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MORT SUR « ORDONNANCE » GOUVERNEMENTALE D’INJECTION GARDASIL ?

 

 

Par le DR G Delépine

 

 

Combien faudra-t-il de morts pour stopper la vaccination Gardasil ?

 

La mort dramatique d’un collégien à Nantes lors d’une vaccination Gardasil rappelle qu’aucun traitement ni aucune vaccination n’est dénuée de risque. La seule justification d’un traitement réside dans les bénéfices qu’il peut apporter. Or le collégien de Nantes est mort pour une vaccination contre les papillomavirus qui ne pouvait lui apporter aucun bénéfice personnel, ni non plus protéger les autres !

 

La quasi-totalité des germes que nous hébergeons nous sont utiles !

Il ne faut pas avoir un rapport hygiéniste hystérique avec les germes. Nous sommes tous en permanence porteurs de centaines de milliards de germes (virus et bactéries) avec lesquels nous vivons en parfaite harmonie.

Le microbiote intestinal, le plus « peuplé » d’entre eux, abrite 1012 (mille milliards) à 1014 (cent mille milliards) de micro-organismes qui assurent la fermentation des substrats et des résidus alimentaires non digestibles, facilitent l’assimilation des nutriments grâce à un ensemble d’enzymes dont les cellules humaines sont dépourvues et l’hydrolyse de l’amidon, de la cellulose, des polysaccharides…

Ils participent aussi à la synthèse de certaines vitamines et à celle d’acides aminés essentiels et régulent l’absorption des acides gras, du calcium, du magnésium[1]…et jouent un rôle important dans la lutte contre les infections[2].

Le microbiote cutané héberge en moyenne mille milliards de bactéries (soit 50 millions par cm2 de peau) de plus de 500 espèces différentes[3][4] mais aussi des champignons (comme les candida albicans) et des même des acariens.

Le microbiote vaginal comprend  un ensemble de micro-organismes (dont les lactobacilles de Döderlein) qui varient en fonction du mode de vie et des changements hormonaux, et forment un biofilm protecteur sur la muqueuse.

La flore buccale comporte de nombreuses variétés de bactéries et de champignons qui se nourrissent de sucres et des restes d’aliments présents dans la bouche et constituent le biofilm buccal indispensable au bon fonctionnement de la bouche par le maintien des dents et des gencives en bonne santé en luttant contre les nombreux germes pathogènes, et en participant à la prédigestion des aliments.

Les milliards de bactéries et virus qui nous contaminent en permanence sont dans leur quasi-totalité des germes saprophytes avec lesquels nous nouons un partenariat gagnant- gagnant. Modifier ces flores expose à des complications. La guerre contre les germes ne se justifie que contre les germes pathogènes, ceux qui sont responsables de maladie.

 

Héberger un papillomavirus ne rend pas malade !

Les papillomavirus comptent plus de cent espèces susceptibles de contaminer l’homme, mais elles se comportent dans la quasi-totalité des cas comme des saprophytes. La contamination HPV se produit par contact cutané[5] sexuel, ou non. Elle concerne près de 80% de la population adulte. Elle n’entraine habituellement aucun signe clinique [6] et l’organisme s’en débarrasse naturellement en 9 à 18 mois en acquérant une immunité solide contre la souche concernée (mais laissant le terrain disponible pour les autres souches).

Une maladie se définit par les troubles qu’elle engendre; la contamination par les HPV est asymptomatique et ne constitue donc pas une maladie. La chasse aux HPV n’est donc pas médicalement justifiée d’autant que le ralentissement de leur propagation ou leur éradication parfois cités comme but de la vaccination Gardasil (comme au début de la vaccination covid) sont totalement irréalisables car les HPV comportent trop de nombreuses souches et disposent de plus de réservoirs animaliers.

