Archive d’étiquettes pour : fake news

Un nouveau Lancet gate prétend que les vaccins anti-covid auraient sauvé 20 millions de personnes

 

 

25/09/2022 (2022-09-25)

Par le DR Gérard DELÉPINE

Lorsque le monde réel vous déplait, il suffit pour, se rassurer de se réfugier dans un monde virtuel que l’on peut modéliser à sa guise. L’impérial collège applique à nouveau cette recette magique pour transformer ses colossales erreurs de prédictions du monde réel en incroyable succès virtuel des vaccins.

Attention aux simulations présentées comme des faits établis

Nous avons à maintes reprises1 2 3 4 5 dénoncé les fausses nouvelles basées sur des simulations en médecine. Par leur conception et leurs hypothèses hasardeuses, les simulations de résultats médicaux sont toujours à risques de biais. Il faut tout particulièrement se méfier de leurs conclusions lorsqu’elles font la promotion d’un médicament rentable, que leurs auteurs sont liés aux firmes et que l’ensemble des médias du monde entier claironne « la bonne nouvelle », alors qu’il ne s’agit en aucun cas de faits établis, mais seulement d’espoirs résultant d’hypothèses incertaines.

Un article hallucinant du Lancet6 ose prétendre que la vaccination aurait sauvé plus de 20 millions de personnes en 2021 et le comité de lecture l’a accepté sans émettre de réserve !

Cet article fait la promotion de pseudo vaccins extrêmement rentables puisqu’ils ont rapporté près de 300 milliards de dollars depuis leur mise sur le marché.

Les auteurs de cette étude ne sont pas indépendants, mais liés pour les deux tiers aux marchands de vaccins ou aux organismes qui ont été les moteurs de la vaccination7.

Les folles conclusions de cet article ont été reprises sans aucune modération par plus de 50 médias du monde entier qui ont « oublié » de signaler qu’il ne s’agissait que de résultats de simulation. Nous en signalons quelques-uns8 qui ont ainsi démontré leur absence d‘esprit critique et/ou leur dépendance aux marchands de vaccin.

Tous les signaux d’alerte à la fake news sont donc réunis.

Comment biaiser une simulation

Pour chanter les louanges de la vaccination, des mathématiciens de l’Imperial College de Londres ont une nouvelle fois utilisé leur modèle totalement faux de simulation de propagation et de mortalité du COVID-19 entre le 8 décembre 2020 (lorsque les vaccins ont été déployés pour la première fois) au 8 décembre 2021 pour une simulation sans vaccin qu’ils ont comparée avec leur estimation du nombre des morts avec vaccins.

Ils déclarent sans ambages « nous avons estimé que 31,4 millions (95% CrI 30·6–32·1) décès dus au COVID-19 seraient survenus sans vaccination au cours de la première année de la vaccination » alors que la première année de l’épidémie sans vaccin avait entraîné « seulement »1,63 million de morts.

Et ils ne s’étonnent pas que leur simulation prédirait une mortalité 20 fois supérieure la seconde année ! Ils auraient dû s’intéresser à l’évolution des pays très peu vaccinés comme le Nigéria, le Cameroun ou Madagascar dans lesquels la seconde année sans vaccin a été marquée par un simple doublement de la mortalité pour vérifier l’absence de fiabilité de leurs prédictions.

Le même programme délirant de simulation avait prédit que sans confinement la Suède allait être dévastée par le covid. La Suède n’a pas confiné et le nombre de morts observé a été dix fois inférieur à l’estimation de l’impérial collège.9

Les auteurs de l’Imperial college n’ont apparemment pas tenu compte de leurs erreurs comme tout scientifique scrupuleux l’aurait fait.

Ils ont ensuite estimé l’impact des programmes de vaccination en retranchant du nombre de décès prophétisés par la simulation sans vaccin au nombre de décès estimés dans le monde réel avec vaccin.

Ils ont une fois de plus comparé les décès virtuels d’une simulation folle aux décès observés dans le monde réel.

Leur colossale surestimation de la simulation sans vaccin10 leur permet ainsi de prétendre que les vaccins auraient été colossalement efficaces.

