L’AFP ment une fois de plus sur RFK Jr [1] !

 

 

 Par le dr G Delepine, chirurgien oncologue

 

Depuis que  D. Trump a décidé de nommer RFK comme ministre de la Santé les lobbys pharmaceutiques et ceux de l’alimentation industrielle mobilisent tous leurs moyens pour le discréditer. L’AFP subventionnée entre autres par l’USAID (pour combien de temps encore ?) s’y emploie avec opiniâtreté, sans lésiner sur les mensonges.

 

Rougeole éliminée aux USA depuis l’an 2000 ?

Dans une tribune du 18 mars 2025 [2], elle prétend par exemple que « la rougeole avait été éliminée des USA en 2000 » reprenant un vœu pieux de l’OMS contredit par la réalité. Comment peut-elle ignorer que des épidémies y ont régulièrement été observées ?  Comme en 2014 (667 cas), 2015 (113 cas liés à une épidémie multi-États liée à Disneyland de Californie), 2016 (189 cas), 2017 (au moins 122 cas dans 16 États) ou 2019 (plus de 1400 cas dans 22 foyers épidémiques distincts  [3] avec l’état d’urgence décrété à New York[4] )…

Cette prétendue élimination depuis 2000 n’étant destinée qu’à discréditer RFK Jr (en poste depuis un peu plus d’un mois) en le présentant comme le responsable de l’épidémie récente de rougeole…

 

La rougeole est-elle une maladie « très grave » ?

Dans ce même article, l’AFP prétend à tort que la rougeole serait « une maladie très contagieuse et grave ». Cette maladie est effectivement très contagieuse, mais elle n’est absolument pas grave en France comme dans tous les pays riches sauf pour les personnes souffrant de pathologie préalable très sévère avec déficit immunitaire[5].

Il y a cinquante ans, l’enseignement médical qualifiait en France la rougeole « d’éruption bénigne de l’enfance ». Cette bénignité était d’ailleurs évidente lorsqu’on considérait l’évolution de sa mortalité en France   proche

 

vaccine non vaccine diaporama -9 OCT 24 _

de zéro depuis les années 1970 (plus de 10 ans avant l’apparition des vaccins anti-rougeole).

 

 

Dans les années 1970, alors que j’exerçais comme remplaçant de généraliste en région parisienne, je ne manquais pas de conseiller aux parents  d ‘enfants présentant une rougeole d’inviter tous les amis sains du malade pour une « rougeole partie » qui permettait de les immuniser à vie contre la maladie. Aurais-je pu conseiller une telle rougeole partie s’il s’agissait d’une maladie à risque ?

La qualification de maladie grave pour la rougeole n’est d’ailleurs apparue qu’après la commercialisation des vaccins anti rougeoleux dont il fallait accroitre le marché (le coût des deux doses aux USA atteint $180 à $250 [6] ).

Les détails récents sur la mort de l’enfant américain, montrent qu’elle devrait davantage être attribuée au traitement inadapté de la bronchite infectieuse qui a suivi l’épisode rougeoleux qu’à la rougeole.

 

La vaccination contre la rougeole n’est pas sans risque !

« Toutes ces affirmations sont simplement et clairement fausses », tonne Paul Comme pour les injections covid, le vaccin contre la rougeole est officiellement efficace et sans risque. L’AFP fait de la surenchère en mettant en exergue l’avis de Paul Offit qui « tonne » que les affirmations de RFK Jr  sur les complications possibles du vaccin (encéphalite, cécité…) seraient « simplement et clairement fausses ».

Pourtant tout médecin sait qu’aucun traitement actif n’est sans risque. Le vaccin contre la rougeole utilise un virus vivant atténué ;  il peut se propager et entrainer des complications. Les moins rares sont les complications allergiques et les convulsions fébriles, potentiellement sévères, pouvant justifier une hospitalisation dont l’incidence totale reste heureusement faible (1 à 10 cas pour 10 00). Mais comme les vaccins anti varioliques ou le vaccin DTC (prédécesseur du DTP moderne), il peut aussi être suivi d’encéphalite [7] ou la responsabilité de la vaccination a été prouvée en isolant le virus vaccinal des tissus cérébraux malades.

Il est triste de constater qu’une fois de plus, l’AFP ne vérifie pas ce qu’elle affirme. Il suffisait pourtant de consulter le site américain officiel Pubmed pour vérifier la réalité de ces complications.

Enfin comment ne pas évoquer même sans conclure l’éventuelle responsabilité du ROR dans l’apparition de l’autisme. Il faut lire ces études déjà publiées en particulier le livre « vaccine not vaccine)[8] .  La création par le HHS dont RFK Jr est le directeur d’une sous-agence de la santé devant se consacrer à évaluer les effets secondaires des vaccins aux USA en toute transparence, devrait éclairer ce sujet.

 

[1] R Kennedy n’est pas antivax,[1] mais anti-corruption, et il dérange – Docteur Nicole Delépine

[2] Pour RFK Jr, des débuts tumultueux au ministère américain de la Santé

[3] https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/2019-10-04/l-epidemie-de-rougeole-prend-fin-aux-etats-unis

[4] https://www.lesechos.fr/monde/etats-unis/epidemie-de-rougeole-letat-durgence-sanitaire-declare-a-new-york-1008023

[5] Aplasie = absence de globules blancs de leucémie sous traitement par exemple

[6] https://bettercare.com/costs/mmr-vaccine-cost

[7] https://fr.medicalformat.com/10143-encephalite-post-vaccinale-causes-symptomes-diagnostic-et-traitement.html#google_vignette

[8] Résultats de recherche pour « Kennedy » – Docteur Nicole Delépine

R Kennedy n’est pas un antivax,[1] mais un anti-corruption qui dérange

 

article du 11  Novembre 2024

Depuis l’élection de Trump,  les médias [2] [3]concentrent leur propagande mensongère contre R. F. Kennedy accusé d’être « complotiste, antivax et même dangereux pour la santé des Américains » ! Et aucun de ces médias ne lui donne la parole pour leur répondre, bafouant ainsi la chartre d’éthique des journalistes qui prévoit qu’une personne mise ne cause puisse répondre dans les articles qui l’accusent.

Chroniqueuse du Boston globe, Yvonne Abraham n’hésite pas à qualifier cet avocat militant anticorruption de “cinglé accompli”[4] !

Trois grandes causes motivent ses combats actuels : la santé des enfants, la liberté d’expression et la guerre en Ukraine.

Ayant eu le plaisir de rencontrer personnellement Robert F. Kennedy, je me permets de fournir ici quelques éléments d’information qui sont apparemment méconnus de ses accusateurs (ou qu’ils ont refusé d’entendre) concernant les deux premiers sujets.

 

Robert F. Kennedy n’est pas contre les vaccins mais pour la transparence

Répétons ses paroles : « Je ne veux pas priver les Américains de vaccins. Je ne veux pas imposer mes choix aux Américains. Si les vaccins fonctionnent pour vous, vous devriez pouvoir les obtenir. Et je veillerai à ce que cela soit le cas. Mais les gens doivent pouvoir faire un choix éclairé. Ils doivent donc disposer de données scientifiques fiables qui leur indiquent le coût et les avantages de ces produits, en particulier lorsqu’on leur ordonne de les utiliser. »

Robert F. Kennedy veut des vaccins bien étudiés

« Le problème avec les vaccins, c’est qu’ils ont été introduits à l’origine par le Service de santé publique, qui est l’un des cinq services militaires »

… « Un produit médical normal prend environ huit ans pour arriver sur le marché, car il doit passer par des essais contrôlés en double aveugle contre placebo et il faut voir les effets à long terme. Il y a de nombreux effets sur chaque produit médical qui ont de longs horizons de diagnostic et de longues périodes d’incubation. Ils ne voulaient pas passer par là parce qu’ils disaient que ce serait une urgence nationale. Donc au lieu de l’appeler un médicament, nous allons l’appeler un produit biologique et nous allons exempter les produits biologiques des études de sécurité préalables à l’homologation. » « Il n’existe donc aucun vaccin de ce programme, parmi les 72 vaccins [NDT du programme de vaccination américain] qui n’ait jamais fait l’objet d’une étude de sécurité préalable à l’homologation, contrôlée par placebo, contre un véritable placebocela signifie que personne ne sait quels sont les profils de risque de ces produits. Et personne ne peut vous dire si ce produit évite plus de problèmes qu’il n’en cause. »

Robert F. Kennedy veut lutter contre les conflits d’intérêt et la capture des agences sanitaires.

