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Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques

 

Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, procédures en cours

 

 

Vers le Nuremberg du Covid :  les procédures en cours

 

 En Autriche, la Cour constitutionnelle a rendu une ordonnance le 12 novembre 2020, non seulement pour clarifier la séparation des pouvoirs et souligner que le pouvoir législatif doit être impliqué, mais aussi pour qu’il y ait une discussion approfondie où les deux parties sont entendues (d’autres scientifiques que ceux oints par le gouvernement, leurs opinions doivent également être prises en considération).

 

Au Portugal, la cour d’appel a confirmé en novembre que le test PCR ne peut en aucun cas justifier un isolement d’une personne de surcroit non malade.

 

Nous avons informé les lecteurs de France Soir[1] de l’aventure portugaise de quatre allemands isolés sous contrainte dans un hôtel sous le fallacieux prétexte que l’un d’entre eux avait un test PCR positif à l’arrivée de l’avion (négatif au départ). La plainte de ces personnes retenues et isolées de force en raison d’un simple test positif a été très utile à l’ensemble des populations de la planète soumise à cette hégémonie d’un test que son inventeur H Mullis[2] estimait lui-même absolument inadapté pour poser un diagnostic d’une infection virale. La justice a donc statué sur l’enfermement illégal des plaignants et ordonné leur libération[3].

 

 

 

Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR [4]

 

Les principales conclusions juridiques sont :

 

Le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire

 

 La justice n’a pas vocation à poser un diagnostic en lieu et place d’un médecin

 

 Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins

 

 Le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens.

 Elle n’est pas respectée car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes [5].

 

 

 En Allemagne : Le château de cartes va s’effondrer par la mise en cause des tests PCR

 

 

 

L’analyse de la commission d’enquête parlementaire allemande et internationale extra- parlementaire [6] [7]  a amené aux conclusions suivantes :

 

 

 

Les confinements furent inutiles et le sont toujours !

 

La commission confirme ici les analyses publiées dès le 20 mars et jusqu’à maintenant [8] [9]  [10]affirmant que le confinement aveugle est inutile et toxique, ce que de nombreux auteurs dans le monde ont également affirmé, publié, déclaré dans nombre de vidéos.

 

« 1. Des confinements ont été imposés à un moment où le virus reculait déjà et où les taux d’infection commençaient à baisser.

 

  1. Les preuves scientifiques montrent qu’une majorité de personnes bénéficient déjà d’une immunité contre le virus en raison de l’immunité des lymphocytes T à réaction croisée contre l’exposition aux virus du rhume et de la grippe

 

  1. Le test PCR – qui sert à mesurer les taux d’infection et à justifier les mesures restrictives – « ne donne aucune indication d’une infection par un virus, encore moins une infection par le SRAS-CoV-2 ».»

 

Le conseil du dr Reiner Fuellmich :

 

« Aux politiciens, qui croient ces gens corrompus, ces faits sont offerts comme une bouée de sauvetage, qui peuvent vous aider à réajuster votre ligne de conduite et à entamer le débat public scientifique attendu depuis longtemps et à ne pas tomber avec ces charlatans et ces criminels. »

 

La fraude du test PCR

 

Le test PCR n’a pas été approuvé à des fins de diagnostic. Son inventeur, Kary Mullis, a souligné à plusieurs reprises, mais sans succès, que ce test ne devait pas être utilisé comme outil de diagnostic.

 

« Les tests PCR sont tout simplement incapables de diagnostiquer une maladie … Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente. Si une personne est testée positive, cela ne signifie pas qu’elle est infectée par quoi que ce soit, encore moins par le virus contagieux du SRAS-CoV-2. Même le CDC des États-Unis… est d’accord avec cela et je cite directement la page 38 de l’une de ses publications sur le coronavirus et les tests PCR du 13 juillet 2020.
La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques.
Les performances de ce test n’ont pas été établies pour le suivi du traitement de l’infection au 2019-nCoV.

Ce test ne peut pas exclure des maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Les écouvillons PCR prennent une ou deux séquences d’une molécule qui sont invisibles à l’œil humain et doivent donc être amplifiées en plusieurs cycles pour la rendre visible. Tout > 35 cycles est  considéré comme totalement non fiable et scientifiquement injustifiable. »

Cependant, le test Drosten ainsi que les tests recommandés par l’OMS… sont fixés à 45 cycles. Est-ce que cela peut être dû au désir de produire autant de résultats positifs que possible et de fournir ainsi la base de l’hypothèse erronée qu’un grand nombre d’infections ont été détectées ?  » se demande l’avocat Reiner Fuellmich
Les tests PCR ne peuvent pas faire la distinction entre virus inactifs et « vivants » ou reproducteurs. En conséquence, ils peuvent ramasser des débris morts ou des particules virales inactives qui ne présentent aucun risque pour le patient et les autres.

 

Le test peut détecter la présence d’autres coronavirus, donc un résultat positif peut simplement indiquer que vous avez récupéré d’un rhume dans le passé. Nombre d’entre nous ont déjà donné toutes ces informations et espérons que le fait qu’elles viennent d’une grande instance internationale convaincra plus de personnes encore adeptes malgré elles de la secte Covid.[11]
« Même Drosten[12] lui-même a déclaré dans une interview accordée à un magazine économique allemand en 2014… que ces tests PCR sont si sensibles que même des personnes en très bonne santé et non infectieuses peuvent être testées positives », note Fuellmich.
« À mon avis, il est tout à fait invraisemblable que [Drosten] ait oublié en 2020 ce qu’il savait des tests PCR et a dit au magazine économique en 2014. Bref, ce test ne peut détecter aucune infection, contrairement à toutes les fausses allégations selon lesquelles il le pourrait. »
Une infection, une soi-disant infection avec fièvre, nécessite que le virus… pénètre dans les cellules, s’y réplique et provoque des symptômes tels que maux de tête ou mal de gorge. Ce n’est qu’alors qu’une personne est réellement infectée, au sens d’une infection avec fièvre ; car ce n’est qu’alors qu’une personne est contagieuse, c’est-à-dire capable d’infecter les autres.
Jusque-là, le virus est totalement inoffensif pour l’hôte et toutes les autres personnes avec lesquelles l’hôte entre en contact … Un certain nombre de scientifiques hautement respectés dans le monde affirment qu’il n’y a jamais eu de pandémie de la corona mais seulement une pandémie de test PCR … »[13]
Dommage collatéral
La pandémie n’a pas entraîné un nombre supplémentaire de décès ou un nombre de morts plus élevé que la normale, MAIS les dommages collatéraux des mesures de riposte à la pandémie sont presque incalculables.

 

La santé publique, tant physique que mentale, ainsi que l’économie mondiale, ont toutes subi des coups terribles.

 

ARTICLE DE LA FAUSSE ALERTE

 

Fuellmich cite un document divulgué par un fonctionnaire allemand du ministère de l’Intérieur, surnommé « l’article de la fausse alerte » : « il n’y a aucune preuve suggérant que le SRAS-CoV-2 pose un risque grave pour la santé de la population, du moins, le danger n’est pas plus grand que celui de nombreux autres virus, tandis que les mesures pandémiques ont des conséquences « multiples » et « graves ».

 

« Ceci, conclut-il, conduira à des demandes de dommages-intérêts très élevées, dont le gouvernement sera tenu pour responsable. Cela est maintenant devenu une réalité mais l’auteur du journal a été suspendu », a déclaré Fuellmich.
« De plus en plus de scientifiques, mais aussi d’avocats, reconnaissent qu’en raison de la panique délibérée et des mesures corona permises par cette panique, la démocratie est en grand danger d’être remplacée par des modèles totalitaires fascistes …

Selon les psychologues et psychothérapeutes qui ont témoigné devant le comité corona, les enfants sont traumatisés en masse, avec les pires conséquences psychologiques à prévoir à moyen et long terme ».

Rien qu’en Allemagne, de 500 000 à 800 000 faillites devraient frapper à l’automne les petites et moyennes entreprises qui constituent l’épine dorsale de l’économie. Cela se traduira par des pertes fiscales incalculables et des transferts d’argent de la sécurité sociale incalculablement élevés et à long terme pour, entre autres, des allocations de chômage. « 

 

Conséquences juridiques

Fuellmich passe en revue les conséquences juridiques actuellement en cours dont l’examen de la constitutionnalité des mesures. Il note :
« Très récemment, un juge, Torsten Schleife… a déclaré publiquement que la justice allemande, tout comme le grand public, était tellement paniquée qu’elle n’était plus en mesure de rendre la justice correctement. (…). » Il souligne que les citoyens allemands
subissent actuellement la réduction la plus grave de leurs droits constitutionnels depuis la fondation de la République fédérale d’Allemagne en 1949. »

 

 

 

Fraudes et manipulations intentionnelles

 

 

Fuellmich montre des preuves qu’«une gamme de mensonges et de fausses déclarations de faits ont été délibérément diffusées », de sorte que, selon les règles du droit pénal, « cela ne peut être considéré que comme une fraude » et « selon les règles de la responsabilité civile, cela se traduit par des dommages intentionnels. « [14]
Pour répondre à ces griefs, la commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona va intenter un recours collectif – un recours juridique disponible aux États-Unis et au Canada – contre les parties responsables.

« Il convient de souligner que personne ne doit se joindre au recours collectif, mais chaque partie lésée peut se joindre au recours collectif« , explique Fuellmich. 

« L’avantage du recours collectif est qu’un seul procès est nécessaire, à savoir, pour juger la plainte d’un représentant des plaignants qui est touché d’une manière typique de tout le monde dans le groupe. »

Les choses ont pris forme et la plainte a pu être déposée le 23 novembre

 

Voici le communiqué de presse : « Le test PCR va au tribunal »

 

Poursuite intentée à Berlin – infections non détectables :  communiqué de presse fourni par l’avocat Reiner Fuellmich [15]

 

« Le test PCR est suspendu comme une épée de Damoclès sur des millions d’Allemands depuis des mois.

 

 Selon le résultat, il existe un risque d’interruption massives dans la vie quotidienne.

 Ce test a maintenant trouvé son chemin vers les tribunaux : une action a été déposée auprès du tribunal régional de Berlin.

 L’argument principal : le test n’est ni adapté ni destiné à la détection d’une infection. Et cela rend la chaîne : test positif – infecté – contagieux, fausse et donc dangereuse pour les autres

 

 

Première étape : le procès en diffamation

 

 

Globalement, la plainte de 54 pages aborde le procès en diffamation contre le site Web « Volksverpetzer ». Ce dernier en tant que « vérificateurs de faits », a insulté des personnes qui s’expriment de manière critique à propos des mesures corona et les ont diffamées en les qualifiant de menteurs, d’idiots et d’extrémistes de droite.

 

 

 Par exemple, le spécialiste du poumon bien connu Dr. Wolfgang Wodarg, ancien chef d’un service de santé et membre du Bundestag et du Conseil de l’Europe.

 

 Avec la grippe porcine, il a exposé les machinations de l’industrie pharmaceutique en 2010 et a probablement sauvé d’innombrables personnes du mal. Des centaines d’enfants vaccinés souffrent maintenant de narcolepsie. Début 2020, Wodarg a reconnu des parallèles inquiétants entre ce qui s’est passé alors et Corona aujourd’hui.  

 

Stratégie globale des avocats allemands

 

Cette action en diffamation n’est qu’une partie d’une stratégie plus globale : il s’agit essentiellement d’exposer l’utilisation incorrecte du test PCR.

 

« Nous voulons faire d’une pierre deux coups ici », a expliqué l’avocat, Dr. Reiner Füllmich, dans le bureau duquel la plainte a été rédigée sur la base des travaux préliminaires du Comité Corona de Berlin. Le lien est Wodarg, qui a également critiqué les tests.

 

« Le test PCR inadapté est la pierre angulaire de toute la débâcle corona. Cette pierre doit être brisée pour que tout le château de cartes s’effondre finalement », a déclaré Füllmich, expliquant le but réel du procès.

 

 

« Le test PCR est inadapté pour déterminer une infection » – c’est la conclusion unanime de plusieurs scientifiques de la pratique clinique et de la recherche quotidiennes.

 

En juillet, un groupe d’avocats composé de Viviane Fischer, Dr. Justus Hoffmann, Antonia Fischer et Dr. Fuellmich avait ainsi fondé le « Comité d’enquête sur la gestion di corona » de Berlin et a par la suite invité toute une armada d’experts de divers domaines spécialisés pour découvrir le contexte de la crise. Le test PCR a été discuté encore et encore.

 

 Les experts ont confirmé que le test PCR n’est pas adapté pour poser le diagnostic de Covid19, jugement critique est confirmé par le CDC – la plus haute autorité sanitaire américaine. Le test PCR recherche des extraits de virus.

 

Le CDC a déclaré : « La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou ni que le COVID-19 est l’agent causal des symptômes cliniques. »  L’agence conclut qu’une grande proportion de décisions sérieuses sont très probables est basé sur des résultats de test incorrects « .

 

Même l’industrie pharmaceutique avoue. Dr. Mike Yeadon, ancien directeur et scientifique en chef du géant pharmaceutique Pfizer, aurait déclaré : « Ce test est fatalement défectueux et doit être retiré immédiatement. » Les tests sont à environ 90% de faux positifs. Ils seraient « utilisés uniquement pour créer la peur ».

 

Une évaluation similaire vient du Canada : le professeur de médecine Roger Hodgkinson a récemment déclaré lors d’une audition au Parlement à Ottawa : « Je tiens à souligner que je suis actif dans l’industrie du dépistage du COVID. Je tiens à souligner que des résultats de test positifs ne signifient pas une infection clinique. Cela ne fait que susciter l’hystérie publique. » Le Risque pour les moins de 65 ans de mourir du COVID-19, est inférieur à un à 300 000 personnes.

 

 « Il y a une hystérie publique totalement infondée qui est menée par les médias et les politiciens. C’est la plus grosse fraude jamais commise contre un public sans méfiance. « 

 

L’inventeur du test PCR, le lauréat du prix Nobel Kary Mullis, décédé en 2019, a souligné à plusieurs reprises que le test PCR ne peut diagnostique une infection virale.

Même le virologue en chef allemand Christian Drosten, développeur du test PCR pour COVID-19, avait déclaré dans le « Wirtschaftswoche » en 2014 que le test PCR testerait également des personnes très saines et non contagieuses positives.

