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lettre adressée aux députés et sénateurs 19 nov 2020 : informations sur risques des vaccins COVID

les vaccins anticovid qui devraient être mis sur le marché relèvent d’une technique jamais utilisée jusqu’à présent pour fabriquer un vaccin. Elle recourt aux organismes génétiquement modifiés et à l’insertion dans les cellules de l’Hôte d’ARNm dont on ne connait pas le devenir. Selon le principe de précaution, ces vaccins ne devraient être autorisés avant expérimentation longue.

de plus l’intérêt de ce vaccin est très discutable étant la très faible létalité de la maladie, en particulier chez les jeunes et enfants (moins de morts qu’avec la grippe)

 

des juristes ont adressé aux élus de la République la lettre ci-jointe que nous vous demandons de diffuser au maximum à vos maires, conseillers généraux, mais aussi à tout un chacun pour information

 

 

« Le CRIIGEN a réalisé une étude de 10 pages sur les risques considérables que ces nouveaux types de
vaccins ADN recombinés et ARN vont nous faire courir sous prétexte de nous protéger du COVID.
Que va-t-il se passer après l’injection de ces « vaccins » OGM sur le génome de notre organisme, celui
de nos enfants, le vôtre et ceux de votre famille après 6 mois ou 3 ans comme dans l’exemple cidessous sur des enfants, si ces morceaux d’ARN de Moderna ou de Pfizer modifient notre ADN et le
rende fou ? « 

cliquez sur le lien ci-dessous

lettre députés sénateurs 

chaine  TVlibertés

 

écoutez le samedi politique du 14 NOV 2020 présenté par Elise Blaise sur tvlibertés avec Gerard Delépine

 

http://mtr.cool/bopdenlohw

« Encore 15 jours (minimum) de confinement. Le premier ministre Jean Castex l’a annoncé, les Français vont devoir encore attendre pour avoir une chance de revoir la liberté… Plus le temps passe, plus les populations s’attendent à être assignées à résidence éternellement… Une situation inquiétante tant sur le plan des libertés que sur celui de la santé. Seule solution présentée par les dirigeants politiques : le vaccin… Une perspective qu’illustre bien l’annonce du laboratoire américain Pfizer présentant son vaccin contre le Covid-19 en cours d’élaboration comme « efficace » à 90%… Il n’en fallait pas plus pour que des responsables politiques sautent à pieds joints dans l’obligation vaccinale. Une option bien incertaine au vu de l’absence de recul possible sur ce fameux vaccin. Face à ce totem, un véritable désintérêt se dessine pour des solutions thérapeutiques. Le professeur Didier Raoult, qui propose un traitement que l’on rechigne à tester sérieusement dans des conditions conformes au protocole de l’infectiologue marseillais, est de son côté poursuivi par l’Ordre des médecins… Un Ordre des médecins qui semble plus timide quand il s’agit d’enquêter sur les conflits d’intérêts de certains praticiens médiatiques… Dans cette hystérie globale, où ordres, contre-ordres, et mensonges se succèdent, les Français semblent perdus. Ils cherchent des réponses ailleurs, notamment dans le documentaire « Hold-Up »… Le docteur Gérard Delépine, chirurgien oncologue et statisticien (auteur avec Nicole Delépine de Autopsie d’un confinement aveugle Ed. Fauves disponible ici https://www.tvlibertes.com/produit/ni…) revient pour nous sur une situation souvent incompréhensible rythmée par des choix politiques opaques. Retrouvez-nous sur : https://www.tvlibertes.com/ https://www.facebook.com/tvlibertes/ https://twitter.com/tvlofficiel?lang=fr  « 

Non aux reconfinements mortifères, même locaux

 

 

Par le docteur G. Delépine

 

Le confinement aveugle qui nous a été imposé de manière totalitaire représente la plus grande catastrophe dont la France a souffert depuis 75 ans. Ce n’est pas le Covid19 qui est responsable de la majorité des morts observés ni de l’état catastrophique actuel du pays, mais les mesures sanitaires inadaptées[1] et disproportionnées qui nous ont été imposées.

 

 

 

Ne savent-ils pas compter ou veulent ils veulent-ils sciemment nous nuire ?

Une politique se juge à ses résultats. La politique sanitaire française a été particulièrement contreproductive puisqu’elle nous a amené dans le top 6 européen des plus hauts taux de morts par Covid derrière la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la Grande Bretagne et la Suède avec quatre fois plus de morts qu’en Allemagne (490/million contre 114/M) et 25% de plus qu’aux Pays-Bas qui ont laissé leur population libre de ses mouvements, ne pleurent pas de victimes collatérales et bénéficient de perspectives économiques moins catastrophiques que les nôtres.

 

 

Ce confinement aveugle (astreignant à résidence ensemble les malades contagieux et les biens portants contre toute logique sanitaire ) a été directement responsable d’un excès de 25000 morts [2][3] attribuées au covid19, de 25000 à 30000 morts collatéraux supplémentaires (survenues ou à venir) par arrêt des soins des autres pathologies, d’une aggravation des violences familiales, des pathologies psychiatriques, d’un décrochage scolaire massif[4], d’une fracture sociale sévère[5] et de la plus grave crise économique [6] depuis la dernière guerre mondiale.

Ce bilan catastrophique du confinement ne perturbe apparemment pas le lobby de la terreur qui prône en permanence de le réimposer, sans qu’un débat démocratique ne puisse avoir lieu dans les médias, car les opposants sont le plus souvent exclus.

Ainsi J F Delfraissy, président du Conseil scientifique n’exclut pas un re confinement local[7]. » ni Esther Duflo vante les mérites d’une organisation « sereine » d’un re confinement. Ni Jérôme Marty, président du syndicat de l’Union française pour une médecine libre (UFML) qui estime que  » ce qu’il risque d’arriver c’est un re confinement total, comme ils vont le faire au Royaume-Uni à la Toussaint » ni Christine Rouzioux qui croit que les mesures prises par le gouvernement n’étaient pas assez drastiques et prophétise  » les hôpitaux seront pleins très rapidement et seront submergés.

Le Canard Enchainé a récemment dévoilé le scénario de l’Elysée des confinements locaux prévoyant dans certaines régions avec le passage possible à l’état d’urgence sanitaire. Apparemment, pour eux, quand une mesure a été catastrophique il faut la réutiliser !

L’absence de débat, les mensonges permanents inversant les versions, les chiffres faux et différents selon les sources officielles diverses créent la confusion mentale des citoyens et l’impossibilité totale de comprendre. Ce n’est pas être uniquement de l’incompétence, mais évoque plutôt l’application d’une technique totalitaire bien éprouvée et décrite depuis des lustres, même si elle peut utiliser des incompétents, ou naïfs ou ignorants pour la mettre en œuvre avec le plus grand naturel.

 

Comment avions-nous fait auparavant lors des grandes pandémies modernes ?

Depuis la guerre de 40-45, deux autres épidémies majeures (grippe asiatique et grippe de Hong Kong) ont fait plus de victimes que le Covid19 en France et dans le monde. Elles n’ont justifié ni l’état d’urgence, ni la suspension de nos droits fondamentaux et n’ont pas causé les dommages colossaux que nous constatons actuellement tant pour la société, que pour l’éducation et l’économie.

Et plus récemment en janvier 2017 la grippe banale a tué près de 14000 français. Les médias en ont peu parlé et la vie a continué, normalement. Car la vie est une maladie sexuellement transmissible, en permanence exposée aux dangers, et constamment mortelle…

 

Comment ont fait les pays qui ont vaincu le Covid19 ?

Après la Chine, quatre pays ont affronté le Covid19 avec succès et sans confinement en reposant leur stratégie sur les méthodes traditionnelles de lutte contre les pandémies le contrôle des frontières et l’isolement des malades (la quarantaine de 15 jours).

 

Prophéties mathématiques mensongères et faits constatés dans le monde réel

 

De nombreux articles ont vanté les mérites du confinement aveugle à la française en prétendant, comme les prophéties de Ferguson, qu’il ralentirait le rythme des contaminations, éviterait la surcharge hospitalière, permettant ainsi aux autres malades d’être soignés et d’hospitaliser nos ainés qui en auraient besoin.

En comparant les morts recensés à leur prophéties initiales, ils ont même prétendu avoir sauvé 60000 français et 3 millions d’européens. Leur méthode réside à comparer leur prédiction catastrophique (multipliant par 10 à 20 le nombre des morts attendus) au nombre réellement observé et à s’attribuer le mérite d’avoir grâce à leur recommandation, sauvé la différence.

Leur trucage est évident lorsqu’on analyse l’article où ils se vantent d’avoir sauvé 3 millions d’européens[8] ; dans leur « extended data tableau 1 », ils donnent leurs résultats pays par pays au 4 mai 2020.

 

 

 

Pour la Suède, ils constatent le faible nombre de décès observés (2769), le comparent à leur estimation initiale sans confinement pour cette date (28000) et affirment alors avoir sauvé 26000 suédois, grâce au confinement.

Malheureusement pour eux, les suédois n’ont jamais confiné, démontrant ainsi que les prophéties de Ferguson et ses élèves majorent par dix le risque réel, qu’ils ignorent les politiques sanitaires appliquées par les pays « étudiés » et que leur « vies sauvées » virtuelles ne constituent en réalité que la mesure de l’erreur de leurs estimations.

Il est triste de constater que cet article, grossièrement erroné, a été publié dans la revue Nature jadis réputée pour son sérieux.

 

Les conséquences dramatiques du confinement aveugle dans le monde réel.

Echec contre le Covid19

L’examen des courbes de contamination observées montre que l’astreinte à domicile (ou dans leur Ehpad), ensemble malades et biens portants, n’a pas ralenti le rythme des contaminations en France, comme dans les pays voisins qui ont appliqué cette technique moyenâgeuse.

 

 

 

En Belgique, la propagation de l’épidémie a même été franchement accélérée par le confinement aveugle ainsi que le montre la comparaison des courbes de contaminations en Belgique (confinée) et aux Pays-Bas (non confinés).

 

 

L’accroissement du risque de contamination par le confinement aveugle vient d’ailleurs d’être confirmé par une étude espagnole[9] démontrant, sur des tests sanguins, que les personnes qui n’étaient pas confinées ont été moins infectées que les personnes confinées.

 

 

Cette accélération des contaminations explique l’augmentation de la mortalité dans tous les pays qui ont confiné à l’aveugle. La comparaison des courbes de mortalité entre la France et l’Allemagne (qui n’a pas confiné aveuglément mais pratiqué des quarantaines ciblées est éloquente :

 

Le confinement aveugle pratiqué en France a été suivi d’une considérable augmentation de la mortalité Covid19 contrairement à l’Allemagne

 

Le confinement aveugle est de plus responsable d’environ 30000 victimes supplémentaires actuelles/futures par défauts de soins

Le confinement s’est accompagné du plan blanc réservant la quasi-totalité des moyens hospitaliers au Covid, imposant un arrêt de toutes les activités médicales hors Covid, interdisant toutes les interventions chirurgicales nécessaires aux malades ordinaires. Ce plan blanc a laissé de très nombreux hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et a conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radio etc.

 

En Ile-de-France, le confinement a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé[10].

Or les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt (en général et à bon escient) et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance menacent la vie des malades à court ou moyen terme.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard …) dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

 

Malades aigus déjà morts du confinement

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière affirme que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer des dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Une étude de l’Inserm[11] menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

 

Malades chroniques abandonnés

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale. Des patients fragiles, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les soins en cancérologie désorganisée par les ARS

Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation. Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure. Ce sont les ARS qui ont bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et exigeant qu’on les remplace par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Pays perdu dont les médecins transformés en robots doivent obéir à des administratifs. Il semble bien que cela recommence puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre un nouveau plan blanc alors que le nombre de morts par covid (supposé) est dix fois inférieur à celui de mars au plus fort de l’épidémie.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie comme on l’a vu, de neurologie, d’endocrinologie, rhumatologie, d’insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de les chiffrer précisément avant des années, d’autant qu’il faudra aussi additionner l’excès de morts par suicide à venir à la suite du choc post traumatique subi. Comme nous l’avons déjà écrit la deuxième vague sera psychiatrique.[12]

 

Maladies nouvelles diagnostiquées et traitées avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations observée a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

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380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le plan blanc 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer mais ce chiffre semble être descendu de moitié. L’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne : « pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer”, explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès.”

Si on ajoute les morts prévisibles des autres pathologies, le bilan mortifère du plan blanc s’élève actuellement pour la France à plus de 25000-30000 morts.

 

Au total 25000 morts du Covid19 qu’on aurait pu éviter, 25000-30000 victimes collatérales par défaut de soins soit un total de plus de 50000 victimes du confinement. Ces estimations ne constituent que des minimas auxquels il faut ajouter celles des violences familiales, de l’explosion des pathologies psychiatriques et des suicides, d’une fracture sociale inédite entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées), une catastrophe éducative (avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent pas les autres enfants ni les adultes.

 

Les victimes de la crise économique parfois lointaines et ignorées

La crise économique du confinement s’annonce d’une ampleur inégalée depuis 1945 avec une diminution prévue de plus de 10% du PIB, des dépôts de bilan qui s’accumulent et le chômage reparti vers des records historiques.

La famine sévit déjà en France, où le nombre de pauvres a bondit de plus d’un million et ou les restaurants du cœur doivent faire face à des affluences record. De plus en plus de mamans témoignent : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et je ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

En Afrique l’aggravation de la famine dû à la crise économique du confinement va entraîner, plus d’une centaine de millions de morts d’après l’ONU et le programme alimentaire mondial contre la faim[13] .

