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lettre adressée aux députés et sénateurs 19 nov 2020 : informations sur risques des vaccins COVID

les vaccins anticovid qui devraient être mis sur le marché relèvent d’une technique jamais utilisée jusqu’à présent pour fabriquer un vaccin. Elle recourt aux organismes génétiquement modifiés et à l’insertion dans les cellules de l’Hôte d’ARNm dont on ne connait pas le devenir. Selon le principe de précaution, ces vaccins ne devraient être autorisés avant expérimentation longue.

de plus l’intérêt de ce vaccin est très discutable étant la très faible létalité de la maladie, en particulier chez les jeunes et enfants (moins de morts qu’avec la grippe)

 

des juristes ont adressé aux élus de la République la lettre ci-jointe que nous vous demandons de diffuser au maximum à vos maires, conseillers généraux, mais aussi à tout un chacun pour information

 

 

« Le CRIIGEN a réalisé une étude de 10 pages sur les risques considérables que ces nouveaux types de
vaccins ADN recombinés et ARN vont nous faire courir sous prétexte de nous protéger du COVID.
Que va-t-il se passer après l’injection de ces « vaccins » OGM sur le génome de notre organisme, celui
de nos enfants, le vôtre et ceux de votre famille après 6 mois ou 3 ans comme dans l’exemple cidessous sur des enfants, si ces morceaux d’ARN de Moderna ou de Pfizer modifient notre ADN et le
rende fou ? « 

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lettre députés sénateurs 

    2019 Senlis gardasil def du 9 11    

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mise à jour à l’occasion d’un agréable débat à  Senlis de la bibliographie actualisée des effets du Gardasil sur les taux de cancer  du col  de l’utérus. Malheureusement l’effet paradoxal se confirme !

 

 

 

« https://www.youtube.com/watch?v=N7jKp26YGDI

« Le Gardasil censé prévenir l’apparition du cancer du col de l’utérus DOUBLE en fait le risque de déclarer ce cancer chez les jeunes femmes vaccinées.

Les autorités sanitaires françaises veulent rendre ce vaccin obligatoire en dépit des données scientifiques alarmantes que l’on découvre en analysant les registres du cancer des grands pays où la couverture vaccinale est très élevée (Suède, Norvège, Royaume-Uni, Australie).

Découvrez pourquoi les vaccins Gardasil® et Cervarix® sont un danger pour la santé et pourquoi vous devriez refuser ce vaccin anti-HPV et demander au gouvernement français de ne pas le rendre obligatoire en lisant le livre de Nicole et Gérard Delépine :  » Hystérie vaccinale: Vaccin Gardasil et cancer: un paradoxe  » par Jérémie Mercier
https://amzn.to/32Ypgft

 

 

 

FIL du diaporama   7 9 2019 Alix gardasil_ POUR SITE

Gardasil : le vaccin qui augmente le risque de cancer du col.  Sera-t-il le prochain scandale sanitaire mondial ? par Gérard Delépine Chirurgien cancérologue gerard.delepine@bbox.fr

 

Indication officielle du Gardasil : prévenir le cancer du col de l’utérus en ciblant les virus papilloma humain.  Est–ce en bonne voie ?

Pourquoi étudier l’efficacité des vaccins anti HPV contre le cancer du col ? Une propagande mondiale massive mensongère utilise la peur pour pousser les parents à vacciner leurs enfants, n’hésitant pas à les culpabiliser. La révélation des nombreuses complications ne ralentit pas l’hystérie vaccinale

Le president, Mme Buzyn et 50 sociétés savantes, syndicats et associations ~ sponsorisés par l’industrie ont proclamé leur volonté d’imposer la vaccination. En juillet 2018, 8 députés ont deposé un amendement de loi pour rendre cette vaccination obligatoire, et à nouveau sept autres en 2019.

 

DEFINITIONS

Quelques éléments démographiques sur le cancer du col. Ce cancer ne survient jamais avant 15 ans, est rarissime avant 20 ans et rare entre 20 et 25 ans. La vaccination a débuté en 2007, centrée sur les filles de 11-13 ans mais aussi « en rattrapage » celles de 13-18 ans et jusqu’à 26 ans en Australie.

En 2019, les registres du cancer ne donnent que les résultats de 2014-2016. On ne dispose donc que de 7 à 8 ans de recul analysables. Les filles qui avaient plus de 13 ans lors de la vaccination qui dépassent l’âge de 20 ans constituent le groupe témoin privilégié (20-24 ans)

 

L’histoire officielle du Gardasil est un beau conte qui repose sur 5 piliers : 1°) Les cancers du col de l’utérus, de la vulve, du vagin SERAIENT un cancer fréquent et une cause majeure de décès qui menace toutes les femmes. Vous et vos enfants seriez  de plus exposés aux cancers de l’anus et ORL. 2°) Ces cancers SERAIENT dus à quelques souches de HPV (human papilloma virus) (Von Hauser récompensé d’un prix Nobel). 3°) GSK et Ian Frazer ont inventé des vaccins pour vaincre ces cancers.4°)Les essais auraient prouvé que les vaccins SERAIENT efficaces et bien tolérés.  5°) La vaccination devrait faire disparaître ces maux.

 

PREMIERE INTOX : problème majeur de santé publique? Faux en France!   En France métropolitaine LE CANCER DU COL DE L UTERUS représente 1.7% des cancers avec une incidence de 6/100000, ce qui en fait une maladie rare (Une maladie est considérée comme rare par l’OMS lorsque son incidence est égale ou inférieure à 6/100000)

Aux USA, il ne figure même pas dans le graphique des cancers féminins du CDC, pourtant très pro gardasil) avec incidence de 7/100000 (contre 124/100000 pour cancer du sein).

En France,il est responsable de 0,6% de la mortalité par cancer avec une mortalité de 1,8/100000.  Depuis la pratique des frottis moins de 1000 décès annuels lui sont imputables (contre > 5000 auparavant). Ces décès touchent majoritairement (70% à 80%) les femmes qui ne se font pas dépister selon les recommandations(1 fois / 3 ans à partir de 25 ans)

L’OMS, ministère et laboratoires pharmaceutiques utilisent la mauvaise situation sanitaire des pays sous développés pour créer la peur dans la population des pays riches (ceux qui peuvent payer ce vaccin hors de prix). La carte OMS montre qu’il n’est un problème de santé publique majeur uniquement dans les pays qui n’utilisent pas le dépistage par frottis.