 

Les HPV sont accusés d’être responsables de cancer sans preuve formelle

L’origine des cancers est le plus souvent multifactorielle et les cancers présentés comme ceux du HPV n’échappent pas à la règle. Depuis la mise au point de vaccins contre les HPV certaines souches ont été déclarées uniques responsables de nombreux cancers sans qu’aucune preuve formelle de la responsabilité du virus n’ait été apportée. Il existe certes une relation statistique entre la présence de HPV et un surrisque de cancer du col, mais de semblables corrélations statistiques sont également démontrées avec de nombreux autres facteurs : précocité des premiers rapports sexuels, nombre de partenaires, nombre de rapports, fréquence d’infections génitales (à HPV mais aussi herpès, chlamydias), Sida, tabagisme, nombre de grossesse menées à terme… Tous ces facteurs étant de plus corrélés entre eux. La considérable disproportion entre les très fortes  incidences des infections  HPV (70-80%) et l’extrême rareté des cancers du col (0,006%) ne plaide d’ailleurs pas pour un rôle étiologique majeur des premiers. Les HPV pourraient en réalité n’être que les témoins d’une activité sexuelle intense, vraie cause du cancer du col de l’utérus du fait des microtraumatismes et des inflammations récidivantes qu’elle entraîne.

Pour les cancers du canal anal, le rôle des HPV est encore plus incertain car les facteurs les plus étroitement liés à sa survenue sont les rapports anaux passifs et le sida. Certes on retrouve aussi des antécédents de HPV chez les malades de cancer anal,  mais guère plus que chez 70% des hommes hétérosexuels indemnes du sida qui ne souffriront jamais de cancer de l’anus.

Mais la mise en cause du HPV en fait le coupable idéal, tant il est rentable pour les actionnaires …

 

Le Gardasil ne protège pas des cancers du col de l’utérus

Si les HPV ne suffisent pas à créer des cancers il est logique que la vaccination Gardasil soit incapable d’en diminuer l’incidence ( fréquence annuelle de nouveaux cas pour 100000 femmes). Et c’est que montrent les registres des cancers des pays apôtres de cette vaccination démentant ainsi la propagande permanente qui prétend que le Gardasil protègerait « des cancers du HPV ».

Le registre australien des cancers objective une augmentation d’incidence des cancers du col de l’utérus depuis la vaccination par Gardasil  :

En Grande-Bretagne :

 

En Norvège l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

 

 

En Finlande l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

 

 

 

 

Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV comme ils l’ont affirmé pour le covid19..

Mais la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis la vaccination par Gardasil chez les filles dans tous les pays qui ont instauré une vaccination scolaire.

Comme en Australie où l’incidence du cancer anal a davantage augmenté chez les filles que chez les garçons non vaccinés :

Comme en Grande-Bretagne :

 

Mais aussi dans les pays scandinaves :

 

 

 

Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

 

Ce malheureux collégien est bien mort de la vaccination Gardasil

L’ARS qui multiplie les appels à la vaccination tente de la disculper en accusant

« un malaise vagal sans lien avec le produit vaccinal ou à un défaut de qualité du vaccin. » en ne rappelant pas que ce malaise a été la conséquence de la vaccination Gardasil.

Les faits sont indiscutables : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.

Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA qui l’ont beaucoup plus pratiqué,  le VAERS (système de déclarations des complications post vaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

 

 

 

 

 

La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensées par le VAERS et qui ont motivé des plaintes en justice et des manifestations dans de nombreux pays

Ces manifestations contre le Gardasil et ses nombreuses actions en justice témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

 

 

 

 

 Pour protéger nos enfants il faut stopper cette vaccination dangereuse et inefficace contre le cancer [7]

 

 

 

[1] Inserm Microbiote intestinal (flore intestinale) https://www.inserm.fr/dossier/microbiote-intestinal-flore-intestinale/

[2] https://www.allodocteurs.fr/maladies-intestins-et-estomac-flore-intestinale-flore-intestinale-une-collection-de-bacteries-776.html

[3] Kenneth Todar, « The Normal Bacterial Flora of Humans » Todar’s Online Textbook of Bacteriology

[4]Dunyach-Remy C, Sotto A & Lavigne J.P (2015) Le microbiote cutané: étude de la diversité microbienne et de son rôle dans la pathogénicité. [archive] Revue Francophone des Laboratoires, 2015(469), 51-58.

