10/09/2023 (2023-09-10)

Par Dr Gérard Delépine chirurgien cancérologue et statisticien

Ne faites pas courir de risques inutiles en vaccinant vos enfants par le Gardasil, inefficace contre les cancers et responsable d’effets délétères non négligeables

Faits avérés concernant cette vaccination

Depuis l’annonce de notre président à Jarnac, les lobbys des entreprises pharmaceutiques, les médias, l’institut national de lutte contre le cancer et le nouveau ministre de la Santé font la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus) contre les prétendus « cancers du HPV » nouvelle formule à la mode en cette rentrée.

Tous assènent quotidiennement des contre-vérités visant à inquiéter les enfants et à culpabiliser les parents. Comment peuvent-ils nous tromper à ce point et cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ?

Nous démentirons ici quatre points de leur propagande à la lumière des faits avérés

1°) le lien causal entre HPV et les différents cancers accusés n’est pas prouvé.

2°) Ces cancers sont rares et globalement et à bon pronostic. Ils ne constituent pas un sujet prioritaire de santé publique

3°) Le Gardasil est efficace contre l’infection, mais pas contre les cancers.

4°) le Gardasil expose à de nombreuses complications.

Le lien causal cancer-HPV n’est pas prouvé : les HPV ne sont peut-être que des témoins

Un ami gendarme m’a confié :

« Sur les lieux d’un crime, on trouve le coupable, mais aussi des témoins innocents ».

Avant la mise au point de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin ont démontré que ce dernier était multifactoriel1 2 3 4 5 6 7 et sa fréquence statistiquement corrélée à de très nombreux facteurs liés entre eux dont : la précocité de l’activité sexuelle, le nombre élevé de partenaires (source de microtraumatismes répétés), le tabagisme8 9 et l’exposition à la poussière de tabac10, l’usage prolongé des contraceptifs oraux11, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq)12, le Sida et les autres déficits immunitaires et les infections génitales (responsables d’inflammations chroniques qui constituent une cause classique de cancérisation) dont l’herpès, la chlamydia et plus d’une vingtaine de souches de HPV…

Les papillomavirus qui ne donnent aucun signe clinique sont comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin ou le bacille de Doderlein dans le vagin. Plus de 150 souches de papillomavirus peuvent infester l’homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50 % des vierges sont ou ont été infectées13) ou lors d’un acte sexuel. Près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre, souvent à plusieurs reprises, et se débarrasseront naturellement du HPV dans 90 % des cas en quelques mois, sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée. Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes. La multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorisent la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer. Il existe, certes, une corrélation statistique entre persistance d’infection à HPV et cancer, mais aucune preuve de causalité directe n’a jamais été établie.

Depuis la mise sur le marché des vaccins anti-HPV, les publications, dont la quasi-totalité des auteurs reconnaissent des liens d’intérêts avec les marchands du vaccin, se focalisent uniquement sur ce virus et prétendent qu’il serait le seul responsable, malgré un certain nombre de cancéreuses HPV négatives.

Ce crédo est repris par l’agence officielle Santé publique France et l’INCa qui présentent même cette infection comme une condition indispensable aux cancers qu’ils présentent maintenant comme « cancers du HPV. »

Le virus HPV représente en effet le coupable idéal, car il se révèle colossalement rentable, générant 12 200 % de bénéfice brut (une dose de vaccin qui coûte moins d’un euro à produire est vendue plus de 123 euros.).

La présence de HPV constituant un témoin fiable de l’activité sexuelle, qui représente le premier facteur favorisant le cancer du col, il est vraisemblable que la corrélation statistique HPV-cancer ne soit que la conséquence de la corrélation HPV — activité sexuelle. Une analyse multivariée pourrait permettre de le confirmer, mais jusqu’ici aucune étude n’en a publié.

Le contraste entre la considérable fréquence de l’infection HPV (80 à 90 % des femmes sexuellement actives) et la grande rareté des cancers invasifs du col (0,006 %) en France plaide aussi contre la responsabilité causale exclusive des HPV.

Étiologie des cancers ORL et anal

Pour tenter de convaincre les garçons de se faire vacciner par Gardasil, les entreprises de vaccins tentent de leur faire peur avec les cancers anal et ORL. Pour se faire, il suffit de pratiquer systématiquement la recherche de HPV chez ces cancéreux et comme les contaminations HPV sont extrêmement répandues dans la population, on en retrouve aussi fréquemment chez les malades souffrant de cancer du canal anal ou de cancers ORL. Les virus sont alors accusés d’être responsables, alors qu’il n’y a aucune preuve directe de leur culpabilité.

Il faut souligner la rareté du cancer anal dans la population générale (inférieure à 1/100000)14. Les groupes à risque de cancer anal sont les femmes VIH+ aux ATCD de condylomes et/ou dysplasies ou cancers ano-génitaux et les homosexuels mâles pratiquant des relations sexuelles anales passives, avec multiplicité de partenaires sexuels, la séropositivité HIV (Sida) et le tabagisme. Dans les pays occidentaux, l’incidence du cancer anal a augmenté depuis trois décennies en parallèle avec la pratique plus fréquente de la sodomie et l’infection par le VIH. L’infection par le virus du sida multiplie le risque de cancer anal par plus de 30 et le sur risque atteint 130 chez les homosexuels mâles passifs souffrant du Sida. Ces constatations avaient en 2016 décidé le Haut Conseil de la santé publique à « recommander la vaccination des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes ».

Pour les hétérosexuels mâles, le risque de cancer anal est infime et ne justifierait pas la vaccination, même si celle-ci était efficace.

Les cancers accusés d’être des cancers du HPV sont en réalité des cancers avec HPV !

L’absence de lien de causalité exclusive démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti-HPV contre les cancers associés au virus, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL et explique certainement l’échec de la prévention contre le cancer dans les pays adeptes de cette vaccination, d’autant que le faux sentiment de sécurité créé par la propagande « vaccinée vous êtes protégée » peut inciter certaines jeunes filles à commencer plus tôt leurs expériences sexuelles, et d’autres à négliger le dépistage cytologique.

Ces cancers rares, et à bon pronostic ne constituent pas un sujet prioritaire de santé publique

Les cancers prétendument dus aux HPV sont rares et leurs traitements en obtiennent la guérison dans près de 70 % des cas. Ils ne participent que pour moins de 2 % de la mortalité due aux cancers, très loin derrière le poumon (31 100 morts), le côlon-rectum (17 000), le pancréas (11 400), le sein (12 100) ou la prostate (8100). Les 200 millions d’euros annuels nécessaires pour vacciner une classe d’âge, sans espoir d’obtenir une improbable diminution de mortalité dans 20 ans, seraient beaucoup plus utiles dans l’amélioration urgente de notre système de santé.

Mais pour les actionnaires de Merckx, la vaccination est beaucoup plus rentable…

Le Gardasil est efficace contre l’infection, mais pas contre les cancers

Tous les articles montrent la bonne efficacité du Gardasil pour prévenir les contaminations par les souches ciblées par les vaccins. Mais celles-ci ne sont que 9 dans la dernière formule vaccinale, alors que plus de 20 des plus de150 souches connues sont accusées d’être cancérigènes.

De fait, la consultation des registres des cancers des pays pionniers de cette vaccination anti-HPV montre que nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus !15

En Australie, la vaccination n’a pas fait reculer l’incidence des cancers invasifs

L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Des journalistes ignorants (ou corrompus ?) proclament régulièrement que le pays va « éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination »1617, mais les chiffres officiels montrent que depuis la généralisation de la vaccination, l’incidence standardisée18 des cancers invasifs ne diminue plus alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006 grâce aux dépistages par frottis cytologiques.

La capture d’écran qui suit illustre cette vérité officielle que chacun peut vérifier à l’adresse Internet qui y figure. On peut regretter que ce graphique publié en décembre 2022 par l’agence sanitaire australienne (AIHW) ne donne des chiffres observés que jusqu’en 2019 (les services statistiques officiels australiens ne sont pas très réactifs), mais les prévisions officielles des années suivantes ne font que confirmer la tendance avec une incidence 2022 estimée à 7,1/100 000 contre moins de 6/100000 en France peu vaccinée).

De plus, le nombre annuel de nouveaux cancers invasifs, loin de diminuer, augmente.

Les articles qui claironnent la victoire de la vaccination sur le cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur la croyance que la diminution des infections à HPV entraînera une diminution des cancers invasifs, à l’aide de simulations aux hypothèses incertaines, alors que les faits constatés dans le monde réel démontrent le contraire. Prétendre comme tant de journalistes que l’Australie serait en train d’éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination n’est donc qu’un énorme mensonge auquel le président a cru et qu’il a répété !

En Grande-Bretagne non plus, la vaccination n’a pas fait régresser les cancers invasifs

La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école. En 2008, la Grande-Bretagne a mis en place une campagne de vaccination systématique contre les papillomavirus humains dès 2008 pour les jeunes filles de 12 – 13 ans et en rattrapage entre 2008 et 2010 pour les 14 – 18 ans. Entre 2008 – 2009 et 2011 – 2012, la couverture annuelle (pour une dose du vaccin) en Angleterre se situait entre 85,9 % et 90,6 %.

Un article mensonger récent19 mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « Vaccin anti-HPV: quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais, curieusement, l’agence officielle Cancer research UK (CRUK) publie sur son site la dernière incidence standardisée de cancer invasif à 9,6/100 000 (soit supérieure de 50 % au taux français actuel).

Depuis les campagnes de vaccination, l’évolution globale d’incidence des cancers invasifs au Royaume-Uni se caractérise par l’absence de diminution, ainsi que le constate Cancer Research UK :

« Au cours de la dernière décennie, au Royaume uni (entre 2006-2008 et 2016-2018) les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables »

De 1993 à 2006, grâce au dépistage cytologique, l’incidence standardisée avait régressé de 13/100 000 à 9/100 000, mais depuis le début de la vaccination, elle est passée de 9/100 000 en 2006 – 2008 à 10/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

Et cette estimation globale dissimule l’augmentation d’incidence dans les groupes les plus vaccinés. L’analyse par groupe d’âges objective en effet une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées.

À l’opposé, le groupe des 20-24 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19 % des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée en mars 2023.

En Grande-Bretagne aussi la vaccination est donc très loin d’amorcer l’éradication du cancer que promettent les avocats du vaccin avec une augmentation d’incidence dans le groupe le plus vacciné !

En Suède, l’incidence des cancers invasifs a franchement augmenté depuis la vaccination

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée entre 1965 et 2007 (de 24/100 000 à 8/100 000).20

La généralisation de la vaccination à l’école en 2010 a été suivie, au contraire, d’une augmentation de l’incidence des cancers invasifs21 de 7/100 000 en 2006 – 2009 à 11,5/100 000 en 2014–2015 (p <0.03) et même 13/100 000 en 2021, augmentation que reconnaissent les avocats de cette vaccination qui tentent seulement de nier le lien de causalité avec la vaccination22 23. L’analyse en break point (recherche du point de rupture) faite par l’agence sanitaire suédoise date l’apparition de cette augmentation en 2011, un an après la généralisation de la vaccination et plaide pour sa responsabilité.

En Norvège, l’incidence des cancers invasifs a augmenté depuis la vaccination

La vaccination HPV a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer24montre que l’incidence de ce cancer a augmenté depuis la vaccination passant de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-

2021 (2 fois plus élevée qu’en France !)