 

 

Comment évaluer l’effet de la vaccination sur le risque de cancer invasif ?  Pour évaluer réellement l’effet d’une action préventive de santé publique, il faut examiner l’évolution de l’incidence de la maladie dans la population générale et dans les groupes soumis à cette prévention. Et non pas utiliser des critères substitutifs (infection, anomalies cytologiques bénignes) dont la valeur n’a jamais été testée dans le cadre d’une vaccination et encore moins sur un échantillon de cobayes non représentatifs de la population concernée (essais thérapeutiques).

Pour un traitement censé prévenir le cancer du col, les registres officiels du cancer constituent les témoins indiscutables les plus pertinents.

 

 

 

Méthode pour évaluer objectivement l’effet de la vaccination sur le risque de cancer invasif  : recueil des incidences du cancer du col de l’utérus rapportées dans les registres des cancers des pays qui utilisent le dépistage (pap tests) et dont la couverture vaccinale dépasse les 80%.

 

Analyse des évolutions avant et depuis la vaccination : en les comparant à celle de la France où la couverture vaccinale n’atteint pas 20%. Toutes courbes présentées ci après proviennent des instituts nationaux de statistiques (sauf pour l’Australie qui fournit des chiffres mais pas de courbe par groupe d’âge). Nous avons ajouté des commentaires en rouge. Voir toutes les courbes sur le diaporama.

 

 

ANALYSE DES EVOLUTION DES PAYS QUI PRATIQUENT LE DEPISTAGE, UNE COUVERTURE VACCINALE >80%

Période pré vaccinale (1980-2007) .L’incidence du cancer invasif du col a diminué spectaculairement dans tous les pays qui pratiquent le dépistage par frottis :le risque global de cancer invasif du col ne diminue plus dans les pays qui vaccinent, sauf pour les femmes de plus de 50 ans, non vaccinées, qui ont continué à bénéficier d’une baisse de leur risque de cancer.

 

CHEZ LES FEMMES VACCINEES, AUGMENTATION IMPORTANTE et SIGNIFICATIVE DU NOMBRE DE CANCER DU COL  2 à 3 ans APRES VACCINATION

 

La politique vaccinale australienne. La campagne de vaccination a commencé en 2007 et a concerné les jeunes filles de 12 à 26 ans, qui avaient 20 à 34 ans en 2015 et représentent les groupes témoins pertinents.

Les mensonges publicitaires australiens. Les chiffres australiens officiels  détaillés de cancers invasifs sont visibles sur les courbes du diaporama et contraires à la propagande médiatique qui se basent sur des simulations fondées sur des hypothèses érronées confondant infections et cancer .

 

 

 

Grande Bretagne : augmentation d’incidence chez les 20-24 ans

 

 

 

Norvège : Evolution du risque chez les 20-24

 

 

Suède  évolution chez les 20-24 ans

 

Les filles âgées de 14 à 18 ans en 2010 ont subi des vaccinations de rattrapage pour 80% d’entre elles. Depuis, leur incidence (lissée sur trois ans) de cancer invasif du col de l’utérus a augmenté de 150%

Cette augmentation d’incidence est très significative et ne peut pas être due au hasard (P<0,001)

 

 

Recherche des points de rupture

La recherche des points de rupture permet d’établir la date de la modification de tendance evolutive et ainsi de vérifier s’il existe une corrélation temporelle entre celle-ci et la vaccination

En Suède, l’augmentation d’incidence est apparue deux ans après le début de la campagne scolaire de vaccination

 

 

 

USA : incidence du cancer invasif du col de l’utérus – 1975 à 2015

Depuis la vaccination, elle ne diminue plus

USA: incidence 2000-2016 chez les 15-39

Depuis 2013 l’incidence augmente chez les femmes jeunes

USA: tendance évolutive chez les américaines de plus de 40 ans

Durant cette même période, l’incidence a diminué chez les femmes de plus de 40 ans non vaccinées

 

 

Prédictions paradoxales de Nordcan, le registre scandinave

Au Danemark peu vacciné,Nordcan prédit un taux stable de cancer. En Suède, très vacciné, Nordcan prédit une augmentation importante du taux de cancer du col chez les vaccinées

 

 

 

 

 

Quelles sont les causes du cancer du col ?

FAKE NEWS : les virus seraient l’unique cause du cancer. Or le Papillomavirus est virus saprophyte. Toutes les femmes ont été un jour infectées par le HPV sans le savoir et ont guéri sans traitement.

Les HPV présents lors du cancer sont de simples témoins d’une activité sexuelle importante, source de microtraumatismes, de réinfections et d’inflammations répétés,  causes possibles du terrain favorable aucancer

Infection n’ est pas cancer! Association ne veut pas dire causalité . L‘origine du cancer est multifactorielle . HPV sur les lieux du crime n’est qu’un témoin

Seule l’ analyse multifactorielle prenant en compte la totalité des facteurs connus précisant leur poids respectif aurait une réelle valeur évocatrice de causalité

 

Fake
les essais auraient prouvé vaccins efficaces et bien tolérés !Or la vaccination anti hpv est expérimentale

Depuis la commercialisation des vaccins : les études étiologiques se focalisent uniquement sur les papillomavirus !

 

Etat actuel des connaissances :

le papillomavirus pourrait n’être qu’un marqueur de risque de cancer traduisant son association avec les causes réelles (traumatismes répétés et inflammation chronique) …

L’évolution naturelle du cancer du col s’étalant sur deux décennies, on peut s’étonner de l’extrême précocité de l’augmentation de fréquence après vaccination.

Mais le cancer sous vaccins peut évoluer différemment. Ce n’est plus une évolution « naturelle »!

