publié le 13 FEV SUR NOUVEAU MONDE  Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

Pour faire semblant de combattre le virus Omicron, le ministre de la Santé (?) vient d’annoncer, qu’après l’interdiction du pop-corn dans les cinémas, l’interdiction du casse-croûte dans le train, et l’interdiction de manger ou boire debout dans les bars, il faudra prolonger le port du masque aux enfants à partir de 6 ans dans les écoles pendant huit heures de suite et même dans la cour ou les séances de sport ! Aberration et torture prolongée des enfants !

Mais comment peut-on être aussi peu scientifique et aussi tyrannique ?

Cette mesure ne peut avoir aucun impact positif sur la transmission du Covid.

Ses conséquences délétères sur la santé physique et psychique sont connues.

Ignorance crasse ? Sadisme ordinaire ? Dans l’Histoire, le massacre des innocents n’a été utile qu’à la satisfaction des sadiques.

Quelques déclarations de l’OMS

En juin 2020, le Dr Mike Ryan, directeur exécutif du programme d’urgence sanitaire de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a déconseillé le port d’un masque facial en mars, précisant :

« Il n’y a aucune preuve spécifique suggérant que le port de masques par la population aurait un avantage potentiel.

Il existe des preuves suggérant le contraire dans l’utilisation abusive du port du masque, ou de son l’ajustement incorrect ».[1]

La Dr Maria Van Kerkhove de l’OMS, a recommandé :

« Dans la communauté, nous ne recommandons pas le port de masques sauf si vous êtes malade et comme mesure pour empêcher la propagation de votre part ».[2]

« les essais randomisés ne suggèrent pas un effet bénéfique des masques faciaux »

« Pour les personnes en bonne santé, l’obligation du port du masque est peu susceptible d’arrêter la propagation… ».[3]

En dehors du milieu médical exposé, le masque ne sert à rien.[4]

Au 12/2/2022, la consultation de la base de données médicales américaines PubMed liste 2448 articles répondant aux mots clefs « facial Mask covid ». Parmi ces 2448 articles, aucun ne rapporte d’étude randomisée prouvant que le port généralisé du masque diminue le risque de transmission du covid19.[5][6][7][8][9][10]

Les articles qui prônent l’obligation du masque ne rapportent aucune étude réelle du port du masque par la population générale, mais des simulations reposant sur des hypothèses très incertaines.[11]

Ils se basent sur des expériences de laboratoires mesurant les charges virales autour de malades et les propriétés de filtration des différents types de masques suggérant que le masque pourrait diminuer le risque de contaminations. Leurs conclusions prudemment exprimées au conditionnel sont ensuite reprises à l’affirmatif par les médias et utilisées par les dirigeants à l’appui de leurs décisions tyranniques.

L’utilisation de masques par les malades contagieux qui toussent et par le personnel médical qui les traite est logique, mais même dans ces situations particulières son efficacité réelle n’a pas été établie scientifiquement, singulièrement contre les virus.

La seule étude randomisée (Danmask 19)[12] publiée conclut :

« La recommandation de porter des masques chirurgicaux pour compléter d’autres mesures de santé publique n’a pas réduit le taux d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs ».

L’examen des courbes de contaminations dans les pays qui se masquent montre d’ailleurs que cette mesure n’a aucun effet visible d’atténuation de l’épidémie. Bien au contraire. Ainsi en France le nombre de contaminations journalières n’a jamais été aussi élevé que lorsque le masque a été rendu obligatoire.

La comparaison des contaminations journalières en France masquée et en Suède non masquée confirme l’inutilité de l’obligation des masques.

Alors pourquoi nos dirigeants imposent-ils cette mesure dont l’utilité n’a jamais été prouvée scientifiquement ?

Le masque est une muselière

En réalité les obligations de porter des masques n’ont jamais eu pour but de contrôler le virus — elles ont toujours eu pour but de contrôler les gens.[13]

Le masque constitue un signe de servitude, comme jadis dans l’Empire romain, le collier que portaient les esclaves (mais au moins les colliers d’esclaves ne gênaient pas leur respiration).

L’obligation du masque est encore plus aberrante et scandaleuse chez l’enfant

Le port du masque, inefficace chez l’adulte, est doublement injustifié chez l’enfant, car celui-ci ne craint rien du covid et ne transmet pas la maladie.

Le seul protocole sanitaire réellement justifié à l’école serait la suppression de toutes ces mesures inutiles et toxiques et de demander aux enfants et adultes malades de rester à domicile jusqu’à la fin de la période de possible contagion.[14]

En Suède les écoles sont restées ouvertes sans mesures contraignantes et aucune conséquence nocive sur les contaminations dans la population n’a été observée.[15][16][17]

Les protocoles sanitaires imposés aux enfants français ne constituent donc que des brimades inutiles, sauf pour leur enseigner la soumission.

Le port prolongé du masque est nocif

Il s’accompagne d’une moindre hygiène des mains et d’un contact plus fréquent de celles-ci avec le visage créant ainsi une nouvelle voie de transmission possible en plus d’autres effets insupportables.

Maux de tête

Une étude randomisée japonaise de 2009 conclut :

« Les sujets masqués étaient significativement plus susceptibles de souffrir de maux de tête pendant la période d’étude ».

Un article de 2014[18] rapporte qu’environ un tiers des travailleurs avait des maux de tête avec le masque, la plupart avaient des maux de tête préexistants qui étaient amplifiés et 60 % avaient besoin d’analgésiques pour les soulager.

En mai 2020, une étude[19][20] a observé que 81 % des soignants qui portaient un masque développaient des maux de tête, certains avaient des maux de tête préexistants qui étaient aggravés par les masques, et tous avaient l’impression que les maux de tête affectaient leur performance au travail.

Le port prolongé du masque entraîne une hypoxie

la plupart des études montre que les masques peuvent provoquer une hypoxie et une hypercapnie.

En 2008, des chercheurs ont mesuré l’effet des masques faciaux sur 53 chirurgiens à l’aide d’un oxymètre avant et à la fin des interventions. Ils ont découvert que le masque réduisait les niveaux d’oxygène dans le sang proportionnellement à la durée de port du masque.

Chaque jour ou presque, des professionnels de diverses spécialités insistent sur les inconvénients spécifiques à leur domaine. Les dentistes sont inquiets.

Le docteur François Thibault, de la Baule, rappelle que le port du masque nous fait passer en respiration buccale, perturbant notre respiration.

« le flux d’air étant insuffisant par des narines couvertes et les conséquences néfastes sont nombreuses. L’air n’est plus suffisamment réchauffé et dépoussiéré comme il doit l’être lors du passage normal dans les fosses nasales avant d’arriver aux poumons. Le sang chaud qui arrive du cerveau n’est plus refroidi au contact de cet air froid. Notre cerveau surchauffe et fatigue. »

« Nous nous auto-intoxiquons par le gaz carbonique que nous rejetons dans le masque. L’hypercapnie, terme scientifique qui désigne une trop forte concentration de CO2 dans le sang, constitue un vrai risque pour le cerveau qui consomme à lui seul 20 % de l’oxygène total qui rentre par les poumons. Les conséquences peuvent aussi conduire à une dépression du système nerveux central, une élévation de la fréquence cardiaque, des sautes d’humeur et de fatigue, des nausées, des vomissements, jusqu’à la perte de conscience ».

« Il est important de respecter au moins 2 pauses par jour de 10 minutes en extérieur, dit-il. La pause est plus facile pour les adultes qui peuvent sortir quelques minutes, voire faire une pause cigarette. Les petits sont à la merci de leurs enseignants souvent terrorisés victimes de la propagande des médias et de leurs syndicats ».

« Par la respiration buccale, nous asséchons notre bouche et raréfions la salive protectrice des dents et des muqueuses ».

Les ophtalmologistes observent des conjonctivites rebelles à tout traitement chez les porteurs de lunettes. L’air inspiré peut-être chargé de microscopiques fibres constituantes des masques dont le marquage « CE » ne garantit pas complètement l’innocuité et qui viennent coloniser les alvéoles pulmonaires, portes ouvertes aux futurs problèmes respiratoires graves.

Le dentiste alerte sur les « néfastes conséquences du port du masque dont on mesurera peut-être les conséquences dans quelques années, comme on l’a fait trop tard pour l’amiante ».

Les orthophonistes insistent aussi sur le rôle physiologique de la respiration nasale interdite par le masque.

« La respiration buccale pose de nombreux problèmes : abolition du rôle du nez dans le filtrage des virus et bactéries, sécheresse buccale, halitose (mauvaises odeurs) et caries, dysharmonie du développement de la mâchoire et du visage.

La respiration buccale court-circuite le rôle de filtrage préventif du nez. »

Mais de plus :

« la respiration buccale a un retentissement sur la croissance de la sphère faciale. Lorsque la respiration est nasale (normale), la langue modèle l’arcade supérieure en y prenant une grande place. C’est ce qui permet une croissance harmonieuse de la face (palais large, dents alignées). Lorsque la respiration est buccale, la langue est positionnée sur le plancher de la bouche, elle ne joue pas son rôle d’expansion de l’arcade supérieure. Le palais reste étroit, les dents avancent, le visage grandit en longueur, les os et les muscles de la face se développent de façon disharmonieuse[21]. La sécheresse buccale entraîne une déshydratation des cordes vocales provoquant des hemmages (raclement de la gorge) et des tensions, crispation des muscles des organes phonateurs qui, à long terme, peuvent créer des nodules, voire des polypes et par conséquent une dysphonie. La désorganisation du mécanisme respiratoire peut entraîner un essoufflement et des forçages vocaux[22] débouchant également sur des dysphonies ».

