Archive d’étiquettes pour : santé

L’association Trump Kennedy  permet d’espérer un changement majeur dans la santé, l’agriculture, la protection de la liberté de parole

Discours complet doublé en français de Robert Kennedy Jr. en Arizona en août 24

L’arrivée de D. Trump à la Maison Blanche accompagnée de Robert Kennedy Junior apporte  un immense espoir à nous médecins, soignants qui souffrons depuis plusieurs décennies de la captation des agences de santé par la bureaucratie au service de big  pharma, big agri et plus globalement du capitalisme financier, aboutissant après cinquante ans de malfaisance à des systèmes de santé à la fois  inefficaces et extrêmement couteux[1].  Espérons que R. Kennedy junior réussira à assainir le domaine en supprimant la corruption omniprésente dans leur bureaucratie et qu’ils serviront de modèle pour notre pays. Nous copions les USA depuis plus de 70 ans. Espérons et battons-nous pour informer et les suivre dans cette voie.  Nous sommes très optimistes, connaissant depuis plusieurs années Robert Kennedy. Nous avons apprécié sa sincérité, sa droiture, sa fidélité, sa gentillesse et son immense travail à travers ses livres et son association children ’s health defense[2]. Nous nous réjouissons donc que le président Trump lui confie ces tâches majeures, tant pour les USA que pour l’ Occident globalement et singulièrement notre pays la France. Make France Great Again….

Robert a assisté à l’âge de 6 ans à sa première convention démocrate et expose tous les changements advenus en plusieurs décennies qui l’ont amené tout récemment à se rallier à Trump.

Les médias n’ont pas réussi à faire taire ses idées, malgré la censure et la caricature systématiques de ses opinions. Il a suspendu sa campagne pour la présidence. Trois grandes causes motivent ses combats actuels : la liberté d’expression, la guerre en Ukraine et la guerre contre les enfants.

 

Voici quelques extraits de la transcription de la vidéo jointe centrés sur les dérives du parti démocrate, les obstacles élevés contre sa candidature par le parti démocrate et le président Biden et sur les dérives de la politique fédérale de santé.

Les dérives du parti démocrate

« J’ai assisté à la convention démocrate à l’âge de 6 ans pour la présidence et à cette époque les démocrates étaient les champions de la Constitution et des droits civiques.

 

Les démocrates s’opposaient au régime totalitaire, à la censure au colonialisme, à l’impérialisme et aux guerres injustes. Nous étions le Parti des Travailleurs de la classe ouvrière, le parti de la transparence gouvernementale et les champions de l’environnement. Notre parti était le rempart contre les intérêts de l’argent et le pouvoir des entreprises. Fidèle à son nom, c’était le  parti de la démocratie.

 

Comme vous le savez j’ai quitté ce parti en octobre 2023 car il s’était éloigné de manière si dramatique des valeurs fondamentales avec lesquelles j’ai grandi. Il est devenu le parti de la guerre, de la censure, de la corruption, des big pharmas, des big tech, de l’agro-industrie et de l’argent.

 

Quand il a abandonné la démocratie en annulant les primaires pour dissimuler le déclin cognitif du président en exercice, j’ai quitté le  parti pour me présenter comme indépendant.

 

 

 

Les obstacles élevés contre sa candidature par le parti démocrate et le président Biden

 

La majorité des politiques et du journalisme américain a ridiculisé ma décision! Le consensus disait qu’il était impossible même de  figurer sur le bulletin de vote en tant qu’indépendant, car chaque État impose un enchevêtrement  insurmontable de règles arbitraires pour la collecte des signatures.  J’aurais besoin de plus d’un million de signatures, ce qu’aucun candidat indépendant à la présidentielle n’avait jamais réalisé dans l’histoire, et ensuite j’aurais besoin d’une équipe d’avocats et de millions de dollars pour gérer toutes les contestations  juridiques des démocrates.

 

 Nos détracteurs disaient que nous escaladions une montagne de l’impossible :  alors la première chose que je veux vous dire,  c’est que nous avons prouvé qu’ils avaient tort. Nous l’avons fait parce qu’à l’abri des radars des organes des médias grand public, nous avons inspiré un mouvement politique indépendant massif plus de 100000 bénévoles. Ils se sont mobilisés espérant pouvoir inverser le déclin de notre nation. Beaucoup ont travaillé des journées de 10h parfois dans des tempêtes de neige ou dans une chaleur  torride; ils ont sacrifié du temps en famille, des engagements personnels et du sommeil, mois après mois, dynamisés par une  mission partagée d’une nation guérie de ces divisions.

 

 Ils ont installé des stands  dans des églises et des marchés, ils ont fait du porte à porte en Utah et dans le  New Hampshire. Les bénévoles ont collecté des signatures lors de tempête de neige, convainquant chaque supporter de s’arrêter dans un froid glacial, d’enlever leurs gants et de signer lisiblement.

 

 Pendant une vague de chaleur  au Nevada j’ai rencontré un bénévole grand et athlétique qui m’a joyeusement dit qu’il avait perdu 25 livres, 13 kg en récoltant des signatures sous une chaleur de 117° fahrenheit, pour financer cet effort. De  jeunes Américains ont donné l’argent de leur épargne et des personnes âgées ont renoncé à une partie de leur chèque de pension.

 

Notre organisation couvrant les 50 états a recueilli un million de signatures et plus encore.

 

Aucune campagne présidentielle dans l’histoire politique américaine n’a  jamais fait cela. Je veux donc remercier tous ces bénévoles dévoués et féliciter le personnel de campagne qui a coordonné cet exploit logistique  énorme.  Vos réalisations étaient considérées comme impossibles, vous m’avez porté au plus haut de cette montagne.

 

 Vous avez réalisé un miracle, vous avez accompli ce que tous les experts disaient  impossible, vous avez ma plus profonde gratitude et je n’oublierai jamais cela non seulement par ce que vous avez fait  pour ma campagne, mais pour les sacrifices que vous avez fait parce que vous aimez votre  pays, vous avez montré à tout le monde que la démocratie est encore possible.

 

Ici elle continue de survivre dans la  presse et dans les énergies humaines idéalistes qui prospèrent encore sous un voile de négligence et de corruption des  institutions.

 

 Aujourd’hui je suis ici pour vous dire que je ne laisserai pas vos efforts vains. Je suis ici pour vous dire que je vais tirer parti de vos formidables réalisations pour servir les idéaux que nous partageons, les idéaux de paix, de prospérité, de liberté, de santé, tous les idéaux qui ont motivé ma campagne.

 

 Je suis ici aujourd’hui pour décrire le chemin que vous avez ouvert par votre engagement et votre dur labeur. Maintenant dans un système honnête je crois que j’aurais gagné l’élection dans un système dans lequel mon père et mes oncles prospérait, un système avec des débats ouverts, avec des primaires justes, avec des débats programmés régulièrement des primaires avec des médias vraiment indépendants, non attachés à la propagande gouvernementale et la censure dans un système de tribunaux, et de commission électorale non partisane.  Tout serait différent.  Les sondages ont constamment montré que je battais chacun des deux candidats tant en popularité qu’en affrontement direct. Je suis désolé de dire que bien que la démocratie soit encore vivante à la base, elle est devenue guère plus qu’un slogan pour nos institutions politiques pour nos médias ou pour notre gouvernement, et encore plus triste pour moi, pour le Parti démocrate.

