Les simulations, alibi pseudo scientifique   truqué  de la vaccination des enfants

 

Volet 2 de l’analyse des simulations-prédictions au cours de la crise covid :

 Le scandale de la fermeture des écoles et des dommages infligés aux enfants

 

Depuis plus de 18 mois, la politique sanitaire française ne s’appuie pas sur les faits constatés dans le monde réel, mais uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement fausses, et faussées, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif, nous faire accepter la perte de nos libertés et nous imposer les pseudo vaccins.

Dans un article précédent, nous avons démontré les erreurs (ou trucages ?) invraisemblables du rapport 9 de Ferguson (Imperial college ) de mars 2020 qui a servi de prétexte aux confinements,  et des articles fallacieux  écrits ultérieurement pour les justifier.[1]

Dans ce second volet nous rappellerons les données de la littérature internationale qui montrent que l’enfant ne participe pas à la transmission du covid19 et que toutes les mesures qui lui nuisent sont inutiles sur la maladie.

 

 

Les enfants sont innocents du Covid et ne transmettent pas la maladie

La fermeture des écoles imposée par la majorité des gouvernements, occidentaux en particulier de la planète, repose seulement sur la foi et/ou à l’obéissance  en des simulations dont le modèle a été élaboré pour la grippe (où les enfants représentent effectivement un vecteur important de transmission).

Mais pour le covid 19, la littérature internationale montre que l’enfant est complètement innocent de la transmission.

Toutes les études épidémiologiques réalisées au début de l’épidémie prouvent qu’il est rarement atteint, que lorsque cela arrive c’est à domicile par l’intermédiaire d’un parent proche, qu’il fait des formes bénignes [2] [3] et qu’il ne transmet pas la maladie[4] [5] [6] [7] [8] [9] [10] [11] [12] [13] [14] [15] [16] [17], sauf exceptionnellement à ses parents, à domicile.

Le professeur Robert Cohen, pédiatre très pro vaccin précise : « les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Il n’y a donc aucune raison scientifique de conseiller la vaccination des enfants dans l’espoir de protéger la population plus âgée, d’autant plus que les vaccins actuels n’empêchent pas les transmissions, que l’immunité obtenue après une guérison naturelle est beaucoup plus efficace et durable que celle post injection et que plus aucun scientifique indépendant de l’industrie des vaccins ou des gouvernants qui tentent de l’imposer ne croit encore que l’immunité collective puisse être obtenue par la vaccination.

 

 

Les écoles ne jouent aucun rôle prouvé dans la transmission du covid

Dans sa note du 20 avril 2020, le conseil scientifique reconnaissait : « Il n’y a pas eu d’épidémie documentée dans les crèches, écoles, collèges, lycées ou  universités à ce jour, en l’état des connaissances actuelles, sauf une dans un lycée en France où le virus a touché 38% des lycéens, 43% des enseignants, et 59% des personnels travaillant dans l’établissement scolaire (Crépy-en-Valois). »

Or la transmission de l’épidémie de Crépy en Valois a été analysée par l’institut Pasteur[18] sans qu’aucune contamination par les enfants n’ait pu être mise en évidence « no secondary cases in the following 14 days among pupils, teachers and non-teaching staff of the same schools ».

Au 17 septembre 2021, malgré 226 844 344 cas confirmés par l’OMS, aucune étude épidémiologique n’a mis en évidence de transmission par des élèves à l’école et partout où les écoles sont restées ouvertes les autorités sanitaires ont constaté qu’il n’y a pas eu de transmission des écoles vers les communautés [19] [20] [21] [22].

De plus si les adultes qui travaillent dans les écoles peuvent être atteints et transmettre la maladie (via d’autres adultes), ils sont moins souvent atteints que les autres professions : « les enseignants ont montré un risque plus faible d’hospitalisation avec covid-19 et de covid-19 sévère) que la population générale [23]. Travailler en milieu scolaire a plutôt un effet protecteur contre le risque covid19.

Les données de surveillance nationale au Royaume-Uni ont montré que le personnel scolaire est moins exposé au risque d’infection en milieu scolaire que la population adulte en général[24].

Une autre étude, portant sur 57.000 personnes s’occupant d’enfants dans des crèches aux États-Unis, a également montré qu’il n’y avait pas de risque accru d’infection pour les personnes s’occupant d’enfants.

La fermeture des écoles et les mesures prétendument sanitaires qui ont été imposées aux enfants n’ont donc jamais eu aucune justification scientifique dans le monde réel.

Le statisticien Ola Rosling a déclaré au podcast « More or Less » de la BBC en juillet 2020 : « Nous avons gardé nos écoles ouvertes et je pense vraiment que tous les pays du monde peuvent le faire ».

Le 27 mai 2020, le premier ministre norvégien Erna Solberg à la télévision, a regretté le coût excessif du confinement pour son pays et s’est demandé si elle n’aurait pas mieux fait de suivre l’exemple de la Suède : « il n’était peut-être pas nécessaire de fermer les écoles ». « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur« , a-t-elle ajouté.

En juillet 2020, l’Agence suédoise de la santé publique et l’Institut finlandais de la santé et du bien-être ont publié une étude conjointe avec, révélant un taux similaire de cas de coronavirus chez les enfants en Suède, qui a maintenu les écoles ouvertes (et n’a pas imposé de masque), et en Finlande, qui les a fermées.

Les écoliers suédois peuvent remercier chaleureusement A. Tegnell et son équipe pour les décisions qui ont sauvé leur année scolaire 2020 et leur équilibre psychologique. Cet épidémiologiste a revu les prédictions de Ferguson, ne les a pas confirmées et son gouvernement l’a suivi à juste raison.

La réouverture des écoles n’a nulle part été suivie par une reprise de l’épidémie que ce soit en Italie[25], en Irlande[26], en Grande-Bretagne[27], en Corée du Sud [28]  ou en Israël [29], contrairement à ce que prévoyaient les simulations et les déclarations alarmantes des covido-terrorisants diffusées en France avant chaque rentrée scolaire.

 

La simulation alarmiste de l’institut Pasteur est totalement biaisée

La rentrée scolaire actuelle est à nouveau la cible de déclarations alarmistes par Gabriel Attal[30] porte-parole du gouvernement, le conseil scientifique [31], B. Lina[32], ou Vittoria Colizza[33], co auteure d’une simulation Pasteur[34] aussi fausse que les précédentes.

 

TENIR COMPTE DES CHIFFRES REELS ET NON D’ HYPOTHESES

Dans cette simulation mathématique, les auteurs ont pris comme hypothèse que les enfants de moins de 14 ans regrouperaient 30% des contaminés alors qu’en réalité ils ne représentaient que 5% des contaminés de la première vague[35] et ne dépassent pas 10 % des contaminés début septembre 2020 .

Cette même simulation est basée sur l’hypothèse que les enfants seraient à l’origine de la moitié des transmissions virales, ce qui est totalement contraire à toutes les analyses des faits avérés et constitue une colossale sur estimation.

Rappelons tout particulièrement l’étude épidémiologique menée par l’Institut Pasteur lui-même dans des écoles de Creil sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. Les modélisateurs de l’institut Pasteur lisent-ils les enquêtes épidémiologiques de leurs collèges ?

Quant au ratio de transmission R, la simulation le fixe à 7 ce qui également notablement plus élevé que ceux observés à l’étranger même pour le variant delta.

La surestimation systématique invraisemblable des trois facteurs clefs de la simulation montre qu’elle a été conçue par ses auteurs pour persuader nos dirigeants que les enfants représenteraient un facteur important de transmission et que leur vaccination pourrait diminuer ce risque.

 Ce n’est pas une étude scientifique mais un pur article de propagande covid terrorisante, destinée à faire injecter des vaccins aux enfants qui ne peuvent en aucun cas en tirer un bénéfice personnel alors qu’ils peuvent souffrir de graves complications post vaccinales dont les myocardites.

Cette prépublication de l’institut Pasteur, à ce jour toujours non examinée par des pairs, a pourtant inspiré à nouveau les décisions du conseil scientifique et de nos gouvernants.

 

LE PASTEUR GATE

Pour juger de la valeur de cette profession de foi catastrophe qui constitue un véritable « Pasteur Gate », il suffit de comparer sa prédiction (un pic de 5 200 hospitalisations quotidiennes, bien au-delà de la première ou de la seconde vague) à la situation réelle actuelle d’une moyenne de 350 hospitalisations quotidiennes et en baisse constante depuis un mois. Quinze fois plus !

Cette publication et la médiatisation dont elle a immédiatement bénéficiée[36] constitue une illustration du phénomène des propagandistes professionnels déguisés en leur rôle de scientifiques pour servir la fonction de fabrication du consentement pour les politiques gouvernementales. De la même manière,  tout au long de la pandémie, les médias grand public alarmistes ont généralement fait du plaidoyer politique plutôt que du journalisme.

 

La situation sanitaire actuelle ne justifie aucune des mesures qui briment les enfants et induisent de nombreux troubles physiques et psychologiques

La situation sanitaire Covid globale est en effet en constante amélioration en France depuis août avec un nombre de nouveaux cas quotidiens actuels inférieure à 7000, soit 8 fois moins par million d’habitant qu’en Israël et quatre fois moins qu’en Grande-Bretagne champions historiques de la pseudo vaccination massive.

 

 

Et cette amélioration globale se marque aussi sur le nombre d’hospitalisations quotidiennes actuelles inférieure à 350, (soit 4 fois moins par million d’habitants qu’en Israël et deux fois moins qu’en Grande-Bretagne),

 

et sur le nombre quotidien d’admissions en soins intensifs (-50% en un mois) qui est très proche de celui d’Israël à la population 8 fois moins élevée.

 

 

Cette amélioration globale se ressent tout particulièrement chez les enfants que le Covid a totalement abandonnés ainsi que le montre le dernier graphique du réseau sentinelle

« La semaine dernière (2021s36), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients de 0-14 ans consultant pour une insuffisance respiratoire aigüe était de 0% 

 

 

 

 

 

Les restrictions des activités scolaires et le port obligatoire du masque par les enfants et les menaces d’obligation vaccinale des enfants en France constituent donc bien des brimades dogmatiques contraires à l’état actuel de la science basé sur les faits avérés. Les dégâts qui en résultent sont malheureusement bien réels et considérables.

 

Les mesures sanitaires ont infligé des dommages considérables aux enfants

Difficultés d’apprentissage du langage dues au masque, décrochage scolaire massif en particulier des enfants défavorisés, démotivation des élèves et des enseignants, problèmes psychiques parfois très graves, confirmés dans de nombreux services d’urgences pédopsychiatriques (dont des suicides d’enfants très jeunes inconnus jusqu’ici),

« l’école à distance a provoqué beaucoup de dégâts en termes de santé mentale » dit le pédiatre François Angoulvant. Il ne fait d’ailleurs que répéter ce que toutes les sociétés de pédiatrie affirment depuis le premier confinement.

Didier Jourdan, titulaire de la chaire UNESCO et Directeur du centre collaborateur OMS Education et Santé constate[37] : «  la fermeture des écoles dans le cadre du confinement a eu un impact sur la santé mentale et physique des enfants, principalement pour les plus vulnérables d’entre eux car fermer les écoles c’est limiter l’accès à des repas équilibrés, à des services sociaux et sanitaires etc. Le confinement influence également l’éducation en termes de pertes d’apprentissage pour les enfants et d’accroissement des inégalités… »

La poursuite d’études après le secondaire aux États-Unis a baissé de 6,8 % du fait de la crise sanitaire, mais avec des écarts majeurs en fonction du niveau socioéconomique. La baisse est de 11,4 % pour les plus vulnérables contre 2,9 % pour les plus favorisés. En tout état de cause, la fermeture des écoles aura un impact durable sur les enfants.