 

Une Crise démocratique majeure sans équivalent depuis la dictature de vichy. Le gouvernement de la France qui prétend donner des leçons de démocratie au monde est dirigée depuis plus de six mois sous un état d’urgence plus autoritairement que Taiwan, la république de Corée ou Singapour dont les taux de mortalité Covid19 sont près de 100 fois inférieurs au nôtre, qui ne déplorent pas de victimes collatérales et dont les dégâts économiques s’annoncent deux fois moindres.

La poursuite de prétendues mesures sanitaires dont l’efficacité n’a jamais été prouvée contribue à aggraver la panique et à détruire l’économie.

Reconfiner priverait à nouveau inutilement nos enfants de leur éducation et ferait tellement de dégâts à notre économie déjà très malade que notre capacité à financer sur le long terme notre système de santé et d’autres services publics serait sérieusement entamée.

 

Que peut-ton faire ?

L’opposition – et pourquoi pas des députés et sénateurs de la majorité conscients de foncer dans le mur, et les grands médias doivent cesser d’être à la remorque du gouvernement et adopter une attitude critique constructive sans concession.

Les résultats réels catastrophiques du confinement français doivent être rappelés et dénoncés de même que la prolongation de l’état d’urgence et des mesures sanitaires totalement inutiles, voire nocives (port du masque toute la journée à haut risque d’infection) qui bloquent l’économie avec des normes fantaisistes jamais validées par aucune étude scientifique et des évictions de personnels non malades dont le seul tors a été de se faire tester.

Le Premier ministre norvégien E Solberg a reconnu à la télévision nationale Le 27 mai dernier. « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur » « fermer des écoles et des jardins d’enfants, faire travailler tout le monde à domicile ou limiter les rassemblements à un maximum de cinq personnes a été excessif » C Stoltenberg, directrice de l’Institut norvégien de santé publique a confirmé « le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19. ». Le président Macron se grandirait en reconnaissant, comme elle, avoir agi par peur d’une prophétie catastrophe manipulatrice.

Une politique sanitaire efficace doit être fondée sur l’expérience médicale des pays qui ont vaincu la maladie et pas sur des prédictions mathématiques qui se sont toutes révélées totalement fantaisistes. Plutôt que de prendre modèle sur la Chine, nous aurions dû méditer l’expérience de Taiwan, qui a démontré que « la meilleure façon de contenir le coronavirus n’est pas de mettre en quarantaine les informations sur l’épidémie, mais de les rendre plus faciles et plus pratiques pour personnes à accéder aux informations pertinentes. »

Arrêtons cette propagande de la terreur. Rassurons la population. Mettons fin à cette accumulation de mesures grotesques qui pourrissent inutilement la vie de nos compatriotes et vont achever l’économie.

L’épidémie est terminée et la deuxième vague dont on nous menace depuis quatre mois n’est qu’une vaguelette qui conforte progressivement, grâce aux jeunes, l’immunité collective qui protégera nos ainés comme elle le fait dès maintenant en Suède[14]

 

 

Retrouvons nos libertés pour redresser le pays.

Renforçons le système sanitaire en le libérant du carcan bureaucratique des ARS qui ont montré leur grave pouvoir de nuisance lors de cette crise[15].

Affectons immédiatement plusieurs milliards aux hôpitaux pour qu’ils accroissent leur capacité de réanimation, et l’effectif de leur personnel soignant en augmentant immédiatement d’au moins 300 euros les soignants au contact des malades et en allégeant leurs contraintes administratives. On ne manque pas d’infirmière ni de médecins en France mais leurs conditions de travail en ont dégouté un trop grand nombre ; redonnons-leur le plaisir de traiter les malades et d’être à nouveau utiles.

 

L’OMS lui-même réfute le confinement.

Le Dr David Nabarro a lancé un appel aux dirigeants mondiaux leur demandant d’arrêter « d’utiliser les confinements comme méthode de contrôle principale » du coronavirus. « Les confinements n’ont qu’une seule conséquence que vous ne devez jamais prendre à la légère, c’est qu’ils rendent les gens pauvres beaucoup plus pauvres » « Nous, au sein de l’Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle de ce virus ».

 

 

[1] Aucune des mesures de distanciation sociale qui ont été imposées ne repose sur des preuves scientifiques ni sur une utilisation médicale réussie. Seule la quarantaine a prouvé son efficacité.

[2] Professeur Christian Perronne 16 juin 2020 : « On a eu 30 000 morts en France, j’ai honte pour notre pays. Sur ces 30 000, on aurait pu en éviter 20 000 voire 25 000 »

[3] Par rapport à l’Allemagne qui n’a pas confiné mais pratiqué la prévention classique des épidémies par l’endiguement 24500 morts de trop en France estimation finale Christian Perronne avait vu juste France soir 5 8 2020 http://www.francesoir.fr/covid-19-24500-morts-de-trop-en-france-estimation-finale-christian-perronne-avait-vu-juste

[4] Avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes

[5] Entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées

[6] Chômage en forte hausse, baisse record du PIB. En France, il est estimé que les faillites d’entreprises devraient croître de 25 %, hausse similaire à ce qui est attendu en Italie et en Belgique. En comparaison, l’Allemagne et le Japon devraient mieux s’en tirer (+10 %) sur cette période.

[7] Le 9 10 au micro de BFM TV

[8] Seth Flaxman Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe Nature

. 2020 Aug ;584(7820) :257-261. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32512579/

[9] : Estudio nacional de sero–epidemiologia de la infection por SARS-COV-2 en Espana. Informe preliminar 13 de mayo de 2020.

[10] Parmi ce décompte de consultations, combien en télémédecine, combien avec examen clinique et contact direct en la présence du médecin et du patient ?

[11] Eloi Marijon*, Out-of-hospital cardiac arrest during the COVID-19 pandemic in Paris, France : a population-based, observational study Lancet Public Health 2020 May 27, 2020 https://doi.org/10.1016

 

[12] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vague-psychiatrique-deja-rude-ne-sera-pas-en-cloche : Les psychiatres ont mis en garde dès le début du confinement sur les effets pervers de l’enfermement chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées mais qui décompenseront. Curieusement, s’il l’on compte chaque jour les quelques patients malades du covid ou supposés tels, les vrais et faux positifs et surtout les consultants pour « angoisse de covid » qui constitue le nouvel indice de « vague », un silence de mort pèse sur le versant psychiatrique de cette crise majeure.

 

[13] D’après D Beasley, patron du PAM Lors d’une visioconférence du 21 avril au Conseil de sécurité de l’ONU

[14] D’après le rapport OMS -weekly-epi-update-9 du 9 octobre la France a compté dans la dernière semaine 110 665 nouveaux cas et 480 morts contre 2804 tests positifs et 5 morts en Suède.

[15] En particulier en refusant l’accès des réas puis de l’hôpital aux pensionnaires des Ehpad, en bloquant les soins et les interventions ordinaires durant le confinement et maintenant, en imposant des tests avant tout traitement ce qui aboutit à retarder inutilement les soins nécessair

Paru le 15 septembre 2020 – Autopsie d’un confinement Aveugle

Le 17 mars 2020, plus de 65 millions de Français entraient en période de confinement pour huit semaines. Hôpitaux impréparés, écoles fermées, isolement des personnes les plus fragiles, économie à l’arrêt, déclarations contradictoires et surabondance d’informations… Face à cette mesure jugée abusive et contraignante, faisant fi des préconidations et rapports scientifiques, Nicole et Gérard Delépine ont multiplié tribunes et articles pour alerter des conséquences désastreuses – médicales, sociales, psychologiques, économiques – d’un confinement généralisé.

Le confinement fut-il une mesure sanitaire ou politique ? Pourquoi le Pr Raoult a-t-il été voué aux gémonies ? Pourquoi a-t-on fermé les écoles, alors qu’il fut prouvé que les enfants n’étaient pas contagieux ? Comment expliquer les déclarations contradictoires sur le port du masque ? Pourquoi l’argent ne suffira-t-il pas à régler les problème de l’hôpital ? Que s’est-il réellement passé dans les EHPAD ?

Fidèles au serment d’Hippocrate, Nicole et Gérard Delépine ont tenu leur rôle de médecins dans un climat mortifère où la population fut infantilisée. Le présent document rassemble leurs contributions parues entre le 17 mars et le 16 juin 2020 et retrace l’évolution de leurs réflexions en fonction des informations, vraies comme fausses, qui ont circulé pendant cette période.

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue et Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de 40 ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

Broché : 432 pages

ISBN-13 : 979-1030203547

Fangue : : Français


Ils en parlent :

 

La supercherie des tests PCR devient officielle et aggrave la situation

La supercherie des tests PCR devient officielle et aggrave la situation. Depuis quelques semaines, plusieurs médecins et biologistes comme le Dr Pascal Sacré, réanimateur belge, attirent l’attention des citoyens sur l’absence de fiabilité des tests PCR gratuits proposés larga manu aux frais de la Sécurité sociale.

Mais la propagande publicitaire du gouvernement pour toujours plus de dépistage ébranle les convictions par la force de l’autorité et de la répétition du mensonge selon les prescriptions de Propaganda et son apôtre Goebbels…

Un mensonge répété mille fois devient vérité… Cela a beaucoup été rappelé depuis mars, mais peut-être ne sont-ce que les mensonges plus rassurants que le peuple a envie de croire. Un autre sujet de réflexion.

En attendant, nous avons été très intéressés par le post sur Facedebouque de Peter El Baze à propos des tests, leur validité et leur interprétation. Nous vous invitons à lire en détail la totalité de son post :

LA SUPERCHERIE DES TESTS PCR

Nous vous en proposons quelques extraits. Peter El Baze insiste sur la « supercherie des tests PCR à la suite de la publication de la réponse des experts le 25 septembre 2020 :

« Il s’agit de la réponse des experts de la Société française de microbiologie à la suite d’une demande d’avis de ce gouvernement.

Dans ce document daté du 25 septembre :

– la SFM recommande de ne PAS donner la valeur du CT aux médecins traitants ! (Oui, vous avez bien lu, et c’est le cas depuis le début !)

– Que seuls les tests PCR avec CT inférieur ou égal à 33 (et que 3 cibles sont détectées) indiquent une infection Covid ;

– que pour un CT supérieur à 33 indiquer “positif faible” ;

– que pour un CT supérieur ou égal à 37 indiquer “négatif”.

Cela confirme encore une fois TOUT ce que j’écris sur les tests PCR depuis des mois.

Il est honteux de cacher la valeur du CT aux médecins car une grande partie des PCR indiqués “Positif” ont des CT > 35 jusqu’à 45 !

Je rappelle que selon la communauté scientifique internationale, seuls les PCR positifs avec CT < 30 doivent être pris en compte. »

Ne vous paraît-il pas bizarre que cette demande de la direction générale de la santé, c’est-à -dire de notre célèbre croque-mort, aux experts de la technique PCR, n’arrive que le 25 septembre alors qu’une politique nationale de dépistage massif a été déployée ? Les mauvaises langues diraient que c’est un peu tard, les plus méchantes ajouteraient : « comme d’habitude ».

Les longues listes d’attente surprennent, pour subir un test que beaucoup de médecins considèrent non fiable avec plus de 90 % de faux positifs , comme le CDC américain et le NY Times en ont témoigné dès fin août.

Beaucoup de médecins de plateau télé, qui participent à l’entretien de la panique-psychose collective avouent néanmoins que beaucoup de tests pratiqués dans le mois précédent n’ont pas de valeur, en tous cas ne témoignent pas de risque de contagiosité. Pourtant ils sont additionnés dans les calculs hebdomadaires du ministre pour tenter de prouver que l’épidémie progresse.

Et lorsque les chiffres témoignent d’une amélioration, ils sont « corrigés » par Santé Publique France pour soutenir le discours et les décisions du gouvernement comme récemment pour Marseille.

Comment, devant cette évidence de falsification, volontaire ou non, des tests proposés aux citoyens, peut-on croire la propagande gouvernementale sur « les incidences » qui montent ? Incidence de tests positifs non fiables ? Comment les Français acceptent-ils cette mystification qui saute aux yeux puisque malades, hospitalisés et morts ont été remplacés dans les discours officiels par cas, testés positifs.

Les conséquences sont tragiques pour le pays qui continue à ne plus pouvoir vivre normalement et pour encore plus de six mois, puisque 27 députés (contre 20) présents ont voté récemment la prolongation de l’état d’urgence que plus rien de sanitaire ne justifie.

En septembre, le travail a été en haché par ces isolements imposés de testés positifs non malades…

Qu’ont signifié ces quinzaines à l’écart, ces fermetures de classe d’autant plus grotesques que les enfants ne contaminent pas. Relire à cet égard notre dernière mise au point dans Nexus confirmant les analyses précédentes tirées de la littérature internationale et répondant aux informations falsifiées du Dr Lehmann sur France info et du Dr Gozlan sur son blog en décortiquant les articles qu’ils ont cités.

Le Covid ne passe pas par les enfants et leur présence paraît même protéger les adultes dont ils partagent le foyer d’après la récente publication du Centre for Population Health Sciences, University of Edinburgh, Edinburgh, UK.et de Public Health Scotland, Edinburgh, UK… Celle -ci démontre, sur plus de 300 000 soignants, que la présence d’enfants au foyer familial diminue le risque pour les adultes d’être contaminés, de se retrouver en réanimation.

Ces médecins des plateaux télé qui voulaient attribuer UNE PENSÉE MAGIQUE à ceux qui désirent que les enfants aient une scolarité normale n’ont probablement pas étudié en détail les papiers sur lesquels ils agitent la peur de contagion via l’enfant. Prenez le temps de les lire vous-mêmes s’il faut cela pour vous rassurer et tranquilliser vos amis, vos familles et surtout vos enseignants terrorisés pour encore trop d’entre eux.

