pourquoi l’ansm a classé dix injections comme vénéneuses récemment, ce qui a relancé le sujet de l’obligation ?

n’est-ce pas  en arrière-pensée  dans la volonté de céder en supprimant ces vaccins supposés toxiques et comme par hasard  les remplacer par les mêmes à ARNm ces terribles poisons qu’il faudra absolument refuser mais qui pourraient être obligatoires à la place des vénéneux

 ne tombons pas une nouvelle fois dans un piège bien concocté par nos pires ennemis !
 relisons l’histoire de ce terrible piège qui nous amena aux injections obligatoire

Vaccins inutiles et obsolètes de l’avis des experts, obligation vaccinale abandonnée dans la quasi-totalité des pays européens de l’Ouest, mais en France condamnation de parents dénoncés par leur pédiatre. Odeurs pestilentielles de notre société décadente, où le bon sens manque cruellement et où chacun se cache derrière les ordres, (parfois simples rumeurs), les recommandations, les injonctions ou les normes édictées par des experts dogmatiques (et/ou corrompus). De fait c’est la loi du plus fort, de big pharma et affidés dont les hommes de pouvoir qui domine dans notre monde assoupi.

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Vaccination : diphtérie, tétanos, poliomyélite (DTP) obligatoire ou pas ? Disponible ? Justice concernée ?[1]

 

Petite saga du DT Polio obligatoire, introuvable, obsolète mais imposé par la loi, l’ordre des médecins et tous les soignants robotisés et /ou manipulés soumis à l’ordre nouveau.

 « Au loin derrière la fenêtre, à un kilomètre environ, s’élève le ministère de la Vérité, gigantesque immeuble pyramidal en béton blanc avec sur la façade, les trois slogans du parti : «  La guerre c’est la paix », « La liberté c’est l’esclavage », « L’ignorance c’est la force ». Georges Orwell 1984 (à relire d’urgence !)

 

Vaccins inutiles et obsolètes de l’avis des experts, obligation vaccinale abandonnée dans la quasi-totalité des pays européens de l’Ouest, mais en France condamnation de parents dénoncés par leur pédiatre. Odeurs pestilentielles de notre société décadente, où le bon sens manque cruellement et où chacun se cache derrière les ordres, (parfois simples rumeurs), les recommandations, les injonctions ou les normes édictées par des experts dogmatiques (et/ou corrompus). De fait c’est la loi du plus fort, de big pharma et affidés dont les hommes de pouvoir qui domine dans notre monde assoupi.

Alors que durant la dernière guerre mondiale, les appels du conseil de l’ordre à la délation des blessés par balle (pour identifier les résistants) n’avaient pas été suivis par les médecins, en 2015, un pédiatre a dénoncé les parents de son patient, pour un vaccin réputé inutile à notre époque et dans nos conditions de vie encore correctes (hygiène, alimentation) reniant son indépendance professionnelle, son serment d’Hippocrate, son humanité et sapant au passage la base essentielle de la confiance des patients, le secret médical… Hippocrate au secours, ils sont devenus fous ! Pour faire appliquer une obligation absurde !

 

Risque médical réel des trois maladies concernées par l’obligation DT Polio pour les enfants

En France métropolitaine, en 2018, pour un enfant le risque de mourir du tétanos[2] est nul[3]. Son risque d’attraper la poliomyélite est nul, aussi puisque le virus a disparu de notre pays depuis plusieurs décennies, et qu’il ne peut se transmettre que par voie féco-orale, autrement dit par la contamination de la nourriture ou des boissons par les excréments d’un porteur de virus. La transmission de la maladie est donc impossible si on respecte les règles d’hygiène minimales (lavage des mains et des fruits et légumes) et qu’on utilise une eau potable. Ce n’est pas le vaccin qui a vaincu la poliomyélite en Occident, mais bien l’hygiène et les compagnies d’assainissement des eaux. D’ailleurs les rares cas de poliomyélite observées dans ces vingt dernières années en Europe sont dus au virus du vaccin lui-même qui a retrouvé sa virulence[4].

 

Quant à la diphtérie, son risque létal est proche de zéro dans les pays où la population dispose d’antibiotiques et de sérum antitoxines (à condition que notre ministère ne fasse pas comme le ministère espagnol qui a mis cinq jours pour s’en procurer en Russie pour le malade récent de Catalogne).

Ces trois obligations vaccinales datent de plus de 50 ans (1938 pour la diphtérie, 1940 pour le tétanos et 1962 pour la polio). A l’époque, ces maladies graves étaient très fréquentes. Ces obligations ont depuis été déclarées obsolètes, même par les plus fervents défenseurs des vaccinations, comme le professeur D Floret, président du Comité technique des vaccinations (CTV), qui plaidait en 2015 pour sa levée devant le Haut conseil de santé publique. « Il faut un débat autour de cette question : c’est un choix politique et de société. Mais en l’état, cette obligation n’est ni lisible ni applicable[5] ».

 

Plus de risque médical, mais risque judiciaire, UBU est parmi nous

L’obligation du DT Polio chez les enfants nés avant 2018 crée encore un risque judiciaire, malgré son inutilité unanimement reconnue. Dans notre société qui renie chaque jour ses bases morales, vous risquez néanmoins un signalement au juge pour défaut de soins. Le juge appliquera la loi en vigueur (il n’aurait pas plus le choix que notre pédiatre ne pense l’avoir). Vous risquez théoriquement deux années de prison (mais avec sursis vraisemblable à cause du ridicule d’une obligation inutile). Mais vous risquez aussi que le juge vous prive de la tutelle de vos enfants, et les place. Pour défendre une obligation supprimée depuis des décennies par tous les pays d’Europe du nord (qui nous devancent maintenant par la qualité de leur système de santé), par la Suisse, l’Angleterre, l’Allemagne, les Pays-bas et même la Belgique[6] et reconnue inutile par nos fervents vaccinologues.

Mais il est vrai que dans notre beau pays qui se prétend champion des libertés, un juge a placé sous tutelle un enfant pour lui imposer une amputation qui a fait flamber son cancer ![7] Et qu’un autre a décrété une hospitalisation forcée à un adolescent qui refusait une deuxième greffe de moelle (pourtant totalement irréalisable chez lui comme l’ont monté ses examens ultérieurs).[8] Etc..

 

Condamnés pour ne pas avoir utilisé un vaccin dt polio, par ailleurs introuvable !

Les poursuites contre ces parents ont débuté après le signalement d’un pédiatre, puis du conseil général. Affirmant être très informés sur les effets secondaires des vaccins, Mr et Mme Larère justifièrent leur choix par le fait que depuis 2008, le vaccin DT-polio n’est plus disponible seul, mais associé à des vaccins protégeant contre la coqueluche, les infections à haemophilus et/ou l’hépatite B. Une situation que regrettent de nombreux experts et qui avait entrainé la mise en ligne de pétitions.[9] Notons que celle du professeur Joyeux qui s’attira les foudres de la ministre et en conséquence du conseil de l’ordre des médecins atteint aujourd’hui plus de un million cent quarante mille signatures … Le président actuel n’avait-il pas proposé de tenir compte des pétitions importantes en nombre ?

 Epilogue de la triste affaire Larère

D’abord mis en examen pour maltraitance envers leurs enfants, les parents Larère furent finalement poursuivis pour refus de vacciner. « le procureur l’a reconnu lui-même, l’accusation était disproportionnée « , explique le père. Lors de la première audience l’avocat des parents, Me Emmanuel Ludot avait plaidé la question prioritaire de constitutionnalité (QPC). L’affaire avait été examinée par le Conseil Constitutionnel – qui avait rejeté leur demande estimant que le législateur n’avait pas porté atteinte à l’exigence constitutionnelle en instituant ces vaccins obligatoires destinés à lutter « contre trois maladies très graves et contagieuses ou insusceptibles d’être éradiquées ». Au XXIième siècle ! Le 17 septembre 2015, les parents comparaissaient à nouveau devant le tribunal correctionnel d’Auxerre pour « soustraction par un parent à ses obligations légales compromettant la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant ». A ce titre, ils encouraient jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende.

Le vice-procureur de la République d’Auxerre a requis quatre mois d’emprisonnement avec sursis et 500 € d’amende contre ces deux parents[10]. L’avocat de la défense a plaidé la relaxe. Le jugement a été mis en délibéré. Lyonne.fr nous rapporte la réaction de Mr Larère à l’issue de l’audience : « – Êtes-vous confiant après cette audience ? – Il n’y a pas de raison de ne pas être confiant, même si émotionnellement ce sont toujours des moments difficiles. On peut faire du blabla pendant des heures mais au final le résultat est toujours le même : le vaccin qu’on nous reproche de ne pas avoir donné à notre enfant n’existe pas[11]. Je suis aussi là pour alerter mes concitoyens de cette situation. – Les réquisitions du procureur ne vous inquiètent pas ? – Elles ne me réjouissent pas, mais il existe toujours des possibilités de recours et puis on ne me promet pas le goulag non plus. Nous avons la chance de vivre dans un pays démocratique où l’on peut croiser un petit peu le fer avec le système, donc je ne suis pas pessimiste.– Quelle sera la suite des choses pour vous après le délibéré ? – Et bien si je suis relaxé je vais me relaxer. Car je ne vous cache pas que ces moments sont épuisants. Et si une condamnation est prononcée nous réfléchirons aux suites à donner avec notre avocat. » Mr Larère était bien optimiste, vit-on encore dans une réelle démocratie ?

 

Condamnation pour une vaccination de fait impossible par absence du produit sur le marché[12] et inutile de l’avis même des experts pro-vaccins

Le 7 janvier 2016 le tribunal correctionnel d’Auxerre a condamné Mr et Mme Larère à deux mois de prison avec sursis mais « le tribunal n’a pas prononcé d’injonction à vacciner », précise l’avocat. Un comble ! Les parents ne feront pas appel. « Ils ne souhaitent pas être l’enjeu d’un débat qui les dépasse », indique leur avocat.

 

Conséquences actuelles du refus de vacciner des enfants nés avant 2018

La principale conséquence du refus des parents est que leurs enfants ne peuvent pas être accueillis dans une collectivité  : école, garderie, colonie de vacances… « Pendant longtemps, l’école a quand même continué à accueillir ces enfants car l’Éducation nationale estimait que l’obligation de scolarisation l’emportait sur l’obligation vaccinale  », indique le professeur Floret.

« Aujourd’hui, les exclusions sont plus nombreuses, car on estime que c’est l’obligation d’éducation qui prime et on veille à ce que les enfants suivent par exemple des cours à domicile  », ajoute-t-il. Ce qui est aujourd’hui le cas des deux enfants des Larère. Education de qui ? Des familles ?

 

Tentative des familles d’obtenir la mise sur le marché d’un vaccin trivalent sans adjuvant, encore légal

« En 2015, 2 500 personnes demandent à la ministre de la santé d’imposer la remise sur le marché après demande préalable au Ministère de la Santé, par lettre recommandée en date du 5 novembre 2015 :- « prendre toute mesure nécessaire pour imposer aux fabricants de garantir la disponibilité de leurs produits homologués,

– contraindre par tout moyen adéquat l’ensemble des laboratoires pharmaceutiques, à fabriquer et mettre sur le marché en nombre suffisant de vaccins seulement trivalents, obligatoires, sans adjuvant notamment d’aluminium ou de formaldéhyde ».

