MORT SUR « ORDONNANCE » GOUVERNEMENTALE D’INJECTION GARDASIL ?

 

 

Par le DR G Delépine

 

 

Combien faudra-t-il de morts pour stopper la vaccination Gardasil ?

 

La mort dramatique d’un collégien à Nantes lors d’une vaccination Gardasil rappelle qu’aucun traitement ni aucune vaccination n’est dénuée de risque. La seule justification d’un traitement réside dans les bénéfices qu’il peut apporter. Or le collégien de Nantes est mort pour une vaccination contre les papillomavirus qui ne pouvait lui apporter aucun bénéfice personnel, ni non plus protéger les autres !

 

La quasi-totalité des germes que nous hébergeons nous sont utiles !

Il ne faut pas avoir un rapport hygiéniste hystérique avec les germes. Nous sommes tous en permanence porteurs de centaines de milliards de germes (virus et bactéries) avec lesquels nous vivons en parfaite harmonie.

Le microbiote intestinal, le plus « peuplé » d’entre eux, abrite 1012 (mille milliards) à 1014 (cent mille milliards) de micro-organismes qui assurent la fermentation des substrats et des résidus alimentaires non digestibles, facilitent l’assimilation des nutriments grâce à un ensemble d’enzymes dont les cellules humaines sont dépourvues et l’hydrolyse de l’amidon, de la cellulose, des polysaccharides…

Ils participent aussi à la synthèse de certaines vitamines et à celle d’acides aminés essentiels et régulent l’absorption des acides gras, du calcium, du magnésium[1]…et jouent un rôle important dans la lutte contre les infections[2].

Le microbiote cutané héberge en moyenne mille milliards de bactéries (soit 50 millions par cm2 de peau) de plus de 500 espèces différentes[3][4] mais aussi des champignons (comme les candida albicans) et des même des acariens.

Le microbiote vaginal comprend  un ensemble de micro-organismes (dont les lactobacilles de Döderlein) qui varient en fonction du mode de vie et des changements hormonaux, et forment un biofilm protecteur sur la muqueuse.

La flore buccale comporte de nombreuses variétés de bactéries et de champignons qui se nourrissent de sucres et des restes d’aliments présents dans la bouche et constituent le biofilm buccal indispensable au bon fonctionnement de la bouche par le maintien des dents et des gencives en bonne santé en luttant contre les nombreux germes pathogènes, et en participant à la prédigestion des aliments.

Les milliards de bactéries et virus qui nous contaminent en permanence sont dans leur quasi-totalité des germes saprophytes avec lesquels nous nouons un partenariat gagnant- gagnant. Modifier ces flores expose à des complications. La guerre contre les germes ne se justifie que contre les germes pathogènes, ceux qui sont responsables de maladie.

 

Héberger un papillomavirus ne rend pas malade !

Les papillomavirus comptent plus de cent espèces susceptibles de contaminer l’homme, mais elles se comportent dans la quasi-totalité des cas comme des saprophytes. La contamination HPV se produit par contact cutané[5] sexuel, ou non. Elle concerne près de 80% de la population adulte. Elle n’entraine habituellement aucun signe clinique [6] et l’organisme s’en débarrasse naturellement en 9 à 18 mois en acquérant une immunité solide contre la souche concernée (mais laissant le terrain disponible pour les autres souches).

Une maladie se définit par les troubles qu’elle engendre; la contamination par les HPV est asymptomatique et ne constitue donc pas une maladie. La chasse aux HPV n’est donc pas médicalement justifiée d’autant que le ralentissement de leur propagation ou leur éradication parfois cités comme but de la vaccination Gardasil (comme au début de la vaccination covid) sont totalement irréalisables car les HPV comportent trop de nombreuses souches et disposent de plus de réservoirs animaliers.

 

Les HPV sont accusés d’être responsables de cancer sans preuve formelle

L’origine des cancers est le plus souvent multifactorielle et les cancers présentés comme ceux du HPV n’échappent pas à la règle. Depuis la mise au point de vaccins contre les HPV certaines souches ont été déclarées uniques responsables de nombreux cancers sans qu’aucune preuve formelle de la responsabilité du virus n’ait été apportée. Il existe certes une relation statistique entre la présence de HPV et un surrisque de cancer du col, mais de semblables corrélations statistiques sont également démontrées avec de nombreux autres facteurs : précocité des premiers rapports sexuels, nombre de partenaires, nombre de rapports, fréquence d’infections génitales (à HPV mais aussi herpès, chlamydias), Sida, tabagisme, nombre de grossesse menées à terme… Tous ces facteurs étant de plus corrélés entre eux. La considérable disproportion entre les très fortes  incidences des infections  HPV (70-80%) et l’extrême rareté des cancers du col (0,006%) ne plaide d’ailleurs pas pour un rôle étiologique majeur des premiers. Les HPV pourraient en réalité n’être que les témoins d’une activité sexuelle intense, vraie cause du cancer du col de l’utérus du fait des microtraumatismes et des inflammations récidivantes qu’elle entraîne.

Pour les cancers du canal anal, le rôle des HPV est encore plus incertain car les facteurs les plus étroitement liés à sa survenue sont les rapports anaux passifs et le sida. Certes on retrouve aussi des antécédents de HPV chez les malades de cancer anal,  mais guère plus que chez 70% des hommes hétérosexuels indemnes du sida qui ne souffriront jamais de cancer de l’anus.

Mais la mise en cause du HPV en fait le coupable idéal, tant il est rentable pour les actionnaires …

 

Le Gardasil ne protège pas des cancers du col de l’utérus

Si les HPV ne suffisent pas à créer des cancers il est logique que la vaccination Gardasil soit incapable d’en diminuer l’incidence ( fréquence annuelle de nouveaux cas pour 100000 femmes). Et c’est que montrent les registres des cancers des pays apôtres de cette vaccination démentant ainsi la propagande permanente qui prétend que le Gardasil protègerait « des cancers du HPV ».

Le registre australien des cancers objective une augmentation d’incidence des cancers du col de l’utérus depuis la vaccination par Gardasil  :

En Grande-Bretagne :

 

En Norvège l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

 

 

En Finlande l’incidence des cancers du col augmente chez les plus vaccinées :

 

 

 

 

Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV comme ils l’ont affirmé pour le covid19..

Mais la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis la vaccination par Gardasil chez les filles dans tous les pays qui ont instauré une vaccination scolaire.

Comme en Australie où l’incidence du cancer anal a davantage augmenté chez les filles que chez les garçons non vaccinés :

Comme en Grande-Bretagne :

 

Mais aussi dans les pays scandinaves :

 

 

 

Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

 

Ce malheureux collégien est bien mort de la vaccination Gardasil

L’ARS qui multiplie les appels à la vaccination tente de la disculper en accusant

« un malaise vagal sans lien avec le produit vaccinal ou à un défaut de qualité du vaccin. » en ne rappelant pas que ce malaise a été la conséquence de la vaccination Gardasil.

Les faits sont indiscutables : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.

Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA qui l’ont beaucoup plus pratiqué,  le VAERS (système de déclarations des complications post vaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

 

 

 

 

 

La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensées par le VAERS et qui ont motivé des plaintes en justice et des manifestations dans de nombreux pays

Ces manifestations contre le Gardasil et ses nombreuses actions en justice témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

 

 

 

 

 Pour protéger nos enfants il faut stopper cette vaccination dangereuse et inefficace contre le cancer [7]

 

 

 

[1] Inserm Microbiote intestinal (flore intestinale) https://www.inserm.fr/dossier/microbiote-intestinal-flore-intestinale/

[2] https://www.allodocteurs.fr/maladies-intestins-et-estomac-flore-intestinale-flore-intestinale-une-collection-de-bacteries-776.html

[3] Kenneth Todar, « The Normal Bacterial Flora of Humans » Todar’s Online Textbook of Bacteriology

[4]Dunyach-Remy C, Sotto A & Lavigne J.P (2015) Le microbiote cutané: étude de la diversité microbienne et de son rôle dans la pathogénicité. [archive] Revue Francophone des Laboratoires, 2015(469), 51-58.

[5] De nombreuses études rapportent des cas de vierges contaminées.

[6] A l’exception des souches 6 et 11 susceptibles de créer des verrues génitales (condylomes)

2023 11 8 gardasil court

 

Ouvrez le diaporama pour faire le point

 

il faut dire et redire  que les dangers  du gardasil sont réels et que son efficacité est nulle et non démontrée sur les cancers (qui mettent des décennies à se développer)

 

 

PROTEGEZ LES ENFANTS

 

INFORMEZ POUR EVITER LES EFFETS SECONDAIRES DONT DES DECES

 

 

imprimez et distribuez les tracts pour informer ceux qui ne regardent pas les réseaux sociaux !

 

Flyer Gardasil F[101921]    

 

Conférence du Dr Gérard Delépine concernant l’hystérie vaccinale du Gardasil/HPV (reseauinternational.net)

 

150923 -illegalite campagne vaccinale HPV – Reaction19.fr[103672]

Couv Dysphorie de genre         

 

diaporama  de la présentation faite à Antibes le 4 nov 23

 

cliquez sur le lien ci-dessous

 

 

dysphorie de genre et enfance sacrifiee ANTIBES 4 NOV 23

 

 

 

Nouveau Monde — Belgique — Le guide Evras va à contresens du développement psychique d’un enfant (nouveau-monde.ca)

 

 

 

JK Rowling, auteur de « Harry Potter » risquera-t-elle la prison parce qu’elle ose dire qu’on nait  (est ) « femme » ou « homme » ?

 

La folie de certains extrémistes transsexuels les pousse à tenter de criminaliser la liberté de parole qui définit pourtant le caractère démocratique des pays qui la protègent dans leur constitution.

Sous prétexte « d’inclure », « de mettre fin à la discrimination des transsexuels » les pays occidentaux ont accepté, depuis plus d’une vingtaine d‘années, des dérogations croissantes aux règles des droits de la majorité, au profit de certaines minorités dont les trans sexuels.