Ils se prétendent scientifiques, mais au lieu d’analyser les différences observées dans le monde réel entre les pays selon leur stratégie anti-covid, ils comparent le monde virtuel de leur simulation au monde réel pour réciter leur crédo pro injection!

Revenons au monde réel : les vaccins n’ont sauvé personne !

Après 20 mois de vaccination, il est facile d’évaluer son impact réel sur l’évolution du nombre de contaminations et de la mortalité selon la période considérée et selon les stratégies sanitaires des différents pays en se basant sur les données publiées par l’OMS (disponibles à OMS Covid dashboard) et mises en graphiques par l’université John Hopkins (consultable à : OurWorldinData covid).

La comparaison des dix mois sans vaccin (de mars à décembre 2020) aux 20 mois avec les pseudos vaccins montre qu’au niveau mondial ces derniers ont été incapables de ralentir l’épidémie et qu’ils paraissent même avoir pu la stimuler, puisque le rythme mensuel des contaminations été multiplié par 6 depuis leur mise sur le marché.

De même, les pseudo vaccins se sont révélés incapables de diminuer la mortalité :

Dans leur article, les auteurs de l’impérial college accusent « la faible couverture vaccinale de nombreux pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure et des pays à faible revenu » d’être responsable de l’échec des injections, tant sur la transmission mondiale de l’épidémie que sur la mortalité.

Mais ont-ils seulement regardé les chiffres officiels de l’OMS qui montrent, au contraire, que l’épidémie a frappé beaucoup plus violement les pays riches ?

Et que la mortalité a été maximale dans les pays riches !

On peut donc décerner à cet article le qualificatif du plus gros canular du siècle, au Lancet, celui de la revue la moins pointilleuse pour la vérification des données.

Après revue de ses prédictions, on peut aussi attribuer à l’Impérial Collège le titre de cancre absolu des prophètes. En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante et qui a couté environ 6 milliards de livres aux éleveurs anglais. Lors de la crise de grippe H1N1 de 2009, ses prédictions du avaient annoncé 8 000 morts au Canada qui n’en a déploré que 428 ! Et ses simulations n’ont pas été plus avisées sur la maladie de la vache folle, la grippe aviaire, Ebola.

Mais pourquoi l’OMS et tant de dirigeants font-ils encore confiance à un devin qui se trompe presque toujours ?


19/09/2022 (2022-09-19)

Par Gérard Delépine

Dans un article du 13 septembre 2022, Bruno Coutier via AFP et par Victor Garcia titrent dans l’Express : « Antivax, idole de l’extrême droite : Christian Perronne. »

S’agit-il d’une énorme bourde par absence totale d’enquête sur son engagement médical ou d’un mensonge délibéré visant à décrédibiliser ce professeur qui a consacré toute sa vie à la lutte contre les maladies infectieuses ?

Non, Monsieur Garcia, le professeur Christian Perronne n’est pas un antivax !

Il a au contraire a consacré la majeure partie de sa vie au traitement des maladies infectieuses et en particulier à la promotion des vaccins1 . Qu’on partage partie ou totalité de ses positions vis-à-vis des différents vaccins, il est inadmissible de déformer et trahir sa pensée à travers des articles grand public dans lequel il n’a même pas pu s’exprimer !

Pour le vérifier, il suffit de revoir la liste de ses articles scientifiques

En 1985, sa thèse de doctorat porte sur le traitement de l’endocardite expérimentale à Staphylococcus aureus (grave infection du système circulatoire atteignant le cœur).

Il a écrit près de 150 articles 2 dans des revues à comité de lecture qui analysent le traitement des maladies infectieuses, les médicaments antirétroviraux du sida, la place des vaccins dans la prévention des infections respiratoires 3, la recherche sur un vaccin contre le virus H5N14, sur le traitement de la tuberculose5 et sur la maladie de Lyme6entre autres.

L’accuser d’être un antivax constitue donc une grossière calomnie !

Les innombrable fonctions qu’il a exercées témoignent de ses compétences et de ses positions pro-vaccinales

Il a dirigé (en tant que Directeur-adjoint) le Centre national de référence sur la tuberculose et les mycobactéries de l’Institut Pasteur de Paris, jusqu’en 1998.

