Comment le mensonge mondial a-t-il perverti les plus vigilants et leur a-t-il fait accepter ces injections toxiques aux effets divers et variés, en particulier cognitifs ?
Même Philippe Bas, sénateur dévoué à la cause vaccinale depuis longtemps (et qui a d’ailleurs participé à imposer le pass en août 2021), avoue lors de la commission paritaire préalable au second vote de la loi au Parlement, un effet vaccinal plutôt désagréable. Cela devrait en surprendre quelques-uns, lui qu’il est difficile de traiter de complotiste !
Changements de mentalité, quand le réel revient au galop
Les propos stupéfiants de Philippe Bas sur les vaccinés : à contre-courant de la doxa covid imposée par le pouvoir depuis plus de deux ans :
« Tous les jours, des personnes meurent encore en France de cette maladie, dont une grande partie est d’ailleurs vaccinée, mais vulnérable au virus ».[1]
Cette phrase inattendue de Philippe Bas en dit long sur le retournement de situation depuis l’introduction du vaccin :
« Mais à y regarder de plus près, j’ai constaté que le vaccin était de moins en moins efficace non pas pour prévenir les formes graves de la maladie, mais pour faire barrière aux contaminations. En France, ce sont aujourd’hui très majoritairement des personnes vaccinées qui contractent la maladie et la transmettent. Le vaccin fait barrage dans un tiers des cas. Le test présente donc actuellement une efficacité supérieure. C’est la raison — et la seule raison ! — pour laquelle la commission des lois du Sénat, puis le Sénat dans son ensemble ont décidé que, dans cette circonstance exceptionnelle, seul un test négatif soit exigé, plutôt qu’une preuve de vaccination à jour. La durée du test dépendra du nouveau variant — soixante‑douze heures, trente-six heures, vingt-quatre heures…
“À y regarder de plus près”… Philippe Bas semble donc avoir découvert que la très abondante littérature jugée jusqu’ici complotiste sur l’inefficacité du vaccin n’était pas dénuée de fondement. Le vaccin ne ferait “barrage” que dans un tiers des cas à la contamination. Voilà pourquoi, officiellement, le Sénat s’oppose au rétablissement du certificat de vaccination (alors même que la Commission Européenne l’a institué et se bat pour l’imposer aux états)… »
TOUTES CES PERSONNES QUI AFFIRMENT EFFICACITÉ ET INNOCUITÉ DES INJECTIONS PEUVENT-ELLES S’AVOUER LEURS PROPRES ERREURS ?
Peut-être ne pouvons-nous rien pour elles, victimes du psychotraumatisme de la peur panique induite par l’intoxication quotidienne, comme les psychologues, telles Ariane Bilheran ou d’autres, nous l’ont démontré. L’expérience de l’attente des extraterrestres dans les années 1950 nous l’avait déjà fait découvrir.
Sauf le jour où…. Parfois semble — t-il un nouveau choc traumatisant qui inverse, annule ou atténue le précédent.. Laissons-les à leurs fausses certitudes, sans jugement, mais avec tristesse à leur choix erroné que nous respectons, même si nous les regrettons.
En tous cas, occupons-nous avec bonne conscience de ceux que l’on peut encore aider : les double vaccinés pour leur éviter la maléfique troisième dose (qui semble plus toxique par accumulation des doses probablement et peut-être modification du produit) ; ou sauver : leurs enfants non injectés, l’avenir de l’Humanité dont il faut sauvegarder la fertilité et le bon état général en ne leur infligeant pas une baisse de leur immunité, ou des atteintes cardiaques, cérébrales, hématologiques ou autres.
Que ceux qui traitent les vaccino prudents d’antivax alors qu’ils ne sont qu’anti-injection EXPÉRIMENTALE nous disent s’ils traitent aussi les agences internationales comme le VAERS pour les USA, EUDRAVIGILANCE pour l’agence européenne de l’UE, ou le MHRA pour les Anglo-saxons, de complotistes fous qui nieraient l’efficacité de l’injection et inventeraient les effets secondaires parfois dramatiques dont des décès.
Si les chiffres sont contestés (en plus comme en moins) rappelons que jusqu’au scénario covid, aucun nouveau médicament ni vaccin n’étaient laissés sur le marché après quelques dizaines de décès. Le nieront-ils aussi ? Jusqu’où l’aveuglement de la secte covid les a-t-il menés ?
Le Pr Montagnier lui aussi vilipendé avait prédit que les non-vaccinés sauveraient l’Humanité. Vu les propos délirants de personnes antérieurement intelligentes et clairvoyantes, la régression intellectuelle de proches après deux injections (avec perte de mémoire, d’orientation, voire de raisonnement), on peut malheureusement penser qu’il avait raison.
Pour ceux qui veulent encore savoir, faisons une nouvelle fois le point des effets secondaires de cette injection que même les sénateurs reconnaissent enfin comme inefficace[1] et au besoin envoyons ces dernières nouvelles aux sénateurs, députés, conseillers généraux, à tous les élus et à tous ceux que cela pourrait intéresser.[2]
Même sur le Site de L’ANSM ET EUDRAVIGILANCE
Les effets indésirables sont 20 fois plus importants en moins de deux ans qu’en 50 ans de statistiques sur tous les autres vaccins réunis. Pourquoi autant de soignants ont refusé celui-là, alors qu’ils ont accepté les autres ?
Jamais un vrai vaccin n’a entraîné un nombre comparable d’effets secondaires à l’injection expérimentale covid-19. Regardez les chiffres officiels fournis par le VAERS.
@YannBertin6 19 juil.
Plus de 1000 études et/ou rapports scientifiques sur les dangers associés aux injections Covid, liés à la coagulation du sang, la myocardite, la thrombose, l’anaphylaxie, la paralysie de Bell, les décès, etc. On peut débattre de tout sauf des chiffres
19 juil.
Des dizaines de milliers de victimes des « vaccins » COVID19 aux États-Unis appellent à l’aide alors que la communauté médicale leur tourne le dos !
rumble.com
Tens of Thousands of COVID-19 « Vaccine » Injured in the U.S. Begging for Help
Les données du Vaers et d’Eudravigilance concordent parfaitement, un paquet de personnalités connues ont eu des problèmes, il paraît qu’on peut débattre de tout sauf des chiffres. Plus de 1000 études sur le danger des injections
ici vous avez aussi les morts et blessés australiens que leur gouvernement a décidé d’indemniserau 6 juillet 2022
Et aussi l’évolutivité des myocardites
enfin une bonne conclusion d’un twittos :
Mercier @Art50Mercier20 juil.
Croire c’est pour les croyants Devenez plutôt sachant Allez creuser vérifier demander Revérifier comparer… Bref instruisez-vous 🧐 auprès des données officielles VAERS CDC FDA Eudravigilance etc… vous en êtes capable La question étant 🤔 En avez-vous envie ?
et pourtant tout le monde devrait savoir depuis deux ans et demi que le test PCR de C Drosten est une gigantesque arnaque mondiale ayant permis la mascarade, la peur, la terreur et donc la dissonance cognitive, les citoyens du monde perdant tout bon sens devant la pression médiatique continue toutes les heures, les messages subliminaux et l’extraordinaire trahison de trop de scientifiques et médecins, chroniqueurs et journalistes. D’autres ont sauvé l’honneur d’emblée mais ont été cachés, diffamés, censurés. Il est temps que cela cesse.
Pourtant en juillet 21 la FDA veut mettre fin aux tests pcr bidon
au 26/11/2021 nous commentions déjà les RÉVÉLATIONS CAPITALES DE LA FDA
Invention du récit Covid
La mystification par l’usage inapproprié du test PCR, dénoncée depuis octobre 2020 par l’avocat Reiner Fuellmich continue malgré sa condamnation en justice en octobre 2020 au Portugal.[1][2]
Partout dans les pays riches, les gouvernants imposent son usage mortifère grâce à la corruption de nombreux scientifiques et médecins, médias auxquels on laisse la parole, les nombreux autres étant diffamés menacés et muselés.
Actuellement, un simple test positif vous fait qualifier de « cas »,[3][4][5] vous déclare dangereux pour les autres, vous interdit de travail, d’école ou de sport et vous expose à des interrogatoires dignes de l’inquisition (la torture physique en moins) pour que vous dénonciez ceux que vous avez rencontrés, qui seront aussitôt déclarés cas contact et soumis à leur tour à la folie d’exclusion et de tests répétitifs.
Pour casser la chaîne de transmission, il faut isoler les vrais malades, ceux qui présentent des signes cliniques (fièvre, toux, fatigue, anosmie…) chez lesquels le test peut être utile pour confirmer le diagnostic d’infection virale (et guère plus) et laisser vivre normalement les asymptomatiques (qui ne sont que très exceptionnellement contaminateurs).
Chez une personne ne présentant aucun signe clinique, la positivité d’un test PCR n’indique absolument pas qu’elle est malade, ni qu’elle le deviendra, ni qu’elle est porteuse de virus, ni qu’elle peut le transmettre.
Ces constatations ont initialement été faites sur 3790 cas positifs.[6]
Leur confirmation définitive en a été réalisée lors du dépistage colossal (10 millions de personnes testées) autour de Wuhan[7] où aucun des 300 asymptomatiques positifs en PCR ne s’est révélé porteur de virus, ni contaminant, ni atteint par la maladie après un mois de surveillance.
Nous savons, ils savent, et nous savons qu’ils savent.[8]
Un document récent de la FDA admet enfin que le test PCR « Covid » a été développé sans échantillons viral spécifique isolé pour l’étalonnage des tests, admettant qu’il teste autre chose,[9] quelques séquences d’ARN insuffisamment spécifiques du virus
Le tristement célèbre test PCR pour le coronavirus (Covid-19) n’a pas été développé avec des échantillons réels, mais plutôt avec ce qui semble être du matériel génétique provenant d’un virus du rhume.
Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.
Pourtant les autorités savaient que de nombreuses personnes seraient testées « positives », leur permettant ainsi d’utiliser ces résultats pour créer le récit « Covid ».
Il n’existe aucun test légitime permettant d’identifier avec précision la présence du SRAS-CoV-2.
Une autre révélation dans le document récent est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » et donc produisent des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données pour soutenir un faux récit.
AINSI : « nous sommes maintenant à la croisée des chemins dans le monde entier. Le moment est à nous de décider si nous allons permettre à ce type de fascisme médical de persister et d’avoir un impact sur l’avenir de nos enfants. Ou si nous allons enfin dire non à la politique tyrannique du gouvernement. »[10]
Extraits choisis du document de la FDA de janvier 2020 et revu régulièrement (dernier en juillet 2021)
« Since no quantified virus isolates of the 2019-nCoV were available for CDC use at the time the test was developed and this study conducted, assays designed for detection of the 2019-nCoV RNA were tested with characterized stocks of in vitro transcribed full length RNA (N gene; GenBank accession : MN908947.2)
« Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et que cette étude a été menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN transcrit in vitro sur toute la longueur (gène N ; Accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant constitué d’une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.[11]
« Les résultats concernent l’identification de l’ARN du SRAS-CoV-2.