Ils ont par exemple créé le délit de « propos transphobe » dans lesquels ils incluent tout ce qui déplait aux activistes trans, comme le fait d’appeler une personne trans par son prénom de naissance, de rappeler qu’il n’existe que deux sexes[1], de dire qu’une femme a des ovaires[2] , ou, lorsqu’on est gynécologue, de s’affirmer incompétent pour examiner une femme transsexuelle (née homme et non opérée)[3]

Actuellement certains travaillistes anglais voudraient faire voter une loi transformant les propos qu’ils qualifient de transphobes en « crime de haine » puni par deux ans de prison. Les extrémistes trans préfèrent faire peur par des lois restreignant le droit humain fondamental de s’exprimer librement plutôt que convaincre du bienfondé de leurs exigences par un débat démocratique, comme nous le proposons dans notre dernier livre.

 

JK Rowling, auteur mondialement célèbre d’Harry Potter (avec quelque 600 millions de livres vendus) a été accusée de transphobie pour avoir soutenu Maya Forstater, licenciée du Center for Global Development en 2019 après avoir affirmé qu’on ne pouvait pas « changer de sexe biologique ».

Pourtant en juin 2023 il a été jugé en appel que les convictions de M. Forstater étaient « dignes de respect dans une société démocratique », qu’elle « avait subi une discrimination directe sur la base de ses convictions » critiques en matière de genre. Les juges lui ont accordé une indemnisation de 91 500 £ (et 14 900 £ supplémentaires à titre d’intérêts). Mais les activistes trans continuent d’ignorer les attendus de ce jugement et poursuivent leur campagne de diffamation envers K Rowling.

 

En réponse à un article de Devex[4], qui réduisait les femmes à leur utérus en les appelant “ les personnes qui ont leurs règles“, K. Rowling a commenté sur  Twitter « Je suis sûre qu’il y avait un mot pour ces personnes. Aidez-moi. Wumben ? Wimpund ? Woomud ? » pour rappeler le mot woman apparemment tabou chez les trans activistes.

Son trait d’humour a été accusé d’exclure « les hommes trans qui peuvent être concernés par les menstruations » (?) et donc d’être transphobe. Ses accusateurs trans ignorent apparemment qu’aucune femme trans (née homme) ne possède d’utérus et ne peut donc avoir de règles !

Ces prises de position de bon sens ont notamment valu à l’écrivain d’être constamment harcelée sur le net et d’être exclue des retrouvailles du casting d’Harry Potter pour les 20 ans de sa saga en 2021. Comment ont-ils osé ? Sans elle, point de Harry Potter et donc de fête !

 

JK Rowling a depuis détaillé les raisons qui l’ont poussée à aborder ces questions dans un essai « Writes about Her Reasons for Speaking Out on Sex and Gender [5] » :

« Premièrement, …Je soutiens, entre autres, des projets pour les femmes détenues et pour les survivantes d’abus sexuels et domestiques… Il est clair pour moi que le nouvel activisme trans a (ou est susceptible d’avoir, si toutes ses exigences sont satisfaites) un impact significatif sur de nombreuses causes que je soutiens, parce qu’il pousse à éroder la définition juridique du sexe et à le remplacer par le genre.

La deuxième raison est que j’ai fondé une organisation caritative pour les enfants, qui illustre mon intérêt à la fois pour l’éducation et la sauvegarde de ceux-ci. Comme beaucoup d’autres, j’ai de profondes inquiétudes quant à l’effet que le mouvement des droits des trans a sur les deux sujets.

La troisième est qu’en tant qu’auteur très censuré, je m’intéresse à la liberté d’expression et je l’ai défendue publiquement.

Le quatrième… Je suis préoccupée par l’augmentation énorme du nombre de jeunes femmes qui souhaitent faire la transition et aussi par le nombre croissant de personnes qui semblent détransitionner (retour à leur sexe d’origine), parce qu’elles regrettent d’avoir pris des mesures qui ont, dans certains cas, modifié leur corps irrévocablement, et leur ont enlevé leur fertilité.

 Certains disent qu’ils ont décidé de passer à l’acte après avoir réalisé qu’ils étaient attirés par leur propre sexe, et que leur transition était en partie motivée par l’homophobie, que ce soit dans la société ou dans leur famille.

Le 17 octobre 2023, l’auteur britannique a partagé sur X une photo montrant le slogan « Répétez après nous : une femme trans est une femme » projetée sur le mur du ministère de la Justice, à Londres qu’elle a commenté d’un simple NON

 

Lorsqu’un internaute critique l’a prévenue que ses déclarations pourraient lui valoir deux ans de prison, si la loi proposée par le parti travailliste était adoptée, J. K. Rowling a répondu : « Je ferai deux ans avec plaisir, si l’alternative est la parole forcée et le déni forcé de la réalité et de l’importance du sexe. Amenez-moi devant une cour, ce sera plus amusant que n’importe quel tapis rouge ».

 

Pour rassurer J. K. Rowling (qui n’en demande pas tant),  on pourrait lui rappeler que l’évolution récente de la question trans en Grande-Bretagne semble enfin tenir davantage compte de la réalité. En santé : fermeture du service pédiatrique de la clinique Tavistock [6] [7] spécialisée dans les traitements hormonaux et chirurgicaux de changement de sexe pour les mineurs, à la suite d’un rapport accablant sur ses pratiques[8]. A l’école : de nouvelles instructions demandant aux enseignants d’informer les parents si leur enfant se croit trans et de ne rien entreprendre sans eux.

Dans le sport de compétition : l’exclusion des femmes trans des compétitions féminines d’athlétisme[9], de natation[10], de cyclisme[11]

Et surtout les déclarations récentes du premier ministre britannique Rishi Sunak [12] [13] :  « nous ne devrions pas faire croire que les gens peuvent être de n’importe quel sexe parce qu’ils le veulent. Ils ne peuvent pas. Un homme est un homme, et une femme est une femme »

 

 

 

Si J.K Rowling devait aller en prison pour ses déclarations de bon sens sur le sexe, la défense des droits des femmes et la protection des enfants,

elle ne serait pas seule !

 

 

 

[1] https://etudiant.lefigaro.fr/article/un-eleve-canadien-d-une-ecole-catholique-exclu-de-son-lycee-pour-avoir-dit-qu-il-n-y-avait-que-deux-genres_0eae0610-a921-11ed-938f-cfc88137eaa2/

[2]https://www.marianne.net/societe/accusations-de-transphobie-il-y-a-une-offensive-transactiviste-contre-le-feminisme

[3] https://www.lefigaro.fr/actualite-france/un-gynecologue-attaque-pour-avoir-refuse-d-examiner-une-femme-trans-20230911

[4] https://www.devex.com/news/sponsored/opinion-creating-a-more-equal-post-covid-19-world-for-people-who-menstruate-97312

[5] ttps://www.jkrowling.com/opinions/j-k-rowling-writes-about-her-reasons-for-speaking-out-on-sex-and-gender-issues/

[6] https://www.thetimes.co.uk/article/tavistock-gender-clinic-puberty-blockers-nhs-investigation-fh7pngj0v

[7] https://www.courrierinternational.com/article/transidentite-la-clinique-tavistock-recit-d-un-scandale-medical-britannique

[8] https://www.breizh-info.com/2022/12/09/211829/la-clinique-de-lhorreur-tavistock-specialisee-dans-la-transition-de-genre-va-fermer-ses-portes/

[9] https://www.lepoint.fr/sport/athletisme-les-athletes-transgenres-exclus-de-la-categorie-feminine-23-03-2023-2513282_26.php#11

[10] https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/10/25/inclusivite-ou-equite-le-sport-face-au-dilemme-des-athletes-transgenres_6147236_3232.html

[11] https://www.liberation.fr/sports/cyclisme/cyclisme-les-femmes-trans-bannies-de-toutes-les-competitions-feminines-internationales-20230714_JCNHCWSTQBDCPC6ZZZU6AYSMRY/

[12] Dans un entretien accordé au site Web ConservativeHome, il affirme que 100 % des femmes n’ont pas de pénis. « La première chose à dire est que nous devrions toujours avoir de la compassion, de la compréhension et de la tolérance pour ceux qui pensent à leur genre. Mais quand il s’agit de ces questions de protection des droits des femmes et des espaces des femmes, la question du sexe biologique est fondamentalement importante. » Rappeler dans la loi que le sexe signifie bien le sexe biologique et non le genre auquel la personne s’identifie, telle est l’ambition du Premier ministre afin d’aider, notamment, les sports féminins à écarter les personnes trans des compétitions féminines.

[13] https://www.bvoltaire.fr/le-courageux-combat-de-rishi-sunak-contre-les-transactivistes/

22 09 Z3 GARDASIL PRESENTATION CHD G DELEPINE

in english

 

1 07 23 GARDASIL PARIS

 

en français et ci-joint article de children’shealth defense europe pour info

Campagnes contre le papillomavirus annoncées en Europe – Parents, il est temps de s’informer ! | Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)

 

 

Flyer Info Vac. anti HPV

 

 

Flyer Info Vac. anti HPVF

 

lyer Gardasil F[101921]

 

voir le diaporama ci-joint en cliquant sur le lien

 

LE TOTALITARISME IMPOSE AUX ENFANTS ET THEORIE DU GENRE OCT 2023

 

 

« « Si vous n’avez qu’une injection n’en prenez pas deux. Si vous en avez deux, n’en prenez pas trois. Si vous en avez trois, n’en prenez pas quatre. Si vous n’en avez jamais eu, s’il vous plaît, n’en prenez pas », a exhorté le Dr Cole.   ALLEZ LIRE L’ ARTICLE RECENT DU DR COLE un des tous premiers à avoir dès 2021 attiré l’attention sur le danger des injections expérimentales anticovid

LA TRISTE REALITE DES TURBO-CANCERS LIES A L’INJECTION COVID19 – Profession Gendarme (profession-gendarme.com)

 

« Turbo-cancer » est un terme de langage courant, populaire, non réellement scientifique, pour évoquer l’émergence récente de cancers très agressifs qui se développent très rapidement ». Il est apparu au cours de l’année 2021 après que l’injection covid 19 se soit répandue comme une trainée de poudre dans une majeure partie du monde occidental… Coïncidence ou causalité ?

