Propagande Covid délirante pour des masques inefficaces

07/12/2022 (2022-12-07)

Par Dr Gérard Delépine

Depuis quelques jours le gouvernement et les médias tentent de raviver la peur à l’aide d’une épidémie de tests et de réimposer le port de masques alors que l’expérience des 30 mois d’épidémie a prouvé :

  • 1°) Que chez les asymptomatiques les tests ne servent à rien ;
  • 2°) Que le port généralisé du masque n’empêche pas les contaminations.

Rappelons que l’évolution d’une épidémie se mesure seulement aux nombres de malades et de morts et que les masques sont incapables de limiter la progression des épidémies virales.

Il n’y a plus d’épidémie Covid menaçante en France

Pour surveiller objectivement l’évolution d’une épidémie, il faut se fier uniquement au nombre de malades (personnes qui souffrent de symptômes) et au nombre de décès quotidiens occasionnés par la maladie.

Dans le monde, l’épidémie covid est en voie d’extinction : le premier décembre 2022 d’après l’OMS moins de 800 décès lui ont été attribués (0,4 % de la mortalité toutes causes confondues) :

Le ministre tente d’effrayer la population en agitant l’augmentation des cas, personnes asymptomatiques qui ont eu le malheur de faire un test PCR revenu positif. Mais un test positif ne signifie pas que l’on est malade du covid, ni porteur de virus, ni contaminant12.

Chez les asymptomatiques, les tests PCR réalisés avec plus de 30 séquences d’amplification sont des faux positifs dans 97 % des cas34.

Le réseau sentinelle5 estime l’incidence des malades covid à 57 cas pour 100 000 très loin des seuils d’alerte6 alors qu’elle dépasse les 300/100000 pour la grippe actuellement en poussée épidémique saisonnière.

De même, la mortalité covid pourtant largement surestimée diminue depuis plus de 6 mois et atteint à peine le quinzième de ce qu’elle était en mars 2020 :

Le 2 12 2022 le directeur de l’OMS a déclaré7 « L’OMS estime qu’au moins 90 % de la population mondiale présente actuellement une certaine forme d’immunité face au virus SARS-CoV-2 ». 

Ne craignez pas l’épidémie de tests PCR faux positifs que nos gouvernants et les médias agitent ! En France comme partout dans le monde la maladie ne tue presque plus.

Le masque est incapable d’empêcher les contaminations virales8 9

Le Dr Colin Axon, membre du conseil scientifique britannique (Scientific Advisory Group for Emergencies ou SAGE)10 a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pas grand-chose pour freiner la propagation du covid, rappelant que la taille du virus COVID-19 est 5 000 fois plus petite que les trous des masques et précisant :

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers ».11

Le port généralisé du masque ne protège donc pas de la contamination virale. L’analyse des 3365 articles de la littérature internationale référencés sur PubMed le 1/12/2022 sous la dénomination « facial mask for Covid » confirme ce fait : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque en population générale protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui et beaucoup démontrent le contraire12.

L’exemple du Brigham and Women’s Hospital de Boston qui a souffert d’une forte poussée de covid-1913, malgré l’emploi systématique des équipements de protection dont les masques, est révélateur.

L’exemple du Meir Medical Center 14 est encore plus frappant, car, outre le port de masques, 92 % des contaminés avaient reçu deux doses de Pfizer. De même le port du masque chez 30 074 athlètes du Visconsin15 s’est révélé inefficace.

Dans le comté texan de Brexar16 :

« Il n’y a pas eu de réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs des patients positifs au COVID-19 attribuable à la mise en œuvre d’une obligation de port de masques ».

L’étude de Zacharias Fögen, comparant au Kansas (États-Unis) les 17 districts qui imposaient le port du masque aux non masqués (88) entre le 1er août et le 15 octobre 2020, conclut :

« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50 % par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure. »

et envisage le mécanisme par lequel le port du masque agit. 17

Initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, conclusion tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté18 19 20 21 22.

La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une revue de simples études observationnelles qui concluaient au conditionnel : « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». En recommandant le masque, l’OMS reconnaissait d’ailleurs :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité ».

Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour éviter de s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévenait :

« Le masque peut créer un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais, même dans ces conditions particulières à haut risque, il n’existe pas d’étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination23.

La seule étude prospective randomisée évaluant l’utilité du port du masque généralisé contre le covid, Danmasq1924 25, pourtant réalisée par des partisans du port du masque, ne retrouve aucune baisse significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas : le masque ne protège pas celui qui le porte.

Le Dr Fauci, interrogé sous serment le 23 novembre 2020, n’a pu présenter aucune étude qui plaiderait pour l’utilité des masques26. Le procureur général du Missouri, Éric Schmitt, présent lors de la déposition dans le Maryland, a confirmé sur les médias sociaux que le Dr Fauci « ne pouvait pas citer une seule étude » pour étayer son affirmation selon laquelle les masques étaient efficaces contre le Covid-19.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, et sur l’avis d’experts « qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique concrète.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques, habituées au masque, seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens.

Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations Omicron par million d’habitants en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque interdit seulement lors des manifestations27) montre que le masquage généralisé de la population asiatique n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations est deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

Comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire honnêtement en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune démonstration scientifique, et que de nombreux faits avérés, militent pour son inefficacité ?

En réalité le masque, parfaitement incapable de limiter les contaminations covid, ne constitue qu’une muselière symbolique des pouvoirs désireux de contrôler leur population28.

Si les obligations de port du masque ont été si largement imposées par les politiciens, c’est que le masque représente une forme visible du théâtre d’hygiène, qu’il véhicule un sentiment intuitif de sécurité et transfère la responsabilité du contrôle de la pandémie sur la population.

La surpopulation des unités de soins intensifs peut être ainsi imputée au mauvais comportement des « anti-masques », plutôt qu’à l’allocation insuffisante et mal ciblée des ressources par les gouvernements et les bureaucrates des hôpitaux. Lorsque les cas et les décès augmentent, c’est la faute des citoyens, pas des dirigeants.

Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et doit être respecté, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux et particulièrement nocifs chez les enfants innocents du covid.

Le port généralisé du masque est source de nombreuses complications29

Au 5 décembre 2022, la base de données PubMed recense 1118 articles décrivant des complications du port de masques faciaux. Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

Une rapide revue des articles publiés30 31 32 33 34 35 met en évidence les cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente.

Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI. La symptomatologie varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %).

Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques. Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène, la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et coll.36 ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans. Kisielinski K et ses coauteurs37 montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Les complications physiologiques, psychologiques et sociales associées au port du masque sont nombreuses. La perception des émotions est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère. La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique.

Les enfants en sont particulièrement victimes38 39.

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage de la reconnaissance des émotions et de la parole est particulièrement menacé. Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui. En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ?

Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent. Les orthophonistes sont débordés40.

La brimade inutile du masque a suscité le mouvement « Saturnay burning » (« brûlez les masques ») qui a enflammé l’Idaho41.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge où ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.

Les troubles psychologiques et psychiatriques sont favorisés par le port du masque, facteur de stress et de morosité..

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque.

Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux lits de psychiatrie générale à l’hôpital (atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS) et fuite des psychiatres de l’hôpital public (30 % des postes de titulaires sont vacants).

Les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes. Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province. D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.

Les masques usagés constituent aussi un fléau pour la planète et les animaux42 43

Les masques à usage unique sont jetés sur les trottoirs, dans les rivières et sur les plages de tous les pays où ils ont été rendus obligatoires dans les espaces publics. Fabriqués à base de polyester et polypropylène, ils peuvent mettre plusieurs centaines d’années avant de se décomposer et menacent l’environnement et les animaux.

Avoir imposé une telle mesure si totalement inutile, si inconfortable, si toxique en particulier pour les jeunes est une véritable barbarie. Et s’être inspiré pour notre stratégie Covid de celle de la Chine est malheureusement révélateur des valeurs démocratiques de nos dirigeants.

Vive nos libertés. À bas les masques !


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 V. De Marval de l’AFP, les tests PCR faux positifs sont légion !

05/12/2022 (2022-12-05)

Par Dr Gérard Delépine

Dans une tribune trompeuse de l’AFP1 Mme V. De Marval prétend que « la spécificité des tests PCR rendrait rarissimes les résultats faux positifs ».

Certes on ne peut pas reprocher à cette personne, probablement non-médecin, de ne pas savoir ce qu’est un faux positif, mais il est dommage que cette « fast checkeuse » embauchée par l’AFP claironne de manière si péremptoire une telle désinformation. Si elle avait effectué un travail de journaliste et consulté la littérature internationale au lieu de répéter de simples avis de fabricants de tests ou de virologues liés à l’industrie des vaccins, elle aurait certainement été plus prudente.

Car la littérature internationale (consultable par tous et gratuitement sur Pubmed) et les avis récents de l’OMS confirment que les tests PCR faux positifs sont très fréquents.

Qu’entend-on par « test PCR faux positif » ?

On définit comme faux positif un test positif alors que la personne testée ne porte pas le virus, et ne peut donc ni donner des cultures virales actives ni excréter le virus, donc ni contaminer personne ni devenir malade dans les jours qui suivent.

Dans le cas où le résultat est utilisé pour avertir du danger de contamination (détection des personnes contaminantes), un faux positif est une fausse alarme2 dont les conséquences sont lourdes tant pour la personne testée (mise en quarantaine ou en arrêt de travail) que pour le fonctionnement de la société (privée inutilement d’une personne active) et les proches inutilement inquiétés.

Or de nombreux articles signalent la fréquence des faux positifs :

« Jusqu’à 54 % des patients COVID-19 peuvent avoir une RT-PCR initiale faussement négative »3 dès 2020.

Un trop grand nombre de séquences d’amplification crée des faux positifs

Une étude parue en 20204 a montré que la prédiction de l’infectiosité, affirmée par la capacité à récupérer le virus en culture selon le postulat de Koch, est considérablement altérée lorsque les valeurs du seuil de cycle (Ct) sont supérieures à 24.

AVIS DE L’OMS

« L’OMS rappelle d’ailleurs5 dans son document d’orientation sur les tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 que « les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence. La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente… »

L’étude de 3790 tests positifs chez des asymptomatiques6 a montré qu’un test positif obtenu avec le nombre trop élevé de cycles d’amplification, supérieur à 30 (comme cela est habituellement pratiqué en France) est faux dans 97 % des cas. Cette étude de Jafar and co de juin 2021 aurait dû clore le débat…

ÉTUDE DE WUHAN SUR DIX MILLIONS DE TESTÉS

Le dépistage réalisé autour de Wuhan (10 millions de testés)7 a démontré que les tests de dépistage chez les asymptomatiques étaient médicalement inutiles : 300 personnes asymptomatiques ont été testées PCR positives. Leurs cultures de virus, systématiques, ont toutes été négatives ; aucun de ces cas n’a été malade et aucun n’a contaminé quiconque. La Chine n’inclut d’ailleurs pas les cas asymptomatiques dans son décompte des infections confirmées. Tous ces articles ont été largement diffusés de par le monde et la France n’en tient toujours aucun compte. Pourquoi ?

LA FDA VIA LES CDC ORGANISMES OFFICIELS DES USA DEMANDE DE RENONCER AUX TESTS À PARTIR DE DÉCEMBRE 2021

Nous sommes fin 2022 !

Le CDC lui-même a déclaré en juillet 2021 que les tests PCR classiques ne devaient plus être utilisés au-delà du 31/12/2021.

« Après le 31 décembre 2021, le CDC retirera la demande d’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (EUA) auprès de la Food and Drug Administration (FDA) du kit de diagnostic RT-PCR en temps réel du nouveau coronavirus (2019-nCoV), le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement. Le CDC fournit cet avis préalable afin que les laboratoires cliniques disposent de suffisamment de temps pour sélectionner et mettre en œuvre l’une des nombreuses alternatives autorisées par la FDA ».89

La cour d’appel de Lisbonne avait d’ailleurs rappelé dès 2020 dans un jugement10 qui fait jurisprudence dans ce pays que « le diagnostic de Covid ne pouvait en aucun cas être affirmé sur la positivité d’un test PCR, mais devait être établi par un médecin après examen clinique éventuellement complété par des examens complémentaires » ordonnant la libération immédiate de touristes allemands mis en quarantaine sur un la foi d’un test PCR faussement positif.11

En l’absence de symptômes les tests PCR sont trompeurs et rendent donc les dépistages généralisés inefficaces, trompeurs, voire nuisibles. Ils ne servent qu’à créer et à entretenir la peur d’une épidémie fantôme dans la population et leur instrumentalisation a causé d’énormes dommages à la société (tant économiques que psychologiques en particulier).

Quand la maladie est rare, les faux positifs sont légion

Or quand ce que l’on recherche est rare, et que le test utilisé n’est pas parfaitement spécifique, il est généralement beaucoup plus probable qu’un cas déclaré positif soit en réalité un faux positif.

En médecine, plus une maladie est rare, plus le risque de surdiagnostic est élevé. Ainsi, si l’on teste 1000 personnes au hasard avec un test produisant 5 % de faux positifs, on annonce à 50 personnes que le test est positif. Si la maladie ne touche que 1 personne sur 1 000 dans la population générale, on peut montrer par le théorème de Bayes que la personne n’a en moyenne que 2 % de chances d’être effectivement atteinte (donc on l’annonce à 51 personnes dont une seule est atteinte).

Dans l’avis précédemment cité, l’OMS a attiré l’attention sur la fréquence des faux positifs lorsque la prévalence de la maladie est faible.

« L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente12. Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. »

Cet appel à la prudence est rappelé dans beaucoup des 783 articles référencés par Pubmed le 3/12/2022 en réponse à la recherche « false positive covid test » dont nous citerons quelques conclusions :

« Les tests disponibles doivent être interprétés à la lumière de l’incidence de fond de l’infection par le SRAS-CoV-2 dans les communautés dans lesquelles ils sont utilisés, afin de minimiser le nombre de faux cas positifs. »13

« On ne sait pas s’ils sont contagieux, car un test positif de transcriptase inverse – réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR) n’indique pas nécessairement la présence de virus réplicatif et transmissible »14.

« La validité incertaine des tests de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse combinée à une population à faible prévalence prédispose à des résultats faussement positifs »15.

Or dans le monde l’épidémie s’éteint, représentant au 1/12/22 moins de 0,05 % de la mortalité globale (800 morts de covid sur les 1,8 million de décès mondiaux quotidiens).

Fin novembre 2022, l’incidence du Covid19 en France était faible : le réseau sentinelle officiel l’estimait la semaine dernière (2022s47) à 57 cas pour 100 000 habitants. Pour une spécificité de 97 % dépister par tests PCR 100 000 habitants aboutirait à annoncer à 3057 personnes qu’elles sont positives (3000 tests faussement positifs et 57 malades) avec des conséquences directes pour 88 % des testés et indirectes pour le reste de la population à laquelle la propagande annoncerait une incidence de 3057 pour 100 000.

Les faux positifs sont responsables de dommages individuels et sociétaux importants16

Pour l’individu

Complications sanitaires lors de tests effectués avant des procédures ou des chirurgies électives : annulation ou report inutile du traitement ou lors d’admissions urgentes à l’hôpital 17: exposition potentielle à une infection suivant une mauvaise voie en milieu hospitalier en tant que patient hospitalisé. Mais aussi : pertes financières liées à la mise autoritaire en quarantaine ou à l’auto-isolement, aux pertes de revenus et aux voyages annulés, ou dommages psychologiques dus à un diagnostic erroné ou à la peur d’infecter les autres, à l’isolement ou à la stigmatisation.

Pour la société

Gaspillage de l’argent public et des ressources humaines employées pour les tests et la traçabilité, coût des remplacements en milieu de travail, pertes commerciales diverses,

Mauvaise performance épidémiologique surestimation de l’incidence de la COVID-19 et de l’étendue de l’infection asymptomatique ainsi que le souligne Kumleben 18

« Donner de fausses assurances sur lesquelles des décisions personnelles ou sociétales pourraient être fondées pourrait être préjudiciable pour les individus, saper la confiance du public et favoriser de nouvelles épidémies. » 19 « Nous démontrons la valeur de la déclaration de la probabilité de résultats faux positifs, de la probabilité de résultats faux négatifs et des coûts pour les patients et les soins de santé. »

Performances de diagnostic trompeuses, pouvant conduire à des décisions d’achat ou d’investissement erronées si un nouveau test montre des performances élevées en identifiant des échantillons de référence négatifs comme positifs (c’est-à-dire, s’agit-il d’un faux positif ou le test montre-t-il une sensibilité plus élevée que les autres tests de comparaison utilisés pour établir la négativité de l’échantillon d’essai ?)

Mauvaise orientation des politiques concernant les confinements, les diverses restrictions d’activité et les fermetures d’écoles avec leurs conséquences délétères.

Augmentation de la dépression et de la violence domestique (par exemple, en raison du confinement, de l’isolement et de la perte de revenus après un test positif).

Non Mme de Marval, et l’AFP, les résultats faux positifs ne sont pas rarissimes, mais au contraire de plus en plus nombreux et ont causé des dommages sanitaires et économiques considérables aux individus et à la société.

Avant d’affirmer une telle contre-vérité, vous auriez dû faire un travail de journaliste défini par Charte mondiale d’éthique des journalistes20 : enquêter à charge et à décharge, consulter la littérature internationale et interroger ceux qui ont publié des articles démentant vos croyances dans des revues à comité de lecture.

À quelles fins de tels mensonges ?


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Refuser la marche forcée pour injecter petits et femmes enceintes par un médicament génique expérimental

03/12/2022 (2022-12-03)

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

En Californie, l’échec du gouvernement et des associations provax à faire vacciner les enfants malgré toutes leurs pressions et leur propagande nous réjouit. Le mythe covid commence à ne plus fonctionner, même dans les pires États comme la Californie ou New York qui réintègre et indemnise les suspendus, soignants et autres.

« Contrairement aux prévisions de Rochelle Walensky, directrice du centre de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), il semblerait que la vaccination des enfants suscite peu d’engouement. À ce jour, près de 70 % des enfants américains âgés de 5 à 11 ans ne sont toujours pas vaccinés. En Californie, l’Association médicale de Californie, l’Académie américaine de pédiatrie, l’Académie californienne des médecins de famille et la Coalition californienne pour l’immunisation ont demandé à tous les prestataires de services pédiatriques de recommander la vaccination contre le Covid-19 et la grippe pour protéger les enfants. Pourtant jusqu’à ce jour, aucun variant agressif pour les enfants n’est apparu. Aussi est-on en droit de s’interroger sur les raisons réelles de cette propagande pour la vaccination, qui soulève de nombreuses questions. »1

Des chiffres d’origine incertaine sans mise en perspective pour effrayer les parents : « Selon l’Association médicale de Californie et ses partenairesmême si les cas de Covid-19 grave sont rares chez les enfants, la maladie a causé 122 000 hospitalisations et 1500 décès aux États-Unis. On aimerait connaître la source de ces données, car parmi les 0-17 ans, malgré de fortes incertitudes2 au 1/12/2022, le CDC recensait moins de 1000 décès attribués au covid3.