« Ce que je ferai, vous savez, si on me donne ce poste à la Maison Blanche, c’est que je m’assurerai que ces études soient réalisées, que les comités qui approuvent ces produits soient composés de personnes qui ne soient pas chargées de conflits d’intérêts. C’est donc de la vraie science, que les gens soient désintéressés et que les médecins, les patients et les Américains sachent exactement quels sont les coûts et les avantages de chaque vaccin et puissent prendre une décision rationnelle. »

« 75 % du financement de la Food and Drug Administration ne provient pas des contribuables, mais de l’industrie pharmaceutique. Les cadres de l’industrie pharmaceutique, les consultants et les employés font des allers-retours dans ces agences (des entreprises big pharma aux agences et vice versa) ».

Robert F. Kennedy constate une situation sanitaire US catastrophique.

 « Aujourd’hui, nous dépensons plus en soin de santé que n’importe quel autre pays sur terre deux fois plus que ce qu’ils payent en Europe et pourtant nous avons les pires résultats de santé de tous les pays du monde.  

Nous sommes environ 79ième en terme de résultats de santé derrière le Costa Rica, le Nicaragua, la Mongolie et d’autres pays… personne n’a un fardeau de maladies chroniques comme nous et pendant l’épidémie de covid nous avons eu le plus grand nombre décès de décès de  tous les pays du monde nous avons eu 16 % de décès dû au covid pourrait 0,2 % de la population mondiale.

Quand mon oncle était président, notre pays ne dépensait rien pour les maladies chroniques. Aujourd’hui les dépenses de santé publique du gouvernement sont presque toutes consacrées aux maladies chroniques et c’est le poste budgétaire le plus en croissance, la maladie chronique coûte le plus à l’économie dans son ensemble : ça coûte au moins 4000 milliards de dollars… »

Qu’est-ce qui cause cette souffrance ?  Je vais nommer deux coupables : le premier et le pire et la nourriture ultra transformée : environ 70 % de l’alimentation des enfants américains est ultra transformé Le deuxième coupable :  les produits chimiques toxiques dans notre alimentation dans nos médicaments, et dans notre environnement. Les pesticides, les additifs alimentaires les médicaments pharmaceutiques et les déchets toxiques i

80% des subventions vont à des personnes ayant des conflits d’intérêt. Joe Biden vient de nommer un nouveau panel pour décider des recommandations alimentaires.

Mais ce sont tous des gens de l’industrie, des gens des entreprises alimentaires transformées.  Ils décident de ce que les Américains vont entendre être sains, des recommandation sur la pyramide alimentaire de ce qui va dans les programmes de déjeuners scolaires..

 Vous le savez tous : les programmes de bons alimentaires sont construits par des individus corrompus avec conflits d’intérêt.  Ces agences : la FDA (agence de santé américaine, l’USDA  (Us department of agriculture ) et le CDC (centres de contrôle des maladies, un fédéral et un par état) sont toutes contrôlées par des entreprises géantes à but lucratif.

L’Amérique peut redevenir saine. Avec le soutien du président Trump, je vais changer cela : nous allons doter ces agences de scientifiques et de médecins honnêtes dépourvus de financement de l’industrie.

Nous allons nous assurer que les consommateurs, médecins et patients soient informés par une science impartiale.  Pour se faire nous devons faire trois choses prioritairement : nous devons   éradiquer la corruption dans nos agences de santé, nous devons changer les incitations dans notre système de santé, nous devons inspirer les Américains à redevenir sains »

La bonne nouvelle est que nous pouvons changer tout ça, même très très rapidement.

 

 

Robert F. Kennedy défend la liberté d’expression menacée.

« Ce qui m’inquiète le plus…c’est le recours à la censure et au contrôle des médias ainsi que l’instrumentalisation des agences fédérales.

Quand un président des États-Unis collabore avec, ou contraint directement les entreprises médiatiques à censurer le discours politique, c’est une attaque contre notre droit le plus sacré à savoir la liberté d’expression et c’est le droit même sur lequel repos tous nos autres droits constitutionnels

Les médias grand public étaient autrefois les gardiens du premier amendement et des principes démocratiques et ils ont rejoint cette attaque systémique contre la démocratie. Ils justifient également leur censure au motif de combattre la Désinformation, mais les gouvernements et les oppresseurs ne censurent pas les Mensonges, ils ne craignent pas les mensonges, ils craignent la vérité et c’est ça qu’ils censurent.

Le devoir d’une presse libre est de protéger la démocratie et de toujours contester le parti au pouvoir. Au lieu de maintenir cette posture de scepticisme féroce envers l’autorité vos institutions se sont faites porte-parole du gouvernement et sténographe des organes du pouvoir.

Vous n’avez pas causé seuls la dégradation de la démocratie américaine mais vous auriez pu empêcher la censure des réseau sociaux par le Parti démocrate.»

Dénoncer la corruption des experts, et agences et les dérives de l’état qui privilégie les intérêts privés aux dépends de la sécurité des populations constitue une menace pour les lobbys des industries qui organisent la campagne de diffamation actuelle contre R. F. Kennedy.

Il est affligeant de constater qu’une majorité de journalistes et de médias aux USA comme en France participent activement à ces diffamations.

Mais la vérité vaincra et les réformes voulues par RF Kennedy bientôt mises en œuvre grâce à la présidence Trump pourront servir de modèle partout dans le monde.

Soutenons les combats de R. F. Kennedy qui stimuleront en France les défenseurs de la paix, de la liberté d’expression et de la santé libérée de la tyrannie de l’état au service des lobbys pharmaceutiques.

[2] https://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-robert-f-kennedy-jr-un-antivax-dans-la-course-a-la-maison-blanche

[3]  https://www.lepoint.fr/monde/election-de-trump-antivax-et-complotiste-pourquoi-la-nomination-a-la-sante-de-robert-kennedy-jr-serait-un-desastre-07-11-2024-2574633_24.php?at_medium=email&at_emailtype=retention&at_campaign=Push%20email&at_creation=Push-email&at_send_date=20241107&at_link=Article_1&boc=1810767&nl_key=e7f0e409f482195a1938cc2047a545e3c20c14800955302cb0cd094a9a9db82f&m_i=ApzlaJr4aiVgwZsTM9dI%2BXUx4CFMkA2u3TEKezkQb4nh2%2BD4zD4uJigF9gNT3pID5uDn2dv1QAoKj5GMGDCsgtrQ3bNAAw&M_BT=1416629091868

[4] https://www.bostonglobe.com/2024/04/10/metro/tragic-peril-rfk-jr/

   DYSPHORIE DE GENRE TOULOUSE 15 03 25 V4

 

LIRE LE DIAPORAMA CI-DESSUS

 

 

Couv Dysphorie de genre

 

GENDER DYSPHORIA 2024 04 13

 

 

CassReview_Final 

 

 

 

*

2025 03 15 Toulouse Bilan catastrophique de la politique sanitaire Française

 

 

et revoir  Covid19 et confinement aveugle, combien de morts évitables ? – Docteur Nicole Delépine

 

 

241206_ couverture et quatrième du cancer à la vie

 

 

Le monde et nous. Avec le Dr Gérard Delépine et Rebecca Horiot – Profession Gendarme  

 

 

Exemple d’un combat qui semblait perdu d’avance 2

 

 

 

Voici les liens de l’émission enregistrée sur tvadp le 6 mars 2025

 

https://www.youtube.com/watch?v=VO0yBoeUD24

 

https://crowdbunker.com/v/NqtbprDi

 

https://vkvideo.ru/video430568862_456242233?t=1h11m38s

 

 

et un très beau témoignage : merci Karen

Bon Dimanche sous la pluie à Bordeaux … 😊☔🙋

envoyé : 9 mars 2025 à 07:50
de : Karen BRANDIN
objet : parution : Du CANCER à la VIE

Commentaire :

TITRE  : « Parlez-moi de votre fille … » (le Docteur N. Delépine à une maman)

« On vous emmène faire le tour de notre drôle de vie,

Et un peu de elle aussi de patients que l’on a guéris,

On est partis tous les deux pour une drôle vie,

Pour vous on reste curieux

Et l’on fait ce que l’on s’est promis … »

Si ce beau livre débute par un poème de Victor Hugo, il aurait tout aussi bien pu s’ouvrir je crois, sur cette revisite d’un texte de Véronique Sanson.