 

Au nom de la sauvegarde de la démocratie,  le Parti démocrate s’est employé à démanteler et à fragiliser la confiance en son candidat pour gagner l’élection. Le parti démocrate a mené une guerre juridique permanente contre à la fois le président Trump et moi-même chaque fois que nos bénévoles ont remis ces énormes boîtes de signatures nécessaires pour être sur le bulletin de vote. Les démocrates nous ont traîné en justice état après état tentant d’effacer le travail de nos bénévoles et de subvertir la volonté des électeurs qui avaient signé ces pétitions.  

 

Le parti démocrate a chargé des juges proches de lui pour me jeter, ainsi que d’autres candidats, hors du bulletin de vote et pour emprisonner le président Trump. Ses dirigeants ont organisé une primaire truquée pour empêcher tout défi sérieux au président Biden, puis lorsqu’ils se sont rendus compte de la prévisible mauvaise performance lors du débat, ils ont opéré un coup d’État contre le président Biden.  Les mêmes responsables démocrates ont nommé son successeur également sans élection :  ils ont installé un candidat si impopulaire auprès de leurs électeurs qu’elle s’était retiré en 2020 sans gagner un seul délégué.

 

Mon oncle et mon père adoraient les débats ils se vantaient de tenir tête à n’importe quel adversaire dans la bataille des idées. il serait étonné d’apprendre qu’un candidat présidentiel du Parti démocrate qui comme la vice-présidente Harris n’a pas participé à une seule interview ou une seule rencontre non scriptée avec des électeurs depuis 35 jours : c’est profondément antidémocratique.  Comment les gens peuvent-ils juger s’ils ne savent pas  qui ils choisissent et pour qui passe- t-on auprès du reste du monde ?

 Mon père et mon oncle étaient toujours conscients de l’image de l’Amérique à l’étranger à cause du rôle de notre nation en tant que modèle de la  démocratie, de modèle des processus démocratiques et le leader du monde  libre au lieu de nous montrer sa substance et son caractère le parti démocrate  et ses organes médiatiques ont fabriqué une montée de popularité pour la vice-présidente Harris fondée sur absolument rien,  aucune politique, aucune interview, pas de débat, seulement des effets de fumée et  des ballons dans un cirque.

 Une série d’orateurs démocrates ont mentionné Donald Trump 147 fois rien que le premier jour pour inciter à détester Trump.  en revanche lors de la convention républicaine le président Biden n’a été mentionné que deux fois en 4 jours

 

J’ai fait des interviews tous les jours beaucoup d’entre vous ici dans la pièce m’ont interviewé.  Quiconque le demande peut m’interviewer. Certains jours j’en ai fait une dizaine. Le président Trump qui a effectivement été nommé et a gagné une élection fait également des interviews quotidiennement quand le Parti démocrate a choisi un démocrate qui n’a fait aucune interview et aucun débat pendant tout un cycle électoral.  

Comment est-ce possible ? nous connaissons les réponses : ils l’ont fait en utilisant les agences gouvernementales, ils l’ont fait en abandonnant la démocratie. Ils l’ont fait en poursuivant l’opposition en justice  et en privant les électeurs américains de leurs droits.

Ce qui m’inquiète le plus, ce n’est pas la manière dont le parti démocrate gère ses affaires internes ou dirige ses candidats, ce qui m’inquiète c’est le recours à la censure et au contrôle des médias ainsi que l’instrumentalisation des agences fédérales. « 

 

La censure organisée aux plus hauts niveaux de l’état.

« Quand un président des États-Unis collabore avec, ou contraint directement les entreprises médiatiques à censurer le discours politique, c’est une attaque contre notre droit le plus sacré à savoir la liberté d’expression et c’est le droit même sur lequel repos tous nos autres droits constitutionnels

 

Le président Biden s’est moqué de la trop belle victoire à 88 % de Vladimir Poutine lors des élections russes arguant que Poutine et son parti contrôlait la presse russe et que Poutine empêchait les adversaires sérieux de figurer sur le bulletin de vote mais ici, en Amérique, le parti démocrate a également empêché les opposants de figurer sur les bulletins de vote et les chaînes de télévision se sont comportées en tant qu’organe du Parti démocrate. Au cours de plus d’une année de la campagne, alors que mes chiffres de sondage atteignaient parfois 20 % d’intention de vote, les réseaux médiatiques grand public, alignés sur le parti démocrate ont maintenu un embargo presque parfait sur mes interviews pendant ces 10 mois de campagne présidentielle.

 

En 1992 un candidat avait donné 34 interviews sur les grands réseaux publics ; en revanche au cours des 16 derniers mois, depuis ma déclaration et mon annonce à la candidature à la présidence, ABC NBC CBS MSNBC et CNN ne m’ont accordé que deux interviews en direct.  Ces réseaux ont plutôt diffusé un déluge continu d’articles diffamatoires avec des insultes souvent fausses et diffamatoires. Certains de ces mêmes réseaux ont conspiré avec le dnc pour me garder hors de la scène du débat. Les représentants de ces réseaux sont dans cette salle en ce moment et je vais juste prendre un moment pour vous demander de considérer les nombreuses façons dont vos institutions ont renoncé à cette responsabilité vraiment sacrée :

le devoir d’une presse libre de protéger la démocratie et de toujours contester le parti au pouvoir. Au lieu de maintenir cette posture de scepticisme féroce envers l’autorité vos institutions se sont faites porte-parole du gouvernement et sténographe des organes du pouvoir.

 

Vous n’avez pas causé seuls la dégradation de la démocratie américaine mais vous auriez pu empêcher la censure des réseau sociaux par le Parti démocrate.

 

Cette semaine, un juge fédéral a confirmé mon injonction contre le président Biden qualifiant le projet de censure par la Maison Blanche de « la violation la plus flagrante du

premier amendement dans l’histoire des États-Unis d’Amérique » Dans sa décision de 150 pages il détaille comment, seulement 37 heures après avoir prêté serment pour défendre la Constitution, le président Biden et sa Maison Blanche ont invité la CIA et le FBI et d’autres agences gouvernementales à se comporter comme une agence de censure : c’est le centre du complexe industriel de la censure mais aussi le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis et l’ Internal Revenue Service et d’autres agences pour me censurer ainsi que d’autres dissidents politiques. Sur les réseaux sociaux encore aujourd’hui, les utilisateurs qui essayent de publier mes vidéos de campagne sur Facebook ou YouTube reçoivent des messages disant que ce contenu viole les standards de la communauté. 2 jours après que le juge a rendu sa décision cette semaine, Facebook attacha encore des étiquettes d’avertissement à une pétition en ligne  demandant à ABC de m’inclure dans le débat. Ils ont dit que cela violait leurs standard de communauté.

 

Les médias grand public étaient autrefois les gardiens du premier amendement et des principes démocratiques et ils ont rejoint cette  attaque systémique contre la démocratie. ils justifient également leur  censure au motif de combattre la Désinformation, mais les gouvernements et les oppresseurs ne censurent pas les Mensonges, ils n’ont pas peur des mensonges, ils craignent la vérité et c’est ça qu’ils censurent :  je ne veux pas que tout cela ressemble à une plainte personnelle car ce n’est pas le  cas pour moi, cela fait partie d’un voyage et c’est un voyage dans lequel je me suis inscrit, mais je dois faire ces observations parce que je pense qu’elles sont essentielles. (….) »

 

 

Les rencontres entre Trump et Kennedy Junior et leur partenariat.