RÉSULTATS GLOBAUX DES VACCINATIONS ANTI-HPV DANS LE MONDE : EFFICACE SUR LE VIRUS, INEFFICACE SUR LA PRÉVENTION DU CANCER

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais s’est jusqu’ici révélée inefficace (avec 16 ans de recul) sur la fréquence des cancers invasifs.

En 2016, nous avions fait part de nos inquiétudes au président de l’Institut national du cancer (INCa) par courrier privé, et le député Gérard Bapt25 avait interrogé oralement la ministre de la Santé de l’époque, ne s’attirant comme réponse qu’un « il est trop tôt pour juger ». Et pourtant ce vaccin existait déjà depuis 10 ans à l’époque. De nombreux cris d’alarme avaient été émis depuis de longues années sans effet, par exemple par le dr De Chazournes26.

Six ans plus tard, la situation est toujours aussi préoccupante, alors que la publicité mensongère s’intensifie en France et s’accompagne de déclarations gouvernementales ahurissantes, sans jamais évoquer les problèmes que soulève cette vaccination (inefficacité contre le cancer et effets secondaires possibles).

En France, faible taux de vaccination et faible incidence du cancer invasif du col utérin

En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers moindre que chez les champions de la vaccination, tendance qui s’est amorcée dès la généralisation de la vaccination selon les données de l’agence internationale de recherche sur le cancer illustrée par le graphique suivant :

En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1/100 000 et est depuis passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège.

Pourquoi, le Président, fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les taux de cancers invasifs élevés dans les pays adeptes des vaccinations scolaires ? Ses conseillers sont-ils incompétents ou trop liés aux laboratoires pharmaceutiques ? L’ont-ils informé sur les dégâts éventuels de cette injection ? Pourquoi le trompent-ils ?

Des accidents post vaccination graves ont été constatés dans de nombreux pays

En France, le calvaire de Marie-Océane 27 28 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés possiblement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et peut-être à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges, retoquée en appel. L’affaire est en cassation.

Les complications post Gardasil ont été rapportées dans de nombreux autres pays (Danemark, Bolivie, Japon, Irlande) où elles ont motivé des manifestations de parents que personne ne peut pourtant qualifier d’antivax, puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants en étant persuadés de bien faire et qu’ils le regrettent après la survenue des complications. Celles-ci ont motivé des procès aux USA29 30 31.

En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin Gardasil 32 33 et les premières audiences devaient se tenir en avril 2023.

Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin. 

L’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins, n’a pas convaincu la commission.

« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral ».

Ne vaccinons pas surtout pas les garçons par le Gardasil

Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le prétexte de la proposition du CDC américain (qui reçoit des royalties sur les ventes de vaccin) et de la Haute Autorité de santé française (dont beaucoup d’experts ont des liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique) de vacciner les garçons. Mais ce cancer, exceptionnel (800 cas/an en France), ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle : les homosexuels adeptes de rapports anaux passifs34 avec de multiples partenaires (74 % des cas), et séropositifs au sida (77 % des cas) 35 36 et les personnes souffrant de déficit immunitaires, ce qui ne justifie donc pas une vaccination généralisée des garçons d’autant plus que là aussi l’efficacité contre le cancer anal n’est pas du tout démontrée.

Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer anal, mais une fois de plus le lien causal n’est pas démontré contrairement au fait d’être homosexuel passif et porteur du virus du sida. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif ni malade du Sida, le risque de cancer anal est infime, même si on est porteur de HPV.

De plus, les exemples de l’Australie, de la Grande-Bretagne et des USA suggèrent l’inefficacité des vaccins anti-HPV contre le cancer anal, car, depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur risque de cancer anal a augmenté 3 à 4 fois plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.

Aux USA, la vaccination par Gardasil a été popularisée dès 2008, mais depuis l’incidence des cancers anaux a augmenté plus que dans les précédentes décennies comme le précise le Surveillance and End Results Program (SEER) du National Cancer Institute 37 :

« Les taux ajustés selon l’âge pour les nouveaux cas de cancer anal ont augmenté en moyenne de 2,2 % chaque année de 2010 à 2019. Les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge ont augmenté en moyenne de 3,9 % par an entre 2011 et 2020. »

En Grande-Bretagne, Cancer Research UK précise ainsi 38:

« Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer anal chez les femmes ont augmenté de plus de la moitié (53 %) et les taux chez les hommes ont augmenté d’environ un septième (13 %). »

On peut donc craindre que ce vaccin anti-HPV favorise paradoxalement l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition plus précoce et fréquente d’un cancer du col utérin !

Les arguments avancés par la Haute Autorité de Santé pour généraliser ce vaccin chez les garçons sont d’ailleurs révélateurs de l’absence de bénéfice médical démontré pour les garçons et de la volonté de faciliter le passage à l’homosexualité.

Initialement les recommandations visaient seulement les homosexuels mâles et les immunodéprimés 39 « La vaccination par GARDASIL 9® (9 HPV) est recommandée chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) jusqu’à l’âge de 26 ans et chez les adolescents immunodéprimés ». Mais le 16 décembre 2019, à la suite d’une saisine de la direction générale de la santé et de la Ministre chargée de la santé, la Haute Autorité de santé (HAS) a élargi ses recommandations40 à l’ensemble des mâles « pour ne pas stigmatiser des adolescents ou des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à un âge où la préférence sexuelle n’est pas connue ou pas affirmée. »

La HAS recommande un vaccin potentiellement dangereux et totalement inutile chez les hétérosexuels pour calmer les angoisses de potentiels homosexuels mâles passifs !

En l’état actuel de la science, la prévention pratique du cancer anal repose sur l’utilisation systématique du préservatif (pour éviter la contamination par le virus du sida), la limitation de la fréquence des rapports anaux passifs et peut-être le traitement des lésions précancéreuses par radiofréquence41. La vaccination anti HPV, qui confère un faux sentiment de sécurité, risque de favoriser la survenue de la maladie comme on l’a constaté lors des essais de vaccins contre le Sida.

Un vaccin jugé peu efficace et trop cher par 400 praticiens 42

Rappelons que la vaccination anti-HPV ne permet pas de se dispenser du dépistage et peut-être justifierait même une fréquence accrue chez les vaccinées, comme le suggèrent les Suédois43. La vaccination ne diminue donc pas le coût de la prévention du cancer, mais l’augmente.

Le coût financier de la généralisation de cette vaccination serait exorbitant, car, avec près de 500 euros le coût de chaque vaccination complète (trois doses plus quatre consultations), il faudrait dépenser environ 400 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! En prenant les hypothèses d’efficacité les plus invraisemblables (100 % d’efficacité sur 100 % des cancers concernés) le coût/efficacité financière atteindrait 200 000 euros par année de vie gagnée ajustés sur la qualité de vie (QALY), alors que la Grande-Bretagne fixe le seuil d’acceptabilité à 30 000 euros par qaly. Un bénéfice très incertain (et potentiellement négatif) pour un coût colossal, totalement disproportionné de plus en cette période de déficit budgétaire.

Comme le souligne Bijan Esfandiari, avocat spécialisé dans les litiges en matière de responsabilité du fait des produits pharmaceutiques et associé principal chez Wisner Baum à Los Angeles 44 :

« Le moyen le plus efficace et sans effets secondaires pour prévenir le cancer du col de l’utérus est le test de Papanicolaou. Des études montrent que les jeunes femmes qui ont reçu du Gardasil ont un faux sentiment de sécurité et renoncent aux frottis vaginaux de routine. Les données ont également montré que, dans les pays où l’utilisation du Gardasil est élevée, les taux de cancer augmentent chez les jeunes femmes, pour un cancer qui apparaît généralement lorsque les femmes atteignent la cinquantaine et la soixantaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici et nos enfants ne devraient pas être soumis à une obligation de l’État qui les transforme en cobayes et les expose à un risque accru de contracter la maladie, même si on leur dit que ce vaccin la prévient. »

On peut conseiller à Monsieur le Président de ne plus croire des conseillers incompétents ou corrompus qui le décrédibilisent, et de vérifier personnellement les données officielles des pays qui ont généralisé le Gardasil. Il constatera qu’il ne faut pas promouvoir cette vaccination efficace sur l’infection et les verrues, mais inefficace contre les cancers, hors de prix et dont les dangers conduisent actuellement à de nombreux procès aux USA.

Dans l’état actuel de la science, il ne faut vacciner ni filles ni garçons avec le Gardasil !


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03/09/2023 (2023-09-03)

Par Gérard Delepine

Le port généralisé du masque contre le covid est inefficace et toxique, mais le ministère nous le conseille à nouveau

Dès avril 2020, nous avions alerté sur l’inutilité des masques contre les virus, dont le covid 191, tandis que le gouvernement inventait à leur propos une série de déclarations les plus contradictoires de la décennie.

En mars 2020 Sibeth Ndiaye expliquait que « le masque était inutile et qu’elle était incapable de le mettre »2. Et quelques mois plus tard le ministre affirmait qu’il était « très efficace » et le rendait obligatoirepartout, même en extérieur et quand on se promène seul en forêt ou sur la plage.

Et depuis le Conseil national de l’ordre condamne, sans aucun respect des données de la science, tout médecin qui déclare comme Sibeth Ndiaye que le masque est inefficace !

Le port généralisé du masque limite la transmission des bactéries

L’étude Wu Lien Teh sur l’évolution de la peste de Mandchourie en 1910 a démontré que les masques sont efficaces dans le contrôle de la transmission des maladies respiratoires contagieuses à bactérie3. Son efficacité a également été prouvée contre la transmission de la tuberculose,4 5 mais les virus sont 10 à 20 fois plus petits que les bactéries (1 à 3 μm pour Yersinia pestis, 2 à 5 μm pour Tuberculosis contre 0,8 à 0,12 pour les virus grippaux et 0,06 à 0,1 μm pour les Coronavirus) ce qui leur permet de passer aisément au travers des tissus masques ou en papiers ordinaires dont la taille des pores avoisine les 3 μm. Les masques peuvent arrêter les postillons (grosses gouttelettes de 100 μm), mais comme la propagation virale dans les lieux clos se fait préférentiellement par aérosol6, elle ne peut donc pas être prévenue par les masques même correctement ajustés. C’est d’ailleurs ce qu’indiquaient les fabricants de masques pour se protéger légalement.

Le port généralisé du masque n’empêche pas la transmission des virus

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base de quelques études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre la transmission du virus grippal est très incertaine comme le montre la très grande majorité des études cliniques sur le sujet7 8 9 10 11 12 13 14 15.

Sur sept études randomisées distinctes analysées par MacIntyre et Chughtai, aucune d’entre elles ne montre un bénéfice du port du masque facial dans la communauté pour prévenir l’incidence des virus respiratoires.

La première revue méthodique (méta-analyse) portant sur l’efficacité des masques publiée par la Collaboration Cochrane en juin 201116 après trois pandémies, le SRAS en 2003, la grippe aviaire H5N1 en 2006, et la grippe porcine H1N1 en 2009 a conclu :

« Rien ne permet d’affirmer que le port du masque à lui seul permette de se protéger efficacement des virus respiratoires. »

« Les masques filtrants n’ont pas prouvé de supériorité aux masques chirurgicaux. La distanciation physique d’un mètre n’a pas non plus prouvé son efficacité. »

En 2020 une actualisation de la méta-analyse17 a confirmé les résultats de la précédente : « There was insufficient evidence to provide a recommendation on the use of facial barriers without other measures » et ses auteurs concluent sur l’urgence de réaliser par des essais cliniques rigoureux pour savoir si les masques portés par des personnes supposées infectées, permettent réellement d’éviter la propagation de l’infection virale respiratoire avant de recommander le port du masque.