En effet, ce recueil est une invitation à découvrir ou redécouvrir deux carrières complémentaires et en tous points exceptionnelles. Par discrétion, parce que tous les hommages seraient nécessairement vains en plus d’être incomplets, je n’entreprendrai pas d’égrener l’interminable liste des qualités d’honnêteté, de dévouement et de droiture dont Nicole et Gérard Delépine n’ont jamais cesser de faire preuve au cours de leurs quarante années de pratique médicale.

En réalité, selon moi : « Nul n’est censé ignorer l’existence de cet extraordinaire couple de médecins » ;-). Cette mention serait d’ailleurs bien inspirée d’être ajoutée à la toute fin du serment d’Hippocrate si fréquemment bafoué depuis la crise Covid.

Je vais donc simplement me permettre de pointer du doigt l’intelligence de ces deux âmes sœurs ; leur rigueur, leur insatiable curiosité vis à vis d’une littérature scientifique internationale qu’ils n’ont jamais cessé d’écumer, d’interroger et cette formidable agilité intellectuelle qui aura permis de les rendre, – mais surtout de les garder -, libres envers et contre tout.

Parfois contre “tous” (lire ou relire : « Neuf petits lits sur le trottoir » paru aux éditions Fauves – 2015).

S’ils sont un exemple, un modèle, c’est qu’en plus de faire preuve d’une éthique sans faille, ce sont toujours à l’heure actuelle des bourreaux de travail, à un moment pourtant où la tentation de la paresse gangrène tout.

Des vices, c’est sans doute celui qui semble le plus sympathique : on plaisante sur la flemme de la jeunesse, de nos élèves notamment. Sauf que cette paresse draine avec elle tout un cortège macabre : les concessions, l’indifférence, l’approximation, la corruption et, à terme, le mensonge ; jusqu’à fragiliser très sérieusement notre démocratie.

Justement, je perçois dans cet ouvrage, et ce bien au-delà d’une touchante galerie de portraits de jeunes gens, de jeunes parents épanouis, l’occasion de deux legs de nature différente mais d’égale importance.

Le premier est d’ordre scientifique, car il ne s’agit surtout pas de se résigner à évoquer le service atypique du Dr Nicole Delépine (aujourd’hui malheureusement fermé ; brutalement fermé en réalité à grand renfort de camions de CRS), avec une certaine nostalgie.

Il était trop essentiel pour faire partie du passé ou encore des archives de la médecine. Il faut au contraire impérativement en faire renaître l’esprit de sorte de faire vivre la liberté thérapeutique (qui est une composante fondamentale de la liberté d’expression). Ces prises en charge, drôlement qualifiées « d’alternatives » (chimiothérapie et/ou chirurgie conservatrice, pour le coup innovante), ces protocoles largement éprouvés dont on maîtrise de fait la toxicité, pour lesquels on dispose d’antidotes, doivent être transmis, enseigné le plus largement possible aux générations futures qui confondent trop souvent “innovation” et « progrès. » Il faut dire que les sirènes des laboratoires sont de si douces et de si lucratives chaînes …

En ce sens, ce livre est un cadeau tout désigné pour des étudiants en médecine que l’on souhaiterait “affranchir” avant qu’ils ne soient corrompus “par la matrice” et deviennent addict aux contentions, aux graphiques tronqués et à l’assistanat numérique : IA, obsession des essais thérapeutiques en première intention et autres séduisantes thérapies dites « ciblées » (quand on ne parle pas de « médicaments intelligents. » On attend avec une terreur non-dissimulée le moment où ils vont s’auto-prescrire puis s’auto-administrer !).

Le second legs est quant à lui d’ordre affectif. On parle parfois « de leçon de vie. » On est, au travers de ces pages, les témoins privilégiés de morceaux d’existence que l’on découvre pleines et entières.

Ces sourires radieux ne sont pas plus amputés que ne l’ont été les jambes ; jamais empruntés non plus. Encore moins condamnés à n’être rien de mieux que définitivement “convalescents” ; ce sont autant d’espoirs pour les familles aujourd’hui frappées par une si douloureuse épreuve. Bien sûr que l’annonce d’une maladie grave, en outre si tragiquement présente dans notre imaginaire, est incompréhensible, injuste, obscène même quand elle frappe un bout de chou. Il s’agit d’une déflagration difficile à atténuer.

Mais ces témoignages viennent rappeler que si le cancer dévie votre route, que le terrain de l’existence semble désormais à des années-lumières d’un terrain pourtant de jeux il y a quelques jours encore ; qu’il est tellement escarpé, incertain, accidenté que l’envie de prendre la tangente s’invite régulièrement. Que vous n’en pouvez plus de tous ces virages de l’existence qui vous donnent la nausée, et bien il y a toutes les chances pourtant, tous les espoirs, que ce soit provisoire. Le cancer est une maladie, pas une sentence ; il ne s’agit pas d’une maladie comme une autre bien sûr car elle est extrêmement complexe, presque « rusée » mais cela reste une maladie dont on peut souvent guérir.

L’axe principal de la Vie victorieuse est donc au loin. Il faut river, attacher son regard à l’horizon ; ne jamais baisser ni la garde, ni les yeux. Ne pas se retourner surtout car l’heure est bel et bien aux projets, pas au bilan surtout quand on a douze ans.

Ce que l’on comprend aussi au détour de ces récits, c’est que l’amour des parents, des proches, leur présence comme leur vigilance et celle de l’équipe soignante font partie intégrante du processus de rémission puis de guérison. Ils sont aussi le soin. La tendresse, l’optimiste, le rire, sont de taille à inhiber ou à atténuer les effets secondaires de traitements agressifs par nécessité. Et ce sont en même temps des catalyseurs exceptionnels. L’amour peut tout ce qu’il peut, si l’on peut dire …

Si seulement il pouvait tout.

Un ouvrage profondément humain donc, à offrir sans réserve et à placer dans chaque service de pédiatrie oncologique qui se respecte et respecte les patients. Il donnera aussi aux familles des pistes via l’association Ametist ( http://www.ametist.org) en plus de la force morale qui peut parfois manquer lorsque l’on souhaite extraire son petit d’un protocole de prise en charge dont on devient simplement le spectateur impuissant. Oserais-je rappeler que le titre d’un reportage (toujours disponible sur YouTube) consacré au service de Nicole Delépine avait été intitulé par la journaliste : « Les enfants du Docteur Delépine. » 

Un enfant malade, ce n’est pas un enfant cobaye ; ce n’est pas un terrain privilégié d’expérimentation. Ce n’est pas davantage une occasion. Quant à l’annonce du diagnostic, elle n’est ni une condamnation, ni un compte à rebours. C’est par contre le moment pour le petit patient, comme pour l’ensemble de sa famille, de revêtir la lourde armure des guerriers avec la ferme intention de remporter la première course : de vitesse ; puis la seconde : d’endurance cette fois. Alors, « Hauts les coeurs » car sous les pavés, la plage.

KB

N.B : Bravo à Ingrid pour ces magnifiques photographies. Je comprends, sans la connaître, qu’elle a su créer un climat précieux de confiance et de complicité.

« Il fait beau, je sors
Je trouverai le bon chemin
Et je me sens mieux dehors
Vivre. (…)

Faites, faites, faites couler l’eau
Regarder comme on est beau
On va vivre

Plantes, plantes grimpez
Sève rentre dans nos corps
Venez danser sur la mort
Et vivre. »

Michel Berger

 

 

 

Pourquoi  l’obligation vaccinale des enfants doit être rapidement supprimée, et la liberté de soigner rétablie  ? 

 

N Delépine  pédiatre cancérologue

 

« Exception française » et malheureusement pas la meilleure. Quinze pays européens n’ont aucune obligation vaccinale,  et la mortalité des enfants n’y est pas supérieure à la nôtre.

Pourquoi cet acharnement des dirigeants français à vouloir injecter les petits, y compris les nouveau-nés dont le système immunitaire ne commencera à être mature que vers les six mois, et chez lesquels l’allaitement par la mère est encore la meilleure protection. Ne peut-on pas y voir des enjeux essentiellement politiques et marchands ?

Avant la loi imposant à tous les enfants nés au-delà du 1er janvier 2018 onze vaccins obligatoires, avaient eu lieu des « concertations » dont on apprit sans surprise qu’elles n’étaient que poudre aux yeux et manipulation.

