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16/10/2022 (2022-10-16)

Par Nicole Delépine

En écho à l’appel des appels de Roland Gori, ici une suggestion pour le lire, l’écouter, puis penser, et aller mieux.

Roland Gori1, comme d’autres veilleurs, est-il l’équivalent du canari dans les mines qui guettait le danger comme il le raconte ? L’écouter fait toujours du bien, car il nous rappelle déjà la nécessité pour soi-même et son équilibre de penser, de lire, de réfléchir et ensuite de confronter ses idées avec d’autres. Et si l’on est en désaccord avec certaines positions, qu’importe, l’essentiel est de discuter avec les autres, avec soi-même, de redevenir humain et non machine obéissante et soumise.

 

Écoutez cette vidéo de 2020 sur son livre : «  et si l’effondrement avait déjà eu lieu »2

Prenez le temps, il sera gagné !

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu : l’étrange défaite de nos croyances3

S’adapter à l’époque, à ses rythmes et mutations, s’impose comme un impératif dans nos sociétés contemporaines.

Dans ces adaptations sociétales, néolibéralisme et scientisme œuvrent au service d’une idéologie du progrès qui semble sans limites. Pris dans une logique du court terme faisant abstraction du temps et de l’espace, le sujet contemporain se trouve contraint à l’adaptabilité, entravé dans sa capacité à penser, à projeter, à créer…

Les crises écologiques et sanitaires actuelles interrogent tout particulièrement ce rapport au monde et à l’humain. S’y associent des discours sur l’effondrement qui ne sont pas sans effet.

Dans son ouvrage intitulé : « Et si l’effondrement avait déjà eu lieu ? L’étrange défaite de nos croyances », Roland Gori nous invite à appréhender et penser l’effondrement, dans une nécessaire articulation entre passé, présent et futur. Relancer la pensée… vers de nouvelles utopies…

Et je dirai pour chacun d’entre nous… Prenons le temps de lire, d’écouter, de réfléchir, il ne sera pas perdu… Sans oublier de lire « la fabrique des imposteurs ».

Appréhendons l’univers de Roland Gori à travers quelques interviews.

Roland Gori : « Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer »4

De « l’Appel des appels » en 20095, à son dernier ouvrage, Un monde sans esprit. La fabrique des terrorismes, en passant par La dignité de penser, La folie évaluation (Les nouvelles fabriques de la servitude) ou L’individu ingouvernable, Roland Gori, apporte sa contribution à l’agora politique.

Question : Vous avez récemment affirmé que plus personne ne croit que le libéralisme puisse réduire les inégalités. Est-ce à dire que le libéralisme est moribond et que la question du « progrès social » par exemple va pouvoir être posée dans de nouvelles conditions ?

R. G. :

« Depuis le début, le libéralisme fait fausse route sur sa conception de l’Homme, il fait l’impasse sur le besoin de reconnaissance sociale, symbolique. Après l’effondrement du Mur de Berlin et l’effondrement du discours révolutionnaire, il y a eu une autoroute pour l’ultralibéralisme ou le néo-libéralisme qui, aujourd’hui, est en train de se discréditer.

Le discours sous la forme du néo-libéralisme des années 1980-1990 n’est plus crédible et on aboutit à une crise qui rappelle la phrase de Gramsci, « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître, et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».

Toutes les affaires qui sortent aujourd’hui mettent en évidence l’état d’un système qui se révèle hypocrite. On fait l’impasse sur le besoin de partager une expérience sensible, une certaine conception de la liberté.

La crise des valeurs libérales de la fin du XIXe siècle a débouché sur la Première Guerre mondiale, dans l’entre-deux-guerres, elle a débouché sur l’émergence de partis totalitaires, qui n’ont pas tenu leurs promesses par rapport à des populations humiliées. On voit comment ces partis ont récolté toutes les colères, les frustrations.

Aujourd’hui, on assiste à l’émergence de nouveaux fruits de cette crise avec Daech, Al-Qaïda, mais aussi le regain des nationalismes avec Trump, le Brexit d’une certaine façon, la montée de l’extrême droite en Autriche, certains gouvernements d’Europe centrale. Nous ne sommes pas dans une situation identique à celle des années 30, mais cela lui ressemble étrangement. D’où l’urgence de proposer une autre conception philosophique, une autre conception de la vie en société. On peut parier sur le progrès social, sur d’autres manières de travailler, de vivre ensemble.

La révolution numérique peut être une chance pour se parler, pour innover, même s’il y a aussi un risque de confiscation du monde, du savoir-faire et du savoir de l’artisan et de l’ouvrier, par le mode d’emploi de la machine.

C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de lancer le « Manifeste des oeuvriers » avec le journaliste Charles Silvestre et le musicien Bernard Lubat. Il s’agit de restituer cette dimension d’œuvre alors que le travail est taylorisé, même chez les médecins, les infirmières, les enseignants, les magistrats où les activités sont de plus en plus semblables à des actes standardisés.

: Vous avez été l’initiateur de « l’Appel des appels » il y a huit ans. Quel chemin a été parcouru depuis selon vous ?

“Aujourd’hui, on voit bien avec « Nuit debout » et les tentatives de culture alternative qu’il y a un peu partout une remise en cause de cette civilisation néo-libérale qui, de mon point de vue, est à l’agonie, Macron relevant de la bulle politique spéculative. Il y a un discrédit du modèle, on y croit de moins en moins. L’échec du gouvernement a été de continuer avec un logiciel à peu près identique. En somme, on veut nous obliger à être pratiquants alors que nous ne sommes plus croyants (…)

L’idéologie libérale a réussi à dévaloriser le mot même d’utopie. Est-ce que ce n’est pas la source du problème ?

« C’est un mot traité de manière péjorative, non pas comme une fiction romanesque. Il y a une interdiction de rêver. Orsi un homme ne peut pas rêver, il crève. Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer. Je crois qu’un des mérites de la ligne de Pierre Laurent est d’inviter à des débats pour construire des projets. Il faut remettre l’utopie au cœur du discours politique. »

[NDLR : à propos d’utopies,
voir Manifeste pour un nouveau monde]

Réflexions de Jalil Bennani — extraits

L’effondrement dont il s’agit dans cet ouvrage6 est celui de nos catégories de pensée et de notre rapport au temps, du lien entre passé, présent et futur. (..) Il nous montre avec une grande érudition, en s’appuyant sur de nombreux exemples historiques, que les crises résultent d’une rencontre entre un événement et des conditions sociales. Il dénonce avec force l’impréparation de nos sociétés face à un facteur environnemental.