La dernière métanalyse de la fondation Cochrane en 2023 18 confirme l’absence de preuve d’efficacité du masque contre la transmission virale :

« Nous avons inclus 15 essais randomisés (en clusters) étudiant l’effet des masques (14 essais) chez les professionnels de santé et dans la population générale et celui de la quarantaine (1 essai). Par rapport à l’absence de masque, il n’y a pas eu de réduction des cas de syndromes grippaux ou de grippe par les masques dans la population générale, comme chez les professionnels de santé. »

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en reconnaissant le manque de preuves sur son efficacité19. Et lorsqu’elle a changé ses recommandations pour des raisons politiques, elle s’est appuyée sur de simples études observationnelles qui concluaient au conditionnel :

« Lutilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ».

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 31/8/2023 résume l’état actuel de la science : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui et beaucoup rapportent des complications diverses du port prolongé du masque.

Le port du masque est susceptible d’augmenter la transmission du virus

L’OMS, dans ses nouvelles directives pourtant en faveur du masque, 20 a rappelé qu’« une personne peut s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes ». De plus, elle s’inquiétait du « faux sentiment de sécurité lié au port du masque » amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique21.

En pratique, le port du masque paraît médicalement justifié lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades comme les soignants, car cela les rassure. Mais même, dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque ne se basent pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses fausses ou très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire ou sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle (comme le communiqué de l’Académie de Médecine).

Ce sont habituellement les mêmes qui récusent l’utilisation de la chloroquine, de l’Ivermectine ou de la vitamine D contre le covid sous le prétexte (faux) qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elles sont efficaces.

Or la seule étude prospective randomisée, Danmasq19 22 pourtant réalisée par des partisans du port du masque, menée au Danemark auprès de 6 000 participants en avril et en mai 2020 ne retrouve aucune diminution significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas, démontrant ainsi que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les études récentes montrent que le port du masque n’a pas été efficace

L’Université d’Édimbourg résume un travail épidémiologique 23 sur l’efficacité des masques faciaux sur la propagation de l’infection par « Based on the epidemiological evidence, the effectiveness of face masks has not been demonstrated »

Boretti 24 constate :

« Si l’on compare les pays d’Europe de l’Ouest qui n’ont pas rendu obligatoire le port du masque, par exemple la Suède, la Finlande, la Norvège, le Danemark, l’Islande, à d’autres pays comme le Royaume-Uni, l’Irlande, la Belgique, l’Allemagne qui ont adopté des mesures généralisées de port du masque, il n’y a pas d’augmentation du nombre de cas,ni de décès dans les pays qui ne l’ont pas imposé. »

Au Texas, Schauer et ses coauteurs25 concluent :

« Nous n’avons pas été en mesure de détecter une réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs attribuable à la mise en œuvre d’une obligation de masques. »

En Allemagne, une enquête26 n’a pas trouvé de bénéfice du port de masque dans les écoles et constaté beaucoup d’inconvénients pour les élèves

Dans le Wiscontin, une étude27 sur les athlètes de haut niveau confirme :

« Il n’y avait pas d’association significative entre l’incidence de COVID-19 et l’utilisation de masques faciaux pendant le jeu pour les sports avec plus de 50 écoles déclarant l’utilisation de masques faciaux (p> 0. 05 pour tous) ».

Beauchamps28 conclut l’analyse de l’évolution de la pandémie ainsi :

« l’absence de preuve scientifique d’efficacité du port généralisé du masque, la fréquence des inconvénients chez les porteurs et la pollution de l’environnement29 30rendent injustifiable l’obligation généralisée des masques dans la population et celle-ci doit être abandonnée lors des pandémies futures ».

Une étude31 accuse même le masque d’avoir aggravé la mortalité du covid

Zacharias Fögen a analysé l’impact du port du masque dans l’État américain du Kansas au cours de la période du 1er août au 15 octobre 2020.

Cet État américain a laissé à chacun des comtés qui le composent la liberté de décider de mettre en place ou non une obligation de port du masque. Sur un total de 105 comtés, 81 ont refusé cette mesure permettant ainsi une comparaison des mortalités des 24 comtés qui ont imposé le masque aux autres. La conclusion de l’étude est sans appel :

« Contrairement à l’idée reçue selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques puisqu’ils permettraient de réduire les taux d’infection, les résultats de cette étude démontrent que ce n’est pas le cas et suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50 % ».

Les masques sont source d’inconfort et de complications.

Le port généralisé du masque génère de l’anxiété32 33, du stress, des dépressions psychologiques, des frustrations en raison de troubles de la communication, ainsi que d’une irritabilité accrue et d’une détérioration de l’humeur, une agitation et un sommeil plus médiocre.

Il perturbe fortement l’expression des émotions34, gêne l’élocution et rend beaucoup plus difficile l’acquisition du langage par les jeunes enfants et le suivi des enseignements scolaires, et tout particulièrement et l’apprentissage des langues étrangères.

Les porteurs ressentent souvent un essoufflement, et une gêne au niveau des oreilles due aux élastiques.

Le port prolongé de masques augmente la gravité de l’acné (maskne)35 et de la rosacée36, des eczémas atopiques et séborrhéiques, des dermatites péri orificielles, de l’urticaire, de la rosacée, des folliculites et des prurits37 38 39, peuvent faciliter l’apparition de purpura40 de teigne41 retardent la cicatrisation des plaies chirurgicales42 et peuvent entraîner la nécrose de lambeaux faciaux de reconstruction même anciens43,

L’enquête allemande précédemment citée 44 rapporte des données sur 25 930 enfants dont la durée moyenne de port des masques atteignait 270 minutes par jour. Parmi les personnes interrogées, 68 % ont déclaré que les enfants se plaignaient de problèmes causés par le port du masque dont l’irritabilité (60 %), des maux de tête (53 %), des difficultés de concentration (50 %), un mal être (49 %), la réticence à aller à l’école/à la maternelle (44 %), un malaise (42 %), des difficultés d’apprentissage (38 %) et/ou somnolence/fatigue (37 %).

Didier Rancourt, dans son pamphlet de 202345 « Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique », résume l’état des connaissances scientifiques après 3 ans de crise :

« Un nouveau mantra ignoble est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et des hommes politiques dans la campagne mondiale visant à imposer le port du masque universel au grand public : “il existe un nombre croissant de preuves”. Cette phrase de propagande est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :

— Donner la fausse impression qu’un équilibre de preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19

— Assimiler faussement les commentaires émis dans des lieux scientifiques avec des “preuves

— Cacher le fait qu’une décennie de preuves politiques prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales

— Cacher le fait qu’il existe désormais une preuve observationnelle directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’expiration de nuages de particules d’aérosol en suspension ; au-dessus de, sous et à travers les masques

— Détourner l’attention des méfaits et des risques considérables connus dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières. Lesdits méfaits et risques incluent le fait qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; compte tenu de l’environnement chaud et humide et de la source constante, où les tissus d’intérieur sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes.

En bref, j’affirme : les articles d’opinion ne sont pas des “preuves”, la non-pertinence n’aide pas, et davantage de préjugés n’éliminent pas les préjugés.

Leur mantra d’“un ensemble croissant de preuves” est un stratagème intéressé qui entrave la bonne science et menace la sécurité publique.

Je prouve qu’il n’existe aucune preuve scientifique pour soutenir le port obligatoire du masque sur la population générale, et que toutes les preuves scientifiques de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.

C’est pourquoi les politiques et les autorités sanitaires agissent sans légitimité et de manière imprudente. »

Gérald Kierzek déclarait dans le Figaro du 9 12 2022 :

« Le masque est un gadget politique et de communication qui permet aux autorités de montrer qu’elles ne sont pas passives face à une montée des contaminations et permet d’éclipser la crise générale du système de santé.

Ses bénéfices n’ont jamais été formellement démontrés pour endiguer une épidémie : les pays ayant maintenu l’obligation dans les transports comme l’Allemagne démontrent que les vagues de contamination n’ont pas été enrayées ; le masque ne remplace en rien des gestes barrières plus simples, comme le lavage des mains ou l’aération efficace, notamment dans les lieux clos familiaux ou professionnels, principaux lieux de contamination ; pire, le masque mal utilisé, enlevé et remis n’importe comment, donne un sentiment de fausse sécurité et de relâchement d’une hygiène minimale. »

Il aurait pu ajouter : comme lors du confinement, nous sommes devant une mesure généralisée, sans aucun discernement. Une mesure technocratique que seuls des Énarques peuvent prendre en vertu d’un principe de précaution poussé jusqu’à l’absurde. Le masque comme le confinement sont les conséquences de croyances infondées, d’une religion et non pas d’une doctrine qui reposerait sur de solides preuves scientifiques.

Aux USA l’administration Biden est actuellement suspectée de vouloir réintroduire le port obligatoire du masque depuis l’apparition du dernier variant surnommé depuis « variant électoral ».

De fait, le College Morris Brown d’Atlanta, la société cinématographique Lionsgate à Santa Monica et les Services de santé unis et l’Hôpital communautaire d’Auburn, l’Hôpital universitaire de Syracuse à New York, la compagnie Kaiser Permanente (dans son hôpital Santa Rosa) ont émis des obligations de port de masques. Honteux !

Ces décisions ont suscité des commentaires sans ambages du Dr Marc Siegel, professeur clinicien de médecine au NYU Langone Medical Center et contributeur médical de Fox News :

« les obligations n’ont pas fonctionné ; elles ont été étudiées à maintes reprises et elles n’ont pas diminué la propagation virale. »

« donc, rendre obligatoire le port du masque n’a aucun sens. »

Thomas Massie député du Kentucky a appelé à la résistance civique :

« Si la bureaucratie essaye de rétablir des mesures tyranniques pour soi-disant lutter contre le covid, résistez de toutes vos forces. Refusez-les ! »


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20 https://www.un.org/fr/coronavirus/articles/recommandations-port-du-masque

21 Cartaud A, Quesque F, Coello Y. Wearing a face mask against Covid-19 results in a reduction of social distancing. PLoS One. 2020 Dec 7;15(12):e0243023. doi : 10.1371/journal.pone.0243023. PMID : 33 284 812 ; PMCID : PMC7721169.

22 Henning Bundgaard et al Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Controlled Trial Ann Intern Med. 2021 Mar;174(3):335–343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub 2020 Nov
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/

23 Does the use of face masks in the general populationmake a difference to spread of infection? https://www.ed.ac.uk/files/atoms/files/uncover_003-03_summary_-_facemasks_community_anon.pdf

24 Boretti A. Efficacy of Generalized Face Masking Mandates. Health Serv Res Manag Epidemiol. 2021 Nov 10;8:23333928211058023. doi: 10.1177/23333928211058023. PMID: 34778494; PMCID: PMC8586184. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8586184/

25 Schauer SG, Naylor JF, April MD, Carius BM, Hudson IL. Analysis of the Effects of COVID-19 Mask Mandates on Hospital Resource Consumption and Mortality at the County Level southern medical journal, 114(9), 597–602. https://doi.org/10.14423/SMJ.0000000000001294

26 Schwarz S, Jenetzky E, Krafft H, Maurer T, Martin D. Coronakinderstudien „Co-Ki“: erste Ergebnisse eines deutschlandweiten Registers zur Mund-Nasen-Bedeckung (Maske) bei Kindern [Corona child studies “Co-Ki”: first results of a Germany-wide register on mouth and nose covering (mask) in children]. Monatsschr Kinderheilkd. 2021;169(4):353-365. German. doi: 10.1007/s00112-021-01133-9. Epub 2021 Feb 22. PMID: 33642617; PMCID: PMC7898258. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33642617/

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43 Choi M, Wo L, Joshi P, Nugent A, Thaller SR. Facial Flap Necrosis From COVID-19 Face Mask Precautions. J Craniofac Surg. 2022 Sep 1;33(6):1840–1842. doi: 10.1097/SCS.0000000000008587. Epub 2022 Mar 9. PMID: 35142737; PMCID: PMC9432421.