L’ARN du SRAS-CoV-2 est généralement détectable dans les échantillons des voies respiratoires supérieures et inférieures pendant l’infection. Les résultats positifs sont révélateurs d’une infection active par le SRAS-CoV-2, mais n’excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection par d’autres virus. L’agent détecté peut ne pas être la cause définitive de la maladie. Les laboratoires aux États-Unis et dans leurs territoires sont tenus de rapporter tous les résultats aux autorités de santé publique compétentes.
Les résultats négatifs n’excluent pas l’infection par le SRAS-CoV-2 et ne doivent pas être utilisés comme seule base pour le traitement ou d’autres décisions de prise en charge des patients. Les résultats négatifs doivent être combinés avec des observations cliniques, des antécédents du patient et des informations épidémiologiques. »
Autre extrait :
“NE PAS JETER : Informations importantes spécifiques au produit *** LIMITATIONS Ce test n’a pas été approuvé par la FDA. Ce test a été autorisé par la FDA en vertu d’une EUA pour une utilisation par des laboratoires autorisés. Ce test n’a été autorisé que pour la détection de l’acide nucléique à partir du 2019-nCoV, et non pour d’autres virus ou agents pathogènes.
Ce test n’est autorisé que pour la durée de la déclaration selon laquelle il existe des circonstances justifiant l’autorisation de l’utilisation d’urgence de diagnostics in vitro pour la détection et/ou le diagnostic du SARS-CoV-2 en vertu de l’article 564(b)(1) de la Federal Food, Drug, and Cosmetic Act, 21 U.S.C. § 360bbb-3(b)(1), à moins que l’autorisation ne soit résiliée ou révoquée plus tôt.”
“Mea Culpa de l’OMS”
L’OMS en avril 2021 avait attiré l’attention de l’invalidité de trop des tests PCR surtout lorsque les laboratoires utilisent fallacieusement des amplifications du signal trop élevées. Aucun compte n’a été tenu de cette mise en garde, du moins dans la plupart des labos français.[13]
“Vous trouverez ci-dessous la ‘rétractation’ soigneusement formulée par l’OMS. Le texte intégral avec le lien vers le document original est en annexe« [14]
La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.
L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV[15] que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente.
Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. (emphase ajoutée par l’auteur).”
Estimations erronées
Ce n’est pas une question de “faibles positifs” ou de “risque de faux positifs”. L’enjeu relève au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l’OMS d’une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n’ont aucune base scientifique.
Ce que cette déclaration contradictoire de l’OMS confirme, c’est que l’estimation du Covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est tout simplement invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de répéter le test PCR :
“il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test…”.
“Retester, On s’est trompé…”. Cette recommandation de RÉPÉTER LE TEST n’a aucun sens. C’est une impossibilité. Des millions de personnes dans le monde entier ont déjà été testées, à partir du début février 2020. Il s’agit néanmoins de conclure que la recommandation contradictoire de l’OMS de “retester” confirme sans équivoque QUE CES ESTIMATIONS PCR RELATIVES À LA Covid SONT TOUT SIMPLEMENT ERRONÉES.[16]
Au point de départ en janvier 2020, le test PCR fut (de manière routinière) appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR appliquée dans 193 pays membres des Nations Unies a mené au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid surestimées et trompeuses.
Et ce sont ces statistiques (erronées) qui servent à mesurer l’évolution de ladite “pandémie”.
Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas spécifiquement les segments du virus . Par conséquent, ces chiffres n’ont aucun sens.
Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.
Ce qui signifie également que le verrouillage (confinement) ainsi que les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, l’accroissement extrême de la pauvreté et le chômage (dont l’objectif annoncé par les gouvernements était de freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification ».
Par ailleurs d’autres scandales éclatent par rapport au test PCR[17]
La US Food and Drug Administration a émis « le type de rappel le plus sérieux » pour des kits de test à domicile populaires qui indiquent si une personne est infectée par le coronavirus. Au moins 2,2 millions de produits pourraient avoir donné de faux positifs.
Quelques 2 212 335 kits produits par la société de biotechnologie Ellume, basée en Australie, et distribués aux États-Unis, présentent potentiellement des résultats faussement positifs au test de dépistage du SARS-CoV-2, a indiqué l’agence de santé publique dans un communiqué récent en novembre 21.
La FDA a averti que l’utilisation de kits défectueux « peut entraîner de graves conséquences néfastes pour la santé ou la mort », qualifiant le cas de « rappel de classe I ».
En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même.
Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies : le comptage des malades et celui des morts de la maladie.
Et si à l’avenir on voulait protéger nos frontières ce n’est pas à ce faux tests qu’il faudrait recourir pour refuser l’entrée ou imposer une quarantaine mais à l’examen médical et aux tests de culture virale.
Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère Maladies infectieuses cliniques, 28/9/2020 ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491[⮬]
France info avec AFP : Après avoir mobilisé plus de 28 000 soignants sur plus de 2 800 sites, les autorités de Wuhan (Chine) ont réalisé la plus vaste opération de dépistage du Covid-19 chez onze millions d’habitants pour un prix de 127 millions de dollars lundi 9 août 2020…[⮬]
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg00Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-07-25 13:31:022022-07-25 17:02:14La mystification des tests PCR continue en France via le Sénat et ruine la sécurité sociale
ATTENTION MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS REIMPOSER LE MASQUE
« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement lié à l’existence commune ».
Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité.
Il est bien triste que la première ministre néozélandaise 1ne soit pas informée de la littérature internationale sur le masque ou ne veuille pas en tenir compte
Etre plus royaliste que le roi ne mène qu’à des désastres, que Mr Ciotti se le dise ! Le populisme qui consiste à imposer ce qu’on croit être le vœu du peuple est toxique.
« Jacinda Ardern se dit « déconcertée » par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque.. »
« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.
Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».
UNE MUSELIÈRE NÉGATION DU RAPPORT A L’AUTRE, NÉGATION DE L’ÊTRE
Qui peut s’en étonner. Des dizaines d’articles ont déjà démontré depuis le début de la folie covid que le masque n’est qu’une muselière fort symbolique des pouvoirs désireux de mater leur population et qu’il est parfaitement incapable de limiter les contaminations covid..
Nous avions écrit à ce sujet en octobre 21 une petite tribune inspirée de Jean-Claude Paye et Tülay Umay (Mondialisation.ca, 01 octobre 2021)2 :
« Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position « d’être un » avec l’intentionnalité du pouvoir. Il représente une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible.
Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.
Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.
Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement lié à l’existence commune.
Le covidisme impose l’obligation de se taire. Le langage doit être vidé de sa fonction. Ce qui doit gouverner relève d’une mécanique mimétique. Le port du masque est alors un refus de ce qui fait de nous des êtres humains, c’est une négation du rapport à l’Autre. »
Malgré la disparition du virus de la covid remplacé par des variants de moins en moins contagieux, les gouvernements mondialistes imaginent de réimposer le masque obligatoire dès que possible. Objet de contraintes psychologiques qui isolent les personnes, bloquent de fait les conversations et enferment la population dans la peur, l’angoisse l’isolement.
Il FAUT REFUSER LE PORT DU MASQUE INUTILE (les virus passent allègrement les pores,( c’est écrit sur la boite) et toxique sur différents plans comme cela a été démontré à de nombreuses reprises par des auteurs de tous pays. Il favorise les surinfections bactériennes, les mycoses et diminue l’apport correct d’oxygène tout en favorisant sa propre intoxication par son CO2 mal expulsée.
Summit.news rapporte : Le taux de mortalité par habitant du COVID en Nouvelle-Zélande a également dépassé celui de l’Australie en mars, en dépit de ses obligations strictes en matière de masques, et est resté plus élevé depuis.
« À Singapour, les taux de mortalité sont passés sous la barre de l’Australie en avril après avoir fait la course en tête entre octobre et Noël, mais ils font maintenant une folle remontée et sont prêts à dépasser à nouveau l’Australie », rapporte le Daily Mail.
« Bien sûr, ce n’est que le dernier exemple en date qui montre que les masques ne font rien ou presque pour empêcher la propagation des virus en suspension dans l’air, et peuvent même aggraver les choses », écrit Will Jones.
La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes »3.
Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.
« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.
Une étude menée au Danemark auprès de 6 000 participants4 a également révélé qu’« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.
Malgré les données accablantes selon lesquelles les masques sont inutiles ou peuvent même exacerber le problème, certains pays se préparent déjà à les réintroduire. L’Allemagne est prête à réimposer son obligation de porter un masque en septembre, bien que la vague estivale de COVID ait déjà « perdu de son élan » . Ces règles seraient en passe de devenir permanentes si les citoyens ne s’y opposent pas de toutes leurs forces.
Rappelons notre revue récente de la littérature internationale 5 (toutes les références des articles ci-dessous insérées). Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masquemême dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.
Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination
L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.
Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.
D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.
La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel: « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.
Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :
« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».
Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.
Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous le (faux) prétexte qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq196 ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.
Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.
Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est près de deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !
Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :
comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.
Et pourquoi ce masque est-il dangereux : l’effet FOEGEN
L’étude observationnelle – « The Foegen Effect: A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate »7(L’effet Foegen : Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de mortalité des cas COVID-19) – a été publiée dans la revue Medicine en février 2022, sous la direction du médecin allemand Zacharias Fögen.8
Thenationalpulse.com rapporte : L’article a analysé « si le port obligatoire du masque a influencé le taux de mortalité par cas au Kansas » pendant la période allant du 1er août 2020 au 15 octobre. Le Kansas a été utilisé à des fins de comparaison parce que l’État a permis à chacun de ses 105 comtés de décider de mettre en œuvre ou non le port obligatoire du masque, 81 comtés ayant décidé de s’opposer à cette mesure.
« La conclusion la plus importante de cette étude est que, contrairement à la pensée admise selon laquelle moins de personnes meurent parce que les taux d’infection sont réduits par les masques, ce n’était pas le cas », résume l’article.
« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que les obligations de masques ont en fait causé environ 1,5 fois le nombre de décès ou ∼50% de décès supplémentaires par rapport aux mandats sans masque. »
« Une justification de l’augmentation du RR en rendant le masque obligatoire est probablement que les virions qui pénètrent ou ceux qui sont crachés dans les gouttelettes sont retenus dans le tissu du masque facial, et après une évaporation rapide des gouttelettes, les gouttelettes hypercondensées ou les virions purs (virions qui ne sont pas à l’intérieur d’une gouttelette) sont réinspirés à une très courte distance pendant l’inspiration. »
Baptisée « effet Foegen », cette théorie suggère que les virions du COVID-19 « se propagent (en raison de leur plus petite taille) plus profondément dans les voies respiratoires ». « Ils contournent les bronches et sont inhalés profondément dans les alvéoles, où ils peuvent provoquer une pneumonie au lieu d’une bronchite, ce qui serait typique d’une infection virale. »
Un autre article publié dans la revue Cureus9 et intitulé « Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe » (Corrélation entre le respect du port du masque et les résultats du COVID-19 en Europe) est arrivé à la conclusion étonnante que plus le taux de respect du masque est élevé, plus le taux de cas de COVID-19 est élevé.