Pour illustrer le faible risque vital  que courent les enfants avec le covid19   le Dr Daniel Rauch, chef du service pédiatrique au Tufts Children’s Hospital de Boston prend en exemple la coupe du monde :

« Pensez-y en termes de stades de football : sur 100 000 enfants, l’un d’eux ne s’en sortira pas avec COVID. Tous les autres qui sont entrés vont sortir. »

De plus, on aimerait aussi vérifier les dossiers médicaux pour voir si ces petits sont morts malades du covid ou le plus souvent morts d’une autre cause avec seulement avec un test PCR positif comme la Société française de pédiatrie a pu le démontrer en France :

« Pour 21 décès avec une investigation qui a pu être menée à son terme, il a été retrouvé pour 17 enfants des comorbidités très sévères »… “dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie ».

Enfin, ce chiffre étonnamment élevé de 50 morts d’enfants par mois brandi par l’association médicale de Californie doit être comparé aux autres causes de décès d’enfants aux USA : par arme à feu : 358 par mois4, par accident de la route : 325 par mois. La troisième cause de décès est la mort par surdose et empoisonnement et en 2021, le National Cancer Institute estime que 15 590 enfants et adolescents âgés de 0 à 19 ans ont souffert de cancer et que 1800 en sont morts,5 permettant de chiffrer à 150 le nombre mensuel moyen de décès d’enfants par cancer.

Chacun avertit, mais il y a encore trop de sourds et aveugles au danger encouru par l’Humanité.

👉IMPARDONNABLE – 125 enfants morts, 1 000 handicapés et 50 000 lésés à cause de la vaccination Covid-19 aux USA au 3 juin 2022

« Les derniers chiffres publiés par les Centres américains de contrôle des maladies révèlent que 50 000 enfants ont été affectés par la vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis. Malheureusement, 1 112 de ces enfants ont souffert d’une complication mettant leur vie en danger ou d’un handicap permanent, tandis que 125 autres enfants ont malheureusement perdu la vie. »6

LES PARENTS OUVRENT LES YEUX 7 ET LES MENSONGES ACCUMULÉS SUR L’INJECTION COVID JETTENT LE TROUBLE SUR LES AUTRES VACCINS

16/11/2022

Dr McCullough (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/9495) explique à Robert Kennedy Jr (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6891) que les parents sont beaucoup plus réticents à faire des vaccins depuis le “désastre de l’injection Covid19” :

« On a ouvert la boîte de Pandore et les gens examinent tous les vaccins avec attention. Et nous comprenons le sens d’essais de contrôle appropriés. Nous voyons maintenant des vaccins administrés pour des maladies facilement traitables comme la coqueluche ou la diphtérie et nous assistons maintenant à une attaque incroyable ! Nous voyons maintenant des enfants recevoir plus de 17 injections. Quand j’étais petit, il n’y en avait que 3 ! Et il y a probablement eu une attribution inappropriée du succès de ces vaccins.

Ainsi, même certains des premiers succès jamais revendiqués par les vaccins sont probablement davantage attribuables à l’assainissement ou à d’autres formes de soins médicaux.

Donc, ce qui se passe maintenant, c’est qu’ils avaient l’habitude de recenser un taux de réticence à la vaccination ce qu’on appelle : ‘l’hésitation aux vaccins’ aux États-Unis. Ce taux était d’environ 2,5 % de la population avant. Actuellement, du fait des mensonges permanents constatés par la population, la confiance en la parole de l’état a fortement chuté et l’hésitation aux vaccins dépasse les 25 %.

J’ai fait une excellente interview avec le Dr Sherri Tenpenny (https://www.tenpennyimc.com/sherri-tenpenny-bio) récemment.

Moi je suis un médecin entièrement vacciné et elle est un médecin entièrement non vacciné, elle n’a jamais pris un seul vaccin de sa vie !

Nous avions donc deux perspectives différentes, mais ce sur quoi nous nous sommes mis d’accord, c’est que les vaccins, comme toute thérapie médicale, méritent une réévaluation dans le temps.

Rien n’a de permanence, rien n’a de talisman, rien n’a une existence basée sur la foi. Tout a un état dans le temps. Les médicaments que nous utilisons maintenant ne sont pas les mêmes que ceux que nous utilisions l’année dernière. Et si les médicaments sont retirés, les vaccins devraient être retirés. Tout doit faire l’objet d’une évaluation critique.

Et la catastrophe du vaccin Covid-19 a ouvert la boîte de Pandore et maintenant, selon des estimations récentes, environ 30 % des parents sont maintenant très préoccupés par l’ensemble du calendrier vaccinal. »8

MORTINAISSANCES AVOUÉES EN AUSTRALIE

Voici un graphique intéressant sur les mortinaissances australiennes. Pourquoi y aurait-il un bond aussi astronomique des mortinaissances à partir de 2021-2022 ?

AUX USA, FAUSSES COUCHES ET MORTALITÉ PÉRINATALE IMPORTANTES

Même si VAERS est connu pour avoir supprimé de grandes quantités de données rapportées, celle-ci affiche encore suffisamment de chiffres pour susciter de sérieuses inquiétudes.9

VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports

LA DUPERIE COMMENCE À ÊTRE RÉVÉLÉE : SCOOP !

Les remarques du Dr Bourla sur le vaccin des enfants étaient « honteusement trompeuses » et « de nature extrêmement promotionnelle » 10

ET LA MORTALITÉ GLOBALE AUGMENTE

🔵🌍Nos enfants meurent du vaccin covid

Les données recueillies dans 24 pays montrent le dépassement de surmortalité.

Dépassement du pic hebdomadaire des enfants de 0 à 14 ans :
215 morts en 2020

Autorisation vaccinale des enfants de 12 à 5 ans de l’EMA.
481 morts

2022 : Vaccinations et rappels des enfants
+ de 807 morts
C’est un record absolu.

ET POURTANT pour les enfants de 0 à 14 ans, la probabilité de mourir du covid est très proche de zéro.11

EUDRAVIGILANCE POUR UE

EudraVigilance data updates

Data status 19/11/2022

– EMA data update (Cf. z. data status 11/14/2022):
→ 2,120,667 cases (+13,852)
→ 26,870 deaths (+32)
→ 610,753 serious adverse events (+3,248).

– Affected children:
→ 40,567 cases (+242)
→ 243 deaths (+0)
→ 14,501 serious adverse events (+56)

Et si vous souhaitez écouter une vidéo sur les problèmes des fœtus :

Et globalement en UE effets toxiques des pseudovax anticovid comparés à ceux des effets des vaccins administrés en UE de 2010 à 2022 NOV :

Au niveau mondial, les données de mortalité de l’OMS montrent que l’épidémie est en voie d’extinction :

NE VACCINEZ NI LES ENFANTS,
NI LES FEMMES ENCEINTES,
NI TOUTE PERSONNE JEUNE OU VIEILLE QUE VOUS AIMEZ !


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La corruption détruit la science, la médecine, le journalisme, la politique et menace la démocratie

02/12/2022 (2022-12-02)

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue

« Un conflit d’intérêts naît d’une situation dans laquelle une personne employée par un organisme public ou privé possède, à titre privé, des intérêts qui pourraient influer ou paraître influer sur la manière dont elle s’acquitte de ses fonctions et des responsabilités qui lui ont été confiées par cet organisme ».

(Service central de prévention de la corruption, Rapport 2004)

Depuis trente ans la mondialisation a permis l’émergence de très grandes entreprises mondiales qui utilisent leur puissance financière considérable pour créer des liens financiers et extra financiers avec les scientifiques, les fonctionnaires et les politiques pour favoriser leurs intérêts. Cette corruption croissante atteint un tel degré, et dans tant de domaines qu’elle menace la science, la médecine, l’information et la possibilité de s’exprimer et ainsi la démocratie.

Dans cette tribune, nous décrirons quelques dégâts de la corruption sur la science et la médecine, car la liste en est longue…

La corruption de la science menace les progrès de la connaissance

Les liens d’intérêts financiers entre les chercheurs, médecins et industrie sont extrêmement fréquents dans la recherche biomédicale. Les essais cliniques sont majoritairement initiés et financés par l’industrie et consistent principalement en des études pilotes privilégiant l’innovation plutôt que les études comparatives des médicaments nouveaux aux médicaments anciens qui ont prouvé leur efficacité1.

Il existe une hiérarchie des rétributions selon l’utilité des intervenants : quelques centaines d’euros pour un médecin, quelques milliers pour un investigateur qui inclue des malades dans un essai thérapeutique, quelques dizaines ou centaines de milliers pour le promoteur d’un essai important ou un leader d’opinion.

En France, un médecin peut être à la fois : chef de service hospitalier, professeur des universités et donc enseignant, consultant rémunéré par l’industrie pharmaceutique, membre d’une agence gouvernementale régulant le marché du médicament, interviewé par les médias sur les avantages et inconvénients d’un médicament en oubliant de préciser ses liens avec la firme qui le commercialise (acte contraire à la loi transparence-santé de 2011, mais que le conseil de l’ordre des médecins, qui en est légalement, chargé ne poursuit que très exceptionnellement.)2

Ce cumul des fonctions, caricature des conflits d’intérêts est extrêmement rentable. Des sommes de 10 000 euros par mois ne sont pas exceptionnelles et l’Inspection Générale des Affaires Sociales a révélé qu’un leader d’opinion peut toucher plus de 600 000 euros pour un seul contrat de consultant, bien plus que son traitement annuel d’hospitalo-universitaire pendant 5 ans !

Selon les recherches effectuées par l’AFP sur Euros for Docs, près de 195 000 euros ont été déclarés par des industriels à la Pr Karine Lacombe, ce qu’elle a généralement omis de mentionner lors de ses prises de parole concernant les médicaments sur les plateaux TV alors que la loi transparence santé l’exige.

France Soir a établi un top 13 des « revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique » à des médecins3 en vue :

Pr François Raffi4 de Nantes aurait touché 541 729 €, dont 52 812 € de Gilead.

Le Pr Jacques Reynes de Montpellier. 291 741 €, dont 48 006 € de Gilead et 64 493 € d’Abbvie.

Le Pr Jean Michel Molina co-auteur d’un article publié dans Médecine et Maladies Infectieuses, journal officiel de la SPILF, sur quelques cas, pour dire que l’hydroxychloroquine ne marche pas. 184 034 €, dont 26 950 € de Gilead et 22 864 € d’Abbvie.

Le Pr Gilbert Deray, néphrologue très présent sur les plateaux télé 160.649 €.

Le Pr Jean-Paul Stahl, de Grenoble. 100 358 €, dont 4 552 € d’Abbvie. À noter que cette somme n’a pas été déclarée sur sa DPI et que Jean-Paul Stahl, rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses a comparé le Plaquénil au papier toilette.

Le Pr Christian Chidiac, président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine aurait touché 90 741 €, dont 16 563 € de Gilead.

Le Pr Bruno Hoen, de l’Institut Pasteur : 82 610 €, dont 52 012 € de Gilead. Qui a attaqué l’équipe de Marseille dans un courriel du 18 mars 2020, partagé avec tous les infectiologues.

Le Pr Pierre Tattevin, de Rennes, président de la SPILF : 79 956 €, dont 15 028 € de Gilead. Le Pr Vincent Le Moing de Montpellier. 68 435 €, dont 4 776 € de Gilead et 9 642 € d’Abbvie. Le Dr Alain Makinson de Montpellier. 63 873 €, dont 15 054 € de Gilead.

Pour la seule année 2018, Transparence CHU a montré5 que la base Transparence Santé liste plus de 2,5 millions de déclarations des entreprises représentant près de 1,36 milliard d’euros qui irriguent le système de santé français.

Aux USA, les sommes sont plus importantes et la psychiatrie est l’une des spécialités les plus corrompues. Ainsi entre 2000 et 2007, le Dr Biederman, psychiatre, a reçu au moins 1,6 million de dollars pour promouvoir l’utilisation de médicaments antipsychotiques pour les enfants, pour lesquels ils n’avaient pas été approuvés.

Deux de ses collègues ont reçu des montants similaires. Le Dr Alan F. Schatzberg, président du département de psychiatrie de Stanford et président de l’American Psychiatric Association contrôlait plus de 6 millions de dollars d’actions dans Corcept Therapeutics, une société qu’il a cofondée et qui teste la mifépristone comme traitement de la dépression psychotique, tout en étant le chercheur principal bénéficiaire d’une subvention de l’Institut national de la santé mentale qui comprenait des recherches sur la mifépristone pour cette utilisation et co-auteur de trois articles sur le sujet vantant les mérites de médicament abortif (RU-486).

Marianne a révélé6 que lors de la crise covid :

« Entre les déjeuners, les dîners, les hébergements à l’hôtel, les frais de transport et les honoraires, les industriels ont payé pour 449 389 euros d’avantages à neuf experts du conseil scientifique placé auprès d’Emmanuel Macron ainsi que du Comité analyse et expertise (Care) chargé de l’éclairer sur les questions purement scientifiques liées au Covid-19. »

De tous les membres du Conseil scientifique, c’est Yazdan Yazdanpanah, qui a touché 134 684 euros, suivi de Denis Malvy et Bruno Lina7.

Pour le médecin très lié aux labos les avantages ne s’arrêtent pas à l’argent, aux flatteries et aux beaux voyages et hôtels payés. Il bénéficie aussi habituellement d’une amplification de sa renommée par le réseau de communication rodé des labos, d’une aide à sa carrière académique, et d’une capacité accrue à obtenir des fonds de recherche. Les firmes assurent aux « leaders d’opinion » qu’elles choisissent, la reconnaissance professionnelle grâce à leur puissante logistique événementielle (congrès, symposiums, colloques, agences de presse), l’appartenance à un groupe « reconnu », l’acceptation des communications en congrès et des articles dans les grandes revues…

Ces conflits d’intérêts non financiers, plus difficilement mesurables, sont tout aussi responsables que les conflits financiers, en termes de dommages systémiques qu’ils causent à la science et ne paraissent pas correctement pris en compte en tant que risques dans le cadre de la recherche universitaire.

Les chercheurs ayant des liens d’intérêts avec l’entreprise qui fabrique le produit étudié sont plus susceptibles d’arriver à des conclusions positives, que ce soit par le financement préférentiel des projets susceptibles de réussir, par la conceptionbiaisée de l’étude, par la minoration ou la suppression de résultats négatifs, ou d’une interprétation tendancieuse des résultats. La signature initiale d’un contrat limitant la liberté de publier du contractant en est le moyen le plus caché et le plus efficace du contrôle de la firme sur le consultant.

Toutes les études comparant les résultats présentés par des auteurs liés aux firmes et ceux publiés par des auteurs indépendants démontrent que les premiers favorisent les produits ou appareils que produisent leurs sponsors. Le phénomène bien connu pour le tabac8, affecte tous les domaines de la médecine : traitement des cancers9, du glaucome10, le bronzage11, du diabète12, de l’hypertension, de l’hypercholestérolémie, des coronaropathies…, tous ceux où un candidat traitement pourrait ouvrir un marché prometteur.

Ces liens d’intérêts expliquent pourquoi la majorité des résultats de recherche publiés sont faux13 exagèrent l’utilité des nouveaux médicaments et dissimulent leurs toxicités.

Des auteurs du réseau Cochrane14 ont analysé des essais cliniques inclus dans des méta-analyses et prouvé que les essais cliniques financés par les firmes sont cinq fois plus favorables aux médicaments testés que ceux financés par des organismes indépendants des firmes.

Voir aussi le livre du Professeur Goetsche, un des fondateurs du réseau Cochrane :

Et celui du PR Even :

 

 

et le diaporama sur les molécules innovantes et le poids financier des firmes pharmaceutiques présenté à Gorcy en octobre 2019 molécules innovantes le poids de la finance oct 2019

Les sociétés savantes corrompues par l’industrie lui servent de porte-parole, voire de bras armé.

Aujourd’hui, beaucoup de sociétés autrefois savantes ne vivent plus des cotisations de leurs membres, mais essentiellement de la générosité des entreprises de leur spécialité. Les sommes allouées peuvent être considérables.

Aux États-Unis, la transparence plus grande permet de mieux les connaître15 16. Ainsi l’American Society of Clinical Oncology a bénéficié de 54 millions de dollars et l’American College of Cardiology, 21 millions de dollars. Des paiements importants, regroupant des frais de conseil, des rémunérations pour prise de parole, des redevances d’hospitalité ont également été versés aux dirigeants de la North American Spine Society pour 9,5 millions de dollars et de l’Orthopedic Trauma Association pour 4,7 millions.

En France le site transparence santé gouv, de consultation très difficile, ne permet pas d’obtenir le montant précis des sommes allouées aux sociétés savantes, car leur montant est le plus souvent affublé de la mention « non renseigné ».

L’exemple de la Société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf), qui a porté plainte contre le professeur Raoult est démonstratif.

D’après son site cette société regrouperait 500 membres actifs dont le montant de la cotisation s’élève à 100 euros soit 50 000 euros annuels de ressources indépendantes des firmes. Elle en reçoit plus de 20 fois plus de l’industrie (Dont 800 000 euros de Gilead d’après M Wonner17 et plus 100 000 annuels de Pfizer).

L’application du proverbe « Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es » permet de supposer que cette société aurait agi contre Didier Raoult comme le bras armé de ses sponsors et en l’occurrence de Gilead fabricant du Remdesivir. Car Gilead voulait empêcher l’utilisation de tout traitement ancien et bon marché tel que la chloroquine pour imposer son poulain Remdesivir qui lui a rapporté près de 2 milliards de dollars lors du seul 3trimestre 2021, alors qu’il est fortement déconseillé par l’OMS et que son l’utilisation sans consentement éclairé fait actuellement l’objet de plusieurs plaintes pénales aux USA.18

La plupart des autres sociétés savantes françaises dont nous avons analysé le financement se sont révélées extrêmement dépendantes de l’industrie qui représente leur principale source de financement. Lorsqu’elles traitent d’un produit rentable pour leurs partenaires industriels, les recommandations thérapeutiques qu’elles émettent reproduisent trop souvent la propagande des services de communication de ceux-ci sans grand égard pour les données scientifiques réelles.

La corruption des revues scientifiques et des médias les transforme en outils de propagande

Depuis l’arrivée d’Internet, les revues médicales jadis prestigieuses ont perdu un grand nombre d’abonnés et sont également devenues extrêmement dépendantes de l’industrie pharmaceutique qui les maintient en vie par les publicités de médicaments et des numéros spéciaux qu’elle leur commande pour vanter leurs produits.

Marcia Angell, l’ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, a fait publiquement part de son écœurement19 :

« Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des publications de la recherche clinique, ni de compter sur le jugement des médecins expérimentés ou les directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à formuler cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur lors de mes deux décennies passées au poste de rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. »

Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, a déclaré :

« Un nombre scandaleux de publications d’études sont au mieux, peu fiables, quand elles ne sont pas complètement mensongères, en plus de frauduleuses. »

Dr John Ioannidis avait précédemment regretté20 :

« Quelque chose est pourri dans l’état de la recherche biomédicale. Tous ceux qui travaillent dans ce domaine le savent à un certain niveau. Nous applaudissons les présentations de nos collègues lors de conférences, en espérant qu’ils nous feront preuve de la même courtoisie, mais nous savons dans notre cœur que la majorité, voire la grande majorité de nos affirmations en matière de recherche sont fausses. »

En Allemagne, la corruption des revues financées par l’industrie a été démontrée par Annette Becker, de l’université de Marburg en Allemagne, et ses collaborateurs après analyse des recommandations de prescription faites par onze revues allemandes dédiées à la Formation Médicale Continue. Les auteurs concluent que les recommandations visant à l’utilisation ou non d’un médicament dépendent de la source de financement des revues.