« Le port du masque impacte de manière non négligeable les apprentissages du langage, de la lecture, la construction des émotions, les comportements des enfants mais aussi la vue ou encore le développement des fonctions oro-myo-faciales ».

Pour l’environnement, l’obligation généralisée du port du masque est une catastrophe créant chaque année en France près de 50 000 tonnes de déchets non recyclables potentiellement contaminés.[23]

Il ressort de cette revue de la littérature qu’il n’y a pas de preuves que le port d’un masque de quelque nature que ce soit ait un impact significatif sur la prévention de la propagation du virus.

Au contraire, il existe de nombreuses preuves que le port continu d’un masque facial peut provoquer des maux de tête, une hypercapnie et une hypoxie et peut rendre l’infection beaucoup plus grave.

Le devoir du médecin

En plus de protéger la santé de leurs patients, les médecins doivent également fonder leurs actions sur la Déclaration de Genève de 1948, révisée en 2017 selon laquelle, chaque médecin s’engage à mettre la santé et la dignité de son patient au premier plan et, même sous la menace, de ne pas utiliser ses connaissances médicales pour violer les droits de l’homme et les libertés civiles.

Dans le cadre de ces constatations, nous propageons donc une action explicitement médicale, tenant compte de la réalité factuelle scientifique contre la prétendue efficacité générale des masques, et des effets individuels indésirables pour les porteurs de masque.

Si vous n’êtes pas malade, ni au contact direct prolongé de malades, jetez votre muselière qui ne constitue qu’un instrument d’apprentissage à la soumission comme étudie le dernier livre de Roland Gori, « la fabrique de nos servitudes ».[24]

 

 

  1. https://twitter.com/WHO/status/1244639057398902785[]
  2. https://www.cnn.com/2020/03/30/world/coronavirus-who-masks-recommendation-trnd/index.html[]
  3. https://www.businessinsider.com/who-no-need-for-healthy-people-to-wear-face-masks-2020-4[]
  4. Pour protéger les malades des germes que pourraient leur passer les soignants et non pour les virus qui ne sont pas stoppés par toutes les sortes de masques.[]
  5. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19216002/[]
  6. https://www.cambridge.org/core/journals/epidemiology-and-infection/article/face-masks-to-prevent-transmission-of-influenza-virus-a-systematic-review[]
  7. [7] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/j.1750-2659.2011.00307.x[]
  8. [8] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2749214[]
  9. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/jebm.12381[]
  10. https://www.qeios.com/read/1SC5L4[]
  11. halte aux prophètes ! Analysons les faits, stoppons la Peur — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  12.  Bundgaard H et al. Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Clinical Trial. Annals of Internal Medicine 2020[]
  13. Les mystères du masque, entre déraison, soumission, panique et contagion (francesoir.fr) juin 2020[]
  14.  Comme on l’a toujours fait en cas de grippe ou d’autre maladie contagieuse.[]
  15. Vlachos J, Hertegård E, B Svaleryd H. The effects of school closures on SARS-CoV-2 among parents and teachers. Proc Natl Acad Sci U S A. 2021 Mar 2;118(9):e2020834118. doi : 10.1073/pnas.2020834118. PMID : 33574041 ; PMCID : PMC7936333.[]
  16.  School closures and SARS-CoV-2. Evidence from Sweden’s partial school closure
    Jonas Vlachos, Edvin Hertegård, Helena Svaleryd medRxiv 2020.10.13.20211359; doi: https://doi.org/10.1101/2020.10.13.20211359 Proceedings of the National Academy of Sciences doi: 10.1073/pnas.2020834118[]
  17.  Jonas F. Ludvigsson, MD, Ph.D. Karolinska Institute, Stockholm, Suède Écoles ouvertes, Covid-19 et morbidité des enfants et des enseignants en Suède N Engl J Med 2021 ; 384 : 669-671 DOI : 10.1056/NEJMc2026670[
  18. https://medcraveonline.com/JLPRR/effects-of-long-duration-wearing-of-n95-respirator-and-surgical-facemask-a-pilot-study.html[
  19.  https://bmcpublichealth.biomedcentral.com/articles/10.1186/1471-2458-12-106[
  20. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32232837/[]
  21. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20129889/[]
  22. http://chinois.discipline.ac-lille.fr/quoi-de-neuf/revue-de-presse/2020-11-mgen_livret_voixmasque_novembre2020-1[
  23. ] Virus, champignons, bactéries[]
  24. Editions Les liens qui libèrent[]

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Complications des «pseudovaccins » anticovid 4 mars v 10 Mars

 

La CPAM  recommande à nouveau l’injection de petits alors qu’ils sont à risque zero du covid et ne transmettent la maladie ni aux autres enfants ni aux adultes

 

cet acharnement doit etre dénoncé partout pour sauver des enfants dont les familles n’auraient pas été informées

 

diffusons les infos via de simples tracts à mettre dans des boites aux lettres etc..

enfants et covid 1 MARS 22

 

Les mensonges sur la gravité prétendue du  covid chez l’enfant relève d’une stratégie marchande qui a pour but in fine de pousser parents et enfants à l’injection génique et à conditionner la jeunesse à la soumission à la chinoise

 

informons nous pour mieux résister

 

Les masques, torture prolongée des enfants 1 MARS SITE

 

présentation au cours  d’une conférence le 27 FEV  ASSOCIATION AMETIST

CHEZ LA PRESIDENTE

 

commentaires sur le livre dénonçant le sacrifice injustifié et scandaleux des enfants

diaporama confinement du 27 2 22

 

à l’occasion d’une réunion de l’association AMETIST  chez sa présidente, nous avons fait le point sur différents aspects de la crise covid19 ET de ses conséquences particulièrement chez les enfants et les jeunes

 

ici se trouve le diaporama à propos des conséquences délétères des confinements  (cliquez sur le lien)

 

et les développements et la bibliographie détaillée dans nos livres sur le sujet

 

 

Delépine, Les enfants sacrifiés Covid

 

 

 

Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

Propos recueillis par Pierre Cassen pour RL

C’est avec grand plaisir que nous accueillons ce jour Nicole Delépine qui, avec son mari Gérard, depuis le début de cette crise, fait profiter nos lecteurs, sur la crise sanitaire, d’une vision rationnelle et plutôt rassurante, aux antipodes du discours angoissant véhiculé par le pouvoir et, hélas, nombre de confrères de Nicole et Gérard. 

Nicole nous présente le nouveau livre qu’elle vient de publier…

Toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants

RL : Vous publiez ce jour votre dernier livre, intitulé « Les enfants sacrifiés du covid », et vous sous-titrez « Isolement, masques et vaccins ». Considérez-vous que la France a vraiment plus mal traité ses enfants que les autres pays européens, ou dans le monde ?

Nicole Delépine : Il est évident que la France a considérablement plus maltraité ses enfants que certains pays européens comme la Suède ou la Biélorussie qui n’ont jamais fermé leurs écoles, ni imposé des masques, ni tests aux enfants. Ni inventé des pass limitant la pratique des sports, ni restreint l’accès aux lieux de culture et de spectacle, etc…

Et ces pays ont pourtant un bilan Covid moins mauvais que le nôtre. Comme quoi il apparait que ce que nous évoquions dès les premiers mois du coronacircus, toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants et adolescents dont ils paient un lourd tribu.

Les 11 vaccins imposés aux enfants en 2017 furent une répétition générale

R L: Dès l’arrivée de Macron au pouvoir, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a fait passer les vaccinations obligatoires de trois vaccins (diphtérie, tétanos, poliomyélite) à onze (rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B…). Des spécialistes ont estimé qu’on mettait en danger les enfants. Pourtant, apparemment, cette vaccination accrue n’a pas créé de problèmes nouveaux, quatre ans après. Pensez-vous que ces nouvelles dispositions étaient légitimes ?

Nicole Delépine : Effectivement les onze vaccins imposés aux nouveau-nés qui posent un problème majeur pour la santé des enfants ont été acceptés dans l’indifférence de trop de Français, comme à un autre bout de la vie l’abandon des vieux dans les EHPAD et leur euthanasie forcée dès mars 2020.

Dire qu’il n’y a pas de conséquences est bien sûr impossible tant il faudrait évaluer l’impact de ces charges d’aluminium entre autres imposées aux bébés très supérieures à ce que nous avons reçu dans toute notre vie de boomer. La fragilité des enfants très vaccinés aux infections, allergies etc., relève aussi de l’analyse nécessaire qu’ont déjà abordé d’autres auteurs.

Quant aux jeunes parents, ils continuent à vivre dans la terreur de ces injections multiples dont Mme Buzyn avait promis le caractère temporaire d’autant que les organisations consultées avaient voté en défaveur de ce projet. Certains retardent leur projet d’enfant en raison de ces contraintes absurdes et dangereuses destinées à satisfaire Big pharma et l’UE.

En fait, 2017 fut une répétition pour tester la tolérance des citoyens à accepter n’importe quel ukase sans aucune justification médicale et en urgence. Voici ce que nous écrivions en novembre 2017 évoquant le code de Nuremberg, avant ce vote cruel des vaccinations obligatoires :

«  Pourtant il semble que le nœud de la question du vote parlementaire siège à ce niveau. En effet, personne n’a probablement l’intention de transformer en quelques minutes de débat, à l’Assemblée ou au Sénat, nos parlementaires en vaccinologues de haut rang. Seraient-ils capables d’assimiler en peu de temps (puisque le vote est une urgence pour le gouvernement !) l’épidémiologie, l’histoire des vaccins et de l’hygiène, et de leurs rôles respectifs ou complémentaires, l’efficacité clinique des vaccins en passe d’être imposée sur la mortalité à long terme, et pas seulement sur la montée d’anticorps chez les vaccinés , et surtout les effets secondaires attendus, sans parler des côtés économiques – que la justification de leur vote sur l’obligation ne pourrait y trouver ses racines.