 

 

Depuis mi-janvier 2020, cependant, le « test Drosten » est l’outil utilisé pour évaluer les « personnes infectées ». Une contradiction flagrante.

 

 

En outre, la plainte indique clairement que, en particulier lors du développement du test Drosten PCR, qui a été vendu des millions de fois aux États-Unis sur la base de la recommandation de l’OMS, des erreurs flagrantes ont été commises.

 

 

 

 STRATEGIE PLUS GLOBALE

 

. « Ce procès n’est que le premier pas vers une stratégie encore plus large », a expliqué l’avocat Füllmich.

 

Après tout, toutes les mesures du confinement – avec des conséquences économiques et psychologiques dévastatrices – au déclin de l’éducation, de l’art et de la culture et à l’obligation de porter un masque, reposent sur ce test inadapté.

 

 Pour l’avocat, la crise corona est une « pandémie par étapes » qui constitue également une menace pour la démocratie et la liberté d’expression. Tout cela doit être traité légalement et les responsables doivent rendre des comptes. »

 

 

 

Füllmich travaille en étroite collaboration avec les autres avocats du comité Corona Viviane Fischer, Dr. Justus Hoffmann et Antonia Fischer, leurs conseillers médicaux Prof. Dr. Ulrike Kämmerer et Dr. Wolfgang Wodarg et leur conseiller juridique, le Prof. Dr. Martin Schwab.

 

Il existe également une coopération étroite avec des cabinets d’avocats renommés aux États – Unis – dont un groupe d’avocats dirigé par Robert F. Kennedy, jr. et sa défense de la santé des enfants – et le Canada ; les premiers procès y sont attendus ces jours-ci.

 

L’Autriche est également dans les starting-blocks avec un procès avec le même contenu. Un tribunal portugais a récemment levé les mesures de quarantaine en raison du test PCR inadapté, car il s’agissait d’une « détention sans fondement factuel ».

 

« Sur la base des données que nous avons méticuleusement collectées, tout avocat peut désormais travailler ici en Allemagne et à l’étranger », a déclaré Füllmich.

 

Cela s’applique à la fois à une attaque contre les tests PCR et aux poursuites judiciaires contre d’autres médias coupables de diffamation de personnes ayant une attitude critique. La valeur en litige du procès contre le « peuple perfide » est de 250 000 euros.

Ce communiqué de presse a été commenté dans la presse allemande, mais ne semble pas avoir franchi les frontières de la presse française grand public ni des médias télévisés (sauf France Soir).

 

Une  interview  Dr. Reiner Füllmich publié le 11 novembre 2020 dans le Fuldaer Zeitung et version  en ligne sur fuldaerzeitung.de . « Critique sévère du verrouillage de la covid19 : l’avocat Reiner Füllmich attaque le virologue Drosten et le patron du RKI Wieler   parVolker Nies[16]

En résumé, l’avocat Dr. Reiner Füllmich réclame des dommages-intérêts pour les entreprises qui ont subi des pertes en raison du confinement lié au covid par des Recours collectif aux États-Unis et procès devant les tribunaux allemands. Il accuse ceux qui disent que le test PCR permet de diagnostiquer les infections. Ce sont avant tout le virologue Prof. Dr. Christian Drosten et Lothar Wieler, président de l’Institut Robert Koch.

 Les poursuites visent également les politiciens qui se sont appuyés sur les conseils de Drosten et Wieler.

Au tribunal, les avocats demanderont pourquoi les politiciens n’ont pas également entendu d’autres experts – tels que le lauréat du prix Nobel et le professeur de Stanford John Ioannidis. Selon lui, le virus est beaucoup moins dangereux que Drosten et le RKI (robert koch Institute) le prétendent. Il a calculé que 0,14% des patients atteints de Corona meurent. Cela signifie que le coronavirus n’est pas plus dangereux que la grippe.                    

Les restrictions ont été ordonnées par les gouvernements fédéral et des États. Pourquoi ne les poursuivez-vous pas ?  Nous voulons que les personnes responsables – droit civil et pénal – soient responsables dans tous les cas. Nous commençons là où nous sommes sûrs de réussir.

De quoi accusez-vous les experts médicaux ?

Si nous pouvons prouver à MM. Drosten et Wieler devant le tribunal qu’ils ont délibérément menti, alors il y a des dommages immoraux intentionnels selon l’article 826 BGB. Lors de l’obtention des preuves, les politiciens devront bien entendu également répondre.      

Même si les conseils de Drosten et Wieler étaient erronés, ils ne sont pas responsables du confinement.

La politique pour le verrouillage du Conseil de Drosten et Wieler est familière.

 Les deux ont fait deux fausses déclarations : ils disent qu’il y a une infection asymptomatique – des personnes sans signe de maladie pourraient propager le virus – et l’infection peut sur la PCR – des tests sont détectés. Les personnes qui diffusent ces fausses déclarations en sont responsables.

 Nous serons devant la cour et prouverons que les tests PCR ne sont pas appropriés pour détecter une infection.                       

L’Institut Robert Koch explique que la précision du test PCR est de près de 100% s’il est effectué et évalué correctement. Mais il s’agit de la bonne utilisation.

 Dans le processus du test PCR, des traces du génome du virus sont reproduites – dans de nombreux cycles. En Allemagne, tous les tests sont évidemment ajustés à des valeurs élevées sur un grand nombre de cycles afin de produire autant de résultats positifs que possible. Cependant, un résultat positif ne signifie pas que la personne affectée est toujours contagieuse. Même les composants génétiques d’une grippe antérieure peuvent conduire à un résultat positif.        

Le problème est le nombre élevé de cycles dans l’analyse ?

Entre autres choses. Le « New York Times » rapporte que la majorité des vrais résultats de PCR faux positifs aux Etats-Unis sont basés sur des valeurs de cycles aussi élevées. Là, il est discuté de rejeter généralement les tests avec plus de 30 cycles. Le département de la santé de Francfort discute maintenant complètement correctement dans le but de tout ignorer à partir de 25 cycles.  Si le danger du coronavirus est de 0,14% [17]et donc au niveau de la grippe, et que les tests PCR sont pour la plupart faux positifs, alors quelque chose est exagéré de le présenter comme une maladie très dangereuse, ce qui n’est pas la vérité.

 Les tests PCR ne sont évidemment qu’un outil de panique

Pourquoi ne pas faire les tests correctement ? Alors pourquoi Drosten, contre son propre jugement, fait-il 45 cycles ? Pourquoi, contre un meilleur jugement, une seule séquence de gène est-elle généralement examinée – et non six, comme l’ont suggéré les Chinois ?

Leur méthode est beaucoup plus précise, mais c’est évidemment le but dans le monde occidental de produire autant de cas positifs, mais de faux positifs que possible. Cette pandémie est une pandémie de tests.           

Si les résultats positifs sont pour la plupart faux et que Coronavirus est aussi dangereuse que la grippe, comment se produisent les nombreux décès en Italie, en Espagne, aux États-Unis ?

Ici, en Allemagne, il n’y a aucune surmortalité d’une année sur l’autre. Cela est également dû au bon système de santé. En ce qui concerne les pays étrangers, la question du lien de causalité ne doit en aucun cas être simplifiée.

Abus dans le système de santé, traitements médicaux excessifs prescrits par peur et population particulièrement âgée en Italie – vous ne pouvez pas simplement tout attribuer au danger d’un virus sans examiner plus en détail les circonstances.

Mais il fallait évidemment des photos de panique pour garder la population sous le choc et empêcher quiconque de poser des questions. Ces images d’horreur venaient de Bergame et de New York. J’étais aux États-Unis à l’époque. J’y vis partiellement et je suis autorisé à pratiquer le droit en Californie.        

Mon ami Wolfgang Wodarg, pneumologue et ancien membre du SPD du Bundestag, entretient d’excellentes relations avec les médecins de New York. Certains hôpitaux n’étaient pas surpeuplés du tout.

Le navire-hôpital de 1 000 lits envoyé par les militaires était occupé par 20 ou 30 patients. Les hôpitaux touchés souffrent chaque année pendant la saison grippale de conditions que le professeur Ioannidis a qualifiées de « zone de théâtre de guerre ».       

Mais il y a eu non seulement de nombreux décès par corona à New York, mais partout aux États-Unis – 240 000 à ce jour.

330 millions de personnes vivent aux États-Unis, dont environ 7 300 meurent chaque jour, cela ne doit pas être oublié. Sur les 9,9 millions de personnes testées positives, environ 0,2% sont décédées. Cependant, il n’est pas précisé ici s’ils sont morts avec ou de covid.

Quand souhaitez-vous intenter une action en justice ?

Cette semaine. Aux États-Unis, notre équipe travaille avec l’avocat Robert F. Kennedy et son équipe.   Bob Kennedy et moi nous sommes rencontrés pour la première fois le 29 août à Berlin, lors de la manifestation contre les mesures liberticides en Allemagne.

Pourquoi poursuivez-vous aux États-Unis ?

En Amérique, il est beaucoup plus facile pour un grand nombre de plaignants de mettre en commun leurs intérêts dans un recours collectif. Il n’y a rien de tel en Allemagne. Le droit de preuve est également plus équitable aux États Unis lorsqu’un consommateur poursuit une puissante société.     

Qui sont les plaignants ?

Il existe plusieurs recours collectifs. Les plaignants sont principalement des entrepreneurs américains qui réclament leurs dommages. Au cours du procès, les plaignants diront qu’il y a des millions d’autres victimes dans le monde. Ils demanderont à toute personne lésée par les tests et les confinements de la même manière qu’elle soit admise en tant que plaignant. Les entreprises allemandes aussi.           

Où voulez-vous intenter une action en Allemagne ?

Nous poursuivons les responsables devant les tribunaux lorsque cela est possible. L’accusation permet d’intenter une action en dommages-intérêts devant les 200 tribunaux allemands, et cela va se produire maintenant. Nous représentons des entreprises qui disent : cela suffit, je veux savoir, et les coûts n’ont pas d’importance.     

Voulez-vous demander une indemnisation au tribunal ou poursuivez-vous un objectif politique ? 

Pour moi, il s’agit des deux – ou mieux : nous sommes un groupe de plus de 100 avocats. À l’origine, nous y sommes allés pour les dommages. Mais la question de la responsabilité politique est au moins aussi importante.    

 La demande de dommages-intérêts

Les procédures peuvent durer des années. Mais nous pensons que le cap sera fixé dès le début. Les tribunaux prendront les preuves, au sujet de la question : Que sont vraiment ces tests PCR ?  Nous supposons que les choses bougeront très vite si, par exemple, le lien entre Christian Drosten et l’entrepreneur Olfert Landt est discuté en public.      

Le 2 novembre, le tribunal de district de Dortmund a déclaré les restrictions liées au covid invalides car fondées sur une ordonnance du gouvernement et non sur une loi du Bundestag. Comment évaluez-vous le jugement contre lequel le procureur a déjà porté plainte ?

C’est un très bon jugement. Il est situé sur une ligne avec les décisions de l’Autriche en Cour constitutionnelle et de nombreux tribunaux américains

Le gouvernement peut prendre pour quelques jours des mesures d’urgence. Des coupes plus longues, comme nous l’avons fait et nous le faisons actuellement en Allemagne, ne peuvent être décidées que par le législateur. Il y a un débat public – même au – delà des questions : pourquoi un masque, et que montre un test PCR ?       

Le Bundestag souhaite désormais clarifier la loi sur la protection contre les infections : les décisions que l’État peut ordonner doivent être déterminées plus précisément. 

Cela arrive trop tard, mais au moins il y a maintenant une discussion sur ce que l’État peut et ne peut pas ordonner.   

Y aura-t-il vraiment une discussion ouverte ? Ce qui est visible en surface n’est pas toute la réalité. Les deuxième et troisième rang des groupes politiques ont une vision très différente. Nous avons reçu des signaux de nombreux membres du Bundestag pour la CDU / CSU et le SPD, y compris les Verts, et bien sûr l’AfD.

Les députés nous demandent n’y a-t-il pas d’alternative au confinement ? À quel point la puissance de la première ligne est encore grande, cela reste à voir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

[2] Kary Mullis : « Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade » (laveritesansmasque.blogspot.com)

[3] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés

[4]http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

 

 

[5] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés

[6] Voir article Nuremberg covid 1 sur RL n delepine

  https://resistancerepublicaine.com/2020/10/12/vers-la-mise-en-place-dun-nuremberg-du-covid/

[7]http://www.cielvoile.fr/2020/10/scandale-de-fraude-du-coronavirus-le-plus-important-combat-commence-juste.html  Dr Mercola – Le 17 octobre 2020

[8] Autopsie d’un confinement aveugle N et G Delépine éditions fauves septembre 2020

[9] http://www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire-economique

[10] ww.francesoir.fr/opinions-entretiens/autopsie-dun-confinement-aveugle-temoignage-dune-periode

[11] https://ripostelaique.com/la-supercherie-des-tests-pcr-devient-officielle-et-aggrave-la-situation.html

[12] Le conseiller de Mme Merkel et donc de toute l’UE

[13] Le Dr Yeadon, en accord avec les professeurs d’immunologie, Camera d’Allemagne, Capel des Pays-Bas et Cahill d’Irlande, le microbiologiste, le Dr Harvey d’Autriche ont tous témoigné devant le comité corona allemand, soulignent explicitement qu’un test positif ne signifie pas qu’un virus intact a été trouvé. « 
[14] Le professeur allemand de droit civil, Martin Schwab, soutient cette conclusion lors d’entretiens publics dans un avis juridique complet d’environ 180 pages

« « En vertu des règles du droit de la responsabilité civile délictuelle, tous ceux qui ont été lésés par ces tests PCR, les tests PCR induits par des confinements ont le droit de recevoir une compensation complète pour leurs pertes.

 En particulier, il existe une obligation d’indemnisation, c’est-à-dire une obligation de verser des dommages et intérêts, pour la perte de bénéfices subie par les entreprises et les indépendants du fait du confinement, et d’autres mesures.