44 Ibid 17

45 Didier Rancourt “Face masks, lies, damn lies, and public health officials: ‘A growing body of evidence’” https://www.researchgate.net/publication/343399832_Face_masks_lies_damn_lies_and_public_health_officials_A_growing_body_of_evidence

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La propagande pour les trans  par les « progressistes » leur nuit lourdement

 

 Par les Drs  G et N Delépine

 

 

 

 

La plupart des riches ont compris qu’ils ne doivent pas étaler leurs richesses pour ne pas exciter la convoitise des pauvres. Mais certains trans ignorent les avantages de la discrétion et s’étonnent de l’augmentation des actes transphobes depuis qu’ils affichent partout leur « fierté » et qu’elle s’adresse de surcroit aux enfants. Espérons que la modération future de leur affichage facilitera leur acceptation comme ont su le faire, avant eux, la plupart des homosexuels depuis des décennies. Faudrait-il que les progressistes idéologues dont certains actuellement au pouvoir cessent de les utiliser.

 

 

 

 

Faut -il être « d’extrêmedroaaate » pour refuser qu’on soumette de jeunes enfants à des spectacles incompréhensibles pour leur âge et choquants, traumatisants pour leur psychisme risquant d’être perturbés à long terme ? Tous ces donneurs de leçons ont -ils pesé ce qu’est l’éducation d’un bébé, puis d’un enfant et même d’un adolescent dont la sexualité selon tous les auteurs ont affirmé la phase silencieuse de la sexualité jusqu’aux débuts de la puberté ?

Les Français respectent les convictions politiques, religieuses et mœurs de chacun à condition qu’ils restent essentiellement dans la sphère privée et laissent de coté les enfants. « laissez nos enfants tranquilles » réclament des associations de parents, collectifs de tous pays du Canada et USA aux pays africains en passant par la France.

La multiplication des revendications trans via des manifestations de plus en plus gênantes (enfant fouettant un trans à quatre pattes quasiment nu) et la diffusion rapide des messages chez les enfants, couplées aux déclarations du ministre de l’éducation nationale « l’éducation sexuelle à l’école est ma priorité » ont entrainé une prise de conscience depuis quelques mois en France de faits dénoncés dans l’indifférence depuis plusieurs années[1].[2]

«  L’Education nationale entend aborder les stéréotypes de genre dès la maternelle, avec la même neutralité que les chercheurs qui cherchent à donner au genre un statut théorique dénué d’idéologie au sein des sciences humaines. Le ministre de l’Education nationale a expliqué que l’enseignement de la théorie du genre à l’école permettrait de lutter contre les discriminations, les violences sexuelles et sexistes, les LGBTphobies et d’atteindre une meilleure égalité entre filles et garçons. »[3]

 

Le ministre est -il sincère ou naïf ? En tous les cas, c’est l’inverse qui arrive évidemment.

 

L’organisation de collectifs régionaux afin de lutter contre les exhibitions de drag Queen par exemple dans des jardins d’enfants ou dans des spectacles scolaires se développe rapidement : « laissez les enfants tranquilles ».

 

L’augmentation des actes transphobes est le revers de leur plus grande visibilité imposée partout

Depuis quelques années on assiste à une propagande permanente en faveur des minorités (dont les minorités sexuelles) dont certains membres sont persuadés que leur visibilité croissante leur permettra d’être mieux acceptés.  Les médias aux ordres des politiques « progressistes » donc de la gauche au pouvoir imposent les figures trans à toute occasion, films, feuilletons, spot publicitaires, sujets des émissions d’échanges, comme si les trans ( personnes respectables comme individus) représentaient une large communauté alors qu’ils ne sont que quelques milliers en France (0,03 à 0,1% de la population selon le rapport de Dr Hervé PICARD et Simon JUTANT en janvier 2022), et que leurs problèmes ne résument pas les énormes sujets d’inquiétude des Français : (retraites, pouvoir d’achat, niveau scolaire, chômage, sécurité, immigration etc.. ). La propagande trans est utilisée pour détourner l’attention de la population des vrais problèmes « parlez-moi d’autre chose » …

 

Pour l’essayiste Éric Naulleau, invité du «Figaro La Nuit», la pensée progressiste s’organise «autour de la figure du transsexuel». «Le transsexuel et la drag queen sont passées de figures marginales à des figures presque centrales de l’imaginaire progressiste», relève-t-il. (tweet du 21 06 23). Adoption par la gauche des pires travers du capitalisme. On change de corps comme de forfait téléphonique. La vie liquide.

« le transsexuel est devenu la grande idole du wokisme » vieux travers du progressisme de vouloir faire de la marge, le centre (d’où la fascination de la gauche pour les délinquants, exemple de Battisti).[4]

En les instrumentalisant pour des visées politiques et leur idéologie, les progressistes nuisent aux trans.

 

 

Les TRANS victimes de leur utilisation manipulatrice par les militants dits « progressistes »

Depuis que leur propagande se généralise, les actes, manifestations et les lois anti-trans se multiplient dans la plupart des pays du monde où elle a été active.

En France entre 2016 et 2022, les actes anti-LGBT+ ont connu une augmentation significative : +129% pour les crimes et délits, et +115% pour les contraventions. En 2018, le ministère de l’intérieur avait recensé 1 380 infractions à caractère homophobe ou transphobe (soit une augmentation de 33 % par rapport à 2017). En 2019, 1 870 cas « C’est une hausse tendancielle et progressive, qu’on observe depuis trois ans ». En 2022, avec plus de 4000 faits le nombre de déclarations augmente en particulier pour les actes transphobes constituant “le revers de la plus grande visibilité des personnes trans”.

Les guerres de religion nous ont appris que la tolérance sociétale pour les minorités va de pair avec leur discrétion publique et une pratique cantonnée à la sphère privée. On ne peut que conseiller aux trans sexuels d’adopter une pratique semblable pour être mieux inclus. Ils devraient résister aux politiques qui tentent de les utiliser.

 

 

Les associations féministes et homosexuelles se désolidarisent des manœuvres des extrémistes trans

De violentes polémiques dans le mouvement féministe mettent en lumière tensions et désaccords sur l’identité de genre. Ainsi le mouvement féministe #NousToutes cesse de relayer le décompte des féminicides conjugaux , car le collectif « Féminicides par compagnon ou ex »  est accusé d’avoir tenu des propos transphobes, car il critiquait « les aspects toxiques » de la « masculinité antérieure » de certaines femmes transgenres.

Les féministes effacées

« Lisa », membre du groupe, précise « Ce n’est pas de la transphobie, c’est une réalité scientifique que les femmes trans étaient des hommes avant » et accusent les extrémistes trans de faire passer les personnes trans avant les femmes et d’invisibiliser ces dernières !

Des militantes féministes rapportent des faits de violence exercés par les extrémistes trans. « On a reçu des œufs dans le visage, on a été frappé parce qu’on tient cette position de dire qu’être une femme n’est pas un sentiment, c’est une réalité biologique matérielle« , témoigne Marguerite Stern, créatrice des Collages contre les féminicides. Nos opposants nous qualifient d’ « anti-trans », et détournent totalement notre pensée. Ils reposent sur des interprétations erronées de notre discours, nous qualifiant « d’essentialistes » et nous associant à l’extrême-droite, dans le but de compromettre notre réputation plutôt que de répondre à nos arguments.

« Nous ne sommes pas anti-trans, nous sommes pro-femmes.  De la même façon que critiquer l’islam n’est pas islamophobe, critiquer l’idéologie transgenriste n’a rien de transphobe. Être transphobe, c’est le fait de discriminer ou d’appeler à la haine des personnes trans. Tel n’est pas notre cas. Dire que les femmes sont des femelles adultes humaines est incompatible avec l’essentialisme : c’est ce qu’on appelle philosophiquement du matérialisme. Nous disons que les femmes sont des femelles et qu’il n’y a pas de distinction entre les deux. Pour nous le mot femme décrit la sexuation ; le féminisme vise à ce que les spécificités biologiques des femmes soient reconnues dans la société. Nous ne résumons pas les femmes à leurs corps, mais disons que ce corps est ce qui permet de les définir. »

En Grande-Bretagne, certaines féministes traditionnelles, rebaptisées « Terfs » pour “Trans-Exclusionary Radical Feminists” (féminisme excluant les femmes trans), adoptent cette même position et se battent pour conserver l’indexation de la catégorie femme sur le sexe biologique, afin de « combattre efficacement le patriarcat »

J.K.Rowling, qui en fait partie est harcelée par les extrémistes trans depuis qu’elle s’est moquée du titre d’un article de devex.com : « Créer un monde post-Covid plus égalitaire pour les personnes ayant leurs règles ». « Cela avait un nom autrefois. Aidez-moi. Fummes ? Fommes ? Fammes ? », avait réagi l’auteur femme, « refusant de s’incliner devant un mouvement trans qui cause un tort aux luttes féministes en cherchant à effacer le mot “femme” en tant que classe politique et biologique, et en « offrant une couverture à ses prédateurs ».

 

 

 

Aux USA, l’association «  Gays Against Groomers » est une coalition d’homosexuels qui s’opposent à la tendance récente d’endoctriner et de sexualiser les enfants sous le couvert de « LGBTQIA+ » et dénonce les pratiques « destructrices » de certains mouvements trans extrémistes qui utilisent la communauté LGBT comme bouclier pour encourager la « mutilation », la « stérilisation » et l’« endoctrinement » des mineurs.

David Leatherwood a expliqué le 21 février 2023 devant le Comité de la santé et des services sociaux de la Chambre des représentants de la Floride que la communauté LGBT a obtenu une certaine tolérance et acceptation dans la société américaine, mais que cette avancée est remise en question par des extrémistes trans qui portent préjudice aux gays.

 

 

 

Dans les compétitions sportives, l’équité prime maintenant sur l’inclusivité

Le sexe est déterminé dès la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l’embryon deux chromosomes sexuels soit XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin).  Le caryotype dirige l’élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, physiologiques et éthologiques des individus. A l’adolescence la sécrétion des hormones accentue chez l’individu de sexe masculin, les développements squelettique et musculaire conduisant à une différence de force physique entre hommes et femmes, l’élargissement des épaules, un poids moyen plus élevé et une différence de taille moyenne d’environ 10 %.