[5] De nombreuses études rapportent des cas de vierges contaminées.

[6] A l’exception des souches 6 et 11 susceptibles de créer des verrues génitales (condylomes)

2023 11 8 gardasil court

 

Ouvrez le diaporama pour faire le point

 

il faut dire et redire  que les dangers  du gardasil sont réels et que son efficacité est nulle et non démontrée sur les cancers (qui mettent des décennies à se développer)

 

 

PROTEGEZ LES ENFANTS

 

INFORMEZ POUR EVITER LES EFFETS SECONDAIRES DONT DES DECES

 

 

imprimez et distribuez les tracts pour informer ceux qui ne regardent pas les réseaux sociaux !

 

Flyer Gardasil F[101921]    

 

Conférence du Dr Gérard Delépine concernant l’hystérie vaccinale du Gardasil/HPV (reseauinternational.net)

 

150923 -illegalite campagne vaccinale HPV – Reaction19.fr[103672]

2023 10 10 gardasil résultats et effets secondaires présenté à Marseille le 7 OCT 23

cliquez sur lien ci-dessus pour dérouler le diaporama du DR Gerard Delépine

alors que la campagne de vaccination gardasil contre le papillomavirus fait rage dans les collèges, regardez la mise au point actuelle d’octobre 23 sur les faits avérés, tant les résultats cancérologiques que les effets secondaires importants dont les accidents neurologiques parfois mortels et les ménopauses précoces avec risque de stérilité

 

 

 

Conférence du Dr G. Delépine – Gardasil : inutile, ruineux et dangereux ! (Paris, 01/07/2023) (odysee.com)

 

et le diaporama commenté dans cette conférence

 

1 07 23 GARDASIL PARIS

Par Nicole Delépine

La Pologne prend une décision majeure et s’oppose à la Commission européenne. La fin de Pfizer et la remise en question de l’UE ?

 

« Varsovie refuse d’accepter et de payer de nouvelles livraisons de vaccins »[1]

La Pologne refuse de recevoir et de payer de nouvelles livraisons de vaccins anti-Covid, a déclaré mardi le ministre de la Santé, indiquant que son pays disposait toujours de 25 millions de doses non utilisées.

« À la fin de la semaine dernière, nous avons eu recours à la clause de force majeure et informé à la fois la Commission européenne et le principal fabricant de vaccins (Pfizer, ndlr) que nous refusions de recevoir ces vaccins et que nous refusions également d’effectuer les paiements », a déclaré Adam Niedzielski à la télévision d’informations en continu TVN24.

« Cette situation entraînera un conflit juridique. En fait il a déjà lieu », a-t-il ajouté en indiquant que le contrat portant sur les vaccins avait été signé « entre la Commission et les producteurs » et que son pays ne fait pas directement partie de ce contrat.

Selon lui, la Pologne, pays de 38 millions d’habitants, dispose toujours de 25 millions de doses de vaccins, alors que 67 à 70 millions d’autres ont été commandées. Actuellement, environ 51 % des Polonais ont été entièrement vaccinés, 59 % ont reçu une seule dose, et le taux de vaccination a fortement baissé, selon les données du ministère de la Santé.

Un peu de transparence montre les dangers des injections Pfizer

Cette information survient en même temps des groupes d’avocats ont obtenu par jugements que Pfizer ouvre les dossiers qu’il comptait garder secrets 75 ans. Ces dossiers sont explosifs : par exemple Pfizer savait dès le début de la pandémie que l’immunité naturelle était meilleure que celle obtenue par l’injection.