En l’absence de réponse ministérielle directe, 2 265 personnes saisissent le Conseil d’Etat et tombent dans un piège.. Certes, la ministre de la santé, dans un communiqué du 28 janvier 2016, a « exprimé la volonté que puissent être mis à disposition des Français qui le souhaitent des vaccins trivalents« . Mais dans une lettre postérieure, datée du 12 février 2016, Benoît Vallet, directeur général de la santé, a clairement rejeté cette demande, « expliquant qu’un kit spécifique, appelé « kit DTVax + imovax polio »[13] était « disponible gratuitement à la demande du médecin au laboratoire pour les patients présentant notamment une contre-indication coquelucheuse » » [14]. » De fait ce kit est riche en aluminium et surtout très difficile à trouver, poussant à la vente forcée de vaccins hexavalents dont l’hépatite B difficilement acceptable chez les nourrissons.

L’arrêt du Conseil d’Etat de début 2017 (celui qui disait “l’Etat a 6 mois pour rendre disponible un vaccin DTP sauf si les obligations légales sont étendues entretemps”).

 

Ainsi le piège s’est refermé sur les citoyens pensant que la justice les aiderait à obtenir un dtpolio sans adjuvant .. On peut néanmoins imaginer que sans cet arrêt, la décision d’imposer les multi-vaccins serait arrivée tout de même, cette loi répondant à une injonction internationale du plan nommé Global Health Security Agenda, dont la France est manifestement le meilleur élève et aucunement à des objectifs réels de santé publique.

 

Les conseils de l’ordre poussent aux signalements, même pour ces trois vaccins réputés inutiles par les pro-vaccins et seulement recommandés, non obligatoires au-delà de l’âge de six ans ! UBU est parmi nous

Une maman inquiète des remontrances de son pédiatre qui suit la famille depuis de nombreuses années a reçu une lettre manuscrite de ce « médecin » soumis et zélé concernant un rappel de DTPolio chez un enfant de 13 ans. Et ces cas sont multiples[15] correspondant probablement à une mise en condition serrée des soignants par les bras armés (de nombreuses rétorsions et harcèlements possibles) du pouvoir.

« Je me permets de revenir vers vous pour la vaccination de D. et votre hésitation à la faire vacciner. J’ai rencontré le Président du Conseil de l’Ordre et soulevé le problème de cette obligation vaccinale. D’emblée il m’a demandé de faire un signalement auprès du Juge des enfants »

On est en 2018, et on signalerait des parents qui savent que le dtpolio actuel n’est plus celui d’avant 2008 (sans aluminium ), qu’ a fortiori on ne le trouve pas et que la vente forcée vous impose d’autres valences non sans danger, de surcroit non obligatoire à cet âge … On croit rêver ! Que soigne-t-on ? L’autorité de l’état ? Pourtant le calendrier vaccinal dernière version ne fait état que de « recommandations » pour les rappels de l’âge de six ans et de 12 ans. Que signifient ces pressions subies par les familles chez de nombreux médecins, écoles, crèches, jardin d’enfant, collèges eux-mêmes travaillés au corps… [16] Abus de pouvoir !

 

Puis circonstance aggravante, ce médecin fait pression sur le parent désemparé en jouant sur la corde sensible et en utilisant un argument mensonger, l’avis de la concertation nationale !

Cette situation ubuesque a des relents inquiétants ; rappelons pour les plus jeunes que l’ordre des médecins a été créé par le gouvernement de Vichy pour dénoncer les médecins juifs et qu’il s’est acquitté de cette tâche avec zèle, puis qu’il a demandé aux médecins de dénoncer les résistants blessés.

Dans le débat sur l’obligation vaccinale le conseil de l’ordre des médecins renoue ainsi avec ses origines de délateur zélé au service du pouvoir, même plus zélé encore que le gouvernement à la lecture des recommandations publiées en 2018 ;

Utiliser les conclusions dénaturées d’une concertation citoyenne biaisée !

Dans sa lettre le médecin prétend à tort que la concertation citoyenne de 2016 a voté en faveur de l’obligation vaccinale. On peut se demander s’il a lu les conclusions publiées par les deux jurys ou bien s’il diffuse la rumeur si bien répandue dans nos médias. De fait, le jury de citoyens a été incapable de dégager un consensus sur le caractère obligatoire ou seulement recommandé des vaccins[17].

 

Le jury professionnel a, lui clairement tranché contre l’obligation[18] : «  sortir de l’obligation vaccinale permettrait une plus grande responsabilisation des parents, des citoyens, mais aussi des adolescents et des jeunes adultes. Comprendre pourquoi tel ou tel vaccin est indispensable est différent que d’imposer l’obligation de certains vaccins. La surveillance de données épidémiologiques permettra d’évaluer la pertinence de cette nouvelle stratégie  ».

Mais, le comité d’organisation, présidé par Alain Fischer a refusé de prendre en compte l’avis des professionnels de santé, ni celui des citoyens, et a imposé sa décision d’élargir l’obligation conformément à la volonté de la ministre. Ainsi et contrairement à ce que prétendent les pro obligations, ce processus n’a pas été démocratique et les conclusions officielles ne reflètent ni les débats ni les conclusions des jurys, mais seulement ce que le ministère avait décidé de claironner.

Ce qu’a constaté tristement Dietrich[19] qui démissionna de dépit et d’écœurement de son poste de secrétaire général de cette concertation : « la démocratie en santé n’est qu’une vaste mascarade montée par les hommes et les femmes politiques pour faire croire à une certaine horizontalité de la décision publique en santé – alors qu’elle n’a jamais été aussi verticale. Et tout ceci au détriment des citoyens, dont on utilise les deniers… » (..) « Il fut exigé que je fasse relire les avis ou contributions de la Conférence Nationale de Santé par le cabinet de la Ministre, préalablement à leur publication. Ainsi, le cabinet pourra expurger tous les passages qui lui sembleraient trop contestataires. »(..)

 

 En fait de débat public, c’est une véritable opération de propagande qui est menée pour inciter les français à se vacciner, en occultant totalement toute réflexion sur la question de la balance bénéfices/risques. Machiavel en sortira sans doute grandi, mais non la démocratie en santé. L’état de santé des français, non plus. Car il est évident que de plus en plus de parents renonceront à vacciner leurs enfants, faute de pouvoir disposer d’une information qui ne soit pas entachée du soupçon de la partialité et du conflit d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques. Une information qu’auraient pu leur apporter les conclusions de ce débat public, s’il n’avait été honteusement biaisé. »

 

Le projet français d’extension des obligations vaccinales obéit donc aux étapes d’un plan nommé Global Health Security Agenda, que l’on voit s’actualiser au niveau mondial.

 

Le ministère a ajouté aux slogans du ministère de la vérité de Georges Orwell « la liberté, c’est l’obligation » « L’ignorance des risques réels, c’est la force ».


[1] Par nicole et gerard delepine www.nicoledelepine.fr

[2] Le tétanos n’est pas contagieux et ne peut en aucun cas se transmettre d’homme à homme. Il ne peut s’attraper qu’après mauvaise désinfection d’une plaie souillée. La vaccination ne permet pas d’éliminer la bactérie mais vise uniquement à neutraliser la toxine (ce que fait très bien le sérum). la maladie est non immunisante ; les patients rescapés n’ont pas d’anticorps antitétaniques ; ceci peut s’expliquer par le fait que la toxine migre au cerveau par les axones et ne passe ni par le sang ni la circulation lymphatique et ne stimule donc pas l’immunité.

[3] D’après l’institut de veille sanitaire entre 2005 et 2006 une moyenne 6 cas annuels (dont 2 mortels) a été déclarée (âge moyen de 81 ans) ; aucun cas mortel en dessous de 20 ans en France métropolitaine depuis 20 ans

[4] Voir éléments de réponse à l’INSERM Décembre 2017 agoravox G et N Delepine

[5] France culture le 24 4 2015.

[6] Dans ce pays seul le vaccin anti poliomyélite est encore officiellement obligatoire mais les tribunaux relaxent depuis 2011 les parents poursuivis

[7] Il a levé la tutelle après l’amputation…

[8] Cf sept à huit sur TF1 histoire tragique du jeune alexis goulette

[9] Pétition du PR Joyeux « comme vous le savez, le vaccin obligatoire DTPolio pour les enfants de moins de 6 ans n’est plus commercialisé en France par les laboratoires pharmaceutiques depuis 2008. Depuis septembre 2014, la situation s’est encore aggravée avec une pénurie généralisée de vaccins tétravalents (DTPolio-Coqueluche) et pentavalents (DTPolio-Hib-Coqueluche).

Le résultat est que les parents ont le choix entre :laisser leur enfant sans couverture vaccinale et s’exposer, en plus des risques médicaux, aux poursuites pénales prévues par la loi ainsi qu’à des menaces d’exclusion des crèches, écoles, et autres services publics ;ou alors : vacciner leur enfant avec un vaccin hexavalent DTPolio-Hib-Coqueluche-Hépatite B, l’Infanrix Hexa, le seul qui ne souffre d’aucune pénurie. Le problème est que l’Infanrix Hexa :contient de l’aluminium et du formaldéhyde, deux substances dangereuses, voire très dangereuses pour l’humain, et en particulier le nourrisson, pouvant notamment provoquer une grave maladie, la myofasciite à macrophages, contient le vaccin contre l’hépatite B soupçonné d’un lien avec la sclérose en plaques ; et coûte jusqu’à 7 fois plus que les autres vaccins.

http://petitions.ipsn.eu/penurie-vaccin-dt-polio/index.php Nombre de signatures :

1 142 212 au 1 er Mars 2018

 

[11] Depuis juin 2008, le vaccin trivalent DTPolio® n’est plus commercialisé. Devant l’augmentation du nombre de notifications de réactions allergiques, l’Agence nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM, qui était alors l’AFSSAPS), avait décidé de suspendre ce vaccin.

Pour les nourrissons et les jeunes enfants, il était possible de pratiquer deux vaccinations simultanées, en deux sites différents (un vaccin DT et un vaccin antipoliomyélitique). Pour les enfants plus âgés, la DGS préconisait l’utilisation d’un « autre vaccin trivalent Revaxis® qui ne peut être administré que dans le cadre d’un rappel ». de fait pression des labos et de la DGS pour vaccination élargie à plusieurs valences, ce qui s’apparente à de la vente forcée sans aucune information des familles.

[12] Manifestations allergiques : urticaires généralisés ou des œdèmes de Quincke survenant dans les heures qui suivent l’injection du vaccin, sans explication avancée. Entraine interruption de sa fabrication Le laboratoire a ensuite décidé d’arrêter la production de ce vaccin, ce qui a, de fait, imposé les vaccinations associant les valences DTP à une ou plusieurs autres valences, non obligatoires chez les nourrissons : coqueluche, haemophilus et / ou hépatite B.

[13] DT+ Imovax polio (donc 2 injections séparées).

Le DT est d’importation Sanofi Canada et renferme 1,5 mg de phosphate d’alu soit 0,33 mg Al+++ (c’est moins que l’Inf. Hexa qui renferme 0,95mg d’hydroxyde d’alu et 1,45 mg de phosphate d’alu, SOIT 0,82 mg Al+++). Il renferme aussi formol et 2-phénoxyéthanol. Aucun DTP sans aluminium disponible actuellement contrairement au DTPolio utilisé avant 2008

L’ordonnance du Kit doit être déposée chez le pharmacien qui fait une commande spéciale Sanofi et remplit une fiche d’info. Livraison sous plusieurs jours.