« Moins de 2 heures après l’attentat auquel le président Trump a échappé de justesse, on m’a appelé sur mon téléphone (…) me considérant comme le principal défenseur de la sécurité alimentaire et de la régénération des sols et de la lutte contre l’épidémie de maladie chronique qui détruit la santé de l’Amérique et ruine notre économie. Il m’a dit qu’il était impatient de me parler de la maladie chronique et d’autres sujets et d’explorer des possibilités de coopération.

Le président Trump m’a téléphoné quelques minutes plus tard. Je l’ai rencontré le lendemain, et à nouveau quelques semaines plus tard en Floride avec les membres de sa famille et certains de ses conseillers proches. Au cours de discussions longues et intenses j’ai été surpris de de découvrir  que nous étions alignés sur de nombreuses questions clés.

 

 Il a suggéré que nous unissions nos forces. Nous avons également parlé d’Abraham Lincoln qui avait utilisé la même stratégie : cet arrangement nous permettait de désapprouver publiquement, mais aussi en privé et férocement si nécessaire les questions sur lesquelles nous divergions tout en travaillant ensemble sur les questions existentielles sur lesquelles nous sommes en accord. »

 

« Nous sommes alignés sur de nombreuses questions clés comme la fin des guerres sans fin, la fin de l’épidémie de maladie infantile, la sécurisation des frontières et la protection de la liberté d’expression mais aussi le démantèlement des agences de réglementation capturées par les entreprises, la sortie des agences de renseignement américaines des affaires  de propagande, de censure et de surveillance des Américains, et aussi de l’ingérence dans les élections.

Après discussion avec le président Trump j’ai essayé sans succès d’ouvrir des discussions similaires avec la vice-présidente Harris la vice-présidente qui a refusé de me rencontrer ou même de me parler.

Le président Trump a le potentiel de nous rassembler : alors permettez-moi de partager un peu pourquoi je crois que c’est si urgent. »

 

Une politique de santé catastrophique.

 Aujourd’hui, nous dépensons plus en soin de santé que n’importe quel autre pays sur terre deux fois plus que ce qu’ils payent en Europe et pourtant nous avons les pires résultats de santé de tous les pays du monde.  Nous sommes environ 79 ième  en terme  de résultats de santé derrière le Costa Rica, le Nicaragua et la Mongolie et d’autres pays.

 

 personne n’a un fardeau de maladies chroniques comme nous et pendant l’épidémie de covid nous avons eu le plus grand nombre décès de décès de  tous les pays du monde nous avons eu 16 % de décès dû au covid pourrait 0,2 % de la population mondiale.

 

l’Américain moyen qui est mort du covid avait 3,8 maladies  chroniques,  personnes qui avaient un effondrement de système immunitaire.

 

Aucun autre pays n’a quelque chose de similaire : 2/3 des Américains adultes et enfants souffrent  de problème de santé chronique :  il y a 50 ans ce chiffre était   inférieur à 1 % nous sommes donc passés de 1 % à 66 %.

 

En Amérique 74 % des Américains sont maintenant en surpoids ou obèses.

 50 % sont des enfants.

 

 il y a 120 ans quand quelqu’un était obèse, il était envoyé au cirque littéralement !

 

 l’obésité est presque inconnue au Japon le taux d’obésité infantile est   de 3 % contre 50 % .

La moitié des Américains sont prédiabétiques ou ont un  diabète de type 2. Quand mon oncle était président et que j’étais enfant le diabète juvénile était  effectivement inexistant un pédiatre type voyait un cas de diabète pendant toute sa carrière de 40 ou 50 ans.

 

Aujourd’hui un enfant sur 3 qui franchit la porte de son cabinet est

diabétique ou prédiabétique et le trouble mitochondrial qui cause le diabète cause également la maladie  d’Alzheimer. Ce  qui est maintenant classé comme diabète coute à ce pays plus que  notre budget militaire

 

 Chaque année il y a une explosion de maladies neurologiques chez les enfants : hyperactivité TDAH,   retard de la parole, retard sur le langage, syndrome de Tourette, narcolepsie, syndrome d’Asperger, autisme.

 

 En l’an 2000 le taux d’autisme était de 1 sur 1500, maintenant le taux d’autisme chez les enfants est de 1 sur 36 selon le CDC à l’échelle nationale et personne n’en parle !

 

Un enfant sur 22 en Californie est autiste.  C’est une crise : 77 % de nos enfants sont trop

Handicapés pour servir dans l’armée américaine

 

Qu’est-ce qui se passe dans notre pays ? (…)   Dans ma génération, chez les hommes de 70 ans, les taux d’autisme étaient d’environ de 1 sur 10000 et la génération de mes enfants 1 sur 34 : je répète en Californie 1/ 22 !

 

 18 % des adolescents américains souffrent maintenant de stéatose hépatique : c’est un sur 5. Cette maladie, quand j’étais enfant, n’affectait que les alcooliques en phase terminale qui étaient âgés.

 

 Les taux de cancer sont en plein essor chez jeunes et vieux : les cancers des jeunes adultes sont en hausse de 79 %

 

Une femme américaine sur 4 prend des antidépresseurs 40% des adolescents ont des problèmes de santé mentale, et un million d’enfants prennent des ISRS (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, classe d’antidépresseurs.

 

 

Qu’est-ce qui cause cette souffrance ?  Je vais nommer deux coupables

 

le premier et le pire et la nourriture ultra transformée : environ 70 % de l’alimentation des enfants américains est ultra transformé : cela signifie qu’elles sont fabriquées industriellement dans une usine.

 

Ces aliments sont composés principalement de sucre transformé de grains ultra transformés et d’huile végétale. Des scientifiques, dont beaucoup travaillaient autrefois pour l’industrie du tabac, ont acheté toutes ces grandes entreprises alimentaires dans les années 1970 -1980.  Ils ont déployé des milliers de scientifiques pour trouver de nouveaux produits chimiques pour rendre la nourriture plus addictive.

 

Ces ingénieurs n’existaient pas il y a 100 ans.  Les ,humains ne sont pas biologiquement adaptés pour manger ce genre de chose, ces centaines de ces produits chimiques maintenant interdits en Europe mais omniprésents dans les aliments transformés américains.

 

 Le deuxième coupable :  les produits chimiques  toxiques dans notre alimentation dans nos médicaments,  et dans notre environnement. Les pesticides, les additifs alimentaires les médicaments pharmaceutiques et les déchets toxiques imprègnent chaque cellule de notre corps.

 

Cette attaque contre les cellules et les hormones de nos enfants est incessante et pour ne nommer qu’un problème, beaucoup de ces produits chimiques augmentent les œstrogènes.

 

 Comme les jeunes enfants ingèrent tellement de ces perturbateurs hormonaux, le taux de puberté en Amérique survient maintenant dès l’âge de 10 ans, de 10 à 13 ans soit 6 ans plus tôt qu’ en 1900 quand les filles atteignaient la puberté

 

Notre pays a un taux de puberté le plus précoce de tous les continents sur terre. Non ce n’est pas à cause d’une meilleure nutrition, ce n’est pas normal !  Le cancer du sein est également favorisé par les œstrogène et frappe maintenant une femme sur 8.

 

 

Nous empoisonnons massivement tous nos enfants et nos adultes

 

Compte tenu du coût humain accablant de cette épidémie tragique de maladie chronique, il semble presque grossier de mentionner les dommages qu’elle cause à notre économie, mais je le dirais : elle paralyse les finances de notre nation !