… « l’idée de catastrophe, la catégorie de l’effondrement, constituent le retour du refoulé qui se glisse dans le discours d’une civilisation de l’instant, l’irruption d’une temporalité que l’on veut méconnaître à la hauteur de l’oubli de la mort ». Les causes des catastrophes sont bien les inégalités sociales, l’atteinte à la dignité humaine, la dérégulation de la planète, la course à la rentabilité, les exigences toujours plus grandes de productivité et d’utilitarisme.

Parmi les questions qui m’ont fortement interpellé dans ce livre, je retiens celle relative à « l’homme machine ». Tout au long de ses recherches, Roland Gori a été fasciné par le texte de Tausk7, « La genèse de la machine à influencer au cours de la schizophrénie ».

La construction délirante est la véritable machine qui persécute le schizophrène et elle est isomorphe au corps, plus précisément au fantôme d’une totalité du corps à même de contenir et de donner un sens à ses cénesthopathies. J’avais dans les années quatre-vingt montré dans mon ouvrage Le corps suspect, à quel point l’ouvrier, dont le destin était brisé à la suite d’un accident du travail, s’exprimait comme si son corps était une machine.

La subjectivité est cachée et profondément réprimée. Le patient en appelle à une solution technique.

Ce corps sans plaisir interroge l’imaginaire du corps médical qui a montré bien des résistances aux notions freudiennes. Un corps auquel il n’a été demandé que d’être corps-machine a accepté ce contrat. En cela, il a rejoint la machine industrielle et la machine médicale.

Une machine objectivante et normalisante.8

Robert Linhart a vécu cette expérience en devenant ouvrier spécialisé dans l’usine Citroën de la Porte de Choisy à Paris, en 1968. Il a fait partie des centaines de militants intellectuels qui s’embauchaient dans les usines. Il raconte les rythmes, les méthodes de surveillance et de répression. L’auteur rapporte qu’il n’a jamais autant perçu le sens du mot « économie ». Économie de gestes, de paroles, de désirs. Il faut s’être frotté à cette réalité matérielle pour prendre conscience de sa dureté, des souffrances, des risques et de la mise à disposition du corps au profit de la machine.

Roland Gori rappelle bien dans son ouvrage le « spectre » qui hante nos sociétés, la situation des plus pauvres, des plus vulnérables parmi lesquels figurent les migrants. Ils « viennent de notre futur pour hanter notre présent », écrit-il. Sa réflexion sur le temps s’avère ici essentielle : ‘Penser la catastrophe supposerait que nous puissions changer notre rapport au temps.  Nous sommes aujourd’hui dans un paradoxe : en même temps que l’on nous enjoint de penser à l’avenir, nous nous trouvons contraints par « l’actualisme technique » de la civilisation des machinesIl dénonce « la religion positiviste » qui vient au service de l’industrie et dont nous sommes les héritiers : « C’est sur les ruines de cette révolution symbolique avec ses exigences de productivité, d’utilitarisme, de positivisme et d’efficacité louant la force et la raison instrumentale que se profilent les risques d’effondrement ».

Roland Gori relève très justement que le sujet de la psychanalyse a « besoin des normes de son époque pour pouvoir se les réapproprier et les trahir ». Comme l’artiste, le psychanalyste est témoin et acteur de son époque.9

… L’art, comme la vie, est une réparation par les émotions qu’il produit et des juxtapositions des images, des représentations, des installations… Alors que dans les cultures occidentales modernes, la réparation vise à revenir à l’état original, dans les cultures extra-occidentales traditionnelles la réparation procède de l’inverse. Roland Gori écrit très justement : « La vie moderne est une invitation à effacer les traces ». Cacher, masquer la suture d’un objet réparé est une prétention à revenir à l’identique, ce qui est impossible ou pure illusion…

Roland Gori articule avec brio les notions d’individuel et de collectif, en évitant toute confusion entre l’agent social et le sujet de la psychanalyse.

Et la référence à Winnicott apporte un étayage essentiel à l’ouvrage : « Le traumatisme a bien eu lieu, mais à un moment où, pour une raison ou pour une autre, le patient n’était pas en mesure de l’éprouver… à ce moment de son histoire, il n’avait pas la possibilité d’intégrer le traumatisme qui surgissait», la crainte de l’effondrement devenant alors une tentative de donner au traumatisme une existence psychique et sociale.

(…) Le traumatique est déjà là, avant qu’un événement ne lui permette de se révéler. Roland Gori s’appuie sur Winnicott pour poser cette hypothèse : les effondrements que nous craignons voir advenir dans le futur ou le présent ont déjà eu lieu. Ce qui s’est effondré c’est notre cadre mental, symbolique, psychique pour penser le monde, pour nous penser, ce qui justifie le sous-titre de l’ouvrage L’étrange défaite de nos croyances.

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu est un ouvrage fort, psychanalytique, philosophique, sociologique, politique. L’auteur, initiateur de l’Appel des appels, un collectif national « pour résister à la destruction volontaire de tout ce qui tisse le lien social », nous invite à une réflexion riche et incontournable pour inventer de nouvelles catégories de pensée, repenser notre rapport au temps, le lien entre passé, présent et futur, nos oublis, nos croyances.

Sandre Evrard nous livre une autre approche de la pensée de Roland Gori et son analyse de la gestion de la crise du Covid :

« Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir » – Le Comptoir 10

Le Comptoir : Vous avez longtemps traité de la question de l’importance du rapport au patient, du dialogue et des affects mis à mal par un type de modernité asséchante et scientiste. Est-ce que ces mesures autoritaires prises pour lutter contre la covid-19 ne viennent pas justement mettre en place une biopolitique qui renforce la négation du citoyen en tant que sujet — et partant porte atteinte à la démocratie, qui est certes un ordre politique, mais aussi quelque chose qui s’ancre dans les mœurs de l’individu ?

Roland Gori :

Notre modernité accroît une hégémonie culturelle, celle de la rationalité instrumentale qui tend à exploiter les individus et le vivant comme un stock d’énergie à exploiter à l’infini.

D’où les problèmes actuels dont on ne dit pas suffisamment quelle part est la nôtre dans l’émergence des épidémies par nos modes de vie et nos industries qui modifient notre biotope. Nous sommes prisonniers de valeurs et d’un système de pensée qui datent du début des sociétés thermo-industriellesCes astres morts continuent à nous éclairer et les normes qu’ils prescrivent contribuent à la catastrophe dans laquelle nous nous trouvons.