Des effets secondaires graves et des décès avaient été cachés sur le premier essai. :

La quantité de vax selon les lots varient de 1 à 100 expliquant les différences majeures d’effets secondaires. Un essai mondial caché à la population cobaye.

Informations relayées sur twitter : (Tara F [56]) le 17 avril 2022 et theepochtimes, suite à la publication le 1er avril 2022 d’un autre lot de 11 000 documents Pfizer par la Food and Drug Administration des États-Unis.[2]

Aucune différence d’évolution n’a été observée entre ceux qui avaient déjà été infectés par le COVID et ceux qui avaient reçu le vaccin. Aucun des deux groupes n’a connu d’infection grave.

La 2e révélation est que les effets secondaires des injections étaient plus graves chez les jeunes, âgés de 18 à 55 ans, que chez ceux âgés de 55 ans et plus. Fait intéressant, la documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation.

Pfizer savait que, dans la première semaine suivant l’injection, les personnes de tous âges souffraient d’une immunosuppression transitoire ou, en d’autres termes, d’un affaiblissement temporaire du système immunitaire, après la 1re dose.

Cela peut avoir faussé les taux d’infection, car les personnes n’étaient considérées comme partiellement vaccinées que 14 jours après leur premier vaccin et officiellement complètement vaccinées 2 semaines après la deuxième dose.

Or, si les personnes sont sensibles à l’infection au cours de cette première semaine, mais sont considérées comme non vaccinées pendant cette période, cela donne l’impression que les personnes non vaccinées sont plus sujettes à l’infection alors que ce n’est tout simplement pas vrai.

L’essai Pfizer avait d’emblée montré que l’infection était plus fréquente dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo et de manière significative : 409 contre 287 — au cours des 7 premiers jours suivant le vaccin.

Pfizer et la Food and Drug Administration des USA conscients dès le premier essai que le vaccin provoquait une immunosuppression.

Les dernières données du gouvernement britannique montrent que

par rapport aux non-vaccinés, ceux qui ont reçu deux doses sont :

– Jusqu’à 3 fois plus susceptibles d’être diagnostiqués positifs au COVID-19

– 2 fois plus susceptibles d’être hospitalisés avec COVID-19

– 3 fois plus susceptibles de mourir du COVID-19

La comparaison des taux de mortalité suggère que toute personne de plus de 40 ans qui a été doublement piquée est désormais plus susceptible de mourir du COVID qu’une personne non vaccinée du même âge.

Complications des pseudo vaccins aux USA

Au 25 mars 2022, il y avait aux USA 145 781 hospitalisations et 26 396 décès répertoriés liés à la « vaccination ». Et en UE (27 pays seulement sans la GB)

La documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation.

Un formulaire de consentement pédiatrique énumère plusieurs effets secondaires possibles, y compris un taux de myocardite de 10 sur 100 000 — bien supérieur au taux de 1 sur 50 000 (c’est-à-dire 2 sur 100 000) précédemment rapporté par les gouvernants et les médias mainstream.

Dans l’histoire moderne, aucun médicament n’a été aussi nocif et mortel que ces injections expérimentales.

Et pour les vaccins seulement :

Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de son « vaccin » ARNm dans le monde. Divisé par 158 893 effets secondaires dont il avait reçu notification, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1/800

IL SAVAIT. Il était tout simplement irresponsable de « vacciner » en masse !

Pfizer avoue avoir engagé 600 personnes juste pour traiter « le grand nombre de rapports d’effets secondaires des vaccins » et prévoyait d’en engager 1800 pour fin juin 2021 !