Quel devrait-être en démocratie le rôle du Parlement pour la santé, si ce n’est de mettre à la disposition du citoyen les meilleures conditions de soin, sans interférer dans son libre choix de personne pensante, ni dans celui des professionnels, les médecins. Bref, je n’avais pas compris que l’assemblée se devait de réécrire les traités de médecine, et les imposer aux robots médecins et aux patients-citoyens objets ».

Et la loi fut votée très vite dans le silence assourdissant des médias et des associations, en dehors de quelques exceptions.

Nous écrivions déjà :

« Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’Ordre ou des médecins connus  se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ? »

Le professeur Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux… »

Relisant cette tribune vous ne serez pas étonné de ce qui nous arriva depuis 2020, du comportement de l’ordre des médecins, foulant au pied le consentement éclairé des patients et le libre choix du médecin à donner les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science, diffamant et poursuivant les docteurs osant soigner leurs patients.

Le Pr Holland  avait pourtant insisté à la tribune de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination ».
 « Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….). »

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables

Riposte Laïque : On est passé du masque obligatoire à l’école à partir de 11 ans, au masque obligatoire à partir de 6 ans. On est passé de la vaccination à partir de 12 ans, avec 90 % de vaccinés, à celle à partir de 5 ans. Pourtant, les associations de défense des droits de l’enfant ont été fort discrètes. Les associations de Parents d’élèves et les Syndicats d’enseignants n’ont pas protesté, si ce n’est pour réclamer encore plus de mesures restrictives. Et rares ont été, sur les plateaux de télévision, mis à part Marie-Estelle Dupont, les chroniqueurs à protester contre ce que certains appellent la maltraitance des enfants. Comment expliquez-vous cela ?

Nicole Delépine : La crédulité à la propagande gouvernementale, la peur, fille de l’ignorance, la censure, le conformisme, et la corruption ont réussi à fait croire que les enfants pouvaient être dangereux.

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables, en fermant les écoles puis en leur imposant des mesures soi-disant sanitaires alors que les toutes les études épidémiologiques mondiales montraient pourtant que les enfants sont innocents du covid et l’ont toujours été depuis le début.

Le ministère a honteusement diffusé une pub dans laquelle un enfant était accusé d’avoir envoyé sa grand-mère en réanimation.

Quelle violence cruelle intégrée dans la tête des enfants ? Combien de temps mettront-ils à effacer ces images, malgré nos explications réitérées de mensonge médiatique et de manipulation ?

Les médecins honnêtes ont été exclus des grands médias et seuls les alarmistes invités et pour bon nombre corrompus et en tous cas manipulés et manipulateurs .

Une fois la peur des enfants installée, parents et enseignants ont accepté les mesures pourtant absurdes. Des associations se sont montées progressivement dans les provinces, tentant chacune d’obtenir une amélioration ponctuelle sur le port insupportable du masque par exemple, mais avec bien des difficultés.

Mais ce sont les syndicats de l’éducation nationale qui sont le plus à blâmer, répétant à loisir les mensonges de leur administration, comme si leur seule obsession était de poursuivre un combat purement syndical sans tenir une seule seconde compte des tragiques conséquences tant scolaires que psychologiques sur les enfants, mais aussi sur les professeurs.

On parle de décrochage des élèves et étudiants, mais ne faut-il pas insister aussi sur celui des profs ?

37.000 décès, et ils continuent l’injection expérimentale !

Riposte Laïque : Pouvez-vous nous faire le point sur les effets secondaires du vaccin, en France et dans le monde ?

Nicole Delépine : Nous avons déjà, à de multiples reprises publié le point sur les effets secondaires officiellement reconnus sur les bases de données internationales, telle le Vaers américain, l’ANSM agence française, Eudravigilance pour l’EMA ou le MHRA pour la Grande- Bretagne.

L’augmentation exponentielle des effets rapportés n’a cessé de nous interpeller, en particulier par exemple le nombre de décès relaté par l’UE de plus de 37 000 en ce début janvier 22. L’interrogation majeure est de comprendre pourquoi les médecins ont accepté la poursuite de cette injection expérimentale (premiers résultats prévus en janvier 2023 selon clinicaltrials.gov ), devant un tel nombre de décès, alors que n’importe quel essai clinique a toujours été interrompu après quelques décès (par exemple le H1N1 a été stoppé après 53 décès).

Nous pouvons en ce jour donner les informations récentes fournies par la publication de lanceurs d’alerte militaires américains qui ont étudié les données militaires en comparaison aux années précédentes avant l’épisode covid.

« Outre le pic des diagnostics de fausses couches (avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000 !

Voici d’autres chiffres donnés lors de l’interview :
⦁ infarctus du myocarde 269% d’augmentation
⦁ paralysie de Bell 291 % d’augmentation
⦁ malformations congénitales (pour les enfants de militaires) 156 % d’augmentation
⦁ infertilité féminine augmentation de 471%
⦁ embolies pulmonaires augmentation de 467%
Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci : « C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19″.

Nous pouvons aussi vous montrer les derniers tableaux de EudraVigilance qui résume les effets délétères reconnus par l’agence européenne qui même si tout le monde considère qu’ils sont sous-estimés restent très impressionnants.

Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

R L  : Pourquoi avez-vous éprouvé le besoin d’écrire ce livre ?

Nicole Delépine : Il nous a semblé que la multiplication des articles, vidéos, interviews, manifestations, tracts etc.… tant en France qu’à l’étranger, pourtant de plus en plus nombreux et souvent de grande qualité n’ont pas encore suffi à ouvrir les yeux de tant de personnes hypnotisés par le discours initial gouvernemental permanent d’un message unique des médias, aboutissant à l’hypnose bien décrite par des psychologues de la manipulation comme Ariane Bilheran.

Nous espérons que le format livre atteigne des personnes différentes, éloignées des réseaux sociaux et que dans l’immédiat, cette synthèse du sacrifice des enfants pendant ces deux ans puisse ouvrir des yeux à temps pour éviter la sinistre « vaccination » que le pouvoir essaie encore d’imposer alors qu’il sait l’épidémie terminée, qu’il sait que les enfants ne risquent rien et ne contaminent pas. Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure.

Si certains peuvent hésiter à injecter leurs petits, cela donnera le temps d’en sauver quelques-uns, de faire jour à cette sinistre plandémie dont le voile se déchire rapidement comme l’extraordinaire cortège vers Ottawa des routiers canadiens et américains et de la population le démontre depuis quelques jours. Espérons qu’ils gagneront et que l’effet domino permettra une libération rapide des autres peuples martyrs dans le monde.

R L : Que pensez-vous de l’attitude de certains de vos confrères, qui, sur les plateaux de télévision, multiplient les pressions sur le gouvernement pour qu’il accentue les mesures répressives contre les non-vaccinés ? Attribuez-vous cette attitude aux seuls conflits d’intérêt ?

ND : Le propre du régime totalitaire est d’arriver à dire 2 + 2 = 5 sans être choqué comme l’a bien démontré George Orwell. Il crée des conditions de manipulation de masse par un discours unique permanent, visible et subliminal, effaçant le reste et conduit à la capacité d’éliminer ce qu’on voit. On a vu, on refoule, et on voit quelqu’un qui dit ce qu’on a vu et celui-là on le diffame, on le maudit, on le maltraite.

Alors le comportement de nos confrères n’est pas homogène. Il y a les corrompus d’emblée, les employés de Big pharma qui n’ont fait que leur travail parmi lesquels des « grands professeurs » d’emblée sur les plateaux. Et puis il y a des situations plus complexes des niveaux intermédiaires.

La corruption pudiquement rebaptisée liens d’intérêts explique que beaucoup de ces confrères se comportent comme les représentants de commerce des marchands de vaccins ou de médicaments nouveaux hors de prix. Mais la corruption n’est pas uniquement financière; en disant ce que l’élite voulait les entendre dire, ils ont été invités sur les grands médias et se sont fait connaître sans que leurs travaux scientifiques, ni leur connaissances ne le justifient.

Le désir de reconnaissance médiatique parfois d’ailleurs relativement bien rémunéré en a conduit à la griserie des plateaux dans une société starisée et adepte de la téléréalité.

Une histoire antérieure de plusieurs décennies a conditionné les médecins

Mais n’oublions pas que la soumission de trop nombreux collègues a été conditionnée progressivement par la main mise de la sécurité sociale (vidée de son sens initial) et des agences régionales de santé sur les prescriptions via les références médicales opposables dès 1993, puis les recommandations rapidement imposées et les certifications, et le plan cancer qui a par exemple enlevé aux cancérologues tout pouvoir de prescription individualisée depuis les années 2000.
N’oublions pas non plus que dans les années 30 plus de 60% des médecins allemands étaient membres du parti nazi. Notre formation ne prépare guère à l’indépendance d’esprit.

RL : Nous sommes à moins de trois mois de l’élection présidentielle. Quel est votre regard sur la posture des principaux candidats, concernant la politique vaccinale des prétendants ?

ND: Il est évident que la posture des candidats sur la situation sanitaire permet de faire un tri rapide de ceux qu’il faut absolument éliminer de la sphère politique comme tous ceux qui les suivraient et convoiteraient des postes de députés ou conseillers municipaux ou autres. Tout candidat digne de ce nom doit clairement affirmer qu’il doit rendre aux médecins la liberté de pratiquer la médecine et qu’il faudra faire de plus un grand ménage dans l’organisation administrative du domaine de la santé. Notre ouvrage « soigner ou obéir » avait abordé ce sujet dans l’indifférence générale en 2016 lors de la précédente élection présidentielle. Ce travail est à reprendre et compléter. Nous sommes à leur disposition pour éclaircir ce domaine.