[14] le Monde.fr, janvier 2017

[15] Comme en témoignent de nombreuses demandes de parents perdus…

[17] Concertation citoyenne sur la vaccination AVIS DU JURY CITOYEN version finalisée, 05 octobre 2016

[18] Concertation citoyenne sur la vaccination AVIS DU JURY DE PROFESSIONNELS version finale – 5 octobre 2016

[19] Thomas Dietrich, responsable du secrétariat général de la Conférence nationale de santé (CNS) de mars 2015 à février 2016 Démocratie en santé : les illusions perdues

 

à l’heure où le problème majeur des obligations vaccinales n’est pas réglé et en particulier les vaccins gardasil et injections covid sont encore obligatoires pour les étudiants en médecine et pour les militaires, il nous semble opportun de partager ces articles publiés avant la crise covid sur le support agoravox et dont les informations restent pertinentes

pour ceux qui crurent que le changement de monde survenait brutalement avec le confinement de mars 2020 ET l’ entrée en guerre de E Macron les jours suivants, il peut être utile de comprendre que la session covid ne fut qu’une étape de la destruction du monde civilisé et que bien des attaques avaient modifié les conditions de vie, et de soins en particulier depuis des décennies.

 

 

 

 

 

vaccins obligatoires et éthique médicale ?
Qu’est devenue la référence au code de
Nuremberg ?

Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays (..), elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondé sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que « le seul intérêt de la science ou de la société » ne doit pas prévaloir. 2005

 Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg dans la loi soumise au parlement en novembre 2017 ?

 

L’Association Médicale Mondiale se réunit régulièrement pour revoir et ratifier la convention d’Helsinki : 64e assemblée générale à Fortaleza au Brésil en octobre 2013, a réaffirmé que « dans les recherches médicales, l’intérêt collectif ne doit jamais primer sur l’intérêt de l’individu  ».

 

Loin de vouloir interférer entre les pro vaccins et supposés antivaccins ou pro vaccins modérés, dont les arguments sont plus ou moins audibles selon le « camp » auquel ils appartiennent, je voudrais aborder ici le problème éthique posé par cette volonté d’obligation, peu abordé, en tous cas sans retentissement médiatique.

Pourtant il semble que le nœud de la question du vote parlementaire siège à ce niveau. En effet, personne n’a probablement l’intention de transformer en quelques minutes de débat, à l’assemblée ou au sénat, nos parlementaires en vaccinologues de haut rang. Seraient-ils capables d’assimiler en peu de temps (puisque le vote est une urgence pour le gouvernement !) l’épidémiologie, l’histoire des vaccins et de l’hygiène, et de leurs rôles respectifs ou complémentaires, l’efficacité clinique des vaccins en passe d’être imposée sur la mortalité à long terme, et pas seulement sur la montée d’anticorps chez les vaccinés , et surtout les effets secondaires attendus, sans parler des côtés économiques – que la justification de leur vote sur l’obligation ne pourrait y trouver ses racines.

Quel devrait-être en démocratie le rôle du parlement pour la santé, si ce n’est de mettre à la disposition du citoyen les meilleures conditions de soin, sans interférer dans son libre choix de personne pensante, ni dans celui des professionnels, les médecins. Bref, je n’avais pas compris que l’assemblée se devait de réécrire les traités de médecine, et les imposer aux robots médecins et aux patients -citoyens objets.

Dérives éthiques liées aux lois des Plans cancer

Les conséquences d’une telle dérive de la fonction législative avaient été déjà subies par les malades atteints de cancer. En effet, lois et décrets depuis 2004 ont mis en place les plans cancer successifs et abouti à un monopole du traitement du cancer par l’état, via son bras armé l’INCa, institut national du cancer et ses gendarmes, les ARS agences régionales de santé (dont les directeurs sont nommés par le ministre). Les décisions de traitement sont maintenant collectives et obligatoires, sous peine pour l’établissement de perdre son accréditation[1], s’il déroge trop souvent à l’injonction thérapeutique venue d’en haut. L’organisation totalitaire du traitement du cancer impose aux cancérologues les traitements à donner à leurs patients, des thérapies dites précoces (reposant sur de nouvelles molécules) le plus souvent possible. La réunion pluridisciplinaire « de concertation » permet de surveiller que chaque médecin file droit. La désobéissance à l’organisation les fera exclure pour « incapacité à travailler collectivement en milieu hospitalier ».[2]

Les patients cancéreux et leurs familles comprennent bien ce que veut dire ce monopole via les « protocoles » dont il est difficile de sortir. Nous avons détaillé ces dérives dans de nombreux ouvrages et articles[3] . Nous avons expliqué la dérive éthique et la violation des droits du patient dans le cadre du traitement du cancer[4] en l’absence d’information de fond sur le fameux « protocole » et de droit à un autre schéma. Ainsi, le « Servir la science » est la justification alléguée du changement de paradigme imposé aux cancérologues depuis le début du siècle, avec les conséquences délétères : perte de chance de survie par abandon des schémas de traitement éprouvés, et relégation trop fréquence de la chirurgie au bénéfice des nouvelles drogues, comme si l’innovation était forcément un progrès.

Or servir la science était l’argument massue de défense des médecins obéissant au totalitarisme hitlérien : celui-ci donnait l’absolue priorité au collectif, la personnalité individuelle devant lui être soumise. Karl Brand, médecin personnel d’Hitler, avait déclaré que « lorsque la personnalité est dissoute au sein du corps collectif, toute demande qui lui est soumise doit être dissoute au sein du concept de système collectif ; les besoins de la société sont maintenant des besoins individuels, et l’être humain, ce complexe individuel, sert uniquement à l’intérêt de la société »[5] .

 Ainsi naquit le code de Nuremberg

L’importance du Code de Nuremberg a constitué le point de départ de la prise de conscience des dangers des progrès de la science et de la nécessité de l’encadrer par un certain nombre de règles. Il est considéré comme un code légal de droits humains et non comme un code de déontologie médicale qui devrait être appliqué seulement par des médecins. Il est régulièrement rappelé à la communauté internationale au cours des réunions de l’association médicale mondiale[6]. Ne doit-on pas réfléchir aujourd’hui aux discours que tiennent certains médecins aux patients effondrés sur l’intérêt pour la société d’accepter de signer « ces papiers » qui permettront à leur traitement de servir à la « science », oubliant le consentement véritablement éclairé [7] ?

Parallèlement, ne doit-on pas réfléchir aux implications éthiques d’une obligation vaccinale ?

Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’ordre ou des médecins connus [8] se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ?

Or la vaccination est un acte médical qui relève du soin comme de la recherche, des responsabilités médicolégales et de l’éthique médicale.[9] La vaccination comme tout acte médical relève du code de Nuremberg et c’est un professeur de droit, américaine qui en parle le mieux. On peut s’étonner que sa prise de position à la tribune de l’ONU soit apparemment passée inaperçue en France, nous qui pourtant suivons (quand cela nous arrange) les avis de nos amis américains.

Le professeur Holland [10]a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux personnels » et à cette occasion, la genèse du code de Nuremberg pour protéger les individus contre l’intrusion des gouvernements et des abus médicaux.

Citons le PR Holland :

 « Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination ».

« Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….). »

«  Comment pouvoir concilier les droits individuels avec les droits du collectif  ?

En 2005, l’UNESCO (..) a adopté la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays (..), elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondé sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que « le seul intérêt de la science ou de la société » ne doit pas prévaloir.

 Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2.500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et ne jamais faire de mal.

Sous forme abrégée « D’abord ne pas nuire », ce credo incarne le principe de précaution en médecine, en mettant clairement les intérêts des patients au-dessus des intérêts de la collectivité ou du « troupeau ». Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination doivent être recommandées et non rendues obligatoires.

 La relation médecin-patient doit être d’abord et avant tout basée sur la confiance, alors que la coercition la mine. Lorsque la relation médecin-patient est basée sur la coercition, c’est la confiance qui en fait les frais. Les médecins servent alors l’état et par extension la société, avant l’intérêt de leurs patients. Nous nous trouvons ici sur une pente glissante où la médecine civilisée a trop souvent déraillé dans le passé. »

« Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste » avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931. »

 « Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d’obligations. »

 « Les politiques de vaccination de nombreux pays développés incarnent ce principe des recommandations de vaccination des enfants, y compris la conférence qui a réuni l’Ukraine, l’Allemagne et le Japon. D’autres pays développés permettent d’atteindre d’excellents résultats en santé publique sans avoir recours à la contrainte. Citons : le Royaume-Uni, l’Australie, l’Autriche, le Danemark, l’Islande, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Suède, la Norvège, la Finlande, la Corée du Sud, et l’Espagne entre autres. »

Exceptions acceptables pour limiter les droits fondamentaux ?

 « Néanmoins, la Déclaration universelle sur la bioéthique et l’article des Droits de l’Homme n° 27 autorise des limitations aux droits fondamentaux, mais ces limites doivent être imposées par la loi et doivent être « pour la protection de la santé publique ou la protection des droits et libertés d’autrui. « En outre, « une telle loi doit être conforme au droit international des droits humains. »(..) Les tribunaux internationaux ont mis au point un test pour évaluer si les restrictions aux droits fondamentaux sont légitimes et légales (..). En règle générale, l’élément de « stricte nécessité » doit être la solution la moins restrictive pour atteindre l’objectif de santé publique, et des approches non coercitives doivent être envisagées en tout premier lieu. Ainsi, l’Etat doit démontrer qu’une alternative moins restrictive n’est pas possible avant de pouvoir adopter une mesure très restrictive. »

 Conséquences des politiques vaccinales complexes

 « Les politiques vaccinales ont radicalement changé depuis les débuts du XXè siècle (…). Les législateurs et les tribunaux ont dû faire face à de nombreux problèmes découlant de ces politiques, y compris l’indemnisation des victimes, les exemptions religieuses, philosophiques, le droit à l’éducation, le droit au consentement éclairé, et le droit à la prise de décision parentale. (..)

 En 1992, au Japon, la Haute Cour de Tokyo a traité l’affaire de 159 survivants de dommages vaccinaux et de cas de décès. La Cour a conclu que le Ministère de la Santé avait fait preuve de négligence en omettant de mettre en place un programme de dépistage qui aurait permis d’exclure les personnes qui présentaient des contre-indications à la vaccination. Le tribunal a noté que le Ministère de la Santé s’était focalisé sur les mesures permettant d’accroître le taux de vaccination au détriment de l’attention qu’il aurait fallu porter aux effets indésirables des vaccins. En outre, le tribunal a fait remarquer que le Ministère n’a pas fourni suffisamment d’informations aux médecins et au public sur les effets indésirables des vaccins. Le tribunal a conclu que les victimes avaient droit à un dédommagement de la part de l’Etat.

 En 2004, en Ukraine, la Cour constitutionnelle s’est penchée sur la garantie constitutionnelle du droit à l’éducation sur base du principe d’égalité. La Cour a constaté que sa Constitution garantissait à tout individu le droit à l’éducation. Ainsi, en Ukraine, aucun enfant, vacciné ou non ne peut se voir refuser le droit de fréquenter l’école.

D’autres exemples de problèmes liés à la vaccination obligatoire sont cités par le PR Holland que nous vous invitons à l’écouter[11] ou à lire sur le site brindherbes ou initiativecitoyenne[12].

Les précautions du PR Holland en conclusion de son exposé

« Comme nous le savons tous, les soins de santé partout dans le monde représentent un fameux business. Les vaccins représentent un marché qui ne cesse de croître, comme d’apporter des marges de plus en plus élevées de profits.

Si nous ne respectons pas les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l’intégrité corporelle des personnes, du droit à consentement préalable libre et éclairé en médecine, nous pourrions nous retrouver dans des situations désastreuses prévisibles ou même inconnues.