Alors, plutôt que de remettre en cause ces normes dont le système de pensée s’effondre, les pouvoirs préfèrent gérer la crise sanitaire avec les moyens traditionnels de la biopolitique des populations.(..).

Mais le problème demeure, d’abord parce que cette prise en charge concerne le court terme et méconnaît que nous sommes actuellement dans ce que l’on appelle une « transition épidémique », c’est-à-dire une transition culturelle qui s’accompagne toujours de l’émergence des épidémies. Ensuite, au lieu de mobiliser les communautés, les peuples, pour lutter contre la pandémie, les pouvoirs politiques gèrent bureaucratiquement et algorithmiquement les populations avec l’arsenal des moyens de la santé publique, de l’épidémiologie et des nouvelles technologies.

C’est la même langue technocratique qui tend à se mondialiser avec des dialectes différents selon les pays et les régimes politiques. Il n’y a pas de représentants des sciences sociales et humaines dans les Conseils de crise, ce qui est significatif d’un déni du caractère social, culturel et psychologique de la crise.

Ce qui passe à la trappe dans cette approche de la pandémie, c’est le sujet singulier du colloque médical comme le concept de peuple, un peuple souverain de ses responsabilités politiques et sociales, un sujet responsable et solidaire.

À la place vous avez la notion de population qui fait de chaque individu un « segment de population statistique » et du peuple une « collection de catégories statistiques » dépourvue de toute dimension politique. Là est la vraie atteinte à la démocratie et pas dans les « gestes barrières », il faut prendre un peu de recul.

« L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent. »

À cette défaite de la solidarité sociale et de la responsabilité subjective s’ajoute la notion d’opinion publique, notion qui témoigne de la dégénérescence des concepts et des moyens de penser le collectif.

Cette façon de faire appel aux experts pour justifier tout et son contraire, ces discours contradictoires, mais surtout ces appels au civisme et ces consignes comme « se laver les mains » ou « bien aérer la fenêtre »… Sans parler de ces lois qui semblent impossibles à respecter – et poussent ainsi à leur irrespect. Ne peut-on pas parler ici d’infantilisation ? Le cas échéant, quelles pourraient être les conséquences d’une telle infantilisation ?

… Depuis le XIXe siècle, l’hygiène publique joue deux rôles au moins qu’il ne faut surtout pas confondre. D’une part elle tend à éviter aux humains de tomber malades grâce à un dépistage et à une prévention des facteurs de risques des maladies.

Et, d’autre part elle tend à se transformer en « bible » des conduites, en « orthographe » des comportements en « pathologisant » les moindres des anomalies de comportement.

La notion « molle » de « troubles du comportement » arrive à point nommé pour séquestrer le plus de monde possible dans des dispositifs de contrôle et de normalisation des citoyens.

La néo-psychiatrie est devenue une hygiène du corps social en vue de contrôler et de normaliser, ce n’est pas la même chose que de dépister les facteurs de risques des épidémies et les moyens de s’en protéger. Ce serait une grave erreur. L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent, au contraire.

Le politique s’est réduit toujours davantage à une « conduite de conduites » rationalisées en vue d’une production économique et industrielle, un « déblocage épistémologique » comme dit Michel Foucault, qui a permis à la médecine d’étendre à l’infini son pouvoir et son champ de compétence en se mettant au service des pouvoirs. C’est cette « médicalisation de l’existence » que Michel Foucault appelle biopolitique, bio-histoire, somatocratie, dans son essai Naissance de la biopolitique. Cet usage social des savoirs médicaux ne doit pas être confondu avec les découvertes et les soins des praticiens.

« Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’“expertise” à laquelle les “experts” se sont livrés au moment de la pandémie. »

L’impression d’infantilisation dont vous parlez est davantage une réaction morale qu’une action politique à la perversion sociale et politique des savoirs médicaux. Ce serait se tromper de cible que de s’en prendre aux mesures sanitaires plutôt qu’au pouvoir en place. Bien au contraire les savoirs médico-biologiques peuvent contribuer à la résistance politique en interrogeant les pouvoirs sur leurs choix décisionnels : pourquoi laisser les grandes surfaces ouvertes et fermer les lieux culturels ? Pourquoi entasser les gens dans des transports en commun et fermer les amphithéâtres ? Pourquoi avoir externalisé la fabrication du matériel sanitaire (masques, tests, respirateurs, médicaments…) en faisant prévaloir les intérêts privés sur le Bien Public ?

L’hygiène publique a aussi, dès la fin du XIXe siècle, servi les intérêts du peuple en obligeant les puissants à reconnaître le rôle des facteurs environnementaux dans la fabrique de maladies (professionnelles en particulier ou le mal-logement).

Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’« expertise » à laquelle les « experts » se sont livrés au moment de la pandémie. Ils n’étaient plus savants, mais « experts » et se sont trouvés associés à la crise d’autorité des politiques. Politiques et experts ont ainsi pris les vices de la « société du spectacle » pour reprendre le concept de Guy Debord. Les informations que les politiques et les scientifiques nous ont offertes se sont transformées en « marchandises » vendues à l’opinion publique à la cantonade des réseaux sociaux et des médias afin d’en capter des parts de marché.

Vous avez beaucoup travaillé sur la question de la normalisation des comportements notamment par l’usage abusif de la raison scientifique, mais aussi par celui des statistiques. Que vous inspire cette façon de faire la politique gouvernée par les statistiques et les modèles ? Peut-on voir là aussi une façon de « nous faire taire » pour reprendre vos mots, de fabriquer du consentement et de l’adhésion, car ce qui a été fait serait fait « pour notre bien » ?

Depuis le début du libéralisme, les pouvoirs politiques ont joué sur deux leviers pour conduire la conduite des citoyens : l’économie et l’opinion au nom desquelles ils rationalisent les comportements et fabriquent des habitus, au sens de Pierre Bourdieu, des schémas de pensée et d’action. La rationalité technoscientifique et les statistiques (qui signifient étymologiquement « en rapport à l’État ») sont au premier plan dans cette manière de gouverner au sein d’un univers désacralisé, désenchanté. De fait, les prescriptions d’hygiène publique apparaissent comme un ensemble de règles établies et codifiées par le savoir médical et scientifique qui sert à réguler socialement la société et à conformer les comportements par une soumission sociale librement consentie, car scientifiquement incontournable. C’est le nouage diabolique qui s’est alors historiquement établi entre le capitalisme (néo)— libéral et les savoirs et les pratiques biopolitiques.