 

La concertation et la démission du haut-fonctionnaire chargé de cette mission.[1]

Thomas Dietrich, [2] dans son rapport « Démocratie en santé : les illusions perdues » a expliqué le désastre d’une pseudo concertation : »Résumons le tableau, qui ressemble de plus en plus à une vision de l’Enfer de Jérôme Bosch : un débat public piloté par une agence sous tutelle de l’Etat et qui mène dans le même temps des campagnes de communication pro-vaccination, un comité d’organisation de ce débat aux ordres de la Ministre, un comité d’orientation dirigé par un proche de M Touraine et qui n’aura de fait aucune indépendance… N’importe quel citoyen peut ici se rendre compte que tout est mis en œuvre pour que la concertation accouche de conclusions qui aillent dans le sens de la politique que veut mener ce gouvernement ; qu’importe l’opinion d’une part non négligeable de la population »

 

Nous étions sous le magistère de Marisol Touraine qui avait réussi à faire passer sa funeste loi de modernisation de la santé  avec Olivier Véran comme rapporteur : entre une grande manifestation médicale avortée le 13 novembre 2015 et le Bataclan, et la sidération qui a suivi, elle fit subrepticement voter la première loi au parlement par une dizaine de députés, les autres étant à une commémoration des victimes. La loi fut promulguée de manière expéditive en janvier 2016 au JO. [3][4]

Et en 2022 sans aucune gêne cette dame se déclara devant la foule des affidés de E M à la fête à l’Elysée.  « une ancienne ministre de la santé félicite le président lors de son investiture le 6 mai 2022 et lui dit « maintenant tu es libre Maintenant tu as les mains libres. Tu peux faire tout ce que tu veux le pays tu peux l’embarquer ». Croyait-on changer de parti ? Non les socialistes allaient régner en maitre pendant toute la dramatique plandémie Covid, à la tête de toutes les institutions de contrôle malgré leur score inférieur à 2% aux élections. Hold-up, coup de maitre depuis 40 ans de ce mini groupe.

 

Eh oui, il fit tout ce qu’il voulait, du coup de Jarnac où il alla dans les collèges faire la pub du Gardasil malgré son inefficacité contre le cancer et sa dangerosité et imposa dès juillet 24 un décret signé par un ministre éphémère imposant quatre valences supplémentaires contre le méningocoque, faisant craindre une augmentation des méningites des nourrissons.

 

 

 

Qu’importe que nos hôpitaux soient saturés, l’ogre big pharma en veut toujours plus. Et en ce 22 février 25 on apprend que la surprenante ministre de l’Éducation nationale E Borne (qui avoue n’y rien connaitre mais accepte le poste) envisage une grande campagne de vaccination Gardasil + méningocoques à la rentrée 25-26.

 

Vaccin, toujours vaccin  devenu le maitre mot de la  « santé » en France oubliant l’Histoire des maladies infectieuses des siècles précédents, et l’ensemble de la médecine moderne depuis plus d’un siècle. Même les progrès dans le traitement des cancers sont oubliés, niés et devraient être remplacés par des « vaccins » et à ARNm de surcroit, que RFKennedy s’apprêterait à interdire aux USA[5].

 

2017  Ainsi le résultat  de l’arrivée de E Macron dans l’environnement Sanofi fut la loi Bachelot votée en début de mandat du président,  imposant onze vaccins inutiles en France et  parfois dangereux, singulièrement comme l’hépatite B chez le nouveau-né et son cortège d’effets toxiques.

 

 

Notons que cette obligation terrible pour plus de trois millions de bébés depuis cinq ans s’inscrit dans un contexte de conflit d’intérêts. La publication de ce plaidoyer pro obligation illustrait  un lourd conflit d’intérêt : le directeur général de l’INSERM, Y. Lévy, mari d’ A. Buzyn, a en effet fait toute sa carrière de chercheur dans l’étude et la mise au point de vaccins et ses nombreuses fonctions et présidences actuelles mettaient en évidence, au minimum, de nombreux liens d’intérêt dans ce domaine de la recherche. La publication, sans auteur physique déclaré (donc sous sa responsabilité) est manifestement destinée à justifier l’obligation vaccinale que la ministre, son épouse, voulait, et a imposé  aux français au nom du gouvernement.[6]

On apprendra pendant la plandémie covid le rôle probablement important dans les rapports avec Wuhan du PR Levy….

 

 

 

Avant 2018, les parents se battaient pour supprimer l’obligation du DT POLIO en France[7] et n’imaginaient pas les conséquences de ce combat (incluant les ennuis du PR Joyeux via le conseil de l’ordre qui anticipaient ceux de tous les médecins qui allaient choisir de soigner leurs malades au lieu de les laisser mourir sous doliprane et de leur injecter un poison expérimental). Aucune surprise dans le déroulement des choses pour ceux qui menaient ce combat pour la liberté de choix des citoyens et des soignants.

Les études disponibles actuellement via les travaux de RFK et son équipe de Children’s health defense  ne l’étaient pas encore mais chacun se sensibilisait progressivement à la différence d’état global des enfants entre les boomers et les plus jeunes. Beaucoup de questions se posaient même si elles étaient interdites..

Sujet tabou et intervention de la justice pour des injections à l’évidence inutiles.

et pourtant les vaccino prudents avaient raison :

Qu’en est-il actuellement et pourquoi ce combat, éteint comme le reste pendant la sidération covid, est devenu indispensable, vu l’agressivité des professionnels pour imposer « la loi » qui s’aggrave encore avec le décret méningocoque de juillet 24 et les campagnes de propagande renouvelées par le ministère, les ARS ou la sécu avec l’argent de nos impôts ?

Vu également la prise de conscience de nombreux citoyens  en raison des multiples mensonges covid. Il est temps d’en sortir.

 

L’état des lieux en bref

 

Aucun des vaccins obligatoires n’est à ce jour indispensable en France.

 

En France métropolitaine, en 2018, pour un enfant le risque de mourir du tétanos était  nul et l’est toujours

Son risque d’attraper la poliomyélite était et reste  nul, aussi puisque le virus a disparu de notre pays depuis plusieurs décennies, et qu’il ne peut se transmettre que par voie féco-orale, autrement dit par la contamination de la nourriture ou des boissons par les excréments d’un porteur de virus. La transmission de la maladie est donc impossible si on respecte les règles d’hygiène minimales (lavage des mains et des fruits et légumes) et qu’on utilise une eau potable.

Pour relancer la vaccination, les autorités agitent la présence de virus polio) dans les eaux usées qu’on trouve régulièrement mais il s’agit du virus des vaccins oraux qui  se multiplient dans les intestins des vaccinés avant de contaminer les eaux des toilettes. Sans vaccin contre la polio il n’y aurait pas de virus de polio dans les eaux usées

@NeveuxBertrand

16 déc. 2024

#Polio : la Finlande révèle la présence du poliovirus dans des échantillons d’eaux usées Le pays rejoint ainsi l’Espagne, la Pologne, l’Allemagne et le Royaume-Uni depuis septembre. À ce jour, aucun cas de polio humaine n’a été signalé https://ow.ly/pl5Y50UryAC

Mais le gouvernement du Mr Bayrou relance la peur avec présence du virus dans les eaux usées de l’est de la France. La peur, ce bon vieil outil éternel pour faire obéir les peuples.

Quant à la diphtérie, son risque létal est proche de zéro dans les pays où la population dispose d’antibiotiques et de sérum antitoxines (à condition que notre ministère ne fasse pas comme le ministère espagnol qui a mis cinq jours pour s’en procurer en Russie pour le malade récent de Catalogne).

Ces trois obligations vaccinales datent de plus de 50 ans (1938 pour la diphtérie, 1940 pour le tétanos et 1962 pour la polio).

