La technique répétitive de la peur basée sur du vent… sans épidémie réelle

06/11/2021 (2021-11-06)

Par Gérard Delépine

N’ayez plus peur : il n’y a plus d’épidémie en France ni dans les pays voisins

Nos gouvernants et les médias complices tentent par tous les moyens[1][2][3] de nous terroriser à nouveau pour prolonger le plus longtemps possible la sidération du peuple, prolonger l’état d’urgence et instaurer le contrôle de la population par le passe, le QR code, la reconnaissance faciale généralisée, et peut-être des élections tranquilles avec pass… Vive le crédit social chinois, pensent-ils, mais nous ne sommes pas des Chinois…

Mais l’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels publiés par l’OMS qu’il faut communiquer largement à notre Président et à notre Premier ministre, comme nous avons interpellé les députés et sénateurs, avec une certaine écoute.

Voici les éléments factuels à leur communiquer.

Jean Castex veut nous effrayer en parlant de « cas » sans donner de chiffres bruts

Depuis que la mortalité a presque disparu, la propagande de la terreur n’égrène plus le nombre de morts quotidiens, ni celui des hospitalisés, mais seulement celui des tests PCR positifs, dont un grand nombre sont des faux positifs, ne démontrant pas qu’il s’agit de malades, ni de porteurs de virus, ni de possibles contaminateurs, ni de futurs malades. Rappelons que le caractère non fiable du test PCR a été dénoncé par des tribunaux dès octobre 2020 et également par l’OMS courant 2021.

Et quand un média cite les « décès du jour » comme le 5 novembre par exemple sur CNews, il omet de relativiser le chiffre par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts attribués au covid versus mortalité journalière habituelle en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux… Le cancer ne paie plus pour faire pleurer les foules ? Les morts imputés au pseudovaccin seraient importants à connaître également.

De plus, il parle « d’augmentation forte de cas », mais n’en donne pas les chiffres bruts et ne compare pas notre situation à celles des pays voisins. Nous réparerons ces « oublis » en citant les derniers chiffres de l’OMS et les courbes de OurWorldinData.

En France, le nombre de cas est globalement bas et stable

Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55000.

Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,000 9. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20 000 cas) ou anglais (40 000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) et qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité, comme nous le verrons ci-après.

La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles[4] d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, nécessitent des soins et qui parfois meurent de maladie.

Les chiffres du réseau Sentinelles montrent que l’épidémie est terminée

D’après le réseau Sentinelles,[5] l’incidence est inférieure à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100 000 habitants en 2016)

Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas aux infections liées au covid, mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aiguës — taux fixé plus bas qu’avant 2020 —, pour mieux inquiéter la population.

En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021 :

Publié le 03/11/2021

Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [3 ; 8]), ce qui représente 3 414 [1 816 ; 5 012] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3 802 [2 429 ; 5 175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les enfants entre 0 et 4 ans.

D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter :
– une circulation des rhinovirus (hRV),
– virus respiratoire syncytial (VRS),
– métapneumovirus (hMPV)
– la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en Île-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en Nouvelle-Aquitaine). » selon le réseau Sentinelles.

Les chiffres de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France

Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2 % de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.

En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’Institut Pasteur, toujours démenties par les faits qui ne constituent que des arguments de propagande terrorisante.

Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021

Que ce soit en Belgique, Pays-Bas, Portugal, Danemark, Suède, Norvège, Islande, Allemagne, Espagne, Italie, Suisse, Grande-Bretagne, Irlande, Finlande comme l’illustrent les courbes de OurWorldinData covid tracées d’après les données de l’OMS.

Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial

Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère. C’est le cas du variant delta dont la forte propagation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.

Prévoir l’avenir est difficile

Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.

Même si le covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.

N’ayez plus peur.

N’écoutez plus les désinformations officielles qui ne visent qu’à prolonger une terreur irrationnelle qui empêche de réfléchir.

Regardez les faits, seulement les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens. Vous constaterez que l’épidémie est terminée.

Analysez les données de l’OMS sur l’Afrique qui souffre de paludisme en les comparant aux pays africains qui n’ont pas utilisé d’antipaludéens et vous verrez que les antipaludéens sont très efficaces.

Analysez les données de l’OMS sur l’Inde et vous serez convaincu de l’efficacité de l’Ivermectine.

N’ayez plus peur, mais prenez vos précautions en achetant dès maintenant Nivaquine et Ivermectine qui ne coûtent rien et se conservent plusieurs années pendant qu’ils sont autorisés, car il est à craindre qu’ils ne soient plus disponibles quand ils seraient nécessaires.


  1. [1] Une modélisation-prophétie catastrophe de plus de l’institut Pasteur : P Bosetti, C Tran Kiem, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet, D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations : a modeling study applied to France, HAL Pasteur (Septembre 2021)
    https://hal-pasteur.archives-ouvertes.fr/pasteur-03272638 v2[]
  2. [2] O. Veran La cinquième vague du Covid-19 imminente ? La mise en garde. La dépêche
    mar. 2 novembre 2021[]
  3. [3] Dans son bilan épidémiologique hebdomadaire publié jeudi 4 novembre 2021, Santé publique France prévient, une nouvelle fois :
    « la reprise épidémique (du Covid, ndlr) se confirme sur le territoire métropolitain, avec un taux d’incidence en augmentation pour la troisième semaine consécutive »[]
  4. [4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est défectueux. Le confinement n’a aucune base scientifique (lemediaen442.fr) []
  5. [5] Le réseau Sentinelles officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la population.
    La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante publique France, le Centre national de référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et le laboratoire de virologie de l’Université de Corse.[]

LETTRE OUVERTE A MR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, EMMANUEL MACRON

Cc A MR LE PREMIER MINISTRE, JEAN CASTEX

lettre ouverte au president de la république 7 NOV 21 def

 

Le 7 novembre 2021

 

Nous supposons que vos équipes vous informent quotidiennement de l’évolution de l’épidémie covid. Néanmoins, au vu des chiffres officiels de santé publique France et du réseau sentinelles, nous nous permettons de vous adresser le point que nous avons établi, en tant que cliniciens, tant sur l’épidémie en Europe que dans notre pays.

Au vu de ces résultats, nous sommes convaincus que vous pourrez rassurer les Français afin qu’ils reprennent une vie de plus en plus normale, favorable à l’économie mais aussi à l’état psychologique de tous.  Nous vous remercions de votre attention.

 

L’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels.  Voici les éléments factuels (derniers chiffres de l’OMS et courbes de OurWorldinData)[1].

Mr Castex a donné les chiffres globaux d’IRA (insuffisance respiratoire aigüe) mais peu sont liés à covid (4 pour 100000). Les média citent les « décès du jour » mais omettent de relativiser par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts covid versus mortalité journalière en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux…

 

En France, le nombre de cas lié au covid est globalement bas et stable.

 

Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55000.

 Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,0009. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20000 cas) anglais (40000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité.

La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles[2] d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, réponse que donne le réseau sentinelle.

 

Les chiffres du réseau sentinelle montrent que l’épidémie covid est terminée

D’après le réseau sentinelle[3], l’incidence est inférieure  à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100.000 habitants en 2016)

 

Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas  aux infections liées au covid mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aigues (taux  fixé plus  bas qu’avant 2020).

 En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021) :

Publié le 03/11/2021

le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [3 ; 8]), ce qui représente 3 414 [1 816 ; 5 012] nouveaux cas de ´ COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3 802 ´ [2 429 ; 5 175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les ´ enfants entre 0 et 4 ans.

D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter une circulation des rhinovirus (hRV),

 virus respiratoire syncytial (VRS),

 métapneumovirus (hMPV) 

la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en ´ Ile-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en ´ Nouvelle-Aquitaine). » selon le réseau sentinelles. »

 

 

Les chiffres de mortalité de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France

Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2% de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.

En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’institut Pasteur, jusqu’ici toujours démenties par les faits.

 

Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021

Que ce soit en Belgique, Pays-Bas, Portugal, Danemark, Suède, Norvège, Islande, Allemagne, Espagne, Italie, Suisse, Grande-Bretagne, Irlande, Finlande comme l’illustrent les courbes de OurWorldinData covid tracées d’après les données de l’OMS.

 

 

 

 

 

 

 

Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial

Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère que la précédente. C’est le cas du variant delta dont la forte circulation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.

Les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens démontrent que l’épidémie est terminée en Europe de l’Ouest et en Scandinavie.

 

 

Merci Mr le Président d’avoir parcouru ce document qui démontre que la crise covid est passée dans notre pays. Nous restons à votre entière disposition pour tout complément d’information.

Avec notre respect.

N. Delépine pédiatre cancérologue et G. Delépine chirurgien oncologue et statisticien

 

 

 

 

[1]  Tous les chiffres et courbes publiés sont authentiques. Les données sont les données officielles publiées par l’OMS que chacun peut vérifier en tapant OMS Covid Dashboard suivi du nom du pays. Les courbes ne font que traduire graphiquement les données OMS ; elles ont été pour la plupart publiées par OurWorldinData et peuvent également être retrouvées en tapant OurWorldinData covid suivi du nom du pays en anglais

[2] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est défectueux. Le confinement n’a aucune base scientifique (lemediaen442.fr)

[3] Le réseau sentinelle officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la population

La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante publique France, le Centre national de référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et le             laboratoire de virologie de l’Université de Corse Lire la suite

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Lettre ouverte aux députés et sénateurs appelés à voter le 19 oct 2021 la prolongation injustifiée de « l’état d’urgence »

par Nicole et Gérard Delépine, médecins

INJUSTIFIÉE, car épidémie terminée

« Le gouvernement présentera un texte de loi au Parlement le 19 octobre pour “maintenir pendant plusieurs mois encore, jusqu’à l’été, la possibilité de recourir” au pass sanitaire, a précisé Gabriel Attal, au cas où la situation sanitaire venait à se dégrader. Il sera débattu à l’Assemblée nationale mercredi 19 octobre sous l’intitulé Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire. “On demande au Parlement de nous laisser la possibilité de déclencher tout ou une partie des mesures de freinage”a expliquéle ministre de la Santé Olivier Véran mercredi matin, interrogé sur France Info. Ainsi, le recours au confinement, au couvre-feu et autres mesures de restrictions serait également possible jusqu’au 31 juillet 2022. »[1]

Dans ce texte, le porte-parole reconnaît lui-même que l’épidémie est terminée.

Pourquoi une procédure accélérée alors que l’épidémie est terminée dans notre pays ?

 

À vous, nos représentants élus, nous demandons solennellement de nous rendre nos libertés fondamentales et à ne pas céder à l’autoritarisme de l’exécutif

 

Vous avez pu constater que la France livrée aux décisions arbitraires du gouvernement reposant sur un conseil de défense sortant de la limite constitutionnelle, n’a eu que des résultats très décevants, parmi les plus mauvais mondialement, y compris en Europe. La Suède tant décriée pendant de longs mois par nos médias a conservé l’essentiel des libertés avec finalement un taux de décès inférieur au nôtre de 20 % (1478/Million d’habitants contre 1760/M), sans confinement, sans fermeture des écoles, de la vie, sans masque, sans vaccination obligatoire, sans victimes collatérales et sans perte majeure de son PIB (-2,5 % contre 8,5 % en France) etc.

 

Il est temps que les décisions législatives vous reviennent et que les propositions de loi puissent être discutées avec le temps nécessaire sur des dossiers étayés de données avérées.

Comme beaucoup de professionnels de santé, nous sommes d’ailleurs à votre disposition pour toute information objective basée sur les chiffres de l’OMS et des agences sanitaires nationales. Nous nous permettons de vous apporter ici quelques précisions quant à l’absence de justification médicale de ce pass qui aggrave la situation sanitaire, là où il est encore imposé.

 

LE PASSE DIT SANITAIRE, LIBERTICIDE, N’A AUCUNE JUSTIFICATION MÉDICALE, CAR LE PASS AUGMENTE LES CONTAMINATIONS

 

Les données avérées internationales prouvent que le pass est médicalement nocif

Quelques pays européens ont imposé le pass à leur population depuis plus de trois mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que le pass, loin de ralentir les contaminations, entraîne une augmentation de celles-ci. Les courbes actualisées en ce 15 octobre 2021 le démontrent une nouvelle fois.

 

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22.

 

La Grèce a imposé le passe en espérant ainsi rassurer les touristes et sauver sa saison touristique.

Malheureusement l’obligation du pass a été suivie par la multiplication par 4,5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %).

Mais aussi la population, car depuis le pass la mortalité a été multipliée par 2.

 

 

 

La Tchéquie a instauré le pass début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

 

En Roumanie le pass a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Cette envolée des contaminations a été suivie quelques jours plus tard de l’explosion de la mortalité quotidienne alors qu’elle est proche de zéro dans les pays sans passe comme le Suède, la Biélorussie, la Croatie, la Belgique…

 

Au Danemark, la mise en route du pass a été suivie par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.) Depuis lors, le Danemark a supprimé le pass.

 

Ainsi dans tous les pays champions du pass, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations et souvent de la mortalité quotidienne.

 

L’échec du pass a été également constaté dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un pass.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur pass sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters d’apparaître. Malgré le pass sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

Comment peut-on expliquer ces échecs avérés du pass partout où il est utilisé ?