 

Quand mon oncle était président, notre pays ne dépensait rien pour les maladies chroniques. Aujourd’hui les dépenses de santé publique du gouvernement sont presque toutes consacrées aux maladies chroniques et c’est le poste budgétaire le plus en croissance, la maladie chronique coûte le plus à l’économie dans son ensemble : ça coûte au moins 4000 milliards de dollars

 

Dans les communautés minoritaires ce fardeau est disproportionné les personnes qui s’inquiètent de la diversité de l’inclusion et du sectarisme de toute nature éclipsent ça.

 

Nous empoisonnons les pauvres, nous empoisonnons systématiquement les minorités au travers de ce pays de l’industrie. On fait en sorte que la plupart des programmes de distribution d’aide alimentaire pour le déjeuner 70 % des bons alimentaires 70 ou 77 % des déjeuners scolaires soient des aliments transformés…

 

 Il n’y a pas de légumes, il n’y a rien que vous voudriez manger !   Nous empoisonnons juste les citoyens pauvres et c’est pour ça qu’ ils ont le fardeau des maladies chroniques le plus élevé de tous les groupes démographiques dans notre pays et le plus élevé au monde !

 

 La même industrie alimentaire a fait pression pour que presque toutes les subventions agricoles, les cultures de base qui sont les matières premières de l’industrie alimentaire   transformée, détruisent les petites exploitations agricoles.  Elles détruisent nos sols.

 

 Nous donnons plus en subvention au tabac qu’en fruits et légumes !  Ça n’a aucun sens si nous voulons un pays en bonne santé.

 

 

La bonne nouvelle est que nous pouvons changer tout ça, même très très rapidement.

 

 L’Amérique peut redevenir saine

 

 Pour se faire nous devons faire trois choses prioritairement :

1 nous devons   éradiquer la corruption dans nos agences de santé

 2 nous devons changer les incitations dans notre système de santé

 3 nous devons inspirer les Américains à redevenir sains

 

80% des subventions vont à des personnes ayant des conflits d’intérêt. Joe Biden vient de nommer un nouveau panel pour décider des recommandations alimentaires.

Mais ce sont tous des gens de l’industrie, des gens des entreprises alimentaires transformées.  Ils décident de ce que les Américains vont entendre être sains, des recommandation sur la pyramide alimentaire de ce qui va dans les programmes de déjeuners scolaires..

 

 Vous le savez tous :   les programmes de bons alimentaires sont construits par des individus corrompus avec conflits d’intérêt.  Ces agences :  la FDA (agence de santé américaine, l’USDA  (Us department of agriculture ) et le CDC (centres de contrôle des maladies, un fédéral et un par état) sont toutes contrôlées par des entreprises géantes à but lucratif.

 

75 % du financement de la FDA ne provient pas des contribuables, mais de l’industrie pharmaceutique. Les cadres de l’industrie pharmaceutique, les consultants et les employés  font des allers-retours dans ces agences (des entreprises big pharma aux agences et vice versa).

 

Avec le soutien du président Trump, je vais changer cela : nous allons doter ces agences de scientifiques et de médecins honnêtes dépourvus de financement de l’industrie.
Nous allons nous assurer que les consommateurs, médecins et patients soient informés par une science impartiale.

 

Un enfant malade est la meilleure chose pour l’industrie pharmaceutique !

 Quand les enfants américains ou adultes tombent malades avec une maladie chronique, ils sont mis sous médicament toute leur vie. Imaginez ce qui se passe ! 

Un exemple : Ozempic (sémaglutide ) est  recommandé comme coupe faim pour les enfants dès l’âge de 6 ans, tout cela pour obésité  complètement évitable et qui n’existait presque pas il y a 100 ans.74 % des Américains sont obèses :  le coût si tous prenaient leur prescription, serait de 3000 Milliards de dollars par an :  médicament fabriqué par Novo Nordisk

la plus grande entreprise d’Europe, entreprise danoise.
Le gouvernement danois ne le recommande même pas : il recommande de changer de régime alimentaire pour traiter l’obésité et de faire de l’exercice.  Dans notre pays, la recommandation maintenant, c’est l’Ozempic pour les enfants dès 6 ans.

 La plus grande entreprise d’Europe et pratiquement toute sa valeur boursière repose sur ses projections de ce qu’elle va vendre d’ozempic à l’Amérique !

 

Nous avons les lobbyistes alimentaires qui ont un projet de loi devant le Congrès, aujourd’hui soutenu par la Maison Blanche, par la vice-présidente Harris et le président Biden pour permettre que cela se produise !  Cette clause de 3000 milliards de dollars qui va ruiner notre pays. Pour une fraction de ce montant, nous pourrions acheter de la nourriture biologique pour chaque famille américaine, trois repas par jour et éliminer complètement le diabète.
Nous allons ramener des aliments sains dans les déjeuners scolaires, nous allons cesser de subventionner les pires aliments avec nos subventions agricoles, nous allons éliminer les produits chimiques toxiques de notre alimentation, nous allons réformer tout le système alimentaire et pour cela nous avons besoin d’un nouveau leadership à Washington parce que maintenant les Partis démocrate et républicain sont de mèche avec les grands producteurs alimentaires et Big culture qui compte parmi les principaux donateurs des démocrates.


La vice-présidente Harris n’a montré aucun intérêt à aborder cette question. Quatre années supplémentaires de règne démocrate achèveraient la consolidation du pouvoir des entreprises et des néoconservateurs et nos enfants seront ceux qui souffriraient le plus.

 

 Je me suis impliqué dans les maladies chroniques il y a 20 ans, non pas parce que je l’avais choisi ou voulu, mais cela m’a essentiellement été imposé car ce problème aurait dû être central pour le mouvement environnemental qu’il l’a oublié.

 

 J’étais un leader central de la protection de l’environnement à cette époque ; mais il était largement ignoré par toutes les institutions y compris les organisations à but non lucratif qui auraient dû protéger nos enfants contre ces toxines.

C’était un problème orphelin et j’avais une faiblesse pour les orphelins : j’ai vu des générations d’enfants devenir de plus en plus malades : j’avais 11 frères et sœurs et

7 enfants moi-même : j’étais conscient de ce qui se passait dans leur classe et avec leurs amis et j’ai vu ces enfants malades de cette génération, presque tous endommagés et personne au pouvoir ne semblait s’en soucier ou même le remarquer.

 

Pendant 19 ans, j’ai prié chaque matin pour que Dieu me mette en position de mettre fin à cette calamité, la crise des maladies chroniques. Cela a été l’une des principales raisons pour laquelle je me suis présenté à la présidence, avec la fin de la censure et  de la guerre en Ukraine, mais la raison pour laquelle j’ai pris la décision déchirante de suspendre ma campagne et de soutenir le président Trump.

 

Cette décision est déchirante pour moi en raison des difficultés qu’elle cause à ma femme et à mes enfants et à mes amis, mais j’ai la certitude que c’est ce que je dois faire et cette certitude me donne la paix intérieure même dans les tempêtes.

 

Si j’ai la chance de résoudre la crise des maladies chroniques, de réformer notre production alimentaire je promets que dans 2 ans nous verrons le fardeau des maladies chroniques diminuer de manière significative. Nous rendrons l’Amérique saine à nouveau et dans 4 ans l’Amérique sera un pays en bonne santé. Nous serons plus fort plus résilients, plus optimistes  et plus heureux.

