JK Rowling, auteur de « Harry Potter » risquera-t-elle la prison parce qu’elle ose dire qu’on nait  (est ) « femme » ou « homme » ?

 

La folie de certains extrémistes transsexuels les pousse à tenter de criminaliser la liberté de parole qui définit pourtant le caractère démocratique des pays qui la protègent dans leur constitution.

Sous prétexte « d’inclure », « de mettre fin à la discrimination des transsexuels » les pays occidentaux ont accepté, depuis plus d’une vingtaine d‘années, des dérogations croissantes aux règles des droits de la majorité, au profit de certaines minorités dont les trans sexuels.

Ils ont par exemple créé le délit de « propos transphobe » dans lesquels ils incluent tout ce qui déplait aux activistes trans, comme le fait d’appeler une personne trans par son prénom de naissance, de rappeler qu’il n’existe que deux sexes[1], de dire qu’une femme a des ovaires[2] , ou, lorsqu’on est gynécologue, de s’affirmer incompétent pour examiner une femme transsexuelle (née homme et non opérée)[3]

Actuellement certains travaillistes anglais voudraient faire voter une loi transformant les propos qu’ils qualifient de transphobes en « crime de haine » puni par deux ans de prison. Les extrémistes trans préfèrent faire peur par des lois restreignant le droit humain fondamental de s’exprimer librement plutôt que convaincre du bienfondé de leurs exigences par un débat démocratique, comme nous le proposons dans notre dernier livre.

 

JK Rowling, auteur mondialement célèbre d’Harry Potter (avec quelque 600 millions de livres vendus) a été accusée de transphobie pour avoir soutenu Maya Forstater, licenciée du Center for Global Development en 2019 après avoir affirmé qu’on ne pouvait pas « changer de sexe biologique ».

Pourtant en juin 2023 il a été jugé en appel que les convictions de M. Forstater étaient « dignes de respect dans une société démocratique », qu’elle « avait subi une discrimination directe sur la base de ses convictions » critiques en matière de genre. Les juges lui ont accordé une indemnisation de 91 500 £ (et 14 900 £ supplémentaires à titre d’intérêts). Mais les activistes trans continuent d’ignorer les attendus de ce jugement et poursuivent leur campagne de diffamation envers K Rowling.

 

En réponse à un article de Devex[4], qui réduisait les femmes à leur utérus en les appelant “ les personnes qui ont leurs règles“, K. Rowling a commenté sur  Twitter « Je suis sûre qu’il y avait un mot pour ces personnes. Aidez-moi. Wumben ? Wimpund ? Woomud ? » pour rappeler le mot woman apparemment tabou chez les trans activistes.

Son trait d’humour a été accusé d’exclure « les hommes trans qui peuvent être concernés par les menstruations » (?) et donc d’être transphobe. Ses accusateurs trans ignorent apparemment qu’aucune femme trans (née homme) ne possède d’utérus et ne peut donc avoir de règles !

Ces prises de position de bon sens ont notamment valu à l’écrivain d’être constamment harcelée sur le net et d’être exclue des retrouvailles du casting d’Harry Potter pour les 20 ans de sa saga en 2021. Comment ont-ils osé ? Sans elle, point de Harry Potter et donc de fête !

 

JK Rowling a depuis détaillé les raisons qui l’ont poussée à aborder ces questions dans un essai « Writes about Her Reasons for Speaking Out on Sex and Gender [5] » :

« Premièrement, …Je soutiens, entre autres, des projets pour les femmes détenues et pour les survivantes d’abus sexuels et domestiques… Il est clair pour moi que le nouvel activisme trans a (ou est susceptible d’avoir, si toutes ses exigences sont satisfaites) un impact significatif sur de nombreuses causes que je soutiens, parce qu’il pousse à éroder la définition juridique du sexe et à le remplacer par le genre.

La deuxième raison est que j’ai fondé une organisation caritative pour les enfants, qui illustre mon intérêt à la fois pour l’éducation et la sauvegarde de ceux-ci. Comme beaucoup d’autres, j’ai de profondes inquiétudes quant à l’effet que le mouvement des droits des trans a sur les deux sujets.

La troisième est qu’en tant qu’auteur très censuré, je m’intéresse à la liberté d’expression et je l’ai défendue publiquement.

Le quatrième… Je suis préoccupée par l’augmentation énorme du nombre de jeunes femmes qui souhaitent faire la transition et aussi par le nombre croissant de personnes qui semblent détransitionner (retour à leur sexe d’origine), parce qu’elles regrettent d’avoir pris des mesures qui ont, dans certains cas, modifié leur corps irrévocablement, et leur ont enlevé leur fertilité.

 Certains disent qu’ils ont décidé de passer à l’acte après avoir réalisé qu’ils étaient attirés par leur propre sexe, et que leur transition était en partie motivée par l’homophobie, que ce soit dans la société ou dans leur famille.

Le 17 octobre 2023, l’auteur britannique a partagé sur X une photo montrant le slogan « Répétez après nous : une femme trans est une femme » projetée sur le mur du ministère de la Justice, à Londres qu’elle a commenté d’un simple NON

 

Lorsqu’un internaute critique l’a prévenue que ses déclarations pourraient lui valoir deux ans de prison, si la loi proposée par le parti travailliste était adoptée, J. K. Rowling a répondu : « Je ferai deux ans avec plaisir, si l’alternative est la parole forcée et le déni forcé de la réalité et de l’importance du sexe. Amenez-moi devant une cour, ce sera plus amusant que n’importe quel tapis rouge ».

 

Pour rassurer J. K. Rowling (qui n’en demande pas tant),  on pourrait lui rappeler que l’évolution récente de la question trans en Grande-Bretagne semble enfin tenir davantage compte de la réalité. En santé : fermeture du service pédiatrique de la clinique Tavistock [6] [7] spécialisée dans les traitements hormonaux et chirurgicaux de changement de sexe pour les mineurs, à la suite d’un rapport accablant sur ses pratiques[8]. A l’école : de nouvelles instructions demandant aux enseignants d’informer les parents si leur enfant se croit trans et de ne rien entreprendre sans eux.

Dans le sport de compétition : l’exclusion des femmes trans des compétitions féminines d’athlétisme[9], de natation[10], de cyclisme[11]

Et surtout les déclarations récentes du premier ministre britannique Rishi Sunak [12] [13] :  « nous ne devrions pas faire croire que les gens peuvent être de n’importe quel sexe parce qu’ils le veulent. Ils ne peuvent pas. Un homme est un homme, et une femme est une femme »

 

 

 

Si J.K Rowling devait aller en prison pour ses déclarations de bon sens sur le sexe, la défense des droits des femmes et la protection des enfants,

elle ne serait pas seule !

 

 

 

[1] https://etudiant.lefigaro.fr/article/un-eleve-canadien-d-une-ecole-catholique-exclu-de-son-lycee-pour-avoir-dit-qu-il-n-y-avait-que-deux-genres_0eae0610-a921-11ed-938f-cfc88137eaa2/

[2]https://www.marianne.net/societe/accusations-de-transphobie-il-y-a-une-offensive-transactiviste-contre-le-feminisme

[3] https://www.lefigaro.fr/actualite-france/un-gynecologue-attaque-pour-avoir-refuse-d-examiner-une-femme-trans-20230911

[4] https://www.devex.com/news/sponsored/opinion-creating-a-more-equal-post-covid-19-world-for-people-who-menstruate-97312

[5] ttps://www.jkrowling.com/opinions/j-k-rowling-writes-about-her-reasons-for-speaking-out-on-sex-and-gender-issues/

[6] https://www.thetimes.co.uk/article/tavistock-gender-clinic-puberty-blockers-nhs-investigation-fh7pngj0v

[7] https://www.courrierinternational.com/article/transidentite-la-clinique-tavistock-recit-d-un-scandale-medical-britannique

[8] https://www.breizh-info.com/2022/12/09/211829/la-clinique-de-lhorreur-tavistock-specialisee-dans-la-transition-de-genre-va-fermer-ses-portes/

[9] https://www.lepoint.fr/sport/athletisme-les-athletes-transgenres-exclus-de-la-categorie-feminine-23-03-2023-2513282_26.php#11

[10] https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/10/25/inclusivite-ou-equite-le-sport-face-au-dilemme-des-athletes-transgenres_6147236_3232.html

[11] https://www.liberation.fr/sports/cyclisme/cyclisme-les-femmes-trans-bannies-de-toutes-les-competitions-feminines-internationales-20230714_JCNHCWSTQBDCPC6ZZZU6AYSMRY/

[12] Dans un entretien accordé au site Web ConservativeHome, il affirme que 100 % des femmes n’ont pas de pénis. « La première chose à dire est que nous devrions toujours avoir de la compassion, de la compréhension et de la tolérance pour ceux qui pensent à leur genre. Mais quand il s’agit de ces questions de protection des droits des femmes et des espaces des femmes, la question du sexe biologique est fondamentalement importante. » Rappeler dans la loi que le sexe signifie bien le sexe biologique et non le genre auquel la personne s’identifie, telle est l’ambition du Premier ministre afin d’aider, notamment, les sports féminins à écarter les personnes trans des compétitions féminines.

[13] https://www.bvoltaire.fr/le-courageux-combat-de-rishi-sunak-contre-les-transactivistes/

2023 10 10 gardasil résultats et effets secondaires présenté à Marseille le 7 OCT 23

cliquez sur lien ci-dessus pour dérouler le diaporama du DR Gerard Delépine

alors que la campagne de vaccination gardasil contre le papillomavirus fait rage dans les collèges, regardez la mise au point actuelle d’octobre 23 sur les faits avérés, tant les résultats cancérologiques que les effets secondaires importants dont les accidents neurologiques parfois mortels et les ménopauses précoces avec risque de stérilité

 

22 09 Z3 GARDASIL PRESENTATION CHD G DELEPINE

in english

 

1 07 23 GARDASIL PARIS

 

en français et ci-joint article de children’shealth defense europe pour info

Campagnes contre le papillomavirus annoncées en Europe – Parents, il est temps de s’informer ! | Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)

 

 

Flyer Info Vac. anti HPV

 

 

Flyer Info Vac. anti HPVF

 

lyer Gardasil F[101921]

« « Si vous n’avez qu’une injection n’en prenez pas deux. Si vous en avez deux, n’en prenez pas trois. Si vous en avez trois, n’en prenez pas quatre. Si vous n’en avez jamais eu, s’il vous plaît, n’en prenez pas », a exhorté le Dr Cole.   ALLEZ LIRE L’ ARTICLE RECENT DU DR COLE un des tous premiers à avoir dès 2021 attiré l’attention sur le danger des injections expérimentales anticovid

LA TRISTE REALITE DES TURBO-CANCERS LIES A L’INJECTION COVID19 – Profession Gendarme (profession-gendarme.com)

 

« Turbo-cancer » est un terme de langage courant, populaire, non réellement scientifique, pour évoquer l’émergence récente de cancers très agressifs qui se développent très rapidement ». Il est apparu au cours de l’année 2021 après que l’injection covid 19 se soit répandue comme une trainée de poudre dans une majeure partie du monde occidental… Coïncidence ou causalité ?

Les premiers cancers post vaccination sont apparus très tôt

L’attention des médecins cliniciens – ceux qui voient de vrais malades en consultation, les interrogent et les examinent- avait été très tôt attirée par des modifications de l’évolution clinique de certains patients dans les quelques mois suivant les débuts de la campagne d’injections anticovid. Initialement ce furent des rechutes brutales, et résistantes, de patients apparemment guéris de cancer depuis plus de dix, quinze ans voire plus, en rémission complète, qui sidérèrent les généralistes et les cancérologues (qui ne l’avouèrent que sous le manteau…).

Un exemple typique a été celui de monsieur Axel Kahn, président de la ligue contre le cancer, qui s’était fait remarquer par ses positions extrémistes pro vaccins covid1 et dont le cancer d’évolution jusqu’ici lente a explosé après sa vaccination l’emportant en quelques mois.

De nombreuses malades en rémission de cancer du sein rechutèrent contre toute attente après une si longue durée.

Parallèlement les médecins virent arriver dans leurs cabinets de très jeunes gens d’une vingtaine d’années ou moins atteints de maladies hématologiques, telles des lymphomes, des glioblastomes etc. d’apparition jusqu’ici exceptionnelle chez les jeunes, d’évolution particulièrement rapide et résistant trop souvent à toute espèce de traitement.

Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontres, réseaux sociaux, groupes sur telegram etc.. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.

Un des autres cancers les plus rapportés dans nos contacts récents est le lymphome chez de jeunes adultes…

Et tous ces articles qui fusent et disparaissent rapidement sous l’effet de la censure féroce sur internet.

« En tant qu’oncologue, je vois des personnes atteintes d’un cancer stable [qui a] progressé rapidement après avoir été forcées de recevoir un rappel ».

En mars 2021, le Dr Ryan Cole 2a signalé une « hausse » massive de diverses maladies auto-immunes et cancers chez les patients vaccinés contre la COVID. « Depuis le 1er janvier 2021, en laboratoire, je constate une multiplication par 20 des cancers de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle ».

Bref de quoi étonner les cancérologues qui ne firent que chuchoter au début, puis s’exprimèrent enfin entre eux. Pourquoi ce silence ? C’est un autre versant des conséquences psychiatriques de cette plandémie.

Camouflage et censure des faits, diffamation et menaces contre les donneurs d’alerte.

Etant donné la concomitance des campagnes d’injection, les médecins du monde entier constatèrent les mêmes phénomènes en même temps, rendant la coïncidence moins crédible que la causalité. Les prétendus « sites de vérification » des médias officiels (les fameux fact checkers largement rémunérés par Bill Gates entre autres ) s’empressèrent de nier toute possibilité d’une responsabilité des vaccins et certains collègues défenseurs du crédo officiel diffamèrent en les traitant de fous les lanceurs d’alerte , à commencer par Mme le Pr Alexandra Henrion- Caude qui expliquait ce qu’est l’ARNm dans son best -seller « les apprentis sorciers »3.. )

Pour camoufler la triste réalité de la flambée des cancers post injection expérimentale, que la population commençait à découvrir seule, on vit fleurir des papiers sur l’augmentation de cancers depuis trente ans.4 Une étude publiée dans BMJ Oncology intitulée « Tendances mondiales de l’incidence, de la mort, du fardeau et des facteurs de risque du cancer précoce de 1990 à 2019 » a signalé une augmentation de 79,1% de l’incidence du cancer chez les personnes de moins de 50 ans au cours des trente dernières années . Mais une analyse objective du phénomène, aurait souligné les différences de pratique médicale sur ces décennies et tout particulièrement la pratique de dépistage à outrance des cancers du sein, de la prostate, du colon, de la thyroïde qui a conduit à traiter des patients dont le cancer n’aurait sans doute jamais évolué, contribuant ainsi à accroitre artificiellement le nombre réel de cancer, à en augmenter les taux de guérison apparents tout en administrant inutilement aux patients des traitements dangereux.5 6

Au total plus de 350 organes de presse à travers le monde ont publié des articles rapportant les résultats des cancers avant 2019 et leur dramatique augmentation, alors qu’après trois ans de plandémie covid et des milliers de victimes des injections, le sujet est soigneusement évité dans les journaux mainstream, sauf récemment dans les quotidiens ou hebdomadaires allemands ou suisses, anglais, accompagnés parfois d’excuses aux lecteurs de ne les pas avoir informés plus tôt…

Rappels des faits publiés depuis la crise covid.