Pour ceux qui ne sont pas très au fait des statistiques, c’est exactement le contraire de ce que les chercheurs devraient trouver si les masques étaient effectivement « efficaces ».
« Le masquage a été l’intervention non pharmaceutique la plus courante au cours de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19) », indique l’article. « La plupart des pays ont mis en œuvre des recommandations ou des obligations concernant l’utilisation de masques dans les espaces publics. L’objectif de cette courte étude était d’analyser la corrélation entre le port du masque et les taux de morbidité et de mortalité au cours de l’hiver 2020-2021 en Europe. Les données de 35 pays européens sur la morbidité, la mortalité et l’utilisation de masques pendant une période de six mois ont été analysées et croisées. »
« Ces résultats indiquent que les pays ayant des niveaux élevés de respect des masques n’ont pas obtenu de meilleurs résultats que ceux ayant une faible utilisation des masques », écrit l’auteur Beny Spira, professeur à Sao Paolo.
« Pour cette analyse, tous les pays européens, y compris l’Europe de l’Ouest et de l’Est, comptant plus d’un million d’habitants ont été sélectionnés, ce qui représente un total de 602 millions de personnes. Tous les pays analysés ont connu un pic d’infection au COVID-19 pendant ces six mois », écrit le professeur avant de fournir l’ensemble des données.
« De manière surprenante, de faibles corrélations positives ont été observées lorsque le respect du masque a été rapporté à la morbidité (cas/million) ou à la mortalité (décès/million) dans chaque pays », note l’étude.
Le professeur montre un diagramme de dispersion de la conformité des masques par rapport aux cas et aux décès par million, ainsi qu’une ligne de régression ajustée. Comme on peut le voir, la relation est positive (pas bonne).
« Bien qu’aucune conclusion de cause à effet n’ait pu être déduite de cette analyse observationnelle, l’absence de corrélations négatives entre l’utilisation de masques et les cas et décès de COVID-19 suggère que l’utilisation généralisée de masques à un moment où une intervention efficace était la plus nécessaire, c’est-à-dire pendant le fort pic automne-hiver 2020-2021, n’a pas permis de réduire la transmission de COVID-19 », conclut l’étude. « En outre, la corrélation positive modérée entre l’utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l’utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences néfastes involontaires. »
Les résultats de l’étude sur les masques sont similaires à ceux des chercheurs dirigés par Harvard lorsqu’ils ont constaté que plus les taux de vaccination d’une nation étaient élevés, plus les taux de cas étaient élevés. L’étude de Harvard, portant sur 68 nations et 2 947 comtés des États-Unis, a été publiée dans le European Journal of Epidemiology à la fin de 2021.
AUCUN GOUVERNEMENT JOURNALISTES ACADÉMIES OU AUTRES NE PEUVENT AFFIRMER UN EFFET BÉNÉFIQUE DU MASQUE
BIEN AU CONTRAIRE IL FAUT LES JETER (de surcroit ils polluent la planète qu’on oublie bizarrement !)10
Le port du masque est source de nombreuses complications11
Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.
Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.
L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.
Complications cutanées
La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente. Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI.12
Hypoxie et troubles respiratoires
En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.
Beder et all ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.
Kisielinski K et ses coauteurs montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.
L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).
Problèmes de communication
Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.
Tsantanie et ses coauteurs montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.
La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise, ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste joue un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.
Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques
Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.
Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.
En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.
Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.
Les troubles psychologiques et psychiatriques
Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui.
Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.
Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.
L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress, d’abord constatée en Chine s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.
Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.
D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.]
Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade
Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.
Dans sa version française:
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.
Ou dans sa version internationale du serment de Genève :
JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient
D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.
Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.
L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.
Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.
Et s’ils craignent encore qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.
L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France
Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine que de porter un masque! Il faut rester méfiant car le pouvoir veut nous faire prescrire du Paxlovid à la rentrée inefficace toxique et cher
« C’est plus une question de principe de savoir où se trouve l’autorité. »
Lors de son passage récent sur Fox News, Anthony Fauci a semblé admettre que les efforts de l’administration Biden pour rétablir l’obligation de porter un masque dans les avions et les trains visaient à préserver l’« autorité » sur les décisions de santé publique, et non à assurer la sécurité des personnes.
7 Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18;101(7 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/ .
12 L’étude coréenne de Choi SY précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.
Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/CovidMascarade.jpg21201337Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-07-23 18:47:162022-07-23 18:47:16Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle Zélande juillet 21, 2022
NOUS RELAYONS CET APPEL AU BON SENS ET AU PARTAGE DE LA PETITION
NE TOUCHE PAS A MON DOC
Citoyens comprenez bien que sans liberté de soigner, il n’y a pas de médecine. Vous le vivez au quotidien depuis deux ans et demi pour l’ensemble de la population. Les petits et grands cancéreux ont été victimes depuis les années 2000 avec l’avènement des plans cancer des conséquences parfois dramatiques de la disparition du choix du traitement par le patient et par son médecin. CETTE DICTATURE SANITAIRE DOIT CESSER. Nous cotisons tous à la sécurité sociale. Ce n’est pas pour enrichir big Pharma qui impose ses molécules chères et inefficaces à tous via les agences et les réunions multidisciplinaires. Si vous n’obéissez pas, votre structure n’aura plus le droit de soigner. Les « protocoles » sont le choix de la technostructure et non le meilleur traitement adapté à vous-même.
le même principe s’applique aux médecins de ville qui vous ont soigné et préféré les traitements précoces efficaces au non traitement via le 15, le doliprane toxique et le rivotril pour euthanasier les personnes âgées en EHPAD ou en hospitalisation à domicile. Les vrais médecins fidèles à leur serment et à leurs patients sont poursuivis. Ils sont l’honneur de la médecine. Faites le savoir et sauvons-les ainsi que les futurs patients.
Bon Sens, [21/07/2022 16:04]
Dernièrement, les Directions régionales du Service médical (DRSM, service de la « sécu ») ont transmis au Conseil de l’Ordre des médecins la liste des médecins ayant prescrit des traitements ambulatoires dans le cadre de la Covid. Suite à ce signalement, l’Ordre convoque de nombreux médecins sur l’ensemble du territoire. Pour soutenir les « Docs » qui ont tenu bon au long de cette crise, qui ont gardé la tête sur les épaules, qui ont continué à nous informer, à nous soigner. Pour protéger une médecine individualisée, adaptée à chaque patient, adaptée à chaque histoire, où chaque médecin peut agir en conscience au service du patient qui le lui demande.
Si les médecins qui ont soignés sont attaqués, qui sera là pour nous à la prochaine épidémie ?
Bienvenue sur l’espace « Touche pas à mon Doc ». Sur cet espace, vous pourrez déposer, lire et partager des témoignages de patients ou de professionnels face à la crise.
Le site, https://tpmd.fr/
Canal Télégram, https://t.me/TpmdFr
Bon Sens, [21/07/2022 16:04]
Leur Manifeste,
« Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM). En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.
À l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.
Nous sommes médecins, nous avons refusé de céder à la fatalité du « on ne peut rien faire ». Nous avons cherché, nous nous sommes questionnés et avons beaucoup échangé. Nous avons appris à connaitre cette maladie. Nous avons continué à prendre soin de nos patients comme nous l’avions toujours fait dans les contextes d’épidémies virales. Nous avons continué à accueillir tous les patients. Nous les avons examinés, nous les avons rassurés, leur avons enseigné les signes d’alerte, nous les avons accompagnés tout au long de la maladie. Nous avons fait de notre mieux, en conscience. Nous avons pris la responsabilité de leur proposer les traitements les plus adaptés en accord avec les données actualisées des recherches scientifiques.
Nous sommes de simples citoyens, nous ou nos proches avons été malades. Face à la maladie, nous nous sommes sentis seuls et démunis. Nous avons parfois entendu cette phrase « on ne peut rien faire, attendez, et si vraiment cela ne va pas, faites le 15 ». Puis nous avons trouvé un médecin qui a accepté de nous soigner. Parfois lorsque nous étions déjà dans un état préoccupant. Un médecin qui nous a accueilli, rassuré, accompagné. Un médecin qui nous a permis de faire face à la maladie, qui nous a redonné de l’espoir, nous a progressivement accompagné vers la guérison. Un médecin qui nous a permis de retrouver confiance dans la médecine. Nous refusons que les médecins puissent se sentir intimidés.
Si les médecins sont privés de leur indépendance professionnelle, de leur liberté de prescription, quelle sera la médecine de demain ? Une médecine de protocole, dictée par qui ? Nous serons présents aux côtés de ceux qui ont pris soin de nous, pour prendre soin d’une médecine individualisée. »
Disons aujourd’hui fermement, TOUCHE PAS À MON DOC ! Pour signer le manifeste, https://tpmd.fr/manifeste/
Manifeste
Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM).
En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.
A l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.
Nous sommes médecins, nous avons refusé de céder à la fatalité du « on ne peut rien faire ».
Nous avons cherché, nous nous sommes questionnés et avons beaucoup échangé.
Nous avons appris à connaitre cette maladie.
Nous avons continué à prendre soin de nos patients comme nous l’avions toujours fait dans les contextes d’épidémies virales.
Nous avons continué à accueillir tous les patients. Nous les avons examinés, nous les avons rassurés, leur avons enseigné les signes d’alerte, nous les avons accompagnés tout au long de la maladie.
Nous avons fait de notre mieux, en conscience.
Nous avons pris la responsabilité de leur proposer les traitements les plus adaptés en accord avec les données actualisées des recherches scientifiques.
Nous sommes de simples citoyens, nous ou nos proches avons été malades.
Face à la maladie, nous nous sommes sentis seuls et démunis.
Nous avons parfois entendu cette phrase « on ne peut rien faire, attendez, et si vraiment cela ne va pas, faites le 15 ».
Puis nous avons trouvé un médecin qui a accepté de nous soigner. Parfois lorsque nous étions déjà dans un état préoccupant.
Un médecin qui nous a accueilli, rassuré, accompagné.
Un médecin qui nous a permis de faire face à la maladie, qui nous a redonné de l’espoir, nous a progressivement accompagné vers la guérison.
Un médecin qui nous a permis de retrouver confiance dans la médecine.
Nous refusons que les médecins puissent se sentir intimidés.
Si les médecins sont privés de leur indépendance professionnelle, de leur liberté de prescription, quelle sera la médecine de demain ? Une médecine de protocole, dictée par qui ?
Nous serons présents aux côtés de ceux qui ont pris soin de nous, pour prendre soin d’une médecine individualisée.
Nous disons aujourd’hui fermement :
TOUCHE PAS À MON DOC !