… Il s’agit pour les citoyens de se réapproprier une démocratie confisquée par la technocratie et la propagande de la com’ qui fait de l’information une marchandise. Il faut donc décider, mais pas décider dans un individualisme de masse assassin et suicidaire, non, décider démocratiquement par plus de science, plus de parole et plus de responsabilité.

Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir. La population c’est le peuple moins la politique, un capital humain sans humanité, il faut rétablir l’humanité.

L’opinion publique, c’est le peuple transformé en marchandise, transformé en consommateurs, il faut remettre du politique et dénoncer un pouvoir qui prend ses décisions aux sondages d’opinion !

… La résistance à cette normalisation sociale insidieuse, à cette infantilisation, elle passe par la restitution de la vérité en sciences et en politique, vérité adultérée par le capitalisme néolibéral. Face aux virus et aux épidémies, c’est la fraternité et la solidarité qui prévalent. On ne s’en sortira pas autrement, car nous entrons dans une ère de turbulences, une période de « transition épidémique » dont la pandémie de covid-19 est la sentinelle.11

Avec Roland Gori, relancer la pensée vers de nouvelles utopies – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)


1 Roland Gori est psychanalyste et professeur émérite de psychopathologie à l’université d’Aix Marseille.« Un monde sans esprit. La fabrique du terrorisme », « L’individu ingouvernable », « La dignité de penser », « La santé totalitaire, essai sur la médicalisation de l’existence ».Engagé dans les débats d’actualité de notre société, il plaide notamment pour « des sciences encore humaines » et s’oppose aux « dérives du scientisme » notamment en psychiatrie et plus largement à « l’instrumentalisation de l’humain ».
2 Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu. L’étrange défaite de nos croyances, Les liens qui libèrent, été 2020, 304 pages, 20 €, ISBN : 979-10-209-0864-3.
3  Visioconférence de Roland Gori autour de son dernier livre (appeldesappels.org)4 LA MARSEILLAISE / MARSEILLE / 13/02/2017 | et Jean-François Arnichand

« Politis », n° 1438, du 26 janvier au 1er février 2017.

5 L’Appel des Appels

Nous, professionnels du soin, du travail social, de la justice, de l’éducation, de la recherche, de l’information, de la culture et de tous les secteurs dédiés au bien public, avons décidé de nous constituer en collectif national pour résister à la destruction volontaire et systématique de tout ce qui tisse le lien social.

Réunis sous le nom d’Appel des appels, nous affirmons la nécessité de nous réapproprier une liberté de parole et de pensée bafouée par une société du mépris.

6 [Chronique] Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu, par Jalil Bennani (appeldesappels.org)

7

8 Lire l’ouvrage L’établi de Robert Linhart bouleversant qui raconte ce que représente, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Il montre de manière étincelante le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets, ce que Marx appelait les rapports de production.

9 Lire Kader Attia, un artiste de son temps qui a reçu le Prix Marcel Duchamp en 2016. Ses recherches socioculturelles l’ont conduit à la notion de réparation, un concept qu’il a développé philosophiquement dans ses écrits et symboliquement dans son œuvre.

10 PAR GALAAD WILGOS LE 18 MARS 2022

11 Voir aussi Podcast de France Inter où Roland Gori affirme que « le Progrès est un mirage » et une « doctrine de paresseux »

Tribune de Roland Gori dans L’Humanité : « Je suis en colère »

“Attention au relâchement” : l’infantilisation de masse comme stratégie politique, sur la revue Frustration

Roland Gori et Marie José Del Volgo, 2005, La santé totalitaire. Essai sur la médicalisation de l’existence, Paris, Flammarion, 2008.

R. Gori, De la société d’imposture au courage de la vérité, Conférence à Bordeaux, Colloque 24 février 2021.

Max Weber, 1904-1905, L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, Paris, Pocket, 1991.

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Vera Sharav alerte : résistons tous ; c’est maintenant ou jamais !

Alors que nous célébrions  le 20 août dernier les 75 ans du Code de Nuremberg, Jérémie Mercier  a reçu  Vera Sharav, présidente de l’association « Alliance for Human Research Protection », rescapée de la Shoah qui milite depuis plusieurs décennies pour faire respecter les droits humains dans le cadre de la recherche médicale…


Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 août 2022 | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

MERCI MADAME, VOUS MÉRITEZ TOUT NOTRE RESPECT ET NOTRE RECONNAISSANCE.

LISEZ ET DIGÉREZ LE DISCOURS DE CETTE SURVIVANTE DE L’HOLOCAUSTE QUI NOUS PRÉVIENT DEPUIS DÉJÀ DEUX ANS SUR LES SIMILITUDES ENTRE L’HOLOCAUSTE D’HITLER ET CELUI DE SCHWAB.

DISTRIBUEZ-LE PARTOUT, QUE LES GENS COMPRENNENT ENFIN CE QUI ARRIVE !

L’URGENCE EST À LA PRISE DE CONSCIENCE ET À LA RÉSISTANCE.

« L’Holocauste n’a pas commencé dans les chambres à gaz d’Auschwitz et de Treblinka.
L’Holocauste a été précédé de 9 ans de restrictions progressives de la liberté individuelle et de la suspension des droits légaux et des droits civils.

Le décor a été planté par une propagande alarmiste et haineuse. »

Une série d’édits gouvernementaux discriminatoires et humiliants ont diabolisé les Juifs en les qualifiant de « propagateurs de maladies ». Nous étions comparés à des poux.

(…)

La véritable maladie virale qui a infecté l’Allemagne nazie est l’eugénisme – L’eugénisme est l’idéologie élitiste à l’origine de tous les génocides.

  • L’eugénisme est recouvert d’un manteau de pseudo-science.
  • Il a été adopté par l’establishment académique et médical ainsi que par le système judiciaire — en Allemagne et aux États-Unis.
  • Les eugénistes justifient les inégalités sociales et économiques.
    Ils légitiment la discrimination, l’apartheid, la stérilisation, l’euthanasie et le génocide.
  • Les nazis appelaient cela « nettoyage ethnique » — pour la protection du patrimoine génétique.
  • La médecine a été détournée de sa mission de guérison & a été militarisée.
    D’abord, il s’agissait de contrôler la reproduction par la stérilisation forcée ; ensuite, il s’agissait d’éliminer ceux qui étaient considérés comme des « sous-hommes » (« Untermenschen »).
  • Les premières victimes du meurtre médical ont été 1 000 enfants et jeunes handicapés allemands. Cette opération meurtrière a été étendue à environ 10 000 enfants jusqu’à l’âge de 17 ans.
  • Les victimes suivantes étaient les malades mentaux, puis les personnes âgées dans les maisons de retraite. Tous ces êtres humains ont été condamnés comme des « mangeurs sans valeur ».
  • Dans le cadre de l’opération T-4, des hôpitaux désignés sont devenus des stations d’extermination où diverses méthodes d’extermination ont été testées — y compris le Zyclon B — le gaz qui a été utilisé dans les camps de la mort. » (…)

Les victimes humaines de ce génocide sans précédent étaient 6 millions de Juifs et 9 millions d’autres personnes que les nazis ont déshumanisées en les qualifiant d’« Untermenschen » [Sous-hommes].