On le voit chaque jour avec les cancers soumis aux nouvelles drogues ciblées ou à l’immunothérapie à l’origine de cancers foudroyants quasi inconnus à cette échelle, avant l’ère de ces nouvelles molécules.

Pourquoi le Gardasil échapperait-il à cette possibilité de modification de l’histoire naturelle du cancer du col de l’utérus ?

Les vaccins peuvent modifier l’histoire des maladies

Les essais des premiers vaccins anti-sida Phambili puis Step ont abouti à une augmentation du risque d’attraper la maladie dans les années 2000 et ont été abandonnés pour cette raison

La vaccination anti hépatite B a été suivie dans les pays industrialisés (USA, France, GB, Australie, Canada) par une augmentation considérable du risque de de carcinomes hépatiques

La catastrophe toute récente du Dengvaxia contre la dengue aux Philippines* avec ses milliers de victimes (dont des dizaines de morts) est un autre exemple tragique.

Ces désastres sanitaires ont cruellement montré qu’une VACCINATION peut aggraver la maladie qu’elle était supposée prévenir.

Association ne veut pas dire causalité.
l’ origine du cancer est multifactorielle : précocité sexuelle, fréquence des rapports sexuels, le nombre de partenaires , la fréquence des infections bactériennes (chlamydia) ou virales HPV , Herpès, le tabagisme, le nombre de grossesses menées à   terme, et même la cuisine au feu de bois.

Tous ces facteurs (souvent associés entre eux) sont statistiquement liés à un sur risque de cancer du col.

Fake 
les essais auraient prouvé que les vaccins sont efficaces et bien tolérés.

Gardasil 4 antigènes souches type 6, 11, 16 et 18 et le Cervarix 2 souches (sur 150 souches connues)

infections 16 et 18 érigées en épouvantails par les industriels rares en Europe occidentale (étude en Catalogne)

le vaccin n’est actif que contre 1/2 infections à papillomavirus vues en France

Infection n’ est pas cancer

efficacité réelle sur infections et verrues génitales et prévention des anomalies CN2 et CN3, jamais démontrée dans la prévention du cancer invasif.

Aucune étude publiée ne prouve que le vaccin permet de diminuer le risque de cancer invasif ou le risque d’en mourir

La vaccination constitue donc une expérimentation.

notice du Gardasil : «Etant donné qu’aucun vaccin n’est efficace à 100 %, que Gardasil ne protège pas contre tous les types d’HPV ou contre des infections déjà existantes dues aux HPV, le dépistage en routine du cancer du col de l’utérus reste très important.. »

 

Vaccination expérimentale sur des populations entières  Inutile (dépistage efficace)

Résultats actuels très inquiétants : dans tous les pays qui ont organisé des campagnes de vaccination, l’incidence des cancers du col a augmenté dans les groupes d’âge vaccinés. Notons que le vaccin anti HPV est hors de prix près de 250 euros pour 2 doses.

OMS : RECOMMANDE MAIS N EST  PAS INDEPENDANTE !

Le budget de l’OMS est constitué pour 50% de contributions volontaires dont l’utilisation est décidée selon les désirs des donateurs…

Beaucoup de ces dons proviennent des firmes du médicament ou de fondations qui subordonnent leur attribution aux actions pro vaccinales (comme celles de Bill Gates) etc…

 

Corrélation obligations vaccinales/corruption

Les pays les plus corrompus sont ceux qui imposent les vaccinations. Informez-vous !

 

 

Résumé de l’expérience des pays qui ont largement vacciné contre le HPV à partir des données publiées des registres des cancers.

Gérard Delépine 2 octobre 2019

L’efficacité d’un politique nationale de prévention d’un cancer doit être jugée non pas sur les petits échantillons d’essais thérapeutiques mais, en vie réelle, sur l’évolution de l’incidence de ce cancer dans l’ensemble de la population concernée, telle qu’elle apparaît dans les registres officiels des cancers

A ce jour, seulement quatre pays qui pratiquaient le dépistage cytologique et disposaient de registres nationaux du cancer ont obtenu une couverture vaccinale supérieure à 80% dans la population ciblée avec un recul suffisant : l’Australie, la Grande Bretagne, la Suède et la Norvège.

En Australie,

 

la campagne vaccinale a débuté en 2007 chez les adolescentes, avec un taux de couverture proche actuellement de 80%. Depuis cette date, l’incidence standardisée monde des cancers invasifs dans la population globale ne baisse plus, contrairement aux annonces permanentes des médias qui claironnent l’éradication future des cancers du col dans ce pays en diffusant des prédictions statistiques reposant sur des hypothèses fausses.

De plus, il est paradoxal de constater que l’incidence des cancers invasifs du col augmente dans les classes d’âge de femmes vaccinées. Ainsi, dans la tranche d’âge des femmes de 20-24 ans (vaccinées à 80% entre 14 et 18 ans), l’incidence est passée de 0,7 en 2007 à 1,5 cas/100.000 en 2014. Chez les femmes âgées de 25 à 29 ans (vaccinées en rattrapage lorsqu’elles avaient entre 19 et 23 ans) ces chiffres ont augmenté également, de 5,9 en 2007 à 8,2/100.000 en 2014. De même pour les 30-34 ans (qui ont subi des vaccinations de rattrapage jusqu’à l’âge de 26 ans en 2007) dont l’incidence a augmenté de plus de 30% (de 9,9 en 2007 à 13,2 en 2014), augmentation statistiquement significative. A l’opposé, les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque de cancer diminuer -17% pour les femmes de 55 à 59 ans (de 9.7 à 8.1), -13% pour celles de 60 à 64ans (de 10.3 à 8.9), -23% pour celles de75 à 79 ans (de11.5 à 8.8) et même moins 31% pour celles de 80 à 84 ans (de 14.5 à 10).