RL : Le passe vaccinal vient d’être mis en application, ce 24 janvier , en France. Castex a promis des allègements, dans trois semaines, si la situation sanitaire le permettait. Certains pays allègent le dispositif, comme la Grande-Bretagne ou l’Espagne, mais d’autres accentuent la pression, comme la Grèce et l’Autriche, qui veulent rendre la vaccination obligatoire, avec lourdes amendes pour les contrevenants. Pensez-vous, comme le dit régulièrement Florian Philippot, que c’est la mobilisation des Français, tous les samedis, qui empêche le régime d’aller plus loin ?

Nicole Delépine : Le pouvoir va rapidement être dépassé (y compris en Grèce ou en Autriche) puisqu’en quatre jours la situation est déjà complètement différente, et les mesures coercitives sont de plus en plus décalées avec la réalité qui nous entoure et en particulier le recul de tous les pays par rapport à leurs exigences initiales, y compris l’Autriche et l’Allemagne qui renoncent à imposer la vax obligatoire. Le gouvernement a déjà renoncé à faire appliquer le pass vaccinal en Guadeloupe.

Les manifestations hebdomadaires ont été évidemment d’une importance cruciale, démontrant une frange de population déterminée jamais prête à céder et se solidifiant par ces rencontres importantes en nombre et en symbolique. Il est évident qu’il va falloir passer à la vitesse supérieure et pourquoi pas, comme en Allemagne passer à des manifestations quotidiennes dans nombreuses villes de France en même temps, et pourquoi pas imaginer un convoi de la Liberté inspiré de nos amis canadiens.

Soyons sûrs que les résistants patriotes, gilets jaunes et autres s’unissent rapidement pour faire sauter TOUTES LES MESURES SANITAIRES devenues intolérables dans un monde où des pays voisins comme l’Espagne ou l’Angleterre revivent normalement et où la Suède n’a jamais abandonné cette vie normale d’antan.

A moins que le domino international n’aille encore plus vite ?

RL : Comment fait-on pour se procurer votre livre ?

N D : Dans toutes les bonnes librairies ou sur le site de FAUVES EDITIONS ou autres sites en ligne comme Amazon ou Fnac ou les sites de libraires en ligne

R L : Souhaitez-vous ajouter quelque chose ?

Oui, il faut rapidement sortir de cette tragédie, évitant les injections qu’on voudrait encore faire subir aux petits, mais aussi aux grands, puis passer à la reconstruction de notre système de santé, mais aussi de l’éducation nationale, etc…

Prendre soin de tous ceux que cette crise a abimés, en particulier les injectés hypnotisés ou les « malgré eux » qui ont accepté de se faire injecter pour sauver leurs revenus et nourrir leur famille etc. Les tentatives de traitement des effets secondaires vont se multiplier et il faudra en faire profiter nos amis, connaissances et surtout ne pas diviser, mais se réconcilier.

Remonter le moral des troupes dans un grand mouvement positif qui engagera chacun et lui redonnera des objectifs réparateurs permettant résilience et avenir ouvert et enthousiasmant. Une reconstruction post guerre mondiale de fait !

Bref pour nous tous du travail sur la planche et de nombreux projets de livres en ce qui nous concerne.

www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram

 

Couv Les enfants sacrifiés[43011]

 

POURRAIT- ON SANS RISQUE FAIRE INJECTER SON ENFANT SANS L ACCORD DE L AUTRE PARENT ?  Non ! RISQUE DE PLAINTE CIVILE ET PENALE

Le parent non-consentant est en mesure d’engager la responsabilité civile TANT du parent qui prend l’initiative sans son accord que celle des tiers qui y procéderaient. Ceux-ci ne me paraissent pas pouvoir se retrancher derrière la présomption de l’article 372-2 puisqu’il ne s’agit PAS d’un « acte usuel ».

les dispositions des lois votées depuis mai 2021 dans le cadre de la crise Covid ne sont en AUCUN CAS exclusives de la responsabilité pénale de chacun des intervenants.

 

 

Sur le consentement DU ou DES parents à l’injection des enfants

Par Maitre X – https://t.me/maitreXOFFICIEL – Avocate dans un barreau français

 

En vertu des dispositions combinées des différents textes de loi adoptés depuis mai 2021, le législateur prétend que le consentement d’un seul des deux parents serait suffisant tant pour faire pratiquer un test de dépistage que pour faire « vacciner » un mineur.

La succession des dispositions, organisée comme toujours sous forme de jeu de piste, les dispositions récentes modifiant ou complétant les dispositions plus anciennes, découle des sources suivantes :

. Loi 2021-689 du 31 mai 2021, Art. 1 § II
https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000043567200/2022-01-28/

. Cette loi fut dans un premier temps mise à jour par la loi n°2021-1040 du 5 août 2021, art. 1er :
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043909676

. Une nouvelle mise à jour découle de la loi n°2022-46 du 22 janvier 2022
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045062855

À l’issue de ce parcours législatif, l’article qui nous intéresse aujourd’hui est donc rédigé de la façon suivante :

« G.-Lorsque le Premier ministre prend les mesures mentionnées au A du présent II, seule l’autorisation de l’un ou l’autre des titulaires de l’autorité parentale est requise pour la réalisation d’un dépistage ou l’injection du vaccin contre la covid-19, sans préjudice de l’appréciation des éventuelles contre-indications médicales.

Il en est de même lorsque le ministre chargé de la santé prend les mesures mentionnées aux articles L. 3131-1 et L. 3131-16 du code de la santé publique pour autoriser la vaccination des mineurs âgés d’au moins cinq ans. »

Or, la conformité de cette disposition pose différentes questions légales.

  • AU REGARD DE L’ARTICLE 372 DU CODE CIVIL

Le principe posé par le Code civil (Art. 372) est celui de l’exercice CONJOINT de l’autorité parentale. En d’autres termes, les décisions relatives aux enfants se prennent conjointement par les deux titulaires de l’autorité parentale.

De son côté, l’article 372-2 du Code civil autorise dans certains cas les parents à agir seuls, en étant « réputés agir avec l’accord de l’autre » à l’égard des tiers, mais uniquement lorsqu’il s’agit d’actes « usuels » de l’autorité parentale relativement à la personne de l’enfant.

 

 

Deux éléments, dans cette disposition, sont à relever :

  • Il ne vise que les actes « usuels » relatifs à la personne de l’enfant. L’administration d’un traitement médical, quel qu’il soit, et moins encore lorsqu’il s’agit d’un traitement en phase d’essai thérapeutique, fût-il nommé « vaccin » par les pouvoirs publics, n’est assurément PAS un « acte usuel » relatif à la personne de l’enfant.
  • En outre, cette disposition du Code civil est en réalité une protection accordée aux tiers avec qui l’un des parents serait en contact, et permettant à ce tiers de présumer l’accord de l’autre parent pour ces actes « usuels ».

Lorsque, comme c’est le cas dans l’hypothèse que nous étudions aujourd’hui, l’autre parent n’est PAS d’accord, et qu’il l’a expressément notifié, la responsabilité du parent qui tente de procéder malgré tout à cet acte me paraît déjà engagée sur le plan civil.

Ainsi il a été décidé qu’en cas de désaccord des parents, un établissement scolaire qui a connaissance de ce désaccord DOIT recueillir l’accord des deux parents pour chaque décision à prendre relativement à l’enfant (CAA Paris, 13/11/2020, 20PA01156).

En d’autres termes, cette possibilité d’agir SEUL n’est ouverte à l’un des parents que s’il est de bonne foi, et l’article 372-2 ne protège que les tiers, et seulement s’il s’agit d’actes « usuels ».

On voit dès lors mal à quel titre les lois prises depuis mai 2021 permettraient, sans violer le Code civil, à l’un des deux parents de décider seul et de faire procéder seul à une injection de matériel de thérapie génique sur l’un de ses enfants, lorsqu’il sait ne pas être en accord avec l’autre titulaire de l’autorité parentale.

Le parent non-consentant est en mesure d’engager la responsabilité civile TANT du parent qui prend l’initiative sans son accord que celle des tiers qui y procéderaient. Ceux-ci ne me paraissent pas pouvoir se retrancher derrière la présomption de l’article 372-2 puisqu’il ne s’agit PAS d’un « acte usuel ».

En admettant même – quod non – qu’une loi puisse, sans le mentionner expressément, modifier une disposition du Code civil, les difficultés ne s’arrêtent pas là, comme nous allons le voir.

  • AU REGARD DU DROIT EUROPÉEN

Dans la hiérarchie des normes, le droit européen est supérieur au droit national.

Dans son règlement n°536/2014 du Parlement et du Conseil, l’Union européenne a édicté de nombreuses règles relatives « aux essais cliniques de médicaments à usage humain ».

Le texte complet de ce règlement est accessible ici : https://bit.ly/3r7bVjl

En vertu de l’article 32 de ce règlement, et outre les conditions déjà prévues de façon générale pour l’ensemble des participants, il est obligatoire de recueillir le consentement éclairé du « représentant désigné légalement ».

J’ajoute à cela que si, comme nous venons de le voir, le droit du mineur prévoit l’exercice CONJOINT de l’autorité parentale, c’est donc logiquement l’accord des DEUX parents qui doit être recueilli, et, mieux encore, l’accord « éclairé » c’est-à-dire suffisamment informé ».