 

Cette musculation plus développée chez l’homme post pubertaire explique des performances sportives supérieures. La comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes dans différentes disciplines l’illustre avec une différence moyenne de 10% à 20% en faveur des hommes : lancer de javelot (94m/72m), 50 m nage libre (46 /51s), sprint de 100 m (9”58 / 10”49), lancer de poids (23,37/22,63), course de 200 mètres (19,19 sec / 21,34 sec), lever de poids (488 kg /332KG), marathon (2h 1mn 9sec/2 h 14 min 4 s)…

 

Ces différences démentent l’idéologie du genre qui voudrait nous faire croire que le sexe serait un « construit social» qu’on peut changer selon son bon plaisir ou son « sentiment ». Elles imposent de séparer hommes et femmes lors des compétitions sportives de haut niveau.

Lorsque les personnes ayant fait leur puberté comme homme ont obtenu le droit de concourir avec les femmes en se déclarant femmes trans, elles ont bénéficié d’un avantage important en termes de performances, même si leur taux de testostérone était bas, l’ensemble des caractéristiques corporelles génétiques et acquises étant toujours présent.

L’exemple d’Halba Diouf qui, en se « déclarant » femme, est passé de la 980e place nationale à la 58e place mondiale, est démonstratif. Mais aussi les cas de Valentina Petrillo, née Fabrizio, qui a remporté une course de 200 m pour femmes, du leveur de poids Laurel Hubbard, de la nageuse Liz Thomas …

L’inclusion des hommes trans (nées femmes) dans les compétitions masculines ne soulève pas de problème d’équité, vu les possibilités réelles inférieures des hommes trans nées femmes. De fait, les hommes trans ne veulent guère y participer.

Marguerite Stern, militante a résumé la question dans une tribune de Marianne « Sous couvert de lutte contre les discriminations, les différents amendements concernant l’identité de genre sont un crachat jeté au visage des femmes, car si j’en comprends bien le sens, ils sous-tendent la possibilité que sur simple déclaration des individus de sexe masculin puissent participer à des compétitions sportives féminines. ». De nombreuses autres militantes féministes perçoivent l’intégration des personnes transgenres dans les espaces réservées aux femmes comme une nouvelle forme de l’oppression masculine systémique et de l’ « invisibilisation des femmes ».

Martina Navratilova, militante de la première heure des droits des homosexuels a aussi déclaré : « Je suis heureuse de m’adresser à une personne transgenre de la manière qu’elle le souhaite, mais je n’aimerais pas avoir à concourir contre elle. Ce ne serait pas juste« .

Accepter l’inclusion des hommes qui s’affirment femmes dans les compétitions sportives féminines lèse gravement le respect de l’égalité femmes/hommes et l’équité générale, et les droits des sportives de haut niveau qui ont beaucoup travaillé pour y parvenir.

Le 23 mars 2023, le président de la Fédération Internationale d’athlétisme (WA), Sébastian Coe, a annoncé l’exclusion des compétitions nationales et internationales des athlètes transgenres « qui ont connu une puberté masculine ». Sebastian Coe a expliqué vouloir privilégier « l’équité à l’inclusion » « Ma responsabilité est de protéger l’intégrité du sport féminin« .

Dans les compétitions sportives de haut niveau, l’équité pour les femmes prime maintenant sur l’inclusivité des trans.

Et pour ne pas brimer les trans qui veulent concourir, certaines fédérations sportives ont proposé d’organiser, en parallèle avec les compétitions féminines et masculines des compétitons ouvertes ou les trans pourront se mesurer aux cis. Pourquoi pas !

 

Dans les écoles

En France, comme dans de nombreux pays occidentaux la loi permet aux élèves trans de se faire appeler par le prénom qu’ils désirent sans même l’autorisation des parents. La circulaire de Jean-Michel Blanquer, parue au Bulletin officiel du 30 septembre 2021 demande aux enseignants de l’école maternelle jusqu’au lycée (premier et second degré), « d’écouter, accompagner et protéger les enfants transgenres ou qui s’interrogent sur leur identité de genre ». Elle ajoute qu’il est également pleinement envisageable d’accepter les élèves trans dans les vestiaires, dortoirs et autres équipements genrés, selon l’identité de genre de l’élève, y compris avant qu’il ait pu effectuer des changements sur son état-civil ou suivi des traitements [elle prescrit donc d’admettre les hommes qui se prétendent femmes dans les vestiaires et dortoirs et toilettes des filles !]. Et le ministre de l’éducation actuel déclare en 2022, priorité nationale l’éducation sexuelle à l’école dès la maternelle et sous prétexte de « lutter contre les discriminations » et autorise des associations trans à faire leur propagande à l’école et à présenter aux enfants des spectacles de drag queens.

Lorsque l’école, socle de nos institutions, demande aux enseignants d’« accompagner » la démarche de transition des élèves, elle se fourvoie. Elle n’est ni dans son rôle, ni dans sa mission. La démarche du Ministère a le tort d’imposer aux enfants qui ne peuvent pas en appréhender tous les aspects, un débat de société concernant les adultes et de fracturer inutilement la société et pire le cerveau des jeunes enfants soumis à propagande inintelligible pour leur degré de maturation.

En avril 2023, un atelier organisé par l’association OUTrans a fait scandale à l’Ecole alsacienne de Paris. Selon le Figaro les intervenants, transsexuels, ont « accusé les enfants d’être transphobes » pour avoir protesté contre l’affirmation selon laquelle des hommes peuvent être “enceints”. Ils auraient de plus affirmé aux enfants que « si un adolescent n’est pas bien dans sa peau, c’est qu’il est peut-être trans » ou encore que « dire qu’il y a seulement deux sexes, c’est une représentation datée et c’est faux ».

Le Syndicat de la famille – a appelé au retrait immédiat des subventions publiques versées à OUTrans et HandsAway, et réclame que « ces associations ne puissent plus jamais intervenir dans les écoles, collèges et lycées. »

Le département d’ile et Vilaine et la Région Bretagne ont subventionné une sortie scolaire pour faire assister Le 20 mars 2023 des enfants de l’école Jean Rostand de Rennes à « fille ou garçon »  un spectacle vantant les transformations sexuelles, gaspillant ainsi impôts et temps scolaire pour propager une théorie qui menace gravement l’équilibre psychologique des enfants.

 

Plus récemment la volonté de projeter Tomboy film de 2011 retraçant l’histoire d’une petite fille de 10 ans, Laure, qui se fait passer pour un garçon auprès d’élèves de sixième du Séminaire des jeunes de Walbourg, a tourné à l’affrontement entre parents et direction.

 

 

 

 

Déprogrammé à la suite de plaintes de parents puis de l’évêché puis reprogrammé ; les parents en colère n’ont eu que la possibilité de garder leur enfant chez eux.

 

Et la pression du ministère étonne et scandalise :

 

 

 

 

Cf bd voltaire : « les drags se présentent aux enfants sous une forme hypersexualisée, Monsieur Escots ne pourrait le nier. Par ailleurs, 60.000 euros de subventions ont été versés en deux ans au Girofard (un collectif de plusieurs associations LGBTI+). Le Girofard est un lieu d’accueil, de rencontre et d’échanges qui veut promouvoir la santé et le bien-être des personnes LGBT, mais aussi dénoncer toutes les discriminations et promouvoir la culture LGBT, par l’organisation, entre autres, de la Marche des fiertés de Bordeaux. »[5]

 

 

 

 

 

 

Pour les enfants, la difficulté réside dans la nature très partisane de l’information donnée, mais surtout dans leur difficulté à comprendre et évaluer ces informations et à concevoir la portée de décisions qui feront d’eux des patients prenant des médicaments à vie et sacrifiant leur fertilité avec des mutilations irréversibles de leur corps (émasculation, hystérectomie, ovariectomie) .

Comme pédiatre, nous avons appris qu’après la petite enfance et la découverte des différences entre le corps du petit garçon et celui de la petite fille, venait une période dite de latence pendant laquelle les problèmes de sexe ne sont pas à l’ordre du jour, entre environ trois et douze ans. Et voilà que selon le bon vouloir  de quelques activistes trans parvenus aux postes de responsabilité, ou de leurs affidés intéressés ou convaincus, il faudrait perturber cette période de construction silencieuse ?

 

 

En Amérique du Nord (USA et Canada) de nombreuses manifestations de parents ont régulièrement lieu pour protester et empêcher la propagande trans dans les écoles qu’essaient d’imposer les autorités.

Certains trans réclament « des toilettes non genrées » permettant aux garçons qui se déclarent filles d’accompagner aux toilettes les filles aux dépens de la sécurité sexuelle de ces dernières. Et si une adolescente dit qu’elle ne veut pas d’hommes trans dans les toilettes de filles, elle se fait traiter de transphobe !  Pourtant le fait de s’affirmer femmes trans n’empêche pas les pulsions de viol ni le passage à l’acte comme l’a montré l’écossais « e » Isla Bryson. Combien faudra-t-il recenser de viols pour que ce risque soit pris en compte et que la sécurité de l’immense majorité des jeunes filles prime sur les désirs d’une infime minorité de trans qui se sent mal dans leur peau et se prétend traumatisée de devoir aller aux toilettes de leur sexe biologique ?

 

Dans les prisons

En France, d’après le ministère de la Justice, il y aurait une trentaine de personnes transgenres sur plus de72000 détenus (0,04%). Elles doivent faire face à de nombreuses difficultés : placées à l’isolement, des relations tendues avec les surveillants, un accès difficile aux médecins. En 2021 Dominique Simonnot a déclaré : en cas d’incarcération, les personnes transgenres sont plus vulnérables que le reste des détenus invitant à « adapter le principe général d’égal respect de la dignité à la situation particulière de ces personnes« .

Mais l’inclusivité des femmes trans dans les prisons pour femmes a révélé ses limites dans les pays voisins qui avaient opté pour ce choix avant la France.

Au Danemark, la Haute Cour a estimé que la présence d’une détenue trans qui a fait modifier son état civil d’homme à femme pendant son incarcération pour un viol aggravé doit purger sa peine dans un établissement pour hommes. Son séjour dans une prison pour femmes « poserait un risque de sécurité non insignifiant pour les femmes détenues » et que le fait qu’elle soit « fouillée nue par des hommes » et doive « fournir un échantillon d’urine » sous la surveillance d’hommes n’enfreignait pas la loi sur l’exécution des peines, car la référence au genre dans la loi doit être « comprise en tant que sexe biologique.

En Ecosse, la loi écossaise Gender Recognition Reform Bill, votée fin 2022, permet de faciliter l’acquisition par des personnes trans d’un certificat de reconnaissance de genre établissant que leur genre « n’est pas celui qui [leur] a été assigné à la naissance. Avant son adoption elle avait été combattue par beaucoup d’associations féministes qui craignaient qu’elle soit détournée par des prédateurs sexuels se déclarant femmes pour mieux approcher les femmes dans les espaces qui leur sont réservés – vestiaires, refuges, toilettes, prisons. L’incarcération temporaire de femmes trans condamnés pour viol dans des établissement pour femmes a suscité l’indignation dans la population et la classe politique écossaise et britannique obligeant les autorités à décider qu’elles purgeraient leur peine dans une prison pour hommes.

Une fois de plus, la sécurité de la majorité prime progressivement sur les désirs d’une infime minorité sur représentée chez nos dirigeants ou du moins dans leurs décisions.

 

 

Pour les entreprises, la propagande pro trans se révèle souvent contre-productive

Aux USA, certaines entreprises grand public ont cru que la promotion transgenre augmenterait leur clientèle et s’en sont mordus les doigts.