L’agence statistique norvégienne a été la première au monde à souligner les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles[38] [39] :  « chaque semaine de fermeture des classe  freine les chances de vie et réduit de façon permanente le potentiel futur de revenus ».

La Royal Society a estimé que : « les enfants britanniques pourraient perdre 40000 £ de leurs gains potentiels à vie à moins que les gouvernements britanniques ne puissent réparer les lacunes d’apprentissage causées par la fermeture des écoles »[40].

Après avoir nuit aux enfants par des mesures scientifiquement et médicalement injustifiées, les lobbyistes des marchands de pseudo vaccins veulent les exposer aux complications de leurs injections expérimentales qui ne peuvent leur apporter aucun bénéfice individuel (ni collectif), avec pour seul argument des simulations mathématiques truquées.

Battons-nous pour les protéger de cette ignominie.

[1] RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA « PLANDEMIE » COVID – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020.

[3] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9

[4] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648

[5] Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2

[6] Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 Avril; 382 (14): 1370-1371

[7] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

[8] Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com

[9] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020;146(2): https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576

[10] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-

[11] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020 004879; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

[12] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America

[13] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020

[14] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287

[15] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.

[16] ] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020

[17] Francesco Nunziata Aucune propagation du SRAS-CoV-2 des enfants symptomatiques infectés aux parents : une étude de cohorte prospective dans un milieu hospitalier contrôlé Pédiatre 3 août 2021; 9:720084.doi: 10.3389/fped.2021.720084. Collection électronique 2021.

[18] Ibid 13 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.06.25.20140178v2

[19] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available: https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/ children-and-covid-19

[20] FR24 Seulement 0,01% des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers 24 aout 2020   https://www.fr24news.com/fr/a/2020/08/seulement-001-des-ecoles-touchees-par-des-epidemies-de-coronavirus-apres-la-reouverture-et-aucun-enfant-na-eu-besoin-de-soins-hospitaliers.

[21]. Tadatsugu Imamura  Rôles des enfants et des adolescents dans la transmission du COVID-19 dans la communauté : une analyse rétrospective des données nationales au Japon Pédiatr., 10 août 2021 | https://doi.org/10.3389/fped.2021.705882

[22] https://www.theguardian.com/education/2020/aug/23/covid-outbreaks-in-english-schools-uncommon-says-phe

[23]Fenton L, Gribben C, Caldwell D, Colville S, Bishop J, Reid M, White J, Campbell M, Hutchinson S, Robertson C, Colhoun HM, Wood R, McKeigue PM, McAllister DA. Risk of hospital admission with covid-19 among teachers compared with healthcare workers and other adults of working age in Scotland, March 2020 to July 2021: population based case-control study. BMJ. 2021 Sep 1;374:n2060. doi: 10.1136/bmj.n2060. PMID: 34470747; PMCID: PMC8408959.

[24] ONU info https://news.un.org/fr/story/2021/01/1087212

[25] Lucie Barcellini La réouverture des écoles affecte-t-elle la séroprévalence du SRAS-CoV-2 chez les enfants d’âge scolaire à Milan ? PLoS Un  2 sept. 2021 ; 16 (9) : e0257046.

doi: 10.1371/journal.pone.0257046. Collection électronique 2021.

[26]  Dong Y, Mo X, Hu Y, Qi X, Jiang F, Jiang Z, et al. Épidémiologie du COVID-19 chez les enfants en Chine. Pédiatrie. (2020) 145 : e20200702. doi: 10.1542/peds.2020-0702

[27] Un rapport du gouvernement britannique a révélé que lorsque les écoles ont rouvert en Angleterre et au Pays de Galles pendant l’été, les taux d’infection parmi les élèves n’ont pas augmenté par rapport au taux de la population existante.

[28] Une étude menée en Corée du Sud a montré aussi qu’il n’y avait pas eu d’augmentation des cas de Covid-19 dans les deux mois ayant suivi la reprise des cours en mai 2020

[29] Shirley Shapiro Ben David COVID-19 chez les enfants et effet de la réouverture des écoles sur la transmission potentielle aux membres du ménage Acta Pédiatre Septembre 2021;110(9):2567-2573. doi: 10.1111/apa.15962. Publication en ligne du 22 juin 2021.

[30] https://www.france24.com/fr/france/20210902-covid-19-faut-il-s-attendre-%C3%A0-une-flamb%C3%A9e-des-cas-avec-la-rentr%C3%A9e-scolaire

[31] https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-pourquoi-la-rentree-scolaire-fait-craindre-une-reprise-epidemique-01-09-2021-6T3MMDOOIZDJTDYJEOJBVGK35Q.php

[32] Le professeur Bruno Lina, virologue, membre du conseil scientifique, affirme jeudi 2 septembre sur franceinfo que la rentrée scolaire « amène un risque supplémentaire de reprise épidémique »

[33] «  les mineurs pourraient représenter presque 50% des cas en septembre ».

[34]P Bosetti1, C Tran Kiem,, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations: a modeling study applied to France 2021.

[35] D’après un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies

[36]M Blachier La 4ème vague va arriver (C News) basée sur la simulation de Pasteur

[37] https://www.thinktankcraps.fr/la-fermeture-des-ecoles-a-un-impact-durable-sur-les-enfants/

[38] https://fr.businessam.be/norvege-le-confinement-netait-pas-necessaire-pour-gerer-le-covid-19/

[39] COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai 2020

https://www.fhi.no/contentassets/c9e459cd7cc24991810a0d28d7803bd0/notat-om-risiko-og-respons-2020-05-05.pdf

[40] ht tps://www.fr24news.com/fr/a/2020/07/les-enfants-britanniques-pourraient-perdre-3-de-leurs-revenus-a-vie-en-raison-des-fermetures-decoles

Le 22 septembre 2021 LETTRE OUVERTE AUX SENATEURS

Objet : appel au sujet du projet de loi de vaccination universelle anticovid au Sénat

 

Mmes Mrs les Sénateurs

Nous apprécions votre volonté d’obtenir une protection collective permettant un retour à la vie normale et avons lu avec intérêt le projet de loi déposé au Sénat le 31 aout en première lecture.

Néanmoins, nous permettons de vous apporter quelques informations complémentaires : le Sars Cov 2 est très sensible aux traitements précoces tels que l’Ivermectine, comme les expériences récentes de l’Inde et du Japon en témoignent. L’utilisation de ces traitements précoces permettrait de faire disparaitre le spectre de formes graves en rapport à cette forme de grippe, qui ne tue que les personnes âgées à fortes comorbidités.

Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100000 enfants et 9/100000 chez l’adulte, soit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).

Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins anticovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus

 Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination

En Israël les deux mois qui ont suivi la vaccination ont battu les records de nouveaux cas et de mortalité Covid depuis le début de l’épidémie. Depuis août 21, la reprise de l’épidémie confirme que la vaccination ne permet pas d’espérer le retour à une vie normale malgré un taux très élevé de vaccination et des réinjections répétées. En contraste, les pays qui ont laissé leurs citoyens vivre à peu près normalement comme la Suède ou la Biélorussie, s’en sortent beaucoup mieux que nous.

 Les vaccins anticovid ne sont pas de vrais vaccins selon Pasteur

Vous basez votre confiance en les vaccins antérieurs, mais il faut prendre largement en compte que le « vaccin anticovid » n’est pas un vaccin au sens pastorien du terme (des antigènes obtenus à partir du virus lui-même), mais bien une injection génique sensée faire produire par notre organisme les anticorps susceptibles de combattre ce virus. Ces substances injectées sont en expérimentation jusqu’en 2023 et utilisent une technique jamais validée en pathologie infectieuse humaine.  Les essais contre les précédents coronavirus et le Sida ont été des échecs et les phases habituelles, comme l’expérimentation animale ont été sautées dans le cas des pseudovaccins actuellement utilisés.

 Campagne d’information

Vous évoquez une grande campagne d’information et vous avez raison, mais elle aurait dû être commencée avant toute injection afin que chaque injecté puisse avoir donné un véritable consentement éclairé.   Au stade actuel, il conviendra que le peuple soit informé de la nature des injections, de leurs composants, et des risques éventuels à court, moyen et long terme.

Actuellement, les bases de données officielles de l’EMA, FDA, MHRA, permettent de se faire une idée des effets indésirables dans la première année. Il est d’ailleurs remarquable que le grand nombre de décès reconnus par l’agence européenne par exemple (EudraVigilance) de l’ordre de 25000 n’ait pas entrainé un moratoire de toute vaccination pour étudier les raisons de ces drames (deux millions d’effets indésirables reconnus dont la moitié graves selon l’agence. Rappelons que la vaccination antiH1N1 a été interrompue après 53 décès et la vaccination contre la grippe aviaire après une trentaine.

 Le système sanitaire en déroute

Vous insistez à juste raison sur les difficultés du système sanitaire français bien antérieur au covid. En 2019, plus de 200 services d’urgence étaient en grève. Il faut redonner des lits, des postes de soignants, des rémunérations correctes à l’ensemble des personnels et diminuer l’emprise de la bureaucratie sur la gestion de l’hôpital public et privé.  L’obligation vaccinale des soignants n’a fait qu’aggraver les choses car les personnels, vaccinés ou non, n’ont pas apprécié cette extorsion de consentement, alors qu’ils voient des effets secondaires graves tus dans les médias et auprès de vous tous. Leurs suspensions ne font qu’aggraver les difficultés de recrutement du personnel mettant en péril le fonctionnement des établissements hospitaliers en augmentant le nombre des déserts médicaux.

 La crise du covid se termine dans le monde au moins dans tous les pays convertis plus ou moins vite aux traitements précoces peu chers et non toxiques tels l’ivermectine (Japon par exemple).

 

 Les enfants innocents du covid. Protégez l’avenir

Quant aux enfants, ils ne présentent jamais de formes graves de covid, et ne participent pas à la transmission du virus comme l’ont démontré les publications internationales multiples depuis vingt mois et répété par toutes les sociétés de pédiatrie. Les soumettre à un traitement expérimental sans intérêt individuel, et sans intérêt collectif puisque la vaccination ne protège pas des contaminations, ni des formes graves, comme l’a écrit le ministre au conseil d’état fin mars 21.

La vaccination ne protège ni le vacciné, ni son entourage et ne repose sur aucun argument scientifique réel, mais seulement sur des simulations mathématiques grossièrement fausses

Nous sommes à votre disposition pour un entretien à ce sujet vu la gravité des conséquences possibles de cette injection.  Nous n’avons pas abordé ici les nombreux traités signés par la France dont la convention d’Oviedo, la charte des droits de l’enfant, etc. qui s’opposent à un traitement expérimental sans consentement éclairé réel. Ce volet juridique est traité par d’autres. Ici c’est le témoignage et le cri d’alerte de médecins au lit du patient qui voient l’inutilité du vaccin – puisque des rappels sont déjà demandés tous les six mois- et qui constatent quotidiennement les dégâts de ces thérapies expérimentales doublés de leur inefficacité.

 Il est urgent que vous obteniez une enquête parlementaire doublée d’un moratoire comme d’autres parlementaires anglais, italiens ou belges en particulier l’ont déjà demandé. Nous comptons sur vous.

En vous remerciant de l’attention que vous porterez à cette supplique, nous vous prions de croire, Mmes, Mrs les Sénateurs en nos sentiments respectueusement dévoués.

