédiat des injections et la constitution d’une commission d’enquête sénatoriale chargée de faire un état des lieux des effets secondaires consécutifs à l’injection vaccinale contre le covid-19, ainsi que du système de pharmacovigilance français. Elle devrait être ouverte à la signature d’ici une quinzaine de jours.

 

 

 

 

Lettre d’information aux élus, maires, députés, sénateurs et citoyens sur le risque du pass vaccinal pour notre démocratie, le 7 janvier 2022 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

 

 

LE 6 janvier 2022

 

 

 

Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,

 

Le projet de loi n°4857 relatif à « un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles », va être présenté dans les prochains jours devant votre assemblée.

 

Vous avez, dans le vote de ce texte, une responsabilité historique face aux français.

 

Sur des prémisses incertaines, les effets du variant circulant débouchant plutôt sur une large immunité naturelle, les effets positifs de la « vaccination » étant manifestement limités (avec booster à trois mois nécessaire), et les premiers chiffres d’effets indésirables très inquiétants, il s’agirait pourtant  de réduire  dramatiquement nos droits et nos libertés et d’aggraver de façon inédite la répression contre les personnes non-vaccinées (au sens très large puisque les personnes non à jour de leur schéma vaccinal -soit trois doses plus quinze jours à l’heure actuelle sont considérées non vaccinées[1]).

 

Cette future loi  inscrirait,  dans le marbre de la loi, les pires des discriminations contraires aux Traités internationaux et Convention Internationales ratifiés par la France.

 

Que se passerait-il si  la population  découvrait, le temps passant, l’accumulation des effets dramatiques à court, moyen et long terme, aux produits injectés, en particulier sur nos enfants ?

 

Voudriez-vous prendre une telle responsabilité éventuellement pénale, si des victimes futures vous considéraient responsables des catastrophes personnelles  ?

 

Les Français comptent sur votre discernement et votre adhésion aux valeurs de la France pour ne pas autoriser  ces graves atteintes à ce qui faisait l’essence de la France, et que vous rendiez pérennes et inviolables la liberté, l’égalité et la fraternité.

 

Aujourd’hui, le bouc-émissaire sont les non-vaccinés (finalement plus de vingt-cinq millions de personnes au bas mot avec les définitions actuelles). Qui seront les prochains ?

 

Parlera-t-on d’isoler (comme le prévoit le projet) les députés qui ne voteraient pas « bien » ? Qui d’autre ?

 

Madame la Sénatrice, Monsieur Sénateur, les Français suivront par millions les débats sur ce projet, dans lequel nous vous demandons solennellement de ne pas céder à la mise à mort de nos droits et libertés et de l’État de droit.

 

Il est urgent de revenir à la raison et à la modération que préconisait Descartes.

 

RENDEZ-NOUS NOS LIBERTES ET NOS DROITS FONDAMENTAUX : intégrité physique, liberté d’aller et venir, liberté d’expression, droit au travail.

 

Espérant que vous aurez entendu l’urgence et l’importance de notre requête, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre parfaite considération.

 

N Delépine

 

P.S. : Nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas. (cf. art. 5 DDH 1789)

 

 

 

VAERS 2021-12-24

 

 

 

 

 

 

Nicole Delépine Pédiatre,

cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France

 

Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram

[1] Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments – Décharge de responsabilité (adrreports.eu)

[1]  Non  vaccinés : ayant reçu , 0 1, 2 doses et moins de 15 jours écoulés depuis la dernière doses ; et moins de trois doses pour les plus âgés D’où le nombre fallacieux d’hospitalisés « non vaccinés » au sens politique actuel

Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens

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COMMUNIQUE DE PRESSE 22/08/2021

LEPILLER Patrice SG et  COHEN Raphaël DJ   

 

    Plainte conjointe d’avocats internationaux à la CPI pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant Sars-cov2 et le vaccin covid19                                                                                             

 

Comme certains le savent, le 28 Juin 2021 le CSAPE a déposé une plainte de 64 pages accompagnée de 371 preuves toutes factuelles à la Cour pénale internationale, le conjecturel (comme la presse ou autres) ayant été écarté.

Le 02 juillet 2021, le CSAPE a reçu un accusé de réception officiel de la CPI et un numéro d’affaire (OTP-CR-271/21).

Suite à des évènements de collusion dont nous garderons les détails pour l’instant, le 27 juillet nous nous sommes rendus à la CPI pour déposer les preuves. L’accès étant refusé pour raison invoquée de période de congés nous les avons renvoyées sur place par recommandé avec accusé de réception.

Le 28 juillet à 12:55 la CPI a accusé réception des preuves et le 29 juillet au matin à 09:06, elle tentait d’écarter la plainte, précisant toutefois qu’elle pouvait être réétudiée sous réserve de nouveaux éléments de preuves, au motif que les éléments allégués (code de Nuremberg et autres) ne semblent pas relever de la CPI et qu’elle n’a pas à se substituer aux Etats !

