Lettre ouverte aux politiques de tous bords, aux députés et sénateurs et candidats à la Présidence – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

L’état actuel de notre système de soins, des libertés publiques, et en particulier les libertés de soigner et celle d’être soigné, doit investir les débats

Les médias mainstream et les politiques se comportent comme si l’après Covid était acquis et ne posait plus aucun problème.

Ils veulent nous persuader qu’un consensus, une fausse évidence de l’accord de tous pour l’injection génique existerait. Que le respect des libertés fondamentales de circuler, de se réunir, de travailler, la liberté vaccinale, le passe ne serait pas un sujet politique majeur ! De qui se moque-t-on ?

Peut-on à nouveau imaginer une présidentielle sans débat sur le système de soins, la liberté de soigner, comme en 2016, alors que les hôpitaux publics et privés se vident de leur personnel et qu’en conséquence des pans entiers de nos hôpitaux ferment jour après jour et que les déserts médicaux se multiplient ? Les Français en subissent déjà les dégâts avec la suppression continue de lits et la régression de la qualité des soins…

L’apartheid a été instauré aux pays des droits de l’homme ! Au moins vingt-cinq millions de Français se sentent discriminés, les « vaccinaux prudents »[2] mis au ban de la société, dont les 300 000 soignants suspendus ou qui risquent de l’être, et les pompiers, mais aussi au moins cinq millions à dix millions de « malgré nous », les personnes qui ont été contraintes à se faire injecter par extorsion de consentement par un chantage ignoble au droit de travailler, de prendre le train ou l’avion, d’aller au restaurants, au spectacle ou aux musées, de faire du sport en équipe ou en compétition.

Toutes ces personnes ne comprennent absolument pas que la perte de liberté et le pass sanitaire ne soient pas débattus entre candidats déclarés ou putatifs. Dans quel monde vivent-ils, ces politiques ?

D’autant que l’instauration d’un pass a été suivie dans la plupart des cas d’une augmentation importante des nouvelles contaminations quotidiennes comme en Tchéquie :

En Roumanie :

Ou en Autriche :

La vie des exclus est devenue une réclusion volontaire à domicile. Et beaucoup de ceux qui sont titulaires actuels d’un passe craignent de les rejoindre devant la perspective inacceptable d’être soumis à nouvelles injections de plus en plus dangereuses selon toutes les études sérieuses.

La proportionnalité des restrictions rapportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles sont censées poursuivre, réclamée par le défenseur des droits, n’est pas respectée puisque d’après les données du réseau sentinelle, l’épidémie est terminée en France.

Ce pass et cette obligation vaccinale ouverte ou cachée via les extorsions de consentement sont inacceptables et d’ailleurs condamnés par le conseil de l’Europe, imposés y compris aux enfants (quand des pays proches comme la Grande-Bretagne ou le Danemark n’en ont pas).

Les violences continues faites aux enfants par le port du masque alors que le coronavirus a disparu sont inacceptables, d’autant que leur suppression dans des pays européens de plus en plus nombreux n’est nulle part suivie d’une reprise de l’épidémie.

Croire que les restrictions majeures injustifiées des libertés publiques et l’obligation de fait du pseudovaccin pour ceux qui veulent poursuivre leurs activités normales n’intéresseraient pas les candidats est un non-sens.

Nous dire que le candidat élu fera ce qu’il faut après l’élection relève de la croyance au Père Noël.

Aucun président ne pourra être élu, sans un positionnement très clair sur ce sujet qui perturbe la vie de tous les habitants. Faire semblant que tout va bien avec le pass et le vax relève de la méthode Coué bien connue des médias et de trop d’élus.

Chaque jour, une nouvelle lettre ouverte aux sénateurs, aux députés, au Président apparaît sur le net de personnes concernées ou de groupes, avec la demande aux citoyens de partager, d’écrire personnellement à nos élus et en particulier aux sénateurs qui doivent examiner le 13 octobre un projet d’obligation étendue chez les nourrissons avec un douzième vaccin qui n’est qu’une thérapie génique EXPÉRIMENTALE avec tous les risques que l’on commence à découvrir et à entrevoir.

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le 22 sept

« Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100 000 enfants et 9/100000 chez l’adulte, soit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).

Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins anticovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus. Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination ; (…) ».

Il faut cesser l’injection génique : appel de survivants de l’Holocauste à la CPI — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le premier octobre

https://nouveau-monde.ca/appel-au-rassemblement le 5 octobre 2021 avec des modèles de lettres à envoyer aux élus, et voir https://www.comitedesalutpublic.fr/

La commission des lois du Sénat : premier espoir

a rejeté l’amendement qui voulait rendre obligatoire l’injection génique expérimentale, ce qui est réconfortant et justifie la poursuite d’informations venant de multiples sources à nos sénateurs.

[Info Public Sénat] Vaccination obligatoire contre le covid-19 : le texte rejeté en commission au Sénat | Public Senat

Et ce jour, nous partageons un nouvel appel à cesser ces injections mortifères écrit par un professeur des universités, chirurgien, résumant l’avis de très nombreux confrères qui le félicitent largement.

Le Professeur Jean Gabriel Balique, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie[3]

À propos du projet d’obligation vaccinale. Lettre ouverte Le 2 octobre 2021 Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

« Au moment où vous allez discuter de l’obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l’ombre des autorités de tutelle.

Je précise d’emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccin (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n’ai pas des a priori envers les vaccins “classiques” rendus obligatoires dans notre pays).

Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus “facile” de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale.

La première constatation qui s’impose est que le “vaccin” ne protège pas et n’empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d’État au mois d’avril 2021). »

COMMENTONS CE PASSAGE

L’exemple d’Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre qu’une couverture vaccinale record et des restrictions sévères ne préviennent pas une récidive de l’épidémie avec une intensité accrue avec des hospitalisations en hausse et des réanimations débordées de personnes vaccinées ! On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande…).

Suite de la lettre ouverte du Pr Balique

« Nous n’avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente). Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n’était pas à l’origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients.

Les médecins “du terrain” croient encore au serment d’Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer.

Les principes fondamentaux du serment, dont “primum non nocere” (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… ont été écartés d’un revers de main par décret. Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d’expérimentation, phase 3 de mise au point d’un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications.

Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves.

Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés. En France, l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.

En France, l’expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l’accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire.

Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l’état général accélérée chez les patients âgés, des cancers jusque-là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination.

L’ANSM indique comme “signaux confirmés” la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exact de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.

Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d’effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d’âge.

Il s’agit de jeunes qui n’étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid, mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination.

Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d’une jambe, 15 jours après le vaccin. N’est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d’adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n’ont rien à gagner, car ils sont à risque infime de forme grave et de décès du Covid ?

Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés.

Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont très limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ? Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale.

Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy et Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres…

Parallèlement dans la même population de personnes jeunes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c’est pour cette population-là que le “vaccin” peut avoir une certaine protection.… /… Malheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir.

Ce drame humain sanitaire ne va faire qu’empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entraîné de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du Covid lui-même. La balance bénéfice/risque n’est pas en faveur du “vaccin” dans cette population. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un “remède” plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

Il est urgent d’en tirer les conséquences, au moment où l’immunité naturelle se développe, où le variant Delta s’avère beaucoup moins agressif et que l’épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l’on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s’était arrêté à la frontière. N’oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l’Établissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune…), mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps.

N’est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ? Même si vous n’êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l’information.

Vous avez le droit de vous informer, car vous êtes nos représentants. La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c’est dire l’innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la pseudo vaccination généralisée :

• Au Royaume-Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la pseudo vaccination obligatoire
• Au Texas l’injection anticovid des jeunes est interdite.
• Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.
• En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu’il n’y a que 2 % de vaccinés (on leur annonçait une catastrophe sanitaire !)

Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants, mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des anti-vaccins, mais des vaccinaux prudents redoutent les effets de pseudo vaccins[4] encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.

Ces soignants “du terrain” voient de vrais malades, contrairement aux médecins des plateaux télé qui extrapolent à partir de chiffres issus de simulations mathématiques dont la plupart se sont avérées erronées. Dans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique, mais un consensus pour défendre la santé des Français qui vous ont élus.

Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s’exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soi-disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés par les médias et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l’avenir.…/…

• FAITES AU MINIMUM UN MORATOIRE, au cours duquel vous pourrez entendre l’avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre, mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l’encontre de la politique sanitaire gouvernementale.

Il faut aussi ré-évaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés.

• Supprimer le passe sanitaire et faites arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : “tous vaccinés = tous protégés” slogan complètement faux, on le sait maintenant !

• Levez les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d’exercer alors qu’ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin ».

Certains hôpitaux malgré l’interdit continuent à juste titre d’employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire, mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu’un certain nombre d’entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection.

LA STRATÉGIE IMPOSÉE EST DÉCONNECTÉE DE LA RÉALITÉ :

c’est une pandémie qui s’accompagne d’une mortalité de 0,05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d’âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement, car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l’on propose une vaccination est logique à condition d’avoir un vrai vaccin ce qui n’est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s’agit pas d’Ebola, d’une méningite ou de la variole…).

En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c’est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.

Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d’être engagée.

En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.

Professeur Jean Gabriel BALIQUE, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie »

Merci Mr Le Professeur pour cette belle lettre qui résume bien ce que nous, médecins fidèles au serment d’Hippocrate ressentons. Espérons que vous serez entendu…

Des professeurs de droit conseillent de rappeler aux élus l’expérience de Papon :

« Je vous recommande de diffuser largement cette mise en garde solennelle d’un professeur de médecine et de préciser à vos éventuels destinataires parlementaires que si les choses devaient se gâter sérieusement, nous serions dans le cadre de poursuites pour “crime contre l’humanité”. En ce domaine il n’y a ni prescription, ni immunité parlementaire ou autre. 

Papon l’a appris à ses dépens sur le tard, et pourtant il avait des circonstances atténuantes, car la France était occupée par une puissance totalitaire, ce qui n’est pas le cas en ce moment… »

En résumé et comme le conseille également Éric Verhaeghe

Continuer à écrire en masse aux sénateurs (contre la loi d’obligation vaccinale) et aux députés (contre la prolongation de l’état d’urgence et du pass sanitaire, et contre toutes les mesures « sanitaires »).

Il y a actuellement 4 cas de covid pour 100 000 habitants, bulletin du Réseau de surveillance Sentinelles du 29/9/2021, et ce taux est très bas depuis novembre 2020, le seuil épidémique étant de 173 cas / 100 000 h.

Toutes leurs adresses sont sur www.voxpublic.org, rubrique « Annuaires partagés ».

« Attention, danger ! Le texte rejeté reviendra.

Le Courrier des Stratèges suit ce dossier depuis plusieurs mois. Le 1er juillet, nous vous avions averti du rôle joué par Bernard Jomier, qui sert de poisson-pilote à Emmanuel Macron et Olivier Véran. Plus récemment, nous vous avons montré combien une réélection d’Emmanuel Macron rendrait quasi-certaine une vaccination obligatoire contre le Covid. 

Ce qui doit inquiéter le plus, c’est le type d’argumentation développée, purement planiste, quantitative et volontariste sans aucun rapport avec le réel d’une palette de vaccins à dispositions encore peu efficaces et comportant des effets secondaires beaucoup plus nombreux que pour d’autres vaccins. Comme l’a dit Éric Verhaeghe dans ces colonnes, la vaccination obligatoire est “fâchée avec le principe de précaution‘.  C’est pourtant le moment de se rappeler la formule de Chesterton sur la folie — ici idéologique — qui consiste à ‘avoir tout perdu sauf la raison’. Le texte reviendra, parce qu’ainsi le veut la raison technocratique. Le jour même où la proposition de texte est rejetée, la Haute Autorité de Santé recommande une troisième dose de vaccin Pfizer pour les soignants soumis depuis seulement le début août à la vaccination obligatoire. Et l’expérience des assemblées conduit à redouter un passage à l’usure ou par surprise, lors d’une discussion parlementaire en petits effectifs. Il va falloir rester très vigilants. »[5]

L’heure est grave et personne ne doit se croire dispenser de se battre pour la liberté de soigner, pour le libre choix thérapeutique et en particulier pour la liberté vaccinale.

Aucun politique ne pourra être choisi par le peuple s’il ne défend pas le peuple et aujourd’hui s’il ne bat pas pour le libérer MAINTENANT de l’état d’urgence pseudo- sanitaire complètement injustifiable, des masques et des injections mortifères. REGAGNONS NOS LIBERTÉS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD COMME L’EXPLIQUENT LES SURVIVANTS DES CAMPS.