 

 Dans l’intervalle, cependant, les mesures anti-corona ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par MM. Drosten, Wieler et l’OMS doivent être juridiquement qualifiés de crimes contre l’humanité, comme défini à l’article 7 du Code pénal international. « 

 

[15] Our reference (always indicate) Date Z-99/20-rf/nw23.11.2020 Wodarg, Dr Wolfgang./. Kreißel, Philip Plainte du Dr. med. Wolfgang Wodarg, Wiesenweg 40, 24646 Gardien – Demandeur – représenté par : Rechtsanwälte Dr. Fuellmich & Associates, Sen-derstrasse 37 à 37077 Göttingen contre Philip Kreißel, [adresse] – Défendeur – pour omission, révocation et compensation monétaire. Montant provisoire du litige : 250.000 € Nous nous désignons comme représentants du plaignant

[16] „WERKZEUG ZUR PANIKMACHE“

Harsche Kritik an Corona-Lockdown : Anwalt Reiner Füllmich greift Virologen Drosten und RKI-Chef Wieler an

[17] Avec neuf mois de recul, on sait maintenant que la létalité est encore beaucoup plus faible que ce chiffre, plutôt de l’ordre de 0,05 % des sujets malades

 

 

 

Raisons du recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales

 

 

La commission d’enquête extra-parlementaire allemande sur la COVID-19 lance un recours collectif contre les criminels du Coronavirus et pas seulement contre les politiques des gouvernements et leurs conseillers, mais aussi directement contre les fabricants.

 

La punition financière sera-t-elle plus efficace que tous les arguments moraux et scientifiques ?

 

« L’Allemagne est à nouveau en première ligne dans la lutte contre les mesures relatives au Coronavirus, qui sont dévastatrices, injustifiées, destructrices pour l’économie, affadissantes pour les personnes et carrément génocidaires.[1]  Et attaquer la base de la manipulation et de la désinformation qui permet à la peur de se répandre et donc à l’opinion d’être sidérée et trop silencieuse est sûrement une excellente idée de la commission allemande qui a initié dès juillet ses travaux pour un Nuremberg du covid.

 

Ainsi les fabricants du test PCR qui sert à justifier l’enfermement des ainés en EHPAD et la désorganisation de votre entreprise avec l’isolement de vos employés pour un « contact » vont enfin devoir rendre des comptes éventuellement sonnants et trébuchants pour avoir mis sur le marché un test non fiable.

« Le PCR – Polymerase Chain Reaction est une technique utilisée pour « amplifier » de petits segments d’ADN qui, selon de réputés virologues du monde entier, est absolument inadapté pour dépister la COVID-19.

 

Car un test positif ne signifie pas que vous êtes malade ou contagieux et ne justifie donc en rien votre isolement.

 

Pour transmettre la maladie, vous devez recéler du virus entier, son génome complet et l’excréter. Or le test met en évidence non pas le virus capable de se reproduire, mais simplement des fragments de son ARN qui ne sont en aucun cas infectieux. Ce test manque donc souvent de spécificité en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (les chinois en recherchent 5 à 6).

 

Et lorsque le nombre de séances d’amplifications est trop élevé, le test répond anormalement souvent positif. Pour évaluer la contagiosité, il est plus logique de voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Une très large étude [2] comparant positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures montre qu’il existe une bonne corrélation (supérieure à 70% des cas) pour un nombre de cycles d’amplification inférieur à 25, puis qu’elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente !

 

 

 

 

 

Néanmoins, le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l’OMS – et par d’autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID / NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l’hôpital Charité de Berlin. » il est utilisé en France comme la panacée.

 

Le grand gagnant du test PCR est le conseiller chercheur favori de Mme Merkel, le dr Drosten[3] qui a convaincu les autorités allemandes puis mondiales de tester et compter les « cas » et non plus les vrais malades cliniques, manipulant les populations pour leur faire croire ainsi à la persistance d’une pandémie.

 La taille du marché mondial du diagnostic COVID-19 est évaluée à 19,8 milliards de dollars en 2020  [4] et devrait croître chaque année de 3,1% d’ici 2027.

Coup double : aubaine politique pour les gouvernements qui souhaitent imposer des lois anti démocratiques (interdiction de se réunir et/ de manifester) et pactole commercial avec des centaines de millions de tests vendus par le monde.

Jackpot, mais responsabilité directe dont ils devront répondre. En tous cas c’est ce qu’espèrent les initiateurs de la plainte internationale, Reiner Fuellmich et associés et tous ceux qui les suivent dans de très nombreux pays (au moins une cinquantaine).

 

Le test PCR tel qu’il est réalisé en France avec des cycles d’amplification trop nombreux n’est pas spécifique, comme l’avait énoncé son inventeur Karys Mullis et même confirmé par le dr Drosten en 2014. Mais les temps changent et les objectifs politiques et financiers aussi.

En conséquence le test PCR a été généralisé et souvent imposé parfois illégalement pour faire peur (la Peur est le nom du Jeu dit Peter Koenig) en n’imposant évidemment pas une limite du taux de replication <33 et en cachant sur ordre des gouvernements l’amplification utilisée. [5]

Selon Fuellmich, le consensus est que tout ce qui est plus de 35 cycles est scientifiquement indéfendable. Pourtant, les tests et les tests de Drosten recommandés par l’Organisation mondiale de la Santé sont fixés à 45 cycles.

Des gens ont été privés de travail, leurs bureaux fermés comme les écoles, et les ainés enfermés comme des délinquants au premier test positif. Actuellement encore des EHPAD sont interdits de visite pour un test positif !

De plus, la panique entretenue par les médias pousse beaucoup de personnes à se faire tester plusieurs fois (et peuvent également être comptabilisées X fois).

 

Les nombre de « cas » peuvent être ainsi multipliés et instrumentalisés

Pour justifier les confinements qui bloquent la vie sociale et économique des pays entraînant d’innombrables faillites, chômage record, misère extrême, famine et suicides.

 

  Réparations financières et pénales ?

Les dommages sociaux et économiques qui découlent de la supercherie des tests PCR sont colossaux et on imagine les sommes fabuleuses que devront payer les entreprises qui ont fabriqué et vendu ces tests prétendant à tort qu’ils dépistent la contagiosité, ainsi que les dommages et intérêts que les politiques responsables pourraient être amenés à payer, tant en civil qu’en pénal.

Ainsi, lorsque l’idée d’un recours international et in fine d’un procès Nuremberg 2 est apparue, une bouffée d’espoir nous a enfin saisie permettant d’imaginer une sortie autre que tragique de ce scénario catastrophe que nous vivons depuis bientôt un an.[6]

le Dr Reiner Fuellmich, avocat de l’ACU, (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss ou ACU)   explique dans sa première vidéo d’octobre 2020 comment le recours collectif, pourrait mettre un terme à ces mesures destructrices et les inverser, en dédommageant les personnes lésées et les petites et moyennes entreprises qui n’ont eu d’autre choix que de déclarer faillite et de licencier leurs employés.[7]

 

 

Un futur big bang ?

 

Envisageable si des millions de personnes dans le monde entier se joignent au procès de recours collectif.

Ce recours collectif sera déposé très bientôt aux États-Unis, pays coutumier des class actions et plus de cinquante pays sont d’ores et déjà susceptibles de rejoindre le mouvement par des plaintes nationales, mais aussi des citoyens se joignant individuellement les class actions américaines.

Dans les premiers mois de 2020, l’avocat Fuellmich a découvert de nombreuses anomalies dans le processus de décisions politiques allemandes et interrogé des amis scientifiques allemands et étrangers. Par exemple il a découvert que Beate Bahner, avocate spécialisée en droit médical, qui affirmait que les mesures de quarantaine de l’Allemagne étaient inconstitutionnelles a été empêchée de présenter sa requête devant la cour constitutionnelle ; elle a été arrêtée et détenue dans un service psychiatrique pendant plusieurs jours[8].  Cela rappelle les sombres heures et les méthodes totalitaires des dictatures.

 

Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires

La séparation des pouvoirs a été violée dans les pays du monde qui appliquent les consignes de l’OMS à la suite de l’accord signé par 194 pays en cas de pandémie[9]. Et c’est évidemment l’OMS qui a changé les critères pour déclarer que la crise du covid était une « pandémie ». Pendant ce temps, ces gouvernements liés entre eux continuent à imposer par ordonnances des mesures liberticides sans rapport avec le danger réel du virus.

 Le judiciaire reprend la main

Il était temps que le judiciaire prenne la main, les peuples sidérés et enfermés par la peur et les mesures policières n’ayant pas jusqu’à présent réussi à faire stopper la propagande qui marche encore sur cette peur, terrible moyen connu depuis des lustres pour obtenir sidération et soumission des peuples. L’enseignement de Machiavel et de Goebbels sont présents dans nos mémoires.

Néanmoins de grands mouvements populaires voient le jour en Allemagne, Italie, Angleterre, Espagne et plus récemment la France, depuis fin août, à commencer par l’énorme rassemblement à Berlin d’un million de personnes en présence du très respecté Robert F Kennedy Jr, avocat et défenseur de la cause des enfants depuis de nombreuses années (voir son site children’s health Defense).

 

Le Panic Paper

Reiner Fuellmich a pu étudier le « PANIC PAPER ». Ce document classifié a été divulgué à la presse, et révèle qu’il y avait un plan intentionnel au niveau du gouvernement allemand pour induire une panique généralisée.

Selon Fuellmich, la seule raison pour laquelle le test PCR est utilisé d’une manière incorrecte est de créer suffisamment de peur et panique, afin que personne ne remette en question les mesures pandémiques mises en place et tout simplement faire ce qu’on leur dit. Il passe ensuite en revue le soi-disant « Panic Paper » écrit par le ministère allemand de l’Intérieur.

L’une des stratégies énoncées dans le document est parfaitement reproduite en France par nos médias et le gouvernement : le but est de culpabiliser les enfants et de les conditionner dans le respect de la « conformité », de leur faire sentir responsables « de la mort de leurs parents et grands-parents s’ils ne suivent pas les règlements anti-corona ». Cette stratégie est particulièrement perverse puisque toutes les études internationales ont démontré depuis mars 2020 que les enfants et adolescents de moins de 19 ans ne contaminent jamais ni adultes, ni enfants.[10]

Selon Fuellmich, ce que nous avons, c’est une pandémie de test PCR par étapes. Il ne s’agit pas d’une pandémie mortelle de virus, « et je peux le prouver devant les tribunaux ».

 

Le pouvoir judiciaire est « le dernier point d’ancrage de la démocratie » selon Fuellmich

Il soulève un point important. L’OMS, le Forum économique mondial et les Nations Unies sont tous des sociétés privées, mais elles exercent un pouvoir énorme sur les gouvernements du monde.

« Nous devons leur reprendre le pouvoir et le remettre à sa place, avec le gouvernement, et nous devons examiner de très près qui est au gouvernement et qui est devenu trop proche de ces sociétés » …

 Son plan de bataille consiste à démontrer au tribunal qu’il n’y a pas de pandémie de virus mais une pandémie de tests PCR par étapes.

 

À l’heure actuelle, des recours collectifs sont en cours d’élaboration aux États-Unis et au Canada. Des poursuites judiciaires sont également en cours d’élaboration en Allemagne.

L’ACU travaille également à la création de lignes directrices juridiques et de dossiers de données que les avocats du monde entier pourront utiliser pour intenter leurs propres poursuites.

 

Quant au citoyen lambda, Fuellmich exhorte tout le monde à, tout d’abord, ne pas abandonner, et autrement dit, poser beaucoup de questions. Continuez à poser des questions parce que plus les questions seront posées, plus les réponses seront claires.

 Continuez à contrer la censure en posant des questions. Une fois que les audiences commenceront, l’information commencera à se propager plus rapidement.

Pour en savoir plus, toutes les réunions de l’ACU sont diffusées en direct et disponibles sur la chaîne YouTube25 du Comité. Reiner Fuellmich peut être contacté via www.fuellmich.com, et le Comité d’enquête Corona via corona-ausschuss.de

Des informations en plusieurs langues devraient également être disponibles sur www.ACU2020.com.

 

 

 

 

 

[1] La commission d’enquête extra-parlementaire allemande sur la COVID-19 lance un recours collectif contre les criminels du Coronavirus   Par Peter Koenig Mondialisation.ca, 09 octobre 2020

Article original en anglais : Germany’s Extra-Parliamentary Corona Investigative Commission Launching a Class Action Suit Against Corona Criminals, le 4 octobre 2020 Traduit par Maya pour Mondialisation

[2] Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates Clinical Infectious Diseases Downloaded from https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciaa1491/5912603 by guest on 06 December 2020

[3] En tant que directeur de l’Institut de virologie du Centre médical de l’Université de Bonn, Drosten est surtout connu pour avoir mis au point le premier test diagnostique pour le SRAS en 2003. Il a également mis au point un test diagnostique pour la grippe porcine,6 et en 2009 a contribué tambour jusqu’à la panique avec des prophéties délirantes sur la grippe H1N1.

[4] https://www.grandviewresearch.com/industry-analysis/covid-19-diagnostics-market

[5] Beaucoup sinon la plupart des laboratoires amplifient l’ARN recueilli beaucoup trop de fois, ce qui entraîne des tests de santé « positifs ».

En résumé, l’écouvillon PCR recueille l’ARN de votre cavité nasale. Cet ARN est ensuite transcrit à l’envers dans l’ADN. Cependant, ils doivent être amplifiés pour devenir discernables. Chaque tour d’amplification est appelé cycle, et le nombre de cycles d’amplification utilisés par un test ou un laboratoire donné est appelé seuil de cycle.

Lorsque vous dépassez les 30 cycles, même des séquences insignifiantes d’ADN viral finissent par être amplifiées au point que le test se lit positif même si votre charge virale est extrêmement faible ou si le virus est inactif et ne représente aucune menace pour vous ou pour quelqu’un d’autre.

[6] (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss,3 ou ACU),4,5 lancé le 10 juillet 2020.