France

L’Institut du Cancer ne donne pas les chiffres de cancers des cinq dernières années, (depuis 2018) et en particulier les mortalités, prétextant qu’: « En raison d’un changement de méthode de codage d’enregistrement des cas, les données de mortalité actualisées ne sont pas disponibles. ».

Les données n’étant pas accessibles en France, on se réfèrera aux rares données publiées dans les pays anglophones.

Royaume Uni.

Phinance Technologies, une société spécialisée dans l’exploration de données indépendantes et la consultation, a publié une analyse des demandes d’invalidité au Royaume-Uni au cours des sept dernières années (https://phinancetechnologies.com/HumanityProjects/PIP Analysis-Systems.htm). Ainsi, indirectement, via le biais des nouvelles invalidités, on peut déduire le nombre global de malades et celui par pathologies sur ces dernières années. Mieux que rien.

Après les injections de nombreuses personnes sont fatiguées, vont d’arrêt de travail en tentative de reprise, et nouvel arrêt et il ne s’agit pas uniquement de dépressions.

Le nombre total de nouvelles demandes de prestations d’autonomie personnelle (RRP) pour tous les âges et toutes les causes présentées par des personnes ayant présenté une demande d’invalidité a très fortement augmenté. En 2022 le taux de nouvelles demandes a été supérieur de 71% au taux moyen de 2016-2019 et a suivi le déploiement du vaccin Covid.

Si l’augmentation du nombre total de personnes demandant des prestations d’invalidité au Royaume-Uni parce qu’elles sont devenues incapables de travailler- se répète dans le monde entier, en 2022, il y aura eu 31 millions de nouveaux cas d’invalidité.

Un drame qui est peut être en partie responsable des soucis des petits patrons pour trouver du personnel.

Phinance Technologies rapporte également les données distinctes pour les paiements versés aux personnes souffrant d’invalidité en raison de l’incidence du cancer. Le nombre des bénéficiaires de ces paiements a augmenté de 35 % en 2022 par rapport à la moyenne à long terme. Une augmentation de 12 271 cas.

Il est triste de constater qu’une augmentation de 79% d’apparition de cancers sur une période de trente ans a suscité une forte inquiétude et une publicité mondiales, alors qu’une augmentation de 35% de l’incidence du cancer en à peine plus d’un an après le début du déploiement du vaccin, un taux annuel 13 fois plus élevéa été ignorée par les médias grand public. Si cette augmentation était reproduite dans le monde entier, cela équivaudrait à 1 million de cas de cancer supplémentaires.

L’analyste de données Edward Dowd a fait la lumière sur les autorisations indemnisations annuelles au Royaume-Uni accordées pour invalidité en utilisant différentes mesures pour 2020, 2021 et 2022. Et ce qu’il a constaté, c’est que les demandes pour maladies hématologiques cancéreuses(leucémies) étaient en 2022 en hausse stupéfiante de 522% au-dessus de la tendance des années précédentes.

Nouvelle-Zélande.

L’enquête sur la population active auprès des ménages indique que 6600 personnes en âge de travailler (15-64 ans) ont quitté le marché du travail en raison d’un handicap au cours de l’année écoulée depuis juin 2021, date à laquelle la vaccination de ce groupe d’âge a commencé.

La fuite de données hospitalières de la région de Wellington a révélé une incidence croissante de cancers et en particulier des leucémies (+ 25%), des cancers du sein (+24%), des glioblastomes (+15%) et des cancers du pancréas (+15%).

Le financement continu par les gouvernements de « vérificateurs de faits » (fast checkers) qui se comportent en vrais experts en désinformation, niant les preuves scientifiques croissantes des dommages causés par les vaccins Covid, devient une affaire mondiale, non seulement morale mais politique, menaçant la science et la démocratie.

Aux USA

Le registre des déclarations des accidents vaccinaux VAERS a enregistré une hausse considérable (123%) des cancers survenus après vaccination covid lorsqu’on la compare aux années précédentes.

Cette augmentation des cancers post vaccinaux n’est pas due à une utilisation plus massive des vaccins covid par rapport aux autres vaccins; en effet durant les années précédentes qui servent de comparaison les vaccins anti grippaux ont été chaque année plus largement injectés que les vaccins covid en 2021.

En janvier 2022, trois militaires de haut rang, médecins responsables de la santé publique aux USA, ont déclaré sous serment qu’à la suite de l’adoption du vaccin COVID dans l’armée américaine ils avaient constaté une augmentation des cancers de 296 %4.

Causes possibles de ces turbo-cancers

Certains scientifiques cherchent absolument à comprendre ce qui se passe au fin fond de nos cellules agressées, car semble-t-il certains ont du mal à croire la simple observation clinique s’ils n’en comprennent pas le mécanisme (pourtant souvent mystérieux en médecine).

« En raison de la dérégulation des réponses immunitaires et de la suppression du système immunitaire par ces injections génétiques … ces cancers qui seraient normalement contrôlés par le corps se développent de manière inattendue très rapidement », a déclaré le Dr Ryan Cole dans une interview avec Children’s Health Defense.7

Les protéines de pointe des vaccins à ARNm servent de carcinogène, nourrissant littéralement le cancer et le propulsant à se multiplier de manière exponentielle pour envahir le reste du corps. (ibid 1) Turner a également observé de plus en plus de tumeurs multiples dans plusieurs organes, ainsi que des récidives et des métastases incontrôlables ».

En ce qui concerne l’immunité adaptative globale, Cole décrit : « Après le vaccin, ce que nous voyons est une baisse des cellules T tueuses » qui « gardent tous les autres virus sous contrôle », laissant le patient vulnérable à une variété de maladies.

En octobre 2022, une étude suédoise a confirmé que la protéine de pointe associée à la maladie COVID-19 et ses vaccins expérimentaux pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages à l’ADN, compromettant l’immunité adaptative d’une personne et facilitant peut-être la formation de cellules cancéreuses.

Un post de la généticienne Alexandra Henrion- Caude auteur des «  les apprentis …) pour sensibiliser les humains au risque de cancer après injection anticovid pourra -t-il sauver des enfants et adolescents de ces injections catastrophiques ?

« Je remarque que l’humain comprend mieux sur l’animal que sur lui-même. Alors je vous raconte l’histoire de Kimani, le petit gorille, né dans un zoo à Calgary. Il est né le 9 mars 2016 d’une mère Kioja, âgée de 15 ans (primipare) et d’un père illustre Kakinga, connu comme le « gentle giant » (le gentil géant), mort à 37 ans d’une déchirure de l’aorte.

Bénéficiant du nec plus ultra du traitement de l’humanité, le jeune Kimani âgé de 6 ans a été injecté début avril 2022 avec les premières doses anti-COVID19 disponibles au zoo.

En moins de 2 mois, l’état de santé de Kimani s’est profondément dégradé. Il est dans un état critique, et seuls les soins palliatifs sont désormais envisagés. Il a été diagnostiqué d’un cancer du foie ».8

Et une lettre du Dr Angus Dalgleish9, professeur d’oncologie à l’Université St George de Londres, au Dr Kamran Abbasi, rédacteur en chef du BMJ pour que le BMJ fasse du consentement libre et éclairé préalable pour la vaccination Covid un sujet prioritaire.

« Cher Kamran Abbasi,

Covid n’a plus besoin d’un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès de Covid au Royaume-Uni est de 82 ans et alors que pour toutes les autres causes il est de 81 ans et en baisse.

La responsabilité des injections anti covid avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien acceptée, tout comme le lien avec la myélite et les neuropathies. (Nous avons prédit ces effets secondaires dans notre article de juin 2020 Sorensenet al. 2020, l’analyse de l’explosion ayant révélé 79% d’homologies avec les épitopes humains, en particulier PF4 et la myéline.)

Cependant, il y a maintenant une autre raison d’arrêter tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes atteintes d’une maladie stable progresser rapidement après avoir été forcées de prendre un rappel, généralement pour pouvoir voyager.

Même au sein de mes contacts personnels, je vois une maladie à base de cellules B après les rappels. Ils décrivent être nettement malades quelques jours à quelques semaines après le rappel – une leucémie en développement, deux collègues de travail lymphome non hodgkinien et un vieil ami qui a eu l’impression d’avoir eu le Covid long depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir eu une douleur osseuse intense, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’une maladie rare des cellules B.

J’ai suffisamment d’expérience pour savoir que ce ne sont pas les anecdotes fortuites que beaucoup suggèrent, d’autant plus que le même schéma est observé en Allemagne, en Australie et aux États-Unis. Les rapports d’immunosuppression innée après ARNm pendant plusieurs semaines conviendraient, car tous ces patients à ce jour ont un mélanome ou des cancers à base de cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire – et c’est avant les rapports de suppression du gène suppresseur par ARNm dans les expériences de laboratoire Cela doit être diffusé et débattu immédiatement ».

Angus Dalgleish

Les injections répétées de COVID conduisent des variantes dangereuses, et des cancers turbo

APPEL AU BON SENS

Selon le vaccinologue Geert Vanden Bossche, DVM, Ph.D., la poursuite de la vaccination de masse contre la COVID-19 suscite de nouvelles souches virales10 (les variants) plus infectieuses et potentiellement dangereuses, augmentant le risque de COVID-19 grave, tout en entraînant une augmentation de cancers agressifs et de maladies auto-immunes dans les populations vaccinées. Dans son article récent en cet été 23, Vanden Bossche envoie un «avertissement sévère à ceux qui envisagent de se faire vacciner contre la COVID-19 plus tard cette année, alors que nous nous dirigeons vers l’hiver de l’hémisphère nord. »

Il explique en détail comment et pourquoi les populations fortement vaccinées contre la COVID-19 vont : faire apparaître des variants toujours plus infectieux et potentiellement dangereux11 dérivées d’Omicron, par échappées immunitaire, tout en étant plus à risque de contracter une forme grave de COVID-19 que les populations moins ou non vaccinées.

Comment les risques d’autres affections chez les populations fortement vaccinées, y compris les cancers agressifs, précoces, les cancers « turbo » et les poussées auto-immunes, augmenteront probablement considérablement par rapport à ceux qui, prudents, choisissent d’éviter une injection supplémentaire contre la COVID-19.

La base de preuves pointant dans cette direction devient de plus en plus forte (avec de nombreuses références à d’autres publications dans le rapport de Vanden Bossche). »

La relation possible avec les cancers du sang et les vaccins COVID-19 et les mécanismes scientifiques avérés peuvent l’expliquer… mais l’essentiel est d’entendre que la hausse d’incidence des cancers depuis 2021 a moins d’une chance sur 1000 d’être due au hasard.

L’argument selon lequel l’épidémie de cancer serait due au retard dans les dépistages ne tient pas, car l’arrêt des dépistages et le retard aux traitements aboutissent à des formes plus évoluées de cancers et peut en augmenter la mortalité, mais est incapable d’en augmenter significativement l’incidence.

De plus si c’était le cas il s’agirait des cancers classiques. Or ici ce sont de nouveaux types de cancer, à des âges inhabituels avec des comportements particuliers tels leur vitesse majeure de développement et leur résistance à tous les traitements habituels.

« Nous voyons des cancers rares/bizarres et des augmentations hors saison. Les dépistages différés ne déclenchent pas une augmentation des cancers en une seule semaine. Il s’agit d’une intervention spécifique, intense et inédite ». As an Oncologist I Am Seeing People With Stable Cancer Rapidly Progress After Being Forced to Have a Booster », The Daily Sceptic

On comprend pourquoi les injections suivant la première sont plus toxiques :

« Lorsqu’il y a une stimulation du système immunitaire, la microglie ramifiée passe au stade de la microglie amorcée. Les pseudopodes sont rétractés et cela devient une cellule plus arrondie. À l’intérieur de la microglie amorcée, il y a une intense régulation à la hausse de la production de cytokines, de chimiokines et d’excitotoxines — mais elles ne sont pas libérées de la cellule, il peut donc y avoir une réaction immunitaire mineure, mais sinon il n’y a pas beaucoup de signes de réaction. C’est ce qui se passerait avec la première injection de cet injectable qu’ils appellent un ‘vaccin’ », a déclaré le Dr Blaylock.12

Il est important de noter que les chimiokines attirent les macrophages, ou globules blancs, vers le cerveau. Un macrophage dans le cerveau ressemble exactement à la microglie et peut également subir un amorçage.

« Avec la deuxième stimulation immunitaire, [qui serait la deuxième injection et] qui peut être des mois plus tard, cette microglie amorcée devient complètement activée. Et lorsque cela se produit, il libère tous ces composants toxiques… vous obtenez une microglie activée de manière chronique, [un] état suractivé et il y a une réaction inflammatoire 3 fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l’activation microgliale. »

Le Dr Blaylock insiste sur les dangers sur les fœtus et les risques prévisibles à long terme :

« Je pense que comme conséquence des injections de Covid Nous allons assister à une augmentation considérable des troubles du spectre autistique. L’autre trouble dont on ne parle jamais est la schizophrénie. Ce que nous voyons, c’est que si nous stimulons le système immunitaire au cours du troisième trimestre, l’incidence de la schizophrénie augmente d’environ 6 fois. Mais ça n’arrive qu’à l’adolescence donc ça va être long avant qu’on le voie.

« Mais je pense que tout — les malformations augmentent déjà de 300 à 400 %, les fausses couches — nous allons voir des choses que nous n’avons jamais vues auparavant. C’est la tragédie de tout cela.

Que les organisations pédiatriques approuvent les injections de Covid est monstrueux. »

Le Dr Ryan Cole a remarqué qu’il y avait une augmentation considérable des cancers agressifs après le déploiement de l’injection de Covid. Il a également remarqué que les personnes qui avaient des cancers bien contrôlés développaient des cancers incontrôlables et mouraient très rapidement.

De longues publications abordent maintenant ce sujet. L’important en urgence est de stopper ces injections et de les éviter à vos proches en attendant une suppression mondiale.

« L’idée qu’un nouveau produit comme les vaccins [COVID] pourrait causer le cancer n’est pas quelque chose qui sera observable du jour au lendemain », a expliqué le Dr Risch dans une interview passionnante 13

« Le cancer en tant que maladie prend beaucoup de temps à se manifester à partir du moment où il commence, des premières cellules qui se détraquent jusqu’à ce qu’elles deviennent assez grandes pour être diagnostiquées ou symptomatiques, peut prendre de deux ou trois ans pour les cancers du sang, comme les leucémies et les lymphomes, à cinq ans pour le cancer du poumon. à 20 ans pour le cancer de la vessie, ou 30, 35 ans pour le cancer du côlon, et ainsi de suite.

« Ce sont donc des événements à long terme, et si vous introduisez soudainement un nouveau produit comme les vaccins, la première chose que vous pourriez vous attendre à voir serait les cancers du sang que j’ai mentionnés, mais pas les autres types de cancers. »

Les troubles liés au sang apparaissent déjà dans les données britanniques que nous avons signalées précédemment

Mais il ne s’agit pas seulement de troubles hématologiques

Les cancers qui prennent normalement dix, vingt ou trente ans à se développer, théoriquement accélérés par les vaccins immunosuppresseurs contre la COVID, pourraient apparaître à des taux accrus à long terme, a laissé entendre le Dr Risch.

Mais à moyen terme nous voyons déjà des signes de cela se produire alors que les jeunes, dans la fleur de l’âge, souffrent du cancer à des taux sans précédent.