 

joignez nos représentants !

sénateurs :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs

 

De tous les députés :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes

 

De tous les membres des cabinets Ministériels :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin

 

Des 4 Agences de presse:

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse

 

et pour plus d’infos voir

https://t.me/recensementeffetsecondaire/40101

Alice (Lili Liberté), [Oct 6, 2021 at 12:54]

ANNUAIRE


  1. [1] Sur telegram t.me/DrDelepine[]
  2. [2] Ceux qui attendent la publication des résultats définitifs des essais en cours qui devraient être terminés en 2023[]
  3. [3] jgbalique@gmail.com[]
  4. [4] Ce ne sont pas des vaccins selon Pasteur, car ils ne contiennent aucun antigène[]
  5. [5] Le rejet du texte du PS pour la vaccination obligatoire ne signifie pas que le danger soit écarté —Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) [

 

 

L’état pitoyable actuel de la France n’est pas dû au virus [1] mais avant tout aux mesures prétendument sanitaires imposées pour soi-disant éviter la submersion du système hospitalier.

Si cette excuse pouvait tromper beaucoup de nos concitoyens au début de la crise, elle n’est plus crédible aujourd’hui. En effet, durant la crise Covid le ministre de la Santé, au lieu de renforcer le système de santé, en a poursuivi la destruction avec la fermeture de près de 4500 lits [2], et la diminution du personnel soignant découragé par le niveau insuffisant des salaires, des conditions de travail aggravées, une pression administrative pesante et tout récemment par l’obligation d’injection expérimentale au personnel soignant [3] dont beaucoup ont préféré abandonner leur profession plutôt que de se soumettre à l’ukase présidentiel.

Le caractère dogmatique et politique des mesures devient encore plus évident avec l’extension du passe au 12-16 ans. Car l’existence de ce passe illogique et inefficace dans le monde réel constitue une brimade scandaleuse de nos jeunes, un chantage brutal pour leur extorquer un consentement à une injection expérimentale qui ne peut leur apporter aucun bénéfice tout en les exposant à des complications graves parfois même mortelles.

 

 

Le passe est fondamentalement irrationnel

Si les vaccinés croient que l’injection les protège, ils n’ont aucune raison de craindre les non vaccinés et de défendre un passe pour les éviter.

S’ils ne croient pas que les pseudo-vaccins les protègent, ils n’ont aucune raison de croire que la vaccination des autres les protégerait davantage.

Dans les deux cas il est illogique de croire à l’efficacité sanitaire du passe. Et l’examen des chiffres de l’OMS illustrés par les courbes de l’université John Hopkins démontre le danger sanitaire de cette mesure discriminatoire.

Les données de l’OMS prouvent que le passe est médicalement dangereux

Quelques pays européens ont imposé le passe à leur population. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que cette mesure, loin de ralentir les contaminations, paraît les exacerber.

L’Autriche a imposé le passe début juilletDepuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22

 

 La Grèce a imposé le passe en espérant attirer ainsi les touristes étrangers.

Malheureusement le passe a été suivi par la multiplication par 5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert (- 30 %) ne retrouvant pas son niveau de 2019.

La Tchéquie a instauré le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4.

 

En Roumanie le passe a été instauré début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Au Danemark la mise en route du passe a été suivi par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.)

 Depuis lors, le Danemark a supprimé le passe.

Ainsi dans tous les pays partisans du passe, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations.

L’échec du passe a été également observé dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un passe.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur passe sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, on dénombrait plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er  et le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques pour y participer. Ces festivals-tests ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes (soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les passes, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le passe n’empêche pas les clusters d’apparaître.

Malgré le passe sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

 

 

Comment peut-on expliquer cet échec cuisant du passe partout où il est utilisé ?

Le concept du passe repose sur les hypothèses que les pseudo-vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant.

 Ces deux croyances sont fausses ainsi que le prouvent amplement les faits avérés et les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne, champions des injections Pfizer et AstraZeneca.

 

L’une des plus récentes illustrations de cette inefficacité a été donnée par la marine anglaise. Tous les marins du porte-avions Queen Elizabeth ont reçu leurs deux injections AstraZeneca depuis plus de 3 mois, ce qui n’a pas empêché une épidémie de plus de cent cas d’éclater chez ces vaccinés prouvant que les vaccins ne protègent ni ceux qui les ont subis, ni leurs contacts.

 

 

Les porteurs de passe, victime de la propagande officielle, se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection, s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec passe.

 

 

 

 Le passe est particulièrement injustifié pour les enfants

 

 L’examen de la littérature et en particulier des plus de 2500 articles listés par PubMed le 30/9/2021 sous les mots clefs « enfants covid transmission » montre que les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission significatif, qu’ils sont rarement atteints et qu’ils font essentiellement des formes bénignes.

 

Les discriminer par un passe n’a donc aucun fondement scientifique, ni pour les protéger, ni pour protéger les autres

 

et le passe ne constitue en réalité qu’un chantage à l’injection génique  et une mesure destinée à les habituer à la perte des libertés fondamentales selon le bon vouloir des princes qui nous gouvernent.

Les dangers de ces injections sont particulièrement graves et doivent être pris en compte.

 

 

 

 

 

Le passe presque partout abandonné

En Europe, la grande majorité des États ont refusé ou abandonné le passe, qu’il s’agisse des pays scandinaves (Danemark, Suède, Norvège, Finlande), de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Croatie, de la Hongrie, de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Biélorussie et de la Russie…

Dans la mesure où toutes les connaissances scientifiques actuelles montrent que les enfants risquent moins du covid que de la grippe saisonnière, que les pseudo-vaccins actuels n’empêchent ni d’être malade et ni d’être contaminant, que les enfants ne constituent pas un vecteur de contamination Covid, leur imposer un passe n’a aucune justification médicale.

L’acharnement du gouvernement contre les enfants pour qu’ils se vaccinent ne peut avoir que d’autres motivations.  Mercantile (vendre encore des vaccins) ? Politique (les habituer à se soumettre même à des règles sans justification scientifique) ?

Nous le saurons peut-être un jour.

 Gérard Delépine

[1] L’épidémie de grippe asiatique de 1958 a entraîné le même nombre de victimes, mais le gouvernement de l’époque s’est efforcée à éviter d’ajouter  l’hystérie à l’épidémie » et la crise s’est terminée sans mesures autoritaires ni conséquences économiques, psychologiques, sociales etc.

[2] La Cour des comptes rapport annuel 2021

[3] SNMH (syndicat national de la médecine hospitalière) communiqué du 10 septembre 2021

 

 

Le passe accélère-t-il la progression de l’épidémie ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

L’état pitoyable actuel de la France n’est pas dû au virus,[1] mais avant tout aux mesures prétendument sanitaires qui nous été imposées pour soi-disant éviter la submersion du système hospitalier.

Le caractère dogmatique et politique des mesures devient encore plus évident avec l’imposition du passe en France sans considérer ses résultats sur l’évolution de l’épidémie dans les pays qui l’ont instauré avant nous.

Ce résumé court vise à combler cette lacune en s’appuyant sur les chiffres officiels de l’OMS et leurs transcriptions en courbes par l’université John Hopkins.

 

Les données de l’OMS prouvent que le passe est médicalement dangereux

Quelques pays européens ont imposé le passe à leur population depuis plus de deux mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que cette mesure, loin de ralentir les contaminations, paraît les exacerber.

 

 

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22

 

 

 

La Grèce a imposé le passe en espérant attirer ainsi les touristes étrangers

 

 

 

Malheureusement le passe a été suivi par la multiplication par 5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %)

 

 

La Tchéquie a instauré le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

 

 

 

 

En Roumanie le passe a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

 

 

 

Au Danemark la mise en route du passe a été suivi par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.)

 

 

 

 

Depuis lors, le Danemark a supprimé le passe.

 

 

Ainsi dans tous les pays champions du passe, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations

L’échec du passe a été également observé dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un passe.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur passe sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le passe n’empêche pas les clusters d’apparaître.

Malgré le passe sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

 

Comment peut-on expliquer ces échecs cuisants du passe partout où il est utilisé ?

 

Le concept du passe repose sur les hypothèses que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

Les porteurs de passe, victime de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec passe aux Pays-Bas comme en Catalogne.

 

 

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le passe, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne.

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le passe l’accélère.

Le Danemark dont la situation sanitaire actuelle ressemble beaucoup à la nôtre vient d’abandonner le passe. On ne comprend pas que notre gouvernement s’obstine à l’imposer, niant ainsi le monde réel.

  1. [1] L’épidémie de grippe asiatique de 1958 a entraîné le même nombre de victimes, mais le gouvernement de l’époque s’est efforcé de ne « pas ajouter l’hystérie à l’épidémie » et la crise s’est terminée sans mesures autoritaires ni conséquences économiques, psychologiques[]

 

 

source Le passe accélère-t-il la progression de l’épidémie ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) par le docteur G Delépine

Coronavirus. Le port du masque: un mimétisme sacrificiel. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

 

Il est temps de  réfléchir à toutes ces mesures imposées de façon apparemment aléatoires et en fait très organisées pour nous « déshumaniser ».

lisez en détail l’intéressante analyse de

Mondialisation.ca, 01 octobre 2021
Mieux et plus on comprend ce qui dévaste ce monde, et mieux on résiste. Cet article est un maillon de notre sortie collective de l’Hypnose induite volontairement par les dirigeants mondialistes et leurs inféodés de trop nombreux pays occidentaux.
 Quelques courts extraites ici

« Le port du masque comme « jouissance d’organe. »

 

Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position « d’être un » avec l’intentionnalité du pouvoir. Il est une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible. 

Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.

Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.

Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement lié à l’existence commune. 

Le covidisme impose l’obligation de se taire. Le langage doit être vidé de sa fonction. Ce qui doit gouverner relève d’une mécanique mimétique. Le port du masque est alors un refus de ce qui fait de nous des êtres humains, c’est une négation du rapport à l’Autre. 

Dans la schizophrénie, en l’absence de la possibilité d’utilisation de l’édifice du langage, c’est l’organe qui « fait fonction.» Ici, c’est le masque, faisant fonction d’organe, qui se substitue au processus de symbolisation. Dans l’organisation de la pandémie, comme dans toute manifestation relevant de la psychose, il n’y a pas de parole et le corps devient un « lieu d’effraction de jouissance . » Les organes s’érotisent. Dans ce cas, Lacan parle de « jouissance d’organe .»(8) 

 

 

 

Le masque : un objet de regard.

 

Afin de produire une double réaction interdépendante : l’automutilation du moi et le rejet de l’autre, le masque fait disparaître le sujet parlant. Sa fonction n’est, en aucune manière, d’être un objet de protection contre le virus, mais bien une obligation d’incorporer le regard du pouvoir sur la Chose. Le geste sacrificiel abolit alors la parole et libère la pulsion de mort. L’impossibilité de questionner l’obligation du port du masque institue une primauté de la violence sacrificielle. 

L’incorporation du regard, imposée par le port obligatoire, relève d’un rapport mimétique, tel que le définit René Girard. Le mimétisme engage les individus dans le jeu du regard. Les objets extérieurs ne doivent plus être vus. C’est l’intime, l’objet du regard des porteurs du masque, incarné par l’image du coronavirus, qui doit être regardé. Il ne s’agit plus de voir et de désirer « ça-voir », mais simplement de jouir de ce qui est exhibé : de la maladie qui est en nous. 

Ainsi, le masque coronavirus n’est plus, comme dans la mythologie grecque, le masque d’une personne qui porte une parole, mais est, au contraire, un simple support de « ce qui me regarde ». « Ça regarde », mais ce qui est regardé n’est pas le visible. La médiatisation de l’évènement ne montre pas des objets, mais ouvre un champ infini au regard.(9) Le regard lui même devient, sans médiation, l’objet que l’on regarde. Il n’y a plus de scène, qui sépare le visible et l’invisible, mais « l’ob-scène » qui les fusionne (10).

Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position « d’être un » avec l’intentionnalité du pouvoir. Il est une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible. 

Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.

Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.

Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement lié à l’existence commune. 

….

 

« Le champ d’intervention du pouvoir n’est donc plus celui du langage, mais bien de celui d’un « mur de langage, » appelé généralement « communication« . Celle-ci nous ordonne, non de percevoir l’évènement, mais de l’éprouver. Tout en rendant celui-ci impensable, le port du masque nous renvoie constamment au « trou du regard« . Il présentifie une rencontre avec un innommable, celui de la jouissance. La gestion de la pandémie nous intime qu’il n’est plus possible d’avoir un corps et nous réduit à être un corps « joui » par les injonctions du pouvoir. 

En portant le masque, les individus se soumettent à un jeu de miroirs reflétant la présence de l’invisible, celle du coronavirus. L’obligation du port du masque révèle ainsi la « Chose même. » Elle dévoile ce dont il s’agit : une violence fondatrice, celle de la naissance d’un nouvel ordre mondial, dont l’édification suppose d’abord une destruction de tout rapport social. 

Il s’agit, pour le pouvoir, non seulement d’effectuer cette rupture, mais aussi de se prémunir contre tout retour possible. Nous devons faire face, non seulement, à ce qui est le socle d’une société capitaliste, la fétichisation des rapports sociaux, mais aussi à ce qui spécifie notre actualité, la chosification du vivant. Nous devons faire face, non seulement au fait que, dans une société capitaliste, les rapports sociaux fonctionnent comme des rapports entre choses, mais que les individus, supports de ces rapports, deviennent eux-mêmes des choses. Cette transmutation ne se limite plus seulement à leur force de travail, mais porte sur l’entièreté de leur existence.