 

Dr N Delépine pédiatre cancérologue, Dr G. Delépine chirurgien orthopédiste cancérologue

 

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pour information

 texte du projet de loi commenté dans cette lettre ouverte, disponible sur le site du sénat

« 31 août 2021 :Vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2( texte déposé au sénat – première lecture – exposé des motifs )

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Dès juillet dernier, les parlementaires socialistes ont prôné l’obligation progressive d’une vaccination universelle, de toutes et tous (sauf contre-indication médicale), dans une démarche de santé publique visant à obtenir une protection collective, seule à même de garantir un retour à une vie quotidienne normale pour tous du fait des différents variants en circulation.

L’objectif de cette protection collective de toute la société, en l’état de nos connaissances scientifiques et médicales, peut être atteinte par une obligation vaccinale généralisée (sauf contre-indication médicale).

Nous croyons en la science, en la recherche, et au progrès médical et social, qui bénéficient à toutes et tous.

Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes.

L’obligation vaccinale a été édictée en France pour la première fois en 1902 et a permis d’éradiquer nombre de maladies et protéger nombre de nos enfants. L’obligation vaccinale est la pierre angulaire de l’intérêt collectif : en s’engageant tous, on protège chacun, partout sur le territoire national et dans tous les foyers. Elle faisait reposer la politique de santé sur des principes clairs, transparents, démocratiques et qui s’appliquaient à tout le monde.

La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. Elle permettra de lancer enfin une grande campagne d’information et de sensibilisation pour aller vers les Français non vaccinés. C’est également un geste de responsabilité et de solidarité vis-à-vis de nos soignants, engagés de toutes leurs forces dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout et de soutien vis-à-vis de nos acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires.

Nous notons surtout que plusieurs institutions du champ scientifique et médical se sont d’ores et déjà prononcées en faveur de l’obligation vaccinale généralisée. C’est le cas notamment de l’Académie nationale de médecine, le 19 juillet dernier, jour de présentation en conseil des ministres de la loi n°2021-1040 du 5 aout 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Rappelons d’ailleurs que l’Académie s’était prononcée publiquement pour le port du masque dès avril 2020, quand le Gouvernement soutenait encore que le masque était inutile pour la protection de la population générale.

Ainsi, face à l’augmentation rapide de l’incidence des infections dues aux différents variants, l’Académie nationale de médecine recommandait :

« – d’amplifier l’information sur le principe de l’isolement volontaire et sur les capacités d’hébergement des personnes ne pouvant s’isoler à domicile ;

– d’inciter toutes les personnes dépistées positives à s’auto-isoler pendant 10 jours en leur rappelant le risque de contamination auquel elles exposent leur entourage ;

– de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus ».

Depuis, les Antilles ont payé un lourd tribu à la pandémie du fait du faible taux de vaccination des populations. La Guadeloupe et la Martinique ont d’ailleurs été contraintes au re-confinement et aux couvre-feux. Les services hospitaliers de Polynésie sont toujours saturés et le nombre des hospitalisations continue d’y progresser.

C’est pourquoi, nous maintenons que la vaccination contre le covid-19 de toutes les Françaises et de tous les Français est la seule décision publique qui :

–      Protège sa propre santé et liberté mais aussi celles des autres ;

–      Correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques ;

–      Constitue une démarche de lutte contre les inégalités territoriales et sociales, car elle crée un devoir de l’État d’aller vers les publics les plus éloignés de la vaccination ;

–      Evite le « glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale » pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne ;

–      Dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public.

La vaccination obligatoire est le seul chemin à ce jour pour sortir d’une politique de sécurité sanitaire et entrer enfin dans une politique de santé publique clairement assumée. Elle est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le passe sanitaire, de l’égalité face au « chacun pour soi », de la solidarité face à l’égoïsme. Le choix du Gouvernement a été un choix par défaut et de défausse, qui le désengageait de ses responsabilités.

L’absence d’application du III de l’article 76 vise simplement à rendre la proposition de loi recevable financièrement et n’a pas pour objectif de diminuer la prise en charge de cet acte médical par la Sécurité Sociale. »

 

 

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pour joindre les sénateurs, coordonnées sur le site du sénat et si vous souhaitez contacter  les membres de la commission des lois présentant le projet, voici les coordonnées des membres du bureau visibles sur le site du sénat (de même que celles de l’ensemble des sénateurs, si vous pouvez joindre les sénateurs et sénatrices de votre région pour les rencontrer directement).

Le Bureau de la commission des affaires sociales

a.milon@senat.fr  MEDECIN 74 ans

 

 

j.guidez@senat.fr  essonne evry artiste
Conseillère municipale de Saint-Chéron

 

 

 

RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA PLANDEMIE  (pandémie planifiée) COVID

 

VOLET 1

Les erreurs du rapport 9 de Mars 2020 de Neil Ferguson, justification fallacieuse des confinements

Depuis plus de 20 mois, la politique sanitaire française est décidée dans le plus grand secret[1] par le « conseil de défense » appuyé par un « conseil scientifique. Ce dernier est dominé par Simon Cauchemez, mathématicien modélisateur au sein de l’Institut Pasteur et élève de Ferguson de l’Imperial College.

La politique de santé s’appuie presque uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement frauduleuses, car basées volontairement sur des hypothèses du pire, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif et nous faire accepter la perte de nos libertés et la pseudo vaccination génique inefficace.

 

La folle prophétie de Neil Ferguson qui a justifié le confinement de Mars 2020 était fausse

Détaillée dans le rapport 9 de l’impérial College[2], cette simulation catastrophe prétendait que sans confinement les hôpitaux seraient partout débordés et qu’on compterait 500000 morts en France, comme en Grande Bretagne, 600000 en Allemagne, 70000 en Suède et 2 millions aux USA. Elle affirmait aussi que les mesures médicales traditionnelles (fermeture des frontières et isolement des seuls malades le temps qu’ils ne soient plus contagieux) ne serviraient à rien, qu’il fallait confiner à l’aveugle la population jusqu’à fin décembre 2021 pour imposer les futurs vaccins et/ou nouveaux traitements.

 

La plupart des gouvernements occidentaux ont pris ou voulu prendre cette prophétie pour une vérité et imposé à leurs populations des mesures liberticides contre- productives, telles que le confinement aveugle sans même en avoir vérifié la pertinence de la méthode de calcul, ni publié ce rapport préalablement à son application, empêchant ainsi toute discussion scientifique et tout débat démocratique.

 

La confrontation aux faits constatés révèle la supercherie de cette simulation

Le rapport 9 avait prédit qu’en l’absence de confinement la Suède verrait ses hôpitaux submergés et compterait 70000 morts en quelques mois. La Suède n’a pas confiné, ses hôpitaux ont pris en charge tous les malades qui en avaient besoin et après 19 mois d’épidémie (au 10/9/2021), comptait, d’après l’OMS, 14602 morts. La prophétie de Ferguson surestimait par plus de 500% le risque réel !

Même chose pour l’Allemagne.

La prophétie de N Ferguson prétendait qu’en l’absence de confinement de la population, « les mesures médicales classiques de quarantaine des malades seraient inefficaces, que les hôpitaux seraient débordés et qu’on compterait plus de 600000 morts ». L’Allemagne n’a jamais été confinée, au sens que ce mot a en France a rappelé Thomas Wieder, correspondant du  Monde dans ce pays. Au 10/9/2021 après 19 mois d’épidémie l’Allemagne comptait 92 553 morts attribuées au Covid. Là encore la prophétie de Ferguson a surestimé le risque réel par plus de 500% !

 

Une de ses élèves, Jasmine M GARDNER [3], a même prédit que sans confinement total et strict, la Suède compterait 100000 morts au 1/7/2020. En réalité au 1/7/2020, selon les données de l’OMS, la Suède sans confinement ne comptait que 5496 décès attribués au Covid (19 fois moins).

A ce niveau d’erreur on ne peut plus croire à une simple bévue, mais vraiment qualifier ce texte de « propagande Covid terroriste » d’autant que sa large diffusion dans les médias suédoises a largement participé à une tentative de pression sur l’agence sanitaire pour l’obliger à confiner.

 

Ces simulations ne traduisaient donc ni la réalité ni la science, mais constituaient seulement de mauvais scénarios de film catastrophe destinés à nous terroriser. En témoignent les hypothèses retenues pour son modèle : des index de mortalité par infection, multipliant par 2 à 3 les chiffres réels dans les différents groupes d’âge (pour les 10-19 : 0,006% au lieu de 0,002% et pour les 20-29 : 0,03% au lieu de 0,01%) et une forte surestimation du taux de reproduction R. En surestimant ces paramètres clefs de la simulation, Ferguson et ses élèves ont obtenu les prévisions apocalyptiques désirés par Bill Gates qui les finance, et les gouvernements qui obéissent.

 

 

La surestimation des risques est une constante des prédictions de Ferguson et une technique bien rodée des imposteurs

Lors d’un de mon premier stage d’interne en neurochirurgie, mon maître m’expliqua comment se créer une aura de sauveur. « Devant cette petite tumeur du cerveau facilement opérable, ne dis surtout pas aux parents qu’elle est facile à opérer, car en cas d’accident opératoire imprévu, ils pourraient porter plainte. Au contraire explique-leur qu’il s’agit d’une mauvaise tumeur, mal placée et que seule une chirurgie très difficile peut sauver le malade. Si un accident survient, ils ne se plaindront pas. Et si tout se passe bien, ils te considéreront comme le sauveur capable de chirurgie extraordinaire ».

Apparemment cette technique est utilisée par l’équipe de l’Imperial College. Ils prophétisent un futur apocalyptique et proposent « la solution ». Si leurs prédictions ont suffisamment surestimé le danger, ils pourront, après la crise, prétendre, que c’est grâce à l’application des mesures qu’ils ont proposées que la situation a évolué plus favorablement que ce qu’ils avaient prévu.

Les religions reposent sur la foi et le caractère immuable des crédos que personne ne peut discuter sans être qualifier d’hérétique.

La démarche scientifique, basée sur le doute fertile, consiste au contraire à confronter en permanence les faits observés aux hypothèses dominantes. Lorsque les faits avérés ne sont pas compatibles avec les hypothèses, celles-ci doivent être abandonnées. Mais l’équipe de l’Imperial College, dirigée par N. Ferguson ne tire pas de leçons de ses erreurs et se comporte en gardienne d’une nouvelle religion dont les dogmes sont indiscutables, plutôt qu’en scientifique désireuse de reconnaître et d’élucider les paradoxes.

 

Les erreurs passées de Ferguson très nombreuses ont été dommageables

En 1997, lors de la maladie de la vache folle, N. Ferguson avait prédit jusqu’à 150 000 morts en deux décennies. Vingt ans plus tard, en janvier 2017, on ne comptait que 223 victimes humaines dans le monde (dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France).

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante.

En 2005, N. Ferguson prophétisait qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait tuer de 5 à 150 millions de personnes dont 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 45.

En 2009, lors de la grippe H1N1, Ferguson avait prédit 8000 morts au Canada : il y en eut 428. En France, il avait prédit 20000 morts, il y en eut 323 (soit environ trente fois moins qu’une grippe habituelle).  Les mesures sanitaires prises en France sur la foi de cette prédiction fausse nous ont couté deux milliards d’euros et le vaccin Pandemix hâtivement mis sur le marché a été responsable de nombreux accidents neurologiques graves dont 450 narcolepsies sur l’ensemble de l’Europe, dont plus de 60 cas en France et d’une perte de confiance de la population dans les vaccins et en la parole publique.

Ces surestimations considérables des risques des maladies constituent une donc une caractéristique constante des prédictions de l’Imperial College. Mais Ferguson comme beaucoup de prophètes sait, que pour imposer ses mesures, il faut faire peur et donc prédire des cataclysmes. Si l’évolution est moins catastrophique qu’annoncée, il pourra alors s’en attribuer le mérite.