 

 je ne vais pas échouer en fin de compte car  l’avenir quelle que soit la manière dont il se déroule, est entre les mains de Dieu et entre les mains des  électeurs américains et de celle du président Trump.

 

 Si le président Trump est élu et honore sa parole le fardeau immense des maladies chroniques qui démoralise et ruine le pays disparaîtra.

 

C’est un voyage spirituel pour moi, après une prière profonde à travers une logique rigoureuse, je me suis demandé quelle décision je devais prendre pour maximiser mes chances de sauver les enfants d’Amérique et de restaurer la santé nationale.

 

J’ai ressenti que si je refusais cette opportunité, je ne pourrais pas me regarder dans le miroir sachant que j’aurais pu sauver la vie d’innombrables enfants et d’inverser l’épidémie de maladies chroniques dans ce pays. (..)

 

 Le président Trump m’a dit qu’il voulait que ce soit son héritage, je choisis de croire qu’il tiendra parole. Son fils, ses plus grands donateurs, ses amis les plus proches, tous soutiennent cet objectif. Mon adhésion à la campagne de Trump sera un sacrifice difficile pour ma femme et mes enfants, mais cela en vaudra la peine s’il y a même une petite chance de sauver ces enfants.  En fin de compte, la seule chose qui sauvera notre pays, ce sont nos enfants, si nous choisissons d’aimer nos enfants plus que nous nous détestons les uns les autres.

 

 C’est pourquoi j’ai lancé ma campagne pour unifier l’Amérique.

 

Mon père et mon oncle ont laissé une marque si durable sur le caractère de notre nation, pas autant par la politique particulière qu’ils ont promue, mais parce qu’ils ont été capables d’inspirer un amour profond pour notre pays et de fortifier notre sentiment de nous-même en tant que communauté nationale unie par des  idéaux.

 

Ils ont pu mettre leur amour dans les institutions et le cœur des Américains ordinaires et unifier un mouvement populiste national d’Américains noirs et blancs, hispaniques, urbains et ruraux en inspirant de l’amour, de grands espoirs  et une culture de la gentillesse qui continuent de rayonner parmi les Américains, grâce à leur  mémoire. C’est l’esprit dans lequel j’ai mené ma campagne, et j’ai l’intention de porter la campagne du président Trump.

 

 Au lieu de vitriol et de polarisation, je vais faire appel aux valeurs qui nous unissent, aux objectifs que nous pourrions atteindre si seulement nous n’étions pas à la gorge des uns et des autres.

 Le thème le plus unificateur pour tous les Américains est que nous aimons tous nos enfants. Si nous nous unissons autour de cette question, maintenant, nous pourrons enfin leur offrir la protection la santé  et l’avenir qu’ils méritent

  Merci à tous.

 

Voici quelques éléments des choix de RFK  confirmés après l’élection du président Trump, le 6 nov 24

En particulier sur les vaccins (après les attaques le traitant d’antivax )

Robert F. Kennedy Jr. : « Je tiens à préciser que je ne veux pas priver les Américains de vaccins. Je ne veux pas imposer mes choix aux Américains. Si les vaccins fonctionnent pour vous, vous devriez pouvoir les obtenir. Et je veillerai à ce que cela soit le cas. Mais les gens doivent pouvoir faire un choix éclairé. Ils doivent donc disposer de données scientifiques fiables qui leur indiquent le coût et les avantages de ces produits, en particulier lorsqu’on leur ordonne de les utiliser. » « 76 millions d’enfants par an doivent les utiliser. Et ce sont des enfants en bonne santé. C’est donc le seul produit médical qui est administré à des personnes en bonne santé. Il faut qu’un produit comme celui-là soit très solide, pour s’assurer qu’il n’y a aucun risque, car vous pouvez prendre certains risques si vous êtes malade pour aller mieux. Bien sûr. Mais si vous n’êtes pas malade, et vous ne devriez pas être obligé de prendre un produit à moins qu’il ne soit infaillible, à moins que vous ne sachiez quels sont les… vous savez, quels sont tous les coûts et les avantages. » « Le problème avec les vaccins, c’est qu’ils ont été introduits à l’origine par le Service de santé publique, qui est l’un des cinq services militaires. C’est pourquoi il existe un médecin général. Et le Service de santé publique les a introduits et les a promus comme une défense de sécurité nationale contre les attaques biologiques contre notre pays. Ils voulaient donc s’assurer que si les Russes nous attaquaient avec de l’anthrax ou un autre agent biologique, ils pourraient rapidement formuler un vaccin et le déployer ensuite auprès de 220 millions de civils américains sans obstacles réglementaires. » « Un produit médical normal prend environ huit ans pour arriver sur le marché, car il doit passer par des essais contrôlés en double aveugle contre placebo et il faut voir les effets à long terme. Il y a de nombreux effets sur chaque produit médical qui ont de longs horizons de diagnostic et de longues périodes d’incubation. Ils ne voulaient pas passer par là parce qu’ils disaient que ce serait une urgence nationale. Donc au lieu de l’appeler un médicament, nous allons l’appeler un produit biologique et nous allons exempter les produits biologiques des études de sécurité préalables à l’homologation. » « Il n’existe donc aucun vaccin de ce programme, parmi les 72 vaccins, qui ait jamais fait l’objet d’une étude de sécurité préalable à l’homologation, contrôlée par placebo, contre un véritable placebo. Et c’est faux, car cela signifie que personne ne sait quels sont les profils de risque de ces produits. Et personne ne peut vous dire si ce produit évite plus de problèmes qu’il n’en cause. » « Et ce que je ferai, vous savez, si on me donne ce poste à la Maison Blanche, c’est que je m’assurerai que ces études soient réalisées, que les comités qui approuvent ces produits soient composés de personnes qui ne soient pas chargées de conflits d’intérêts. C’est donc de la vraie science, que les gens soient désintéressés et que les médecins, les patients et les Américains sachent exactement quels sont les coûts et les avantages de chaque vaccin et puissent prendre une décision rationnelle. »

 

 

 

Et depuis l’élection la confirmation de sa nomination auprès du président le 6 novembre 2024
Robert Kennedy Jr : « Le président Trump m’a demandé de faire trois choses.

Premièrement, il veut que j’élimine la corruption, les conflits d’intérêts et le phénomène de ‘capture d’agence’, c’est-à-dire la capture des autorités de santé publique par des intérêts privés, qui ont détourné ces autorités de leur mission première, à savoir la protection de la santé publique ».
« Leur objectif principal est désormais de faire progresser les intérêts commerciaux des entreprises pharmaceutiques. Oui, et il veut que la corruption soit éliminée.

Deuxièmement, il veut que ces autorités retrouvent leur excellence scientifique d’antan. Il veut que la recherche et le travail scientifique soient à nouveau menés à un niveau fondé sur des preuves, empirique, pour lequel ils étaient célèbres dans le monde entier lorsque nous étions enfants. Ils ont depuis perdu cette réputation, car ils ont été accaparés par l’industrie ».


« Et troisièmement, il veut mettre fin à l’épidémie de maladies chroniques. Le président Trump m’a dit qu’il voulait voir des résultats concrets et mesurables dans les deux ans. Et je lui ai promis que je pouvais y arriver. Nous n’avons pas encore décidé si cela se fera en tant que secrétaire à la santé (HHS Secretary) ou en tant que responsable de la santé à la Maison Blanche. Mais dans tous les cas, nous mettrons fin aux maladies chroniques ».