Pendant ce temps Macron déclarait le vaccin obligatoire pour les soignants et imposait le Pass Sanitaire…

Révélé par les documents publiés via FDA dans un nouveau lot, on en est à 11 000 documents maintenant. Page 6 du rapport « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf »

DRAME COLLECTIF

De l’aide proposée sur le canal Telegram Artemisia college :

Éloïse Soave :

Via : https://odysee.com/@LeLibrePenseur.org : 2/LLE20-Eloise-Soave-pfizer:4 Soave :

« Nous allons vers des effets secondaires à retardement. Il y a des personnes qui ont des effets secondaires à l’instant T, mais pour celles qui n’en ont pas, personne ne dit que dans 1 an, 2 ans, vous n’allez pas avoir la liste qui est déjà constatée par pharmacovigilance sur les effets secondaires… Il n’y a personne qui vous le garantit aujourd’hui… Ce sera notre héritage à tous… J’ai beaucoup de témoignages d’hommes sur les effets secondaires… De gros problèmes d’érection, problèmes cardiaques… AVC entraînant la mort… Je vous invite à me contacter, si vous avez besoin d’aide juridique ou autre ».

Pour des informations récentes sur les effets secondaires, vous pouvez écouter les replays du doctothon du 16 avril 2022.

Et aussi aller voir Instagram #OUESTMONCYCLE — APRÈS LA « VACCINATION » ?

Lola Dewaere (actrice) a brisé le silence : « Hémorragie et caillots de sang » :

https://www.rtl.fr/culture/medias-people/cotonavirus-lola-dewaere-temoigne-des-douleurs-dont-elle-est-victime-depuis-sa-vaccination-7900134121.

Lola Dewaere témoigne des douleurs dont elle est victime depuis sa vaccination

« Hémorragie et caillots de sang », l’actrice Lola Dewaere parle de son calvaire qu’elle associe a ses vaccinations contre le Covid-19.

Lola Dewaere
Lola Dewaere
Crédit : CHARLY TRIBALLEAU / AFP

« MOI JE VEUX QUE ÇA S’ARRÊTE ! » supplie Lola Dewaere dans une publication Instagram. L’actrice française y explique son parcours vaccinal, semé de syndrome pré menstruel, d’absence de règles et d’hémorragies accompagnées de caillots de sang.

Lola Dewaere explique comment elle vit avec ces symptômes : « Je dois aller tous les jours tourner avec 1 culotte prémenstruelle + 1 serviette par-dessus + 1 tampon et je dois me changer toutes les 10 minutes, car même ces triples protections ne suffisent pas! » L’actrice de 42 ans se compare notamment à des scènes de film d’horreur pour imager le flux menstruel insupportable qu’elle subis depuis maintenant plusieurs mois.

Selon elle, ces symptômes sont dus aux trois doses de vaccin contre le Covid-19 qu’elle a reçues depuis le mois d’aout. Elle appelle également aux témoignages en partageant une photo du compte @ouesmoncycle, qui partage des témoignages de femmes ayant des cycles menstruels perturbés depuis leur injection de vaccin Covid-19.

Les experts en parlent depuis longtemps :

Alexandra Henrion-Caude (généticienne, à 22 min) :

Diane Protat (avocate, vidéo de Reaction19 du 8 mars 2022 à 31 min) :

https://videos.reaction19.fr/?mediaId=e010b212-e6fa-4467-803c-0a47dc666a15

Recensement de témoignages de femmes à la suite de la « vaccination » :

OSONS-EN PARLER ENSEMBLE : Les pseudo vaccins font débander !

Et les hommes finissent par parler aussi de leurs problèmes d’érection molle puis absente associée à une grande fatigue après les injections, mais ces troubles de l’érection sont bientôt mis sur le compte d’une dépression liée au contexte. Ben voyons !

Pour ne pas être soumis à l’obligation de la pseudo vaccination et ses complications : voter tout sauf Macron !