Colby Brock, un YouTuber de 26 ans, a partagé son diagnostic de cancer des testicules avec ses abonnés le 9 juillet 2023. Le Dr William Makis a fait une plongée profonde dans les jeunes influenceurs des médias sociaux qui contractent le cancer sur sa page Substack.

Selon le Dr Risch, si une personne de 25 ans développe un cancer du côlon sans antécédents familiaux de la maladie, « c’est fondamentalement impossible selon le paradigme connu du fonctionnement du cancer du côlon ». Il a ajouté que d’autres cancers à longue latence font surface chez les très jeunes. « Ce n’est tout simplement pas l’occurrence normale du fonctionnement du cancer. »

« Parce que ces cancers se sont produits chez des personnes trop jeunes pour les avoir, par rapport à la façon normale de survenue, ils ont été désignés comme des turbo-cancers », a ajouté le Dr Risch.

« Certains de ces cancers sont si agressifs qu’entre le moment où ils sont vus pour la première fois et le moment où ils viennent pour le traitement après quelques semaines, ils ont considérablement augmenté par rapport à ce à quoi les oncologues s’attendaient. »

« Il doit y avoir un stimulus initiateur », a-t-il déclaré. Comme déjà mentionné, « les vaccins contre la COVID ont causé divers degrés de dommages au système immunitaire chez une fraction des personnes qui les ont pris. » « si vous endommagez le système immunitaire d’une manière qui limite la capacité de reconnaître ou de désactiver les cellules cancéreuses dérangées en croissance naissante, cela ouvre la porte à leur multiplication au point où il est au-delà du système immunitaire de faire face. Et c’est le mécanisme, je pense, qui est le plus probable ici. »

Des exemples se multiplient dans la littérature institutionnelle aussi bien que sur les réseaux sociaux citons cette observation à propos d’enseignants 14Makis 15

En conclusion

Il faut refuser tout nouveau booster car toutes les études montrent une augmentation extrême de certaines maladies associées au déploiement de l’inoculation de l’ARNm et l’inefficacité de ces injections à protéger du covid ceux qui les reçoivent.

En particulier, nous pouvons observer que les maladies hématologiques malignes ont connu une augmentation extraordinaire par rapport au début de 2021, presque coïncidant avec le déploiement du vaccin Covid-19.

Nous observons également l’augmentation des réclamations liées aux maladies cardiovasculaires et des réclamations liées au système musculo-squelettique, qui sont probablement dues à une inflammation. Nous observons également que l’augmentation des cancers a, jusqu’à présent, été modérée, mais nous sommes préoccupés par le fait que ces résultats sont de nature à plus long terme et devraient donc continuer à augmenter dans les années à venir.16

Refusez le booster à ceux que vous aimez171819

Les appels internationaux à stopper cette catastrophe sanitaire sont nombreux. En décembre 22, nous diffusions cet appel à protéger vos proches, et qu’il est impératif de refaire à nouveau, devant la volonté du ministre de la Santé de reprendre les injections à partir du 2 octobre 23, en « favorisant les plus fragiles » en sachant (mais le sait-il ?) que ce sont ceux-là même qui sont le plus à risque de complications de l’injection-expérimentale.

Et les EHPAD vont continuer à se vider, les établissements privés ayant de plus en plus de difficultés à trouver des candidats pour les remplir…Si vous aimez vos proches injectés (par confiance mal placée aux médias menteurs, ou par nécessité vitale pour vivre), protégez-les du booster proposé, car les effets s’accumulent avec les doses successives, d’autant que le contenu de ces nouveaux pseudovax paraît de plus en plus riche en substances toxiques. Les premières doses contenaient beaucoup de placebos, mais les suivantes sont de plus en plus riches en ARNm et en graphène, d’ou une multiplication des complications que chacun peut constater dans son entourage s’il ne se voile pas la face.

Alors si vous tenez à vos proches et amis, informez -les pour qu’ils sachent à quoi ils s’exposent.

1https://www.humanite.fr/en-debat/covid-19/grand-entretien-avec-axel-kahn-contre-le-covid-19-une-couverture-vaccinale-de-60-ferait-la-difference-697120

2 https://perma.cc/2D5K-G694

3 Les apprentis sorciers éditions Albin Michel – paru le 8 mars 2023

4 Les cancers augmentent considérablement en tandem avec les vaccinations Covid (2ndsmartestguyintheworld.com) Vanden Bossche envoie un avertissement sévère à ceux qui envisagent de se faire vacciner contre la COVID-19 plus tard cette année, alors que nous nous dirigeons vers l’hiver de l’hémisphère nord.

Il explique en détail comment et pourquoi les populations fortement vaccinées contre la COVID-19 :

Servir à conduire des variantes toujours plus infectieuses et potentiellement dangereuses, échappées immunitaires, dérivées d’Omicron.

Être plus à risque de contracter une forme grave de COVID-19 que les populations moins vaccinées ou non vaccinées.

Comment le risque d’autres affections chez les populations fortement vaccinées, y compris les cancers agressifs, précoces, les cancers « turbo » et les poussées auto-immunes, augmentera probablement considérablement par rapport à ceux qui choisissent d’éviter une vaccination supplémentaire contre la COVID-19.

5 L’arnaque du dépistage du cancer de la prostate – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

6 Un article français à lire absolument si on désire subir le dépistage organisé du cancer du sein – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

7 https://childrenshealthdefense.org/defender/dr-ryan-cole-shots-hooker/

8 Ref in ibid 5 https://t.me/alexandrahenrioncaude

Naissance : https://calgaryherald.com/calgary-zoos-baby-gorilla-finally-has-a-name

Antécédents : https://calgaryherald.com/zoos-gentle-giant-gorilla-kakinga-dead-at-37

Injection : https://globalnews.ca/calgary-zoo-animals-first-dose-covid-19-vaccine

Soin palliatif comme seule solution : https://www.cbc.ca/gorilla-kimani-calgary-zoo-cancer

9 Angus Dalgleish Rapid Response:Re: Covid-19: Fourth vaccine doses—who needs them and why? BMJ 2022; 376 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.o30 (Published 07 January 2022) Cite this as: BMJ 2022;376:o30

10 https://www.linkedin.com/pulse/inescapable-immune-escape-pandemic-geert-vanden-bossche?trk=public_post

11 Geert Vanden Bossche, Robert Rennebohm The Inescapable Immune Escape Pandemic Kindle Edition

12 Dr Russell Blaylock : Comment les protéines de pointe induites par les vaccins endommagent le cerveau et causent le cancer, par Rhoda Wilson 22 novembre 2022

13 L’interview complète du Dr Risch avec The Epoch Times est disponible via le lien ci-dessous:

Dr Harvey Risch: Augmentation des « cancers turbo » agressifs – et en particulier chez les jeunes

septembre 2023

14TURBO CANCER – Les enseignants sont décimés par des cancers agressifs et métastatiques après les obligations de vaccin à ARNm COVID-19 – 34 cas tragiques récents aux États-Unis! (substack.com) 6 SEPT. 2023

15 Makismd.substack.com/p/turbo-cancer- teachers- are- being- decimated

16 Royaume-Uni – Analyse PIP – Systèmes de carrosserie (phinancetechnologies.com)

17 Flambée de cancers sous pseudovax : conseils aux naïfs tentés par un nième booster – Profession Gendarme (profession-gendarme.com)

18 Alliance for Natural Health International initialement et Children’s Health Defense

19 www.anhinternational.org/news/feature-the-scientific-case-for-an-immediate-halt-to-covid-vaccination-of-children

150923 -illegalite campagne vaccinale HPV – Reaction19.fr[103672]

 

L’avocat Carlo Alberto Brusa, de Reaction19,  a accepté d’étudier en urgence les documents reçus par les parents de 5 iême pour les inciter à accepter l’injection d’un nouveau vaccin après les drames des injections covid et les nombreuses victimes d’enfants pour une injection prétendue   » sûre et efficace »

 

une nouvelle fois il pointe l’illégalité du procédé et singulièrement l’absence d’information sur les supposés intérêts de l’injection pour leur enfant et les effets secondaires à craindre, pourtant connus depuis que ce vaccin est injecté de part le monde, depuis sa commercialisation

 

le gardasil ne sauve pas de vie car le cancer du col augmente plutôt chez les jeunes femmes vaccinées alors que ce cancer continue à diminuer chez les populations plus âgées non vaccinées et qui continuent le dépistage par frottis simple du col

il faut stopper ces mensonges

 

 

1 07 23 GARDASIL PARIS

 

 

Flyer Gardasil F[101921]

 

 

 

 

 

03/09/2023 (2023-09-03)

Par Gérard Delepine

Le port généralisé du masque contre le covid est inefficace et toxique, mais le ministère nous le conseille à nouveau

Dès avril 2020, nous avions alerté sur l’inutilité des masques contre les virus, dont le covid 191, tandis que le gouvernement inventait à leur propos une série de déclarations les plus contradictoires de la décennie.

En mars 2020 Sibeth Ndiaye expliquait que « le masque était inutile et qu’elle était incapable de le mettre »2. Et quelques mois plus tard le ministre affirmait qu’il était « très efficace » et le rendait obligatoirepartout, même en extérieur et quand on se promène seul en forêt ou sur la plage.

Et depuis le Conseil national de l’ordre condamne, sans aucun respect des données de la science, tout médecin qui déclare comme Sibeth Ndiaye que le masque est inefficace !

Le port généralisé du masque limite la transmission des bactéries

L’étude Wu Lien Teh sur l’évolution de la peste de Mandchourie en 1910 a démontré que les masques sont efficaces dans le contrôle de la transmission des maladies respiratoires contagieuses à bactérie3. Son efficacité a également été prouvée contre la transmission de la tuberculose,4 5 mais les virus sont 10 à 20 fois plus petits que les bactéries (1 à 3 μm pour Yersinia pestis, 2 à 5 μm pour Tuberculosis contre 0,8 à 0,12 pour les virus grippaux et 0,06 à 0,1 μm pour les Coronavirus) ce qui leur permet de passer aisément au travers des tissus masques ou en papiers ordinaires dont la taille des pores avoisine les 3 μm. Les masques peuvent arrêter les postillons (grosses gouttelettes de 100 μm), mais comme la propagation virale dans les lieux clos se fait préférentiellement par aérosol6, elle ne peut donc pas être prévenue par les masques même correctement ajustés. C’est d’ailleurs ce qu’indiquaient les fabricants de masques pour se protéger légalement.

Le port généralisé du masque n’empêche pas la transmission des virus

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base de quelques études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre la transmission du virus grippal est très incertaine comme le montre la très grande majorité des études cliniques sur le sujet7 8 9 10 11 12 13 14 15.

Sur sept études randomisées distinctes analysées par MacIntyre et Chughtai, aucune d’entre elles ne montre un bénéfice du port du masque facial dans la communauté pour prévenir l’incidence des virus respiratoires.

La première revue méthodique (méta-analyse) portant sur l’efficacité des masques publiée par la Collaboration Cochrane en juin 201116 après trois pandémies, le SRAS en 2003, la grippe aviaire H5N1 en 2006, et la grippe porcine H1N1 en 2009 a conclu :

« Rien ne permet d’affirmer que le port du masque à lui seul permette de se protéger efficacement des virus respiratoires. »

« Les masques filtrants n’ont pas prouvé de supériorité aux masques chirurgicaux. La distanciation physique d’un mètre n’a pas non plus prouvé son efficacité. »

En 2020 une actualisation de la méta-analyse17 a confirmé les résultats de la précédente : « There was insufficient evidence to provide a recommendation on the use of facial barriers without other measures » et ses auteurs concluent sur l’urgence de réaliser par des essais cliniques rigoureux pour savoir si les masques portés par des personnes supposées infectées, permettent réellement d’éviter la propagation de l’infection virale respiratoire avant de recommander le port du masque.

La dernière métanalyse de la fondation Cochrane en 2023 18 confirme l’absence de preuve d’efficacité du masque contre la transmission virale :

« Nous avons inclus 15 essais randomisés (en clusters) étudiant l’effet des masques (14 essais) chez les professionnels de santé et dans la population générale et celui de la quarantaine (1 essai). Par rapport à l’absence de masque, il n’y a pas eu de réduction des cas de syndromes grippaux ou de grippe par les masques dans la population générale, comme chez les professionnels de santé. »

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en reconnaissant le manque de preuves sur son efficacité19. Et lorsqu’elle a changé ses recommandations pour des raisons politiques, elle s’est appuyée sur de simples études observationnelles qui concluaient au conditionnel :

« Lutilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ».

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 31/8/2023 résume l’état actuel de la science : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui et beaucoup rapportent des complications diverses du port prolongé du masque.

Le port du masque est susceptible d’augmenter la transmission du virus

L’OMS, dans ses nouvelles directives pourtant en faveur du masque, 20 a rappelé qu’« une personne peut s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes ». De plus, elle s’inquiétait du « faux sentiment de sécurité lié au port du masque » amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique21.

En pratique, le port du masque paraît médicalement justifié lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades comme les soignants, car cela les rassure. Mais même, dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque ne se basent pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses fausses ou très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire ou sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle (comme le communiqué de l’Académie de Médecine).

Ce sont habituellement les mêmes qui récusent l’utilisation de la chloroquine, de l’Ivermectine ou de la vitamine D contre le covid sous le prétexte (faux) qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elles sont efficaces.

Or la seule étude prospective randomisée, Danmasq19 22 pourtant réalisée par des partisans du port du masque, menée au Danemark auprès de 6 000 participants en avril et en mai 2020 ne retrouve aucune diminution significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas, démontrant ainsi que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les études récentes montrent que le port du masque n’a pas été efficace

L’Université d’Édimbourg résume un travail épidémiologique 23 sur l’efficacité des masques faciaux sur la propagation de l’infection par « Based on the epidemiological evidence, the effectiveness of face masks has not been demonstrated »

Boretti 24 constate :

« Si l’on compare les pays d’Europe de l’Ouest qui n’ont pas rendu obligatoire le port du masque, par exemple la Suède, la Finlande, la Norvège, le Danemark, l’Islande, à d’autres pays comme le Royaume-Uni, l’Irlande, la Belgique, l’Allemagne qui ont adopté des mesures généralisées de port du masque, il n’y a pas d’augmentation du nombre de cas,ni de décès dans les pays qui ne l’ont pas imposé. »

Au Texas, Schauer et ses coauteurs25 concluent :

« Nous n’avons pas été en mesure de détecter une réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs attribuable à la mise en œuvre d’une obligation de masques. »

En Allemagne, une enquête26 n’a pas trouvé de bénéfice du port de masque dans les écoles et constaté beaucoup d’inconvénients pour les élèves

Dans le Wiscontin, une étude27 sur les athlètes de haut niveau confirme :

« Il n’y avait pas d’association significative entre l’incidence de COVID-19 et l’utilisation de masques faciaux pendant le jeu pour les sports avec plus de 50 écoles déclarant l’utilisation de masques faciaux (p> 0. 05 pour tous) ».

Beauchamps28 conclut l’analyse de l’évolution de la pandémie ainsi :

« l’absence de preuve scientifique d’efficacité du port généralisé du masque, la fréquence des inconvénients chez les porteurs et la pollution de l’environnement29 30rendent injustifiable l’obligation généralisée des masques dans la population et celle-ci doit être abandonnée lors des pandémies futures ».