 

Le concept (officiel) du passe repose sur l’hypothèse que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

 

 

Les porteurs de pass, victimes de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec pass aux Pays-Bas comme en Catalogne. Cette pratique favorise les infections, en s’opposant par ailleurs à l’immunité collective acquise pendant la vie « normale » comme le démontre l’absence de contaminations des pays libres comme le Texas. Les matches avec grande foule n’y déclenchent aucun cluster, comme les énormes manifestations en Europe où les peuples se libèrent du pass et du masque le plus souvent, retrouvant un écosystème normal.

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le pass, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie, de la Croatie et leur situation sanitaire actuelle est bonne.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne entraînant d’énormes réactions populaires comme en Italie dans de nombreuses villes, et le blocage des ports italiens.

 

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le pass l’accélère et la pérennise et donc qu’il est donc urgent, ne serait-ce que pour des raisons sanitaires, de le supprimer.

POURSUIVRE LA SURVEILLANCE PAR LE PASS EST UNE DÉCISION EXCLUSIVEMENT POLITIQUE ET LIBERTICIDE

L’épidémie est terminée comme en atteste quotidiennement et depuis des mois le réseau sentinelle. Il n’y a plus d’épidémie ! G. Attal l’a confirmé !

Comme l’a établi Laurent Toubiana, l’épidémie est terminée depuis fin novembre 2020 Depuis cette date, le taux d’incidence, le seul fiable, celui du Réseau sentinelles a été sans discontinuer ridiculement bas. Cette semaine, il est de 3 cas/100 000 h :

« Surveillance de la Covid-19 :

la semaine 40 (2021s40), le taux d’incidence des cas d’IRA[2] dus au SARS-CoV-2 (Covid-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants, ce qui représente 2 181 nouveaux cas de Covid-19 ayant consulté un médecin généraliste.

Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s39 : 3 [2 ; 5], soit 2 247 [1 425 ; 3 069] nouveaux cas d’IRA dus à la Covid-19 vus en médecine générale). »[3] Ce taux est établi à partir d’examens cliniques, non faussé à partir des tests PCR non fiables.

LA DISCUSSION DE L’OPPORTUNITÉ DE LA PROLONGATION DE L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE EST PUREMENT POLITIQUE

Et la liberté du gouvernement de légiférer via décrets en toute impunité et sans contrôle parlementaire, comprenant la poursuite de l’exigence du pass, ne relève en aucun cas de santé, de sanitaire, mais exclusivement de politique, avec privations de liberté.

Ces sujets ont déjà largement été débattus : le pass conduit à une discrimination en matière de droit à la liberté de mouvement, jouissance d’autres droits et libertés fondamentaux, tels que, le droit au respect de la vie privée et familiale ou encore le droit à la liberté de réunion.[4]

Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen :

« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

« La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6).

La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

Ne doutons pas que les tribunaux soient déjà inondés de plaintes pour discrimination et en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique, dite vaccin, encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes. Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’état, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

Le droit international érigeant un principe de non-discrimination

Le pass s’oppose donc à ce droit reconnu par la France. L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

« La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ».

Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

« Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

Le Défenseur des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21. Fondamentalement, il remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent.

 

Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté

dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ».

Cette question soulevait de nombreuses questions de respect des droits de l’homme et devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

Cette position trouve un écho dans sa résolution 2351 « Vaccins contre le Covid-19 : considérations éthiques, juridiques et pratiques », qui présentait comme élément permettant de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins le fait « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ».

Cette mesure liberticide, présentée par le gouvernement comme libératrice a des relents orwelliens suscite une opposition grandissante semaine après semaine. Comme le dit l’économiste Éric Verhaeghe :

« la mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’État donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. »[5]

À quoi correspond cette volonté du gouvernement de prolongation du pass en l’absence d’épidémie comme le prouve le réseau sentinelle, sinon à une extorsion de consentement à la pseudo vaccination et à la troisième dose et les suivantes ?

« le gouvernement s’occupe de contraindre les personnes encore non vaccinées de le faire : ce vendredi 15 octobre a marqué la fin du remboursement des tests PCR et antigéniques de confort. “Les tests ne seront payants que pour les personnes qui ne sont pas du tout vaccinées et qui n’ont pas d’ordonnance”, a expliqué Olivier Véran sur France Info le 13 octobre. De plus, les autotests négatifs réalisés sous supervision médicale ne sont plus reconnus comme preuve d’obtention du pass sanitaire. »[6]

UNE EXTORSION DE CONSENTEMENT AUX PLUS FAIBLES

Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse. La transparence sur les contaminations post vaccinales et l’existence niée de formes graves chez les vaccinés ainsi que les effets secondaires relatés par les agences paraît indispensable auprès de vous, nos représentants. Est-ce le cas ? Et que justifie une nouvelle fois une « procédure accélérée » alors que le gouvernement lui-même reconnaît « la baisse de la circulation du virus » ?[7]

CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS

pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles. Il semble que la commission des lois aille dans ce sens et nous félicitons ses membres.

« Pass Sanitaire : Les Députés Desserrent Momentanément Le Dispositif En Commission Des Lois » C.M. avec AFP Le 15/10/2021

Le projet de loi « vigilance sanitaire » sera-t-il rétabli à sa version initiale le 19 octobre lors de son passage en séance à l’Assemblée ?

« Momentanément, les députés ont allégé vendredi les conditions de mise en œuvre du controversé pass sanitaire, prenant ainsi le gouvernement à rebrousse-poil, avant le passage du projet de loi “vigilance sanitaire” dans l’Hémicycle, mardi » Contre toute attente, les députés, qui examinaient cet énième texte sur l’état d’urgence sanitaire en commission des Lois, ont adopté un amendement du député La République en marche (LREM) Pacôme Rupin, opposant de longue date à cet outil qu’il juge « dangereux » pour les libertés publiques. »

L’amendement de Pacôme Rupin, adopté de justesse par 8 voix contre 7, prévoit de circonscrire l’utilisation du pass sanitaire géographiquement et en fonction de l’évolution de l’épidémie de Covid. Il propose que le recours au pass soit territorialisé et qu’il ne puisse être mis en œuvre qu’en cas de taux d’incidence supérieur ou égal à 50, sur une semaine continue, dans le département concerné.

« Il est important de mettre des critères. On ne peut pas laisser une totale faculté au gouvernement d’utiliser cet outil sans un minimum de règles. Je pense qu’on peut avancer, peut-être pas sur celui-là (son amendement adopté, NDLR) mais sur un encadrement un peu plus strict », a déclaré Pacôme Rupin.[8]

Ceci est déjà un premier pas, mais bien sûr nous espérons, de vous, nos élus, une récupération totale de nos libertés, la suppression de la loi d’urgence qui comme le montre la disparition de l’épidémie, n’a plus aucune légitimité sanitaire.

Merci de votre écoute.

Avec nos respects.

 

  1.  L’internaute.com Sarah Ponchin, Mis à jour le 15/10/21 PASS SANITAIRE. Une troisième dose de rappel du vaccin Covid-19 sera-t-elle bientôt obligatoire pour tout le monde afin d’avoir un pass sanitaire valide ? Le gouvernement pourrait l’envisager à long terme.[]
  2.  IRA : insuffisance respiratoire aiguë, non spécifique du Covid[]
  3. https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/[]
  4. Pass sanitaire : l’équilibre délicat entre libertés et protection de la santé publique | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) []
  5. Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) []
  6. Pass sanitaire : bientôt une troisième dose pour tous ? (internaute.com) []
  7.  De l’aveu même du porte-parole de l’Elysée, l’épidémie est terminée et toutes ces mesures existeraient, car : « Gabriel Attal a martelé qu’il existait toujours un “risque non négligeable de reprise de l’épidémie”. Actuellement c’est plutôt une épidémie de tuberculose qui se profile pourtant…[]
  8. https://www.bfmtv.com/politique/parlement/pass-sanitaire-les-deputes-desserrent-momentanement-le-dispositif-en-commission-des-lois[]

 

Joignez nos représentants !

sénateurs :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs

députés :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes

membres des cabinets Ministériels :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin

4 Agences de presse:

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse

Merci aux sénateurs qui ont rejeté la proposition de loi Jomier en commission.

Cette Proposition de loi du groupe socialiste veut rendre obligatoire pour les enfants la vaccination contre le SARS-Cov-2. Elle sera soumise à nouveau au Sénat, le 13 octobre.

Comme médecins, nous sommes affligés qu’un confrère puisse proposer une telle mesure contraire à l’état réel de la science, au principe de précaution et au serment d’Hippocrate : « d’abord ne pas nuire ».

  • Peut-il ignorer que les enfants sains ne peuvent en espérer aucun bénéfice personnel ?
  • Ignore-t-il que les enfants ne constituent pas un facteur réel de contamination ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre ?
  • Ignore-t-il que l’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux ? Et qu’obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée ?
  • Ignore-t-il que ces traitements représentent un danger réel pour les enfants avec déjà des morts ?

RAPPEL DES FAITS ETABLIS

Les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections

D’après Santé publique France, 7 à 10 enfants meurent chaque année de la grippe saisonnière contre laquelle le vaccin antigrippal n’est pas indiqué, sauf chez ceux qui souffrent de lourdes comorbidités.

Durant l’année 2020, on a recensé en France 4 décès d’enfants attribués au Covid et tous souffraient auparavant de pathologies lourdes. Cette bénignité du Covid chez l’enfant sain est confirmée par toute la littérature mondiale et toutes les sociétés de pédiatrie.

Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel de cette pseudo vaccination même si elle était parfaitement efficace.

Les enfants ne constituent pas un facteur réel de transmission du Covid

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.[1][2][3]

L’étude de l’INSERM[4] est très démonstrative. L’enfant des Contamines, en contact alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

L’étude de l’institut Pasteur[5] sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Aucun des enfants malades pendant qu’il fréquentait l’école n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans a conclu : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19 (alors qu’ils représentent 20,7 % de la population). Seulement 0,6 % des hospitalisations et aucun décès signalé concernaient des enfants de moins de 18 ans. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et aucun enfant de moins de 12 ans n’a été le premier infecté de la famille.

En Irlande,[6] avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie[7] 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées dont 1 élève du primaire potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse[8]: sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, seulement 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

De même, la persistance ou la reprise des activités scolaires n’ont été suivies nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 20 mois d’épidémie et plus de 235 175 106 cas (au 6/10/2021) confirmés de Covid-19, après analyse des publications internationales référencées par PubMed (plus de onze mille sur Covid et enfant), aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré.

Alors pourquoi certains, niant les faits établis, prétendent que la vaccination des enfants serait utile pour contrôler le Covid ? La vaccination des enfants ne peut pas protéger les aînés. 

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre

L’exemple des pays champions de la vaccination montre que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper, ni de transmettre la maladie. Depuis l’apparition du variant Delta, les reprises de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés, souvent plus fortes que les poussées précédentes, montrent que même une couverture vaccinale très élevée ne protège ni les vaccinés ni les autres.

L’inefficacité de l’injection Pfizer à empêcher la diffusion de la maladie est démontrée dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné. L’exemple d’Israël est à cet égard démonstratif.

Le 5 août dernier, sur Channel 13 TV News, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog de Jérusalem déclarait : « 95 % des patients sévères sont vaccinés » et « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

L’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires

Mais Monsieur Bernard Jomier feint de l’ignorer lorsqu’il récite sa croyance en la pseudo vaccination en essayant de tromper ses collègues sénateurs en prétendant que la pseudo vaccination serait le « seul moyen d’atteindre une protection collective suffisante », et de « transformer l’épidémie en un phénomène à bas bruit avec d’éventuelles résurgences saisonnières, tout en conciliant l’impératif de protection de la santé publique et un traitement égalitaire de nos concitoyens » dans la conclusion de son rapport à ses collègues.

Il reconnaît que « le variant Delta, avec son plus haut degré de transmissibilité, a changé la donne et nécessite désormais un taux d’immunité de la population (vaccinale ou acquise après infection) compris entre 90 % et 95 % ». Mais il fait semblant d’ignorer qu’un tel taux de couverture vaccinale ne pourra pas être atteint en France et que les représentants de nombreuses agences sanitaires majeures de pays qui ont atteint ce niveau d’injection en ont reconnu l’échec de l’espoir d’immunité collective par les pseudo vaccins.

 

Ainsi en Islande où devant la recrudescence de l’épidémie malgré un taux d’injection dépassant 93 %

L’épidémiologiste en chef, Orólfur Gudnason déclarait : « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte. » pendant que le directeur de l’hôpital universitaire national Páll Matthiasson affirmait « Cette pandémie et d’autres sont là pour rester » « Nous devons renforcer le système de santé pour qu’il ne soit pas toujours au bord de l’effondrement ».

Ainsi en Grande-Bretagne championne de l’injection Astra Zeneca qui n’a pas évité une récidive majeure de l’épidémie depuis juillet 21 :

Le chef de l’Oxford Vaccine Group et l’un des pères du vaccin AstraZeneca, Andrew Pollard a déclaré devant les députés « L’immunité collective n’est qu’un mythe »

À Singapour comme à Hong Kong, l’échec cuisant de la vaccination a fait revoir la stratégie sanitaire officielle passant de l’objectif « zéro Covid par la vaccination » au « vivre avec ».