Pour conclure, je veux paraphraser le discours d’adieu du Président Eisenhower aux Etats-Unis en 1961, quand il faisait allusion aux risques que pouvait comporter le « complexe militaro-industriel ». Je substitue le terme « médico-industriel » aux paroles du président parce que je crois que ce « complexe médico-industriel » présente de nombreux risques que le président avait prédits dans son discours :

 « Le potentiel d’une montée désastreuse du pouvoir existe et persistera. Nous ne devons jamais permettre que ce complexe mette en danger nos libertés ou notre processus démocratique. Nous ne devons rien prendre pour acquis. Seuls des citoyens éveillés et bien informés peuvent contraindre l’énorme machinerie industrielle et médicale à respecter nos méthodes et nos objectifs pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble… En gardant l’œil sur la recherche et les découvertes scientifiques, comme il nous appartient de le faire, nous devons aussi rester attentifs au danger égal et opposé qui conduirait la politique à devenir elle-même captive d’une élite scientifique et technologique ».

Tout est dit dans ce discours d’un professeur de droit à l’ONU qui n’est ni anti ni provaccin, ce n’est pas son travail, mais respecte les droits de l’homme et du citoyen. Il serait tellement important que nos députés prennent le temps de lire ces déclarations ou d’écouter son discours à l’ONU en se rappelant peut-être la phrase la plus capitale de son exposé : « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées. »

 


[1] Autorisation de traiter les patients atteints de cancer

[2] Cf le licenciement de l’oncologue Eléonore Djikeussi par la direction du Centre National de Gestion des Praticiens Hospitaliers alors qu’aucune faute médicale n’a pu être retenue.

[3]Le cancer, un fléau qui rapporte N Delepine Ed Michalon.2013 ; soigner ou obéir N et G D Delepine ed Fauves 2016

[4] Plan Cancer et essais thérapeutiques : que dit l’éthique médicale ?

Publiée le 17/03/2014 Révélée par DELEPINE Andree in maveritesur.com

[5] Bayle François, Croix gammée contre caducée. Les expériences humaines en Allemagne pendant la Deuxième Guerre mondiale, Neustadt (Palatinat), Commission des crimes de guerre, 1950, p.1473.

[6] La Déclaration de Genève de l’Association Médicale Mondiale (AMM) engage les médecins en ces termes : « La santé de mon patient prévaudra sur toutes les autres considérations. ». Le Code International d’Ethique Médicale déclare qu’« un médecin doit agir dans le meilleur intérêt du patient lorsqu’il le soigne ». Le devoir du médecin est de promouvoir et de sauvegarder la santé, le bien-être et les droits des patients, y compris ceux des personnes impliquées dans la recherche médicale.

[7] code de Nuremberg : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne intéressée doit jouir de la capacité légale totale pour consentir : elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. »

[8] Qui oublient trop souvent de signaler leurs liens d’intérêt avec l’industrie, contrairement à ce qu’exige la loi

[9] Conséquences qui ne paraissent guère anticipées par les pharmaciens et infirmiers qui pratiquent ces actes. Ont -ils comme les laboratoires reçu des assurances d’impunité en cas d’accidents ?

[11] Vidéos :https://healthimpactnews.com/2016/n-y-law-professor-addresses-u-n-on-government-vaccine-policies-violating-the-nuremberg Professor Mary Holland addressing the U.N. regarding civil rights related to government vaccine policies.

 

 

18/01/2024 (2024-01-18)

Par Dr Gérard Delépine

Dans une vidéo de ce jour, mise en avant sans modération par un journaliste qui ne donne que ses initiales (M.D.) et publiée par 20 minutes1, l’avocat Maxence Gallo, trompé par un article digne du Lancet Gate23, prétend :

«En tout état de cause, les familles des patients décédés qui ont été traitées à l’hydroxychloroquine peuvent engager un recours [civil] à l’encontre de Didier Raoult ». « Homicide involontaire », « mise en danger délibérée d’autrui ».

Mais pourquoi pas pour l’accuser du crime suprême d’hérésie ?

On ne peut pas reprocher à Maître Maxence Gallo de chercher des clients ni de défendre aussi des menteurs, c’est la base de son métier4. On ne peut pas non plus reprocher à un non-médecin de ne pas se rendre compte du caractère totalement fallacieux d’un article paru dans une revue française jadis prestigieuse, mais aujourd’hui dépendante des lobbys financiers qui le font vivre… Aussi pour lui éviter de perdre son temps en le laissant se fourvoyer dans des procédures vouées d’avance à l’échec, je lui communique des faits avérés qu’il pourra facilement consulter sur Pubmed (base bibliographique médicale du Sénat américain), sur les publications de l’OMS (omscoviddashboard) ou celles de l’université John Hopkins (ourworldindata covid), tous en en libre accès.

Dans le monde réel, l’hydroxychloroquine n’est guère toxique

C’est l’un des médicaments les plus utilisés dans le monde. Depuis 1945 il a été administré contre le paludisme à des milliards d’adultes, d’enfants et de femmes enceintes pendant de très longues périodes sans accident toxique notable au prix de quelques précautions chez les cardiaques et les malades de porphyrie ou de rétinopathie. Ce médicament est si peu toxique qu’on pouvait, avant le Covid, se le procurer en France sans ordonnance, comme je l’ai fait personnellement fait lorsque je me rendais en pays d’endémie pour des congrès.

Et brutalement, à l’occasion du covid, il se serait transformé en médicament tueur. Il faut ne rien connaître à la médecine, n’avoir aucune mémoire, ou être de mauvaise foi pour croire pareille sornette. Revenons au monde réel, aux faits établis.

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop qui a largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid a confirmé la faible toxicité de ce traitement lors d’une interview à Marianne sur le sujet 5 : « On a constaté des effets secondaires, mais bénins, qui ont tous disparu sans qu’il y ait de traitement supplémentaire, notamment des diarrhées… … On a eu à constater quelques cas de troubles du rythme cardiaque, qui ont cessé sans traitement, ainsi que quelques cas de palpitations cardiaques. Globalement le traitement est bien supporté. ».

L’excellente tolérance de l’HCQ été confirmée par le comité scientifique algérien et bien détaillée dans la vidéo de canal Algérie consultable à https://www.youtube.com/watch?v=wz8cv2NlNZA

Cette bonne tolérance habituelle de l’HCQ chez les sujets sains et aux doses recommandées est confirmée par une revue Cochrane6 et par tous les autres pays qui l’ont utilisée et par les manuels de thérapeutiques.

L’article des auteurs lyonnais7 n’est pas une étude réalisée dans le monde réel, mais une simulation aux hypothèses fausses

Elle prétend que l’hydroxychloroquine utilisée contre le covid aurait causé « près de 17 000 décès dans six pays (en Belgique, en Espagne, en France, en Italie, en Turquie et aux États-Unis) », que « le nombre de victimes est probablement bien plus grand. »

On ne peut pas reprocher à un avocat de croire de telles bêtises, mais il aurait pu se rendre compte que la prétendue étude n’était pas une étude de faits avérés, mais seulement une simulation biaisée8 basée sur une sélection arbitraire d’articles qui n’utilisaient pas l’HCQ selon les modalités proposées par D. Raoult (doses trop fortes et/ou administrées trop tard) et sur des données en partie inventées, comme l’a très bien démontré Gibertie dans son excellente analyse9.

Pour instruire aussi maître Maxence Gallo sur le caractère salvateur du traitement Raoult, nous lui rappellerons quelques faits authentifiés par les données de l’OMS, par des agences sanitaires et les déclarations de ministres de la Santé de nombreux pays.

Le traitement Raoult a prouvé son efficacité en Algérie

Le 31 mars 2020, le ministre de la Santé algérien, Abderrahmane Benbouzid, annonçait à la radio :

« Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination ».

Très rapidement des médecins d’Alger et d’Oran signalent les excellents résultats de ce protocole.

Le 31 mai 2020, lors de la réunion du Conseil algérien des ministres présidée par le chef de l’État, le ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine avait prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traitésLa situation sanitaire du pays se stabilise. Ce qui a permis “une reprise des activités sanitaires au niveau des hôpitaux, y compris les interventions chirurgicales non urgentes”. »

Depuis janvier 2022 l’épidémie Covid est terminée en Algérie et, en octobre 2022 la mortalité Covid globale y était 22 fois moindre que celle de la France pour une population des 2/3 (44M vs 67M) soit, par million d’habitants, 15 fois moindre.

Une telle différence n’est pas expliquée par leurs facteurs de mauvais pronostic: mêmes pourcentages de plus de 60 ans10 11, et un peu plus d’obèses en Algérie (23 % vs 17 %)12 13.

Le climat algérien, différent de celui de la France pourrait être invoqué, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, Algérie et Tunisie partagent le même climat, des populations et des habitudes de vie commune. Mais la Tunisie a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS « pas de traitement précoce et tout vaccin » et, comme la France, compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité au Sénégal

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop, expliquait à Marianne14 :

« J’ai choisi au départ, en mars 2020, d’utiliser cette combinaison thérapeutique après lecture d’articles scientifiques sur l’effet de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine ainsi qu’après avoir étudié les analyses préliminaires du Professeur Raoult. Par ailleurs, ces molécules étaient connues en Afrique, pas très coûteuses et accessibles rapidement. C’était une urgence, une question de santé publique. On ne pouvait pas rester sans rien faire. Dès les premières études, nous avons remarqué que l’azithromycine associée à l’hydroxychloroquine faisait mieux que l’absence de traitement ou que l’hydroxychloroquine seule. »

« Nous avons depuis réalisé une analyse multivariée 15 ; le résultat reste constant : l’association de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine pour soigner est bénéfique. »

Au 31/12/2023 le Sénégal comptait 113 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (22 fois moins)16

le président sénégalais Macky Sall a d’ailleurs remercié le professeur Raoult en l’élevant à la dignité de commandeur dans l’ordre national du Lion.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité en Côte d’Ivoire

La directive du ministère de la Santé, édictée le 4 avril 2020, a recommandé l’utilisation de l’hydroxychloroquine associée à une antibiothérapie pour les cas sévères. Les espoirs portés sur l’arrivée des vaccins ont été tempérés par la réticence d’une partie de la population à adhérer à la campagne nationale de vaccination et à peine 40 % de la population du pays était injectée en décembre 22 lorsque l’épidémie s’est arrêtée.

Grâce au traitement Raoult, au 31/12/2023, la Côte d’Ivoire comptait 29 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (89 fois moins !).

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité dans de nombreux autres pays africains

En Guinée, le docteur Noël Tordo, grand virologue et responsable de l’Institut Pasteur à Conakry a rapporté sur sud radio 17 :

« En Guinée, nous donnons de la chloroquine et cela a ses effets sur les premières phases »

En RD Congo, le président Félix Tshisekedi a estimé en 2020 qu’il était « urgent que soit produite une quantité industrielle de chloroquine »18.

Mais aussi au Bénin, Burkina Faso, Cameroun où les gouvernants ont généralisé avec succès le traitement à base de chloroquine bien connue sur le continent, peu chère et vendue en pharmacie sans ordonnance. Cette utilisation massive de la chloroquine explique en partie la très faible mortalité Covid (30 à 200 fois inférieure à celle des USA ou de l’Europe) tout à fait inattendue dans ces pays pauvres où les systèmes de santé sont terriblement dépourvus de médecins, d’infirmières et de médicaments :

La pauvreté de ces pays africains a évité la corruption et la propagande pro vaccinales que nous avons subies et leur a permis d’utiliser les traitements bon marché qui ont sauvé leurs populations.