La pauvreté monte.
Que signifie cette stigmatisation de Marseille qui coule ses bars, ses restaurants sans aucune justification sanitaire ? Emmanuel Macron n’a pourtant pas intérêt à couler complètement l’économie du pays. Quels sont ces tiraillements contraires qui aboutissent à une gestion complètement erratique ?

Il n’y a pas de deuxième vague.

En résumé, la propagande actuelle sur une pseudo-deuxième vague repose sur une multiplication des tests subis par les citoyens qui se précipitent dans les centres ouverts à ces tests, sans envisager les conséquences qu’ils subiront si le test a le malheur d’être positif, comme la recherche familiale et professionnelle d’autres possibles « cas ». En dehors de ces volontaires victimes de propagande, il y a tous ceux auxquels l’employeur impose ce fameux test bidon, roulette russe, pour reprendre le travail après quelques jours de congé (comme certains services hospitaliers et les Ehpad). Nous serions heureux de lire les circulaires ARS qui imposent ces contrôles absurdes et ruineux pour la Sécurité sociale.

Le gouvernement en a-t-il tellement besoin pour pouvoir alimenter la peur qui lui est nécessaire pour nous faire obéir comme l’avoue la ministre des Sports ?

Le ministre de la Santé est-il embarqué dans une spirale infernale pour masquer son interdiction tragique de la chloroquine, et son décret Rivotril couplé à l’interdiction de transférer les personnes âgées en hospitalisation et ses responsabilités médicolégales ?

Curieusement le peuple se couche « pour savoir », alors que depuis plusieurs semaines les spécialistes des tests expliquent que justement ces tests ne prouvent rien car il y a bien sûr des faux négatifs, mais aussi des faux positifs qui peuvent tout aussi bien témoigner de débris de virus récents ou anciens que d’un coronavirus actuel vivant.

90 % de ces tests positifs ne correspondent pas à des malades et même pas à des personnes contagieuses.
Bref, on ne saura pas ! Masochistes, les Français ? Recherche d’arrêt de travail, activité qu’ils ne supportent plus dans ce contexte masqué et angoissé pour « respirer » en dehors du masque et de l’atmosphère délétère, aggravée en Île-de-France par le délire écolo de la mairie, et les transports impossibles.

Nos confrères signalent que les prescriptions d’anxiolytiques se seraient multipliées.

Un problème majeur posé par ces tests imposés aux patients devant subir une intervention chirurgicale et le retard aux soins qui prolonge celui du confinement

Un des grands arguments des mesures dites sanitaires est de préserver la possibilité de soigner tout le monde en n’encombrant pas les lits d’hospitalisation par trop de malades Covid et de ne pas reproduire l’abandon des malades comme de mars à juillet, laissé-pour-compte enfin avoué.
En pratique, c’est tristement l’inverse qui se passe dans les services.

Lits occupés par des patients en attente de négativation d’un test Covid pratiqué à l’entrée, pendant des semaines pour RIEN !

Alors que les journalistes et politiques tentent de nous faire croire que les lits hospitaliers seront rapidement insuffisants, on occupe des lits de malades en attente. Si vous devez subir une intervention, les Agences régionales de santé imposent aux anesthésistes de faire pratiquer un test PCR. Si vous tombez par la roulette russe sur un test positif, on vous bloque dans un lit en attente (alors qu’éventuellement on avait expliqué au malade qu’il devait être opéré dans la journée car son cas était urgent) jusqu’au prochain test une semaine plus tard.

Si ce deuxième test est négatif, on vous demande un nouveau contrôle… Et si par hasard il revient positif, vous pouvez attendre dans le lit de l’hôpital que vous n’occupez POUR RIEN et laisser évoluer le problème urgent qui vous avait fait hospitaliser…

Nous avons en tête la triste histoire de ce malade hospitalisé en urgence pour changer un pacemaker infecté quasiment dans l’heure (car d’après son cardiologue tout retard au geste chirurgical risquait de mettre sa vie en jeu) et qui s’est vu refuser l’intervention sur la foi d’un test positif. Bloqué à l’hôpital avec un simple traitement médical jusqu’au second test qui s’est révélé négatif puis un troisième qui est redevenu positif. Quelle belle démonstration de la fiabilité des tests et du retard inutile qu’ils entraînent, même pour les urgences vitales et de la surcharge inutile qu’ils imposent aux services hospitaliers (3 semaines pour rien au moins).

Que d’angoisse, que d’hospitalisations prolongées inutiles et dangereuses avec risque de décompensation de la maladie qui vous avait fait hospitaliser pour des tests non fiables sans parler de la déprime du patient et des risques de l’hospitalisation prolongée des personnes âgées !

Quelles justifications ont ces tests imposés au hasard, indépendamment de l’examen clinique de l’anesthésiste, depuis septembre, puisque ces tests n’étaient pas imposés avant septembre mais décidés par les médecins s’ils leur semblaient utiles ?

Tout est fait pour bloquer le système à tous niveaux sans aucune réflexion de type médical, ni économique. Il est temps d’en sortir, que des politiques connus s’expriment en plus des collectifs de médecins qui se sont exprimés malgré la censure.

Sauvons nos hôpitaux et nos malades de l’hystérie gouvernementale et de la dictature malfaisante des ARS. Refusons ces tests qui ne servent à rien et tous ces interdictions pseudo-sanitaires qui empêchent le retour à une vie normale, bloquent l’économie, entretiennent la panique, entraînent la faillite de nombreux indépendants, la fermeture de nombreuses entreprises, un chômage galopant et un accroissement de la pauvreté les plus graves depuis la dernière guerre.

Ce n’est pas le Covid-19 qui a le plus tué de Français mais les mesures sanitaires de l’état d’urgence qui ont été imposées sans justifications ni débat démocratique. Le confinement aveugle a augmenté les contaminations et les morts ; le refus de traiter par chloroquine et/ou antibiotiques les pensionnaires d’Ehpad et le conseil de leur administrer du Rivotril pour les achever ; la prolongation de l’état d’urgence et des mesures inefficaces ont abouti à nous placer dans le top 1O mondial de la mortalité attribuée au Covid. Et la persévérance dans la propagande et l’utilisation des tests prolonge la panique et risque d’aggraver terriblement les complications psychiatriques, économiques et sociétales de la crise. Combien de suicides déjà attribuables à cette crise ?

Nicole Delépine

à lire également sur Riposte Laïque

Tribune : Le gouvernement fait enfin mine de reconnaître que les enfants sont innocents du Covid[1], qu’ils en risquent moins que de la grippe et qu’ils ne transmettent pas le virus. Mais -en même temps- le gouvernement diffuse un clip mensonger terrorisant les enfants qui veulent embrasser leurs grands-mères en prétendant qu’ils pourraient ainsi la tuer. Et -en même temps- le ministère de l’éducation maintient contre toute logique l’obligation du masque pour les enfants et adolescents. Il faut exiger du ministère de l’éducation nationale d’aller plus loin et rapidement pour mettre fin à l’obligation du masque pour les enfants et adolescents.

Pendant qu’un collectif de professionnels de santé alerte le monde [2] et qu’un collectif de parents[3] enfin s’organise pour porter plainte contre le port du masque par les enfants et adolescents pendant les cours, avec interdiction de prendre une bouffée d’air, même pendant les récréations, ou les intercours[4], de nombreuses voix, un peu partout, s’élèvent pour expliquer le danger du masque permanent chez l’enfant [5], au-delà de la mise en condition de soumission et d’esclavage.

Permettons d’en citer quelques-unes à nos lecteurs et de leur donner de l’écho. Un chirurgien ORL belge [6]– qui sait bien ce qu’est un masque chirurgical- nous révèle des aspects insoupçonnés des dangers pour le petit au-delà de tous les points déjà largement détaillés par des professionnels comme le docteur Pascal Sacré réanimateur belge[7], et le professeur Denis Rancourt[8] canadien, tous deux largement repris par des vidéos d’alerte.

Voici quelques extraits de la lettre ouverte[9] du Docteur Brihaye, chirurgien ORL, spécialisé en rhinologie pédiatrique, qui a développé des techniques chirurgicales pour aider les nouveau-nés souffrant de malformations nasales à mieux respirer par le nez. Il insiste d’emblée sur le fait « qu’une bonne oxygénation du corps et du cerveau est très importante pour le développement physique, psychomoteur, intellectuel et émotionnel des jeunes enfants, et que cette oxygénation est principalement dépendante d’une bonne respiration nasale. »

« L’observation de ces petits enfants en manque de respiration nasale nous montre qu’ils entrent dans une sorte de léthargie, d’hypotonie, pour diminuer leur besoin en oxygène et ainsi diminuer leur inconfort. De même, je soigne et développe des techniques chirurgicales pour les enfants de tout âge souffrant de maladies ou de traumatismes nasals afin de leur permettre de retrouver une bonne respiration par le nez. Il est spectaculaire de voir la libération immédiate et le développement rapide des enfants qui ont récupéré une bonne respiration nasale. Ils montrent alors une avidité à découvrir le monde. »

Quelle n’est pas ma surprise de découvrir que, sous des prétextes sanitaires, on muselle les enfants à l’école, les empêchant de respirer librement par le nez et diminuant ainsi l’oxygénation de leur cerveau, alors que l’école est le lieu où ils doivent utiliser leur cerveau pour apprendre et étudier. »

Les masques, portés hors des salles d’opérations, ont des effets secondaires importants

Pour tous les naïfs, et plus pervers pour certains, qui serinent à longueur de tweets ou d’antennes radio et TV que les chirurgiens et soignants portent bien leurs masques toute la journée sans effets nocifs (ont-ils des études scientifiques à brandir ?) le Dr Brihaye répond d’emblée :

« Ils provoquent un déficit en oxygène pouvant causer des céphalées, de la fatigue, une baisse de concentration, des nausées, comme dans le mal des montagnes, dû à une diminution de l’oxygène dans l’air ambiant. De plus, le CO2 qui ne peut être expiré correctement, s’accumule rapidement. Après une minute de port du masque, l’air inspiré peut atteindre des valeurs de CO2 dépassant plusieurs fois les limites tolérées dans les lieux de travail (900ppm, Codex 6 du code du travail). »

N’oublions pas que les salles d’opération sont des milieux protégés, en température, humidité et filtration de l’air. Nos savants experts médiatiques mentent ou sont ignorants. Dans les deux cas, il serait urgent qu’ils se taisent.

« Le masque, porté sur le nez dans des pièces non conditionnées en température et humidité et non protégées des micro-organismes (comme l’est une salle d’opération), devient rapidement un bouillon de culture. Il en résulte que les enfants que je vois en consultation depuis la rentrée présentent de plus en plus souvent des rhinites croûteuses et/ou des infections nasales et sinusales. »

Il rappelle que pendant les épidémies virales, il faut aérer au maximum, le contraire de ce qu’il fut recommandé au début du Covid. Idem pour le nez de nos enfants, il faut l’AERER !

« Il en est de même pour les nez de nos enfants, qui doivent rester ventilés pour y éviter la concentration anormale de germes en tous genres.

En plus, puisqu’un virus peut se concentrer dans le masque, lorsqu’on l’enlève, le virus peut se concentrer dans les mains et ainsi se propager. D’autant plus qu’il n’y a pas de système de décontamination des masques usagés dans les écoles… »

Le pire n’est-il pas l’impact psychologique qui casse l’enfant ?

« Le port du masque et la distanciation sociale induisent une dissolution du lien social, du contact visuel et physique si important pour le développement et l’épanouissement d’un enfant, et ainsi pour le renforcement de son système immunitaire. La respiration est la base des techniques de gestion émotionnelle. Or ce n’est pas à nos enfants de porter le poids des angoisses, des peurs de la mort des adultes. »

L’Orl rappelle alors que l’épidémie est terminée depuis plusieurs mois en Belgique et que les malades résiduels de queue d’épidémie ne justifient en rien les mesures drastiques prises par les gouvernements pour alimenter la peur et passer pendant ce temps des mesures liberticides dans de multiples domaines. Le traitement médical reconnu par plus des trois-quarts des médecins dans le monde par chloroquine et azithromycine et enfin réhabilité en Belgique depuis quelques jours permettra de guérir ces quelques patients résiduels.

La France sera-t-elle le dernier pays à reconnaître son erreur et à rassurer les Français morts de peur en avouant qu’un traitement efficace les guérira dans le cas improbable d’un covid, et avouera également la supercherie des tests à gogo, non fiables, puisque les tests PCR non recommandés pour le dépistage par son inventeur, trompe les citoyens : positifs, ils sont à 90 % porteurs de traces de virus, chez des sujets non contaminants. A quoi servent ces tests, sinon à accélérer la faillite de la sécurité sociale déjà mise à mal par la perte des cotisations due au confinement ?

La maltraitance des enseignants à l’école

« Et que dire des enseignants qui doivent porter le masque pour donner cours ? Notre confrère Desuter, laryngologue, a mis en garde contre la survenue rapide de pathologies laryngées et vocales, avec un risque grandissant d’arrêt de travail pour nombre d’entre eux. »[10]

Depuis avril 2020 et les discussions hallucinantes sur le danger de rouvrir les écoles, dans lesquelles nos politiques de la majorité mais aussi de l’opposition (si elle existe) ont fait globalement la promotion d’un faux risque de transmission par les enfants, nous insistons sur l’absence de danger pour et par les enfants de moins de 19 ans pour le Covid. [11] [12] [13]

Comme disent certains, les enfants sont innocents du Covid ! Le Dr Brihaye rappelle pour les belges : « Sans doute est-il utile de se remémorer la lettre ouverte signée en juin par les responsables de l’ensemble des services de pédiatrie du pays, expliquant que les enfants ne sont ni vecteurs ni malades de la covid-19 et qu’à ce titre ils ont droit à une scolarité normale. Ils nous rappelaient également de comparer notre situation avec celle d’autres pays, aujourd’hui les Pays-Bas et surtout la Suède, où les écoles, comme d’ailleurs toute la société, fonctionnent normalement, sans aucune restriction « sanitaire », et sans pour autant que leur nombre de malades ou de décès ne soient plus important que le nôtre.