 

 

 

 

[1] Nouveau Monde — Big Pharma et son hégémonie via l’autoritarisme des agences : un phénomène qui date des années 2000

[2] https://childrenshealthdefense.eu/fr/home-francais/

Détransition, conséquence d’une épidémie factice et de diagnostic de « dysphorie de genre » surestimé

11/03/2023 (2023-03-11)

Par Nicole Delépine

Les enfants sacrifiés de la théorie du genre : arrêtez le Trans train comme en Suède

Les lobbies, la mode, le business conduisent beaucoup d’adolescents qui se sentent mal dans leur peau (ce qui est bien normal à cet âge) à se laisser convaincre que leurs soucis viennent d’une erreur de « genre », idée induite par la publicité mensongère à tous niveaux : cinéma, télévision et malheureusement école, y compris chez les très jeunes, âge de la plus grande facilité de la manipulation.

Certains tentent parfois de revenir en arrière : on les appelle les détransitionneurs !

[Voir aussi :
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan
Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie]

Un acteur britannique, influenceur sur les réseaux raconte sur une TV américaine son parcours.1

« L’influenceur Oli London, 32 ans, révèle qu’il est en train de revenir d’une femme coréenne à un homme britannique — et dénonce les écoles pour avoir “normalisé le changement de genre” et enseigné aux enfants “à idolâtrer les hommes faibles comme Harry Styles”.

L’influenceur britannique a suscité la controverse après s’être identifié comme “transracial” et avoir dépensé plus de 271 000 dollars pour ressembler à des pop-stars coréennes.

London a déclaré que les guerres culturelles américaines sur le genre et les écoles ont laissé les gens confus sur le sujet.

Les enfants apprennent dès leur plus jeune âge, dès l’âge de cinq ans dans certains cas, qu’il n’y a pas de mal à changer de sexe, qu’il n’y a pas de mal à porter une jupe, qu’il n’y a pas de mal à ce qu’un garçon utilise des toilettes neutres quand cela met les filles en danger »

La pub et les réseaux sociaux, les influenceurs et même la publicité gouvernementale en France, la peur d’être poursuivi pour transphobie des familles et des médecins psychiatres en cas de refus immédiat du souhait de l’enfant (politique pro affirmative d’emblée),2 conduisent trop de candidats à foncer d’emblée dans le TGV de la transition, sans avoir le droit, de fait, à une période suffisante de maturation de leur décision. Qui sont finalement les victimes si ce ne sont ces enfants pris en otage de la mode ?

Nouvelle normalité

La question n’est pas qu’un certain nombre de personnes se sentent d’un autre sexe que celui de leur corps visible, cela a toujours existé, mais de façon très minoritaire.

Le problème est lorsque des personnes arrivant au pouvoir politique affirment que c’est « la nouvelle normalité » et tentent de marginaliser tous ceux qui ne ressentent pas cette différence.

La nouvelle culture portée par un petit groupe puissant surreprésenté parmi nos dirigeants occidentaux3 4 5 6 et lobbies auprès des parlements, conduisent à des erreurs de diagnostic chez des enfants ou jeunes en mal être qu’il eut été nécessaire d’écouter longuement ainsi que leurs familles et proches, avant de s’engager dans un long parcours du combattant qui le plus souvent ne les satisfait pas d’après leurs témoignages. D’où ce nouveau chapitre de l’histoire de la théorie du genre, les détransitionneurs.7

Le transgenrisme a pris une dimension politique aux USA et par contamination habituelle, en UE

Rachel Levine, ministre de Biden est transgenre : « Les enjeux de représentation sont devenus centraux » (marianne.net) « La question des transgenres était déjà au centre de la campagne de 2015-2016. »8 Nommée ministre adjointe de la Santé par Joe Biden, Rachel Levine « représente un choix historique » a écrit Joe Biden en annonçant sa nomination comme ministre adjointe de la Santé. Jusqu’alors directrice de la Santé de l’État de Pennsylvanie, Rachel Levine devrait devenir la première responsable fédérale transgenre. Un choix hautement politique, entre lutte contre l’épidémie de Covid-19 et sur représentation des minorités. »Elle officie au sein d’« Equality Pennsylvania », organisation pour le droit des personnes LGBT.

LE DROIT DES PERSONNES TRANSGENRES FORTEMENT POLITISÉ

« Elle représente un choix historique et extrêmement qualifié pour aider à mener les politiques de santé de notre administration », s’est enthousiasmé Joe Biden, ajoutant qu’elle « apportera le leadership ferme et l’expertise cruciale dont nous avons besoin pour guider les gens à travers cette pandémie, peu importe d’où ils viennent, leur race, religion, orientation sexuelle, identité de genre ou leur handicap. »

0,6 % DE LA POPULATION ADULTE AMÉRICAINE

« Joe Biden fait comprendre que les personnes transgenres constituent une part importante de notre pays » a réagi Mara Keisling, directrice exécutive du National Center for Transgender Equality. Joe Biden avait nommé Shawn Skelly, une vétéran trans, dans son équipe de transition.

« Les personnes transgenres représenteraient 0,6 % de la population adulte des États-Unis, mais leurs revendications résonnent plus fortement dans le débat public. 9

Les associations mettent régulièrement en avant leur situation précaire. Selon le National Center for Transgender Equality, 29 % des personnes transgenres aux États-Unis vivraient dans la pauvreté ».

LA REPRÉSENTATION DES MINORITÉS, STRATÉGIE POLITIQUE

Les politiques de tous pays sont rarement désintéressés. Chez les démocrates aux USA la représentation des minorités est devenue une réelle stratégie politique dominante.

« La communication sur l’identité sert à donner des gages à certaines clientèles électorales et surtout à la gauche du parti », reconnaît Lauric Henneton, maître de conférences à l’Université de Versailles Saint-Quentin, « on peut imaginer que c’est une version américaine du “en même temps”. »

On peut comprendre que des politiques tentent de se trouver de nouvelles clientèles et quoi de mieux de chercher dans les minorités, voire les extrêmes minorités.. Mais combien de victimes converties trop rapidement à un changement de genre alors que leur état relevait d’une autre pathologie (ou pas) ou d’un mal être transitoire ?

J’ÉTAIS SÛR : JE SUIS UN GARÇON

Charlie Evans est né femme, a vécu comme un homme pendant dix ans et est maintenant une femme à nouveau. Elle met en garde contre les décisions précoces et incontestées.

Le « detransitioner » de Manchester est un combattant déterminé contre le changement de sexe trop rapide. Elle parle très ouvertement de ses expériences personnelles. Elle a fondé le Detransition Advocacy Network. Elle a parlé lors de la « Lesbian Strength March » à Leeds.10

« Je savais que j’étais un garçon parce que j’aimais les voitures, les camions, la boue et les boîtes — et les filles. Je savais que j’étais un garçon parce que je n’agissais pas comme une fille. Rien chez moi ne semblait girly, et l’idéologie trans dit que tout le monde ressent son genre. Je ne me sentais pas comme une fille.

Je savais que j’étais un garçon parce que je répondais aux critères de la dysphorie de genre : une forte aversion pour les jouets et les vêtements typiquement féminins ; amis principalement masculins ; sentir que mes sentiments et mon comportement étaient typiques d’un garçon ; le désir d’être traité comme un garçon ».