 

 

 

En Grande Bretagne, la campagne de vaccination a débuté en 2008, en obtenant une couverture de plus de 85% d’adolescentes. Depuis lors, sur l’ensemble de la population exposée au cancer du col (femmes de plus de 20 ans) l’incidence standardisée a augmenté, passant de 12.6 en 2007 à 14.1 en 2016

 

 

A partir de 2011

les statistiques nationales ont montré une augmentation brutale et importante

 

 

 

 

 

du taux de cancer du col utérin chez les femmes de 20 à 24 ans (vaccinées pour plus de 85% d’entre elles, alors qu’elles avaient entre 14 et 18 ans) qui ont vu leur risque de cancer (incidence lissée sur 3 ans) augmenter de 70% en 2 ans de 2,7 à 4,6 en 2013-2015).

Celles de 25 à 29 ans qui avaient entre 17 à 23 ans au moment de la campagne de vaccination ont vu leur risque de cancer doubler entre 2007 et 2015 (de 11 à 22) Or c’est dans ce créneau d’âge que l’on retrouve toutes les femmes ayant pu recevoir une vaccination tardive (vaccination dite de « rattrapage » après 16 ans)A l’opposé, l’incidence du cancer a globalement diminué chez les femmes les plus âgées (moins 20% dans le groupe 35-49 ans).

 

En Suède, le vaccin Gardasil a été introduit en 2006 et le programme de vaccination des préadolescentes mis en route en 2010 pour atteindre une large couverture approchant les 80% avec un « rattrapage » des plus âgées (jusqu’à 18 ans). Depuis l’incidence (standardisée Monde) du cancer du col de l’utérus, qui s’était stabilisé jusqu’en 2011, a augmenté de 23% passant de 6,69 en 2011 à 8,6 en 2016.

 

 

 

 

Cette augmentation globale est principalement due aux femmes de 20 à 24 ans en 2016, (vaccinées pour plus de 80% d’entre elles) qui ont vu leur incidence lissée sur 3 ans doubler, passant de 1.49 en 2007-2009 à 3.73 en 2014-2016 ainsi que le montrent les données et graphiques publiés par Nordcan (registre des cancers scandinaves) ; cette augmentation est statistiquement significative.

Age-specific rate per 100,000 (smoothed using 3 years average)
Year 20-24
2008 1.49
2009 1.88
2010 2.35
2011 2.91
2012 3.07
2013 3.58
2014 3.74
2015 3.73

 

 

Dans ce pays, comme en Australie et en Grande Bretagne, aucune augmentation n’est notée dans la population âgée de plus de 50 ans, non concernée par la vaccination HPV.

 

 

La Norvège a suivi une politique similaire de vaccination. Depuis, le registre du cancer Nordcan montre une augmentation de l’incidence standardisée monde du cancer invasif du col de l’utérus de 25% sur l’ensemble de la population (de 8.99 en 2007 à 11.31 en 2015).

 

 

Dans le groupe d’âge le plus vacciné (les 15-24 ans en 2016 qui avait entre 9 et 18 ans en 2010) une augmentation importante d’incidence lissée sur trois ans est apparue à partir de 2013 de 0.84 en 2010-2012 à 2.46 en 2014-2016 ainsi que le montre ce graphique et ces données NORDCAN

 

 

Age-specific rate per 100,000 (smoothed using 3 years average)
Year 15-24
2008 1.58
2009 1.65
2010 1.40
2011 0.84
2012 1.04
2013 1.34
2014 1.74
2015 2.46

 

 

 

 

 

 

 

Et la recherche des inversions de tendance (break point analysis) montre que c’est trois ans après le début de la campagne de vaccination que cette augmentation significative est apparue.

Norway Cervix uteri Incidence: ASR (World), age (15-24)

 

Year Numbers ASR (World)
2007 3 1.02
2008 5 1.66
2009 6 1.92
2010 4 1.23
2011 3 0.89
2012 1 0.29
2013 6 1.70
2014 6 1.69
2015 5 1.46
2016 13 3.69

 

 

Breakpoint Year Standard error 95% CI
Estimated 2012 1.13 [2009 ;2014]
Slope
Before (2007-2012) -0.07 0.20 [-0.56 ;0.42]
After (2012-2016) 0.66 0.20 [0.17;1.14]
Estimated annual percent change
Before (2007-2012) -21.99 [-39.75 ;1.02]
After (2012-2016) 64.16 [13.59;137.25]
NORDCAN © 2012 Association of the Nordic Cancer Registries – All Rights Reserved.

 

Cette progression inattendue, précoce et significative du nombre de cancers du col dans tous les pays où la population jeune est largement vaccinée interroge à juste titre d’autant qu’en France, peu vaccinée, l’incidence du cancer du col a largement baissé durant la même période rendant cette maladie rare (incidence inférieure à 6/100000), d’après les critères de l’OMS.

 

L’étude pivot de Merck concernant l’évaluation initiale du Gardasil et destinée à la FDA avait inclus des personnes (dénommées « non naïves ») qui avaient été contaminées préalablement par des souches virales oncogènes (en particulier 16 et 18). Les résultats de ce sous-groupe avaient retrouvé une augmentation (de 26%) de l’apparition de lésions dysplasiques du col par rapport au groupe non vacciné. Le fait de vacciner des femmes ayant déjà commencé leur vie sexuelle pourrait probablement augmenter le nombre de lésions précancéreuses sévères.

Quelle que soient les raisons de cette augmentation paradoxale mais indiscutable (données officielles des registres nationaux des cancers) des risques de cancer dans tous les pays dans les groupes d’âge qui ont été largement vaccinés justifie :

1°) une information loyale de la population en ne prétendant plus que ce vaccin prévient le cancer.

2°) Le principe de précaution impose de ne plus vacciner les femmes ayant déjà commencé leur vie sexuelle

3°) le même principe de précaution doit faire récuser toute obligation vaccinale anti HPV d’autant que la charge pour les finances publiques serait importante (200 à 400 millions d’euros chaque année en France).