En France, en 2004 les firmes dépensaient en promotion 25 000 euros par an et par médecin d’après le rapport de l’IGAS. Elles consacraient plus d’un milliard d’euros par an aux visites médicales et 120 millions aux congrès.

Une étude du LEM21 estime qu’un euro supplémentaire investi dans la promotion des ventes auprès de l’ensemble des médecins libéraux d’une région pourrait rapporter un peu plus de 5,15 euros de ventes. L’effet est plus marqué pour les généralistes (1 euro supplémentaire rapportant 6,41 euros).

En outre, les laboratoires qui accordent les paiements les plus élevés (supérieurs au troisième quartile des paiements dans une région), augmentent significativement les montants de leurs ventes : +8 % des ventes grâce à la promotion auprès des salariés, +22 % grâce à celle auprès des spécialistes libéraux, par rapport à des laboratoires qui effectueraient une promotion de faible ampleur.

Pierre Frouard co-auteur d’une étude de l’Université Rennes 1 sur les prescriptions des médecins et leurs liens avec l’industrie rappelle que :

« Si ça n’était pas efficace, les firmes ne mettraient pas autant d’argent dans le lobbying ».

La formation continue des médecins, rendue obligatoire par la loi, est presque uniquement prise en charge par l’industrie pharmaceutique. Les médecins qui participent à ces sessions n’ont pas la possibilité d’entendre tous les points de vue, lors d’une formation supposée être libre de l’influence de l’industrie22. Ces formations réalisées, ou au moins sponsorisées par un laboratoire donnent droit à des points pour valider la formation continue obligatoire. Se faire acheter est devenu une obligation légale !

La corruption des agences sanitaires et des ministères menace la sécurité sanitaire de la population

L’ancien directeur de directeur de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits alimentaires en Chine, Zheng Xiaoyu, qui avait rang de ministre, a été exécuté le 10 juillet 2007 pour corruption. Il avait été reconnu coupable d’avoir touché 6,4 millions de yuans (620 000 euros) de pots-de-vin d’entreprises pharmaceutiques.

En 1991, Le Président de SmithKline Beecham, fabricant du vaccin anti-hépatite B, a avoué avoir donné à Francesco de Lorenzo, ministre italien de la Santé, 600 millions de lires quelques mois avant que ce dernier rende la vaccination obligatoire dans son pays. Francesco de Lorenzo a été condamné à plusieurs années de prison ferme. Paolo Cirino Pomicino, ancien ministre du Budget, et le Pr Duilio Poggiolini, membre influent des instances européennes du Médicament, ont été également condamnés dans des affaires similaires.

En 2011 un rapport de l’IGAS concluait :

« L’Afssaps, agence de sécurité sanitaire, se trouve à l’heure actuelle structurellement et culturellement dans une situation de conflit d’intérêt. ».

Malgré quelques minimes efforts récents des agences pour améliorer leur transparence ou lutter contre les conflits d’intérêts, ceux-ci règnent toujours en maîtres.

Les procédures d’AMM23 facilitent les manipulations. Dans les pays démocratiques, les débats en justice sont publics et contradictoires. « À charge et à décharge ».

À l’inverse, les jugements actuels d’AMM sont secrets (ni le dossier d’AMM ni les débats ne sont publiés) et instruits uniquement par une partie (le laboratoire) dont personne ne remet les dires en doute. Dans tous les pays démocratiques, les juges sont payés par l’état et ne doivent en aucun cas avoir de lien quelconque avec l’une de parties qui se présentent devant eux « on ne peut pas être juge et partie ».

Dans la commission d’AMM, presque aucun expert n’est indépendant des laboratoires. Beaucoup en vivent et parfois très largement. Comment s’étonner alors de la facilité avec laquelle les médicaments soumis à la commission d’AMM sont déclarés « novateurs », « avec une balance efficacité/risque très positive » dont récemment les pseudo vaccins anti-covid pourtant manifestement incapables de prévenir d’attraper et de transmettre la maladie ni d’éviter les formes graves, comme le montre l’évolution de la mortalité covid publiée par l’OMS.

L’indépendance est également exceptionnelle dans la commission de fixation des prix et dans celle fixant le taux de remboursement.

Il en est de même pour la plupart de membres chargés de la pharmacovigilance dont la société scientifique est largement sponsorisée par l’industrie. Ces conflits d’intérêts expliquent en très grande partie les « incompréhensibles » défaillances du système de pharmacovigilance relevées par l’IGAS dans le scandale du Médiator.

L’AFSSAPS, agence chargée de délivrer les autorisations de mise sur le marché (AMM) aux médicaments et l’agence européenne (l’EMA) sont financées dans leur quasi-totalité par les firmes pharmaceutiques. Ceci est dénoncé par la commission d’enquête du Sénat sur le médicament, comme par la Cour des Comptes, qui use de la litote : « le mode de financement retenu n’est pas de nature à assurer l’indépendance de l’agence ».

Bernard Bégaud constate :

« C’est compliqué de considérer de façon très neutre une molécule alors que fondamentalement le choix aura une incidence (…) pas neutre sur quelqu’un qui, quelque part est un ami »

et conclut :

« il ne devrait pas du tout être possible, quand on a travaillé dans un labo, d’aller dans une administration publique tout particulièrement dans une agence d’évaluation. »

Quand la science, certains médecins, les revues médicales, les agences sanitaires et l’OMS sont corrompus, c’est la santé de l’humanité toute entière qui est menacée.


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22/11/2022 (2022-11-22)

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

Jusqu’à récemment l’éthique en médecine semblait concerner le respect du serment d’Hippocrate, le respect des conventions signées par la France comme la convention d’Oviedo, le respect du consentement éclairé. L’académie de médecine nous avait déjà surpris en juillet 2022 en disant que ne pas CROIRE en la science ne serait pas éthique… La religion scientiste et son intolérance inquisitoriale pointaient déjà le bout de son nez…

Est-ce éthique de faire soigner les hospitalisés par des soignants malades sous prétexte qu’ils ont accepté une injection expérimentale qui ne les empêche pas d’être contaminants ? Ou bien de respecter la liberté de choix de tout citoyen y compris celle des Blouses blanches qui ne sont pas des antivax (ils ont tous été vaccinés dans le passé et ont, presque tous, largement vacciné leurs patients) et qui sont généralement mieux informés que nos dirigeants de la balance avantages/risques des médicaments mis à leur disposition ?

On est interloqué par la prise de parole du nouveau ministre sur la réintégration des soignants :

« la réintégration des soignants non vaccinés au Covid-19 reste à ce stade en suspens. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le ministre Braun a assuré qu’il rendrait son avis dans les mois à venir. Mais il prévient : cette situation pose deux problèmes, l’un sanitaire, l’autre d’“éthique professionnelle”.

« Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » Voilà la question soulevée par le ministre pour ce qui est de l’ordre sanitaire. « On meurt encore du Covid, tous les jours en France »

Lequel s’est ensuite longuement arrêté sur le second aspect, celui du « problème d’éthique professionnelle ».

Le même qui est « revenu » au ministre (une rumeur) « aussi par les soignants qui se sont fait vacciner », ont « tenu la ligne pendant deux ans » et ne comprendraient visiblement pas que leurs collègues non vaccinés puissent faire leur retour.

Pour démêler ce nœud, François Braun a expliqué avoir saisi la Haute Autorité de Santé, notamment sur la question des vaccinations obligatoires, ainsi que le Conseil national d’éthique. Ce n’est qu’en possession de ces deux avis que le ministre prendra sa décision, d’ici plusieurs mois.

Dans ce contexte, François Braun a aussi tenu à préciser que la situation ne concerne en vérité que « très peu de médecins » et « 1 050 infirmiers sur les 300 000 ». Il l’a donc assuré : ce n’est pas avec leur retour « qu’on va résoudre les problèmes de l’hôpital ».

Il est ahurissant de lire ces lignes semblant démontrer que le ministre est pour le moins mal informé1, en refusant l’hypothèse qu’il nous mentirait sciemment.2

Non, Mr le ministre, l’injection expérimentale ne protège pas du covid, voire rend plus fragile puisque tous les pays vaccinés sont beaucoup plus contaminés que ceux qui ont refusé la pseudovax de masse. Chacun en fait l’expérience avec ses proches injectés qui font un « covid » après chaque injection et le repasse généreusement à toute la famille. Non cette injection n’a jamais protégé personne comme la littérature internationale et les données officielles de l’OMS le démontrent abondamment.

Le même ministre qui prononce cette phrase : « Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » autorise les soignants injectés malades du covid « légèrement » à travailler… De qui se moque-t-on ? Les ARS n’en ont-elles pas averti le ministre ? Il est peu probable qu’un directeur d’hôpital autorise de son propre chef les soignants malades du covid même « légèrement » symptomatiques à approcher les patients, sans l’aval du directeur d’ARS, le grand manitou.

Le ministre a dit :

« On meurt tous les jours en France du covid ».

D’une part, les chiffres déclarés à l’OMS sont très bas avec une moyenne inférieure à 70 patients par jour déclarés covid, donc bien inférieurs par exemple à la mortalité des cancéreux de l’ordre de 500 par jour. De plus faudrait-il encore que ces morts affichés du covid ne soient pas simplement des morts d’autre chose AVEC le covid, et d’autre part que ce covid ne soit pas de fait un spike protéine syndrome, complication de plus en plus connue de l’injection et évidemment contagieuse3.

Pour affirmer ses dires, le ministre devrait exiger de ses services que soient communiqués au public les chiffres de mortalité covid19 chez les vaccinés en fonction du nombre de doses reçues, et chez les non vax. Pourquoi ce refus de transmission des résultats que communiquent les autres pays aux citoyens ?

On peut lire sur Telegram ce tweet hallucinant :

« Braun ment, il n’existe aucune statistique covid sur les morts :

Christine Cotton OFFICIEL (@StatChrisCotton) a tweeté à 4:14 PM on dim., nov. 20, 2022 :

Réponse EFFARANTE de la CADA commission accès aux doc administratifs au Pr Toubiana

Il n’existe aucune donnée relative au statut vaccinal covid des personnes décédées ?

Comment font-ils leurs études PROUVANT que le vaccin ⬇️la mortalité ?4

Mais Christine Cotton affirme :

« Une étude de plus qui prouve que le statut vaccinal des personnes décédées est bien disponible » 5

Le deuxième point abordé par le ministre est l’éthique. Parlons-en. Qu’est-ce que l’éthique médicale ?

On peut lire la définition du Larousse :

Les règles déontologiques, édictées dès le Ve siècle av. J.-C. (serment d’Hippocrate), en appellent aux notions de compétence, de générosité, de dévouement, de désintéressement et de secret médical. Les règles morales protègent le malade de la dérive que pourraient introduire en ce début de xxie siècle les grandes évolutions des sciences de la vie…6

Ou encore la mise au point du Pr Régis dans un journal féminin en juillet 2022 pour les citoyens 7 :

« Les lois permettent de maintenir des limites, des interdits, car ce qui est admissible pour un individu ne l’est pas forcément pour la société.

On parle d’éthique médicale lorsque les acteurs de la santé sont confrontés à la question des limites du supportable, de la vie ou encore du savoir”8

Quels sont les principes de l’éthique médicale ?

L’éthique est fondée autour de quatre grands principes :

1. L’autonomie :le respect de la personne de son autonomie, sa capacité à être acteur et à décider de sa propre santé.

2. La bienfaisance : faciliter et faire le bien, contribuer au bien-être du patient. “Il est nécessaire de bien peser le rapport entre les bénéfices et les risques potentiels.”

3. La non-malfaisance : l’obligation de ne pas nuire. “Ne pas intervenir sur le corps du patient dans son accord libre et éclairé”.

4. La justice : apporter le même traitement de façon juste et/ou équitable à tous les patients. “Tout ce qui est possible d’être fait doit l’être pour tous et pas seulement pour certaines catégories de personnes.”

Qui doit respecter une éthique médicale ?

L’ensemble des partenaires, qu’il s’agisse des professionnels de santé ou toute personne intervenant auprès de la personne malade, y compris le malade lui-même”, explique le membre du CCNE.

L’éthique appelle à réfléchir sur les valeurs autour d’un acte médical à l’inverse de la déontologie qui fixe des règles claires. (…)

La bioéthique concerne davantage les conflits de valeurs autour de l’avancée techno-scientifique dans le domaine du vivant comme la procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui (GPA), le don d’organes… »

En bref, car la liste pourrait être longue. Qui a violé les règles d’éthique médicale depuis bientôt trois ans si ce ne sont les grandes organisations internationales qui ont imposé au monde des mesures coercitives, et des injections toujours expérimentales (jusqu’en 2023 au moins), et tous les gouvernements qui les ont diffusés dans les pays occidentaux essentiellement et tous les suiveurs muets comme en particulier, trop de médecins français, trop de journalistes incultes et soumis, associations, éditorialistes désinformés et/ou subventionnés par le pouvoir, etc..

Médecins muets ou, pire, assez fous pour critiquer les vrais savants du domaine à commencer par le PR Raoult, Montagnier, Henrion — Caude, Péronne, etc. Médecins violant la convention d’Oviedo et les principes éthiques de l’Association Médicale Mondiale en proposant aux citoyens un traitement expérimental sans le consentement libre et éclairé sanctifié par le code de Nuremberg après les drames des essais nazis dans les camps et qui devait garantir que jamais au grand jamais on ne referait dans les pays des essais sans consentement.

Le code de Nuremberg et toutes les conventions qui le rappelaient ont été violés par ceux qui ont « imposé » l’injection et tous ceux qui ont obéi en injectant ce produit génique aux citoyens en leur affirmant qu’il était sans danger ÉTHIQUE ? .

Les médecins et soignants qui ont injecté des résidents d’EHPAD par du Rivotril sur injonction des autorités sanitaires sous prétexte de symptômes compatibles avec un covid ont effectivement violé l’éthique la plus minimaliste et tué, en plus des 10 000 personnes non traitées, de nombreux soignants cassés à tout jamais après ce geste infâme.

L’éthique a été violée tout au long des 30 mois de ce faux récit covid sur l’absence de fiabilité des tests PCR fondés sur des taux d’amplification trompeurs, sur l’efficacité du confinement jamais démontrée depuis le Moyen-âge et de la fermeture des écoles, et pire encore sur la colossale exagération de la mortalité covid19 qu’un ministre a osé comparer à la peste pour affoler la population, sur l’interdiction faite aux médecins d’examiner et traiter leurs patients en les menaçant de sanctions de l’ordre instrumentalisé dans ce but.9 10

Des pages entières, et de nombreux livres 11 12 13 14 15 ont été écrits avec d’innombrables références de travaux universitaires démontrant les mensonges répétés auprès des patients et la violation permanente de l’éthique médicale depuis bientôt trois ans.

LA RÉACTION DES AUTRES SOIGNANTS

Autre stupéfaction dans les propos de Mr Braun sur le prétendu refus des soignants injectés de recevoir du renfort des non injectés et du chiffre ridicule de mille soignants empêchés.

Comment un ministre peut — il être si mal informé par ses services ?

Voici les informations en direct du parlement européen :

Le chiffre annoncé par Michèle Rivasi est encore très en dessous de la réalité, mais il est devenu officiel !

Par Médecine du Sens Canal Info

« Une grave menace plane sur quiconque ne salue résigné, tête basse et dos voûté, les ignominies bavées par celui censé nous gouverner. Pris à la gorge, il a été décidé en haute instance que l’instinct de vie concourant à la sociabilité la plus primaire de chacun soit suspendu à la condition d’être vacciné et, pire encore, que soit humilié en son intimité et éloigné de la vie en société tout citoyen non vacciné ! Plus de 1 an ! Suspendu sans salaire, sans chômage ! Il est historique que des soignants soient suspendus pour leur refus d’un vaccin en phase d’expérimentation. Les gens ignorent-ils que des médecins, infirmières, soignants sont toujours suspendus, QUAND BIEN MÊME RIEN n’atteste de l’efficacité de leur mise à pied prolongée ? »

Plus de 240 témoignages dans ce film :

Les soignants sont en lutte pour la réintégration de leurs collègues

Courrier déposé à l’HAS par Huissier le 17/11/2022 : Pourquoi faut-il supprimer l’obligation de vaccination Covid des soignants et assimilés ? Par le Syndicat Liberté Santé

La lettre ICI
L’argumentaire scientifique ICI
Annexe « Obligation vaccinale en Europe » ICI
Annexe « Évaluation vaccins bivalents » ICI

Et rappelons les mots du Dr Hodkinson ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa, spécialiste en pathologie, y compris en virologie, formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni

Pour mémoire, en août 2021, dans son débriefing FranceSoir BonSens.org, il revenait sur les discours de peur utilisés pour encourager la vaccination et évoquait entre autres, les différents scandales autour de Covid-19. « C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. La Covid n’est rien d’autre qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas le virus Ebola. Ce n’est pas le SRAS.

C’est de la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. LES VACCINÉS SONT DES INNOCENTS QUI VONT AU MASSACRE », disait-il…17

Des sénateurs s’engagent >

Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux (le 20 novembre 2022)18

« Les personnels concernés par cette mesure sont bien plus importants que vous ne le prétendez : à côté des personnels suspendus, combien de libéraux interdits d’exercice, non comptabilisés parmi les “suspendus” ? Combien de demandes de mise en disponibilité ou de démission de la fonction publique par suite de cette mesure non comptabilisées parmi les “suspendus” ? Combien d’étudiants en médecine empêchés de poursuivre leurs études ? », lit-on encore.

Le document, qui cite également les personnels interdits d’exercer en téléconsultation et même de trouver un remplaçant durant leur suspension, qualifie ces mesures de « punitives » et « d’humiliantes » et non pas de « sanitaires ».

Et terminons par ce témoignage de Betty Infirmière, qui est suspendue depuis 431 jours par suite de son refus de vaccination :

15 sept 2021 – 20 Nov 2022

« J’espère un jour pouvoir me dire que ce n’était qu’un cauchemar. »

Elle est syndiquée, Déléguée du Personnel, membre CSE, CHSCT (Comité Hygiène et Sécurité au Travail) et Commission de Soins Infirmiers. Refusant la vaccination covid, elle convient, avec sa direction, d’une rupture conventionnelle.

« En mars 2020, j’ai vu tous mes collègues s’organiser, se rendre disponibles, volontaires, ne comptant pas leurs heures.

Nous avons tout donné de nos personnes, de notre temps. Tous, nous sommes fatigués.

Alors quand cette obligation d’être vacciné pour avoir le droit de continuer à travailler nous est tombée dessus, alors que nous côtoyons quotidiennement de nombreux virus, de maladies, et que nous sommes conscients que nous devons garder tout le temps un système immunitaire au top, nous n’avons pas compris.

Perso, je n’ai pas compris non plus le refus catégorique de la médecine du travail de ne pas me recevoir. Alors que mon médecin lui-même, ainsi que mon employeur, l’ont réclamé.

J’ai rencontré de nombreux soignants suspendus, ou en arrêt maladie, ou qui ont démissionné.

À l’unanimité il en ressort une très grande souffrance, parce que oui, cette pression et cette culpabilité que l’on veut nous faire porter sont insupportables, inhumaines.

