Effets catastrophiques et encore trop méconnus des injections géniques anticovid 19

 

 

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice » …

Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté alternant confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et au minimum de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien….

 

Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio …

 

Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les évènements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire voire indispensable pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs pour donner une idée de l’ampleur du sujet.

 

LE NOMBRE D’EFFETS INDESIRABLES DECLARES EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DEPASSE, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES.[1]

L’Etude d’Enzololo[2] de début aout rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

Vaccins anti-Covid :  depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes : pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-covid ont été autorisés :

le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

 Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

 

 

 Selon la VAERS :

La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées.  C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID. Les données VAERS publiées début aout par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.[3]

 

Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

 

Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées en date du 30 juillet :

139 millions de doses du vaccin de Moderna

193 millions de doses de Pfizer

13 millions de doses du vaccin Johnson &Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.[4] Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès etc..). Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

 

 

EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

  • 15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la COVID, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021 et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1505250) décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

  • Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1406840 et 1431289) décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1463061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1187918, 1382906 et 1242573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1420630, 1466009, 1225942, 1475434 et 1386841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1199455, 1388042 et 1420762).
  • 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

ont été attribués au vaccin de Pfizer.

  • 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.
  • 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

 

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID : AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITE

Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

 

Selon les CDC les chiffres sont comparables [5]

Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.[6]

Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

 

Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

 

Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

Selon l’étude des CDC[7], en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

 

L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas de raison d’hospitalisation, et il n’est pas possible de déterminer si l’hospitalisation était liée à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par le CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

 

Réactions les plus courantes liées à la myocardite

Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine[8], une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

 

RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PERICARDITE SIGNALES PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination.  Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP[9] le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la COVID à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la COVID l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de COVID pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la COVID. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la COVID aux États-Unis à demander une approbation complète.

 

ACCIDENTS PREOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

 

Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique :  suicide, tentatives de suicide -idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

 

On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique. « Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… » Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie.  Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832[10] sur twitter.

 

 FERTILITE ET PSEUDOVACCIN

Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter[11].

« Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

 

Les vaccins anti-covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu.

Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire « stérilisation de masse« … [12]

Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

 

 

 

LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTEINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes etc.

« La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation. ~ Dr. Byram Bride

L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. » Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

  1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la COVID-19 et aux vaccins.
  2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)
  3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques
  4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre COVID-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels. »[13],[14]. Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60% des IRM cérébrales de personnes vaccinées.  Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements etc. et pas à l’aveugle.

 

 

 VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFERE

 

Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent pas, ni les vaccinés, ni les autres. Voyez les expérience à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

 

En Israël, « 85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés » à 2 doses.   95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés [15]!

En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que « sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4% ».

 

 

LE  REMEDE CONTRE L’HYSTERIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs élysées à la Bretagne etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides aient la même éefficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.[16]

 

 

[1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/

 

[2] : https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance

Covid-19 – Les vaccins vu à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo – Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.

 

Notons que Médiapart a censuré le document ! selon l’auteur enzololo le 5 aout : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours « les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS » (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle : https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins

 

[3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.

 

 

[4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/

[5]Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

 

[6] L’auteure correspondante du CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :

« Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires.

Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque.

[7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine : 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

 

[8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic

[9] Advisory Committee on Immunization Practices

Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis

[10]   Le 1 er aout 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale – en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours

[11]  7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale

[12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid – Résumé. (wordpress.com)

[13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin COVID-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… »  27 juillet 2021 par mirastnews in Europe /Par le Dr Joseph Mercola

[14]Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif-(covid19)-(post%C3%A9-par-Dr-Perronne)-(1):7?src=embed

[15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/  à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive

 

[16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! – Boris Karpov (tvs24.ru)

« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres « standard » de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sur les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !

Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5.000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de « trahison », au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc. etc. C’est un véritable raz de marée. »

Le pass sanitaire n’a aucun intérêt médical : expérience internationale

 

Accepté sans vraie modification par le conseil constitutionnel, la loi scélérate instaure la discrimination par un pass prétendument sanitaire qui n’a pourtant aucune efficacité dans la lutte contre l’épidémie.

 Faits avérés : le pass ne crée pas de sanctuaire 

Tous les 1300 marins du porte avion Queen Elizabeth ont reçu leurs deux injections Covid depuis plus de 3 mois et bénéficieraient à ce titre d’un passe sanitaire s’ils étaient français (les juridictions britanniques ont refusé ce passe jugé contraire aux droits fondamentaux). Après une escale une épidémie de plus de cent cas s’est déclarée à bord chez ces vaccinés prouvant qu’un passe n’aurait protégé personne.

Tous les 20000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur passe sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus[1] (dont une majorité de vaccinés !). Selon les informations de l’AD[2] au moins 448 festivaliers ont été infectés le premier jour et 516 le deuxième jour !

Tous les 50 000 participants des festivals, Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont présenté des tests négatifs et porté des masques. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [3] [4] [5] : 466 participants au Vida Festival, 956 au Canet Rock, et 857 à la Cruïlla soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents. Durant cette période, dans les groupes de contrôle (dont les participants ne se sont pas rendus au festival) ces chiffres sont de 197, 524 et 571. Ce surplus de contaminations confirme que ni les tests ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

 

En France, le passe n’empêche pas les clusters

Malgré leurs pass sanitaires, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse,

L’Autriche a instauré le pass le 1 juillet 2021 à une période où l’épidémie régressait ( taux moyen lissé sur 7 jours : 79 nouvelles contaminations journalières). Le gouvernement demande la présentation d’un test PCR négatif ou un certificat de vaccination pour toutes les activités en contact avec un public, le rendant obligatoire pour l’accès aux restaurants, aux hôtels, aux théâtres, aux concerts, dans les stades ou les salles de sport.

 

Depuis l’instauration du pass, l’épidémie est repartie de plus belle et se stabilise à 6 fois la valeur d’avant pass (479 cas/jour).

 

 

 

 

La Grèce, espérant ainsi sauver sa saison touristique a fortement milité pour la vaccination et le passe européen et a été la première à l’imposer à sa population après que le Premier ministre grec, Kyriákos Mitsotákis ait promis

« nous pourrons fermer le dernier chapitre de cette crise sanitaire seulement si chacun possède à son bras le vaccin de la liberté« .

Mais l’inefficacité totale de ces mesures contre le variant delta et les restrictions récentes du gouvernement sur les cafés et les bars depuis ce 6 août d’interdire tous les espaces intérieurs aux personnes non vaccinées ont sonné le glas de ses espoirs.

 

 

Le mirage de retrouver la liberté et la clientèle touristique par la vaccination et le passe s’est évanoui.

 

 

 

L’inutilité du passe est habituellement reconnue en moins de 3 mois

A Moscou, il a été abandonné en moins d’un mois.

En Israel, il a été abandonné après deux mois même si l’inefficacité maintenant évidente de l’injection Pfizer  le fait à nouveau utilisé pour les très grands rassemblements.

Le 21 avril 21 , le Danemark avait fait le choix de mettre en place un coronapass en promettant qu’il était est indispensable pour retrouver « la vie d’avant ». Mais le 14 juin 21,  7 semaines plus tard une majorité des députés a voté pour l’abandon immédiat des masques et progressiF  du passe.

Fin avril 21, alors que l’épidémie régressait fortement, la Hongrie a choisi de rendre obligatoire la présentation d’un « certificat d’immunité », pour accéder aux hôtels, théâtres, ou salles intérieures des restaurants. Alors que la mortalité qui avait commencé de décroître plusieurs semaines avant le pass est maintenant proche de zéro, la carte d’immunité reste obligatoire sans aucune justification médicale pour les événements sportifs, les spectacles en salles fermées ou dans les évènements accueillant plus de 500 personnes.

 

Combien de temps les français supporterons ce passe inefficace qui nie notre devise Liberté, Egalité, Fraternité ?

Le 31 juillet, plusieurs millions de personnes ont manifesté dans près de 50 villes de France avec pour seule slogan Liberté. Ils n’ont pas été entendus ni par les médias qui ont diffusé des chiffres de manifestants ridicules et faux, ni par le Président qui s’est moqué d’eux, ni par la justice, ni par le Conseil Constitutionnel dont le président est en  conflit d’intérêt majeur[6] avec le conseiller du Président de la Republique pour l’organisation de la vaccination, son propre fils et directeur du cabinet de conseil pour la France.

 

 

 

Samedi 7 août, nous devons redoubler d’effort pour imposer qu’enfin la France redevienne une démocratie, par le peuple, pour le peuple souverain et non plus une république bananière où le gouvernement ment sans arrêt et où le lobby des vendeurs de pseudo—vaccins inefficaces dicte les lois en empêchant l’utilisation des traitements précoces performants.

 

 

 

 

 

 

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[1] Ouest France  Covid-19. Aux Pays-Bas, un millier de contaminés après un festival malgré l’usage du pass sanitaire https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-au-pays-bas-un-millier-de-contamines-apres-un-festival-malgre-l-usage-du-pass-sanitaire-b5f05ae6-e54f-11eb-8ee1-0deddf8c8ae2

[2] https://www.sudinfo.be/id405517/article/2021-07-14/coronavirus-enorme-cluster-apres-un-festival-utrecht-pres-dun-millier-de

[3] El Pays Près de 2 300 personnes testées positives pour le coronavirus après avoir assisté à des festivals de musique en Catalogne https://english.elpais.com/society/2021-08-05/nearly-2300-people-test-positive-for-coronavirus-after-attending-music-festivals-in-catalonia.html

[4] L’express 5/8  https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/en-catalogne-des-festivals-tests-se-transforment-en-clusters-geants_2156128.html

[5] Huffpost Covid: En Catalogne, des festivals-tests tournent au fiasco https://www.huffingtonpost.fr/entry/covid-catalogne-festivals-tests-fiasco_fr_610add17e4b038cedb3b0ea5

[6] le cabinet de conseil Mc Kinsey qui accompagne la Présidence de la République en France sur la politique vaccinal actuelle est également celui qui conseille dans le monde les principaux laboratoires pharmaceutiques pour leur développement commercial et  l’un des directeurs associés du cabinet en France qui bénéficie de ce contrat de conseil de l’Elysée n’est autre que Victor Fabius le fils de Laurent Fabius, Président du Conseil constitutionnel, Conseil constitutionnel et pass-sanitaire : Fabius en conflit d’intérêt ? www.economiematin.fr/news-pass-sanitaire-conseil-constitutionnel-conflit-interet-fabius-redaction

Les vaccins actuels ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts

 

par le dr G Delépine chirurgien et statisticien médical

 

Chaque jour nous sommes harcelés par la propagande vaccinale qui répète « seule la vaccination peut mettre fin à l’épidémie » « les vaccins sont efficaces contre le variant delta » « une fois la population vaccinée il n’y a plus de risque ».

Ces affirmations sont totalement mensongères. Les vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta, ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts et ne préviennent pas les reprises de l’épidémie. Ils sont incapables de mettre fin à l’épidémie.

Pour s’en convaincre il suffit de regarder les évolutions récentes de l’épidémie dans les pays champions de la vaccination décrites dans les publications de l’OMS (OMS Covid Dashboard) et les courbes de OurWorldinData Covid.

 

En Grande-Bretagne l’épidémie repart malgré l’Astra Zeneca

La vaccination Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion  en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

 

L’incapacité des injections anti-covid à protéger les vaccinés et leurs contacts a été récemment illustrée par l’épidémie de plus de 100 cas qui a touché les 1300 marins du HMS Queen Elizabeth, alors qu’ils avaient tous été complètement vaccinés depuis plus de trois mois.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

 

En Israël, les injections Pfizer n’empêchent pas la reprise de l’épidémie

Même phénomène en Israël où la vaccination a été suivie d’une explosion de cas et de morts pendant deux mois. Après une accalmie de 3 mois, une reprise de l’épidémie qui s’accélère depuis début juillet montre que le vaccin Pfizer est inefficace contre le variant delta.

 

 

En Israël les vaccinés représentent actuellement près de la moitié des nouveaux cas. Et contrairement aux annonces des labos et des gouvernants, recevoir l’injection Pfizer ne protège pas non plus des formes graves : en Israël les vaccinés sont actuellement plus nombreux en réanimation que les non vaccinés : 71% de ces 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) sont totalement vaccinés !

Pire encore, la proportion de malades graves vaccinés est supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées (61%.)

Ces chiffres commencent à faire douter les autorités sanitaires de l’efficacité du vaccin Pfizer. Le gouvernement a réintroduit l’obligation légale de porter des masques dans les lieux publics, deux semaines seulement après son abandon et conseille maintenant une troisième injection aux plus de 60 ans. Lui qui prétendait qu’après deux injections les Israéliens seraient libres et protégés, accuse ses concitoyens d’indiscipline au lieu de reconnaître que le vaccin Pfizer est inefficace. Néanmoins, selon les médias israéliens, le ministère de la Santé a annoncé qu’à partir du 1er août, tout Israélien de plus de 18 ans recevant sa première dose recevra le vaccin Moderna. Aucune explication pour ce changement.

 

Aux Emirats Arabes Unis, champion arabe des injections, celles-ci ne sont pas  plus efficaces

Aux EAU,  la vaccination a débuté en fin décembre 2020 à l’aide de Pfizer et Sinopharm et actuellement plus de 80% de la population a reçu les deux doses de vaccin depuis plus de 3 mois. Mais le nombre de nouvelles contaminations et la mortalité quotidienne restent toujours plus élevés qu’avant la vaccination

 

Avant la vaccination, en 9 mois d’épidémie, les EAU comptaient 197124 cas et  632 morts. Après 7 mois de vaccination, au 1/8/2021, ces chiffres ont plus que  triplé avec respectivement  682377 cas et 1943 morts. Dans ce pays aussi les injections anticovid ne sont pas efficaces.

Dans ces pays champions des vaccins anti-covid, ceux-ci n’ont pas protégé les vaccinés de la maladie, ni empêché les transmissions, ni prévenu les formes graves, ni évité une nouvelle vague d’infections.

Les campagnes de vaccination ont de plus été suivies à chaque fois pendant deux mois ou plus d’une augmentation forte des contaminations et de la mortalité (hécatombe post vaccinale) établissant les records mensuels de nouveaux cas et de morts depuis le début de l’épidémie.

 

 

Catastrophe post vaccinale aux Seychelles

Dans ce petit pays d’environ 100000 habitants les injections anti covid Sinopharm ainsi qu’une version indienne du sérum AstraZeneca ont été administrées à plus de 75% de la population avec des suites franchement délétères.

 

Avant la vaccination débutée en février 2021 les Seychelles recensaient 1243 cas et 3 morts. Six mois après la vaccination, le 2/8/21 elles comptent 18189 cas et 94 morts malgré le confinement et les autres mesures sanitaires qui leur ont été imposées depuis la campagne d’injections anti-covid.