4°) Des études indépendantes des firmes pharmaceutiques sont indispensables et urgentes pour établir si ce vaccin est réellement susceptible de prévenir le cancer ou s’il l’augmente et dans quels groupes afin d’adopter les recommandations actuelles aux faits avérés

 

Le refus des autorités sanitaires engagerait la responsabilité personnelle des décideurs et des experts, en particulier ceux liés aux firmes.

mise à jour des résultats internationaux de la vaccination par Gardasil 2 OCT 20

gardasil le point en mai 2019    DIAPORAMA  CLIQUEZ ICI

 

Gardasil, surtraitement à visée préventive : Résultat cancérologique paradoxal : augmentation du cancer du col
le point en Mai 2019

OUVREZ LE DIAPORAMA CI DESSUS

AVEC LES COURBES DES RESULTATS DANS LE MONDE

gerard.delepine@bbox.fr

Nous avons évalué les résultats cancérologiques à court et moyen terme de la vaccination anti HPV sur l’incidence du cancer invasif du col de l’utérus  dans les pays qui pratiquaient le dépistage par frottis et qui ont été les premiers à réaliser des campagnes de vaccination massive (Australie, Grande Bretagne, Norvège, Suède).

Nous avons recueilli  par internet des données publiées dans les registres nationaux du cancer et des taux de couverture vaccinale sur l’ensemble des populations et dans les différents groupes d’âge.

Puis nous avons analysé les évolutions et les tendances des incidences brutes et standardisées, avant et depuis l’ère de la vaccination en testant leur probabilité par le coefficient de corrélation.

Nous présentons ici les résultats actuels de cette évaluation.

La période pré vaccinale de 1989 à 2007 a été marquée par une diminution très significative (p<0.001) du taux standardisé d’incidence du CI dans tous les pays étudiés, avec un taux moyen de décroissance de 2.5 % entre 1989 et 2000.

Cette décroissance spectaculaire est unanimement attribuée au dépistage par frottis.

Depuis les campagnes de vaccination, les registres officiels du cancer enregistrent dans les groupes d’âge qui ont été les plus vaccinés une augmentation forte de l’incidence des cancers invasifs qui apparaît 3 à 5 ans après le début de la campagne de vaccination et qui affecte tous les pays à forte couverture vaccinale.

Dans le groupe des femmes de 20-24 ans (qui avaient entre 12 et 16 ans lors des campagnes de vaccination) l’augmentation d’incidence atteint 100% en Suède, 70% en Grande Bretagne, 113% en Australie, 10% in Norvège. Dans le groupe des 25-29 ans qui a été l’objet de vaccination « de rattrapage », l’augmentation atteint 100% en Angleterre 36% en Australie, 9% en Norvège,10% en Suède. A l’opposé, dans ces mêmes pays les femmes plus âgées, non vaccinées, ont vu leur risque de CI rester stable ou baisser.

Les nombres bruts de cancers enregistrés sont souvent petits chez les femmes jeunes et les tendances prises isolément sont rarement statistiquement significatives.

Mais leur constatation dans tous les pays concernés constitue un signal d’alarme d’autant plus fort que l’incidence des CI a continué à baisser chez les femmes âgées, comme en France, pays à faible taux de couverture vaccinale.

Cet échec souligne la responsabilité des agences sanitaires et les risques qu’elles font courir aux populations en délivrant des AMM selon des procédures accélérées basées sur des critères substitutifs malgré les mises en garde de nombreux médecins et d’associations d’usagers.

Ce résultat cancérologique paradoxal nécessite des études complémentaires et justifie, en attendant, une révision urgente des recommandations vaccinales

 

 

 

LE DIMANCHE  30 JUIN 2019

 

REJOIGNEZ NOUS POUR LA CONFERENCE 17 h 30 à 19 h : Docteur Nicole Delépine : CONFERENCE SAINTES JUIN 19

« Pourquoi chaque jour apporte-t-il  un nouvel article publicitaire trompeur dans les grands médias ? Pourquoi les députés déposent-ils un amendement pour rendre ce vaccin obligatoire et la ministre se prononce pour l’élargissement de la vaccination aux garçons ? Pourquoi tant d’émissions répandent-elles la peur chez les familles des jeunes femmes et bientôt des garçons ? Ainsi, en l’absence de prise de conscience rapide, le gardasil et les 11 vaccins obligatoires pourraient  bien être le prochain scandale sanitaire. »

CONFERENCE QUI SE TIENDRA DANS LE CADRE DES CHANTIERS DU FUTUR

 

21 ième université de l’Environnement et de la Santé 29 juin au 4 juillet 2019

LES CHANTIERS DU FUTUR

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Visitez notre site : www.leschantiersdufutur.fr 

Venez participer au colloque annuel de Bobigny :   Colloques de Bobigny

et en particulier à nos présentations

 

nous y présenterons un résumé de nos travaux sur Gardasil et cancer 

samedi 25 Mai atelier n° 3 Les vaccins.  10 H30 -12H30

 

 » Les « Colloques de Bobigny », constituent la première manifestation scientifique et de réflexion sur la thématique « Sous-médicalisation, Surmédicalisation, Surdiagnostics, Surtraitements », déjà organisée à sept reprises en France par le groupe d’initiative Princeps, avec le concours de :

– Le Département de Médecine Général de la Faculté de Médecine de Bobigny,

– La Société de Formation Thérapeutique du Généraliste

– L’Association « Civic Santé »

Ce colloque se tiendra, sous le patronage du Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny (UFR SMBH), les vendredi 24 et samedi 25 mai 2019, Faculté de médecine de Bobigny (entrée avenue de la Convention)

Le montant de l’inscription est de 40 euros (20 euros pour les étudiants et Internes en Médecine).

Ces frais d’inscription très limités, qui comprennent les accueils et pauses café, le repas de midi du vendredi, et l’intendance du colloque, ne sont possibles que grâce aux locaux mis à disposition par la Faculté de médecine de Bobigny, et l’engagement de la SFTG. Cette modeste somme est le prix de notre indépendance.

Les inscriptions doivent être adressées à la SFTG, 233 bis rue de Tolbiac 75013 Paris, avec la mention « Colloque de Bobigny ». L’inscription en ligne est possible : ici.

Vous pouvez également télécharger ici le bulletin d’inscription, le remplir et l’adresser à la SFTG

N’hésitez-pas à diffuser à vos réseaux ou connaissances cette invitation Le groupe Princeps »

 

Foi, propagande ou argumentation scientifique, il faut choisir 

 

par G et N Delépine en réponse à des détracteurs directs sans possibilité pour nous de répondre car site inaccessible aux non abonnés  (revue du praticien, quotidien du médecin etc.. ) MERCI à ceux qui le peuvent de transmettre et à tous de vous informer largement.