En France, le professeur Fischer chargé de la vaccination qui affirmait il y a quelques mois qu’on atteindrait bientôt l’immunité collective par la vaccination se montre maintenant beaucoup plus prudent.

« Si l’immunité de groupe peut être atteinte ou non, je ne sais pas, c’est devenu un challenge très ambitieux que je ne trancherai pas »

Il n’y a plus guère que Bernard Jomier et un quarteron d’académiciens probablement trop liés à l’industrie pharmaceutique et/ou mal informés pour croire encore au contrôle de l’épidémie par les pseudo vaccins Covid.

Les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux

Pour le vérifier, il suffit de consulter le site officiel américain clinicaltrials.gov qui montre que la fin des essais phase 3 n’est pas attendue avant 2023.

Or obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée. Cette convention d’Oviedo ne fait que transcrire dans la loi internationale, la déclaration d’Helsinki élaborée par l’Association Médicale Mondiale après le procès des médecins de Nuremberg condamnant certains d’entre eux à la pendaison pour avoir administré des traitements expérimentaux (pour la moitié des candidats vaccins) sans le consentement libre et éclairé des intéressés.

Ces traitements expérimentaux représentent un danger réel, particulièrement pour les enfants et adolescents

Les péricardites post vaccinales ont été signalées pour la première fois en Israël depuis plusieurs mois. Comme cette maladie est naturellement exceptionnelle chez l’enfant le lien de causalité est hautement probable.

Depuis lors, une étude américaine réalisée à partir du VAERS a montré dès juin 2021 que les garçons en bonne santé âgés de 12 à 17 ans présentaient un taux d’hospitalisation dû à une inflammation cardiaque plus élevé après leur deuxième vaccination ARNm Covid-19 que le taux d’hospitalisation attendu pour le Covid-19 dans ce groupe d’âge.

Une analyse par le CDC (l’autorité américaine de Santé) des rapports d’inflammation cardiaque signalés après l’administration du vaccin Covid-19 l’a confirmé et cette complication des pseudo vaccins est maintenant inscrite dans la notice d’utilisation de ces médicaments aux USA. Rappelons la gravité de cette complication qui peut aboutir à la mort et lorsqu’elle guérit, peut laisser de lourdes séquelles interdisant les efforts prolongés comme la pratique des sports et annulant tout espoir de carrière sportive professionnelle.[9] La guérison rapide et définitive est un mensonge. Des accidents neurologiques divers ont également été rapportés depuis plusieurs mois (paralysie faciale, cécité, certes rares, mais inacceptables pour une maladie sans risque chez l’enfant sain.

 

 

 

Les données récentes de septembre 2021 chez les enfants soumis au pseudovaccin confirment ces premières indications et sont très inquiétantes aux USA[10]

Et à nouveau cette information tragique : les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles[11]

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Il y a également eu 1 614 décès fœtaux enregistrés à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin contre le Covid-19, bien qu’aucune femme enceinte n’ait participé à un seul essai clinique pour aucun des vaccins anti-Covid 19.

Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe

Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?

Les dernières données VAERS publiées le 10 septembre 2021 montrent également comment les enfants qui ont un risque pratiquement nul de souffrir d’une maladie grave due au Covid-19, souffrent des vaccins Covid-19.

Il y a eu 21 décès, 77 incapacités permanentes, 2 019 visites aux urgences, 942 hospitalisations et 165 événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans en raison des vaccins contre le Covid-19.

 

De plus, les vaccins contre le Covid-19 ont causé 21 fois plus de décès, près de 8 fois plus d’incapacités, 40 fois plus de visites aux urgences, 36 fois plus d’hospitalisations et 18 fois plus d’événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans que tous les autres vaccins disponibles combinés (depuis le début des injections antiCovid).

Une autre recherche dans la base de données VAERS pour la thrombose (caillots sanguins), un effet secondaire connu des vaccins Covid-19, montre qu’il y a eu 91 rapports contre les vaccins Covid-19 chez les ados de 12 à 20 ans jusqu’au 10 septembre 2021.

La même recherche pour tous les autres vaccins disponibles montre que seulement 4 cas de thrombose ont été enregistrés. Cela signifie que les cas de thrombose sont 23 fois plus élevés chez les adolescents qui ont reçu une injection anti-Covid 19.

Et pourtant malgré ces énormes alertes sur l’impact dévastateur sur les adolescents aux États-Unis, la FDA et le CDC sont sur le point d’approuver le vaccin de Pfizer pour une utilisation chez les enfants de plus de 5 ans, le Dr Fauci déclarant même qu’il pourrait être approuvé pour une utilisation chez des enfants aussi jeunes que 6 mois d’ici Noël !

Big Pharma a toujours le pouvoir.

 

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants[12]

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées,[13] et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

 

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

 

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins…

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.[14]

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.[15]

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre[16] selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

 

 

Alors pourquoi en France cette proposition de loi susceptible de mettre en danger nos enfants, après toutes ces informations provenant des sources officielles ?

Mr le Sénateur Jomier et les autres signataires de cette proposition de loi sont-ils à ce point désinformés ? Qui les informe ? Qui sera responsable et coupable ?

Ne représenteraient-ils que des lobbyistes des entreprises du médicament ?

Les antécédents du docteur Jomier dans l’expérience « Paris sans Sida » plaideraient pour cette dernière possibilité.

En 2015-2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » faisant la promotion d’un médicament préventif de GILEAD ; la PrEP.  Dans un article de juin 2017, Hervé Latapie dénonçait certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts.

« La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscriptions onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches…), encarts publicitaires offerts à la presse gay ».

En 2018, l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  Après cinq ans de cette promotion de la PrEP qui a rapporté beaucoup à Gilead, le bilan sanitaire global est très mitigé[17][18]

Gilead ? Toujours Gilead, que personne n’a pu oublier et dont les liens d’intérêt avec les anti Raoult, médecins de plateau permanents et les promoteurs du tragique Remdesivir ont constitué un des feuilletons de l’année 2020. 

EFFETS INDÉSIRABLES RELATÉS PAR LES AGENCES OFFICIELLES DES THÉRAPIES GÉNIQUES

Quelques éléments complémentaires à leur fournir ainsi qu’à tous les candidats à la présidentielle tragiquement silencieux alors que ces drames se jouent sous leurs yeux

En UE selon le site officiel de l’agence européenne du médicament[19]:

Tableau comparatif des Myocardites déclarées sur Eudravigilance pour les 12-17 ans et les 12-17 ans complètement vaccinées en France complètement superposables.

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE

Plus de 26 000 décès reconnus par l’agence et plus d’un million d’accidents notés comme graves par EudraVigilance. Un tel risque, une fois connu, avec ces sources officielles est — il acceptable surtout chez les jeunes qui ne risquent rien du Covid ?

Et comme aux USA, le nombre de décès post Vax antiCovid a flambé depuis les injections antiCovid.

TOUS les décès, pour TOUS les vaccins répertoriés, depuis 2010 dans la base de données de pharmacovigilance européenne EudraVigilance, année par année.

En conclusion, il faut refuser cette obligation chez des enfants en particulier, et exiger un moratoire devant l’accumulation des effets secondaires, dont certains graves, et des décès chez des personnes en bonne santé.

Ceci d’autant plus que l’épidémie est terminée comme le réseau sentinelle le démontre.[20]

 

Merci aux sénateurs qui ont refusé de voter cette proposition de loi contraire aux données actuelles de la science et espérons qu’ils pourront convaincre leurs collègues.

Encourageons— les tous à refuser définitivement cette proposition dangereuse. Chacun a le droit à l’erreur, mais persévérer est diabolique surtout quand il s’agit d’enfants et donc de l’avenir de la nation.

Et tous les politiques de tous les bords devraient s’emparer de ce risque énorme pour les jeunes et s’opposer à ce danger imminent et impossible à nier. Sinon, comment croire à leur intérêt pour les Français et singulièrement sa jeunesse ?

Et nous citoyens, contactons-les par tous les moyens pour les informer et qu’aucun ne puisse dire plus tard « je ne savais pas » !

sénateurs :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs

députés :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes


  1. [1] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the Covid-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ; 109(8) :1525-1530. doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.
    Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review – PubMed (nih.gov) []
  2. [2] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (Covid-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
    A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic – PubMed (nih.gov)
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf[]
  3. [3] Benjamin Lee and William V. Raszka Covid-19 Transmission and Children : The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879 ; DOI :
    COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame – PubMed (nih.gov) []
  4. [4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
    Cluster of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) in the French Alps, February 2020 | Clinical Infectious Diseases | Oxford Academic (oup.com)[]
  5. [5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020
    SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission | medRxiv[]
  6. [6] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of Covid-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ; 25 :2000903.
    No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020 – PubMed (nih.gov)[]
  7. [7] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. Covid-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar[]
  8. [8] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. Covid-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ; 146(2) :
    https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576[]
  9. [9] La myocardite inflammation du muscle cardiaque, péricardite : inflammation des sacs protecteurs entourant le cœur. Les deux sont des conditions extrêmement graves en raison du rôle vital que joue le cœur pour maintenir une personne en vie et du fait que le muscle cardiaque ne peut pas se régénérer. Une myocardite grave peut entraîner un arrêt cardiaque et faire perdre des années à la vie d’une personne.[]
  10. [10] The Covid-19 Vaccines have harmed and killed more children in the USA than all other vaccines combined according to official data (wordpress.com) []
  11. [11] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) []
  12. [12] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) []
  13. [13] Statistics » Covid-19 Vaccinations Archive (england.nhs.uk) []
  14. [14] https://theexpose.uk/2021/10/04/teen-boy-deaths-increased-by-63-percent-since-they-had-Covid-vaccine/[]
  15. [15] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose[]
  16. [16] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose[]
  17. [17] D’après santé publique France l’incidence du sida à Paris s’est stabilisée (en grande partie grâce à l’accroissement sensible du dépistage) mais l’abandon trop fréquent du préservatif par ceux qui se croient ainsi protégés par le PrEP a été suivi par une augmentation de 20 à 30 % des autres maladies sexuellement transmissibles (syphilis, gonorrhée, chlamydia) []
  18. [18] ? []
  19. [19] https://adrreports.eu/fr/[]
  20. [20] Réseau Sentinelles — Semaine 39[]

L’immunité « vaccinale » anticovid est un mythe

Depuis le début de la crise sanitaire, l’exécutif français a prétendu que les traitements précoces étaient inefficaces, imposé des restrictions majeures à nos libertés, en particulier de prescription des médecins,[1] et a promis que la vaccination obtiendrait l’immunité collective, la sortie de crise et le retour à une vie normale.

Mais l’échec permanent depuis 18 mois de cette stratégie sanitaire fondée sur des simulations fausses, des mensonges innombrables, des promesses jamais tenues, la propagande de la peur et l’extorsion du consentement à la vaccination par les chantages aux libertés de circuler, d’avoir des loisirs et de travailler, devient insupportable.

Les vaccins actuels qu’ils veulent nous imposer sont-ils efficaces ? Peuvent-ils aboutir à une immunité collective ou n’est-ce qu’un mythe ? Pour y répondre, nous ferons le bilan sanitaire actuel des pays les plus vaccinés d’après les chiffres fournis par l’Organisation Mondiale de la Santé et les courbes de OurWorldinData.

 

Mortalité record à Gibraltar champion des injections Astra Zeneca

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020 alors que l’agence sanitaire recensait dans ce pays seulement 1040 cas confirmés et 5 morts attribués au covid19. Après une campagne de vaccination éclair très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols), le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 5 (passant à 5314) et celui des morts par 19. Atteignant 97, soit 2853 morts par million d’habitants, ce chiffre constituant l’un des records européens de mortalité. Mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal sans proposer une autre étiologie plausible. Et après une accalmie de quelques mois, l’épidémie reprend confirmant qu’une couverture vaccinale à 115 % ne protège pas de la maladie.

 

Malte : une couverture vaccinale de 84 %, mais tout aussi inefficace

Malte fait partie des champions européens des pseudo vaccins : dans cette île de 500 000 habitants, près de 800 000 doses ont été administrées assurant une couverture vaccinale de près de 84 % avec un recul d’environ 6 mois.

Mais depuis début juillet 2021, l’épidémie est repartie et les formes graves (mortelles) augmentent forçant les autorités à reconnaître que la vaccination ne protège pas la population et à imposer des restrictions.

 

Là aussi la récidive de l’épidémie de cas et de la mortalité prouve qu’un taux élevé de pseudovaccination ne protège pas la population.

 

En Islande, on ne croit plus à l’immunité collective vaccinale

Dans ce petit pays de 360 000 habitants, plus de 80 % d’entre eux sont primo-vaccinés et 75 % ont un cycle vaccinal complet. Mais à la mi-juillet 2021, les nouvelles contaminations journalières sont passées d’une dizaine à environ 120, avant de se stabiliser à un taux supérieur à celui de la période pré vaccinale. Cette récidive brutale a convaincu l’épidémiologiste en chef de l’impossibilité d’obtenir l’immunité collective vaccinale « C’est un mythe » a-t-il publiquement déclaré.