Il est de notre responsabilité d’alerter sur l’inutilité et la dangerosité des mesures sanitaires imposées à l’école, parmi lesquelles le port du masque généralisé. »

La détresse des enseignants

Bien sûr le danger organique pour les cordes vocales existe mais la détresse morale du professeur devant la soumission aveugle des étudiants grands et majeurs est pire. Méditons sur ce cri désespéré d’une internaute sur Facebook et largement diffusé par mail.

Cours d’art oratoire, en plein notre sujet, la diction, le corps, la posture… De l’art oratoire et du masque

« Cet après-midi j’ai donné cours et … Un cours d’art oratoire. Aujourd’hui c’est ma rentrée dans cette école. Je rencontre ces étudiants pour la première fois. J’ai face à moi 30 étudiants masqués. J’ouvre mon cours par un préambule qui me semble opportun et important de faire :  » Je ne porte pas de masque, je me tiens à distance de vous. Vous en portez un actuellement. Je vous invite à vous sentir pleinement LIBRES soit de le garder soit de l’ôter. Je vous invite à FAIRE CONFIANCE dans ce que vous sentez JUSTE et BON de faire pour VOUS, pour votre santé, pour votre confort. Vous êtes tous majeurs, des adultes responsables, capables de choix. Soyez assurés qu’il n’y aura aucun jugement  » bien ou mal » que vous décidiez de le garder ou de l’enlever. »

Elle croyait naïvement qu’adultes, ils étaient capables de choix … D’ailleurs certains plaident pour le vote à 16 ans. De la politique, probablement car devant les queues pour les tests de jeunes qui ne risquent rien et surtout qui viennent utiliser une technique PCR qui ne marche pas [14], on peut douter de l’opportunité de cette mesure ! S’ils témoignaient de la moindre curiosité, ils auraient vu que le très respecté NY Times journal gauchiste peu suspect de « complotisme » a dû avouer fin août que les tests positifs PCR étaient faux à 90 %, c’est-à-dire ne montraient que des traces de virus et absolument pas une contagiosité. Dernière mode du bobo parisien et des grandes villes, la queue pour un test inutile, éventuellement quelque peu dangereux si mal fait, et en tous cas absolument pas informatif. Alors pourquoi cette démarche de mouton ?

Trop formatés par l’enseignement des pédagogues dans lequel les démonstrations mathématiques par exemple disparaissent au bénéfice de l’apprentissage de formules au grand désespoir des professeurs… La soumission comme mode d’enseignement d’une matière fondamentale pour la formation du raisonnement abstrait et logique …

Très intéressant la remarque suivante de ce professeur d’art dramatique : «

J’ai cet après-midi deux groupes de 30 étudiants. Sur ces 60 étudiants, quelques-uns se sont autorisés à le mettre sous le nez et deux ou trois à l’enlever.

Une étudiante me demande si j’ai le DROIT de faire ce que je suis en train de faire. Je lui réponds que je fais le CHOIX de faire ce que je suis en train de faire.

Cette même étudiante me dit qu’elle porte le masque pour protéger, selon elle, les personnes vulnérables.

« Qui ? »

« Mes grands-parents »

« Ok. Nous sommes en classe là … « 

Je leur dis ensuite que si j’étais malade, je ne serais pas là à animer ce cours face à eux. Le cours serait annulé ou se tiendrait à distance.

Et je leur pose cette question  » et vous, êtes-vous malades ? »

Et là, d’une seule voix, ils me répondent :

 » Bah on ne sait pas Madame … », « On n’en sait rien en fait ! »

Je m’arrête un instant. Je les regarde et je leur dis « Je vous pose à nouveau la question, je pense que vous l’avez mal comprise :

Etes-vous malades ? « 

Pas de réponse de leur part.

Ça signifie quoi ? …

Ça signifie que dans la tête de ces étudiants, qui ont tous une vingtaine d’années, si un test ou tout autre élément extérieur ne leur a pas dit qu’ils sont malades, ils sont incapables de répondre à cette question simple. Ils ne savent pas qu’ils peuvent eux-mêmes évaluer l’état de leur corps et sonder si des symptômes (fièvre, mal de tête ou autre) existent chez eux. Ils ignorent qu’ils peuvent se faire confiance quant à la lecture de leur état. Aujourd’hui pour répondre à cette question, il faut, pour eux, un test PCR.

A mon tour d’être médusée un court instant. »

Concluons avec gravité qu’après six mois de matraquage médiatique oscillant entre les mesures pseudo médicales de type distanciation, masque et les discussions pseudo-savantes sur la nécessité d’essais randomisés, notre jeunesse a carrément oublié ce qu’est être un malade, avec des signes cliniques gênants et un docteur, une personne qui vous examine avant d’établir un diagnostic pour choisir avec le malade le traitement le mieux adapté à votre état.

Les médecins cliniciens ont complètement disparu de l’équation Covid19, comme au temps du cinéma du H1N1 où il fallait vacciner tout le monde et surtout pas passer par son docteur personnel… Mme Bachelot fière de son bilan parce qu’elle avait acheté des masques nous a coûté deux milliards pour rien avec ses vaccins, ses antiviraux, ses mesures et ses mensonges[15]. Bref, elle est aujourd’hui ministre de la culture. Véran n’a qu’à réfléchir à son avenir.

Un jeune de 20 -25 ans ne sait pas, en 2020, s’il est malade ou pas.

Pourtant quelques-uns font encore médecine. Pourquoi faire ? Ils iront sûrement vers la médecine de santé publique fonctionnarisée, ceux qui oublient de lisser les courbes et annoncent des chiffres faux qui affolent un peu plus…Erreur ou machiavélisme ? Ou alors vers les labos pour tenter de faire les PCR et autres. D’ailleurs c’est logique, s’ils ont étudié la composition du conseil scientifique d’E. Macron qui régit nos vies depuis six mois, ils auront compris qu’il vaut mieux être anthropologue, sociologue, à la rigueur virologue de laboratoire que médecin clinicien (un seul gériatre dans le conseil, généraliste marginalisé parmi les grands professeurs !) pour influer quelque peu dans la médecine française. Phénomène reproductible et reproduit dans toutes les grand-messes de congrès sur « l’avenir du système de santé » etc…

Un jeune ne pense plus à aller voir un médecin de famille s’il craint d’être malade

Depuis quelques 40 ans que nous déplorons la destruction de notre système de santé et des acquis du XXième siècle, nous découvrons qu’après avoir détruit la médecine, les énarques qui nous dirigent ont détruit l’idée même de « médecin clinicien ».

Hippocrate, ils ont tué la médecine mais aussi le concept même de médecin.

Les médecins libéraux ont bien été complices dans ce dernier épisode de leur annihilation psychique dans la tête de la jeunesse, car ils ont été soumis et silencieux pour la plupart, sidérés comme une bonne partie de la population.

D’autres, invités sur les plateaux au milieu des « grands professeurs » ont été subjugués et probablement déboussolés par leur soudaine notoriété. Ils se sont moulés dans l’avis des pseudo grands qui défendaient bec et ongles les essais thérapeutiques, « la recherche » oubliant de plaider l’intérêt du patient : un diagnostic clinique suivi d’un traitement éventuellement probabiliste comme ils le font régulièrement en cas d’urgence. Que les généralistes n’aient pas soutenu la démarche médicale du Professeur Raoult est extrêmement surprenant et cela démontre que l’enseignement universitaire des vingt dernières années, donné par les leaders d’opinion liés aux laboratoires a complètement dévoyé notre métier de médecin au lit du malade. La clinique a disparu des épreuves de titres qui permettent de devenir professeur, et aussi des têtes des étudiants. En 2020 pour faire un diagnostic de covid, une grippe comme une autre, on fait la queue 5 H heures pour un test non fiable et on n’ira chez le médecin que pour avoir un certificat pour le sport ou une ordonnance pour le test, mais l’examen clinique …. C’est quoi au fait ?

Cette enseignante poursuit : « j’ai donné cours à des étudiants qui, sous les 40 ° degrés qu’il faisait cet après-midi dans notre salle de cours non climatisée, se sont contraints eux-mêmes au port du masque. Par choix ? Par conviction ? Dans ce cas, c’est OK. C’est aussi le plus souvent, comme chez leurs parents, par obligation. Par ignorance. Par incapacité à se faire confiance dans ce qu’ils pourraient estimer juste, bon, raisonnable, de bon sens ou sain pour eux.

Je les ai lancés sur un premier exercice pratique de prise de parole en public. Je suis censée évaluer leur talent oratoire. Je me suis mise au fond de la salle, à distance d’eux et je les ai regardés, je les ai écoutés faire cet exercice masqué, et là … je me suis dit que tout ça n’avait aucun sens. Ce que j’étais en train de vivre-là n’avait plus aucun sens. Moi qui d’habitude adore ce cours (ça fait 4 ans que je le donne), je n’ai eu aucun plaisir aujourd’hui.

Parler, communiquer, l’art oratoire, c’est respirer, c’est échanger, c’est le travail de la voix, c’est le souffle, c’est la gestuelle, c’est la posture, c’est le mouvement, bref c’est non seulement la bouche mais aussi tout notre corps qui s’engage dans un acte de prise de parole.

Je rentre triste chez moi. Sonnée.

J’ai mesuré toute l’étendue, toute l’ampleur des effets de la manipulation sur ces cerveaux.

Je suis coupée dans mon élan, dans ce qui faisait sens il y a encore quelques mois.

Tout ça n’a aucun sens.

Aucun. »

Merci Madame de votre témoignage.

Le nouvel enseignement a robotisé les élèves, comme les médecins.

On arrive au bout de cette histoire de la casse et de la désinstruction nationale[16] puisque les élèves et étudiants acceptent le masque sans broncher et sans se poser de questions sur son utilité, sa philosophie, son but apparent et réel etc. C’est comme cela, on va boire un thé glacé et parler du dernier jeu vidéo. Et basta.

Une autre enseignante m’avait livré ses doutes sur l’enseignement des mathématiques sous l’ère de la simplification, le QCM, la réponse binaire, la démonstration oubliée. Et cette transformation de l’école peut expliquer cette soumission par rapport au masque comme au résultat d’une équation. C’est ainsi et on accepte. Mûr pour les camps.

« Les QCM, c’est ma bête noire. Les maths (et pas seulement), relève d’un processus de réflexion et j’ai besoin d’y assister. La conclusion sera peut-être fausse et je prendrai acte bien sûr mais à vrai dire, ce n’est pas ce qui m’intéresse. Si j’ai une réponse et pas de trace de la démarche, je ne peux pas m’assurer que les choses sont comprises. Il y a une tonne de manières fausses de trouver une réponse juste sans compter « le hasard » qui fait parfois bien les choses. A contrario, il y a des élèves qui ont de très bonnes idées mais qu’ils ne poussent pas assez loin.

D’éviter aux élèves de produire des raisonnements, c’est en partie ce qui détruit le cœur de l’enseignement. C’est sûr que c’est plus court à corriger ! Mes séances sont très écrites même. Il y a beaucoup de choses à rédiger ; ce sont des exos assez longs. Il y a des « entractes » avec des questions plus courtes et indépendantes mais j’avoue qu’ils souffrent. Ils soupirent surtout à 9H du matin. Ils tentent régulièrement la négociation :

« Sérieux, il faut écrire tout ça ? » En fait oui. En maths, il y a beaucoup de rédaction et c’est aussi le cas dans les articles de recherche. Les maths vues par les physiciens, c’est autre chose. Ils sont consommateurs en fin de chaîne. L’outil existe, ils s’en servent ; fin de l’histoire. Les problèmes d’existence par exemple ne les concernent pas ». (K.)

La même enseignante en mathématiques nous a donné son vécu sur le port du masque que j’aime partager, car si les généralistes ont donné des leçons aux professeurs sur ce qu’ils devaient faire, on a peu entendu le vécu des dits professeurs.

Réparons cette injustice pour appréhender encore les conséquences tragiques de ces décisions à l’emporte-pièce à visée politique où le sort des élèves et des enseignants ne fait pas partie de l’équation. Donnons-leur la parole. Faisons entendre leur voix, leur souffrance, comme celle du professeur d’art dramatique si proche, bien qu’évidemment sauf hasard, elles ne se connaissent pas.

« Je reste étonnée devant certains commentaires qui nient notamment la contrainte respiratoire qu’engendre le port du masque dans un milieu clos avec une circulation de l’air limitée. Simuler la réalité, c’est toujours la travestir.

Sur le terrain, en mai/juin, j’ai enseigné masquée pendant 4h consécutives en plein après-midi où la chaleur était déjà intense dans le sud-ouest. Rien de comparable avec celle qui règne en ce moment et cet air poisseux, chargé d’humidité qui, même sans masque, est irrespirable.

L’enseignement masqué, c’est simplement infernal pour les élèves comme pour le prof.