 

Catastrophe post vaccinale en Mongolie

Avant la vaccination débutée le 23 février 2021 la Mongolie avait été épargnée par le Covid et ne recensait que 2723 cas et 2 morts. 5 mois après la vaccination, le 2/8/21 malgré une couverture vaccinale très élevée, supérieure à 65% elle comptabilise 164155 cas et 827 morts.

 

 

 

 

 

 

Catastrophe post vaccinale au Cambodge

Avant la vaccination le Cambodge avait été épargné par l’épidémie et ne recensait aucun mort de Covid. La vaccination a commencé le 7 février 2021. Neuf jours plus tard a été observé le premier décès dont le nombre total atteignait 1442 au 2 aout 2021.

 

Dans ces trois pays, auparavant quasiment indemne de Covid, les injections anti-covid ont exacerbé l’épidémie de manière dramatique

 

Pourquoi les injections anti-covid sont-elles aussi inefficaces ?

Contrairement à ce qui est officiellement raconté, les injections actuelles ne sont pas des vaccins (elles ne contiennent pas d’antigènes viral ni de virus inactivé) mais des injections d’ARN messager. Cette technique n’a jamais été utilisée chez l’homme pour lutter contre des infections et les résultats des essais de phase 3 ne seront pas connus avant 2023. Il s‘agit donc d’un traitement totalement expérimental qui n’aurait jamais dû être commercialisé avant la fin et l’analyse des essais cliniques phase 3 (2023). En population réelle, ils se révèlent trop peu efficaces.

 

L’aggravation dépendante des anticorps[1] [2] [3] [4] peut expliquer les hécatombes post injections

L’explosion précoce des cas et de la mortalité après les campagnes d’injections anti-covid traduit vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants (aggravation dépendante des anticorps ADE) déjà observé dans plusieurs infections virales, notamment le virus de la dengue, et les infections précédentes à coronavirus le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Sa nocivité a été tristement démontrée par la mort de plusieurs centaines d’enfants lors de la catastrophe sanitaire du vaccin Dengvaxia aux Philippines.

L’aggravation dépendante des anticorps (ADEantibody-dependent enhancement) est un large concept qui survient en lien avec certaines infections virales, lors de réinfection ou de primo-infection, en dépit d’une vaccination. Il peut s’agir : d’une « maladie aggravée associée à l’infection (initiale) » (IAEDinfection-associated enhanced disease) ou d’une « maladie aggravée associée à la vaccination » (VAEDvaccine-associated enhanced disease). Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou une faible spécificité de ces anticorps, par exemple lors d’immunité croisée entre deux infections virales.
Ce risque avait été évoqué par l’académie de médecine en janvier 2021[5] : « le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

 

La fuite immunitaire avec l’apparition des variants explique l’incapacité à prévenir les futures rechutes

L’Académie avait averti que la généralisation d’un traitement insuffisamment efficace facilite l’apparition des variants ainsi « au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le Pr Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique dans un article [6] en anglais malheureusement non relayé en France avaient averti : « la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… Au niveau de la population…, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. »

 

Conclusions

L’examen des faits avérés publiés par l’OMS montrent que les injections anti-covid actuelles sont incapables de protéger ceux qui les reçoivent de la maladie, ni des formes graves, ni d’en mourir.

Elles n’empêchent pas non plus la transmission aux contacts. Elles sont inefficaces contre le variant delta et donc incapables de prévenir les récidives des épidémies.

Les campagnes d’injection sont presque constamment suivies par une recrudescence de cas et de morts pendant plus de deux mois.

Comme elles exposent de plus à des complications graves, parfois mortelles comme le montre (entre autres) le site européen chargé de la surveillance des effets secondaires des médicaments dépendant de l’agence européenne, il n’existe aucune justification médicale à les conseiller et encore moins de les imposer directement ou indirectement par l’artifice d’un passe discriminatoire.

 

 

Les irresponsables ne sont pas ceux qui doutent des injections anti-covid expérimentales, mais bien ceux qui veulent les imposer sans attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et refusent de recommander les traitements précoces qui ont fait leurs preuves dans de nombreux pays dont l’Inde.

 

 

[1] Stéphane KORSIA-MEFFRE VACCINS CONTRE LA COVID-19 : DOIT-ON S’INQUIÉTER DU RISQUE DE MALADIE AGGRAVÉE CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES ? 03 novembre 2020

[2] Lee, W.S., Wheatley, A.K., Kent, S.J. et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol 5, 1185–1191 (2020). https://doi.org/10.1038/s41564-020-00789-5

[3] Eroshenko, N., Gill, T., Keaveney, MK et al. Implications de l’amélioration de l’infection dépendante des anticorps pour les contre-mesures du SRAS-CoV-2. Nat Biotechnol 38, 789-791 (2020). https://doi.org/10.1038/s41587-020-0577-1

[4] Ricke DO. Two Different Antibody-Dependent Enhancement (ADE) Risks for SARS-CoV-2 Antibodies. Front Immunol. 2021 Feb 24 ;12 :640093. doi : 10.3389/fimmu.2021.640093. PMID : 33717193 ; PMID : PMC7943455.

[5] Communiqué de l’Académie de médecine : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ? 11/1/21

[6]Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract the Lancet public health 18 février 2021 DOI VOLUME 6, NUMÉRO 4, E199-E200,1 AVRIL 2021 : https://doi.org/10.1016/S2468 2667(21)00036-0

Modèle de plainte si les responsables scolaires ou universitaires insistent

 

 

 

Nom………….

Prénom ……………………

Date et lieu de naissance………………………

Profession……………………………..

Adresse…………………………..

 

 

                                                                       Monsieur le Procureur de la                                                                             République près le Tribunal                                                                              Judiciaire de………………..

 

 

 

 

Le………………………………..

 

 

 

Recommandée avec A.R.

 

OBJET : Plainte pour :

-Complicité de tentative d’empoisonnement (art. 121-7 et 221-5 C.P.)

-Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.)

 

Monsieur le Procureur,

 

J’ai l’honneur de vous exposer les faits suivants.

 

(exposé de la situation que l’on subit. Ex. « le …aout 2021, le Proviseur du Lycée…. a indiqué à mon fils mineur…………………… qu’il ne pourrait pas revenir en septembre s’il n’était pas muni du Pass sanitaire, c’est à dire, s’il n’avait pas reçu les 2 doses au moins d’un des produits promotionnés par les autorités, et appelés faussement « vaccins »)

 

Je considère que cette attitude est hautement répréhensible pénalement pour les raisons suivantes :

 

I- LES FAITS :

 

Courant 2008, un rapport de l’UNESCO de 256 pages (disponible sur UNESDOC) évoque la particularité troublante de certains vaccins, contenant des nano-puces et des cristaux liquides pouvant influer sur le comportement humain, sans souci d’éthique politique.  Si l’on s’en réfère aux déclarations même des « décideurs » et de leurs « conseillers », l’objectif de l’opération pourrait bien être d’inoculer aux populations un vaccin très spécial. Ainsi la peur créée par la « pandémie »  aurait pour objectif de rabattre les populations vers un « vaccin » contre lequel l’UNESCO met en garde et dont on sait qu’il comportera en réalité des nano-puces, vecteurs d’identification biométriques, et des cristaux liquides.

 

Lors de la conférence TED 2010, Bill Gates indique espérer réduire la population mondiale « avec de bons résultats sur les nouveaux vaccins »

Courant 2017, après que Bill Gates ait versé des subventions importantes à l’O.M.S., (organisme créé par la famille Rockefeller) la faisant ainsi devenir progressivement, une organisation privée, Tedros Adhanom Ghebreyesus est nommé à sa tête.

 

Ce personnage fut membre du bureau politique du Tigray People Liberation Front (TPLF), une organisation inscrite dans la liste des organisations terroristes du U.S. Homeland Security. Il fut Ministre de la Santé en Ethiopie de 2005 à 2012, et est membre du Conseil d’administration de l’alliance pour la vaccination (GAVI) qui œuvre au profit de l’industrie pharmaceutique pour imposer la multi-vaccination avec des puces RFID à la terre entière.

 

On comprend aujourd’hui, pourquoi l’O.M.S. préconisait de ne pas utiliser d’anti-inflammatoire contre le Covid 19, et n’a cessé d’affirmer qu’il n’existait pas de traitement, mais « qu’un vaccin est à l’étude… »

 

Le 23 février 2017, Monsieur Bernard CAZENEUVE, premier ministre, prononce le discours à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 à WUHAN, (République Populaire Chinoise), en présence,

notamment, du mari (Président de l’Inserm) de Madame Agnès BUZIN, elle même à l’époque, présidente de la Haute Autorité de Santé (H.A.S.)

 

Le 21 septembre 2018, la société Microsoft Technology  Licensing (fondée par Bill Gates) dépose aux USA un brevet intitulé CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA. Ce brevet ne sera publié que courant mars 2020 (WO2020/060606A1).

 

Il concerne des nanoparticules qui auraient la faculté, lorsqu’elles sont introduites  dans le corps humain par des injections, d’être  identifiées et localisées par n’importe quel ordinateur.

 

Courant 2018, la Banque mondiale WITS (World integrated Trade Solution) publie sur son site, des millions de commandes émanant de nombreux pays, pour lesquelles on lit « : COVID-19 Diagnostic-Test instruments and apparatus« 

 

Dès que cette information a filtrée, la mention « Covid-19 » a été effacée, et devant l’indignation sur les réseaux sociaux, la WITS a déclaré que cette appellation était une coïncidence…

 

A l’automne 2019, a lieu aux U.S.A., sous la présidence du milliardaire, fondateur de la société Microsoft Technology  Licensing, et finançant une grande partie du budget de l’O.M.S., une simulation d’une pandémie qui serait due à un coronavirus, sur la base d’un roman écrit en 1981 : « The eyes of darkness ». Cette simulation portait le nom de « Event201 ».

 

Lors de la conférence ID2020 Sommet 2019, Bill Gates fait la promotion du vaccin contenant le « marqueur » à nano-puce électronique, destiné à « marquer » et à contrôler 7 milliards d’humains. (mais il ne fait pas vacciner ses enfants).

 

Les premiers cas de Covid 19 seraient apparus au marché de Wuhan, à 180m. du laboratoire inauguré par M. CAZENEUVE.

 

 

1ères anomalies et contradictions

 

On commence à en parler en France en fin décembre 2019, et en même temps, l’hydroxychloroquine est brusquement classée dans les substances interdites, par un arrêté ministériel signé en janvier  2020 par Mme BUZYN, dont le mari (encore lui) fut nommé en Octobre 2019, « Conseiller d’Etat en service extraordinaire », et quitta ses fonctions au moment du 1er déconfinement. (« La Dépêche.fr » 22 mai 2020).  N.B. : Pendant le confinement, presque tous les recours déposés au Conseil d’Etat par ceux qui critiquaient les textes liberticides, ou réclamaient simplement que l’on fasse connaître les thérapeutiques existantes, ont été rejetés…

 

Début mars, les scientifiques nous expliquaient sur les media, que le masque ne servait à rien et que l’idée d’un confinement aurait plus d’inconvénients que d’avantages.

 

En réalité, le recul, et les déclarations occultées de nombreux scientifiques, nous permettent d’affirmer  :

 

-que ce jour là ils avaient raison,

 

-mais qu’une pensée unique s’est, juste après,  brusquement introduite dans tous les milieux officiels et dans les media, ce qui fait que le discours officiel va brusquement changer.

 

15 jours plus tard, l’on va confiner,  et, curieusement, alors que des traitements de cette nouvelle grippe  étaient utilisés avec succès, personne n’en parle :

 

  1. a) l’hydroxychloroquine, préconisée par le Pr. RAOULT, et curieusement interdite dès janvier 2020, alors que ce produit était connu et largement utilisé depuis 70 ans. Courant avril 2021, l’on apprend que le Sénégal qui, dès le début, a suivi le protocole du Pr. RAOULT a recensé 61 morts par million d’habitants, soit 23 fois moins que la France.

 

  1. b) La Vitamine C en perfusion et à forte dose (100 % d’efficacité et sans effets indésirables sérieux dans les services des Pr. MARIK et VARON aux U.S.A.),

Par courrier du 11 mars 2020, le Dr. LABREZE, médecin dans les Bouches du Rhône, en informe M. le Ministre de la Santé, et ajoute, concernant les USA :

« Le Pr MARIK a traité deux groupes de 47 patients atteints d’une pathologie infectieuse grave (voire critique),  pris en charge dans son service de réanimation.
Il y a eu 19 décès dans le groupe pris en charge avec les méthodes aujourd’hui utilisées dans tous les centres hospitaliers, y compris dans les CHU français .
Dans le groupe  traité avec des injections de vitamine C, d’hydrocortisone et de  thiamine (Vit B1), aucun patient n’est décédé des conséquences de son infection !

Nous parlons ici de 19 décès versus zéro décès !!

Compte tenu du fait que la rigueur professionnelle et scientifique des auteurs de cette  publication ne peut être raisonnablement mise en doute, ne pas agir immédiatement, sur la base de cette information, alors que plus de quatre mille patients sont actuellement en services de réanimation,  représenterait, à mon sens, une négligence grave et, très clairement, une mise en danger de la vie de ces patients, ou de ceux dont l’état de santé actuel pourrait se dégrader très rapidement, faute d’avoir pu bénéficier des traitements que j’ai portés et porte à nouveau à votre connaissance… »

« Dans les circonstances actuelles, faisant craindre le développement d’une épidémie liée au coronavirus et la mort d’un nombre important de nos concitoyens, quel que soit d’ailleurs leur état de santé antérieur et l’existence ou non de comorbidités, il me semble important et urgent de porter à votre connaissance l’existence de ressources thérapeutiques validées mais encore insuffisamment connues de la communauté médicale, notamment dans notre pays….

Je pense qu’une large diffusion de ces informations apparaît aujourd’hui comme une action prioritaire de santé publique, puisqu’elle va donner aux équipes médicales hospitalières particulièrement démunies face aux formes sévères de COVID-19, une ressource thérapeutique particulièrement efficace qui leur permettra indiscutablement de sauver des vies».

Fin mars, le Pr MARIK, de la Eastern Virginia Medical School, écrit :

« …Nous avons traité 4 patients avec un syndrome de détresse respiratoire aigüe lié au COVID et tous se sont améliorés dans les 6 à 12h ayant suivi l’instauration du traitement.

L’intubation a été évitée pour l’un d’entre eux et les 3 autres sont maintenant sevrés.

Le Dr VARON, Président du conseil d’administration de l’United General Hospital et médecin chef et responsable du département des soins intensifs, a, à ce jour, traité 14 patients atteints du COVID avec notre protocole. Il a rapporté également une amélioration rapide dans les 12 heures qui ont suivi l’administration du traitement.