Les premiers cancers post vaccination sont apparus très tôt

L’attention des médecins cliniciens – ceux qui voient de vrais malades en consultation, les interrogent et les examinent- avait été très tôt attirée par des modifications de l’évolution clinique de certains patients dans les quelques mois suivant les débuts de la campagne d’injections anticovid. Initialement ce furent des rechutes brutales, et résistantes, de patients apparemment guéris de cancer depuis plus de dix, quinze ans voire plus, en rémission complète, qui sidérèrent les généralistes et les cancérologues (qui ne l’avouèrent que sous le manteau…).

Un exemple typique a été celui de monsieur Axel Kahn, président de la ligue contre le cancer, qui s’était fait remarquer par ses positions extrémistes pro vaccins covid1 et dont le cancer d’évolution jusqu’ici lente a explosé après sa vaccination l’emportant en quelques mois.

De nombreuses malades en rémission de cancer du sein rechutèrent contre toute attente après une si longue durée.

Parallèlement les médecins virent arriver dans leurs cabinets de très jeunes gens d’une vingtaine d’années ou moins atteints de maladies hématologiques, telles des lymphomes, des glioblastomes etc. d’apparition jusqu’ici exceptionnelle chez les jeunes, d’évolution particulièrement rapide et résistant trop souvent à toute espèce de traitement.

Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontres, réseaux sociaux, groupes sur telegram etc.. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.

Un des autres cancers les plus rapportés dans nos contacts récents est le lymphome chez de jeunes adultes…

Et tous ces articles qui fusent et disparaissent rapidement sous l’effet de la censure féroce sur internet.

« En tant qu’oncologue, je vois des personnes atteintes d’un cancer stable [qui a] progressé rapidement après avoir été forcées de recevoir un rappel ».

En mars 2021, le Dr Ryan Cole 2a signalé une « hausse » massive de diverses maladies auto-immunes et cancers chez les patients vaccinés contre la COVID. « Depuis le 1er janvier 2021, en laboratoire, je constate une multiplication par 20 des cancers de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle ».

Bref de quoi étonner les cancérologues qui ne firent que chuchoter au début, puis s’exprimèrent enfin entre eux. Pourquoi ce silence ? C’est un autre versant des conséquences psychiatriques de cette plandémie.

Camouflage et censure des faits, diffamation et menaces contre les donneurs d’alerte.

Etant donné la concomitance des campagnes d’injection, les médecins du monde entier constatèrent les mêmes phénomènes en même temps, rendant la coïncidence moins crédible que la causalité. Les prétendus « sites de vérification » des médias officiels (les fameux fact checkers largement rémunérés par Bill Gates entre autres ) s’empressèrent de nier toute possibilité d’une responsabilité des vaccins et certains collègues défenseurs du crédo officiel diffamèrent en les traitant de fous les lanceurs d’alerte , à commencer par Mme le Pr Alexandra Henrion- Caude qui expliquait ce qu’est l’ARNm dans son best -seller « les apprentis sorciers »3.. )

Pour camoufler la triste réalité de la flambée des cancers post injection expérimentale, que la population commençait à découvrir seule, on vit fleurir des papiers sur l’augmentation de cancers depuis trente ans.4 Une étude publiée dans BMJ Oncology intitulée « Tendances mondiales de l’incidence, de la mort, du fardeau et des facteurs de risque du cancer précoce de 1990 à 2019 » a signalé une augmentation de 79,1% de l’incidence du cancer chez les personnes de moins de 50 ans au cours des trente dernières années . Mais une analyse objective du phénomène, aurait souligné les différences de pratique médicale sur ces décennies et tout particulièrement la pratique de dépistage à outrance des cancers du sein, de la prostate, du colon, de la thyroïde qui a conduit à traiter des patients dont le cancer n’aurait sans doute jamais évolué, contribuant ainsi à accroitre artificiellement le nombre réel de cancer, à en augmenter les taux de guérison apparents tout en administrant inutilement aux patients des traitements dangereux.5 6

Au total plus de 350 organes de presse à travers le monde ont publié des articles rapportant les résultats des cancers avant 2019 et leur dramatique augmentation, alors qu’après trois ans de plandémie covid et des milliers de victimes des injections, le sujet est soigneusement évité dans les journaux mainstream, sauf récemment dans les quotidiens ou hebdomadaires allemands ou suisses, anglais, accompagnés parfois d’excuses aux lecteurs de ne les pas avoir informés plus tôt…

Rappels des faits publiés depuis la crise covid.

France

L’Institut du Cancer ne donne pas les chiffres de cancers des cinq dernières années, (depuis 2018) et en particulier les mortalités, prétextant qu’: « En raison d’un changement de méthode de codage d’enregistrement des cas, les données de mortalité actualisées ne sont pas disponibles. ».

Les données n’étant pas accessibles en France, on se réfèrera aux rares données publiées dans les pays anglophones.

Royaume Uni.

Phinance Technologies, une société spécialisée dans l’exploration de données indépendantes et la consultation, a publié une analyse des demandes d’invalidité au Royaume-Uni au cours des sept dernières années (https://phinancetechnologies.com/HumanityProjects/PIP Analysis-Systems.htm). Ainsi, indirectement, via le biais des nouvelles invalidités, on peut déduire le nombre global de malades et celui par pathologies sur ces dernières années. Mieux que rien.

Après les injections de nombreuses personnes sont fatiguées, vont d’arrêt de travail en tentative de reprise, et nouvel arrêt et il ne s’agit pas uniquement de dépressions.

Le nombre total de nouvelles demandes de prestations d’autonomie personnelle (RRP) pour tous les âges et toutes les causes présentées par des personnes ayant présenté une demande d’invalidité a très fortement augmenté. En 2022 le taux de nouvelles demandes a été supérieur de 71% au taux moyen de 2016-2019 et a suivi le déploiement du vaccin Covid.

Si l’augmentation du nombre total de personnes demandant des prestations d’invalidité au Royaume-Uni parce qu’elles sont devenues incapables de travailler- se répète dans le monde entier, en 2022, il y aura eu 31 millions de nouveaux cas d’invalidité.

Un drame qui est peut être en partie responsable des soucis des petits patrons pour trouver du personnel.

Phinance Technologies rapporte également les données distinctes pour les paiements versés aux personnes souffrant d’invalidité en raison de l’incidence du cancer. Le nombre des bénéficiaires de ces paiements a augmenté de 35 % en 2022 par rapport à la moyenne à long terme. Une augmentation de 12 271 cas.

Il est triste de constater qu’une augmentation de 79% d’apparition de cancers sur une période de trente ans a suscité une forte inquiétude et une publicité mondiales, alors qu’une augmentation de 35% de l’incidence du cancer en à peine plus d’un an après le début du déploiement du vaccin, un taux annuel 13 fois plus élevéa été ignorée par les médias grand public. Si cette augmentation était reproduite dans le monde entier, cela équivaudrait à 1 million de cas de cancer supplémentaires.

L’analyste de données Edward Dowd a fait la lumière sur les autorisations indemnisations annuelles au Royaume-Uni accordées pour invalidité en utilisant différentes mesures pour 2020, 2021 et 2022. Et ce qu’il a constaté, c’est que les demandes pour maladies hématologiques cancéreuses(leucémies) étaient en 2022 en hausse stupéfiante de 522% au-dessus de la tendance des années précédentes.

Nouvelle-Zélande.

L’enquête sur la population active auprès des ménages indique que 6600 personnes en âge de travailler (15-64 ans) ont quitté le marché du travail en raison d’un handicap au cours de l’année écoulée depuis juin 2021, date à laquelle la vaccination de ce groupe d’âge a commencé.

La fuite de données hospitalières de la région de Wellington a révélé une incidence croissante de cancers et en particulier des leucémies (+ 25%), des cancers du sein (+24%), des glioblastomes (+15%) et des cancers du pancréas (+15%).

Le financement continu par les gouvernements de « vérificateurs de faits » (fast checkers) qui se comportent en vrais experts en désinformation, niant les preuves scientifiques croissantes des dommages causés par les vaccins Covid, devient une affaire mondiale, non seulement morale mais politique, menaçant la science et la démocratie.

Aux USA

Le registre des déclarations des accidents vaccinaux VAERS a enregistré une hausse considérable (123%) des cancers survenus après vaccination covid lorsqu’on la compare aux années précédentes.

Cette augmentation des cancers post vaccinaux n’est pas due à une utilisation plus massive des vaccins covid par rapport aux autres vaccins; en effet durant les années précédentes qui servent de comparaison les vaccins anti grippaux ont été chaque année plus largement injectés que les vaccins covid en 2021.

En janvier 2022, trois militaires de haut rang, médecins responsables de la santé publique aux USA, ont déclaré sous serment qu’à la suite de l’adoption du vaccin COVID dans l’armée américaine ils avaient constaté une augmentation des cancers de 296 %4.

Causes possibles de ces turbo-cancers

Certains scientifiques cherchent absolument à comprendre ce qui se passe au fin fond de nos cellules agressées, car semble-t-il certains ont du mal à croire la simple observation clinique s’ils n’en comprennent pas le mécanisme (pourtant souvent mystérieux en médecine).

« En raison de la dérégulation des réponses immunitaires et de la suppression du système immunitaire par ces injections génétiques … ces cancers qui seraient normalement contrôlés par le corps se développent de manière inattendue très rapidement », a déclaré le Dr Ryan Cole dans une interview avec Children’s Health Defense.7

Les protéines de pointe des vaccins à ARNm servent de carcinogène, nourrissant littéralement le cancer et le propulsant à se multiplier de manière exponentielle pour envahir le reste du corps. (ibid 1) Turner a également observé de plus en plus de tumeurs multiples dans plusieurs organes, ainsi que des récidives et des métastases incontrôlables ».

En ce qui concerne l’immunité adaptative globale, Cole décrit : « Après le vaccin, ce que nous voyons est une baisse des cellules T tueuses » qui « gardent tous les autres virus sous contrôle », laissant le patient vulnérable à une variété de maladies.

En octobre 2022, une étude suédoise a confirmé que la protéine de pointe associée à la maladie COVID-19 et ses vaccins expérimentaux pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages à l’ADN, compromettant l’immunité adaptative d’une personne et facilitant peut-être la formation de cellules cancéreuses.

Un post de la généticienne Alexandra Henrion- Caude auteur des «  les apprentis …) pour sensibiliser les humains au risque de cancer après injection anticovid pourra -t-il sauver des enfants et adolescents de ces injections catastrophiques ?