La respiration est clairement entravée, elle est même désorganisée (on a un temps d’adaptation pour s’approprier cette contrainte, ce corps étranger), la voix (puisque la parole est au cœur de ce métier) est atténuée, étouffée (tout le monde a pu le constater) donc on doit parler plus fort si bien que l’on a de plus en plus chaud (car ce masque dit “en papier” est en fait en plastique, étanche) donc le réflexe, notamment quand on a des lunettes, est de tirer sur les élastiques … pour respirer. Librement. Mais le protocole strict d’utilisation du masque (ce protocole qui est le garant de l’intérêt de ce dispositif contre les virus, un dispositif au demeurant caduque puisque vus les chiffres de Santé publique France, on n’est plus dans une phase épidémique) interdit ce type de manipulation …

On a très rapidement sur le bas du visage un véritable bouillon de culture puisque qu’on est en présence d’un milieu humide et chaud (on n’imagine pas même pas si on doit le retirer quelques secondes pour boire …). Sans compter que ce filtre, qui n’est pas du tout vendu ou parfois produit dans des conditions stériles, est un nid à poussières de craie, à poussières des stylos à encre sèche. Malheureusement le masque ne protège pas des odeurs irritantes, il aurait au moins pu servir à çà. On rappelle que l’école n’est pas numérique, dieu nous garde de dénaturer ce lieu d’échanges et de partages, et que donc heureusement, on y parle et on y écrit. La conséquence, vue la pénibilité du travail dans ces conditions, c’est que petit à petit le silence se fait.

On parle d’abord moins vite et finalement on parle “moins” tout simplement. Ces contraintes sont communes aux élèves qui eux non plus ne sont pas égaux face au port de cette entrave et peuvent s’en trouver déconcentrés ou suffisamment gênés pour que l’attention soit détournée du cours vers le fait de respirer (on doit se concentrer sur … un réflexe !).

Si ce scénario vise à imposer l’école numérique, c’est raté comme pour la télémedecine.

« Il ne faut pas se tromper d’histoire : l’enseignement à distance, l’école numérique n’est pas et ne sera jamais la solution. C’est une régression, pas un progrès. Un apprentissage digne de ce nom, c’est un échange, ce sont des questions, des confrontations, des doutes qui s’expriment sur des visages, dans des regards.

Enseigner i.e. convaincre et rendre libre, c’est très difficile (l’intelligence est un procédé naturel et spontané dont l’Homme sort augmenté) mais conditionner (i.e. se tourner vers l’intelligence artificielle, celle du réflexe et de l’association) c’est beaucoup plus simple. Ce n’est pas ce que l’on cherche. On n’a pas compris un objet en maths parce que grâce à une correction détaillée en couleurs, on sait reproduire la même stratégie dans le même ordre.

Chaque étape doit être motivée pour être un jour réinvestie ailleurs, peut-être. Une salle de classe n’est pas une salle de conditionnement ou une salle de gavage. Vous connaissez peut-être l’exemple de la chambre chinoise de John Searle qui est très instructif.

Il faut arrêter ces protocoles sanitaires anxiogènes ; bien sûr qu’il est grand temps que les lycées notamment, grands sacrifiés de la crise, rouvrent leurs portes comme il est urgent que la vie reprenne ses droits ; au pire que l’on opte la visière (seule, bien sûr). J’aurais envie de dire aux parents inquiets : rendez-nous vos enfants et avec eux la liberté d’enseigner. Comme Raoult dans un autre cadre, on applique la « méthode de Tom » et on a juste à cœur d’enseigner comme on le ferait pour nos propres enfants, ceux de notre famille. »

MERCI A K POUR SON PARTAGE et aussi à de nombreux autres correspondants[17] qui crient la souffrance de leurs élèves, de leurs enfants, de leurs proches privés de visites dans les EHPADs sur lesquels il faudra revenir avant une prochaine hécatombe qui se profile liée au virus de l’enfermement et de l’abandon, sans même virus corona ou autre. Le virus de la peur aurait plus tué de personnes dans le monde que celui du SRAS au moment de cette épidémie…On verra dans l’avenir les comptes que feront les historiens pour le coronavirus, 19 ième du nom.

ILS SONT VRAIMENT DEVENUS FOUS

Une correspondante m’alerte sur les pratiques que préconise l’Education Nationale pour les musiciens intervenants en milieu scolaire et certains chefs de chœur qui font travailler leur groupe avec un masque.

Faire chanter des enfants à l’école en étant moi, chef de chœur, masquée !

Un vrai délire. Il paraît que des salariés poursuivent leur patron pour mauvaises conditions de travail pour un siège insuffisamment confortable…. Mais ici silence ! Que font les syndicats de l’éducation nationale ? Tous morts ? A quand les concerts à l’Opéra, masqués ? Le degré de délire dépasse l’imagination en cette rentrée confirmant l’hypothèse que créer la confusion mentale des citoyens est un objectif précis. Serions-nous complotistes ? Mais s’ils ne le font pas exprès, ils sont vraiment hors sol…

Comment l’Éducation Nationale peut-elle préconiser la pratique du chant avec masque ? Quelle est d’ailleurs la légalité d’une telle circulaire sans évaluation des risques psychosociaux ? Le port du masque est déconseillé lorsque l’on chante, voire dangereux. Les bureaucrates du ministère ou des rectorats y ont-ils pensé ?

« Au bout de quelques minutes à peine à la suite de l’hyperventilation qu’engendre le chant, le masque est humide, et le chanteur ravale ses propres microbes et champignons qui théoriquement devraient être expulsés, en temps normal sans le masque, pour infecter larynx, cordes vocales, poumons…provoquant des lésions.

Et cette hyperventilation sans moyen efficace d’expulser son gaz carbonique, qui reste dans le masque, peut entraîner des malaises graves. »

L’éducation Nationale sacrifie la santé et l’apprentissage des élèves, les enseignants et leur santé, leurs motivations, et singulièrement ces enseignants chanteurs en les masquant, et les chefs de chœurs.

Ça suffit. Nous n’en pouvons plus de voir tant de témoignages ignorés des gouvernants, mais aussi des politiques et des médias. Pour que les choses bougent, diffusons ces informations via les réseaux sociaux pour qu’elles arrivent ensuite sur CNews, LCI, voire BFM que les professeurs comme les parents ne se sentent plus isolés et qu’ils puissent ensemble tenter de faire réfléchir la jeunesse soumise, afin qu’elle sorte de cet état dangereux, propice à tous les excès des pouvoirs dictatoriaux qui progressivement s’installent insidieusement.

[1] Olivier Veran conférence du jeudi 17 septembre
[2] https://covidinfos.net/covid19/le-collectif-a-lorigine-du-message-dalerte-international-compte-desormais-pres-de-1000-signataires-et-lance-sa-chaine-youtube/2237/
 « La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l'eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le
masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l'étranger ont été "isolés" !
Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques. Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes et pour lequel 99% des gens infectés guérissent. » 
Lisez, diffusez ! la peur doit céder, les adeptes malgré eux de la secte covid doivent ouvrir les yeux pour retrouver leur vie et nous laisser vivre la nôtre. Soignants signez l’appel et diffusez-le à vos collègues
[3] https://covidinfos.net/covid19/maltraitance-mise-en-danger-de-la-vie-des-enfants-un-collectif-de-parents-veut-deposer-une-plainte-contre-leducation-nationale/2218/
[4] Olivier Veran conférence du jeudi 17 septembre
[5] Docteur Russel L Blaylock, neurochirurgien professeur adjoint  au centre médical de l’université du Mississippi et professeur invité au département de biologie de Belhaven College. Le danger mortel des masques,
[6] ÉVEILLEZ VOUS !!!!! .... C’est de la Maltraitance  A PARTAGER PARTOUT PARTOUT PARTOUT L e t t r e o u v e r t e  Par le Docteur Pierre Brihaye. Bruxelles, le 13 septembre 2020.
[7]Docteur Pascal Sacré  Obliger au port du masque alors que l’épidémie disparaît est “une aberration scientifique et médicale” https://covidinfos.net/covid19/obliger-au-port-du-masque-alors-que-lepidemie-disparait-est-une-aberration-scientifique-et-medicale-selon-le-dr-pascal-sacre/1490/
[8] Denis G. Rancourt, PhD : Masques faciaux, mensonges et responsables de la santé publique : « Un nombre croissant de preuves » https://guyboulianne.com/2020/08/09/denis-g-rancourt-phd-masques-faciaux-mensonges-et-responsables-de-la-sante-publique-un-nombre-croissant-de-preuves
http://studiotheovox.com/video/lhistoire-se-repete/
[9] Ps : déposez des plaintes contre ceux qui vous obligent si vous avez des séquelles !!!!
Que ce soit au travail, à l’école, en rue !!
Donc gouvernement, ministre de la santé, bourgmestre, patron, direction et prof d’école, crèche, direction des commerces !
[10] Docteur Desuter dangers des masques pour les enseignants  https://medias-catholique.info/dangers-du-masque-denonces-par-le-professeur-desuter-les-enseignants-risquent-des-lesions-des-cordes-vocales-avec-des-sequelles-permanentes/38704
[11] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la-maltraitance
[12] http://www.economiematin.fr/news-ouverture-ecole-covid-19-danger-france-delepine
[13] Article du 6 août de l'ECDC (Centre européen de prévention et de contrôle des maladies) qui montre qu'il n'y a pas de transmission du SARS CoV 2 en milieu scolaire ni d'enfant à enfant (asymptomatiques) ni d'enfant à adulte.
[14] L’inventeur de la PCR avait bien précisé que cette technique ne devait pas être utilisée en dépistage : Karri Mullis, prix Nobel pour l’invention de la RT -PCR a dit qu’il ne fallait surtout pas l’utiliser comme test de dépistage. Comme l’a dit le regretté David Crowe, à 20 cycles d’amplification tout le monde est négatif et à 60 tout le monde est positif.
David Crowe disait également qu’un test n’avait de la valeur que s’il était auparavant ‘testé’ sur des populations éloignées et exemptes de maladie. Il prétendait que partout ce serait 3 à 4% des gens qui testeraient positifs, même exempts de toute maladie.
[15] Comme lorsqu’elle déclarait à la télé qu’elle avait vu des jeunes en réanimation, aux portes de la mort à cause du H1N1
[16] Voir le livre de René Chiche « la désinstruction nationale »
[17] Que je ne peux pas tous citer ici

 

 

 

Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique 

publié initialement sur France Soir

 

 

 

Le communiqué du 2 juin du conseil scientifique se décerne un satisfécit sans regarder les faits et tente par des scénarios improbables (issues de modélisation erronées) de faire perdurer la peur qui paralyse la population et l’empêche de défendre ses libertés. Ainsi il prétend sans avoir étudié cette cinétique :

« La période du confinement a permis de ralentir la dynamique de l’épidémie de façon marquée »

L’utilisation des analyses de rupture de tendance lui aurait permis de constater que le confinement aveugle et policier à la française n’a été suivi du moindre ralentissement des contaminations dans aucun des pays qui l’a pratiqué et que la baisse des contaminations a été observée bien plus tard (5 semaines) et naturellement de la même manière dans les pays confinés ou pas.

La comparaison entre la Belgique et les Pays bas permet de suggérer même que le confinement strict accélère les contaminations.

Épidémie terminée et « en même temps » confinement relatif poursuivi 

Les conséquences du confinement sont désastreuses et vont nous faire souffrir plusieurs années. Alors que ces deux mois et demi furent délétères pour la France, les limites lourdes à la liberté imposées par le gouvernement empêcheraient-elles la vie de reprendre normalement, tant sur le plan psychique que médical, scolaire, social, économique?

Pourtant nous sommes en fin d’épidémie et les quelques cas encore décelables ne justifient en aucun cas de bloquer 67 millions d’habitants. En revanche, ils justifieraient d’un traitement efficace, utilisé dans le monde entier.

Pourquoi les en priver et en conduire certains à une maladie éventuellement longue sur plusieurs semaines ?

Un but subliminal : poursuivre la terreur ?

Ceci nous conditionnerait à accepter des vaccins (qui ne verront sûrement jamais le jour), ou au moins une drogue chère comme le Remdesivir de Gilead. Il suffit de jeter un rapide coup d’œil aux cours en Bourse de Gilead et de laboratoires tonitruants sur un éventuel vaccin, pour voir que les acrobaties médiatiques du genre Lancet ne sont pas gratuites. Elles permettent, en quelques jours, de doper le cours de l’action boursière et pour les initiés de gagner beaucoup d’argent.

Depuis le desserrement du confinement policier mortifère qui nous a été imposé inutilement, le lobby de la peur essaie d’entretenir la panique créée par les médias et le gouvernement, afin de maintenir notre soumission et l’abandon de notre bien le plus précieux, notre liberté.

En témoignent de nombreux articles mensongers qui prétendent que le confinement aurait « sauvé des vies », qu’il faut « craindre une deuxième vague » d’épidémie parce que « l’immunité collective serait insuffisante » (note 1,2,3), que « l’application stop Covid serait utile ». Même le syndicat des avocats a dénoncé cette application à éviter absolument et à désinstaller, si elle a été installée silencieusement lors d’une mise à jour de votre portable (Note 4).

En réalité, l’épidémie se termine en France comme partout en Europe. Il n’y aura pas de vraie deuxième vague de Covid19, car cela n’est jamais observé dans les maladies virales (Note 5). Et il ne faut pas se préoccuper de la faible prévalence de la maladie dans la population, car l’observation des épidémies précédentes montre que l’immunité collective ne détermine presque jamais leur évolution. L’enthousiasme pour les tests, toujours peu au point, et non spécifiques, ne repose que sur l’envie du gouvernement de perpétuer la peur, et de nous maintenir dans l’angoisse de nouvelles contaminations. Ils n’ont pas d’intérêt alors que l’épidémie est terminée.

Ne cédez pas à la pression des médias et des autorités pour vous faire ficher ; l’usage du test est devenu une arme politique pour faire croire qu’on s’occupe de son peuple, de sa ville. Il n’a plus aucun intérêt à ce stade de disparition de cette virose.