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/07/TOUCHE-PAS-A-MON-DOC.jpg602677Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-07-21 19:28:102022-07-21 19:31:30Protégeons les médecins poursuivis pour avoir soigné: TOUCHE PAS A MON DOC
Le certificat COVID numérique de l’UE est entré en vigueur le 1er juillet 2021. Son règlement a été officiellement modifié le 14 juin 2022 prolongeant sa durée jusqu’en 2023. Le but officiel de ce passe sanitaire européen serait de « faciliter la libre circulationentre les pays membres » alors qu’en réalité il empêche la circulation des non-vaccinés et viole ainsi les principes fondateurs de l’Union européenne : libre circulation et non-discrimination des citoyens.
Ce certificat COVID numérique exprime en réalité la volonté de la Commission européenne de ficher tous les citoyens pour possiblement instaurer un contrôle de la population à la chinoise. Nous rappellerons ici que ce certificat comme tous les passes :
1°) n’a aucune efficacité contre la propagation de l’épidémie ;
2°) parce que les vaccins sont inefficaces ;
3°) il constitue un pur chantage pour forcer le consentement à des médicaments expérimentaux ;
4°) il crée une discrimination intolérable entre les citoyens ;
5°) il organise la conservation illimitée des données personnelles particulièrement sensibles.
Les passes sanitaires ont tous été totalement incapables de ralentir la diffusion de l’épidémie
Nous l’avons observé en France (données de l’OMS) avec l’explosion des cas début 2022 :
Même constatation en Roumanie en février 2022 :
Mais aussi en Suède :
Cette incapacité des passes à enrayer l’épidémie a été constatée dans tous les pays qui les ont instaurés comme le montre le graphique ci-après des évolutions de l’épidémie en Europe.
Les passes donnent un faux sentiment de sécurité favorisant l’abandon des précautions d’hygiène propice à la reprise des contaminations.
L’échec total des passes a motivé leur abandon dans la quasi-totalité des pays qui les ont utilisés. Cet échec résulte de l’inefficacité des pseudo vaccins à empêcher les transmissions.
La pseudo vaccination est inefficace contre les transmissions et paraît même les augmenter !
Soulignons que les pseudo vaccins qu’on tente de nous imposer ne sont pas des vaccins (ils ne contiennent aucun antigène ni aucune anatoxine), mais des médicaments. Ils sont de plus expérimentaux, puisque leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023. Leur utilisation généralisée en population mal informée constitue un essai qui ne respecte pas les conditions de surveillance traditionnelles, ni le code de Nuremberg, ni la convention d’Oviedo (cf infra) que la France a signée et nous est opposable.
Fin octobre 2021, trois adultes sur quatre dans l’UE étaient complètement vaccinés. Or, dans le même temps, on observait une recrudescence de la pandémie de Covid-19 dans de nombreux États membres. La comparaison avec l’Afrique et les USA suggère même qu’un taux élevé de vaccinations dans une population serait susceptible d’augmenter le risque de contaminations ainsi que le montre le graphique suivant :
L’Afrique, très peu vaccinée (10 %), mais qui utilise des traitements antipaludéens, comptabilise 60 fois moins de cas par million d’habitants (8000 cas/M) que la France (477 000 cas/M). Et on ne peut pas prétendre que c’est l’âge plus jeune des Africains qui explique telle différence, car si la gravité de la maladie est très dépendante de l’âge la contamination l’est beaucoup moins.
Un des buts du certificat covid européen est de contraindre les Européens à accepter les injections
En réalité le certificat Covid numérique de l’Union européenne ne veut qu’institutionnaliser le chantage « vacciné continuellement ou astreint à résidence dans son pays ». Pour ce faire elle recommande aux États membres de se mettent d’accord sur une durée de validité de neuf mois pour les certificats, pour forcer l’acceptation de doses de rappel itérative six mois après le schéma complet de vaccination.
Si son but était de faciliter la circulation, comme elle le prétend, elle exigerait la suppression de toutes les mesures de restrictions des libertés comme le font d’ailleurs progressivement presque tous les États européens (sauf la France, Malte et l’Italie)
Mais la commission a commandé 1,3 milliard de doses qu’elle veut nous injecter de force alors que pourtant elle ne peut plus ignorer que les pseudo vaccins sont inefficaces et dangereux. !
Ce contournement du consentement libre et éclairé pour tout acte médical sur l’être humain, contraire au serment d’Hippocrate de l’association médicale internationale.[1][2]
De plus comme les injections sont expérimentales, leur utilisation constitue un essai qui viole la convention d’Oviedo[3][4] signée par les pays européens et qui stipule entre autres :
« L’intérêt et le bien de l’être humain qui participe à une recherche doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. »
Article 12 — Absence de pression :
« Aucune pression y compris d’ordre financier, ne sera exercée sur des personnes pour obtenir leur participation à une recherche »
Article 13 — Information à fournir aux personnes participant à une recherche :
« Les personnes sollicitées pour participer à un projet de recherche reçoivent une information adéquate, sous une forme compréhensible ».
Lors du procès des médecins à Nuremberg, huit des médecins accusés ont été condamnés à mort précisément parce qu’ils avaient imposé des traitements expérimentaux (dont plus de la moitié étaient des vaccins) sans demander le consentement libre et éclairé des participants.
Ce certificat européen crée une discrimination majeure, inefficace et nocive entre citoyens
Entre les vaccinés autorisés à voyager d’un pays à l’autre et les autres, devenus citoyens de seconde zone parce qu’ils n’acceptent pas l’injection expérimentale parfaitement inefficace contre la transmission virale. Une telle discrimination entre citoyens privant de travail de nombreux pompiers et soignants parce qu’ils sont vaccino prudents n’avait plus été instituée en Europe depuis celle des juifs par les nazis. Outre qu’elle est contraire à l’éthique, elle est totalement disproportionnée puisque totalement inefficace contre la propagation de la maladie.
Les conséquences délétères de cette discrimination sont considérables puisqu’elle prive les vieux des Ehpads et les hospitalisés de visites, les malades non vaccinés de consultations programmées et les hôpitaux d’un personnel devenu si rare que les urgences ferment et que les blocs opératoires rationnent les interventions pendant que le nombre de déserts médicaux augmente rapidement.
La commission européenne montre qu’elle est douée d’humour puisqu’elle proclame dans les attendus de son certificat covid : « toute mesure restreignant la libre circulation doit être non discriminatoire et proportionnée. »
Mais le but réel est peut-être le stockage informatique des données les plus personnelles des citoyens afin de les préparer à un « crédit social » à la chinoise ?
En France, nous avons l’expérience du provisoire qui dure longtemps. Le certificat sanitaire européen organise le stockage électronique de données médicales personnelles particulièrement sensibles qui avait d’ailleurs été refusé lors de la progression du Sida pourtant autrement plus mortifère.
La commission prétend que ces informations sont protégées et seulement détenues par chaque gouvernement, mais l’expérience du piratage de sites extrêmement protégés (pentagone, CIA…) et l’hébergement de nos données par des organismes américains rendent cette prétendue sécurisation très douteuse.
Alors pourquoi la commission s’obstine-t-elle à pérenniser sans date limite définitive un fichage inefficace contre une épidémie avec laquelle on nous dit « qu’il faut vivre avec ? »
On peut craindre que ce passe rebaptisé constitue l’amorce du fichage global de la population auquel la commission demandera d’ajouter bientôt le profil énergétique de chacun (pour sauver la planète !) puis ses informations financières (pour lutter contre les trafics de drogues !), et bancaires (pour imposer la suppression de l’argent liquide) puis fiscales… le but de ce fichage global de la population étant le contrôle total de la population à la chinoise.
Les vrais démocrates ne peuvent que refuser ce certificat qui n’a aucun intérêt sanitaire, qui instaure une discrimination majeure sous un prétexte sanitaire. Depuis 2 siècles nous avons toujours vaincu les pires épidémies modernes (peste, choléra, typhus, typhoïde, Hépatite A, poliomyélite, dysenterie…) par l’hygiène sans aucune restriction de nos libertés. Nous n’avons aucune raison scientifique d’en accepter pour cette mauvaise grippe appelée Covid, car lorsqu’on accepte une perte de liberté transitoire, on ne sait jamais si on pourra un jour la récupérer.
La liberté est le plus précieux des droits fondamentaux conquis par nos ancêtres. Ne laissons plus des gouvernants totalitaires nous en priver sous de vains prétextes !
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/07/armes-de-guerre-evolution.jpg530458Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-07-21 18:57:522022-07-21 18:57:52Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens
« Un film d’horreur » selon les démissionnaires des agences de santé américaines[1]
Par Nicole Delépine
« Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. »
Les agences de santé publique des États-Unis ne « suivent pas la science », disent des responsables démissionnaires. « Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire. »
Voici en résumé ce que racontent les fonctionnaires des agences de santé des USA qui n’en peuvent plus de tant de mensonges depuis deux ans mettant en péril la vie de leurs concitoyens.
« Les appels et les SMS sont implacables. À l’autre extrémité se trouvent des médecins et des scientifiques aux plus hauts niveaux des NIH[2], de la FDA et du CDC. Ils sont diversement frustrés, exaspérés et alarmés par l’orientation des agences auxquelles ils ont consacré leur carrière ».
Les hauts responsables conscients n’en peuvent plus ! « C’est comme un film d’horreur que je suis obligé de regarder et je ne peux pas fermer les yeux », a déploré un haut responsable de la FDA. »
Ils ont toléré longtemps, très longtemps, peut-être naïfs au début, mais vite conscients du rôle pervers qu’on leur faisait jouer. Mais pour comme nos pompiers suspendus sans salaire (alors que la France brûle, nos médecins et personnel soignant également écartés de leur fonction avec mépris, diffamation et sans salaire, ni RSA), démissionner est un acte difficile parfois quasiment impossible. Nos « malgré nous » injectés parce que devant continuer à payer la maison, nourrir les enfants et… de plus, faire cesser les drames avec le conjoint, la famille, d’un autre avis, pour ne pas divorcer, ne pas couper tout lien, comprennent bien ce qu’ont ressenti les fonctionnaires des agences américaines qui parlent aujourd’hui comme probablement voudraient le faire ceux des agences européennes qui se taisent encore par peur…
Ils ont tout toléré, mais l’attaque frontale des nourrissons en a fait exploser un certain nombre. Ces enfants et a fortiori nourrissons qui ne risquent RIEN du covid et qu’on voudrait nous forcer à injecter.
La goutte d’eau a fait craquer ce médecin de la FDA qui fait référence à deux développements récents au sein de l’agence :
— comment, en l’absence de données cliniques solides, l’agence a-t-elle autorisé les vaccins Covid pour les nourrissons et les tout-petits, y compris ceux qui avaient déjà le Covid ?
— deuxièmement, le fait que quelques mois auparavant, la FDA a contourné ses experts externes pour autoriser les injections de rappel pour les jeunes enfants.