En 2009, il a exercé comme vice-président du groupe « European advisory group of experts on immunisation » (E[T]AGE), qui conseille la politique vaccinale de l’Organisation mondiale de la santé dans la Région européenne de l’OMS dans le but de faciliter et d’accélérer les réalisations en matière d’éradication, d’élimination et de contrôle des maladies évitables par la vaccination.7

ll a présidé jusqu’en 2016 la Commission maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique (HCSP)

Il a participé à des groupes de travail à l’agence du médicament (ANSM).

Président du collège des enseignants de maladies infectieuses et tropicales (CMIT), cofondateur et ancien président de la Fédération française d’infectiologie.

Président de groupes de travail élaborant des recommandations basées sur les preuves du traitement antibiotique des infections respiratoires à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM, ex-AFSSAPS)

Président de la section maladies transmissibles du Conseil supérieur d’hygiène publique de France de 2001 à 2007.

Membre du conseil scientifique de l’Institut de recherche en microbiologie et maladies infectieuses (IMMI, INSERM) jusqu’en 2013.

Président du Conseil national des universités (CNU), sous-section Maladies infectieuses et tropicales.

Dans le milieu médical il était unanimement respecté pour ses connaissances et pour ses qualités de modérateur jusqu’à ce qu’il dénonce publiquement les erreurs de la stratégie anticovid du gouvernement.

Comment Bruno Coutier, l’AFP, Victor Garcia et l’Express peuvent-ils être aussi ignorants de ses activités dédiées en permanence aux traitements des maladies infectieuses et à la vaccination ? Comment osent-ils le traiter d’antivax ?

Aucun des prétendus experts que les « Check news » citent parfois dans leurs calomnies envers C. Perronne ou D. Raoult n’a de pareilles références scientifiques.

C. Perronne est-il de droite ?

C Perronne était un médecin respecté du sérail jusqu’au jour où il a osé démentir le narratif covid officiel8 9. Du jour au lendemain il a été présenté comme d’« extrême droite, de complotiste ou d’antisémite ».

Personnellement je n’en sais rien et ne dispose d’aucun élément pour en juger, mais l’ayant connu dans son hôpital R Poincaré, à Garches je suis totalement surpris de telles accusations qui ne correspondent absolument pas à son comportement de l’époque. Ses calomniateurs ne fournissent d’ailleurs aucun fait précis qui conforterait leurs accusations.

De toute manière, les opinions politiques des personnes n’ont aucun intérêt dans un débat scientifique qui doit seulement prendre en compte les faits avérés et de manière contradictoire.

Bruno Coutier et Victor Garcia ne respectent pas l’éthique du journalisme

Les qualificatifs « extrême droite, complotiste » sont systématiquement utilisés par les médias aux ordres pour décrédibiliser les gêneurs sans que leurs calomniateurs n’apportent jamais de faits qui le démontrent.

Que C. Perronne soit défendu par des leaders de droite prouve seulement que ceux de gauche refusent de protéger les donneurs d’alerte qui osent mettre en doute la propagande gouvernementale et c’est bien triste.

Ces calomnies de caniveau discréditent l’AFP, l’Express, Bruno Coutier, Victor Garcia et tous ceux qui les diffusent. Ils ne respectent pas l’éthique du journalisme10 suivie et respectée par la grande majorité des professionnels de l’information et en particulier : le respect de la personne et de sa vie privée — la vérification des faits et des sources, le principe de la liberté de l’information et de l’expression, la condamnation de la diffamation.

Oui la chloroquine aurait pu éviter plus de 25 000 morts de covid en France !

Dans ce même article de l’Express, l’auteur prétend « qu’aucune étude n’avait démontré ne serait-ce que 1 % d’efficacité ». Manifestement, n’étant pas médecin il ignore comment rechercher les articles scientifiques (ou ne sait pas lire l’anglais médical ?).

Au 18/9/2022 sur le sujet covid-hydroxychloroquine Pubmed référençait 3549 articles dont un grand nombre démontrait l’efficacité du traitement par HCQ en soulignant l’importance de la précocité du traitement pour prévenir la mortalité11, l’efficacité du traitement précoce par HCQ chez les patients ambulatoires12, l’efficacité et la bonne tolérance de ce même traitement en prévention du covid chez les travailleurs de la santé à haut risque en Inde.13

Au-delà des articles, les faits avérés, que chacun peut vérifier facilement en tapant sur son ordinateur « OMS covid Dashboard » « OurWorldinData covid cases per million » ou « OurWorldinData covid deaths per million » confirment l’efficacité de la chloroquine en population réelle.