 

De nouvelles simulations bidons pour glorifier le confinement

De nombreuses études[4] rétrospectives d’auteurs indépendants des modélisateurs et des responsables des confinements ont évalué l’effet des mesures de confinements sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a démontré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie, qu’il s’agisse de l’étude danoise sur le Nord Jutland[5]   de l’étude néo- zélandaise[6] , de l’étude anglaise[7] , des analyses indiennes[8] [9], des études allemandes[10] [11], croate[12], des études des pays d’Europe occidentale[13]  et de toutes les autres études internationales basées sur les faits avérés[14] [15]dont celle particulièrement exhaustive de John PA Ioannidis [16].

Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont ceux d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle qui n’analysent pas les faits constatés, et espèrent ainsi s’exonérer de leurs responsabilités. Ils comparent leurs prévisions colossalement exagérées aux mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement du grand nombre de « morts évitées ».

Le mécanisme frauduleux de leurs études bidon a été  dévoilé dans un article de Nature[17], dans lequel les auteurs de l’Imperial College prétendaient ainsi avoir sauvé 3,1 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement.

Ils ne savaient apparemment pas que les Suédois n’ont jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai 2020 prouvait seulement que les prévisions de l’Imperial College surestimaient par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que si l’Allemagne ne confinait pas totalement, elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020.

L’Allemagne, qui n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué la technique classique d’endiguement, ne comptait, au 5 mai 2020, que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement qui n’a pas été pratiqué !

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour prétendre que la chloroquine était dangereuse. Dans cette publication fallacieuse, ce « Nature Gate », il n’y a pas eu fabrication de données mais le refus de regarder la réalité des mesures sanitaires réellement utilisées pour se glorifier des erreurs de la prophétie initiale ; il est très étonnant qu’aucun membre du comité de lecture de cette revue Nature, de bonne réputation, ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique[18] prétendant que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement.

Les erreurs de conception, le choix d’hypothèses péjoratives et les conclusions fausses de cette étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques, mais les médias mainstream en ont très peu parlé alors que la simulation biaisée de propagande avait été très largement diffusée.

 

Aucune de ces publications glorifiant les confinements n’a chiffré les dégâts considérables que les confinements ont causés sur le plan sanitaire (victimes collatérales des retards et absences de traitements, problèmes psychiatriques), scolaire et universitaire, économique (perte de PIB, aggravation des dettes publiques et du chômage), sur l’aggravation de la pauvreté dans les pays riches et de la faim dans les pays pauvres[19].

Certains auteurs estiment que les pertes d’années de vie causées par ces mesures tyranniques sont dix fois plus importantes que celles causées par le Covid19 seul.[20]

Toutes ces complications du confinement, étaient parfaitement prévisibles d’emblée, par tout médecin habitué à évaluer la balance Avantages/Risques des traitements qu’il propose. Le traitement des épidémies, comme les autres maladies, ne doivent pas être décidés par des astrologues mathématiciens ou des épidémiologistes qui ne quittent pas leurs bureaux[21] mais par des médecins qui traitent des malades !

 

Les simulations mensongères constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

Il ne faut pas se laisser abuser par l’aspect pseudo scientifique de ces simulations de circonstances que la propagande terrorisante du gouvernement nous impose. Elles ne sont pas plus fiables et beaucoup plus dangereuses que celles des astrologues traditionnels. Il est grand temps d’abandonner cette politique sanitaire délétère basée sur la peur et de la réorienter selon les règles de la médecine classique, d’après les faits avérés du monde réel.

[1] Aucun compte rendu détaillé des discussions tenues lors des réunions du conseil scientifique n’a été publié mais seulement des résumés d’avis ; pour le conseil de défense sanitaire c’est pire : manque de transparence  dans sa composition, contournement du Parlement, délibérations classifiées secret-défense obstruant le travail des enquêteurs de la Cour de justice de la République sur la gestion de la pandémie.

[2] COVID-19 Response Team Neil M Ferguson Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to

reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College https://doi.org/10.25561/77482 Page 1 of 20

[3]Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on

Swedish healthcare capacity https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf

 

[4] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »

[5] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936

[6] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.

[7] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020

https://arxiv.org/abs/2005.02090

[8] ] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[9] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260

[10]Thomas Wieland Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au COVID-19 en Allemagne 2020 novembre; 131: 104924.

doi: 10.1016 / j.ssci.2020.104924. En ligne du 21 juil.2020.

[11] T Wieland  Flatten the Curve! Modeling SARS-CoV-2/COVID-19Growth in Germany at the County Level Volume 7, Number 2, 2020, 43–83 journal homepage: region.ersa.orgDOI: 10.18335/region.v7i2.324l

[12]Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02861011

[13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19  https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;

[14] Philip Thomas Written evidence submitted by Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563

[15]Joseph Stroberg Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28 https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/

[16] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de COVID-19.   Eur J Clin Invest 2021 avril ; 51(4) : e13484. doi: 10.1111/eci.13484. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/

[17] S.Flaxman et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7Nature | www.nature.comAccelerated Article Preview

[18] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).

[19] Confinement et faim dans le monde Du Trends-Tendances du 15/10/2020 « Le confinement a sans doute causé bien davantage de victimes que la pandémie elle-même. »

[20] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.

doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.

[21]Aurélie Haroche, Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie Journal International de Médecine, 25 avril 2020

« Le cri d’une députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial, exclue de son parti (qui est actuellement au sein de la coalition gouvernementale menée par le banquier Draghi) pour avoir tenu des propos hors des clous à propos de la gestion de la crise sanitaire: elle interpelle ses collègues lors d’un débat à la Chambre sur le « Green Pass ». Seule contre tous, dans un magnifique élan de courage. En conclusion, elle s’adresse directement au Pape. On attend vainement la même chose en France »

Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.

Original en italien trouvé sur ce non moins formidable site: www.korazym.org/64986/la-dichiarazione-di-voto-di-sara-cunial-alla-camera-durante-la-discussione-del-vergognoso-decreto-green-pass/

Vous ne pouvez plus dire qu’il s’agit d’une urgence, car cela fait maintenant presque deux ans que cette gestion hystérique a commencé.

Vous ne pouvez plus dire que l’on ne sait rien du COVID, car il existe maintenant une littérature très solide, qui remonte même à avant la soi-disant pandémie.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de remèdes, car les remèdes sont connus depuis le printemps 2020, et maintenant l’EMA (Agence européenne de médicaments] a même commencé à approuver les premiers médicaments.

Vous ne pouvez plus dire que le plasma convalescent n’est pas une solution pour les cas qui ne nécessitent pas d’hospitalisation, car ceux qui l’ont démontré l’ont payé très cher [le principal promoteur de cette thérapie, le Prof. De Donno, chef de service à Mantoue, a très mal vécu le rejet dont elle a été l’objet, et il vient de se suicider, cf. blog du Dr Gulisano, ndt].

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin est la seule alternative, car il ne s’agit pas d’un vaccin mais d’une thérapie génique expérimentale, et il est illégal de forcer indirectement les Italiens à être des cobayes dans cette expérience.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins ne sont pas expérimentaux, car même les tests du premier vaccin autorisé ne sont pas encore terminés.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont sûrs car vous ne savez même pas ce qu’ils contiennent. Au contraire, les nouvelles du monde entier sont claires : des millions de lots ont été confisqués dans de nombreux pays en raison de la présence de substances étrangères, dont certaines très dangereuses, qui n’ont pas été reconnues et ne sont pas indiquées sur l’étiquette.

Vous ne pouvez plus dire qu’il est impossible d’obtenir une immunité collective sans le vaccin, car il a été prouvé qu’une grande partie de la population est déjà immunisée sans ce sérum, raison pour laquelle vous ne voulez pas que soient diffusés les tests sérologiques correspondants.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont efficaces, car on a fait les comptes, et la diminution du risque est à peine supérieure à zéro.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de risque dans la vaccination, car les chiffres des réactions indésirables des bases de données en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Europe parlent d’eux-mêmes. Lisez-les !

Vous ne pouvez plus dire que votre stratégie est le vaccin volontaire, car vous contraignez lentement tout le monde à le faire indirectement, par le chantage social, la traque et le mobbing. Vous utilisez la pandémie comme excuse pour les réformes sociales, économiques et du travail « sang et larmes » que votre Recovery exige comme rançon.

Vous ne pouvez plus dire que toutes les mesures mises en place ne sont que pour l’urgence, car l’OMS a publié un document – financé par Bill Gates et Rockefeller – sur l’utilisation permanente du passeport vaccinal.

Vous ne pouvez plus dire « l’Europe nous le demande », car dans le règlement 2021/953 de l’UE, à l’article 36, il est écrit : « il est nécessaire d’éviter toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui choisissent de ne pas être vaccinées ». Une phrase qui, dans le SEUL CAS de la TRADUCTION ITALIENNE, a été habilement dissimulée par les petites mains des Palais [du gouvernement] pilotés par les voleurs de vérité qui aiment saboter les textes normatifs de référence. Le but du Pass Covid européen – qui n’est vert qu’en Italie (évidemment en accord avec les visions nucléaires du ministre Cingolani) – est de « faciliter l’exercice du DROIT DE LIBRE CIRCULATION par les détenteurs ». NOTEZ « LIBRE », et non « SOUS CHANTAGE ». L’article 3, paragraphe 6, du règlement stipule : « La possession des certificats visés au paragraphe 1 ne constitue pas une condition préalable à l’exercice de la liberté de circulation ».

Vous ne pouvez plus dire que vous respectez la priorité des sources normatives car en acceptant le compromis au rabais pour les [tests] salivaires, dont la mise en œuvre est réglementée par la fameuse Circulaire du Ministère de la Santé, vous établissez qu’avec un pizzino [ndt: du mot sicilien pizzinu signifiant «petit bout de papier». Utilisé pour désigner de petits bouts de papier échangés de la main à la main par la mafia sicilienne pour les communications sensibles. Mais aussi les papiers que les députés et les sénateurs échangent au Parlement] de Speranza [ministre de la santé] vous décidez de la vie ou de la mort sociale, professionnelle et économique des citoyens italiens et de ce pays. Je vous rappelle que les tests salivaires rapides ont la même efficacité et donc le même taux d’erreur que les [test] nasaux chinois de torture.

Vous ne pouvez plus raconter la fable de l’immunisation que les vendeurs de vaccins savent si bien raconter, même ici. Combien de collègues testés, ou pire, de collègues vaccinés, ici, peuvent prétendre être immunisés et donc jurer qu’ils ne sont pas infectés ou contaminés ? Puis-je me sentir en sécurité si j’entre en contact avec la collègue Lorenzin [Beatrice Lorenzin, députée PD, ex-ministre de la santé] plurivaccinée ou bien suis-je dans la même situation que les patients de l’hôpital S. Eugenio, fermé pour cause d’épidémie Covid avec des personnels de santé tous vaccinés ?

Vous ne pouvez plus dire que les vaccinés ne contaminent pas, maintenant les nouvelles de vaccinés infectés et contagieux sont de notoriété publique.

Vous ne pouvez plus dire que vous travaillez pour le peuple car les membres du CTS [comité techno-scientifique] ainsi que les experts de la télévision, sont TOUS – et je dis bien TOUS – payés par les compagnies pharmaceutiques.

Vous ne pouvez plus dire que vous avez un système de pharmacovigilance rigoureux parce que nous avons compris à partir de l’incohérence des données entre l’AIFA [Agence Italienne du médicament.] et l’ISS [Istituto Superiore di Sanità] que vous ne pouvez plus tenir le devant de la scène et que vous êtes donc obligés de saboter les différents systèmes informatiques de santé nationaux et régionaux.