L’ensemble des médias français a repris ces désinformations sur la prétendue toxicité de la chloroquine et sa supposée inefficacité sans même émettre des réserves sur leur méthodologie, ni leurs hypothèses fausses. Leurs conclusions ne sont plus crédibles aujourd’hui avec le recul et les chiffres de mortalité covid dont on dispose. Honte à eux et aux auteurs lyonnais pour leur torchon pseudo scientifique qui les discrédite et aussi malheureusement la revue qui a accepté de le publier.

Mais peut-être que M.D., 20 minutes, Maxence Gallo, Alexiane PRADELLE, Sabine MAINBOURG, Steeve PROVENCHER, Emmanuel MASSY, Guillaume GRENET, Jean-Christophe LEGA et les membres du comité de lecture Biomedicine & Pharmacotherapy ignorent ce qui se passe en Afrique…

Pourquoi une telle haine contre D. Raoult ?

La démarche scientifique se caractérise par la remise en question permanente des vérités considérées comme établies. Dès qu’un fait ne cadre pas avec l’hypothèse dominante, celle-ci doit être discutée et être abandonnée au profit d’une hypothèse plus adaptée aux faits. En science être minoritaire et susciter les controverses permet souvent de faire progresser les connaissances.

La démarche religieuse se caractérise au contraire par des croyances qui ne peuvent pas être remises en cause sans être traité d’hérétique. La violence infondée qui s’exerce contre D. Raoult est caractéristique d’une démarche religieuse qui l’a soumis à l’inquisition du conseil de l’Ordre.

Cette religion à laquelle il s’oppose est celle de la finance et son crime d’avoir proposé des traitements dont les brevets sont tombés dans le domaine public et qui pour cela rapportent trop peu à l’industrie pharmaceutique et à ses complices.

Il a jadis critiqué le business des antibiotiques sur https://www.youtube.com/watch?v=hCImb7T_BJw

Le torrent de haine qui se déverse sur lui ne serait-il pas lié à son impardonnable récidive récente avec sa critique ferme des pseudo vaccins covid résumé dans un tweet récent :

« Nous sommes contents de voir que le surgeon général de Floride, équivalent de notre ministre de la santé, demande à la FDA d’interdire les vaccins contre le covid Pfizer et moderna. »19

« Ces vaccins, contrairement à leurs indications et à toutes les règles pharmaceutiques, contiennent des quantités considérables (100 000 copies par ml) d’ADN, alors qu’elles ne devaient en contenir que des traces. »Ces copies d’ADN associées au plasmide qui a permis de créer l’ARN ont été démontrées, à d’autres occasions, dans le passé, comme des agents de cancer, en particulier de lymphomes et de leucémies.20

Dans la prochaine étape, je vous détaillerai comment les ARN injectés ont produit des protéines inconnues qui expliquent, peut-être, la survenue imprévue d’encéphalopathie de type Creutzfeld-Jacob liées aux prions fabriqués à cette occasion, ce que prédisait le Pr Montagnier. Ne vous inquiétez pas, on continue à travailler au lieu de jaser, je ne quitte pas le champ de bataille.21

Conseil à maître Maxence Gallo

Il vous sera beaucoup plus facile de trouver des victimes des pseudo vaccins covid que de chercher en vain des victimes du traitement Raoult.

Vous pourriez certainement incriminer la responsabilité pénale de tous les journalistes, fonctionnaires et politiques qui ont poussé ces victimes à se vacciner en diffusant de fausses informations mettant en danger la vie d’autrui.

Suivez l’exemple des avocats US et suivez les procès fédéraux en cours qui vous fourniront des informations juridiques profitables !

1 https://www.20minutes.fr/sante/4069015-20240105-covid-19-hydroxychloroquine-liee-mort-17-000-personnes-durant-premiere-vague

2 https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931

3 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/06/15/covid-19-le-lancetgate-revele-des-failles-de-l-edition-scientifique_6042946_1650684.html

4 Cet avocat au vu de l’article sur les soi-disant 17 000 morts de l’hcq, pourtant démontré fallacieux, propose aux éventuels victimes de l’hcq de les défendre

5 https://www.marianne.net/monde/afrique/au-senegal-un-traitement-avec-de-lhydroxychloroquine-on-ne-suit-pas-aveuglement-loms

6 https://www.cochrane.org/fr/CD013587/INFECTN_la-chloroquine-ou-lhydroxychloroquine-est-elle-utile-pour-traiter-les-personnes-atteintes-de-la

7 Alexiane PRADELLE, Sabine MAINBOURG, Steeve PROVENCHER, Emmanuel MASSY, Guillaume GRENET, Jean-Christophe LEGA Deaths induced by compassionate use of hydroxychloroquine during the first COVID-19 wave: an estimate Biomedicine & Pharmacotherapy Volume 171, February 2024, 116,055

8 Des calculs basés sur des hypothèses fausses

9 https://pgibertie.com/2024/01/04/hydroxychloroquine-les-chiffres-sont-inventes-molibard-et-sa-bande-sont-en-passe-de-remplacer-la-call-girl-du-lancet-gate/

10 https://www.tsa-algerie.com/pres-de-11-millions-dalgeriens-sont-ages-de-60-ans-et-plus/

11 https://www.senioractu.com/France-les-plus-de-60-ans-representent-22-6-de-la-population_a11937.html

12 https://solidarites-sante.gouv.fr/systeme-de-sante-et-medico-social/strategie-nationale-de-sante/priorite-prevention-rester-en-bonne-sante-tout-au-long-de-sa-vie-11031/priorite-prevention-les-mesures-phares-detaillees/article/obesite-prevention-et-prise-en-charge

13 https://www.reporters.dz/sante-medecine-pres-de-10-millions-dalgeriens-sont-obeses

14 Ibid 3 : https://www.marianne.net/monde/afrique/au-senegal-un-traitement-avec-de-lhydroxychloroquine-on-ne-suit-pas-aveuglement-loms

15 Analyse statistique permettant d’évaluer l’importance particulière des différents facteurs pronostiques

16 https://ourworldindata.org/covid-cases?country=~FRA

17 https://www.youtube.com/watch?v=QJuBIXJturA

18 rapporte Actualité CD
https://actualite.cd/2020/03/24/rdc-tshisekedi-insiste-sur-lurgence-de-produire-une-quantite-industrielle-de-la

19 https://floridahealth.gov/_documents/newsroom/press-releases/2024/01/20240103-halt-use-covid19-mrna-vaccines.pr.pdf

20 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/14724672/

21 Tweet du 17/1/2024

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diaporamas en cliquant sur les liens

 

La casse du système de santé français 1 fev_

 

16H Ces médicaments qui ne servent à rien

il y a de nombreux mois que nous avertissons avec d’autres dont patrice Gibertie dont est l’ article de 2022  sur les dangers de la fertilité liés aux injections expérimentales anticovid est rerpoduit ci dessous , de même que sur l’allaitement maternel toxique des mères injectées.

 

même si d’autres causes étaient décelables avant 2020, le poison injecté a aggravé largement la dépopulation (selon un plan avoué et prévu par les adeptes de Davos

ALORS POURQUOI JOUER LES CANDIDES ET NE PARLER QUE DE PLACES DE CRECHES OU DE MERES CELIBATAIRES ?

 

IL EST GRAND TEMPS D’INTERDIRE L’INJECTION DE CE POISON A RISQUE MORTEL COMME LE SOULIGNE LE PR RAOULT

 

RAPPEL

 

Nouveau Monde — Baby crash : demain, un monde sans bébés ? (nouveau-monde.ca)

Baby crash : demain, un monde sans bébés ?

27/04/2023 (2023-04-27)

[Publication initiale :
https://www.sante-sans-filtre.com]

Par Nicole Delépine

Médecin hospitalier, pédiatre et oncologue, Nicole Delépine se bat, depuis 40 ans, pour une meilleure prise en charge des malades à l’hôpital. Reconnue au niveau international pour sa connaissance du cancer, elle a notamment dénoncé les paradoxes du Gardasil, le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Elle vient de publier Les Enfants sacrifiés du Covid (Fauves).

Alors que 30 % des Françaises en âge de procréer ne souhaitent pas avoir d’enfants pour « sauver la planète bleue », l’avenir de l’humanité ne serait-il pas déjà compromis par la baisse de la fertilité qui s’observe depuis plusieurs décennies ? Ajoutez à cela les effets des injections géniques anti-Covid 19, et vous pouvez sérieusement douter des statistiques annonçant 10 milliards d’êtres humains en 2050 !

La baisse de la concentration de spermatozoïdes chez l’humain est connue depuis de nombreuses années et la synthèse récente de la revue de référence Human Reproduction Update montre une chute encore plus vertigineuse depuis une quarantaine d’années1. Surtout, elle souligne le déclin rapide de la fertilité masculine. Cette publication, de grande ampleur, est fondée sur des centaines d’études publiées sur le sujet et rassemble les données couvrant la période 1973-2018 disponibles dans plus d’une cinquantaine de pays.

Ainsi, en 45 ans, la concentration moyenne de gamètes dans le sperme de la population masculine générale est passée de 101 millions par millilitre (M/ml) à 49 M/ml, soit moitié moins ! En outre, comme le rappelle l’urologue française Valentine Frydman, « 20 % de l’infertilité est d’origine masculine stricte ». Pas étonnant, rien qu’avecce premier constat, que la fécondité chute partout dans le monde.

En France, près de 3,3 millions de personnes, soit environ 1 couple sur 6, sont directement touchées par un problème d’infertilité. Un phénomène qui ne cesse d’augmenter depuis une vingtaine d’années selon les professionnels du secteur, comme le Pr Jean-Marc Ayoubi2.

Le canari dans la mine

Ce déclin rapide de la fertilité masculine ne concerne pas seulement les pays du Nord, mais le monde entier. Le pire, c’est que, loin de ralentir pour se stabiliser, le phénomène est en forte accélération.

« En incluant toutes les données postérieures à 1973, le taux moyen de la chute est de 1,16 % par an au niveau mondial. Ce rythme a plus que doublé depuis le début du XXIe siècle, passant à un déclin de 2,64 % par an sur la période 2000 -2018. » Une accélération qualifiée d’« alarmante » par les auteurs de cette étude. « Nos résultats sont comme le canari dans la mine, déclare M. Levine. Nous avons entre les mains un problème grave qui, s’il n’est pas maîtrisé, pourrait menacer la survie de l’humanité. » Ces tendances concernent également les pays d’Afrique et d’Amérique du Sud3, pays qui n’avaient jamais connu un tel phénomène jusqu’alors.

Avant 2020, d’autres causes

Face à des changements inédits, comme la féminisation du sexe des poissons, de nombreuses études ont occupé des unités de recherche dans le monde.

Les experts évoquent, pêle-mêle, de possibles facteurs : d’abord les causes individuelles liées au mode de vie (tabagisme, sédentarité, alimentation, surconsommation médicamenteuse, etc.), mais aussi les causes globales, notamment environnementales (pesticides et produits de synthèse, pollution, etc.).

Tous les perturbateurs endocriniens4, 5 contenus dans le moindre de nos cosmétiques ou aliments industriels sont des molécules qui agissent directement sur notre système hormonal et qui peuvent engendrer, du fait de leur accumulation (le fameux « effet cocktail »), divers dysfonctionnements : insuffisance ovarienne, spermatogenèse défectueuse, fausses couches, grossesses pathologiques…

La donne change avec le Covid

L’arrivée du Covid a rebattu un peu les cartes. Si les premières mesures coercitives ont conduit certains à évoquer un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, sous l’effet de la consolation de la couette, manifestement, il n’en fut rien.