Après plus de deux ans et demi d’évolution de l’épidémie, la mortalité cumulée observée constitue le critère de jugement le plus pertinent pour estimer l’efficacité des stratégies adoptées.

La comparaison entre l’Algérie qui a adopté le protocole Raoult dès le début, et la Tunisie, la France, les USA, la Belgique et l’Italie qui ont appliqué la stratégie du tout vaccin est éloquente : 155 morts covid par million d’habitants en Algérie contre 2300/M en France, 15 fois moins en Algérie !

Les populations française et algérienne partagent des facteurs de risques covid (âge, obésité, diabète) comparables. La France est mieux équipée en hôpitaux que l’Algérie. Si on avait appliqué le protocole Raoult ce n’est pas 25 000, mais plus de 130 000 morts de covid que nous aurions pu éviter !

La task force Covid indienne a conseillé la chloroquine en thérapie préventive pour les soignants, les familles de malades et en traitement précoce pour les malades. À l’issue de la première vague, malgré le manque d’hôpitaux, de médecins, l’Inde recensait dix fois moins de cas covid que la France :

Et après deux ans d’épidémie, l’inde compte six fois moins de morts par millions que la France :

L’AFP, l’Express, Bruno Coutier, Victor Garcia paraissent ignorer les données officielles de l’OMS ! Ils se contentent de réciter le crédo officiel. Il serait temps qu’ils s’intéressent aux faits avérés du monde réel et qu’ils les présentent impartialement comme les journalistes qu’ils étaient certainement jadis.

Maintenant que la médecine est devenue un business administré par l’état, où l’obéissance, la docilité, et la bêtise aveugle règnent en maître, Perronne et les autres médecins qui restent fidèles au serment d’Hippocrate (qui avaient l’esprit critique et croyaient à la pensée logique) n’y ont plus leur place.

Espérons, dans l’intérêt des malades qu’ils la retrouveront bientôt.


1 https://www.francesoir.fr/culture-livres/perronne-covid-et-charge-politique2 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=perrone+c3 Perronne C. The role of vaccination in the prevention of lower respiratory tract infections]. Rev Mal Respir. 2009 Apr;26(4):475-7. French. doi : 10.1016/s0761-8425(09)74059-8. PMID : 19421107.4 Bresson JL, Perronne C, Launay O, Gerdil C, Saville M, Wood J, Höschler K, Zambon MC. Safety and immunogenicity of an inactivated split-virion influenza A/Vietnam/1194/2004 (H5N1) vaccine: phase I randomised trial. Lancet. 2006 May 20;367(9523):1657-64. doi : 10.1016/S0140-6736 (06) 68656-X. PMID : 167141865 Avec François Denis, Mycobacterium tuberculosis et mycobactéries atypiques, Paris, Elsevier Masson, 2004 (ISBN 978-2-7381-4997-8, BNF 39144965).6 La Vérité sur la maladie de Lyme : infections cachées, vies brisées, vers une nouvelle médecine, Paris, éditions Odile Jacob, 2019, 2e éd., 336 p. (ISBN 2738150543, BNF 45836447) 11, 19, 23, 30, 47.7 Perronne C, Adjagba A, Duclos P, Floret D, Houweling H, Le Goaster C, Lévy-Brühl D, Meyer F, Senouci K, Wichmann O. Implementing efficient and sustainable collaboration between National Immunization Technical Advisory Groups: Report on the 3rd International Technical Meeting, Paris, France, 8-9 December 2014. Vaccine. 2016 Mar 8;34(11):1325-30. doi : 10.1016/j.vaccine.2016.01.063. Epub 2016 Feb 6. PMID : 268592378 Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? : Covid-19 : l’union sacrée de l’incompétence et de l’arrogance, Albin Michel, 2020 (ISBN 978-2226455185) 46, 47, 54.