Le même article 32 prévoit en outre que pour être légal, l’essai clinique doit « se rapporter directement à une condition médicale touchant le mineur OU être d’une nature telle qu’il ne peut être réalisé que sur des mineurs » (Art. 32.1.f du règlement).

Les informations scientifiques à cet égard ne manquent pas pour démontrer que les enfants ne meurent quasiment pas du Covid, et que, la vaccination n’empêchant pas la transmission du virus, rien ne justifie qu’ils soient injectés, même pas la recherche d’une « immunité collective » qui ne sera manifestement pas atteinte grâce à ces injections. Les injections dites « vaccinales » contre le Covid-19 ne se rapportent donc absolument pas « à une condition médicale touchant le mineur » et ne sont pas « d’une nature telle qu’elles ne peuvent être réalisées que sur des mineurs ». C’est tout le contraire !

D’un autre côté, l’importance des effets secondaires remontés dans le monde entier et notamment les affections cardiaques (péricardites et myocardites) touchant des mineurs doit faire écarter la participation de ceux-ci aux essais thérapeutiques.

  • Au regard du droit pénal

Enfin, les dispositions des lois votées depuis mai 2021 dans le cadre de la crise Covid ne sont en AUCUN CAS exclusives de la responsabilité pénale de chacun des intervenants.

Les informations remontées dans le cadre de la pharmacovigilance démontrent la grande nocivité des injections.

Pour cette raison, différentes plaintes ont été déposées, notamment sur des incriminations d’empoisonnement et de complicité d’empoisonnement. Je me réfère, entre autres, à la plainte des associations Bons Sens, AIMSIB et Collectif des Maires Résistants, lancée contre les députés ayant participé à la commission mixte paritaire de la loi du 5 août 2021 (voir ici :

Plusieurs infractions pénales me semblent pouvoir être envisagées, en partant bien sûr du postulat que les injections sont potentiellement dangereuses, ce que nous démontrent les données de pharmacovigilance.

  • 223-1 du Code pénal : Mise en danger délibérée de la vie d’autrui

« Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »

  • 221-5 du Code pénal :

« Le fait d’attenter à la vie d’autrui par l’emploi ou l’administration de substances de nature à entraîner la mort constitue un empoisonnement.

L’empoisonnement est puni de trente ans de réclusion criminelle.

Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu’il est commis dans l’une des circonstances prévues aux articles 221-2, 221-3 et 221-4.

Les deux premiers alinéas de l’article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l’infraction prévue par le présent article. »

  • Article 222-19 al 1er du Code pénal :

« Le fait de causer à autrui, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l’article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, une incapacité totale de travail pendant plus de trois mois est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. »

Tout ceci étant posé, il me reste à vous proposer un outil pratique.

Si vous êtes dans la situation du parent NON-consentant et que l’autre parent insiste pour procéder à cette injection sur vos enfants mineurs, voici un modèle de courrier que je vous suggère de lui envoyer en recommandé avec AR si possible.

 

Vous pouvez envisager l’envoi de cette lettre par eMail, mais il vous faudra prouver qu’il l’a bien reçu, et en cas de litige cela peut poser de réelles difficultés. ! Si vous envoyez cela par eMail et que vous n’avez pas de réponse du destinataire (ce qui vous permettrait de démontrer qu’il a bien reçu le mail auquel il répond), je vous conseille de doubler alors l’envoi par un courrier recommandé ensuite.

Adaptez bien sûr en fonction de votre situation lorsque deux variantes sont proposées, séparées par un «  / »

 

« Cher/chère…..

Je suis contraint(e) de t’adresser ce message par écrit vu les circonstances.

Tu as manifesté l’intention/le souhait de faire vacciner notre/nos enfant/s contre la Covid-19 malgré mon désaccord sur ce point.

Pour appuyer les droits que tu estimes avoir à ce niveau, tu invoques les communications gouvernementales et télévisées expliquant que l’accord d’un seul des deux parents peut suffire pour autoriser une telle injection.

Or, il apparaît que la situation est, juridiquement, bien plus complexe.

  • Sur le plan civil, tout d’abord, le Code civil prévoit que l’autorité parentale doit s’exercer de façon CONJOINTE, ce qui implique un accord des DEUX titulaires de cette autorité (Art. 372 C.c.). Il n’a pas été expressément dérogé à cette disposition par la loi. En outre, soumettre un mineur à une injection de produit thérapeutique en phase d’essai clinique n’est PAS un acte « usuel » au sens de ce même Code civil, de telle sorte qu’un tiers ne pourrait pas présumer de mon consentement si tu te présentes seul.

 

  • Au niveau européen, soit à un niveau qui prime sur le droit interne, des dispositions sont également prévues. En vertu de l’article 32 du Règlement n+536/2014 du Parlement et du Conseil de l’Union européenne, il est obligatoire de recueillir le consentement de la personne qui, légalement, représente l’enfant. Ceci renvoie donc, pour le droit français, à l’article 372 du Code civil qui prévoit, par principe, une autorité conjointe.

Ce même article 32 du règlement européen indique que pour être légale, la participation du mineur à l’essai clinique doit se rapporter directement à une condition médicale touchant le mineur OU être d’une nature telle qu’il ne peut être réalisé que sur des mineurs » (Art. 32.1.f du règlement).

Or, et comme tu le sais, les enfants ne courent aucun risque face à cette maladie, et en toute hypothèse moins de risques que ceux liés à l’injection elle-même.

 

 

Il va de soi que les obstacles et discriminations posées actuellement par les gouvernements, et restreignant notamment la liberté de voyager, de participer à des activités, etc. ne sont PAS considérés comme des risques liés à la maladie elle-même, et qu’il n’est pas acceptable que notre/nos enfant/s soi(en)t soumis à un essai clinique uniquement pour des raisons de confort liées à un voyage/une inscription à une activité/ etc. (complétez vous-même selon les motivations du parent concerné).

 

  • Enfin, sur le plan pénal, je t’informe que si tu devais exposer notre/nos enfant/s à ce risque, une plainte serait immédiatement déposée sur base de l’article 223-1 du Code pénal (mise en danger délibéré de la vie d’autrui).

À cela s’ajoutent deux autres dispositions du Code pénal que je n’hésiterai pas à invoquer dans une plainte en cas de besoin :

. Art. 221-5 du Code pénal (atteinte à la vie d’autrui par l’emploi ou l’administration de substances de nature à causer la mort)

. Art. 222-19 al 1er (visant tout acte de nature à causer une ITT pendant plus de 3 mois, par maladresse, imprudence, inattention ou négligence).

 

Il est dès lors INDISPENSABLE, tant en vertu de la loi française que du droit européen que nous agissions DE COMMUN ACCORD quant à toute décision relative à la santé de notre/nos enfant/s. Je t’exprime dès lors, de façon formelle, MON DÉSACCORD COMPLET pour toute « vaccination » en l’état actuel des choses.

Merci d’en prendre note.

 

(Il vous reste à terminer la lettre comme vous le souhaitez).

 

Gardez toujours une copie exacte de ce qui a été envoyé, et ce au format papier (en plus de l’éventuelle copie du mail dans votre ordinateur.

 

 

<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<

merci à Maitre X de son aide pour vous proposer un modèle de lettre si malheureusement vous êtes dans cette situation dramatique qui manipule familles et enfants.

 

et pour les informations sur les risques de cette injection appelée abusivement « vaccin » notre synthèse vient de paraitre

 

 

 

Couv Les enfants sacrifiés[43011]

 

le 22 janvier 2022

SAUVEZ LES ENFANTS DE L’INJECTION INUTILE ET TOXIQUE

 

Bonjour  à tous

 

Nous avons pour beaucoup compris que la pression de tests aux petits y compris en crèche (!) vise à épuiser les familles et les faire consentir à l’injection souvent toxique.

 

Il est temps de sortir de l’hypnose et de faire échapper enfin les enfants de ce scénario tragique. Nous avons avec le Dr G Delépine tenter de résumer comment les enfants, adolescents et jeunes adultes ont été les SACRIFIES de cette plandémie. Nous espérons que ce petit livre synthétique pourra servir à quelques-uns pour sortir de ce scénario terrible et en aider quelques autres.

 

 

MERCI  de votre lecture, à votre disposition pour réponses aux questions par ce mail ou celui de gerard.delepine@bbox.fr   et merci à tous de votre aide pour sauver les petits, chacun par ses moyens.

 

Les courbes correspondant aux chapitres seront sur notre site  pour ne pas surcharger le livre. (voir article du 23 Janvier 22 sur le bilan sanitaire des pays utilisant les TAP (traitements précoces) versus le tout vaxx.

 

Continuons la résistance avec espoir car les yeux s’ouvrent même sur nos médias..

 

Delépine Les enfants sacrifiés du Covid

 

 

FAUVES

 

Le 24 janvier 2022

 

 

Nicole et Gérard DELÉPINE

Les enfants sacrifiés du Covid

Isolement, masques et vaccins

Essai

 

214 pages – 16 €

 

Le livre

Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnose générale a occulté les dangers des atteintes aux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant.

 

Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les menace. Cette injection expérimentale est d’autant plus injustifiée qu’ils sont à risque zéro et ne contaminent personne. De plus, elle met en péril leur avenir immédiat et à long terme, avec des effets secondaires connus et inconnus.

 

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérément ses enfants ? Il est temps d’ouvrir les yeux.