Une étude31 accuse même le masque d’avoir aggravé la mortalité du covid

Zacharias Fögen a analysé l’impact du port du masque dans l’État américain du Kansas au cours de la période du 1er août au 15 octobre 2020.

Cet État américain a laissé à chacun des comtés qui le composent la liberté de décider de mettre en place ou non une obligation de port du masque. Sur un total de 105 comtés, 81 ont refusé cette mesure permettant ainsi une comparaison des mortalités des 24 comtés qui ont imposé le masque aux autres. La conclusion de l’étude est sans appel :

« Contrairement à l’idée reçue selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques puisqu’ils permettraient de réduire les taux d’infection, les résultats de cette étude démontrent que ce n’est pas le cas et suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50 % ».

Les masques sont source d’inconfort et de complications.

Le port généralisé du masque génère de l’anxiété32 33, du stress, des dépressions psychologiques, des frustrations en raison de troubles de la communication, ainsi que d’une irritabilité accrue et d’une détérioration de l’humeur, une agitation et un sommeil plus médiocre.

Il perturbe fortement l’expression des émotions34, gêne l’élocution et rend beaucoup plus difficile l’acquisition du langage par les jeunes enfants et le suivi des enseignements scolaires, et tout particulièrement et l’apprentissage des langues étrangères.

Les porteurs ressentent souvent un essoufflement, et une gêne au niveau des oreilles due aux élastiques.

Le port prolongé de masques augmente la gravité de l’acné (maskne)35 et de la rosacée36, des eczémas atopiques et séborrhéiques, des dermatites péri orificielles, de l’urticaire, de la rosacée, des folliculites et des prurits37 38 39, peuvent faciliter l’apparition de purpura40 de teigne41 retardent la cicatrisation des plaies chirurgicales42 et peuvent entraîner la nécrose de lambeaux faciaux de reconstruction même anciens43,

L’enquête allemande précédemment citée 44 rapporte des données sur 25 930 enfants dont la durée moyenne de port des masques atteignait 270 minutes par jour. Parmi les personnes interrogées, 68 % ont déclaré que les enfants se plaignaient de problèmes causés par le port du masque dont l’irritabilité (60 %), des maux de tête (53 %), des difficultés de concentration (50 %), un mal être (49 %), la réticence à aller à l’école/à la maternelle (44 %), un malaise (42 %), des difficultés d’apprentissage (38 %) et/ou somnolence/fatigue (37 %).

Didier Rancourt, dans son pamphlet de 202345 « Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique », résume l’état des connaissances scientifiques après 3 ans de crise :

« Un nouveau mantra ignoble est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et des hommes politiques dans la campagne mondiale visant à imposer le port du masque universel au grand public : “il existe un nombre croissant de preuves”. Cette phrase de propagande est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :

— Donner la fausse impression qu’un équilibre de preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19

— Assimiler faussement les commentaires émis dans des lieux scientifiques avec des “preuves

— Cacher le fait qu’une décennie de preuves politiques prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales

— Cacher le fait qu’il existe désormais une preuve observationnelle directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’expiration de nuages de particules d’aérosol en suspension ; au-dessus de, sous et à travers les masques

— Détourner l’attention des méfaits et des risques considérables connus dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières. Lesdits méfaits et risques incluent le fait qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; compte tenu de l’environnement chaud et humide et de la source constante, où les tissus d’intérieur sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes.

En bref, j’affirme : les articles d’opinion ne sont pas des “preuves”, la non-pertinence n’aide pas, et davantage de préjugés n’éliminent pas les préjugés.

Leur mantra d’“un ensemble croissant de preuves” est un stratagème intéressé qui entrave la bonne science et menace la sécurité publique.

Je prouve qu’il n’existe aucune preuve scientifique pour soutenir le port obligatoire du masque sur la population générale, et que toutes les preuves scientifiques de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.

C’est pourquoi les politiques et les autorités sanitaires agissent sans légitimité et de manière imprudente. »

Gérald Kierzek déclarait dans le Figaro du 9 12 2022 :

« Le masque est un gadget politique et de communication qui permet aux autorités de montrer qu’elles ne sont pas passives face à une montée des contaminations et permet d’éclipser la crise générale du système de santé.

Ses bénéfices n’ont jamais été formellement démontrés pour endiguer une épidémie : les pays ayant maintenu l’obligation dans les transports comme l’Allemagne démontrent que les vagues de contamination n’ont pas été enrayées ; le masque ne remplace en rien des gestes barrières plus simples, comme le lavage des mains ou l’aération efficace, notamment dans les lieux clos familiaux ou professionnels, principaux lieux de contamination ; pire, le masque mal utilisé, enlevé et remis n’importe comment, donne un sentiment de fausse sécurité et de relâchement d’une hygiène minimale. »

Il aurait pu ajouter : comme lors du confinement, nous sommes devant une mesure généralisée, sans aucun discernement. Une mesure technocratique que seuls des Énarques peuvent prendre en vertu d’un principe de précaution poussé jusqu’à l’absurde. Le masque comme le confinement sont les conséquences de croyances infondées, d’une religion et non pas d’une doctrine qui reposerait sur de solides preuves scientifiques.

Aux USA l’administration Biden est actuellement suspectée de vouloir réintroduire le port obligatoire du masque depuis l’apparition du dernier variant surnommé depuis « variant électoral ».

De fait, le College Morris Brown d’Atlanta, la société cinématographique Lionsgate à Santa Monica et les Services de santé unis et l’Hôpital communautaire d’Auburn, l’Hôpital universitaire de Syracuse à New York, la compagnie Kaiser Permanente (dans son hôpital Santa Rosa) ont émis des obligations de port de masques. Honteux !

Ces décisions ont suscité des commentaires sans ambages du Dr Marc Siegel, professeur clinicien de médecine au NYU Langone Medical Center et contributeur médical de Fox News :

« les obligations n’ont pas fonctionné ; elles ont été étudiées à maintes reprises et elles n’ont pas diminué la propagation virale. »

« donc, rendre obligatoire le port du masque n’a aucun sens. »

Thomas Massie député du Kentucky a appelé à la résistance civique :

« Si la bureaucratie essaye de rétablir des mesures tyranniques pour soi-disant lutter contre le covid, résistez de toutes vos forces. Refusez-les ! »


1 https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20200907.OBS32987/je-prefere-courir-un-risque-que-de-ne-plus-vivre-on-a-rencontre-le-couple-egerie-des-anti-masques.html2 https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/sibeth-ndiaye-ne-sait-pas-utiliser-un-masque-un-medecin-ironise-et-lui-explique_4463673 Goh LG, Ho T., Phua KH, Sagesse et science occidentale : les travaux du Dr Wu Lien-Teh. Asie-Pacifique. J. Publ. Santé 1, 99-109 (1987)4 Dharmadhikari AS, Mphahlele M, Stoltz A, Venter K, Mathebula R, Masotla T, Lubbe W, Pagano M, First M, Jensen PA, van der Walt M, Nardell EA. Surgical face masks worn by patients with multidrug-resistant tuberculosis: impact on infectivity of air on a hospital ward. Am J Respir Crit Care Med. 2012 May 15;185(10):1104-9. doi: 10.1164/rccm.201107-1190OC. Epub 2012 Feb 9. PMID : 22 323 300 ; PMCID : PMC3359891.5 Simple face masks could significantly prevent spread of TB to non-infected patients American Thoracic Society May 17, 20116 Covid : la transmission par aérosols en 5 questions. Rev Prat (en ligne), novembre 2020.

7 Xiao J, Shiu E, Gao H, Wong JY,Fong MW, Ryu S, et al. Nonpharmaceutical Measures for Pandemic Influenza in Nonhealthcare Settings—Personal Protective and Environmental Measures. Emerg Infect Dis. 2020;26(5):967–975. https://doi.org/10.3201/eid2605.190994

8 Haworth E, Barasheed O, Memish ZA, Rashid H, Booy R. Prevention of influenza at Hajj: applications for mass gatherings. J R Soc Med. 2013 Jun;106(6):215-23. doi: 10.1258/jrsm.2012.120170. PMID : 23 761 581 ; PMCID : PMC3705423.

9 Cowling BJ, Chan KH, Fang VJ, Cheng CK, Fung RO, Wai W, Sin J, Seto WH, Yung R, Chu DW, Chiu BC, Lee PW, Chiu MC, Lee HC, Uyeki TM, Houck PM, Peiris JS, Leung GM. Facemasks and hand hygiene to prevent influenza transmission in households: a cluster randomized trial. Ann Intern Med. 2009 Oct 6;151(7):437-46. doi: 10.7326/0003-4819-151-7-200910060-00142. Epub 2009 Aug 3. PMID : 19 652 172.

10 Davis BM, Markel H, Navarro A, Wells E, Monto AS, Aiello AE. The effect of reactive school closure on community influenza-like illness counts in the state of Michigan during the 2009 H1N1 pandemic. Clin Infect Dis. 2015 Jun 15;60(12):e90-7. doi : 10.1093/cid/civ182. Epub 2015 Apr 20. PMID : 25 896 795.

11 Larson EL, Ferng YH, Wong-McLoughlin J, Wang S, Haber M, Morse SS. Impact of non-pharmaceutical interventions on URIs and influenza in crowded, urban households. Public Health Rep. 2010 Mar-Apr;125(2):178-91. doi: 10.1177/003335491012500206. PMID : 20 297 744 ; PMCID : PMC2821845.

12 Simmerman JM, Suntarattiwong P, Levy J, Jarman RG, Kaewchana S, Gibbons RV, Cowling BJ, Sanasuttipun W, Maloney SA, Uyeki TM, Kamimoto L, Chotipitayasunondh T. Findings from a household randomized controlled trial of hand washing and face masks to reduce influenza transmission in Bangkok, Thailand. Influenza Other Respir Viruses. 2011 Jul;5(4):256-67. doi: 10.1111/j.1750-2659.2011.00205.x. Epub 2011 Feb 17. PMID : 21 651 736 ; PMCID : PMC4634545.

13 Long Y, Hu T, Liu L, et al. Effectiveness of N95 respirators versus surgical masks against influenza: a systematic review and meta-analysis. J Evid Based Med. 2020;13(2):93–101.

14 bin-Reza F, Lopez Chavarrias V, Nicoll A, Chamberland ME. The use of masks and respirators to prevent transmission of influenza: a systematic review of the scientific evidence. Influenza OtherRespir Viruses. 2012;6(4):257–267.

15 Radonovich LJ, Simberkoff MS, Bessesen MT, et al. N95 respirators vs medical masks for preventing influenza among health care personnel: a randomized clinical trial. JAMA. 2019;322(9):824-83

16 Jefferson T., et al., Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires. Système de base de données Cochrane. Rév.7, CD006207 (2011).

17 Jefferson T., et al., Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires. Partie 1 — Masques faciaux, protection oculaire et distanciation des personnes : revue systématique et méta-analyse. 10.1101/2020.03.30 .20 047 217 (7 avril 2020).

18 The Cochrane Review “Physical interventions to interrupt or reduce the spread of respiratory viruses” January 2023

19 Organisation Mondiale de la Santé. Conseils sur l’utilisation des masques dans le contexte de la COVID-19 : Orientations provisoires 6 avril 2020. : https://apps.who.int/iris/handle/10665/331693)), attitude tirée de 10 études

20 https://www.un.org/fr/coronavirus/articles/recommandations-port-du-masque

21 Cartaud A, Quesque F, Coello Y. Wearing a face mask against Covid-19 results in a reduction of social distancing. PLoS One. 2020 Dec 7;15(12):e0243023. doi : 10.1371/journal.pone.0243023. PMID : 33 284 812 ; PMCID : PMC7721169.

22 Henning Bundgaard et al Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Controlled Trial Ann Intern Med. 2021 Mar;174(3):335–343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub 2020 Nov
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/

23 Does the use of face masks in the general populationmake a difference to spread of infection? https://www.ed.ac.uk/files/atoms/files/uncover_003-03_summary_-_facemasks_community_anon.pdf

24 Boretti A. Efficacy of Generalized Face Masking Mandates. Health Serv Res Manag Epidemiol. 2021 Nov 10;8:23333928211058023. doi: 10.1177/23333928211058023. PMID: 34778494; PMCID: PMC8586184. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8586184/

25 Schauer SG, Naylor JF, April MD, Carius BM, Hudson IL. Analysis of the Effects of COVID-19 Mask Mandates on Hospital Resource Consumption and Mortality at the County Level southern medical journal, 114(9), 597–602. https://doi.org/10.14423/SMJ.0000000000001294

26 Schwarz S, Jenetzky E, Krafft H, Maurer T, Martin D. Coronakinderstudien „Co-Ki“: erste Ergebnisse eines deutschlandweiten Registers zur Mund-Nasen-Bedeckung (Maske) bei Kindern [Corona child studies “Co-Ki”: first results of a Germany-wide register on mouth and nose covering (mask) in children]. Monatsschr Kinderheilkd. 2021;169(4):353-365. German. doi: 10.1007/s00112-021-01133-9. Epub 2021 Feb 22. PMID: 33642617; PMCID: PMC7898258. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33642617/

27 Sasser P, McGuine TA, Haraldsdottir K, Biese KM, Goodavish L, Stevens B, Watson AM. Reported COVID-19 Incidence in Wisconsin High School Athletes in Fall 2020. J Athl Train. 2022 Jan 1;57(1):59–64. doi: 10.4085/1062-6050-0185.21. PMID: 34129671; PMCID: PMC8775282.

28 Beauchamp JD, Mayhew CA. Revisiting the rationale of mandatory masking. J Breath Res. 2023 Aug 7;17(4). doi: 10.1088/1752-7163/acdf12. PMID: 37548323. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37548323/

29 Dharmaraj S, Ashokkumar V, Hariharan S, Manibharathi A, Show PL, Chong CT, Ngamcharussrivichai C. The COVID-19 pandemic face mask waste: A blooming threat to the marine environment. Chemosphere. 2021 Jun;272:129601. doi: 10.1016/j.chemosphere.2021

30 Zambrano-Monserrate MA, Ruano MA, Sanchez-Alcalde L. Effets indirects du COVID-19 sur l’environnement. Sci. Environ. Total. 2020 ; 728 : 138 813.

31 Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18;101(7):e28924. doi : 10.1097/MD.0000000000028924. PMID: 35363218; PMCID: PMC9282120.

32 Mickells GE, Figueroa J, West KW, Wood A, McElhanon BO (2021) Adherence to masking requirement during the COVID-19 pandemic by early elementary school children. J Sch Health 91:555–561. https://doi.org/10.1111/josh.13033

33 Qin Z, Shi L, Xue Y et al (2021) Prevalence and risk factors associated with self-reported psychological distress among children and adolescents during the COVID-19 pandemic in China. JAMA Netw Open 4:e2035487–e2035487. https://doi.org/10.

34 Kastendieck T, Zillmer S, Hess U. (Un)mask yourself! Effects of face masks on facial mimicry and emotion perception during the COVID-19 pandemic. Cogn Emot. 2022 Feb;36(1):59–69. doi: 10.1080/02699931.2021.1950639. Epub 2021 Aug 25. PMID: 34432603.

35 Teo WL. The “Maskne” microbiome – pathophysiology and therapeutics. Int J Dermatol. 2021 Jul;60(7):799–809. doi: 10.1111/ijd.15425. Epub 2021 Feb 12. PMID: 33576511; PMCID: PMC8013758.