 

[7] A retrouver sur odyssee.com car supprimée de YouTube, censure après plus d’un million de vues

[8] Elle voulait se rendre devant la Cour constitutionnelle fédérale. La police a placé l’avocate du Coronavirus dans un service psychiatrique Polizei bringt Corona-Anwältin in Psychiatrie

Article originel :  Sie wollte vors Bundesverfassungsgericht Polizei bringt Corona-Anwältin in Psychiatrie https://www.bild.de/regional/frankfurt/news-inland/corona-anwaeltin-beate-bahner-in-psychiatrie-gebracht-sie-wollte-vors-verfassung-70024242.bild.html

[9] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

 

[10]  Voir nexus Gerard Delépine septembre 2020

www.francesoir.fr/…/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la- maltraitance

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

 

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Mise en garde  sur le génocide lié au pseudovaccin anticovid  au secrétaire d’état chargé des enfants et de la famille  de GB

(European Community) Genocide Notice to UK Government [Under Secretary of State for Children and Families]

 

Mise en garde  sur le génocide lié au pseudovaccin anticovid  au secrétaire d’état chargé des enfants et de la famille  de GB

 

Vicky Ford MP
Parliamentary Under Secretary of State for Children and Families
Department for Education
20 Great Smith St,
Westminster,
London SW1P 3BT
21st November 2020
Via Royal Mail Signed For Delivery

 

cliquez sur le lien ci-dessous pour lire version originale en anglais et français

 

Dr Kevin P Corbett

 

 

Cher sous-secrétaire,
Nous vous écrivons au sujet du programme de vaccination prévu contre Covid-19.
Nous souhaitons attirer votre attention sur le nombre élevé attendu d’effets indésirables qui, selon l’Agence de réglementation des
médicaments et des produits de santé (MHRA), constituent une «menace directe pour la vie des patients et la santé
publique».
«Pour des raisons d’extrême urgence en vertu du règlement 32 (2) (c) liées à la libération d’un vaccin Covid-19, les MHRA ont
accéléré la recherche et la mise en œuvre d’un outil d’IA (Intelligence Artificielle) spécifique au vaccin.
Strictement nécessaire – il n’est pas possible de moderniser les anciens systèmes de la MHRA pour gérer le volume de réactions
indésirables aux médicaments qui seront générées par un vaccin Covid-19. Par conséquent, si la MHRA ne met pas en
œuvre l’outil d’IA (Intelligence Artificielle), elle ne sera pas en mesure de traiter efficacement ces ADR (Adverse Drug Reactions :
effets secondaires). Cela entravera sa capacité à identifier rapidement tout problème de sécurité potentiel avec le vaccin
Covid-19 et représente une menace directe pour la vie des patients et la santé publique.
Raisons d’extrême urgence – la MHRA reconnaît que son processus d’achat prévu pour le programme SafetyConnect, y compris
l’outil d’IA (Intelligence Artificielle), ne se serait pas terminé par le lancement d’un vaccin.  »
https://ted.europa.eu/udl?uri=TED:NOTICE:506291-2020:TEXT:EN:HTML&src=0
En tant que professionnels de la santé ayant une expérience combinée de plus de soixante-dix ans, avec une connaissance
approfondie de l’histoire des vaccins, des ingrédients des vaccins et de leurs effets secondaires, nous sommes profondément
préoccupés par la morbidité et la mortalité attendues de la MHRA chez les vaccinés.
Par conséquent, nous vous informons que si le programme de vaccination prévu se poursuit, vous serez directement coupable de
la mortalité infantile et des dommages causés aux enfants dont vous et les autorités locales que vous supervisez êtes
responsables. En outre, nous souhaitons vous informer que nous sommes actuellement en train d’obtenir des conseils juridiques
formels à ce sujet, ce que nous espérons confirmer les déclarations faites. Compte tenu de la menace imminente pour la vie de
plusieurs centaines de milliers d’enfants dans tout le pays, nous vous informons que nous attendons de vous que vous nous
répondiez dans les quarante-huit heures avec une confirmation écrite de l’arrêt de tous les plans de vaccination contre Covid-19 et
que vous transmettiez des informations en cascade à le personnel responsable approprié, les chefs de service, les responsables
pour les adultes vulnérables et leurs agences associées, dans le cadre de vos attributions en tant que sous-secrétaire d’État
parlementaire pour l’enfance et la famille ou ministre titré équivalent, au sein des administrations décentralisées d’Écosse, du Pays
de Galles et d’Irlande du Nord.
Le non-respect de cette demande vous avertira que vous pourriez être considéré comme complice de ce qui peut être décrit avec
précision comme un génocide s’il est prouvé que les faits que nous avons déclarés étaient connus de vous ou des autres autorités
compétentes et que vous n’avez pas agi. sur eux.
Cordialement,
Dr Kevin P Corbett
Kate Shemirani
cc Matt Hancock – Secretary State for Health and Social Care
Vicky Ford MP
Parliamentary Under Secretary of State for Children and Families

,
(European Community) Genocide Notice to UK Government [Under Secretary of State for Children and Families]

Kevin Corbett
Envoyé : lundi 23 novembre 2020

 

 

click to obtain the original text

Objet : Dr Kevin P Corbett

 

Vicky Ford MP

Parliamentary Under Secretary of State for Children and Families

Department for Education

20 Great Smith St,

Westminster,

London SW1P 3BT

 

21st November 2020

 

Via Royal Mail Signed For Delivery

 

Dear Under Secretary,

We are writing to you with regard to the planned Covid-19 vaccination program.

We wish to draw your attention to the expected high number of adverse reactions which the Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA) explicitly state are a “direct threat to patient life and public health”:

“For reasons of extreme urgency under Regulation 32(2)(c) related to the release of a Covid-19 vaccine MHRA have accelerated the sourcing and implementation of a vaccine specific AI tool.

Strictly necessary — it is not possible to retrofit the MHRA’s legacy systems to handle the volume of Adverse Drug Reactions [ADRs] that will be generated by a Covid-19 vaccine. Therefore, if the MHRA does not implement the AI tool, it will be unable to process these ADRs effectively. This will hinder its ability to rapidly identify any potential safety issues with the Covid-19 vaccine and represents a direct threat to patient life and public health.

Reasons of extreme urgency — the MHRA recognises that its planned procurement process for the SafetyConnect programme, including the AI tool, would not have concluded by vaccine launch.”

https://ted.europa.eu/udl?uri=TED:NOTICE:506291-2020:TEXT:EN:HTML&src=0

We, as health care professionals having a combined experience in excess of seventy years, with extensive knowledge of the history of vaccines, vaccine ingredients and their side-effects, are deeply concerned about the MHRA’s expected morbidity and mortality in vaccine recipients.

We therefore hereby inform you that if the planned vaccination program shall proceed then you will be directly culpable for the infant mortality and damage caused to children for whom you and the local authorities you oversee are responsible.

Furthermore we wish to notify you that we are currently in the process of obtaining formal legal advice in respect of this matter which we expect to confirm the statements made.

Given the imminent threat to the lives of many hundreds of thousands of children nationwide  we are notifying you that we expect you to reply to us within forty-eight hours with written confirmation of the cessation of all Covid-19 vaccination plans and to cascade information to the appropriate lead staff, heads of service, leads for vulnerable adults and their associated agencies, within your remit as the Parliamentary Under Secretary of State for Children and Families or equivalent titled minister, within the devolved administrations of Scotland, Wales and Northern Ireland.

Failure to comply with this request will place you on notice that you may be deemed to be complicit in what may accurately be described as genocide if it is proved the facts we have stated were known to you or the other relevant authorities and you failed to act upon them.

Yours sincerely

Dr Kevin P Corbett                    
Kate Shemirani 

cc Matt Hancock – Secretary State for Health and Social Care

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lettre adressée aux députés et sénateurs 19 nov 2020 : informations sur risques des vaccins COVID

les vaccins anticovid qui devraient être mis sur le marché relèvent d’une technique jamais utilisée jusqu’à présent pour fabriquer un vaccin. Elle recourt aux organismes génétiquement modifiés et à l’insertion dans les cellules de l’Hôte d’ARNm dont on ne connait pas le devenir. Selon le principe de précaution, ces vaccins ne devraient être autorisés avant expérimentation longue.

de plus l’intérêt de ce vaccin est très discutable étant la très faible létalité de la maladie, en particulier chez les jeunes et enfants (moins de morts qu’avec la grippe)

 

des juristes ont adressé aux élus de la République la lettre ci-jointe que nous vous demandons de diffuser au maximum à vos maires, conseillers généraux, mais aussi à tout un chacun pour information

 

 

« Le CRIIGEN a réalisé une étude de 10 pages sur les risques considérables que ces nouveaux types de
vaccins ADN recombinés et ARN vont nous faire courir sous prétexte de nous protéger du COVID.
Que va-t-il se passer après l’injection de ces « vaccins » OGM sur le génome de notre organisme, celui
de nos enfants, le vôtre et ceux de votre famille après 6 mois ou 3 ans comme dans l’exemple cidessous sur des enfants, si ces morceaux d’ARN de Moderna ou de Pfizer modifient notre ADN et le
rende fou ? « 

cliquez sur le lien ci-dessous

lettre députés sénateurs 

chaine  TVlibertés

 

écoutez le samedi politique du 14 NOV 2020 présenté par Elise Blaise sur tvlibertés avec Gerard Delépine

 

http://mtr.cool/bopdenlohw

« Encore 15 jours (minimum) de confinement. Le premier ministre Jean Castex l’a annoncé, les Français vont devoir encore attendre pour avoir une chance de revoir la liberté… Plus le temps passe, plus les populations s’attendent à être assignées à résidence éternellement… Une situation inquiétante tant sur le plan des libertés que sur celui de la santé. Seule solution présentée par les dirigeants politiques : le vaccin… Une perspective qu’illustre bien l’annonce du laboratoire américain Pfizer présentant son vaccin contre le Covid-19 en cours d’élaboration comme « efficace » à 90%… Il n’en fallait pas plus pour que des responsables politiques sautent à pieds joints dans l’obligation vaccinale. Une option bien incertaine au vu de l’absence de recul possible sur ce fameux vaccin. Face à ce totem, un véritable désintérêt se dessine pour des solutions thérapeutiques. Le professeur Didier Raoult, qui propose un traitement que l’on rechigne à tester sérieusement dans des conditions conformes au protocole de l’infectiologue marseillais, est de son côté poursuivi par l’Ordre des médecins… Un Ordre des médecins qui semble plus timide quand il s’agit d’enquêter sur les conflits d’intérêts de certains praticiens médiatiques… Dans cette hystérie globale, où ordres, contre-ordres, et mensonges se succèdent, les Français semblent perdus. Ils cherchent des réponses ailleurs, notamment dans le documentaire « Hold-Up »… Le docteur Gérard Delépine, chirurgien oncologue et statisticien (auteur avec Nicole Delépine de Autopsie d’un confinement aveugle Ed. Fauves disponible ici https://www.tvlibertes.com/produit/ni…) revient pour nous sur une situation souvent incompréhensible rythmée par des choix politiques opaques. Retrouvez-nous sur : https://www.tvlibertes.com/ https://www.facebook.com/tvlibertes/ https://twitter.com/tvlofficiel?lang=fr  « 

Non aux reconfinements mortifères, même locaux

 

 

Par le docteur G. Delépine

 

Le confinement aveugle qui nous a été imposé de manière totalitaire représente la plus grande catastrophe dont la France a souffert depuis 75 ans. Ce n’est pas le Covid19 qui est responsable de la majorité des morts observés ni de l’état catastrophique actuel du pays, mais les mesures sanitaires inadaptées[1] et disproportionnées qui nous ont été imposées.

 

 

 

Ne savent-ils pas compter ou veulent ils veulent-ils sciemment nous nuire ?

Une politique se juge à ses résultats. La politique sanitaire française a été particulièrement contreproductive puisqu’elle nous a amené dans le top 6 européen des plus hauts taux de morts par Covid derrière la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la Grande Bretagne et la Suède avec quatre fois plus de morts qu’en Allemagne (490/million contre 114/M) et 25% de plus qu’aux Pays-Bas qui ont laissé leur population libre de ses mouvements, ne pleurent pas de victimes collatérales et bénéficient de perspectives économiques moins catastrophiques que les nôtres.

 

 

Ce confinement aveugle (astreignant à résidence ensemble les malades contagieux et les biens portants contre toute logique sanitaire ) a été directement responsable d’un excès de 25000 morts [2][3] attribuées au covid19, de 25000 à 30000 morts collatéraux supplémentaires (survenues ou à venir) par arrêt des soins des autres pathologies, d’une aggravation des violences familiales, des pathologies psychiatriques, d’un décrochage scolaire massif[4], d’une fracture sociale sévère[5] et de la plus grave crise économique [6] depuis la dernière guerre mondiale.

Ce bilan catastrophique du confinement ne perturbe apparemment pas le lobby de la terreur qui prône en permanence de le réimposer, sans qu’un débat démocratique ne puisse avoir lieu dans les médias, car les opposants sont le plus souvent exclus.

Ainsi J F Delfraissy, président du Conseil scientifique n’exclut pas un re confinement local[7]. » ni Esther Duflo vante les mérites d’une organisation « sereine » d’un re confinement. Ni Jérôme Marty, président du syndicat de l’Union française pour une médecine libre (UFML) qui estime que  » ce qu’il risque d’arriver c’est un re confinement total, comme ils vont le faire au Royaume-Uni à la Toussaint » ni Christine Rouzioux qui croit que les mesures prises par le gouvernement n’étaient pas assez drastiques et prophétise  » les hôpitaux seront pleins très rapidement et seront submergés.

Le Canard Enchainé a récemment dévoilé le scénario de l’Elysée des confinements locaux prévoyant dans certaines régions avec le passage possible à l’état d’urgence sanitaire. Apparemment, pour eux, quand une mesure a été catastrophique il faut la réutiliser !

L’absence de débat, les mensonges permanents inversant les versions, les chiffres faux et différents selon les sources officielles diverses créent la confusion mentale des citoyens et l’impossibilité totale de comprendre. Ce n’est pas être uniquement de l’incompétence, mais évoque plutôt l’application d’une technique totalitaire bien éprouvée et décrite depuis des lustres, même si elle peut utiliser des incompétents, ou naïfs ou ignorants pour la mettre en œuvre avec le plus grand naturel.

 

Comment avions-nous fait auparavant lors des grandes pandémies modernes ?

Depuis la guerre de 40-45, deux autres épidémies majeures (grippe asiatique et grippe de Hong Kong) ont fait plus de victimes que le Covid19 en France et dans le monde. Elles n’ont justifié ni l’état d’urgence, ni la suspension de nos droits fondamentaux et n’ont pas causé les dommages colossaux que nous constatons actuellement tant pour la société, que pour l’éducation et l’économie.

Et plus récemment en janvier 2017 la grippe banale a tué près de 14000 français. Les médias en ont peu parlé et la vie a continué, normalement. Car la vie est une maladie sexuellement transmissible, en permanence exposée aux dangers, et constamment mortelle…

 

Comment ont fait les pays qui ont vaincu le Covid19 ?