Le but des mémoriaux de l’Holocauste est d’avertir et d’informer les générations futures sur la façon dont une société éclairée et civilisée peut se transformer en un univers génocidaire régi par une dépravation morale absolue.

Si nous voulons éviter un autre Holocauste, nous devons identifier les parallèles actuels inquiétants avant qu’ils n’empoisonnent le tissu social.

Depuis l’ère nazie, l’étude de l’histoire et de la plupart des sciences humaines — y compris la philosophie, la religion et l’éthique — a été éclipsée par l’accent mis sur la science et la technologie utilitaires.

En conséquence, peu de gens reconnaissent les similitudes inquiétantes entre les politiques actuelles et celles du régime nazi.

En déclarant l’état d’urgence — en 1933 et en 2020 — la liberté individuelle, les droits légaux et les droits civils protégés par la constitution ont été balayés. Des décrets répressifs et discriminatoires ont suivi. »

(…)

« En 1933, les Juifs étaient la principale cible de la discrimination ; aujourd’hui, ce sont les personnes qui refusent de se faire injecter des vaccins expérimentaux issus du génie génétique qui sont visées. Hier comme aujourd’hui, les dictats gouvernementaux ont été conçus pour éliminer des segments de la population.

En 2020, les dictats gouvernementaux ont interdit aux hôpitaux de traiter les personnes âgées dans les maisons de retraite. Le résultat a été un meurtre de masse.
Les décrets gouvernementaux continuent d’interdire aux médecins de prescrire des médicaments vitaux, approuvés par la FDA ; les protocoles dictés par le gouvernement continuent de tuer.

Les médias sont silencieux — comme ils l’étaient à l’époque.
Les médias diffusent un récit unique, dicté par le gouvernement — tout comme sous les nazis. Une censure stricte réduit au silence les opinions opposées.
Dans l’Allemagne nazie, peu de personnes s’opposaient à ces idées ; celles qui le faisaient étaient emprisonnées dans des camps de concentration.

Aujourd’hui, les médecins et les scientifiques qui remettent en question le récit approuvé sont calomniés, leur réputation est détruite. Ils risquent de perdre leur licence d’exercice et de voir leur domicile et leur lieu de travail perquisitionnés par des équipes d’intervention ». (…)

« La culture génocidaire qui imprégnait le régime nazi n’a pas pris fin en 1945. Elle s’est métastasée aux États-Unis.

À la fin de la guerre, des agents du gouvernement américain ont aidé 1 600 scientifiques, médecins et ingénieurs nazis de haut rang à échapper à la justice de Nuremberg. »

Ces technocrates nazis ont facilité les opérations meurtrières des nazis. Ils étaient les partenaires d’Hitler dans les crimes contre l’humanité. Ils ont été secrètement introduits aux États-Unis dans le cadre de l’opération Paperclip. Ceci en violation des ordres explicites du président Harry Truman.

Ces criminels nazis ont été placés à des postes de haut niveau dans de grandes institutions scientifiques et médicales américaines où ils ont poursuivi leurs travaux.

Qui plus est, ces technocrates nazis ont formé une génération de scientifiques, de médecins et d’ingénieurs américains.
C’est ainsi que les méthodes nazies et le mépris immoral des valeurs humaines se sont enracinés en Amérique.

En 1961, dans son discours d’adieu à la nation, le président Dwight Eisenhower a mis en garde contre la domination croissante du « complexe militaro-industriel » dont « l’influence totale — économique, politique, voire spirituelle — se fait sentir [partout] ».

Eisenhower a averti :

« Nous devons être attentifs au danger que la politique publique devienne elle-même captive d’une élite scientifico-technologique ».

En 1979, un rapport au Président, par la Commission américaine sur l’Holocauste, présidée par Elie Wiesel, survivant d’Auschwitz, mettait en garde :

« … l’inclination à reproduire l’option nazie et à exterminer une fois de plus des millions de personnes reste une menace hideuse »

Ceux qui déclarent que les analogies avec l’Holocauste sont « hors limites » trahissent les victimes de l’Holocauste en niant la pertinence de l’Holocauste.

Le Code de Nuremberg sert de base à la recherche clinique éthique depuis sa publication il y a 75 ans.

La pandémie de Covid est exploitée comme une occasion de renverser les paramètres moraux et juridiques établis par le Code Nuremberg.

Le Code de Nuremberg est notre défense contre les expérimentations abusives. »(…)

« L’humanité est actuellement assiégée par les héritiers mondiaux des nazis.

Une bande de milliardaires mondiaux, impitoyables et interconnectés, a pris le contrôle des institutions nationales et internationales qui définissent les politiques.

Ils se sont lancés dans la mise en œuvre d’un programme diabolique :

  • Renverser la démocratie et la civilisation occidentale ;
  • Dépeupler la population mondiale ;
  • Éliminer les États-nations et établir un gouvernement mondial unique ;
  • Éliminer l’argent liquide et établir une monnaie numérique unique ;
  • Injecter des identifiants numériques et des capacités d’intelligence artificielle dans chaque être humain. Si ces objectifs deviennent une réalité, nous serons surveillés numériquement 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. »

« En mai 2022, au Forum économique mondial de Davos, Klaus Schwab, l’architecte de la Grande Réinitialisation dystopique, a déclaré :
Soyons clairs, le futur ne se produit pas tout seul ; le futur est construit par nous, une communauté puissante ici dans cette salle. Nous avons les moyens d’imposer l’état du monde”. »

« Le but ultime de ces mégalomanes est de prendre le contrôle total des ressources naturelles et financières du monde et de remplacer les humains par des robots transhumains. »

Non, nous ne sommes pas des ANIMAUX PIRATABLES

Selon le vœu de Yuval Noah Harari, Israélien formé à l’Université d’Oxford. Harari partisan du Nouvel Eugénisme et du Transhumanisme et conseiller de K Schwab grand ordonnateur du forum de Davos et du Grand Reset mondialiste.