« Ce médecin n’est pas seul. Au NIH, les médecins et les scientifiques se plaignent auprès de nous d’un moral bas et d’un manque de personnel : le Centre de recherche sur les vaccins des NIH a vu beaucoup de ses scientifiques principaux partir au cours de la dernière année, y compris le directeur, le directeur adjoint et le médecin en chef ».
Il semble bien que le bateau NIH n’ait plus de capitaine et que de très nombreux postes soient à pourvoir, y compris des emplois de haut niveau. Le CDC[3] a connu un exode similaire.
Bien que les bénéfices aient été élevés, « le moral est bas », selon un haut responsable du CDC. « Les choses sont devenues si politiques, pourquoi sommes-nous là ? » Un autre scientifique du CDC dit : « J’étais fier de dire aux gens que je travaille au CDC. Maintenant, je suis gêné. »
Pourquoi gênés ? Leur travail n’a plus rien à voir avec la science, la vraie, celle du doute légitime, celle des données non truquées au gré des ordres du ministère, etc.
Une réponse détaillée a été reçue par les auteurs. Les fonctionnaires ne supportent plus « que les dirigeants de leurs agences utilisent des données faibles ou erronées pour prendre des décisions de santé publique d’une importance cruciale ».
« Que de telles décisions sont motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens à Washington ou pour l’administration Biden. Et qu’ils se concentrent comme des myopes sur un virus plutôt que sur la santé globale ».
LA LIMITE ENFIN DÉPASSÉE ?
Mais trop c’est trop et toucher aux enfants est peut-être enfin la limite qu’on ne peut franchir.
On l’a longtemps espéré en France comme aux USA devant le confinement invraisemblable d’enfants innocents du covid, devant le port du masque devant des nourrissons qui ne savent plus ce qu’est un nez une bouche après 18 mois d’adultes muselés devant eux, des petits en maternelle qui n’apprennent plus à parler, des enfants en élémentaire qui n’apprennent plus à lire, etc. On espérait que la population réagirait, enfin…
La politique officielle de santé publique concernant les enfants et le Covid a fait craquer les employés des agences. Voici ce qu’ils résument :
« Premièrement, ils ont exigé que les jeunes enfants soient masqués dans les écoles. Sur ce point, les agences se sont trompées. Des études convaincantes ont révélé plus tard que les écoles qui masquaient les enfants n’avaient pas de taux de transmission différents. Et pour le développement social et linguistique, les enfants ont besoin de voir les visages des autres.
Viennent ensuite les fermetures d’écoles. Les agences avaient tort — et de manière catastrophique. Les enfants pauvres et minoritaires ont subi une perte d’apprentissage avec une baisse de 11 points des scores en mathématiques et une baisse de 20 % des taux de réussite en mathématiques. Il existe des dizaines de statistiques de ce genre. »
« Ensuite, ils ont ignoré l’immunité naturelle. Encore une fois, c’est faux. La grande majorité des enfants ont déjà eu le Covid, mais cela n’a fait aucune différence dans les obligations globales pour les injections infantiles.
« Et maintenant, en rendant obligatoires les vaccins et les rappels pour les jeunes en bonne santé, sans données solides à l’appui, ces agences ne font qu’éroder davantage la confiance du public ».
ET LA HONTE MONTA ENCORE ET ENCORE ET LE POUVOIR SE RETROUVA DE PLUS EN PLUS SEUL
Une scientifique du CDC :
« Le CDC n’a pas réussi à équilibrer les risques de Covid avec d’autres risques liés à la fermeture des écoles ». Les pertes d’apprentissage, les exacerbations de la santé mentale étaient évidentes dès le début et celles-ci se sont aggravées à mesure que les directives insistaient pour garder les écoles virtuelles. Les directives du CDC ont aggravé l’équité raciale pour les générations à venir. Il a SACRIFIE cette génération d’enfants. »
confirmant les données de notre livre « Les enfants sacrifiés du covid »[4]
Un responsable de la FDA :
« Je ne peux pas vous dire combien de personnes à la FDA m’ont dit : “Je n’aime rien de tout cela, mais j’ai juste besoin de prendre ma retraite. »
LA POURSUITE DES MENSONGES POUR IMPOSER LE VAX AUX PETITS
Fin juin, le CDC a vigoureusement recommandé les vaccins Covid à ARNm pour 20 millions d’enfants de moins de cinq ans. Le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a déclaré que les vaccins Covid à ARNm devraient être administrés à tous les patients de six mois ou plus « parce qu’ils sont sûrs et efficaces. »
TERRIBLES MENSONGES DONT ELLE POURRAIT ÊTRE UN JOUR OBLIGÉE DE RÉPONDRE DEVANT LES TRIBUNAUX.
Cette recommandation radicale était basée sur des données « extrêmement faibles et peu concluantes » fournies par Pfizer et Moderna.
LES NOUVEAUX MENSONGES DE PFIZER ET MODERNA ET LA SOUMISSION COUPABLE DES AGENCES
« Commencez par Pfizer. En utilisant un vaccin à trois doses chez 992 enfants âgés de six mois à cinq ans, Pfizer n’a trouvé aucune preuve statistiquement significative de l’efficacité du vaccin. Dans le sous-groupe d’enfants âgés de six mois à deux ans, l’essai a révélé que le vaccin pourrait entraîner une réduction de 99 % du risque d’infection, mais qu’ils pourraient également avoir un risque accru de 370 % d’être infectés. En d’autres termes, Pfizer a rapporté une gamme d’efficacité vaccinale si large qu’aucune conclusion n’a pu être déduite. Aucune revue médicale réputée n’accepterait des résultats aussi bâclés et incomplets avec un échantillon aussi petit. Plus précisément, ces résultats auraient dû faire réfléchir ceux qui sont en charge de la santé publique. »
Avis d’un haut responsable du CDC — expert dans l’évaluation des données cliniques — il a plaisanté : « Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. » parlant du vax Pfizer chez les jeunes enfants en bonne santé et de son efficacité supposée.
Pour Moderna — l’étude sur 6 388 enfants avec deux doses — n’étaient pas plus convaincante. Contre les infections asymptomatiques, ils ont revendiqué une très faible efficacité vaccinale de seulement 4 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans. Ils ont également affirmé une efficacité de 23 % chez les enfants âgés de deux à six ans, mais aucun des deux résultats n’était statistiquement significatif et aucun n’avait le moindre intérêt pour les enfants puisqu’ils ne souffraient de rien. Contre les infections symptomatiques, le vaccin de Moderna a montré une efficacité statistiquement significative, mais l’efficacité était faible : 50 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans et 42 % chez les enfants âgés de deux à six ans.
UNE GIFLE À LA SCIENCE
Durée de la protection ? Inconnue « Il semble criminel que nous ayons émis la recommandation de donner des vaccins Covid à ARNm aux bébés sans bonnes données. Nous ne savons vraiment pas encore quels sont les risques. Alors, pourquoi le pousser si fort ? » selon un médecin du CDC.
Un haut responsable de la FDA a ressenti la même chose : « Le public n’a aucune idée de la gravité de ces données. Il ne passerait pas la barre pour toute autre autorisation ».
Et pourtant, la FDA et le CDC l’ont fait passer.
Le bon sens existe encore, ce qui explique pourquoi seulement 2 % des parents américains d’enfants de moins de cinq ans ont choisi de se faire vacciner contre le Covid, et 40 % des parents des zones rurales disent que leurs pédiatres n’ont pas recommandé le vaccin Covid pour leur enfant.
ESPÉRONS QUE LES EUROPÉENS ET EN PARTICULIER LES FRANÇAIS NE SACRIFIERONT PAS LEURS ENFANTS AUX SIRÈNES DU PRÉSIDENT ET DE LEURS AFFIDÉS MÉDIATIQUES MERCENAIRES DE PFIZER
La propagande terrorisante des médias reprend avec vigueur appliquant l’injonction présidentielle[5] répétitive « Il faut qu’on dramatise un peu pour que tout le monde se vaccine ». Et pourtant l’épidémie est de fait terminée. Il faut absolument joindre nos députés, sénateurs pour leur dire qu’on ne veut pas de mauvaise surprise à la rentrée comme une injonction de vacciner les enfants innocents du covid et à risque de l’injection expérimentale.[6] Et sans hésiter informer aussi les médias dont le rôle est capital dans la manipulation des citoyens.[7]
Les français commencent à comprendre, devant le nombre d’accidents vaccinaux graves, ou moins dramatiques, mais gênant la vie de tant de voisins, parents, amis ou collègues toujours absents, car fatigués infectés, sans endurance comme en témoignent les coureurs du Tour de France 22.
Les recommandations de vaccins Covid basées sur le peu de preuves transmises par ces agences.
En mai 2022, le manque de preuves cliniques pour les injections de rappel chez les jeunes a créé une tension à la FDA.
La Maison-Blanche l’a promu durement avant même que les régulateurs de la FDA n’aient vu des données. Une fois qu’ils ont vu les données, ils ont découvert qu’aucun bénéfice clair contre les maladies graves chez les personnes de moins de 40 ans n’a été démontré.
DES DÉMISSIONS OCCULTÉES EN FRANCE
Les deux principaux régulateurs des vaccins de la FDA — le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause — avaient quitté l’agence l’année dernière en raison de pressions politiques pour autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes.
Après leur départ, ils ont expliqué pourquoi les données ne justifiaient pas une large autorisation de rappel, arguant dans le Washington Post que « la pression pour des boosters pour tout le monde pourrait en fait prolonger la pandémie », citant des préoccupations selon lesquelles le renforcement basé sur une variante obsolète pourrait être contre-productif.
Quel dommage que ces informations n’aient pas réussi à atteindre nos journaux télévisés !
« C’était comme si nous étions un outil politique » selon un scientifique du CDC. « Il y a un silence, une réticence pour les scientifiques de l’agence à dire quoi que ce soit. Même s’ils savent qu’une partie de ce qui est dit de l’agence est absurde. »
ON SE CROIRAIT EN URSS AU BON VIEUX TEMPS OU EN RDA SOUS LA STASI
Les gens avaient l’impression de ne pas pouvoir parler librement, même à l’interne au sein de leurs agences.
« Vous êtes étiqueté en fonction de ce que vous dites. Si vous en parlez, vous en souffrirez, j’en suis convaincu », selon un membre du personnel de la FDA. Une autre personne a ajouté : « Si vous parlez honnêtement, vous êtes traité différemment. »
Et ainsi ils restent silencieux, se parlant en privé ou en groupes de texte sur Signal.
Nos lecteurs français nous diront-ils combien d’entre eux dans leurs entreprises ne se parlent plus que par « signal » dont on voit chaque jour les correspondants augmenter….
L’IMMUNITÉ NATURELLE, GRAND SUJET TABOU AUX USA COMME EN EUROPE
Pourquoi vacciner les enfants déjà une certaine immunité contre la maladie en l’ayant rencontrée, et qui de toute façon sont innocents du covid, ne font pas de maladie grave et ne transmettent pas ?