La dépression collective induite par la succession de peurs inoculées, répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée, n’y est sûrement pas étrangère. La terreur d’une guerre nucléaire potentielle, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries bien organisées (pas d’huile ni de moutarde en France et les rayons pleins en Italie), l’explosion du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité : bref le pouvoir passe son temps à nous menacer du pire… Ajoutez à cela la dépendance aux écrans, qui remplacent de plus en plus les relations humaines. Et vous comprenez assez aisément pourquoi le baby-boom tant annoncé n’a pas eu lieu.

La vaccination a-t-elle accéléré le déclin ?

En France, l’Insee confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudo-vaccination.

« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance, qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte de taux de vaccination de 85 % dans la population, s’est aggravée depuis le mois d’août, c’est-à-dire après la troisième dose. Pour l’instant, l’Insee ne donne aucune explication à cette baisse inquiétante pour l’avenir démographique du pays6. »

Les naissances repartaient en effet à la baisse dès mars 2022, avec un peu moins de naissances entre mars et juillet 2022 qu’entre mars et juillet 2020. En août 2022, il y a eu en revanche un peu plus de naissances qu’en août 2020. Mais en septembre 2022, les naissances repartent à la baisse, avec 4 % de bébés en moins qu’en septembre 2020, quand l’évolution des naissances n’était pas encore affectée par la pandémie de Covid-19.

La baisse s’intensifie en octobre, avec 6 % de bébés en moins qu’en octobre 2020. Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2 100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de Covid. Ils n’ont été que 2 000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Le phénomène est très inquiétant…

Ailleurs dans le monde, même refrain ?

L’Australie a elle aussi enregistré une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés78. D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. Le mois suivant, de novembre à décembre, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

« Décembre tombait environ neuf mois après le lancement des vaccins Covid », note D. James de Life-SiteNews à propos de cette période charnière qu’est la grossesse.

Le Dr L. McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patientes après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed9, le taux de fausses couches chez les patientes de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes vaccinées, il a atteint 74 %.

Taïwan a également connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.

Aux États-Unis, ces 3 phénomènes inédits

Selon Brighteon.TV, les chercheurs N. Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins, au-delà même du simple échec de la reproduction.

Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme et la fonction prostatique, et de fertilité féminine. La Food and Drug Administration a même été informée à ce sujet dès le 1er avril 2021, sans aucune réaction. Des échographies ont révélé une inflammation et des calcifications anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection, de même que des anomalies du pénis reconnues par Pfizer dans ses documents internes. Un taux actuel de 87,5 % de fausses couches a été révélé sur le VAERS10. La FOIA (agence américaine pour la liberté d’information11) révèle que Pfizer et les agences de régulation ont caché (ou en tout cas largement minoré) les dangers réels de l’injection contre le Covid pendant la grossesse, alors qu’ils avaient conscience que cela augmentait le risque de malformations congénitales et d’infertilité.

Cette fraude et cette tromperie auraient causé au moins 4 113 décès fœtaux dus à la vaccination contre le Covid-19 rien qu’aux États-Unis contre 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant les injections contre le Covid-19…12 Rappelons que le VAERS ne représente que 1, 2 ou 3 % des cas réels — en raison des non ou sous-déclarations. Si l’on multiplie le chiffre officiel par 40, qui est le facteur de sous-déclaration le plus souvent utilisé, il s’agirait probablement de 140 000 morts fœtales13.

Quant à l’allaitement des bébés par des mères vaccinées, il pourrait également aggraver le risque de mortalité périnatale. « De faibles niveaux transitoires d’ARNm du vaccin ont été détectés dans le sérum des mères vaccinées avec un transfert occasionnel dans leur lait maternel14. » Or, depuis au moins 2015, la FDA sait que les produits géniques sont excrétés15.

Pfizer et les agences savaient également que l’étude limitée sur les animaux montrait un risque important pour le fœtus en développement, mais ils ont activement choisi de supprimer cette information des documents publics.

Cette information a été révélée grâce à une demande d’accès à l’information américaine (FOI) adressée au Government Department of Health par la Therapeutic Goods Administration (TGA) du gouvernement australien.

Alors corrélation, causalité ou simple coïncidence ?

Bien sûr, les premières interprétations furent traitées de « complotistes » — comme si on pouvait légitimement faire confiance aveuglément à ces castes corrompues. Une analyse plus fine des données semble malheureusement conforter l’idée du rôle causal des injections géniques dans la baisse de la natalité des pays injectés et singulièrement en Suisse.

« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. » Ensuite, en comparant entre les régions, « on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %)16. »

Un avocat suisse demande d’ailleurs la suspension définitive de cette injection génique au regard des dégâts notoires chez les enfants17.

Et maintenant ?

Le rôle de la pseudo-vaccination anti-Covid dans la baisse de la natalité et la mortalité néonatale semble statistiquement démontré à travers cette analyse qui ne saurait être exhaustive pour les besoins d’un court article. Toutefois, une analyse des données sur les taux de natalité dans les pays européens montre une baisse significative (pouvant atteindre 19 %) des naissances vivantes chez les 18-49 ans neuf mois après le début des vaccinations Covid, tout particulièrement dans les pays à taux de vaccination élevés.

En tant que pédiatre, permettez-moi d’être particulièrement inquiète. Il faut stopper toutes ces injections au plus vite, non seulement celles contre le Covid, mais aussi celles contre la rougeole, la grippe ou le cancer qui seraient basées sur la technologie ARNm.


 

ET L’ANALYSE DE L EXCELLENT PATRICE GIBERTIE dès 2022

 

Nouveau Monde — La « vaccination » c’est bon pour les affaires, mais pas pour les bébés : effondrement de la natalité 9 mois après le début des injections (nouveau-monde.ca)

La « vaccination » c’est bon pour les affaires, mais pas pour les bébés : effondrement de la natalité 9 mois après le début des injections

INJECTIONS GENIQUES CHEZ LES ENFANTS 24 NOV 22 PDF

03/09/2022 (2022-09-03)

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Sandrine Rousseau sera heureuse, les injections mettent à mal la virilité et la fertilité !

Encore une excellente analyse de nos amis suisses Data Héros, retransmise par le collectif de médecins suisses

Collectif Sauver la Science

@GabinJean3

Situation au 25.08.2022
Analyse complète des taux de natalité dans 18 (23) pays européens avec des preuves significatives du lien entre la vaccination et la baisse du taux de natalité

Natalité :

« Une baisse significative des naissances caractérise le premier semestre 2022. Dans 15 pays, cette baisse est supérieure à 4 %, et dans 7 pays, supérieure à 10 %. »

Est-elle liée aux campagnes de vaccination covid ?

« Une corrélation négative significative entre la baisse des taux de natalité et la fréquence des vaccinations est constatée dans 14 des 18 pays. »

Attention: rho de Spearman = basé sur le rang, pas sur les données chiffrées.

Le cas de la Suisse est l’une des plus spectaculaires. La baisse de la natalité y est massive, et intervient dans une période qui correspond très bien à la vaccination des femmes en âge de procréer avec un décalage de 9 mois.

Si l’on prend du recul historique, la baisse reste absolument spectaculaire en Suisse. En temps ordinaire, médecins, statisticiens, psychologues, sociologues devraient tous être sur le coup pour comprendre ce qui explique cette baisse de la natalité en Suisse et en Europe.

Nos biologistes et profs de médecine préférés (Tatianna et Papanours) en rajoutent : la protéine spike ce n’est pas bon du tout pour les spermatozoïdes et la reproduction :

Bioweapon : Preuves solides de la capacité à infecter le sperme humain in vitro, l’expression de molécules telles que ACE2, BSG, CTSL et TMPRSS2 et leur rôle dans l’entrée virale dans les cellules hôtes des testicules humains tout comme le sperme éjaculé :
https://mdpi.com/2073-4409/11/17/2631

Papanours

Ces ACE2 existent aussi (Douglas et al., 2004) : — sur les ¢ de Sertoli (¢ de soutien à rôle nourricier vis-à-vis des futurs spermatozoïdes, tapissant la paroi des tubes séminifères du testicule, elles sont l’équivalent chez la femme des ¢ folliculaires=cellules de la granulosa)

 

@papanours60

– sur les ¢ de Leydig (=¢ interstitielles qui par le biais de la sécrétion de 85 % de la testostérone — reste provenant des surrénales —, contrôlent dév. + maintien des caractères sexuels 1aires et 2aires + fonctionnement de l’appareil repro. masculin + comportement sexuel.)

 

for true and humane medicin
@tatiann69922625  nous annonce en prime la présence d’un toxique fortement cancérigène dans le Moderna, l’Antimoine…

MAIS REVENONS À LA NATALITÉ

Il y aurait de l’antimoine dans le  Moderna covid :
https://documentcloud.org/documents/22140176-report-from-working-group-of-vaccine-analysis-in-germany…

« Les découvertes sont importantes, car l’antimoine est un élément toxique et il faut clarifier quelle est sa fonction dans le vaccin COVID-19 de Moderna ou s’il s’agit d’un contaminant indésirable. »

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Couv Dysphorie de genre

L’idéologie contre la science et la médecine

23/12/2023 (2023-12-23)

[Source : Chaîne officielle TVL]

Nicole Delépine est pédiatre et oncologue en retraite, Gérard Delépine est chirurgien orthopédiste et oncologue en retraite. Après une vie professionnelle marquée par un engagement total au service des malades et tout particulièrement des enfants, ils poursuivent inlassablement leur mission pour alerter le plus grand nombre sur les dangers qui menacent tous les pans de la santé publique.

Leur dernier ouvrage, Dysphorie de genre, publié aux Éditions Fauves, (disponible ici 📖 https://boutiquetvl.fr/notre-selection/nicole-et-gerard-delepine-dysphorie-de-genre) n’échappe pas à la règle. Il est un manuel pour comprendre, décrypter et résister à la propagande woke qui contamine les écoles et déboussole les enfants jusqu’à leur nuire dans leur être profond.

À l’heure du relativisme, de la corruption généralisée, des études tronquées et caviardées, d’une science idéologisée et d’une médecine mise en coupe réglée par l’État, ils publient un livre édifiant sur les ravages de la promotion de la dysphorie de genre.

Nicole Delépine et Gérard Delépine expliquent combien le seul souci fondamental d’un bon médecin doit être la prise en charge du patient dans sa singularité, dans une atmosphère de confiance totale, seul principe lui permettant ensuite de donner son consentement éclairé.

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Nouveau Monde — Conférence Dr Nicole Delépine : STOP au sabotage de l’école et à la sexualisation de l’enseignement (nouveau-monde.ca) juillet 23

 

Il est question dans cette intervention de la dangereuse dérive de l’Éducation nationale, de l’école publique, qui perd le nord, qui ne remplit plus sa mission d’instruction publique auprès des nouvelles générations. C’est un véritable sabotage du pilier central de toute civilisation, l’enseignement des enfants, avec une chute spectaculaire du niveau scolaire et du classement international de l’école française. Et comme ce n’est pas suffisant, il fallait que les autorités politiques introduisent dans cette école en perdition l’enseignement de la sexualité aux plus jeunes ! Le Dr Nicole Delépine tente de sensibiliser la population sur le danger de cette dérive en l’informant et en la poussant à réagir.