Le confinement aveugle et policier n’a ni diminué, ni ralenti l’épidémie

Contrairement aux prédictions issues des simulations qui l’ont motivé (Note 6), le confinement policier n’a ni ralenti, ni diminué la propagation de l’épidémie. Plutôt que de croire aux annonces de propagande basées sur les succès virtuels de modélisations biaisées (Note 7) qui encensent cette technique moyenâgeuse et inefficace (Note 8), ou de ceux qui veulent à tout prix se consoler d’avoir été emprisonné sans faute, il faut regarder les faits réels, les faits observés, les faits constatés.

Résultats comparatifs des pays confinés ou non, d’après les chiffres OMS

Les données publiées par l’OMS prouvent que la propagation de l’épidémie n’a été ni retardée, ni amoindrie par le confinement aveugle dans aucun des pays qui l’ont imposé à leur population.

Dans les pays confinés, les évolutions du nombre de contaminations quotidiennes avant et après le verrouillage, ne montrent en effet aucun signe de discontinuité (Note 9), ni dans leurs taux de croissance, ni dans leurs temps de doublement. Cette remarque a été le sujet d’un article bien documenté (Note 10). Ceux qui prétendent que le confinement aurait évité l’accélération, protégeant de fait d’une surcharge des hôpitaux, sont démentis par les faits que démontrent les résultats comparés entre pays voisins de même culture.

Infections cumulées Belgique versus Pays-Bas

Et si on compare la propagation de l’épidémie dans les pays adeptes du confinement autoritaire à la française à celle observée dans les autres pays, on s’aperçoit que le confinement aveugle a été délétère. A titre d’exemple, la comparaison des courbes d’infections cumulées entre la Belgique (confinée) et les Pays-Bas (non confinés), pays proches, suggère que le confinement policier aurait même pu accélérer l’épidémie. En effet c’est dix à quinze jours après le début du confinement belge que la propagation de l’épidémie s’accélère dans ce pays, alors qu’elle reste stable aux Pays-Bas non confinés.

Le bilan médical actuel du confinement aveugle franco-italien appliqué aussi en Belgique et en Espagne est catastrophique

Pour évaluer la balance avantages/risques du confinement, il ne faut pas se baser sur les résultats des simulations (Note 10) qui inventent des morts virtuels, théoriques, mais se baser uniquement sur les faits réels, avérés et publiés.

Mortalités comparées

D’après les données publiées par l’OMS le 30 mai 2020 (note 11), la mortalité directe du Covid19 est beaucoup plus élevée dans les pays qui ont pratiqué le confinement aveugle (sans séparer les porteurs de virus des autres) et autoritaire (avec contrôle policier), que dans ceux qui ont pratiqué la quarantaine ciblée (réservée aux seuls porteurs de virus) et fait confiance à leurs citoyens (conseillés et non astreints à domicile).

Au 29 mai 2020, exprimée par million d’habitants, la mortalité officielle directement liée au Covid19 atteint 810 en Belgique, 621 en Espagne, 548 en Italie et 459 en France, pays adeptes du confinement aveugle et policier, contre 100 en Allemagne, 98 au Danemark et 4 à 7 dans les pays asiatiques démocratiques qui n’ont pas confiné leur population.

En adoptant les mesures sanitaires de l’Allemagne, nous aurions probablement 23.000 morts de Covid19, en moins à déplorer. Et sans aucune mesure sanitaire, à l’instar des Pays-Bas, nous pourrions avoir eu 6.100 morts directes du Covid19 en moins.

Morts de Covid19 ou suspectés, et morts « politiques « liées aux conséquences d’une mesure politique et non sanitaire (note 12)

A ce surplus de mortalité directe lié au confinement aveugle, il convient d’ajouter les victimes collatérales et en particulier les malades souffrant de pathologies chroniques (cancéreux, cardiaques, déprimés) qui ont subi l’arrêt des traitements prévus, arrêt imposé par le plan Blanc (note 13) et les nouveaux malades qui n’ont pas pu être diagnostiqués, ni traités du fait de l’interdiction d’opérer les malades non reconnus urgents par les agences régionales de santé.

Les morts pendant le confinement, et les décès anticipés, non dus au Covid19 mais au retard de soins (note 14)

Depuis le début du confinement, 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer. Même l’académie de chirurgie s’en inquiète dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Plus d’un million d’interventions auraient été déprogrammées, remises aux calendes grecques, puisqu’on ne sait toujours pas quand le véritable déconfinement aura lieu, et que les mesures déjà discutables au début de l’épidémie sont maintenant imposées alors qu’elles sont aujourd’hui devenues complètement inutiles.

De combien de morts supplémentaires ces retards aux traitements seront-ils responsables ? Et cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie (infarctus dont seulement la moitié des malades attendus se sont présentés en consultation), de neurologie (là aussi moitié moins d’accidents vasculaires constatés à l’hôpital), d’endocrinologie, rhumatologie etc. (note 15)

Alors que l’épidémie se termine et que les hôpitaux sont aux trois quarts vides, le plan blanc a interdit jusque récemment aux chirurgiens d’opérer (note 16), blocage maintenu par les agences régionales de santé pour une durée indéterminée et un nombre croissant de victimes supplémentaires. (note 17). L’étau semble se desserrer, mais les cliniques craignent de manquer de produits anesthésiques, alors que les besoins en réanimation sont en grande baisse.

Le bilan médical du confinement devra aussi prendre en compte les complications psychologiques et en particulier les suicides liés à l’astreinte à domicile, aux pertes de salaires et au chômage que constate déjà la presse australienne (note 18, 19 20)et qui pourrait atteindre jusqu’à 150000 victimes aux USA si le déconfinement est trop lent (note 21). Ce bilan n’est pas près d’être terminé.

Les raisons du dramatique échec médical du confinement à la française

Les simulations des prophètes de l’OMS qui ont convaincu de nombreux gouvernements de confiner aveuglément leurs populations ont très largement surestimé le risque réel de la maladie virale et oublié les autres pathologies, le gain espéré de leur mesure et refusé de prendre en compte les complications médicales, sociétales et économiques qui s’annoncent catastrophiques. Nos gouvernants, plutôt que de croire ces prophètes de malheur auraient dû suivre l’exemple des pays asiatiques démocratiques qui ont protégé leurs populations du covid19 et des complications du confinement policier aveugle à la française.

Dans toute l’histoire de l’humanité la lutte contre les épidémies repose sur l’hygiène, la compréhension des modes de propagation des maladies infectieuses, la mise en place de mesures efficaces de désinfection et la séparation des porteurs de germes de la population saine. Ainsi, actuellement le règlement sanitaire international prévoit en cas de peste, l’isolement de tout le groupe de voyageurs, même si une seule personne est touchée, tandis qu’en cas de fièvre jaune ou de choléra, seul l’isolement de la personne atteinte est obligatoire.

Le confinement aveugle de toute une population tel qu’il nous a été imposé est une mesure connue pour être inefficace. En France, elle avait été utilisée pour la dernière fois lors de la peste de Marseille entraînant la mort de la moitié de la population de la ville, sans empêcher la diffusion de la maladie à toute la Provence avec 70.000 victimes supplémentaires. Cette méthode du passé, remise à la mode par la dictature chinoise, a été présentée par le mathématicien -prophète de l’OMS, N Ferguson comme la méthode la plus efficace (note 23 24) de lutte contre l’épidémie.

Mais la simulation de l’Imperial College n’avait apparemment pas envisagé que le confinement d’un adulte malade à la maison (avec seulement du doliprane) constituait le meilleur moyen de contaminer toute la famille, voire les voisins.

Un confinement aveugle sans réflexion

Il eut fallu réfléchir à l’illogisme d’enfermer soignants, policiers ou agents de transport RATP, bus, etc. exposés à de fortes charges virales qui vont et viennent avec leurs familles bloquées à domicile, en milieu clos peu aéré (en raison de la peur transmise sur les médias du vol de virus à travers l’air extérieur, « au-dessus d’un nid de coucous »).

Même si les autorités n’y avaient pas pensé, rien ne les empêchait de rajuster la mise lorsqu’il apparut au début de l’épidémie et la virulence du coronavirus que les soignants étaient les plus rapidement et fortement touchés. D’ailleurs soulignons que les autorités nous ont vanté, tout au long de cet enfermement liberticide accompagné de mesures humiliantes, le modèle de Wuhan. Mais les Chinois, eux, recherchaient avec opiniâtreté les citoyens fiévreux dans les appartements et extrayaient les personnes suspectes pour les isoler rapidement de leur famille.

Nous n’avons retenu que l’autoritarisme chinois, mais moins la logique sanitaire.

Incompétence ou malveillance des ARS ?

Les directions des Agences Régionales de Santé ont imposé aux responsables d’EHPAD de garder les infectés de retour des urgences, y compris après un séjour à l’hôpital où ils avaient été étiquetés Covid19. Ils revinrent sans traitement autre que le doliprane et donc rien ne permettant de faire baisser la charge virale. Ils rejoignirent les autres résidents au moins dans les premières semaines et personne ne s’étonna de la forte contamination chez les ainés, de plus fragiles. N’auraient-ils pas dû comprendre qu’ils favorisaient ainsi la contamination de tous les pensionnaires pourtant les plus fragiles d’entre nous, ceux qu’ils devaient protéger ?

Au-delà du 20 Mars et la circulaire précédent le décret Rivotril du 26 mars (note 24) interdisant le traitement actif des ainés et autorisant l’injection de Rivotril en cas d’insuffisance respiratoire possiblement Covid, les patients ne furent même plus envoyés aux urgences pour préciser le diagnostic. Les habituels infarctus, embolies pulmonaires ou pneumonie bactérienne furent laissés de côté et le résident atteint bientôt euthanasié et étiqueté Covid19.

Que penser du ministre dont les décrets ont interdit la chloroquine soi-disant dangereuse pour prôner le Rivotril à coup sûr mortel en cas de complications respiratoires !

Curieusement, les simulations n’imaginèrent pas non plus que les soignants (qui ne disposaient pourtant pas de protection lors du premier mois de l’épidémie) puissent contaminer leurs malades venus consulter ou leurs voisins dans les transports publics.

Ni que les employés des transports publics et les policiers puissent être contaminés et contaminants parce que non protégés (même interdits de l’être par leur ministre). On entendit ainsi un haut responsable de la santé déclaré à la télévision que les soignants malades s’étaient infectés chez eux !

La sommation de ces erreurs explique que les pays adeptes du confinement strict, mais sans isolement des malades ou des personnes à risque, comme les soignants, comptent davantage de morts que ceux qui ont pratiqué les méthodes médicales éprouvées de l’endiguement (quarantaine) et même que ceux qui n’ont presque rien imposé à leurs populations (Pays-Bas, Suède, Islande).

Le rôle et la responsabilité de l’OMS, ainsi que de Neil Ferguson de l’Imperial College seront à évoquer en détail lors d’une enquête sur le devenir et l’efficacité de nos contributions à cette organisation ainsi qu’à ses publications. La confiance n’excluant pas le contrôle, il sera d’autant plus important de conduire un audit approfondi des recommandations faites par l’OMS qui a ce jour donne plus le sentiment de se comporter comme la FIFA jadis. Verra-t-on le prochain scandale venir des modes opératoires de l’OMS ? FIFA gate, OMS gate ?

Il faudra aussi auditer les décisions publiques autoritaires qui ont été prises en France ont été particulièrement nocives et justifient des enquêtes approfondies (note 25) pour éviter que cela ne puisse se reproduire. Un regard sur la politique italienne de réduction de la mortalité journalière est parlant.

Heureusement, l’épidémie se termine en France comme dans les autres pays d’Europe

Les données publiées par l’OMS montrent que l’épidémie se termine en Europe continentale et en Méditerranée orientale. Depuis la seconde semaine d’avril, le nombre moyen quotidien de nouvelles contaminations a régulièrement diminué ; ce recul atteint 92% en France et dépasse les 85% chez la plupart de nos voisins, même ceux qui présentaient les plus gros chiffres de contaminations depuis le confinement.

La comparaison de l’évolution de l’épidémie en Belgique et aux Pays-Bas, proches par leur situation géographique et leurs modes de vie, est particulièrement frappante et questionne une fois de plus sur l’utilité même du confinement. En effet, les Pays-Bas, qui n’ont pas restreint les libertés publiques, bénéficient de la même régression (83%) de l’épidémie et dans les mêmes délais que la Belgique confinée policièrement après avoir pleuré au total 344 décès par million d’habitants contre 810/1000000 en Belgique.

Il n’y aura pas de deuxième vague (note 26) ou se sera une vaguelette comme pour les autres épidémies

Lors des épidémies virales il n’existe pratiquement jamais de deuxième vague du même virus. Il y a eu précédemment deux épidémies comparables : le SRAS et le Mers et aucune ne s’est exprimée en plusieurs vagues.

Après quelques mois et sans qu’on ne sache pourquoi, l’épidémie s’éteint même si au total peu de personnes ont été immunisées. Contrairement à ce que prétendent les simulations et en particulier celle de Ferguson ou de ses élèves de l’institut Pasteur parisien, ce n’est pas le pourcentage de personnes immunisées qui explique l’arrêt des contaminations.

Le professeur Jean-François Toussaint, lors d’un entretien à la Charente Libre, précise que l’hypothèse d’une deuxième vague est très peu crédible « sur l’analyse dans les 188 pays qui ont déclaré des cas et sur la dynamique évolutive de la maladie ».

Mais certaines épidémies, comme la grippe dont le virus ne dure le plus souvent qu’une saison, reviennent chaque année.