9 Décidément, ILS n’ont toujours rien compris ! : Covid-19, celui qui dit la vérité doit être exécuté…, Paris, Albin Michel, 2021, 288 p. (ISBN 978-2226461339 et 2226461337).

10 https://www.isfj.fr/actualites/202103-ethique-journalistique/

11 . Accinelli RA, Ynga-Meléndez GJ, León-Abarca JA, López LM, Madrid-Cisneros JC, Mendoza-Saldaña JD. Hydroxychloroquine / azithromycin in COVID-19: The association between time to treatment and case fatality rate. Travel Med Infect Dis. 2021 Nov-Dec;44:102163. Doi

12 parution2021Le traitement ambulatoire précoce du COVID-19 avec HCQ+AZ comme norme de soins est associé à une très faible mortalité, et HCQ+AZ améliore la survie au COVID-19 par rapport à d’autres régimes. Citation DataReviews in Cardiovascular Medicine, ISSN : 2153-8174, Vol : 22, Numéro : 3, Page : 1063-107, l’efficacité du même traitement en préventif chez les travailleurs de la santé en Inde

13 Stricker RB, Fesler MC. Hydroxychloroquine Pre-Exposure Prophylaxis for COVID-19 in Healthcare Workers from India: A Meta-Analysis. J Infect Public Health. 2021 Sep;14(9):1161-1163. doi: 10.1016/j.jiph.2021.08.001. Epub 2021 Aug 5. PMID : 34391171 ; PMCID : PMC8340552.

image_pdfPDF A4image_printImprimer

Une guerre tiède

Ceci n’est pas un complot – YouTube à voir absolument et à diffuser. Parlez-en entre vous.

 

 

Ceci n’est pas un complot », un film de Bernard Crutzen   6 février 2021

« Vous avez vu « Malaria Business ». de Bernard Crutzen, voici « Ceci n’est pas un complot », sorti cette semaine, sur le traitement médiatique de la crise par les médias belges francophones. L’exemple belge est bien sûr généralisable. Un discours alternatif qui pourrait être rapidement censuré et est donc à partager massivement pour voir la réaction caricaturale prévisible des médias dominants la semaine prochaine ».

 

https://vimeo.com/504845318?fbclid=IwAR3v1kmZFssz_VC7c2XbpunuMuLEvjy2Re7dhcqOFVSAyxK2aMnT_ZaFD_A

 

Voici quelques phrases symboliques extraites de ce beau film qui invite à retrouver notre liberté de penser, de réfléchir, de vivre sans masques, sans distanciation. RETROUVER NOTRE LIBERTE.

 

Répétition des messages subliminaux.

Tous les médias participent à la campagne prétendument antivirus dont le but réel est de terroriser la population. La tv crée une hypnose collective puis une phobie collective. Les messages subliminaux se multiplient. Les images de patient jeune maquillé sont mises en avant alors que ce sont les vieux qui meurent de covid (ou le plus souvent d’une maladie ancienne accompagnée par un test covid19 positif).

Les entreprises d’information font de l’audience.

Le taux de mortalité du covid19 est pourtant extrêmement faible. Ce qui frappe est la discordance majeure entre le faible nombre de décès et l’intensité de la phobie. Pourtant les décès ont été largement surestimés en attribuant au coronavirus tous les décès avec tests positifs. Seuls 4 % des résidents décédés en Belgique sont vraiment décédés du seul covid. Mais on a interdit aux familles de leur faire des adieux dignes.

L’opposition médicale très large dans tous les pays ne peut s’exprimer que dans les médias alternatifs car elle n’a pas d’accès aux médias nationaux. Elle est traitée de complotisme qui permet d’éviter tout questionnement et empêche de poser les questions qui dérangent.  Est-ce que c’est être complotiste que de chercher et de révéler les conflits d’intérêts des doc TV ou des politiques ?

Les gens qui conseillent un gouvernement public mais ont en même temps des relations financières (ou autres) avec les entreprises privées du secteur concerné ne doivent-ils pas en informer les médias qui les interrogent ? En France la loi transparence santé l’exige mais les médecins des plateaux télé et les diffuseurs ne respectent pas cette loi et le conseil de l’ordre chargé par la loi de la faire respecter regarde ailleurs

 

Le documentaire revient sur les tests PCR falsifiés qui depuis des mois alimentent la peur, les mensonges d’état diffusés par les télévisions, truqués.