 

 

Les auteurs

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, et Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de quarante ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

 

FAUVES

 

 

 

 

 

 

 

Nicole Delépine Pédiatre,ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à Garches APHP

Gérard Délépine chirurgien orthopédiste et cancérologue, diplômé de statistiques médicales

 

Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram

Par le Dr Gérard Delepine

 

Situation sanitaire mondiale le point au 22 01 2022 : pays avec traitement précoce, versus les tout vax – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

 

Si les gouvernements et les médecins honnêtes avaient voulu faire autrement et utiliser les traitements précoces : le point au 22 01 2022

 

 

 

 

Depuis le début de la crise Covid, une propagande effrénée assortie d’une censure féroce nous assène « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez vous et prenez du Doliprane…le confinement sauve des vies…la fin de la crise viendra des vaccins… »

Puis après la mise sur le marché des pseudo vaccins « les vaccins sont efficaces à 97 %. Ils sont sûrs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres…vaccinez-vous et vous retrouverez vos libertés… »

 

 

Mais la réalité est têtue et, progressivement, dément tous ces slogans mensongers. Après un an d’une vaccination imposée à plus de 80 % des Français, les restrictions s’intensifient dans une stratégie du tout vaccinal dont l’échec est maintenant reconnu par l’OMS, qui en a pourtant été la grande conseillère, et de nombreux pays qui abandonnent actuellement toute restriction (Espagne, Grande-Bretagne, etc.…).

 

L’argument le plus fréquemment utilisé par les médias et le pouvoir pour justifier la politique sanitaire qui nous empêche de vivre libre est : « tous les pays pratiquent la même politique ».

 

Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces, permettant des comparaisons solides avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire du tout injection.

Lors des comparaisons, pour évaluer l’efficacité des politiques anti-covid, nous utilisons les données officielles publiées par l’OMS avec, pour étalon la mortalité mondiale cumulée au 11/1/2022 qui atteint 693/Million.

Globalement l’analyse des données de l’OMS est porteuse d’espoir en objectivant l’efficacité des traitements précoces et/ou préventifs utilisés entre autres en Afrique et en Inde et la très grande bénignité d’Omicron qui va sauver les pays soumis à la dictature vaccinale.

L’Afrique tropicale démontre que les traitements précoces sont efficaces

Certains pays africains par choix et/ou nécessité n’ont pas ou très peu vacciné et ont utilisé des traitements anciens et bon marché (antipaludéens et Ivermectine) ou des plantes locales qu’ils utilisent depuis longtemps pour lutter contre le paludisme et de nombreuses parasitoses (Artemisia annua).

En janvier 2022, l’OMS recense en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial), alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

 

Cette très faible mortalité africaine pourrait sembler d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus délabrés que les nôtres, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés. D’ailleurs, depuis le début de la crise, les médias mainstream aux ordres de l’ordre mondial avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent et nos gouvernants voudrait leur imposer la thérapie génique expérimentale.

Certes la jeunesse des Africains constitue un facteur protecteur important : le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 12 % (Maurice) alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA. Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est en moyenne quatre fois inférieure à celle de l’Europe et pourrait expliquer une partie de sa sous-mortalité constatée.

De fait, après correction de la mortalité par l’âge, les Africains bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants (en excluant l’Afrique du Sud qui concentre 45 % de la mortalité africaine globale pour les raisons explicitées plus loin).

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid, parfois évoquée, est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

 

La mortalité Covid des pays africains exposés au paludisme est inférieure à 80/million soit, 22 fois plus faible qu’en France.

 

 

La comparaison au 20/1/2022 des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence du paludisme montre que les pays, dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour, bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible 10 à 180 fois inférieure à celle de la France (1847/M) comme : le Nigéria (14/M), le Mali (33/M), le Congo (65/M), La Tanzanie (12/M), le Tchad (11/M), le Cameroun (68/M), le Niger (11/M), la Côte d’Ivoire (27/M), la Guinée (30/M), le Kenya (99/M), le Sénégal (116/M), le Gabon (129/M).

 

 

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, la population à risque, les plus de 60 ans, représente 25 % du total. Dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé. Au 19/1/2022, la mortalité cumulée ne dépasse pas 144/M, soit 13 fois moins que la France.

Le 31 mai 2021 sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 19/1/2022 la mortalité cumulée atteint 401/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 19/1/2022, la mortalité Covid atteint les chiffres européens : 2165/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin. Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le second pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1556 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne, mais paraît être sortie de l’épidémie depuis la fin de la vague Omicron.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens et/ou d’Ivermectine/Artémisine.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens et/ou Ivermectine/Artémisine sont efficaces.

La comparaison des îles Africaines de l’océan Indien met en évidence la supériorité du traitement par Artémisine sur les pseudo vaccins

Dans l’océan Indien, quatre îles se situent dans un cercle de 1000 kilomètres de rayon : Maurice, la Réunion, les Seychelles, Madagascar. Leurs conditions climatiques, leur mode de vie et les caractéristiques de leurs populations sont très proches. Mais les trois premières ont adopté la stratégie de l’OMS, tandis que Madagascar adoptait le traitement précoce par l’Artémisine. La comparaison de leurs évolutions est démonstrative.

Madagascar : 29 millions d’habitants, dont 2 % de vaccinés

Le gouvernement a fait la promotion de l’utilisation préventive d’un antipaludéen local, l’Artemisia qui a été beaucoup consommée.

Au 19/1/2022, l’épidémie est maîtrisée depuis début juin 2021 après 55 827 cas et 1169 morts, soit une incidence globale de 1963/Million et une mortalité globale 39/Million, soit 18 fois moins que la moyenne mondiale et 48 fois moins que celle de la France.

Île Maurice 70 % d’injectés

En 2022, la population de l’île Maurice compte 1 280 000 personnes. La vaccination a commencé mi-février 2021 et au 17/11/2021 plus de 70 % de la population avait reçu au moins une injection.

Depuis la campagne de vaccination le nombre de morts par a été multiplié par 24 (de 10 à 240). Au 12/12/2021, la mortalité cumulée s’élève à 200/million, soit 5 fois supérieure à celle de Madagascar.

La Réunion compte 905 000 habitants dont 58 % sont vaccinés

La politique sanitaire suivie est celle de la métropole avec l’interdiction des traitements précoces et un tout vaccin. Au 12/12/2021, l’épidémie reste active, le nombre de cas cumulé atteint 63 863 avec 391 morts (mortalité 415/M), soit le triple la moyenne africaine et 12 fois celle de Madagascar.

La catastrophe vaccinale des Seychelles vaccinées à 90 %

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid-19 confirmés et 3 morts. En espérant sauver sa prochaine saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. En janvier 2022, la couverture vaccinale dépasse 90 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles ont dû faire face à une hausse considérable des cas qui a incité le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos…

Au 19 janvier 2022, le pays comptait 32 850 cas confirmés et 133 morts contre 500 cas et 3 morts avant la vaccination. Ainsi après 12 mois de vaccination, le nombre de cas a été multiplié par 64, la mortalité par 44. L’incidence globale atteint 332078/million et la mortalité globale attribuée au Covid s’élève à 1415/million, 8 fois plus que la moyenne africaine et 38 fois celle de Madagascar.

 

 

Cette analyse des îles africaines de l’océan Indien confirme l’efficacité du traitement par Artemisia et l’inefficacité dangereuse des vaccins. Le traitement précoce et/ou préventif par Artemisia a permis à Madagascar de compter 40 fois moins de morts par million que la stratégie OMS du tout vaccin adoptée aux Seychelles.

 

 

L’Inde très peu vaccinée a utilisé avec succès les traitements précoces et préventifs

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4 690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles, les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu.

Le 22/3/2020, lors de la première vague, l’Indian covid19 Task force a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet et a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant, des forces de l’ordre et des foyers, contenant des personnes contaminées par le Covid-19. Ce traitement préventif a contrôlé la première vague en limitant considérablement la diffusion de la maladie avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072/M.

Au 30 janvier 2021 l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542), soit six fois plus.

Cette forte réduction du risque de contamination lors de la première vague ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde comptait dix fois moins de morts que la France (118 morts/M contre 1156/M).

Le début timide de la vaccination en janvier 2021 a été suivi par relatif abandon des traitements préventifs et l’explosion du nombre de cas en mars 2021 puis de la mortalité en avril, obligeant le ministère de la Santé indien à actualiser ses recommandations, en ajoutant l’Ivermectine à la liste des traitements officiellement recommandés. Les contaminations journalières ont très rapidement diminué ainsi que la mortalité. Grâce à l’Ivermectine, l’Inde bénéficie depuis juillet 2021 d’une accalmie qui confine à la guérison et sa mortalité cumulée globale par million d’habitants est quatre fois et demie plus faible que celle de la France (395 vs 1843).

 

Depuis l’utilisation de l’Ivermectine, la mortalité quotidienne attribuée au covid en Inde se maintient autour de 300, équivalent français de 15/J, alors que notre moyenne actuelle tourne autour de 200/J.

L’Inde n’est pas le seul pays à avoir utilisé l’Ivermectine avec succès

Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer la mortalité avec l’Ivermectine.

Plus de 20 études randomisées ont démontré avec certitude que l’Ivermectine a une très grande efficacité contre la Covid-19 — en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital.[1] En France, le Dr Gérard Maudruxa publié une synthèse complète[2][3] de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine.

De très nombreux scientifiques et médecins du monde entier militent pour généraliser la prescription d’Ivermectine, comme l’Alliance FLCCC aux États-Unis, le groupe BIRD en Grande-Bretagne, le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation mondiale de la Santé. Au Japon, le président de l’Association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament.

Les négationnistes institutionnels : aveugles ou corrompus ?

L’Autorité européenne du médicament (EMA) déconseille ce médicament prétendant« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d’essais cliniques » de même que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) prétextant que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes ». L’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’Ivermectine une recommandation temporaire d’utilisation, estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable » alors que certaines de ces mêmes agences ont défendu ou autoriser sans preuves réelles les pseudo vaccins, le Remdesivir, l’Evusheld[4] et le 21 janvier 2021 le Paxlovid qui serait donné aux patients susceptibles de faire une forme grave !