Un appel a été introduit à la CPI le 10 aout 2021, les motifs de la décision du procureur s’avérant impropres à caractériser un rejet n’étant pas conforme au Statut de Rome tel que rappelé par la Chambre d’appel et en y ajoutant des éléments nouveaux.

Nous continuons à rassembler et à examiner de nouvelles preuves qui pourraient être utilisées dans notre demande à la CPI si elle était acceptée pour enquête.

Nous avons également établi activement des liens avec des avocats et des chercheurs du monde entier.

Nous avons le plaisir d’annoncer que des avocats de la Slovaquie, du Royaume-Uni et de la République tchèque se sont joints à nous et que le 12 août 2021, nous avons envoyé une plainte conjointe à la CPI avec une demande d’autorisation d’accepter cette soumission conjointe.

Nous avons soumis des preuves préliminaires pour les allégations qui nous sont communes, tout en demandant de nous réserver le droit de faire examiner par la CPI les allégations spécifiques à nos pays individuels, à savoir :

Pour le France, nous avons demandé un examen pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, mise en servitude, génocide.

Nous avons également demandé, dans notre plainte commune, un moratoire immédiat sur l’ensemble du programme de produits expérimentaux « vaccins COVID-19 » dans les quatre pays et la fin des tests sur les personnes asymptomatiques.

 

Nous sommes heureux d’annoncer également avoir obtenu des déclarations sous serments d’experts de premier rang, dont le chercheur et cardiologue nucléaire Dr Richard M. Fleming, le Dr Kevin Mc Cairn, le neuroscientifique et expert en maladies neurologiques, ainsi que le biologiste virologue professeur Luc Montagnier lauréat prix Nobel pour ses travaux sur le virus du VIH et d’autres, dont pour l’instant, leur anonymat est maintenu jusqu’à ouverture d’enquête.

 

Nous avons maintenant des preuves irréfutables que le virus SRAS-CoV-2 et les produits expérimentaux « vaccins COVID-19 » sont des armes biologiques délibérément conçues qui ont été libérées en deux phases sur les peuples du monde entier.

Nous avons eu l’amabilité de recevoir un accès exclusif à un exemplaire anticipé des travaux du Dr Richard M. Fleming, «Le COVID-19 est-il une arme biologique ? Une étude scientifique et médico-légale», qui fournit les preuves irréfutables à la CPI sur la nature d’arme biologique du virus SRAS-CoV-2 et des prétendus produits expérimentaux « vaccins COVID-19 ».

Nous attendons maintenant la décision de la CPI pour savoir si :

  1. a) elle autorise en principe la présentation d’une demande conjointe par plusieurs pays.
  2. b) elle accepte notre  » demande d’enquête  » conjointe.

 

Compte tenu de la nature extrêmement grave de la situation qui prévaut dans nos quatre pays en ce qui concerne l’escalade de l’apartheid médical, la perte des libertés et des droits fondamentaux et le nombre très élevé et sans cesse croissant de décès et d’effets indésirables graves subis par les personnes ayant reçu les produits expérimentaux « vaccins COVID-19 », nous avons attiré l’attention de la CPI sur la nécessité urgente pour la Cour d’agir rapidement et sans plus attendre et, à cette fin, nous avons demandé une réunion à La Haye dès que possible.

 

Dans l’attente d’une réponse de la CPI, nous restons en discussion avec des avocats d’autres pays qui n’ont pas encore déposé leurs demandes individuelles auprès de la CPI, mais qui ont indiqué qu’ils souhaitaient se joindre à nous et nous avons l’intention de leur apporter toute notre assistance.

 

Nous publierons d’autres éléments dès que nous aurons des nouvelles.

Quoi qu’il arrive nous sommes motivé à employer tous les moyens, tous les recours, pour que la vérité et la justice sortent.

Nous comprenons que la CPI ne travaille pas de manière isolée au sein d’autres institutions internationales et que les procureurs peuvent être soumis à diverses pressions politiques.

Cependant, nous voulons croire que la substance de nos allégations et les preuves présentées sont si fondamentales que la CPI remplira son rôle international et la raison de son existence, enquêtera de manière approfondie sur nos allégations et condamnera les criminels.

Si notre confiance s’avère illusoire, nous mettrons toutes les preuves scientifiques et factuelles à la disposition du public mondial.

 

En attendant, nous tenons à remercier toutes les personnes qui, à leur manière, contribuent à la lutte pour la vérité et la justice, voire pour l’avenir même de l’humanité, de nos enfants.

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LEPILLER P. Secrétaire général                  COHEN R. Directeur juridique

 

 CSAPE – Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens enregistré sous le n° 20210012

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