Et jusqu’ici, nous surmontions ces épreuves sans imposer à la population des mesures autoritaires injustifiées et souvent ubuesques qui ont aggravé la situation sanitaire immédiate et impacté l’économie pour plusieurs années.

Le tsunami économique qui nous attend sera pire que celui de 1930

Selon l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques (Note 27), les huit semaines de confinement ont déjà diminué le PIB 2020 de 120 milliards d’euros (soit 5 points de PIB). Les secteurs les plus durement touchés sont ceux des transports, de l’hébergement et de la restauration, la construction et les activités de loisirs et le commerce de détail. En tenant compte du rétablissement ralenti par la persistance incongrue des mesures de déconfinement, l’impact global pour 2020 serait de -10 points de PIB.

D’après l’INSEE, le PIB français diminuerait d’environ 20 % au deuxième trimestre 2020 (après –5,8 % au premier). Ce serait la plus forte récession depuis la création des comptes nationaux français en 1948. Même si l’activité économique revenait intégralement à son niveau d’avant crise dès le mois de juillet, le PIB français diminuerait de 8 % sur l’année 2020, or un retour aussi rapide à la normale semble peu réaliste. L’impact global de la crise sanitaire en 2020 sera donc certainement supérieur à ce chiffre.

L’Organisation Internationale du Travail alerte sur les ravages sanitaires et sociaux de la crise qualifiant l’impact sur l’emploi de profond, d’une grande portée et sans équivalent. 1,25 milliard de travailleurs sont exposés à des licenciements, pertes d’activité et de revenus, du fait du confinement dans le monde.

Comme toutes les grandes crises économiques, celle de 2020 a été baptisée : celle du « Grand Confinement » par Gita Gopinath. Selon les prédictions du FMI, l’économie mondiale va connaître « sa pire récession depuis la Grande Dépression ».

Et lorsqu’on constate que l’étendue (5 817 385 infectés) et la mortalité mondiale (362 705) du Covid19 au 30 mai, se situent dans la fourchette basse des grippes saisonnières (environ 20 millions d’infectés et 290 000 à 550 000 morts), on peut déplorer que les mesures injustifiées pour lutter contre une fausse pandémie aient créé une vraie misère.

En urgence, lever les mesures liberticides inutiles et toxiques

Ces constatations conduisent à demander en urgence aux décideurs de lever les mesures coercitives de confinement encore imposées :

Reprendre les activités scolaires partout, à tous les âges et sans mesure de distanciation ni masques, particulièrement chez les petits très traumatisés par ce théâtre tragique.

Libérer les « EHPAD » dans lesquels nos ainés sont devenus des bêtes de zoo, dans leurs prisons même pas dorées. (Note 28) Signez les pétitions pour accélérer leurs sorties de prison, alors que leur seule faute est le grand âge et/ou la dépendance.

Libérez l’activité économique, dans les cafés, restaurants etc. Ces mesures de distanciation imposées sont grotesques, alors que l’épidémie se termine et bloquent de fait la reprise économique dont le pays a tellement besoin.

Impérativement rendre aux médecins de ville et d’hôpital leur liberté de soigner, en particulier libérer la prescription de chloroquine après le triste feuilleton de l’étude biaisée ou inventée du Lancet et la décision brutale du ministre d’aggraver encore le décret mortifère du 26 Mars.

Abroger les décrets liberticides du 26 mars et sa prolongation injustifiée.

Faire stopper complètement le plan blanc, afin que les chirurgiens puissent reprogrammer leurs patients, les rassurer et finalement les soigner. Le bilan spécifique du plan blanc devra être passé à la loupe, car complètement inutile et extrêmement toxique pour les patients et leurs équipes chirurgicales.

Selon Frédéric Bizard, « l’impact sur le volume de la crise Covid19 a été estimé en chirurgie avec une baisse comprise entre 1,7 million et 2 millions d’actes chirurgicaux, soit une chute du volume comprise entre 25% et 29% selon la date de levée du plan blanc. L’évolution des tarifs a été estimée selon les engagements gouvernementaux de 2019 pour les années 2020 à 2022 en chirurgie. L’impact économique global est compris entre 4,2 milliards d’euros et 5 milliards d’euros de baisse des dépenses de chirurgie pour l’assurance maladie en 2020 ». (Note 29)

Activités médicales interdites pour RIEN ! Tout Covid, rien que Covid

Les lits libérés restèrent vides tant en privé qu’en public, et la surcharge en réanimation jamais soulagée par cette privation générale d’activité, les ARS, encore elles, ayant refusé de transférer les malades dans les lits privés (sauf en IDF dans quelques établissements), préférant jouer à la guéguerre à coups d’hélicoptères, et de TGV avec transferts en France ou à l’étranger. En public, ce fut la même chanson, pas d’autres malades que covid19 sauf urgence extrême. Les internes se sont beaucoup ennuyés pendant deux mois et racontent avec beaucoup d’émotion les pertes de chance de leurs patients « habituels ».

Quant au Ségur (Note 30), il est certain que si l’on en espère quelque chose, il serait impératif qu’il se déroule avec une équipe neuve, sous la houlette d’un ministre non responsable des erreurs récentes avant et pendant la crise sanitaire, et surtout après la prise de position ahurissante du ministre de la santé interdisant la chloroquine sur la foi d’un article complètement caviardé, qu’il ne peut avoir lu, et qui fait de nous la risée du monde entier.

Bien curieux film que la gestion de ce Covid19 qu’aucun scénariste n’aurait osé écrire. Pas crédible !

Notes

Note 1 : Jean-François Delfraissy, le Président du conseil scientifique, a annoncé que « le taux d’immunité de la population française face au coronavirus est plus faible que prévu ».

Note 2 : Simon Cauchemez dans Le Monde « dans tous les cas, on sera très loin des 70 % dont on aurait besoin pour pouvoir faire une sortie du confinement sans problème »

Note 3 : Toute cette propagande de la terreur repose sur des simulations mathématiques dont « l’étude de Pasteur qui a utilisé l’un des meilleurs modèles qui existe actuellement » ; ce modèle prédisait 70000 morts en Suède si elle refusait de confiner. La Suède n’a pas restreint les libertés et ne comptait au 30 mai que 4266 morts soit quatorze fois moins qu’annoncé.

Note 4 : Allez sur réglages, confidentialité, puis santé avec un cœur rouge et là si installée, désinstaller et vérifier régulièrement, sauf si vous souhaitez cette application, mais ce doit être un choix et non pas une manœuvre cachée.

Note 5 : La soi-disant « deuxième vague » de la grippe espagnole était en fait une poussée d’infections bactériennes favorisées par la malnutrition et l’épuisement de la population après l’épidémie de grippe ; une telle complication ne peut plus se reproduire depuis l’arrivée des antibiotiques (sauf si on refusait d’en donner aux patients comme cela s’est passé avec l’injonction Rivotril et rien d’autre, imposée en début d’épidémie de Covid, mais les français se seront réveillés.

Note 6 : www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 7 ripostelaique.com/le-confinement-na-pas-sauve-61-000-vies-mais-i…

Note 8 La dernière fois que cette technique a été utilisée en France au 18ème siècle, elle a abouti à la mort de 50% de la population marseillaise sans empêcher l’extension de l’épidémie à la Provence (70000 morts supplémentaires) et à l’Italie.

Note 9 : Analyse de recherche de changement de tendance (break point analysis) négative = aucune différence sur la vitesse de propagation du virus n’est apparue entre la période d’avant le confinement et pendant le confinement. Le confinement n’a pas ralenti l’épidémie contrairement à trop de racontars sur les TV. Seuls les chiffres font foi.

Note 14 : www.academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/6ef75…

Note 15 : academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/449c6ce34…

Note 16 : www.economiematin.fr/news-ouverture-bloc-operatoire-danger-malades-confi… ?

Note 17 : youtu.be/eay-Txlr-GQ

Hôpitaux & Cliniques : Interdiction d’opérer » Dr Nicole DELÉPINE 16 MAI 2020

Note 18 : www.telegraph.co.uk/news/2020/05/07/australia-fears-suicide-spike-due-virus-shutdown/

Note 19 : www.breitbart.com/health/2020/05/07/report-suicide-rise-from-lockdowns-to-kill-more-than-coronavirus-in-australia/

Note 20 : www.sbs.com.au/news/australia-s-suicide-rate-could-surge-due-to-economic-fallout-of-coronavirus

Note 21 : Petterson, Steve et al. “Projected Deaths of Despair During the Coronavirus Recession,” Well Being Trust. May 8, 2020. WellBeingTrust.org

Note 22 : Présentée comme le technique ‘extinction’ de la maladie dans la simulation du rapport 9 d l’Impérial College

Note 23 : http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 24 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion…

Note 25 : Car il s’agit de récidivistes ; les précédentes simulations de Ferguson sur le Sida, la grippe H1N1, la maladie de la vache folle, l’Ebola ont été toutes aussi fausses, exagérant à chaque fois considérablement les risques

Note 26 : https://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-genese-et-consequences-dune-hys…

Note 27 : Evaluation au 20 avril 2020 de l’impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures de confinement en France”,

Note 28 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/epidemie-terminee-mesures-224795

Note 29 : Et combien d’autres professions impactées : « l’activité chirurgicale génère en amont du geste opératoire de l’activité pour d’autres secteurs (secrétariats médicaux, analyses biologiques, prothèses, masques, produits d’hygiène, activités de recherche…) ainsi qu’en aval (infirmières, aide soignantes, kinésithérapeutes en ville, soins de suite, ambulances, taxis, laboratoires d’anatomopathologies…). »

Note 30 : http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-contes-de-segur-revus-et-…

 de nombreux commentaires méritent lecture :  par exemple en copie  sur le site Les 7 du Québec
savoureux  message de Nadine le 13 juin 20

 

« En résumé, il y a eu sur-réactions en chaîne, en sacrifiant l’activité du pays au risque … épidémique.
A noter, le mutisme absolu de l’opposition.

1° – La crainte d’une épidémie ?
Non, même si les architectes de l’ordre mondial et leurs partisans l’ont possiblement lorgnée.

2° – Sur-réactions des autorités ?
Non plus, hors divagations significatives…

– 13 janvier 2020 – En l’absence de données scientifiques sur le sujet (!), Jérome Salomon, directeur général de la santé, par délégation pour Agnès Buzyn (dont l’incompétence fût patente et dangereuse), classe de facto l’hydroxychloroquine « sur la liste II des substances vénéneuses ».

19 février 2020 – Macron a décidé de manifester sa solidarité avec le peuple chinois confronté au coronavirus, et annonce l’envoi de 17 tonnes de matériels médicaux (masques, gants, produits désinfectants, combinaisons médicales de protections) à destination de Wuhan. Avec, entre autres, l’appui du groupe LVMH selon France Diplomatie.

– 26 février 2020 – autorisation du match de football O.L/Juventus, au Groupama Stadium à Décines (15 km de Lyon).
Avant de rejoindre le stade, une dizaine de milliers de supporters turinois (bien plus que les 3 000 attendus) se sont baladés toute l’après-midi dans les rues de Lyon, à un moment où la Lombardie, notamment, était déjà particulièrement affectée par le coronavirus.

– 6 mars 2020 – Sortie médiatisée de Macron et Brigitte au théâtre Antoine à Paris.
La pièce « Par le bout du nez » met en scène un tout nouveau président qui, pris d’une démangeaison nasale alors qu’il doit prononcer son discours d’investiture, est contraint de consulter un psychiatre.
Voilà qui laisse songeur …
Selon des témoins, Macron aurait alors déclaré : « La vie continue. Il n’y a aucune raison, mis à part pour les populations fragilisées, de modifier nos habitudes de sortie ».

11 mars 2020 – Tweet Emmanuel Macron @EmmanuelMacron :
« Nous ne renoncerons à rien.
Surtout pas à rire, à chanter, à penser, à aimer. Surtout pas aux terrasses, aux salles de concert, aux fêtes de soir d’été… ».

Cocaïné le président … ?

– 15 mars 2020 – 1er tour des municipales.
Macron, Levy, Buzyn, Philippe et tant d’autres savaient, et auraient choisi de se taire ?

– 15 mars 2020 – Après être allée voter, sortie médiatisée de Brigitte Macron sur les quais de Seine à Paris. Masquée et accompagnée de ses gardes du corps, elle saluait les badauds en leur demandant de « rester à distance respectable ».
La mise en scène n’a pas de secrets pour une ancienne prof de théâtre.

– 17 mars 2020/12:00 – ordre de confinement généralisé de la population.

Aucun problème pour d’éventuelles suites ou poursuites. Dans un grand élan de solidarité parlementaire, les apôtres du confinement se sont auto immunisés … contre la justice.

On ne peut donc que noter l’absence de risque épidémique.

3° – Vent de panique ?
Non. Sauf réactions politiques inappropriées, l’inavouable étant de justifier l’effondrement de l’économie par le confinement, lequel effondrement – épidémie ou pas – se serait de toute façon matérialisé suite à la gestion vereuse et calamiteuse du pays depuis des dizaines d’années.
Miracle, c’est la faute au coronavirus ! Il arrive à point nommé celui-là.

– 21 mars 2020 – Sur LCI, le professeur Christian Perronne (PU-PH) alerte sur la disparition totale des stocks d’hydroxychloroquine en France.

21 mars 2020 – Mise en scène sur mesure pour E. Macron. Montage d’une structure hospitalière (militaire) de campagne à Mulhouse. Capacité initiale « 30 lits réanimation » aussitôt passée à 20 lits.
Opérationnelle le 24 mars 2020, en partie démontée dès le 17 avril 2020, matériels/lits/respirateurs retirés le 22 avril 2020.
Sans parler du coût d’une telle prestation, de qui se fiche-t-on ?