C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’Ivermectine est nul : avec trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, même à des enfants et des personnes âgées, aucun risque sérieux n’a été signalé aux doses recommandées.

Ces refus de l’Ivermectine, comme celui de l’hydroxychloroquine, ne reflètent que le crédo d’un petit groupe de pseudoscientifiques trop liés à l’industrie pharmaceutique et sous la pression de politiques qui refusent qu’un médicament du domaine public à un prix ridicule puisse concurrencer les dernières inventions brevetées et hors de prix de leurs amis industriels.

L’excellente nouvelle de l’arrivée d’Omicron, possible futur « vaccin » naturel idéal

Manifestement, nos dirigeants veulent continuer de gouverner par la peur, via les tests multiples que tout le monde ou presque va pouvoir pratiquer (décret du 21 janvier 2022), pour prolonger des mesures contraires aux données de la science, au simple bon sens et aux droits de l’homme pour leurs profits et ceux de Big Pharma.

Mais leur dernier croquemitaine (Omicron) que les médias montent en épingle risque fort de les décevoir en mettant définitivement fin au coronacircus.

En effet sa plus grande contagiosité va progressivement le rendre dominant en 2022. Or il est très peu mortifère et son installation devrait progressivement réduire la mortalité vers zéro comme tendent à le démontrer l’Afrique du Sud et la Grande-Bretagne.

Il pourrait représenter le vaccin idéal : naturel, gratuit et efficace pour la vie.

Vive le variant omicron et n’en ayez pas peur ! Il va nous libérer.


 

PDf
  1. [1] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2021/03/BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.[]
  2. [2] BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.[]
  3. [3] Ivermectine for COVID-19: real-time meta analysis of 75 studies Covid Analysis, Jan 17, 2022, Version 172
    https://ivmmeta.com[]
  4. [4] nouvelle bithérapie d’anticorps monoclonaux contre la Covid-19, autorisée en accès précoce sur le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament[]

Non aux reconfinements mortifères, même locaux

 

 

Par le docteur G. Delépine

 

Le confinement aveugle qui nous a été imposé de manière totalitaire représente la plus grande catastrophe dont la France a souffert depuis 75 ans. Ce n’est pas le Covid19 qui est responsable de la majorité des morts observés ni de l’état catastrophique actuel du pays, mais les mesures sanitaires inadaptées[1] et disproportionnées qui nous ont été imposées.

 

 

 

Ne savent-ils pas compter ou veulent ils veulent-ils sciemment nous nuire ?

Une politique se juge à ses résultats. La politique sanitaire française a été particulièrement contreproductive puisqu’elle nous a amené dans le top 6 européen des plus hauts taux de morts par Covid derrière la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la Grande Bretagne et la Suède avec quatre fois plus de morts qu’en Allemagne (490/million contre 114/M) et 25% de plus qu’aux Pays-Bas qui ont laissé leur population libre de ses mouvements, ne pleurent pas de victimes collatérales et bénéficient de perspectives économiques moins catastrophiques que les nôtres.

 

 

Ce confinement aveugle (astreignant à résidence ensemble les malades contagieux et les biens portants contre toute logique sanitaire ) a été directement responsable d’un excès de 25000 morts [2][3] attribuées au covid19, de 25000 à 30000 morts collatéraux supplémentaires (survenues ou à venir) par arrêt des soins des autres pathologies, d’une aggravation des violences familiales, des pathologies psychiatriques, d’un décrochage scolaire massif[4], d’une fracture sociale sévère[5] et de la plus grave crise économique [6] depuis la dernière guerre mondiale.

Ce bilan catastrophique du confinement ne perturbe apparemment pas le lobby de la terreur qui prône en permanence de le réimposer, sans qu’un débat démocratique ne puisse avoir lieu dans les médias, car les opposants sont le plus souvent exclus.

Ainsi J F Delfraissy, président du Conseil scientifique n’exclut pas un re confinement local[7]. » ni Esther Duflo vante les mérites d’une organisation « sereine » d’un re confinement. Ni Jérôme Marty, président du syndicat de l’Union française pour une médecine libre (UFML) qui estime que  » ce qu’il risque d’arriver c’est un re confinement total, comme ils vont le faire au Royaume-Uni à la Toussaint » ni Christine Rouzioux qui croit que les mesures prises par le gouvernement n’étaient pas assez drastiques et prophétise  » les hôpitaux seront pleins très rapidement et seront submergés.

Le Canard Enchainé a récemment dévoilé le scénario de l’Elysée des confinements locaux prévoyant dans certaines régions avec le passage possible à l’état d’urgence sanitaire. Apparemment, pour eux, quand une mesure a été catastrophique il faut la réutiliser !

L’absence de débat, les mensonges permanents inversant les versions, les chiffres faux et différents selon les sources officielles diverses créent la confusion mentale des citoyens et l’impossibilité totale de comprendre. Ce n’est pas être uniquement de l’incompétence, mais évoque plutôt l’application d’une technique totalitaire bien éprouvée et décrite depuis des lustres, même si elle peut utiliser des incompétents, ou naïfs ou ignorants pour la mettre en œuvre avec le plus grand naturel.

 

Comment avions-nous fait auparavant lors des grandes pandémies modernes ?

Depuis la guerre de 40-45, deux autres épidémies majeures (grippe asiatique et grippe de Hong Kong) ont fait plus de victimes que le Covid19 en France et dans le monde. Elles n’ont justifié ni l’état d’urgence, ni la suspension de nos droits fondamentaux et n’ont pas causé les dommages colossaux que nous constatons actuellement tant pour la société, que pour l’éducation et l’économie.

Et plus récemment en janvier 2017 la grippe banale a tué près de 14000 français. Les médias en ont peu parlé et la vie a continué, normalement. Car la vie est une maladie sexuellement transmissible, en permanence exposée aux dangers, et constamment mortelle…

 

Comment ont fait les pays qui ont vaincu le Covid19 ?

Après la Chine, quatre pays ont affronté le Covid19 avec succès et sans confinement en reposant leur stratégie sur les méthodes traditionnelles de lutte contre les pandémies le contrôle des frontières et l’isolement des malades (la quarantaine de 15 jours).

 

Prophéties mathématiques mensongères et faits constatés dans le monde réel

 

De nombreux articles ont vanté les mérites du confinement aveugle à la française en prétendant, comme les prophéties de Ferguson, qu’il ralentirait le rythme des contaminations, éviterait la surcharge hospitalière, permettant ainsi aux autres malades d’être soignés et d’hospitaliser nos ainés qui en auraient besoin.

En comparant les morts recensés à leur prophéties initiales, ils ont même prétendu avoir sauvé 60000 français et 3 millions d’européens. Leur méthode réside à comparer leur prédiction catastrophique (multipliant par 10 à 20 le nombre des morts attendus) au nombre réellement observé et à s’attribuer le mérite d’avoir grâce à leur recommandation, sauvé la différence.

Leur trucage est évident lorsqu’on analyse l’article où ils se vantent d’avoir sauvé 3 millions d’européens[8] ; dans leur « extended data tableau 1 », ils donnent leurs résultats pays par pays au 4 mai 2020.

 

 

 

Pour la Suède, ils constatent le faible nombre de décès observés (2769), le comparent à leur estimation initiale sans confinement pour cette date (28000) et affirment alors avoir sauvé 26000 suédois, grâce au confinement.

Malheureusement pour eux, les suédois n’ont jamais confiné, démontrant ainsi que les prophéties de Ferguson et ses élèves majorent par dix le risque réel, qu’ils ignorent les politiques sanitaires appliquées par les pays « étudiés » et que leur « vies sauvées » virtuelles ne constituent en réalité que la mesure de l’erreur de leurs estimations.

Il est triste de constater que cet article, grossièrement erroné, a été publié dans la revue Nature jadis réputée pour son sérieux.

 

Les conséquences dramatiques du confinement aveugle dans le monde réel.

Echec contre le Covid19

L’examen des courbes de contamination observées montre que l’astreinte à domicile (ou dans leur Ehpad), ensemble malades et biens portants, n’a pas ralenti le rythme des contaminations en France, comme dans les pays voisins qui ont appliqué cette technique moyenâgeuse.

 

 

 

En Belgique, la propagation de l’épidémie a même été franchement accélérée par le confinement aveugle ainsi que le montre la comparaison des courbes de contaminations en Belgique (confinée) et aux Pays-Bas (non confinés).

 

 

L’accroissement du risque de contamination par le confinement aveugle vient d’ailleurs d’être confirmé par une étude espagnole[9] démontrant, sur des tests sanguins, que les personnes qui n’étaient pas confinées ont été moins infectées que les personnes confinées.

 

 

Cette accélération des contaminations explique l’augmentation de la mortalité dans tous les pays qui ont confiné à l’aveugle. La comparaison des courbes de mortalité entre la France et l’Allemagne (qui n’a pas confiné aveuglément mais pratiqué des quarantaines ciblées est éloquente :

 

Le confinement aveugle pratiqué en France a été suivi d’une considérable augmentation de la mortalité Covid19 contrairement à l’Allemagne

 

Le confinement aveugle est de plus responsable d’environ 30000 victimes supplémentaires actuelles/futures par défauts de soins

Le confinement s’est accompagné du plan blanc réservant la quasi-totalité des moyens hospitaliers au Covid, imposant un arrêt de toutes les activités médicales hors Covid, interdisant toutes les interventions chirurgicales nécessaires aux malades ordinaires. Ce plan blanc a laissé de très nombreux hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et a conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radio etc.