Tous l’ont conforté dans son changement de genre tout de suite, amis comme les thérapeutes qu’il a consultés ! Comme si une fille n’avait pas le droit d’être finalement « un garçon manqué » pendant son enfance !

EN SUÈDE, PRÉCURSEURS EN UE DES TRANSITIONS MÉDICOCHIRURGICALES, ILS METTENT LE FREIN : ARRÊTEZ LE TRANS-TRAIN 11!

28 avril 202112 de Christine Westerhaus

Dans la Suède libérale, le débat trans a fait rage sur les faux diagnostics et une nouvelle loi scandaleuse. Les médecins et les parents étaient en colère. La femme trans Aleksa Lundberg s’est également rangée du côté des critiques, déclarant :

« Quelque chose ne va pas fondamentalement. »

Alors qu’une nouvelle loi devait faciliter la chirurgie chez les mineurs, y compris sans l’accord des parents la polémique a permis de réagir.

Mais au fil des ans, des doutes se sont accrus en elle quant à savoir si elle faisait toujours la bonne chose. Surtout avec ses patientes.

« Ces dernières années, de plus en plus de filles biologiques sont venues à notre cabinet. Beaucoup d’entre elles avaient d’autres diagnostics tels que l’autisme, les troubles de l’alimentation ou le trouble de stress traumatique.Néanmoins, on s’attendait à ce que nous répondions aux souhaits de ces patients en matière de traitement de changement de sexe. »

En 2019, Sämfjord a quitté son emploi.

« J’avais peur d’infliger des dommages irréversibles aux jeunes. »

Dans l’équipe KID de l’hôpital universitaire Karolinska, les cas avaient explosé depuis la création de l’équipe en 2000, passant de cinq à dix par an à 200 par an, la plupart d’entre eux étant des filles.

Des psychologues et des médecins, des parents, mais aussi des centres de conseil trans et des soi-disant détransitionnaires se sont plaints de la négligence avec laquelle les filles de 14 ans de l’hôpital universitaire ont été amputées des seins, sans qu’aucune autre cause de leur malaise avec leur propre corps n’ait été suffisamment clarifiée ou même traitée.

Dans le documentaire, elle se sent « comme un cobaye », explique une jeune femme qui s’est laissée transformer en homme trans.

« Ils expérimentent avec des jeunes sans preuves scientifiques. C’est irresponsable et cela me met en colère ! »

Dans Svenska Dagbladet, C Gillberg, psychiatre à Göteborg, a averti que les traitements hormonaux et chirurgicaux sur les enfants étaient « une grande expérience » qui pourrait potentiellement devenir « l’un des plus grands scandales médicaux du pays ».

Les parents ont également pris la parole. À 16 ans, la plus jeune fille de Jannika Häggström a dit à sa mère qu’elle était un homme. La mère a refusé de consentir au traitement de changement de sexe. À l’âge de 18 ans, la fille adulte a été amputée des seins et a pris de la testostérone.

« À l’âge de 20 ans, à peine deux ans plus tard, elle a réalisé que tout cela n’était qu’une idée fixe. »

En 2018, Häggström a créé le « Gender Identity Challenge Sweden » (GENID) avec d’autres parents pour protéger parents et enfants

Le Suédois avait observé une tendance inquiétante :

« Presque aucune mère ou père n’ose refuser à son enfant le consentement à des interventions chirurgicales. Ce souhait n’est plus guère remis en question, car de nombreux parents rapportent que leurs enfants ont rompu le contact avec eux parce que d’autres jeunes trans leur ont conseillé de le faire sur Internet. »

D’autres parents avaient indiqué que le « Bureau de protection de la jeunesse » les avait contacté car ils avaient refusé de s’adresser à l’enfant avec le « pronom correct ». PRESSION INSUPPORTABLE DES BUREAUCRATES AU SERVICE DES POLITIQUES.

Le réseau compte une centaine de membres. « Nous voulons empêcher les médecins de continuer à faire des expériences sur nos enfants », explique Jannika Häggström.

« Les opérations et les traitements hormonaux sont une expérience, il n’y a pas d’études scientifiques à long terme sur les conséquences de telles interventions. Les jeunes ne peuvent donc pas donner leur consentement éclairé. »

GENID exige un âge minimum de 25 ans pour les interventions chirurgicales.

Finalement, le gouvernement suédois a arrêté le « Trans Train ». Elle a chargé l’Agence d’évaluation des technologies de la santé d’examiner les données sur l’augmentation du nombre d’adolescents atteints de dysphorie de genre. Résultat : Il existe très peu de données, tant sur les raisons de l’augmentation que sur les risques ou les bénéfices des traitements hormonaux et des chirurgies.

Un rapport de l’autorité nationale de la santé a révélé qu’une fille sur trois âgée de 13 à 17 ans souffrant de dysphorie de genre avait reçu un diagnostic de trouble anxieux et qu’un autre tiers souffrait de dépression. Un sur cinq souffrait de TDAH et un sur sept d’autisme. Enfin, une analyse de l’autorité sociale suédoise « Socialstyrelsen » est arrivée à la conclusion :

« Il y a plus d’inconvénients que d’avantages possibles à abaisser l’âge minimum pour la chirurgie de conversion sexuelle. »

« Lorsque les adolescents voient le changement de sexe comme une solution à leurs problèmes d’identité pendant la puberté, quelque chose ne va pas », explique Aleksa Lundberg femme de 39 ans, de Stockholm qui vit en tant que femme depuis près de 20 ans. »

« Quand je me suis réveillé et que j’ai réalisé que j’avais perdu une partie importante de mon sens sexuel, ce fut un véritable choc pour moi»

Elle dit qu’elle déciderait différemment aujourd’hui.

« J’ai réalisé que j’étais en fait un homme gay féminin qui sentait qu’il devait changer son corps pour être accepté. »

Autre chose est devenu clair pour elle :

« Les jeunes fondent leur décision pour ou contre le traitement sur les histoires ensoleillées que nous, les personnes trans, racontons dans les médias. Et j’ai caché une partie importante de mon histoire aux gens. » 13

DE PLUS EN PLUS DE FEMMES DEVIENNENT DES HOMMES

Il y a 30 ans, il y avait 3 000 transsexuels en Allemagne, aujourd’hui il y en a 24 000. De plus en plus de femmes fuient vers le sexe opposé. Pourquoi ? Battage médiatique pour les jeunes femmes ou néoféminisme en panne d’idées ?

Lea venait d’avoir 16 ans, et a présenté sa solution au problème à ses parents. « Elle nous a expliqué qu’elle détestait son corps féminin et qu’elle était en fait un garçon. » La mère était consternée. Sur Internet, elle a constaté que de nombreux parents ressentent la même chose qu’elle. Le phénomène a même récemment eu un nom : « Rapid Onset Gender Dysphoria » (ROGD).14

TRANS EST UNE TENDANCE15

« DETRANSITIONNEURS » : DES ADOLESCENTS REGRETTENT LEUR CHANGEMENT DE SEXE ET DÉNONCENT DES DIAGNOSTICS DE DYSPHORIE DE GENRE TROP HÂTIFS, QUI FERAIENT FI DE CERTAINES PATHOLOGIES16.

Les personnes qui regrettent leur transition sexuelle seraient en nombre croissant, d’après un avis de l’Académie de médecine :

« Le risque de surestimation diagnostique est réel, comme en atteste le nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant détransitionner. Il convient donc de prolonger autant que faire se peut la phase de prise en charge psychologique ».