(Vidéo 47 min)

 

 

 

 

 

 

 

 

LE TOTALITARISME IMPOSE AUX ENFANTS ET THEORIE DU GENRE OCT 2023

 

dysphorie de genre et enfance sacrifiee ANTIBES 4 NOV 23

 

 

 

 

Emission spéciale : Doctothon, 2 ans déjà ! (youtube.com)

 

doctothon replay crowdbunker 2 ans deja – Bing video

 

 

 

 

A l’occasion du second anniversaire du premier doctothon,  sympathiques témoignages des organisateurs du premier doctothon et de quelques médecins comme la grande combattante belge, la gynécologue Laurence Kayser , le pédopsychiatre belge Frédéric Goaréguer, le médecin luxembourgeois Benoit Ochs  et aussi Alexandre Henrion-Caude

et moi-même intervenant sur les urgences en santé actuellement dont l’interdiction indispensable des injections ARNm, les pressions sur le Gardasil, l’épouvantable vaxx Beyforus pour prévenir les bronchiolites qui aggrave la mortalité des nouveaux-nés et effectivement à interdire aussi !

Il faut également refuser le vaccin Gardasil inefficace et parfois toxique

enfin le combat contre la loi de censure qui devrait être votée par les sénateurs le 19 décembre 23

voir le petit diaporama ci dessous :

2023 12 12 Feu doctothon anniversaire diaporama

 

 

sur le plan juridique un exemple luxembourgeois

A noter le  très intéressant témoignage du DR Benoit Ochs qui explique ses déboires avec les juges luxembourgeois

le juge luxembourgeois a été récusé

le juge avait refusé d’écouter le dr Ochs .

Mais il a maintenant des magistrats de son coté

il donne un témoignage optimiste, très positif

2 à l’occasion d’une conférence de Pfizer, il a pu raconter que le pseudovax tue et du public a applaudi  et pense que le terrain progressivement se met au courant

 

 

 

 

 

 

 

ENGLISH VERSION FOR EUROPEAN REPRESENTATIVES

Dear European elected representatives,

We, the French citizens, would like to bring to your attention the Open Letter sent on November 5 to the various French Medical, Pharmaceutical, Midwifery and Nursing Councils concerning the HPV vaccination campaign in secondary schools.

Our children are what we value most. Our duty is to protect them from any health scandal.

We refuse to rush to vaccinate our children with a product whose undesirable effects have already been confirmed, for a hypothetical benefit.

Numerous lawsuits are underway, so let’s be wise enough to wait for the verdicts.

We are counting on your support to stop this vaccine madness.

We would be deeply grateful if you would take note of the many points in this Open Letter and take action to protect and help all our children.

We look forward to hearing from you.

Thank you in advance for your help.

Respectfully yours

 

HPV vaccination with Gardasil 9 Open letter

To the President of the National médical Council (Conseil National de l’Ordre des Médecins), Doctor François ARNAULT,

To the Vice-Presidents, Drs Marie-Pierre GLAVIANO-CECCALDI, Jean-Marcel MOURGUES, Gilles MUNIER, Jacqueline ROSSANT-LUMBROSO,

to all members of the Departmental, Regional and National Medical Councils (L’Ordre de Médecins),

to the management of the French Health Authority (HAS) Professor Lionel COLLET, and the governance of the regional health agencies (ARS)

to the national and regional pharmacist’s association (Conseil de l’Ordre des Pharmaciens),

to the National and regional midwifery boards (Conseil de l’Ordre des Sage-Femmes National et Départementaux),

to national and regional nursing boards (Conseil de l’Ordre des Infirmiers National et Départementaux),

to all Ministers,

to all elected representatives, MEPs, Senators, MPs, General and Departmental Councillors and Mayors of France.

 

Ladies and Gentlemen,

As ordinary citizens, we are aware of the undesirable and sometimes serious effects of Gardasil, which have led to lawsuits in several countries. As healthcare professionals concerned with the « primum non nocere » principle, you cannot ignore these adverse effects, despite the fact that over 90% of infections caused by Human Papillomavirus (HPV) disappear spontaneously, and that mortality from cervical cancer has an annual incidence of 0.006%.1 2

To say nothing or to deny them, as the current Minister of Health and Prevention, Mr. Aurélien Rousseau, is doing for the many victims of anti-Covid vaccines, is to be complicit in the new drama that has already begun.

After the illness of 22 schoolchildren at a school in Morlanwels, Belgium, and other cases reported in Colombia, in France, a schoolboy from Saint-Herblain (44) was in turn hospitalized, the victim of post-injection malaise. The teenager died on October 27, 2023.

On the EudraVigilance website (European database of adverse drug reaction reports) consulted on October 30, 2023, 10,108 adverse reactions were reported, including 58 deaths. 3

 

More than ever, the health of our children is your responsibility.

 

The brochures distributed to families by the French Ministry of Health and Prevention and the National Cancer Institute (Institut National du Cancer (INCa)) are silent on the adverse effects of Gardasil 9. They mention only an « excellent safety profile » and claim that « no link between these vaccines and autoimmune diseases has been demonstrated ».

Yet how can we ignore the many healthy young people who have now died (Adriana, Elodie, Marion…) or whose lives have been shattered as a result of previous, already aggressive Gardasil 4 vaccination campaigns?

France’s National agency for drug safety ( Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM)) and the European Medicines Agency (EMA) are publishing the adverse effects of this product, while the official leaflet sent to secondary schools completely ignores them.

The ANSM, in its recommendations to healthcare professionals, merely warns of anaphylactic shock and specifies that « certain adverse reactions may be serious or unexpected… ». Why not provide parents with full information?

 

The EMA, in the minutes of the multidisciplinary consultation meetings (RCP) concerning the Gardasil 9 package insert, notes on page 7 numerous and potentially very severe adverse effects: Guillain-Barré syndrome, acute disseminated encephalomyelitis, thrombocytopenic purpura, etc. The list is long, and only short-term effects are mentioned.

However, it is recognized that a large proportion of the adverse effects of vaccines occur over the long term. 4

Children are our most precious asset: we look after them every day, and demand that families receive appropriate information about an irreversible medical act that requires their free and informed consent.

As claims about doing everything to protect young people are circulating, the suffering in schools has never been greater.

The precautionary principle must prevail: our children must not be exposed to real and proven risks, a fortiori when the risk of cancer attributable to HPV is so low. What’s more, since Pfizer itself has stated that it is unaware of any possible interactions with other vaccines, it seems very unwise to continue administering Gardasil 9 (or other immunizing therapies, whatever the brand or indication) to people injected against Covid without further scientific information.5

 

Extending vaccination to boys, on the pretext of non-discrimination and protection against transmission, can only multiply these adverse effects.

How can we be confident when the EMA and Food and Drug Administration (FDA) leaflets diverge so widely on adverse effects for Gardasil 9 alone? 6-7

The EPI-PHARE organization has recognized in a study an aggravated risk of Guillain-Barré syndrome for this vaccine.

Numerous lawsuits are pending against the manufacturer, including in France. In the United States, a case of narcolepsy has just been recognized, that of young Trey Cobb, aged 14 at the time of the third injection.

The responsibility of the Merck laboratory has been established.

« Cobb’s medical expert successfully argued to the Judge that there is a homology between orexin and certain parts of the Gardasil vaccine, leading to cross-reactions, causing the destruction of orexin-producing neurons » and causing auto-immune narcolepsy with cataplexy, concluding in compensation 8.

We have already witnessed too many health scandals: contaminated blood, growth hormone, H1N1, Distilbene, hepatitis B, Mediator, Depakine, Vioxx… with Gardasil are we once again faced with a new scandal?

At the start of the anti-Covid 19 vaccination campaign, the health authorities claimed that anti-Covid 19 injections were safe and effective… and ignored the warnings of many…

It is also unacceptable that the many adverse effects associated with Hepatitis B vaccination have not yet been reported.

 

It’s time to stop this campaign

We urge you, in the name of the precautionary principle and respect for families’ freedom of choice, to widely disseminate fair, clear and appropriate information, rather than using propaganda and harassment.

We must all assume our responsibilities.

In countries that have systematically vaccinated in previous years, a resurgence in cervical cancer has been observed. Added to this is the negligence of people who believe themselves to be protected. In France, where a number of vaccine accidents had led to a low injection rate, there has been no resurgence of these cancers.

In fact, regular screening is the best and least expensive way to protect yourself.

In this regard, we remind you of Article 121-3 of the French Penal Code:

 

« […]  persons who have not directly caused the damage, but who have created or contributed to creating the situation which allowed the damage to occur, or who have not taken measures to avoid it, are criminally liable if it is established that they have either manifestly and deliberately violated a particular obligation of prudence or safety laid down by law or regulation, or committed a characterized fault which exposed others to a particularly serious risk which they could not have been unaware of. »

 

and article L1111-2 of the French Public Health Code:

« Every person has the right to be informed about his or her state of health. This information concerns the different investigations, treatments or preventive actions which are proposed, their usefulness, their possible urgency, their consequences, the frequent or serious risks normally foreseeable which they entail, as well as the other possible solutions and the foreseeable consequences in the event of refusal […]. When, after the investigations, treatments or preventive actions have been carried out, new risks are identified, the person concerned must be informed, unless it is impossible to find him or her. All healthcare professionals are responsible for providing this information, within the scope of their competence and in compliance with the professional rules applicable to them. Only in cases of urgency or impossibility of providing information may they be exempted.

 

It is your duty to report the adverse effects of Gardasil 9.

Failure to do so is tantamount to accepting misinformation by omission about side effects

and to be guilty by complicity.

The right or duty of reserve ceases to be legitimate when children’s health is at stake.

We appeal to you, guardians of ethics and good practice, not to condone the current scandal.

Open debate is essential, and a moratorium is urgently needed.

With the hope of finally being heard.

 

Co-signatories

 AIMSIB – Alliance Citoyens Libres – Alliances Citoyennes 79 – Antenne Reinfo 01/Pays de Gex – Association NEC MERGITUR 17 – Association SOS Libertés – Basic 37 – BOL D’AIR –

Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens – Collectif Liberté 07 –

Collectif Saintais – Collectif santé 44 – Collectif Santé Mauges – Collectif Soignants Résistants 85 – Comité de Soutien aux Parents en Presqu’île de Crozon – Corse Humanis – Corse Unis – Eveil Citoyen 47 – l’Ordre Universel des Praticiens de Santé – Les Masques Blancs – Liberté 78 – SOS Objectif Santé – Ligue pour la Liberté Vaccinale – Nopass 24 – Police Pour La Vérité – Reinfo les Collectifs –

Pour la Liberté de Choix 01/Reinfo Bourg 01 – Reinfocitoyens 91 – Reinfo Paris – Reinfo 49 – REVAV – Sport Sur Ordonnance Carcassonne – STOPALAMASQUARADE 44 – UNIC 67 – VERITY France

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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response from DR C Siret

Subject: Gardasil vaccination

Dear Sir/Madam

Paris, November 10, 2023

 

We have taken note of your email in which you wish to draw the attention of our Institution and the national authorities to the risks of serious side effects linked to HPV vaccination.

 

In several countries, HPV vaccination has made it possible to practically eradicate cervical cancer in women (e.g. Australia)

 

The benefit/risk ratio of HPV vaccination has been confirmed by the French National Authority for Health (HAS), and it is now up to the French National Agency for Medicinal Products (ANSM) to establish the causal link between these side effects and serious adverse events attributed to the Gardasil vaccine.

 

In view of these statistical and scientific results, which demonstrate real public health progress in the prevention of a serious disease such as cancer, the National Medical Association (le Conseil National de l’Ordre des Médecins) supports this vaccination which truly benefits the population it is aimed at.

 

The organization of this vaccination campaign is the sole responsibility of the French Ministries of Health and Education, whose priority is to protect French citizens from extremely serious diseases.