Un des premiers exemples est celui de la bière Budweiser dont l’entreprise a lancé le 1er avril 2023 une campagne publicitaire avec une influenceuse transgenre Mulvaney déguisé(e) en Audrey Hepburn tenant une cannette à son effigie annonçant sur Instagram sa collaboration avec la marque Budweiser, pour promouvoir la Bud Light.

Après cette campagne de publicité, sur les réseaux sociaux, des insultes contre la marque ont fusé, des internautes se sont filmés en train de détruire des bières Budweiser, des packs de bières ont été détruits en masse et le Kid Rock dans une vidéo publiée le 4 avril 23 a fusillé des packs entiers de Bud Light avec une mitraillette. Dans le mois qui a suivi cette campagne de publicité, les ventes de Bud Light ont chuté entre 11 et 26%, Bud Light a perdu en mai sa place de leader des ventes aux Etats-Unis et son cours en bourse a chuté de 11%.

La capitalisation boursière d’Anheuser-Busch, groupe gérant de Budweiser, est passée de 132,06 milliards de dollars à 108,96 milliards de dollars entre le 3 avril et le 2 juin 23. La société mère de Bud Light a finalement préféré revendre la marque à ses fondateurs d’origine.

En juin 2023, mois des fiertés LGBT+, la société Target a sorti une collection aux couleurs arc-en-ciel qui a fortement déplu à sa clientèle. Celle-ci a boycotté l’enseigne, causant la chute brutale des ventes et provoquant l’arrêt de la commercialisation en ligne. Cette déroute commerciale a été suivie d’une chute drastique de la valorisation boursière de Target de 72,52 milliards de dollars à 58,61 milliards[6]  de dollars entre le 1er mai et le 10 juin 2023.

Netflix et Disney multiplient les projets avec des personnages trans en espérant ainsi augmenter leur audience et  leur rapporter de l’argent. Si ce n’est pas le cas, voir même l’inverse, ils annuleront les films teintés de propagande trans.

Ce « pinkwashing » à visée mercantile pourrait être  catastrophique sur le plan commercial et boursier si les opposants boycottent  régulièrement les entreprises qui le pratiquent.

 

Dans de très nombreux pays, la propagande trans sans limites, suscite des lois  finalement défavorables à leur communauté

En réponse à la propagande trans croissante de nombreux états américains (Floride, Texas, Oklahoma, Kansas, Missouri, Tennessee, Kentucky, Virginie occidentale…) ont récemment voté des lois, interdisant d’avoir une pièce d’identité avec un nom et sexe différent de celui de la naissance, d’aller dans des toilettes qui ne correspondent pas à leur genre de naissance, toute propagande trans à l’école et refusant la prise en charge par l’état des frais des traitements pour transformations sexuelles. A partir de septembre 23, la Floride et le Texas interdiront de prescrire des médicaments bloquant les hormones ou d’effectuer des actes de chirurgie pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans.

En Europe, les états scandinaves et la Grande-Bretagne, longtemps pionniers de la théorie du genre et des transformations trans faciles, ont fortement limité l’accès aux traitements destinés à la modification médicamenteuse ou/et chirurgicale sexuelle pour les mineurs. En février 2023, la Suède a décidé de bloquer la thérapie hormonale pour les personnes de moins de 18 ans, sauf dans de rares cas.

En Russie, le parlement a interdit la promotion de relations sexuelles non traditionnelles  chez les jeunes, et vient d’interdire la chirurgie de modification sexuelle, sauf pour les enfants atteint d’anomalies congénitales.

A Singapour les magazines ont l’interdiction de promouvoir les « modes de vie alternatifs » ; le permis de publication du magazine Vogue lui a été retiré pour « avoir fait la promotion de familles non traditionnelles » et le premier ministre a annoncé une prochaine modification de la constitution afin de « sauvegarder l’institution du mariage, union d’un homme et d’une femme. »

En Turquie, les manifestations des transsexuels sont interdites et certains manifestants qui ne respectaient pas l’interdiction ont été arrêtés.

Au Liban en 2022 une tentative de gay pride a été empêchée par des opposants et le premier ministre le ministère de l’Intérieur a ordonné aux forces de sécurité de « prendre immédiatement les mesures nécessaires pour empêcher tout type de célébration, de réunion ou de rassemblement » de personnes de la communauté LGBT. car « le prétexte de la liberté d’expression ne suffit pas à justifier la promotion de ces activités contraires aux principes divins« .

En Afrique, la propagande trans a exacerbé l’intolérance envers ce groupe avec le vote à l’unanimité d’une loi Ougandaise punissant jusqu’à dix ans de prison pour toute personne se livrant à des actes homosexuels ou se revendiquant comme LGBTQ+.

Le Cameroun vient de déclarer persona non grata Jean-Marc Berthon, nommé en octobre 2022 ambassadeur français pour les droits des personnes LGBT qui avait annoncé son arrivée à Yaoundé. Le ministre  Lejeune Mbella Mbella a rappelé à cette occasion que « la position du gouvernement sur la question de définition du genre, de l’orientation et de l’identité sexuelle est claire et dénuée de tout débat au Cameroun » et que la promotion de la théorie du genre est « qualifiée de crime de droit commun »

 

La généralisation de la propagande pour la théorie du genre et la promotion outrancière de la transsexualité dans les écoles, dans les films subventionnés (avec quota obligatoire de représentants des minorités sexuelles) entraînent partout des clivages violents dans l’opinion et suscitent dans de nombreux pays des lois nocives pour la majorité des trans. Les extrémistes trans devraient méditer le vieux proverbe « pour vivre heureux, vivons cachés » et laisser vivre tranquillement tous les citoyens, minorités et autres y compris trans, leurs outrances aboutissant à des violences jusqu’ici inconnues chez des homosexuels, lesbiennes ou trans qui avaient choisi de vivre leur vie, à l’abri de la propagande.

Et d’ailleurs écoutons la parole d’une drag queen :[7] « pourquoi voudriez vous confier vos enfants à des personnes qui font des performances sexuelles pour adultes, et qui pour la plupart se droguent backstage »[dans les coulisses]. Enfin une Drag Queen honnête et courageuse !

Sexualiser les enfants fait partie de l’agenda 2030. Envoyez nos dirigeants se faire foutre ». Tweet du Dr. Anastasia Maria Loupis 12 06 23 »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Lire Ariane Bilheran  A. Bilheran : le déni sur la sexualisation des enfants – Juillet 2018 – YouTube

[2][2] Dangers de l’éducation à la seuxualité pour les enfants et adolescents sous la direction de maurice berger et eugénie izard 2018 Editions REPPEA

[3] L’Éducation nationale va-t-elle faire dispenser des cours sur les théories de genre ? | TF1 INFO

[4] https://twitter.com/Le_Figaro/status/1671224143331889152?s=20

[5] Lectures drag à Bordeaux : de l’accusation d’homophobie à la censure du débat – Boulevard Voltaire (bvoltaire.fr)

[6] « le terme de pinkwashing1 a été inventé par la Breast Cancer Action, association américaine de patientes souffrant du cancer du sein, en 2002 pour désigner les campagnes des entreprises qui utilisent le cancer du sein comme levier marketing

Il est aussi utilisé pour critiquer une technique de communication fondée sur une attitude bienveillante vis-à-vis des personnes LGBTQ+ par une entreprise ou par une entité politique, qui essaye de modifier son image et sa réputation dans un sens progressiste, tolérant et ouvert. Cette stratégie de « relations publiques » s’inscrit dans l’arsenal des méthodes d’influence, de management des perceptions et de marketing des idées ou des marques » (wikipédia.org).

 

[7] https://twitter.com/VictorSinclair3/status/1668146749322477571?s=20

Profession Gendarme – Page 2 – Le journal des gendarmes (profession-gendarme.com)

 

Succès du film « Sound of Freedom ». Vous en avez mis du temps !   – Profession Gendarme (profession-gendarme.com   

MERCI A LAURENCE BENEUX ET SERGE GARDE D AVOIR TENTE DEPUIS TANT D ANNEES -plus de vingt ans- DE DENONCER CETTE TRAITE SEXUELLE DES ENFANTS ET TENTER EN VAIN DE SE FAIRE ENTENDRE ET DE FAIRE CESSER CE TRAFIC   alors comme dit laurence : ENFIN

 

 

 

« C’est un euphémisme de dire que le succès* aux États-Unis du film « Sound of Freedom » de Alejandro Gomez Monteverde me fait plaisir. Inspirée d’une histoire vraie, celle de Tim Ballard, cette œuvre cinématographique alerte sur le trafic sexuel d’enfants et sur l’ampleur du phénomène.

Je suis avec émotion, sur les réseaux sociaux, les réactions que suscite la sortie de ce film.

Les internautes indignés expriment leur sidération en découvrant que cet horrible marché qui brasse des milliards de dollars. Ceux qui n’ont pas pu voir le film exigent qu’il soit traduit et distribué dans leur pays. L’intervention de l’acteur Mel Gibson qui plaide pour une prise de conscience concernant l’existence de réseaux de traite humaine, et notamment d’enfants, et encourage à regarder « Sound of Freedom », y est sans aucun doute pour quelque chose.

Et je me dis : « ENFIN ! Même si le sujet est douloureux, le public accepte de voir… » 

Parce que permettez-moi de vous le dire gentiment : vous en avez mis du temps !

Que la traite sexuelle des enfants est une criminalité qui engendre des milliards de dollars, je l’écrivais déjà en 2000 ! Je l’ai clamé sur tous les plateaux de télévision où j’étais invitée. Je n’ai jamais arrêté, à longueur de livres, d’articles, de magazines TV, d’interviews… J’ai même accepté de participer à des conférences.

Plus de 20 années passées à alerter sur l’existence de cette criminalité prédatrice, dont tout enfant peut se retrouver victime. Il suffit d’une mauvaise rencontre, au mauvais moment, au mauvais endroit.

Plus de deux décennies à dénoncer l’indifférence des pouvoirs publics, les dérapages des institutions en la matière, le manque de moyens mis en œuvre pour lutter contre ce fléau, des dysfonctionnements judiciaires parfois tellement énormes qu’il est permis de soupçonner, a minima une indulgence envers la pédocriminalité et un déni des ravages qu’elles causent chez les enfants qui y survivent, et au pire, dans certains cas, une réelle complicité.

Franchement, je commençais à désespérer !

Parlons de la pédopornographie. Je ne peux pas vous en vouloir de ne pas réaliser l’horreur de ce type de documents. Tant qu’on ne les pas vus, on ne peut pas se rendre compte. Comme l’avait dit Paul Moreira, rédacteur en chef de l’émission 90 minutes sur Canal Plus à l’époque où j’y travaillais, « il y a un avant et un après ». Au passage, le documentaire de 40 minutes sur la pédocriminalité, intitulé « La pièce qui accuse », fruit de ma collaboration avec ce magazine d’investigation, a totalement disparu des radars. On retrouve tout sur internet, sauf cette enquête pour laquelle nous avons pourtant reçu des prix.

Dans le cadre de mes enquêtes, j’ai eu la douleur de voir des photos et vidéos pédopornographiques. C’est atroce. J’ai vu des viols de bébés, oui de bébés, des nourrissons, des gosses torturés et d’autres images à vomir.