Une « volonté de jouissance. »

Le port généralisé du masque est une machine mimétique imposant une violence unanime, celle du rejet de l’Autre. Cette dernière occupe la place du sacré. Elle est une violence purgative de notre humanité.  « 

 

toutes les références sont dans l’article original et complet de mondialisation.ca

L’immunité « vaccinale » anticovid est un mythe

Depuis le début de la crise sanitaire, l’exécutif français a prétendu que les traitements précoces étaient inefficaces, imposé des restrictions majeures à nos libertés, en particulier de prescription des médecins,[1] et a promis que la vaccination obtiendrait l’immunité collective, la sortie de crise et le retour à une vie normale.

Mais l’échec permanent depuis 18 mois de cette stratégie sanitaire fondée sur des simulations fausses, des mensonges innombrables, des promesses jamais tenues, la propagande de la peur et l’extorsion du consentement à la vaccination par les chantages aux libertés de circuler, d’avoir des loisirs et de travailler, devient insupportable.

Les vaccins actuels qu’ils veulent nous imposer sont-ils efficaces ? Peuvent-ils aboutir à une immunité collective ou n’est-ce qu’un mythe ? Pour y répondre, nous ferons le bilan sanitaire actuel des pays les plus vaccinés d’après les chiffres fournis par l’Organisation Mondiale de la Santé et les courbes de OurWorldinData.

 

Mortalité record à Gibraltar champion des injections Astra Zeneca

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020 alors que l’agence sanitaire recensait dans ce pays seulement 1040 cas confirmés et 5 morts attribués au covid19. Après une campagne de vaccination éclair très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols), le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 5 (passant à 5314) et celui des morts par 19. Atteignant 97, soit 2853 morts par million d’habitants, ce chiffre constituant l’un des records européens de mortalité. Mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal sans proposer une autre étiologie plausible. Et après une accalmie de quelques mois, l’épidémie reprend confirmant qu’une couverture vaccinale à 115 % ne protège pas de la maladie.

 

Malte : une couverture vaccinale de 84 %, mais tout aussi inefficace

Malte fait partie des champions européens des pseudo vaccins : dans cette île de 500 000 habitants, près de 800 000 doses ont été administrées assurant une couverture vaccinale de près de 84 % avec un recul d’environ 6 mois.

Mais depuis début juillet 2021, l’épidémie est repartie et les formes graves (mortelles) augmentent forçant les autorités à reconnaître que la vaccination ne protège pas la population et à imposer des restrictions.

 

Là aussi la récidive de l’épidémie de cas et de la mortalité prouve qu’un taux élevé de pseudovaccination ne protège pas la population.

 

En Islande, on ne croit plus à l’immunité collective vaccinale

Dans ce petit pays de 360 000 habitants, plus de 80 % d’entre eux sont primo-vaccinés et 75 % ont un cycle vaccinal complet. Mais à la mi-juillet 2021, les nouvelles contaminations journalières sont passées d’une dizaine à environ 120, avant de se stabiliser à un taux supérieur à celui de la période pré vaccinale. Cette récidive brutale a convaincu l’épidémiologiste en chef de l’impossibilité d’obtenir l’immunité collective vaccinale « C’est un mythe » a-t-il publiquement déclaré.

 

Belgique : récidive de la maladie malgré la vaccination

En Belgique, près de 75 % de la population est primo-vaccinée. Et 65 % des habitants disposent d’un cycle vaccinal complet. Cependant, depuis fin juin 2021, le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes est passé de moins de 500 à près de 2000. Comme le reconnaît la RTBF, face au variant Delta, la vaccination actuelle est loin d’être suffisante pour protéger la population.

Singapour abandonne l’espoir du « Zéro Covid » par les injections géniques

Ce petit pays est lui aussi très vacciné et près de 80 % de la population a au moins reçu une dose. Mais depuis le 20 août 2021, il doit faire face à une reprise exponentielle de l’épidémie avec une hausse des cas passés d’une dizaine en juin à plus de 150 fin juillet et à 1246 cas le 24 septembre.

 

Cette récidive incontrôlée de la maladie malgré la vaccination a fait abandonner la stratégie de l’éradication du virus pour un modèle de « vivre avec le virus » en essayant de traiter la maladie « comme la grippe ».

 

Au Royaume-Uni : remontée inquiétante des contaminations

Le Royaume-Uni constitue le champion européen de la pseudovaccination Astra Zeneca avec plus de 70 % des habitants primo-vaccinés, et 59 % disposant d’un schéma vaccinal complet. Ce taux élevé de « vaccination » n’a pas évité une explosion des cas au début de l’été, avec, à la mi-juillet jusqu’à 60 000 nouveaux cas quotidiens.

Devant cette reprise importante de l’épidémie malgré la vaccination Andrew Pollard, représentant de l’Oxford Vaccine Group, a reconnu devant le parlement : « l’immunité collective par le vaccin est un mythe ».

 

 

 

Cette reprise des infections s’est accompagnée d’une reprise des hospitalisations, des cas graves et des décès. D’après le rapport officiel d’août,[2] les décès sont plus fréquents chez les malades complètement vaccinés (679) que chez les non-vaccinés (390) démentant ainsi cruellement les espoirs d’un effet protecteur du vaccin sur la mortalité.

 

Après la levée des dernières restrictions sanitaires, une décrue de l’épidémie a été observée avec un niveau de moins de 30 000 cas par jour alors que début juillet des simulations d’épidémiologistes covid terroristes prophétisaient jusqu’à 100 000 nouveaux cas quotidiens en cas de suppression des mesures sanitaires.

Israël : catastrophe post-vaccinale évidente niée par les responsables

Israël, champion de l’injection Pfizer, jadis partout cité en exemple d’efficacité est actuellement durement rappelé à la réalité et représente maintenant le modèle de l’échec vaccinal.

70 % de la population est primo-vaccinée, et près de 90 % des personnes à risque ont un cycle vaccinal complet. Mais l’épidémie est repartie plus forte que jamais depuis fin juin et plus de 11 000 nouveaux cas ont été enregistrés en 1 jour (le 14 septembre 2021) dépassant de près de 50 % les pics observés en janvier 2021 lors de la poussée qui a suivi les premières injections Pfizer.

 

Cette reprise de l’épidémie malgré les injections Pfizer s’accompagne d’une hausse des hospitalisations où les vaccinés représentent la majorité des personnes hospitalisées.

La « vaccination » ne protège pas non plus des formes graves ni de la mort.

 

 

Fin juillet : 71 % de des 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) étaient totalement vaccinés !

Cette proportion de malades graves vaccinés est très supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées : 61 %. Prétendre que le vaccin protège des formes graves de la maladie, comme le déclara imprudemment le ministre de la Santé israélien, est une erreur (ou une désinformation ?).

Pour ne pas reconnaître ses erreurs, le gouvernement israélien reste dans le déni de cet échec patent et continue à ne proposer que l’injection répétitive comme solution. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’il suive l’exemple de l’Inde ou du Japon et qu’il adopte enfin les traitements précoces ?

Conclusions

Les pseudo vaccins actuels sont trop peu efficaces. Ils ne préviennent ni les récidives de l’épidémie, ni les hospitalisations, ni les formes graves, ni la mort. En Israël et en Grande-Bretagne qui précisent le statut vaccinal des victimes, les vaccinés souffrent d’un sur risque de mortalité par rapport aux non-vaccinés.

La poursuite d’une politique uniquement vaccinale aboutit à une impasse mortifère alors que les pays qui conseillent officiellement (Inde) les traitements précoces ou qui laissent leurs médecins les prescrire (Japon, Corée) s’en sortent beaucoup mieux.

Qu’attendent nos autorités sanitaires pour cesser de croire en des simulations fausses réalisées par des épidémiologistes trop liés aux entreprises des vaccins, regarder les faits avérés et interrompre leur campagne pro vaccinale mensongère et délétère et recommander les traitements précoces ?

La poursuite de l’interdiction des traitements précoces par les médecins traitants entraîne une perte de chances pour de nombreux malades et engage directement la responsabilité du gouvernement et singulièrement du ministre de la Santé.


  1. [1] Pour la première fois depuis 2500 ans…[]
  2. [2] SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England Technical briefing 21
    Published August 2021 Public Health England Gateway number : GOV 9374 20 August 2021[]

NB :

tous les chiffres et courbes publiés dans cet article sont authentiques. Les données sont les données officielles publiées par l’OMS que chacun peut vérifier en tapant OMS Covid Dashboard suivi du nom du pays. Les courbes (que j’ai commentées en rouge) ne font que traduire graphiquement les données OMS ; elles ont été pour la plupart publiées par Ourworldindata et peuvent également être retrouvées en tapant Ourworldindata covid suivi du nom du pays en anglais.

Quant à l’immunité collective espérée par les pseudovaccins Covid elle est, depuis l’apparition du variant delta, reconnue comme inatteignable par la quasi-totalité des spécialistes de la planète et plusieurs l’ont déclaré officiellement (Islande, Grande-Bretagne). D’ailleurs même Monsieur le Pr Fischer qui en a fait longtemps la promotion n’ose plus se prononcer sur le sujet.

Que les vaccins n’empêchent pas d’être contaminant est parfaitement établi, ne serait-ce que par l’explosion récente de 100 cas de covid en quelques jours parmi les 1200 membres d’équipage tous complètement vaccinés depuis plus de 3 mois à bord du porte-avions Queen Elizabeth. D’ailleurs monsieur Veran l’a officiellement reconnu dans sa réponse au Conseil d’État fin mars 2021.

Que les vaccins n’empêchent pas de faire une forme grave et même d’en mourir est affirmé par les expériences israélienne et anglaise.

Que le passe sanitaire ne protège pas des contaminations a été malheureusement affirmé par ses échecs (lorsque l’épidémie sévissait encore début juillet) après de nombreux concerts avec passe qui ont été suivis de poussée épidémique aux Pays-Bas et en Catalogne et par la multiplication par 20 en un mois des contaminations journalières après l’instauration d’un passe en Autriche.

Je vous signale également que tous les chiffres et courbes cités dans tous nos articles proviennent de sources officielles et sont sourcés.

Gérard Delépine

COINCIDENCES ? LE MOT CLEF

Nous avions, il y a déjà plusieurs mois, émis des réserves au moins théoriques à vacciner les patients cancéreux ou les anciens malades guéris, en raison du mécanisme envisagé de l’injection génique sur l’immunité. Plusieurs généticiens avaient d’ailleurs exprimé leurs inquiétudes sur la possible interférence entre des cellules cancéreuses actives, ou des cellules en sommeil et l’activité de la thérapie génique sur les lymphocytes en particulier.

Les mois ont passé, et la folie vaccinale s’est amplifiée, conduisant à refuser les patients dépourvus de passe dans les hôpitaux (destinés, c’est bien connu à ne recevoir que des bien-portants) et à exiger des patients de se faire vacciner absolument avant de recevoir tout traitement, y compris les cancéreux.

Nous sommes dans un monde devenu fou et pourtant ces histoires se multiplient, tel ce jeune homme de 22 ans qui a vu apparaître une toux chronique conduisant à une radio découvrant une masse médiastinale. Les deux gros hôpitaux parisiens qui l’ont reçu refusent de débuter le traitement (sans qu’il soit expliqué en détail) si le patient refuse l’injection expérimentale, d’effets absolument inconnus sur le développement des cancers. La justification des médecins ? Aucune : « c’est comme cela », et nous l’avons bien accepté !

Silence sur les collègues suspendus faute d’obéissance et encore plus sur les raisons objectives qui leur ont fait préférer perdre leur emploi, leur rémunération, leur maison, leur famille intolérante à ces décisions aussi plutôt que de soumettre à l’ukase présidentiel d’accepter des médicaments expérimentaux…

Plus de trois-cent-mille soignants (chiffre probablement fortement sous-estimé vu le nombre d’hôpitaux et cliniques actuellement obligés de fermer des lits et de reporter des interventions faute de personnel) seraient-ils fous, complotistes ou délirants au point de se mettre en grand danger personnel, social, familial, professionnel, psychologique ?  Les médecins qui affirment que se vacciner est sans danger ont-ils pris le temps de regarder les statistiques des effets signalés et acceptés par les agences officielles ?  Les FDA EMA MHRA sont-elles aussi « complotistes quand elles affichent comme le VAERS :

Le VAERS au 26 septembre 2021

Plus de 726 000 effets indésirables liés au vaccin Covid signalés au VAERS alors que le CDC et la FDA annulent les recommandations des comités consultatifs sur le troisième vaccin de Pfizer.