– 22 mars 2020 – Communication navrante et inopportune d’Ursula von der Leyen, présidente de l’UE, via une vidéo à destination des peuples européens, où elle se met en scène dans une séquence de lavage des mains.
« Inopportune » dans la mesure où l’UE a été la grande absente dans cette crise dite « sanitaire ».
L’infantilisation dans la communication n’est pas de bonne augure.

– 27 mars 2020 – Les médecins généralistes ne sont plus autorisés à prescrire l’hydroxychloroquine. On se demande bien pourquoi ?
Il apparaît choquant que c’est l’Ordre des Médecins qui est à la manoeuvre alors que cette Institution est responsable des déserts médicaux en France.
La non indépendance du CNO (Conseil National de l’Ordre), et en particulier de son Président, par rapport à certaines « influences » est mise en cause.

– Parallèlement à une tension due au manque d’approvisionnements en Plaquenil (dérivé hydroxychloroquine), les pharmaciens ne peuvent plus vendre ni masques ni tests. Pourquoi ?

Les cliniques privées ne peuvent pas accueillir les malades du civil (3 000 lits sont restés inoccupés). Pourquoi ?

– Les pensionnaires contaminés dans les EHPAD avaient droit au Rivotril, avec le succès qu’on lui connaît.

– 8 avril 2020 – Castaner, ministre de l’Intérieur, affirme devant la Commission du Sénat qu’il n’y a « pas eu de réquisition, ni par l’armée ni par qui que ce soit » des masques commandés par la région Bourgogne-Franche-Comté.

– 10 avril 2020 – Suite à la plainte pour réquisition de masques à l’aéroport de Bâles/mulhouse , Castaner reconnaît les faits. Inutile de poursuivre dans le parjure, les documents confirmant cette « réquisition » commencent à sortir. Mensonge d’Etat avéré, sans conséquence aucune pour son auteur.

– 24 avril 2020 – Suite à la polémique, le Ministère des Armées reconnaît « avoir acheté, par précaution, un stock important de chloroquine … à la Chine ».
Étrange explication, d’autant que cette molécule avait été classée « vénéneuse » en … 1999, ce qui avait entraîné de facto la même issue pour l’hydroxychloroquine en janvier 2020.

– 18 mai 2020 – L’attitude plus que déconcertante de l’OMS dans cette affaire, ses stratégies divergentes, le vaccin « obligatoire » pour tous, sèment le trouble quant aux réelles compétences de ses membres et à l’occulte dépendance de l’Institution aux lobbies pharmaceutiques.

– 26 mai 2020 – La très sérieuse revue médicale « The Lancet » y est allée de sa plume, et a publié – avant de se rétracter le 4 juin suivant – une étude falsifiée dans laquelle le ministre de la santé Olivier Veran a foncé tête baissée pour justifier l’interdiction de l’hydroxychloroquine.
Bien synchronisé ce coup là !

– 2 juin 2020 – Appli Stop Covid19. Tester la population et voir si elle se soumettait aux mesures liberticides imposées.

Demander aux peuples de la rigueur dans la gestion financière, pour mieux relancer l’économie, alors que ces mêmes prophètes étaient, et sont encore aux premières loges pour accélérer la débâcle, est d’un cynisme abyssal.
Nous sommes gouvernés par des imposteurs et le masque est devenu muselière.
Le rideau de fumée commence à piquer les yeux. Ce n’est plus de masques qu’on a besoin, mais de lunettes.

En résumé, il y a bien eu « conspiration ».
Libre à ceux qui veulent croire à la fable de la chauve-souris et du pangolin. »

 

 

 

Analisis Epidemia COVID 19 España  slides diaporama

 

Gérard Delépine es oncólogo, cirujano ortopédico y estadístico en el Hospital Raymond Poincaré de París (hoy jubilado). Ha desarrollado métodos quirúrgicos innovadores para tratar los tumores óseos y de los tejidos blandos. Su equipo en la Unidad Pediátrica Oncológica (POU) ha alcanzado una reputación internacional por combinar quimioterapia avanzada individualizada y cirugía conservadora. Junto con su esposa, la Doctora Nicole Delépine, pediatra y oncóloga, es autor e 3 libros y de más de 100 artículos de prensa.

 

 

 

 

Tasa de letalidad COVID-19 en las cárceles francesas:

-Las cárceles son un lugar de promiscuidad y no de confinamiento (en el patio los detenidos se abrazan, escupen al hablar cuando se enfadan, no respetan las distancias de seguridad).

-Por lo tanto en las cárceles, la epidemia de COVID-19 debería propagarse rápidamente

-El 03/04/2020 según estudio publicado sobre las 60.000 presos en las cárceles francesas:

48 presos testados positivos, 687 sintomáticos, o sea un total de 735 infectados y 3 muertos

lo que representa un tasa de letalidad de 3/735 = 0,4%

Tasa de letalidad COVID-19 España según datos oficiales OMS al 23/05/2020:

Infectados : 234.823   Fallecidos : 28.628

lo que representa una letalidad de 28628/234823 = 12,2% que NO es real

  (se han testado sólo los sintomáticos que acudían a urgencias y se ha aumentado ficticiamente el   número de muertos por COVID-19)

Tasa letalidad Gripe estacional en España 2018/2019:

-En la temporada de Gripe estacional Otoño-Invierno 2018-2019 según datos CSIC en España :

525.000 infectados, 6.300 fallecidos

lo que representa una letalidad de 6300/525000 = 1,2%

 

 

 

Ultimas análisis realizadas en Francia por médicos según datos de campo en Francia 10/05/2020 :

-Para los menos de 30 años sin patologías asociadas, el riesgo de morir de COVID-19 es prácticamente nulo

-Para los menos de 50 años sin patologías asociadas (obesidad, diabetes, hipertensión, cáncer, etc.), el riesgo es bajo

-El riesgo de fallecimiento es alto para los más de 70 años (85% de los fallecimientos en Francia)

Tasa contagio en el cárcel “La Santé” en Francia al 29/04/2020 :

Presos : 870   Infectados : 6     Fallecidos : 0

lo que representa una tasa de contagio de 6/870 = 0,7%

  lo que sugiere una tasa de contagio baja

Tasa contagio en España al 23/03/2020 :

Infectados : 234.823 (OMS)     Población : 46.940.000

lo que representa una tasa de contagio de 234823/46940000 = 0,5%

  Si suponemos que en realidad el número de infectados es el doble :

tasa de contagio de 469646/46940000 = 1% que sigue siendo bajo y similar a la gripe estacional

Tasa contagio en España gripe estacional Otoño-Invierno 2018-2019 :

Infectados : 525.300 (CSIC)     Población : 46.940.000

lo que representa una tasa de contagio de 525300/46940000 = 1,1%

, ,
COVID19 Genèse et conséquences d’une hystérie mondiale

COVID19 Peste ou epidémie 2020 AMETIST

 

diaporama présenté en conférence chez la présidente d’Ametist le 20 MAI 2020  pour faire le lien sur l’épidémie et la manipulation que nous venons de traverser.
cliquez sur le lien ci-dessus pour voir le diaporama et pour toute question supplémentaire n’hésitez pas à joindre le dr G Delépine

gerard.delepine@bbox.fr

 

vous pouvez joindre la présidente d’Ametist, Mme Patras Turco Line

lt4@live.fr

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/lynchage-organise-de-la-224633    original data in french

by DR Gerard Delépine  oncologist surgeon and statistician

 

 

 

Organized lynching of chloroquine by the media, based on a study with neither verified nor verifiable data

by delepine (his site)
Saturday, May 23, 2020

 

 

Organized lynching of chloroquine by the media, based on a study with neither verified nor verifiable data. Shameful.

 

Fireworks by AFP and almost all French newspapers about a pseudo-study funded by big pharma, claiming that chloroquine would increase the mortality of covid19!

Has journalism gone by the wayside and well-organized disinformation would replace it definitively? Journalism, deceased victim of Covid19, cremated without possible autopsy!

Since this Friday, May 21, almost all the French media (Le Figaro, Le Monde, Marianne, L’Obs, LCI, etc.), the written and audiovisual press, have engaged in a lynching in good standing of chloroquine, citing what they would consider it  »  the largest international study   » on the subject.

Obviously, they haven’t read it or don’t know what a scientific study is. The cited study is not even a macroanalysis (critical study of the medical literature, synthesizing international articles published on a reliable database, like PUBMED, and referenced on a subject). Here, in reality, we are dealing only with a large collection of unsupported data, based on non-verifiable elements, recovered by a private for-profit site.

Sadly, the publication in the LANCET of this heartbreaking text, to remain polite, seems to be enough for its laudators as proof of « exact science ». Poor science whose name has been so overused for three months that one hardly dares to pronounce it. The Lancet and our perception bias depending on the issuer, explains the JIM. The Lancet and so: forget that for 20 years and Big Pharma’s stranglehold on international medicine and its scientific journals, peer-reviewed journals are no longer what they used to be. For honest readers, it suffices to refer to the writings of Marcia Angell who was editor of the New England journal of medicine, resigned from it and wrote an explicit book in 2002.  »  The truth about the pharmaceutical industry Perverted our elites: how it deceives us and how to thwart them, was a first shock on what was going on and was going to get worse. His successor at the head of the newspaper resigned three years later for the same reasons of incompatibility of scientific ethics and submission to the merchants of Big Pharma.

Professors Even and Debré also alerted in France in silence, and were even prosecuted by the order of doctors, whose choices are clearly seen. The French were very wrong to despise these alerts. Their healthcare system in the hands of business collapsed and they only became aware of it with the Covid crisis. For how long ?

 

 Rather than take the Lancet mystifiers, who devalue themselves again, to take their word for it, let’s look at the facts.

 

Who are the main authors of this lying Lancet article?

Dr. Mandeep Mehra is a cardiologist in the Brigham and Women’s Hospital Heart and Vascular Center in Boston. Its main activity is to help drug companies sell drugs. Not voluntarily: he thus received emoluments from the laboratories Abbott, Medtronic, Janssen, Mesoblast, Portola, Bayer, Baim Institute for Clinical Research, NupulseCV, FineHeart, Leviticus, Roivant, and Triple Gene … It starts very strong!

Sapan S Desa SSD is a founding vascular surgeon of Surgisphere Corporation, a private firm, responsible for much of the data acquisition for this study.

Frank Ruschitzk is a cardiologist in Zurich; he was paid as a laboratory advisor, as responsible for therapeutic trials, and also for conferences and work paid by big pharma (for some on his university account).

None of the authors is an infectious disease specialist, none has treated a patient with Covid19. Very strong !

 

What are their sources?

Hospital registers (mainly American, as the population shows, 69% native American).

These registers are not published in international literature, nor accessible by internet, unlike the national registers on which we work regularly. Their medical values and data have never been verified by independent doctors. The article in question therefore constitutes only a sum of data of uncertain values, coming from sites whose selection is possibly biased. When it is known, moreover, that in many countries of the world, the patients suspected of Covid19 without proof were automatically classified Covid19 on the recommendation of the WHO, but also by financial interest of the institutions, since from American hospitals to Italians in passing by the French, German and Spanish, the patients classified covid19, without test most often, and on simple « impression » of the doctor,

How can such inaccuracies lead to such a dubious publication and its magnified echo in the media, misinforming the people? Obvious financial focus: since at the same time, we are told the beautiful story of Remdesivir which will in reality only do good to the shareholders of Gilead.

What patients are they talking about?

The article is only interested in hospitalized patients, while the aim of Professor Raoult’s treatment is precisely to avoid hospitalization by treating patients early in the course of the disease.

 This study on registers is retrospective, non-randomized, without a control group drawn by lot , all requirements repeated a hundredfold on the media to criticize the work of Raoult, which them at least were prospective.

If this Lancet study had aimed to study the fate of chloroquine failures according to the Marseille scheme, it could have had a meaning, provided that it did not draw generalities from all the patients treated by this scheme .

But to select only the failures of a treatment to supposedly assess its global interest, testifies to an unscientific method, completely biased. If we applied this method to judge the effectiveness of vaccination against measles by looking at hospitalizations during the last outbreaks of the disease in the USA, we would conclude that vaccination is ineffective, since the vast majority of patients have been vaccinated!

 

Their conclusion of chloroquine ineffectiveness is invalidated by their own figures!

Their conclusions on the ineffectiveness of the Raoult treatment are also contradicted by the low percentage of patients hospitalized after early dual therapy recommended by Raoult: of the 98,262 patients in the Lancet study, suffering from hospitalized covid19, only 6,211 (6%) received dual therapy within 48 hours of diagnosis, while the natural course of the disease requires hospitalization in 10% to 20% of cases according to the Ministry of Health. If the Raoult protocol were ineffective, we should find among hospitalized patients a percentage of patients equivalent to the whole group. However in the USA 50% of doctors use the Raoult scheme as a treatment for Covid. If this treatment were ineffective, the same proportion should be found among hospitalized patients,

 

Their conclusions on excess mortality after chloroquine are also biased by their sampling and / or their a priori.

Only a prospective study could assess the risk of mortality and the cardiac risk after Raoult treatment for Covid19.

The risk of heart rhythm disturbances of chloroquine alone has been known for 70 years and well below 1%. The possibility of increasing the risk by the association with azithromycin cannot be excluded in the elderly with heavy comorbidity, but has not been observed in pregnant women in malaria endemic countries where this association is frequently used .

Currently the largest prospective study published on this problem is that of Professor Raoult who has observed no fatal cardiac complications of chloroquine.

In conclusion it is a pity that so many newspapers repeat manifestly false conclusions without any critical inquiry into their validity. Are there still investigative journalists? Are they gagged by their shareholders?