 

Belgique : récidive de la maladie malgré la vaccination

En Belgique, près de 75 % de la population est primo-vaccinée. Et 65 % des habitants disposent d’un cycle vaccinal complet. Cependant, depuis fin juin 2021, le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes est passé de moins de 500 à près de 2000. Comme le reconnaît la RTBF, face au variant Delta, la vaccination actuelle est loin d’être suffisante pour protéger la population.

Singapour abandonne l’espoir du « Zéro Covid » par les injections géniques

Ce petit pays est lui aussi très vacciné et près de 80 % de la population a au moins reçu une dose. Mais depuis le 20 août 2021, il doit faire face à une reprise exponentielle de l’épidémie avec une hausse des cas passés d’une dizaine en juin à plus de 150 fin juillet et à 1246 cas le 24 septembre.

 

Cette récidive incontrôlée de la maladie malgré la vaccination a fait abandonner la stratégie de l’éradication du virus pour un modèle de « vivre avec le virus » en essayant de traiter la maladie « comme la grippe ».

 

Au Royaume-Uni : remontée inquiétante des contaminations

Le Royaume-Uni constitue le champion européen de la pseudovaccination Astra Zeneca avec plus de 70 % des habitants primo-vaccinés, et 59 % disposant d’un schéma vaccinal complet. Ce taux élevé de « vaccination » n’a pas évité une explosion des cas au début de l’été, avec, à la mi-juillet jusqu’à 60 000 nouveaux cas quotidiens.

Devant cette reprise importante de l’épidémie malgré la vaccination Andrew Pollard, représentant de l’Oxford Vaccine Group, a reconnu devant le parlement : « l’immunité collective par le vaccin est un mythe ».

 

 

 

Cette reprise des infections s’est accompagnée d’une reprise des hospitalisations, des cas graves et des décès. D’après le rapport officiel d’août,[2] les décès sont plus fréquents chez les malades complètement vaccinés (679) que chez les non-vaccinés (390) démentant ainsi cruellement les espoirs d’un effet protecteur du vaccin sur la mortalité.

 

Après la levée des dernières restrictions sanitaires, une décrue de l’épidémie a été observée avec un niveau de moins de 30 000 cas par jour alors que début juillet des simulations d’épidémiologistes covid terroristes prophétisaient jusqu’à 100 000 nouveaux cas quotidiens en cas de suppression des mesures sanitaires.

Israël : catastrophe post-vaccinale évidente niée par les responsables

Israël, champion de l’injection Pfizer, jadis partout cité en exemple d’efficacité est actuellement durement rappelé à la réalité et représente maintenant le modèle de l’échec vaccinal.

70 % de la population est primo-vaccinée, et près de 90 % des personnes à risque ont un cycle vaccinal complet. Mais l’épidémie est repartie plus forte que jamais depuis fin juin et plus de 11 000 nouveaux cas ont été enregistrés en 1 jour (le 14 septembre 2021) dépassant de près de 50 % les pics observés en janvier 2021 lors de la poussée qui a suivi les premières injections Pfizer.

 

Cette reprise de l’épidémie malgré les injections Pfizer s’accompagne d’une hausse des hospitalisations où les vaccinés représentent la majorité des personnes hospitalisées.

La « vaccination » ne protège pas non plus des formes graves ni de la mort.

 

 

Fin juillet : 71 % de des 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) étaient totalement vaccinés !

Cette proportion de malades graves vaccinés est très supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées : 61 %. Prétendre que le vaccin protège des formes graves de la maladie, comme le déclara imprudemment le ministre de la Santé israélien, est une erreur (ou une désinformation ?).

Pour ne pas reconnaître ses erreurs, le gouvernement israélien reste dans le déni de cet échec patent et continue à ne proposer que l’injection répétitive comme solution. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’il suive l’exemple de l’Inde ou du Japon et qu’il adopte enfin les traitements précoces ?

Conclusions

Les pseudo vaccins actuels sont trop peu efficaces. Ils ne préviennent ni les récidives de l’épidémie, ni les hospitalisations, ni les formes graves, ni la mort. En Israël et en Grande-Bretagne qui précisent le statut vaccinal des victimes, les vaccinés souffrent d’un sur risque de mortalité par rapport aux non-vaccinés.

La poursuite d’une politique uniquement vaccinale aboutit à une impasse mortifère alors que les pays qui conseillent officiellement (Inde) les traitements précoces ou qui laissent leurs médecins les prescrire (Japon, Corée) s’en sortent beaucoup mieux.

Qu’attendent nos autorités sanitaires pour cesser de croire en des simulations fausses réalisées par des épidémiologistes trop liés aux entreprises des vaccins, regarder les faits avérés et interrompre leur campagne pro vaccinale mensongère et délétère et recommander les traitements précoces ?

La poursuite de l’interdiction des traitements précoces par les médecins traitants entraîne une perte de chances pour de nombreux malades et engage directement la responsabilité du gouvernement et singulièrement du ministre de la Santé.


  1. [1] Pour la première fois depuis 2500 ans…[]
  2. [2] SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England Technical briefing 21
    Published August 2021 Public Health England Gateway number : GOV 9374 20 August 2021[]

NB :

tous les chiffres et courbes publiés dans cet article sont authentiques. Les données sont les données officielles publiées par l’OMS que chacun peut vérifier en tapant OMS Covid Dashboard suivi du nom du pays. Les courbes (que j’ai commentées en rouge) ne font que traduire graphiquement les données OMS ; elles ont été pour la plupart publiées par Ourworldindata et peuvent également être retrouvées en tapant Ourworldindata covid suivi du nom du pays en anglais.

Quant à l’immunité collective espérée par les pseudovaccins Covid elle est, depuis l’apparition du variant delta, reconnue comme inatteignable par la quasi-totalité des spécialistes de la planète et plusieurs l’ont déclaré officiellement (Islande, Grande-Bretagne). D’ailleurs même Monsieur le Pr Fischer qui en a fait longtemps la promotion n’ose plus se prononcer sur le sujet.

Que les vaccins n’empêchent pas d’être contaminant est parfaitement établi, ne serait-ce que par l’explosion récente de 100 cas de covid en quelques jours parmi les 1200 membres d’équipage tous complètement vaccinés depuis plus de 3 mois à bord du porte-avions Queen Elizabeth. D’ailleurs monsieur Veran l’a officiellement reconnu dans sa réponse au Conseil d’État fin mars 2021.

Que les vaccins n’empêchent pas de faire une forme grave et même d’en mourir est affirmé par les expériences israélienne et anglaise.

Que le passe sanitaire ne protège pas des contaminations a été malheureusement affirmé par ses échecs (lorsque l’épidémie sévissait encore début juillet) après de nombreux concerts avec passe qui ont été suivis de poussée épidémique aux Pays-Bas et en Catalogne et par la multiplication par 20 en un mois des contaminations journalières après l’instauration d’un passe en Autriche.

Je vous signale également que tous les chiffres et courbes cités dans tous nos articles proviennent de sources officielles et sont sourcés.

Gérard Delépine

 

Les simulations, alibi pseudo scientifique   truqué  de la vaccination des enfants

 

Volet 2 de l’analyse des simulations-prédictions au cours de la crise covid :

 Le scandale de la fermeture des écoles et des dommages infligés aux enfants

 

Depuis plus de 18 mois, la politique sanitaire française ne s’appuie pas sur les faits constatés dans le monde réel, mais uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement fausses, et faussées, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif, nous faire accepter la perte de nos libertés et nous imposer les pseudo vaccins.

Dans un article précédent, nous avons démontré les erreurs (ou trucages ?) invraisemblables du rapport 9 de Ferguson (Imperial college ) de mars 2020 qui a servi de prétexte aux confinements,  et des articles fallacieux  écrits ultérieurement pour les justifier.[1]

Dans ce second volet nous rappellerons les données de la littérature internationale qui montrent que l’enfant ne participe pas à la transmission du covid19 et que toutes les mesures qui lui nuisent sont inutiles sur la maladie.

 

 

Les enfants sont innocents du Covid et ne transmettent pas la maladie

La fermeture des écoles imposée par la majorité des gouvernements, occidentaux en particulier de la planète, repose seulement sur la foi et/ou à l’obéissance  en des simulations dont le modèle a été élaboré pour la grippe (où les enfants représentent effectivement un vecteur important de transmission).

Mais pour le covid 19, la littérature internationale montre que l’enfant est complètement innocent de la transmission.

Toutes les études épidémiologiques réalisées au début de l’épidémie prouvent qu’il est rarement atteint, que lorsque cela arrive c’est à domicile par l’intermédiaire d’un parent proche, qu’il fait des formes bénignes [2] [3] et qu’il ne transmet pas la maladie[4] [5] [6] [7] [8] [9] [10] [11] [12] [13] [14] [15] [16] [17], sauf exceptionnellement à ses parents, à domicile.

Le professeur Robert Cohen, pédiatre très pro vaccin précise : « les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Il n’y a donc aucune raison scientifique de conseiller la vaccination des enfants dans l’espoir de protéger la population plus âgée, d’autant plus que les vaccins actuels n’empêchent pas les transmissions, que l’immunité obtenue après une guérison naturelle est beaucoup plus efficace et durable que celle post injection et que plus aucun scientifique indépendant de l’industrie des vaccins ou des gouvernants qui tentent de l’imposer ne croit encore que l’immunité collective puisse être obtenue par la vaccination.

 

 

Les écoles ne jouent aucun rôle prouvé dans la transmission du covid

Dans sa note du 20 avril 2020, le conseil scientifique reconnaissait : « Il n’y a pas eu d’épidémie documentée dans les crèches, écoles, collèges, lycées ou  universités à ce jour, en l’état des connaissances actuelles, sauf une dans un lycée en France où le virus a touché 38% des lycéens, 43% des enseignants, et 59% des personnels travaillant dans l’établissement scolaire (Crépy-en-Valois). »

Or la transmission de l’épidémie de Crépy en Valois a été analysée par l’institut Pasteur[18] sans qu’aucune contamination par les enfants n’ait pu être mise en évidence « no secondary cases in the following 14 days among pupils, teachers and non-teaching staff of the same schools ».

Au 17 septembre 2021, malgré 226 844 344 cas confirmés par l’OMS, aucune étude épidémiologique n’a mis en évidence de transmission par des élèves à l’école et partout où les écoles sont restées ouvertes les autorités sanitaires ont constaté qu’il n’y a pas eu de transmission des écoles vers les communautés [19] [20] [21] [22].

De plus si les adultes qui travaillent dans les écoles peuvent être atteints et transmettre la maladie (via d’autres adultes), ils sont moins souvent atteints que les autres professions : « les enseignants ont montré un risque plus faible d’hospitalisation avec covid-19 et de covid-19 sévère) que la population générale [23]. Travailler en milieu scolaire a plutôt un effet protecteur contre le risque covid19.

Les données de surveillance nationale au Royaume-Uni ont montré que le personnel scolaire est moins exposé au risque d’infection en milieu scolaire que la population adulte en général[24].

Une autre étude, portant sur 57.000 personnes s’occupant d’enfants dans des crèches aux États-Unis, a également montré qu’il n’y avait pas de risque accru d’infection pour les personnes s’occupant d’enfants.

La fermeture des écoles et les mesures prétendument sanitaires qui ont été imposées aux enfants n’ont donc jamais eu aucune justification scientifique dans le monde réel.

Le statisticien Ola Rosling a déclaré au podcast « More or Less » de la BBC en juillet 2020 : « Nous avons gardé nos écoles ouvertes et je pense vraiment que tous les pays du monde peuvent le faire ».

Le 27 mai 2020, le premier ministre norvégien Erna Solberg à la télévision, a regretté le coût excessif du confinement pour son pays et s’est demandé si elle n’aurait pas mieux fait de suivre l’exemple de la Suède : « il n’était peut-être pas nécessaire de fermer les écoles ». « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur« , a-t-elle ajouté.

En juillet 2020, l’Agence suédoise de la santé publique et l’Institut finlandais de la santé et du bien-être ont publié une étude conjointe avec, révélant un taux similaire de cas de coronavirus chez les enfants en Suède, qui a maintenu les écoles ouvertes (et n’a pas imposé de masque), et en Finlande, qui les a fermées.

Les écoliers suédois peuvent remercier chaleureusement A. Tegnell et son équipe pour les décisions qui ont sauvé leur année scolaire 2020 et leur équilibre psychologique. Cet épidémiologiste a revu les prédictions de Ferguson, ne les a pas confirmées et son gouvernement l’a suivi à juste raison.

La réouverture des écoles n’a nulle part été suivie par une reprise de l’épidémie que ce soit en Italie[25], en Irlande[26], en Grande-Bretagne[27], en Corée du Sud [28]  ou en Israël [29], contrairement à ce que prévoyaient les simulations et les déclarations alarmantes des covido-terrorisants diffusées en France avant chaque rentrée scolaire.

 

La simulation alarmiste de l’institut Pasteur est totalement biaisée

La rentrée scolaire actuelle est à nouveau la cible de déclarations alarmistes par Gabriel Attal[30] porte-parole du gouvernement, le conseil scientifique [31], B. Lina[32], ou Vittoria Colizza[33], co auteure d’une simulation Pasteur[34] aussi fausse que les précédentes.