36 Damiani G, Gironi LC, Grada A, Kridin K, Finelli R, Buja A, Bragazzi NL, Pigatto PDM, Savoia P. COVID-19 related masks increase severity of both acne (maskne) and rosacea (mask rosacea): Multi-center, real-life, telemedical, and observational prospective study. Dermatol Ther. 2021 Mar;34(2):e14848. doi : 10.1111/dth.14848. Epub 2021 Feb 19. PMID: 33533563; PMCID: PMC7995182.

37 Yu J., Chen JK, Mowad CM, Reeder M., Hylwa S., Chisolm S. et al. Dermatite professionnelle liée aux équipements de protection individuelle du visage chez les travailleurs de la santé : une revue systématique. J Suis Acad Dermatol. 2021 ; 84 : 486-494.

38 Rudd E., Walsh S. Acné liée au masque (« maskne ») et autres dermatoses faciales. BMJ. 2021 ; 373 : n1304

39 Damiani G., Gironi LC, Grada A., Kridin K., Finelli R., Buja A. et al. Les masques liés au COVID-19 augmentent la gravité de l’acné (maskne) et de la rosacée (masque rosacée) : étude prospective multicentrique, réelle, télémédicale et observationnelle. Dermatol Ther. 2021 ; 34 : e14848.

40 Piccolo V, Bassi A, Mazzatenta C, Russo T, Argenziano G, Cutrone M, Danielsson Darlington ME, Grimalt R. Face mask-induced purpura: another unexpected effect of COVID era. J Eur Acad Dermatol Venereol. 2022 Dec;36(12):e973-e975. doi : 10.1111/jdv.18392. Epub 2022 Jul 7. PMID: 35771119; PMCID: PMC9349894.

41 Agarwal A, Hassanandani T, Das A, Panda M, Chakravorty S. ‘Mask tinea’: tinea faciei possibly potentiated by prolonged mask usage during the COVID-19 pandemic. Clin Exp Dermatol. 2021 Jan;46(1):190–193. doi: 10.1111/ced.14491. Epub 2020 Nov 12. PMID: 33098693; PMCID: PMC9213933.

42 Bonavolontà P, Troise S, Norino G, Iaquino V, Abbate V, Califano L. The effects of the face mask wearing on the surgical facial wounds healing during the COVID-19 pandemic. J Plast Reconstr Aesthet Surg. 2022 Oct;75(10):3877–3903. doi: 10.1016/j.bjps.2022.08.058. Epub 2022 Aug 24. PMID: 36088257; PMCID: PMC9398932.

43 Choi M, Wo L, Joshi P, Nugent A, Thaller SR. Facial Flap Necrosis From COVID-19 Face Mask Precautions. J Craniofac Surg. 2022 Sep 1;33(6):1840–1842. doi: 10.1097/SCS.0000000000008587. Epub 2022 Mar 9. PMID: 35142737; PMCID: PMC9432421.

44 Ibid 17

45 Didier Rancourt “Face masks, lies, damn lies, and public health officials: ‘A growing body of evidence’” https://www.researchgate.net/publication/343399832_Face_masks_lies_damn_lies_and_public_health_officials_A_growing_body_of_evidence

image_pdfPDF A4image_printImprimer

Colloque 13/05/2023 à Paris, parrainé par la LNPLV dirigée par Jean-Pierre Eudier

 La dérive totalitaire sur les enfants : diagnostic, causes et conséquences, solutions

Comment retrouver des principes vertueux ?

 

Notre contribution à ce colloque passionnant :

 

LE TOTALITARISME S IMPOSE AUX ENFANTS DANS TOUS DOMAINES V 13 MAI 2023

 

 

 

Couv Les enfants sacrifiés[43011]

vu l’actualité du Gardasil, nous partageons cet article de 2019 sur la recherche trop systématique du papillomavirus
Tests de dépistage HPV versus frottis : acte médical ou marchand (…)

Tests de dépistage HPV versus frottis : acte médical ou marchand ?

la réalisation des tests HPV n’est pas anodine car la révélation de leur positivité éventuelle est source d’angoisse importante le plus souvent injustifiée et de répétition des tests à court terme « pour vérifier » encore et encore… De plus, le coût de ces tests est élevé : en moyenne plus de 50 euros pour un test HPV alors que les pap tests reviennent à moins de 20 euros. Si on se rappelle que 6 millions de pap tests sont réalisés chaque année, l’association systématique aux test HPV couterait au moins 180 millions supplémentaires, sans tenir compte des multiples « vérifications ». Sans utilité globalement pour les femmes.

 

En moyenne, 11 % de la population féminine est positive pour le virus HPV, et la probabilité de présenter un faux négatif lors d’un test de dépistage classique est proche de 0.00016[1].

 

Aucun essai randomisé publié à ce jour n’a comparé les Pap tests classiques à leur remplacement ou leur association aux tests HPV sur plus de deux séquences.

[1] En France métropolitaine 6 millions de Pap tests annuels sont réalisés chaque année dont seulement 1000 se révèlent incapables de révéler un cancer invasif qui se manifestera avant le prochain examen.

JPEG

 

Tests de dépistage HPV associés au simple frottis : pourraient-ils diminuer la mortalité par cancer du col de l’utérus ? Acte médical ou marchand ?

 

Par N et G Delépine cancérologues

 

LE FROTTIS DU COL DE L UTERUS TOUS LES TROIS ANS CHEZ LES FEMMES DE 25 A 65 ANS : UNE VALEUR SURE

 

Dernière vedette en date du ministère et des médias aux ordres, que ce soit audiovisuel ou presse quotidienne ou hebdomadaire, le cancer du col de l’utérus n’est pas le fléau que l’on voudrait faire croire à la population. Mais chacun a compris que le cancer est un fléau qui rapporte… [1]

« Le cancer du col de l’utérus est le dixième cancer chez la femme en France par sa fréquence.

 Le pic d’incidence du cancer du col de l’utérus se situe vers 40 ans, l’âge médian au diagnostic est de 51 ans. Il est rare chez les femmes âgées de moins de 30 ans et celles âgées de plus de 65 ans. Les taux d’incidence et de mortalité par cancer au col de l’utérus sont en constante diminution ». La France est parmi les pays à faible incidence du cancer du col de l’utérus : le nombre de nouveaux cas était de 2 810 en 2011 (3 387 cas en 2000) et le nombre de décès liés à ce cancer de 998 (904 décès en 2002). La survie des femmes ayant un cancer du col de l’utérus dépend de différents facteurs pronostiques : la survie à 5 ans est comprise entre 84 et 93 % pour les cancers de stade I et 35 % pour les cancers de stade IV  ».[2]

 

Rappelons l’histoire naturelle de ce cancer selon la HAS : « Les symptômes pouvant faire suspecter un cancer du col de l’utérus sont peu spécifiques et tardifs (métrorragies[3] spontanées ou provoquées lors des rapports sexuels, dyspareunies[4], leucorrhées, douleurs pelviennes, parfois une dysurie, un ténesme ou des douleurs lombaires). Les lésions évocatrices au niveau du col cervical peuvent être : une lésion ulcérée saignant au contact, une lésion végétante ou infiltrante ; mais le col peut également avoir un aspect normal à l’examen au spéculum. Le cancer invasif du col utérin met en moyenne 15 à 20 ans pour se développer après la persistance d’une infection à papillomavirus humain à haut risque ».[5][6]

 

Le dépistage du cancer du col de l’utérus par examen cytologique des frottis, selon la technique de Papanicolaou, constitue le modèle de réussite de dépistage en cancérologie. Dans tous les pays qui le pratiquent, il a permis de diminuer de façon importante la mortalité du cancer du col de plus de 50%[7].

Le test Pap est un acte réalisé au cabinet du médecin[8], qui permet de prélever quelques cellules du col de l’utérus (et du vagin si on le souhaite). Le col est l’ouverture de l’utérus sur le vagin. Le test Pap recherche des cellules anormales qui pourraient évoluer vers le cancer du col utérin, par vérification au laboratoire, au microscope (cytologie = examen des cellules), s’il y a des changements dans ces cellules qui indiqueraient un problème infectieux ou précancéreux potentiel[9] de probabilité très basse ou plus ou moins élevée ou déjà des cellules cancéreuses.

 

En France, depuis la pratique du dépistage occasionnel[10] par test Pap (sans recherche de virus), la mortalité annuelle a même baissé de 80% passant de de 5000 à 1000[11].

 

Cependant l’incitation à un dépistage cytologique triennal chez les femmes de 25 à 65 ans est encore légèrement insuffisante, car on comptabilise encore chaque année en France métropolitaine environ 3000 nouveaux cancers invasifs responsables de 1000 morts [12]. Plus des deux tiers des femmes ainsi frappées par la maladie n’avaient jamais fait de frottis ou à un rythme inférieur à celui des recommandations[13] [14] et n’avaient pas prêté attention (ni leur médecin peut-être) aux symptômes qui existaient probablement pour la plupart d’entre elles dans l’année précédente.

 

La généralisation du dépistage organisé aux femmes jusqu’ici non dépistées selon les recommandations[15] pourrait réduire de deux mille le nombre de nouveaux cas de cancers invasifs et réduire à 1000 nouveaux cas annuels non diagnostiqués par frottis, et moins de 300 morts.

 

La réalisation de pap tests lors de consultations gynécologiques motivées par des symptômes divers, permettrait le diagnostic plus précoce d’un certain nombre des 1000 cancers invasifs qui échappent encore au dépistage classique [16]. Le dépistage s’adresse aux femmes ne présentant aucun symptôme ; le diagnostic précoce utilise les mêmes tests chez des femmes symptomatiques et ne doivent pas être omis lors de consultations gynécologiques motivées par d’autres symptômes. En effet, près de 90% des femmes souffrant de cancer du col ont présenté des troubles gynécologiques dans l’année précédant le diagnostic, sans que des tests cytologiques n’aient été prescrits.[17] [18]

 

 

ALOURDIR LE DEPISTAGE PAR RECHERCHE SYSTEMATIQUE DU VIRUS HPV ?

 

Ces tests, pratiqués depuis longtemps, n’incluent pas la recherche systématique de virus papilloma. Certains, dans le cadre de l’hystérie mondiale autour des liens cancer et virus HPV, et malgré le faible nombre de décès liés [19], souhaiteraient imposer une recherche systématique du virus en même temps que le frottis.

 

Le but de cette tribune est de savoir si cet ajout de recherche du virus a, en l’état actuel des connaissances, une justification scientifique, ou a contrario des inconvénients potentiels de plusieurs ordres, médicaux, psychologiques et aussi financiers.

 

Que peut-on faire pour ces 1000 patientes (sur 6 millions) dont les tests de dépistage par Pap, faussement négatifs ont pu retarder le diagnostic et le traitement ? Est-ce que les nouveaux tests, qui dépistent la présence des HPV pourraient améliorer leur devenir ou aboutir seulement à augmenter la fréquence des surdiagnostics et des surtraitements ? Est- ce que ce petit nombre de faux négatifs justifie la généralisation d’une recherche couteuse et anxiogène de HPV lors de chaque frottis ? En un mot, établir sa balance bénéfices-risques.

 

 

DANGERS CONNUS ET ETABLIS DES DEPISTAGES SYSTEMATIQUES DES CANCERS[20] [21] [22]

 

Les campagnes de dépistage de cancers exposent à deux complications principales : rassurer à tort par un test faussement négatif et inquiéter inutilement par un faux positif ou un surdiagnostic[23] conduisant aux sur traitements[24]Plus les tests de dépistage sont sensibles et moins ils sont spécifiques. Ils exposent alors davantage aux surdiagnostics, et donc aux surtraitements et à leurs complications !

 

 

EXEMPLES

 

LE CANCER DE LA PROSTATE SURDIAGNOSTIQUE ET SURTRAITE [25]

 

Le dépistage du cancer de la prostate par le dosage des PSA, trop sensible s’est révélé inefficace pour diminuer la mortalité[26] toutes causes confondues et les surtraitements nocifs sur la qualité de vie des hommes qui les subissent[27]. Si vous vous faites dépister, vous ne vivrez pas plus longtemps, mais beaucoup plus mal. (Angoisse, troubles urinaires, impuissance etc.. ).

 

CANCER DU SEIN SURDIAGNOSTIQUE ET SURTRAITE

 

Le dépistage du cancer du sein par mammographie n’améliore pas non plus la survie globale des femmes[28] qui s’y soumettent et augmente de manière importante leur risque de mammectomie et autres traitements inutiles [29] [30] [31] [32] [33] [34]

 

CANCER DE LA THYROIDE ENORMEMENT SURDIAGNOSTIQUE

 

Le dépistage des cancers thyroïdiens par l’échographie a causé plus de 500000 victimes[35] [36]. 50 à 90 % des cancers de la thyroïde seraient des surdiagnostics, donc des cancers qui n’ont pas existé ou qui n’auraient jamais évolué. Que de vis gâchées !

 

LES TESTS SANGUINS DE DEPISTAGE GLOBAL DU CANCER SONT AUSSI UN LEURRE A L’HEURE ACTUELLE. [37]

 

 

RISQUE DE SURDIAGNOSTIC ET DONC DE SURTRAITEMENT POUR LE CANCER DU COL DE L’UTERUS AVEC LE TEST HPV

 

« Les infections par HPV sont communes tout au long de la vie adulte chez les femmes sexuellement actives, et guérissent le plus souvent spontanément, sans signe clinique. Une infection persistante est cependant retrouvée chez 3 à 10 % des femmes infectées ».

 

Ne risque-t-on pas avec ces tests HPV complémentaires et systématiques de rendre le dépistage du cancer du col, à son tour plus nocif qu’utile, sans oublier le coup social de la manœuvre ?

 

La focalisation abusive des médias et du ministère sur ce virus sous-estime les autres facteurs de risque que rappelle l’ HAS.[38] Sa position sur l’opportunité du dépistage du HPV est claire : « en complément du frottis cervico-utérin de dépistage, la recherche de papillomavirus humain (HPV) n’a pas lieu d’être, la HAS ayant considéré en 2010 que l’utilisation du test de détection des HPV en dépistage primaire en population générale n’était pas pertinente. » Cette recommandation n’est pas toujours respectée.

 

Actuellement, en France, le non-respect des recommandations[39]aboutit déjà à de trop nombreux surtraitements (conisations abusives) responsables entre autres complications d’accouchement prématurés.[40] [41]

 

Après plus de 50 ans d’utilisation, les résultats et les conséquences des tests cytologiques classiques sont bien connus. Dans 96 % des cas, le résultat est normal sans aucune anomalie cytologique, ni cancer débutant. Dans 4 % des cas, le résultat met en évidence des cellules anormales, justifiant d’autres examens. Globalement, sur 6 millions de Pap test annuels, on estime qu’environ 1000 ne permettront pas de dépister pas un cancer qui débute en particulier chez les femmes âgées, ménopausées[42].

 

Les tests HPV sont plus sensibles que le Pap-test pour dépister les malades qui présenteront peut-être un jour des « néoplasies » intraépithéliales de grade CIN2 et CN3.[43] Mais il faut rappeler que ces lésions ne sont pas cancéreuses (le terme « néoplasie » utilisé est impropre) et qu’elles ne précèdent un cancer invasif que dans une petite minorité de cas (en moyenne une fois sur vingt pour les CIN2 et une fois sur huit pour les CIN3).