 

En Ile-de-France, le confinement a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé[10].

Or les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt (en général et à bon escient) et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance menacent la vie des malades à court ou moyen terme.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard …) dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

 

Malades aigus déjà morts du confinement

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière affirme que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer des dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Une étude de l’Inserm[11] menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

 

Malades chroniques abandonnés

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale. Des patients fragiles, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les soins en cancérologie désorganisée par les ARS

Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation. Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure. Ce sont les ARS qui ont bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et exigeant qu’on les remplace par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Pays perdu dont les médecins transformés en robots doivent obéir à des administratifs. Il semble bien que cela recommence puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre un nouveau plan blanc alors que le nombre de morts par covid (supposé) est dix fois inférieur à celui de mars au plus fort de l’épidémie.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie comme on l’a vu, de neurologie, d’endocrinologie, rhumatologie, d’insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de les chiffrer précisément avant des années, d’autant qu’il faudra aussi additionner l’excès de morts par suicide à venir à la suite du choc post traumatique subi. Comme nous l’avons déjà écrit la deuxième vague sera psychiatrique.[12]

 

Maladies nouvelles diagnostiquées et traitées avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations observée a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

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380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le plan blanc 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer mais ce chiffre semble être descendu de moitié. L’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne : « pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer”, explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès.”

Si on ajoute les morts prévisibles des autres pathologies, le bilan mortifère du plan blanc s’élève actuellement pour la France à plus de 25000-30000 morts.

 

Au total 25000 morts du Covid19 qu’on aurait pu éviter, 25000-30000 victimes collatérales par défaut de soins soit un total de plus de 50000 victimes du confinement. Ces estimations ne constituent que des minimas auxquels il faut ajouter celles des violences familiales, de l’explosion des pathologies psychiatriques et des suicides, d’une fracture sociale inédite entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées), une catastrophe éducative (avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent pas les autres enfants ni les adultes.

 

Les victimes de la crise économique parfois lointaines et ignorées

La crise économique du confinement s’annonce d’une ampleur inégalée depuis 1945 avec une diminution prévue de plus de 10% du PIB, des dépôts de bilan qui s’accumulent et le chômage reparti vers des records historiques.

La famine sévit déjà en France, où le nombre de pauvres a bondit de plus d’un million et ou les restaurants du cœur doivent faire face à des affluences record. De plus en plus de mamans témoignent : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et je ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

En Afrique l’aggravation de la famine dû à la crise économique du confinement va entraîner, plus d’une centaine de millions de morts d’après l’ONU et le programme alimentaire mondial contre la faim[13] .

 

Une Crise démocratique majeure sans équivalent depuis la dictature de vichy. Le gouvernement de la France qui prétend donner des leçons de démocratie au monde est dirigée depuis plus de six mois sous un état d’urgence plus autoritairement que Taiwan, la république de Corée ou Singapour dont les taux de mortalité Covid19 sont près de 100 fois inférieurs au nôtre, qui ne déplorent pas de victimes collatérales et dont les dégâts économiques s’annoncent deux fois moindres.

La poursuite de prétendues mesures sanitaires dont l’efficacité n’a jamais été prouvée contribue à aggraver la panique et à détruire l’économie.

Reconfiner priverait à nouveau inutilement nos enfants de leur éducation et ferait tellement de dégâts à notre économie déjà très malade que notre capacité à financer sur le long terme notre système de santé et d’autres services publics serait sérieusement entamée.

 

Que peut-ton faire ?

L’opposition – et pourquoi pas des députés et sénateurs de la majorité conscients de foncer dans le mur, et les grands médias doivent cesser d’être à la remorque du gouvernement et adopter une attitude critique constructive sans concession.

Les résultats réels catastrophiques du confinement français doivent être rappelés et dénoncés de même que la prolongation de l’état d’urgence et des mesures sanitaires totalement inutiles, voire nocives (port du masque toute la journée à haut risque d’infection) qui bloquent l’économie avec des normes fantaisistes jamais validées par aucune étude scientifique et des évictions de personnels non malades dont le seul tors a été de se faire tester.

Le Premier ministre norvégien E Solberg a reconnu à la télévision nationale Le 27 mai dernier. « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur » « fermer des écoles et des jardins d’enfants, faire travailler tout le monde à domicile ou limiter les rassemblements à un maximum de cinq personnes a été excessif » C Stoltenberg, directrice de l’Institut norvégien de santé publique a confirmé « le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19. ». Le président Macron se grandirait en reconnaissant, comme elle, avoir agi par peur d’une prophétie catastrophe manipulatrice.

Une politique sanitaire efficace doit être fondée sur l’expérience médicale des pays qui ont vaincu la maladie et pas sur des prédictions mathématiques qui se sont toutes révélées totalement fantaisistes. Plutôt que de prendre modèle sur la Chine, nous aurions dû méditer l’expérience de Taiwan, qui a démontré que « la meilleure façon de contenir le coronavirus n’est pas de mettre en quarantaine les informations sur l’épidémie, mais de les rendre plus faciles et plus pratiques pour personnes à accéder aux informations pertinentes. »

Arrêtons cette propagande de la terreur. Rassurons la population. Mettons fin à cette accumulation de mesures grotesques qui pourrissent inutilement la vie de nos compatriotes et vont achever l’économie.

L’épidémie est terminée et la deuxième vague dont on nous menace depuis quatre mois n’est qu’une vaguelette qui conforte progressivement, grâce aux jeunes, l’immunité collective qui protégera nos ainés comme elle le fait dès maintenant en Suède[14]

 

 

Retrouvons nos libertés pour redresser le pays.

Renforçons le système sanitaire en le libérant du carcan bureaucratique des ARS qui ont montré leur grave pouvoir de nuisance lors de cette crise[15].

Affectons immédiatement plusieurs milliards aux hôpitaux pour qu’ils accroissent leur capacité de réanimation, et l’effectif de leur personnel soignant en augmentant immédiatement d’au moins 300 euros les soignants au contact des malades et en allégeant leurs contraintes administratives. On ne manque pas d’infirmière ni de médecins en France mais leurs conditions de travail en ont dégouté un trop grand nombre ; redonnons-leur le plaisir de traiter les malades et d’être à nouveau utiles.

 

L’OMS lui-même réfute le confinement.

Le Dr David Nabarro a lancé un appel aux dirigeants mondiaux leur demandant d’arrêter « d’utiliser les confinements comme méthode de contrôle principale » du coronavirus. « Les confinements n’ont qu’une seule conséquence que vous ne devez jamais prendre à la légère, c’est qu’ils rendent les gens pauvres beaucoup plus pauvres » « Nous, au sein de l’Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle de ce virus ».

 

 

[1] Aucune des mesures de distanciation sociale qui ont été imposées ne repose sur des preuves scientifiques ni sur une utilisation médicale réussie. Seule la quarantaine a prouvé son efficacité.

[2] Professeur Christian Perronne 16 juin 2020 : « On a eu 30 000 morts en France, j’ai honte pour notre pays. Sur ces 30 000, on aurait pu en éviter 20 000 voire 25 000 »

[3] Par rapport à l’Allemagne qui n’a pas confiné mais pratiqué la prévention classique des épidémies par l’endiguement 24500 morts de trop en France estimation finale Christian Perronne avait vu juste France soir 5 8 2020 http://www.francesoir.fr/covid-19-24500-morts-de-trop-en-france-estimation-finale-christian-perronne-avait-vu-juste

[4] Avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes

[5] Entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées

[6] Chômage en forte hausse, baisse record du PIB. En France, il est estimé que les faillites d’entreprises devraient croître de 25 %, hausse similaire à ce qui est attendu en Italie et en Belgique. En comparaison, l’Allemagne et le Japon devraient mieux s’en tirer (+10 %) sur cette période.

[7] Le 9 10 au micro de BFM TV

[8] Seth Flaxman Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe Nature

. 2020 Aug ;584(7820) :257-261. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32512579/

[9] : Estudio nacional de sero–epidemiologia de la infection por SARS-COV-2 en Espana. Informe preliminar 13 de mayo de 2020.

[10] Parmi ce décompte de consultations, combien en télémédecine, combien avec examen clinique et contact direct en la présence du médecin et du patient ?

[11] Eloi Marijon*, Out-of-hospital cardiac arrest during the COVID-19 pandemic in Paris, France : a population-based, observational study Lancet Public Health 2020 May 27, 2020 https://doi.org/10.1016

 

[12] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vague-psychiatrique-deja-rude-ne-sera-pas-en-cloche : Les psychiatres ont mis en garde dès le début du confinement sur les effets pervers de l’enfermement chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées mais qui décompenseront. Curieusement, s’il l’on compte chaque jour les quelques patients malades du covid ou supposés tels, les vrais et faux positifs et surtout les consultants pour « angoisse de covid » qui constitue le nouvel indice de « vague », un silence de mort pèse sur le versant psychiatrique de cette crise majeure.

 

[13] D’après D Beasley, patron du PAM Lors d’une visioconférence du 21 avril au Conseil de sécurité de l’ONU

[14] D’après le rapport OMS -weekly-epi-update-9 du 9 octobre la France a compté dans la dernière semaine 110 665 nouveaux cas et 480 morts contre 2804 tests positifs et 5 morts en Suède.

[15] En particulier en refusant l’accès des réas puis de l’hôpital aux pensionnaires des Ehpad, en bloquant les soins et les interventions ordinaires durant le confinement et maintenant, en imposant des tests avant tout traitement ce qui aboutit à retarder inutilement les soins nécessair