Les données VAERS publiées par le CDC comprenaient un total de 726 965 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge suivant les vaccins contre la Covid, dont 15 386 décès et 99 410 complications graves entre le 14 décembre 2020 et le 17 septembre 2021.[1]

 

Ou Eudra Vigilance organisme de pharmacovigilance de l’agence européenne du médicament

 

Ou même l’ANSM notre agence française qui affiche plus de 1200 décès acceptés comme en lien au moins possible avec ces injections expérimentales

Tous les essais thérapeutiques depuis cinquante ans étaient stoppés après quelques morts pour enquête (53 morts ont fait stopper le vaccin H1N1). Ici des milliers de décès par le monde et on s’attaque aux enfants sans vergogne [2]. Comment peut-on continuer à croire que c’est une politique sanitaire ?

Pourquoi ce déni digne des sectes les plus solides de la part de médecins théoriquement instruits, capables de s’informer directement aux sources fiables et dotés d’un cerveau ?  La peur du chef, du patron, du directeur, qui d’ici quelques mois seront inéluctablement mis en cause, puisque de nombreux pays rétropédalent et même l’Allemagne veut sortir du terrorisme vaccinal peut-être à l’occasion du départ de Mme Merkel.[3]

« Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures “anti-corona” et la fin de “la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique ». Manifestement les médecins hospitaliers français parisiens, et d’ailleurs, ne lisent pas les journaux allemands et sont terrorisés par les menaces de leur Conseil de l’Ordre, leur ministre, et deviennent des kapos [4] et terrorisent leurs patients.

 

 

DES TÉMOIGNAGES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX SE RAPPROCHENT DE TOUS

Quoi qu’il en soit de leurs inacceptables raisons, les témoignages se multiplient.

Une jeune fille accompagne son amie à l’enterrement de sa mère… telle maman, mère d’une amie de lycée, de 34 ans, en rémission d’un cancer du sein depuis deux ans qui se fait injecter la fameuse piquouse et s’écroule quelques jours plus tard dans le coma et meurt après trois jours d’hospitalisation… Explication politiquement correcte : le cancer a explosé et l’a emportée. Fermez le chapitre et le cercueil.

Qu’en aurait dit Maigret ?

Mais trop de coïncidences choquent les enquêteurs de la police devant un cadavre. Seuls les médecins n’auraient pas le droit de réfléchir aux coïncidences de temps, par exemple : « temporalité » est leur mot clef…

Comme le slogan trompeur, « les chiffres ont toujours raison ». Oui s’ils sont vrais et observés dans le monde réel. Mais quelle confiance peut-on accorder à ceux des simulations truquées dont nous abreuvent le gouvernement et les médias sans jamais préciser qu’il ne s’agit que de prédictions ou d’estimation ? [5] Mais on fait ce qu’on veut avec les chiffres, lorsqu’on les choisit, ou les crée pour justifier l’hypothèse choisie, et le téléspectateur ne peut y voir que du feu.

En tous cas, en ce qui concerne « cancer et injection génique », le flou se dissipe malheureusement devant la multitude de récits terribles.  De la collègue qui voit apparaître des « boules » multiples sous ses aisselles, que des bilans dans tous les sens à l’hôpital n’expliquent pas… Évidemment aucun lien possible avec le vax. Et pourtant les ganglions qui apparaissent quelque temps après l’injection sont une observation fréquente après ces vax.

Alors clairement il semble bien exister trois situations.

 

 

L’apparition d’un cancer rapidement après l’injection (deux semaines à quelques mois) et très évolutif, chez une personne jusque-là indemne de pathologies carcinologiques connues.

La reprise évolutive d’un cancer chez un patient en rémission complète depuis plusieurs mois ou années.

 L’évolution rapide voire explosive d’un cancer encore non contrôlé.

 

Au-delà des témoignages qui affluent chez des proches ou leurs amis et sur les réseaux sociaux, un journal suisse a enfin abordé le sujet de façon plus large.

Voici quelques extraits de leur article [6] et de leurs références [7]

« Les vaccins covid peuvent-ils causer le cancer ?

Dans certains cas, la réponse semble être oui. Certes, il n’y a aucune preuve que les vaccins covid eux-mêmes sont cancérigènes. Cependant, il a été démontré que chez jusqu’à 50 % des vaccinés, les vaccins covid peuvent induire une immunosuppression temporaire ou un dérèglement immunitaire (lymphocytopénie) qui peut durer environ une semaine ou peut-être plus.

En outre, il a été démontré que les vaccins à ARNm covid « reprogramment » (c’est-à-dire influencent) les réponses immunitaires adaptatives et innées et, en particulier, qu’ils régulent à la baisse la voie dite TLR4, qui est connue pour jouer un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections et aux cellules cancéreuses ».

Ainsi les auteurs en concluent qu’il est bien possible que ces modifications immunitaires puissent entraîner des conséquences imprévues sur l’état du receveur de l’injection génique.  Question de bon sens de fait !

« Ainsi, s’il y a déjà une tumeur quelque part – connue ou inconnue –, ou s’il y a une prédisposition à un certain type de cancer, un tel état de suppression immunitaire induite par le vaccin ou de dérèglement immunitaire pourrait potentiellement déclencher une croissance tumorale soudaine et un cancer dans les semaines suivant la vaccination. Il est à noter que la lymphocytopénie a également été fréquemment observée dans les cas de covid sévère ».

Il a par ailleurs été constaté une réactivation post-vaccination des infections virales latentes, notamment du virus du zona, l’EBV (Epstein-Barr) et le virus de l’hépatite. « L’immunosuppression temporaire induite par le vaccin est également un facteur susceptible de contribuer au pic post-vaccination des infections à coronavirus, observé dans de nombreux pays ».

 

 

FRÉQUENCE DES ÉVÉNEMENTS LIÉS AU VACCIN EN CANCÉROLOGIE :  INCONNUE

Il existe déjà quelques milliers d’observations dans les rapports officiels de déclaration des événements indésirables et dans les groupes de patients en ligne. Il y a certainement de véritables coïncidences ou des retards diagnostiques en raison d’un diagnostic retardé lié au confinement. Mais nous ne devrions pas rayer d’un revers de manches les énormes problèmes que posent ces vraies personnes affectées dans leur quotidien et plus encore la responsabilité que prennent les médecins cancérologues en imposant l’injection avant tout traitement ou toute poursuites de protocole. Leur principal argument : « nous, on l’a bien fait, sans discuter » ne paraît pas digne d’une profession autrefois pensante.

En août 21, le Dr Ryan Cole [8], américain, anatomopathologiste depuis de très longues années a décrit une augmentation significative de certains types de cancer (par exemple le cancer de l’endomètre, utérus) depuis le début de la campagne de vaccination de masse covid. Plus récemment, les pathologistes allemands ont également noté le problème de la dérégulation immunitaire post-vaccination et de la croissance tumorale soudaine chez certains patients.

Sur les réseaux français plusieurs témoignages coïncident avec la réapparition d’hémorragies vaginales chez des femmes âgées de plus de 85 ans aboutissant au diagnostic de cancer de l’endomètre et au décès rapide… La protéine spike fabriquée par l’organisme à la suite de l’injection est particulièrement attirée par les organes génitaux, et c’en serait une nouvelle démonstration.

Alors en attendant d’en savoir plus, soyons prudents, tant médecins que soignants, et ne jouons pas à l’apprenti sorcier !

 

 

La prudence s’impose avec tous les traitements expérimentaux et encore plus lorsqu’ils sont le fruit d’une technique jamais utilisée auparavant en pathologie infectieuse. D’abord ne pas nuire doit guider les décisions de tout médecin fidèle à son serment d’Hippocrate.

 

 

 

Nicole Delépine

[1] More Than 726,000 COVID Vaccine Injuries Reported to VAERS as CDC, FDA Overrule Advisory Committees’ Recommandations on Third Pfizer Shot • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

[2][2] Les simulations, alibi truqué de la vaccination extorquée aux enfants   – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[3] Les médecins libéraux allemands pour la fin de “la politique de la panique”

le 27/09/2021   Dr Stephan Hofmeister, Dr Andreas Gassen, Dr Thomas Kriedel

KBV Lopata/axentis.de     France-Soir

Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures “anti-corona” et la fin de “la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique”.

Lors de la convention des délégués des médecins conventionnés allemands, le directeur adjoint de la Kassenärztlichen Bundesvereinigung (KBV, association nationale des médecins de l’assurance maladie) le Dr Stephan Hofmeister, et le président, le Dr Andreas Gassen, ont exigé la fin des mesures dites “anti-Corona” en Allemagne et la fin de la “politique de la panique et la rhétorique de l’horreur”.

Le communiqué de presse de la KBV déclare : “tous ceux qui souhaitent se faire vacciner ont la possibilité de le faire. Désormais ce n’est plus une décision qui revient à l’État : chacun doit décider à titre individuel pour lui-même.” Selon le Dr Hofmeister les sondages indiquent que plus insistantes se font les pressions politiques, plus les gens refusent toute vaccination en signe de protestation. “C’est une confusion malsaine” a-t-il dit en exigeant que l’on arrête cette politique de la peur.

[4] Ainsi étaient appelés les déportés qui, en échange de quelques avantages devenaient complices des nazis et se montraient parfois aussi inhumain que leurs bourreaux

[5] RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA « PLANDEMIE » COVID – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[6] Covid Vaccines and Cancer – Swiss Policy Research (swprs.org)

[7] The Testimonies Project – Israeli Jab Victims Speak Out [VIDEO] | Europe Reloaded

[8] Dr Ryan Cole sur le cancer post-vaccination :  Le docteur Ryan Cole constate une recrudescence de cas de cancers comme jamais auparavant. Vidéo. | Pro Fide Catholica

 

Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid

 

Des survivants de l’Holocauste se joignent aux avocats, au Dr Fleming et au professeur Luc Montagnier pour exiger que la Cour pénale internationale inculpe les gouvernements du monde de crimes contre l’humanité, de génocide et de violations du Code de Nuremberg.

 

le 26 septembre 2021

Les survivants des camps de concentration nazis ont envoyé une lettre à la Cour pénale internationale pour une « demande d’enquête » conjointe à celle d’avocats qui ont soumis des preuves, ainsi que les déclarations sous serment du professeur Luc Montagnier et du Dr Richard Fleming, alléguant que les gouvernements du monde entier et leurs conseillers sont complices de génocide, de crimes contre l’humanité et d’infractions au Code de Nuremberg.

L’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum ont soumis une « demande d’enquête » de 27 pages à la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye en avril 2021, alléguant que le gouvernement britannique et ses conseillers étaient complices de crimes contre l’humanité en le nom de Covid-19.

 

Le CSAPE en France a porté plainte à la CPI.[1] [2] [3] [4]

 

 

Une nouvelle demande depuis l’été soumise à la CPI en raison de la grande quantité de nouvelles preuves et d’informations révélées au cours des derniers mois. Les avocats disposent désormais de preuves convaincantes que « le virus SRAS -CoV-2 et les « vaccins » Covid-19 sont des armes biologiques délibérément envisagées lancées en deux phases sur des peuples du monde sans méfiance ».

L’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum ont confirmé qu’elles étaient désormais jointes par des avocats qui ont déposé des demandes d’enquêtes similaires auprès de la Cour pénale internationale, en France, en République tchèque et en Slovaquie.

 

L’équipe d’avocats et d’experts a reçu le soutien des survivants de l’holocauste,

 

Ceux-ci ont adressé une lettre à la CPI décrivant leurs graves préoccupations concernant la réponse mondiale à Covid-19 et les dangers des injections expérimentales de Covid-19 utilisées pour prétendument combattre le virus.

La lettre envoyée est signée par trois des très rares survivants des camps de concentration nazis, qui ont vécu de première main les horreurs de l’Holocauste, choqués et consternés par le mal qu’ils voient se dérouler une fois de plus, cette fois dans le monde entier – et en particulier, le mépris total apparent pour le Code de Nuremberg.

Ces mêmes survivants ont déjà remis une lettre à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et au régulateur britannique des médicaments (MHRA) exigeant l’arrêt du déploiement du vaccin Covid-19 par suite de la décision de la FDA d’accorder l’approbation complète des nouveaux lots de vaccins Pfizer Covid. -19

Les survivants ont accusé les autorités de ne pas avoir correctement informé les populations des risques liés aux vaccins et d’avoir violé le droit au consentement libre et éclairé en vertu du Code de Nuremberg.

 

Dans leur lettre à la CPI, les survivants de l’Holocauste, Vera Sharov,[5] [6]Moshe Brown et Hillel Handler ont réitéré les appels lancés par l’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum pour que le programme de « vaccins » COVID- 19 soit arrêté avec effet immédiat, afin de mettre fin au très grand nombre d’événements indésirables souvent graves qui apparaissent.

Les survivants de l’Holocauste ont ainsi conclu leur lettre :

 

« Nous, en tant que survivants des camps de concentration, avons été témoins de nombreuses atrocités commises pendant la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait plus jamais, mais pourtant cela se reproduit. Quelle prise de conscience accablante : combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur de prendre le « vaccin » ?

 

 Combien ont survécu à l’Holocauste mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ? Combien ont-elles survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau mais n’ont-elles pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

 

Nous vous implorons donc d’accepter la « demande d’enquête » conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête urgente sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code par de nombreux responsables, qui ont déclenché tant de morts inutiles et d’accidents graves et continuent de le faire quotidiennement.