Yours sincerely

Doctor Claire SIRET

 

 

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Open letter to Dr Claire Siret, President of the Public Health Section of the French Medical Association (Conseil National de l’Ordre des Médecins)   from DR G DELEPINE

 

November 12, 2023

My dear colleague,

I am surprised by the terms of your letter of November 10, 2023 addressed to concerned citizens, and truly astounded by your belief in « the near-eradication of cervical cancer in many countries (e.g. Australia)”, which testifies to your unawareness of the official AIHW (Australian Institute of Health and Welfare) data on cervical cancer in Australia. I would therefore like to send you the official data which you will see completely contradicts your belief in the anti-cancer efficacy of Gardasil.

 

If you type in « https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics », you can check that in 2022, the estimated number of invasive cervical cancers reached 942, which is a long way from the « near-eradication » claimed, as attested by this screenshot:

This figure corresponds to a 30% increase since the introduction of Gardasil (in 2007, only 727 cervical cancers were reported).

 

You can also check that the standardized incidence of cervical cancer (which eliminates the influences of Australian demographics) has not decreased since 2006, when school vaccination was introduced, and that this incidence has stabilized above 7/100,000 since Gardasil vaccination.

 

 

 

In France, where vaccination coverage is low, the worldwide standardized incidence of invasive cervical cancer is, according to Santé Publique France, less than 6/100,000 – and fits into the WHO’s definition of a rare disease.

 

I don’t doubt your good faith, which has obviously been misled by the fallacious press releases from INCA (the national cancer institute) and HAS (the health authorities) that you quote, but the medical and scientific approach requires us all to always analyze the opinions submitted to us and verify the raw, indisputable data.

 

This increase in the incidence of cervical cancer since the introduction of Gardasil has been observed in all countries where school vaccination has been introduced, and particularly among women aged 25-34 by 2022, the age group most likely to be vaccinated for cervical cancer.

 

This is also true in Great Britain (you can check this by typing in: https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence#heading-Two)

 

 

 

But also in Scandinavian countries (Norway, Finland and Sweden), where the incidence of invasive cervical cancer has been rising in the most-vaccinated age group (25-34 year-olds) since the school vaccination campaigns, as you can check by typing in: https://nordcan.iarc.fr/en/dataviz/trends?cancers=190&sexes=1_2&populations=578&key=asr&mode=cancer&multiple_populations=0&multiple_cancers=1&age_start=5&age_end=6&years=2009_2021

 

 

 

It’s extremely sad to see INCa and HAS denying established facts and thus misleading the many doctors who put their trust in them, like yourself.

 

In addition, I would like to draw your attention to the fact that the statement « Australia is on the way to eradicating cervical cancer » is blatant fake news and, I fear,  may undermine your credibility.

 

I am, of course, entirely at your disposal to provide any clarification you may require on the paradoxical results of this vaccination, which is effective against infection and benign dysplasia, but not against invasive cancers, as explained in our recent book:

 

Yours sincerely

 

Dr Gérard Delépine Cancer surgeon and statistician

 

Appendix: Dr Claire Siret’s response letter to citizens’ groups

 

 

 

 

 

MORT SUR « ORDONNANCE » GOUVERNEMENTALE D’INJECTION GARDASIL ?

 

 

Par le DR G Delépine

 

 

Combien faudra-t-il de morts pour stopper la vaccination Gardasil ?

 

La mort dramatique d’un collégien à Nantes lors d’une vaccination Gardasil rappelle qu’aucun traitement ni aucune vaccination n’est dénuée de risque. La seule justification d’un traitement réside dans les bénéfices qu’il peut apporter. Or le collégien de Nantes est mort pour une vaccination contre les papillomavirus qui ne pouvait lui apporter aucun bénéfice personnel, ni non plus protéger les autres !

 

La quasi-totalité des germes que nous hébergeons nous sont utiles !

Il ne faut pas avoir un rapport hygiéniste hystérique avec les germes. Nous sommes tous en permanence porteurs de centaines de milliards de germes (virus et bactéries) avec lesquels nous vivons en parfaite harmonie.

Le microbiote intestinal, le plus « peuplé » d’entre eux, abrite 1012 (mille milliards) à 1014 (cent mille milliards) de micro-organismes qui assurent la fermentation des substrats et des résidus alimentaires non digestibles, facilitent l’assimilation des nutriments grâce à un ensemble d’enzymes dont les cellules humaines sont dépourvues et l’hydrolyse de l’amidon, de la cellulose, des polysaccharides…

Ils participent aussi à la synthèse de certaines vitamines et à celle d’acides aminés essentiels et régulent l’absorption des acides gras, du calcium, du magnésium[1]…et jouent un rôle important dans la lutte contre les infections[2].

Le microbiote cutané héberge en moyenne mille milliards de bactéries (soit 50 millions par cm2 de peau) de plus de 500 espèces différentes[3][4] mais aussi des champignons (comme les candida albicans) et des même des acariens.

Le microbiote vaginal comprend  un ensemble de micro-organismes (dont les lactobacilles de Döderlein) qui varient en fonction du mode de vie et des changements hormonaux, et forment un biofilm protecteur sur la muqueuse.

La flore buccale comporte de nombreuses variétés de bactéries et de champignons qui se nourrissent de sucres et des restes d’aliments présents dans la bouche et constituent le biofilm buccal indispensable au bon fonctionnement de la bouche par le maintien des dents et des gencives en bonne santé en luttant contre les nombreux germes pathogènes, et en participant à la prédigestion des aliments.

Les milliards de bactéries et virus qui nous contaminent en permanence sont dans leur quasi-totalité des germes saprophytes avec lesquels nous nouons un partenariat gagnant- gagnant. Modifier ces flores expose à des complications. La guerre contre les germes ne se justifie que contre les germes pathogènes, ceux qui sont responsables de maladie.

 

Héberger un papillomavirus ne rend pas malade !

Les papillomavirus comptent plus de cent espèces susceptibles de contaminer l’homme, mais elles se comportent dans la quasi-totalité des cas comme des saprophytes. La contamination HPV se produit par contact cutané[5] sexuel, ou non. Elle concerne près de 80% de la population adulte. Elle n’entraine habituellement aucun signe clinique [6] et l’organisme s’en débarrasse naturellement en 9 à 18 mois en acquérant une immunité solide contre la souche concernée (mais laissant le terrain disponible pour les autres souches).

Une maladie se définit par les troubles qu’elle engendre; la contamination par les HPV est asymptomatique et ne constitue donc pas une maladie. La chasse aux HPV n’est donc pas médicalement justifiée d’autant que le ralentissement de leur propagation ou leur éradication parfois cités comme but de la vaccination Gardasil (comme au début de la vaccination covid) sont totalement irréalisables car les HPV comportent trop de nombreuses souches et disposent de plus de réservoirs animaliers.

 

Les HPV sont accusés d’être responsables de cancer sans preuve formelle

L’origine des cancers est le plus souvent multifactorielle et les cancers présentés comme ceux du HPV n’échappent pas à la règle. Depuis la mise au point de vaccins contre les HPV certaines souches ont été déclarées uniques responsables de nombreux cancers sans qu’aucune preuve formelle de la responsabilité du virus n’ait été apportée. Il existe certes une relation statistique entre la présence de HPV et un surrisque de cancer du col, mais de semblables corrélations statistiques sont également démontrées avec de nombreux autres facteurs : précocité des premiers rapports sexuels, nombre de partenaires, nombre de rapports, fréquence d’infections génitales (à HPV mais aussi herpès, chlamydias), Sida, tabagisme, nombre de grossesse menées à terme… Tous ces facteurs étant de plus corrélés entre eux. La considérable disproportion entre les très fortes  incidences des infections  HPV (70-80%) et l’extrême rareté des cancers du col (0,006%) ne plaide d’ailleurs pas pour un rôle étiologique majeur des premiers. Les HPV pourraient en réalité n’être que les témoins d’une activité sexuelle intense, vraie cause du cancer du col de l’utérus du fait des microtraumatismes et des inflammations récidivantes qu’elle entraîne.

Pour les cancers du canal anal, le rôle des HPV est encore plus incertain car les facteurs les plus étroitement liés à sa survenue sont les rapports anaux passifs et le sida. Certes on retrouve aussi des antécédents de HPV chez les malades de cancer anal,  mais guère plus que chez 70% des hommes hétérosexuels indemnes du sida qui ne souffriront jamais de cancer de l’anus.

Mais la mise en cause du HPV en fait le coupable idéal, tant il est rentable pour les actionnaires …

 

Le Gardasil ne protège pas des cancers du col de l’utérus

Si les HPV ne suffisent pas à créer des cancers il est logique que la vaccination Gardasil soit incapable d’en diminuer l’incidence ( fréquence annuelle de nouveaux cas pour 100000 femmes). Et c’est que montrent les registres des cancers des pays apôtres de cette vaccination démentant ainsi la propagande permanente qui prétend que le Gardasil protègerait « des cancers du HPV ».

Le registre australien des cancers objective une augmentation d’incidence des cancers du col de l’utérus depuis la vaccination par Gardasil  :

En Grande-Bretagne :

 

En Norvège l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

 

 

En Finlande l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

 

 

 

 

Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV comme ils l’ont affirmé pour le covid19..

Mais la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis la vaccination par Gardasil chez les filles dans tous les pays qui ont instauré une vaccination scolaire.

Comme en Australie où l’incidence du cancer anal a davantage augmenté chez les filles que chez les garçons non vaccinés :

Comme en Grande-Bretagne :

 

Mais aussi dans les pays scandinaves :

 

 

 

Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

 

Ce malheureux collégien est bien mort de la vaccination Gardasil

L’ARS qui multiplie les appels à la vaccination tente de la disculper en accusant

« un malaise vagal sans lien avec le produit vaccinal ou à un défaut de qualité du vaccin. » en ne rappelant pas que ce malaise a été la conséquence de la vaccination Gardasil.

Les faits sont indiscutables : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.

Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA qui l’ont beaucoup plus pratiqué,  le VAERS (système de déclarations des complications post vaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

 

 

 

 

 

La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensées par le VAERS et qui ont motivé des plaintes en justice et des manifestations dans de nombreux pays

Ces manifestations contre le Gardasil et ses nombreuses actions en justice témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

 

 

 

 

 Pour protéger nos enfants il faut stopper cette vaccination dangereuse et inefficace contre le cancer [7]

 

 

 

[1] Inserm Microbiote intestinal (flore intestinale) https://www.inserm.fr/dossier/microbiote-intestinal-flore-intestinale/

[2] https://www.allodocteurs.fr/maladies-intestins-et-estomac-flore-intestinale-flore-intestinale-une-collection-de-bacteries-776.html

[3] Kenneth Todar, « The Normal Bacterial Flora of Humans » Todar’s Online Textbook of Bacteriology

[4]Dunyach-Remy C, Sotto A & Lavigne J.P (2015) Le microbiote cutané: étude de la diversité microbienne et de son rôle dans la pathogénicité. [archive] Revue Francophone des Laboratoires, 2015(469), 51-58.

[5] De nombreuses études rapportent des cas de vierges contaminées.

[6] A l’exception des souches 6 et 11 susceptibles de créer des verrues génitales (condylomes)

2023 10 10 gardasil résultats et effets secondaires présenté à Marseille le 7 OCT 23

cliquez sur lien ci-dessus pour dérouler le diaporama du DR Gerard Delépine

alors que la campagne de vaccination gardasil contre le papillomavirus fait rage dans les collèges, regardez la mise au point actuelle d’octobre 23 sur les faits avérés, tant les résultats cancérologiques que les effets secondaires importants dont les accidents neurologiques parfois mortels et les ménopauses précoces avec risque de stérilité