 

TENIR COMPTE DES CHIFFRES REELS ET NON D’ HYPOTHESES

Dans cette simulation mathématique, les auteurs ont pris comme hypothèse que les enfants de moins de 14 ans regrouperaient 30% des contaminés alors qu’en réalité ils ne représentaient que 5% des contaminés de la première vague[35] et ne dépassent pas 10 % des contaminés début septembre 2020 .

Cette même simulation est basée sur l’hypothèse que les enfants seraient à l’origine de la moitié des transmissions virales, ce qui est totalement contraire à toutes les analyses des faits avérés et constitue une colossale sur estimation.

Rappelons tout particulièrement l’étude épidémiologique menée par l’Institut Pasteur lui-même dans des écoles de Creil sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. Les modélisateurs de l’institut Pasteur lisent-ils les enquêtes épidémiologiques de leurs collèges ?

Quant au ratio de transmission R, la simulation le fixe à 7 ce qui également notablement plus élevé que ceux observés à l’étranger même pour le variant delta.

La surestimation systématique invraisemblable des trois facteurs clefs de la simulation montre qu’elle a été conçue par ses auteurs pour persuader nos dirigeants que les enfants représenteraient un facteur important de transmission et que leur vaccination pourrait diminuer ce risque.

 Ce n’est pas une étude scientifique mais un pur article de propagande covid terrorisante, destinée à faire injecter des vaccins aux enfants qui ne peuvent en aucun cas en tirer un bénéfice personnel alors qu’ils peuvent souffrir de graves complications post vaccinales dont les myocardites.

Cette prépublication de l’institut Pasteur, à ce jour toujours non examinée par des pairs, a pourtant inspiré à nouveau les décisions du conseil scientifique et de nos gouvernants.

 

LE PASTEUR GATE

Pour juger de la valeur de cette profession de foi catastrophe qui constitue un véritable « Pasteur Gate », il suffit de comparer sa prédiction (un pic de 5 200 hospitalisations quotidiennes, bien au-delà de la première ou de la seconde vague) à la situation réelle actuelle d’une moyenne de 350 hospitalisations quotidiennes et en baisse constante depuis un mois. Quinze fois plus !

Cette publication et la médiatisation dont elle a immédiatement bénéficiée[36] constitue une illustration du phénomène des propagandistes professionnels déguisés en leur rôle de scientifiques pour servir la fonction de fabrication du consentement pour les politiques gouvernementales. De la même manière,  tout au long de la pandémie, les médias grand public alarmistes ont généralement fait du plaidoyer politique plutôt que du journalisme.

 

La situation sanitaire actuelle ne justifie aucune des mesures qui briment les enfants et induisent de nombreux troubles physiques et psychologiques

La situation sanitaire Covid globale est en effet en constante amélioration en France depuis août avec un nombre de nouveaux cas quotidiens actuels inférieure à 7000, soit 8 fois moins par million d’habitant qu’en Israël et quatre fois moins qu’en Grande-Bretagne champions historiques de la pseudo vaccination massive.

 

 

Et cette amélioration globale se marque aussi sur le nombre d’hospitalisations quotidiennes actuelles inférieure à 350, (soit 4 fois moins par million d’habitants qu’en Israël et deux fois moins qu’en Grande-Bretagne),

 

et sur le nombre quotidien d’admissions en soins intensifs (-50% en un mois) qui est très proche de celui d’Israël à la population 8 fois moins élevée.

 

 

Cette amélioration globale se ressent tout particulièrement chez les enfants que le Covid a totalement abandonnés ainsi que le montre le dernier graphique du réseau sentinelle

« La semaine dernière (2021s36), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients de 0-14 ans consultant pour une insuffisance respiratoire aigüe était de 0% 

 

 

 

 

 

Les restrictions des activités scolaires et le port obligatoire du masque par les enfants et les menaces d’obligation vaccinale des enfants en France constituent donc bien des brimades dogmatiques contraires à l’état actuel de la science basé sur les faits avérés. Les dégâts qui en résultent sont malheureusement bien réels et considérables.

 

Les mesures sanitaires ont infligé des dommages considérables aux enfants

Difficultés d’apprentissage du langage dues au masque, décrochage scolaire massif en particulier des enfants défavorisés, démotivation des élèves et des enseignants, problèmes psychiques parfois très graves, confirmés dans de nombreux services d’urgences pédopsychiatriques (dont des suicides d’enfants très jeunes inconnus jusqu’ici),

« l’école à distance a provoqué beaucoup de dégâts en termes de santé mentale » dit le pédiatre François Angoulvant. Il ne fait d’ailleurs que répéter ce que toutes les sociétés de pédiatrie affirment depuis le premier confinement.

Didier Jourdan, titulaire de la chaire UNESCO et Directeur du centre collaborateur OMS Education et Santé constate[37] : «  la fermeture des écoles dans le cadre du confinement a eu un impact sur la santé mentale et physique des enfants, principalement pour les plus vulnérables d’entre eux car fermer les écoles c’est limiter l’accès à des repas équilibrés, à des services sociaux et sanitaires etc. Le confinement influence également l’éducation en termes de pertes d’apprentissage pour les enfants et d’accroissement des inégalités… »

La poursuite d’études après le secondaire aux États-Unis a baissé de 6,8 % du fait de la crise sanitaire, mais avec des écarts majeurs en fonction du niveau socioéconomique. La baisse est de 11,4 % pour les plus vulnérables contre 2,9 % pour les plus favorisés. En tout état de cause, la fermeture des écoles aura un impact durable sur les enfants.

L’agence statistique norvégienne a été la première au monde à souligner les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles[38] [39] :  « chaque semaine de fermeture des classe  freine les chances de vie et réduit de façon permanente le potentiel futur de revenus ».

La Royal Society a estimé que : « les enfants britanniques pourraient perdre 40000 £ de leurs gains potentiels à vie à moins que les gouvernements britanniques ne puissent réparer les lacunes d’apprentissage causées par la fermeture des écoles »[40].

Après avoir nuit aux enfants par des mesures scientifiquement et médicalement injustifiées, les lobbyistes des marchands de pseudo vaccins veulent les exposer aux complications de leurs injections expérimentales qui ne peuvent leur apporter aucun bénéfice individuel (ni collectif), avec pour seul argument des simulations mathématiques truquées.

Battons-nous pour les protéger de cette ignominie.

[1] RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA « PLANDEMIE » COVID – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020.

[3] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9

[4] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648

[5] Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2

[6] Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 Avril; 382 (14): 1370-1371

[7] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

[8] Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com

[9] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020;146(2): https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576

[10] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-

[11] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020 004879; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

[12] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America

[13] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020

[14] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287

[15] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.

[16] ] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020

[17] Francesco Nunziata Aucune propagation du SRAS-CoV-2 des enfants symptomatiques infectés aux parents : une étude de cohorte prospective dans un milieu hospitalier contrôlé Pédiatre 3 août 2021; 9:720084.doi: 10.3389/fped.2021.720084. Collection électronique 2021.

[18] Ibid 13 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.06.25.20140178v2

[19] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available: https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/ children-and-covid-19

[20] FR24 Seulement 0,01% des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers 24 aout 2020   https://www.fr24news.com/fr/a/2020/08/seulement-001-des-ecoles-touchees-par-des-epidemies-de-coronavirus-apres-la-reouverture-et-aucun-enfant-na-eu-besoin-de-soins-hospitaliers.

[21]. Tadatsugu Imamura  Rôles des enfants et des adolescents dans la transmission du COVID-19 dans la communauté : une analyse rétrospective des données nationales au Japon Pédiatr., 10 août 2021 | https://doi.org/10.3389/fped.2021.705882

[22] https://www.theguardian.com/education/2020/aug/23/covid-outbreaks-in-english-schools-uncommon-says-phe

[23]Fenton L, Gribben C, Caldwell D, Colville S, Bishop J, Reid M, White J, Campbell M, Hutchinson S, Robertson C, Colhoun HM, Wood R, McKeigue PM, McAllister DA. Risk of hospital admission with covid-19 among teachers compared with healthcare workers and other adults of working age in Scotland, March 2020 to July 2021: population based case-control study. BMJ. 2021 Sep 1;374:n2060. doi: 10.1136/bmj.n2060. PMID: 34470747; PMCID: PMC8408959.

[24] ONU info https://news.un.org/fr/story/2021/01/1087212

[25] Lucie Barcellini La réouverture des écoles affecte-t-elle la séroprévalence du SRAS-CoV-2 chez les enfants d’âge scolaire à Milan ? PLoS Un  2 sept. 2021 ; 16 (9) : e0257046.

doi: 10.1371/journal.pone.0257046. Collection électronique 2021.

[26]  Dong Y, Mo X, Hu Y, Qi X, Jiang F, Jiang Z, et al. Épidémiologie du COVID-19 chez les enfants en Chine. Pédiatrie. (2020) 145 : e20200702. doi: 10.1542/peds.2020-0702

[27] Un rapport du gouvernement britannique a révélé que lorsque les écoles ont rouvert en Angleterre et au Pays de Galles pendant l’été, les taux d’infection parmi les élèves n’ont pas augmenté par rapport au taux de la population existante.

[28] Une étude menée en Corée du Sud a montré aussi qu’il n’y avait pas eu d’augmentation des cas de Covid-19 dans les deux mois ayant suivi la reprise des cours en mai 2020

[29] Shirley Shapiro Ben David COVID-19 chez les enfants et effet de la réouverture des écoles sur la transmission potentielle aux membres du ménage Acta Pédiatre Septembre 2021;110(9):2567-2573. doi: 10.1111/apa.15962. Publication en ligne du 22 juin 2021.

[30] https://www.france24.com/fr/france/20210902-covid-19-faut-il-s-attendre-%C3%A0-une-flamb%C3%A9e-des-cas-avec-la-rentr%C3%A9e-scolaire

[31] https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-pourquoi-la-rentree-scolaire-fait-craindre-une-reprise-epidemique-01-09-2021-6T3MMDOOIZDJTDYJEOJBVGK35Q.php

[32] Le professeur Bruno Lina, virologue, membre du conseil scientifique, affirme jeudi 2 septembre sur franceinfo que la rentrée scolaire « amène un risque supplémentaire de reprise épidémique »

[33] «  les mineurs pourraient représenter presque 50% des cas en septembre ».

[34]P Bosetti1, C Tran Kiem,, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations: a modeling study applied to France 2021.

[35] D’après un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies

[36]M Blachier La 4ème vague va arriver (C News) basée sur la simulation de Pasteur

[37] https://www.thinktankcraps.fr/la-fermeture-des-ecoles-a-un-impact-durable-sur-les-enfants/

[38] https://fr.businessam.be/norvege-le-confinement-netait-pas-necessaire-pour-gerer-le-covid-19/

[39] COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai 2020

https://www.fhi.no/contentassets/c9e459cd7cc24991810a0d28d7803bd0/notat-om-risiko-og-respons-2020-05-05.pdf

[40] ht tps://www.fr24news.com/fr/a/2020/07/les-enfants-britanniques-pourraient-perdre-3-de-leurs-revenus-a-vie-en-raison-des-fermetures-decoles

 

RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA PLANDEMIE  (pandémie planifiée) COVID

 

VOLET 1

Les erreurs du rapport 9 de Mars 2020 de Neil Ferguson, justification fallacieuse des confinements

Depuis plus de 20 mois, la politique sanitaire française est décidée dans le plus grand secret[1] par le « conseil de défense » appuyé par un « conseil scientifique. Ce dernier est dominé par Simon Cauchemez, mathématicien modélisateur au sein de l’Institut Pasteur et élève de Ferguson de l’Imperial College.

La politique de santé s’appuie presque uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement frauduleuses, car basées volontairement sur des hypothèses du pire, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif et nous faire accepter la perte de nos libertés et la pseudo vaccination génique inefficace.

 

La folle prophétie de Neil Ferguson qui a justifié le confinement de Mars 2020 était fausse

Détaillée dans le rapport 9 de l’impérial College[2], cette simulation catastrophe prétendait que sans confinement les hôpitaux seraient partout débordés et qu’on compterait 500000 morts en France, comme en Grande Bretagne, 600000 en Allemagne, 70000 en Suède et 2 millions aux USA. Elle affirmait aussi que les mesures médicales traditionnelles (fermeture des frontières et isolement des seuls malades le temps qu’ils ne soient plus contagieux) ne serviraient à rien, qu’il fallait confiner à l’aveugle la population jusqu’à fin décembre 2021 pour imposer les futurs vaccins et/ou nouveaux traitements.

 

La plupart des gouvernements occidentaux ont pris ou voulu prendre cette prophétie pour une vérité et imposé à leurs populations des mesures liberticides contre- productives, telles que le confinement aveugle sans même en avoir vérifié la pertinence de la méthode de calcul, ni publié ce rapport préalablement à son application, empêchant ainsi toute discussion scientifique et tout débat démocratique.

 

La confrontation aux faits constatés révèle la supercherie de cette simulation

Le rapport 9 avait prédit qu’en l’absence de confinement la Suède verrait ses hôpitaux submergés et compterait 70000 morts en quelques mois. La Suède n’a pas confiné, ses hôpitaux ont pris en charge tous les malades qui en avaient besoin et après 19 mois d’épidémie (au 10/9/2021), comptait, d’après l’OMS, 14602 morts. La prophétie de Ferguson surestimait par plus de 500% le risque réel !