 

 

 

A l’époque, ces maladies graves étaient très fréquentes. Ces obligations ont depuis été déclarées obsolètes, même par les plus fervents défenseurs des vaccinations, comme le professeur D Floret, président du Comité technique des vaccinations (CTV), qui plaidait en 2015 pour sa levée devant le Haut conseil de santé publique. « Il faut un débat autour de cette question : c’est un choix politique et de société. Mais en l’état, cette obligation n’est ni lisible ni applicable ». [8] [9]

Plus de risque médical, mais risque judiciaire, UBU est parmi nous  dès avant 2018

L’obligation du DT Polio chez les enfants nés avant 2018 créait encore un risque judiciaire, malgré son inutilité unanimement reconnue. Dans notre société qui renie chaque jour ses bases morales, vous risquez néanmoins un signalement au juge pour défaut de soins. Le juge appliquera la loi en vigueur (il n’aurait pas plus le choix que notre pédiatre ne pense l’avoir). Vous risquez théoriquement deux années de prison (mais avec sursis vraisemblable à cause du ridicule d’une obligation inutile). Mais vous risquez aussi que le juge vous prive de la tutelle de vos enfants, et les place.

 

Pour défendre une obligation supprimée depuis des décennies par tous les pays d’Europe du Nord (qui nous devancent maintenant par la qualité de leur système de santé), par la Suisse, l’Angleterre, l’Allemagne, les Pays-Bas et même la Belgique et reconnue inutile par nos fervents vaccinologues, les parents avaient signé des pétitions en ligne. On apprit que la suppression de la présentation dtpolio était une astuce pour imposer l’hexavalent plus cher et qu’un seul labo pouvait fournir

 

La réponse au combat des parents  pour la suppression de l’obligation du dtpolio fut donc l’augmentation du nombre d’injections obligatoires à onze contre l’avis des professionnels concernés et des citoyens !

 

L’hépatite B se transmet par le sang, le sexe ou une aiguille (drogue) ; donc aucun risque chez le nourrisson, et l’immunité vaccinale aura disparu lors du début des périodes à risque (adolescence) ! sans oublier les risques reconnus : il expose à de nombreuses complications. Le taux de conversion en sclérose en plaques[14] est de 52% chez les vaccinés HB contre 32% pour les autres[15]. Le Tribunal Administratif, l’ONIAM et le Conseil d’Etat ont reconnu la responsabilité du vaccin chez les victimes contraintes à se vacciner du fait de leur emploi.

Cette vaccination contre l’hépatite B a été suivie d’une augmentation considérable des cancers du foie dans tous les pays ou cette vaccination anti-hépatite a été utilisée que ce soit en France ou leur  incidence a été multipliée par trois  :

 

ou en Australie, Canada, Grande Bretagne ou USA ou elle a été multipliée par 3 à 4 :

 

 

 

 

 

Le Vaccin contre Haemophilus influenza est peu efficace et aux USA la population serait plus à risque qu’avant les campagnes de vaccination. Les signataires de la lettre ouverte au ministre de la Santé du 1er décembre 2025 ont décliné les arguments contre toutes ces injections obligatoires injustifiées.

« Concernant les infections invasives à Haemophilus Influenza b, «Pour la quatrième année consécutive, l’augmentation de l’incidence des infections invasives à Haemophilus influenzae a été observée chez les enfants de moins d’un an (+13 %) et chez ceux âgés [d’un à deux ans] (+24 %). Ces incidences étaient supérieures à celles observées en 2019.». Donc, de façon inattendue, malgré une progression de la couverture vaccinale, il a été observé une augmentation de l’incidence. Dès lors, quel est l’intérêt pour la Santé Publique : -de rendre obligatoire les vaccins anti-méningocoques A, W, Y et B ? – de poursuivre absolument la vaccination anti-pneumocoques, pour laquelle arrivent sur le marché de nouveaux vaccins contenant encore plus de souches (Vaxneuvance, Prevenar20) ? – de continuer la vaccination anti-Haemophilus Influenza b ? Comme déjà observé, en voulant à tout prix combattre les méningites bactériennes par la vaccination, on favorise l’émergence de souches jusque-là fort discrètes par pression de sélection, et aboutit à une situation pire que celle que l’on cherchait à prévenir. Ce risque est inacceptable ![10]

Coqueluche : – Selon le Bulletin Coqueluche du 22 novembre 2024 (8), on note un pic de coqueluches particulièrement élevé depuis janvier alors que la couverture vaccinale n’a jamais été aussi haute, puis une décroissance du nombre de cas en fin d’année ; pourtant, on n’a pas vacciné davantage. – Ce pic s’expliquerait, selon le Pr R.COHEN(9), par une dette immunitaire, conséquence délétère des mesures Covid ;on voit augmenter en flèche successivement depuis lors.

Quant à la vaccination contre le Méningocoque, méditons l’avis du Pr Gilberg : « vacciner 800.000 nourrissons à 5 mois contre le méningocoque C, pour éviter potentiellement deux à quatre décès chez les nourrissons de moins d’un an. Si la recommandation se comprend, cela peut être compliqué de justifier l’obligation » .[11]

La brochure de l’INSERM prétend que se vacciner protège les autres. C’est globalement faux.

Le vaccin anticoquelucheux ne prévient pas la transmission de B Pertussis, responsable de l’infection. La protection des petits par évitement des contacts et port de bavettes est majeure. La Suède a abandonné ce vaccin dès 1979 parce que des épidémies survenaient parmi les populations parfaitement vaccinées, et à cause des nombreux effets secondaires dus au vaccin, particulièrement les atteintes cérébrales.

 

 

 

La liste serait longue des contradictions entre la réalité et propagande vantant l’obligation.

 

Des familles, des professionnels se sont réunis pour écrire aux élus et gouvernants. Il faut continuer à les informer.  Ci-joint la lettre ref 11.

pour conclure suivons les recommandations du ministre de la santé américain  RFKENNEDY

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Il démissionne de son poste le 19 février 2016 en publiant une contribution à un rapport de l’ Inspection générale des affaires sociales de 28 pages 18. Il y dénonce notamment « la vaste mascarade » 19 qu’est devenue selon lui la démocratie en santé (à savoir la participation des citoyens à la décision

[2]responsable du secrétariat général de la Conférence nationale de santé (CNS) de mars 2015 à février 2016

[3] la destruction du système de santé et la loi Touraine – Docteur Nicole Delépine

[4] Conference-Docteur-Delepine-Cercle-ARISTOTE-21-03-2017.pdf diaporama

[5] qq diapos du livre Vaccine not vaccine de RFKennedy – Docteur Nicole Delépine

[6] en 2017 QUE DISAIT LA SCIENCE A PROPOS DE ONZE VACCINS QUI ALLAIENT DEVENIR OBLIGATOIRES ! – Docteur Nicole Delépine  critique de la brochure de l’INSERM  Sur le fond, la brochure répète les « certitudes » de chercheurs totalement impliqués dans l’industrie des vaccins (même s’ils exercent parfois comme médecins, et plus souvent en santé publique que comme cliniciens) pour lesquels le rapport avantages-risques, capital en matière de médicaments, ne semble pas être mise en cause par l’absence cruelle de publications convaincantes sur ce point.

[7] DTP mise au point sur son opportunité et sa disponibilité en 2018, histoire d’une manipulation – Docteur Nicole Delépine

[8]    IBID7

[9] https://x.com/Aliyah01150546/status/1792827211759992915

[10]  lettre à mme la ministre  ref 11

[11] Lettre contre décret obligations Méningocoques – Profession Gendarme

vaccine non vaccine diaporama extrait du livre de r kennedy 10 FEV 25

 

obligation vaccinale V3 aix 26 01 25

 

 

 

 

 

Drs Nicole et Gérard Delépine : Mise au point sur la suppression de l’obligation vaccinale en 2025 – Réseau International

(Le diaporama n’a pas été passé en même temps malheureusement)      A lire en même temps :

Mise au point sur le combat pour la suppression de l’obligation vaccinale 8 FEVRIER 2025 N G

 

Voici les deux liens de l’émission du 8 fevrier 25

 

https://www.youtube.com/watch?v=QHVB3rvsEkA

https://crowdbunker.com/v/WcB9Y2vw

 

 

par le DR G Delépine

Que l’année 2025 soit celle de la réaffirmation de nos libertés et de nos droits fondamentaux !

L’épidémie de covid a constitué le prétexte de réduction des libertés publiques, et d’autres droits fondamentaux sans précédent en France depuis l’occupation allemande[1] : liberté de circulation, liberté de réunion, liberté de culte, liberté de parole, secret médical, liberté de prescription, liberté d’expression des médecins : toutes ont été attaquées sous des prétexte fallacieux.