 

La Cour pénale internationale, en tant que tribunal de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes les plus odieux et de traduire les auteurs en justice.

 

Il est en votre pouvoir de sauver des vies.

 

 

Nous savons que plusieurs accusations criminelles ont été rejetées par vous pour des motifs formels. Indépendamment des détails techniques, vous les avez lus.

 

Nous savons que vous êtes conscients, à cause de ces affirmations, que des millions de personnes sont accidentés et handicapés et meurent à cause de la soi-disant vaccination.

 

Par exemple, les avocats irlandais ont fourni les chiffres des victimes en Israël et l’accès à la base de données de l’EMA sur les effets secondaires. C’était il y a plus de trois mois. Depuis lors, davantage de personnes sont décédées, sont tombées malades en phase terminale ou ont été blessées (voir ci-dessus).

 

 Et vous n’êtes pas intervenus. Vous êtes averti en outre du fait que les enfants sont désormais de plus en plus parmi les victimes de la « vaccination ».

 

C’est à vous de punir les actes délibérés contre la vie et l’intégrité physique,

Chaque jour que vous gaspillez sans rien faire, des vies humaines sont détruites, des vies d’enfants.

 

Nous exigeons la fin immédiate de la campagne de vaccination et une enquête immédiate sur les preuves que vous ne pouvez pas ignorer.

 

 Les gens pardonneront une erreur. Un meurtre délibéré de leurs enfants – non.

 Faire le bon choix.

 L’histoire ne vous regarde pas d’un bon œil si vous manquez à votre devoir de le faire. Sachez que nos yeux et ceux des peuples du monde sont braqués sur vous – la responsabilité vous appartient. Vous savez ce qui se passe, vous avez les preuves et maintenant vous devez agir. »

 

 

 

 

 

 

 

 

VERSION INTEGRALE DE LA LETTRE DES SURVIVANTS

 

 

« A Monsieur le Procureur de la Cour pénale internationale, M. Karim Khan

 

 Nous soussignés, en tant que survivants des camps de concentration nazis ayant subi des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous nous sentons obligés de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre pour soutenir la « demande d’enquête » conjointe soumise à la Cour pénale internationale au nom du Royaume-Uni (143.21), de la Slovaquie (133.21), de la France (271/21) et de la République tchèque (326/21) le 12 août 2021.

 

 

Le contenu de la « demande » comprend des déclarations sous serment de témoins experts, le Dr Richard Fleming, le professeur Luc Montagnier et le Dr Kevin McCairn. Il est évident pour nous qu’une autre série d’événements horribles, touchant cette fois tous les peuples du monde, se déroule sous nos yeux.

 

Cependant, la majorité de la population mondiale ne se rend pas encore compte de ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé tel que celui-ci dépasse leur champ d’expérience.

 

 Nous, cependant, nous savons.

 

Nous nous souvenons du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous avons une impression de déjà-vu qui est si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres semblables. Les innocents menacés comprennent maintenant des enfants, et même des nourrissons.

 

En quatre mois seulement, les « vaccins » COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles réunis entre la mi- 1997 et la fin 2013, soit une période de 15,5 ans.

 

Et les personnes âgées de 18 à 64 ans qui étaient à peine menacées par le COVID-19 et qui, par conséquent, n’apparaissaient pas dans les statistiques de mortalité sur ou avec le COVID-19, représentent jusqu’à 80 % des enregistrements en tant que victimes de la  » vaccination « .

 

La base de données EudraVigilance rapporte que jusqu’au 18 septembre 2021, 24 863 décès et 3 691 366 blessures ont été signalés à la suite d’injections de quatre prétendus vaccins expérimentaux COVID-19.

 

En ce qui concerne les chiffres réels, le célèbre rapport Lazarus de Harvard Pilgrim Health Care Inc., publié en 2009, a révélé qu’en général, seul 1 % des effets indésirables des vaccins est signalé : « Les effets indésirables des médicaments et des vaccins sont fréquents, mais peu signalés. Bien que 25 % des patients ambulatoires subissent un événement indésirable lié à un médicament, moins de 0,3 % de tous les événements indésirables liés aux médicaments et 1 à 13 % des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont signalés. »

 

 

 

Nous vous demandons d’aider à arrêter immédiatement cette expérience médicale impie et criminelle sur l’humanité.

 

Ce que l’on appelle « vaccination » contre le virus Sras-CoV-2 est en réalité un empiètement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant l’immunisation de la planète entière n’a été accomplie en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain.

 

Il s’agit d’une expérience médicale à laquelle le code de Nuremberg doit être appliqué.

 

Les 10 principes éthiques contenus dans ce document représentent un code fondamental d’éthique médicale qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg afin de garantir que les êtres humains ne seraient plus jamais soumis à des expériences et procédures médicales involontaires, mais c’est pourtant exactement ce qui se passe actuellement dans le monde.

 

Nous vous rappelons ce qui suit.

 

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

 

(a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; qu’elle doit être dans une situation telle qu’elle puisse exercer le libre pouvoir de choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, de surenchère ou de toute autre forme de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet concerné pour lui permettre de prendre une décision compréhensible et éclairée.

 

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, celui-ci soit informé de la nature, de la durée et du but de l’expérience, de la méthode et des moyens par lesquels elle sera menée, de tous les inconvénients et dangers auxquels on peut raisonnablement s’attendre, et des effets sur sa santé ou sa personne qui pourraient résulter de sa participation à l’expérience.

 

(c) Le devoir et la responsabilité de s’assurer de la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. Il s’agit d’un devoir et d’une responsabilité personnels qui ne peuvent pas être délégués à une autre personne en toute impunité.

 

 

Re. (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les gouvernements et les médias répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contre-vérités jusqu’à ce qu’elles soient crues.

 

Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des personnes non vaccinées. S’il y a 80 ans, les Juifs étaient diabolisés en tant que propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui, ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus.

 

 

L’intégrité physique, la liberté de voyager, la liberté de travailler, toute coexistence ont été retirées aux gens afin de leur imposer la vaccination

 

. On incite les enfants à se faire vacciner contre l’avis de leurs parents.

 

Re (b) : Les 22 terribles effets secondaires déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental.

 

Ils sont les suivants :

 

Syndrome de Guillain-Barré

Encéphalomyélite aiguë disséminée

Myélite transverse Encéphalite/encéphalomyélite/méningo encéphalite/méningite/encépholapathie

Convulsions/épilepsies

Accident vasculaire cérébral

Narcolepsie et cataplexie

Anaphylaxie

Infarctus myocardique aigu

Myocardite/péricardite

Maladie auto-immune Décès Issues de la grossesse et de l’accouchement Autres maladies démyélinisantes aiguës

Réactions allergiques non anaphylactiques

Thrombocytopénie

 

Coagulation intravasculaire disséminée

Thromboembolie veineuse

Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires

Maladie de Kawasaki Syndrome inflammatoire multisystémique chez l’ENFANT

Maladie renforcée par un vaccin.

 

 

 

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé.

 

Entre-temps, des milliers d’effets secondaires sont enregistrés dans de nombreuses bases de données.

 

Tandis que les soi-disant numéros de cas (positifs de covid) sont diffusés dans des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires graves ni de la manière et du lieu où ils doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les décès et les effets indésirables enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans certaines bases de données.

 

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige :

 

 « Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérience ».

 

 La « vaccination » contre le COVID-19 s’est avérée plus dangereuse que la maladie COVID-19 pour environ 99% des humains.

 

Comme l’a démontré Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque face au virus. Les données montrent que des enfants qui ne courent aucun risque avec le virus ont eu des crises cardiaques après avoir été vaccinés ; en attendant la mise à jour depuis août 2021, plus de 15 000 ont subi des événements indésirables – dont plus de 900 événements graves.

 

Au moins 16 adolescents sont morts après avoir été vaccinés aux États-Unis. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons ces lignes.

 

Pourtant, le principe 10 du Code dit : « Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence supérieure et du jugement prudent qui sont exigés de lui, que la poursuite de l’expérience risque d’entraîner une blessure, une invalidité ou la mort du sujet expérimental. »

 

Selon les allégations, environ 52% de la population mondiale a reçu au moins une injection. La divulgation honnête du nombre réel de personnes blessées par les vaccins, de personnes en phase terminale et de personnes décédées dans le monde aurait dû être faite depuis longtemps.

Nous craignons qu’ils soient déjà des millions. En tant que survivants des camps de concentration, nous avons été témoins de nombreuses atrocités commises au cours de la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait jamais, pourtant cela se reproduit.

 

Quelle constatation accablante : Combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur à prendre le « vaccin » et n’ont pas survécu ? Combien ont survécu à l’Holocauste mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ?

 

Combien ont survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau mais n’ont pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

 

Nous vous implorons donc d’accepter la « demande d’enquête » conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code de Nuremberg par de nombreux auteurs, qui ont causé tant de morts inutiles et de blessures graves et continuent de le faire quotidiennement.

 

La Cour pénale internationale, en tant que juridiction de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes, les plus odieux, et de traduire leurs auteurs en justice.

 

Il est en votre pouvoir de sauver des vies.

 

Nous savons que plusieurs accusations criminelles ont été rejetées par vous pour des raisons formelles. Indépendamment des détails techniques, vous les avez lues. Nous savons que vous êtes conscient, en raison de ces accusations, que des millions de personnes sont blessées et meurent à cause de la soi-disant vaccination.

 

Par exemple, les avocats israéliens ont fourni les chiffres des victimes en Israël et l’accès à la base de données de l’EMA sur les effets secondaires. C’était il y a plus de trois mois. Depuis, d’autres personnes sont mortes, sont tombées en phase terminale ou ont été blessées (voir ci-dessus). Et vous n’êtes pas intervenu. Vous cautionnez en outre le fait que les enfants font désormais de plus en plus partie des victimes de la « vaccination ».

 

C’est à vous de punir les actes délibérés contre la vie et l’intégrité physique, et non de vous porter volontaire en acceptant de manière approbatrice l’atteinte à la vie humaine.

 

Chaque jour que vous gaspillez sans rien faire, des vies humaines sont détruites, des vies d’enfants.

 

Nous exigeons l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination et une enquête immédiate sur les preuves dont vous disposez. Les gens pardonneront une erreur. Un meurtre délibéré de leurs enfants – non.

 

 Faites ce qui est juste. L’histoire ne vous verra pas d’un bon œil si vous manquez à votre devoir de le faire. Sachez que nos yeux et ceux des peuples du monde sont braqués sur vous – la responsabilité vous incombe. Vous savez ce qui se passe, vous avez les preuves et maintenant vous devez agir.

 

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments distingués.

 

 

 Signé Moshe Brown ; Hillel Handler ; Vera Sharav Survivants des camps de concentration nazi

 

 

 

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Chers lecteurs, ne restez pas passifs après cette lecture si émouvante et douloureuse, dont on imagine l’effort des auteurs pour se replonger dans ces horreurs qu’ils espéraient ne plus voir.

Diffusez cette lettre et en même temps ces plaintes auxquelles vous pouvez vous joindre par l’intermédiaire de la CSAPE et informez vos élus, désinformés comme beaucoup de français par la propagande quotidienne.   Informez !

 

 Et écrivez aux sénateurs, qui peut-être, faute d’informations, risquent de voter une obligation vaccinale pour tous les Français.

 

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[1] Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens

Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 – Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22

Nous contacter : csape.sg@hotmail.com – site : www.csape.international

[2] Compte rendu sur la plainte à la CPI pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant SARS-CoV-2 et le vaccin covid19 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)  aout 21

[3] Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) 2 juillet 21

[4] Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[5][5] Voir aussi  Israeli Holocaust Survivor Vera Sharav and Dr Reiner Fuellmich on ‘Global Genocide’ – Bible Science Forum

[6] Israeli holocaust survivor Vera Sharav (public advocate for human rights and the founder and president of the Alliance for Human Research Protection (AHRP)).

 

Les simulations, alibi pseudo scientifique   truqué  de la vaccination des enfants

 

Volet 2 de l’analyse des simulations-prédictions au cours de la crise covid :

 Le scandale de la fermeture des écoles et des dommages infligés aux enfants

 

Depuis plus de 18 mois, la politique sanitaire française ne s’appuie pas sur les faits constatés dans le monde réel, mais uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement fausses, et faussées, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif, nous faire accepter la perte de nos libertés et nous imposer les pseudo vaccins.

Dans un article précédent, nous avons démontré les erreurs (ou trucages ?) invraisemblables du rapport 9 de Ferguson (Imperial college ) de mars 2020 qui a servi de prétexte aux confinements,  et des articles fallacieux  écrits ultérieurement pour les justifier.[1]

Dans ce second volet nous rappellerons les données de la littérature internationale qui montrent que l’enfant ne participe pas à la transmission du covid19 et que toutes les mesures qui lui nuisent sont inutiles sur la maladie.