Six de ces patients ont été extubés dans les 4 jours, et tous les autres sont aujourd’hui sevrés….

La vitamine C a été intégrée dans l’algorithme de traitement du COVID de l’Université du Wisconsin. 

Nous croyons que l’utilisation de notre protocole va sauver des vies. Et, ce qui est important également, c’est qu’elle va permettre d’éviter l’intubation pour un grand nombre de patients, écourtera le recours à une ventilation assistée lorsqu’elle aura été mise en œuvre, libérant ainsi ces équipements essentiels qui pourront ainsi être utilisés pour d’autres patients. La vitamine C est bon marché, facilement disponible et totalement dépourvue d’effets secondaires… »

Le Pr. VARON indique, le 13 avril 2020 :

« Notre succès avec la combinaison thérapeutique est incroyable. Aujourd’hui nous avons traité plus de 25 patients à l’United Memorial Medical Center de Houston, et pas un seul n’a dû être intubé. Tous étaient atteints d’une forme sévère de pneumopathie due au Covid 19, et furent rapidement guéris par l’acide ascorbique, la Thiamine, des stéroïdes, et de l’Heparin. Nous avons aussi ajouté l’hydroxychloroquine et l’azythromicine à ces patients… »

N.B. Le Pr. J. VARON fait partie des scientifiques nationalement connus aux U.S.A.

Il enseigne au Texas, et au Mexique.

Il totalise plus de 400 publications scientifiques et a publié une dizaine d’ouvrages.

Le Ministre de la Santé a reçu toutes ces informations.

 

Devant l’absence de réaction du Ministre de la Santé, un groupe de médecins saisit 2 fois le Conseil d’Etat, en vain.

 

  1. c) Artemisia annua utilisée avec succès également en Afrique et à Madagascar);

En mars 2021, Madagascar qui totalise environ 27.000.000 d’habitants, annonçait moins de 400 décès du Covid depuis le début de l’épidémie…

 

  1. d) Dans le courant de l’année 2020, l’on apprenait également que l’Ivermectine, médicament utilisé depuis des décennies, était très efficace concernant cette pathologie. Curieusement, ce médicament avait été, lui aussi, interdit : tout médecin le prescrivant serait poursuivi devant le Conseil de l’Ordre.

 

Parallèlement,  dans Paris-Match, du  9 au 15 av. 2020, le Pr. BRECHOT, ancien Directeur de l’institut Pasteur, Président du Global Virus Network, déclarait « …Aucun vaccin fiable n’a été mis au point contre un coronavirus… »

 

 

Ainsi, il devenait de plus en plus clair que l’objectif était :

 

-De faire croire que la maladie risquait de décimer tout le monde, en manipulant les chiffres,

-De faire croire qu’il n’existait aucun traitement

-De faire croire que seul le vaccin serait salvateur.

 

La Manipulation des chiffres :

 

Le Secrétaire général des Nations Unies monsieur Antonio GUTERRES déclarait publiquement :

«… Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adoptés des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non gouvernementales, des défenseurs du droit humain, des journalistes, des avocats, des militants, des  professionnels de la santé, ont fait l’objet d’arrestations, de poursuites, et des mesures d’intimidations et de surveillances pour avoir critiqué les mesures ou le manque de mesures…, les restrictions servent d’excuse pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques, l’accès à   l’information vitale a été entravé, tandis que la désinformation mortelle a été amplifiée, y compris par certains dirigeants…»

 

S’il est incontestable qu’il existe un virus (sars-cov 2), toutefois il a été volontairement surévalué dans sa dangerosité « pour établir la peur » et les restrictions sur les droits fondamentaux pour la population, tel que le révèle le courrier du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY publié dans « The Lancet » :

Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract § 3.

«… Hence, it is time to abandon fear based approaches based on seemingly haphazard stop-start generalized confinement as the main response to the pandemic»  Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021

https://doi.org/10.1016/S24682667(21)00036-0

 

Il est remarqué que, partout dans le monde, le taux de mortalité lié au covid-19 a été purement fabriqué artificiellement en y incluant toutes les pathologies à son compte ; ainsi en France, à de multiples reprises, le président de la commission des affaires sociales, commission permanente de l’Assemblée nationale, a demandé au ministre de la santé :

« …je ne reviens pas sur la question polémique du masque et la question de Leprus, que pouvez-vous me dire sur la surmortalité invisible qui est occulté par le covid-19, je pense au cancer, aux maladies cardiovasculaires et autres, et on a des certificats de décès que j’ai pu constater dans la mairie où j’appartiens, à savoir des personnes très âgées qui sont décédées marquées covid-19, or ces patients n’ont jamais eu le covid-19, c’est le médecin qui a marqué covid-19, on ne sait pas pourquoi, mais il y a une surmortalité qui existe dans les certificats médicaux, j’ai posé la question à monsieur Salomon « Jérôme Salomon, le ‘Monsieur coronavirus’ du gouvernement», mais il m’a dit qu’il regarderait ça ? ».

 

Il est clairement établi la fabrication de faux certificat de décès avec la complicité de certaines personnes au nom du covid-19 ; par ailleurs, la grippe n’existe plus en France, le taux de mortalité étant de 0 ; ainsi toutes les personnes décédées de cancer, de problème pulmonaire, de vieillesse ou d’autres pathologies, sont déclarées covid-19.

Il n’y a pas lieu de s’étendre sur l’interprétation des« sur-hospitalisations » invisibles liées au covid-19, la France employant le même schéma de mensonges, en modifiant la norme régissant la réanimation : « lits pour accueillir des patients avec des défaillances multi-organiques, nécessitant une assistance respiratoire» ré-exprimée depuis le covid-19″.

 

Ainsi, a été gonflé artificiellement le nombre de personnes hospitalisées en réanimation pour covid-19. Prenons cet exemple : une personne atteinte de septicémie se retrouve en surveillance continue, est-elle pour autant en réanimation atteinte du covid-19 justifiant une surcharge hospitalière covid-19 ? En France : oui!

 

L’Institut    National    de    la    Statistique    et    des    Études    Économiques    montre    une    faible   surmortalité   en   2020   en   dehors   des   périodes   de   confinement.

 

Selon les données de l’Insee, statistiques de l’Etat Civil, le nombre  de décès moyen par jour en France était de :

-1.863 en Février 2018

-1.994 en février 2019

-1.772 en février 2020

 

Les autorités de Santé Publique avaient parfaitement connaissance de ces chiffres démontrant que la gravité de l’épidémie n’existait que sur les grands médias qui se contentaient de véhiculer ce que leur disaient les porte-paroles des autorités.

 

 

 

 

II- LES INFRACTIONS PENALES :

 

1°) Complicité de tentative d’empoisonnement : (art. 221-5  C. Pénal)

 

Dès le début de la vaccination, de nombreuses voix  se sont élevées, provenant de scientifiques du monde entier (Docteur Alexandra Henrion-Caude, Docteur Sheri Tenpeny, Professeur RAOULT, docteur Eric MENAT, Dr. AGRET etc…) indiquant :

 

  • Que les contrats signés entre la commission européenne et les laboratoires Pfeizer, Moderna, Astra Zenecha contenaient d’étranges dispositions par lesquelles :
  • Les parties reconnaissent ne rien savoir sur l’efficacité des produits,
  • Les parties reconnaissent ignorer les effets indésirables à long terme,
  • En cas d’effets indésirables, les laboratoires bénéficient d’une exonération de responsabilité.

 

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres médecins ont voulu attirer l’attention des pouvoirs publics et des médias sur le fait que les produits qualifiés de vaccins ne correspondaient pas du tout à la définition classique du vaccin.

En effet, un vaccin est un produit contenant un virus inactivé ou atténué ayant pour but de créer des anticorps.

Les produits actuels ne répondent pas du tout à cette définition, et sont en réalité des médicaments de thérapie génique, lesquels médicaments seront injectés à des gens bien portants.

 

Les scientifiques précités s’élèvent contre le fait que tous les produits qualifiés de vaccins anticovid n’ont qu’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché puisqu’ils  sont tous en phase 3 d’essai clinique. Cette phase 3 ne se terminera qu’en 2022 ou 2023.

 

Les scientifiques précités ont tenté d’alerter les pouvoir publics et les médias sur le fait que les essais effectués sur des animaux avaient mis en évidence le fait que les éléments OGM injectés allaient déclencher une protection éventuelle contre le covid19,  mais allaient parallèlement neutraliser tous les anticorps naturels de l’être vivant  qui n’aura ainsi plus la moindre défense immunitaire contre tous les autres virus.

 

Ils indiquent  que lorsqu’un sujet « vacciné » entrera en contact avec n’importe lequel autre virus grippal, ou virus de la rougeole ou de la coqueluche, etc…, même s’il a reçu des vaccins classiques antérieurement, ses défenses immunitaires étant totalement neutralisées, la guérison ne sera pas possible et le nombre de décès risque d’être impressionnant dès l’entrée de l’hiver 2021.

 

Déjà, le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), indiquait qu’au 21 mai 2021, il y avait déjà 37.000 cas d’effets indésirables dont 9.000 graves et environ 700 décès.

 

La base de données Européenne d’effets indésirables indique début juin 2021 1.354.336 effets indésirables dont plus de 600.000 graves et 13.867 décès !

 

         NB : Les organismes de pharmacovigilance de nombreux pays, dont la France, indiquent n’avoir connaissance que de 10 % des effets  indésirables…

 

         Les chiffres réels sont donc certainement à multiplier par 10….

 

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres indiquent que, outre les cas de thromboses survenus immédiatement après l’injection ou dans les 15 jours qui suivent, les produits vont entraîner la stérilité de nombreux êtres et déclencher de nombreuses fausses couches chez les femmes enceintes.

 

 

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias,  tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison. Les français sont tellement manipulés et induits en erreur qu’ils n’ont même pas remarqué que les premières vaccinations en Europe qui ont eu lieu en Grande Bretagne ont été suivies presque immédiatement par l’apparition du variant anglais.

 

Ainsi, de nombreux médecins redoutent qu’à l’automne, les effets indésirables graves soient faussement attribués  à un variant, et  que la France ne revive une 4ème vague pour laquelle tant les autorités que les médias se garderont bien de s’interroger sur la nocivité de ce produit et le lien de causalité, même si les personnes hospitalisées seront quasiment toutes des personnes ayant reçu des injections.

 

J’estime que cette opération visant soi-disant à nous protéger d’un virus qui n’a occasionné que 0,035 % de décès parmi les personnes contaminées, soit un des taux les plus faibles  parmi toutes les épidémies contemporaines, n’est qu’en fait une vaste tentative d’empoisonnement.

 

Je m’interroge sur les véritables motivations de cette opération et estime qu’en ayant interdit toutes les thérapeutiques, en ayant gonflé artificiellement les chiffres des soi-disant morts du virus, et en tentant de nous convaincre de nous faire injecter un produit qui à long terme peut être mortel, les français se trouvent face à une véritable tentative collective d’empoisonnement.

 

Monsieur Dupont Moretti, Ministre de la Justice, déclarait lui-même récemment « On ne va pas obliger les détenus à se  vacciner, car les détenus ne sont quand même pas des cobayes ».

 

Fin Mai 2021, le Dr. Geert Van Den Bossche, pourtant l’un des créateurs de vaccins les plus réputés dans le monde, a adressé une lettre ouverte à des milliers de professionnels de santé, indiquant qu’il fallait d’urgence arrêter ce programme de vaccinations.

Il y  lieu de préciser que Geert Van den Bossche a été :

-biologiste au sein du laboratoire GSK,

-directeur des programmes de recherche des adjuvants chez Novartis,

-directeur de projets de vaccins contre la grippe au sein de la fondation Bill et Melinda Gates,

-agent principal de santé mondiale et découverte de vaccins chez Gavi

etc…

 

Toutes ces informations sont connues des autorités de santé depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, ainsi que des responsables des administrations qui ont été inondées de courriers.

 

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité apparait de plus en plus.

 

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes dont ils ont eu connaissance.

 

Ces informations ont été transmises au          Recteur d’Académie,

                                                                       Président de l’Université

                                                                       Proviseur du Lycée

                                                                       Directeur du Collège…..

 

Ainsi, en connaissance de cause, cette personne tente de

-contraindre mon fils mineur à se faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

-me contraindre à me faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

 

J’estime qu’il y a de la part de cette personne, une volonté de « ne pas savoir » ,et de participer à une tentative d’empoisonnement collectif, d’autant plus que l’efficacité protectrice de ces produits est de plus en plus douteuse :

 

En Israel, l’un des pays les plus vaccinés au monde, j’ai appris que plus de 50% des personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » étaient correctement vaccinées, et qu’il existe une surmortalité de 20% chez les jeunes par rapport à l’année précédente.

 

2°) Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.) :

 

Le fonctionnaire qui

m’a empêché

a empêché mon fils

 

d’entrer dans l’établissement scolaire, en sachant que cette décision empêche tout élève ou étudiant de continuer un cursus d’études normal, constatant que la consigne qui lui a été donnée par sa hiérarchie, est contraire aux conventions internationales que la France a ratifiées, et notamment la Convention d’Oviedo, constatant que depuis le procès de Nuremberg, le procès de Klaus BARBIE, ou le procès de Maurice Papon, s’est dessinée une Jurisprudence indiquant que le fonctionnaire destinataire d’une consigne illégitime, a le devoir de désobéir, se devait d’ignorer cette consigne, et de permettre l’accès à l’établissement d’une personne n’ayant pas reçu le produit qualifié de « vaccin ».

 

Faute d’ignorer ce principe, les accusés du procès de Nuremberg ayant tous « obéi aux ordres » n’auraient jamais pu être condamnés.

 

Ainsi Monsieur le    Recteur d’Académie,         

                              Président de l’Université

                              Proviseur du Lycée

                              Directeur du Collège…..

 

 

s’est rendu coupable d’un abus d’autorité, dans la mesure où il a refusé l’exercice d’un droit accordé par la loi, à savoir le droit pour tout citoyen, de fréquenter un établissement d’enseignement, au motif que ce citoyen n’a pas reçu les injections prévues par le plan vaccinal, ce qui rend cette décisions hautement discriminatoire.

 

EN CONSEQUENCE,

 

J’ai l’honneur, par la présente de déposer plainte entre vos mains contre :

Monsieur le Recteur d’Académie,

                    Président de l’Université

                    Proviseur du Lycée

                    Directeur du Collège…..

 

pour :           -Complicité de tentative d’empoisonnement, faits prévus par les                 art. 121-7 et 221-5 C.P.

                  -Abus d’autorité, faits prévis par l’art. 432-7 C.P.

 

Je vous prie de croire, Monsieur le Procureur, à l’assurance de ma Considération.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                      

 

 

Non, le sacrifice des enfants au Dieu « vaccin » expérimental ne sauvera personne !