Comment peut-on accepter que la France “vire” des pompiers, Médecins spécialisés, Médecins généralistes, Kinés, Sage-femmes, Puéricultrices, Infirmiers, Aide-soignants, ASH, Secrétaires médicales, Techniciens, Aides médico-psychologiques, Éducateurs, Laborantin, Ophtalmo, Opticiens… Et on nous accuse d’être des personnes irresponsables ? C’est le monde à l’envers et ce monde-là je n’en veux pas.

J’espère un jour pouvoir digérer ce que la France fait à tous ces professionnels de santé. »

Betty Infirmière 19


1 Covid-19 : la réintégration des soignants non vaccinés pose un problème d’« éthique professionnelle », selon Braun Par Dinah Cohen Publié le 20 novembre 2022 à 14 h 45 le figaro2 https://youtu.be/mfOBQiw3b8w 19 nov. 2022
En direct de la table ronde « Justice pour les suspendus : Réintégrons les intégrés ! » du réseau « On sans pass » avec la sénatrice Laurence Muller-Bronn3 Spike Protein Syndrome. News | ImunoMedica Clinic (imuno-medica.ro) «  il a été largement identifié ce que le Dr Thomas Levy appelle le “syndrome de la protéine Spike”une pathologie causée par la propagation de la protéine Spike dans tout le corps, soit à la suite de la maladie COVID-19, soit à la suite de la vaccination COVID. Les symptômes sont principalement des réactions auto-immunes et peuvent inclure : insuffisance cardiaque, lésions cardiaques, crise cardiaque, myocardite ; hypertension pulmonaire, thromboembolie et thrombose pulmonaire, lésions du tissu pulmonaire, fibrose pulmonaire possible ; augmentation des événements thromboemboliques veineux et artériels ; Diabète ; les complications neurologiques, y compris l’encéphalopathie, les convulsions, les maux de tête et les maladies neuromusculaires, ainsi que l’hypercoagulabilité et les accidents vasculaires cérébraux ; dysbiose intestinale, maladie inflammatoire de l’intestin et intestin perméable ; lésions rénales ; altération de la capacité de reproduction masculine ; lésions cutanées ; maladies auto-immunes générales, anémie hémolytique auto-immune ; dommages au foie. »

4 @MullerBronnL @noel_sylviane @SGoyChavent https://t.co/KvjloMKU1w

5 https://ansm.sante.fr/uploads/2021/09/24/20210921-cada21v210-covid-diapo3-2021.pdf

6 Komplette Liste auf larousse.fr

7 https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2835237-ethique-medicale-definition-exemple-pour-qui-principe/

8 décrit le Pr Régis Aubry, Président la Plateforme national de recherche sur la fin de vie et membre du Comité Consultatif National d’Éthique.

9 EN 2020 LA COVID A BIEN MOINS TUÉ QUE LE DÉFAUT DE SOINS ET LE RIVOTRIL, en 2021 et 2022 arrive le SURMORTALITE VACCINALE, toutes les preuves statistiques d’une pandémie médicamenteuse | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)

10 L’académie de médecine a introduit cette notion d’éthique « En conséquence, l’objectif du maintien de leur suspension ne peut être que l’expression d’une volonté politique. Il faut à cet égard écouter l’Académie de Médecine qui considère que, “le refus de se faire vacciner est incompatible avec le métier de soignant”, mais surtout que “réintégrer les soignants non vaccinés serait une faute” et “compromettrait le climat de confiance et la cohésion qui doivent exister entre (les membres de l’équipe soignante) et avec les malades” (avis du 19 juillet 2022). Pour les opposants à la réintégration des personnels non vaccinés, on ne pourrait laisser des personnes soigner alors qu’elles ne croient pas en la science, mettant en doute l’efficacité des vaccins ou encore, parce qu’il serait normal d’exiger de ceux qui prennent soin des autres qu’ils prennent soin d’eux-mêmes. Certains vont jusqu’à dire qu’en refusant de se faire vacciner, ces personnels auraient démontré qu’ils n’adhéraient pas aux valeurs du soin. » « Le refus de réintégrer les soignants non vaccinés trahit une conception scientiste et puritaine de notre droit » (marianne.net)

On peut s’étonner que l’académie transforme la « science » en une croyance !

11 Christian Perronne, Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Poche 6 janvier 2021, Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! Livre grand format, 31 mars 2021, Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu — Livre grand format, 2 novembre 2022

12 Laurent Toubiana, covid 19 — Une autre vision de l’épidémie : Les vérités d’un épidémiologiste

13 Jean-Loup Isambert, Le scandale Ivermectine, Comment et pourquoi ils ont bloqué l’anti-covid19 22 octobre 2021

14 Didier Raoult Epidémies : vrais dangers et fausses alertes 26 mars 2020 (Michel Lafon), Carnets de guerre — Covid-19 —, 11 février 2021, Au-delà de l’affaire de la chloroquine Broché – Livre grand format, 14 octobre 2021

15 Nicole Delépine et Gérard Delépine : Autopsie d’un confinement aveugle, paru le 15 septembre 2020 ; Les enfants sacrifiés du covid, paru le 24 janvier 2022  et tellement d’autres auteurs et livres importants que nous n’avons pas la place de citer.

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18 Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux | FranceSoir

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10/11/2022 (2022-11-10)

La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort1

Par Nicole Delépine

Et le maître de nos sociétés et mentor du président Macron :

« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. »

Jacques Attali, 1981.

Lui, qui a 79 ans, ne recourt pas à l’euthanasie qu’il prône pour les « inutiles »

Et c’est encore lui qu’on écoute, qu’on invite sur le sévice public… C’est une obsession, et une nouvelle fois, ce chantier est imposé !

« Ce devrait être l’un des chantiers du quinquennat. Une grande concertation a été lancée cet automne sur la fin de vie. Pilotée par le Conseil économique social et environnemental (Cese), elle associera un panel de citoyens avec l’objectif d’aboutir au printemps prochain. » 2

Ne nous laissons pas instrumentaliser une nième fois pour aboutir à une décision déjà prise par le président au prétexte d’un retard sur la Belgique ou autre, pays dans lequel les dérives lourdes sont pourtant bien souvent signalées.

« La Belgique porte et portera toujours, d’une manière indélébile, cette tâche morale, ce péché de mensonges, cette trahison par omission qui, par effet de contagion, a déteint sur les autres pays européens.

Elle porte une immense responsabilité d’aveuglement collectif.

Elle s’est crevé les yeux — comme dans une tragédie grecque et je pense en particulier à Œdipe qui se crève les yeux quand il comprend qu’il a tué son père. Elle a cassé les indicateurs, les baromètres, les cadrans de vitesse et de surveillance préférant laisser l’euthanasie en roue libre, livrée à ses promoteurs et surveillée par ses thuriféraires. »3

Alors que les élections américaines se terminaient en ce soir du 9 novembre 2022, nous eussions aimé des commentaires pertinents sur les machines à voter, permettant l’élection d’un député démocrate mort depuis le 9 octobre4, sur les conséquences du changement de majorité au moins à la chambre des représentants, tant le pouvoir américain nous concerne, la France comme l’UE étant suiviste..

Curieusement ce fut l’annonce par le président Macron d’une nouvelle tentative d’imposer une légalisation de l’euthanasie pour faire plaisir à Line Renaud, semble-t-il, qui occupa l’antenne… Problème de l’heure, manifestement ou nouvelle diversion pour faire oublier le grotesque de la nouvelle COP sur le climat qui réunit les mêmes que les futurs spectateurs de la coupe du monde dans un stade climatisé en plein désert, ou l’accumulation des vrais problèmes des Français en ce nouveau jour de grève avec l’inflation, la pauvreté galopante dont témoignent les queues des étudiants aux distributions de repas, etc.. Non le sujet du jour est comment aider à mourir..

ET MENSONGE INDIGNE DES SONDAGES AU SERVICE DU POUVOIR

Neuf Français sur dix seraient d’accord avec une légalisation de l’euthanasie ! Ceci est faux, complètement faux, tout dépend de la façon de poser la question et évidemment la poser à un bien portant qui ne peut se projeter de fait dans sa mort imminente n’a rien n’a voir avec l’avis du mourant qui, lui, supplie souvent de lui préserver encore quelques jours, voire quelques instants pour écouter sa chanson préférée ou revoir le parent venu d’Afrique ou d’Asie… Que de mensonges sincères ou manipulatoires, comme souvent en cette période de déni de la réalité.

DISCOURS INDIGNE SUR LA DIGNITÉ !

Serait-ce indigne d’être malade, d’être blessé, d’être souffrant ? Un patient bien pris en charge dans son lit avec l’aide de soignants et de parents aimants qui l’accompagnent est-il indigne ? Impossible à regarder ? Seul est indigne ce regard méprisant sur un être qui souffre. Ce cinéma de la dignité bafouée, de la fausse compassion qui conduirait à faire disparaître un malade qui souffre alors qu’on peut le soulager par des médicaments à doses suffisantes est honteux. Il traduit seulement le désir parfois inconscient d’oublier notre condition humaine qui se termine constamment par la mort.

L’indignité est de laisser la malade abandonnée dans son lit, voire par terre avec des couches insuffisamment changées, des repas traînant sur la table de nuit, des vêtements sales non lavés ni changés.

L’INDIGNITÉ N’EST JAMAIS LE MALADE, MAIS SON ABANDON par le décadent système de soins qui n’effectue pas ce pour quoi il coûte encore 13 % du PIB. Pour ne pas voir cette indignité majeure qui conduit à découvrir aux urgences un malade mort sur une chaise, doit-on TUER les patients en perte d’autonomie pour éviter qu’ils ne nous infligent ce spectacle insoutenable ? Notre société est moribonde, agonisante, devons-nous l’euthanasier ou tenter de la réanimer ?

Euthanasie : signifie faciliter la mort et donc provoquer la mort.

Dans une société dans laquelle le président ne cesse de répéter que nous sommes en guerre, et de le prouver en envoyant les quelques canons qui nous restent et des milliards d’euros en Ukraine, dans une société morte de peur depuis trois ans avec la terreur d’un virus assez inoffensif qui a conduit à la fermeture des écoles, et de tant de faillites, dans une société où la bizarre « mort subite » touche les jeunes, que les AVC et les Alzheimer se multiplient comme des petits pains, que les cancers flambent après les injections toxiques, le problème de l’heure est pour nos gouvernants l’euthanasie…

Alors que des patients meurent à l’hôpital aux urgences sur des brancards sans un mot et sans un verre d’eau pendant des heures et qu’une malade en attente de prise en charge d’une fracture de fémur pendant six jours meurt littéralement de faim, alors que des soignants suspendus se suicident ou abandonnent définitivement les carrières de soin, et que le nouveau ministre de la Santé s’enferme dans une posture intenable,5 l’obsession du peuple serait le suicide assisté ou même la mort donnée par un soignant, légalisée ! L’obsession pour trop de Français est de fuir ce pays moribond et toxique et non de tuer ses ressortissants.

Est-ce vraiment l’urgence de bloquer des commentateurs sur ce sujet mille fois rediscuté, pesé, sous pesé, depuis vingt ans avec la succession de « l’amélioration » des lois Leonetti, puis Clays Leonetti, qui de fait donnent le feu vert (trop facilement) aux médecins pour donner la mort sans ennui médicolégal, par pose d’une perfusion létale prolongée sans réveil possible de l’endormi.

CULTE DE LA MORT D’UNE SOCIÉTÉ DÉCADENTE ET AGONISANTE

Alors pourquoi ce culte obsessionnel de nos « élites » de la mort ? Quelques illuminés écologistes pensent que la diminution du nombre d’humains sur terre, émettant comme les vaches trop de CO2, limiterait le réchauffement climatique et préserverait la planète bleue. Quelle prétention ! La terre a vécu avant nous et nous survivra et de vrais humains feraient mieux de s’occuper du bien être des vivants que d’un monde qui nous dépasse.

Nous avons déjà expliqué à plusieurs reprises le danger inhérent (et peut-être caché) à la légalisation de l’euthanasie, particulièrement dans une société de violence, de pauvreté, de pertes de repères, d’ensauvagement comme la nôtre depuis quelques décennies.6 7

AIDER UN PATIENT À MOURIR A TOUJOURS ÉTÉ VRAI, MAIS DANS LE SECRET DE LA CHAMBRE DU MALADE

Le seul rapport valable entre un malade et un médecin est le colloque singulier, sans témoin, qui a de tout temps permis à un médecin de famille de soulager un patient, quitte à accélérer le décès, mais dans la communion réelle entre le désir du malade et l’aide du médecin.

Mais la marchandisation de la mort avec renfort de publicité comme les cliniques suisses d’euthanasie n’a rien à voir avec la compassion, mais bien avec la manipulation de personnes fragiles et de leurs proches pour certains compatissants, pour d’autres complices.

Nous écrivions en mai 2022 8 que depuis des lustres et comme pédiatre oncologue et toute l’équipe, nous nous battions CONTRE cette nouvelle « théorie » qui consiste à éliminer les malades considérés comme incurables (par qui ?) et en particulier les enfants cancéreux qui furent probablement le terrain d’essai social de cette pratique immonde dès les années 2000.

Les propositions d’essais thérapeutiques usées, les familles se voient expliquer que la compassion de ces médecins chercheurs pour votre enfant les conduit à les « endormir » puisqu’on ne peut plus rien pour eux. En tous cas, ces équipes-là…

Ce fut ma première révolte évoquée dans la publication de « neuf petits lits au fond du couloir »9 en 2000, relatant quelques exemples d’enfants condamnés par les soi-disant sachants et auxquels la médecine classique individualisée avait finalement pu donner quelques mois ou années de survie en bonnes conditions, voire la guérison et un avenir professionnel et familial pour d’autres. Mais ils avaient dû quitter (grâce à leurs familles) le chemin déjà consensuel de la « recherche clinique » prioritaire et devenue toute puissante via la corruption de Big Pharma et l’hégémonie du plan cancer depuis les années 2000.10

L’explication économique fut une des premières évoquées dans la période récente 11

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient, selon l’Ined. »12

Mais ne nous y trompons pas, l’explication seulement financière était probablement naïve, vu l’évolution actuelle de la société occidentale, du Canada à la Belgique…

Elle doit être « progressiste » cette théorie qui consiste à « liquider des êtres embarrassants, inutiles et pesants, dirait Attali (toujours là, jamais suicidé malgré son âge avancé — ça ne vaut que pour les gueux), soit par leur grand âge, soit par leurs handicaps.

« La prescription du Rivotril a contribué à la Solution létale »

Le drame a de nouveau explosé avec le scandale du Rivotril et les fameuses instructions aux médecins en mars 2020 puis le décret du 28 mars 2020 permettant aux médecins d’injecter du Rivotril aux patients susceptibles d’être atteints du covid. 13

L’euthanasie devenue une habitude pour certains

L’AP-HP (les hôpitaux de Paris) a mis en place des Groupes d’intervention rapide pour aller administrer du Rivotril dans toute l’Île-de-France. Or la fameuse « surmortalité » de mars-avril 2020 n’a quasiment eu lieu qu’en Île-de-France » dans la zone d’action de ces fameux groupes d’intervention rapide.

« L’EUTHANASIE PREND SA PLACE DANS LES OUTILS DE GESTION DU GRAND ÂGE ! » 14

L’euthanasie comme moyen de réguler le coût des retraites et le grand âge redevient un sujet d’intérêt médiatique dans la mesure où le président réélu remet sur les rails une loi sur la fin de vie pour le début 2023.

« L’euthanasie devient une “proposition sociale” »

« Une liste de “choses concrètes” qui débute par “l’évocation d’une prime à l’adaptation de l’habitat, alignée non pas sur la prime à la casse, mais c’est plus délicat sur Ma Prime Rénov, pour la rénovation énergétique”, ironise Erwan Le Morhedec dans son article du figaro.

« Puis, après d’autres propositions aussi peu ambitieuses et inventives les unes que les autres, vient l’euthanasie, souligne-t-il. Pour être concrète, l’euthanasie sera concrète, pour qui la subira ». Ainsi, « voilà l’euthanasie qui, dans les mentalités, prend sa place dans les outils de gestion du grand âge ! »

« Voilà que cette euthanasie — qui doit être demandée et que nul n’est jamais censé proposer — devient une proposition sociale» « C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts »15

CONDITIONNEMENT ET CULPABILISATION DES PERSONNES ÂGÉES ET/OU HANDICAPÉES

Alors on conditionne les gens âgés pour qu’ils se sentent de plus en plus surnuméraires d’autant que le mythe de notre responsabilité dans les changements du climat les conditionne à vouloir disparaître pour ne pas ruiner la sécu et sauver la planète !

Quelle vantardise, quelle prétention de croire que les pauvres humains vont interférer avec les périodes glaciaires ou chaudes ! Quoi que nous fassions, la planète survivra ! Seules les espèces vivantes, dont la nôtre, peuvent disparaître.

Depuis plusieurs décennies, les associations pour la « mort dans la dignité » ont fait un lobbying important auprès des politiques pour ancrer dans la population la notion de suicide assisté, voire d’euthanasie. Comme médecin cancérologue, pendant ces longues années, on a vu les demandes des familles augmenter alors que celles des patients restaient proches de zéro comme l’avait bien expliqué le Pr Lucien Israël dans « la vie jusqu’au bout » il y a plus de vingt ans.

Et le nouveau quinquennat devrait à nouveau tenter de faire passer une loi pour l’euthanasie, pour la culture de la mort et de la diversion. L’Ukraine, la variole du singe et le covid ne feraient-ils plus recette ?

« Les esprits ont été, de longue date, préparés à cette évolution, puisqu’il est convenu désormais que “l’on meurt mal en France”. Un slogan, à la signification obscure, qui suggère qu’il faudrait mourir mieux. Pour finir par mourir quand même. »

« UN CONTEXTE JURIDIQUE NOUVEAU » ET ILS REVIENNENT ENCORE ET ENCORE SUR CE SUJET MORBIDE ET MALSAIN, ET POURTANT LES FRANÇAIS N’EN VEULENT PAS 16

Contrairement à leurs mensonges répétitifs sur radio pouvoir !

En 2005, la loi Leonetti a autorisé « l’arrêt des traitements qui n’ont pour seul effet que le maintien artificiel de la vie du patient ». En 2016, la loi Claeys-Leonetti y a associé « systématiquement » une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Ce fut déjà une terrible escroquerie, sédation continue dont on ne vous réveille pas !! Qu’est-ce d’autre qu’une euthanasie sans l’accord véritable du patient ou de sa famille, une fantastique hypocrisie qui dure des toujours !

Et quand l’on sait que certains patients dans le coma « pensent » au moins par moments, par bribes, comme tant de survivants l’ont raconté dans des livres ou directement ! Combien d’entre eux se sont-ils sentis abandonnés et pendant combien de jours ? Pire qu’une euthanasie « habituelle » en quelques heures maximum. Une torture sûrement parfois.

Ce « contexte juridique nouveau » « a permis au Conseil d’État de juger légale la décision médicale de provoquer la mort par arrêt de l’hydratation et de l’alimentation artificielle d’un homme placé dans l’impossibilité d’exprimer ses volontés, et qui n’était pas en fin de vie », dénonce Jean-Marie Le Méné.