 

 

Les enfants sont innocents du Covid et ne transmettent pas la maladie

La fermeture des écoles imposée par la majorité des gouvernements, occidentaux en particulier de la planète, repose seulement sur la foi et/ou à l’obéissance  en des simulations dont le modèle a été élaboré pour la grippe (où les enfants représentent effectivement un vecteur important de transmission).

Mais pour le covid 19, la littérature internationale montre que l’enfant est complètement innocent de la transmission.

Toutes les études épidémiologiques réalisées au début de l’épidémie prouvent qu’il est rarement atteint, que lorsque cela arrive c’est à domicile par l’intermédiaire d’un parent proche, qu’il fait des formes bénignes [2] [3] et qu’il ne transmet pas la maladie[4] [5] [6] [7] [8] [9] [10] [11] [12] [13] [14] [15] [16] [17], sauf exceptionnellement à ses parents, à domicile.

Le professeur Robert Cohen, pédiatre très pro vaccin précise : « les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Il n’y a donc aucune raison scientifique de conseiller la vaccination des enfants dans l’espoir de protéger la population plus âgée, d’autant plus que les vaccins actuels n’empêchent pas les transmissions, que l’immunité obtenue après une guérison naturelle est beaucoup plus efficace et durable que celle post injection et que plus aucun scientifique indépendant de l’industrie des vaccins ou des gouvernants qui tentent de l’imposer ne croit encore que l’immunité collective puisse être obtenue par la vaccination.

 

 

Les écoles ne jouent aucun rôle prouvé dans la transmission du covid

Dans sa note du 20 avril 2020, le conseil scientifique reconnaissait : « Il n’y a pas eu d’épidémie documentée dans les crèches, écoles, collèges, lycées ou  universités à ce jour, en l’état des connaissances actuelles, sauf une dans un lycée en France où le virus a touché 38% des lycéens, 43% des enseignants, et 59% des personnels travaillant dans l’établissement scolaire (Crépy-en-Valois). »

Or la transmission de l’épidémie de Crépy en Valois a été analysée par l’institut Pasteur[18] sans qu’aucune contamination par les enfants n’ait pu être mise en évidence « no secondary cases in the following 14 days among pupils, teachers and non-teaching staff of the same schools ».

Au 17 septembre 2021, malgré 226 844 344 cas confirmés par l’OMS, aucune étude épidémiologique n’a mis en évidence de transmission par des élèves à l’école et partout où les écoles sont restées ouvertes les autorités sanitaires ont constaté qu’il n’y a pas eu de transmission des écoles vers les communautés [19] [20] [21] [22].

De plus si les adultes qui travaillent dans les écoles peuvent être atteints et transmettre la maladie (via d’autres adultes), ils sont moins souvent atteints que les autres professions : « les enseignants ont montré un risque plus faible d’hospitalisation avec covid-19 et de covid-19 sévère) que la population générale [23]. Travailler en milieu scolaire a plutôt un effet protecteur contre le risque covid19.

Les données de surveillance nationale au Royaume-Uni ont montré que le personnel scolaire est moins exposé au risque d’infection en milieu scolaire que la population adulte en général[24].

Une autre étude, portant sur 57.000 personnes s’occupant d’enfants dans des crèches aux États-Unis, a également montré qu’il n’y avait pas de risque accru d’infection pour les personnes s’occupant d’enfants.

La fermeture des écoles et les mesures prétendument sanitaires qui ont été imposées aux enfants n’ont donc jamais eu aucune justification scientifique dans le monde réel.

Le statisticien Ola Rosling a déclaré au podcast « More or Less » de la BBC en juillet 2020 : « Nous avons gardé nos écoles ouvertes et je pense vraiment que tous les pays du monde peuvent le faire ».

Le 27 mai 2020, le premier ministre norvégien Erna Solberg à la télévision, a regretté le coût excessif du confinement pour son pays et s’est demandé si elle n’aurait pas mieux fait de suivre l’exemple de la Suède : « il n’était peut-être pas nécessaire de fermer les écoles ». « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur« , a-t-elle ajouté.

En juillet 2020, l’Agence suédoise de la santé publique et l’Institut finlandais de la santé et du bien-être ont publié une étude conjointe avec, révélant un taux similaire de cas de coronavirus chez les enfants en Suède, qui a maintenu les écoles ouvertes (et n’a pas imposé de masque), et en Finlande, qui les a fermées.

Les écoliers suédois peuvent remercier chaleureusement A. Tegnell et son équipe pour les décisions qui ont sauvé leur année scolaire 2020 et leur équilibre psychologique. Cet épidémiologiste a revu les prédictions de Ferguson, ne les a pas confirmées et son gouvernement l’a suivi à juste raison.

La réouverture des écoles n’a nulle part été suivie par une reprise de l’épidémie que ce soit en Italie[25], en Irlande[26], en Grande-Bretagne[27], en Corée du Sud [28]  ou en Israël [29], contrairement à ce que prévoyaient les simulations et les déclarations alarmantes des covido-terrorisants diffusées en France avant chaque rentrée scolaire.

 

La simulation alarmiste de l’institut Pasteur est totalement biaisée

La rentrée scolaire actuelle est à nouveau la cible de déclarations alarmistes par Gabriel Attal[30] porte-parole du gouvernement, le conseil scientifique [31], B. Lina[32], ou Vittoria Colizza[33], co auteure d’une simulation Pasteur[34] aussi fausse que les précédentes.

 

TENIR COMPTE DES CHIFFRES REELS ET NON D’ HYPOTHESES

Dans cette simulation mathématique, les auteurs ont pris comme hypothèse que les enfants de moins de 14 ans regrouperaient 30% des contaminés alors qu’en réalité ils ne représentaient que 5% des contaminés de la première vague[35] et ne dépassent pas 10 % des contaminés début septembre 2020 .

Cette même simulation est basée sur l’hypothèse que les enfants seraient à l’origine de la moitié des transmissions virales, ce qui est totalement contraire à toutes les analyses des faits avérés et constitue une colossale sur estimation.

Rappelons tout particulièrement l’étude épidémiologique menée par l’Institut Pasteur lui-même dans des écoles de Creil sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. Les modélisateurs de l’institut Pasteur lisent-ils les enquêtes épidémiologiques de leurs collèges ?

Quant au ratio de transmission R, la simulation le fixe à 7 ce qui également notablement plus élevé que ceux observés à l’étranger même pour le variant delta.

La surestimation systématique invraisemblable des trois facteurs clefs de la simulation montre qu’elle a été conçue par ses auteurs pour persuader nos dirigeants que les enfants représenteraient un facteur important de transmission et que leur vaccination pourrait diminuer ce risque.

 Ce n’est pas une étude scientifique mais un pur article de propagande covid terrorisante, destinée à faire injecter des vaccins aux enfants qui ne peuvent en aucun cas en tirer un bénéfice personnel alors qu’ils peuvent souffrir de graves complications post vaccinales dont les myocardites.

Cette prépublication de l’institut Pasteur, à ce jour toujours non examinée par des pairs, a pourtant inspiré à nouveau les décisions du conseil scientifique et de nos gouvernants.

 

LE PASTEUR GATE

Pour juger de la valeur de cette profession de foi catastrophe qui constitue un véritable « Pasteur Gate », il suffit de comparer sa prédiction (un pic de 5 200 hospitalisations quotidiennes, bien au-delà de la première ou de la seconde vague) à la situation réelle actuelle d’une moyenne de 350 hospitalisations quotidiennes et en baisse constante depuis un mois. Quinze fois plus !

Cette publication et la médiatisation dont elle a immédiatement bénéficiée[36] constitue une illustration du phénomène des propagandistes professionnels déguisés en leur rôle de scientifiques pour servir la fonction de fabrication du consentement pour les politiques gouvernementales. De la même manière,  tout au long de la pandémie, les médias grand public alarmistes ont généralement fait du plaidoyer politique plutôt que du journalisme.

 

La situation sanitaire actuelle ne justifie aucune des mesures qui briment les enfants et induisent de nombreux troubles physiques et psychologiques

La situation sanitaire Covid globale est en effet en constante amélioration en France depuis août avec un nombre de nouveaux cas quotidiens actuels inférieure à 7000, soit 8 fois moins par million d’habitant qu’en Israël et quatre fois moins qu’en Grande-Bretagne champions historiques de la pseudo vaccination massive.

 

 

Et cette amélioration globale se marque aussi sur le nombre d’hospitalisations quotidiennes actuelles inférieure à 350, (soit 4 fois moins par million d’habitants qu’en Israël et deux fois moins qu’en Grande-Bretagne),

 

et sur le nombre quotidien d’admissions en soins intensifs (-50% en un mois) qui est très proche de celui d’Israël à la population 8 fois moins élevée.

 

 

Cette amélioration globale se ressent tout particulièrement chez les enfants que le Covid a totalement abandonnés ainsi que le montre le dernier graphique du réseau sentinelle

« La semaine dernière (2021s36), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients de 0-14 ans consultant pour une insuffisance respiratoire aigüe était de 0% 

 

 

 

 

 

Les restrictions des activités scolaires et le port obligatoire du masque par les enfants et les menaces d’obligation vaccinale des enfants en France constituent donc bien des brimades dogmatiques contraires à l’état actuel de la science basé sur les faits avérés. Les dégâts qui en résultent sont malheureusement bien réels et considérables.

 

Les mesures sanitaires ont infligé des dommages considérables aux enfants

Difficultés d’apprentissage du langage dues au masque, décrochage scolaire massif en particulier des enfants défavorisés, démotivation des élèves et des enseignants, problèmes psychiques parfois très graves, confirmés dans de nombreux services d’urgences pédopsychiatriques (dont des suicides d’enfants très jeunes inconnus jusqu’ici),

« l’école à distance a provoqué beaucoup de dégâts en termes de santé mentale » dit le pédiatre François Angoulvant. Il ne fait d’ailleurs que répéter ce que toutes les sociétés de pédiatrie affirment depuis le premier confinement.

Didier Jourdan, titulaire de la chaire UNESCO et Directeur du centre collaborateur OMS Education et Santé constate[37] : «  la fermeture des écoles dans le cadre du confinement a eu un impact sur la santé mentale et physique des enfants, principalement pour les plus vulnérables d’entre eux car fermer les écoles c’est limiter l’accès à des repas équilibrés, à des services sociaux et sanitaires etc. Le confinement influence également l’éducation en termes de pertes d’apprentissage pour les enfants et d’accroissement des inégalités… »

La poursuite d’études après le secondaire aux États-Unis a baissé de 6,8 % du fait de la crise sanitaire, mais avec des écarts majeurs en fonction du niveau socioéconomique. La baisse est de 11,4 % pour les plus vulnérables contre 2,9 % pour les plus favorisés. En tout état de cause, la fermeture des écoles aura un impact durable sur les enfants.

L’agence statistique norvégienne a été la première au monde à souligner les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles[38] [39] :  « chaque semaine de fermeture des classe  freine les chances de vie et réduit de façon permanente le potentiel futur de revenus ».

La Royal Society a estimé que : « les enfants britanniques pourraient perdre 40000 £ de leurs gains potentiels à vie à moins que les gouvernements britanniques ne puissent réparer les lacunes d’apprentissage causées par la fermeture des écoles »[40].

Après avoir nuit aux enfants par des mesures scientifiquement et médicalement injustifiées, les lobbyistes des marchands de pseudo vaccins veulent les exposer aux complications de leurs injections expérimentales qui ne peuvent leur apporter aucun bénéfice individuel (ni collectif), avec pour seul argument des simulations mathématiques truquées.

Battons-nous pour les protéger de cette ignominie.

[1] RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA « PLANDEMIE » COVID – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020.

[3] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9

[4] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648

[5] Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2

[6] Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 Avril; 382 (14): 1370-1371

[7] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

[8] Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com

[9] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020;146(2): https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576

[10] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-

[11] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020 004879; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

[12] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America

[13] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020

[14] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287

[15] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.

[16] ] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020

[17] Francesco Nunziata Aucune propagation du SRAS-CoV-2 des enfants symptomatiques infectés aux parents : une étude de cohorte prospective dans un milieu hospitalier contrôlé Pédiatre 3 août 2021; 9:720084.doi: 10.3389/fped.2021.720084. Collection électronique 2021.

[18] Ibid 13 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.06.25.20140178v2

[19] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available: https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/ children-and-covid-19

[20] FR24 Seulement 0,01% des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers 24 aout 2020   https://www.fr24news.com/fr/a/2020/08/seulement-001-des-ecoles-touchees-par-des-epidemies-de-coronavirus-apres-la-reouverture-et-aucun-enfant-na-eu-besoin-de-soins-hospitaliers.

[21]. Tadatsugu Imamura  Rôles des enfants et des adolescents dans la transmission du COVID-19 dans la communauté : une analyse rétrospective des données nationales au Japon Pédiatr., 10 août 2021 | https://doi.org/10.3389/fped.2021.705882

[22] https://www.theguardian.com/education/2020/aug/23/covid-outbreaks-in-english-schools-uncommon-says-phe

[23]Fenton L, Gribben C, Caldwell D, Colville S, Bishop J, Reid M, White J, Campbell M, Hutchinson S, Robertson C, Colhoun HM, Wood R, McKeigue PM, McAllister DA. Risk of hospital admission with covid-19 among teachers compared with healthcare workers and other adults of working age in Scotland, March 2020 to July 2021: population based case-control study. BMJ. 2021 Sep 1;374:n2060. doi: 10.1136/bmj.n2060. PMID: 34470747; PMCID: PMC8408959.