Les propres recherches du CDC montrent que l’immunité naturelle est meilleure que l’immunité vaccinée et une étude récente du New England Journal of Medicine en Israël a remis en question les avantages de la vaccination des personnes précédemment infectées.
La Suède n’a jamais offert la vaccination aux enfants de moins de 12 ans. La Finlande limite les vaccins Covid aux enfants de moins de 12 ans à haut risque. L’Institut norvégien de santé publique a déclaré « l’infection antérieure offre une protection aussi bonne que le vaccin contre la réinfection ». Le Danemark a annoncé le 22 juin que sa recommandation de vacciner tous les enfants de moins de 16 ans était une erreur. « Les vaccinations n’étaient pas principalement recommandées pour le bien de l’enfant, mais pour assurer le contrôle de la pandémie », a déclaré Søren Brostrøm, chef du ministère danois de la Santé.
La réponse officielle de la santé publique au Covid a sapé la croyance du public dans la parole publique elle-même aux USA, mais aussi dans les pays européens dont la France.
Les dirigeants du CDC, de la FDA et des NIH et des agences européennes et mondiales devraient accueillir favorablement les discussions internes — voire les dissensions — basées sur les preuves. La science naît de la confrontation entre ce que l’on croit (les hypothèses) et les faits avérés. Nier les faits au profit d’une croyance érigée en dogme relève d’une attitude religieuse anti-scientifique.
Faire taire les médecins, ce n’est pas « suivre la science ».
et écoutez la vidéo de JD Michel sur citizen light sur le même sujet
[1] U.S. Public Health Agencies Aren’t “Following the Science,” Officials Say (commonsense.news)
Marty Makary M.D., M.P.H. and Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Jul 14 22
Dr. Marty Makary is a Johns Hopkins professor and public policy researcher. He is a member of the National Academy of Medicine, writes for the WSJ and the Washington Post, and is author of the NYT bestselling book, The Price We Pay.
Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Consultant epidemiologist with Florida Department of Health, PM&R physician in Northern California, mom of four and Danish-American dual citizen.[⮬]
[2] https://www.nih.govOfficial website of the National Institutes of Health (NIH). NIH is one of the world’s foremost medical research centers. An agency of the U.S. Department of Health and Human Services, …[⮬]
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg00Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-07-21 12:46:182022-07-21 12:46:18STOPPEZ LES INJECTIONS INUTILES ET DANGEREUSES
Depuis le début de la crise covid, les gouvernements n’ont cessé de restreindre, par tous les moyens, la liberté de parole et de diffusion susceptible de démentir leurs propagandes omniprésentes.
La liberté d’expression
Fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la déclaration des Droits de l’Homme de 1789. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »
Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier, « c’est la liberté la plus fondamentale car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. ».
Or depuis deux ans on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.
Eloge du doute et des débats
Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés.
Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément anti démocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.
Les médias et leurs prétendus « anti-fake news »
Depuis le début de la crise covid, les médias subventionnées par le gouvernement se sont transformés en agences de diffusion de la vérité gouvernementale en répétant sans cesse les mensonges d’état, en donnant sans limite la parole aux médecins les plus liés aux laboratoires pharmaceutiques,en n’invitant jamais les spécialistes d’opinion divergente qu’ils discréditent systématiquement. Ils ont en permanence adopté une attitude sectaire anti-scientifique tout en prétendant se référer à la science !
Elles ont créé des cellules pompeusement intitulées de « vérification de l’information » dans lesquelles des non-médecins, et non chercheurs, visiblement incapables comprendre les articles scientifiques en anglais se sont arrogés le droit de décider si une information médicale était juste (= confortant le discours officiel) ou fausse (= complotiste).
Dans cette activité de propagande mensongère l’agence France presse (le blog Making Of), France info (L’instant Détox), le Monde, Libération (Desintox) et le Parisien se sont particulièrement illustrés. La technique de base est presque toujours la même : après avoir qualifié une information de fausse ou trompeuse, l’auteur discrédite l’auteur de l’information en le qualifiant de « controversé, complotiste, antisémite », n’examine pas les faits avérés concernés, mais cite les opinions de prétendus experts qui confortent le message officiel. Les mercenaires qui se livrent à cette activité recevraient entre 800 et 1000 euros pour chaque pige (passe ?) et le média qui le publie un financement annuel de nos impôts(aide gouvernementale directe au Monde en 2016 : plus de 5M€) et de fonds privés dont ceux de Bill Gates. La confusion entre opinions et faits avérés se répand comme une trainée de poudre, y compris à l’Education nationale.
La censure des Gafas, Tweeter, Facebook, Linkedin, Instagram,Google
Tweeter a été l’un des premiers à limiter la liberté de parole en supprimant les comptes de ceux qui ne confortaient pas la doxa officielle. Nous en avons été victimes alors que nous ne faisions que diffuser des faits que nous avions nous même soigneusement vérifiés.
Facebook limite la diffusion des contenus prétendument « haineux ou contenant des fausses informations » sur le réseau en supprimant les ressources financières des sites qui les diffusent, en incitant les marques à retirer leurs publicités. Des organisations tierces autoproclamées détentrices de « La Vérité » vérifient les informations de nombreux sites et indiquent si celles-ci sont crédibles ou douteuses. Les prétendues « fake news » sont signalées à Facebook, qui bloque alors les publicités réalisées et les posts supposés déviants.
Facebook n’hésite pas à agir comme un intégriste religieux en proclamant fièrement ses injonctions.
et prétendent que l’hydroxy chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces sans même prendre en compte les excellents résultats avérés des pays qui les utilisent (en Afrique, en Algérie ou en Inde).
Ou en Inde
Google a structuré un partenariat avec de nombreux médias dans le monde afin de promouvoir un outil collaboratif de “fact-cheking”: “CrossCheck” et a étendu son dispositif aux recherches réalisées sur son propre moteur de recherche. Lors de l’affichage des résultats d’une requête, le moteur de recherche indiquera si les articles ont été vérifiés et à quel point ils « sont fiables ». Pour le moment, le système de fact-checking de Google repose sur l’opinion de sites américains spécialisés comme Politifact, Snopes, ou sur les équipes de fact-checking opérant dans des médias comme le Washington Post qui représentent un des pires créateurs de fausses nouvelles.
Une des techniques utilisées pour empêcher les internautes de consulter les sites hétérodoxes consiste à leur faire peur en déclarant ces sites dangereux ou « peu surs ». Google a aussi désindexé plus de 55 000 articles, donc pratiquement en a interdit l’accès Internet, ce qui montre incontestablement cette volonté de détruire tout ce qui pourrait s’apparenter à une contestation des pouvoirs en place et de leurs décisions.
Les procès du Conseil de l’Ordre contre la liberté de parole des médecins
Les plaintes contre les professeur Raoult et Perronne [2], les docteurs Nicole Delepine, Denis Agret [3] et de nombreux autres, ont été portées, non pas par des malades qui se seraient plaints de leurs traitements, bien au contraire, mais par les conseils régionaux ou leConseil National de l’Ordre pour l’expression de vérités médicales démontrées par les faits avérés qui lui déplaisaient, telles que l’efficacité des traitements précoces ou l’inefficacité du port généralisé du masque, la nocivité des confinements…
Il est invraisemblable que ce Conseil s’arroge le droit de poursuivre des médecins pour des opinions de plus scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.
Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion [4] qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée Unique.
La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression des médecins
Une modification de l’Article R. 4127-19-1 du code de la santé publique décrétée par Jean Castex le 24 décembre 2020, (soit quelques jours après la plainte contre Raoult et Cie) interdit aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle [5] rappelée par le conseil de l’ordre . Il stipule que le médecin qui s’exprime « formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées. III. – Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le conseil national de l’ordre. »
Depuis lors, le médecin, ne devrait s’exprimer que s’il conforte les affirmations, même mensongères de l’Etat !
La création d’une commission de certification en juillet 21
Apparemment inquiet des scrupules que pourrait avoir certains membres du Conseil de l’Ordre de sanctionner des praticiens pour s’être simplement exprimés, le gouvernement a créé par l’ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021 un nouvel organisme, « la commission de certification » ayant le pouvoir d’évaluer chaque médecin à tout moment de sa carrière, et de l’empêcher d’exercer s’il n’aligne pas ses propos et ses actes avec ceux que décidera le pouvoir politique. Cette mainmise de l’État sur une corporation qui jusque-là jouissait d’une indépendance du pouvoir politique dans l’exercice de son art témoigne une fois de plus de la tyrannie qui s’installe. Ces décisions ne devraient pas faciliter l’attrait pour la profession de médecin, ni résoudre le casse-tête des déserts médicaux,car conduisant à de nombreuses démissions hospitalières et dépôt de plaques des libéraux.
La censure ultime : l’exclusion du travail des soignants vaccino prudents
L’exclusion des soignants non vaccinés n’a jamais eu pour but de protéger les malades, ni l’hôpital puisqu’elle a été imposée alors qu’il était déjà parfaitement établi que les pseudo vaccins n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni de la transmettre. Actuellement des soignants testés positifs et même avec de légers symptômes sont autorisés à travailler dans certains services particulièrement déficitaires. Mais les non injectés restent conduits à la misère et pour certains au suicide.
Cette insupportable atteinte à la liberté de travailler traduit en réalité la volonté d’empêcher les soignants vaccino prudents d’exprimer leurs doutes et leurs craintes auprès de leurs patients. Initialement très favorables au vaccin dans l’ensemble contre ce « fléau » qu’on leur avait vendu, ils ont été les premiers injectés et victimes rapidement des effets secondaires. Cela en a évidemment refroidi beaucoup et l’interdiction d’en parler les a achevés dans la démoralisation. La plupart des soignants vaccinés (comme les pompiers ou militaires) sont des « malgré nous » contraints d’accepter l’ukase pour continuer à payer leur maison et nourrir leurs enfants. Les suspendus vivent des restaurants du cœur et des aides de l’entourage depuis dix mois.
Le manque de soignants ainsi créé a aggravé considérablement le naufrage de l’hôpital, en particulier celui des urgences et a augmenté le nombre des déserts médicaux. La surcharge de l’hôpital, le dégout du management, ont conduit à de nombreuses démissions et multiples arrêts de travail prolongés par burn out, aggravant l’effet des suspensions imposées. De nombreux médecins de ville ont cessé leurs activités.
Mais pour les gouvernants, le contrôle de l’opinion vaut bien ces sacrifices..
Il n’y a plus que les médecins retraités qui peuvent dire des vérités et ne pas se soumettre. Dans un monde tyrannique où la corruption fait loi, l’argent et le pouvoir sont les deux mamelles de ceux qui se considèrent comme des élites.
La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression de ses citoyens
La création d’un ministère de la vérité (la commission Gérald Bronner).
En 2015, Gérald Bronner dans le numéro 449 de la revue Pour la science précisait sa définition du complotisme: «Par théorie du complot, il faut entendre simplement une interprétation des faits qui conteste la version officielle. » En nommant l’auteur d’une telle phrase à la tête d’une commission chargée de «formuler des propositions dans les champs de la prévention et de la judiciarisation des entrepreneurs de haine» l’Élysée a fait un choix révélateur.