Foi, propagande ou argumentation scientifique, il faut choisir !

 

 UNE EPOQUE DANS LAQUELLE MYTHE ET REALITES SE CONFONDENT EN PERMANENCE

 

Si la phrase selon laquelle « le XXI nième siècle sera mystique ou ne sera pas » a été attribuée peut-être à tort à André Malraux, elle pose en tous cas le véritable défi de notre siècle débutant, la régression de l’esprit scientifique qui n’est plus omniprésent même en sciences, la montée en puissance du fantastique qui envahit les vidéos, les séries et les cerveaux des plus jeunes qui confondent de plus en plus fiction et réalité[1]. La chute de l’enseignement mathématique en secondaire, achevée cette année par la nouvelle réforme de Blanquer qui transforme l’enseignement mathématique en OPTION en première dès septembre 2019 et diminue largement les heures de philosophie en terminale conforte l’idée d’une destruction voulue du niveau de formation des jeunes français. Les programmes TV vont dans ce sens de transformer nos cerveaux pensants en robots obéissants, sages esclaves d’un capitalisme financier toujours plus gourmand. Et la fiction devient réalité[2]

Ensuite la manipulation qui consiste à confondre prévisions sur simulations et résultats avérés sur population réelle est un jeu d’enfants largement utilisé en matière de sondages visant à formater une opinion dominante que chacun suivra pour ne pas être exclu du groupe (peur plus forte que la mort semble -t-il)[3].

 

PERTE DE LA RIGUEUR SCIENTIFIQUE AU BENEFICE DES LOBBIES

 

La volonté du ministère de la santé (des lobbies ?) d’imposer la vaccination obligatoire par Gardasil dès les européennes passées conduit à une multiplication d’articles publicitaires tant dans les médias grand public que dans les journaux et revues destinés au public médical et soignant. Le but est de conditionner l’ensemble des acteurs, peuple et monde médical, du bien-fondé de l’obligation qui rapportera annuellement plusieurs centaines de millions à big pharma qui sera sans nul doute reconnaissant à ses affidés.

 

Il est regrettable que quelques confrères peut-être mal informés participent à cette mystification. Nous leur faisons une réponse globale supplémentaire, d’autant que la plupart de ces journaux nous sont inaccessibles pour un droit de réponse, car réservés à l’entregent.

 

 

Les progrès de la science reposent de fait sur le doute fertile qui anime celui qui, remarquant une incohérence entre les faits avérés et l’opinion couramment admise, remet cette dernière en doute pour élaborer une nouvelle hypothèse plus compatible avec les faits.

 

La foi, elle, ne se discute pas ; elle exige la soumission au dogme et interdit tout doute qu’elle déclare hérétique. Sans le doute fertile, nous croirions toujours que la terre date de 5600 ans, qu’elle est plate et que le soleil tourne autour d’elle.

 

FUIR LA PENSEE UNIQUE DEVELOPPEE DEPUIS 40 ANS AU RISQUE DE DEPLAIRE

 

La science ne peut pas prospérer dans un système de pensée unique où toute observation de faits qui ne la confortent pas est niée et déclarée « fake news » comme au temps de l’Inquisition.

Elle ne peut prospérer lorsque des simulations sont présentées comme un futur certain et utilisées comme argument. Les simulations sont basées sur des hypothèses qui, si elles sont fausses, annihileront le travail des chercheurs qui ont réalisé honnêtement la simulation.
C’est ce qui se passe avec les simulations sur la fréquence prévue du cancer du col de l’utérus an Australie ( et les déclarations médiatiques triomphantes sur la disparition de ce cancer) et la réalité du terrain disponible par tous en analysant les registres du cancer des états dont l’Australie) qui montrent une augmentation du nombre de cancer du col chez les populations vaccinées.

Nous avons détaillé cette discordance dans plusieurs tribunes.

 

Comment expliquer une telle discordance entre les simulations et la réalité ?

Les résultats d’une simulation dépendent directement des hypothèses retenues. Les principales hypothèses des simulations marchandes peuvent se résumer ainsi : le cancer invasif ne peut pas se produire en l’absence d’infection par un type de HPV oncogène. Le vaccin est efficace à vie et fait disparaître l’infection. Le vaccin va donc éradiquer le cancer. Mais toutes ces hypothèses sont discutables et les résultats de ces simulations ne font en fait que reproduire en chiffres la foi de leurs auteurs. La médecine n’est pas une science exacte, et la médecine via l’informatique oublie les spécificités complexes de la vie, singulièrement chez l’être humain.[4]

 

LA SCIENCE SE NOURRIT DE L’ANALYSE CRITIQUE DES FAITS AVERES. N’EN DEROGEONS JAMAIS.

 

Dans une revue[5] se réclamant à « exigence universitaire et journalistique » et soutenue par des fonds publics, Michel Cogné se fait l’apôtre de la vaccination anti HPV avec pour seule démonstration les résultats de fictions et de simulations[6] et en utilisant l’argument d’autorité avec l’OMS et les positions de services de santé français ou étrangers souvent trop sensibles à leur financement[7], aux pressions politiques et au lobbying de l’industrie.

 

Il n’hésite pas non plus à affirmer, sans aucune preuve scientifique, que « le vaccin anti-papillomavirus évite d’autres cancers » et dans une revue[8] destinée à l’enseignement post universitaire des médecins, J. Gaudelus [9] réenchérit. Pourtant la Haute autorité de santé elle-même dans son autorisation de commercialisation du Gardasil 9[10] écrit :

 

« Des incertitudes concernant l’efficacité qui sera obtenue en termes de prévention des cancers dans les populations recommandées en France ».

 

Car en effet, le Gardasil est efficace sur les infections liées au HPV (sans danger de fait) mais n’a jamais démontré son efficacité sur le cancer du col dans aucun essai au monde jusqu’à présent.