Cette nouvelle année 2025 doit devenir celle de la réaffirmation de nos droits fondamentaux gravement menacés par une floppée de décrets qui témoignent de l’inventivité sans borne des fonctionnaires et de leur mépris de la démocratie, détaillés dans l’excellente enquête juridique publiée par Focus[2] dont nous présentons ici un résumé commenté.

Les confinements et couvre-feux ont aboli la liberté de circulation des citoyens.

Ces mesures contraires aux données de la science de l’époque ont été à l’origine de décisions ubuesques de nombreux préfets. Celui du Tarn-et-Garonne a interdit au public « tous les parcs et jardins municipaux, les voies pédestres et cyclables des berges de canaux et cours d’eau, les zones de loisirs, les sentiers de randonnée balisés »[3]. Celui d’Ille-et-Vilaine a prohibé le déplacement « sur les plages du littoral, les espaces de promenade balnéaires, l’espace naturel de la pointe du Grouin, les digues, les cales de mise à l’eau des bateaux, les chemins de halage, les bords du Rance et sur les rives des plans d’eau intérieurs »[4]. Celui de la Gironde a interdit l’accès aux « espaces dunaires, parcs et forêts et la route des phares » [5]. Celui des Vosges interdisant « l’accès à l’ensemble des aires de jeux, en plein air et toute présence (piétonne et motorisée) à leurs abords »[6]  L’usage de drones pour identifier et sanctionner les contrevenants se promenant seul dans des espaces déserts a même été utilisé malgré, les décisions du Conseil d’État [7] [8].

Apparemment ces préfets ne savaient pas qu’il est impossible se contaminer en se promenant seul dans des lieux déserts. Espérons qu’ils l’ont compris depuis…

Les libertés de réunion et de manifestation ont été supprimées.[9]

Les libertés de réunion et de manifestation ont souffert durant la crise d’atteintes de plus en plus radicales, limitant le nombre maximum des participants de 5 000 à 10 personnes [10] [11] [12],  limite trop tardivement suspendue par le Conseil d’État [13].

Atteinte des libertés du culte, des enterrements, du commerce et de l’industrie

La liberté du culte a été restreinte par l’interdiction de participer aux messes, mais aussi les restrictions d’accompagner les défunts au cimetière, la liberté de rendre visite à ses parents dans les Ehpads, les libertés du commerce déclaré « non essentiel » et de l’industrie…

L’obligation du port du masque pourtant inefficace contre les transmissions

L’utilité du port généralisé des masques contre la diffusion des virus dans la population n’est pas prouvée scientifiquement. Les virus sont beaucoup plus petits (entre 60 et 120 nanomètres) que les pores des masques (300 nanomètres). En 2010 trois études contrôlées sur l’efficacité des masques faciaux en milieu communautaire, pour limiter la diffusion du virus grippal avaient été publiées [14] [15] [16]. Aucune de ces études ne fournissait de preuve concluante de l’efficacité des masques faciaux. Cette inefficacité des masques en papier porté en extérieur a été largement confirmé pour la grippe.

Dans le contexte de la pandémie de COVID-19, le port d’un masque par les personnes infectées pourrait empêcher la projection directe de gouttelettes contenant le virus, mais l’intérêt de l’utilisation de masques chirurgicaux généralisée à l’échelle de la communauté n’est pas non plus démontré comme l’a rappelé le 6 avril 2020 l’Organisation mondiale de la santé affirmant  « aucune donnée ne montre actuellement que le port du masque (médical ou d’un autre type) par les personnes en bonne santé dans les espaces collectifs, y compris s’il est généralisé, peut prévenir les infections par des virus respiratoires, dont celui de la COVID-19. » [17]

D’ailleurs le seul essai randomisé réalisé pour évaluer l’intérêt du port du masque sur la prévention de la transmission du covid (Danmasq19) [18] a confirmé l’incapacité du port généralisé du masque à protéger la population.

Mais cela n’a pas empêché nos gouvernants et nos préfets de faire preuve d’ingéniosité dans l’autoritarisme [19] pour tenter de les imposer avec l’utilisation d’une vidéosurveillance « intelligente », par détection faciale [20] malgré plusieurs contestations qui ont donné partiellement raison aux requérants et enjoint aux préfets du Bas-Rhin et du Rhône de corriger leurs arrêtés [21].

La discrimination inefficace du passeport vaccinal

L’obligation du passeport vaccinal a été instaurée par la loi instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires[22] [23] qui permet à l’exécutif de subordonner les déplacements, les activités ou l’accès aux moyens de transport à la présentation d’une preuve d’administration du vaccin. Cela rejoint d’ailleurs la volonté de Commission Européenne d’imposer un passeport appelé « certificat vert numérique » doté d’un QR code pourtant contraire à une résolution du Conseil de l’Europe[24], tendant à « s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ».

Et, d’après les données publiées par l’OMS, ce pass sanitaire a été totalement inefficace dans tous les pays européens qui l’ont imposé

 

Si les citoyens ne se mobilisent pas, le risque est grand de voir se constituer deux catégories de citoyens, l’une pleinement capable et autorisée à jouir de sa liberté, l’autre discriminée par l’amputation d’une part notable de sa liberté y compris dans le domaine scolaire [25].

Des restrictions de liberté inefficaces contre l’épidémie covid

Ces mesures liberticides ont été d’autant plus inappropriées que les données de l’OMS prouvent que les confinements et les autres restrictions de liberté ont été inefficaces contre l’épidémie comme les données de la science de l’époque permettaient d’ailleurs de le prédire [26] ».

La comparaison des données OMS de la Belgique (confinée) et des pays -Bas (non confinés) est très démonstrative de l’échec des mesures liberticides.

Les mesures de restriction des libertés n’ont pas ralenti le nombre de contaminations, ni diminué la mortalité covid. Ce sont les pays les plus confinés qui ont le plus souffert du covid, tandis que les pays qui se sont contentés de consignes de prudence et de quarantaine des malades (comme la Finlande, la Biélorussie, le Japon, la Corée du sud, Taiwan, ou Singapour) s’en sont beaucoup mieux sortis.

 

La liberté de parole censurée dans les médias et sur internet

Pour empêcher la tenue tout débat sur l’utilité des mesures imposées, les gouvernants ont entretenu une propagande terrorisante sur la gravité de la maladie, et diffusé en permanence des mensonges sur l’efficacité et l’innocuité prétendues des restrictions des libertés et des injections…

Pour décrédibiliser les faits rapportés par les opposants, ils ont créé des entreprises de « fast checkers » largement financées.

Ils ont instrumentalisé l’Agence France Presse et les médias subventionnées pour diffuser exclusivement leurs crédos. Ils ont institué une censure sévère sur les médias et sur internet qui a été reconnue aux USA par Zuckerberg dans une lettre envoyée à une commission du Congrès américain  [27], et lors d’une interview à ABC News admettant que les fact-checkers étaient « trop politiquement biaisés ».

En France, la censure d’Internet repose entre autres sur le blocage de sites web par les fournisseurs d’accès à Internet, sans que la liste des sites censurés ne soit connue du public. L’importance de la censure d’Internet en France a conduit certaines ONG comme Freedom House à classer la France parmi les pays où la liberté sur Internet a le plus reculé et Reporters sans frontières comme un des pays « sous surveillance ».

 

La liberté d’expression des médecins a été arbitrairement réduite

Avant 2020, le Code de la santé publique, demandait aux médecins de respecter la « prudence » et à s’affranchir « de toute attitude publicitaire »[28]. Mais pour censurer toute critique des mesures covid il a été modifié [29] [30] afin de limiter l’information que le médecin peut communiquer. Il doit maintenant « se garder de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées », et doit « tenir compte des recommandations émises par le conseil national de l’ordre » dont les prises de position se révèlent malheureusement constamment plus politiques que scientifiques.

Et le conseil national de l’Ordre des médecins a retrouvé les habitudes totalitaires nées de sa création par le régime de Vichy[31]  témoignant de l’ancrage idéologique du gouvernement collaborateur dans le corporatisme à la mode. L’ «Ordre » rassure, car la démocratie peut faire peur. Certains médecins y voient une protection contre la « vindicte  » de leurs patients, les gouvernements y voient un moyen finalement assez docile de contrôle de la profession. Regroupant dans une même structure corporatiste les pouvoirs réglementaires, exécutifs et juridiques, il est à l’antithèse de la démocratie qui se définit notamment par la séparation des pouvoirs. Durant la collaboration, il a communiqué la liste des médecins juifs, puis demandé aux médecins de déclarer à la police toute plaie par balle. En 2020 Il a sanctionné les résistants pour avoir guéri des malades en utilisant le traitement Raoult ou même simplement pour avoir rappelé que le confinement et les masques n’étaient pas efficaces contre les virus…

Les médecins retraités se trouvent maintenant les seuls à conserver leur liberté de parole de citoyen ordinaire, un peu comme les femmes de gendarmes qui peuvent seules exprimer les doléances de leur maris…

La suppression de la liberté de prescription

La liberté de prescription des médecins est reconnue comme principe général du droit français qui stipule « le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance »[32].