 

De plus, même pour dépister les dysplasies appelées abusivement CIN2 et CIN3, leur spécificité est moindre, car un test HPV positif détecte seulement la présence de virus à risque oncogène –susceptible de s’accompagner un jour de lésions (pré)cancéreuses – mais il ne met pas en évidence la présence de telles lésions. La proportion de tests positifs chez les femmes qui n’ont pas de lésions ni réellement précancéreuses, ni cancéreuses (faux positifs) est élevée.

 

Et la réalisation de ces tests n’est pas anodine car la révélation de leur positivité éventuelle est source d’angoisse importante le plus souvent injustifiée et de répétition des tests à court terme « pour vérifier » encore et encore…

 

De plus, le coût de ces tests est élevé : en moyenne plus de 50 euros pour un test HPV alors que les pap tests reviennent à moins de 20 euros. Si on se rappelle que 6 millions de pap tests sont réalisés chaque année, l’association systématique aux test HPV couterait au moins 180 millions supplémentaires, sans tenir compte des multiples « vérifications ». Sans utilité globalement pour les femmes.

 

En moyenne, 11 % de la population féminine est positive pour le virus HPV, et la probabilité de présenter un faux négatif lors d’un test de dépistage classique est proche de 0.00016[44].

 

Aucun essai randomisé publié à ce jour n’a comparé les Pap tests classiques à leur remplacement ou leur association aux tests HPV sur plus de deux séquences.

 

BIG PHARMA TENTE D’ETENDRE LE MARCHE

 

JPEGL’étude récente qui prône ces tests HPV ne retrouve un bénéfice de sensibilité du dépistage HPV qu’après sommation des données de 4 essais différents, ce qui lui ôte toute valeur réellement probante. Et ce d’autant que la majorité des auteurs seniors déclarent des liens d’intérêts importants avec les fabricants des tests et/ou des vaccins anti HPV. Par ailleurs, la manière dont le dépistage actuel par les tests HPV est réalisé laisse grandement à désirer sur le plan du contrôle de la qualité et de l’accréditation des laboratoires d’analyse.

 

On ne dispose d’aucun résultat à long terme permettant d’évaluer l’intérêt réel pour les femmes : savoir si l’utilisation de tels tests permettrait de diminuer la mortalité toutes causes confondues des femmes ainsi dépistées et de comparer ce gain éventuel au nombre de surdiagnostics et de conisations abusives que leur usage entrainerait[45].

 

Il ne faut donc pas se précipiter de compléter les tests de dépistage existants par des tests HPV additionnels sans preuve scientifique solide.

 

Il faut éviter de répéter l’erreur commise par les agences sanitaires (FDA et EMA) accordant, sans preuve d’efficacité, une AMM aux vaccins anti HPV aboutissant à la catastrophe sanitaire actuelle d’un accroissement du risque de cancer après une vaccination censée le diminuer.

 

Avant de choisir un nouveau test, il est capital de commencer par La mise en place du dépistage organisé utilisant les tests cytologiques qui ont fait la preuve de leur efficacité sur l’incidence et sur la mortalité. C’est une tâche importante qui demandera du temps ; d’ici là les techniques évolueront encore, peut-être vers un nouveau test vraiment spécifique, à moins que l’amélioration de la sensibilité de la cytologie par l’immunomarquage ou la lecture assistée par ordinateur solutionne le problème.

 


[1] N Delepine le cancer un fléau qui rapporte 2013 ED Michalon

[3] Saignements qui évoquent des règles mais sont irréguliers parfois abondants.

[4] Rapports sexuels douloureux

[5] Ibid 2

[6] Notons ici la durée de développement de ce cancer dans son histoire naturelle qui contraste avec l’arrivée précoce de celui-ci lorsqu’il suit une vaccination par Gardasil : de l’ordre de 5 ans. Faits développés dans « hystérie vaccinale, gardasil et cancer, un paradoxe » N et G Delepine Fauves éditions 2018.

[7] R Landy, F Pesola, A Castanon and Peter Sasieni Impact of cervical screening on cervical cancer

mortality : estimation using stage-specific results from a nested case–control study British Journal of Cancer (2016) 115, 1140–1146

[8] précautions : rendez-vous au moins cinq jours après l’arrêt des règles.

Durant les 48 heures précédant le test, n’ayez pas de relations sexuelles et n’utilisez pas de douches vaginales, de tampons, de mousses ou de gels contraceptifs, de crèmes vaginales, d’hydratants, de lubrifiants ou de médicaments vaginaux.

[10] A l’occasion des consultations des femmes.

[11] Dr Nicolas Duport Données épidémiologiques sur le cancer du col de l’utérus – État des connaissances – Actualisation 2008 — Institut de veille sanitaire

[12] INVS INCA Projection de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2015. Rapport technique

[13] R Landy, F Pesola1, A Castanon and Peter Sasieni Impact of cervical screening on cervical cancer

mortality : estimation using stage-specific results from a nested case–control study British Journal of Cancer (2016) 115, 1140–1146 www.bjcancer.com | DOI:10.1038/bjc.2016.290

[14] R Ibáñez, M Alejo, N Combalia, Underscreened Women Remain Overrepresented in the Pool of Cervical Cancer Cases in Spain : A Need to Rethink the Screening Interventions Hindawi Publishing Corporation BioMed Research InternationalVolume 2015, Article ID 605375, 9 pages

[15] HAS dépistage tous les trois ans à partir de 25 ans jusqu’à 65 ans.

[16]Anita WW Lim, Rebecca Landy, Alejandra Castanon, Antony Hollingworth, Willie Hamilton, Nick Dudding and Peter Sasieni Cytology in the diagnosis of cervical cancer in symptomatic young women : a retrospective review Br J Gen Pract 2016 ; DOI : 10.3399/bjgp16X687937

[17] Lim AW, Ramirez AJ, Hamilton W, et al. Delays in diagnosis of young females with symptomatic cervical cancer in England : an interview-based study. Br J Gen Pract 2014.

[18] Lim AW, Hamilton W, Hollingworth A, et al. Performance characteristics of visualising the cervix in symptomatic young females : a review of primary care records in females with and without cervical cancer. Br J Gen Pract 2016.

[19] (comparativement par exemple aux cancers du sein ou du poumon)

[23] On entend par faux diagnostic une erreur de diagnostic faisant croire à l’existence d’une maladie qui n’existe pas et par sur diagnostic le diagnostic d’une maladie biologique quiescente qui n’aurait jamais menacé la vie ni causé de trouble à la personne qui l’héberge

[24] Traiter une personne pour un faux ou un surdiagnostic constitue un surtraitement, traitement inutile (qui ne peut lui apporter aucun bénéfice puisqu’il ne souffre de rien et que sa vie n’est pas menacée) mais qui l’expose, comme tout traitement actif à des complications, qui diminue la qualité de vie.

[26] On entend par mortalité spécifique la mortalité due uniquement à la maladie dépistée ; cette mortalité spécifique ne comptabilise pas les complications fonctionnelles et parfois vitale des traitements. Pour évaluer objectivement l’intérêt éventuel d’un dépistage on doit prendre en compte la mortalité globale toutes causes confondues et les conséquences des traitements sur la qualité de vie.

[27] Haute autorité de santé : dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009, rapport juin 2010

[28] Toutes causes confondues.

[29] Puliti D, E. Overdiagnosis in breast cancer : design and methods of estimation in observational studies. Prev Med. 2011 ; 53(3):131–3.

[30] KalagerM. Overdiagnosis of Invasive Breast Cancer Due to Mammography Screening : Results From the Norwegian Screening Program.” Ann Intern Med. 3 April 2012 ;156(7):I-58.

[31] De Gelder R, Draisma G, Heijnsdijk EA, de Koning HJ. Population-based mammography screening below age 50 : balancing radiation-induced vs prevented breast cancer deaths. Br J Cancer 2011, 104 (7) : 1214-20.

[32] Gøtzsche PC, Nielsen M. Screening for breast cancer with mammography. Cochrane Database Syst Rev 2011,(1) : CD001877.

[33] Swiss medical board Systematisches Mammographie-Screening Bericht vom 15. Dezember 2013

[35] OMS Overdiagnosis is a major driver of the thyroid cancer epidemic : up to 50–90% of thyroid cancers in women in high-income countries estimated to be overdiagnoses communiqué de presse 246 du 18 8 2016

[36] US Preventive Services Task Force Screening for Thyroid CancerUS Recommendation Statement May 9, 2017

JAMA. 2017 ; 317(18):1882-1887

[37] docteur.nicoledelepine.fr/tests-sanguins-de-depistage-du-cancer-leurre-de-la-medecine-personnalisee-voie-de-recherche-mais-pas-de-soin-en-2018/

 

[38] Les cofacteurs impliqués dans la genèse du cancer du col de l’utérus peuvent être : ÆÆ des cofacteurs liés à l’hôte : précocité de l’activité sexuelle, multiplicité des partenaires sexuels, immunodéficience, parité élevée ; ÆÆ des cofacteurs liés au papillomavirus humain : génotypes 16 et 18, infection simultanée par plusieurs types oncogéniques, quantité importante de virus (forte charge virale) ; ÆÆ des cofacteurs exogènes : tabagisme, coïnfection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou une autre infection sexuellement transmissible (IST) (virus herpes simplex 2 (HSV-2), Chlamydia trachomatis et Neisseria gonorrhoeae), utilisation prolongée de contraceptifs oraux. https://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2013-08/referentieleps_format2clic_kc_col_uterus_2013-30-08__vf_mel.pdf

[39] Référentiel de pratiques de l’examen périodique de santé des Centres d’Examen de Santé de l’Assurance Maladie sur le dépistage et la prévention du cancer du col de l’utérus, la HAS rappelle les recommandations de dépistage du cancer du col de l’utérus, les critères d’inclusion et d’exclusion des femmes dans ce dépistage et les modalités de prévention primaire par la vaccination anti-HPV. https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1623735/fr/depistage-et-prevention-du-cancer-du-col-de-l-uterus

[40] Ce geste, effectué sous anesthésie, consiste à retirer une petite lamelle de la surface du col de l’utérus. Son indication doit être bien posée. Certaines études font état de 30 % de conisations « abusives », c’est-à-dire qui n’étaient pas indispensables car les lésions ne faisaient pas courir de risque pour la santé de la femme . http://www.societe-colposcopie.com/sites/default/files/top_sante_mai_2018_0.pdf

[41] Les patientes ayant eu une exérèse chirurgicale pour le traitement d’une CIN sont effectivement exposées à un risque significativement plus élevé d’accouchement prématuré, de petit poids de naissance, de mortalité périnatale et de complications néonatales … https://www.gyneco-online.com/obst&eacute ;trique/quel-est-l&rsquo ;impact-d&rsquo ;un-ant&eacute ;c&eacute ;dent-de-conisation-

[42] Castle PE, Qiao YL, Zhao FH, et al Déterminants cliniques d’une inspection visuelle positive après traitement à l’acide acétique pour le dépistage du cancer du col utérin . BJOG 2014 ; 121 : 739–46.

[43] « ASC-US : atypies des cellules malpighiennes de signification indéterminée : cellules malpighiennes anormales de signification incertaine, dont les modifications cytologiques suggèrent la présence d’une lésion intra-épithéliale malpighienne, mais sont insuffisantes sur les plans quantitatif et qualitatif pour permettre une interprétation définitive.

Cancer micro-invasif : cancer strictement limité au col de l’utérus, ne dépassant pas 5 mm en profondeur et 7 mm de large ; seul l’examen microscopique permet son diagnostic.

Cancer invasif : cancer qui s’est propagé au-delà de la couche tissulaire où il s’est initialement développé, et atteint les tissus adjacents ; aussi appelé cancer infiltrant.

Carcinome in situ : stade pré-invasif du cancer, affectant toute l’épaisseur de la couche épithéliale qui tapisse ou recouvre un organe (ici, le col de l’utérus), mais sans infiltrer la membrane basale. CIN : néoplasie cervicale intra-épithéliale. CIN1 : néoplasie intra-épithéliale cervicale de grade 1 : dysplasie légère touchant le tiers inférieur ou moins de l’épaisseur épithéliale. CIN2 : néoplasie intra-épithéliale cervicale de grade 2 : dysplasie modérée touchant un tiers à deux tiers de l’épaisseur épithéliale. CIN3 : néoplasie intra-épithéliale cervicale de grade 3 : dysplasie sévère ou carcinome in situ, touchant entre les deux tiers et la totalité de l’épaisseur épithéliale ».cf HAS ibid ref 39

[44] En France métropolitaine 6 millions de Pap tests annuels sont réalisés chaque année dont seulement 1000 se révèlent incapables de révéler un cancer invasif qui se manifestera avant le prochain examen.

[45] Screening for Cervical Cancer With High-Risk Human Papillomavirus Testing : A Systematic Evidence Review for the U.S. Preventive Services Task ForcePrepared for : Agency for Healthcare Research and QualityU.S. Department of Health and Human Services 5600 Fishers LaneRockville, MD 20857 www.ahrq.gov

Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel

14/01/2023 (2023-01-14)

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : « Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! »
 AFP / DR]

Par Dr Gérard Delépine

Un “article” récent de l’AFP Factuel – la cellule “fact-checking” de l’Agence France-Presse (AFP) – repris par Actu Orange fait la promotion du vaccin anti-HPV (papillomavirus humain) Gardasil. Il tente de mettre en doute les faits rapportés dans ma tribune publiée par FranceSoir et ignore soigneusement les données officielles. Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! Contre-vérification en détails.

1) NON, IL N’EXISTE AUCUNE PREUVE D’EFFICACITE ANTICANCER DU GARDASIL. Prétendre le contraire, comme le fait l’AFP Factuel, est mensonger :

Pour expliquer l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer invasif (pourtant essentielle pour un vaccin qui revendique cet objectif), l’Agence France-Presse (AFP), via sa cellule de fact-cheking “AFP Factuel”, répète la propagande du laboratoire MSD, qui commercialise le Gardasil 9 :

Il peut se passer entre 10 et 30 ans entre l’infection par le papillomavirus et l’apparition du cancer du col de l’utérus : ce délai n’est pas compatible avec des études cliniques sur ce critère”.

MSD et l’AFP reconnaissent donc que l’efficacité anticancer n’a pas été étudiée. Mais cela ne les empêche pas d’utiliser cette prétendue efficacité non comme argument publicitaire !

Pourtant la Haute Autorité de santé (HAS) précise dans son avis de septembre 2017 sur le Gardasil 9 :

Les données disponibles à ce jour ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant l’efficacité en termes de prévention des cancers, comme pour les vaccins GARDASIL et CERVARIX.”

Alors pourquoi l’AFP ment-elle en déclarant fausse cette diapositive qui rappelle simplement l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer ? Mensonge n°1 !

Et il faudrait prendre pour parole d’évangile la déclaration du professeur Jean-Luc Prétet, directeur du Centre national de référence sur les papillomavirus : “Il y a une vraie protection du vaccin contre les cancers, c’est clairement démontré par les études épidémiologiques« . Ce dernier ne cite pourtant pas une seule de ces prétendues études. Il faudrait donc le croire, sans preuve, alors que toutes les données officielles du monde réel démontrent le contraire ?

2) NON, EN AUSTRALIE LES CANCERS INVASIFS NE DISPARAISSENT PAS !