 

Il revient sur l’enfant de trois ans prétendument décédé du covid en Belgique alors que cette version a été contestée d’emblée par le père de l’enfant choqué qu’on instrumentalise sa fille. En fait le père dit que l’enfant avait une maladie neuromusculaire et une thrombose. La communication manipule la peur. L’info n’a pas été rectifiée malgré l’insistance de son père, y compris trois mois plus tard.

 

Le réalisateur interviewe le réanimateur belge Pascal Sacré, licencié pour avoir informé (faute grave !)

Les états de stress vont aggraver des problèmes de santé plus dangereux que le covid19 ; la peur est associée à une inhibition de l’action. La personne qui a peur est capable d’accepter tout et n’importe quoi.

 

Silence sur les évènements importants qui contestent la politique officielle

Le documentaire détaille les premiers rassemblements s’opposant au masque en aout 2020 et le silence sur l’énorme rassemblement à Berlin fin août en présence de Robert F Kennedy.

Puis grande propagande publicitaire pour les vaccins covid19 qui serait la seule solution à une crise dont on nie la possibilité de traiter simplement. Les pouvoirs qui envient la dictature chinoise voudrait nous imposer le vaccin puis un « passeport vaccinal » pour suivre tous nos déplacements (voir projet DAVOS).

Puis il raconte comment les gouvernants et les médias fustigent les comportements sociaux et en particulier les jeunes qu’on culpabilise en faisant croire qu’ils seraient responsables de la diffusion de l’épidémie. La presse s’en prend aux professionnels de la santé qui s’autorise à parler. On les traite de « marchands de déni », de « complotistes », de « rassuristes ».  Il rappelle l’exclusion du Dr Pascal Sacré réanimateur belge et les poursuites contre les médecins français pour avoir parlé.

Pourquoi les médias ne parlent-ils pas des manifestations dans plusieurs pays occidentaux, ni des décisions judiciaires comme celle du Portugal. Il analyse les censures médiatiques.

 

En fin de vidéo, il aborde ce que cache la crise du coronavirus, révélateur du fait qu’on a désinvesti le système de santé et que le désendettement de l’état avait diminué mais que tout a été effacé en 2020.
Le virus va être accusé de la faillite du système alors que c’est le confinement qui a couté des centaines de milliards. Les gouvernements ont détruit l’économie. Démission politique. Les exécutifs mènent la danse. Les médecins bafouent le secret médical, communiquent les données.  En quelques semaines on a bafoué les données personnelles.

 

Pourquoi a -t­-on fermé tous les lieux d’échange, universités, bars, théâtre ?  éviter au maximum les échanges entre humains qui pourraient contester cette hystérie organisée au service de la finance ?

La presse accompagne le pouvoir même dans ses délires.

MES AMIS SONT DEVENUS DES PIXELS

Ceci est une opportunité pour ceux qui rêvent de pouvoir fort et de peuple sage auquel les gouvernants font confiance. L’auteur espère un sursaut de l’intelligence collective, il faut en finir avec cette crise.

 

 

A regarder, partager, discuter entre vous, vos amis, reprendre contact au-delà de cette distanciation sociale sans fondement sanitaire (qui s’oppose à l’immunité collective qui a fonctionné dans les pays non confinés comme la Suède.)

 

, , ,
Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée.

Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée.

merci à Alain Tortosa de nous autoriser à publier son texte in extenso  que vous pouvez retrouver sur le lien en fin d’article

 

 

 

Si lorsque le résultat d’un problème donne 1/3 et si en cours de math, vous donnez comme résultat
0,3 le professeur de mathématique vous dira que votre résultat est inexact.
Et si en revanche vous donnez 1/3 de litres à votre prof de physique, c’est alors celui-ci qui vous
dira que c’est faux.

La médecine n’est pas une science exacte, elle ne peut se résoudre avec des équations et des modèles mathématiques.
Est-ce inhérent à la discipline, est-ce parce que notre espèce est trop primitive pour comprendre,
est-ce du fait d’un nombre quasi infini de paramètres que nous ne maîtrisons pas…

Toujours est-il que nous en sommes là.