« Je remarque que l’humain comprend mieux sur l’animal que sur lui-même. Alors je vous raconte l’histoire de Kimani, le petit gorille, né dans un zoo à Calgary. Il est né le 9 mars 2016 d’une mère Kioja, âgée de 15 ans (primipare) et d’un père illustre Kakinga, connu comme le « gentle giant » (le gentil géant), mort à 37 ans d’une déchirure de l’aorte.

Bénéficiant du nec plus ultra du traitement de l’humanité, le jeune Kimani âgé de 6 ans a été injecté début avril 2022 avec les premières doses anti-COVID19 disponibles au zoo.

En moins de 2 mois, l’état de santé de Kimani s’est profondément dégradé. Il est dans un état critique, et seuls les soins palliatifs sont désormais envisagés. Il a été diagnostiqué d’un cancer du foie ».8

Et une lettre du Dr Angus Dalgleish9, professeur d’oncologie à l’Université St George de Londres, au Dr Kamran Abbasi, rédacteur en chef du BMJ pour que le BMJ fasse du consentement libre et éclairé préalable pour la vaccination Covid un sujet prioritaire.

« Cher Kamran Abbasi,

Covid n’a plus besoin d’un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès de Covid au Royaume-Uni est de 82 ans et alors que pour toutes les autres causes il est de 81 ans et en baisse.

La responsabilité des injections anti covid avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien acceptée, tout comme le lien avec la myélite et les neuropathies. (Nous avons prédit ces effets secondaires dans notre article de juin 2020 Sorensenet al. 2020, l’analyse de l’explosion ayant révélé 79% d’homologies avec les épitopes humains, en particulier PF4 et la myéline.)

Cependant, il y a maintenant une autre raison d’arrêter tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes atteintes d’une maladie stable progresser rapidement après avoir été forcées de prendre un rappel, généralement pour pouvoir voyager.

Même au sein de mes contacts personnels, je vois une maladie à base de cellules B après les rappels. Ils décrivent être nettement malades quelques jours à quelques semaines après le rappel – une leucémie en développement, deux collègues de travail lymphome non hodgkinien et un vieil ami qui a eu l’impression d’avoir eu le Covid long depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir eu une douleur osseuse intense, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’une maladie rare des cellules B.

J’ai suffisamment d’expérience pour savoir que ce ne sont pas les anecdotes fortuites que beaucoup suggèrent, d’autant plus que le même schéma est observé en Allemagne, en Australie et aux États-Unis. Les rapports d’immunosuppression innée après ARNm pendant plusieurs semaines conviendraient, car tous ces patients à ce jour ont un mélanome ou des cancers à base de cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire – et c’est avant les rapports de suppression du gène suppresseur par ARNm dans les expériences de laboratoire Cela doit être diffusé et débattu immédiatement ».

Angus Dalgleish

Les injections répétées de COVID conduisent des variantes dangereuses, et des cancers turbo

APPEL AU BON SENS

Selon le vaccinologue Geert Vanden Bossche, DVM, Ph.D., la poursuite de la vaccination de masse contre la COVID-19 suscite de nouvelles souches virales10 (les variants) plus infectieuses et potentiellement dangereuses, augmentant le risque de COVID-19 grave, tout en entraînant une augmentation de cancers agressifs et de maladies auto-immunes dans les populations vaccinées. Dans son article récent en cet été 23, Vanden Bossche envoie un «avertissement sévère à ceux qui envisagent de se faire vacciner contre la COVID-19 plus tard cette année, alors que nous nous dirigeons vers l’hiver de l’hémisphère nord. »

Il explique en détail comment et pourquoi les populations fortement vaccinées contre la COVID-19 vont : faire apparaître des variants toujours plus infectieux et potentiellement dangereux11 dérivées d’Omicron, par échappées immunitaire, tout en étant plus à risque de contracter une forme grave de COVID-19 que les populations moins ou non vaccinées.

Comment les risques d’autres affections chez les populations fortement vaccinées, y compris les cancers agressifs, précoces, les cancers « turbo » et les poussées auto-immunes, augmenteront probablement considérablement par rapport à ceux qui, prudents, choisissent d’éviter une injection supplémentaire contre la COVID-19.

La base de preuves pointant dans cette direction devient de plus en plus forte (avec de nombreuses références à d’autres publications dans le rapport de Vanden Bossche). »

La relation possible avec les cancers du sang et les vaccins COVID-19 et les mécanismes scientifiques avérés peuvent l’expliquer… mais l’essentiel est d’entendre que la hausse d’incidence des cancers depuis 2021 a moins d’une chance sur 1000 d’être due au hasard.

L’argument selon lequel l’épidémie de cancer serait due au retard dans les dépistages ne tient pas, car l’arrêt des dépistages et le retard aux traitements aboutissent à des formes plus évoluées de cancers et peut en augmenter la mortalité, mais est incapable d’en augmenter significativement l’incidence.

De plus si c’était le cas il s’agirait des cancers classiques. Or ici ce sont de nouveaux types de cancer, à des âges inhabituels avec des comportements particuliers tels leur vitesse majeure de développement et leur résistance à tous les traitements habituels.

« Nous voyons des cancers rares/bizarres et des augmentations hors saison. Les dépistages différés ne déclenchent pas une augmentation des cancers en une seule semaine. Il s’agit d’une intervention spécifique, intense et inédite ». As an Oncologist I Am Seeing People With Stable Cancer Rapidly Progress After Being Forced to Have a Booster », The Daily Sceptic

On comprend pourquoi les injections suivant la première sont plus toxiques :

« Lorsqu’il y a une stimulation du système immunitaire, la microglie ramifiée passe au stade de la microglie amorcée. Les pseudopodes sont rétractés et cela devient une cellule plus arrondie. À l’intérieur de la microglie amorcée, il y a une intense régulation à la hausse de la production de cytokines, de chimiokines et d’excitotoxines — mais elles ne sont pas libérées de la cellule, il peut donc y avoir une réaction immunitaire mineure, mais sinon il n’y a pas beaucoup de signes de réaction. C’est ce qui se passerait avec la première injection de cet injectable qu’ils appellent un ‘vaccin’ », a déclaré le Dr Blaylock.12

Il est important de noter que les chimiokines attirent les macrophages, ou globules blancs, vers le cerveau. Un macrophage dans le cerveau ressemble exactement à la microglie et peut également subir un amorçage.

« Avec la deuxième stimulation immunitaire, [qui serait la deuxième injection et] qui peut être des mois plus tard, cette microglie amorcée devient complètement activée. Et lorsque cela se produit, il libère tous ces composants toxiques… vous obtenez une microglie activée de manière chronique, [un] état suractivé et il y a une réaction inflammatoire 3 fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l’activation microgliale. »

Le Dr Blaylock insiste sur les dangers sur les fœtus et les risques prévisibles à long terme :

« Je pense que comme conséquence des injections de Covid Nous allons assister à une augmentation considérable des troubles du spectre autistique. L’autre trouble dont on ne parle jamais est la schizophrénie. Ce que nous voyons, c’est que si nous stimulons le système immunitaire au cours du troisième trimestre, l’incidence de la schizophrénie augmente d’environ 6 fois. Mais ça n’arrive qu’à l’adolescence donc ça va être long avant qu’on le voie.

« Mais je pense que tout — les malformations augmentent déjà de 300 à 400 %, les fausses couches — nous allons voir des choses que nous n’avons jamais vues auparavant. C’est la tragédie de tout cela.

Que les organisations pédiatriques approuvent les injections de Covid est monstrueux. »

Le Dr Ryan Cole a remarqué qu’il y avait une augmentation considérable des cancers agressifs après le déploiement de l’injection de Covid. Il a également remarqué que les personnes qui avaient des cancers bien contrôlés développaient des cancers incontrôlables et mouraient très rapidement.

De longues publications abordent maintenant ce sujet. L’important en urgence est de stopper ces injections et de les éviter à vos proches en attendant une suppression mondiale.

« L’idée qu’un nouveau produit comme les vaccins [COVID] pourrait causer le cancer n’est pas quelque chose qui sera observable du jour au lendemain », a expliqué le Dr Risch dans une interview passionnante 13

« Le cancer en tant que maladie prend beaucoup de temps à se manifester à partir du moment où il commence, des premières cellules qui se détraquent jusqu’à ce qu’elles deviennent assez grandes pour être diagnostiquées ou symptomatiques, peut prendre de deux ou trois ans pour les cancers du sang, comme les leucémies et les lymphomes, à cinq ans pour le cancer du poumon. à 20 ans pour le cancer de la vessie, ou 30, 35 ans pour le cancer du côlon, et ainsi de suite.

« Ce sont donc des événements à long terme, et si vous introduisez soudainement un nouveau produit comme les vaccins, la première chose que vous pourriez vous attendre à voir serait les cancers du sang que j’ai mentionnés, mais pas les autres types de cancers. »

Les troubles liés au sang apparaissent déjà dans les données britanniques que nous avons signalées précédemment

Mais il ne s’agit pas seulement de troubles hématologiques

Les cancers qui prennent normalement dix, vingt ou trente ans à se développer, théoriquement accélérés par les vaccins immunosuppresseurs contre la COVID, pourraient apparaître à des taux accrus à long terme, a laissé entendre le Dr Risch.

Mais à moyen terme nous voyons déjà des signes de cela se produire alors que les jeunes, dans la fleur de l’âge, souffrent du cancer à des taux sans précédent.

Colby Brock, un YouTuber de 26 ans, a partagé son diagnostic de cancer des testicules avec ses abonnés le 9 juillet 2023. Le Dr William Makis a fait une plongée profonde dans les jeunes influenceurs des médias sociaux qui contractent le cancer sur sa page Substack.

Selon le Dr Risch, si une personne de 25 ans développe un cancer du côlon sans antécédents familiaux de la maladie, « c’est fondamentalement impossible selon le paradigme connu du fonctionnement du cancer du côlon ». Il a ajouté que d’autres cancers à longue latence font surface chez les très jeunes. « Ce n’est tout simplement pas l’occurrence normale du fonctionnement du cancer. »

« Parce que ces cancers se sont produits chez des personnes trop jeunes pour les avoir, par rapport à la façon normale de survenue, ils ont été désignés comme des turbo-cancers », a ajouté le Dr Risch.