Ces lois Leonetti et Claeys-Leonetti de 2005 et 2016, relatives aux droits des malades et des personnes en fin de vie, ont créé une véritable rupture avec la loi du 9 juin 1999 visant à garantir le droit à l’accès aux soins palliatifs.

La loi Leonetti constitue le terreau qui permettra, demain, de légaliser le droit de se donner la mort, par injection/administration d’une substance létale avec l’aide du corps médical. Les pièges de cette loi sont multiples comme le souligne Emmanuel Hirsch en octobre 202017.

« Le parcours chaotique de M. Vincent Lambert dans les dédales médico-juridiques est exemplaire d’une déroute éthique et politique qui interroge nos valeurs de sollicitude et de solidarité ». « M. Vincent Lambert, dans sa mort même, nous interroge sur ce qu’est l’esprit de notre démocratie »

Au regard des souffrances provoquées par l’arrêt de la nutrition et l’hydratation, la loi Claeys-Leonetti, votée dix ans après la loi Leonetti, l’a associé systématiquement à une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Cette pratique vise incontestablement à accélérer voire à provoquer la mort du patient.

LA TRANSGRESSION DUE AU SERMENT D’HIPPOCRATE — « JE NE PROVOQUERAI JAMAIS LA MORT DÉLIBÉRÉMENT » est consommée. Il ne reste plus qu’à débattre de la méthode : une injection par le médecin ? Un comprimé à prendre soi-même ?

De surcroît, le médecin reste impliqué dans le processus, car il devra établir la recevabilité de la demande de suicide faite par son patient. Comment concilier cette perspective avec le délit de non-assistance à personne en danger, prévu et réprimé par l’article 223-6 du Code pénal ?

Rappelons-nous que « le médecin est fait pour se battre contre la mort. Il ne peut subitement changer de camp et se mettre du côté de la mort » (Dr Jérôme Lejeune).

Pour Jean-Marie Le Méné, « la seule manière efficace de combattre la légalisation de l’euthanasie est effectivement le développement des soins palliatifs, mais en excluant clairement de son contenu tout arrêt des soins ». Pour « rompre un continuum inexorable ». Les hommes politiques n’ont pas à imposer aux soignants « la mise en œuvre de lois sociétales qui n’ont rien à voir avec l’exercice de leur art ».18

« IL Y AURAIT POURTANT TANT À FAIRE, TANT À INVENTER POUR MIEUX S’OCCUPER DE NOS PARENTS »

Alors « comment notre société et les “progressistes” ont-ils pu perdre ce réalisme et ce simple humanisme en l’espace de trente ans ?, interroge Erwan Le Morhedec. Parce que l’euthanasie répondrait au mouvement perpétuel d’émancipation qu’ils vénèrent ? » « Qu’ils réalisent donc qu’à terme, l’émancipation a pour nom isolement et solitude, interpelle l’avocat. C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts. Alors réveillons-nous, il y a tout un pays à remettre sur ses pieds, pour remettre la personne au centre. »19 de nos préoccupations

Rappelons une nouvelle fois À SITUATION EXCEPTIONNELLE SOLUTION PARTICULIÈRE, MAIS PAS DE LOI ! Cet article, pas plus que les précédents n’est pas un papier souhaitant interdire de soulager un malade en fin de vie qui n’en peut vraiment plus et ne peut pas se suicider lui-même. Ces situations exceptionnelles ont, du temps où la vraie médecine existait, et n’était pas polluée par les dérives médicolégales, médiatiques et autres, toujours été résolues dans le secret du cabinet en liaison par le colloque singulier médecin-patient20.

MAIS LÉGIFÉRER EST UNE ABERRATION QUI PERMET TOUTES LES DÉRIVES

Le professeur Léon Schwarzenberg qui avait promu l’euthanasie CHOISIE pour les cancéreux au bout du rouleau et que j’ai connu dans les années 80 dans le service du Pr Mathé à Villejuif insistait beaucoup sur ce danger. Il nous disait se mettre en avant sur ce sujet pour protéger les médecins anonymes qui auraient « aidé » leur patient des poursuites juridiques qui commençaient à apparaître.

Rien n’est simple, mais il faut se garder de la manipulation médiatique de sujets aussi graves, par des personnes même bien intentionnées, mais loin des patients et du tragique du vécu des derniers moments, utilisés par des idéologues de la vie et de la mort et de la manipulation de certains espérant un poste ou quelques voix.

L’expérience du scandale du Rivotril a démontré que, même sans loi, les dérives sont rapides.

NE JAMAIS LÉGIFÉRER

Et si, par malheur l’autorisation de donner la mort devenait légale, comme l’ont fait en leur temps les nazis par l’aktion T421 je conseille à tous, mais surtout à ceux qui ont des ennemis où dont le patrimoine pourrait susciter des convoitises de bien choisir leur personne de confiance…

UNE PRUDENCE COMPLÉMENTAIRE DISCUTABLE, MISE EN CAUSE DE FAIT PAR L’AVIS DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL, LES DIRECTIVES ANTICIPÉES

Certains avaient l’illusion de leur propre protection par des « directives anticipées » dont néanmoins nous nous méfions beaucoup. La demande des « bien portants » qui donnent des directives anticipées ne correspond pas toujours au vécu du grand malade quand il arrive devant l’échéance. Ces directives anticipées sont aussi le plus souvent une manipulation psychique de celui auquel on fait signer « un papier » abstrait, administratif, sans lien avec la réalité qu’il aura à subir. Préparation aux documents qu’on signera bientôt aux assurances privées pour savoir si on veut la réa ou non comme aux USA (en cas de refus programmé de réa, vous bénéficiez d’une ristourne sur la prime d’assurance). Et le jour venu, on vous refusera l’entrée en réa ou la grosse opération, car votre prime d’assurance ne le prévoyait pas !

Damien Le Guay le résume très bien dans son Interview :

« Les Directives Anticipées (D.A.) deviennent de plus en plus indispensables dans les dispositifs législatifs. Les politiques les demandent. Les lois aussi. La solution, disent-ils tous, viendra de cette expression par avance des volontés. Or, cette expression est tout à fait impossible face à une situation inimaginable par avance. Nous ne savons pas ce que nous réserve l’avenir. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie tant que nous n’y sommes pas. Penser est une chose, vivre en est une autre. Le sens de l’histoire, fait de ces D. A. des indications non contraignantes qui vont vite devenir contraignantes, qui restent encore à apprécier par les médecins et qui seront vite opposables au tiers. Or, les D. A. vont être, de plus en plus, la porte d’entrée de l’euthanasie. Et plus elles vont devenir contraignantes, plus elles vont mettre au grand jour leurs injonctions aussi contradictoires qu’impossibles. Plus elles vont solliciter des qualités morales qui auront été affaiblies par la “passion de l’égalité” et plus elles produiront des “volontés” qui seront soumises à l’opinion dominante. »

MAIS FINALEMENT LE MÉDECIN A LE DROIT DE NE PAS RESPECTER CES DIRECTIVES ! AVIS DU 10 NOV 2022

Et si on pensait être protégé par les fameuses directives anticipées, une décision du Conseil constitutionnel vient de tomber :

« Un médecin n’est pas contraint de respecter les directives anticipées (DA) d’un patient sur son maintien en vie, lorsqu’il les juge “manifestement inappropriées ou non conformes” à sa situation médicale. Et cela est bien conforme à la Constitution, notamment aux principes de sauvegarde de la dignité de la personne et de la liberté personnelle », confirme le Conseil constitutionnel dans une décision rendue ce 10 novembre. »22


 

 

 

 

 

 

21 https://www.geo.fr/voyage/nazisme-aktion-t4-la-mise-a-mort-des-inutiles-16136622 « le Conseil constitutionnel a été saisi par la famille d’un patient de 43 ans, plongé dans le coma depuis mai après un accident — patient qui, en juin 2020, avait rédigé des DA, précisant souhaiter être maintenu en vie “même artificiellement” en cas de coma.

Deux mois après son arrivée au service de réanimation de l’hôpital de Valenciennes (Nord), et après des examens approfondis et la consultation de réanimateurs extérieurs à l’équipe comme le veut la procédure collégiale prévue par la loi Leonetti-Claeys de 2016, les médecins ont estimé “inutile et même disproportionnée” la poursuite des traitements de maintien artificiel de la vie. La décision d’arrêt des soins — une ventilation mécanique, avec nutrition et hydratation artificielles — est prise le 15 juillet. L’hôpital se réfère à l’article L. 1111-11 du Code de la santé publique, dont l’alinéa 3 prévoit que les directives anticipées s’imposent au médecin sauf lorsqu’elles “apparaissent manifestement inappropriées ou non conformes à la situation médicale” — pour passer outre la volonté du patient ».
Fin de vie : le médecin a bien une marge de manœuvre dans l’application des directives anticipées, confirme le Conseil constitutionnel | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

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Maître Jacques Schroeter: Vaccins Covid — Un peuple gravement trompé par ses autorités

Par Maître Jacques Schroeter     Mondialisation.ca, 03 novembre 2022

covidhub.ch      Région : L’Europe  Thème: Loi et JusticeScience et médecine

Analyses: COVID-19    

TOUT EST DIT ET BIEN DIT

A PARTAGER  A ENVOYER A TOUS LES DEPUTES ET SENATEURS FRANCAIS ET A TOUS ELUS

Lettre de l’avocat Jacques Schroeter au Conseil fédéral. Il accuse les autorités de déni face aux dégâts des mesures et des vaccins Covid. Et annonce des suites judiciaires possibles – notamment pour lésions corporelles et homicide.

Voici le texte intégral de la lettre adressée le 25 octobre 2022 au nom de 700 mandants par l’avocat valaisan au gouvernement. Intertitres de Covidhub.

*****

Maître Jacques Schroeter

Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux,

Dans ma lettre du 24 août 2022, je vous demandais si le fait d’inoculer vos sujets d’une substance expérimentale pour laquelle vous n’aviez aucune connaissance sur les conséquences à long terme vous avait causé un cas de conscience et, si oui, ce que vous aviez fait de ce sentiment ?

A ce jour, je ne connais toujours pas votre point de vue sur le sujet. Mais nous y reviendrons plus loin.

Votre mensonge des «vaccins efficaces et sûrs à 95%»

Dans ma lettre suivante du 8 septembre 2022, je vous demandais si le fait d’avoir affirmé à vos sujets que vos pseudo « vaccins » étaient efficaces et sûrs à 95 %, alors que cela est un mensonge, et même un mensonge d’envergure, vous pose également un cas de conscience et, dans l’affirmative, si vous nourrissez quelques regrets d’avoir trompé vos administrés ?

Je n’ai pas plus de réponse de votre part à ce sujet.

L’absence de réponse serait-elle à mettre en rapport avec celle de la bonne conscience ? La question peut pour l’instant rester ouverte.

Comment avez-vous pu vous laisser embarquer… ?

Mais aujourd’hui, je me demande comment vous n’avez pas pu voir la réalité des choses? Comment le Conseil fédéral et les autorités cantonales ont pu se faire embarquer dans ce grand mensonge qu’est l’épidémie Covid ? Comment les autorités ont pu se laisser amener à instaurer toutes les mesures insensées prises au détriment du peuple ? Avec au final, l’espoir de voir ces autorités sortir de leur torpeur, prendre conscience de la gravité de la situation, changer de cap, œuvrer pour le bien des citoyens et assumer les responsabilités qui sont les leurs.

Et si je devais me tromper sur le fait que les autorités ont été manipulées et s’il devait s’avérer que c’est sciemment qu’elles ont agi, alors là, la situation atteindrait un niveau de gravité tel que ces autorités s’inscriraient malheureusement à jamais dans les pages les plus sombres de notre histoire.

Bref rappel historique

Mars 2020, l’épidémie Covid 19 débute en Europe. C’est la panique générale. Une campagne médiatique de peur hors du commun se met en place. Médias et gouvernements s’allient, probablement poussés par les entreprises pharmaceutiques aux mains des grands financiers de ce monde, pour faire passer à longueur de journée et sans relâche des images chocs et tenir des propos terrorisant la population et lui laissant croire que nous allions tous mourir.

Ce fut le point de départ d’une véritable dystopie. Des mesures exceptionnelles furent prises dans la précipitation, fermeture des commerces, fermeture des écoles, confinement, port du masque… mesures dont on n’a pas fini de payer le prix sur les plans économiques, psychologiques, sociétaux, médicaux etc., tout cela en balayant d’un revers de manche tous les droits fondamentaux des citoyens.

Climat anxiogène savamment entretenu

Le premier élément surprenant fut de voir gouvernants et responsables paniquer et perdre leur sang froid, contribuant ainsi fortement au climat de peur alors qu’il eût été de leur rôle de conserver calme et réflexion.

En effet, déjà à l’époque, soit en avril 2020, de nombreux spécialistes indiquaient que l’épidémie COVID 19 ne présentait pas de préoccupation particulière. Ce fut notamment le cas du Professeur John P. A. loannidis de l’université de Standford, considéré comme l’un des plus éminents scientifiques actuels dans le domaine médical. D’autres éminents spécialistes se sont exprimés en ce sens.

Mais toutes ces voix discordantes ont été tues au profit d’un climat anxiogène savamment entretenu, une terreur qui allait finalement permettre la mise en place d’une campagne mondiale de vaccination sans précédent. Par là, je fais référence à la censure des opinions divergentes, censure à l’encontre de laquelle vous n’avez malheureusement rien fait, permettant ainsi un grave déficit de démocratie.

Médicaments efficaces et bon marché interdits

Devant la maladie, les médecins se sont immédiatement mis à faire ce pourquoi ils avaient été formés, à savoir soigner les gens. Pour cela, ils ont utilisé les médicaments qu’ils connaissaient de longue date, tels que l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine, médicaments bien connus, bon marché et sûrs. Et ça fonctionnait… Mais soudain, ô surprise, ces médicaments ont été interdits ! Du jour au lendemain, ils furent déclarés dangereux.

La corruption était passée par là et nous verrons pourquoi plus loin. Les acteurs de cette corruption ont même réussi à faire publier dans le Lancet , la célèbre «bible scientifique à comité de lecture», un article affirmant que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux à ne pas utiliser, article se disant fondé sur des rapports scientifiques alors qu’il n’en était rien, article même contresigné par un professeur d’université de Zürich.

 

La corruption dans le domaine médical

Cet article, donc parfaitement mensonger puisque ne se reposant sur rien, donnera bien lieu à des excuses du Lancet, excuses dont les médias « mainstream » se sont bien gardés de faire état. Et pour cause, il fallait surtout ne rien changer au discrédit jeté sur le médicament bon marché et utile. Et le professeur d’université zurichoise de continuer sans souci à dispenser son bon savoir à ses braves étudiants…

A l’époque, personnellement surpris de constater que la corruption dans le domaine médical pouvait aller jusqu’à publier de fausses études dans un magazine aussi prestigieux que le Lancet, j’avais moi-même questionné un ami pharmacien sur la question de la dangerosité de l’hydroxychloroquine.

Sa réponse fut textuellement la suivante « Jacques, si tu avales une boîte entière d’hydroxychloroquine tu ne meurs pas, mais si tu avales une boîte entière de Dafalgan, tu meurs, c’est ça la dangerosité de l’hydroxychloroquine… ». Voilà ce que tout pharmacien et tout médecin savait, et ce qui était à la portée du savoir de tout individu quelque peu désireux de se renseigner !

 

Pourquoi a-t-on laissé mourir des gens ?

Pourquoi donc ces médicaments bon marché ont-ils été subitement interdits ou mis au ban ? Pourquoi a-t-on dit aux gens malades de rester chez eux et de ne venir à l’hôpital qu’en présence de détresse respiratoire ? Pourquoi n’a-t-on pas soigné les gens comme on aurait pu le faire avec les médicaments existants ? Pourquoi tant de gens non correctement soignés sont décédés seuls chez eux ? Pourquoi a-t-on laissé mourir tant de personnes âgées seules dans leur chambre en EMS, sans même la visite d’un proche ?

On le sait aujourd’hui. C’était pour permettre l’arrivée du « graal », les vaccins, présentés comme les sauveurs du monde. Les grands laboratoires pharmaceutiques avaient en effet flairé la bonne affaire. Ils sont arrivés sur le marché avec ce qu’ils annonçaient être «vaccins» mais qui en fait sont des produits expérimentaux de manipulation génique.

Des produits expérimentaux non testés correctement

Ces produits, fabriqués dans la précipitation et sans avoir passé tous les tests, furent autorisés au motif qu’il n’existait pas de médicaments. On comprend dès lors pourquoi les médicaments existants et sûrs devaient être soigneusement et préalablement discrédités !

Sont ainsi arrivés sur le marché (juteux) les vaccins, substances présentées par vous comme sûres et efficaces, vaccins dont les 2 fonctions ordinaires et essentielles auraient dû être :

  • de protéger l’individu
  • et d’empêcher la propagation de la maladie

Et c’est là que le déni de réalité a pris une ampleur considérable.

Le «vaccin Covid» comme protection de l’individu

Il est aujourd’hui clairement admis que le « vaccin Covid » ne protège pas de la maladie. C’est indiscutable. Tout un chacun a pu constater dans son entourage que les personnes vaccinées ont tout de même contracté la maladie.

Vous rétorquerez, et c’est votre « roue de secours actuelle », que le « vaccin Covid » protège contre les formes graves. C’est amusant de constater que par ces mots, vous reconnaissez tout d’abord expressément que le vaccin ne protège pas contre la maladie !

Ce fait avéré et reconnu devrait à lui seul vous faire stopper la vaccination, ce d’autant plus que vous ne savez rien sur les conséquences à long terme de cette dernière, conséquences qui sont de plus en plus catastrophiques comme nous le verrons plus loin.

Protection contre les formes graves ? C’est faux !

Mais ensuite, l’assertion selon laquelle le vaccin protégerait contre les formes graves est totalement fausse. Il n’existe aucun rapport sérieux le démontrant. Du reste, en toute logique, comment pourrait-on affirmer qu’une personne vaccinée tombant malade aurait eu une forme grave sans le vaccin puisqu’il n’est pas possible de lui ôter le vaccin pour voir quel en aurait été l’effet ?

Or, les dernières études indépendantes démontrent exactement le contraire, à savoir que les personnes vaccinées développent plus de formes graves que les personnes non vaccinées, et cela même chez les personnes de plus de 85 ans. Les chiffres de septembre 2022 de la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) du gouvernement français indiquent clairement que la triple vaccination expose davantage les personnes aux formes graves du Covid et aux décès que les personnes non vaccinées.

Merveilleux monde que celui dans lequel on vaccine des personnes qui deviennent ainsi plus susceptibles de contracter la maladie et de mourir que les personnes non vaccinées !

Les pays les plus vaccinés comme Israël ont eu des pics d’infections

Très rapidement, il fut possible de se rendre compte que la protection annoncée n’existait pas.

Dès juillet 2021, vous pouviez constater que dans les pays qui avaient vacciné le plus, notamment Israël et d’autres encore, non seulement le vaccin n’avait pas stoppé la maladie, mais que c’était dans ces pays-là que l’on enregistrait les plus gros pics de personnes infectées, des pics encore plus forts que ceux enregistrés avant le vaccin !