 

 

 

Devant les interrogations de nombreuses familles, des juristes ont accepté de partager ce modèle de lettre de réponse aux injonctions adressées actuellement, via des directions d’école ou d’universités à des parents perdus devant les annonces contradictoires.

A ce jour  2 aout 2021, aucune obligation n’est votée et énormément de problèmes légaux se posent au delà de l’éthique médicale et de la médecine proprement dite. Des plaintes de toutes sortes sont déposées et il est très difficile de prévoir l’avenir même proche. Dans cette période d’incertitudes il faut garder son sang froid et se garder de se précipiter.

Nous remercions les juristes de leur aide.

 

 

Modèle de lettre de réponse aux autorités françaises scolaires ou universitaires pour les parents incités (parfois avec menaces) à faire « vacciner / injecter » leurs enfants avant la rentrée scolaire ou universitaire

 

 

 

 

EXPLICATIONS PRÉALABLES :

 

A la suite de la réception par des parents d’élèves ou d’étudiants de lettres envoyées par les autorités scolaires ou universitaires évoquant une prétendue obligation « vaccinale » ou plus exactement une prétendue obligation d’injection de « substances géniques en essais cliniques »,  une équipe d’Avocats et de Juristes vous propose ce modèle de courrier de réponse à ces « menaces » non fondées juridiquement.

 

Important : N’anticipez pas,  attendez d’être « menacés » à ce sujet par l’établissement scolaire ou universitaire avant d’envoyer ce courrier.

 

Cette lettre est à adresser à tout directeur d’établissement scolaire ou Président d’Université ou Recteur d’Académie qui imposerait aux étudiants/lycéens/collégiens/écoliers la vaccination Covid19 pour la rentrée scolaire 2021/2022).

 

Il ne vous reste plus qu’à adapter le courrier en utilisant les mentions adaptées parmi celles proposées et séparées d’un « / ».

 

Le modèle est établi sur base du droit français. Toutefois, les parents dans les pays limitrophes et francophones (Belgique, Luxembourg, Suisse) peuvent s’en inspirer et conserver en tout ou en partie les références aux dispositions du droit de l’Union européenne (Belgique, Luxembourg) et du droit supranational (Conseil de l’Europe et conventions internationales).


Vous pouvez bien entendu soumettre ce document à votre avocat ou à des associations constituées, pour l’adapter à votre droit interne.

 

Si une réunion est organisée dans l’établissement scolaire, n’hésitez pas à demander à un représentant du corps médical (notamment les médecins des associations « Reinfo Covid », « Laissons les médecins prescrire », etc.) de vous accompagner pour donner une caution scientifique.

 

La fin du document contient (en police de caractères rouge pour l’instant) un paragraphe spécifique pour les situations où l’élève suit une filière professionnelle orientée vers l’aide à la personne. Supprimez bien sûr ce paragraphe s’il ne correspond pas à votre situation spécifique.

 

Enfin, si vous êtes majeur et que vous écrivez ce courrier pour vous-même (étudiants de 18 ans et +), il vous suffira de modifier la formulation en conséquence.

 

Dans la mesure du possible, il est conseillé que les DEUX titulaires de l’autorité parentale signent ce document lorsque l’élève est mineur.

 

 

 

 

Madame,
Monsieur,

Nous sommes les parents et civilement responsables de notre fils/fille mineur(e) ………………………………
…………………………………..

Dans votre courrier/message du ………….… (date) vous nous informiez de votre souhait que notre enfant soit vacciné(e) d’ici la rentrée scolaire.

Votre demande suscite toutefois de notre côté de nombreuses interrogations, à propos desquelles nous aimerions nous entretenir avec vous, éventuellement lors d’une réunion qui rassemblerait l’ensemble des parents intéressés.

Nous serions en effet désireux de savoir :

Ceci étant posé, comment comptez-vous concilier votre demande de vaccination obligatoire avec les principes issus des textes suivants, présentés dans un ordre décroissant de force obligatoire au regard de la hiérarchie des normes juridiques :

 

Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une « urgence » qui resterait pour le surplus à démontrer.

 

 

  • Si, après injection des produits, notre enfant présente des effets secondaires graves ou décède, êtes-vous en mesure d’en supporter, tant personnellement qu’au nom de l’établissement que vous dirigez, les conséquences ? En effet, les fabricants des produits injectés ayant obtenu de l’Union européenne une immunité civile totale, l’imposition par vos soins d’un produit en phrase d’essais cliniques pourrait avoir des conséquences potentiellement dramatiques.

(Pour les enfants inscrits dans des filières professionnelles de service à la personne, et dont les enfants sont soudain assimilés à du personnel soignant pour justifier la pression exercée, il est conseillé d’ajouter le paragraphe suivant, pour l’instant en rouge) :

  • Enfin, sur base de quelle disposition procédez-vous à l’assimilation d’un élève au « personnel soignant », même dans l’hypothèse où des stages sont organisés de façon ponctuelle pendant l’année scolaire ? Nous ne voyons pas ce qui permet une telle assimilation.

Nous restons bien sûr à votre entière écoute pour évoquer ce sujet ensemble, tout en attirant à nouveau votre attention sur la gravité particulière des mesures à caractère essentiellement politique annoncées et non encore inscrites dans le marbre de la loi eu égard au nombre de dispositions normatives supérieures que ces obligations violeraient.

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées et préoccupées.

 

(Signatures)

 

 

 

 

 

 

GAULOIS REFRACTAIRES ET OBLIGATION « VACCINALE »

 

Les sans-dents et les riens répondent aux journaleux de la secte Covidiste

Un de nos collègues fidèle à Hippocrate, dont les patients covid sont en vie grâce aux traitements précoces, nous conseille de partager sa conclusion : « Bon vent à toutes et tous et faites savoir qu’entre 40 euros d’un traitement inoffensif et le cout du réa et des obsèques, il n’y a pas photo ». Merci Bernard.

Le jour des règlements de comptes arrive déjà en Inde. Pourquoi notre ministre de la Santé et notre premier ministre ne s’inquiètent-ils pas du sort de la responsable de l’OMS indienne mise en accusation ? Les négationnistes et censeurs des traitements précoces responsables de milliers de morts par absence de traitements adaptés et peu chers, devront rendre des comptes.

Le journal l’observateur du Maroc et de l’Afrique informe que[1] le 25 mai, l’Indian Bar Association (IBA)[2] a intenté une action en justice contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’OMS en Inde, l’accusant « d’avoir causé la mort de citoyens indiens, en les trompant sur l’ivermectine. »

Le 10 mai 2021 elle a diffusé un tweet trompeur contre l’utilisation de l’Ivermectine entraînant, le lendemain, dans l’État du Tamil Nadu le retrait de l’ivermectine du protocole de soins recommandé par le ministère de la.  Si le Dr Soumya Swaminathan était déclarée coupable, alors elle pourrait être condamnée à la mort ou à la prison à vie.

L’avocate Dipali Ojha, principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes Le mémoire accuse le Dr Swaminathan d’avoir commis une faute en utilisant sa position d’autorité sanitaire pour servir les intérêts particuliers de la lucrative industrie des vaccins.

 

Invoquer l’autorité ne suffit pas toujours pour se disculper

L’argument classique des criminels nazis pour récuser leur responsabilité personnelle « je n’ai fait qu’exécuter les ordres » suffira-t-il à la juger « responsable mais pas coupable » ? Lorsqu’on rappelle les procès de Nuremberg de 1947 contre les médecins nazis ayant fait des expériences en particulier sur les vaccins, on nous rétorque cela est « dépassé et sans valeur juridique ». Dépassé et depuis quand et pourquoi ? En tous cas, des médecins furent pendus ainsi qu’un journaliste considéré comme complice de leurs expériences médicales criminelles en particulier vaccinales.

Quant à la valeur juridique du code de Nuremberg nié par certains avocats probablement débordés, les conventions régulières de l’Association Médicale Mondiale réunissant les médecins du monde entier ont confirmé la valeur éthique du code de Nuremberg et conforté sa valeur juridique internationale, opposable aux états, lors de la conférence d’Oviedo.[3][4]

LA CONVENTION D’OVIEDO EST JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTE pour tous les états signataires.

 

Lisez l’excellente analyse juridique d’un professeur de Perpignan pour vous en persuader

http://www.revuedlf.com/droit-administratif/sur-la-liceite-dune-obligation-vaccinale-anti-covid/? fbclid=IwAR1aXilFWmLyBOfWlIdx9WKAAnLxF9hlvF7NwpBYnv1Tskt1CU6hz4N0LuM

 

 L’exemple médicolégal du vaccin contre la dengue

Récemment les médecins et politiques philippins qui ont favorisé une publicité mensongère et organisé une vaste campagne de vaccination contre la dengue, (dengvaxia) à l’origine de nombreux décès d’enfants ont perdu leur poste, ruiné leur carrière et certains sont en procès pénal.[5] L’immunité du pouvoir n’est jamais garantie. Nos politiques, médecins et ministres actuels qui ont, parait-il, peur des procès ne devraient pas s’exposer aussi imprudemment.

 

Les vaccins anticovid ne sont commercialisés que parce que les dirigeants nient les traitements précoces et que les médias se soumettent à la doxa officielle

Place aux traitements précoces et stop à l’absurdie des injections géniques en essai

L’absurde situation actuelle en France est due à l’entêtement du ministre de la Santé refusant de reconnaitre les traitements précoces efficaces utilisés dans plus de la moitié du monde, et la complicité agressive de journalistes ou éditorialistes.

 

La propagande a remplacé le journalisme

Des journalistes transformés en propagandistes du pouvoir tancent les réfractaires aux pseudovaccins, sans se demander une seconde pourquoi, les soignants et de plus en plus de sportifs de haut niveau refusent cette injection expérimentale qui, compte tenu de leur âge jeune, ne peut leur apporter aucun bénéfice personnel.

Les envolées lyriques d’une avocate sur Cnews chez Pascal Praud le 29 juin 2021 laissent pantois.  « Comment peut-on refuser le vaccin ? » s’égosille -t-elle ? En évaluant objectivement sa balance avantage/risque sa genèse éclair, ses essais bâclés, pas terminés, ses composés, ses effets réels, ses conséquences dont les 16000 morts européens recensés après cette vaccination juste pour avoir fait confiance aux médias serviles. 16000 malheureuses coïncidences ?  Statistiques de l’agence européenne du médicament EUDRAVIGILANCE déjà traitées de complotistes par des lecteurs peu attentifs !

Les pseudo vaccins anticovid ne sont justement pas des vaccins, mais des drogues expérimentales en essai thérapeutique phase 3 et ce au minimum jusqu’en 2023.

Utiliser Pasteur comme caution est lui faire injure.

 

Les soignants savent que ces injections sont en essai

Comment faire grief aux personnels de santé de leur réticence au pseudovaccin Covid et soutenir une obligation qui n’empêche pas ni d’attraper ni de transmettre la maladie, ni les formes graves contrairement à la propagande ?[6] Beaucoup se sont retrouvés en arrêt de travail sans comprendre, puisqu’on leur avait promis que le « vaccin » était testé, efficace et sans danger. La HAS a recommandé d’étaler les vaccinations et de ne pas injecter en même temps tout le personnel d’un même service de service, pour ne pas risquer l’arrêt du service. Et certains en sont morts comme l’interne en médecine de Nantes en parfait état de santé avant sa vaccination qu’il pensait altruiste. Un interne parisien a suivi.

 SOIGNANTS PAS COBAYES

Nous n’avons pas fait médecine ou choisi d’être infirmière, aide-soignante, kinésithérapeutes, orthophonistes ou infirmier auprès des personnes âgées en EHPAD pour servir de cobayes. Et en 2021, les journalistes osent faire la leçon de morale à ceux qui depuis longtemps et malgré la crise covid subissent humiliations et indifférence et la poursuite de la destruction de notre système hospitalier dans l’indifférence des ces même journalistes.

 

LES EFFETS SECONDAIRES SE MULTIPLIENT DANS LE SILENCE DES MEDIAS ET UNE CENSURE FEROCE avec L’INTERDICTION FORMELLE AUX SOIGNANTS DE PARLER

Les statisticiens de Cambridge indiquent dans the Times que la mortalité (infection fatality rate IFR) ne dépasse pas 0.085% des contaminés du COVID19 Autrement dit 99.915 % des personnes contaminés par le coronavirus n’en décèdent pas. Et l’expérience de l’Inde prouve que ce très minime % peut encore être abaissé si on n’interdit pas les traitements efficaces simples peu chers comme l’ivermectine.

Quand Claude Posternak (IFOP) vient dire que 99 % des vaccinés ne décèderont pas du virus, on le croit puisque les non vaccinés   sont déjà dans cette situation sans courir les risques des pseudo vaccins comme cette fille paralysée après vaccination, victime des illusions de ses parents médecins.

Les effets secondaires précoces sont bien là et on en voit monter régulièrement le nombre en consultant les bases de données officielles comme EUDRAVIGILANCE pour l’EMA (agence européenne du médicament) ou le site officiel VAERS pour les effets secondaires américains ou le MHRA pour la Grande-Bretagne. Pourquoi l’ANSM agence française du médicament vient-elle de bloquer la consultation des effets délétères dont les décès sur son site ? Transparence quand tu nous tiens …

 

Pourquoi tant de vanité, d’arrogance, de certitudes et de tant d’incompétence technique ?

Le syndrome des « bons opposants » ne les sauvera pas de la vindicte populaire

Comment ces journalistes ou éditorialistes osent-ils se permettre une opinion tranchée, voire violente, prêchant même la discrimination, pour défendre ces drogues expérimentales dont les premiers résultats des essais phase 3 n’arriveront qu’en 2023 ?

 

Comment la journaliste Apolline de Malherbe [7] ce 30 juin a-t-elle osé traiter les non vaccinés de « brebis galeuses » ? Savait-elle que l’Ivermectine, qui guérit la grande majorité des patients atteints de Covid, est le traitement de la gale ? Humour noir qui gratte un peu…

« Non-vaccinés récalcitrants : notre patience a des limites », Caroline Fourest, le 25/06/2021, Marianne : la médecine s’apprend-elle en moins de 18 mois puisque tous ces journalistes ont des idées bien arrêtées sur ce qui est bien pour le bon peuple incompétent, les sans dents de Hollande, ou les riens de Macron, et même le personnel soignant aussi ignorant probablement.