Même chose pour l’Allemagne.

La prophétie de N Ferguson prétendait qu’en l’absence de confinement de la population, « les mesures médicales classiques de quarantaine des malades seraient inefficaces, que les hôpitaux seraient débordés et qu’on compterait plus de 600000 morts ». L’Allemagne n’a jamais été confinée, au sens que ce mot a en France a rappelé Thomas Wieder, correspondant du  Monde dans ce pays. Au 10/9/2021 après 19 mois d’épidémie l’Allemagne comptait 92 553 morts attribuées au Covid. Là encore la prophétie de Ferguson a surestimé le risque réel par plus de 500% !

 

Une de ses élèves, Jasmine M GARDNER [3], a même prédit que sans confinement total et strict, la Suède compterait 100000 morts au 1/7/2020. En réalité au 1/7/2020, selon les données de l’OMS, la Suède sans confinement ne comptait que 5496 décès attribués au Covid (19 fois moins).

A ce niveau d’erreur on ne peut plus croire à une simple bévue, mais vraiment qualifier ce texte de « propagande Covid terroriste » d’autant que sa large diffusion dans les médias suédoises a largement participé à une tentative de pression sur l’agence sanitaire pour l’obliger à confiner.

 

Ces simulations ne traduisaient donc ni la réalité ni la science, mais constituaient seulement de mauvais scénarios de film catastrophe destinés à nous terroriser. En témoignent les hypothèses retenues pour son modèle : des index de mortalité par infection, multipliant par 2 à 3 les chiffres réels dans les différents groupes d’âge (pour les 10-19 : 0,006% au lieu de 0,002% et pour les 20-29 : 0,03% au lieu de 0,01%) et une forte surestimation du taux de reproduction R. En surestimant ces paramètres clefs de la simulation, Ferguson et ses élèves ont obtenu les prévisions apocalyptiques désirés par Bill Gates qui les finance, et les gouvernements qui obéissent.

 

 

La surestimation des risques est une constante des prédictions de Ferguson et une technique bien rodée des imposteurs

Lors d’un de mon premier stage d’interne en neurochirurgie, mon maître m’expliqua comment se créer une aura de sauveur. « Devant cette petite tumeur du cerveau facilement opérable, ne dis surtout pas aux parents qu’elle est facile à opérer, car en cas d’accident opératoire imprévu, ils pourraient porter plainte. Au contraire explique-leur qu’il s’agit d’une mauvaise tumeur, mal placée et que seule une chirurgie très difficile peut sauver le malade. Si un accident survient, ils ne se plaindront pas. Et si tout se passe bien, ils te considéreront comme le sauveur capable de chirurgie extraordinaire ».

Apparemment cette technique est utilisée par l’équipe de l’Imperial College. Ils prophétisent un futur apocalyptique et proposent « la solution ». Si leurs prédictions ont suffisamment surestimé le danger, ils pourront, après la crise, prétendre, que c’est grâce à l’application des mesures qu’ils ont proposées que la situation a évolué plus favorablement que ce qu’ils avaient prévu.

Les religions reposent sur la foi et le caractère immuable des crédos que personne ne peut discuter sans être qualifier d’hérétique.

La démarche scientifique, basée sur le doute fertile, consiste au contraire à confronter en permanence les faits observés aux hypothèses dominantes. Lorsque les faits avérés ne sont pas compatibles avec les hypothèses, celles-ci doivent être abandonnées. Mais l’équipe de l’Imperial College, dirigée par N. Ferguson ne tire pas de leçons de ses erreurs et se comporte en gardienne d’une nouvelle religion dont les dogmes sont indiscutables, plutôt qu’en scientifique désireuse de reconnaître et d’élucider les paradoxes.

 

Les erreurs passées de Ferguson très nombreuses ont été dommageables

En 1997, lors de la maladie de la vache folle, N. Ferguson avait prédit jusqu’à 150 000 morts en deux décennies. Vingt ans plus tard, en janvier 2017, on ne comptait que 223 victimes humaines dans le monde (dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France).

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante.

En 2005, N. Ferguson prophétisait qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait tuer de 5 à 150 millions de personnes dont 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 45.

En 2009, lors de la grippe H1N1, Ferguson avait prédit 8000 morts au Canada : il y en eut 428. En France, il avait prédit 20000 morts, il y en eut 323 (soit environ trente fois moins qu’une grippe habituelle).  Les mesures sanitaires prises en France sur la foi de cette prédiction fausse nous ont couté deux milliards d’euros et le vaccin Pandemix hâtivement mis sur le marché a été responsable de nombreux accidents neurologiques graves dont 450 narcolepsies sur l’ensemble de l’Europe, dont plus de 60 cas en France et d’une perte de confiance de la population dans les vaccins et en la parole publique.

Ces surestimations considérables des risques des maladies constituent une donc une caractéristique constante des prédictions de l’Imperial College. Mais Ferguson comme beaucoup de prophètes sait, que pour imposer ses mesures, il faut faire peur et donc prédire des cataclysmes. Si l’évolution est moins catastrophique qu’annoncée, il pourra alors s’en attribuer le mérite.

 

De nouvelles simulations bidons pour glorifier le confinement

De nombreuses études[4] rétrospectives d’auteurs indépendants des modélisateurs et des responsables des confinements ont évalué l’effet des mesures de confinements sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a démontré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie, qu’il s’agisse de l’étude danoise sur le Nord Jutland[5]   de l’étude néo- zélandaise[6] , de l’étude anglaise[7] , des analyses indiennes[8] [9], des études allemandes[10] [11], croate[12], des études des pays d’Europe occidentale[13]  et de toutes les autres études internationales basées sur les faits avérés[14] [15]dont celle particulièrement exhaustive de John PA Ioannidis [16].

Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont ceux d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle qui n’analysent pas les faits constatés, et espèrent ainsi s’exonérer de leurs responsabilités. Ils comparent leurs prévisions colossalement exagérées aux mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement du grand nombre de « morts évitées ».

Le mécanisme frauduleux de leurs études bidon a été  dévoilé dans un article de Nature[17], dans lequel les auteurs de l’Imperial College prétendaient ainsi avoir sauvé 3,1 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement.

Ils ne savaient apparemment pas que les Suédois n’ont jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai 2020 prouvait seulement que les prévisions de l’Imperial College surestimaient par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que si l’Allemagne ne confinait pas totalement, elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020.

L’Allemagne, qui n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué la technique classique d’endiguement, ne comptait, au 5 mai 2020, que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement qui n’a pas été pratiqué !

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour prétendre que la chloroquine était dangereuse. Dans cette publication fallacieuse, ce « Nature Gate », il n’y a pas eu fabrication de données mais le refus de regarder la réalité des mesures sanitaires réellement utilisées pour se glorifier des erreurs de la prophétie initiale ; il est très étonnant qu’aucun membre du comité de lecture de cette revue Nature, de bonne réputation, ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique[18] prétendant que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement.

Les erreurs de conception, le choix d’hypothèses péjoratives et les conclusions fausses de cette étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques, mais les médias mainstream en ont très peu parlé alors que la simulation biaisée de propagande avait été très largement diffusée.

 

Aucune de ces publications glorifiant les confinements n’a chiffré les dégâts considérables que les confinements ont causés sur le plan sanitaire (victimes collatérales des retards et absences de traitements, problèmes psychiatriques), scolaire et universitaire, économique (perte de PIB, aggravation des dettes publiques et du chômage), sur l’aggravation de la pauvreté dans les pays riches et de la faim dans les pays pauvres[19].

Certains auteurs estiment que les pertes d’années de vie causées par ces mesures tyranniques sont dix fois plus importantes que celles causées par le Covid19 seul.[20]

Toutes ces complications du confinement, étaient parfaitement prévisibles d’emblée, par tout médecin habitué à évaluer la balance Avantages/Risques des traitements qu’il propose. Le traitement des épidémies, comme les autres maladies, ne doivent pas être décidés par des astrologues mathématiciens ou des épidémiologistes qui ne quittent pas leurs bureaux[21] mais par des médecins qui traitent des malades !

 

Les simulations mensongères constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

Il ne faut pas se laisser abuser par l’aspect pseudo scientifique de ces simulations de circonstances que la propagande terrorisante du gouvernement nous impose. Elles ne sont pas plus fiables et beaucoup plus dangereuses que celles des astrologues traditionnels. Il est grand temps d’abandonner cette politique sanitaire délétère basée sur la peur et de la réorienter selon les règles de la médecine classique, d’après les faits avérés du monde réel.

[1] Aucun compte rendu détaillé des discussions tenues lors des réunions du conseil scientifique n’a été publié mais seulement des résumés d’avis ; pour le conseil de défense sanitaire c’est pire : manque de transparence  dans sa composition, contournement du Parlement, délibérations classifiées secret-défense obstruant le travail des enquêteurs de la Cour de justice de la République sur la gestion de la pandémie.

[2] COVID-19 Response Team Neil M Ferguson Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to

reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College https://doi.org/10.25561/77482 Page 1 of 20

[3]Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on

Swedish healthcare capacity https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf

 

[4] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »

[5] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936

[6] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.

[7] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020

https://arxiv.org/abs/2005.02090

[8] ] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[9] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260

[10]Thomas Wieland Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au COVID-19 en Allemagne 2020 novembre; 131: 104924.

doi: 10.1016 / j.ssci.2020.104924. En ligne du 21 juil.2020.

[11] T Wieland  Flatten the Curve! Modeling SARS-CoV-2/COVID-19Growth in Germany at the County Level Volume 7, Number 2, 2020, 43–83 journal homepage: region.ersa.orgDOI: 10.18335/region.v7i2.324l

[12]Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02861011

[13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19  https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;

[14] Philip Thomas Written evidence submitted by Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563

[15]Joseph Stroberg Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28 https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/

[16] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de COVID-19.   Eur J Clin Invest 2021 avril ; 51(4) : e13484. doi: 10.1111/eci.13484. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/

[17] S.Flaxman et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7Nature | www.nature.comAccelerated Article Preview

[18] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).

[19] Confinement et faim dans le monde Du Trends-Tendances du 15/10/2020 « Le confinement a sans doute causé bien davantage de victimes que la pandémie elle-même. »

[20] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.

doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.

[21]Aurélie Haroche, Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie Journal International de Médecine, 25 avril 2020

Les vaccins actuels ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts

 

par le dr G Delépine chirurgien et statisticien médical

 

Chaque jour nous sommes harcelés par la propagande vaccinale qui répète « seule la vaccination peut mettre fin à l’épidémie » « les vaccins sont efficaces contre le variant delta » « une fois la population vaccinée il n’y a plus de risque ».

Ces affirmations sont totalement mensongères. Les vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta, ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts et ne préviennent pas les reprises de l’épidémie. Ils sont incapables de mettre fin à l’épidémie.

Pour s’en convaincre il suffit de regarder les évolutions récentes de l’épidémie dans les pays champions de la vaccination décrites dans les publications de l’OMS (OMS Covid Dashboard) et les courbes de OurWorldinData Covid.

 

En Grande-Bretagne l’épidémie repart malgré l’Astra Zeneca

La vaccination Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion  en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

 

L’incapacité des injections anti-covid à protéger les vaccinés et leurs contacts a été récemment illustrée par l’épidémie de plus de 100 cas qui a touché les 1300 marins du HMS Queen Elizabeth, alors qu’ils avaient tous été complètement vaccinés depuis plus de trois mois.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

 

En Israël, les injections Pfizer n’empêchent pas la reprise de l’épidémie

Même phénomène en Israël où la vaccination a été suivie d’une explosion de cas et de morts pendant deux mois. Après une accalmie de 3 mois, une reprise de l’épidémie qui s’accélère depuis début juillet montre que le vaccin Pfizer est inefficace contre le variant delta.

 

 

En Israël les vaccinés représentent actuellement près de la moitié des nouveaux cas. Et contrairement aux annonces des labos et des gouvernants, recevoir l’injection Pfizer ne protège pas non plus des formes graves : en Israël les vaccinés sont actuellement plus nombreux en réanimation que les non vaccinés : 71% de ces 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) sont totalement vaccinés !

Pire encore, la proportion de malades graves vaccinés est supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées (61%.)

Ces chiffres commencent à faire douter les autorités sanitaires de l’efficacité du vaccin Pfizer. Le gouvernement a réintroduit l’obligation légale de porter des masques dans les lieux publics, deux semaines seulement après son abandon et conseille maintenant une troisième injection aux plus de 60 ans. Lui qui prétendait qu’après deux injections les Israéliens seraient libres et protégés, accuse ses concitoyens d’indiscipline au lieu de reconnaître que le vaccin Pfizer est inefficace. Néanmoins, selon les médias israéliens, le ministère de la Santé a annoncé qu’à partir du 1er août, tout Israélien de plus de 18 ans recevant sa première dose recevra le vaccin Moderna. Aucune explication pour ce changement.