Vous ne pouvez plus dire que c’est pour notre bien, car les Italiens n’ont jamais été aussi mal.

Vous ne pouvez plus dire que la situation est mondiale, car de plus en plus de pays annulent leurs mesures d’urgence.

Vous ne pouvez plus dire que nous sommes dans une démocratie, parce qu’avec vos paroles et vos actions, chaque droit et chaque liberté disparaît, et depuis trop longtemps maintenant, ceux qui exercent leurs libertés constitutionnelles et naturelles sont blâmés et humiliés.

Vous ne pouvez plus parler de l’utilité des masques, après vos belles photos sans masque lors de divers événements officiels et sociaux.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont bons car les rapports des autorités sanitaires mondiales que vous censurez nous disent que les cas d’effets indésirables augmentent chez les vaccinés, touchent tout le monde, surtout les jeunes : par exemple en Israël (où le taux de population vaccinée est parmi les plus élevés au monde) le rapport officiel des effets indésirables des vaccins Pfizer avril 2021, fait état d’une augmentation de la mortalité de 22%. Et je vous épargne le dernier parce que c’est un carnage. Dans la tranche d’âge 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité est dramatique ! Nous parlons de +32%, ce qui nous indique que le vaccin est beaucoup plus mortel pour les jeunes que pour les personnes âgées ! Il existe une étroite corrélation entre le nombre de personnes vaccinées chaque jour et le nombre de décès par jour dans chaque groupe d’âge. Le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé qu’après la première. On observe une augmentation considérable – jusqu’à 26 % – de tous les problèmes cardiaques chez les personnes de moins de 40 ans (myocardite et péricardite). Et encore : forte prévalence des pertes menstruelles, atteintes neurologiques, squelettiques, cutanées… les cas de coagulopathie sont à l’ordre du jour, tout comme les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux, les fausses couches, l’interruption de la circulation sanguine dans les membres inférieurs et supérieurs, les embolies pulmonaires.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins préviennent les maladies car le chiffre officiel du ministère israélien de la santé du 13/08/2021 dit que 81% des cas graves à l’hôpital sont vaccinés avec 2 ou 3 doses !

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin améliore les vies car, en Grande-Bretagne, les décès des vaccinés sont plus de deux fois supérieurs à ceux des non-vaccinés ! Un document officiel intéressant de British Health, publié le 3 septembre 2021, indique que les cas de variant Delta mis à jour au 29 août 2021 indiquent 1798 décès, dont 536 n’étaient PAS vaccinés (30 % du total) et 1233 étaient vaccinés (69 % du total). DONC LE TAUX DE MORTALITÉ DES VACCINÉS EST PLUS DU DOUBLE DE CELUI DES NON VACCINÉS !

Vous ne pouvez plus dire que ceux qui critiquent la campagne de vaccination ont peur, car les données officielles rapportées ici concernent des pays qui ont fait une démonstration de vaccination dans le monde entier.

Vous ne pouvez plus dire que 1/3 des Italiens est soudainement devenu no-vax, ou penser que ceux qui sont critiques ont « peur » du vaccin parce que la peur ne provient pas des citoyens, la peur a été la clé de ceux qui ont géré et continuent de gérer une urgence très discutable et occupent indignement des postes au niveau du gouvernement.

Vous ne pouvez plus prétendre être intellectuellement honnêtes. Je ne m’adresse pas tant à la majorité, dont le parti dissident, en retirant des amendements et en votant contre des amendements visant à généraliser les tests salivaires et sérologiques rapides, a révélé les véritables positions, mais aussi à l’opposition. « Le certificat vert marque un premier pas vers la suppression définitive des obstacles à la libre circulation qui ont fait tant de mal à notre économie. Cet instrument doit être mis en œuvre le plus rapidement possible, afin qu’il soit effectif dès avant le début de la saison estivale. » C’est la déclaration officielle faite le 19 mars par la dirigeante de Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, qui a défendu la décision d’instaurer un laissez-passer vert car « l’adoption homogène de cette mesure dans toute l’Union européenne conduirait finalement à la suppression de toutes les restrictions ». INDIQUEZ CLAIREMENT POUR QUI VOUS TRAVAILLEZ. LES ITALIENS SONT FATIGUÉS DE CE MÉPRIS.

Vous ne pouvez plus dire que le Green pass améliorera nos vies parce qu’il est le moyen d’instaurer définitivement une dictature politique basée sur la peur et les éternelles urgences sanitaires justifiées par de fausses bases scientifiques, qui s’amuse à diviser la société en camps opposés, de bons et de mauvais, qui s’affrontent au lieu de combattre l’ennemi commun.

Vous ne pouvez plus dire que l’Italie est la meilleure parce qu’elle n’est que le laboratoire historique des expériences d’ingénierie sociale, et avec la France, elle est condamnée à devoir répondre aux folies des élites : d’un côté Draghi de matrice et de foi Goldman Sachs et de l’autre Macron, de marque Rothschild. Tout cela est dirigé par Soros et Gates qui, en jouant sur l’acquisition d’usines de tampons [tests], de terres agricoles et d’hôtels de luxe, sont les testimonial des fameux philanthropes de Davos amis d’Epstein

Vous ne pouvez plus envoyer le chef de cet État pour dire que nous devons renoncer à nos libertés et à la revendication de nos droits parce que l’État, c’est nous, les Italiens, et que nous sommes prêts à mourir pour les défendre !

Vous ne pouvez plus dire que se vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »

MERCI à cette députée italienne qui se bat depuis longtemps contre cette dictature sanitaire au service des milliardaires. Aidons là à faire stopper ce massacre des vieux avec les triples doses et des jeunes innocents du covid à risque zero, mais à risque important avec les pseudovaccins, en particulier de myocardites dont certaines tuent et dont les autres réduisent leur espérance de vie à jamais et leurs possibilités physiques pour toujours comme ces athlètes brutalement  exclus de leur vie de sportif.   Diffusons, alertons !

Mots Clés : ,

Comparaison des sous déclarations des effets secondaires selon les pays européens proches des Pays Bas

 

 

 

 

 

 

 

Le professeur belge christophe de Brouwer[1] ex -professeur à ULB – Université libre de Bruxelles et ex Président de l’École de Santé publique à ULB [2] a publié sur son compte face book une très intéressante étude comparant les déclarations d’effets indésirables des pseudovaccins anticovid selon les différents pays européens.

Nous savons tous -et tous les sites répertoriant les toxicités des médicaments le rappellent depuis toujours- que les rapports officiels sur les effets toxiques sont toujours très inférieurs à la réalité avec un facteur de sous-estimations de 10 (voire 100 selon les auteurs).

La dernière évaluation des décès en UE (27 pays sur les cinquante de l’Europe) selon l’EMA est de l’ordre de 23500, ce qui permet de craindre au moins 200 000 décès dans le mois suivant l’injection (pour environ 112 Millions de vaccinés).

Pour environ deux millions d’accidents dont la moitié sont qualifés de graves, cela ferait environ vingt millions de personnes malades transitoirement ou handicapés à vie. (Ces chiffres estimés en prenant la fourchette basse de dix fois plus d’incidents que déclarés.)

Malgré ces chiffres incertains, on peut remarquer que certains pays pour une population inférieure déclarent beaucoup plus d’ennuis, comme les Pays- Bas. Voyons les conclusions du Professeur belge.

 

Déclarations des effets secondaires liés aux vaccins covid selon les pays européens entourant la Belgique.

 

 Extrait de son post face book

« Nous avons examiné les effets secondaires déclarés par le VAERS (USA) et EudraVigilance en début de semaine (sur FB, commentaires).

 

Pour l’Europe, nous savons que ce sont les Pays-Bas qui déclarent le plus d’effets secondaires (en termes de cas individuel).

Si nous considérons les Pays-Bas comme un idéal à atteindre, en sachant que probablement là aussi nous avons un certain degré de sous-déclarations :

Combien les autres pays qui entourent la Belgique, auraient dû déclarer pour être au même niveau que les Pays-Bas ?

La réponse est édifiante. Je vous la mets en graphiques. (ci-dessus)

*Les données de nombre de vaccins injectés par Pays a été repris de l’Agence européenne ECDC :

https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/…/vaccine-tracker…

*Les données d’effets secondaires ont été repris de l’autre agence européenne EudraVigilance, pour les 4 vaccins (Moderna, Pfizer, AstraZeneca et J&J : https://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html

 

Pharmacovigilance en France [3]

Pour compléter les informations sur les effets secondaires des vaccins anticovid (et des médicaments en général ) il faut consulter le site de l’hôpital de Cholet et les publications du dr Amine Umlil dont sa présentation en aout 2021 au conseil scientifique indépendant ( CSI) de réinfocovid [4] .

 

Lors de ce CSI, une « analyse des données de la base de données de pharmacovigilance américaine (VAERS) » par Christine COTTON. Et quelques notions utiles et notamment celles relatives au « lien de causalité en pharmacovigilance et en justice entre un effet indésirable et un médicament suspect » – par Amine UMLIL.

 

L’intégralité de l’émission est disponible via ci-dessous et sur ce lien  Reunion publique du CSI du 19 août 2021à 21h – CrowdBunker

Mais on doit regretter que la direction de l’hôpital de Cholet ait cru bon de supprimer le 27 Juillet toute référence au dr Umlil patron du centre de pharmacovigilance et auteur de très nombreux articles qui ont fait la réputation du centre.

En pleine discussion sur l’obligation vaccinale, est-ce normal d’instaurer la censure et de priver les citoyens de sources fiables d’information ?

 

Vous pouvez aussi témoigner sur le site Recensement des témoignages – Résistance (resistance-mondiale.com)

[1] https://mewe.com/i/christophedebrouwer

[2] (20+) Christophe de Brouwer | Facebook

[3] Responsabilités au centre hospitalier de Cholet du dr umlil

CTIAP :  Unité de pharmacovigilance

Coordination des vigilances sanitaires

[4] Lien de causalité en pharmacovigilance et en justice entre un effet indésirable et un médicament suspect  22 août 2021  et  « effets indésirables » – la pharmacovigilance – des vaccins contre la Covid-19.

 

IL FAUT STOPPER LA PUB A LA VACCINATION CHEZ L’ENFANT INNOCENT DU SARS COV-2

 

 

 

 

LES JEUNES NE SONT PAS CONCERNES PAR LE COVID : ZERO MORTS CHEZ LES ENFANTS SANS COMORBIDITE [1] [2]

 

Le covid est une maladie extrêmement peu létale : taux de mortalité de ce coronavirus présenté comme la pandémie mondiale 0.035%, et 0,00 % chez les enfants non immunodéprimés et très peu chez les enfants à comorbidité : six enfants de 0 à 9 ans et 10 enfants de 10 à 19 ans sont décédés à l’hôpital en France depuis mars 2020 en ayant un test Covid positif. Cela ne signifie pas qu’ils sont morts du Covid, mais avec le Covid, car tous présentaient au moins une comorbidité susceptible d’entraîner la mort.

Il ne peut donc pas exister de bénéfice individuel.

Il n’existe pas non plus de bénéfice collectif.

Le 26 aout 21, le Pr Delfraissy avoue à nouveau que le « vaccin » n’empêche pas les contaminations par le vacciné, ni d’être soi meme contaminé.

Il défend son vaccin par la protection des formes graves, ce que O. Véran avait démenti dès mars 2021 dans son mémoire au conseil d’état, et qui semble faux au vu des résultats israéliens et anglais.[3]

Mais en ce qui concerne les enfants, chacun reconnait qu’ils ne font jamais de formes graves … Alors où est l’intérêt même collectif ?

 

Rappelons que toutes les études internationales publiées dans PubMed depuis mars 2020 ont démontré que les enfants, en plus du fait qu’ils ne font pas de covid cliniquement graves, ne transmettent pas la maladie.