Après la Chine, quatre pays ont affronté le Covid19 avec succès et sans confinement en reposant leur stratégie sur les méthodes traditionnelles de lutte contre les pandémies le contrôle des frontières et l’isolement des malades (la quarantaine de 15 jours).

 

Prophéties mathématiques mensongères et faits constatés dans le monde réel

 

De nombreux articles ont vanté les mérites du confinement aveugle à la française en prétendant, comme les prophéties de Ferguson, qu’il ralentirait le rythme des contaminations, éviterait la surcharge hospitalière, permettant ainsi aux autres malades d’être soignés et d’hospitaliser nos ainés qui en auraient besoin.

En comparant les morts recensés à leur prophéties initiales, ils ont même prétendu avoir sauvé 60000 français et 3 millions d’européens. Leur méthode réside à comparer leur prédiction catastrophique (multipliant par 10 à 20 le nombre des morts attendus) au nombre réellement observé et à s’attribuer le mérite d’avoir grâce à leur recommandation, sauvé la différence.

Leur trucage est évident lorsqu’on analyse l’article où ils se vantent d’avoir sauvé 3 millions d’européens[8] ; dans leur « extended data tableau 1 », ils donnent leurs résultats pays par pays au 4 mai 2020.

 

 

 

Pour la Suède, ils constatent le faible nombre de décès observés (2769), le comparent à leur estimation initiale sans confinement pour cette date (28000) et affirment alors avoir sauvé 26000 suédois, grâce au confinement.

Malheureusement pour eux, les suédois n’ont jamais confiné, démontrant ainsi que les prophéties de Ferguson et ses élèves majorent par dix le risque réel, qu’ils ignorent les politiques sanitaires appliquées par les pays « étudiés » et que leur « vies sauvées » virtuelles ne constituent en réalité que la mesure de l’erreur de leurs estimations.

Il est triste de constater que cet article, grossièrement erroné, a été publié dans la revue Nature jadis réputée pour son sérieux.

 

Les conséquences dramatiques du confinement aveugle dans le monde réel.

Echec contre le Covid19

L’examen des courbes de contamination observées montre que l’astreinte à domicile (ou dans leur Ehpad), ensemble malades et biens portants, n’a pas ralenti le rythme des contaminations en France, comme dans les pays voisins qui ont appliqué cette technique moyenâgeuse.

 

 

 

En Belgique, la propagation de l’épidémie a même été franchement accélérée par le confinement aveugle ainsi que le montre la comparaison des courbes de contaminations en Belgique (confinée) et aux Pays-Bas (non confinés).

 

 

L’accroissement du risque de contamination par le confinement aveugle vient d’ailleurs d’être confirmé par une étude espagnole[9] démontrant, sur des tests sanguins, que les personnes qui n’étaient pas confinées ont été moins infectées que les personnes confinées.

 

 

Cette accélération des contaminations explique l’augmentation de la mortalité dans tous les pays qui ont confiné à l’aveugle. La comparaison des courbes de mortalité entre la France et l’Allemagne (qui n’a pas confiné aveuglément mais pratiqué des quarantaines ciblées est éloquente :

 

Le confinement aveugle pratiqué en France a été suivi d’une considérable augmentation de la mortalité Covid19 contrairement à l’Allemagne

 

Le confinement aveugle est de plus responsable d’environ 30000 victimes supplémentaires actuelles/futures par défauts de soins

Le confinement s’est accompagné du plan blanc réservant la quasi-totalité des moyens hospitaliers au Covid, imposant un arrêt de toutes les activités médicales hors Covid, interdisant toutes les interventions chirurgicales nécessaires aux malades ordinaires. Ce plan blanc a laissé de très nombreux hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et a conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radio etc.

 

En Ile-de-France, le confinement a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé[10].

Or les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt (en général et à bon escient) et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance menacent la vie des malades à court ou moyen terme.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard …) dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

 

Malades aigus déjà morts du confinement

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière affirme que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer des dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Une étude de l’Inserm[11] menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

 

Malades chroniques abandonnés

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale. Des patients fragiles, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les soins en cancérologie désorganisée par les ARS

Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation. Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure. Ce sont les ARS qui ont bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et exigeant qu’on les remplace par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Pays perdu dont les médecins transformés en robots doivent obéir à des administratifs. Il semble bien que cela recommence puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre un nouveau plan blanc alors que le nombre de morts par covid (supposé) est dix fois inférieur à celui de mars au plus fort de l’épidémie.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie comme on l’a vu, de neurologie, d’endocrinologie, rhumatologie, d’insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de les chiffrer précisément avant des années, d’autant qu’il faudra aussi additionner l’excès de morts par suicide à venir à la suite du choc post traumatique subi. Comme nous l’avons déjà écrit la deuxième vague sera psychiatrique.[12]

 

Maladies nouvelles diagnostiquées et traitées avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations observée a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

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380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le plan blanc 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer mais ce chiffre semble être descendu de moitié. L’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne : « pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer”, explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès.”

Si on ajoute les morts prévisibles des autres pathologies, le bilan mortifère du plan blanc s’élève actuellement pour la France à plus de 25000-30000 morts.

 

Au total 25000 morts du Covid19 qu’on aurait pu éviter, 25000-30000 victimes collatérales par défaut de soins soit un total de plus de 50000 victimes du confinement. Ces estimations ne constituent que des minimas auxquels il faut ajouter celles des violences familiales, de l’explosion des pathologies psychiatriques et des suicides, d’une fracture sociale inédite entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées), une catastrophe éducative (avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent pas les autres enfants ni les adultes.

 

Les victimes de la crise économique parfois lointaines et ignorées

La crise économique du confinement s’annonce d’une ampleur inégalée depuis 1945 avec une diminution prévue de plus de 10% du PIB, des dépôts de bilan qui s’accumulent et le chômage reparti vers des records historiques.

La famine sévit déjà en France, où le nombre de pauvres a bondit de plus d’un million et ou les restaurants du cœur doivent faire face à des affluences record. De plus en plus de mamans témoignent : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et je ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

En Afrique l’aggravation de la famine dû à la crise économique du confinement va entraîner, plus d’une centaine de millions de morts d’après l’ONU et le programme alimentaire mondial contre la faim[13] .

 

Une Crise démocratique majeure sans équivalent depuis la dictature de vichy. Le gouvernement de la France qui prétend donner des leçons de démocratie au monde est dirigée depuis plus de six mois sous un état d’urgence plus autoritairement que Taiwan, la république de Corée ou Singapour dont les taux de mortalité Covid19 sont près de 100 fois inférieurs au nôtre, qui ne déplorent pas de victimes collatérales et dont les dégâts économiques s’annoncent deux fois moindres.

La poursuite de prétendues mesures sanitaires dont l’efficacité n’a jamais été prouvée contribue à aggraver la panique et à détruire l’économie.

Reconfiner priverait à nouveau inutilement nos enfants de leur éducation et ferait tellement de dégâts à notre économie déjà très malade que notre capacité à financer sur le long terme notre système de santé et d’autres services publics serait sérieusement entamée.

 

Que peut-ton faire ?

L’opposition – et pourquoi pas des députés et sénateurs de la majorité conscients de foncer dans le mur, et les grands médias doivent cesser d’être à la remorque du gouvernement et adopter une attitude critique constructive sans concession.

Les résultats réels catastrophiques du confinement français doivent être rappelés et dénoncés de même que la prolongation de l’état d’urgence et des mesures sanitaires totalement inutiles, voire nocives (port du masque toute la journée à haut risque d’infection) qui bloquent l’économie avec des normes fantaisistes jamais validées par aucune étude scientifique et des évictions de personnels non malades dont le seul tors a été de se faire tester.

Le Premier ministre norvégien E Solberg a reconnu à la télévision nationale Le 27 mai dernier. « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur » « fermer des écoles et des jardins d’enfants, faire travailler tout le monde à domicile ou limiter les rassemblements à un maximum de cinq personnes a été excessif » C Stoltenberg, directrice de l’Institut norvégien de santé publique a confirmé « le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19. ». Le président Macron se grandirait en reconnaissant, comme elle, avoir agi par peur d’une prophétie catastrophe manipulatrice.

Une politique sanitaire efficace doit être fondée sur l’expérience médicale des pays qui ont vaincu la maladie et pas sur des prédictions mathématiques qui se sont toutes révélées totalement fantaisistes. Plutôt que de prendre modèle sur la Chine, nous aurions dû méditer l’expérience de Taiwan, qui a démontré que « la meilleure façon de contenir le coronavirus n’est pas de mettre en quarantaine les informations sur l’épidémie, mais de les rendre plus faciles et plus pratiques pour personnes à accéder aux informations pertinentes. »

Arrêtons cette propagande de la terreur. Rassurons la population. Mettons fin à cette accumulation de mesures grotesques qui pourrissent inutilement la vie de nos compatriotes et vont achever l’économie.

L’épidémie est terminée et la deuxième vague dont on nous menace depuis quatre mois n’est qu’une vaguelette qui conforte progressivement, grâce aux jeunes, l’immunité collective qui protégera nos ainés comme elle le fait dès maintenant en Suède[14]

 

 

Retrouvons nos libertés pour redresser le pays.

Renforçons le système sanitaire en le libérant du carcan bureaucratique des ARS qui ont montré leur grave pouvoir de nuisance lors de cette crise[15].

Affectons immédiatement plusieurs milliards aux hôpitaux pour qu’ils accroissent leur capacité de réanimation, et l’effectif de leur personnel soignant en augmentant immédiatement d’au moins 300 euros les soignants au contact des malades et en allégeant leurs contraintes administratives. On ne manque pas d’infirmière ni de médecins en France mais leurs conditions de travail en ont dégouté un trop grand nombre ; redonnons-leur le plaisir de traiter les malades et d’être à nouveau utiles.

 

L’OMS lui-même réfute le confinement.

Le Dr David Nabarro a lancé un appel aux dirigeants mondiaux leur demandant d’arrêter « d’utiliser les confinements comme méthode de contrôle principale » du coronavirus. « Les confinements n’ont qu’une seule conséquence que vous ne devez jamais prendre à la légère, c’est qu’ils rendent les gens pauvres beaucoup plus pauvres » « Nous, au sein de l’Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle de ce virus ».

 

 

[1] Aucune des mesures de distanciation sociale qui ont été imposées ne repose sur des preuves scientifiques ni sur une utilisation médicale réussie. Seule la quarantaine a prouvé son efficacité.

[2] Professeur Christian Perronne 16 juin 2020 : « On a eu 30 000 morts en France, j’ai honte pour notre pays. Sur ces 30 000, on aurait pu en éviter 20 000 voire 25 000 »

[3] Par rapport à l’Allemagne qui n’a pas confiné mais pratiqué la prévention classique des épidémies par l’endiguement 24500 morts de trop en France estimation finale Christian Perronne avait vu juste France soir 5 8 2020 http://www.francesoir.fr/covid-19-24500-morts-de-trop-en-france-estimation-finale-christian-perronne-avait-vu-juste

[4] Avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes

[5] Entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées

[6] Chômage en forte hausse, baisse record du PIB. En France, il est estimé que les faillites d’entreprises devraient croître de 25 %, hausse similaire à ce qui est attendu en Italie et en Belgique. En comparaison, l’Allemagne et le Japon devraient mieux s’en tirer (+10 %) sur cette période.

[7] Le 9 10 au micro de BFM TV

[8] Seth Flaxman Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe Nature

. 2020 Aug ;584(7820) :257-261. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32512579/

[9] : Estudio nacional de sero–epidemiologia de la infection por SARS-COV-2 en Espana. Informe preliminar 13 de mayo de 2020.

[10] Parmi ce décompte de consultations, combien en télémédecine, combien avec examen clinique et contact direct en la présence du médecin et du patient ?

[11] Eloi Marijon*, Out-of-hospital cardiac arrest during the COVID-19 pandemic in Paris, France : a population-based, observational study Lancet Public Health 2020 May 27, 2020 https://doi.org/10.1016

 

[12] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vague-psychiatrique-deja-rude-ne-sera-pas-en-cloche : Les psychiatres ont mis en garde dès le début du confinement sur les effets pervers de l’enfermement chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées mais qui décompenseront. Curieusement, s’il l’on compte chaque jour les quelques patients malades du covid ou supposés tels, les vrais et faux positifs et surtout les consultants pour « angoisse de covid » qui constitue le nouvel indice de « vague », un silence de mort pèse sur le versant psychiatrique de cette crise majeure.

 

[13] D’après D Beasley, patron du PAM Lors d’une visioconférence du 21 avril au Conseil de sécurité de l’ONU

[14] D’après le rapport OMS -weekly-epi-update-9 du 9 octobre la France a compté dans la dernière semaine 110 665 nouveaux cas et 480 morts contre 2804 tests positifs et 5 morts en Suède.

[15] En particulier en refusant l’accès des réas puis de l’hôpital aux pensionnaires des Ehpad, en bloquant les soins et les interventions ordinaires durant le confinement et maintenant, en imposant des tests avant tout traitement ce qui aboutit à retarder inutilement les soins nécessair

Paru le 15 septembre 2020 – Autopsie d’un confinement Aveugle

Le 17 mars 2020, plus de 65 millions de Français entraient en période de confinement pour huit semaines. Hôpitaux impréparés, écoles fermées, isolement des personnes les plus fragiles, économie à l’arrêt, déclarations contradictoires et surabondance d’informations… Face à cette mesure jugée abusive et contraignante, faisant fi des préconidations et rapports scientifiques, Nicole et Gérard Delépine ont multiplié tribunes et articles pour alerter des conséquences désastreuses – médicales, sociales, psychologiques, économiques – d’un confinement généralisé.

Le confinement fut-il une mesure sanitaire ou politique ? Pourquoi le Pr Raoult a-t-il été voué aux gémonies ? Pourquoi a-t-on fermé les écoles, alors qu’il fut prouvé que les enfants n’étaient pas contagieux ? Comment expliquer les déclarations contradictoires sur le port du masque ? Pourquoi l’argent ne suffira-t-il pas à régler les problème de l’hôpital ? Que s’est-il réellement passé dans les EHPAD ?