« Certains de ces cancers sont si agressifs qu’entre le moment où ils sont vus pour la première fois et le moment où ils viennent pour le traitement après quelques semaines, ils ont considérablement augmenté par rapport à ce à quoi les oncologues s’attendaient. »

« Il doit y avoir un stimulus initiateur », a-t-il déclaré. Comme déjà mentionné, « les vaccins contre la COVID ont causé divers degrés de dommages au système immunitaire chez une fraction des personnes qui les ont pris. » « si vous endommagez le système immunitaire d’une manière qui limite la capacité de reconnaître ou de désactiver les cellules cancéreuses dérangées en croissance naissante, cela ouvre la porte à leur multiplication au point où il est au-delà du système immunitaire de faire face. Et c’est le mécanisme, je pense, qui est le plus probable ici. »

Des exemples se multiplient dans la littérature institutionnelle aussi bien que sur les réseaux sociaux citons cette observation à propos d’enseignants 14Makis 15

En conclusion

Il faut refuser tout nouveau booster car toutes les études montrent une augmentation extrême de certaines maladies associées au déploiement de l’inoculation de l’ARNm et l’inefficacité de ces injections à protéger du covid ceux qui les reçoivent.

En particulier, nous pouvons observer que les maladies hématologiques malignes ont connu une augmentation extraordinaire par rapport au début de 2021, presque coïncidant avec le déploiement du vaccin Covid-19.

Nous observons également l’augmentation des réclamations liées aux maladies cardiovasculaires et des réclamations liées au système musculo-squelettique, qui sont probablement dues à une inflammation. Nous observons également que l’augmentation des cancers a, jusqu’à présent, été modérée, mais nous sommes préoccupés par le fait que ces résultats sont de nature à plus long terme et devraient donc continuer à augmenter dans les années à venir.16

Refusez le booster à ceux que vous aimez171819

Les appels internationaux à stopper cette catastrophe sanitaire sont nombreux. En décembre 22, nous diffusions cet appel à protéger vos proches, et qu’il est impératif de refaire à nouveau, devant la volonté du ministre de la Santé de reprendre les injections à partir du 2 octobre 23, en « favorisant les plus fragiles » en sachant (mais le sait-il ?) que ce sont ceux-là même qui sont le plus à risque de complications de l’injection-expérimentale.

Et les EHPAD vont continuer à se vider, les établissements privés ayant de plus en plus de difficultés à trouver des candidats pour les remplir…Si vous aimez vos proches injectés (par confiance mal placée aux médias menteurs, ou par nécessité vitale pour vivre), protégez-les du booster proposé, car les effets s’accumulent avec les doses successives, d’autant que le contenu de ces nouveaux pseudovax paraît de plus en plus riche en substances toxiques. Les premières doses contenaient beaucoup de placebos, mais les suivantes sont de plus en plus riches en ARNm et en graphène, d’ou une multiplication des complications que chacun peut constater dans son entourage s’il ne se voile pas la face.

Alors si vous tenez à vos proches et amis, informez -les pour qu’ils sachent à quoi ils s’exposent.

1https://www.humanite.fr/en-debat/covid-19/grand-entretien-avec-axel-kahn-contre-le-covid-19-une-couverture-vaccinale-de-60-ferait-la-difference-697120

2 https://perma.cc/2D5K-G694

3 Les apprentis sorciers éditions Albin Michel – paru le 8 mars 2023

4 Les cancers augmentent considérablement en tandem avec les vaccinations Covid (2ndsmartestguyintheworld.com) Vanden Bossche envoie un avertissement sévère à ceux qui envisagent de se faire vacciner contre la COVID-19 plus tard cette année, alors que nous nous dirigeons vers l’hiver de l’hémisphère nord.

Il explique en détail comment et pourquoi les populations fortement vaccinées contre la COVID-19 :

Servir à conduire des variantes toujours plus infectieuses et potentiellement dangereuses, échappées immunitaires, dérivées d’Omicron.

Être plus à risque de contracter une forme grave de COVID-19 que les populations moins vaccinées ou non vaccinées.

Comment le risque d’autres affections chez les populations fortement vaccinées, y compris les cancers agressifs, précoces, les cancers « turbo » et les poussées auto-immunes, augmentera probablement considérablement par rapport à ceux qui choisissent d’éviter une vaccination supplémentaire contre la COVID-19.

5 L’arnaque du dépistage du cancer de la prostate – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

6 Un article français à lire absolument si on désire subir le dépistage organisé du cancer du sein – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

7 https://childrenshealthdefense.org/defender/dr-ryan-cole-shots-hooker/

8 Ref in ibid 5 https://t.me/alexandrahenrioncaude

Naissance : https://calgaryherald.com/calgary-zoos-baby-gorilla-finally-has-a-name

Antécédents : https://calgaryherald.com/zoos-gentle-giant-gorilla-kakinga-dead-at-37

Injection : https://globalnews.ca/calgary-zoo-animals-first-dose-covid-19-vaccine

Soin palliatif comme seule solution : https://www.cbc.ca/gorilla-kimani-calgary-zoo-cancer

9 Angus Dalgleish Rapid Response:Re: Covid-19: Fourth vaccine doses—who needs them and why? BMJ 2022; 376 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.o30 (Published 07 January 2022) Cite this as: BMJ 2022;376:o30

10 https://www.linkedin.com/pulse/inescapable-immune-escape-pandemic-geert-vanden-bossche?trk=public_post

11 Geert Vanden Bossche, Robert Rennebohm The Inescapable Immune Escape Pandemic Kindle Edition

12 Dr Russell Blaylock : Comment les protéines de pointe induites par les vaccins endommagent le cerveau et causent le cancer, par Rhoda Wilson 22 novembre 2022

13 L’interview complète du Dr Risch avec The Epoch Times est disponible via le lien ci-dessous:

Dr Harvey Risch: Augmentation des « cancers turbo » agressifs – et en particulier chez les jeunes

septembre 2023

14TURBO CANCER – Les enseignants sont décimés par des cancers agressifs et métastatiques après les obligations de vaccin à ARNm COVID-19 – 34 cas tragiques récents aux États-Unis! (substack.com) 6 SEPT. 2023

15 Makismd.substack.com/p/turbo-cancer- teachers- are- being- decimated

16 Royaume-Uni – Analyse PIP – Systèmes de carrosserie (phinancetechnologies.com)

17 Flambée de cancers sous pseudovax : conseils aux naïfs tentés par un nième booster – Profession Gendarme (profession-gendarme.com)

18 Alliance for Natural Health International initialement et Children’s Health Defense

19 www.anhinternational.org/news/feature-the-scientific-case-for-an-immediate-halt-to-covid-vaccination-of-children

150923 -illegalite campagne vaccinale HPV – Reaction19.fr[103672]

 

L’avocat Carlo Alberto Brusa, de Reaction19,  a accepté d’étudier en urgence les documents reçus par les parents de 5 iême pour les inciter à accepter l’injection d’un nouveau vaccin après les drames des injections covid et les nombreuses victimes d’enfants pour une injection prétendue   » sûre et efficace »

 

une nouvelle fois il pointe l’illégalité du procédé et singulièrement l’absence d’information sur les supposés intérêts de l’injection pour leur enfant et les effets secondaires à craindre, pourtant connus depuis que ce vaccin est injecté de part le monde, depuis sa commercialisation

 

le gardasil ne sauve pas de vie car le cancer du col augmente plutôt chez les jeunes femmes vaccinées alors que ce cancer continue à diminuer chez les populations plus âgées non vaccinées et qui continuent le dépistage par frottis simple du col

il faut stopper ces mensonges

 

 

1 07 23 GARDASIL PARIS

 

 

Flyer Gardasil F[101921]

 

 

 

 

 

10/09/2023 (2023-09-10)

Par Dr Gérard Delépine chirurgien cancérologue et statisticien

Ne faites pas courir de risques inutiles en vaccinant vos enfants par le Gardasil, inefficace contre les cancers et responsable d’effets délétères non négligeables

Faits avérés concernant cette vaccination

Depuis l’annonce de notre président à Jarnac, les lobbys des entreprises pharmaceutiques, les médias, l’institut national de lutte contre le cancer et le nouveau ministre de la Santé font la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus) contre les prétendus « cancers du HPV » nouvelle formule à la mode en cette rentrée.

Tous assènent quotidiennement des contre-vérités visant à inquiéter les enfants et à culpabiliser les parents. Comment peuvent-ils nous tromper à ce point et cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ?

Nous démentirons ici quatre points de leur propagande à la lumière des faits avérés

1°) le lien causal entre HPV et les différents cancers accusés n’est pas prouvé.

2°) Ces cancers sont rares et globalement et à bon pronostic. Ils ne constituent pas un sujet prioritaire de santé publique

3°) Le Gardasil est efficace contre l’infection, mais pas contre les cancers.

4°) le Gardasil expose à de nombreuses complications.

Le lien causal cancer-HPV n’est pas prouvé : les HPV ne sont peut-être que des témoins

Un ami gendarme m’a confié :

« Sur les lieux d’un crime, on trouve le coupable, mais aussi des témoins innocents ».

Avant la mise au point de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin ont démontré que ce dernier était multifactoriel1 2 3 4 5 6 7 et sa fréquence statistiquement corrélée à de très nombreux facteurs liés entre eux dont : la précocité de l’activité sexuelle, le nombre élevé de partenaires (source de microtraumatismes répétés), le tabagisme8 9 et l’exposition à la poussière de tabac10, l’usage prolongé des contraceptifs oraux11, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq)12, le Sida et les autres déficits immunitaires et les infections génitales (responsables d’inflammations chroniques qui constituent une cause classique de cancérisation) dont l’herpès, la chlamydia et plus d’une vingtaine de souches de HPV…

Les papillomavirus qui ne donnent aucun signe clinique sont comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin ou le bacille de Doderlein dans le vagin. Plus de 150 souches de papillomavirus peuvent infester l’homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50 % des vierges sont ou ont été infectées13) ou lors d’un acte sexuel. Près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre, souvent à plusieurs reprises, et se débarrasseront naturellement du HPV dans 90 % des cas en quelques mois, sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée. Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes. La multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorisent la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer. Il existe, certes, une corrélation statistique entre persistance d’infection à HPV et cancer, mais aucune preuve de causalité directe n’a jamais été établie.