Comme l’est aussi la participation à cette commission du chirurgien Guy Valencien dont la probité est mise en doute par sa condamnation le 11 juin 2021 par l’Ordre des médecins pour usage de faux certificats médicaux [6], l’accusation par Irène Frachon d’avoir été l’un des « fers de lance d’une nébuleuse composée de médecins, de professeurs et d’académiciens, qui, depuis des années tentent de minimiser, voire de nier la gravité du drame humain causé par le Mediator » et son rôle de directeur du Centre du don des corps de l’université Descartes, de 2004 à 2014, structure devenue un véritable charnier qui défraye actuellement la chronique [7] ».
La commission propose d’engager la responsabilité civile des internautes qui rediffuseraient de mauvaise foi une nouvelle déclarée fausse selon son avis.
Censure des citoyen européens à la demande de la commission
Suivant à la lettre la proposition d’Ursula Van der Leyen, la Présidente de la Commission européenne (contestée -entre autres- pour son rôle dans la commande de 1 ,3 milliard de doses de Pfizer et dans le scandale du remdesivir de Gilead), le gouvernement français a décidé le 27 février 22 de fermer les télévisions et radio russes RT France et Sputnik sans plus d’explication, ni de procès. Les médias qui ne s’autocensurent pas sont fermés par le gouvernement.
Mais Ursula Van der Leyen vient d’annoncer une nouvelle loi imposant des conditions plus dures aux plateformes numériques, sommées de priver les prétendues sources d» infox » de revenus publicitaires.
Le code précédent (de 2007) reposant sur l’autorégulation aurait donné des résultats insuffisants selon la Commission. L’adhésion au code reste volontaire, mais pour les « très grandes plateformes » (atteignant 45 millions d’utilisateurs dans l’UE), il permet de répondre aux obligations fixées par le règlement sur les services numériques (Digital Services Act, DSA).
La directive européenne, en voie d’adoption, contraint ces plateformes à déployer des efforts pour « réduire les risques » de désinformation et prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 6% de leur chiffre d’affaires mondial.
Plutôt que d’ouvrir un débat démocratique avec les opposants, la commission européenne préfère leur interdire de s’exprimer « pour le bien de la démocratie ». Quand vont-ils brûler les livres déclarés conspirationnistes ?
Les menaces contre la démocratie
C’est la marque des régimes autoritaires d’imposer une pensée unique qu’il est interdit de commenter et encore plus de critiquer. Et les réactions comme celles de Twitter ou Facebook, qui ont osé suspendre le président des États-Unis et lui interdire toute expression sur leurs réseaux, montrent l’orientation que nos sociétés sont dangereusement en train de prendre, bien que tous nos gouvernants et les médias aux ordres nous répètent tous les jours que nous sommes encore en démocratie.
En instaurant la panique, la peur de la maladie, la peur de sortir, la peur de la guerre, la peur du réchauffement climatique, en favorisant la suppression des liens sociaux, en interdisant les échanges de point de vue, les critiques, les discussions, tout débat scientifique et en décrédibilisant ceux qui osent tenter de faire baisser cette peur, le gouvernement a mis quasiment les Français en état d’hypnose permettant leur soumission aux injonctions gouvernementales même manifestement ridicules (ne pas sortir seul en forêt ou sur la plage, ne pas faire du bateau en solitaire). Ils ont permis des violations injustifiées des droits des citoyens en limitant leurs libertés fondamentales dont celles de circuler, de se réunir, de travailler, de s’exprimer, d’exercer son culte, de manifester, de voir sa famille, d’enterrer dignement ses morts.
Les libertés, la démocratie ne persistent que tant que nous les défendons. La crise du Covid révèle la fragilité de notre démocratie mise à bas sous le prétexte d’une menace sanitaire supposée sans qu’une opposition politique ne se soit clairement exprimée en France à l’exception de Florian Philippot et plus récemment de Nicolas Dupont Aignan et Francois Asselineau.
Pourtant dès le 21 avril 2020 l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde: « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir.
Rajat Khosla, d’Amnesty International a déclaré : “Au fil de la pandémie, les gouvernements ont lancé une offensive sans précédent contre la liberté d’expression, restreignant fortement les droits des populations. Les moyens de communication sont pris pour cibles, les réseaux sociaux censurés et des médias fermés, ce qui a de graves répercussions sur la capacité des citoyens à accéder à des informations vitales sur la manière de réagir face au COVID-19”.
« Il est clair que les restrictions liées à la liberté d’expression ne sont pas seulement des mesures extraordinaires circonscrites dans le temps pour faire face à une crise ponctuelle. Elles s’inscrivent dans le cadre de l’offensive contre les droits humains que l’on voit à l’œuvre dans le monde depuis quelques années – les gouvernements ayant trouvé une nouvelle excuse pour intensifier leur attaque contre la société civile:”
Le 16 mars 2020 même l’ONU s’est inquiété des menaces contre la démocratie dansun communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme exhortant les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur ont rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence. « Les États ne doivent pas abuser des mesures d’urgence pour supprimer les droits humains ».
Des évêques nous donnent de l’espoir :
Nous sommes tous appelés à évaluer les faits actuels conformément à l’enseignement de l’Évangile. Cela implique de choisir son camp : avec le Christ, ou contre le Christ. Ne soyons pas intimidés ou effrayés par ceux qui nous font croire que nous sommes une minorité : le Bien est beaucoup plus répandu et puissant que ce que le monde veut nous faire croire. Nous nous trouvons en train de lutter contre un ennemi invisible, qui sépare les citoyens entre eux, les enfants des parents, les petits-enfants des grands-parents, les fidèles de leurs pasteurs, les étudiants des enseignants, les clients des vendeurs. Ne permettons pas que des siècles de civilisation chrétienne soient anéantis sous le prétexte d’un virus, en laissant s’établir une tyrannie technologique haineuse dans laquelle des personnes anonymes et sans visage peuvent décider du sort du monde en nous confinant dans une réalité virtuelle. « Les portes des Enfers ne prévaudront pas » (Mt 16, 18) ».
« Le ventre est encore fécond d’où nait la bête immonde » (Bertolt Brecht)
Cette idéologie totalitaire, qui limite drastiquement le droit d’expression et sépare les citoyens selon leur volonté de faire respecter l’intégrité de leur corps, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue, mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron et de l’UE avec les pass et les obligations vaccinales.
A la mi-juin 2022, alors que l’épidémie ne pose plus de problème sanitaire réel avec seulement 72 malades Covid pour 100000 habitants.
7 944 patients hospitalisés avec Covid-19, 1027 personnes sont en réanimation ( le pic du 8 avril 2020 atteignait 7.019 )et un nombre de décès au plus bas.Mais les médias recommencentaprès les élections, avec le gouvernement et le nouveau ministre de la Santé à affoler la population sans diffuser l’information majeure : les traitements précoces sont efficaces et vos médecins habilités à les prescrire.
Le nouveau projet de loi qui sera examiné à l’Assemblée nationale, puis au Sénat vise pourtant à prolonger la suppression de droits élémentaires des citoyens.« Réglementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules », ainsi que « l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage » avec le port du masque conseillé alors qu’aucune preuve scientifique de son utilité n’existe.
Et le fichage de la population qui n’a jamais permis de limiter l’épidémie risque de continuer si la loi est adoptée, avec le maintien des fichiers informatiques Si-DEP (les résultats des tests de dépistage) et Si-VAC (le schéma vaccinal) jusqu’au 31 mars 2023.
Un deuxième article donne la possibilité au gouvernement sans consulter le parlement (via un décret du premier ministre Mme Borne ) de rétablir un pass sanitaire aux frontières, pour les déplacements entre l’hexagone, la Corse et les territoires d’Outre-mer. Ce pass sanitaire concernerait tous les voyageurs de 12 ans et plus, ainsi que les personnels des services de transport concernés.
Or en France comme ailleurs les pass ont partout échoué à limiter l’infection
Les oppositions doivent jouer leur rôle de contrôle permanent de l’action gouvernementale en refusant cette loi qui les dépossède de leur rôle constitutionnel. Ne pas le faire serait trahir leurs électeurs.
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/02/IMG_20210731_104545.jpg792692Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-07-13 13:04:232022-07-13 13:04:23Liberté d’expression et d’opinion et censures internationales
Et si l’ annulation du concert d’Amsterdam de Mick Jaggers en juin 22 pour un covid (malgré sa malveillance pour les non vax et ses injections répétées), avait pu réveiller les plus âgés, et la terrible noyade de la nageuse artistique coulant au fond de sa piscine en compétition mondiale et sauvée in extremis réveillait les plus jeunes ?
Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)[1] en imposant de fait l’injection. en imposant de fait l’injection.
Une seule solution, informer encore et encore et tenter de faire prendre conscience à nos proches et amis que les symptômes qu’ils présentent ne sont pas des « coïncidences » (troubles menstruels, AVC, sensations neurologiques bizarres, fatigue extrême, flambée du cancer du papa, Alzheimer précoce, etc.) mais bien des effets secondaires de l’injection.
Et surtout qu’ils regardent à deux fois avant la troisième ou quatrième dose dont la toxicité globale est supérieure. L’accumulation des doses aggrave les effets du poison. Et il y a certainement beaucoup moins de placebos que dans la première ou deuxième dose…
Une vidéo récente récapitule des décès ou souffrances majeures de célébrités. Plus efficace que de longs discours ? Diffusons-la !
Il faut la voir avec courage, car cette énumération est terrible et la diffuser largement en tentant de joindre des naïfs, vaccinés ou non. Nous sommes tous dans le même bateau. Plusieurs illustrations en sont extraites. Plus que de longs articles savants sur les raisons de cette hécatombe liée aux injections expérimentales à ARN messager qui ne touchent que certains d’entre nous, la diffusion de ces FAITS AVÉRÉS ouvrira peut-être d’autres yeux et ainsi de suite…
Des concerts annulés
Après s’être fait vacciner, Jane Birkin, (AVC), Mick Jagger (covid post vaccinal), Céline Dion (graves troubles neurologiques), Justin Bieber (paralysie faciale)[2] reportent leurs concerts, ainsi que de nombreux autres artistes.
D’autres meurent…
Des compétitions interrompues
Emma Raducanu avait dû abandonner Wimbledon en 21. Comment n’avaient-ils pas tous compris ce à quoi ils s’exposaient et que Djokovic mettait en lumière par son refus inébranlable de s’injecter le poison.
En 2022 des tennismen forcés d’abandonner en pleine compétition découvrent l’ampleur de la toxicité des injections. Raphael Nadal arrive à Wimbledon avec des sensations nerveuses étranges en juillet 2022.
Footballers, basketteurs, nageurs, hockeyeurs, entraîneurs, meurent brutalement sur le terrain ou sont obligés d’abandonner leur carrière et passion.