Un journaliste de BFM passe les bornes et recueille une volée de bois vert sur les RS : « En 2020, sur la Chine endeuillée, il tenait des propos racistes : « Ils enterrent des Pokémons ». Emmanuel Le Chypre, journaliste de BFMTV va plus loin cette fois : « On vous vaccinera de force. Je vous ferai amener par deux policiers au centre de vaccination. Parfaitement. Je suis très sérieux. » Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut ! »

Quelles compétences sur la sécurité et l’efficacité des substances, sur les contrindications éventuelles, la balance bénéfices-risques ? Ces propos sont dignes des pires totalitarismes du passé.  Trop, c’est trop, des internautes l’ont signalé au CSA « pour atteinte à la dignité humaine voire « incitation à la haine, à la violence et à la ségrégation ». Même ses collègues ne tolèrent pas : « à la suite des propos honteux d’Emmanuel Lechypre, je viens de saisir le conseil de déontologie journalistique et de médiation. Notre profession doit impérativement réagir à ce genre de dérive ».[8]

 Une manifestation est prévue le 3 juillet 2021 pour dénoncer cette dérive.

 

 

NI DROITE NI GAUCHE CONTRE LA DICTATURE SANITAIRE

Et les pseudo-polémistes de droite joignent leurs imprécations à celles des ayatollahs de gauche et du ministre Véran.

Elisabeth Lévy rédactrice en chef de Causeur écrit : « pourtant, que les personnels au contact des malades et des personnes fragiles soient vaccinées relève du bon sens. » Son bon sens à elle peut-être, mais pas les données actuelles de la science. O Veran a reconnu officiellement que le vaccin n’empêchait pas les transmissions ni les formes graves (réponse au Conseil d’Etat en mars).

Les journalistes et les autres mercenaires des vendeurs de vaccin prétendent qu’il « n’y a pas assez de Français vaccinés pour atteindre l’immunité collective. » Mais cette immunité collective post vaccinale que les épidémiologistes des plateaux télé nous proposent comme un Graal n’a jamais démontré son existence dans le monde réel pour les drogues anticovid actuelles.

Les dramatiques échecs de Gibraltar (115% de vaccinés) qui a vu les cas et la mortalité exploser depuis la vaccination

et celui des Seychelles confirment qu’il s’agit d’un mirage publicitaire.

Le gouvernement veut « aller chercher les récalcitrants et les oubliés. Des médecins de ville demandent la liste de leurs patients non-vaccinés en oubliant que le respect du secret médical constitue l’un des piliers éthiques de l’art médical. Ils attendent l’autorisation de la CNIL. « Ils l’auront », selon Véran.

Même Régis de Castelnau  » double vacciné » fait la promo des vax anti-covid sur Sud-Radio SANS PRECISER qu’ils sont EXPERIMENTAUX. « Ne comprend pas les réticences des Français. A -t-il lu les rapports d’EudraVigilance ? Lui aussi cautionne qu’on censure tous les experts vaccino-prudents ? »[9].

Et Thomas Porcher, l’économiste de gauche veut « rendre la vie difficile aux non vaccinés » sur les grandes Gueules sur RMC.

Les vrais opposants n’ont pas ou peu la parole sur les ondes qui les censurent férocement et traitent par ailleurs leur seul espace de liberté, le web de complotiste.  Le tour est-il joué ? Pas vraiment.

Droite, Gauche et les extrêmes, tous ensembles pour la dictature sanitaire qu’ils ont soutenus, nous laissant enfermer pour rien, en redemandant parfois plus qu’E Macron n’en imposait[10].

 

LE RESEAU SENTINELLE DEMONTRE QUE L EPIDEMIE EST TERMINEE

D’où relève le bon sens de vacciner pour une maladie disparue du radar du réseau sentinelle ? En semaine 2021s25, le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARSCoV-2 (COVID-19) vus en consultation de medecine générale estime à 0,3 cas pour 100 000 habitants, soit  170 nouveaux cas de COVID-19 en France ( pour 67 millions d’habitants !) ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux continue à diminuer depuis avril 2020

 

 

Rappelons que le risque vital pour les populations de moins de 65 ans est minimal, voire nul en dessous de cinquante ans et il existe depuis le début des traitements efficaces rapidement comme les antibiotiques macrolides avec zinc et vitamines, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui marche chez les Indiens, les Brésiliens et les Mexicains.

Pour « éviter la Peste », on vous donnera un chèque de 150 € ou une place gratuite à un concert ou à un match [11]

Certains organisent la vaccination express à l’entrée d’un match pour obtenir le tampon sur le pass pour avoir le droit d’entrer…. Consentement éclairé, souvenir d’un autre monde ?

 

 Mais si c’était vraiment la peste, vous seriez mort avant d’arriver.

Si la secte covid n’avait pas privée le peuple de son « bon sens », il aurait vite compris la mascarade. On ne soudoie pas un patient pour lui donner un traitement qui peut le guérir, on ne donne pas encore de cadeau pour qu’un malade accepte sa chimiothérapie. On ne donne pas de la chimiothérapie préventive à tous les Français au nom des 500 morts par jour du cancer.

 

La foire aux vaccins

Quelle pression exerce le ministre et/ou les propriétaires des médias pour que les journalistes sortent ainsi de leurs gonds, exposant au grand jour l’énorme marché et le marketing extraordinaire pour vendre ces pseudo vaccins expérimentaux, tous avec le même discours.

  1. Véran parla de peste… Imaginez-vous nécessaire d’organiser des grands rounds de vaccination, des rappels téléphoniques et des lettres de la sécurité sociale, si la Peste était dans nos villes et que nous marchions parmi les cadavres pour sortir de notre maison ?

Les éternelles répétitions sur les ondes des affirmations des vendeurs bateleurs des pseudo vaccins ne leur ont pas donné « la connaissance minimale » pour se faire un avis éclairé ! Peu importe, on répète la leçon marketing.

Typique phénomène de secte dont on aura du mal à sortir et dont une loi d’obligation vaccinale représenterait la caricature extrême, en dépit des lois Kouchner, Huriet, de la déclaration d’Helsinki etc. Aucun pays au monde, même la Chine, Israël ou la Grande-Bretagne n’a été aussi loin dans la folie dictatoriale.

La déclaration des droits de l’homme rappelle que la liberté individuelle est un droit inaliénable et « qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression. »

 MAIS L’ESPOIR RENAIT POUR LES PEUPLES

 Les gouvernants et leurs soutiens ne resteront pas impunis et sentiront le goût du boulet même si la justice est lente.

 Comment la plainte internationale déposée devant la Cour Pénale Internationale   sera- t-elle ressentie par ces gens qui se croient intouchables depuis trop longtemps ?

LE CSAPE COLLECTIF DES SYNDICATS ET ASSOCIATIONS PROFESSIONNELS EUROPEENS [12]  par dépôt Date : 28 juin 2021 Vu les articles 13.c et 15 du Statut de Rome a déposé une plainte dont le PDF joint est à lire en totalité :

« A défaut d’avoir favorisé tout débat en regard de la réalité et d’une abondante littérature scientifique internationale pour n’autoriser sur la scène publique que l’intervention et les avis de professionnels de santé en conflit d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, L’Etat français, par des lois liberticides qui se sont substituées à une véritable politique de santé publique mesurée et adaptée à un virus, a basculé dans un régime totalitaire, voire dictatorial au nom du Covid-19, par une généralisation de l’extorsion au consentement sur le test RT-PCR, sur le « VACCIN », par l’imposition du masque, la contrainte à résidence surveillée, en violation de tous les Traités et codes internationaux. Nous rappelons avec force que l’Etat français ne peut se soustraire au droit international applicable en raison de la situation sanitaire ».

 

Nous y reviendrons rapidement.

  LA PEUR VA CHANGER DE CAMP

PLAINTE_CSAPE-FRA-CRIME_CONTRE_HUMANITE

 

 

 

 

[1] 27 JUIN 2021 HAKIM ARIF

[2] IBA-PRESS-RELEASE-MAY-26-2021.pdf (indianbarassociation.in)

[3] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[4] La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (Convention d’Oviedo). Elle a été signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne Elle est entrée en vigueur le 1er décembre 1999.

[5] REGLEMENTS DE COMPTE AUX PHILIPPINES : responsables poursuivis pour « homicide par imprudence pour avoir facilité l’approbation hâtive du dengvaxia et la mise en place de la campagne scolaire de vaccination »

Les familles manifestent pour obtenir justice, accusent Sanofi d’avoir traité les enfants philippins en cobayes, et accusent les politiques et administratifs de corruption. Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen

[6] O. Veran : ces drogues expérimentales se sont révélées incapables d’empêcher les transmissions (aveu au conseil d’état fin mars).

 

[7] On se rappelle son Interview du pr Raoult auquel elle avait demandé s’il voulait la légion d’Honneur. Manque de chance il était déjà officier. Autrefois les journalistes préparaient leurs dossiers. Un autre monde, un monde d’amateurs comme dit fièrement le Président.

[8] Tweet de Antoine Gavory 30 juin

[9] Twitter

[10] Comme pour l’ouverture des écoles à laquelle Natacha Polony, marine Lepen, les France insoumise entre autres, s’opposaient sans raison scientifique pour le 11 mai 2020 conduisant le ministre à inventer des mesures liberticides à l’école qui ont bousillé l’apprentissage, et le psychisme des enfants.

[11] Mieux vaut répondre à un sondage rémunéré, moins dangereux a priori : Sondage Rémunéré, 150€ de cadeau ! Vous pratiquez une activité artistique (peintures, loisirs créatifs) ?

>> Répondez au sondage : https://bit.ly/3gZY4X8

[12] Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 – Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22

Nous contacter : csape.sg@hotmail.com – site : www.csape.international LEPILLER Patrice Cour pénale internationale Secrétaire général Oude Waalsdorperweg 10, COHEN Raphaël 2597 AK Den Haag, Pays-Bas Directeur juridique Unité des informations et des éléments de preuve Bureau du Procureur Par LRAR internationale n° RK 40 959 466 0 FR Par e. mail à : otp.informationdesk@icc-cpi.int

 

 

Covid-19, la lumière au bout du tunnel ?

 

 

Selon R. Fuellmich, la lumière est au bout du tunnel.

Acceptons-en l’augure !

https://2020news.de/rede-dr-fuellmich-auf-der-kassler-demo/

Le 20 mars 2021, une grande manifestation contre les mesures anticorona du gouvernement a eu lieu à Kassel. Selon les rapports de presse, 20 000 personnes étaient présentes, plutôt 100 000 d’après les participants

Avocat et fondateur membre du comité Corona créé à berlin en juillet 2020, Reiner Füllmich a pris la parole lors de la manifestation.

2020News publie le texte de son discours ici.

EXTRAITS LIBRES

« Comment auriez-vous réagi début 2020 si on vous avait dit que de la mi-mars à aujourd’hui 

  • non seulement les gens partout en Allemagne mais dans de grandes parties du monde porteraient des masques, y compris les enfants ?
  • En raison de soi-disant confinement, la classe moyenne allemande, ainsi que la classe moyenne de tout le monde occidental, est menacée de faillite ?
  • Des millions d’opérations, d’examens de dépistage du cancer, de mesures de rééducation et d’autres mesures médicales ont été reportés, avec des conséquences sanitaires imprévisibles pour les personnes touchées ?
  • Des milliers de personnes en phase terminale en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont obligées de mourir isolées et toutes seules sans le soutien de leurs proches ?
  • Des gens partout en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont privés de leur liberté pendant des jours et des semaines sans ordonnance du tribunal en raison de soi-disant ordonnances de quarantaine ?
  • Des gens en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont poursuivis pour avoir fêté leur anniversaire, assis sur un banc de parc, faire du jogging, chanter ?
  • Les parlements occupés par des représentants du peuple que nous élisons sont de facto impuissants et les gouvernements fédéral et des États ont adopté une série ingérable de règlements arbitraires sans aucune légitimation du peuple, dont personne ne comprend le contenu et les limites ?
  • Tous les droits démocratiques fondamentaux ont en fait été suspendus, y compris le droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression ? »

Et oui c’est ce qui est arrivé dans de nombreux pays occidentaux dont l’Allemagne et la France et de trop nombreux pays à quelques exceptions comme la Suède ou la Biélorussie en Europe qui ont résisté aux pressions du FMI (sonnantes et trébuchantes d’après le président biélorusse).

 

Au nom de quoi avons-nous perdu nos droits fondamentaux dans un silence sidérant ou une sidération conduisant à la soumission devant l’énormité des mensonges ne pouvant pas en être selon le citoyen de base ? Une décision commune de nombreux pays obéissants à l’OMS et au conseil sanitaire international de l’OMS [1]signé par 194 pays conduit au désastre mondial comparé par certains à une troisième guerre mondiale

Les pays signataires s’étaient mis d’accord pour appliquer les mesures décidées par l’OMS en cas de pandémie mondiale. Restait à décider qu’il y avait pandémie, ce qu’a fait l’OMS sans vergogne en changeant les critères 12 ans plutôt. Le tour était joué et les partisans d’un gouvernement mondial influencés par Bill Gates via l’OMS qu’il finance en grande partie et les puissants de ce monde occidental comme Mme Merkel que les autres pays de l’UE dont la France suivent, ont pu imposer un temps leur scénario tragique.

Combien de temps, ce sera aux peuples d’en décider.

A ce jour, il n’y a pas de réponse à cette question de la part des gouvernements, fédéral et des États, sauf l’injonction : « il y a une pandémie corona, alors faites ce que nous vous disons de faire sans poser de questions ». 

Aucune question ne peut être posée, a expressément déclaré le chef du RKI, un vétérinaire nommé Wieler, RKI soi-disant autorité fédérale supérieure qui doit suivre les instructions des gouvernements ou du ministère fédéral de la Santé.

 

Qu’en pense donc Maitre Reiner Fuellmich ?

La démocratie vit de manière cruciale sur la compétence morale, et la compétence morale nécessite deux choses : la capacité de poser des questions au lieu d’obéir aveuglément aux ordres, et la capacité de discuter d’autres opinions au lieu de les diffamer à tous les niveaux.

La capacité de poser des questions et la capacité de discuter sont au cœur de la liberté d’expression et donc au cœur de la démocratie.

Dans l’intérêt de qui cette attaque de notre propre gouvernement contre la démocratie, c’est-à-dire le gouvernement du peuple a -t-elle eu lieu ?  « Qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par quelque chose qui, comme les développements de l’année dernière l’ont montré, est un régime fasciste-totalitaire ? »

Commençons par la question centrale : sur quelles conclusions reposent ces ordres destructeurs de démocratie et extrêmement préjudiciables ?

Ces trois questions spécifiques auraient dû être posées devant les parlements !

  • À quel point le prétendu nouveau virus est-il vraiment dangereux ?

Conformément à l’OMS (quoique controversée) et au respecté Prof. Dr. John Ioannidis de l’Université de Stanford : pas plus dangereux que la grippe saisonnière avec un taux de mortalité par infection de 0,14-0,26%)

  • Quels sont les effets sanitaires et économiques des mesures anti-coronavirus ?