Fidèles au serment d’Hippocrate, Nicole et Gérard Delépine ont tenu leur rôle de médecins dans un climat mortifère où la population fut infantilisée. Le présent document rassemble leurs contributions parues entre le 17 mars et le 16 juin 2020 et retrace l’évolution de leurs réflexions en fonction des informations, vraies comme fausses, qui ont circulé pendant cette période.

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue et Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de 40 ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

Broché : 432 pages

ISBN-13 : 979-1030203547

Fangue : : Français


Ils en parlent :

 

La supercherie des tests PCR devient officielle et aggrave la situation

La supercherie des tests PCR devient officielle et aggrave la situation. Depuis quelques semaines, plusieurs médecins et biologistes comme le Dr Pascal Sacré, réanimateur belge, attirent l’attention des citoyens sur l’absence de fiabilité des tests PCR gratuits proposés larga manu aux frais de la Sécurité sociale.

Mais la propagande publicitaire du gouvernement pour toujours plus de dépistage ébranle les convictions par la force de l’autorité et de la répétition du mensonge selon les prescriptions de Propaganda et son apôtre Goebbels…

Un mensonge répété mille fois devient vérité… Cela a beaucoup été rappelé depuis mars, mais peut-être ne sont-ce que les mensonges plus rassurants que le peuple a envie de croire. Un autre sujet de réflexion.

En attendant, nous avons été très intéressés par le post sur Facedebouque de Peter El Baze à propos des tests, leur validité et leur interprétation. Nous vous invitons à lire en détail la totalité de son post :

LA SUPERCHERIE DES TESTS PCR

Nous vous en proposons quelques extraits. Peter El Baze insiste sur la « supercherie des tests PCR à la suite de la publication de la réponse des experts le 25 septembre 2020 :

« Il s’agit de la réponse des experts de la Société française de microbiologie à la suite d’une demande d’avis de ce gouvernement.

Dans ce document daté du 25 septembre :

– la SFM recommande de ne PAS donner la valeur du CT aux médecins traitants ! (Oui, vous avez bien lu, et c’est le cas depuis le début !)

– Que seuls les tests PCR avec CT inférieur ou égal à 33 (et que 3 cibles sont détectées) indiquent une infection Covid ;

– que pour un CT supérieur à 33 indiquer “positif faible” ;

– que pour un CT supérieur ou égal à 37 indiquer “négatif”.

Cela confirme encore une fois TOUT ce que j’écris sur les tests PCR depuis des mois.

Il est honteux de cacher la valeur du CT aux médecins car une grande partie des PCR indiqués “Positif” ont des CT > 35 jusqu’à 45 !

Je rappelle que selon la communauté scientifique internationale, seuls les PCR positifs avec CT < 30 doivent être pris en compte. »

Ne vous paraît-il pas bizarre que cette demande de la direction générale de la santé, c’est-à -dire de notre célèbre croque-mort, aux experts de la technique PCR, n’arrive que le 25 septembre alors qu’une politique nationale de dépistage massif a été déployée ? Les mauvaises langues diraient que c’est un peu tard, les plus méchantes ajouteraient : « comme d’habitude ».

Les longues listes d’attente surprennent, pour subir un test que beaucoup de médecins considèrent non fiable avec plus de 90 % de faux positifs , comme le CDC américain et le NY Times en ont témoigné dès fin août.

Beaucoup de médecins de plateau télé, qui participent à l’entretien de la panique-psychose collective avouent néanmoins que beaucoup de tests pratiqués dans le mois précédent n’ont pas de valeur, en tous cas ne témoignent pas de risque de contagiosité. Pourtant ils sont additionnés dans les calculs hebdomadaires du ministre pour tenter de prouver que l’épidémie progresse.

Et lorsque les chiffres témoignent d’une amélioration, ils sont « corrigés » par Santé Publique France pour soutenir le discours et les décisions du gouvernement comme récemment pour Marseille.

Comment, devant cette évidence de falsification, volontaire ou non, des tests proposés aux citoyens, peut-on croire la propagande gouvernementale sur « les incidences » qui montent ? Incidence de tests positifs non fiables ? Comment les Français acceptent-ils cette mystification qui saute aux yeux puisque malades, hospitalisés et morts ont été remplacés dans les discours officiels par cas, testés positifs.

Les conséquences sont tragiques pour le pays qui continue à ne plus pouvoir vivre normalement et pour encore plus de six mois, puisque 27 députés (contre 20) présents ont voté récemment la prolongation de l’état d’urgence que plus rien de sanitaire ne justifie.

En septembre, le travail a été en haché par ces isolements imposés de testés positifs non malades…

Qu’ont signifié ces quinzaines à l’écart, ces fermetures de classe d’autant plus grotesques que les enfants ne contaminent pas. Relire à cet égard notre dernière mise au point dans Nexus confirmant les analyses précédentes tirées de la littérature internationale et répondant aux informations falsifiées du Dr Lehmann sur France info et du Dr Gozlan sur son blog en décortiquant les articles qu’ils ont cités.

Le Covid ne passe pas par les enfants et leur présence paraît même protéger les adultes dont ils partagent le foyer d’après la récente publication du Centre for Population Health Sciences, University of Edinburgh, Edinburgh, UK.et de Public Health Scotland, Edinburgh, UK… Celle -ci démontre, sur plus de 300 000 soignants, que la présence d’enfants au foyer familial diminue le risque pour les adultes d’être contaminés, de se retrouver en réanimation.

Ces médecins des plateaux télé qui voulaient attribuer UNE PENSÉE MAGIQUE à ceux qui désirent que les enfants aient une scolarité normale n’ont probablement pas étudié en détail les papiers sur lesquels ils agitent la peur de contagion via l’enfant. Prenez le temps de les lire vous-mêmes s’il faut cela pour vous rassurer et tranquilliser vos amis, vos familles et surtout vos enseignants terrorisés pour encore trop d’entre eux.

La pauvreté monte.
Que signifie cette stigmatisation de Marseille qui coule ses bars, ses restaurants sans aucune justification sanitaire ? Emmanuel Macron n’a pourtant pas intérêt à couler complètement l’économie du pays. Quels sont ces tiraillements contraires qui aboutissent à une gestion complètement erratique ?

Il n’y a pas de deuxième vague.

En résumé, la propagande actuelle sur une pseudo-deuxième vague repose sur une multiplication des tests subis par les citoyens qui se précipitent dans les centres ouverts à ces tests, sans envisager les conséquences qu’ils subiront si le test a le malheur d’être positif, comme la recherche familiale et professionnelle d’autres possibles « cas ». En dehors de ces volontaires victimes de propagande, il y a tous ceux auxquels l’employeur impose ce fameux test bidon, roulette russe, pour reprendre le travail après quelques jours de congé (comme certains services hospitaliers et les Ehpad). Nous serions heureux de lire les circulaires ARS qui imposent ces contrôles absurdes et ruineux pour la Sécurité sociale.

Le gouvernement en a-t-il tellement besoin pour pouvoir alimenter la peur qui lui est nécessaire pour nous faire obéir comme l’avoue la ministre des Sports ?

Le ministre de la Santé est-il embarqué dans une spirale infernale pour masquer son interdiction tragique de la chloroquine, et son décret Rivotril couplé à l’interdiction de transférer les personnes âgées en hospitalisation et ses responsabilités médicolégales ?

Curieusement le peuple se couche « pour savoir », alors que depuis plusieurs semaines les spécialistes des tests expliquent que justement ces tests ne prouvent rien car il y a bien sûr des faux négatifs, mais aussi des faux positifs qui peuvent tout aussi bien témoigner de débris de virus récents ou anciens que d’un coronavirus actuel vivant.

90 % de ces tests positifs ne correspondent pas à des malades et même pas à des personnes contagieuses.
Bref, on ne saura pas ! Masochistes, les Français ? Recherche d’arrêt de travail, activité qu’ils ne supportent plus dans ce contexte masqué et angoissé pour « respirer » en dehors du masque et de l’atmosphère délétère, aggravée en Île-de-France par le délire écolo de la mairie, et les transports impossibles.

Nos confrères signalent que les prescriptions d’anxiolytiques se seraient multipliées.

Un problème majeur posé par ces tests imposés aux patients devant subir une intervention chirurgicale et le retard aux soins qui prolonge celui du confinement

Un des grands arguments des mesures dites sanitaires est de préserver la possibilité de soigner tout le monde en n’encombrant pas les lits d’hospitalisation par trop de malades Covid et de ne pas reproduire l’abandon des malades comme de mars à juillet, laissé-pour-compte enfin avoué.
En pratique, c’est tristement l’inverse qui se passe dans les services.

Lits occupés par des patients en attente de négativation d’un test Covid pratiqué à l’entrée, pendant des semaines pour RIEN !

Alors que les journalistes et politiques tentent de nous faire croire que les lits hospitaliers seront rapidement insuffisants, on occupe des lits de malades en attente. Si vous devez subir une intervention, les Agences régionales de santé imposent aux anesthésistes de faire pratiquer un test PCR. Si vous tombez par la roulette russe sur un test positif, on vous bloque dans un lit en attente (alors qu’éventuellement on avait expliqué au malade qu’il devait être opéré dans la journée car son cas était urgent) jusqu’au prochain test une semaine plus tard.

Si ce deuxième test est négatif, on vous demande un nouveau contrôle… Et si par hasard il revient positif, vous pouvez attendre dans le lit de l’hôpital que vous n’occupez POUR RIEN et laisser évoluer le problème urgent qui vous avait fait hospitaliser…

Nous avons en tête la triste histoire de ce malade hospitalisé en urgence pour changer un pacemaker infecté quasiment dans l’heure (car d’après son cardiologue tout retard au geste chirurgical risquait de mettre sa vie en jeu) et qui s’est vu refuser l’intervention sur la foi d’un test positif. Bloqué à l’hôpital avec un simple traitement médical jusqu’au second test qui s’est révélé négatif puis un troisième qui est redevenu positif. Quelle belle démonstration de la fiabilité des tests et du retard inutile qu’ils entraînent, même pour les urgences vitales et de la surcharge inutile qu’ils imposent aux services hospitaliers (3 semaines pour rien au moins).

Que d’angoisse, que d’hospitalisations prolongées inutiles et dangereuses avec risque de décompensation de la maladie qui vous avait fait hospitaliser pour des tests non fiables sans parler de la déprime du patient et des risques de l’hospitalisation prolongée des personnes âgées !

Quelles justifications ont ces tests imposés au hasard, indépendamment de l’examen clinique de l’anesthésiste, depuis septembre, puisque ces tests n’étaient pas imposés avant septembre mais décidés par les médecins s’ils leur semblaient utiles ?

Tout est fait pour bloquer le système à tous niveaux sans aucune réflexion de type médical, ni économique. Il est temps d’en sortir, que des politiques connus s’expriment en plus des collectifs de médecins qui se sont exprimés malgré la censure.

Sauvons nos hôpitaux et nos malades de l’hystérie gouvernementale et de la dictature malfaisante des ARS. Refusons ces tests qui ne servent à rien et tous ces interdictions pseudo-sanitaires qui empêchent le retour à une vie normale, bloquent l’économie, entretiennent la panique, entraînent la faillite de nombreux indépendants, la fermeture de nombreuses entreprises, un chômage galopant et un accroissement de la pauvreté les plus graves depuis la dernière guerre.

Ce n’est pas le Covid-19 qui a le plus tué de Français mais les mesures sanitaires de l’état d’urgence qui ont été imposées sans justifications ni débat démocratique. Le confinement aveugle a augmenté les contaminations et les morts ; le refus de traiter par chloroquine et/ou antibiotiques les pensionnaires d’Ehpad et le conseil de leur administrer du Rivotril pour les achever ; la prolongation de l’état d’urgence et des mesures inefficaces ont abouti à nous placer dans le top 1O mondial de la mortalité attribuée au Covid. Et la persévérance dans la propagande et l’utilisation des tests prolonge la panique et risque d’aggraver terriblement les complications psychiatriques, économiques et sociétales de la crise. Combien de suicides déjà attribuables à cette crise ?

Nicole Delépine

à lire également sur Riposte Laïque

Tribune : Le gouvernement fait enfin mine de reconnaître que les enfants sont innocents du Covid[1], qu’ils en risquent moins que de la grippe et qu’ils ne transmettent pas le virus. Mais -en même temps- le gouvernement diffuse un clip mensonger terrorisant les enfants qui veulent embrasser leurs grands-mères en prétendant qu’ils pourraient ainsi la tuer. Et -en même temps- le ministère de l’éducation maintient contre toute logique l’obligation du masque pour les enfants et adolescents. Il faut exiger du ministère de l’éducation nationale d’aller plus loin et rapidement pour mettre fin à l’obligation du masque pour les enfants et adolescents.

Pendant qu’un collectif de professionnels de santé alerte le monde [2] et qu’un collectif de parents[3] enfin s’organise pour porter plainte contre le port du masque par les enfants et adolescents pendant les cours, avec interdiction de prendre une bouffée d’air, même pendant les récréations, ou les intercours[4], de nombreuses voix, un peu partout, s’élèvent pour expliquer le danger du masque permanent chez l’enfant [5], au-delà de la mise en condition de soumission et d’esclavage.

Permettons d’en citer quelques-unes à nos lecteurs et de leur donner de l’écho. Un chirurgien ORL belge [6]– qui sait bien ce qu’est un masque chirurgical- nous révèle des aspects insoupçonnés des dangers pour le petit au-delà de tous les points déjà largement détaillés par des professionnels comme le docteur Pascal Sacré réanimateur belge[7], et le professeur Denis Rancourt[8] canadien, tous deux largement repris par des vidéos d’alerte.