La nageuse artistique Anita Alvarez, double championne olympique a perdu connaissance après avoir senti des engourdissements dans les doigts, puis tout est devenu noir. Elle est restée sous l’eau deux minutes et a pu être réanimée, car sa coach a réussi à la remonter à temps.
D’autres voient leurs pathologies comme des cancers, s’aggraver et flamber
Certains meurent de cancers aggravés par la vaccination ou développés rapidement à sa suite, comme cette belle gymnaste de 16 ans.
Des journalistes n’échappent pas aux complications, voire au décès en direct
Énormément de sites ou de pages Telegram, etc. recensent ces FAITS AVÉRÉS
Et si vous voulez d’autres témoignages, ils s’accumulent entre autres sur COVID VACCINE INJURIES
🗣 #Victime11 — Témoignage vidéo d’effets secondaires des vaccins Covid-19
« 📣 Pour que les victimes soient reconnues, pour que les enfants ne se fassent pas vacciner, pour ne pas être contraint à recevoir une dose de plus, toi aussi témoignes des effets secondaires dont tu es victime en nous envoyant un mail à :
📧 victimes-vaccins-covid19@proton.me
Tu peux témoigner anonymement ou à visage découvert 👍 Nous avons besoin de toi 🙂
✅ Pour contourner la censure, rejoins-nous sur nos Chaînes Odyssée et Telegram 🚀
🔗 Odysée : https://odysee.com/@VVC-19
🔗 Télégram : https://t.me/VVC_19
Pour protéger tes proches qui pensent que ces vaccins sont sûrs, partage-leur ce témoignage 🔥 »
Ne regardez pas ailleurs : la vie de vos proches, amis, relations en dépend, même s’ils ont déjà reçu l’injection. Chaque dose aggrave le risque actuel et à long terme. Le sort de l’Humanité dépend de nous tous. INFORMONS.
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg00Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-07-11 13:01:512022-07-12 14:14:03Le vax tue de plus en plus de célébrités et combien d’anonymes et de vies brisées? Stoppons le massacre
Non, Monsieur le Député, le pseudo vaccin ne réduit ni le risque de porter le virus (ce qui n’a aucune incidence), ni les contaminations, ni les formes graves. Il faut écouter les vrais scientifiques, ceux qui ne sont pas liés aux laboratoires pharmaceutiques et qui basent leurs conclusions sur les seuls faits établis au lieu de croire en des simulations biaisées.
Ce graphique publié par l’OMS sur https://Covid19.who.int/ montre que les vaccinations n’ont pas réduit les contaminations, mais ont au contraire été suivies par une accélération de l’épidémie :
D’ailleurs, comme nous, vous devez connaître parmi vos proches de nombreuses personnes totalement vaccinées et qui ont été malades du Covid parfois même à plusieurs reprises.
De plus, cette injection expérimentale est à l’origine de nombreux effets secondaires, dont des décès rapides, des maladies neurologiques comme certaines maladies de la vache folle, de perturbations hormonales majeures et de risque d’atteinte de la fertilité à plus ou moins long terme. La diminution de l’immunité personnelle qui s’aggrave avec les doses successives entraîne une fragilité des personnes sources d’infections répétées et d’augmentation du nombre de cancers.
Les collègues médecins du monde entier, dont de grands scientifiques et chercheurs, multiplient les appels pour un moratoire mondial auxquels vous ne pourrez rester indifférent, si comme nous le pensons, vous ne voulez que le bien de l’Humanité et singulièrement des électeurs qui vous ont fait confiance.
Votre tweet[1] témoigne d’une désinformation dont vous avez été victime comme tant d’autres et que nous tentons de combattre comme beaucoup en publiant les FAITS AVÉRÉS, malgré la censure qui rend leur accès difficile et malgré la propagande permanente répétant les opinions de médecins trop liés aux laboratoires pharmaceutiques.
La réponse d’Antoine Léaument à votre tweet est justifiée. Espérons qu’il sera entendu :
« J’ai interpellé aujourd’hui le ministre de la Santé. Je lui ai dit qu’il FAUT réintégrer les soignants suspendus. Puisqu’être vacciné n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus, à quoi bon continuer avec cette absurdité ? »
@ALeaument · 5 juil.
Quelques rappels parmi les démonstrations quotidiennes de l’inefficacité des pseudo vaccins :
La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid
La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais à la lumière des chiffres de l’OMS, l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité Covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85 % des habitants, dont plus de 95 % des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le plus vacciné d’Amérique du Sudle taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).
À l’opposé, les pays africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts Covid. Leurs mortalités cumulées ne dépassent pas les 200 par million !
Mais le vax inutile est aussi dangereux
Il augmente les fausses couches de façon drastique tant en UE comme la dia en témoigne qu’aux USA :
Les cancers augmentent de façon spectaculaire, comme les médecins militaires américains l’ont signalé depuis des mois demandant eux aussi un arrêt de ces injections expérimentales :
Mr Le Député, ne prenez pas le risque d’envoyer vos concitoyens à l’injection de trop, car vous en supporteriez au moins la responsabilité morale. L’histoire tragique de Céline Dion et de Justin Bieber, entre autres vedettes qui avaient exigé la preuve des injections pour assister à leur concert, est terrible.[2]
« Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-Covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes, loin de la vraie médecine et probablement trop proches des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser leur vie, en tous cas d’ores et déjà leur vie d’artiste ?
Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination antiCovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans — qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux. On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par Big Pharma et/ou affidés.
Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. » (…)
Et que direz-vous de la hausse de la mortalité globale constatée et publiée par l’Office National des Statistiques anglais beaucoup plus transparent que nous ?
Cette augmentation de la mortalité hors Covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.
Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)[3], aux USA[4] en Allemagne[5][6]et plus globalement en Europe[7].
Cette surmortalité des vaccinés, tant Covid que non Covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid.
La négation de ce paradoxe prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator, du Vioxx, ou du sang contaminé…
[1] « @AvecRoussel
Le vaccin fonctionne. Le vaccin réduit le risque de porter le virus. Le vaccin permet de réduire la contagiosité. Il faut écouter les scientifiques ». sous réserve que ce tweet soit authentique.[⮬]
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/NV8LIVRE.png18871290Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-07-09 17:43:112022-07-09 17:43:11APPEL A MR FABIEN ROUSSEL ET TOUS DEPUTES: un moratoire s’impose pour le vaccin anticovid
L’Angleterre est la championne européenne des injections anti-covid. C’est aussi un pays beaucoup plus transparent que le nôtre dans lequel les données sanitaires brutes sont publiées sur internet par l’Office National des Statistiques. Chacun peut ainsi les analyser permettant d’apprécier les effets des pseudo vaccins avec le plus long recul européen connu.
Les données officielles du gouvernement britannique montrent qu’après six mois la vaccination anti-covid augmente le risque de décès par covid 19 et hors covid.[1]
Rappel de la politique vaccinale anti-covid anglaise
La première injection de Covid-19 a été administrée en Angleterre le 8 décembre 2020. La campagne d’injection a ciblé en priorité les personnes les plus âgées (>80 ans) puis très rapidement les autres groupes par âge décroissant.
La flambée d’épidémie et de mortalité post vaccinale
Les injections ont été immédiatement suivies par une augmentation franche des contaminations et de la mortalité covid pendant 6 à 8 semaines réalisant une véritable « hécatombe post vaccinale » semblable à celle observée dans tous les autres pays[2] qui ont injecté rapidement leurs populations.
Les données officielles du gouvernement britannique montrent que le nombre de nouveaux cas a alors considérablement augmenté.
Les chiffres et la courbe publiés par l’OMS montrent que la mortalité a également fortement augmenté après les injections, les mois de janvier et février 2021 battant les records mensuels du moment et totalisant à eux deux autant de décès covid que les dix mois d’épidémie d’avant les vaccins.
L’hécatombe post vaccinale a été suivie pendant plusieurs mois par une accalmie observée en Europe en même temps dans les pays vaccinés comme dans les pays non injectés
Le surrisque des vaccinés d’attraper la maladie, d’être hospitalisés et de mourir de covid
Six mois après le début des injections, partir de mai 2021, les doubles vaccinés ont progressivement souffert d’un surrisque d’attraper le Covid et cette augmentation de risque s’est confirmé au fil des mois atteignant au total 100 % à 200 % en mars 2022.
Cette augmentation de risque de contracter la maladie des vaccinés s’est traduite par l’envolée du nombre total de cas en Grande-Bretagne alors qu’elle n’a pas été observée au Nigéria ni à Madagascar qui ont préféré les traitements précoces aux vaccins.
La différence est d’autant plus démonstrative que le nombre de cas dépend peu de l’âge et très peu du climat (ainsi que le prouve la comparaison de l’Afrique et de l’Amérique du Sud).
Au bout de quelques mois, les Anglais vaccinés ont été hospitalisés plus que les non-vaccinés pour covid sévère :
Et aussi davantage de risques de mourir de covid :
Au total, en juillet 2022 la stratégie tout vaccin de la Grande-Bretagne a abouti à une mortalité cumulée soixante fois plus élevée qu’au Nigéria (20 fois plus élevée après correction selon la population à risque).
La vaccination augmente-t-elle la mortalité globale ?
Depuis mai 2021, les Anglais vaccinés ont commencé à souffrir d’une augmentation de mortalité toutes causes confondues. Cette tendance s’est aggravée progressivement.
Elle est d’abord apparue chez les Anglais, les plus âgés qui ont reçu les injections de Covid-19 en premier (dès décembre 2020). Ainsi en mai 2021, les vaccinés de 70-79, 80-89 et les 90 ans et plus avaient un taux de mortalité plus élevé que les non-vaccinés du même âge.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité standardisés selon l’âge pour 100 000 années-personnes par statut vaccinal et groupe d’âge pour le mois de mai 2021
En juin 2021 les 60-69 ans, vaccinés un mois plus tard, rejoignaient le groupe à mortalité le plus élevé :
Et en juillet celui des 50-59 ans rejoignait le club du taux de mortalité le plus élevé :
Ces données indiquent que les injections de Covid-19 prennent environ 5 mois pour augmenter la mortalité des vaccinés toutes causes confondues
Les plus récentes publications de l’ONS (juin 2022) confirment qu’en décembre 2021 et janvier 2022 la mortalité toutes causes confondues des vaccinés est nettement supérieure à celle des non-vaccinés à l’exception de ceux qui ont reçu 3 injections, mais dont le recul beaucoup plus faible ne permet pas une comparaison significative.
Cette augmentation de la mortalité hors covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.
Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)[3], aux USA[4][5][6] en Allemagne[7]…
Cette surmortalité des vaccinés, tant covid que non covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid. La négation de ce paradoxe constitue, non pas une erreur, mais une faute de nos agences et de nos dirigeants et prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator.
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg00Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-07-08 19:05:252022-07-08 19:23:53L’expérience anglaise démontre l’augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés anticovid