Harari a déclaré : « Nous avons la technologie pour pirater les humains à grande échelle… »

Les transhumanistes méprisent les valeurs humaines et nient l’existence d’une âme humaine. Harari déclare qu’il y a trop de « gens inutiles ». Le terme nazi était « mangeurs inutiles ».

Lisez le discours de Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 août 2022.

Diffusons le code de Nuremberg qui doit rester notre guide pour revenir à de la vraie science et de la vraie médecine.

La science, en particulier celle de la médecine​,​ est devenue la victime d’une corruption massive, idem pour les études dites « scientifiques ». 

Ils sont en train de viol​er les trait​és, les codes bioéthiques, notamment le serment d’Hippocrate, et les conventions internationales dont OVIEDO. Sous un faux prétexte ils ont déclaré une pandémie. Celle-ci ayant été déclarée pour nous imposer des sanctions liberticides ​et inédites, sans fondement​s​ scientifique​s, ​et ​qui mettent en danger notre santé, en ignor​ant totalement no​tre​ immunité naturelle.[1][2]

Voici les 10 points du code Nuremberg :

Le code de Nuremberg — 1947

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de la capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.
Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens : elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions de l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et tout dommage physique et mental, non nécessaires.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu’elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui font les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience, s’il estime avoir atteint le seuil de résistance, mentale ou physique, au-delà duquel il ne peut aller

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Tous ceux qui violent le protocole de Nuremberg en forçant des personnes à se faire injecter un traitement expérimental quel qu’en soit le prétexte adoptent un comportement nazi et doivent être dénoncés comme tels.

Ne laissons pas se répéter l’histoire.

Résistons !
Résistons à la censure et à la désinformation permanente du gouvernement et des médias en publiant des informations sourcées sur les quelques réseaux sociaux encore libres.

Parlez avec les gens autour de vous pour les informer.
Faites et distribuez des tracts et des flyers.
Affichez la vérité partout où vous le pouvez.
Allez aux manifestations pour défendre les libertés.
Dites non à ce gouvernement totalitaire qui veut détruire notre modèle social, nous imposer des restrictions sévères et nous entraîner vers une guerre qui n’est pas la nôtre.

Résistons !


Le code de Nuremberg prise de conscience bioéthique — AgoraVox le média citoyen[]

Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? — AgoraVox le média citoyen[] Le code de Nuremberg prise de conscience bioéthique — AgoraVox le média citoyen[

Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid ? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine

Analyses: 

 

« Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes loin de la vraie médecine et probablement trop proche des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser sa vie, en tous cas dors et déjà leur vie d’artiste.

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination anticovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans – qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux . On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par big pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. « (…)

Dre Nicole Delépine

Extrait de l’article : Les destins tragiques de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber vont-ils ouvrir les yeux de leurs fans?Mondialisation.ca, le 12 juin 2022.

Michel Chossudodovsky s’entretient avec Dre Nicole Delépine *, pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France.

 

Voir également la vidéo sur le site de LUX MÉDIA

 

Pour aller plus loin :

Les enfants sacrifiés du covid:  génération meurtrie à travers isolement, masque et vax extorqué

 

 

* Nicole Delépine :

Complications des vaccins anticovid 31 MAI 2022

 

publié le 13 FEV SUR NOUVEAU MONDE  Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

Pour faire semblant de combattre le virus Omicron, le ministre de la Santé (?) vient d’annoncer, qu’après l’interdiction du pop-corn dans les cinémas, l’interdiction du casse-croûte dans le train, et l’interdiction de manger ou boire debout dans les bars, il faudra prolonger le port du masque aux enfants à partir de 6 ans dans les écoles pendant huit heures de suite et même dans la cour ou les séances de sport ! Aberration et torture prolongée des enfants !

Mais comment peut-on être aussi peu scientifique et aussi tyrannique ?

Cette mesure ne peut avoir aucun impact positif sur la transmission du Covid.

Ses conséquences délétères sur la santé physique et psychique sont connues.

Ignorance crasse ? Sadisme ordinaire ? Dans l’Histoire, le massacre des innocents n’a été utile qu’à la satisfaction des sadiques.

Quelques déclarations de l’OMS

En juin 2020, le Dr Mike Ryan, directeur exécutif du programme d’urgence sanitaire de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a déconseillé le port d’un masque facial en mars, précisant :

« Il n’y a aucune preuve spécifique suggérant que le port de masques par la population aurait un avantage potentiel.

Il existe des preuves suggérant le contraire dans l’utilisation abusive du port du masque, ou de son l’ajustement incorrect ».[1]

La Dr Maria Van Kerkhove de l’OMS, a recommandé :

« Dans la communauté, nous ne recommandons pas le port de masques sauf si vous êtes malade et comme mesure pour empêcher la propagation de votre part ».[2]

« les essais randomisés ne suggèrent pas un effet bénéfique des masques faciaux »

« Pour les personnes en bonne santé, l’obligation du port du masque est peu susceptible d’arrêter la propagation… ».[3]

En dehors du milieu médical exposé, le masque ne sert à rien.[4]

Au 12/2/2022, la consultation de la base de données médicales américaines PubMed liste 2448 articles répondant aux mots clefs « facial Mask covid ». Parmi ces 2448 articles, aucun ne rapporte d’étude randomisée prouvant que le port généralisé du masque diminue le risque de transmission du covid19.[5][6][7][8][9][10]

Les articles qui prônent l’obligation du masque ne rapportent aucune étude réelle du port du masque par la population générale, mais des simulations reposant sur des hypothèses très incertaines.[11]

Ils se basent sur des expériences de laboratoires mesurant les charges virales autour de malades et les propriétés de filtration des différents types de masques suggérant que le masque pourrait diminuer le risque de contaminations. Leurs conclusions prudemment exprimées au conditionnel sont ensuite reprises à l’affirmatif par les médias et utilisées par les dirigeants à l’appui de leurs décisions tyranniques.

L’utilisation de masques par les malades contagieux qui toussent et par le personnel médical qui les traite est logique, mais même dans ces situations particulières son efficacité réelle n’a pas été établie scientifiquement, singulièrement contre les virus.

La seule étude randomisée (Danmask 19)[12] publiée conclut :

« La recommandation de porter des masques chirurgicaux pour compléter d’autres mesures de santé publique n’a pas réduit le taux d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs ».