Ce n’est pas votre cas, je vous l’accorde bien volontiers. Mais enfin, il me semble qu’il ne faut qu’un élémentaire bon sens pour comprendre que, pour que de tels documents existent, il faut que des gosses souffrent ! Et il n’est pas besoin d’avoir étudié la question pour savoir que ces enfants sont en immense danger, qu’il faut les chercher, que les gens qui fabriquent ou se repaissent de tels documents sont extrêmement dangereux ! Or, vous savez qu’ils existent. Les médias parlent de temps à autre, de coups de filet où des pédocriminels se font arrêter, détenteurs de dizaines, voire des centaines de milliers de documents pédopornographiques.

Les milliers d’enfants qui disparaissent chaque année, les réseaux criminels qui récupèrent les mineurs isolés dans les camps de réfugiés, le tourisme sexuel de consommateurs d’enfants, la pédopornographie, tout ça est évoqué périodiquement dans des médias de masse.

Dans ce film, Tim Ballard explique que les plus gros clients des trafiquants d’enfants se trouvent aux États-Unis. Je pense pour ma part que l’on trouve ces clients prédateurs d’innocence dans tous les pays aisés, notamment les pays occidentaux, dont la France.

Dès 2000, Serge Garde et moi-même avons sorti ce qu’on a appelé « l’affaire de Zandvoort », du nom de la ville aux Pays-Bas où résidait un pédocriminel au cœur d’un trafic de pédopornographie. Ce dernier a fini assassiné. Sur les affreux documents saisis en Hollande, des enfants français ont été reconnus par leur famille. Et derrière l’affaire de Zandvoort, c’est tout un réseau international qui se cachait. Nous l’avons expliqué dans un ouvrage intitulé « Le livre de la honte. Les réseaux pédophiles » paru au Cherche-Midi. Comme il est épuisé, j’envisage de le mettre en accès gratuit sur internet, mais je ne suis pas la seule qui décide. Franchement, si peu de choses ont changé que la mise à jour ne me prendrait pas plus d’une journée !

Évidemment, à l’époque comme aujourd’hui, il y a eu des journaux pour affirmer d’autorité que tout ça n’était que « complotisme ». Hé oui, l’accusation de complotisme, quand on n’a pas d’argument à opposer, ne date pas d’aujourd’hui. LibérationMarianne et d’autres, se sont faits les porte-paroles d’officiels de mauvaise foi, et se sont empressés de bâcler des « contre-enquêtes », composées pour l’essentiel d’affirmations gratuites souvent contraire au bon sens.

Je me souviens d’un article de Marianne particulièrement indigent où le journaliste expliquait qu’il n’existait pas de réseaux pédocriminels organisés mais que… les pédocriminels avaient « des liens entre eux » et formaient des « sortes de cercles ». Il concluait : « Le vrai réseau, il est là sous notre nez : c’est Internet ». Comme si, derrière les ordinateurs reliés par internet, ne se trouvaient pas des êtres humains !

Quant à Libération, le quotidien s’était empressé d’expliquer que les carnets d’adresses saisis à Zandvoort, dont j’avais personnellement remis des copies à la Brigade des mineurs de Paris, ne contenaient que des commerçants, boulanger, coiffeur… Bref rien d’intéressant.

Trois fois rien : des correspondants au Crédit Lyonnais-Ukraine à Kiev, à la Banque nationale d’Ukraine, à la Banque mondiale, à la Comm Bank of Social Development, à l’Oschadny Bank, à l’Exim Bank, à la Berrents Group à Kiev, à la State Export Import Bank of Ukraine, à la BERD, à la ABN AMRO Private Banking, un compte au Crédit agricole de Garches et un compte joint en dollars dans une agence du Crédit Lyonnais à Paris… Sans parler de tarifs pour un service « d’escort » enfants. Les enfants occidentaux coûtaient beaucoup plus cher que ceux de pays du tiers-monde : plus risqué de se les procurer.

Quelques années plus tard, il n’y avait plus grand monde pour affirmer que les réseaux pédocriminels n’existaient pas, mais toujours pas grand monde non plus pour exiger qu’on se dote de moyens conséquents pour les combattre et pour protéger les enfants.

Depuis le livre de Camille Kouchner, il est permis d’envisager qu’il y ait des personnalités influentes parmi les pédocriminels, sans se faire immédiatement taxer de complotisme. Mais la route est encore longue pour en tirer les conclusions qui s’imposent… Quand des juges sont condamnés pour des affaires de pédocriminalité, les dossiers qu’ils ont traités ne sont pas inspectés.

On accepte qu’au sommet de l’État français, un couple envoie un regrettable message d’impunité. On polémique sur l’affaire Polanski, mais lui au moins a été poursuivi ! Brigitte Macron, même pas. Et pourtant elle aurait dû. Même Wikipédia le reconnait; c’est dire ! En invoquant le mauvais article du code pénal et donc en minorant la peine encoure, mais l’encyclopédie en ligne le reconnaît !

Des affaires où des institutions pour enfants placés servaient de viviers à des prédateurs sexuels ont été rendues publiques. Pourtant, les foyers ne font pas l’objet de contrôles fréquents. Et il faudrait en faire autant en ce qui concerne les adoptions à l’international.

Dans une affaire de réseau jugée en France, non seulement les pédocriminels voyageaient dans le monde, Thaïlande, Maroc…, mais ils avaient en projet l’achat d’un orphelinat en Roumanie ! Pour la petite histoire, une perquisition a été effectuée au palais de Justice de Paris dans le cadre de cette affaire: un membre du réseau avait tourné des films pédopornographiques dans le somptueux décor de la Cour de cassation, et il piquait des documents pédopornographiques dans les scellés pour les remettre dans le circuit !

Il y a pléthore de dossiers où des personnes sont condamnées pour viols sur mineurs, mais aussi pour proxénétisme, sans qu’on ne cherche les clients. Et je ne vous parle pas des dossiers où des pièces disparaissent… La loi, prévoyant que tout résident français abusant sexuellement des mineurs à l’étranger doit être poursuivi, est extrêmement rarement appliquée.

Tout ça a été publié. Tout est sous vos yeux, depuis des années !

Alors oui, je suis heureuse du succès rencontré par « Sound of Freedom ». Après toutes ces années à alerter sur la situation en ayant l’impression de prêcher dans un désert, sinon d’indifférence du moins de déni ou de refus de savoir, je nourris le grand espoir d’une prise de conscience, d’un début de réflexion collective.

Évidemment, l’étape d’après est d’exiger qu’une lutte efficace s’organise pour protéger les enfants, tous les enfants. J’espère qu’il ne faudra pas quelques décennies de plus… »

  • Laurence Beneux est journaliste d’investigation, rédactrice en chef adjointe de France-Soir. 

*Selon le classement du site spécialisé Boxofficemojo, le film a rapporté 96,2 millions de dollars (en date du 18/07). À ce jour, il est le 18e film le plus rentable de 2023 aux États-Unis et au Canada. Une vraie performance pour un film qui a connu un meilleur démarrage en salles que plusieurs blockbusters comme le dernier Indiana Jones.

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Myriam Guedj Benayoun

Une avocate dénonce d’importants manquements judiciaires en matière de protection des enfants victimes

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Conférence du Dr G. Delépine – Gardasil : inutile, ruineux et dangereux ! (Paris, 01/07/2023) (odysee.com)

 

et le diaporama commenté dans cette conférence

 

1 07 23 GARDASIL PARIS

DERIVE TOTALITAIRE hez l’enfant 1 07 2023 – Copie

 

Conférence Dr Nicole Delépine : STOP au sabotage de l’école et à la sexualisation de l’enseignement – Le Libre Penseur

 

 

ET le diaporama commenté dans la conférence

Colloque 13/05/2023 à Paris, parrainé par la LNPLV dirigée par Jean-Pierre Eudier

 La dérive totalitaire sur les enfants : diagnostic, causes et conséquences, solutions

Comment retrouver des principes vertueux ?

 

Notre contribution à ce colloque passionnant :

 

LE TOTALITARISME S IMPOSE AUX ENFANTS DANS TOUS DOMAINES V 13 MAI 2023

 

 

 

Couv Les enfants sacrifiés[43011]

Les mensonges de la propagande Gardasil confrontés à la réalité scientifique.

 

 

PAR G DELEPINE

Le 28 février 2023 le président Macron s’est comporté en représentant de commerce de Sanofi Pasteur MSD dans un collège de Jarnac en annonçant une grande campagne de vaccination après avoir déclaré en décembre 2022 « qu’il n’était pas opposé à une obligation vaccinale par le Gardasil ». Dans ses discours il a répété les crédos des firmes pharmaceutiques prétendant, par exemple, que ce vaccin serait responsable de 6000 cancers annuels et que le vaccin permettrait « d’éradiquer le papillomavirus ». Ces contrevérités flagrantes suggèrent que ses conseillers sont peu compétents, très mal informés ou corrompus.

Notre nouvelle édition du livre rapporte les faits avérés en citant leurs sources afin que chacun puisse les vérifier. Elle rappelle entre autre :

1°) Qu’il est impossible d’éradiquer les papillomavirus (HPV) qui disposent de nombreux réservoirs animaliers et dont il existe au moins 200 souches différentes alors que les derniers vaccins n’en combattent actuellement que 9.

Cette prétention d’éradiquer le virus était une des promesses mensongères des injections anti-covid dont chacun a pu observer l’échec total.

2°) Que le lien de causalité exclusive des HPV sur la survenue des cancers du col n’est pas établi. Il existe certes une relation statistique entre infection et cancer mais une telle relation est retrouvée avec de très nombreux autres facteurs tels que la précocité des rapports sexuels, le nombre de partenaires, les déficits immunitaires dus au Sida ou aux traitements médicamenteux, le nombre de rapports sexuels, des infections à herpès et chlamydias, le tabagisme, le nombre d’enfants, la durée de prise de pilule…Le HPV n’est qu’un des nombreux facteurs statistiquement liés aux cancer du col. Et comme on nous le répète constamment dès qu’une complication survient après un vaccin « corrélation statistique ne signifie pas causalité »

L’infection à HPV touche plus de 80% des femmes sexuellement actives, ne donne aucun signe et disparait spontanément en moins de deux ans dans la quasi-totalité des cas. Sa persistance éventuelle constitue vraisemblablement un témoin d’une activité sexuelle importante responsable de nouvelle contamination et aussi de microtraumatismes et d’inflammations à répétition, deux facteurs dont la responsabilité dans l’apparition de cancers est unanimement reconnue. Comme le constatent tous les enquêteurs « sur les lieux d’un crime on peut trouver le coupable mais aussi des témoins ».

D’ailleurs la littérature internationale rapporte que 10% à près de 50% des cancers du col surviennent hors de la présence de HPV.

Mais depuis que le vaccin est sur le marché les articles publiés se focalisent uniquement sur les HPV car ils constituent les coupables idéaux (les seuls rentables).

Dans la mesure ou ces virus ne sont pas la cause unique indispensable à la survenue du cancer il est évident que leur éventuelle suppression ne peut entrainer la disparition de ce cancer.

3°) La consultation des registres officiels des cancers montre que 17 ans après les campagnes de vaccination généralisée, le nombre de cancers n’a baissé nulle part et a même augmenté dans les groupes d’âge les plus vaccinés contrairement à ce qu’annoncent le gouvernement et les médias.