L’AFP Factuel ment en déclarant faux un authentique graphique officiel australien 

L’éradication des cancers du col partout annoncée par les médias est totalement contredite par les déclarations officielles du gouvernement australien de 2022 reproduites ci-après :

Le nombre de diagnostics annuels de cancer du col de l’utérus est initialement passé de 966 en 1982 à 1 144 en 1994, puis a diminué à 695 en 2002 et a depuis augmenté régulièrement pour atteindre 839 en 2017. En 2021, on estime que 913 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus vont être diagnostiqués en Australie.”

Ce graphique officiel du gouvernement australien illustre l’efficacité du dépistage cytologique (chute du nombre annuel de nouveaux cas de cancers invasifs de 50% entre 1994 et 2002) et dément la propagande permanente des médias et notamment de l’AFP qui prétend que l’Australie verrait l’éradication des cancers invasifs du col grâce à la vaccination, alors que depuis celle-ci leur nombre augmente.

La capture d’écran confirme bien l’origine officielle du graphique et permet à chacun d’en vérifier l’authenticité. Mais l’AFP se contente de le déclarer… “faux”. Mensonge n°2 !

De plus, contrairement aux assertions de l’AFP Factuel (mensonge n°3 !), il ne s’agit pas de projections mais bien des chiffres avérés enregistrés et publiés par les registres officiels des cancers australiens expliquant que les données du graphique publié en 2022 s’arrêtent à 2017.

On ne peut pas croire qu’il s’agirait d’une simple erreur de l’AFP car la source officielle du graphique était rappelée en rouge. L’Agence France-Presse pouvait par conséquent facilement le vérifier.

Barrer d’une croix rouge et qualifier de faux un graphique officiel du gouvernement australien témoigne de sa volonté forcenée d’ignorer les faits qui dérangent.

Plutôt que de rapporter des faits avérés et chiffrés, l’AFP Factuel donne la parole à des experts qui se trompent ou bien mentent.

Ainsi M. Prétet prétend sans aucune vérification (mensonge n°4 !) :

Cette augmentation, si elle existene touche sûrement pas les femmes vaccinées, ce sont des femmes qui sont plus âgées, autour de 45 ans”.

Malheureusement pour lui, cette augmentation constitue un fait avéré et les chiffres rapportés en 2022 par l’Australian Institute of Health and Welfare prouvent que contrairement à ce qu’il pense, chez les 20-39 ans (le groupe le plus vacciné), le nombre annuel de nouveaux cancers de l’utérus a augmenté de plus de 50%, passant de 195 en 2001 (cinq ans avant la vaccination) à 331 en 2021 (après 15 ans de vaccination).

 

L’AFP Factuel utilise comme témoin de prétendus “experts” qui n’étudient, ne vérifient ni ne citent aucun chiffre officiel, mais récitent seulement leur crédo (celui des laboratoires pharmaceutiques, du gouvernement et de l’Institut Pasteur). Ainsi, l’AFP ment en se prétendant « factuelle » !

3) EN SUÈDE, DEPUIS LA VACCINATION, LES CANCERS DU COL AUGMENTENT. Prétendre le contraire constitue un mensonge de plus (le 5ème) :

L’AFP et son expert Francesco Salvo prétendent que les chiffres cités dans ma tribune seraient “inexacts et (représenteraient) une sélection aléatoire et malveillante des données”. Mais ceux-ci ne citent aucune donnée officielle à l’appui de leur croyance.

D’ailleurs, ils reconnaissent eux-mêmes plus loin : “L’incidence des cancers augmente” en attribuant cette augmentation à “des progrès diagnostiques”,alors que les critères anatomopathologiques utilisés pour diagnostiquer le cancer invasif n’ont pas évolué depuis 50 ans.

Mais revenons aux faits, rappelons les données officielles suédoises

En 2017, le Centre suédois de prévention du cancer du col de l’utérus (NKCx) a constaté une augmentation très significative (p < 0,03) de l’incidence du cancer du col de l’utérus passée de 9,7/100 000 en 2006-2009 (date d’introduction de la vaccination) à 11,5/100 000 en 2014-2015.

En avril 2018, un article de l’Indian Journal of Medical Ethics (IJME) a soulevé l’hypothèse que l’augmentation du cancer du col de l’utérus serait liée à la vaccination, mais ce texte a été retiré ultérieurement car son auteur, craignant des représailles, avait utilisé un pseudonyme, violant ainsi la politique de transparence de l’IJME.

En 2019, l’augmentation de l’incidence du cancer du col de l’utérus a été confirmée par Lars Jørgensen lors d‘un plaidoyer tentant d’innocenter la vaccination.

En 2020, l’étude de J. Wang rappelle, de même, l’augmentation d’incidence des cancers invasifs du col dans la dernière décennie :

“Parmi les femmes correctement dépistées avec des résultats normaux, il y a eu une forte augmentation de l’incidence en 2014-2015 par rapport aux années précédentes”.

En 2022, l’augmentation d’incidence est confirmée et analysée par Avalon Sundqvis qui ne parvient pas à en trouver une explication satisfaisante.

Au total, l’augmentation de l’incidence des cancers du col depuis la vaccination en Suède est constatée, confirmée et commentée par tous les articles scientifiques publiés depuis plus de dix ans. Comment l’auteur de cet article publié par l’AFP peut-il l’ignorer ?

La présidente de MSD France, pourtant censée s’intéresser aux chiffres officiels du cancer du col, Clarisse Lhoste, mérite la palme de l’ignorance (ou de la désinformation ?). Elle a osé présenter la Suède, comme un “pays en passe d’éliminer les cancers liés au HPV grâce à la vaccination et au dépistage”.

Ceci est le 6ème mensonge ! Et il est relayé complaisamment par l’AFP. Il s’agit d’un exemple caricatural de négation d’une réalité qui dérange, et/ou d’une propagande réfléchie qui paraît appliquer les conseils les plus manipulatoires en la matière : un mensonge répété mille fois se transforme-t-il en réalité ?

L’AFP ment par omission (7ème mensonge !) en ne rappelant pas l’augmentation de l’incidence des cancers en Grande-Bretagne chez les femmes les plus vaccinées

En Grande-Bretagne, on observe, depuis les campagnes de vaccination, la même évolution paradoxale qu’en Australie et en Suède associant l’absence de diminution globale d’incidence sur l’ensemble de la population, à une augmentation d’incidence chez les femmes âgées de 25 à 34 ans (groupe le plus vacciné) comme le rapporte cette capture d’écran de la figure publiée sur le site officiel Cancer research UK :

Mais bizarrement, l’AFP et ses “experts” feignent d’ignorer cette augmentation d’incidence observée dans le groupe de femmes anglaises les plus vaccinées.

L’AFP ment encore (8ème mensonge !) par omission en ne rappelant pas que la France, peu vaccinée, souffre moins du cancer invasif que les pays très vaccinés.

En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1 /100 000. Depuis, elle est passée en dessous de 6 / 100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège. Et ce sont ces pays qu’on nous donne en exemple !

L’AFP ment encore en prétendant que le Gardasil est sans risques (9ème et 10ème mensonges !)

Elle ne fait que citer les chiffres d’agences gouvernementales qui refusent d’enregistrer les complications post vaccinales et nient systématiquement tout lien de causalité entre complication et vaccin. En détails :

– 9ème mensonge : l’Agence France-Presse fait semblant d’ignorer la mise en garde de l’avisde la Commission de la transparence de septembre 2017 confirmant l’existence de risques neurologiques :

un surrisque de syndrome de Guillain-Barré d’environ 1 à 2 cas pour 100 000 jeunes femmes vaccinées avec GARDASIL ou CERVARIX a été observé dans une étude épidémiologique réalisée par l’ANSM et la CNAMTS.”

– 10ème mensonge : elle cache les nombreuses manifestations de familles qui ont fait vacciner leurs enfants et se plaignent des complications survenus depuis les injections.

On ne peut pas traiter ces manifestants d’antivax puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants alors que ce n’était pas obligatoire… Ils ne dénoncent d’ailleurs pas la vaccination en général, mais seulement la vaccination anti-HPV.

Aux États-Unis, en août 2022, une commission judiciaire a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-HPV Gardasil. Mais l’AFP ne dit mot des procédures en cours. Comment peut-elle les ignorer ?

L’AFP fait-elle encore du journalisme ?

La charte mondiale du journalisme précise clairement :

  1. Respecter les faits et le droit que le public a de les connaître constitue le devoir primordial d’un journaliste.
  2.  Conformément à ce devoir, le/la journaliste défendra, en tout temps, les principes de liberté dans la collecte et la publication honnête des informations, ainsi que le droit à un commentaire et à une critique équitables. Il/elle veillera à distinguer clairement l’information du commentaire et de la critique.
  3. Le/la journaliste ne rapportera que des faits dont il/elle connaît l’origine, ne supprimera pas d’informations essentielles et ne falsifiera pas de documents. Il/elle sera prudent dans l’utilisation des propos et documents publiés sur les médias sociaux.

Plus de dix mensonges en un seul article. Aucune enquête objective. Aucun fait avéré. Aucun chiffre officiel rapporté. La parole donnée à de prétendus experts qui récitent leur crédo publicitaire mensonger sans modération. Voilà le travail accompli par AFP factuel. Il paraît légitime de se demander si cette agence fait encore du journalisme.

image_pdfPDF A4image_printImprimer

Détransition, conséquence d’une épidémie factice et de diagnostic de « dysphorie de genre » surestimé

11/03/2023 (2023-03-11)

Par Nicole Delépine

Les enfants sacrifiés de la théorie du genre : arrêtez le Trans train comme en Suède

Les lobbies, la mode, le business conduisent beaucoup d’adolescents qui se sentent mal dans leur peau (ce qui est bien normal à cet âge) à se laisser convaincre que leurs soucis viennent d’une erreur de « genre », idée induite par la publicité mensongère à tous niveaux : cinéma, télévision et malheureusement école, y compris chez les très jeunes, âge de la plus grande facilité de la manipulation.

Certains tentent parfois de revenir en arrière : on les appelle les détransitionneurs !

[Voir aussi :
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan
Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie]

Un acteur britannique, influenceur sur les réseaux raconte sur une TV américaine son parcours.1

« L’influenceur Oli London, 32 ans, révèle qu’il est en train de revenir d’une femme coréenne à un homme britannique — et dénonce les écoles pour avoir “normalisé le changement de genre” et enseigné aux enfants “à idolâtrer les hommes faibles comme Harry Styles”.

L’influenceur britannique a suscité la controverse après s’être identifié comme “transracial” et avoir dépensé plus de 271 000 dollars pour ressembler à des pop-stars coréennes.

London a déclaré que les guerres culturelles américaines sur le genre et les écoles ont laissé les gens confus sur le sujet.

Les enfants apprennent dès leur plus jeune âge, dès l’âge de cinq ans dans certains cas, qu’il n’y a pas de mal à changer de sexe, qu’il n’y a pas de mal à porter une jupe, qu’il n’y a pas de mal à ce qu’un garçon utilise des toilettes neutres quand cela met les filles en danger »

La pub et les réseaux sociaux, les influenceurs et même la publicité gouvernementale en France, la peur d’être poursuivi pour transphobie des familles et des médecins psychiatres en cas de refus immédiat du souhait de l’enfant (politique pro affirmative d’emblée),2 conduisent trop de candidats à foncer d’emblée dans le TGV de la transition, sans avoir le droit, de fait, à une période suffisante de maturation de leur décision. Qui sont finalement les victimes si ce ne sont ces enfants pris en otage de la mode ?

Nouvelle normalité

La question n’est pas qu’un certain nombre de personnes se sentent d’un autre sexe que celui de leur corps visible, cela a toujours existé, mais de façon très minoritaire.

Le problème est lorsque des personnes arrivant au pouvoir politique affirment que c’est « la nouvelle normalité » et tentent de marginaliser tous ceux qui ne ressentent pas cette différence.

La nouvelle culture portée par un petit groupe puissant surreprésenté parmi nos dirigeants occidentaux3 4 5 6 et lobbies auprès des parlements, conduisent à des erreurs de diagnostic chez des enfants ou jeunes en mal être qu’il eut été nécessaire d’écouter longuement ainsi que leurs familles et proches, avant de s’engager dans un long parcours du combattant qui le plus souvent ne les satisfait pas d’après leurs témoignages. D’où ce nouveau chapitre de l’histoire de la théorie du genre, les détransitionneurs.7

Le transgenrisme a pris une dimension politique aux USA et par contamination habituelle, en UE

Rachel Levine, ministre de Biden est transgenre : « Les enjeux de représentation sont devenus centraux » (marianne.net) « La question des transgenres était déjà au centre de la campagne de 2015-2016. »8 Nommée ministre adjointe de la Santé par Joe Biden, Rachel Levine « représente un choix historique » a écrit Joe Biden en annonçant sa nomination comme ministre adjointe de la Santé. Jusqu’alors directrice de la Santé de l’État de Pennsylvanie, Rachel Levine devrait devenir la première responsable fédérale transgenre. Un choix hautement politique, entre lutte contre l’épidémie de Covid-19 et sur représentation des minorités. »Elle officie au sein d’« Equality Pennsylvania », organisation pour le droit des personnes LGBT.

LE DROIT DES PERSONNES TRANSGENRES FORTEMENT POLITISÉ

« Elle représente un choix historique et extrêmement qualifié pour aider à mener les politiques de santé de notre administration », s’est enthousiasmé Joe Biden, ajoutant qu’elle « apportera le leadership ferme et l’expertise cruciale dont nous avons besoin pour guider les gens à travers cette pandémie, peu importe d’où ils viennent, leur race, religion, orientation sexuelle, identité de genre ou leur handicap. »

0,6 % DE LA POPULATION ADULTE AMÉRICAINE

« Joe Biden fait comprendre que les personnes transgenres constituent une part importante de notre pays » a réagi Mara Keisling, directrice exécutive du National Center for Transgender Equality. Joe Biden avait nommé Shawn Skelly, une vétéran trans, dans son équipe de transition.

« Les personnes transgenres représenteraient 0,6 % de la population adulte des États-Unis, mais leurs revendications résonnent plus fortement dans le débat public. 9

Les associations mettent régulièrement en avant leur situation précaire. Selon le National Center for Transgender Equality, 29 % des personnes transgenres aux États-Unis vivraient dans la pauvreté ».

LA REPRÉSENTATION DES MINORITÉS, STRATÉGIE POLITIQUE

Les politiques de tous pays sont rarement désintéressés. Chez les démocrates aux USA la représentation des minorités est devenue une réelle stratégie politique dominante.

« La communication sur l’identité sert à donner des gages à certaines clientèles électorales et surtout à la gauche du parti », reconnaît Lauric Henneton, maître de conférences à l’Université de Versailles Saint-Quentin, « on peut imaginer que c’est une version américaine du “en même temps”. »

On peut comprendre que des politiques tentent de se trouver de nouvelles clientèles et quoi de mieux de chercher dans les minorités, voire les extrêmes minorités.. Mais combien de victimes converties trop rapidement à un changement de genre alors que leur état relevait d’une autre pathologie (ou pas) ou d’un mal être transitoire ?

J’ÉTAIS SÛR : JE SUIS UN GARÇON

Charlie Evans est né femme, a vécu comme un homme pendant dix ans et est maintenant une femme à nouveau. Elle met en garde contre les décisions précoces et incontestées.