Mais quel rapport avec le Covid ?
(Les décès du Covid chez les moins de 30 ans)
Prenons par exemple la population des moins de 30 ans et regardons les statistiques officielles de
Santé Publique France (1)
.
Nous avons au 28 janvier, 55 personnes décédées depuis le mois de mars, soit 0,0002% des moins
de 30 ans sur deux saisons (2)
.
Voici donc un premier biais manipulateur ou pervers.
Il y a 2 ans, lorsqu’une personne avec le VIH décédait après avoir croisé une grippe, strictement
personne sur la planète n’avait l’idée d’attribuer sa mort à la grippe.
Le moindre rhume aurait pu tout autant lui être fatale !
Mais depuis 2019, une personne avec un cancer en phase terminale testée positive 3 mois
auparavant et qui décède augmentera les statistiques Covid.
Ce qui est tout bonnement inadmissible mais pour autant préconisé par l’OMS (3)  !
Il n’y a donc PAS 55 décès dus au Covid chez les moins de 30 ans en France et sur deux saisons,
mais moins de 8 si on se focalise sur les personnes sans maladies chroniques connues (4)
.
Ce qui nous donne un taux de mortalité de 0,000032% , soit 1 décès pour plus de 3 millions
d’habitants, plus que la ville de Paris !

En tant que mathématicien,  je pourrais vous dire que le risque de décéder du Covid pour une personne en bonne santé de moins de 30 ans est donc de UN sur 3,1 millions.
Mais il y a 1,7 fois plus de décès par an en France de personnes jeunes tuées par la foudre, que de
décès chez les moins de 30 ans en bonne santé (5)  !!!

Ils ont ainsi plus de risque de mourir de la foudre que du Covid !
Je voudrais aussi rajouter quil y a 10 fois plus de jeunes qui décèdent par an en s’étouffant lors d’un
repas que de morts du Covid
.
Si j’affirme en physicien que le risque de mourir du Covid pour une personne de moins de 30 ans en bonne santé, (et même en mauvaise santé d’ailleurs) est NUL alors vous pourrez me rétorquer que c’est mathématiquement et factuellement faux.

J’imagine le titre d’un média décodeur de l’information du Ministère de la Vérité qui dirait
« Vous ne pouvez pas affirmer cela, il y a eu des morts chez les jeunes ! »

Si pour vous détendre, je vous propose maintenant de vous servir une menthe à l’eau mais que je ne
dilue qu’UNE seule goutte de sirop de menthe dans 185 litres d’eau (7) (soit 1 goutte pour environ 750
verres ) et que je vous sers alors un verre de « menthe » …
Qui est le menteur ?
– Celui qui vous dit qu’il y a quand même de la menthe dans votre verre ?
ou
– Celui qui vous dit que c’est de l’eau sans menthe ?
Si pour éviter la critique des pseudos-décodeurs de l’information, nous annonçons que  le risque de
décès est quasi nul pour les moins de 30 ans en bonne santé…
… alors nous induisons dans la tête du public qu’il y a un risque alors qu’il est NUL
C’est exactement de même nature que de laisser entendre qu’il pourrait y avoir de la menthe dans
une eau dépourvue de menthe.
Imaginons donc le Dr Poussa face à un patient de 25 ans en pleine forme qui lui parlerait vaccin et
qui lui demanderait quel danger mortel représente le Covid pour lui.

Si le Dr Poussa lui disait « le risque est quasi nul pour vous » alors son patient pourrait entendre «
quasi » et non « nul » alors même que le risque est plus faible pour lui que de mourir d’un coup de
foudre ou 10 fois plus faible que de s’étouffer en avalant son repas !
Allez-vous lui préconiser de se nourrir en intraveineuse pour éviter ce « risque » de décès en
mangeant alors même que la solution de l’intraveineuse n’est pas sans danger ?!

Mettre en place une thérapeutique pour diminuer un risque nul, ne peut que l’accroître !