 

La réponse très détaillée et précise à cette question est à la disposition du ministère fédéral allemand de l’Intérieur depuis mai 2020, sous la forme de ce que l’on appelle désormais le «papier de fausse alerte», document  rédigé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur bien formé à l’évaluation des risques pour la protection de la population.

 

Et tout le monde connaît maintenant la réponse, comme décrit ci-dessus :

 

les effets des mesures anti-corona sont comme une troisième guerre mondiale, mais sans guerre ouverte.

 

  • Quelle est la fiabilité du test PCR

pour la détection des infections que C. Drosten conseiller de A.Merkel pour la santé, a développé début janvier 2020 (à un moment où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du virus corona) et l’a fait recommandé par l’OMS dans le monde entier. Fabuleuse efficacité dramatique pour trop de peuples du monde entier !

Or « un test PCR ne peut donner aucune information sur une infection, il n’est même pas approuvé à cet effet. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une soi-disant autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis et non d’une véritable autorisation complète. »

Réponses à ces trois questions selon R. Fuellmich

« Issu des travaux du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020 et qui a été constamment dirigé par le pneumologue et ancien chef d’un service de santé de longue date, le Dr. Wolfgang Wodarg, le biologiste Prof. Dr. Ulrike Kämmerer de l’Université de Würzburg et le professeur de droit Dr. Martin Schwab de l’Université de Bielefeld. »  Ce comité a depuis interrogé une centaine de scientifiques, médecins, avocats, économistes, psychologues, psychiatres et autres respectés et de renommée mondiale.

 

 Les dégâts sont monstrueux dignes d’une guerre mondiale

Même l’OMS a admis que le danger réel du virus ne va pas au-delà de celui de la grippe saisonnière, qui a un taux de mortalité par infection de 0,14%, et s’épuise.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent ont plus de 80 ans et souffrent de maladies préexistantes graves et multiples.

Des dizaines de scientifiques ont aujourd’hui confirmé que le test de Drosten, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections.

Même l’OMS et l’homologue américain du RKI[2] allemand, le CDC[3], l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.[4]

C’est parce que le test ne peut pas faire la distinction entre le matériel vivant et mort

Il ne peut pas non plus dire si les symptômes d’une personne ne sont pas causés par un autre agent pathogène, comme un virus du rhume ou de la grippe. Plus précisément, le CDC dit :

« La détection de l’ARN viral n’indique pas la présence d’un virus infectieux ou que Covid 19 est l’agent causal des symptômes cliniques ».  Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Habituellement, au moins jusqu’à l’apparition de Coronavirus sras cov 2, les personnes sans symptômes étaient considérées comme en bonne santé et se sentaient également en bonne santé.

Soulignons que l’affirmation mensongère selon laquelle il existe des infections asymptomatiques vient également de M. Drosten. En fait, il n’y a pas du tout d’infections asymptomatiques, comme ce fut récemment une nouvelle fois démontré avec une étude de 10 millions de participants à Wuhan, provenant de partout.. La Chine l’a montré à la fin de l’année dernière[5].

Les deux affirmations (validité des tests PCR et infections asymptomatiques) sont contraires aux faits établis :

  1. a) l’affirmation selon laquelle il y a des infections asymptomatiques
  2. b) l’affirmation selon laquelle le test Drosten PCR peut détecter des infections

viennent de Drosten le conseiller d’A. Merkel et de l’OMS. Au début de 2020, il les a publiés dans deux articles qui ne répondent même pas aux normes scientifiques.

Il a publié ces fausses déclarations : or, ​​au moment de la publication sur les infections asymptomatiques, il savait que le cas cité comme exemple d’une femme chinoise visitant l’Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait antérieurement traité ses symptômes avec un médicament commun contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a donnée en 2014 à Wirtschaftswoche, C. Drosten savait également qu’un test PCR positif n’a aucune valeur informative sur les infections. [6]

Reiner Fuellmich signale de surcroit en plus de graves conflits d’intérêts financiers, Drosten a un autre problème avec sa crédibilité (doutes massifs s’il est autorisé à utiliser son doctorat et poursuites judiciaires en cours). Drosten a d’autres problèmes de crédibilité car pendant la grippe porcine de 2009, comme le prophète anglais Neil Ferguson, il a averti des conséquences désastreuses et des millions de décès si une vaccination de masse n’avait pas lieu.

Ces prédictions se sont révélées complètement fausses et la grippe porcine s’est avérée être une grippe bénigne. Cependant, des vaccins avaient déjà été achetés dans de nombreux pays du monde dans des conditions qui étaient gardées secrètes jusqu’à aujourd’hui, et ils ont ensuite été utilisés (avant que tout ne soit détruit) avec pour résultat que 1300 enfants, en particulier en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie. et souffrez de narcolepsie.

Ajoutons qu’il est remarquable que ces fausses prophéties sont identiques en Grande-Bretagne et en Allemagne et formulés par les plus hauts conseillers des états et de l’OMS. Difficile de croire à de l’incompétence.

 

L’avocat se demande pourquoi le gouvernement fédéral a suivi les conseils et les demandes de confinements massifs de Drosten et de son institut, qui « sans même un soupçon d’empathie ou de pitié  a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont forcé les personnes en phase terminale à être isolées et seules sans soutien de leurs proches à mourir ? »

« Et pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas seulement pris note des autres opinions, mais les a-t-il rejetées comme des théories d’extrême droite, antisémites et du complot sans même les examiner, encore moins en discuter ».

Comment le gouvernement fédéral (et les gouvernements des États qui le suivent aveuglément) ont-ils sciemment et volontairement ordonné des ordonnances mortelles et dévastatrices, exigé que personne ne pose de questions, et au-delà, toutes les autres opinions scientifiques et médicales (y compris l’un des scientifiques les plus cités) dans le monde, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford) a ignoré et délibérément dénigré ».

Ce dernier a déclaré « – que le soi-disant nouveau virus ne représente pas une menace plus grande que le virus de la grippe,

– qu’il existe des traitements efficaces qui ne coûtent pratiquement rien,

– et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages les plus dévastateurs pour la santé et l’économie ? »

En résumé: quels intérêts le gouvernement fédéral représente-t-il lorsqu’il ordonne de telles mesures destructrices ?  Au nom de qui le gouvernement fédéral agit ainsi, et pour quelle raison ?

Reiner Fuellmich

« Si vous considérez que les conseillers les plus importants du gouvernement fédéral – en plus de Drosten – le Wellcome Trust et la Fondation Bill et Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique de production de vaccins et de l’industrie technologique appellent tous à l’introduction d’un carte de vaccination numérique, on soupçonne qu’ici et de manière totalement irrespectueuse et empathique leurs intérêts sont représentés et non ceux du peuple allemand ».

« Un groupe d’avocats en réseau international en constante augmentation – en particulier avec le droit anglo-américain – travaille en étroite coordination pour faire la lumière et trouver des réponses aux questions de savoir qui est derrière tout cela et qui est tenu responsable.

Parce que, comme mon héros juridique Louis D. Brandeis l’a dit, la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants. Et cette lumière du soleil est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons tous voir, et elle devient de plus en plus brillante ».

 

 Selon une autre interview [7] :

 Il y a quelques jours, Fuellmich s’est entretenu à nouveau avec Jerm Warfare :  « Il y a de la lumière au bout du tunnel », a-t-il déclaré. « Nous avons gagné des procès et nous allons en gagner beaucoup d’autres ».
Au cours de l’interview, il a déclaré à propos de l’approche Corona : « Ce sont les pires crimes contre l’humanité jamais commis. » Les quelques personnes qui peuvent encore penser de manière indépendante, soit environ 10 à 20 % de la population, savent qu’il n’a jamais été question d’un virus ou de la santé, mais bien de la réduction de la population mondiale et de son contrôle, a-t-il déclaré.
Nuremberg 2

Les vaccins corona n’ont donc rien à voir avec la vaccination, mais font partie d’expériences génétiques, a-t-il déclaré. Fuellmich a ajouté que les joueurs en coulisses commettent de nombreuses erreurs. Par exemple, il pense que les fabricants de vaccins ne s’attendaient pas à ce que tant d’effets secondaires se produisent à ce jour.


Il a parlé à un dénonciateur qui a déclaré qu’ils avaient initialement prévu de déployer tout ce scénario seulement en 2050. Puis les personnes qui tiraient les ficelles sont devenues avides et ont décidé de mettre en œuvre les plans beaucoup plus tôt, a déclaré le dénonciateur. « Je pense que c’est la raison pour laquelle ils font tant d’erreurs », a déclaré M. Fuellmich, qui a recueilli les déclarations de plus de 100 scientifiques et experts.


L’avocat a poursuivi en disant qu’un tribunal spécial, Nuremberg 2, pourrait être nécessaire parce que l’affaire est désormais si importante qu’elle pourrait être hors de portée des tribunaux nationaux. « Nous avons les preuves. »


L’Europe : principal champ de bataille

Qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? Selon Fuellmich, il s’agit d’un groupe de quelque 3 000 super-riches. La clique de Davos de Klaus Schwab, entre autres, appartient à ce groupe.

 Que veulent-ils ? Un contrôle total sur le peuple. « Ils corrompent les médecins, les travailleurs hospitaliers et les politiciens. Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens. »


Fuellmich s’est également entretenu avec un autre lanceur d’alerte, qui a expliqué pourquoi l’Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. « L’Europe est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C’est pourquoi ils veulent contrôler l’Europe avant que les gens ne découvrent ce qui se passe. »

 

Les médias grand public prétendent qu’une majorité de personnes sont en faveur de ces mesures. Selon l’avocat, ce n’est certainement pas le cas. Presque tous ses interlocuteurs en Allemagne savent que les masques, par exemple, ne sont d’aucune utilité et sont informés par les médias alternatifs. « Les vieux médias sont en train de mourir. »


Son conseil ? Diffusez la vérité et les faits autant que possible et ne gaspillez pas votre énergie avec des personnes qui tiennent absolument à être vaccinées. « Nous ne pouvons pas sauver tout le monde. Beaucoup de gens vont mourir. »

 

CRIME CONTRE L’HUMANITÉ Covid Dr Reiner Fuellmich Action collective Poursuite – Bing video

 

 

 

 

 

[1] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[2] Robert Koch Institute

[3] Centers for Disease Control and Prevention – CDC  américain

[4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur la validité des tests PCR et

[5] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

 

[6] C. Drosten l’heure des comptes France soir N Delépine

[7] Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel (ninefornews.nl)  Homepagina » Mens en Dier » Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel

in Mens en Dier 12 april 2021

Children are not at risk from covid-19

wanting to inject them with untested vaccines is criminal and unnecessary.

 

Stop : ils s’entêtent à vouloir vacciner les enfants ! – 

 

 

 

For more than a year, pharmaceutical company lobbyists have dreamed of imposing anti-covid-19 vaccination on the entire world population by using vaccine obligations and “vaccinated or socially dead” blackmail.

And for more than a month they have been attacking children [1] while they are not at risk of Covid-19, that they do not transmit it and that there is no evidence that vaccines can be effective and safe for them.

Children are not at risk from Covid-19 and therefore cannot derive any individual benefit from the anti-covid-19 vaccination.

All the series reported [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] and all the national and international surveys all confirm that Covid-19 is rare and almost always benign in children, and that they are less at risk of Covid-19 than of seasonal flu.

In France, for a year, Public Health France has recorded only 3 deaths attributed to Covid (all suffering from chronic diseases, cancer or immunodeficiency) out of nearly 8 million children and adolescents under the age of 15 then that the flu kills an average of 8 people each year in this age group.

WHO [9] confirms that children are virtually at risk:

This tiny risk means that no individual benefit can be expected from vaccination in children while post-vaccination complications, sometimes serious, up to death, are reported everywhere in the media.

Children are not vectors for the spread of disease; vaccinating them would not change the course of the epidemic.

All the series reported and all national and international surveys show that children and adolescents are not vectors of transmission and that they are not infected by schoolmates, but usually by parents at home.

More than 20 epidemiological studies in a dozen countries have doggedly sought contamination from children under 15 years of age: none has been able to highlight a single truly convincing example.

The Inserm study [10] is very demonstrative. The child of Contamines was in contact, while he was sick, with 172 people, including 112 students and teachers in three schools and a ski club. He did not infect anyone, not even the two other children of his siblings. And the infection brought from Singapore by an adult remained confined to the occupants of the chalet.

The study by the Institut Pasteur on primary schools in Crépy-en-Valois  [11] involved 1,340 people, including 139 infected (81 adults and 58 children). Among 510 students from six primary schools, they identified three children from three different schools who were infected when schools were still open. None of these three children infected anyone, whether they were other students or adults.

The Coville study [12] , by the Activ group (Clinical and therapeutic infantile association of Val-de-Marne) led by Professor Robert Cohen, vice-president of the French Pediatric Society, involved 600 children from birth at the age of 15 allows the conclusion that: “ without a history of parental Covid, the child has nothing .  »

In the Netherlands, children aged 0 to 17 represent only 1.3% of all patients reported with Covid-19, although they represent 20.7% of the population. Only 0.6% of reported hospitalizations were in children under the age of 18 and there are no cases of children dying from Covid-19. A household study in the Netherlands reported data on 116 children aged 1 to 16 [13] and preliminary results showed that there was no evidence that children under 12 were the first to be infected in the family. .

In Ireland [14] , before the schools were closed, no case of school contamination was detected among the 924 children and 101 adults in contact with six infected (three children, three adults).

In Australia [15]  [16]  9 students and 9 staff infected with SARS-CoV-2 in 15 schools had close contact with a total of 735 students and 128 staff. Only 2 secondary infections were identified, none in adult staff. 1 elementary school student was potentially infected by a staff member.

In Switzerland [17] : out of a total of 4,310 patients with SARS-CoV-2, 40 were under 16 years of age (0.9%). Among the 111 positive family contacts of the children studied, mothers predominated (n = 39), followed by fathers (n = 32), pediatric siblings (n = 23), adult siblings (n = 8) and grandparents (n = 7).

In Finland, a 12-year-old child who went to school during his illness came into contact with 121 people and did not infect any of them.

In Greece  [18] the epidemiological analysis of 23 clusters affecting 109 people (66 adults and 43 children found no case of transmission from a child.

In Singapore [19] , two primary schools and one secondary school found childhood covid-19s. None of the 34 identified primary school contacts tested positive. Of the 77 high school contacts, 8 developed flu-like symptoms, but none of them tested positive.

Of the more than 11,180 articles on the subject of children and Covid-19 listed by PubMed on 4/9/2021 and the 1,794 specifically dedicated to possible transmission by children, none provides proof of transmission from one child to another child or to an adult in the real world [20] [21] [22] [23] [24] .

The only articles which mention this possibility are based on viral load or on models with false assumptions.

Admittedly, children in school can be sick or test positive, but among asymptomatic, it is most often false positives (more than 90%), or old infections that they contracted at home and from which they are cured. . School transmissions are possible, but all those which have been the subject of a serious epidemiological investigation show that they are linked to adult staff.