Les enseignants sont beaucoup plus protégés quand ils travaillent à l’école qu’à la maison. De nombreux articles ont été consacrés à ce sujet ainsi que plusieurs synthèses de cette large bibliographie[4].

 

L’étude publiée en juin 2020 par l’institut Pasteur aurait dû mettre fin aux polémiques :

« Cette étude confirme également que le plus souvent les jeunes enfants, lorsqu’ils sont infectés par ce nouveau coronavirus, ne développent pas de symptômes de la maladie ou présentent des symptômes mineurs qui peuvent ne pas conduire à évoquer le diagnostic. Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et la perte de l’odorat, n’ont jamais été observés chez les enfants de moins de 15 ans alors qu’ils ont été rapportés par la moitié des adultes » ajoute Bruno Hoen, dernier auteur de l’étude et directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur. »

 

« Toutes ces données laissent à penser que les enfants sont résistants au virus du Covid et ses variants, grâce à un système immunitaire efficace, et concourent de surcroît à l’atteinte de l’immunité collective, en faisant circuler le virus sans danger ».

 

Alors pourquoi ce revirement et cette volonté acharnée de vacciner tout le monde, même les petits ?

 

 

EST -IL ETHIQUE DE VACCINER LES JEUNES ET LES PETITS EN PARTICULIER ?

 

N’oublions pas qu’AMM conditionnelle ou pas, les pseudovaccins actuellement proposés en France sont en expérimentation.

 

 

 Quels ont été les essais chez les enfants ?

 

Avant de se lancer dans cette campagne promotionnelle digne d’une vente de lessive genre OMO lave plus blanc, voici l’étude présentée par Pfizer à l’EMA sur la vaccination des enfants.

Une fiche d’information signée Pfizer, de 39 pages en téléchargement sur le site de la FDA américaine (Food and Drug Administration), indique que leur vaccin a été testé sur 1127 enfants de douze à quinze ans, dont 1097 ont reçu les deux doses.

Parmi eux, 866 enfants ont eu des effets secondaires, dont 393 modérés et 7 effets secondaires graves (0.64%). Donc dans cet essai, 78.94% des enfants ont eu au moins un effet secondaire. Les principaux effets secondaires observés sont : fièvre, fatigue, maux de tête, vomissements, diarrhées, douleurs diffuses.

La FDA (USA) et l’EMA (Europe) ont donné leur accord pour vacciner les enfants et adolescents sur la base de cette étude de deux mois seulement, en ayant parfaitement connaissance de la balance bénéfice/risque. Bénéfice = zéro, risques à court terme non négligeables et inconnus à long terme. Rappelons que la protéine spike que fait produire le pseudovaccin par l’organisme a une prédilection pour les ovaires, testicules, cœur, cerveau…

Les enfants ne sont pas une cible du Covid, le vaccin ne protège ni de la contamination, ni de la transmission. Alors pourquoi exposer nos jeunes à ces substances encore à l’essai en leur faisant prendre le risque d’effets secondaires graves ?

Il y a 15,5 millions d’enfants de 0 à 19 ans en France, si on les vaccinait tous sans exception, 99 200 auraient potentiellement des effets secondaires sévères (15,5 millions x 0.64%) d’après l’essai présenté par Pfizer.

 

EFFETS SECONDAIRES GLOBAUX RECENSES PAR LES BASES OFFICIELLES INTERNATIONALES

 EUDRAVIGILANCE – EMA      Au 14 août 2021, la base de données européenne de pharmacovigilance (EUDRAVIGILANCE) faisait état de 3822 signalements d’effets secondaires sur les moins de 18 ans dont 2144 pour le seul vaccin Pfizer sur les 12-17 ans.  Et en août, 5 décès ont été déclarés à Eudravigilance à la suite  de la vaccination de jeunes de 12 à 17 ans.[5]

 

 

VAERS :  RECENSEMENT DES EFFETS SECONDAIRES DECLARES SPONTANEMENT AUX USA

Aux États-Unis, le VAERS en lien avec le CDC, recense tous les effets secondaires déclarés par les citoyens, après les vaccins depuis 1991. Au 13 août 2021, 18 095 signalements d’effets secondaires après vaccination Covid-19 sur les moins de 18 ans étaient comptabilisés dans la base, dont 24 décès.

 

Une analyse fine des évènements secondaires aux vaccins au 23 Juillet est rapportée par une biostatisticienne dont nous signalons ici quelques conclusions, le détail étant disponible sur le PDF.[6]

398 277 ont été conservés pour analyse après élimination des erreurs manifestes (dates, vaccins mélangés, expirés, erreurs d’administration etc..). Elle étudie dans ce document les évènements 2020-2021 et souligne que plus de 98 % des effets signalés concernent le covid19.

 

 

Elle rappelle que le VAERS est coadministré par 1) la Food and Drug Administration (FDA) et 2) les Centers for Disease Control.

Sur les accidents décrits par le VAERS jusqu’au 23 07, 17 % concernent des personnes de moins de 30 ans et 50% de moins de 50 ans. Plus de 70% sont des femmes.

6 % des évènements indésirables ont conduit à l’hospitalisation et 47,1% sont encore hospitalisés lorsque le malade a été inscrit dans la base de données du CDC.

2,9% ont été déclarés covid malgré la vaccination. Plus de 34000 effets secondaires ont été considérés comme graves (près de 9%). Et 5471 décès ont été recensés selon le CDC et revus à 5 546 après revue des chiffres et tableaux. Les décès fœtaux n’ont pas été pris en compte dans le dernier calcul. L’âge moyen des décès est de 73 ans et 55 % d’hommes. 24 patients avaient moins de 18 ans. Et environ 10 % moins de 50 ans.

Parmi les 5546 décès, le temps moyen de survenue du décès est de 22 jours. 28% des décès sont survenus dans les trois jours suivant la vaccination. 40 % sont survenus dans les 21 jours suivant l’acte vaccinal.

Sur les 24 Décès de moins de 18 ans de cette liste établie au 23 juillet, on trouve deux suicides.

La prédominance d’accidents cardiaques est soulignée particulièrement chez les très jeunes de moins de 20 ans faisant écho aux constatations israéliennes.

Myocardites et péricardites : 1861 effets indésirables : 57 %des personnes présentant des symptômes de myocardites et péricardites ont moins de 30 ans. 73 % sont des hommes et 19 patients sont décédés.

 

MEME AVANT LEUR NAISSANCE, LES ENFANTS PEUVENT ETRE VICTIMES DES PSEUDO VACCINS

Le document de Christine Cotton consacré aux évènements indésirables déclarés chez les femmes enceintes rapporte sur 2436 vaccinées, au moins 675 décès de fœtus ou embryons (28% avortements ou morts fœtales) et 4,1% de malformations congénitales.[7]

La moyenne d’âge des femmes enceintes présentant des problèmes de grossesse est de 34 ans (25 % ont moins de 30 ans).

28 % (11,8+16,6) des femmes enceintes ont présenté des troubles dans les 3 jours suivant la vaccination.  40 % au cours des 7 premiers jours et 65 % pendant les 21 jours suivant la vaccination.

 

 

 

QUE POUVONS NOUS FAIRE ?    RESISTER EN INFORMANT PARTOUT AUTOUR DE NOUS

 

Et pour conclure citons cette lettre d’un sénateur   américain adressé au peuple américain

« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter » – Le sénateur Rand Paul exhorte les Américains à « résister » à Pelosi et aux petits tyrans

Rédigé par Rand Paul, éditorial via Fox News, « They Can’t Arrest Us All » – Sen. Rand Paul Urges Americans To « Resist » Pelosi & The Petty Tyrans | ZeroHedge

Résister.

Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne peuvent pas garder tous vos enfants à la maison à la place de l’école. Ils ne peuvent pas garder tous les bâtiments gouvernementaux fermés – bien que j’aie une longue liste de ceux qu’ils devraient.

 

Nous n’avons pas à accepter les obligations, les confinements et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates sans scrupules. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.

 

A Mme la Vice-Présidente Nancy Pelosi — vous ne m’arrêterez pas et ne m’empêcherez pas, ni aucun membre de mon personnel, d’effectuer notre travail. Nous avons tous eu la COVID, nous avons eu le vaccin ou on nous a offert le vaccin. Nous ferons nos propres choix en matière de santé. Nous ne vous montrerons pas de passeport, nous ne porterons pas de masque, nous ne serons pas contraints à un dépistage et à des tests aléatoires afin que vous puissiez continuer votre ivresse de pouvoir contrôler le Capitole.

Au Président Biden – nous n’accepterons pas les obligations de vos agences ou vos mouvements signalés vers un confinement. Personne ne devrait suivre les obligations de masque antiscience du CDC. Et si vous voulez fermer à nouveau les agences fédérales – dont certaines ne sont même pas complètement remises au travail – j’empêcherai tous les projets de loi d’être présentés au Sénat avec un amendement visant à réduire leur financement s’ils ne viennent pas travailler.

Aux bureaucrates locaux et aux patrons syndicaux — nous ne vous permettrons pas de faire plus de mal à nos enfants encore cette année. Les enfants ne sont pas plus exposés à la COVID qu’ils ne le sont pour la grippe saisonnière. Tous les adultes qui travaillent dans les écoles ont été vaccinés ou ont eu la possibilité de le faire. Il n’y a aucune raison pour les masques obligatoires, les écoles à temps partiel ou les mesures de confinement.

Les enfants prennent du retard à l’école et sont blessés physiquement et psychologiquement par les tactiques que vous avez utilisées pour les empêcher d’aller en classe l’année dernière. Nous ne le permettrons plus.

 

Si un système scolaire tente d’empêcher les enfants d’aller à l’école à temps plein en personne, je retarderai chaque projet de loi avec deux amendements. L’un pour les définancer et l’autre pour permettre aux parents de choisir où va l’argent pour l’éducation de leur enfant.

 

Est-ce que j’en ai marre pour vous ? C’est parce que j’en ai assez.

Je ne suis pas un politicien de carrière. Je pratique la médecine depuis 33 ans. Je suis diplômé de la Duke Medical School, j’ai travaillé dans les salles d’urgence, j’ai étudié l’immunologie et la virologie, et j’ai finalement choisi de devenir chirurgien.

Je dis à tout le monde depuis un an maintenant que le Dr Anthony Fauci et d’autres responsables de la santé publique ne suivaient PAS la science, et on m’a prouvé à maintes reprises que j’avais raison.

Mais je ne suis pas le seul à en avoir marre.

Je ne peux aller nulle part ces jours-ci – du travail aux événements, en passant par les aéroports et les Uber, les restaurants et les magasins, sans que les gens viennent me voir pour me remercier de les défendre. Pour avoir défendu la science réelle. Pour avoir défendu la liberté. Pour s’être opposé aux obligations, aux confinements et aux prises de pouvoir bureaucratiques.

Je pense que le vent a tourné et que de plus en plus de gens sont prêts à se lever. Je vois des histoires de parents qui tiennent tête aux syndicats d’enseignants et aux conseils scolaires de partout dans le pays.

Je vois des membres du Congrès refuser de se conformer au petit tyran Pelosi.

Nous sommes à un moment de vérité et à la croisée des chemins. Permettrons-nous à ces gens d’utiliser la peur et la propagande pour nuire davantage à notre société, à notre économie et à nos enfants ? Nous allons nous unir et dire, absolument pas. Pas cette fois. Je choisis la liberté.

 

 

 

 

 

 En conclusion, quand nos sénateurs présenteront-ils un texte comparable ?

 

Les pseudo vaccins expérimentaux ne peuvent apporter aucun bénéfice personnel aux enfants et adolescents, adultes jeunes.