 

 

Même l’Allemagne commence à se révolter contre cette injection toxique :

et même un joueur de tennis parle des conséquences tragiques sur les performances
Pr Perronne sur les effets secondaires du vaccin #Doctothon Dimanche 17 Avril 2022 #McKinsey pic.twitter.com/LsGwMO8ezI
restez vigilants sur cette injection !  Lisez les livres de Laurent Toubiana et de Laurent Muchielli par exemple
 et protégez « les enfants sacrifiés du Covid » pour éviter les injections aux enfants qui ne risquent rien du covid

Protégeons les injectés ! Qu’ils stoppent cette intoxication et protégeons les enfants ! Que les parents ne les condamnent pas à un avenir incertain !

La plupart des injectés ne veulent pas entendre parler des drames post injections et préfèrent continuer à écouter la pensée magique de Véran et de ses complices malgré leurs mensonges permanents.

Pourquoi ? Difficulté à reconnaître qu’on s’est trompé ? Drame psychologique personnel ? Pourtant, regarder la réalité en face pourrait leur éviter d’aggraver leur état avec les autres doses que Veran veut imposer de plus en plus fréquemment. Il existe manifestement une toxicité cumulative, en particulier en matière de problèmes cardiaques et neurologiques. Tentons de les informer par des tracts, des discussions à la sortie des magasins, pendant les manifestations, etc.

Tentons de les informer le plus doucement et humainement possible, car ce sont des victimes. Victimes du viol des consciences par les médias, les patrons, mais aussi des familles angoissées qui ont harcelé les vaccino prudents jusqu’à ce qu’ils se laissent « convaincre » et deviennent des « malgré nous ».

N’ajoutons pas un jugement de valeur aux pressions subies et mensonges médiatiques répétés qu’ils ont subis. Informons-les pour qu’ils épargnent leurs enfants.

Rappelons d’emblée qu’aussi bien aux USA qu’en UE ou en Grande-Bretagne, ou en Suisse le nombre d’effets délétères est extrêmement élevé par rapport aux complications enregistrées des vax depuis trente ans.

Toutes les classes d’âge ont été atteintes par les effets secondaires, y compris les plus âgées

Chez les sujets âgés, à haut risque par leurs pathologies sous-jacentes de tous types (artérite, etc.), la mortalité a été élevée lors des premières doses, mais le lien de causalité directe est systématiquement nié.

Sauf en Norvège (https://www.lindependant.fr/2021/01/15/covid-19-la-norvege-annonce-le-deces-de-23-personnes-suite-a-des-injections-du-vaccin-pfizer-9313761.php), où après la mort post vaccinales de 23 pensionnaires de maison de retraite les autopsies réalisées chez 13 d’entre eux suggéraient que des effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles.

À la suite de ces constatations, l’agence sanitaire a recommandé de ne pas injecter les personnes âgées de plus de 80 ans. « Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves ». « Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

De nombreux vieillards sont morts rapidement après leur première dose par AVC, infarctus ou « mort subite » en plus des gens âgés en EHPAD ou en HAD « euthanasiés » sans leur volonté au Rivotril (de l’ordre de 10 000).

Et le pouvoir a poussé à les injecter sous prétexte de leur fragilité qui n’a que renforcé les risques de l’injection. Encore maintenant, on entend trop souvent dire qu’on pourrait réserver le « vax » aux plus de 65 ans, alors qu’il existe des traitements précoces efficaces et que les plus vieux restent des citoyens à part entière qui ont aussi la liberté de penser et d’accepter ou non ce poison. S’exonérer d’un refus total de ces thérapies géniques est inacceptable…

Chez les gens de tous âges porteurs d’une maladie chronique, on note de plus en plus des aggravations de ces pathologies spécifiques : cancers[1] (y compris en rémission avec évolution rapide), maladies neurologiques de type SEP, etc., et autres auto-immunes de tous genres.

Chez les plus jeunes, la survenue de myocardites[2] post injections a rapidement été notée, d’autant plus fréquente que le « vacciné » est plus jeune et en particulier chez les adolescents. Nous sommes très inquiets pour les plus petits qui commencent à être injectés sans raison sanitaire réelle.