 

Aux Emirats Arabes Unis, champion arabe des injections, celles-ci ne sont pas  plus efficaces

Aux EAU,  la vaccination a débuté en fin décembre 2020 à l’aide de Pfizer et Sinopharm et actuellement plus de 80% de la population a reçu les deux doses de vaccin depuis plus de 3 mois. Mais le nombre de nouvelles contaminations et la mortalité quotidienne restent toujours plus élevés qu’avant la vaccination

 

Avant la vaccination, en 9 mois d’épidémie, les EAU comptaient 197124 cas et  632 morts. Après 7 mois de vaccination, au 1/8/2021, ces chiffres ont plus que  triplé avec respectivement  682377 cas et 1943 morts. Dans ce pays aussi les injections anticovid ne sont pas efficaces.

Dans ces pays champions des vaccins anti-covid, ceux-ci n’ont pas protégé les vaccinés de la maladie, ni empêché les transmissions, ni prévenu les formes graves, ni évité une nouvelle vague d’infections.

Les campagnes de vaccination ont de plus été suivies à chaque fois pendant deux mois ou plus d’une augmentation forte des contaminations et de la mortalité (hécatombe post vaccinale) établissant les records mensuels de nouveaux cas et de morts depuis le début de l’épidémie.

 

 

Catastrophe post vaccinale aux Seychelles

Dans ce petit pays d’environ 100000 habitants les injections anti covid Sinopharm ainsi qu’une version indienne du sérum AstraZeneca ont été administrées à plus de 75% de la population avec des suites franchement délétères.

 

Avant la vaccination débutée en février 2021 les Seychelles recensaient 1243 cas et 3 morts. Six mois après la vaccination, le 2/8/21 elles comptent 18189 cas et 94 morts malgré le confinement et les autres mesures sanitaires qui leur ont été imposées depuis la campagne d’injections anti-covid.

 

Catastrophe post vaccinale en Mongolie

Avant la vaccination débutée le 23 février 2021 la Mongolie avait été épargnée par le Covid et ne recensait que 2723 cas et 2 morts. 5 mois après la vaccination, le 2/8/21 malgré une couverture vaccinale très élevée, supérieure à 65% elle comptabilise 164155 cas et 827 morts.

 

 

 

 

 

 

Catastrophe post vaccinale au Cambodge

Avant la vaccination le Cambodge avait été épargné par l’épidémie et ne recensait aucun mort de Covid. La vaccination a commencé le 7 février 2021. Neuf jours plus tard a été observé le premier décès dont le nombre total atteignait 1442 au 2 aout 2021.

 

Dans ces trois pays, auparavant quasiment indemne de Covid, les injections anti-covid ont exacerbé l’épidémie de manière dramatique

 

Pourquoi les injections anti-covid sont-elles aussi inefficaces ?

Contrairement à ce qui est officiellement raconté, les injections actuelles ne sont pas des vaccins (elles ne contiennent pas d’antigènes viral ni de virus inactivé) mais des injections d’ARN messager. Cette technique n’a jamais été utilisée chez l’homme pour lutter contre des infections et les résultats des essais de phase 3 ne seront pas connus avant 2023. Il s‘agit donc d’un traitement totalement expérimental qui n’aurait jamais dû être commercialisé avant la fin et l’analyse des essais cliniques phase 3 (2023). En population réelle, ils se révèlent trop peu efficaces.

 

L’aggravation dépendante des anticorps[1] [2] [3] [4] peut expliquer les hécatombes post injections

L’explosion précoce des cas et de la mortalité après les campagnes d’injections anti-covid traduit vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants (aggravation dépendante des anticorps ADE) déjà observé dans plusieurs infections virales, notamment le virus de la dengue, et les infections précédentes à coronavirus le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Sa nocivité a été tristement démontrée par la mort de plusieurs centaines d’enfants lors de la catastrophe sanitaire du vaccin Dengvaxia aux Philippines.

L’aggravation dépendante des anticorps (ADEantibody-dependent enhancement) est un large concept qui survient en lien avec certaines infections virales, lors de réinfection ou de primo-infection, en dépit d’une vaccination. Il peut s’agir : d’une « maladie aggravée associée à l’infection (initiale) » (IAEDinfection-associated enhanced disease) ou d’une « maladie aggravée associée à la vaccination » (VAEDvaccine-associated enhanced disease). Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou une faible spécificité de ces anticorps, par exemple lors d’immunité croisée entre deux infections virales.
Ce risque avait été évoqué par l’académie de médecine en janvier 2021[5] : « le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

 

La fuite immunitaire avec l’apparition des variants explique l’incapacité à prévenir les futures rechutes

L’Académie avait averti que la généralisation d’un traitement insuffisamment efficace facilite l’apparition des variants ainsi « au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le Pr Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique dans un article [6] en anglais malheureusement non relayé en France avaient averti : « la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… Au niveau de la population…, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. »

 

Conclusions

L’examen des faits avérés publiés par l’OMS montrent que les injections anti-covid actuelles sont incapables de protéger ceux qui les reçoivent de la maladie, ni des formes graves, ni d’en mourir.

Elles n’empêchent pas non plus la transmission aux contacts. Elles sont inefficaces contre le variant delta et donc incapables de prévenir les récidives des épidémies.

Les campagnes d’injection sont presque constamment suivies par une recrudescence de cas et de morts pendant plus de deux mois.

Comme elles exposent de plus à des complications graves, parfois mortelles comme le montre (entre autres) le site européen chargé de la surveillance des effets secondaires des médicaments dépendant de l’agence européenne, il n’existe aucune justification médicale à les conseiller et encore moins de les imposer directement ou indirectement par l’artifice d’un passe discriminatoire.

 

 

Les irresponsables ne sont pas ceux qui doutent des injections anti-covid expérimentales, mais bien ceux qui veulent les imposer sans attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et refusent de recommander les traitements précoces qui ont fait leurs preuves dans de nombreux pays dont l’Inde.

 

 

[1] Stéphane KORSIA-MEFFRE VACCINS CONTRE LA COVID-19 : DOIT-ON S’INQUIÉTER DU RISQUE DE MALADIE AGGRAVÉE CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES ? 03 novembre 2020

[2] Lee, W.S., Wheatley, A.K., Kent, S.J. et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol 5, 1185–1191 (2020). https://doi.org/10.1038/s41564-020-00789-5

[3] Eroshenko, N., Gill, T., Keaveney, MK et al. Implications de l’amélioration de l’infection dépendante des anticorps pour les contre-mesures du SRAS-CoV-2. Nat Biotechnol 38, 789-791 (2020). https://doi.org/10.1038/s41587-020-0577-1

[4] Ricke DO. Two Different Antibody-Dependent Enhancement (ADE) Risks for SARS-CoV-2 Antibodies. Front Immunol. 2021 Feb 24 ;12 :640093. doi : 10.3389/fimmu.2021.640093. PMID : 33717193 ; PMID : PMC7943455.

[5] Communiqué de l’Académie de médecine : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ? 11/1/21

[6]Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract the Lancet public health 18 février 2021 DOI VOLUME 6, NUMÉRO 4, E199-E200,1 AVRIL 2021 : https://doi.org/10.1016/S2468 2667(21)00036-0

Résumé du diaporama covid. 25/10/2020  Le point sur la situation mi octobre 2020

et visionnez le diaporama en cliquant sur le lien ci-dessous situé en bas du résumé

 

Depuis de la crise du Covid19, les ministères et les médias mentent sur la réalité de la situation afin de créer et d’entretenir une peur panique dans la population, leur permettant d’instaurer un état d’urgence injustifié et de supprimer les libertés publiques qui caractérisent les états démocratiques.

Ce diaporama vise à rétablir la vérité en privilégiant les faits établis publiés par l’OMS et Santé Publique France et les articles scientifiques des revues médicales. Pour que chacun puisse vérifier la véracité de ce que nous affirmons les sources des données sont systématiquement citées.

Ce diaporama s’articule en 10 chapitres principaux :

1°) le covid19 n’est qu’une mauvaise grippe

2°) Les pays asiatiques démocratiques ont vaincu le Covid19 par la technique eb  médicale classique de l’endiguement

3°) La prophétie apocalyptique de N Ferguson a prétendu que seul le confinement aveugle (sans séparer les malades des sujets sains) pouvait éviter la mort de millions de personnes. La comparaison des ses prédictions aux faits observés montre qu’il s’agit d’une colossale erreur, voire d’une manipulation volontaire.

4°) Une propagande massive a terrorisé les populations et les gouvernants occidentaux.

5°) En France le confinement aveugle et la prescription de Rivotril ont considérablement aggravé la mortalité de la maladie.

6°) l’interdiction faîte aux médecins de traiter leurs malades par la chloroquine, et même par antibiotiques est une première historique

7°) Au lieu de reconnaître leurs erreurs, nos gouvernants ont décidé de mesures sanitaires inefficaces qui détruisent l’économie, l’avenir des jeunes et créent des famines mortifères dans les pays pauvres.

8°) La peur panique leur a permis de piétiner les droits de l’homme.

9°) L’épidémie est terminée en Europe, mais ils poursuivent les lois d’exception et des mesures prétendument sanitaire ineptes.

10°) Il est grand temps de se battre pour retrouver nos libertés fondamentales.

Bonne lecture

 

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COVID19 25 10 2020   

 

vous pouvez envoyer vos questions à gerard.delepine@bbox.fr

Non aux reconfinements mortifères, même locaux

 

 

Par le docteur G. Delépine

 

Le confinement aveugle qui nous a été imposé de manière totalitaire représente la plus grande catastrophe dont la France a souffert depuis 75 ans. Ce n’est pas le Covid19 qui est responsable de la majorité des morts observés ni de l’état catastrophique actuel du pays, mais les mesures sanitaires inadaptées[1] et disproportionnées qui nous ont été imposées.

 

 

 

Ne savent-ils pas compter ou veulent ils veulent-ils sciemment nous nuire ?

Une politique se juge à ses résultats. La politique sanitaire française a été particulièrement contreproductive puisqu’elle nous a amené dans le top 6 européen des plus hauts taux de morts par Covid derrière la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la Grande Bretagne et la Suède avec quatre fois plus de morts qu’en Allemagne (490/million contre 114/M) et 25% de plus qu’aux Pays-Bas qui ont laissé leur population libre de ses mouvements, ne pleurent pas de victimes collatérales et bénéficient de perspectives économiques moins catastrophiques que les nôtres.

 

 

Ce confinement aveugle (astreignant à résidence ensemble les malades contagieux et les biens portants contre toute logique sanitaire ) a été directement responsable d’un excès de 25000 morts [2][3] attribuées au covid19, de 25000 à 30000 morts collatéraux supplémentaires (survenues ou à venir) par arrêt des soins des autres pathologies, d’une aggravation des violences familiales, des pathologies psychiatriques, d’un décrochage scolaire massif[4], d’une fracture sociale sévère[5] et de la plus grave crise économique [6] depuis la dernière guerre mondiale.

Ce bilan catastrophique du confinement ne perturbe apparemment pas le lobby de la terreur qui prône en permanence de le réimposer, sans qu’un débat démocratique ne puisse avoir lieu dans les médias, car les opposants sont le plus souvent exclus.

Ainsi J F Delfraissy, président du Conseil scientifique n’exclut pas un re confinement local[7]. » ni Esther Duflo vante les mérites d’une organisation « sereine » d’un re confinement. Ni Jérôme Marty, président du syndicat de l’Union française pour une médecine libre (UFML) qui estime que  » ce qu’il risque d’arriver c’est un re confinement total, comme ils vont le faire au Royaume-Uni à la Toussaint » ni Christine Rouzioux qui croit que les mesures prises par le gouvernement n’étaient pas assez drastiques et prophétise  » les hôpitaux seront pleins très rapidement et seront submergés.

Le Canard Enchainé a récemment dévoilé le scénario de l’Elysée des confinements locaux prévoyant dans certaines régions avec le passage possible à l’état d’urgence sanitaire. Apparemment, pour eux, quand une mesure a été catastrophique il faut la réutiliser !

L’absence de débat, les mensonges permanents inversant les versions, les chiffres faux et différents selon les sources officielles diverses créent la confusion mentale des citoyens et l’impossibilité totale de comprendre. Ce n’est pas être uniquement de l’incompétence, mais évoque plutôt l’application d’une technique totalitaire bien éprouvée et décrite depuis des lustres, même si elle peut utiliser des incompétents, ou naïfs ou ignorants pour la mettre en œuvre avec le plus grand naturel.

 

Comment avions-nous fait auparavant lors des grandes pandémies modernes ?

Depuis la guerre de 40-45, deux autres épidémies majeures (grippe asiatique et grippe de Hong Kong) ont fait plus de victimes que le Covid19 en France et dans le monde. Elles n’ont justifié ni l’état d’urgence, ni la suspension de nos droits fondamentaux et n’ont pas causé les dommages colossaux que nous constatons actuellement tant pour la société, que pour l’éducation et l’économie.

Et plus récemment en janvier 2017 la grippe banale a tué près de 14000 français. Les médias en ont peu parlé et la vie a continué, normalement. Car la vie est une maladie sexuellement transmissible, en permanence exposée aux dangers, et constamment mortelle…

 

Comment ont fait les pays qui ont vaincu le Covid19 ?

Après la Chine, quatre pays ont affronté le Covid19 avec succès et sans confinement en reposant leur stratégie sur les méthodes traditionnelles de lutte contre les pandémies le contrôle des frontières et l’isolement des malades (la quarantaine de 15 jours).