Ils les exposent à de nombreuses complications parfois même mortelles

Ils ne protègeraient pas les adultes à risque puisque les enfants ne constituent pas une source de contamination et que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions virales

Et que l’obtention d’une immunité collective par le vaccin est un mythe maintenant reconnu inatteignable par tous les experts

La « vaccination anti-covid » des enfants est une faute qui va bientôt devenir un scandale sanitaire d’ampleur inégalée.

Résistons pour nos enfants, notre Futur

Résistons par tous nos moyens aux publicités mensongères diffusées par les médias et aux pressions et chantages inadmissibles de nos gouvernants et leurs collabos.

IL FAUT STOPPER LA PUB A LA VACCINATION COVID CHEZ L’ENFANT

 

[1] Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? (francesoir.fr)

[2] Faire vacciner les enfants, vraiment ? (francesoir.fr)

[3] Tous vaccinés, mais pas protégés ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[4] Nexus septembre 2020

[5] @10121Ws  EUDRAVIGILANCE

 

[6] vaers_data_analysis_report-2021-08-08.pdf analyse jusqu’au 23 Juillet par christine Cotton

: https://vaers.hhs.gov/docs/VAERSDataUseGuide_November2020.pdf

 

[7] Supérieur à la moyenne habituelle admise de l’ordre de 3 %

Tous vaccinés, mais pas protégés !

 

Une propagande incessante affichée même sur les panneaux d’autoroute répète : « tous vaccinés, tous protégés ». Cette affirmation est totalement mensongère et contraire aux faits avérés.

Rappelons les faits établis et vérifiables.

 

La « vaccination » n’évite pas les hécatombes dans les maisons de retraite

23 prêtres retraités, français et étrangers, vivaient heureux en communauté dans les bâtiments historiques de la congrégation religieuse des Fils de Marie Immaculée de Chavagnes en Charentes. Malgré une vaccination Pfizer de 22 d’entre eux, une vague de Covid a frappé. Le prêtre non vacciné est resté négatif. Sur les 22 prêtres infectés, 21 sont tombés malades, et sept sont décédés dans les deux à trois semaines et demie après avoir été vaccinés.[1]

On ne compte plus les Ehpads de France[2] [3] [4] [5] [6] [7]et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères malgré la « vaccination » de tous leurs résidents.

Certes ces victimes étaient âgées, certes elles étaient fragiles, mais n’est-ce pas le profil type des personnes auxquelles les pseudos vaccins anticovid sont censés éviter les complications ?

 

Dans la Navy la maladie se propage [8] chez des marins complètement vaccinés

Tous les marins de la Royal Navy (comme ceux de la Marine Nationale) ont été vaccinés afin d’éviter qu’une épidémie ne rendent leurs navires non opérationnels comme cela est arrivé sur des porte-avions américain et français.

Le groupe aéronaval du HMS Queen Elizabeth a été touché par une épidémie de Covid   avec plus de 100 cas confirmés après une escale, alors que tous les marins avaient reçu leurs deux doses depuis plus de quatre mois.

 

Les infectés sont tous jeunes, sans déficit immunitaire ; ils ont tous reçu leurs deux doses avec un délai suffisamment long pour que les injections Astra Zeneca agissent pleinement. Leur contamination prouve que ces injections sont très peu efficaces, bien au-dessous des 90% claironnés par le laboratoire et les avocats de cette pseudo vaccination.

 

 Dans une mine d’or de Guyane française[9], contamination de 60% des vaccinés

Un foyer épidémique de Sars-cov-2 variant Gamma est survenu parmi les 44 employés d’une mine d’or en Guyane française.

 

 

Aucun des 6 mineurs ayant été précédemment touchés par le Covid (3 non vaccinés et 3 ayant reçu une dose) n’a été touché.

Alors que 15 des 25 personnes vaccinées à deux doses ont développé la maladie Covid comme 3 des 4 employés non vaccinés et sans antécédents de Covid-19.

Ces faits vérifiés et publiés montrent que l’immunité naturelle acquise après guérison d’une poussée de Sars-Cov-2 est efficace à 100 % contre ce variant alors que la vaccination a été incapable d’éviter la maladie à plus de 40% des vaccinés.

 

Malte : une couverture vaccinale de 84% ne protège pas la population

Malte fait partie des champions européens des pseudo vaccins avec une couverture vaccinale de 84% et un recul de près de 4 mois. Dans ce petit pays de 500000 habitants près de 800000 doses ont été administrées. En vain : depuis début juillet l’épidémie est repartie et les formes graves (mortelles) augmentent forçant les autorités à reconnaître que la population n’est pas protégée et à imposer une quarantaine aux voyageurs non vaccinés.

 

Gibraltar : une couverture vaccinale à 115% ne protège pas de la maladie

Gibraltar (34000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020 alors que l’agence sanitaire recensait seulement 1040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 5 (passant à 5314) et celui des morts par 19. Atteignant 96, soit 2794 morts par million d’habitants ce chiffre constitue l’un des records européens de la mortalité. Mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal sans proposer une autre étiologie plausible. Et après une accalmie de quelques mois l’épidémie reprend confirmant que les vaccinés ne sont pas protégés.

 

La vaccination massive des Britanniques ne les a pas protégés

 

La Grande-Bretagne constitue le champion européen des injections Astra Zeneca. La campagne d’inoculation Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés, les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : “les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

La vaccination massive des Israéliens ne les a pas non plus protégés

Israël est le champion de l’injection Pfizer avec un taux de couverture proche de 70%. Les deux mois qui ont suivi la vaccination ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations et des morts journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Ces 2 mois post injection ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie. Cette évolution défavorable montre que le pseudo-vaccin Pfizer est incapable d’empêcher la transmission de la maladie.

L’augmentation post vaccinale précoce des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie qui a abouti à une pause de l’épidémie. Mais depuis le 15 juin 2021, l’injection Pfizer se révèle incapable d’éviter une reprise exponentielle de l’épidémie et 40 % des nouvelles personnes contaminées sont vaccinées.

Et l’injection Pfizer est également incapable d’éviter les formes graves et les décès. Selon le ministère israélien, rapporté par le Jérusalem Post le 21 juillet, « sur les 143 hospitalisés, 58 % étaient totalement vaccinés, 3 % partiellement, 39 % non vaccinés. Sur les 64 patients graves du pays… le pourcentage de cas vaccinés était élevé. »  Sur Chanel 13 Dr Kobi Haviv précisait pour l’ensemble du mois : « 85-90 % des hospitalisations sont chez des personnes entièrement vaccinées. »

 

 

 

 

Conclusions

 

Ce tour du monde des évolutions observées après vaccination massive montre que les pseudo- vaccins actuels sont incapables d’éviter la maladie, ni les formes graves, ni les décès, ni la transmission de la maladie aux proches.

 

Le slogan « tous vaccinés, tous protégés » constitue donc une publicité mensongère.

 

 

[1]  http://www.parolesdedieu.fr/21-vaccins-arnm-dans-une-communaute-religieuse-7-morts-14-malades-et-lomerta/

[2]     Covid-19 : un cluster malgré des vaccinations dans un Ehpad des Landes https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-un-cluster-malgre-des-vaccinations-dans-un-ehpad-des-landes_4373347.html

[3]   Covid : malgré la vaccination, deux clusters signalés dans des Ehpad de Haute-Garonne et du Lot https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-malgre-la-vaccination-deux-clusters-signales-dans-des-ehpad-de-haute-garonne-et-du-lot-2059636.html

[4] Covid-19 : des résidents d’EHPAD positifs malgré leur vaccination https://fr.news.yahoo.com/covid-19-residents-ehpad-positifs-malgre-vaccination-173345922.html

[5] RTL Coronavirus : 47 résidents d’Ehpad contaminés malgré la vaccination https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/les-infos-de-18h-coronavirus-47-residents-d-ehpad-contamines-malgre-la-vaccination-7900000887

[6] pensionnaires

Covid-19 : des clusters détectés dans des Ehpad malgré la vaccination des résidents https://www.midilibre.fr/2021/04/06/covid-19-des-clusters-detectes-dans-des-ehpad-malgre-la-vaccination-des-residents-9471406.php

[7] P Gombert Loire-Atlantique. Covid 19 : le retour des clusters en Ehpad Ouest France 26/8/2021

[8]Jonathan Beale, Hazel Shearing HMS Queen Elizabeth : Covid outbreak on Navy flagshipvBBC News

Published14 July

[9] Vignier N, Bérot V, Bonnave N, Peugny S, Ballet M, Jacoud E, et al. Breakthrough infections of SARS-CoV-2 gamma variant in fully vaccinated gold miners, French Guiana, 2021. Emerg Infect Dis. 2021 Oct [date cited]. https://doi.org/10.3201/eid2710.211427

lue sur vk (partagé par Penoa A que nous remercions) une lettre d’une maman divorcée désespérée de l’accord unilatéral de son ex mari pour la thérapie génique expérimentale :

« Bonjour,

J’espère que vous lirez mon message.

Je suis maman d’un garçon de 12 ans. Son père vient de le vacciner contre ma volonté. Je suis effondrée. L’amendement proposé par le député parlementaire Sasha Houlié est inhumain et créé un précédent terrible pour tous les parents séparés ou divorcés, avec l’autorisation de vaccination possible donnée uniquement par l’un des deux parents.

J’ai écrit une lettre de réponse à son père, et je vous la partage ici, en espérant qu’elle donne du courage à beaucoup de parents en souffrance.

Merci pour vos partages nombreux, force et courage, nous vaincrons !

—-

Ainsi tu as décidé seul du destin de notre enfant, honte à toi !

Comment oses-tu faire une telle chose, alors même que tu sais que j’y suis formellement opposée, et que je te l’ai notifié à maintes reprises par écrit ?

Comment oses-tu imposer un essai expérimental à notre fils qui n’a que 12 ans et toute sa vie devant lui ?

Comment oses-tu le mettre en danger alors qu’il est en bonne santé et qu’il n’y a jamais eu autant de morts et d’effets secondaires pour des prétendus vaccins, notamment chez les adolescents ?

Comment oses-tu me dire de ne pas s’en prendre à lui et de t’ériger de la sorte comme le protecteur que tu n’as pas voulu être pour ton unique enfant ?

Honte à toi !

Penses-tu donc que tu as ce pouvoir là tout simplement parce qu’un décret, qui remet en question le principe-même de l’autorité parentale partagée, le stipule ?

Quelles sombres motivations t’animent, pour que tu précipites une vaccination inefficace, dangereuse, et inutile de la sorte ?

Penses-tu donc que lorsque toute cette mascarade sera dévoilée, et les innombrables effets secondaires et morts ne pourront même plus se compter, que les criminels complices seront traduits en justice, penses-tu donc que tu t’en sortiras indemne ?

Penses-tu donc que ton confort est plus important que la sauvegarde de nos libertés pour notre génération et les générations futures ?

Penses-tu donc que les inventeurs mêmes des tests PCR et de l’ARN messager, qui critiquent violemment l’utilisation de leurs inventions dans le cadre de dépistage de masse ou de vaccination, soient des illuminés ?

Penses-tu donc que ton fils, qui te posera des questions dans quelques jours, quelques mois ou même quelques années sur ce que tu as fait pour le protéger, te pardonnera quand il comprendra que tu as failli à ton devoir de protection parentale ?

Penses-tu donc que ton fils ne reviendra pas vers toi pour te demander des comptes l’heure venue, sur tous les dommages possibles sur sa santé ?

Honte à toi !

Tu as fait des choix qui ne t’appartiennent pas, et qui auront possiblement de lourdes conséquences sur son futur.