Mais dès le début de l’épidémie de covid-19, un arrêté du ministre de la Santé (Mme Buzyn[33] a classé l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses, interdisant sa vente libre en pharmacie, puis un mois plus tard l’interdiction du traitement par l’hydroxychloroquine a été signifiée aux médecins libéraux[34] et sa limitation dans les établissements hospitaliers aux formes sévères. Cette atteinte à la liberté de prescription a été validée par le Conseil d’État[35]. Puis, après la publication de l’étude frauduleuse[36] du Lancet, la prescription et la délivrance de cette substance ont été totalement interdites[37]. Cette interdiction a été abrogé par arrêté du 10 juillet 2020.

 Le secret médical menacé

 

Le fichage systématique des personnes susceptibles d’être vaccinées ou passant un examen médical en vue de la vaccination a constitué une première violation. Une délibération de la CNIL[38] a demandé que l’on puisse faire opposition à ce fichage, et « invite le ministère à la parfaite information des personnes concernées s’agissant notamment de l’exercice de leurs droits. Elle invite par ailleurs le ministère à prévoir un dispositif permettant à chaque personne concernée de faire exercice de son droit d’opposition à la transmission d’informations à la PDS et à la CNAM », mais si le décret est déjà entré en vigueur, la procédure d’opposition ne l’est guère.

Dans l’affaire des caméras thermiques visant à prendre à distance la température des passants installées par la commune de Lisses[39], le Conseil d’État a mis fin à l’expérience, manifestement illégale [40] sans une préalable analyse de la protection des données[41].

La protection des données personnelles, couverte par le secret médical, n’est plus assurée puisque le Conseil d’État n’a pas interdit l’outil de collecte et de centralisation des données de santé aux fins de recherche et d’analyse (le Health Data Hub), et  s’est contenté d’enjoindre à la CNIL de travailler avec Microsoft au renforcement de la protection des droits des personnes concernées quant à leurs données personnelles[42], malgré le choix de l’entreprise américaine sans procédure de marché public, et le fait que ces données  sont stockées sur des serveurs américains, régis par le droit américain qui oblige les entreprises de « communiquer les contenus de communications électroniques et tout enregistrement ou autre information relatifs à un client ou abonné, qui sont en leur possession ou dont ils ont la garde ou le contrôle, que ces communications, enregistrements ou autres informations soient localisés à l’intérieur ou à l’extérieur des États-Unis »[43] [44].

 

Les organismes de défense de la démocratie ont été défaillants

Face à ces attaques contre les libertés, le Conseil d’État ou le Conseil constitutionnel se sont montrés d’une discrétion désolante, plus soucieux de ménager le pouvoir politique que de protéger les droits et libertés des Français.

C’est, sous prétexte d’urgence sanitaire, le renversement des principes posés par le commissaire du Gouvernement Corneille, « la liberté est la règle, la restriction de police l’exception » [45].

Les libertés n’existent que tant que les citoyens les défendent. Battons-nous !

Devant les menaces permanentes que notre gouvernement et la commission européenne continuent de faire peser sur nos libertés les citoyens doivent lutter dans de nombreux domaines.

Combattre toute censure du droit de s’exprimer et d’informer.

Sous prétexte de lutter contre les discriminations ou la haine, certains veulent imposer toujours plus de contrôle des médias et de censure d’internet comme l’Union européenne qui multiplie les législations pour encadrer les contenus diffusés sur les réseaux sociaux. Le Digital Services Act veut imposer aux grandes entreprises de la tech des obligations strictes en matière de modération des contenus. En réalité, ce que redoute la Commission, ce ne sont pas les contenus évidemment délictueux, comme la pédopornographie ou les appels au terrorisme, mais la contestation de la propagande mondialiste qui lui est propre.

De la manie de tout réglementer au nom du grand marché unique, la Commission est passée à la manie de tout contrôler.  Face à ces exigences anti démocratiques les géants de la tech américaine affichent une position commune en faveur d’une plus grande liberté d’expression.

Ce combat pour la liberté d’expression, pivot essentiel de toute société démocratique est le nôtre. Soutenons-le par tous les moyens.

Refusons tout fichage généralisé des citoyens comme l’organise l’identité numérique que prône la Commission européenne et la coopération entre les États membres sur l’interopérabilité des schémas d’identification électronique. Battons-nous pour conserver nos vielles cartes d’identité et refuser tout QR code!

 

Luttons contre la volonté des gouvernants de limiter ou de supprimer les paiements en liquide.

Ils veulent que les citoyens dépendent totalement des banques dans leur vie quotidienne pour qu’ils deviennent plus faciles à surveiller par leurs dépenses et pour  les forcer à obéir en interdisant aux protestataires l’usage de leur argent, comme cela a été réalisé au Canada contre les camionneurs des convois de la liberté [46]. Pour lutter contre cette tentative efforcez-vous de payer en liquide partout et toujours.

Contre la suppression du droit de prescrire librement, du secret médical et du droit d’expression des médecins.

Réaffirmons la primauté du droit de prescrire librement prévu dans le droit français et de s’exprimer librement des médecins. Demandons la suppression du conseil de l’ordre comme toutes les autres créations du fascisme[47], comme l’avait promis Mitterrand dans une de ses 111 propositions de gouvernement. [48]

 

Contre la mainmise des gouvernements sur notre santé. Notre corps nous appartient. Nul ne doit y toucher sans notre consentement libre et éclairé.

La crise du covid a démontré que les gouvernants pouvaient privilégier les intérêts de l’industrie pharmaceutique à la sécurité sanitaire de leur citoyen, à mentir, et à supprimer nos libertés fondamentales pour leur seul bénéfice.

Ce n’est pas à un ministre de décider quel traitement doit être administré contre une maladie, mais à un médecin qui connait les antécédents, les risques et les besoins du malade qu’il a examiné.

Les vaccinations ont été utiles dans l’histoire et le restent pour certains et dans certaines circonstances mais elles exposent, comme tout traitement, à de possibles complications.

Les obligations vaccinales doivent être abandonnées au profit d’une information loyale sur les bénéfices et les inconvénients de chacune d’entre elles, en laissant à chaque citoyen le choix d’y recourir en fonction de ses besoins propres.

La propagande constante selon laquelle elle devrait être imposée « pour protéger les autres » est éthiquement condamnable (car un traitement ne doit être prescrit que dans l’intérêt de celui auquel on l’administre), et scientifiquement illogique car si la vaccination est efficace, son administration « aux autres » devrait suffire à les protéger.

Contactez vos représentants et signez les pétitions pour la liberté vaccinale!

Tous ces combats pour recouvrer pleinement nos libertés et nos droits seront facilités en 2025 par les actions du nouveau gouvernement américain élu par des citoyens qui ont souffert des dérives du Wokisme et de la tyrannie des minorités et qui nous donneront l’exemple.

Battons-nous et nous gagnerons !

[1] https://www.lexbase.fr/encyclopedie-juridique/66997065-etude-focus-l-effondrement-des-libertes-publiques-en-periode-de-crise-sanitaire-redigee-le-29-04-202

[2] Le décret n° 2020-260 du 16 mars 2020, portant réglementation des déplacements

[3] Arrêté n° 82-2020 du 19 mars 2020, art. 1er

[4] Arrêté du 1er avril 2020, art. 1er

[5] Arrêté du 30 mars 2020, art. 1er)

[6] Arrêté P088-20200408 du 8 avril 2020, art. 1 et 2

[7] CE, ord., 18 mai 2020, n° 440442, 440445 N° Lexbase : A64093LX, cons. n° 7

[8] Lexbase éd. pub., n° 588, 11 juin 2020 N° Lexbase : N3602BY3

[9] CE, ord., 22 décembre 2020, n° 446155 N° Lexbase : A97924AW

[10] hr. Eoche-Duval, Les ‘rassemblements sur la voie publique’ sous état d’urgence sanitaire. Nouvelle catégorie juridique ou donnée épidémiologique ?, JCP éd. G, n°4, 25 janvier 2021, doctr. 100)

[11] C. le décret n° 2020-548 du 11 mai 2020 (N° Lexbase : L8355LWD

[12] décret n° 2020-663 du 31 mai 2020 (N° Lexbase : L2457LXB)

[13] CE, ord., 13 juin 2020, n° 440846, 440856, 441015 N° Lexbase : A55113NG

[14] Cowling , BJ , et al. Masques faciaux et hygiène des mains pour prévenir la transmission de la grippe dans les ménages : un essai randomisé . Annals of Internal Medicine 2009 ; 151 : 437 – 446.