[24] ONU info https://news.un.org/fr/story/2021/01/1087212

[25] Lucie Barcellini La réouverture des écoles affecte-t-elle la séroprévalence du SRAS-CoV-2 chez les enfants d’âge scolaire à Milan ? PLoS Un  2 sept. 2021 ; 16 (9) : e0257046.

doi: 10.1371/journal.pone.0257046. Collection électronique 2021.

[26]  Dong Y, Mo X, Hu Y, Qi X, Jiang F, Jiang Z, et al. Épidémiologie du COVID-19 chez les enfants en Chine. Pédiatrie. (2020) 145 : e20200702. doi: 10.1542/peds.2020-0702

[27] Un rapport du gouvernement britannique a révélé que lorsque les écoles ont rouvert en Angleterre et au Pays de Galles pendant l’été, les taux d’infection parmi les élèves n’ont pas augmenté par rapport au taux de la population existante.

[28] Une étude menée en Corée du Sud a montré aussi qu’il n’y avait pas eu d’augmentation des cas de Covid-19 dans les deux mois ayant suivi la reprise des cours en mai 2020

[29] Shirley Shapiro Ben David COVID-19 chez les enfants et effet de la réouverture des écoles sur la transmission potentielle aux membres du ménage Acta Pédiatre Septembre 2021;110(9):2567-2573. doi: 10.1111/apa.15962. Publication en ligne du 22 juin 2021.

[30] https://www.france24.com/fr/france/20210902-covid-19-faut-il-s-attendre-%C3%A0-une-flamb%C3%A9e-des-cas-avec-la-rentr%C3%A9e-scolaire

[31] https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-pourquoi-la-rentree-scolaire-fait-craindre-une-reprise-epidemique-01-09-2021-6T3MMDOOIZDJTDYJEOJBVGK35Q.php

[32] Le professeur Bruno Lina, virologue, membre du conseil scientifique, affirme jeudi 2 septembre sur franceinfo que la rentrée scolaire « amène un risque supplémentaire de reprise épidémique »

[33] «  les mineurs pourraient représenter presque 50% des cas en septembre ».

[34]P Bosetti1, C Tran Kiem,, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations: a modeling study applied to France 2021.

[35] D’après un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies

[36]M Blachier La 4ème vague va arriver (C News) basée sur la simulation de Pasteur

[37] https://www.thinktankcraps.fr/la-fermeture-des-ecoles-a-un-impact-durable-sur-les-enfants/

[38] https://fr.businessam.be/norvege-le-confinement-netait-pas-necessaire-pour-gerer-le-covid-19/

[39] COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai 2020

https://www.fhi.no/contentassets/c9e459cd7cc24991810a0d28d7803bd0/notat-om-risiko-og-respons-2020-05-05.pdf

[40] ht tps://www.fr24news.com/fr/a/2020/07/les-enfants-britanniques-pourraient-perdre-3-de-leurs-revenus-a-vie-en-raison-des-fermetures-decoles

Le 22 septembre 2021 LETTRE OUVERTE AUX SENATEURS

Objet : appel au sujet du projet de loi de vaccination universelle anticovid au Sénat

 

Mmes Mrs les Sénateurs

Nous apprécions votre volonté d’obtenir une protection collective permettant un retour à la vie normale et avons lu avec intérêt le projet de loi déposé au Sénat le 31 aout en première lecture.

Néanmoins, nous permettons de vous apporter quelques informations complémentaires : le Sars Cov 2 est très sensible aux traitements précoces tels que l’Ivermectine, comme les expériences récentes de l’Inde et du Japon en témoignent. L’utilisation de ces traitements précoces permettrait de faire disparaitre le spectre de formes graves en rapport à cette forme de grippe, qui ne tue que les personnes âgées à fortes comorbidités.

Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100000 enfants et 9/100000 chez l’adulte, soit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).

Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins anticovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus

 Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination

En Israël les deux mois qui ont suivi la vaccination ont battu les records de nouveaux cas et de mortalité Covid depuis le début de l’épidémie. Depuis août 21, la reprise de l’épidémie confirme que la vaccination ne permet pas d’espérer le retour à une vie normale malgré un taux très élevé de vaccination et des réinjections répétées. En contraste, les pays qui ont laissé leurs citoyens vivre à peu près normalement comme la Suède ou la Biélorussie, s’en sortent beaucoup mieux que nous.

 Les vaccins anticovid ne sont pas de vrais vaccins selon Pasteur

Vous basez votre confiance en les vaccins antérieurs, mais il faut prendre largement en compte que le « vaccin anticovid » n’est pas un vaccin au sens pastorien du terme (des antigènes obtenus à partir du virus lui-même), mais bien une injection génique sensée faire produire par notre organisme les anticorps susceptibles de combattre ce virus. Ces substances injectées sont en expérimentation jusqu’en 2023 et utilisent une technique jamais validée en pathologie infectieuse humaine.  Les essais contre les précédents coronavirus et le Sida ont été des échecs et les phases habituelles, comme l’expérimentation animale ont été sautées dans le cas des pseudovaccins actuellement utilisés.

 Campagne d’information

Vous évoquez une grande campagne d’information et vous avez raison, mais elle aurait dû être commencée avant toute injection afin que chaque injecté puisse avoir donné un véritable consentement éclairé.   Au stade actuel, il conviendra que le peuple soit informé de la nature des injections, de leurs composants, et des risques éventuels à court, moyen et long terme.

Actuellement, les bases de données officielles de l’EMA, FDA, MHRA, permettent de se faire une idée des effets indésirables dans la première année. Il est d’ailleurs remarquable que le grand nombre de décès reconnus par l’agence européenne par exemple (EudraVigilance) de l’ordre de 25000 n’ait pas entrainé un moratoire de toute vaccination pour étudier les raisons de ces drames (deux millions d’effets indésirables reconnus dont la moitié graves selon l’agence. Rappelons que la vaccination antiH1N1 a été interrompue après 53 décès et la vaccination contre la grippe aviaire après une trentaine.

 Le système sanitaire en déroute

Vous insistez à juste raison sur les difficultés du système sanitaire français bien antérieur au covid. En 2019, plus de 200 services d’urgence étaient en grève. Il faut redonner des lits, des postes de soignants, des rémunérations correctes à l’ensemble des personnels et diminuer l’emprise de la bureaucratie sur la gestion de l’hôpital public et privé.  L’obligation vaccinale des soignants n’a fait qu’aggraver les choses car les personnels, vaccinés ou non, n’ont pas apprécié cette extorsion de consentement, alors qu’ils voient des effets secondaires graves tus dans les médias et auprès de vous tous. Leurs suspensions ne font qu’aggraver les difficultés de recrutement du personnel mettant en péril le fonctionnement des établissements hospitaliers en augmentant le nombre des déserts médicaux.

 La crise du covid se termine dans le monde au moins dans tous les pays convertis plus ou moins vite aux traitements précoces peu chers et non toxiques tels l’ivermectine (Japon par exemple).

 

 Les enfants innocents du covid. Protégez l’avenir

Quant aux enfants, ils ne présentent jamais de formes graves de covid, et ne participent pas à la transmission du virus comme l’ont démontré les publications internationales multiples depuis vingt mois et répété par toutes les sociétés de pédiatrie. Les soumettre à un traitement expérimental sans intérêt individuel, et sans intérêt collectif puisque la vaccination ne protège pas des contaminations, ni des formes graves, comme l’a écrit le ministre au conseil d’état fin mars 21.

La vaccination ne protège ni le vacciné, ni son entourage et ne repose sur aucun argument scientifique réel, mais seulement sur des simulations mathématiques grossièrement fausses

Nous sommes à votre disposition pour un entretien à ce sujet vu la gravité des conséquences possibles de cette injection.  Nous n’avons pas abordé ici les nombreux traités signés par la France dont la convention d’Oviedo, la charte des droits de l’enfant, etc. qui s’opposent à un traitement expérimental sans consentement éclairé réel. Ce volet juridique est traité par d’autres. Ici c’est le témoignage et le cri d’alerte de médecins au lit du patient qui voient l’inutilité du vaccin – puisque des rappels sont déjà demandés tous les six mois- et qui constatent quotidiennement les dégâts de ces thérapies expérimentales doublés de leur inefficacité.

 Il est urgent que vous obteniez une enquête parlementaire doublée d’un moratoire comme d’autres parlementaires anglais, italiens ou belges en particulier l’ont déjà demandé. Nous comptons sur vous.

En vous remerciant de l’attention que vous porterez à cette supplique, nous vous prions de croire, Mmes, Mrs les Sénateurs en nos sentiments respectueusement dévoués.

 

Dr N Delépine pédiatre cancérologue, Dr G. Delépine chirurgien orthopédiste cancérologue

 

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pour information

 texte du projet de loi commenté dans cette lettre ouverte, disponible sur le site du sénat

« 31 août 2021 :Vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2( texte déposé au sénat – première lecture – exposé des motifs )

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Dès juillet dernier, les parlementaires socialistes ont prôné l’obligation progressive d’une vaccination universelle, de toutes et tous (sauf contre-indication médicale), dans une démarche de santé publique visant à obtenir une protection collective, seule à même de garantir un retour à une vie quotidienne normale pour tous du fait des différents variants en circulation.

L’objectif de cette protection collective de toute la société, en l’état de nos connaissances scientifiques et médicales, peut être atteinte par une obligation vaccinale généralisée (sauf contre-indication médicale).

Nous croyons en la science, en la recherche, et au progrès médical et social, qui bénéficient à toutes et tous.

Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes.

L’obligation vaccinale a été édictée en France pour la première fois en 1902 et a permis d’éradiquer nombre de maladies et protéger nombre de nos enfants. L’obligation vaccinale est la pierre angulaire de l’intérêt collectif : en s’engageant tous, on protège chacun, partout sur le territoire national et dans tous les foyers. Elle faisait reposer la politique de santé sur des principes clairs, transparents, démocratiques et qui s’appliquaient à tout le monde.

La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. Elle permettra de lancer enfin une grande campagne d’information et de sensibilisation pour aller vers les Français non vaccinés. C’est également un geste de responsabilité et de solidarité vis-à-vis de nos soignants, engagés de toutes leurs forces dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout et de soutien vis-à-vis de nos acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires.

Nous notons surtout que plusieurs institutions du champ scientifique et médical se sont d’ores et déjà prononcées en faveur de l’obligation vaccinale généralisée. C’est le cas notamment de l’Académie nationale de médecine, le 19 juillet dernier, jour de présentation en conseil des ministres de la loi n°2021-1040 du 5 aout 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Rappelons d’ailleurs que l’Académie s’était prononcée publiquement pour le port du masque dès avril 2020, quand le Gouvernement soutenait encore que le masque était inutile pour la protection de la population générale.

Ainsi, face à l’augmentation rapide de l’incidence des infections dues aux différents variants, l’Académie nationale de médecine recommandait :

« – d’amplifier l’information sur le principe de l’isolement volontaire et sur les capacités d’hébergement des personnes ne pouvant s’isoler à domicile ;

– d’inciter toutes les personnes dépistées positives à s’auto-isoler pendant 10 jours en leur rappelant le risque de contamination auquel elles exposent leur entourage ;

– de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus ».

Depuis, les Antilles ont payé un lourd tribu à la pandémie du fait du faible taux de vaccination des populations. La Guadeloupe et la Martinique ont d’ailleurs été contraintes au re-confinement et aux couvre-feux. Les services hospitaliers de Polynésie sont toujours saturés et le nombre des hospitalisations continue d’y progresser.

C’est pourquoi, nous maintenons que la vaccination contre le covid-19 de toutes les Françaises et de tous les Français est la seule décision publique qui :

–      Protège sa propre santé et liberté mais aussi celles des autres ;

–      Correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques ;

–      Constitue une démarche de lutte contre les inégalités territoriales et sociales, car elle crée un devoir de l’État d’aller vers les publics les plus éloignés de la vaccination ;

–      Evite le « glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale » pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne ;

–      Dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public.

La vaccination obligatoire est le seul chemin à ce jour pour sortir d’une politique de sécurité sanitaire et entrer enfin dans une politique de santé publique clairement assumée. Elle est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le passe sanitaire, de l’égalité face au « chacun pour soi », de la solidarité face à l’égoïsme. Le choix du Gouvernement a été un choix par défaut et de défausse, qui le désengageait de ses responsabilités.

L’absence d’application du III de l’article 76 vise simplement à rendre la proposition de loi recevable financièrement et n’a pas pour objectif de diminuer la prise en charge de cet acte médical par la Sécurité Sociale. »

 

 

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pour joindre les sénateurs, coordonnées sur le site du sénat et si vous souhaitez contacter  les membres de la commission des lois présentant le projet, voici les coordonnées des membres du bureau visibles sur le site du sénat (de même que celles de l’ensemble des sénateurs, si vous pouvez joindre les sénateurs et sénatrices de votre région pour les rencontrer directement).