Le « detransitioner » de Manchester est un combattant déterminé contre le changement de sexe trop rapide. Elle parle très ouvertement de ses expériences personnelles. Elle a fondé le Detransition Advocacy Network. Elle a parlé lors de la « Lesbian Strength March » à Leeds.10

« Je savais que j’étais un garçon parce que j’aimais les voitures, les camions, la boue et les boîtes — et les filles. Je savais que j’étais un garçon parce que je n’agissais pas comme une fille. Rien chez moi ne semblait girly, et l’idéologie trans dit que tout le monde ressent son genre. Je ne me sentais pas comme une fille.

Je savais que j’étais un garçon parce que je répondais aux critères de la dysphorie de genre : une forte aversion pour les jouets et les vêtements typiquement féminins ; amis principalement masculins ; sentir que mes sentiments et mon comportement étaient typiques d’un garçon ; le désir d’être traité comme un garçon ».

Tous l’ont conforté dans son changement de genre tout de suite, amis comme les thérapeutes qu’il a consultés ! Comme si une fille n’avait pas le droit d’être finalement « un garçon manqué » pendant son enfance !

EN SUÈDE, PRÉCURSEURS EN UE DES TRANSITIONS MÉDICOCHIRURGICALES, ILS METTENT LE FREIN : ARRÊTEZ LE TRANS-TRAIN 11!

28 avril 202112 de Christine Westerhaus

Dans la Suède libérale, le débat trans a fait rage sur les faux diagnostics et une nouvelle loi scandaleuse. Les médecins et les parents étaient en colère. La femme trans Aleksa Lundberg s’est également rangée du côté des critiques, déclarant :

« Quelque chose ne va pas fondamentalement. »

Alors qu’une nouvelle loi devait faciliter la chirurgie chez les mineurs, y compris sans l’accord des parents la polémique a permis de réagir.

Mais au fil des ans, des doutes se sont accrus en elle quant à savoir si elle faisait toujours la bonne chose. Surtout avec ses patientes.

« Ces dernières années, de plus en plus de filles biologiques sont venues à notre cabinet. Beaucoup d’entre elles avaient d’autres diagnostics tels que l’autisme, les troubles de l’alimentation ou le trouble de stress traumatique.Néanmoins, on s’attendait à ce que nous répondions aux souhaits de ces patients en matière de traitement de changement de sexe. »

En 2019, Sämfjord a quitté son emploi.

« J’avais peur d’infliger des dommages irréversibles aux jeunes. »

Dans l’équipe KID de l’hôpital universitaire Karolinska, les cas avaient explosé depuis la création de l’équipe en 2000, passant de cinq à dix par an à 200 par an, la plupart d’entre eux étant des filles.

Des psychologues et des médecins, des parents, mais aussi des centres de conseil trans et des soi-disant détransitionnaires se sont plaints de la négligence avec laquelle les filles de 14 ans de l’hôpital universitaire ont été amputées des seins, sans qu’aucune autre cause de leur malaise avec leur propre corps n’ait été suffisamment clarifiée ou même traitée.

Dans le documentaire, elle se sent « comme un cobaye », explique une jeune femme qui s’est laissée transformer en homme trans.

« Ils expérimentent avec des jeunes sans preuves scientifiques. C’est irresponsable et cela me met en colère ! »

Dans Svenska Dagbladet, C Gillberg, psychiatre à Göteborg, a averti que les traitements hormonaux et chirurgicaux sur les enfants étaient « une grande expérience » qui pourrait potentiellement devenir « l’un des plus grands scandales médicaux du pays ».

Les parents ont également pris la parole. À 16 ans, la plus jeune fille de Jannika Häggström a dit à sa mère qu’elle était un homme. La mère a refusé de consentir au traitement de changement de sexe. À l’âge de 18 ans, la fille adulte a été amputée des seins et a pris de la testostérone.

« À l’âge de 20 ans, à peine deux ans plus tard, elle a réalisé que tout cela n’était qu’une idée fixe. »

En 2018, Häggström a créé le « Gender Identity Challenge Sweden » (GENID) avec d’autres parents pour protéger parents et enfants

Le Suédois avait observé une tendance inquiétante :

« Presque aucune mère ou père n’ose refuser à son enfant le consentement à des interventions chirurgicales. Ce souhait n’est plus guère remis en question, car de nombreux parents rapportent que leurs enfants ont rompu le contact avec eux parce que d’autres jeunes trans leur ont conseillé de le faire sur Internet. »

D’autres parents avaient indiqué que le « Bureau de protection de la jeunesse » les avait contacté car ils avaient refusé de s’adresser à l’enfant avec le « pronom correct ». PRESSION INSUPPORTABLE DES BUREAUCRATES AU SERVICE DES POLITIQUES.

Le réseau compte une centaine de membres. « Nous voulons empêcher les médecins de continuer à faire des expériences sur nos enfants », explique Jannika Häggström.

« Les opérations et les traitements hormonaux sont une expérience, il n’y a pas d’études scientifiques à long terme sur les conséquences de telles interventions. Les jeunes ne peuvent donc pas donner leur consentement éclairé. »

GENID exige un âge minimum de 25 ans pour les interventions chirurgicales.

Finalement, le gouvernement suédois a arrêté le « Trans Train ». Elle a chargé l’Agence d’évaluation des technologies de la santé d’examiner les données sur l’augmentation du nombre d’adolescents atteints de dysphorie de genre. Résultat : Il existe très peu de données, tant sur les raisons de l’augmentation que sur les risques ou les bénéfices des traitements hormonaux et des chirurgies.

Un rapport de l’autorité nationale de la santé a révélé qu’une fille sur trois âgée de 13 à 17 ans souffrant de dysphorie de genre avait reçu un diagnostic de trouble anxieux et qu’un autre tiers souffrait de dépression. Un sur cinq souffrait de TDAH et un sur sept d’autisme. Enfin, une analyse de l’autorité sociale suédoise « Socialstyrelsen » est arrivée à la conclusion :

« Il y a plus d’inconvénients que d’avantages possibles à abaisser l’âge minimum pour la chirurgie de conversion sexuelle. »

« Lorsque les adolescents voient le changement de sexe comme une solution à leurs problèmes d’identité pendant la puberté, quelque chose ne va pas », explique Aleksa Lundberg femme de 39 ans, de Stockholm qui vit en tant que femme depuis près de 20 ans. »

« Quand je me suis réveillé et que j’ai réalisé que j’avais perdu une partie importante de mon sens sexuel, ce fut un véritable choc pour moi»

Elle dit qu’elle déciderait différemment aujourd’hui.

« J’ai réalisé que j’étais en fait un homme gay féminin qui sentait qu’il devait changer son corps pour être accepté. »

Autre chose est devenu clair pour elle :

« Les jeunes fondent leur décision pour ou contre le traitement sur les histoires ensoleillées que nous, les personnes trans, racontons dans les médias. Et j’ai caché une partie importante de mon histoire aux gens. » 13

DE PLUS EN PLUS DE FEMMES DEVIENNENT DES HOMMES

Il y a 30 ans, il y avait 3 000 transsexuels en Allemagne, aujourd’hui il y en a 24 000. De plus en plus de femmes fuient vers le sexe opposé. Pourquoi ? Battage médiatique pour les jeunes femmes ou néoféminisme en panne d’idées ?

Lea venait d’avoir 16 ans, et a présenté sa solution au problème à ses parents. « Elle nous a expliqué qu’elle détestait son corps féminin et qu’elle était en fait un garçon. » La mère était consternée. Sur Internet, elle a constaté que de nombreux parents ressentent la même chose qu’elle. Le phénomène a même récemment eu un nom : « Rapid Onset Gender Dysphoria » (ROGD).14

TRANS EST UNE TENDANCE15

« DETRANSITIONNEURS » : DES ADOLESCENTS REGRETTENT LEUR CHANGEMENT DE SEXE ET DÉNONCENT DES DIAGNOSTICS DE DYSPHORIE DE GENRE TROP HÂTIFS, QUI FERAIENT FI DE CERTAINES PATHOLOGIES16.

Les personnes qui regrettent leur transition sexuelle seraient en nombre croissant, d’après un avis de l’Académie de médecine :

« Le risque de surestimation diagnostique est réel, comme en atteste le nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant détransitionner. Il convient donc de prolonger autant que faire se peut la phase de prise en charge psychologique ».

Un député britannique dévoile sa transidentité et dit avoir été victime de chantage et de viol.

« En France, on sait par ailleurs que le nombre de mineurs qui ont souhaité changer de sexe a été multiplié par vingt sur la même période », selon Arnaud Alessandrin, sociologue spécialiste de la transidentité à Bordeaux, et certains regrettent.

Ces « détransitionneurs » peuvent être classés en deux catégories, selon le sociologue : « Il y a ceux qui ont été opérés lorsqu’ils étaient majeurs, ont été surdiagnostiqués et le regrettent. Ils représentent entre 1 et 2 % de la population trans ». Puis, les plus jeunes qui ont suivi un traitement hormonal. « Entre 20 et 40 % de ces jeunes disent ensuite que cela ne leur convient pas ».

Un chiffre considérable qui devrait faire réfléchir les partisans de la transition rapide.

Des diagnostics de dysphorie de genre trop hâtifs ignoreraient certaines pathologies responsables du mal être du mineur.

« Parmi les adolescentes qui détransitionnent, on se rend compte que souvent, une autre pathologie antérieure à la transition était en cause, comme l’anorexie, la boulimie, l’autisme », indique Nicole Athea, gynécologue au Parisien.

« Que peut-on décider quand on a 15 ans, qu’on est dans une situation de souffrance psychologique et bien souvent sous l’emprise d’une idéologie trans ? »17

Transgenrisme : « De jeunes détransitionneurs viennent nous apporter le récit de leur parcours »18

Attaquées dans un article sur Mediapart sur la question de la prise en charge des mineurs qui se déclarent transgenres, Caroline Eliacheff et Céline Masson, codirectrices de l’Observatoire La Petite Sirène19, répondent.

« Cliniciennes auprès d’enfants et d’adolescents depuis plusieurs décennies nous récusons ce procès en légitimité. C’est à ce titre qu’avec d’autres partenaires de différentes disciplines, nous avons créé l’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent (Petite Sirène — l’OPS).20 »

De nombreux témoignages de parents et de détransitionneurs attestent d’une prescription hormonale trop rapide, en dépit de troubles psychiques avérés.

Il est important de savoir comment est éclairé le consentement du jeune et de ses parents concernant les traitements, leurs effets secondaires, leur éventuelle irréversibilité et notamment le risque d’infertilité.

Sont-ils informés de la permanence incertaine de l’identité de genre d’un enfant ou d’un adolescent et, qu’à ce jour, aucun critère fiable ne permet de dire qui persistera et qui changera d’avis ? Sont-ils informés des alternatives au traitement médical telles que la psychothérapie et l’attente bienveillante que préconisent actuellement la Suède et la Finlande ? (Après avoir été les pionniers des pratiques chirurgicales de transformations sexuelles.)

Les parents savent-ils que de nombreux experts (Genspect)21 déconseillent la transition sociale totale des enfants soulignant que cela concrétiserait ce qui pourrait n’être que « transition temporaire ? »

INFLUENCE DES RÉSEAUX SOCIAUX

À Paris, 30 à 50 % d’enfants persistent dans leur identité inversée alors dans d’autres équipes, notamment celle du Pr Zucker au Canada, 70 à 90 % d’enfants retrouvent une harmonie avec leur sexe quand ils sont pris en charge autrement.

Toutes les publications qui affirment une amélioration après traitement hormono-chirurgical ont été jugées de « très faible fiabilité » et court-termistes.

En revanche, la sursuicidalité pendant toute la vie des personnes trans est bien démontrée (43 % soit dix fois plus que la population hétérosexuelle) et sert même d’argument (discutable) pour dénoncer la discrimination dont les trans sont l’objet alors pourtant, que d’autres minorités sexuelles (homosexuels et bisexuels) ou autres, tout autant discriminées, ne souffrent heureusement pas d’un taux de suicide aussi élevé.

LE CONFINEMENT LIÉ AU COVID A LARGEMENT AMPLIFIÉ LA SUREXPOSITION AUX RÉSEAUX SOCIAUX

Dans l’accélération récente du phénomène, il faut sans nul doute analyser la part terrible de l’invraisemblable confinement imposé à une grande partie du monde, folie organisée qui a abouti à une augmentation majeure des troubles psychiques et singulièrement chez les plus jeunes.

Le confinement lié au Covid a largement amplifié la surexposition aux réseaux sociaux.

« C’est là que les jeunes s’endoctrinent, s’autodiagnostiquent et acquièrent le vocabulaire et les codes pour convaincre leurs parents et les médecins ; c’est là qu’un avenir meilleur leur est promis s’ils s’éloignent de leurs parents, forcément transphobes si ceux-ci émettent la moindre réticence ; c’est là qu’ils adhèrent à leur nouvelle communauté qui les encourage dans leur détermination et les héroïse. »

Ils étaient perdus, isolés à la suite des mesures coercitives de la plandémie covid, ils deviennent membres d’un groupe chaleureux, qui les comprend et au passage les manipule et les utilisent : ils trouvent le nom de médecins complices qui prescrivent des hormones à la première consultation ou s’en procurent sur Internet. Ils y trouvent même le nom de chirurgiens (parfois même indiqués par nos grands centres de référence !) pratiquant des mastectomies

Ces mutilations sexuelles sont souvent voilées par des euphémismes tels que torsoplastie ou encore « chirurgie du haut » (les médecins reprenant à leur compte le vocabulaire trans) — opérations autorisées en France avant dix-huit ans avec l’accord des deux parents et réalisées dans des cliniques privées, à Paris et en province.

LES DÉTRANSITIONS

Il est bien sûr très difficile d’en établir le nombre, car les services spécialisés ne les voient pas forcément et ne tiennent pas forcément à mettre en exergue les échecs de leurs pratiques discutables, mais fort lucratives.22

« Les détransitionneurs ont rarement envie de revoir les médecins qui les ont traités et estiment-ils souvent, mal traités. »23

Ces jeunes gens découvrent qu’ils sont toujours aussi malheureux, qu’ils ont été soignés de leur mal-être en dépit du bon sens (bon nombre se découvrent simplement homosexuels ou bisexuels), et/ou qu’ils étaient en réalité atteints de troubles psychiatriques bien plus lourds (autisme, psychose, traumatismes, etc.) que la dystrophie de genre présumée qui les a conduit à des mutilations irréversibles et à des traitements hormonaux inutiles et potentiellement dangereux.24

La vraie médecine prend du temps et doit avant tout ne pas nuire.

Quand un mineur mal dans sa peau se croit atteint de dystrophie de genre, il faut l’écouter patiemment, le rassurer sur l’amour et le respect qu’on lui porte et la solidité des liens parents-enfant, lui expliquer les conséquences avérées d’une transition sexuelle complète (traitement à vie, mutilations irréversibles, stérilité) et promouvoir un accompagnement psychologique prudent. L’écoute, le dialogue, l’information, le refus de décisions hâtives irréfléchies et le temps parviennent à rassurer 75 % à 90 % des adolescents qui se croient trans sous la pression.

Cette prudence dans l’usage de traitements qui nous a toujours guidés dans notre pratique pédiatrique, cancérologique et chirurgicale sauvera de nombreux mineurs et permettra peut-être d’éviter un scandale sanitaire à venir.


image_pdfPDF A4image_printImprimer