Depuis la mise sur le marché des vaccins anti-HPV, les publications, dont la quasi-totalité des auteurs reconnaissent des liens d’intérêts avec les marchands du vaccin, se focalisent uniquement sur ce virus et prétendent qu’il serait le seul responsable, malgré un certain nombre de cancéreuses HPV négatives.

Ce crédo est repris par l’agence officielle Santé publique France et l’INCa qui présentent même cette infection comme une condition indispensable aux cancers qu’ils présentent maintenant comme « cancers du HPV. »

Le virus HPV représente en effet le coupable idéal, car il se révèle colossalement rentable, générant 12 200 % de bénéfice brut (une dose de vaccin qui coûte moins d’un euro à produire est vendue plus de 123 euros.).

La présence de HPV constituant un témoin fiable de l’activité sexuelle, qui représente le premier facteur favorisant le cancer du col, il est vraisemblable que la corrélation statistique HPV-cancer ne soit que la conséquence de la corrélation HPV — activité sexuelle. Une analyse multivariée pourrait permettre de le confirmer, mais jusqu’ici aucune étude n’en a publié.

Le contraste entre la considérable fréquence de l’infection HPV (80 à 90 % des femmes sexuellement actives) et la grande rareté des cancers invasifs du col (0,006 %) en France plaide aussi contre la responsabilité causale exclusive des HPV.

Étiologie des cancers ORL et anal

Pour tenter de convaincre les garçons de se faire vacciner par Gardasil, les entreprises de vaccins tentent de leur faire peur avec les cancers anal et ORL. Pour se faire, il suffit de pratiquer systématiquement la recherche de HPV chez ces cancéreux et comme les contaminations HPV sont extrêmement répandues dans la population, on en retrouve aussi fréquemment chez les malades souffrant de cancer du canal anal ou de cancers ORL. Les virus sont alors accusés d’être responsables, alors qu’il n’y a aucune preuve directe de leur culpabilité.

Il faut souligner la rareté du cancer anal dans la population générale (inférieure à 1/100000)14. Les groupes à risque de cancer anal sont les femmes VIH+ aux ATCD de condylomes et/ou dysplasies ou cancers ano-génitaux et les homosexuels mâles pratiquant des relations sexuelles anales passives, avec multiplicité de partenaires sexuels, la séropositivité HIV (Sida) et le tabagisme. Dans les pays occidentaux, l’incidence du cancer anal a augmenté depuis trois décennies en parallèle avec la pratique plus fréquente de la sodomie et l’infection par le VIH. L’infection par le virus du sida multiplie le risque de cancer anal par plus de 30 et le sur risque atteint 130 chez les homosexuels mâles passifs souffrant du Sida. Ces constatations avaient en 2016 décidé le Haut Conseil de la santé publique à « recommander la vaccination des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes ».

Pour les hétérosexuels mâles, le risque de cancer anal est infime et ne justifierait pas la vaccination, même si celle-ci était efficace.

Les cancers accusés d’être des cancers du HPV sont en réalité des cancers avec HPV !

L’absence de lien de causalité exclusive démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti-HPV contre les cancers associés au virus, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL et explique certainement l’échec de la prévention contre le cancer dans les pays adeptes de cette vaccination, d’autant que le faux sentiment de sécurité créé par la propagande « vaccinée vous êtes protégée » peut inciter certaines jeunes filles à commencer plus tôt leurs expériences sexuelles, et d’autres à négliger le dépistage cytologique.

Ces cancers rares, et à bon pronostic ne constituent pas un sujet prioritaire de santé publique

Les cancers prétendument dus aux HPV sont rares et leurs traitements en obtiennent la guérison dans près de 70 % des cas. Ils ne participent que pour moins de 2 % de la mortalité due aux cancers, très loin derrière le poumon (31 100 morts), le côlon-rectum (17 000), le pancréas (11 400), le sein (12 100) ou la prostate (8100). Les 200 millions d’euros annuels nécessaires pour vacciner une classe d’âge, sans espoir d’obtenir une improbable diminution de mortalité dans 20 ans, seraient beaucoup plus utiles dans l’amélioration urgente de notre système de santé.

Mais pour les actionnaires de Merckx, la vaccination est beaucoup plus rentable…

Le Gardasil est efficace contre l’infection, mais pas contre les cancers

Tous les articles montrent la bonne efficacité du Gardasil pour prévenir les contaminations par les souches ciblées par les vaccins. Mais celles-ci ne sont que 9 dans la dernière formule vaccinale, alors que plus de 20 des plus de150 souches connues sont accusées d’être cancérigènes.

De fait, la consultation des registres des cancers des pays pionniers de cette vaccination anti-HPV montre que nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus !15

En Australie, la vaccination n’a pas fait reculer l’incidence des cancers invasifs

L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Des journalistes ignorants (ou corrompus ?) proclament régulièrement que le pays va « éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination »1617, mais les chiffres officiels montrent que depuis la généralisation de la vaccination, l’incidence standardisée18 des cancers invasifs ne diminue plus alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006 grâce aux dépistages par frottis cytologiques.

La capture d’écran qui suit illustre cette vérité officielle que chacun peut vérifier à l’adresse Internet qui y figure. On peut regretter que ce graphique publié en décembre 2022 par l’agence sanitaire australienne (AIHW) ne donne des chiffres observés que jusqu’en 2019 (les services statistiques officiels australiens ne sont pas très réactifs), mais les prévisions officielles des années suivantes ne font que confirmer la tendance avec une incidence 2022 estimée à 7,1/100 000 contre moins de 6/100000 en France peu vaccinée).

De plus, le nombre annuel de nouveaux cancers invasifs, loin de diminuer, augmente.

Les articles qui claironnent la victoire de la vaccination sur le cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur la croyance que la diminution des infections à HPV entraînera une diminution des cancers invasifs, à l’aide de simulations aux hypothèses incertaines, alors que les faits constatés dans le monde réel démontrent le contraire. Prétendre comme tant de journalistes que l’Australie serait en train d’éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination n’est donc qu’un énorme mensonge auquel le président a cru et qu’il a répété !

En Grande-Bretagne non plus, la vaccination n’a pas fait régresser les cancers invasifs

La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école. En 2008, la Grande-Bretagne a mis en place une campagne de vaccination systématique contre les papillomavirus humains dès 2008 pour les jeunes filles de 12 – 13 ans et en rattrapage entre 2008 et 2010 pour les 14 – 18 ans. Entre 2008 – 2009 et 2011 – 2012, la couverture annuelle (pour une dose du vaccin) en Angleterre se situait entre 85,9 % et 90,6 %.

Un article mensonger récent19 mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « Vaccin anti-HPV: quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais, curieusement, l’agence officielle Cancer research UK (CRUK) publie sur son site la dernière incidence standardisée de cancer invasif à 9,6/100 000 (soit supérieure de 50 % au taux français actuel).

Depuis les campagnes de vaccination, l’évolution globale d’incidence des cancers invasifs au Royaume-Uni se caractérise par l’absence de diminution, ainsi que le constate Cancer Research UK :

« Au cours de la dernière décennie, au Royaume uni (entre 2006-2008 et 2016-2018) les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables »

De 1993 à 2006, grâce au dépistage cytologique, l’incidence standardisée avait régressé de 13/100 000 à 9/100 000, mais depuis le début de la vaccination, elle est passée de 9/100 000 en 2006 – 2008 à 10/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

Et cette estimation globale dissimule l’augmentation d’incidence dans les groupes les plus vaccinés. L’analyse par groupe d’âges objective en effet une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées.

À l’opposé, le groupe des 20-24 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19 % des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée en mars 2023.

En Grande-Bretagne aussi la vaccination est donc très loin d’amorcer l’éradication du cancer que promettent les avocats du vaccin avec une augmentation d’incidence dans le groupe le plus vacciné !

En Suède, l’incidence des cancers invasifs a franchement augmenté depuis la vaccination

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée entre 1965 et 2007 (de 24/100 000 à 8/100 000).20

La généralisation de la vaccination à l’école en 2010 a été suivie, au contraire, d’une augmentation de l’incidence des cancers invasifs21 de 7/100 000 en 2006 – 2009 à 11,5/100 000 en 2014–2015 (p <0.03) et même 13/100 000 en 2021, augmentation que reconnaissent les avocats de cette vaccination qui tentent seulement de nier le lien de causalité avec la vaccination22 23. L’analyse en break point (recherche du point de rupture) faite par l’agence sanitaire suédoise date l’apparition de cette augmentation en 2011, un an après la généralisation de la vaccination et plaide pour sa responsabilité.

En Norvège, l’incidence des cancers invasifs a augmenté depuis la vaccination

La vaccination HPV a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer24montre que l’incidence de ce cancer a augmenté depuis la vaccination passant de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-

2021 (2 fois plus élevée qu’en France !)

RÉSULTATS GLOBAUX DES VACCINATIONS ANTI-HPV DANS LE MONDE : EFFICACE SUR LE VIRUS, INEFFICACE SUR LA PRÉVENTION DU CANCER

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais s’est jusqu’ici révélée inefficace (avec 16 ans de recul) sur la fréquence des cancers invasifs.

En 2016, nous avions fait part de nos inquiétudes au président de l’Institut national du cancer (INCa) par courrier privé, et le député Gérard Bapt25 avait interrogé oralement la ministre de la Santé de l’époque, ne s’attirant comme réponse qu’un « il est trop tôt pour juger ». Et pourtant ce vaccin existait déjà depuis 10 ans à l’époque. De nombreux cris d’alarme avaient été émis depuis de longues années sans effet, par exemple par le dr De Chazournes26.

Six ans plus tard, la situation est toujours aussi préoccupante, alors que la publicité mensongère s’intensifie en France et s’accompagne de déclarations gouvernementales ahurissantes, sans jamais évoquer les problèmes que soulève cette vaccination (inefficacité contre le cancer et effets secondaires possibles).