Since children are innocent of the transmission of the disease, their vaccination, even if it were effective, would do nothing to protect others.

Current vaccines do not prevent disease transmission!

In countries that are champions of vaccination campaigns, transmissions continue and are sometimes even increased.

Thus in the United Arab Emirates the circulation of the virus has been more intense since the vaccination

Same phenomenon in Bahrain:

 

Same evolution in Chile

The comparison of the evolution of mortalities in confined and highly vaccinated Great Britain and in unconfined and poorly vaccinated Sweden even suggests that vaccination at least transiently worsens transmission and mortality.

This very dubious effectiveness of current vaccines to prevent the transmission of the virus is recognized by the High Authority of Health and was formalized by O. Véran in his recent argument before the Council of State [25] :  » the vaccine does not prevent to transmit the virus to third parties.  »

Even if the children were contagious, their vaccination would therefore be ineffective in protecting others since vaccines are not able to interrupt transmission!

Vaccines are not even experimental in children: they have not even been tested!

In adults, vaccines are experimental since the trials will not be completed before 2023. In children they are not even experimental because until recently the trials excluded those under 16 and the first trial in children was discontinued after an accident before significant inclusion of child guinea pigs.

It is therefore a drug which has not been tested at all in them and which has not received an MA, even conditional, that the vaccinators would like to inject into children who do not need it!

To regain our freedoms, we just need to want it!

The argument of the vaccination of children  »  necessary to regain our freedoms  » agitated by Stéphane Dhersin takes up the classic blackmail of vaccine advocates. This argument is not based on any scientifically established fact but on faked / false mathematical prophecies.

Swedes, Belarusians, Finns, Dutch who have never been confined suffer from lower mortality than ours.

The governor of Texas removed all supposedly health restrictions on March 10 and since then mortality has been declining as it increases in states (Michigan, Minnesota) still subject to social restrictions.

In a short article in the Lancet, Delfraissy [26] and four other members of the Scientific Council declare that we must change health policy, stop using episodic confinements and no longer rely on vaccination to get us out of the crisis. Why don’t we listen to them?

Let us no longer be needlessly afraid. Let us stop killing the psychological balance, health, education and professional future of our young people. our economy.

And do not sacrifice children on false beliefs and models that can only be useful to shareholders of vaccine dealers.

Children are not at risk of Covid-19 and are not vectors of Covid-19. Trying to inject them with untested vaccines is criminal.

Dr Gérard Delépine

[1] Antoine Beau Covid: should children be vaccinated for a return to normal life in September? SCIENCE

04/07/2021

“Vaccinating minors is a potential lever for action in the fight to live again normally”, explains Jean-Stéphane Dhersin, modeler

[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Pediatrica 24 March 2020

[3] Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23; 35 (11)

[4] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.

[5] Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002 / ppul.24762. Online ahead of print

[6] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

[7] Zhonghua Er Ke Za Zhi for the Pediatric Society and Chinese Medical Association: Recommendations for the Diagnosis, Prevention, and Control of Novel Coronavirus Infection 2019 in Children (First Interim Edition). 2020; 58: 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics

[8] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 March 25; S1473-3099 (20) 30198-5.

[9] WHO Covid19 dashboard consulted on 9/4/2021

[10] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

[11] Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of ​​high transmission medRxiv 2020

[12] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287 []

[13] Based on reports from municipal public health services (GGD

[14] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25: 2000903

[15] According to the Australian National Center for Immunization Research and Surveillance https://www.bing.com/search?q=l%E2%80%99Australian+National+Centre+for+Immunisation+Research+and+ Monitoring & form = QBLH & sp = -1 & pq = & sc = 0-0 & qs = n & sk = & cvid = 4D88315372394AACB2AA964A03900C84

[16] National Center for Immunization Research and Surveillance. COVID-19 in Schools – The NSW Experience. New South Wales, Australia: National Immunization Research and Surveillance Center

[17] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Pediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the first two months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020; 00: 1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432

[18] Helena C. Maltezoua Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece: a study of 23 clusters J Med Virol. 2020 Aug 7; 10.1002 / jmv.26394. doi: 10.1002 / jmv.26394

[19] Singapore government agency. COVID-19: Case in Singapore [Internet]. Singapore, Singapore Government Agency. 2020; [cited March 12, 2020. Available at: https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-singapor [

[20] Weiyong Liu. Et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 April 2; 382 (14): 1370-1371

[21] ) Liu Y, Yan LM, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099 (20) 30232

[22] Hong H, Wang Y, Chung HT, Chen CJ, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j. pedneo.2020.03.001.

[23] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72,314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI: 10.1001 / jama.2020.2648

[24] Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 March 23

[25]   Decision of the Council of State of APRIL 2, 2021 Travel restrictions for vaccinated people are justified

[26] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19social contract Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468 -2667% 2821% 2900036-0

Les enfants ne risquent rien du covid-19 ; vouloir leur injecter des vaccins non testés est criminel et inutile.

 

 

Stop : ils s’entêtent à vouloir vacciner les enfants Stop : ils s’entêtent à vouloir vacciner les enfants ! – 

Depuis plus d’un an les lobbyistes des firmes pharmaceutiques rêvent d’imposer la vaccination anti-covid-19 à l’ensemble de la population mondiale en utilisant des obligations vaccinales et le chantage « vacciné ou socialement mort ».

Et depuis plus d’un mois ils s’attaquent aux enfants [1] alors que ceux-ci ne risquent rien du Covid-19, qu’ils ne le transmettent pas et que rien ne prouve que les vaccins puissent être efficaces et sans danger pour eux.

Les enfants ne risquent rien du Covid-19 et ne peuvent donc tirer aucun bénéfice individuel de la vaccination anti-covid-19.

Toutes les séries rapportées [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] et tous les relevés nationaux et internationaux confirment tous que le Covid-19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, et qu’ils risquent moins du Covid-19 que de la grippe saisonnière.

En France, depuis un an, Santé Publique France n’a comptabilisé que 3 morts attribuées au Covid (tous souffraient de maladies chroniques, de cancer ou d’immunodéficience) sur près de 8 millions d’enfants et adolescents de moins de 15 ans alors que la grippe fait en moyenne 8 victimes chaque année dans ce groupe d’âge.

L’OMS [9]confirme que les enfants ne risquent pratiquement rien :

Ce risque infime fait qu’aucun bénéfice individuel ne peut être espéré de la vaccination chez les enfants alors que des complications post-vaccinales parfois graves, allant jusqu’à la mort, sont rapportées partout dans les médias

Les enfants ne sont pas des vecteurs de propagation de la maladie ; les vacciner ne changerait en rien l’évolution de l’épidémie.

Toutes les séries rapportées et tous les relevés nationaux et internationaux montrent que les enfants et adolescents ne sont pas vecteurs de transmission et qu’ils ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile.

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 15 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

L’étude de l’Inserm [10] est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l’infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.

L’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois [11] a porté sur 1 340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville [12], du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et Il n’y a pas de cas d’enfants décédés du Covid-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans [13] et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.

En Irlande [14], avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie [15] [16]  9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse [17]: sur un total de 4 310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce [18] l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

À Singapour [19], deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des covid-19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s’est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l’école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d’entre eux n’a été testé positif.

Sur les plus de 11 180 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid-19 répertoriés par PubMed le 9/4/2021 et les 1794 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel [20] [21] [22] [23] [24].

Les seuls articles qui évoquent cette possibilité se basent sur la charge virale ou sur des modélisations aux hypothèses fausses.

Certes des enfants scolarisés peuvent être malades ou testés positifs, mais chez les asymptomatiques, il s’agit le plus souvent de faux positifs (plus de 90 %), ou d’infections anciennes qu’ils ont contractées à domicile et dont ils sont guéris. Les transmissions scolaires sont possibles, mais toutes celles qui ont fait l’objet d’une enquête épidémiologique sérieuse montrent qu’elles sont liées au personnel adulte.

Comme les enfants sont innocents de la transmission de la maladie leur vaccination, même si elle était efficace ne servirait à rien pour protéger les autres.

Les vaccins actuels n’empêchent pas la transmission de la maladie !

Dans les pays champions des campagnes de vaccination, les transmissions se poursuivent et sont même parfois augmentées.

Ainsi aux Émirats arabes unis la circulation du virus est plus intense depuis la vaccination

Même phénomène au Bahreïn :

 

Même évolution au Chili

La comparaison des évolutions des mortalités en Grande-Bretagne confinée et très vaccinée et en Suède non confinée et peu vaccinée suggère même que la vaccination aggrave au moins transitoirement transmission et mortalité.

Cette très douteuse efficacité des vaccins actuels pour prévenir la transmission du virus est reconnue par la Haute Autorité de Santé et a été officialisée par O. Véran dans son argumentaire récent devant le Conseil d’État [25] : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »

Même si les enfants étaient contagieux, leur vaccination serait donc inefficace pour protéger les autres puisque les vaccins ne sont pas capables d’interrompre la transmission !

Les vaccins ne sont même pas expérimentaux chez l’enfant : ils n’ont même pas été testés !

Chez les adultes, les vaccins sont expérimentaux puisque les essais ne seront pas terminés avant 2023. Chez l’enfant ils ne sont même pas expérimentaux car les essais excluaient jusque récemment les moins de 16 ans et que le premier essai chez l’enfant a été interrompu après un accident avant inclusion significative d’enfants cobayes.

C’est donc un médicament qui n’a pas du tout été testé chez eux et qui n’a pas reçu d’AMM même conditionnelle que les vaccinolâtres voudraient injecter aux enfants qui n’en ont pas besoin !

Pour retrouver nos libertés, il suffit de le vouloir !

L’argument de la vaccination des enfants « nécessaire pour retrouver nos libertés » agité par Stéphane Dhersin reprend le chantage classique des avocats du vaccin. Cet argument ne repose sur aucun fait scientifiquement établi mais sur des prophéties mathématiques truquées/fausses.

Les Suédois, les Biélorusses, les Finlandais, les Néerlandais qui n’ont jamais été confinés souffrent d’une mortalité inférieure à la nôtre.

Le gouverneur du Texas a supprimé toutes les contraintes prétendument sanitaires le 10 mars et depuis la mortalité baisse alors qu’elle augmente dans des États (Michigan, Minnesota) encore soumis aux restrictions sociales.

Dans un court article au Lancet, Delfraissy [26] et quatre autres membres du Conseil scientifique déclarent qu’il faut changer de politique sanitaire, cesser d’utiliser les confinements épisodiques et ne plus compter sur la vaccination pour nous sortir de la crise. Pourquoi ne les écoute-t-on pas ?

N’ayons plus peur inutilement. Arrêtons de massacrer l’équilibre psychologique, la santé, l’éducation et l’avenir professionnel de nos jeunes. notre économie.

Et ne sacrifions pas les enfants sur des croyances et modélisations fausses qui ne peuvent être utiles qu’aux actionnaires des marchands de vaccins.

Les enfants ne risquent rien du Covid-19 et ne sont pas vecteurs du Covid-19. Vouloir leur injecter des vaccins non testés est criminel.

Dr Gérard Delépine

[1] Antoine Beau Covid : faut-il vacciner les enfants pour un retour à la vie normale en septembre ? SCIENCE

07/04/2021

“Vacciner les mineurs est un levier d’action potentiel dans la lutte pour revivre normalement”, explique Jean-Stéphane Dhersin, modélisateur

[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children ? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020

[3] Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23 ;35(11)

[4] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.

[5] Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi : 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print

[6] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

[7] Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics

[8] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China : an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars ; S1473-3099 (20) 30198-5.

[9] OMS Covid19 dashboard consulté le 9/4/2021

[10] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

[11] Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020

[12] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287 []

[13] Sur la base des rapports des services de santé publique municipaux (GGD

[14] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903

[15] D’après l’Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance https://www.bing.com/search?q=l%E2%80%99Australian+National+Centre+for+Immunisation+Research+and+Surveillance&form=QBLH&sp=-1&pq=&sc=0-0&qs=n&sk=&cvid=4D88315372394AACB2AA964A03900C84

[16] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation

[17] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the first two months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020 ; 00 :1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432

[18] Helena C. Maltezoua Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece : a study of 23 clusters J Med Virol. 2020 août 7 ;10.1002/jmv.26394. doi : 10.1002/jmv.26394

[19] Agence gouvernementale de Singapour. COVID-19 : cas à Singapour [Internet]. Singapour, Agence gouvernementale de Singapour. 2020 ; [cité le 12 mars 2020. Disponible sur : https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-singapor [

[20] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371

[21] ) Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232

[22] Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.

[23] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China : summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020 ; published online Feb 24. DOI :10.1001/jama.2020.2648

[24] Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars

[25]  Décision du conseil d’état du 2 AVRIL 2021 Les restrictions de déplacement des personnes vaccinées sont justifiées

[26]Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19social contract Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0

 

 

source riposte laique

Kinder sind nicht durch covid-19 gefährdet; Ungetestete Impfstoffe injizieren zu wollen, ist kriminell und unnötig.

Seit mehr als einem Jahr träumen Lobbyisten von Pharmaunternehmen davon, der gesamten Weltbevölkerung eine Impfung gegen Covid-19 aufzuerlegen, indem sie Impfpflichten und „geimpfte oder sozial tote“ Erpressungen anwenden.

Und seit mehr als einem Monat greifen sie Kinder an [1], obwohl sie nicht dem Risiko von Covid-19 ausgesetzt sind, dass sie es nicht übertragen und dass es keine Beweise dafür gibt, dass Impfstoffe für sie wirksam und sicher sein können.

Kinder sind von Covid-19 nicht gefährdet und können daher keinen individuellen Nutzen aus der Anti-Covid-19-Impfung ziehen.

Alle berichteten Serien [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] und alle nationalen und internationalen Umfragen bestätigen, dass Covid-19 bei Kindern selten und fast immer gutartig ist und dass sie sind weniger von Covid-19 als von saisonaler Grippe bedroht.

In Frankreich verzeichnete Public Health France seit einem Jahr nur drei Todesfälle, die Covid zugeschrieben werden (alle leiden an chronischen Krankheiten, Krebs oder Immunschwäche), von fast 8 Millionen Kindern und Jugendlichen unter 15 Jahren, an denen die Grippe durchschnittlich abtötet 8 Personen pro Jahr in dieser Altersgruppe.

Die WHO [9] bestätigt, dass Kinder praktisch gefährdet sind:

Dieses winzige Risiko bedeutet, dass von der Impfung bei Kindern kein individueller Nutzen zu erwarten ist, während in den Medien überall über Komplikationen nach der Impfung berichtet wird, die manchmal schwerwiegend bis zum Tod sind.

Kinder sind keine Überträger für die Ausbreitung von Krankheiten; Eine Impfung würde den Verlauf der Epidemie nicht verändern.