Un député britannique dévoile sa transidentité et dit avoir été victime de chantage et de viol.

« En France, on sait par ailleurs que le nombre de mineurs qui ont souhaité changer de sexe a été multiplié par vingt sur la même période », selon Arnaud Alessandrin, sociologue spécialiste de la transidentité à Bordeaux, et certains regrettent.

Ces « détransitionneurs » peuvent être classés en deux catégories, selon le sociologue : « Il y a ceux qui ont été opérés lorsqu’ils étaient majeurs, ont été surdiagnostiqués et le regrettent. Ils représentent entre 1 et 2 % de la population trans ». Puis, les plus jeunes qui ont suivi un traitement hormonal. « Entre 20 et 40 % de ces jeunes disent ensuite que cela ne leur convient pas ».

Un chiffre considérable qui devrait faire réfléchir les partisans de la transition rapide.

Des diagnostics de dysphorie de genre trop hâtifs ignoreraient certaines pathologies responsables du mal être du mineur.

« Parmi les adolescentes qui détransitionnent, on se rend compte que souvent, une autre pathologie antérieure à la transition était en cause, comme l’anorexie, la boulimie, l’autisme », indique Nicole Athea, gynécologue au Parisien.

« Que peut-on décider quand on a 15 ans, qu’on est dans une situation de souffrance psychologique et bien souvent sous l’emprise d’une idéologie trans ? »17

Transgenrisme : « De jeunes détransitionneurs viennent nous apporter le récit de leur parcours »18

Attaquées dans un article sur Mediapart sur la question de la prise en charge des mineurs qui se déclarent transgenres, Caroline Eliacheff et Céline Masson, codirectrices de l’Observatoire La Petite Sirène19, répondent.

« Cliniciennes auprès d’enfants et d’adolescents depuis plusieurs décennies nous récusons ce procès en légitimité. C’est à ce titre qu’avec d’autres partenaires de différentes disciplines, nous avons créé l’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent (Petite Sirène — l’OPS).20 »

De nombreux témoignages de parents et de détransitionneurs attestent d’une prescription hormonale trop rapide, en dépit de troubles psychiques avérés.

Il est important de savoir comment est éclairé le consentement du jeune et de ses parents concernant les traitements, leurs effets secondaires, leur éventuelle irréversibilité et notamment le risque d’infertilité.

Sont-ils informés de la permanence incertaine de l’identité de genre d’un enfant ou d’un adolescent et, qu’à ce jour, aucun critère fiable ne permet de dire qui persistera et qui changera d’avis ? Sont-ils informés des alternatives au traitement médical telles que la psychothérapie et l’attente bienveillante que préconisent actuellement la Suède et la Finlande ? (Après avoir été les pionniers des pratiques chirurgicales de transformations sexuelles.)

Les parents savent-ils que de nombreux experts (Genspect)21 déconseillent la transition sociale totale des enfants soulignant que cela concrétiserait ce qui pourrait n’être que « transition temporaire ? »

INFLUENCE DES RÉSEAUX SOCIAUX

À Paris, 30 à 50 % d’enfants persistent dans leur identité inversée alors dans d’autres équipes, notamment celle du Pr Zucker au Canada, 70 à 90 % d’enfants retrouvent une harmonie avec leur sexe quand ils sont pris en charge autrement.

Toutes les publications qui affirment une amélioration après traitement hormono-chirurgical ont été jugées de « très faible fiabilité » et court-termistes.

En revanche, la sursuicidalité pendant toute la vie des personnes trans est bien démontrée (43 % soit dix fois plus que la population hétérosexuelle) et sert même d’argument (discutable) pour dénoncer la discrimination dont les trans sont l’objet alors pourtant, que d’autres minorités sexuelles (homosexuels et bisexuels) ou autres, tout autant discriminées, ne souffrent heureusement pas d’un taux de suicide aussi élevé.

LE CONFINEMENT LIÉ AU COVID A LARGEMENT AMPLIFIÉ LA SUREXPOSITION AUX RÉSEAUX SOCIAUX

Dans l’accélération récente du phénomène, il faut sans nul doute analyser la part terrible de l’invraisemblable confinement imposé à une grande partie du monde, folie organisée qui a abouti à une augmentation majeure des troubles psychiques et singulièrement chez les plus jeunes.

Le confinement lié au Covid a largement amplifié la surexposition aux réseaux sociaux.

« C’est là que les jeunes s’endoctrinent, s’autodiagnostiquent et acquièrent le vocabulaire et les codes pour convaincre leurs parents et les médecins ; c’est là qu’un avenir meilleur leur est promis s’ils s’éloignent de leurs parents, forcément transphobes si ceux-ci émettent la moindre réticence ; c’est là qu’ils adhèrent à leur nouvelle communauté qui les encourage dans leur détermination et les héroïse. »

Ils étaient perdus, isolés à la suite des mesures coercitives de la plandémie covid, ils deviennent membres d’un groupe chaleureux, qui les comprend et au passage les manipule et les utilisent : ils trouvent le nom de médecins complices qui prescrivent des hormones à la première consultation ou s’en procurent sur Internet. Ils y trouvent même le nom de chirurgiens (parfois même indiqués par nos grands centres de référence !) pratiquant des mastectomies

Ces mutilations sexuelles sont souvent voilées par des euphémismes tels que torsoplastie ou encore « chirurgie du haut » (les médecins reprenant à leur compte le vocabulaire trans) — opérations autorisées en France avant dix-huit ans avec l’accord des deux parents et réalisées dans des cliniques privées, à Paris et en province.

LES DÉTRANSITIONS

Il est bien sûr très difficile d’en établir le nombre, car les services spécialisés ne les voient pas forcément et ne tiennent pas forcément à mettre en exergue les échecs de leurs pratiques discutables, mais fort lucratives.22

« Les détransitionneurs ont rarement envie de revoir les médecins qui les ont traités et estiment-ils souvent, mal traités. »23

Ces jeunes gens découvrent qu’ils sont toujours aussi malheureux, qu’ils ont été soignés de leur mal-être en dépit du bon sens (bon nombre se découvrent simplement homosexuels ou bisexuels), et/ou qu’ils étaient en réalité atteints de troubles psychiatriques bien plus lourds (autisme, psychose, traumatismes, etc.) que la dystrophie de genre présumée qui les a conduit à des mutilations irréversibles et à des traitements hormonaux inutiles et potentiellement dangereux.24

La vraie médecine prend du temps et doit avant tout ne pas nuire.

Quand un mineur mal dans sa peau se croit atteint de dystrophie de genre, il faut l’écouter patiemment, le rassurer sur l’amour et le respect qu’on lui porte et la solidité des liens parents-enfant, lui expliquer les conséquences avérées d’une transition sexuelle complète (traitement à vie, mutilations irréversibles, stérilité) et promouvoir un accompagnement psychologique prudent. L’écoute, le dialogue, l’information, le refus de décisions hâtives irréfléchies et le temps parviennent à rassurer 75 % à 90 % des adolescents qui se croient trans sous la pression.

Cette prudence dans l’usage de traitements qui nous a toujours guidés dans notre pratique pédiatrique, cancérologique et chirurgicale sauvera de nombreux mineurs et permettra peut-être d’éviter un scandale sanitaire à venir.


image_pdfPDF A4image_printImprimer