En France, faible taux de vaccination et faible incidence du cancer invasif du col utérin

En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers moindre que chez les champions de la vaccination, tendance qui s’est amorcée dès la généralisation de la vaccination selon les données de l’agence internationale de recherche sur le cancer illustrée par le graphique suivant :

En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1/100 000 et est depuis passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège.

Pourquoi, le Président, fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les taux de cancers invasifs élevés dans les pays adeptes des vaccinations scolaires ? Ses conseillers sont-ils incompétents ou trop liés aux laboratoires pharmaceutiques ? L’ont-ils informé sur les dégâts éventuels de cette injection ? Pourquoi le trompent-ils ?

Des accidents post vaccination graves ont été constatés dans de nombreux pays

En France, le calvaire de Marie-Océane 27 28 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés possiblement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et peut-être à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges, retoquée en appel. L’affaire est en cassation.

Les complications post Gardasil ont été rapportées dans de nombreux autres pays (Danemark, Bolivie, Japon, Irlande) où elles ont motivé des manifestations de parents que personne ne peut pourtant qualifier d’antivax, puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants en étant persuadés de bien faire et qu’ils le regrettent après la survenue des complications. Celles-ci ont motivé des procès aux USA29 30 31.

En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin Gardasil 32 33 et les premières audiences devaient se tenir en avril 2023.

Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin. 

L’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins, n’a pas convaincu la commission.

« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral ».

Ne vaccinons pas surtout pas les garçons par le Gardasil

Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le prétexte de la proposition du CDC américain (qui reçoit des royalties sur les ventes de vaccin) et de la Haute Autorité de santé française (dont beaucoup d’experts ont des liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique) de vacciner les garçons. Mais ce cancer, exceptionnel (800 cas/an en France), ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle : les homosexuels adeptes de rapports anaux passifs34 avec de multiples partenaires (74 % des cas), et séropositifs au sida (77 % des cas) 35 36 et les personnes souffrant de déficit immunitaires, ce qui ne justifie donc pas une vaccination généralisée des garçons d’autant plus que là aussi l’efficacité contre le cancer anal n’est pas du tout démontrée.

Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer anal, mais une fois de plus le lien causal n’est pas démontré contrairement au fait d’être homosexuel passif et porteur du virus du sida. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif ni malade du Sida, le risque de cancer anal est infime, même si on est porteur de HPV.

De plus, les exemples de l’Australie, de la Grande-Bretagne et des USA suggèrent l’inefficacité des vaccins anti-HPV contre le cancer anal, car, depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur risque de cancer anal a augmenté 3 à 4 fois plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.

Aux USA, la vaccination par Gardasil a été popularisée dès 2008, mais depuis l’incidence des cancers anaux a augmenté plus que dans les précédentes décennies comme le précise le Surveillance and End Results Program (SEER) du National Cancer Institute 37 :

« Les taux ajustés selon l’âge pour les nouveaux cas de cancer anal ont augmenté en moyenne de 2,2 % chaque année de 2010 à 2019. Les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge ont augmenté en moyenne de 3,9 % par an entre 2011 et 2020. »

En Grande-Bretagne, Cancer Research UK précise ainsi 38:

« Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer anal chez les femmes ont augmenté de plus de la moitié (53 %) et les taux chez les hommes ont augmenté d’environ un septième (13 %). »

On peut donc craindre que ce vaccin anti-HPV favorise paradoxalement l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition plus précoce et fréquente d’un cancer du col utérin !

Les arguments avancés par la Haute Autorité de Santé pour généraliser ce vaccin chez les garçons sont d’ailleurs révélateurs de l’absence de bénéfice médical démontré pour les garçons et de la volonté de faciliter le passage à l’homosexualité.

Initialement les recommandations visaient seulement les homosexuels mâles et les immunodéprimés 39 « La vaccination par GARDASIL 9® (9 HPV) est recommandée chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) jusqu’à l’âge de 26 ans et chez les adolescents immunodéprimés ». Mais le 16 décembre 2019, à la suite d’une saisine de la direction générale de la santé et de la Ministre chargée de la santé, la Haute Autorité de santé (HAS) a élargi ses recommandations40 à l’ensemble des mâles « pour ne pas stigmatiser des adolescents ou des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à un âge où la préférence sexuelle n’est pas connue ou pas affirmée. »

La HAS recommande un vaccin potentiellement dangereux et totalement inutile chez les hétérosexuels pour calmer les angoisses de potentiels homosexuels mâles passifs !

En l’état actuel de la science, la prévention pratique du cancer anal repose sur l’utilisation systématique du préservatif (pour éviter la contamination par le virus du sida), la limitation de la fréquence des rapports anaux passifs et peut-être le traitement des lésions précancéreuses par radiofréquence41. La vaccination anti HPV, qui confère un faux sentiment de sécurité, risque de favoriser la survenue de la maladie comme on l’a constaté lors des essais de vaccins contre le Sida.

Un vaccin jugé peu efficace et trop cher par 400 praticiens 42

Rappelons que la vaccination anti-HPV ne permet pas de se dispenser du dépistage et peut-être justifierait même une fréquence accrue chez les vaccinées, comme le suggèrent les Suédois43. La vaccination ne diminue donc pas le coût de la prévention du cancer, mais l’augmente.

Le coût financier de la généralisation de cette vaccination serait exorbitant, car, avec près de 500 euros le coût de chaque vaccination complète (trois doses plus quatre consultations), il faudrait dépenser environ 400 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! En prenant les hypothèses d’efficacité les plus invraisemblables (100 % d’efficacité sur 100 % des cancers concernés) le coût/efficacité financière atteindrait 200 000 euros par année de vie gagnée ajustés sur la qualité de vie (QALY), alors que la Grande-Bretagne fixe le seuil d’acceptabilité à 30 000 euros par qaly. Un bénéfice très incertain (et potentiellement négatif) pour un coût colossal, totalement disproportionné de plus en cette période de déficit budgétaire.

Comme le souligne Bijan Esfandiari, avocat spécialisé dans les litiges en matière de responsabilité du fait des produits pharmaceutiques et associé principal chez Wisner Baum à Los Angeles 44 :

« Le moyen le plus efficace et sans effets secondaires pour prévenir le cancer du col de l’utérus est le test de Papanicolaou. Des études montrent que les jeunes femmes qui ont reçu du Gardasil ont un faux sentiment de sécurité et renoncent aux frottis vaginaux de routine. Les données ont également montré que, dans les pays où l’utilisation du Gardasil est élevée, les taux de cancer augmentent chez les jeunes femmes, pour un cancer qui apparaît généralement lorsque les femmes atteignent la cinquantaine et la soixantaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici et nos enfants ne devraient pas être soumis à une obligation de l’État qui les transforme en cobayes et les expose à un risque accru de contracter la maladie, même si on leur dit que ce vaccin la prévient. »

On peut conseiller à Monsieur le Président de ne plus croire des conseillers incompétents ou corrompus qui le décrédibilisent, et de vérifier personnellement les données officielles des pays qui ont généralisé le Gardasil. Il constatera qu’il ne faut pas promouvoir cette vaccination efficace sur l’infection et les verrues, mais inefficace contre les cancers, hors de prix et dont les dangers conduisent actuellement à de nombreux procès aux USA.

Dans l’état actuel de la science, il ne faut vacciner ni filles ni garçons avec le Gardasil !


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03/09/2023 (2023-09-03)

Par Gérard Delepine

Le port généralisé du masque contre le covid est inefficace et toxique, mais le ministère nous le conseille à nouveau

Dès avril 2020, nous avions alerté sur l’inutilité des masques contre les virus, dont le covid 191, tandis que le gouvernement inventait à leur propos une série de déclarations les plus contradictoires de la décennie.

En mars 2020 Sibeth Ndiaye expliquait que « le masque était inutile et qu’elle était incapable de le mettre »2. Et quelques mois plus tard le ministre affirmait qu’il était « très efficace » et le rendait obligatoirepartout, même en extérieur et quand on se promène seul en forêt ou sur la plage.

Et depuis le Conseil national de l’ordre condamne, sans aucun respect des données de la science, tout médecin qui déclare comme Sibeth Ndiaye que le masque est inefficace !

Le port généralisé du masque limite la transmission des bactéries

L’étude Wu Lien Teh sur l’évolution de la peste de Mandchourie en 1910 a démontré que les masques sont efficaces dans le contrôle de la transmission des maladies respiratoires contagieuses à bactérie3. Son efficacité a également été prouvée contre la transmission de la tuberculose,4 5 mais les virus sont 10 à 20 fois plus petits que les bactéries (1 à 3 μm pour Yersinia pestis, 2 à 5 μm pour Tuberculosis contre 0,8 à 0,12 pour les virus grippaux et 0,06 à 0,1 μm pour les Coronavirus) ce qui leur permet de passer aisément au travers des tissus masques ou en papiers ordinaires dont la taille des pores avoisine les 3 μm. Les masques peuvent arrêter les postillons (grosses gouttelettes de 100 μm), mais comme la propagation virale dans les lieux clos se fait préférentiellement par aérosol6, elle ne peut donc pas être prévenue par les masques même correctement ajustés. C’est d’ailleurs ce qu’indiquaient les fabricants de masques pour se protéger légalement.

Le port généralisé du masque n’empêche pas la transmission des virus

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base de quelques études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre la transmission du virus grippal est très incertaine comme le montre la très grande majorité des études cliniques sur le sujet7 8 9 10 11 12 13 14 15.

Sur sept études randomisées distinctes analysées par MacIntyre et Chughtai, aucune d’entre elles ne montre un bénéfice du port du masque facial dans la communauté pour prévenir l’incidence des virus respiratoires.

La première revue méthodique (méta-analyse) portant sur l’efficacité des masques publiée par la Collaboration Cochrane en juin 201116 après trois pandémies, le SRAS en 2003, la grippe aviaire H5N1 en 2006, et la grippe porcine H1N1 en 2009 a conclu :

« Rien ne permet d’affirmer que le port du masque à lui seul permette de se protéger efficacement des virus respiratoires. »

« Les masques filtrants n’ont pas prouvé de supériorité aux masques chirurgicaux. La distanciation physique d’un mètre n’a pas non plus prouvé son efficacité. »

En 2020 une actualisation de la méta-analyse17 a confirmé les résultats de la précédente : « There was insufficient evidence to provide a recommendation on the use of facial barriers without other measures » et ses auteurs concluent sur l’urgence de réaliser par des essais cliniques rigoureux pour savoir si les masques portés par des personnes supposées infectées, permettent réellement d’éviter la propagation de l’infection virale respiratoire avant de recommander le port du masque.