Chez les femmes, de nombreux troubles des cycles menstruels qui durent, fausses couches augmentées de façon importante, naissance de nouveau-nés qui décèdent rapidement dans le mois qui suit la naissance, ont rapidement attiré l’attention depuis les premiers mois des injections, qui auraient dû faire interrompre les vax de la part du corps médical et refuser de la part des citoyens, et imposer au minimum un moratoire.

Point actuel sur les chiffres publiés sur différents sites officiels

Selon le site américain VAERS

VAERS data des Centers for Disease Control & Prevention

Total de 1 071 856 déclarations d’événements indésirables dans tous les groupes d’âge après injection anti-COVID :

22 607 décès et 178 994 événements graves entre le 14 décembre 2020 et le 21 janvier 2022.

Les données DMED (pharmaco vigilance des armées américaines) ont fuité

Avec les principaux effets secondaires constatés par comparaison aux années antérieures. Précisons qu’il s’agit d’une population jeune en bonne santé donc ces chiffres sont particulièrement inquiétants.[3]

  • Tachycardie : augmentation de 202 %
  • Cancer du testicule : augmentation de 269 %
  • Dysfonctionnement ovarien : augmentation de 337 %
  • Migraines : augmentation de 352 %
  • Embolie pulmonaire : augmentation de 368 %
  • Infertilité féminine : augmentation de 372 %
  • Néoplasmes de la thyroïde et d’autres glandes endocrines : augmentation de 374 % 08
  • Démyélinisation : augmentation de 387 %
  • Cancer du sein : augmentation de 387 %
  • Syndrome de Guillain-Barré : augmentation de 451 %
  • Tumeurs malignes des organes digestifs — augmentation de 524 %
  • Sclérose en plaques : augmentation de 580 %
  • Tumeurs malignes de l’œsophage : augmentation de 794 %
  • Maladies du système nerveux : augmentation de 948 %
  • Hypertension : augmentation de 2 081 %

Myocardites en fonction de l’âge rapportées par le VAERS

Les atteintes cardiaques ont été les premières à inquiéter sérieusement les Israéliens au début des injections massives. Elles ont été rapidement constatées aux USA et demeurent un drame terrible pour les jeunes particulièrement touchés dont parallèlement les risques du covid lui-même étaient zéro.[2] Insistons sur le fait que l’atteinte cardiaque même si elle ne tue pas tous les patients affectés reste une lésion définitive qui va compromettre l’espérance de vie du sujet très probablement et en tous cas le rendre incapable d’activités sportives intenses.

Taux d’effets secondaires : les chiffres sur le site du gouvernement du Canada

Des effets secondaires graves post-vaccination « par 100 000 doses administrées et non par 100 000 personnes »

Selon le site de l’ANSM pour la France

Selon le site de l’UE 27 pays

Et dans le détail des pathologies

Drame chez les enfants pourtant à risque zéro du covid :

Via t.me/vaccinosceptique

DRAME CHEZ LES SPORTIFS

https://etouffoir.blogspot.com/2022/01/vaccins-des-sportifs-et-des-athletes-du.html?m=

VACCINS —Des sportifs et des athlètes du monde entier perdent leur carrière, leur santé et parfois leur vie, par suppression tyrannique de leur droit à disposer d’eux-mêmes.

Conclusion

Il est évident que l’accumulation des effets secondaires déclarés dans le monde n’est plus possible à résumer en un article, tant les données sont importantes en nombre et qualité. Ce petit résumé a pour but de rappeler la dangerosité de ces injections toujours expérimentales et donc d’aider à résister à l’injection de commodité par lassitude du harcèlement.

Mais comme le répète Mike Yeadon inventeur de la technique et lanceur d’alerte inquiet des conséquences de sa création, l’effet de l’injection est irréversible, tant pour les conséquences rapides que surtout pour les effets à long terme.

Protégez vos enfants. REFUSEZ TOUTE INJECTION.

 

 

initialement publié sur nouveau-monde.ca