 

Prophéties mathématiques mensongères et faits constatés dans le monde réel

 

De nombreux articles ont vanté les mérites du confinement aveugle à la française en prétendant, comme les prophéties de Ferguson, qu’il ralentirait le rythme des contaminations, éviterait la surcharge hospitalière, permettant ainsi aux autres malades d’être soignés et d’hospitaliser nos ainés qui en auraient besoin.

En comparant les morts recensés à leur prophéties initiales, ils ont même prétendu avoir sauvé 60000 français et 3 millions d’européens. Leur méthode réside à comparer leur prédiction catastrophique (multipliant par 10 à 20 le nombre des morts attendus) au nombre réellement observé et à s’attribuer le mérite d’avoir grâce à leur recommandation, sauvé la différence.

Leur trucage est évident lorsqu’on analyse l’article où ils se vantent d’avoir sauvé 3 millions d’européens[8] ; dans leur « extended data tableau 1 », ils donnent leurs résultats pays par pays au 4 mai 2020.

 

 

 

Pour la Suède, ils constatent le faible nombre de décès observés (2769), le comparent à leur estimation initiale sans confinement pour cette date (28000) et affirment alors avoir sauvé 26000 suédois, grâce au confinement.

Malheureusement pour eux, les suédois n’ont jamais confiné, démontrant ainsi que les prophéties de Ferguson et ses élèves majorent par dix le risque réel, qu’ils ignorent les politiques sanitaires appliquées par les pays « étudiés » et que leur « vies sauvées » virtuelles ne constituent en réalité que la mesure de l’erreur de leurs estimations.

Il est triste de constater que cet article, grossièrement erroné, a été publié dans la revue Nature jadis réputée pour son sérieux.

 

Les conséquences dramatiques du confinement aveugle dans le monde réel.

Echec contre le Covid19

L’examen des courbes de contamination observées montre que l’astreinte à domicile (ou dans leur Ehpad), ensemble malades et biens portants, n’a pas ralenti le rythme des contaminations en France, comme dans les pays voisins qui ont appliqué cette technique moyenâgeuse.

 

 

 

En Belgique, la propagation de l’épidémie a même été franchement accélérée par le confinement aveugle ainsi que le montre la comparaison des courbes de contaminations en Belgique (confinée) et aux Pays-Bas (non confinés).

 

 

L’accroissement du risque de contamination par le confinement aveugle vient d’ailleurs d’être confirmé par une étude espagnole[9] démontrant, sur des tests sanguins, que les personnes qui n’étaient pas confinées ont été moins infectées que les personnes confinées.

 

 

Cette accélération des contaminations explique l’augmentation de la mortalité dans tous les pays qui ont confiné à l’aveugle. La comparaison des courbes de mortalité entre la France et l’Allemagne (qui n’a pas confiné aveuglément mais pratiqué des quarantaines ciblées est éloquente :

 

Le confinement aveugle pratiqué en France a été suivi d’une considérable augmentation de la mortalité Covid19 contrairement à l’Allemagne

 

Le confinement aveugle est de plus responsable d’environ 30000 victimes supplémentaires actuelles/futures par défauts de soins

Le confinement s’est accompagné du plan blanc réservant la quasi-totalité des moyens hospitaliers au Covid, imposant un arrêt de toutes les activités médicales hors Covid, interdisant toutes les interventions chirurgicales nécessaires aux malades ordinaires. Ce plan blanc a laissé de très nombreux hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et a conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radio etc.

 

En Ile-de-France, le confinement a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé[10].

Or les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt (en général et à bon escient) et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance menacent la vie des malades à court ou moyen terme.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard …) dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

 

Malades aigus déjà morts du confinement

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière affirme que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer des dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Une étude de l’Inserm[11] menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

 

Malades chroniques abandonnés

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale. Des patients fragiles, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les soins en cancérologie désorganisée par les ARS

Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation. Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure. Ce sont les ARS qui ont bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et exigeant qu’on les remplace par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Pays perdu dont les médecins transformés en robots doivent obéir à des administratifs. Il semble bien que cela recommence puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre un nouveau plan blanc alors que le nombre de morts par covid (supposé) est dix fois inférieur à celui de mars au plus fort de l’épidémie.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie comme on l’a vu, de neurologie, d’endocrinologie, rhumatologie, d’insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de les chiffrer précisément avant des années, d’autant qu’il faudra aussi additionner l’excès de morts par suicide à venir à la suite du choc post traumatique subi. Comme nous l’avons déjà écrit la deuxième vague sera psychiatrique.[12]

 

Maladies nouvelles diagnostiquées et traitées avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations observée a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

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380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le plan blanc 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer mais ce chiffre semble être descendu de moitié. L’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne : « pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer”, explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès.”

Si on ajoute les morts prévisibles des autres pathologies, le bilan mortifère du plan blanc s’élève actuellement pour la France à plus de 25000-30000 morts.

 

Au total 25000 morts du Covid19 qu’on aurait pu éviter, 25000-30000 victimes collatérales par défaut de soins soit un total de plus de 50000 victimes du confinement. Ces estimations ne constituent que des minimas auxquels il faut ajouter celles des violences familiales, de l’explosion des pathologies psychiatriques et des suicides, d’une fracture sociale inédite entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées), une catastrophe éducative (avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent pas les autres enfants ni les adultes.

 

Les victimes de la crise économique parfois lointaines et ignorées

La crise économique du confinement s’annonce d’une ampleur inégalée depuis 1945 avec une diminution prévue de plus de 10% du PIB, des dépôts de bilan qui s’accumulent et le chômage reparti vers des records historiques.

La famine sévit déjà en France, où le nombre de pauvres a bondit de plus d’un million et ou les restaurants du cœur doivent faire face à des affluences record. De plus en plus de mamans témoignent : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et je ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

En Afrique l’aggravation de la famine dû à la crise économique du confinement va entraîner, plus d’une centaine de millions de morts d’après l’ONU et le programme alimentaire mondial contre la faim[13] .

 

Une Crise démocratique majeure sans équivalent depuis la dictature de vichy. Le gouvernement de la France qui prétend donner des leçons de démocratie au monde est dirigée depuis plus de six mois sous un état d’urgence plus autoritairement que Taiwan, la république de Corée ou Singapour dont les taux de mortalité Covid19 sont près de 100 fois inférieurs au nôtre, qui ne déplorent pas de victimes collatérales et dont les dégâts économiques s’annoncent deux fois moindres.

La poursuite de prétendues mesures sanitaires dont l’efficacité n’a jamais été prouvée contribue à aggraver la panique et à détruire l’économie.

Reconfiner priverait à nouveau inutilement nos enfants de leur éducation et ferait tellement de dégâts à notre économie déjà très malade que notre capacité à financer sur le long terme notre système de santé et d’autres services publics serait sérieusement entamée.

 

Que peut-ton faire ?

L’opposition – et pourquoi pas des députés et sénateurs de la majorité conscients de foncer dans le mur, et les grands médias doivent cesser d’être à la remorque du gouvernement et adopter une attitude critique constructive sans concession.

Les résultats réels catastrophiques du confinement français doivent être rappelés et dénoncés de même que la prolongation de l’état d’urgence et des mesures sanitaires totalement inutiles, voire nocives (port du masque toute la journée à haut risque d’infection) qui bloquent l’économie avec des normes fantaisistes jamais validées par aucune étude scientifique et des évictions de personnels non malades dont le seul tors a été de se faire tester.

Le Premier ministre norvégien E Solberg a reconnu à la télévision nationale Le 27 mai dernier. « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur » « fermer des écoles et des jardins d’enfants, faire travailler tout le monde à domicile ou limiter les rassemblements à un maximum de cinq personnes a été excessif » C Stoltenberg, directrice de l’Institut norvégien de santé publique a confirmé « le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19. ». Le président Macron se grandirait en reconnaissant, comme elle, avoir agi par peur d’une prophétie catastrophe manipulatrice.

Une politique sanitaire efficace doit être fondée sur l’expérience médicale des pays qui ont vaincu la maladie et pas sur des prédictions mathématiques qui se sont toutes révélées totalement fantaisistes. Plutôt que de prendre modèle sur la Chine, nous aurions dû méditer l’expérience de Taiwan, qui a démontré que « la meilleure façon de contenir le coronavirus n’est pas de mettre en quarantaine les informations sur l’épidémie, mais de les rendre plus faciles et plus pratiques pour personnes à accéder aux informations pertinentes. »

Arrêtons cette propagande de la terreur. Rassurons la population. Mettons fin à cette accumulation de mesures grotesques qui pourrissent inutilement la vie de nos compatriotes et vont achever l’économie.

L’épidémie est terminée et la deuxième vague dont on nous menace depuis quatre mois n’est qu’une vaguelette qui conforte progressivement, grâce aux jeunes, l’immunité collective qui protégera nos ainés comme elle le fait dès maintenant en Suède[14]

 

 

Retrouvons nos libertés pour redresser le pays.

Renforçons le système sanitaire en le libérant du carcan bureaucratique des ARS qui ont montré leur grave pouvoir de nuisance lors de cette crise[15].

Affectons immédiatement plusieurs milliards aux hôpitaux pour qu’ils accroissent leur capacité de réanimation, et l’effectif de leur personnel soignant en augmentant immédiatement d’au moins 300 euros les soignants au contact des malades et en allégeant leurs contraintes administratives. On ne manque pas d’infirmière ni de médecins en France mais leurs conditions de travail en ont dégouté un trop grand nombre ; redonnons-leur le plaisir de traiter les malades et d’être à nouveau utiles.

 

L’OMS lui-même réfute le confinement.

Le Dr David Nabarro a lancé un appel aux dirigeants mondiaux leur demandant d’arrêter « d’utiliser les confinements comme méthode de contrôle principale » du coronavirus. « Les confinements n’ont qu’une seule conséquence que vous ne devez jamais prendre à la légère, c’est qu’ils rendent les gens pauvres beaucoup plus pauvres » « Nous, au sein de l’Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle de ce virus ».

 

 

[1] Aucune des mesures de distanciation sociale qui ont été imposées ne repose sur des preuves scientifiques ni sur une utilisation médicale réussie. Seule la quarantaine a prouvé son efficacité.

[2] Professeur Christian Perronne 16 juin 2020 : « On a eu 30 000 morts en France, j’ai honte pour notre pays. Sur ces 30 000, on aurait pu en éviter 20 000 voire 25 000 »

[3] Par rapport à l’Allemagne qui n’a pas confiné mais pratiqué la prévention classique des épidémies par l’endiguement 24500 morts de trop en France estimation finale Christian Perronne avait vu juste France soir 5 8 2020 http://www.francesoir.fr/covid-19-24500-morts-de-trop-en-france-estimation-finale-christian-perronne-avait-vu-juste

[4] Avec plus de 15% de décrochage scolaire alors qu’on sait depuis avril 2020 que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes

[5] Entre les salariés protégés (fonctionnaires, cadres) et les autres (indépendants, petits commerçants, professions libérales, salariés CDD et employés non déclarés) qui n’ont pas eu de revenus pendant 3 mois alors que leurs charges n’étaient que reportées

[6] Chômage en forte hausse, baisse record du PIB. En France, il est estimé que les faillites d’entreprises devraient croître de 25 %, hausse similaire à ce qui est attendu en Italie et en Belgique. En comparaison, l’Allemagne et le Japon devraient mieux s’en tirer (+10 %) sur cette période.

[7] Le 9 10 au micro de BFM TV

[8] Seth Flaxman Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe Nature

. 2020 Aug ;584(7820) :257-261. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32512579/

[9] : Estudio nacional de sero–epidemiologia de la infection por SARS-COV-2 en Espana. Informe preliminar 13 de mayo de 2020.

[10] Parmi ce décompte de consultations, combien en télémédecine, combien avec examen clinique et contact direct en la présence du médecin et du patient ?

[11] Eloi Marijon*, Out-of-hospital cardiac arrest during the COVID-19 pandemic in Paris, France : a population-based, observational study Lancet Public Health 2020 May 27, 2020 https://doi.org/10.1016

 

[12] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vague-psychiatrique-deja-rude-ne-sera-pas-en-cloche : Les psychiatres ont mis en garde dès le début du confinement sur les effets pervers de l’enfermement chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées mais qui décompenseront. Curieusement, s’il l’on compte chaque jour les quelques patients malades du covid ou supposés tels, les vrais et faux positifs et surtout les consultants pour « angoisse de covid » qui constitue le nouvel indice de « vague », un silence de mort pèse sur le versant psychiatrique de cette crise majeure.

 

[13] D’après D Beasley, patron du PAM Lors d’une visioconférence du 21 avril au Conseil de sécurité de l’ONU

[14] D’après le rapport OMS -weekly-epi-update-9 du 9 octobre la France a compté dans la dernière semaine 110 665 nouveaux cas et 480 morts contre 2804 tests positifs et 5 morts en Suède.

[15] En particulier en refusant l’accès des réas puis de l’hôpital aux pensionnaires des Ehpad, en bloquant les soins et les interventions ordinaires durant le confinement et maintenant, en imposant des tests avant tout traitement ce qui aboutit à retarder inutilement les soins nécessair