L’examen des courbes de contaminations dans les pays qui se masquent montre d’ailleurs que cette mesure n’a aucun effet visible d’atténuation de l’épidémie. Bien au contraire. Ainsi en France le nombre de contaminations journalières n’a jamais été aussi élevé que lorsque le masque a été rendu obligatoire.

La comparaison des contaminations journalières en France masquée et en Suède non masquée confirme l’inutilité de l’obligation des masques.

Alors pourquoi nos dirigeants imposent-ils cette mesure dont l’utilité n’a jamais été prouvée scientifiquement ?

Le masque est une muselière

En réalité les obligations de porter des masques n’ont jamais eu pour but de contrôler le virus — elles ont toujours eu pour but de contrôler les gens.[13]

Le masque constitue un signe de servitude, comme jadis dans l’Empire romain, le collier que portaient les esclaves (mais au moins les colliers d’esclaves ne gênaient pas leur respiration).

L’obligation du masque est encore plus aberrante et scandaleuse chez l’enfant

Le port du masque, inefficace chez l’adulte, est doublement injustifié chez l’enfant, car celui-ci ne craint rien du covid et ne transmet pas la maladie.

Le seul protocole sanitaire réellement justifié à l’école serait la suppression de toutes ces mesures inutiles et toxiques et de demander aux enfants et adultes malades de rester à domicile jusqu’à la fin de la période de possible contagion.[14]

En Suède les écoles sont restées ouvertes sans mesures contraignantes et aucune conséquence nocive sur les contaminations dans la population n’a été observée.[15][16][17]

Les protocoles sanitaires imposés aux enfants français ne constituent donc que des brimades inutiles, sauf pour leur enseigner la soumission.

Le port prolongé du masque est nocif

Il s’accompagne d’une moindre hygiène des mains et d’un contact plus fréquent de celles-ci avec le visage créant ainsi une nouvelle voie de transmission possible en plus d’autres effets insupportables.

Maux de tête

Une étude randomisée japonaise de 2009 conclut :

« Les sujets masqués étaient significativement plus susceptibles de souffrir de maux de tête pendant la période d’étude ».

Un article de 2014[18] rapporte qu’environ un tiers des travailleurs avait des maux de tête avec le masque, la plupart avaient des maux de tête préexistants qui étaient amplifiés et 60 % avaient besoin d’analgésiques pour les soulager.

En mai 2020, une étude[19][20] a observé que 81 % des soignants qui portaient un masque développaient des maux de tête, certains avaient des maux de tête préexistants qui étaient aggravés par les masques, et tous avaient l’impression que les maux de tête affectaient leur performance au travail.

Le port prolongé du masque entraîne une hypoxie

la plupart des études montre que les masques peuvent provoquer une hypoxie et une hypercapnie.

En 2008, des chercheurs ont mesuré l’effet des masques faciaux sur 53 chirurgiens à l’aide d’un oxymètre avant et à la fin des interventions. Ils ont découvert que le masque réduisait les niveaux d’oxygène dans le sang proportionnellement à la durée de port du masque.

Chaque jour ou presque, des professionnels de diverses spécialités insistent sur les inconvénients spécifiques à leur domaine. Les dentistes sont inquiets.

Le docteur François Thibault, de la Baule, rappelle que le port du masque nous fait passer en respiration buccale, perturbant notre respiration.

« le flux d’air étant insuffisant par des narines couvertes et les conséquences néfastes sont nombreuses. L’air n’est plus suffisamment réchauffé et dépoussiéré comme il doit l’être lors du passage normal dans les fosses nasales avant d’arriver aux poumons. Le sang chaud qui arrive du cerveau n’est plus refroidi au contact de cet air froid. Notre cerveau surchauffe et fatigue. »

« Nous nous auto-intoxiquons par le gaz carbonique que nous rejetons dans le masque. L’hypercapnie, terme scientifique qui désigne une trop forte concentration de CO2 dans le sang, constitue un vrai risque pour le cerveau qui consomme à lui seul 20 % de l’oxygène total qui rentre par les poumons. Les conséquences peuvent aussi conduire à une dépression du système nerveux central, une élévation de la fréquence cardiaque, des sautes d’humeur et de fatigue, des nausées, des vomissements, jusqu’à la perte de conscience ».

« Il est important de respecter au moins 2 pauses par jour de 10 minutes en extérieur, dit-il. La pause est plus facile pour les adultes qui peuvent sortir quelques minutes, voire faire une pause cigarette. Les petits sont à la merci de leurs enseignants souvent terrorisés victimes de la propagande des médias et de leurs syndicats ».

« Par la respiration buccale, nous asséchons notre bouche et raréfions la salive protectrice des dents et des muqueuses ».

Les ophtalmologistes observent des conjonctivites rebelles à tout traitement chez les porteurs de lunettes. L’air inspiré peut-être chargé de microscopiques fibres constituantes des masques dont le marquage « CE » ne garantit pas complètement l’innocuité et qui viennent coloniser les alvéoles pulmonaires, portes ouvertes aux futurs problèmes respiratoires graves.

Le dentiste alerte sur les « néfastes conséquences du port du masque dont on mesurera peut-être les conséquences dans quelques années, comme on l’a fait trop tard pour l’amiante ».

Les orthophonistes insistent aussi sur le rôle physiologique de la respiration nasale interdite par le masque.

« La respiration buccale pose de nombreux problèmes : abolition du rôle du nez dans le filtrage des virus et bactéries, sécheresse buccale, halitose (mauvaises odeurs) et caries, dysharmonie du développement de la mâchoire et du visage.

La respiration buccale court-circuite le rôle de filtrage préventif du nez. »

Mais de plus :

« la respiration buccale a un retentissement sur la croissance de la sphère faciale. Lorsque la respiration est nasale (normale), la langue modèle l’arcade supérieure en y prenant une grande place. C’est ce qui permet une croissance harmonieuse de la face (palais large, dents alignées). Lorsque la respiration est buccale, la langue est positionnée sur le plancher de la bouche, elle ne joue pas son rôle d’expansion de l’arcade supérieure. Le palais reste étroit, les dents avancent, le visage grandit en longueur, les os et les muscles de la face se développent de façon disharmonieuse[21]. La sécheresse buccale entraîne une déshydratation des cordes vocales provoquant des hemmages (raclement de la gorge) et des tensions, crispation des muscles des organes phonateurs qui, à long terme, peuvent créer des nodules, voire des polypes et par conséquent une dysphonie. La désorganisation du mécanisme respiratoire peut entraîner un essoufflement et des forçages vocaux[22] débouchant également sur des dysphonies ».