L’Australie a été le premier pays à organiser la vaccination systématique pour les filles de 12-13 ans dès 2007, puis en rattrapage pour les filles de 14-26 ans en 2009. D’après l’Australian Institute of Health and Welfare, entre 2007, début de la vaccination et 2022 le nombre de nouveaux cancers invasifs a augmenté de 28 % passant de 756 à 942 et l’incidence standardisée globale a cessé de diminuer, fluctuant autour de 7, alors qu’elle avait chuté de plus de 50 % entre 1987 (15/100000) et 2006 (7,1/100000). Le plus inquiétant est l’accroissement de l’incidence des cancers invasifs dans les groupes des femmes qui avaient entre 15 et 24 ans lors de leur vaccination et qui ont maintenant entre 30 et 39 ans. Dans ce groupe d’âge qui regroupe l’essentiel des vaccinées parvenues à l’âge du cancer, le nombre annuel de nouveaux cas est passé de 172 en 2007 à 257 en 2018 (+50 %), tandis que l’incidence a augmenté de 40 % (de 10,6 en 2007 à 14,6 en 2021). Cette aggravation significative du risque de cancer invasif depuis la vaccination est illustrée par la courbe suivante que chacun peut obtenir sur internet auprès de l’agence sanitaire australienne à l’adresse : https:/www.aihw.gov.au/reports/cancer/cancer-data-in-australia/contents/cancer-incidence-by-age-visualisation

La Grande-Bretagne a organisé la vaccination scolaire pour les filles de 12 à 13 ans, avec un rattrapage pour les 14-18 ans dès 2008. D’après le Public Health England, la couverture vaccinale complète des filles âgées de 13 à 14 ans à 3 injections atteignait 86,7 % dès 2013/14.

Les données publiées par l’agence officielle Cancer Research UK (CRUK) confirment l’efficacité du dépistage cytologique qui a fait baisser l’incidence des cancers invasifs d’un tiers (de 13 /100 000 à 9 /100 000) entre 1993 et 2006 et constatent l’échec actuel de la vaccination en précisant: « au cours de la dernière décennie, au Royaume-uni (entre 2006-2008 et 2016-2018  les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables » Cette stabilité globale masque l’augmentation dans les groupes les plus vaccinés grâce à la diminution franche chez les femmes les plus âgées, non vaccinées. Les Anglaises de plus de 50 ans ont en effet bénéficié d’une diminution d’incidence, atteignant 33 % chez les plus de 80 ans. A l’opposé, le groupe des 20-34 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19 % des cancers invasifs passée de 16 /100 000 en 2007 à 19 /100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée en mars 2023.

En Suède, le Gardasil est utilisé depuis 2006, et le programme de vaccination a été généralisé en 2010, avec une couverture vaccinale des adolescentes âgées de 12 ans de plus de 80 %. En 2012-2013, avec un programme de rattrapage, la quasi-totalité des jeunes filles de 13 à 18 ans étaient vaccinées. Globalement depuis la vaccination, l’incidence standardisée du cancer du col de l’utérus a augmenté de 13 % passant de 9,4 en 2006 à 10,8 en 2020. Cet accroissement est en partie lié à l’augmentation de l’incidence chez les femmes de 20 à 24 ans, les plus vaccinées (de 1,9 en 2006 à 3,3 en 2020)

En Norvège depuis la vaccination, le registre du cancer montre une augmentation d’incidence de 6 % constatée chez les femmes de 25-34 ans vaccinées à près de 90 %

 

Aux USA d’après la Cancer Statistics Review, l’incidence standardisée du cancer invasif du col avait diminué de 33 % entre 1989 et 2006 (de 10,7 à 6.67) grâce au dépistage et ne diminue plus depuis la vaccination (6,4 en 2019 comme en 2007). Dans ce pays où la couverture vaccinale est moins élevée que dans les pays précédents (proche de 60 %), on observe la même discordance selon les groupes d’âge .Les femmes de plus de 65 ans, (non vaccinées) bénéficient d’une diminution de 30 % de leur risque (de 13 en 2007 à 9.6 en 2019), tandis que les femmes plus jeunes, qui regroupent toutes les vaccinées, ont vu leur risque augmenter de 6 % (6,3 en 2012 à 6,7 en 2019.

La Lettonie est le seul pays européen qui a imposé la vaccination anti HPV par la loi. En 2020, selon l’OMS71, l’incidence standardisée des cancers du col culminait à 18/100000 (taux le plus élevé d’Europe, trois fois plus élevée qu’en France!)

 

En France métropolitaine où la couverture vaccinale anti-HPV est faible (environ 38 % en 2020), , d’après Santé Publique France, l’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué et est même passée au-dessous du seuil de 6/100000 définissant d’après l’OMS les maladies rares.

Il est très inquiétant que ces excellents résultats français avec taux de cancer très bas et de mortalité très faible, soient menacés par une obligation envisagée par nos politiques, pour certains désinformés et pour d’autres corrompus par Big Pharma.

La lecture de ce livre et la plus large diffusion des informations scientifiques indiscutables qu’il recèle constitue le meilleur moyen de lutter contre la propagande marchande et l’obligation Gardasil que certains veulent imposer.  Résistons, ne soyons pas soumis.

Tentez aussi de protéger les ainés en EHPAD auxquels on va imposer cette n ième injection si vous n’intervenez pas pour les prévenir,  ni pour en parler avec la direction ! Merci pour eux, certains en seraient à la 6 ième injection !

13/05/2023 (2023-05-13)

Par Gérard Delépine

Le gouvernement vient de lancer une nouvelle campagne de rappel des pseudo vaccins anti-covid en prétendant que :

« L’objectif de cette campagne de vaccination consiste à maintenir un niveau de protection vaccinale suffisant afin de réduire la survenue de formes graves de Covid-19, et le risque d’hospitalisation et de décès. »

Mais les Français savent que l’épidémie est quasiment terminée dans le monde :

Comme en France :

Ils ont de plus constaté que les pseudo vaccins ne protègent pas des contaminations. Comment pourraient-ils l’ignorer alors qu’autour d’eux de nombreux vaccinés tombent malades malgré les rappels et que les données de l’OMS montrent que l’épidémie, loin de ralentir, a été fortement accélérée après les injections ?

ou comme l’illustre la courbe des contaminations en France où la plus grande poussée de contaminations a éclaté alors que près de 80 % de la population était vaccinée :

Les Français savent aussi que les vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort, car ils connaissent tous des voisins vaccinés qui ont été hospitalisés et/ou sont morts de Covid en particulier lors de la vague de décembre 2022 alors que plus de 93 % de la population à risque était injectée.

Ils savent enfin que les pseudo vaccins covid ne sont pas dépourvus de complications.

Aucun médicament actif ni vaccin n’est dépourvu de risque. Mais les pseudo vaccins covid battent tous les records de complications observés depuis le début des vaccinations tant aux USA (registre du VAERS) qu’en Europe.

Les complications bénignes sont les plus fréquentes, mais il existe des complications plus sérieuses : phlébites, thromboses, troubles du cycle menstruel, pertes de connaissance brutales, accidents neurologiques variés, myocardites pouvant entraîner la mort.

Les registres des États-Unis montrent qu’après les 657 millions de doses administrées dans le pays avant le 7 décembre 2022, 17 800 décès ont été identifiés, même si le lien de causalité reste comme après tout médicament difficile à établir avec certitude.

Malgré la désinformation les Français sont devenus prudents.

Dans le monde les injections ne font plus recette : moins de 0,01 % de la population accepte encore de se faire injecter !

En France aussi, malgré la propagande forcenée de nos autorités répétant que les injections expérimentales seraient « des vaccins efficaces et sans risque » l’expérience a permis à l’écrasante majorité de réaliser que ces injections anti-covid ne servent qu’à augmenter les dividendes des actionnaires de Pfizer et mettent en danger ceux qui les reçoivent.

Les seuls qui subissent encore des rappels sont ceux qui ne peuvent pas exercer leur libre choix comme les pensionnaires des EHPAD, les malades hospitalisés…

En mai, chaque jour, moins de 0,01 % des Français sont injectés :

Faites comme le reste de la population française, ne prenez pas de risque en vous faisant réinjecter un médicament toujours expérimental alors que les faits avérés en population montrent qu’il est inefficace et dangereux.

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L’association Ametist pour les enfants cancéreux continue à se battre pour les soins individualisés – Ametist

 

 

Association AMETIST   message de Line Turco la présidente et le Bureau

 

Le 15 mai 2023 Mme, Mademoiselle, Monsieur, chers amis, chers parents, chers adhérents

 

Retrouver la liberté de soigner et d’être soigné et informé pour le traitement des cancers de l’enfant et l’adolescent

 

Protéger les enfants cancéreux des campagnes de vaccination anti covid, anti papillomavirus (Gardasil) et des graves atteintes à leur développement en refusant la propagande de la dite « éducation sexuelle » qui met en danger leur avenir par effraction cérébrale et leurs capacités de résistance au cancer ou autres maladies chroniques

 

Rendre aux parents leur rôle majeur de protection de leurs enfants et donc des choix thérapeutiques et éducationnels

 

Depuis notre dernier courrier, les membres d’AMETIST ne sont pas restés inactifs.

Les membres  disponibles se sont réunis en direct, pour se retrouver entre humains en chair et en os. Ils ont poursuivi nos combats communs en informant directement ou par mail ou/et téléphone les parents en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Avec la disparition progressive du corps médical ouvert, ces parents « perdus » se sont multipliés.

Comme les années précédentes, nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques, éviter une amputation et/ou abandon et euthanasie.

 

Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019, a continué à répondre aux sollicitations des familles ainsi que notre trésorière et médecins conseillers fort scandalisés par la publicité médiatique sur le covid et sur le Gardasil après les annonces retentissantes du président de la République en mars 23 pour vacciner toutes les cinquième de collège.

 

Le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est malheureusement de plus en plus d’actualité dans davantage de spécialités médicales et il est impératif de l’expliquer.  Le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas qui ont fait leurs preuves dans le monde réel et les traitements expérimentaux et les nouvelles molécules hors de prix.

 

Les établissements et les médecins sont soumis aux ukases des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est durci depuis 2009. Certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie alors que c’était leur pratique quotidienne depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice, comme en chimiothérapie.

 

Les autorisations s’imposent à tous les établissements, publics ou privés, conventionnés ou non .Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer, des essais thérapeutiques pour l’essentiel. Les interdictions d’opérer des sarcomes hors de quelques centres agréés s’étendent aux adultes depuis quelques mois. IL N’EXISTE PLUS DE MEDECINE LIBRE EN FRANCE.

 

« Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements de haut niveau adaptés de très près à chacun ». On nous impose de ne plus traiter des malades mais des maladies.

 

Les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour chaque malade, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale.  Notre combat est plus que jamais nécessaire afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.

 

Les conséquences des injections anti-covid forcées se dévoilent dans toute leur horreur et en particulier des turbocancers, d’où de nombreux questionnements des familles.

 

Grâce à un gros don ciblé d’une bénévole bretonne, nous avons distribué le livre « les enfants sacrifiés du covid ed FauveS de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, et élus, par courrier en juillet 22 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue. Certains élus ont été à l’écoute et réceptifs à ces informations.

 

Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.

 

Ainsi, AMETIST continue à se battre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science et protégés des agressions physiques et psychologiques imposées par la bureaucratie. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles par mail ou téléphone ou posées à travers les sites (http://association.ametist.org/ mail :  lt4@live.fr

 

Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation et/ou de votre soutien physique et/ou financier. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaitre, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements les meilleurs y compris à l’étranger.

 

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Pour que nos actions puissent continuer, merci de votre aide. MERCI de diffuser le message et de relayer l’information

 

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Mail de la présidente : lt4@live.fr