Tu n’as pas exercé ton devoir d’information impartiale auprès de ton fils des risques encourus, et a préféré privilégier ton confort immédiat et égoïste.

Honte à toi !

Je me décharge par la présente de toutes les conséquences médicales et financières occasionnées par cette thérapie génique que tu as choisi unilatéralement de lui faire injecter et te tiens seul responsable auprès de ton fils de tous les effets secondaires qu’il pourrait encourir à court, moyen et long terme.

J’espère du fond de mon cœur que notre fils sera épargné et qu’il pourra vivre longtemps et en bonne santé.  »

 

 

Comme pédiatre et cancérologue d’enfants  et contact de nombreuses familles connues au cours de mon exercice, je partage cette lettre qui reflète le drame vécu par tant de familles séparées et qui voient leur difficultés décupler par cette autorisation unilatérale d’un des deux parents !

Quelle cruauté supplémentaire infligée aux parents séparés ! Parents, vous avez aimé l’autre assez pour donner ensemble la vie à un enfant! Au nom de cet amour maintenant évanoui, respectez l’autre et son avis et ne donnez pas votre enfant comme cobaye à une expérimentation dont lui ne peut rien attendre (le covid n’atteint pas les enfants sans comorbidité sévère (trouble immunitaire, cancers etc.). Et les effets secondaires graves semblent encore plus fréquents que chez les gens âgés comme les atteintes cardiaques.

Laissez votre enfant disposer de sa vie lorsqu’il sera adulte sans lui infliger cette injection morbide, pour des facilités immédiates (voyages, resto, etc.. ) et aux conséquences à long terme inconnues et terrifiantes pour de nombreux généticiens.

Ne laissons pas les décideurs actuels diviser la nation entre vaccinés et non vaccinés, ni entre parents divorcés. Tenons la barre d’une société civilisée.

Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens

Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 – Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22

Nous contacter : csape.sg@hotmail.com  – site : www.csape.international

 

 

                                                                                                                              

COMMUNIQUE DE PRESSE 22/08/2021

LEPILLER Patrice SG et  COHEN Raphaël DJ   

 

    Plainte conjointe d’avocats internationaux à la CPI pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant Sars-cov2 et le vaccin covid19                                                                                             

 

Comme certains le savent, le 28 Juin 2021 le CSAPE a déposé une plainte de 64 pages accompagnée de 371 preuves toutes factuelles à la Cour pénale internationale, le conjecturel (comme la presse ou autres) ayant été écarté.

Le 02 juillet 2021, le CSAPE a reçu un accusé de réception officiel de la CPI et un numéro d’affaire (OTP-CR-271/21).

Suite à des évènements de collusion dont nous garderons les détails pour l’instant, le 27 juillet nous nous sommes rendus à la CPI pour déposer les preuves. L’accès étant refusé pour raison invoquée de période de congés nous les avons renvoyées sur place par recommandé avec accusé de réception.

Le 28 juillet à 12:55 la CPI a accusé réception des preuves et le 29 juillet au matin à 09:06, elle tentait d’écarter la plainte, précisant toutefois qu’elle pouvait être réétudiée sous réserve de nouveaux éléments de preuves, au motif que les éléments allégués (code de Nuremberg et autres) ne semblent pas relever de la CPI et qu’elle n’a pas à se substituer aux Etats !

Un appel a été introduit à la CPI le 10 aout 2021, les motifs de la décision du procureur s’avérant impropres à caractériser un rejet n’étant pas conforme au Statut de Rome tel que rappelé par la Chambre d’appel et en y ajoutant des éléments nouveaux.

Nous continuons à rassembler et à examiner de nouvelles preuves qui pourraient être utilisées dans notre demande à la CPI si elle était acceptée pour enquête.

Nous avons également établi activement des liens avec des avocats et des chercheurs du monde entier.

Nous avons le plaisir d’annoncer que des avocats de la Slovaquie, du Royaume-Uni et de la République tchèque se sont joints à nous et que le 12 août 2021, nous avons envoyé une plainte conjointe à la CPI avec une demande d’autorisation d’accepter cette soumission conjointe.

Nous avons soumis des preuves préliminaires pour les allégations qui nous sont communes, tout en demandant de nous réserver le droit de faire examiner par la CPI les allégations spécifiques à nos pays individuels, à savoir :

Pour le France, nous avons demandé un examen pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, mise en servitude, génocide.

Nous avons également demandé, dans notre plainte commune, un moratoire immédiat sur l’ensemble du programme de produits expérimentaux « vaccins COVID-19 » dans les quatre pays et la fin des tests sur les personnes asymptomatiques.

 

Nous sommes heureux d’annoncer également avoir obtenu des déclarations sous serments d’experts de premier rang, dont le chercheur et cardiologue nucléaire Dr Richard M. Fleming, le Dr Kevin Mc Cairn, le neuroscientifique et expert en maladies neurologiques, ainsi que le biologiste virologue professeur Luc Montagnier lauréat prix Nobel pour ses travaux sur le virus du VIH et d’autres, dont pour l’instant, leur anonymat est maintenu jusqu’à ouverture d’enquête.

 

Nous avons maintenant des preuves irréfutables que le virus SRAS-CoV-2 et les produits expérimentaux « vaccins COVID-19 » sont des armes biologiques délibérément conçues qui ont été libérées en deux phases sur les peuples du monde entier.

Nous avons eu l’amabilité de recevoir un accès exclusif à un exemplaire anticipé des travaux du Dr Richard M. Fleming, «Le COVID-19 est-il une arme biologique ? Une étude scientifique et médico-légale», qui fournit les preuves irréfutables à la CPI sur la nature d’arme biologique du virus SRAS-CoV-2 et des prétendus produits expérimentaux « vaccins COVID-19 ».

Nous attendons maintenant la décision de la CPI pour savoir si :

  1. a) elle autorise en principe la présentation d’une demande conjointe par plusieurs pays.
  2. b) elle accepte notre  » demande d’enquête  » conjointe.

 

Compte tenu de la nature extrêmement grave de la situation qui prévaut dans nos quatre pays en ce qui concerne l’escalade de l’apartheid médical, la perte des libertés et des droits fondamentaux et le nombre très élevé et sans cesse croissant de décès et d’effets indésirables graves subis par les personnes ayant reçu les produits expérimentaux « vaccins COVID-19 », nous avons attiré l’attention de la CPI sur la nécessité urgente pour la Cour d’agir rapidement et sans plus attendre et, à cette fin, nous avons demandé une réunion à La Haye dès que possible.

 

Dans l’attente d’une réponse de la CPI, nous restons en discussion avec des avocats d’autres pays qui n’ont pas encore déposé leurs demandes individuelles auprès de la CPI, mais qui ont indiqué qu’ils souhaitaient se joindre à nous et nous avons l’intention de leur apporter toute notre assistance.

 

Nous publierons d’autres éléments dès que nous aurons des nouvelles.

Quoi qu’il arrive nous sommes motivé à employer tous les moyens, tous les recours, pour que la vérité et la justice sortent.

Nous comprenons que la CPI ne travaille pas de manière isolée au sein d’autres institutions internationales et que les procureurs peuvent être soumis à diverses pressions politiques.

Cependant, nous voulons croire que la substance de nos allégations et les preuves présentées sont si fondamentales que la CPI remplira son rôle international et la raison de son existence, enquêtera de manière approfondie sur nos allégations et condamnera les criminels.

Si notre confiance s’avère illusoire, nous mettrons toutes les preuves scientifiques et factuelles à la disposition du public mondial.

 

En attendant, nous tenons à remercier toutes les personnes qui, à leur manière, contribuent à la lutte pour la vérité et la justice, voire pour l’avenir même de l’humanité, de nos enfants.

Law theme, mallet of judge, wooden gavel

 

 

 

LEPILLER P. Secrétaire général                  COHEN R. Directeur juridique

 

 CSAPE – Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens enregistré sous le n° 20210012

Siège social : Les Tricolores, 15, rue des Halles – 75001 PARIS –

Effets catastrophiques et encore trop méconnus des injections géniques anticovid 19

 

 

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice » …

Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté alternant confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et au minimum de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien….

 

Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio …

 

Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les évènements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire voire indispensable pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs pour donner une idée de l’ampleur du sujet.

 

LE NOMBRE D’EFFETS INDESIRABLES DECLARES EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DEPASSE, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES.[1]

L’Etude d’Enzololo[2] de début aout rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

Vaccins anti-Covid :  depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes : pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-covid ont été autorisés :

le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

 Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

 

 

 Selon la VAERS :

La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées.  C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID. Les données VAERS publiées début aout par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.[3]

 

Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

 

Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées en date du 30 juillet :

139 millions de doses du vaccin de Moderna

193 millions de doses de Pfizer

13 millions de doses du vaccin Johnson &Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.[4] Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès etc..). Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

 

 

EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

  • 15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la COVID, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021 et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1505250) décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

  • Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1406840 et 1431289) décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1463061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1187918, 1382906 et 1242573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1420630, 1466009, 1225942, 1475434 et 1386841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1199455, 1388042 et 1420762).
  • 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

ont été attribués au vaccin de Pfizer.

  • 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.
  • 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

 

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID : AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITE

Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

 

Selon les CDC les chiffres sont comparables [5]

Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.[6]

Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

 

Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

 

Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

Selon l’étude des CDC[7], en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

 

L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas de raison d’hospitalisation, et il n’est pas possible de déterminer si l’hospitalisation était liée à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par le CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

 

Réactions les plus courantes liées à la myocardite

Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine[8], une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

 

RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PERICARDITE SIGNALES PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination.  Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP[9] le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la COVID à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la COVID l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de COVID pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la COVID. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la COVID aux États-Unis à demander une approbation complète.

 

ACCIDENTS PREOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

 

Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique :  suicide, tentatives de suicide -idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

 

On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique. « Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… » Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie.  Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832[10] sur twitter.

 

 FERTILITE ET PSEUDOVACCIN

Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter[11].

« Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

 

Les vaccins anti-covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu.

Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire « stérilisation de masse« … [12]

Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

 

 

 

LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTEINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes etc.

« La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation. ~ Dr. Byram Bride

L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. » Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

  1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la COVID-19 et aux vaccins.
  2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)
  3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques
  4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre COVID-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels. »[13],[14]. Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60% des IRM cérébrales de personnes vaccinées.  Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements etc. et pas à l’aveugle.

 

 

 VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFERE

 

Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent pas, ni les vaccinés, ni les autres. Voyez les expérience à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

 

En Israël, « 85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés » à 2 doses.   95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés [15]!

En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que « sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4% ».

 

 

LE  REMEDE CONTRE L’HYSTERIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs élysées à la Bretagne etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides aient la même éefficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.[16]

 

 

[1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/

 

[2] : https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance

Covid-19 – Les vaccins vu à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo – Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.

 

Notons que Médiapart a censuré le document ! selon l’auteur enzololo le 5 aout : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours « les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS » (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle : https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins

 

[3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.

 

 

[4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/

[5]Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

 

[6] L’auteure correspondante du CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :

« Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires.

Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque.

[7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine : 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

 

[8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic

[9] Advisory Committee on Immunization Practices

Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis

[10]   Le 1 er aout 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale – en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours

[11]  7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale

[12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid – Résumé. (wordpress.com)

[13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin COVID-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… »  27 juillet 2021 par mirastnews in Europe /Par le Dr Joseph Mercola

[14]Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif-(covid19)-(post%C3%A9-par-Dr-Perronne)-(1):7?src=embed

[15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/  à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive

 

[16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! – Boris Karpov (tvs24.ru)

« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres « standard » de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sur les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !

Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5.000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de « trahison », au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc. etc. C’est un véritable raz de marée. »