[15] MacIntyre , CR , et al. Utilisation de masques faciaux et contrôle de la transmission des virus respiratoires dans les ménages .Emerging Infectious Diseases 2009 ; 15 : 233 – 241

[16] Cowling , BJ , et al. Résultats préliminaires d’un essai randomisé d’interventions non pharmaceutiques visant à prévenir la transmission de la grippe dans les ménages . PLoS One 2008 ; 3 : e2101

[17] https://iris.who.int/bitstream/handle/10665/331831/WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-2020.3-fre.pdf?sequence=1&isAllowed=y

[18] Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers, Annals of internal medicine, mars 2021

[19] décret 29 octobre 2020, art. 1, II

[20] Décret n° 2021-269 du 10 mars 2021, relatif au recours à la vidéo intelligente pour mesurer le taux de port de masque dans les transports N° Lexbase : L5290L3C

[21] Ordonnances de tribunaux administratifs (Strasbourg et Lyon) des 2 et 4 septembre 2020

[22] Loi n° 3714, déposé le 21 décembre 2020

[23] article L. 3131 9, 6° du Code de la santé publique (N° Lexbase : L6075LRG

[24] n° 2361 (2021) du 27 janvier 2021

[25] Les représentants de la France sont intervenues  devant la CEDH dans l’affaire « Vavricka c/ République tchèque », déclarant que « le Gouvernement français considère que l’instauration d’un système de vaccination obligatoire pour les enfants, ayant pour corollaire d’une part la mise en place de sanctions pénales pour les parents ne procédant pas à cette vaccination, et d’autre part le refus de scolarisation des enfants non vaccinés, n’est pas contraire à l’article 8 et à l’article 9 de la Convention, ni à l’article 2 du protocole n° 1 à la Convention »

[26] Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » 27 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712

[27] https://www.vanityfair.fr/article/marc-zuckerberg-reconnait-avoir-cede-aux-pressions-de-censure-de-ladministration-biden-a-lepoque-du-covid

[28] Article R. 4127-13

[29] Décret n° 2020-1662 du 22 décembre 2020 (N° Lexbase : L2356LZB)

[30] article R. 4127-19-1 du Code de la santé publique (N° Lexbase : L5845LZI).

[31] Charte du  4 octobre 1941 organisant des professions, sous le contrôle de l’État

[32] CE, 18 février 1998, n°171851 N° Lexbase : A6414ASD

[33] Arrêté du 13 janvier 2020

[34] décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 N° Lexbase : L5675LW4

[35] CE, ord., 22 avril 2020, n° 439951 N° Lexbase : A98933KM).

[36] Publiée le 22 mai 2020, rétractée le 4 juin 2020

[37] Décret n° 2020-630 du 26 mai 2020 (N° Lexbase : L2057LXH)

[38] Délibération n° 2020-126 du 10 décembre 2020 N° Lexbase : Z4025198

[39] Validées par le tribunal administratif de Versailles (TA Versailles, ord., 22 mai 2020, n° 2002891 N° Lexbase : A95683MC

[40] Articles 9, al. 3 et 35 du RGPD exigeant la manipulation de ces données par des professionnels de santé tenus au secret médical,

[41] CE, ord., 26 juin 2020, n° 441065 N° Lexbase : A34863PS

[42] CE, ord., 13 octobre 2020, n° 444937 N° Lexbase : A48813X3

[43] Clarifying lawful overseas use of data act (H.R. 4943), 6 février 2018)

[44] O. de Maison Rouge, L’affaire Health Data Hub : entre nécessité de recherche médicale et souveraineté numérique, Dalloz IP/IT, 2021. 103

[45] CE, 10 août 1917, Baldy, n° 59855 N° Lexbase : A7421B7Y).

[46] https://www.20minutes.fr/monde/3236175-20220215-convoi-liberte-manifestants-canadiens-risquent-gel-comptes-bancaires-oui

[47] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-sante/20120612.RUE0570/l-ordre-des-medecins-verrue-sur-la-republique.html

[48] https://www.lemonde.fr/archives/article/1978/10/12/un-violent-requisitoire-de-m-mitterrand-contre-le-conseil-de-l-ordre_2975942_1819218.html

newsletter AMETIST ET APPEL A SOUTIEN JANVIER 2025

 

 

 

                                                                                        Le 31 janvier 2025

 

Madame Monsieur, chers adhérents, chers amis,

 

Voilà déjà 35 ans que l’association Ametist a été créée par des parents, des médecins et des personnes privées, révoltés par le fait que, déjà en 1990, certains patients ne pouvaient pas bénéficier de soins éprouvés et étaient contraints d’entrer dans des essais thérapeutiques.

 

Après avoir vécu tant d’épisodes douloureux et incompréhensibles, une vingtaine d’anciens patients ont décidé de se réunir et d’écrire un livre regroupant leurs témoignages, leurs vécus, ainsi que leurs combats pour trouver une équipe médicale prête à se battre avec eux. C’est leur façon de soutenir l’activité et le combat que mènent, depuis toujours, les docteurs Delépine et leur équipe. Ils tententde donner le moral aux malades en cours de traitement afin qu’ils sachent que les batailles perdues ne sont que celles qui ne sont pas menées !

 

Ce livre ( disponible sur le site editions marcopietteur ou dans les bonnes librairies)

est également un hommage à tous les lanceurs d’alerte qui se battent pour la liberté thérapeutique, le choix du médecin par le patient, et le choix du traitement du malade par le médecin. Il a aussi pour but de redonner espoir aux futurs enfants, adolescents ou adultes jeunes, touchés par le cancer ainsi qu’à leurs proches.

 

Les docteurs G et N Delépine sont toujours présents et poursuivent leur combat, aidés par les bénévoles et collègues  présents depuis de longues années ! L’association a démontré qu’avec force une pratique hospitalière courante et une équipe pluridisciplinaire hautement spécialisée, expérimentée et dévouée, il était possible d’obtenir des taux de rémission et de guérison très favorables, tout en évitant les amputations trop souvent imposées. L’association continue à se battre pour informer sur les possibilités thérapeutiques et les avancées de la science, afin que les enfants et adolescents puissent bénéficier des progrès réels et éprouvés de la médecine. Le cas échéant, elle défend également les droits des patients, médecins, soignants contre les décisions parfois tyranniques de l’état. Ametist a la chance de pouvoir toujours compter sur le soutien et l’engagement de nombreuses personnalités.  Nous avons toujours besoin de vous. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaître, en diffusant nos messages et en échangeant avec nous sur les réseaux sociaux.

Vos dons nous permettent d’aider les familles dont les enfants sont touchés par la maladie, en leur offrant des solutions pour accéder aux traitements éprouvés, en France ou à l’étranger si nécessaire. Un soutien financier peut également nous aider à engager des recours juridiques qui pourraient faire bouger les choses.  Votre aide financière nous permet aussi d’apporter un soutien matériel aux familles contraintes à s’expatrier pour éviter une amputation, en prenant en charge certains frais (hospitalisation, logement, etc.). ils permettront aussi d’offrir ce livre à ceux que cela pourrait aider.

C’est pourquoi nous faisons appel à votre générosité. Sachez que 66 % du montant de votre don est déductible de votre impôt sur le revenu.  Un reçu fiscal vous sera adressé sur demande, via le bon de soutien ci-dessous.  Par avance, au nom de l’association, merci !

Pour que nos actions puissent continuer, merci de votre aide.

 

Bon à découper et à joindre à votre envoi si vous souhaitez nous aider

 

BON DE SOUTIEN 2025

                                                        Votre soutien (16, 30, 45€ et plus…)

 

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