Alle berichteten Serien und alle nationalen und internationalen Umfragen zeigen, dass Kinder und Jugendliche keine Übertragungsvektoren sind und nicht von Schulkameraden, sondern in der Regel von Eltern zu Hause infiziert werden.

Mehr als 20 epidemiologische Studien in einem Dutzend Ländern haben hartnäckig nach Kontamination von Kindern unter 15 Jahren gesucht: Keine konnte ein einziges wirklich überzeugendes Beispiel hervorheben.

Die Inserm-Studie [10] ist sehr demonstrativ. Das Kind von Contamines hatte während seiner Krankheit Kontakt zu 172 Personen, darunter 112 Schüler und Lehrer in drei Schulen und einem Skiclub. Er infizierte niemanden, nicht einmal die beiden anderen Kinder seiner Geschwister. Und die von einem Erwachsenen aus Singapur mitgebrachte Infektion blieb auf die Bewohner des Chalets beschränkt.

An der Studie des Instituts Pasteur über Grundschulen in Crépy-en-Valois  [11] nahmen 1.340 Personen teil, darunter 139 Infizierte (81 Erwachsene und 58 Kinder). Unter 510 Schülern aus sechs Grundschulen identifizierten sie drei Kinder aus drei verschiedenen Schulen, die infiziert waren, als die Schulen noch geöffnet waren. Keines dieser drei Kinder infizierte jemanden, egal ob es sich um andere Studenten oder Erwachsene handelte.

Die Coville-Studie [12] der Activ-Gruppe (Klinische und therapeutische Kindervereinigung von Val-de-Marne) unter der Leitung von Professor Robert Cohen, Vizepräsident der Französischen Pädiatrischen Gesellschaft, umfasste 600 Kinder von Geburt an im Alter von 15 Jahren die Schlussfolgerung, dass: „ Ohne eine Geschichte der elterlichen Covid hat das Kind nichts . «  »

In den Niederlanden machen Kinder im Alter von 0 bis 17 Jahren nur 1,3% aller mit Covid-19 gemeldeten Patienten aus, obwohl sie 20,7% der Bevölkerung ausmachen. Nur 0,6% der gemeldeten Krankenhauseinweisungen erfolgten bei Kindern unter 18 Jahren, und es gibt keine Fälle, in denen Kinder an Covid-19 sterben. Eine Haushaltsstudie in den Niederlanden berichtete über Daten zu 116 Kindern im Alter von 1 bis 16 Jahren [13], und vorläufige Ergebnisse zeigten, dass es keine Hinweise darauf gibt, dass Kinder unter 12 Jahren die ersten waren, die in der Familie infiziert waren.

In Irland [14] wurde vor Schließung der Schulen bei 924 Kindern und 101 Erwachsenen, die mit sechs Infizierten in Kontakt standen (drei Kinder, drei Erwachsene), kein Fall von Schulkontamination festgestellt.

In Australien [15]  [16] hatten  9 Schüler und 9 mit SARS-CoV-2 infizierte Mitarbeiter in 15 Schulen engen Kontakt zu insgesamt 735 Schülern und 128 Mitarbeitern. Es wurden nur 2 Sekundärinfektionen identifiziert, keine bei erwachsenen Mitarbeitern. 1 Grundschüler wurde möglicherweise von einem Mitarbeiter infiziert.

In der Schweiz [17] : Von insgesamt 4.310 Patienten mit SARS-CoV-2 waren 40 jünger als 16 Jahre (0,9%). Unter den 111 positiven Familienkontakten der untersuchten Kinder überwogen Mütter (n = 39), gefolgt von Vätern (n = 32), pädiatrischen Geschwistern (n = 23), erwachsenen Geschwistern (n = 8) und Großeltern (n = 7). .

In Finnland kam ein 12-jähriges Kind, das während seiner Krankheit zur Schule ging, mit 121 Menschen in Kontakt und infizierte keine von ihnen.

In Griechenland  [18] ergab die epidemiologische Analyse von 23 Clustern, von denen 109 Personen betroffen waren (66 Erwachsene und 43 Kinder), keinen Fall einer Übertragung von einem Kind.

In Singapur [19] fanden zwei Grundschulen und eine weiterführende Schule Covid-19-Kinder. Keiner der 34 identifizierten Grundschulkontakte wurde positiv getestet. Von den 77 Highschool-Kontakten entwickelten 8 grippeähnliche Symptome, aber keiner von ihnen wurde positiv getestet.

Von den mehr als 11.180 Artikeln zum Thema Kinder und Covid-19, die PubMed am 09.04.2021 aufgelistet hat, und den 1.794 Artikeln, die speziell der möglichen Übertragung durch Kinder gewidmet sind, liefert keiner einen Nachweis über die Übertragung von einem Kind auf ein anderes Kind oder auf einen Erwachsenen in der realen Welt [20] [21] [22] [23] [24] .

Die einzigen Artikel, die diese Möglichkeit erwähnen, basieren auf der Viruslast oder auf Modellen mit falschen Annahmen.

Zugegeben, Kinder in der Schule können krank sein oder positiv getestet werden, aber unter asymptomatischen sind es meistens falsch positive (mehr als 90%) oder alte Infektionen, die sie zu Hause bekommen haben und von denen sie geheilt werden. Schulübertragungen sind möglich, aber alle, die Gegenstand einer ernsthaften epidemiologischen Untersuchung waren, zeigen, dass sie mit erwachsenem Personal verbunden sind.

Da Kinder an der Übertragung der Krankheit unschuldig sind, würde ihre Impfung, selbst wenn sie wirksam wäre, nichts zum Schutz anderer beitragen.

Aktuelle Impfstoffe verhindern nicht die Übertragung von Krankheiten!

In Ländern, die sich für Impfkampagnen einsetzen, werden die Übertragungen fortgesetzt und manchmal sogar erhöht.

So war in den Vereinigten Arabischen Emiraten die Verbreitung des Virus seit der Impfung intensiver

Gleiches Phänomen in Bahrain:

 

Gleiche Entwicklung in Chile

Der Vergleich der Entwicklung der Mortalität in Großbritannien mit und ohne Impfung sowie in unbeschränktem und schlecht geimpftem Schweden legt sogar nahe, dass die Impfung die Übertragung und Mortalität zumindest vorübergehend verschlechtert.

Diese sehr zweifelhafte Wirksamkeit der derzeitigen Impfstoffe zur Verhinderung der Übertragung des Virus wird von der Hohen Gesundheitsbehörde anerkannt und von O. Véran in seinem jüngsten Argument vor dem Staatsrat [25] formalisiert :  » Der Impfstoff verhindert nicht die Übertragung den Virus an Dritte. «  »

Selbst wenn die Kinder ansteckend wären, wäre ihre Impfung daher unwirksam, um andere zu schützen, da Impfstoffe die Übertragung nicht unterbrechen können!

Impfstoffe sind nicht einmal experimentell bei Kindern: Sie wurden noch nicht einmal getestet!

Bei Erwachsenen sind Impfstoffe experimentell, da die Studien nicht vor 2023 abgeschlossen sein werden. Bei Kindern sind sie nicht einmal experimentell, da die Studien bis vor kurzem diejenigen unter 16 Jahren ausschlossen und die erste Studie bei Kindern nach einem Unfall vor der signifikanten Einbeziehung von Meerschweinchen abgebrochen wurde .

Es handelt sich also um ein Medikament, das in ihnen überhaupt nicht getestet wurde und das keine MA erhalten hat, auch wenn es bedingt ist, dass die Impfstoffe Kindern injizieren möchten, die es nicht benötigen!

Um unsere Freiheiten wiederzugewinnen, müssen wir es nur wollen!

Das von Stéphane Dhersin angeregte Argument der Impfung von Kindern, « das  notwendig ist, um unsere Freiheiten wiederzugewinnen « , greift die klassische Erpressung von Impfstoffanwälten auf. Dieses Argument basiert nicht auf wissenschaftlich fundierten Tatsachen, sondern auf gefälschten / falschen mathematischen Prophezeiungen.

Schweden, Weißrussen, Finnen und Niederländer, die noch nie eingesperrt waren, leiden unter einer geringeren Sterblichkeit als wir.

Der Gouverneur von Texas hat am 10. März alle angeblichen Gesundheitsbeschränkungen aufgehoben und seitdem ist die Sterblichkeit zurückgegangen, da sie in Staaten (Michigan, Minnesota) zunimmt, die immer noch sozialen Beschränkungen unterliegen.

In einem kurzen Artikel im Lancet erklären Delfraissy [26] und vier weitere Mitglieder des Wissenschaftlichen Rates, dass wir die Gesundheitspolitik ändern, keine episodischen Einschränkungen mehr anwenden und uns nicht mehr auf Impfungen verlassen müssen, um aus der Krise herauszukommen. Warum hören wir ihnen nicht zu?

Lasst uns keine unnötige Angst mehr haben. Hören wir auf, das psychische Gleichgewicht, die Gesundheit, die Bildung und die berufliche Zukunft unserer jungen Menschen zu zerstören. unsere Wirtschaft.

Und opfern Sie Kinder nicht mit falschen Überzeugungen und Modellen, die nur für Aktionäre von Impfstoffhändlern nützlich sein können.

Kinder haben kein Risiko für Covid-19 und sind keine Vektoren von Covid-19. Der Versuch, ihnen ungetestete Impfstoffe zu injizieren, ist kriminell.

Dr. Gérard Delépine

[1] Antoine Beau Covid: Sollten Kinder geimpft werden, um im September wieder zum normalen Leben zurückzukehren? WISSENSCHAFT

04/07/2021

„Die Impfung von Minderjährigen ist ein potenzieller Hebel für Maßnahmen im Kampf um eine normale Wiederbelebung“, erklärt Jean-Stéphane Dhersin, Modellbauer

[2] Peter Brodin Warum ist COVID-19 bei Kindern so mild? Editorial Acta Pediatrica 24. März 2020

[3] Ji Young Park Erster pädiatrischer Fall der Coronavirus-Krankheit 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020, 23. März; 35 (11)

[4] LiangSua die verschiedenen klinischen Merkmale von Fällen von Koronaviruserkrankungen zwischen Kindern und ihren Familien in China – der Charakter von Kindern mit COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.

[5] Neuartige Coronavirus-Infektion mit Qinxue Shen bei Kindern außerhalb von Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002 / ppul.24762. Online vor dem Druck

[6] Ya-Nan Han et al. Eine vergleichend-deskriptive Analyse der klinischen Merkmale in der mit Coronavirus infizierten Kinder- und Erwachsenenpädiatrie 2019, April 2020

[7] Zhonghua Er Ke Za Zhi für die Pediatric Society und die Chinese Medical Association: Empfehlungen für die Diagnose, Prävention und Kontrolle der neuartigen Coronavirus-Infektion 2019 bei Kindern (erste Zwischenausgabe). 2020; 58: 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics

[8] Haiyan Qiu Klinische und epidemiologische Merkmale von 36 Kindern mit Coronavirus-Krankheit 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: eine Beobachtungskohortenstudie Lancet Infect Dis. 2020 25. März; S1473-3099 (20) 30198-5.

[9] Das WHO-Covid19-Dashboard wurde am 04.09.2021 konsultiert

[10] Kostas DANIS et al. Für Santé Publique France Cluster der Coronavirus-Krankheit 2019 (Covid-19) in den französischen Alpen, 2020 Klinische Infektionskrankheiten Oxford University Press für die Infectious Diseases Society of America.

[11] SARS-CoV-2-Infektion von Fontanet et al. In Grundschulen in Nordfrankreich: Eine retrospektive Kohortenstudie in einem Gebiet mit hoher Transmission medRxiv 2020

[12] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287 []

[13] Gestützt auf Berichte der kommunalen öffentlichen Gesundheitsdienste (GGD)

[14] Heavey L., Casey G., Kelly C. et al. Keine Hinweise auf eine sekundäre Übertragung von COVID-19 von Kindern, die in Irland die Schule besuchen, 2020. Euro Surveill 2020; 25: 2000903

[15] Laut dem australischen Nationalen Zentrum für Immunisierungsforschung und -überwachung https://www.bing.com/search?q=l%E2%80%99Australian+National+Centre+for+Immunisation+Research+and+ Monitoring & Form = QBLH & sp = -1 & pq = & sc = 0-0 & qs = n & sk = & cvid = 4D88315372394AACB2AA964A03900C84

[16] Nationales Zentrum für Immunisierungsforschung und -überwachung. COVID-19 in Schulen – Die NSW-Erfahrung. New South Wales, Australien: Nationales Forschungs- und Überwachungszentrum für Immunisierung

[17] Hildenwall H., Luthander J., Rhedin S. et al. Pädiatrische COVID-19-Aufnahme in einer Region mit offenen Schulen in den ersten zwei Monaten der Pandemie. Acta Paediatr. 2020; 00: 1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432

[18] Helena C. Maltezoua Übertragungsdynamik von SARS-CoV-2 in Familien mit Kindern in Griechenland: eine Studie von 23 Clustern J Med Virol. 2020, 7. August; 10.1002 / jmv.26394. doi: 10.1002 / jmv.26394

[19] Regierungsbehörde von Singapur. COVID-19: Fall in Singapur [Internet]. Singapur, Regierungsbehörde von Singapur. 2020; [Zitiert am 12. März 2020. Verfügbar unter: https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-singapor [

[20] Weiyong Liu et al.: Nachweis von Covid-19 bei Kindern Anfang Januar 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. No. 2020 2. April; 382 (14): 1370 & ndash; 1371

[21] ) Liu Y., Yan LM., Wan L. et al. Virendynamik in leichten und schweren Fällen von COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099 (20) 30232

[22] Hong H., Wang Y., Chung HT., Chen CJ., Klinische Merkmale der neuartigen Coronavirus-Krankheit 2019 (COVID-19) bei Neugeborenen, Säuglingen und Kindern, Pädiatrie und Neonatologie, https://doi.org/10.1016/j. pedneo.2020.03.001.

[23] Wu Z, McGoogan JM. Merkmale und wichtige Lehren aus dem Ausbruch der Coronavirus-Krankheit 2019 (COVID-19) in China: Zusammenfassung eines Berichts über 72.314 Fälle des chinesischen Zentrums für die Kontrolle und Prävention von Krankheiten. JAMA 2020; online veröffentlicht am 24. Februar. DOI: 10.1001 / jama.2020.2648

[24] Jonas F. Ludvigsson-Makroanalyse von Covid 19 bei Kindern. Acta Paediatr. 2020 23. März

[25]   Entscheidung des Staatsrates vom 2. April 2021 Reisebeschränkungen für geimpfte Personen sind gerechtfertigt

[26] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immunevasion Mittel , die wir brauchen einen neuen COVID-19social Vertrag Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468 -2667% 2821% 2900036-0