Et vous pouviez également constater que la situation était bien meilleure dans les pays qui vaccinaient le moins ou qui n’avaient pas accès au vaccin. C’était visible par tout un chacun. De nombreux spécialistes l’ont relevé, spécialistes malheureusement immédiatement censurés et discrédités. Je vous avais moi-même rendus attentifs à cela dans mes premiers courriers. Cela fait donc longtemps que le vaccin n’avait déjà plus de sens. Du reste, on peut même raisonnablement se demander s’il en a eu un à un certain moment ?

Toujours est-il qu’aujourd’hui il est acquis que le « vaccin Covid » ne protège pas contre la maladie.

Le vaccin comme obstacle à la propagation

La 2ème qualité essentielle d’un vaccin est celle de faire obstacle à la propagation du virus et donc de casser les chaînes de transmission. Vous vous souvenez du slogan « tous vaccinés, tous protégés » et l’abondante propagande médiatique qui s’en est suivie, propagande à laquelle les gouvernements ont généreusement participé. Et bien cela est également un mensonge d’Etat.

Sauf à vouloir encore ignorer la réalité des choses, vous avez certainement vu ou entendu le récent témoignage devant la commission européenne de Mme J. Small, assistante de M. Bourla, PDG de Pfizer (qui s’était fait porter pâle et pour cause), laquelle a reconnu qu’il n’y avait pas d’études faites concernant la protection du vaccin contre la transmission du virus.

Cette audition parlementaire fait actuellement grand bruit, malgré la censure. Vous avez bien saisi, la question de la protection sociale du vaccin ou son effet collectif n’a tout simplement jamais été examinée. Et vous autorités, qu’avez-vous dit à votre population ? « Vaccine-toi pour protéger grand-mère », vaccine-toi par altruisme… alors que vous n’en saviez rien !

 

Certificat de la honte

Ce mensonge a permis au Conseil fédéral de mettre sur pied le certificat Covid, certificat qui a privé les citoyens non-vaccinés de leurs droits fondamentaux les plus élémentaires. Les parias non-vaccinés, citoyens irresponsables, n’ont eu ainsi qu’à rester chez eux. Ils ne méritaient pas d’accéder aux restaurants, aux cinémas, concerts, etc…

Par contre, il était juste de réserver ces agréments aux dociles citoyens trompés et soumis. Quelle belle réussite pour un gouvernement que celle de promouvoir un certificat qui discrimine une partie de sa population !

Obligation vaccinale déguisée

Par ce certificat Covid, le Conseil fédéral a mis en place une obligation vaccinale déguisée, obligation totalement interdite par différentes législations. Vous avez organisé à grands frais des concerts pour promouvoir le vaccin auprès de la jeunesse du pays et amener cette jeunesse à accepter une thérapie dont vous ne saviez rien sur ses conséquences à long terme.

Vous avez même été jusqu’au point d’envisager de payer les citoyens qui en amèneraient d’autres à se faire inoculer cette substance inutile et dangereuse. Comment ne pas avoir honte d’une idée aussi répugnante ?

«Vaccinés = altruistes, non vaccinés = égoïstes»

Pire encore, le Conseil fédéral a fait passer au sein de sa population le message selon lequel les vaccinés étaient des citoyens responsables et altruistes, au contraire des non-vaccinés qui eux étaient des citoyens égoïstes.

Vous avez ainsi créé au sein de votre population une scission entre les « bons » et les « mauvais » citoyens. Des familles se sont déchirées. Des amitiés se sont défaites. La peur de l’autre s’est installée au sein de votre population. Comment avez-vous pu mettre en place un terreau de division et de peur alors que l’histoire a si souvent montré les ravages et les exactions d’une telle chose ?

 

Le pire des maux : un gouvernement qui divise son peuple

Je vous pose la question : pensez-vous qu’il est possible pour un gouvernement de faire plus mal que de diviser son peuple ? Qui plus est sur la base d’arguments inexistants ? J’ai moi-même entendu un homme d’Etat valaisan dire de façon totalement irréfléchie qu’il n’était pas normal que l’économie soit l’otage de quelques irresponsables non-vaccinés. Et j’ai moi-même entendu dans mon entourage quelqu’un de très instruit dire qu’un non vacciné ne devait pas être soigné s’il tombait malade. C’est cela le résultat social de votre action politique : dissension et haine.

Je pourrai encore m’étendre sur l’ampleur des dégâts économiques, sociaux et psychiques de ces mesures, notamment sur notre jeunesse. Je m’arrête là pour ne pas allonger en vous signalant que vous trouverez la liste de ces dégâts et leurs détails auprès des différents spécialistes indépendants des domaines concernés. Je vous y renvoie.

Les effets indésirables du vaccin

Nous avons vu que le « vaccin Covid » ne protégeait pas l’individu contre la maladie et n’empêchait pas la transmission de la maladie, et donc qu’il ne remplissait aucune des 2 fonctions essentielles d’un vaccin. Au concours des mesures inutiles, ce vaccin occuperait donc une place de choix !

Si seulement l’inutilité était son seul défaut, ce ne serait pas trop dramatique. A cette inutilité s’ajoute cependant et malheureusement des effets indésirables nombreux et graves. Parmi ces effets indésirables figurent non seulement des maladies, mais également la mort.

Nous avons déjà vu plus avant sur la base des chiffres de septembre 2022 de la DREES que la triple vaccination expose davantage les personnes aux formes graves du Covid et aux décès que les personnes non vaccinées.

On n’a jamais vu autant d’effets secondaires

Selon les rapports du VAERS (système américain de suivi des effets secondaires des vaccins), on n’a jamais vu autant d’effets indésirables à la suite d’un vaccin. Nombre de vaccins ont été interdits avec des effets secondaires bien moins nombreux. Ces effets indésirables sont plus nombreux en proportion que n’importe quel autre vaccin, ceci dans un rapport conséquent de 1 à 100, voire de 1 à 200.

Selon les données américaines, le 99 % des signalements d’effets indésirables en 2021 et 2022 concernent les « vaccins Covid ». Il y a 1 myocardite toutes les 1 000 injections, une hospitalisation toutes les 1 000 injections et un décès toutes les 5 000 injections.

Les jeunes paient le prix fort

Selon les données européennes, 800 000 effets indésirables ont été signalés et 26 000 décès. Chez les 12-17 ans, on enregistre 15 000 effets graves déclarés, et chez les 5-11 ans 1 700 effets graves déclarés.

Ceci au sein d’une population qui ne meurt pas du Covid et que vos mentors veulent aujourd’hui vacciner. Chez les ados, on enregistre plus de 250 jeunes filles victimes d’aménorrhée, plus de 2 000 myocardites dont 900 avec hospitalisation, 45 thromboses, 25 arrêts cardiaques et environ 50 cécités et 1 myocardite tous les 1 500 vaccinés. Des jeunes en bonne santé et sans antécédents meurent.

Beaucoup de décès

Toutes classes d’âges confondues, c’est 1 effet grave tous les 100 vaccinés et 1 décès tous les 3000 vaccinés. Et il est statistiquement prouvé qu’au mieux seul le 10 % des effets indésirables remonte jusqu’aux agences de recensement. Vous pouvez imaginer la catastrophe.

Le risque de décéder du vaccin en cas de survenance d’un effet secondaire est plus grand que celui de décéder du Covid 19 en cas de symptômes, et cela même chez les personnes de plus de 85 ans. C’est cela la balance bénéfice/risque, balance bien négative.

En Angleterre et aux USA, des embaumeurs chargés de préparer les corps affirment avoir trouvé des caillots fibreux et caoutchouteux de grande taille à l’intérieur des cadavres. Le même cas m’a été rapporté de France.

La plus grande erreur médicale, la plus grande attaque contre la démocratie

Se basant sur des études israéliennes et américaines avec des données claires et précises, le célèbre cardiologue Assem Malhotra affirme qu’il y a une augmentation de 25 % des crises cardiaques et d’arrêts cardiaques associée au vaccin et non au Covid, que le vaccin est plus susceptible de causer des problèmes que de protéger, même pour les personnes au-delà de 60 ans, et qu’il faut arrêter immédiatement la vaccination.

 

Il est persuadé qu’avec le recul une enquête sera finalement menée afin de déterminer les responsables de ce qui constitue probablement la plus grande erreur de la science médicale jamais commise, la plus grande attaque contre la démocratie, dommage à la santé de la population et perte de confiance dans le système de santé. Il faut arrêter cela immédiatement pour éviter plus de dommages encore.

 

Tout cela n’est finalement pas étonnant si l’on sait que les fabricants de vaccins ont arrêté leurs tests sur les rats, après qu’ils soient tous morts, ceci pour faire les tests directement sur les hommes. Profits et rapidité obligent.

En conclusion, nous sommes en présence de vaccins qui ne protègent pas de la maladie, n’empêchent pas sa transmission et qui, de surcroît, entraînent de graves effets indésirables, dont la mort.

Les conséquences juridiques

Je reviens sur la seule chose que vous ayez reconnue jusqu’à maintenant, à savoir que vous n’aviez aucune connaissance sur les conséquences à long terme des « vaccins » Covid, ignorance qui, comme nous l’avons vu, n’a pas empêché un soutien massif de la campagne de vaccination.

Poussons maintenant le raisonnement un peu plus loin. Admettre que l’on ne connaît pas les conséquences d’une thérapie, c’est admettre en toute logique qu’elle puisse avoir du bon, mais également du mauvais.

Une thérapie génique autorisée sur la base d’études bâclées

Et si l’on sait que la thérapie en question est une thérapie génique nouvelle (ARNm) différente des vaccins ordinaires, qu’elle a été mise sur le marché dans la précipitation, sans passer par toutes les phases ordinaires de tests, qu’elle a été autorisée sur la base d’études bâclées faites uniquement par les fabricants du produit, fabricants plusieurs fois condamnés pour malversations et fraudes, si l’on sait également que ce pseudo-vaccin introduit dans le corps humain des éléments pour le moins surprenants (graphène,…) et dont la nature exacte n’a volontairement pas été révélée par lesdits fabricants, il était à la portée de toute personne sensée et non servile d’envisager que la substance en question puisse avoir des effets secondaires néfastes, notamment entraîner des maladies, des handicaps, et même la mort.

 

Effets à long terme: le Conseil fédéral aurait dû nous informer de son ignorance

Ceci d’autant plus lorsque l’on est dans l’ignorance des conséquences à long terme du produit ! La plus grande prudence s’imposait donc de toute évidence, prudence qui a fait défaut ! Le Conseil fédéral aurait dû informer la population de son ignorance et s’assurer de lui faire signer des consentements éclairés, consentements d’autant plus essentiels qu’il était concrètement demandé aux citoyens de participer à une expérience médicale.

Vous savez parfaitement qu’en possession de cette information cruciale, nombre de citoyens ne vous auraient pas suivis. Mais en lieu et place d’une information correcte, le citoyen s’est retrouvé confronté à une publicité unidirectionnelle vers le vaccin. Vous avez soutenu une campagne vaccinale sans précédent, campagne menée avec les deniers publics, finalement au profit des bénéfices records des entreprises pharmaceutiques et de leurs actionnaires.

 

Infraction pénale

Ces rappels et précisions ne sont pas sans conséquences sur le plan juridique. En effet, une infraction pénale est commise non seulement lorsque son auteur a la volonté de commettre le résultat (causer des lésions corporelles, donner la mort etc.), mais aussi lorsque, sans vouloir directement le résultat délictuel (lésions corporelles, mort), une personne admet que ce résultat puisse survenir à la suite de ses actes, et que cette personne agit malgré tout.

 

C’est ce que le droit qualifie de « dol éventuel ». Le reproche qui est fait à l’auteur de tels actes c’est d’agir tout de même malgré qu’il ait connaissance du fait que ses actes puissent avoir des conséquences dommageables, et qu’il s’en accommode.

 

Autorités coupables de lésions corporelles et d’homicide

Ainsi, dans la mesure où les autorités sanitaires suisses avaient reconnu ne rien savoir sur les conséquences à long terme des vaccins et que ces autorités ne pouvaient pas exclure, compte tenu du fait qu’il s’agissait de toucher ni plus ni moins à l’intégrité physique des citoyens, que ces conséquences pouvaient être des lésions corporelles, voire la mort, et qu’elles ont agi malgré tout, elles se sont rendues coupables de lésions corporelles (art. 122 ss CP) et d’homicide (art. 111 CP) par dol éventuel.

 

Ainsi, toute personne ayant subi des conséquences du fait des vaccins Covid est en droit de réclamer justice et réparation de la part de toute autorité ayant activement participé à la campagne de vaccination Covid expérimentale. Les homicides et les lésions corporelles graves étant des infractions poursuivies d’office, les autorités pénales auraient même l’obligation d’ouvrir des enquêtes.

Je rappelle en outre que ce ne sont pas là les seules dispositions légales qui ont été enfreintes. Sur le plan constitutionnel, les dispositions suivantes ont été violées :

Huit violations de la Constitution

  • l’article 8 Cst qui garantit l’interdiction de discrimination des individus
  • l’article 10 Cst qui garantit à tout individu le droit à la liberté personnelle, notamment l’intégrité physique et psychique et à la liberté de mouvement
  • l’article 11 Cst qui garantit aux enfants et aux jeunes une protection particulière de leur intégrité
  • l’article 13 Cst qui garantit la sphère privéede toute personne, notamment la protection de ses données personnelles
  • l’article 19 Cst qui garantit la liberté d’enseignement
  • l’article 22 Cst qui garantit la liberté de réunion
  • l’article 27 Cst qui garantit la liberté économique, notamment le libre accès à une activité économique lucrative privée et son libre exercice
  • l’article 35 Cst qui garantit la réalisation des droits fondamentauxdans l’ensemble de l’ordre juridique

Sur le plan pénal, en plus des dispositions évoquées plus haut, les dispositions suivantes ont été enfreintes :

  • l’article 181 CP qui interdit la contrainte : contrainte de vaccination et contrainte des non-vaccinés privés des différentes libertés
  • l’article 258 CP qui interdit les menaces alarmant la population : c’est sans cesse, et même lorsque l’état sanitaire était bon, que la population a été apeurée et maintenue dans cet état
  • l’article 312 CP qui interdit l’abus d’autorité et l’abus de pouvoir : sous le couvert d’éléments scientifiques totalement absents, la population a été victime de graves atteintes aux libertés et maintenue dans une peur généralisée, notamment de l’autre, en procurant aux entreprises pharmaceutiques des profits colossaux, profits qui n’avaient pas de raison d’être.

Enfin, par rapport aux conventions internationales, les textes suivants ont été violés:

  • la résolution 2361 du Conseil de l’Europe qui interdit la vaccination obligatoireet qui interdit toute pression sociale, politique ou autre amenant une personne à se faire vacciner
  • La CEDH, Convention européenne des droits de l’homme, notamment son article 8 qui garantit le droit au respect de la vie privée et familialeet son article 14 qui interdit toute discrimination
  • le Code de Nurembergqui prévoit les conditions précises et minimales à remplir pour la conduite de la recherche sur des sujets humains, leur information complète et objective, leur liberté d’acceptation, et l’interdiction de la contrainte ou de la coercition
  • la Déclaration d’Helsinki,qui impose le respect des normes éthiques dans la recherche médicale
  • l’article 7 duPacte international de droits civils et politiques qui interdit de soumettre une personne à une expérience médicale sans son libre consentement éclairé
  • l’article 5 de la Convention d’Oviedo de 1997qui en fait de même et interdit de soumettre une personne à une expérience médicale sans son libre et éclairé consentement

Epilogue

Je vous ai présenté sans détour la réalité des faits et leurs conséquences dans l’espoir, comme indiqué initialement, de vous voir prendre conscience de l’extrême gravité de la situation dans laquelle nous nous trouvons tous du fait de la corruption à grande échelle de la science médicale, et dans l’espoir également de vous voir enfin prendre des chemins résultant de vos réflexions personnelles, chemins uniquement dictés par le bien-être de vos citoyens et par la cohésion sociale, ce pourquoi vous avez été élus.

Je souhaiterais vous voir sortir de la servitude imposée par le monde des puissants dont le seul objectif est de maximiser ses profits, même si cela doit se faire au prix de sacrifices humains.

A défaut, il vous appartiendra, tôt ou tard selon l’éveil des populations, de répondre des différentes dispositions légales enfreintes.

Corruption du monde médical : renseignez-vous !

 

Vous doutez encore de la corruption généralisée du monde médical ? Renseignez-vous. Elle existe depuis de nombreuses années. Des bibliothèques entières regorgent de livres sur le sujet. Et puis, posez-vous simplement la question usuelle dans de tels cas : « à qui profite le crime » ? Aux entreprises pharmaceutiques et à leurs actionnaires. Ils sont faciles à trouver puisqu’ils sont partout et non loin de vous.

Les privilèges colossaux de GAVI

Examinez notamment l’accord passé avec GAVI le 1er janvier 2009. Ne trouvez-vous pas étonnant que GAVI, entité créée par la famille Gates, ait reçu de la Confédération une série colossale d’avantages — inviolabilité des locaux — liberté totale d’action sur le territoire — exonération fiscale — inviolabilité des archives — immunité de juridiction — privilèges douaniers – droits de commercer toute valeur — immunité d’arrestation et de juridiction de ses membres etc., sans aucune contrepartie. GAVI pourrait même blanchir tout argent que la Confédération s’est interdite par avance de sanctionner. Et quel est le but de GAVI ? La promotion des vaccins et la vaccination du monde entier.

L’OMS derrière laquelle vous vous retranchez souvent a elle aussi pour objectif de vacciner le monde entier. Elle ne s’en cache pas et elle fait le forcing actuellement pour promouvoir les vaccins Covid. Et qui trouve-t-on parmi les principaux financiers privés de l’OMS ? La fondation Bill et Melinda Gates ainsi que GAVI.

L’opacité des commandes de vaccins par l’UE

Autre exemple récent : Mme Ursula Von der Leyen, Présidente de la  Commission européenne, a pris l’initiative de passer dans la plus grande opacité des commandes pour 4,5 milliards de doses de « vaccins Covid » pour le montant colossal de 71 milliards d’euros, chacune des doses ayant subitement passé de 4,50 euros, prix payés jusqu’ici, à 19,50 euros ! Cet accord généreux prévoit encore d’exonérer les pharmas de toute responsabilité pour leurs produits : il est même prévu que les frais et honoraires des avocats de ces pharmas soient à la charge des Etats acheteurs. L’opacité est telle (les courriels auraient subitement disparus !) qu’une plainte a été déposée par le procureur européen contre Mme Ursula Von der Leyen, Présidente de la commission européenne.

Si vous ne voyez aucun mal à tout cela, il vous faut, comme l’a récemment dit un complotiste éclairé, « retourner au pied du sapin en attendant que le père Noël vous fasse des cadeaux ».

 

La vérité va bientôt apparaître

La corruption et la vérité font peu à peu surface, ceci malgré la censure et les efforts colossaux faits pour les occulter. La vérité finira cependant par apparaître, c’est certain. Vos actions seront alors appréciées à l’aune de cette réalité. A vous donc de choisir maintenant dans quel camp vous souhaitez apparaître ? La première ministre de l’Alberta l’a bien compris, elle qui vient de présenter ses excuses à ses citoyens pour les discriminations infligées.

Si rien ne change nous n’éviterons pas que, dans quelques années et lorsque la vérité apparaîtra au grand jour, les citoyens de ce monde se demanderont comment une telle folie a pu s’installer, en disant jamais plus ça, de la même manière que récemment encore, nous nous posions la même question et émettions le même vœu lorsque nous examinions les éléments de la dernière guerre.