 

LA PLUS HAUTE AUTORITE DE SANTE FRANCAISE EMET DES DOUTES SUR L EFFICACITE DU GARDASIL SUR LE CANCER DU COL

ET CERTAINS UNIVERSITAIRES N EN TIENNENT PAS COMPTE. POURQUOI ?

 

 

Dans son plaidoyer, M Cogné parait ignorer les faits avérés, publiés dans les registres officiels qui montrent que, dans tous les pays qu’il cite en exemple, l’incidence du cancer du col a augmenté depuis la vaccination ! Cette augmentation a pourtant été reconnue en Grande-Bretagne et en Suède par de très fervents partisans de la vaccination[11] (et souvent très proches des fabricants et marchands de vaccins). Aussi nous les rappelons ici une nouvelle fois.

En Suède[12] le risque de cancer du col des jeunes filles de 20 à 24 ans vaccinées pour plus de 80% d’entre elles quand elles avaient 12 à 18 ans a doublé depuis la vaccination (passant de 1.86/100000 en 2007 à 3.72/100000 en 2015). Cette augmentation est statistiquement significative à p=0.001 et ne peut pas être due au hasard. Voir sur notre site les courbes extraites directement du registre scandinave des cancers sur le diaporama consacré à la Suède (idem pour les suivants.[13]

En Grande Bretagne[14] le risque de cancer du col des jeunes filles de 20 à 24 ans (dont plus de 85% ont été vaccinées quand elles avaient 12 à 18 ans) a augmenté de 70% depuis, passant de 2.7/100000 en 2007 à 4.6/100000 en 2014. Cette augmentation est statistiquement significative.[15]

En Australie [16] citée comme exemple de succès, le risque de cancer du col a augmenté dans les groupes d’âge qui ont été vaccinés. Augmentation de 113% (de 0.7/100000 à 1.5/100000) pour femmes de 20 à 24 vaccinées à plus de 80% entre 13 and 17 ans[17]. Augmentation de 35% chez les femmes de 25 à 29 ans (de 5.9/100000 à 8/100000 p=0.05[18]) et de 33% pour celles de 30-34 (de 9.9 à 12.4 p<0.01) qui ont été soumises aux vaccinations de rattrapage avec des taux de couverture vaccinale inférieurs. Ces dernières augmentations d’incidence sont statistiquement significatives et ne peuvent pas être dues au hasard.[19]

En France pays peu vacciné, (peut-être grâce à l’alerte précoce donnée par Marie-Océane et son père à la suite de son handicap post vaccination)[20] le risque de cancer du col a continué de baisser durant cette période[21] et les dernières incidences Standardisées Monde connues sont de 6/100000 dans notre pays contre 11.49/100000 en Suède, 8,6/100000 en Grande- Bretagne et 7.4/100000 en Australie. Pourquoi le gouvernement veut-il nous aligner sur les pays très vaccinés qui voient leur incidence augmenter dans les groupes vaccinés ? Un moratoire mondial s’impose ![22]

 

LE VRAI SCANDALE SANITAIRE EN PUISSANCE

 

Le scandale sanitaire n’est pas l’insuffisance de couverture vaccinale anti HPV qui protègerait nos enfants de cette augmentation de cancer, mais

 

1°) d’avoir accepté la mise sur le marché, avec l’indication « prévention du cancer », d’un vaccin qui n’a jamais démontré, dans aucune étude, qu’il en était capable !

 

2°) de conserver cette indication et ces recommandations alors que les résultats avérés actuels montrent que la vaccination est suivie d’une augmentation d’incidence de ces cancers (sans parler des nombreux effets secondaires délétères).

 

Comment expliquer que des universitaires puissent ainsi participer à une telle campagne de promotion marchande sans aucune preuve que les vaccins puissent éviter un seul cancer et que les résultats avérés, indiscutables des registres officiels des cancers montrent le contraire ? Foi, crédulité, ignorance, soumission ou corruption ?

 

Il est grand temps que nos chercheurs universitaires cessent de faire des promotions marchandes et retrouvent le goût de l’analyse des faits avérés, qu’ils recommencent à faire germer le doute fertile pour faire progresser la science.

 

DES RECHERCHES PASSIONNANTES SUR L’EFFET PARADOXAL DU GARDASIL

 

Et que ceux qui s’intéressent au cancer du col de l’utérus expliquent le paradoxe du contraste entre l’efficacité des vaccins contre les infections aux souches ciblées (80 à 90% de chute de leur prévalence) et l’augmentation de l’incidence du cancer (de 30% à plus de 100%) !

 

Ceux qui souhaiteraient des analyses plus approfondies les trouveront dans deux livres récents centrés sur ce sujet : sur le plan médical « hystérie vaccinale, Gardasil et cancer, un paradoxe »[23] et sur le plan juridique le livre américain de Mary Holland et coll[24].

 

 

Niels Bohr, qui a révolutionné la physique quantique, s’enthousiasmait lorsqu’il était confronté à un paradoxe[25]. Souhaitons qu’il ait encore quelques émules.

 

 

[1] Selon le Larousse, le fantastique « se dit d’une œuvre littéraire, artistique ou cinématographique qui transgresse le réel en se référant au rêve, au surnaturel, à la magie, à l’épouvante ou à la science-fiction ».

https://education.toutcomment.com/article/qu-est-ce-que-le-fantastique-en-litterature-12342.html

[2] Confusion entre réalité virtuelle et réelle

« Ces modèles ne sont pas pour autant vécus comme une fiction, comme le montre le comportement des équipes. Même en cas d’erreur grave, les formateurs, qui décident en temps réel du scénario de la simulation, ne font pas mourir les patients-mannequins. Les études ont en effet montré qu’une mort même fictive affecte réellement les élèves soignants. Là se trouve peut-être la meilleure preuve de la réussite de la simulation : le leurre agit jusqu’à l’intime des psychismes. »

https://www.revmed.ch/RMS/2013/RMS-N-410/Simulations-en-medecine

Ces constatations assez tragiques expliquent probablement l’impact des émissions télévisées sur le citoyen lambda. Triste que le personnage de telle série soit assassiné…

[3] « Tony Robbins qualifie la nécessité d’être accepté par son groupe d’appartenance comme un besoin vital.