La dernière métanalyse de la fondation Cochrane en 2023 18 confirme l’absence de preuve d’efficacité du masque contre la transmission virale :

« Nous avons inclus 15 essais randomisés (en clusters) étudiant l’effet des masques (14 essais) chez les professionnels de santé et dans la population générale et celui de la quarantaine (1 essai). Par rapport à l’absence de masque, il n’y a pas eu de réduction des cas de syndromes grippaux ou de grippe par les masques dans la population générale, comme chez les professionnels de santé. »

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en reconnaissant le manque de preuves sur son efficacité19. Et lorsqu’elle a changé ses recommandations pour des raisons politiques, elle s’est appuyée sur de simples études observationnelles qui concluaient au conditionnel :

« Lutilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ».

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 31/8/2023 résume l’état actuel de la science : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui et beaucoup rapportent des complications diverses du port prolongé du masque.

Le port du masque est susceptible d’augmenter la transmission du virus

L’OMS, dans ses nouvelles directives pourtant en faveur du masque, 20 a rappelé qu’« une personne peut s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes ». De plus, elle s’inquiétait du « faux sentiment de sécurité lié au port du masque » amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique21.

En pratique, le port du masque paraît médicalement justifié lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades comme les soignants, car cela les rassure. Mais même, dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque ne se basent pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses fausses ou très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire ou sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle (comme le communiqué de l’Académie de Médecine).

Ce sont habituellement les mêmes qui récusent l’utilisation de la chloroquine, de l’Ivermectine ou de la vitamine D contre le covid sous le prétexte (faux) qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elles sont efficaces.

Or la seule étude prospective randomisée, Danmasq19 22 pourtant réalisée par des partisans du port du masque, menée au Danemark auprès de 6 000 participants en avril et en mai 2020 ne retrouve aucune diminution significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas, démontrant ainsi que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les études récentes montrent que le port du masque n’a pas été efficace

L’Université d’Édimbourg résume un travail épidémiologique 23 sur l’efficacité des masques faciaux sur la propagation de l’infection par « Based on the epidemiological evidence, the effectiveness of face masks has not been demonstrated »

Boretti 24 constate :

« Si l’on compare les pays d’Europe de l’Ouest qui n’ont pas rendu obligatoire le port du masque, par exemple la Suède, la Finlande, la Norvège, le Danemark, l’Islande, à d’autres pays comme le Royaume-Uni, l’Irlande, la Belgique, l’Allemagne qui ont adopté des mesures généralisées de port du masque, il n’y a pas d’augmentation du nombre de cas,ni de décès dans les pays qui ne l’ont pas imposé. »

Au Texas, Schauer et ses coauteurs25 concluent :

« Nous n’avons pas été en mesure de détecter une réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs attribuable à la mise en œuvre d’une obligation de masques. »

En Allemagne, une enquête26 n’a pas trouvé de bénéfice du port de masque dans les écoles et constaté beaucoup d’inconvénients pour les élèves

Dans le Wiscontin, une étude27 sur les athlètes de haut niveau confirme :

« Il n’y avait pas d’association significative entre l’incidence de COVID-19 et l’utilisation de masques faciaux pendant le jeu pour les sports avec plus de 50 écoles déclarant l’utilisation de masques faciaux (p> 0. 05 pour tous) ».

Beauchamps28 conclut l’analyse de l’évolution de la pandémie ainsi :

« l’absence de preuve scientifique d’efficacité du port généralisé du masque, la fréquence des inconvénients chez les porteurs et la pollution de l’environnement29 30rendent injustifiable l’obligation généralisée des masques dans la population et celle-ci doit être abandonnée lors des pandémies futures ».

Une étude31 accuse même le masque d’avoir aggravé la mortalité du covid

Zacharias Fögen a analysé l’impact du port du masque dans l’État américain du Kansas au cours de la période du 1er août au 15 octobre 2020.

Cet État américain a laissé à chacun des comtés qui le composent la liberté de décider de mettre en place ou non une obligation de port du masque. Sur un total de 105 comtés, 81 ont refusé cette mesure permettant ainsi une comparaison des mortalités des 24 comtés qui ont imposé le masque aux autres. La conclusion de l’étude est sans appel :

« Contrairement à l’idée reçue selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques puisqu’ils permettraient de réduire les taux d’infection, les résultats de cette étude démontrent que ce n’est pas le cas et suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50 % ».

Les masques sont source d’inconfort et de complications.

Le port généralisé du masque génère de l’anxiété32 33, du stress, des dépressions psychologiques, des frustrations en raison de troubles de la communication, ainsi que d’une irritabilité accrue et d’une détérioration de l’humeur, une agitation et un sommeil plus médiocre.

Il perturbe fortement l’expression des émotions34, gêne l’élocution et rend beaucoup plus difficile l’acquisition du langage par les jeunes enfants et le suivi des enseignements scolaires, et tout particulièrement et l’apprentissage des langues étrangères.

Les porteurs ressentent souvent un essoufflement, et une gêne au niveau des oreilles due aux élastiques.

Le port prolongé de masques augmente la gravité de l’acné (maskne)35 et de la rosacée36, des eczémas atopiques et séborrhéiques, des dermatites péri orificielles, de l’urticaire, de la rosacée, des folliculites et des prurits37 38 39, peuvent faciliter l’apparition de purpura40 de teigne41 retardent la cicatrisation des plaies chirurgicales42 et peuvent entraîner la nécrose de lambeaux faciaux de reconstruction même anciens43,

L’enquête allemande précédemment citée 44 rapporte des données sur 25 930 enfants dont la durée moyenne de port des masques atteignait 270 minutes par jour. Parmi les personnes interrogées, 68 % ont déclaré que les enfants se plaignaient de problèmes causés par le port du masque dont l’irritabilité (60 %), des maux de tête (53 %), des difficultés de concentration (50 %), un mal être (49 %), la réticence à aller à l’école/à la maternelle (44 %), un malaise (42 %), des difficultés d’apprentissage (38 %) et/ou somnolence/fatigue (37 %).

Didier Rancourt, dans son pamphlet de 202345 « Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique », résume l’état des connaissances scientifiques après 3 ans de crise :

« Un nouveau mantra ignoble est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et des hommes politiques dans la campagne mondiale visant à imposer le port du masque universel au grand public : “il existe un nombre croissant de preuves”. Cette phrase de propagande est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :

— Donner la fausse impression qu’un équilibre de preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19

— Assimiler faussement les commentaires émis dans des lieux scientifiques avec des “preuves

— Cacher le fait qu’une décennie de preuves politiques prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales

— Cacher le fait qu’il existe désormais une preuve observationnelle directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’expiration de nuages de particules d’aérosol en suspension ; au-dessus de, sous et à travers les masques

— Détourner l’attention des méfaits et des risques considérables connus dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières. Lesdits méfaits et risques incluent le fait qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; compte tenu de l’environnement chaud et humide et de la source constante, où les tissus d’intérieur sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes.

En bref, j’affirme : les articles d’opinion ne sont pas des “preuves”, la non-pertinence n’aide pas, et davantage de préjugés n’éliminent pas les préjugés.

Leur mantra d’“un ensemble croissant de preuves” est un stratagème intéressé qui entrave la bonne science et menace la sécurité publique.

Je prouve qu’il n’existe aucune preuve scientifique pour soutenir le port obligatoire du masque sur la population générale, et que toutes les preuves scientifiques de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.

C’est pourquoi les politiques et les autorités sanitaires agissent sans légitimité et de manière imprudente. »

Gérald Kierzek déclarait dans le Figaro du 9 12 2022 :

« Le masque est un gadget politique et de communication qui permet aux autorités de montrer qu’elles ne sont pas passives face à une montée des contaminations et permet d’éclipser la crise générale du système de santé.

Ses bénéfices n’ont jamais été formellement démontrés pour endiguer une épidémie : les pays ayant maintenu l’obligation dans les transports comme l’Allemagne démontrent que les vagues de contamination n’ont pas été enrayées ; le masque ne remplace en rien des gestes barrières plus simples, comme le lavage des mains ou l’aération efficace, notamment dans les lieux clos familiaux ou professionnels, principaux lieux de contamination ; pire, le masque mal utilisé, enlevé et remis n’importe comment, donne un sentiment de fausse sécurité et de relâchement d’une hygiène minimale. »

Il aurait pu ajouter : comme lors du confinement, nous sommes devant une mesure généralisée, sans aucun discernement. Une mesure technocratique que seuls des Énarques peuvent prendre en vertu d’un principe de précaution poussé jusqu’à l’absurde. Le masque comme le confinement sont les conséquences de croyances infondées, d’une religion et non pas d’une doctrine qui reposerait sur de solides preuves scientifiques.

Aux USA l’administration Biden est actuellement suspectée de vouloir réintroduire le port obligatoire du masque depuis l’apparition du dernier variant surnommé depuis « variant électoral ».

De fait, le College Morris Brown d’Atlanta, la société cinématographique Lionsgate à Santa Monica et les Services de santé unis et l’Hôpital communautaire d’Auburn, l’Hôpital universitaire de Syracuse à New York, la compagnie Kaiser Permanente (dans son hôpital Santa Rosa) ont émis des obligations de port de masques. Honteux !

Ces décisions ont suscité des commentaires sans ambages du Dr Marc Siegel, professeur clinicien de médecine au NYU Langone Medical Center et contributeur médical de Fox News :

« les obligations n’ont pas fonctionné ; elles ont été étudiées à maintes reprises et elles n’ont pas diminué la propagation virale. »

« donc, rendre obligatoire le port du masque n’a aucun sens. »

Thomas Massie député du Kentucky a appelé à la résistance civique :

« Si la bureaucratie essaye de rétablir des mesures tyranniques pour soi-disant lutter contre le covid, résistez de toutes vos forces. Refusez-les ! »


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