Voici quelques extraits de la lettre ouverte[9] du Docteur Brihaye, chirurgien ORL, spécialisé en rhinologie pédiatrique, qui a développé des techniques chirurgicales pour aider les nouveau-nés souffrant de malformations nasales à mieux respirer par le nez. Il insiste d’emblée sur le fait « qu’une bonne oxygénation du corps et du cerveau est très importante pour le développement physique, psychomoteur, intellectuel et émotionnel des jeunes enfants, et que cette oxygénation est principalement dépendante d’une bonne respiration nasale. »

« L’observation de ces petits enfants en manque de respiration nasale nous montre qu’ils entrent dans une sorte de léthargie, d’hypotonie, pour diminuer leur besoin en oxygène et ainsi diminuer leur inconfort. De même, je soigne et développe des techniques chirurgicales pour les enfants de tout âge souffrant de maladies ou de traumatismes nasals afin de leur permettre de retrouver une bonne respiration par le nez. Il est spectaculaire de voir la libération immédiate et le développement rapide des enfants qui ont récupéré une bonne respiration nasale. Ils montrent alors une avidité à découvrir le monde. »

Quelle n’est pas ma surprise de découvrir que, sous des prétextes sanitaires, on muselle les enfants à l’école, les empêchant de respirer librement par le nez et diminuant ainsi l’oxygénation de leur cerveau, alors que l’école est le lieu où ils doivent utiliser leur cerveau pour apprendre et étudier. »

Les masques, portés hors des salles d’opérations, ont des effets secondaires importants

Pour tous les naïfs, et plus pervers pour certains, qui serinent à longueur de tweets ou d’antennes radio et TV que les chirurgiens et soignants portent bien leurs masques toute la journée sans effets nocifs (ont-ils des études scientifiques à brandir ?) le Dr Brihaye répond d’emblée :

« Ils provoquent un déficit en oxygène pouvant causer des céphalées, de la fatigue, une baisse de concentration, des nausées, comme dans le mal des montagnes, dû à une diminution de l’oxygène dans l’air ambiant. De plus, le CO2 qui ne peut être expiré correctement, s’accumule rapidement. Après une minute de port du masque, l’air inspiré peut atteindre des valeurs de CO2 dépassant plusieurs fois les limites tolérées dans les lieux de travail (900ppm, Codex 6 du code du travail). »

N’oublions pas que les salles d’opération sont des milieux protégés, en température, humidité et filtration de l’air. Nos savants experts médiatiques mentent ou sont ignorants. Dans les deux cas, il serait urgent qu’ils se taisent.

« Le masque, porté sur le nez dans des pièces non conditionnées en température et humidité et non protégées des micro-organismes (comme l’est une salle d’opération), devient rapidement un bouillon de culture. Il en résulte que les enfants que je vois en consultation depuis la rentrée présentent de plus en plus souvent des rhinites croûteuses et/ou des infections nasales et sinusales. »

Il rappelle que pendant les épidémies virales, il faut aérer au maximum, le contraire de ce qu’il fut recommandé au début du Covid. Idem pour le nez de nos enfants, il faut l’AERER !

« Il en est de même pour les nez de nos enfants, qui doivent rester ventilés pour y éviter la concentration anormale de germes en tous genres.

En plus, puisqu’un virus peut se concentrer dans le masque, lorsqu’on l’enlève, le virus peut se concentrer dans les mains et ainsi se propager. D’autant plus qu’il n’y a pas de système de décontamination des masques usagés dans les écoles… »

Le pire n’est-il pas l’impact psychologique qui casse l’enfant ?

« Le port du masque et la distanciation sociale induisent une dissolution du lien social, du contact visuel et physique si important pour le développement et l’épanouissement d’un enfant, et ainsi pour le renforcement de son système immunitaire. La respiration est la base des techniques de gestion émotionnelle. Or ce n’est pas à nos enfants de porter le poids des angoisses, des peurs de la mort des adultes. »

L’Orl rappelle alors que l’épidémie est terminée depuis plusieurs mois en Belgique et que les malades résiduels de queue d’épidémie ne justifient en rien les mesures drastiques prises par les gouvernements pour alimenter la peur et passer pendant ce temps des mesures liberticides dans de multiples domaines. Le traitement médical reconnu par plus des trois-quarts des médecins dans le monde par chloroquine et azithromycine et enfin réhabilité en Belgique depuis quelques jours permettra de guérir ces quelques patients résiduels.

La France sera-t-elle le dernier pays à reconnaître son erreur et à rassurer les Français morts de peur en avouant qu’un traitement efficace les guérira dans le cas improbable d’un covid, et avouera également la supercherie des tests à gogo, non fiables, puisque les tests PCR non recommandés pour le dépistage par son inventeur, trompe les citoyens : positifs, ils sont à 90 % porteurs de traces de virus, chez des sujets non contaminants. A quoi servent ces tests, sinon à accélérer la faillite de la sécurité sociale déjà mise à mal par la perte des cotisations due au confinement ?

La maltraitance des enseignants à l’école

« Et que dire des enseignants qui doivent porter le masque pour donner cours ? Notre confrère Desuter, laryngologue, a mis en garde contre la survenue rapide de pathologies laryngées et vocales, avec un risque grandissant d’arrêt de travail pour nombre d’entre eux. »[10]

Depuis avril 2020 et les discussions hallucinantes sur le danger de rouvrir les écoles, dans lesquelles nos politiques de la majorité mais aussi de l’opposition (si elle existe) ont fait globalement la promotion d’un faux risque de transmission par les enfants, nous insistons sur l’absence de danger pour et par les enfants de moins de 19 ans pour le Covid. [11] [12] [13]

Comme disent certains, les enfants sont innocents du Covid ! Le Dr Brihaye rappelle pour les belges : « Sans doute est-il utile de se remémorer la lettre ouverte signée en juin par les responsables de l’ensemble des services de pédiatrie du pays, expliquant que les enfants ne sont ni vecteurs ni malades de la covid-19 et qu’à ce titre ils ont droit à une scolarité normale. Ils nous rappelaient également de comparer notre situation avec celle d’autres pays, aujourd’hui les Pays-Bas et surtout la Suède, où les écoles, comme d’ailleurs toute la société, fonctionnent normalement, sans aucune restriction « sanitaire », et sans pour autant que leur nombre de malades ou de décès ne soient plus important que le nôtre.

Il est de notre responsabilité d’alerter sur l’inutilité et la dangerosité des mesures sanitaires imposées à l’école, parmi lesquelles le port du masque généralisé. »

La détresse des enseignants

Bien sûr le danger organique pour les cordes vocales existe mais la détresse morale du professeur devant la soumission aveugle des étudiants grands et majeurs est pire. Méditons sur ce cri désespéré d’une internaute sur Facebook et largement diffusé par mail.

Cours d’art oratoire, en plein notre sujet, la diction, le corps, la posture… De l’art oratoire et du masque

« Cet après-midi j’ai donné cours et … Un cours d’art oratoire. Aujourd’hui c’est ma rentrée dans cette école. Je rencontre ces étudiants pour la première fois. J’ai face à moi 30 étudiants masqués. J’ouvre mon cours par un préambule qui me semble opportun et important de faire :  » Je ne porte pas de masque, je me tiens à distance de vous. Vous en portez un actuellement. Je vous invite à vous sentir pleinement LIBRES soit de le garder soit de l’ôter. Je vous invite à FAIRE CONFIANCE dans ce que vous sentez JUSTE et BON de faire pour VOUS, pour votre santé, pour votre confort. Vous êtes tous majeurs, des adultes responsables, capables de choix. Soyez assurés qu’il n’y aura aucun jugement  » bien ou mal » que vous décidiez de le garder ou de l’enlever. »

Elle croyait naïvement qu’adultes, ils étaient capables de choix … D’ailleurs certains plaident pour le vote à 16 ans. De la politique, probablement car devant les queues pour les tests de jeunes qui ne risquent rien et surtout qui viennent utiliser une technique PCR qui ne marche pas [14], on peut douter de l’opportunité de cette mesure ! S’ils témoignaient de la moindre curiosité, ils auraient vu que le très respecté NY Times journal gauchiste peu suspect de « complotisme » a dû avouer fin août que les tests positifs PCR étaient faux à 90 %, c’est-à-dire ne montraient que des traces de virus et absolument pas une contagiosité. Dernière mode du bobo parisien et des grandes villes, la queue pour un test inutile, éventuellement quelque peu dangereux si mal fait, et en tous cas absolument pas informatif. Alors pourquoi cette démarche de mouton ?

Trop formatés par l’enseignement des pédagogues dans lequel les démonstrations mathématiques par exemple disparaissent au bénéfice de l’apprentissage de formules au grand désespoir des professeurs… La soumission comme mode d’enseignement d’une matière fondamentale pour la formation du raisonnement abstrait et logique …

Très intéressant la remarque suivante de ce professeur d’art dramatique : «

J’ai cet après-midi deux groupes de 30 étudiants. Sur ces 60 étudiants, quelques-uns se sont autorisés à le mettre sous le nez et deux ou trois à l’enlever.

Une étudiante me demande si j’ai le DROIT de faire ce que je suis en train de faire. Je lui réponds que je fais le CHOIX de faire ce que je suis en train de faire.

Cette même étudiante me dit qu’elle porte le masque pour protéger, selon elle, les personnes vulnérables.

« Qui ? »

« Mes grands-parents »

« Ok. Nous sommes en classe là … « 

Je leur dis ensuite que si j’étais malade, je ne serais pas là à animer ce cours face à eux. Le cours serait annulé ou se tiendrait à distance.

Et je leur pose cette question  » et vous, êtes-vous malades ? »

Et là, d’une seule voix, ils me répondent :

 » Bah on ne sait pas Madame … », « On n’en sait rien en fait ! »

Je m’arrête un instant. Je les regarde et je leur dis « Je vous pose à nouveau la question, je pense que vous l’avez mal comprise :

Etes-vous malades ? « 

Pas de réponse de leur part.

Ça signifie quoi ? …

Ça signifie que dans la tête de ces étudiants, qui ont tous une vingtaine d’années, si un test ou tout autre élément extérieur ne leur a pas dit qu’ils sont malades, ils sont incapables de répondre à cette question simple. Ils ne savent pas qu’ils peuvent eux-mêmes évaluer l’état de leur corps et sonder si des symptômes (fièvre, mal de tête ou autre) existent chez eux. Ils ignorent qu’ils peuvent se faire confiance quant à la lecture de leur état. Aujourd’hui pour répondre à cette question, il faut, pour eux, un test PCR.

A mon tour d’être médusée un court instant. »

Concluons avec gravité qu’après six mois de matraquage médiatique oscillant entre les mesures pseudo médicales de type distanciation, masque et les discussions pseudo-savantes sur la nécessité d’essais randomisés, notre jeunesse a carrément oublié ce qu’est être un malade, avec des signes cliniques gênants et un docteur, une personne qui vous examine avant d’établir un diagnostic pour choisir avec le malade le traitement le mieux adapté à votre état.

Les médecins cliniciens ont complètement disparu de l’équation Covid19, comme au temps du cinéma du H1N1 où il fallait vacciner tout le monde et surtout pas passer par son docteur personnel… Mme Bachelot fière de son bilan parce qu’elle avait acheté des masques nous a coûté deux milliards pour rien avec ses vaccins, ses antiviraux, ses mesures et ses mensonges[15]. Bref, elle est aujourd’hui ministre de la culture. Véran n’a qu’à réfléchir à son avenir.

Un jeune de 20 -25 ans ne sait pas, en 2020, s’il est malade ou pas.

Pourtant quelques-uns font encore médecine. Pourquoi faire ? Ils iront sûrement vers la médecine de santé publique fonctionnarisée, ceux qui oublient de lisser les courbes et annoncent des chiffres faux qui affolent un peu plus…Erreur ou machiavélisme ? Ou alors vers les labos pour tenter de faire les PCR et autres. D’ailleurs c’est logique, s’ils ont étudié la composition du conseil scientifique d’E. Macron qui régit nos vies depuis six mois, ils auront compris qu’il vaut mieux être anthropologue, sociologue, à la rigueur virologue de laboratoire que médecin clinicien (un seul gériatre dans le conseil, généraliste marginalisé parmi les grands professeurs !) pour influer quelque peu dans la médecine française. Phénomène reproductible et reproduit dans toutes les grand-messes de congrès sur « l’avenir du système de santé » etc…

Un jeune ne pense plus à aller voir un médecin de famille s’il craint d’être malade

Depuis quelques 40 ans que nous déplorons la destruction de notre système de santé et des acquis du XXième siècle, nous découvrons qu’après avoir détruit la médecine, les énarques qui nous dirigent ont détruit l’idée même de « médecin clinicien ».

Hippocrate, ils ont tué la médecine mais aussi le concept même de médecin.

Les médecins libéraux ont bien été complices dans ce dernier épisode de leur annihilation psychique dans la tête de la jeunesse, car ils ont été soumis et silencieux pour la plupart, sidérés comme une bonne partie de la population.

D’autres, invités sur les plateaux au milieu des « grands professeurs » ont été subjugués et probablement déboussolés par leur soudaine notoriété. Ils se sont moulés dans l’avis des pseudo grands qui défendaient bec et ongles les essais thérapeutiques, « la recherche » oubliant de plaider l’intérêt du patient : un diagnostic clinique suivi d’un traitement éventuellement probabiliste comme ils le font régulièrement en cas d’urgence. Que les généralistes n’aient pas soutenu la démarche médicale du Professeur Raoult est extrêmement surprenant et cela démontre que l’enseignement universitaire des vingt dernières années, donné par les leaders d’opinion liés aux laboratoires a complètement dévoyé notre métier de médecin au lit du malade. La clinique a disparu des épreuves de titres qui permettent de devenir professeur, et aussi des têtes des étudiants. En 2020 pour faire un diagnostic de covid, une grippe comme une autre, on fait la queue 5 H heures pour un test non fiable et on n’ira chez le médecin que pour avoir un certificat pour le sport ou une ordonnance pour le test, mais l’examen clinique …. C’est quoi au fait ?

Cette enseignante poursuit : « j’ai donné cours à des étudiants qui, sous les 40 ° degrés qu’il faisait cet après-midi dans notre salle de cours non climatisée, se sont contraints eux-mêmes au port du masque. Par choix ? Par conviction ? Dans ce cas, c’est OK. C’est aussi le plus souvent, comme chez leurs parents, par obligation. Par ignorance. Par incapacité à se faire confiance dans ce qu’ils pourraient estimer juste, bon, raisonnable, de bon sens ou sain pour eux.

Je les ai lancés sur un premier exercice pratique de prise de parole en public. Je suis censée évaluer leur talent oratoire. Je me suis mise au fond de la salle, à distance d’eux et je les ai regardés, je les ai écoutés faire cet exercice masqué, et là … je me suis dit que tout ça n’avait aucun sens. Ce que j’étais en train de vivre-là n’avait plus aucun sens. Moi qui d’habitude adore ce cours (ça fait 4 ans que je le donne), je n’ai eu aucun plaisir aujourd’hui.