Certains lui donnent une origine anthropologique. Du temps de nos lointains ancêtres, la vie était organisée de manière tribale. La survie d’un individu reposait sur son appartenance au groupe (nourriture, territoire, famille, guerre, …). Se retrouver exclu de sa tribu signifiait une condamnation à mort. Cette peur d’être exclu de la tribu a survécu à travers le temps. Elle reste profondément ancrée dans notre inconscient. C’est cette même peur qui régit nos comportements de tous les jours. Elle explique notre réticence à nous exposer au risque de rejet de l’autre.

http://www.etre-meilleur.com/developpement-personnel/en-finir-avec-la-peur-d-etre-rejete.html

Ajoutons que cette peur est particulièrement intense chez les adolescents avec le risque d’embrigadement dans des groupes toxiques de différentes natures, pour ne pas être « exclus ». A nous adultes de le mettre en garde.

 

[4] docteur.nicoledelepine.fr/information-grand-public-exigeons-des-medias-quils-precisent-leurs-sources-simulations-versus-resultats-reels/

[5] Michel Cogné L’insuffisante vaccination contre le papillomavirus, un futur scandale sanitaire La Conversation 4 mars 2019.

[6] De plus biaisées (car basées sur des hypothèses fausses)

[7] Financement de l’OMS : les contributions non fléchées des états membres ne couvrent qu’un peu plus de 20% du budget. Les 80% du reste sont assurées par des contributions volontaires publiques et privées assorties de conditions fléchant leur utilisation et qui déterminent ainsi en grande partie la politique générale de l’Organisation. En 2016, ceux qui ont donné le plus à l’OMS sur une base volontaire sont les Etats-Unis (plus de 310 millions de francs), la fondation Bill & Melinda Gates (280 millions), puis la Grande-Bretagne (près de 140 millions de francs). En quatrième position se trouve GAVI Alliance (près de 55 millions de francs), dont le principal financeur est la Fondation Bill & Melinda Gates et le Rotary International. Association également financée en partie par la Fondation Bill & Melinda Gates. L’importance des contributions Bill Gates explique en grande partie l’orientation vaccinolâtre de l’OMS et ses campagnes démesurées de vaccination contre la poliomyélite alors que l’hygiène (distribution d’eau potable et traitement des eaux usées permettraient à coup sûr d’éradiquer cette maladie qui se transmet uniquement par contact féco-oral.

[8] Gaudelus Vaccination contre le papillomavirus : bilan et nouvelles extensions la revue du Praticien Vol. 69 _ Janvier 2019 9

[9] Très lié à Astra Zeneca, GSK, Novartis, Pfizer et Sanofi-Pasteur

[10] « Compte-tenu : de l’efficacité de GARDASIL dans la prévention des lésions précancéreuses de haut grade dues aux HPV 6, 11, 16 et 18, du faible surcroit d’efficacité de GARDASIL 9 par rapport à GARDASIL, limité aux HPV additionnels 31, 33, 45, 52 et 58 (réduction absolue de l’incidence de 0,2 pour 100 personnes-années à 43 mois de suivi), des incertitudes concernant l’efficacité qui sera obtenue en termes de prévention des cancers dans les populations recommandées en France, la Commission considère que GARDASIL 9 n’apporte pas d’amélioration du service médical rendu (ASMR V) par rapport à GARDASIL dans la prévention des lésions ano-génitales précancéreuses et cancéreuses liées à certains HPV (cf. paragraphe 06), dans les populations recommandées par le HCSP. » Avis CT HAS Septembre 2017.

[11] Castanon A. Sasieni P. Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in England a cause for concern? Preventive Medicine 107 (2018) 21–28

[12] http://www-dep.iarc.fr/NORDCAN/english/frame.asp

[13] https://docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-suede-depuis-la-vaccination-par-gardasil/

[14] https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence?_ga=2.189881579.1799137437.1543334728-1160609591.1539423969

[15] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-invasif-du-col-de-luterus-en-grande-bretagne-depuis-la-vaccination-par-gardasil/

[16] Australian Institute of Health and Welfare (AIHW) 2017 Australian Cancer Incidence and Mortality (ACIM) books : cervical cancer Canberra : https://www.aihw.gov.au/reports/cancer/acim-books/contents/acim-books

[17] Mais, comme les chiffres bruts sont petits, cette augmentation n’est pas statistiquement significative dans cette tranche d’âge).

[18] P est la probabilité de croire à la réalité d’une différence due au hasard

[19] https://docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-australie-depuis-la-vaccination-par-gardasil-de-2007-a-2014/

[20] https://docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-australie-depuis-la-vaccination-par-gardasil-de-2007-a-2014/ et reportage à venir en mars 2019

[21] Jéhannin-Ligier K, Dantony E, Bossard N, Molinié F, Defossez G, Daubisse-Marliac L, Delafosse P,

Remontet L, Uhry Z. Projection de l’incidence et de la mortalité par

[22] docteur.nicoledelepine.fr/gardasil-8-deputes-veulent-imposer-une-vaccination-qui-augmente-le-risque-de-cancer-au-lieu-de-le-diminuer/

[23] Fauves éditions 2018 G et N Delépine

[24] The HPV Vaccine on Trial: Seeking Justice for a Generation Betrayed

by Mary Holland, Kim Mack Rosenberg and Eileen Lorio

Published October 18, 2018 | Vaccination, Risk & Failure Report

“Rédigé en langage clair, le livre est pour tous les intéressés – parents, patients, médecins, infirmières, scientifiques, organismes de soins de santé, fonctionnaires gouvernementaux et écoles. En fin de compte, ce livre n’est pas seulement sur le vaccin contre le HPV, mais sur la façon dont l’industrie, le gouvernement, et les autorités médicales peuvent mettre les enfants du monde en danger »

https://www.hpvvaccineontrial.com

[25] « How wonderful that we have met with a paradox. Now we have some hope of making progress ». Read more at: https://www.brainyquote.com/quotes/niels_bohr_124673