Je vous prie de croire, Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux, à l’expression de ma considération distinguée.

Jacques Schroeter, avocat

Le 25 octobre 2022

La source originale de cet article est covidhub.ch

Copyright © Maître Jacques Schroetercovidhub.ch, 2022

 

Saintes V3 28 10 22

 

[Transféré de Bon Sens]
NOUS SOMMES ENTRAIN DE CHANGER DE MONDE………. MAIS CHUT ! C’EST UN SECRET.

3 ans après, quel bilan ? (https://t.me/vivrecorrectement/3954) Pour les plus téméraires, voici la conférence sur la crise sanitaire qui a eu lieu à Saintes, 3h35 d’interventions. Au programme de cette 1ère partie, Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur, membre fondateur de Réinfocovid : «Agonie, effondrement et renouveau du système de santé», Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste oncologue : «Bilan catastrophique de la stratégie française anti-covid : rappel des faits», Vincent Pavan, maître de conférences et chercheur en mathématiques : «Quelles sont les nouvelles théories évolutionnistes qui sous-tendent le retour du totalitarisme ?», Nicole Delépine, pédiatre oncologue : «Le Covid et l’enfant : bilan sur les faits et résultats», Jean-Dominique Michel, anthropologue médical et expert en santé publique en Suisse : «L’évolution de notre société à travers la Covid», Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse en informatique : «Transhumanisme : révélations d’une dégénéescence programmée», Mehdi Belhaj-Kacem, philosophe : «Qu’est-ce que le
Concept de santé ?», Olivier Soulier, médecin homéopathe : «Dans quel contexte général s’inscrit la crise sanitaire actuelle au niveau médical, économique et politique. Quelles sont les solutions ?»

 

 

 

 

« Longue est encore la route, nombreux seront les obstacles, mais j’ai la certitude que rien n’est au dessus des forces de ceux qui ne renoncent pas » Jacques Eberhard

 

 

Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux !

31/10/2022 (2022-10-31)

Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux 1

 

Par Nicole Delépine

Malgré les révélations inattendues de Pfizer au parlement européen avouant publiquement que la transmission du virus n’a jamais été étudiée dans les essais, les mondialistes tentent rapidement de pérenniser la vente de milliards de dollars de vaccin, avant que la population ne soit complètement réveillée. On apprend que la commissaire européenne poursuivie pour manque de transparence dans les contrats avec les firmes tente de réintroduire le pass vaccinal. Course de vitesse !

En France lors du récent congrès de pédiatrie français début octobre 2022, le Pr Fischer a regretté que les petits Français aient échappé en grand nombre à l’injection toxique.

Selon le groupe Telegram, la présidente de la Société française de pédiatrie s’est dramatiquement trompée ou a volontairement menti dans le but d’encourager les injections du sérum de Pfizer sur les enfants français.2 3 Par exemple, concernant les risques d’effets secondaires, selon TF1, elle avait indiqué aux journalistes du Monde :

« Dans le cas de porteurs de maladies chroniques, le débat sur la balance bénéfices-risques chez l’enfant ne tient plus, puisque le bénéfice est largement supérieur aux effets secondaires du vaccin ». Et d’ajouter que « ces enfants ont été vaccinés sans hésitation ».

Comment pouvait-elle évaluer cette balance bénéfices-risques, alors que ces vaccinations n’ont commencé aux États-Unis que l’été dernier et que, selon Pfizer, les essais cliniques ne s’étaient faits que sur 8 souris ? 4

Et comment pouvait-elle évoquer un quelconque bénéfice alors que les enfants ne risquent presque rien du covid, et que ces faux vaccins sont incapables de protéger les injectés de la maladie et leurs contacts de la transmission ?

D’autre part, en décembre 2021, sur France-Inter (* à partir de la minute 31), elle a affirmé qu’on attendait les résultats de la pharmacovigilance américaine concernant les effets secondaires sur la tranche d’âge des 5-11 ans… alors que la France avait déjà fait injecter le sérum adulte de Pfizer sur plus de 22 490 enfants, dont plus de 4500 petits de moins de 5 ans !5

Aux USA comme en UE, les autorisations pour injecter les enfants de six mois à 5 ans viennent d’être accordées. Nous devons absolument nous opposer à la pseudo vaccination inutile et dangereuse. Combien de complications graves ou de morts pour rien ? Ou plutôt pour les bénéfices des entreprises, de leurs actionnaires et de leurs complices (médecins, journalistes et politiques corrompus) et la manipulation des populations en vue de leur réduction.

Covid : l’EMA autorise la vaccination des enfants d’au moins 6 mois avec Moderna et Pfizer (Leparisien.fr)6 7

Onze mois après avoir autorisé la vaccination pour les 5-11 ans, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a recommandé d’étendre l’utilisation des vaccins Comirnaty (de Pfizer) et de Spikevax (de Moderna) contre le coronavirus.

Une première en Europe. Ils pourront désormais être utilisés chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans pour le produit de Pfizer, et pour ceux âgés de 6 mois à 5 ans pour celui de Moderna.

Un comité d’experts convoqué par l’agence américaine des médicaments avait donné son accord, en juin, à la vaccination des très jeunes enfants. En Europe, les doses des deux vaccins dans ces nouvelles tranches d’âge plus jeunes « seront plus faibles », prévient l’EMA dans un communiqué publié ce mercredi. « Chez les enfants de 6 mois à 4 ans, Comirnaty peut être administré en primo-vaccination consistant en trois doses, les deux premières doses sont administrées à trois semaines d’intervalle, suivies d’une troisième dose administrée au moins 8 semaines après la deuxième dose », explique le comité d’experts.

En ce qui concerne le vaccin de Moderna, « chez les enfants de 6 mois à 5 ans, il peut être administré en primo-vaccination consistant en deux doses à quatre semaines d’intervalle », détaillent-ils. L’EMA s’appuie sur une étude menée chez des enfants de 6 mois à 4 ans qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible de Pfizer « était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 16 à 25 ans ». De même pour une étude du vaccin Moderna « qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible chez les plus jeunes était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 18 à 25 ans ».

Des effets secondaires comparables aux adultes

Selon l’EMA les effets secondaires les plus courants pour les deux vaccins, chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ou 5 ans, sont « comparables à ceux observés dans les groupes d’âge plus âgés ». L’EMA précise que « l’irritabilité, la somnolence, la perte d’appétit, les éruptions cutanées et la sensibilité au site d’injection sont des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 23 mois avec Pfizer, tandis que l’irritabilité, les pleurs, la perte d’appétit et la somnolence étaient des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 36 mois avec Moderna ». Pour les deux vaccins, les effets secondaires se dissipent plusieurs jours après la vaccination. l’EMA considère donc que « les bénéfices l’emportent sur les risques ». Ces vaccins sont jugés « efficaces pour prévenir les maladies graves, les hospitalisations et les décès associés au Covid-19 ».

Mais comment l’EMA peut-elle énoncer de pareils mensonges alors que les données de l’OMS montrent que loin de diminuer la mortalité les faux vaccins paraissent l’augmenter ?

L’EMA prévient que « conformément au plan de surveillance de la sécurité de l’UE pour les vaccins coronavirus », ces deux produits sont « étroitement surveillés » et soumis à plusieurs activités qui s’appliquent spécifiquement aux vaccins Covid-19.

Les recommandations de l’EMA seront désormais transmises à la Commission européenne, qui rendra des décisions finales applicables dans tous les États membres de l’UE, précise le communiqué. L’EMA a averti le mois dernier que la pandémie de Covid-19 était « toujours en cours » et a exhorté les pays à instaurer des programmes de rappels de vaccins avant l’hiver.

L’EMA ment en prétendant que la pandémie est toujours en cours alors qu’elle n’est responsable que de 3 % de la mortalité européenne quotidienne globale.

UNE HISTOIRE DE GROS SOUS #LesPierresCrieront

Quelques heures seulement après que le vaccin ait été ajouté au calendrier de vaccination des enfants aux USA, le tarif de la dose de vaccin #Pfizer est passé à 130 $. Prix de vente en augmentation de 500 % par rapport au prix initial de 20 $. Pfizer réalise ainsi une marge de 10 000 % sur le coût de fabrication.

« De quoi stimuler les revenus pendant des années malgré une demande plus faible. »8 9

LE PASS VACCINAL BASE SUR UN MENSONGE, ARNAQUE MONDIALE 10

Auditionnée au Parlement européen ce 10 octobre 2022, Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, a été interrogée par le député néerlandais Rob Roos :

« Le vaccin Covid de Pfizer a-t-il été testé sur l’arrêt de la transmission du virus avant d’être mis sur le marché ? Si non, veuillez le dire clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux vraiment une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte de la recevoir. »

« Un seul but : forcer les gens »

« Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation [lapsus avec le mot “transmission”, ndlr] avant la mise sur le marché ? Non », a répondu Small, expliquant que Pfizer avait « vraiment dû avancer à la vitesse de la science ». Elle a ensuite mis en avant les investissements risqués — à hauteur de 2 milliards — pour la recherche et le développement du vaccin. »

En réalité Pfizer avait avancé à la vitesse du commerce pour être le premier sur le marché à proposer quelque chose sous le nom de vaccin !

Rob Roos a médiatisé cette « révélation », diffusant sur les réseaux sociaux le message suivant :

« Lors de l’audience sur le Covid, le directeur de Pfizer admet : le vaccin n’a jamais été testé sur la prévention de la transmission. “Se faire vacciner pour les autres” a toujours été un mensonge. Le seul but du passeport Covid : forcer les gens à se faire vacciner. Le monde doit savoir. Partagez cette vidéo ! »

Dans la vidéo, M. Roos ajoute : Je trouve que c’est choquant et même criminel.

En un peu plus de 24 heures, la vidéo a été vue près de 10 millions de fois sur Twitter. D’innombrables articles, vidéos et publications sur tous les réseaux sociaux ont relayé cette information dans de nombreuses langues.

Évidemment cette autorisation d’injecter les enfants de six mois à 5 ans, en plus des plus grands, désespèrent tous les citoyens protecteurs des enfants en commençant par tous ceux qui depuis deux ans et demi tentent d’avertir le peuple des dangers majeurs des injections ARNm.

Selon le Pr Henrion-Caude, ce qui s’est passé aux USA : DES MOUTONS DE PANURGE ?

«  Ce soir 15/15 médecins-experts ont transformé leur serment d’Hippocrate en serment d’hypocrites Sans la moindre contestation, ils ont enchaîné les “yes” au CDC pour ajouter le vax COVID au calendrier de vaccination des 5-11 ans A écouter PATHÉTICODRAMATIQUE 11

Par quelle sidération collective, ont-ils pu zapper le fait que ce vax n’empêche pas la transmission ? Que les risques pour les enfants sont dans ces produits et non dans le COVID, car ils ont une immunité naturelle ? Et que les expériences du faux vaccin au Costa Rica saturent d’enfants les hôpitaux ? »

ALEXANDRA HENRION-CAUDE EXPOSE LES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS DU COSTA RICA

Les autorités rapportent une centaine d’enfants hospitalisés avec fermeture nationale de toutes les écoles pour virus respiratoire 12 ainsi qu’une comparaison inquiétante entre août 2021-juillet 2022 et août 2020-juillet 2021 :

  • – une baisse des naissances : -452
  • – une hausse des décès de nourrissons : +90
  • – une hausse des décès d’enfants pour mille naissances : 9,8 contre 7,5613

« Pourtant » voici la réalité du Costa Rica en matière de vaccination :

  • pour les adultes : 87 % une dose, 81 % 2 doses (50 % 3 doses, 9 % 4 doses) 14
  • Pour les jeunes : Une incitation qui a commencé dès janvier 2022 15
  • Une relance faite pour les 190 000 enfants vaccinés entre 5 et 11 ans (20/04)
  • Une arrivée massive de 300 000 doses pédiatriques Pfizer (8/09).

Une nouvelle explication pédagogique (19/09) suivi, il y a 1 semaine, d’une mise en œuvre chez les tout-petits 6mois-5ans (3/10)16.

Et commentaire terrible :

les enfants peuvent être injectés sans la nécessité d’un consentement écrit des parents au Costa Rica. Juste un adulte (n’importe lequel), un carnet de santé et une carte d’identité.17 Des réactions locales ? Alexandra Henrion nous invite à les aider

OUI ! AIDEZ-LES SVP ! un appel à solidarité internationale de médecins, car ils campent 24 h/7 jours/7 devant le Président LIEN : https://t.me/wch_org/1859 18

ET un appel à sauver les enfants aujourd’hui :

https://t.me/alexandrahenrioncaude

UNE COURSE DE VITESSE ENTRE LES MONDIALISTES QUI ACCÉLÈRENT L’AGENDA ET LE MONDE QUI SE RÉVEILLE

En UE, l’injection toxique est autorisée chez les plus de six mois en même temps que la commissaire est de plus en plus acculée en justice pour les contrats abusifs passés en secret avec Pfizer.

AINSI CRISTIAN TERHES APPELLE À LA DESTITUTION D’URSULA VAN DER LEYEN POUR CORRUPTION AGGRAVÉE

Commentaire du YouTube le 19 oct. 2022 :

La vérité va exploser dans quelques jours sur les contrats entre Pfizer et la Présidente de la commission européenne Ursula van der layen qui espèrerait un conflit nucléaire avec la Russie pour éviter de parler de la corruption la plus importante de toute l’histoire de l’humanité.

Ursula von der Leyen doit être destituée immédiatement sans condition de toutes ses fonctions comme présidente de la Commission européenne » en raison de l’enquête ouverte pour se présenter aux interrogatoires, fournir les SMS et les documents de négociations. Elle doit préparer son procès et son passeport doit lui être retirée pour éviter qu’elle s’échappe dans un paradis fiscal qui n’extrade pas. (https://www.eppo.europa.eu/en/news/on…»

le Bureau du procureur européen , l’EPPO, a lancé le 17 octobre l’eurodéputé roumain au Parlement de l’UE :

Les contrats entre Pfizer et la commission européenne aux clauses abusives et secrètes sont inacceptables :

  • Commande ferme avec paiement en avance pour 4 milliards de doses
  • Commande obligatoire non annulable d’un montant de 70 milliards dont 35 milliards « négocié » directement par un échange de SMS entre Ursula van der layen et Albert Bourla
  • Augmentation du prix de la dose de 15 à 20 EUR totalement injustifiée
  • Non responsabilité des effets secondaires de Pfizer
  • En cas de versement d’indemnité, l’Union Européenne versera seule
  • En cas de procès contre Pfizer, l’Union Européenne paiera les avocats de Pfizer
  • une probable commission estimée en milliards pour Ursula, sa famille et les fonctionnaires qui ont validé le contrat.

Cristian Terhes met en garde contre un crédit social à la chinoise en Europe (https://t.me/kompromatmedia/1434) Ursula a bel et bien mené des négociations avec son grand ami Albert Bourla (https://t.me/kompromatmedia/1486), en infraction des règles mêmes de la Commission dont elle est présidente, a relevé l’eurodéputée Virginie Joron (https://twitter.com/v_joron/status/1570339024128315393), qui a fouillé le rapport de la Cour des comptes de l’UE (https://www.eca.europa.eu/Lists/ECADocuments/).

Mais ce n’est pas tout. L’entre-soi oligarchique de Bruxelles est étonnant : Entre autres, Heiko, époux d’Ursula, est directeur médical de la biotech Orgenesis (https://fr.wikipedia.org/wiki/Orgenesis), avec le même actionnaire que Pfizer : Vanguard Group.

Demande de destitution immédiate.

Christine Cotton biostatisticienne depuis 1995, ayant pratiqué 23 ans dans l’industrie pharmaceutique insiste sur le fait que la plus grosse arnaque de l’essai Pfizer n’est pas l’absence d’étude de la transmission (car c’est USUEL), mais qu’il n’y ait PAS mesure des ANTICORPS à 3 mois post dose 2… pour ne pas montrer que ça CHUTE 19 20

CHUTE à 56 jours post DOSE 2 !

Et comme Pfizer savait que les anticorps baissaient, dès décembre 2020, ils étudiaient déjà un BOOST !?!?! comme indiqué dans l’avis de la HAS de décembre 2020.21

Donc on ne mesure pas ce qu’on ne veut pas voir, on prépare 1 BOOST et on le vend 6 mois après !

D’AUTRES VOIX S’ÉLÈVENT AU PARLEMENT EUROPÉEN

EXCLUSIF — TOUT EST BASÉ SUR UN GIGANTESQUE MENSONGE !

Christine Anderson

le 21 oct. 2022 :

« Révélation sur la réalité de la situation et sur les produits injectables expérimentaux. Christine Anderson, Député européen et membre de l’équipe d’investigation sur les contrats signés entre Ursula von der Layen et Pfizer pour 70 milliards qui permet une augmentation des prix de 15 à 150 EUR la dose. La plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité et un empoisonnement encouragé. À partager ! »

Partout les citoyens s’inquiètent

22

Des mamans, des collectifs, des papas s’inquiètent et se mettent en lien 23

« Nous venons de créer l’Union pour la santé et la protection des enfants24, regroupant

– collectif de santé pédiatrique
– collectif des psys
– collectif des orthophonistes
– SOS éducation
– mamans louves
– enfance et liberte

Nous sommes en lien +++ avec beaucoup de parlementaires. Pour mettre au point des actions.

Voici une nouvelle explication des raisons qui poussent les pédiatres à promouvoir les injections géniques anti-Covid sur les enfants… »

Martine Leonard [23/10/2022 15 h 54]

[Transféré de Stock infos PEC]

⬆️ Les Collectifs des Parents En Colère de France entrent en action et en appellent aux associations, collectifs, parents, grands-parents, personnels médico sociaux, enseignants ou toutes personnes soucieuses du bien-être des enfants, à se joindre à cette action nationale auprès des établissements scolaires de toute la France afin d’affirmer notre détermination de refus de l’éventuelle réitération de mesures sanitaires et notamment le port du masque.

Nous avons constaté et sommes intervenus auprès de plusieurs établissements déjà qui ont fait appliquer en leur sein différentes mesures, se basant sur un protocole, qui n’a pas de valeur juridique et contrevient à la loi.

Nous en appelons à la solidarité pour faire cesser cette maltraitance !

Cette action vise à montrer notre détermination à protéger nos enfants, la force que nous représentons dans notre union pour cette action et notre étendue sur tout le territoire français.

Nous organisons deux réunions en visioconférences les mardi 25 et mercredi 26 octobre afin de répondre à vos questions.

« Pour nos enfants et parce que de l’union de chacun de nous donnera la puissance à cette action : rejoignez-nous dès maintenant pour entrer dans l’action sur le fil Telegram dédié : https://t.me/PECACTIONMASQUES2022 ou contactez-nous ici 👉pec.collectifs.actions@proton.me »

Les enfants comptent sur nous…

Ils sont notre avenir. Protégeons-les !

ESPOIR

L’État d’Alberta s’excuse auprès des non-vax et tance le WEF alors que New York doit réhabiliter ses salariés non vaccinés. 25 26

C’est au niveau local que les batailles contre la doxa officielle du Covid modifient petit à petit les rapports de force. Après la Floride, l’État d’Alberta au Canada prend une position claire contre la discrimination des non-vaccinés par la voix de sa nouvelle première ministre Danielle Smith.