Parler, communiquer, l’art oratoire, c’est respirer, c’est échanger, c’est le travail de la voix, c’est le souffle, c’est la gestuelle, c’est la posture, c’est le mouvement, bref c’est non seulement la bouche mais aussi tout notre corps qui s’engage dans un acte de prise de parole.

Je rentre triste chez moi. Sonnée.

J’ai mesuré toute l’étendue, toute l’ampleur des effets de la manipulation sur ces cerveaux.

Je suis coupée dans mon élan, dans ce qui faisait sens il y a encore quelques mois.

Tout ça n’a aucun sens.

Aucun. »

Merci Madame de votre témoignage.

Le nouvel enseignement a robotisé les élèves, comme les médecins.

On arrive au bout de cette histoire de la casse et de la désinstruction nationale[16] puisque les élèves et étudiants acceptent le masque sans broncher et sans se poser de questions sur son utilité, sa philosophie, son but apparent et réel etc. C’est comme cela, on va boire un thé glacé et parler du dernier jeu vidéo. Et basta.

Une autre enseignante m’avait livré ses doutes sur l’enseignement des mathématiques sous l’ère de la simplification, le QCM, la réponse binaire, la démonstration oubliée. Et cette transformation de l’école peut expliquer cette soumission par rapport au masque comme au résultat d’une équation. C’est ainsi et on accepte. Mûr pour les camps.

« Les QCM, c’est ma bête noire. Les maths (et pas seulement), relève d’un processus de réflexion et j’ai besoin d’y assister. La conclusion sera peut-être fausse et je prendrai acte bien sûr mais à vrai dire, ce n’est pas ce qui m’intéresse. Si j’ai une réponse et pas de trace de la démarche, je ne peux pas m’assurer que les choses sont comprises. Il y a une tonne de manières fausses de trouver une réponse juste sans compter « le hasard » qui fait parfois bien les choses. A contrario, il y a des élèves qui ont de très bonnes idées mais qu’ils ne poussent pas assez loin.

D’éviter aux élèves de produire des raisonnements, c’est en partie ce qui détruit le cœur de l’enseignement. C’est sûr que c’est plus court à corriger ! Mes séances sont très écrites même. Il y a beaucoup de choses à rédiger ; ce sont des exos assez longs. Il y a des « entractes » avec des questions plus courtes et indépendantes mais j’avoue qu’ils souffrent. Ils soupirent surtout à 9H du matin. Ils tentent régulièrement la négociation :

« Sérieux, il faut écrire tout ça ? » En fait oui. En maths, il y a beaucoup de rédaction et c’est aussi le cas dans les articles de recherche. Les maths vues par les physiciens, c’est autre chose. Ils sont consommateurs en fin de chaîne. L’outil existe, ils s’en servent ; fin de l’histoire. Les problèmes d’existence par exemple ne les concernent pas ». (K.)

La même enseignante en mathématiques nous a donné son vécu sur le port du masque que j’aime partager, car si les généralistes ont donné des leçons aux professeurs sur ce qu’ils devaient faire, on a peu entendu le vécu des dits professeurs.

Réparons cette injustice pour appréhender encore les conséquences tragiques de ces décisions à l’emporte-pièce à visée politique où le sort des élèves et des enseignants ne fait pas partie de l’équation. Donnons-leur la parole. Faisons entendre leur voix, leur souffrance, comme celle du professeur d’art dramatique si proche, bien qu’évidemment sauf hasard, elles ne se connaissent pas.

« Je reste étonnée devant certains commentaires qui nient notamment la contrainte respiratoire qu’engendre le port du masque dans un milieu clos avec une circulation de l’air limitée. Simuler la réalité, c’est toujours la travestir.

Sur le terrain, en mai/juin, j’ai enseigné masquée pendant 4h consécutives en plein après-midi où la chaleur était déjà intense dans le sud-ouest. Rien de comparable avec celle qui règne en ce moment et cet air poisseux, chargé d’humidité qui, même sans masque, est irrespirable.

L’enseignement masqué, c’est simplement infernal pour les élèves comme pour le prof.

La respiration est clairement entravée, elle est même désorganisée (on a un temps d’adaptation pour s’approprier cette contrainte, ce corps étranger), la voix (puisque la parole est au cœur de ce métier) est atténuée, étouffée (tout le monde a pu le constater) donc on doit parler plus fort si bien que l’on a de plus en plus chaud (car ce masque dit “en papier” est en fait en plastique, étanche) donc le réflexe, notamment quand on a des lunettes, est de tirer sur les élastiques … pour respirer. Librement. Mais le protocole strict d’utilisation du masque (ce protocole qui est le garant de l’intérêt de ce dispositif contre les virus, un dispositif au demeurant caduque puisque vus les chiffres de Santé publique France, on n’est plus dans une phase épidémique) interdit ce type de manipulation …

On a très rapidement sur le bas du visage un véritable bouillon de culture puisque qu’on est en présence d’un milieu humide et chaud (on n’imagine pas même pas si on doit le retirer quelques secondes pour boire …). Sans compter que ce filtre, qui n’est pas du tout vendu ou parfois produit dans des conditions stériles, est un nid à poussières de craie, à poussières des stylos à encre sèche. Malheureusement le masque ne protège pas des odeurs irritantes, il aurait au moins pu servir à çà. On rappelle que l’école n’est pas numérique, dieu nous garde de dénaturer ce lieu d’échanges et de partages, et que donc heureusement, on y parle et on y écrit. La conséquence, vue la pénibilité du travail dans ces conditions, c’est que petit à petit le silence se fait.

On parle d’abord moins vite et finalement on parle “moins” tout simplement. Ces contraintes sont communes aux élèves qui eux non plus ne sont pas égaux face au port de cette entrave et peuvent s’en trouver déconcentrés ou suffisamment gênés pour que l’attention soit détournée du cours vers le fait de respirer (on doit se concentrer sur … un réflexe !).

Si ce scénario vise à imposer l’école numérique, c’est raté comme pour la télémedecine.

« Il ne faut pas se tromper d’histoire : l’enseignement à distance, l’école numérique n’est pas et ne sera jamais la solution. C’est une régression, pas un progrès. Un apprentissage digne de ce nom, c’est un échange, ce sont des questions, des confrontations, des doutes qui s’expriment sur des visages, dans des regards.

Enseigner i.e. convaincre et rendre libre, c’est très difficile (l’intelligence est un procédé naturel et spontané dont l’Homme sort augmenté) mais conditionner (i.e. se tourner vers l’intelligence artificielle, celle du réflexe et de l’association) c’est beaucoup plus simple. Ce n’est pas ce que l’on cherche. On n’a pas compris un objet en maths parce que grâce à une correction détaillée en couleurs, on sait reproduire la même stratégie dans le même ordre.

Chaque étape doit être motivée pour être un jour réinvestie ailleurs, peut-être. Une salle de classe n’est pas une salle de conditionnement ou une salle de gavage. Vous connaissez peut-être l’exemple de la chambre chinoise de John Searle qui est très instructif.

Il faut arrêter ces protocoles sanitaires anxiogènes ; bien sûr qu’il est grand temps que les lycées notamment, grands sacrifiés de la crise, rouvrent leurs portes comme il est urgent que la vie reprenne ses droits ; au pire que l’on opte la visière (seule, bien sûr). J’aurais envie de dire aux parents inquiets : rendez-nous vos enfants et avec eux la liberté d’enseigner. Comme Raoult dans un autre cadre, on applique la « méthode de Tom » et on a juste à cœur d’enseigner comme on le ferait pour nos propres enfants, ceux de notre famille. »

MERCI A K POUR SON PARTAGE et aussi à de nombreux autres correspondants[17] qui crient la souffrance de leurs élèves, de leurs enfants, de leurs proches privés de visites dans les EHPADs sur lesquels il faudra revenir avant une prochaine hécatombe qui se profile liée au virus de l’enfermement et de l’abandon, sans même virus corona ou autre. Le virus de la peur aurait plus tué de personnes dans le monde que celui du SRAS au moment de cette épidémie…On verra dans l’avenir les comptes que feront les historiens pour le coronavirus, 19 ième du nom.

ILS SONT VRAIMENT DEVENUS FOUS

Une correspondante m’alerte sur les pratiques que préconise l’Education Nationale pour les musiciens intervenants en milieu scolaire et certains chefs de chœur qui font travailler leur groupe avec un masque.

Faire chanter des enfants à l’école en étant moi, chef de chœur, masquée !

Un vrai délire. Il paraît que des salariés poursuivent leur patron pour mauvaises conditions de travail pour un siège insuffisamment confortable…. Mais ici silence ! Que font les syndicats de l’éducation nationale ? Tous morts ? A quand les concerts à l’Opéra, masqués ? Le degré de délire dépasse l’imagination en cette rentrée confirmant l’hypothèse que créer la confusion mentale des citoyens est un objectif précis. Serions-nous complotistes ? Mais s’ils ne le font pas exprès, ils sont vraiment hors sol…

Comment l’Éducation Nationale peut-elle préconiser la pratique du chant avec masque ? Quelle est d’ailleurs la légalité d’une telle circulaire sans évaluation des risques psychosociaux ? Le port du masque est déconseillé lorsque l’on chante, voire dangereux. Les bureaucrates du ministère ou des rectorats y ont-ils pensé ?

« Au bout de quelques minutes à peine à la suite de l’hyperventilation qu’engendre le chant, le masque est humide, et le chanteur ravale ses propres microbes et champignons qui théoriquement devraient être expulsés, en temps normal sans le masque, pour infecter larynx, cordes vocales, poumons…provoquant des lésions.

Et cette hyperventilation sans moyen efficace d’expulser son gaz carbonique, qui reste dans le masque, peut entraîner des malaises graves. »

L’éducation Nationale sacrifie la santé et l’apprentissage des élèves, les enseignants et leur santé, leurs motivations, et singulièrement ces enseignants chanteurs en les masquant, et les chefs de chœurs.

Ça suffit. Nous n’en pouvons plus de voir tant de témoignages ignorés des gouvernants, mais aussi des politiques et des médias. Pour que les choses bougent, diffusons ces informations via les réseaux sociaux pour qu’elles arrivent ensuite sur CNews, LCI, voire BFM que les professeurs comme les parents ne se sentent plus isolés et qu’ils puissent ensemble tenter de faire réfléchir la jeunesse soumise, afin qu’elle sorte de cet état dangereux, propice à tous les excès des pouvoirs dictatoriaux qui progressivement s’installent insidieusement.

[1] Olivier Veran conférence du jeudi 17 septembre
[2] https://covidinfos.net/covid19/le-collectif-a-lorigine-du-message-dalerte-international-compte-desormais-pres-de-1000-signataires-et-lance-sa-chaine-youtube/2237/
 « La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l'eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le
masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l'étranger ont été "isolés" !
Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques. Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes et pour lequel 99% des gens infectés guérissent. » 
Lisez, diffusez ! la peur doit céder, les adeptes malgré eux de la secte covid doivent ouvrir les yeux pour retrouver leur vie et nous laisser vivre la nôtre. Soignants signez l’appel et diffusez-le à vos collègues
[3] https://covidinfos.net/covid19/maltraitance-mise-en-danger-de-la-vie-des-enfants-un-collectif-de-parents-veut-deposer-une-plainte-contre-leducation-nationale/2218/
[4] Olivier Veran conférence du jeudi 17 septembre
[5] Docteur Russel L Blaylock, neurochirurgien professeur adjoint  au centre médical de l’université du Mississippi et professeur invité au département de biologie de Belhaven College. Le danger mortel des masques,
[6] ÉVEILLEZ VOUS !!!!! .... C’est de la Maltraitance  A PARTAGER PARTOUT PARTOUT PARTOUT L e t t r e o u v e r t e  Par le Docteur Pierre Brihaye. Bruxelles, le 13 septembre 2020.
[7]Docteur Pascal Sacré  Obliger au port du masque alors que l’épidémie disparaît est “une aberration scientifique et médicale” https://covidinfos.net/covid19/obliger-au-port-du-masque-alors-que-lepidemie-disparait-est-une-aberration-scientifique-et-medicale-selon-le-dr-pascal-sacre/1490/
[8] Denis G. Rancourt, PhD : Masques faciaux, mensonges et responsables de la santé publique : « Un nombre croissant de preuves » https://guyboulianne.com/2020/08/09/denis-g-rancourt-phd-masques-faciaux-mensonges-et-responsables-de-la-sante-publique-un-nombre-croissant-de-preuves
http://studiotheovox.com/video/lhistoire-se-repete/
[9] Ps : déposez des plaintes contre ceux qui vous obligent si vous avez des séquelles !!!!
Que ce soit au travail, à l’école, en rue !!
Donc gouvernement, ministre de la santé, bourgmestre, patron, direction et prof d’école, crèche, direction des commerces !
[10] Docteur Desuter dangers des masques pour les enseignants  https://medias-catholique.info/dangers-du-masque-denonces-par-le-professeur-desuter-les-enseignants-risquent-des-lesions-des-cordes-vocales-avec-des-sequelles-permanentes/38704
[11] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la-maltraitance
[12] http://www.economiematin.fr/news-ouverture-ecole-covid-19-danger-france-delepine
[13] Article du 6 août de l'ECDC (Centre européen de prévention et de contrôle des maladies) qui montre qu'il n'y a pas de transmission du SARS CoV 2 en milieu scolaire ni d'enfant à enfant (asymptomatiques) ni d'enfant à adulte.
[14] L’inventeur de la PCR avait bien précisé que cette technique ne devait pas être utilisée en dépistage : Karri Mullis, prix Nobel pour l’invention de la RT -PCR a dit qu’il ne fallait surtout pas l’utiliser comme test de dépistage. Comme l’a dit le regretté David Crowe, à 20 cycles d’amplification tout le monde est négatif et à 60 tout le monde est positif.
David Crowe disait également qu’un test n’avait de la valeur que s’il était auparavant ‘testé’ sur des populations éloignées et exemptes de maladie. Il prétendait que partout ce serait 3 à 4% des gens qui testeraient positifs, même exempts de toute maladie.
[15] Comme lorsqu’elle déclarait à la télé qu’elle avait vu des jeunes en réanimation, aux portes de la mort à cause du H1N1
[16] Voir le livre de René Chiche « la désinstruction nationale »
[17] Que je ne peux pas tous citer ici