Le Bureau de la commission des affaires sociales

a.milon@senat.fr  MEDECIN 74 ans

 

 

j.guidez@senat.fr  essonne evry artiste
Conseillère municipale de Saint-Chéron

 

 

 

RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA PLANDEMIE  (pandémie planifiée) COVID

 

VOLET 1

Les erreurs du rapport 9 de Mars 2020 de Neil Ferguson, justification fallacieuse des confinements

Depuis plus de 20 mois, la politique sanitaire française est décidée dans le plus grand secret[1] par le « conseil de défense » appuyé par un « conseil scientifique. Ce dernier est dominé par Simon Cauchemez, mathématicien modélisateur au sein de l’Institut Pasteur et élève de Ferguson de l’Imperial College.

La politique de santé s’appuie presque uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement frauduleuses, car basées volontairement sur des hypothèses du pire, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif et nous faire accepter la perte de nos libertés et la pseudo vaccination génique inefficace.

 

La folle prophétie de Neil Ferguson qui a justifié le confinement de Mars 2020 était fausse

Détaillée dans le rapport 9 de l’impérial College[2], cette simulation catastrophe prétendait que sans confinement les hôpitaux seraient partout débordés et qu’on compterait 500000 morts en France, comme en Grande Bretagne, 600000 en Allemagne, 70000 en Suède et 2 millions aux USA. Elle affirmait aussi que les mesures médicales traditionnelles (fermeture des frontières et isolement des seuls malades le temps qu’ils ne soient plus contagieux) ne serviraient à rien, qu’il fallait confiner à l’aveugle la population jusqu’à fin décembre 2021 pour imposer les futurs vaccins et/ou nouveaux traitements.

 

La plupart des gouvernements occidentaux ont pris ou voulu prendre cette prophétie pour une vérité et imposé à leurs populations des mesures liberticides contre- productives, telles que le confinement aveugle sans même en avoir vérifié la pertinence de la méthode de calcul, ni publié ce rapport préalablement à son application, empêchant ainsi toute discussion scientifique et tout débat démocratique.

 

La confrontation aux faits constatés révèle la supercherie de cette simulation

Le rapport 9 avait prédit qu’en l’absence de confinement la Suède verrait ses hôpitaux submergés et compterait 70000 morts en quelques mois. La Suède n’a pas confiné, ses hôpitaux ont pris en charge tous les malades qui en avaient besoin et après 19 mois d’épidémie (au 10/9/2021), comptait, d’après l’OMS, 14602 morts. La prophétie de Ferguson surestimait par plus de 500% le risque réel !

Même chose pour l’Allemagne.

La prophétie de N Ferguson prétendait qu’en l’absence de confinement de la population, « les mesures médicales classiques de quarantaine des malades seraient inefficaces, que les hôpitaux seraient débordés et qu’on compterait plus de 600000 morts ». L’Allemagne n’a jamais été confinée, au sens que ce mot a en France a rappelé Thomas Wieder, correspondant du  Monde dans ce pays. Au 10/9/2021 après 19 mois d’épidémie l’Allemagne comptait 92 553 morts attribuées au Covid. Là encore la prophétie de Ferguson a surestimé le risque réel par plus de 500% !

 

Une de ses élèves, Jasmine M GARDNER [3], a même prédit que sans confinement total et strict, la Suède compterait 100000 morts au 1/7/2020. En réalité au 1/7/2020, selon les données de l’OMS, la Suède sans confinement ne comptait que 5496 décès attribués au Covid (19 fois moins).

A ce niveau d’erreur on ne peut plus croire à une simple bévue, mais vraiment qualifier ce texte de « propagande Covid terroriste » d’autant que sa large diffusion dans les médias suédoises a largement participé à une tentative de pression sur l’agence sanitaire pour l’obliger à confiner.

 

Ces simulations ne traduisaient donc ni la réalité ni la science, mais constituaient seulement de mauvais scénarios de film catastrophe destinés à nous terroriser. En témoignent les hypothèses retenues pour son modèle : des index de mortalité par infection, multipliant par 2 à 3 les chiffres réels dans les différents groupes d’âge (pour les 10-19 : 0,006% au lieu de 0,002% et pour les 20-29 : 0,03% au lieu de 0,01%) et une forte surestimation du taux de reproduction R. En surestimant ces paramètres clefs de la simulation, Ferguson et ses élèves ont obtenu les prévisions apocalyptiques désirés par Bill Gates qui les finance, et les gouvernements qui obéissent.

 

 

La surestimation des risques est une constante des prédictions de Ferguson et une technique bien rodée des imposteurs

Lors d’un de mon premier stage d’interne en neurochirurgie, mon maître m’expliqua comment se créer une aura de sauveur. « Devant cette petite tumeur du cerveau facilement opérable, ne dis surtout pas aux parents qu’elle est facile à opérer, car en cas d’accident opératoire imprévu, ils pourraient porter plainte. Au contraire explique-leur qu’il s’agit d’une mauvaise tumeur, mal placée et que seule une chirurgie très difficile peut sauver le malade. Si un accident survient, ils ne se plaindront pas. Et si tout se passe bien, ils te considéreront comme le sauveur capable de chirurgie extraordinaire ».

Apparemment cette technique est utilisée par l’équipe de l’Imperial College. Ils prophétisent un futur apocalyptique et proposent « la solution ». Si leurs prédictions ont suffisamment surestimé le danger, ils pourront, après la crise, prétendre, que c’est grâce à l’application des mesures qu’ils ont proposées que la situation a évolué plus favorablement que ce qu’ils avaient prévu.

Les religions reposent sur la foi et le caractère immuable des crédos que personne ne peut discuter sans être qualifier d’hérétique.

La démarche scientifique, basée sur le doute fertile, consiste au contraire à confronter en permanence les faits observés aux hypothèses dominantes. Lorsque les faits avérés ne sont pas compatibles avec les hypothèses, celles-ci doivent être abandonnées. Mais l’équipe de l’Imperial College, dirigée par N. Ferguson ne tire pas de leçons de ses erreurs et se comporte en gardienne d’une nouvelle religion dont les dogmes sont indiscutables, plutôt qu’en scientifique désireuse de reconnaître et d’élucider les paradoxes.

 

Les erreurs passées de Ferguson très nombreuses ont été dommageables

En 1997, lors de la maladie de la vache folle, N. Ferguson avait prédit jusqu’à 150 000 morts en deux décennies. Vingt ans plus tard, en janvier 2017, on ne comptait que 223 victimes humaines dans le monde (dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France).

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante.

En 2005, N. Ferguson prophétisait qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait tuer de 5 à 150 millions de personnes dont 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 45.

En 2009, lors de la grippe H1N1, Ferguson avait prédit 8000 morts au Canada : il y en eut 428. En France, il avait prédit 20000 morts, il y en eut 323 (soit environ trente fois moins qu’une grippe habituelle).  Les mesures sanitaires prises en France sur la foi de cette prédiction fausse nous ont couté deux milliards d’euros et le vaccin Pandemix hâtivement mis sur le marché a été responsable de nombreux accidents neurologiques graves dont 450 narcolepsies sur l’ensemble de l’Europe, dont plus de 60 cas en France et d’une perte de confiance de la population dans les vaccins et en la parole publique.

Ces surestimations considérables des risques des maladies constituent une donc une caractéristique constante des prédictions de l’Imperial College. Mais Ferguson comme beaucoup de prophètes sait, que pour imposer ses mesures, il faut faire peur et donc prédire des cataclysmes. Si l’évolution est moins catastrophique qu’annoncée, il pourra alors s’en attribuer le mérite.

 

De nouvelles simulations bidons pour glorifier le confinement

De nombreuses études[4] rétrospectives d’auteurs indépendants des modélisateurs et des responsables des confinements ont évalué l’effet des mesures de confinements sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a démontré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie, qu’il s’agisse de l’étude danoise sur le Nord Jutland[5]   de l’étude néo- zélandaise[6] , de l’étude anglaise[7] , des analyses indiennes[8] [9], des études allemandes[10] [11], croate[12], des études des pays d’Europe occidentale[13]  et de toutes les autres études internationales basées sur les faits avérés[14] [15]dont celle particulièrement exhaustive de John PA Ioannidis [16].

Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont ceux d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle qui n’analysent pas les faits constatés, et espèrent ainsi s’exonérer de leurs responsabilités. Ils comparent leurs prévisions colossalement exagérées aux mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement du grand nombre de « morts évitées ».

Le mécanisme frauduleux de leurs études bidon a été  dévoilé dans un article de Nature[17], dans lequel les auteurs de l’Imperial College prétendaient ainsi avoir sauvé 3,1 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement.

Ils ne savaient apparemment pas que les Suédois n’ont jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai 2020 prouvait seulement que les prévisions de l’Imperial College surestimaient par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que si l’Allemagne ne confinait pas totalement, elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020.

L’Allemagne, qui n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué la technique classique d’endiguement, ne comptait, au 5 mai 2020, que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement qui n’a pas été pratiqué !

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour prétendre que la chloroquine était dangereuse. Dans cette publication fallacieuse, ce « Nature Gate », il n’y a pas eu fabrication de données mais le refus de regarder la réalité des mesures sanitaires réellement utilisées pour se glorifier des erreurs de la prophétie initiale ; il est très étonnant qu’aucun membre du comité de lecture de cette revue Nature, de bonne réputation, ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique[18] prétendant que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement.

Les erreurs de conception, le choix d’hypothèses péjoratives et les conclusions fausses de cette étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques, mais les médias mainstream en ont très peu parlé alors que la simulation biaisée de propagande avait été très largement diffusée.

 

Aucune de ces publications glorifiant les confinements n’a chiffré les dégâts considérables que les confinements ont causés sur le plan sanitaire (victimes collatérales des retards et absences de traitements, problèmes psychiatriques), scolaire et universitaire, économique (perte de PIB, aggravation des dettes publiques et du chômage), sur l’aggravation de la pauvreté dans les pays riches et de la faim dans les pays pauvres[19].

Certains auteurs estiment que les pertes d’années de vie causées par ces mesures tyranniques sont dix fois plus importantes que celles causées par le Covid19 seul.[20]

Toutes ces complications du confinement, étaient parfaitement prévisibles d’emblée, par tout médecin habitué à évaluer la balance Avantages/Risques des traitements qu’il propose. Le traitement des épidémies, comme les autres maladies, ne doivent pas être décidés par des astrologues mathématiciens ou des épidémiologistes qui ne quittent pas leurs bureaux[21] mais par des médecins qui traitent des malades !

 

Les simulations mensongères constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

Il ne faut pas se laisser abuser par l’aspect pseudo scientifique de ces simulations de circonstances que la propagande terrorisante du gouvernement nous impose. Elles ne sont pas plus fiables et beaucoup plus dangereuses que celles des astrologues traditionnels. Il est grand temps d’abandonner cette politique sanitaire délétère basée sur la peur et de la réorienter selon les règles de la médecine classique, d’après les faits avérés du monde réel.

[1] Aucun compte rendu détaillé des discussions tenues lors des réunions du conseil scientifique n’a été publié mais seulement des résumés d’avis ; pour le conseil de défense sanitaire c’est pire : manque de transparence  dans sa composition, contournement du Parlement, délibérations classifiées secret-défense obstruant le travail des enquêteurs de la Cour de justice de la République sur la gestion de la pandémie.

[2] COVID-19 Response Team Neil M Ferguson Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to

reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College https://doi.org/10.25561/77482 Page 1 of 20

[3]Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on

Swedish healthcare capacity https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf

 

[4] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »

[5] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936

[6] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.

[7] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020

https://arxiv.org/abs/2005.02090

[8] ] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[9] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260

[10]Thomas Wieland Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au COVID-19 en Allemagne 2020 novembre; 131: 104924.

doi: 10.1016 / j.ssci.2020.104924. En ligne du 21 juil.2020.

[11] T Wieland  Flatten the Curve! Modeling SARS-CoV-2/COVID-19Growth in Germany at the County Level Volume 7, Number 2, 2020, 43–83 journal homepage: region.ersa.orgDOI: 10.18335/region.v7i2.324l

[12]Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02861011

[13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19  https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;

[14] Philip Thomas Written evidence submitted by Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563

[15]Joseph Stroberg Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28 https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/

[16] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de COVID-19.   Eur J Clin Invest 2021 avril ; 51(4) : e13484. doi: 10.1111/eci.13484. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/

[17] S.Flaxman et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7Nature | www.nature.comAccelerated Article Preview

[18] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).

[19] Confinement et faim dans le monde Du Trends-Tendances du 15/10/2020 « Le confinement a sans doute causé bien davantage de victimes que la pandémie elle-même. »

[20] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.

doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.

[21]Aurélie Haroche, Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie Journal International de Médecine, 25 avril 2020