Et L’Italie va réintégrer les suspendus et rembourser les amendes chez les non-vaccinés de plus de cinquante ans qui avaient résisté.27

LE MONDE SE RÉVEILLE : INFORMONS, PROTÉGEONS LES ENFANTS !


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31/10/2022 (2022-10-31)

Pourquoi les patients posent-ils tant de lapins 1 2 aux médecins ?

Par Gérard Delépine

Les lapins sont devenus le fléau numéro un des cabinets médicaux, si l’on en croit certains médecins. Les lapins, ces rendez-vous médicaux auxquels les patients ne se présentent pas sans prévenir, se seraient multipliés ces dernières années.

Désorganisation du cabinet, perte de chance pour les patients… les conséquences sont majeures sur l’organisation des soins, estime l’URPS Médecins libéraux Île-de-France qui pointe du doigt le comportement des usagers, accusés de multiplier les rendez-vous sur les plateformes en ligne.

Une thèse (« Rendez-vous manqués en médecine générale par les patients précaires : quels sont les motifs ? »), soutenue par le Dr Francis Gatier, donne un autre son de cloche. Le point de départ de cette analyse : une grande majorité des rendez-vous manqués le seraient par des patients en tiers-payant social, bénéficiaires de la couverture maladie universelle.

« Les patients en situation de précarité sont susceptibles de manquer plus de rendez-vous que la population générale avec leur médecin généraliste » (…)

Conséquence, ces rendez-vous manqués devraient être pris « comme signaux d’alerte et, au minimum, être explorés à la consultation suivante », estime le généraliste qui suggère d’intégrer la situation sociale des patients précaires dans les dossiers médicaux. (…)

Près de 5 % de rendez-vous non honorés (…)

Pourquoi les lapins se multiplient-ils ?

Sans surprise, la raison principale du rendez-vous manqué par le patient est l’oubli, non pas par désinvolture, mais parce qu’il est souvent « le dernier maillon d’une chaîne d’événement, les causes d’absences étant multifactorielles ». Les difficultés de la vie courante, principalement la précarité du travail (horaires imposés, heures supplémentaires au dernier moment), sont une cause d’absence fréquente, relève l’auteur. (..°

Autre explication invoquée : la charge mentale. « Les patients sont souvent isolés, avec peu de moyens et peu d’aide extérieure. Ils doivent gérer de multiples rendez-vous nécessaires à leur qualité de vie ».

Le moral et les troubles de l’humeur, la dépression, un sentiment de lassitude, jouent également un rôle important dans les absences, sans qu’il puisse être établi un lien de causalité avec la précarité des patients…

Si l’auteur de cette enquête reconnaît que les médecins ont peu de moyens d’agir, il invite ses confrères à ne pas stigmatiser ces patients, mais à s’interroger sur les motifs d’une absence, qu’elle peut être parfois perçue comme « un signal d’alarme pouvant cacher une aggravation de la situation sociale et de la santé du patient ». Les sanctionner « serait vécu comme une double peine et une forme d’abandon », par des médecins pourtant considérés souvent comme protecteurs. »

Le colloque singulier médecin-patient si fondamental, si estimé, respecté des patients a disparu au fil des nombreuses réformes destructrices depuis des décennies, transformant l’acte médical en acte marchand banal avec conclu le plus souvent avec un anonyme, comme on achète une salade au commerçant du coin, ou un coca au distributeur.

Avec la disparition de la nature si singulière de l’acte médical auquel était accroché le secret médical absolu, inviolable, permettant de tout dire, l’estime, le respect, la considération du médecin ont disparu. Comment s’étonner que le niveau des lapins ne fasse qu’augmenter ? Les mondialistes tentent de faire croire qu’on peut remplacer un médecin formé sur de longues années par l’étude, le compagnonnage et l’expérience, par des cabines téléphoniques reliées à des robots parfois aidés d’un praticien anonyme qui par définition ne connaît pas vos spécificités.

Si on adhère à ce scénario qui vise à faire disparaître les vrais médecins, 3 y compris les psychiatres par une virtuelle intelligence artificielle, il ne faut pas s’étonner que les malades oublient ce qu’est un « docteur », un médecin de famille qui vous connaît sur plusieurs générations et dont on n’aurait jamais pu oublier la visite tant attendue. Il vous avait fait naître et parfois accoucher de votre enfant, et fermer les yeux de votre grand-mère dans un accompagnement respectueux, sans seringue de Rivotril. Le passé, c’est notre histoire et il faut la connaître pour défendre notre avenir.

L’abandon des patients par une partie du corps médical sur ordre de Veran et de Salomon

Obéissant petit doigt sur la couture du pantalon. Ces deux dernières années de lâcheté, de soumission, d’abandon des principes hippocratiques de notre métier, foulant au pied ce serment qui place le patient avant toute autre considération font perdurer ce phénomène. Où sont passés les « docteurs » au sens où votre voisine vous parlait de son docteur et de ses « petits soins » ?

Ils se sont cachés, ont accepté d’être dévalorisés pendant la crise du covid et n’ont pas réagi collectivement contre l’ordre aberrant du gouvernement de ne pas consulter son médecin traitant en cas de troubles respiratoires, ou SOS médecin, mais d’appeler le 15 et de rester chez soi jusqu’à aggravation. INIMAGINABLE. Comment les patients pourraient oublier cette désertion ?

Certes, certains médecins ont été héroïques4 et ont tenté de soigner leurs patients, encourant multiples sanctions qui tombent actuellement.5 Quelques milliers ou centaines, ils sont en tous cas très minoritaires. Trop de médecins sont restés silencieux, acceptant cette désertion sur ordre, et n’ont pas dénoncé les persécutions des collègues courageux. Les milliers de soignants suspendus, sans droit au chômage ou RSA sont largement oubliés par leurs propres collègues et leurs patients. Pas de grève des soignants envisagée pour exiger que cesse ce scandale médical et politique ; une grève qui, si elle était effective, résoudrait le problème en quelques jours. Et le soutien des patients aux soignants suspendus est tout aussi timide. Le déni continue et cela arrange bien le pouvoir.

Collectivement les dizaines de milliers de médecins français sur les plus de 200 000 inscrits au conseil de l’ordre auraient pu réagir sur la disparition de fait de leur métier, dès mars 2020. Les Guadeloupéens n’ont pas cédé. Ils ont partiellement gagné. Que ne nous les avons pas imité en métropole ?

En 2022, 99 941 médecins généralistes exercent en France.6

Le nombre de médecins en activité s’élevait à 218 296 au 1er janvier 2013. Ce chiffre inclut les médecins militaires et les fonctionnaires, lesquels ne sont pas tous inscrits au tableau de l’Ordre des médecins. l’article L 412-6 du Code de la santé publique stipule en effet que « L’inscription à un tableau de l’ordre ne s’applique pas aux médecins, chirurgiens-dentistes et sages-femmes appartenant aux cadres actifs du service de santé des armées. Elle ne s’applique pas non plus à ceux des médecins, chirurgiens-dentistes ou sages-femmes qui ayant la qualité de fonctionnaire de l’État ou d’agent titulaire d’une collectivité locale ne sont pas appelés, dans l’exercice de leurs fonctions, à exercer la médecine ou l’art dentaire ou à pratiquer les actes entrant dans la définition de la profession de sage-femme. »

Un âge moyen de 51,3 ans. L’âge moyen des praticiens, qui comptent 41,9 % de femmes, est de 51,3 ans. Les médecins en activité sont ceux qui sont en exercice et ont au moins une activité en France.

On compte ainsi 333 médecins pour 100 000 habitants (199 libéraux pour 100 000 habitants), mais cette densité cache d’importantes disparités géographiques. Les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Île-de-France sont sans surprise mieux dotées.

Dans le détail, on compte 101 803 généralistes, les autres étant des spécialistes (14 619 psychiatres, 10 841 anesthésistes, 8 392 radiologues, etc.). Par ailleurs, 130 106 médecins ont une activité libérale ou mixte et près d’un médecin sur cinq exerce plus d’une activité.7

LES MÉDECINS SILENCIEUX SE SONT-ILS DÉSHONORÉS AUX YEUX DES CITOYENS ?

Combien de personnes autour de vous ont-elles accepté l’injection sur le conseil de leur médecin, les yeux fermés ? Nous aimions ce rapport de confiance au début de nos études dans les années 70, mais il fallait en être dignes comme les médecins de famille que j’évoquais plus haut, comme les médecins qui ne comptaient pas leurs heures à l’hôpital enchaînant gardes (non payées) travail du jour, consultations. Et de surcroît nous en étions heureux.

La société des loisirs, du commerce, de l’abrutissement voulue par l’ordre mondial qui avançait masqué, advint au début des années 80 en même temps que de l’arrivée du Président Mitterand et de Mme Thatcher, tentant de nous transformer en esclaves avec des jeux et du pain… Et les médecins sont tombés dans le panneau des 35 heures, des RTT, des réunions multiples et variées censées améliorer la qualité (en même temps qu’elles vous détournaient de votre métier), etc. L’hôpital devint une entreprise dont la finalité n’était plus le soin des malades, mais la rentabilité et le médecin libéral de plus en plus un commercial.

Ils ont perdu leur âme en acceptant le flicage des secrétaires par le badge, puis celui des soignants dévoués et finalement le leur. Ceux qui restaient facilement si besoin une heure ou deux de plus (quitte à partir plutôt un autre jour) se sont mis à compter des heures durant les minutes à récupérer.

D’humains auprès des patients, beaucoup sont devenus des robots, acceptant l’idée que la machine avec les algorithmes, les logiciels, les recommandations devenues injonctions imposées, bref la pseudo-intelligence, vraiment artificielle (l’IA) allait les soulager, comme l’avènement des cabines machines tentent de le faire dans les supermarchés en attendant de les remplacer. Et comme le symbole met trente ans à se modifier, aujourd’hui les plus jeunes n’y voient pas malice…

ILS ONT FERMÉ LES YEUX

Ils n’ont pas hurlé collectivement au décret Rivotril 8de fin mars 2020 donnant l’injonction de prescrire une injection létale disponible dans la chambre du résident d’EHPAD et de malades en hospitalisation à domicile, et même aux jeunes handicapés. Injection à appliquer en cas de symptômes compatibles avec le covid19. ILS N’ONT PAS HURLE, pire ils ont appliqué. Comme en leur temps les médecins allemands de l’Aktion T49 10

On sait maintenant qu’environ dix mille personnes ont été ainsi euthanasiées, pour la grande majorité d’entre eux sans leur consentement, ni celui de leur famille entre fin mars et avril 2020. Quels furent les prescripteurs initiaux, sinon des médecins, laissant trop souvent au soignant présent — infirmier ou aide-soignant — la terrible tâche de l’injection après accord téléphonique ? Beaucoup racontent ne pas s’en remettre11.

Ils ont accepté que le pouvoir interdise aux familles d’entourer leur patient dans ces moments terribles de la peur de la mort, de leur tenir la main, de leur parler. Et ils les ont laissé mettre nus dans de grands sacs plastiques sans que leurs proches ne puissent les revoir avant leur incinération. Ils ont laissé priver les familles d’obsèques libres avec nombre de personnes limité au cimetière. L’inhumanité a émaillé ces deux ans et demi et plane encore violemment.

Il me semble que peu de médecins ont réagi collectivement pour tenter de protester contre l’aberration de l’obligation du masque et ses dangers chez les enfants, du dépistage fallacieux par des tests PCR répétés chez des personnes saines et le pire, les injections à ARNm, sans essais thérapeutiques terminés et analysés, et faisant écho aux allégations mensongères gouvernementales sur la protection conférée par le pseudo vax.

En cet automne 2022, trop d’entre eux ont masqué et masquent encore la responsabilité de l’injection dans les complications dont souffrent les patients qui les consultent… Coïncidence, coïncidence. Tant de familles ont compris le lien, surtout quand les coïncidences s’accumulent, mais le médecin traitant continue souvent à nier le lien de causalité, quand il ne prend pas de haut la question du patient, ou ne le vire pas manu militari pour « insulte à la science !

Les témoignages s’accumulent par téléphone, par mail sans besoin de réseaux sociaux, d’où ce papier. Et ils voudraient qu’on leur fasse confiance, que l’on continue à les respecter, comme avant, à l’époque où la parole du médecin de famille était sacrée, à juste raison car celui-ci faisait le maximum pour son malade qui le savait.

On ne peut pas impunément trahir les patients et s’étonner des “lapins” irrespectueux…

Certes cela ne date pas du covid, mais le changement de comportement de certains médecins non plus. Il reste heureusement encore beaucoup de docteurs formidables et humains, et on les traite de héros, alors qu’ils ne font qu’exercer leur métier et en tirent plus de bonheurs que leurs collègues devenus marchands.

Certains médecins semblent tomber des nues sur le comportement de trop de patients envers eux. La multiplication des “lapins” comme ils disent si bien que l’illustre Dr Marty bien connu des téléspectateurs accros aux émissions TV voudraient leur faire payer les rendez-vous manqués…

LA CULPABILISATION DES CITOYENS NON INJECTÉS A CREUSÉ LE TROU ET AUGMENTÉ LA PERTE DE CONFIANCE

Les horreurs entendues ou lues sur les non-vaccinés par des représentants du milieu médical sont légion et ont sali la profession entière, de même que les calomnies et les insultes de certains d’entre eux contre nos collègues célèbres comme le Pr Raoult ou le Pr Perronne.

Une tribune signée d’une quinzaine de médecins est parue fin décembre dans Le Monde posait déjà la question honteuse12 de “la prise en compte du statut vaccinal dans la priorisation des patients Covid-19 en réanimation”.

un post sur Telegram résumait ce qu’iI serait souhaitable de rappeler à tous ces propagandistes aux ordres du gouvernement : “ils peuvent être poursuivis pour :

✓ “discrimination en raison de l’état de santé” et qu’ils ne peuvent pas bénéficier du fait justificatif “d’état de nécessité” : 13

✓ Non-assistance à personne en danger : Article 223-6, alinéa 2 du Code pénal

quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours”14

Et aux vues des propos tenus par les membres du gouvernement, notamment Véran et Castex, quant au fait de “rendre la vie impossible pour les non -vaccinés”

✓ Article 211-1 du Code pénal :

Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle….. d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

— atteinte volontaire à la vie ;

— atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;

— soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité”

✓ Article 211-2 du Code pénal : “La provocation publique et directe, par tous moyens, à commettre un génocide est punie de la réclusion criminelle à perpétuité si cette provocation a été suivie d’effet. Si la provocation n’a pas été suivie d’effet, les faits sont punis de 7 ans d’emprisonnement et de 100 000 € d’amende”. 15

LES TÉMOIGNAGES MULTIPLES DÉMONTRENT LA PERTE DE CONFIANCE EN LA CONFRÉRIE MÉDICALE

Malheureusement les vrais médecins sont souvent aussi victimes de la méfiance, car il est difficile pour un patient de les reconnaître.

Le corps médical a perdu son prestige par sa Soumission aux ordres du gouvernement et à la peur des sanctions ordinales.

Beaucoup trop de médecins qui n’ont pas pris le temps d’étudier les articles scientifiques et ont conseillé l’injection à leur patient.

Ce Renoncement est ancien et progressif depuis les Références médicales opposables de 1993, les recommandations, puis des protocoles obligatoires.

Ils ont bafoué le serment d’Hippocrate et la corruption par l’argent, les honneurs ou le désir de rester dans le groupe a achevé le tableau.

Le Courrier du Soir 16avait déjà fait cette révélation en mars dernier. Cependant, en raison du contexte actuel et à la suite de ce grand cirque auquel nous avons eu droit au Parlement européen lors de l’audition de la représentante de Pfizer, notre rédaction a jugé bon de republier cet article afin que les citoyens français et du monde sachent que la plupart des ‘experts sanitaires’ qui défilent sur les plateaux de télé ne sont rien d’autre que des crétins grassement payés par Big Pharma pour manipuler l’opinion publique et faire taire les vrais scientifiques qui, eux, n’agissent qu’au nom de la Science et dont le seul tort est d’avoir l’âme trop pure pour troquer leur dignité contre milliers d’euros (idem au Canada et aux USA »).

Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour tromper les médecins et se remplir les proches 17

D’après une étude relayée par Le Quotidien du Médecin, l’industrie pharmaceutique accorde d’importants cadeaux (financiers) à des médecins KOL pour vendre ses produits.

Les montants débloqués sont faramineux., entre 2014 et 2019, les industriels ont fléché 6 milliards d’euros (au niveau mondial) vers les médecins dont notamment 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature.

D’après le même journal médical, 548 médecins influenceurs sont en France :

« Sans surprise, les KOL sont plus gâtés que les autres. Alors que les leaders d’opinion ne représentent que 0,24 % des praticiens en France, ils concentrent à eux seuls 0,68 % du nombre total de cadeaux et 1,5 % de la valeur totale de ces avantages en nature et 99 % des associations médicales comptaient au moins un membre de son conseil d’administration pour lequel un cadeau avait été déclaré. »

Les chiffres dévoilés sont hallucinants. Ainsi, de 2017 à 2019, 1,67 million d’accords contractuels ont été déclarés pour un montant 125 millions d’euros. Et rien qu’en France, entre 2014 et 2019, 7 354 492 cadeaux ont été déclarés pour un montant de 818 millions d’euros. Les cadeaux accordés aux KOL ont été estimés à 12,3 millions d’euros, soit 3700 euros de cadeau par an pour chaque médecin influenceur.

Comment à ce jour un malade peut — il penser que son médecin a raison quand il lui refuse un antibiotique pour un mal de gorge traînant ou de la vitamine D dont chacun connaît les multiples bienfaits. Et quand encore maintenant le médecin et le pharmacien refusent ivermectine, hydroxychloroquine sous prétexte d’ukases politiques, quand ils ne poussent pas encore à injecter leurs enfants avec un produit génique toxique ou à vacciner même les garçons contre le HPV dont ils ne risquent quasiment rien.

En cancérologie l’application quasi aveugle des protocoles imposés par la HAS et l’INCa via les contrôles des ARS désespère les patients qui ne sont plus dupes après les scandales de la crise covid19. Les refus de soins probablement illégaux en l’absence d’injections morbides ont conduit au fond de l’horreur. La perte de confiance est généralisée sans solution de rechange néanmoins. Le désespoir, pas la meilleure chance d’aider à guérir leur cancer !

En conclusion, il faudra du temps avant que les médecins retrouvent leur virginité, dans un monde qui devra globalement revenir à de vraies valeurs humaines.

UNE PARTIE DE LA SOLUTION : LE RETOUR DES MÉDECINS SUSPENDUS ET DES SOIGNANTS SUSPENDUS

Une solution sera bien sûr le retour des médecins suspendus qui l’ont été parce qu’ils étaient particulièrement intègres, qu’ils savaient les injections dangereuses et inutiles et qu’ils refusaient d’utiliser de faux certificats de vaccination qu’ils pouvaient pourtant facilement se délivrer.

Les patients les attendent avec impatience. Les citoyens éveillés pourront alors trouver en cas de besoin un médecin éveillé et retrouver alors la confiance si indispensable au dialogue singulier.

Espérons que la relaxe du PR Perronne pourra faire jurisprudence et limiter les sanctions des médecins qui n’ont fait que leur devoir en traitant leurs malades ou en les avertissant de l’absence de recul sur les injections covid19.