« Le port du masque impacte de manière non négligeable les apprentissages du langage, de la lecture, la construction des émotions, les comportements des enfants mais aussi la vue ou encore le développement des fonctions oro-myo-faciales ».

Pour l’environnement, l’obligation généralisée du port du masque est une catastrophe créant chaque année en France près de 50 000 tonnes de déchets non recyclables potentiellement contaminés.[23]

Il ressort de cette revue de la littérature qu’il n’y a pas de preuves que le port d’un masque de quelque nature que ce soit ait un impact significatif sur la prévention de la propagation du virus.

Au contraire, il existe de nombreuses preuves que le port continu d’un masque facial peut provoquer des maux de tête, une hypercapnie et une hypoxie et peut rendre l’infection beaucoup plus grave.

Le devoir du médecin

En plus de protéger la santé de leurs patients, les médecins doivent également fonder leurs actions sur la Déclaration de Genève de 1948, révisée en 2017 selon laquelle, chaque médecin s’engage à mettre la santé et la dignité de son patient au premier plan et, même sous la menace, de ne pas utiliser ses connaissances médicales pour violer les droits de l’homme et les libertés civiles.

Dans le cadre de ces constatations, nous propageons donc une action explicitement médicale, tenant compte de la réalité factuelle scientifique contre la prétendue efficacité générale des masques, et des effets individuels indésirables pour les porteurs de masque.

Si vous n’êtes pas malade, ni au contact direct prolongé de malades, jetez votre muselière qui ne constitue qu’un instrument d’apprentissage à la soumission comme étudie le dernier livre de Roland Gori, « la fabrique de nos servitudes ».[24]

 

 

  1. https://twitter.com/WHO/status/1244639057398902785[]
  2. https://www.cnn.com/2020/03/30/world/coronavirus-who-masks-recommendation-trnd/index.html[]
  3. https://www.businessinsider.com/who-no-need-for-healthy-people-to-wear-face-masks-2020-4[]
  4. Pour protéger les malades des germes que pourraient leur passer les soignants et non pour les virus qui ne sont pas stoppés par toutes les sortes de masques.[]
  5. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19216002/[]
  6. https://www.cambridge.org/core/journals/epidemiology-and-infection/article/face-masks-to-prevent-transmission-of-influenza-virus-a-systematic-review[]
  7. [7] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/j.1750-2659.2011.00307.x[]
  8. [8] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2749214[]
  9. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/jebm.12381[]
  10. https://www.qeios.com/read/1SC5L4[]
  11. halte aux prophètes ! Analysons les faits, stoppons la Peur — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  12.  Bundgaard H et al. Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Clinical Trial. Annals of Internal Medicine 2020[]
  13. Les mystères du masque, entre déraison, soumission, panique et contagion (francesoir.fr) juin 2020[]
  14.  Comme on l’a toujours fait en cas de grippe ou d’autre maladie contagieuse.[]
  15. Vlachos J, Hertegård E, B Svaleryd H. The effects of school closures on SARS-CoV-2 among parents and teachers. Proc Natl Acad Sci U S A. 2021 Mar 2;118(9):e2020834118. doi : 10.1073/pnas.2020834118. PMID : 33574041 ; PMCID : PMC7936333.[]
  16.  School closures and SARS-CoV-2. Evidence from Sweden’s partial school closure
    Jonas Vlachos, Edvin Hertegård, Helena Svaleryd medRxiv 2020.10.13.20211359; doi: https://doi.org/10.1101/2020.10.13.20211359 Proceedings of the National Academy of Sciences doi: 10.1073/pnas.2020834118[]
  17.  Jonas F. Ludvigsson, MD, Ph.D. Karolinska Institute, Stockholm, Suède Écoles ouvertes, Covid-19 et morbidité des enfants et des enseignants en Suède N Engl J Med 2021 ; 384 : 669-671 DOI : 10.1056/NEJMc2026670[
  18. https://medcraveonline.com/JLPRR/effects-of-long-duration-wearing-of-n95-respirator-and-surgical-facemask-a-pilot-study.html[
  19.  https://bmcpublichealth.biomedcentral.com/articles/10.1186/1471-2458-12-106[
  20. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32232837/[]
  21. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20129889/[]
  22. http://chinois.discipline.ac-lille.fr/quoi-de-neuf/revue-de-presse/2020-11-mgen_livret_voixmasque_novembre2020-1[
  23. ] Virus, champignons, bactéries[]
  24. Editions Les liens qui libèrent[]

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Complications des «pseudovaccins » anticovid 4 mars v 10 Mars

 

La CPAM  recommande à nouveau l’injection de petits alors qu’ils sont à risque zero du covid et ne transmettent la maladie ni aux autres enfants ni aux adultes

 

cet acharnement doit etre dénoncé partout pour sauver des enfants dont les familles n’auraient pas été informées

 

diffusons les infos via de simples tracts à mettre dans des boites aux lettres etc..

enfants et covid 1 MARS 22

 

Les mensonges sur la gravité prétendue du  covid chez l’enfant relève d’une stratégie marchande qui a pour but in fine de pousser parents et enfants à l’injection génique et à conditionner la jeunesse à la soumission à la chinoise

 

informons nous pour mieux résister

 

Les masques, torture prolongée des enfants 1 MARS SITE

 

présentation au cours  d’une conférence le 27 FEV  ASSOCIATION AMETIST

CHEZ LA PRESIDENTE

 

commentaires sur le livre dénonçant le sacrifice injustifié et scandaleux des enfants

diaporama confinement du 27 2 22

 

à l’occasion d’une réunion de l’association AMETIST  chez sa présidente, nous avons fait le point sur différents aspects de la crise covid19 ET de ses conséquences particulièrement chez les enfants et les jeunes

 

ici se trouve le diaporama à propos des conséquences délétères des confinements  (cliquez sur le lien)

 

et les développements et la bibliographie détaillée dans nos livres sur le sujet

 

 

Delépine, Les enfants sacrifiés Covid

 

  • LES MILLIONS DE TESTS IMPOSES AUX ENFANTS
  • EN L’ABSENCE DE GRAVITE ET DE MORTALITE ¨DU VARIANT OMICRON
  • SONT UNE ARME POUR ALIMENTER LA PEUR
  • ET CONDUIRE LES PARENTS
  • A L INJECTION GENIQUE DANGEREUSE ET INUTILE

 

  • Refusons les tests PCR et le pseudovax inutiles et dangereux

 

 

Doctothon Spécial Enfants : Nicole DELÉPINE Pédiatre et cancérologue à la retraite – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)