Je rajouterai un bref mot sur les moins de 65 ans.
Selon Santé Publique France, moins de 1500 personnes sans problèmes de santé connus, sont
officiellement décédées du Covid depuis le mois de mars, soit 0,003% de la tranche d’âge sur deux
saisons (8)
!
Les moins de 65 ans ont ainsi plus de risque de mourir en tombant dans un escalier que du Covid.
La réalité est donc que l’on ne meurt pas du Covid quand on a moins de 65 ans et que l’on est en
bonne santé !
Cela a été confirmé par les statistiques INSEE sur l’année qui confirment qu’il y a eu moins de décès
dans cette tranche d’âge en 2020 qu’en 2019, c’est bien ce que l’on appelle un risque NUL9 !
Une vérité mathématique statistiquement infinitésimale qui est rapportée est donc de nature à
introduire une contre vérité factuelle.
Ne tombons pas dans ce piège pour éviter la critique de manipulateurs malhonnêtes vendeurs de
peur.

(brefs rappels sur la maladie)
Le Covid participe, en n’étant qu’une des causes, au décès de malades chroniques et de personnes en
fin de vie.
La preuve en est que l’âge médian des décès est de 85 ans (10), soit supérieur à l’espérance de vie.
93% des personnes décédées ont plus de 65 ans.

Je peux statistiquement affirmer que le Covid ne tue pas mais participe au décès.
– Il ne diminue pas statistiquement l’espérance de vie des moins de 65 ans
Et
Il n’entraîne qu’une baisse de surplus d’espérance de vie chez des personnes qui ont
généralement dépassé leur espérance de vie.

 

Parlons maintenant des tests et des fameuses personnes dites « positives ».
Nous sommes confinés, masqués, privés de nos libertés fondamentales uniquement pour rendre
visible une maladie dont nous ignorerions totalement son existence sans les médias…
Sans ce cirque médiatique mortifère, nous ne verrions que des malades chroniques décéder et des
personnes en fin de vie s’éteindre avec « une sale grippe ».
Mais depuis le mois de mars 2020 tout individu en bonne santé est devenu « un tueur en série
potentiel ».
Les autorités ont inventé le « psychopathe asymptomatique tueur froid de grand-parents » âgé de 7
ans !
Cela pourrait faire sourire, si ce n’était si dramatique et maltraitant.

 

Parlons du taux d’incidence, mensonge numéro 1 de mon intervention du jour.

Au 28 janvier.
Le taux d’incidence officiel qui permet de nous assigner à résidence et ainsi de nous priver
de liberté était de 210 pour 100 000 (Nombre de positifs pour 100 000 habitants ) (11)
Ce nombre est un faux car on ne calcule PAS un taux d’incidence par rapport aux nombre de
positifs mais par rapport au nombre de malades symptomatiques.

Plus de 90% des positifs ne sont pas des malades et ne seront pas des malades.
Et donc moins de 10% des positifs sont des symptomatiques, des « malades » ou de futurs
malades, soit environ 21 cas pour 100 000.
La preuve en est donné par le réseau Sentinelles.
Selon lui, le taux d’incidence en semaine 3 est de 15 pour 100 000 habitants
(12) .
Il était de 19 cas pour 100 000 en semaine 2 et de 26 cas pour 100 000 habitants en semaine

1.
Pour la petite histoire, le nombre de cas de Covid ne fait donc que chuter depuis le début de
l’année selon Sentinelles.
Dans le même temps le Bulletin épidémiologique de Santé Publique France ne reprend QUE
les données de surveillance des Infections Respiratoires Aiguës (Covid et autres) qui elles,
sont en hausse depuis le début de l’année.

En résumé Santé Publique France manipule les informations pour faire croire à une
augmentation du taux d’incidence de Covid en ne publiant que les données de
l’ensemble des infections respiratoires, alors que le taux d’incidence de Covid ne fait
que baisser depuis le début de l’année.
Cela voudrait dire que pour les trois premières semaines de janvier ce n’est pas le variant anglais, sud-africains ou de Papouasie du sud qui prend le dessus en France mais des
infections respiratoires autres que le Covid !

 

 

Pour revenir au taux d’incidence de la grippe, on considère qu’il y a un début d’épidémie à
partir de 170 cas pour 100 000 habitants (pic épidémique entre 300 et 500 cas pour 100
000).
Des positifs, ce n’est pas des malades.
Pour la grippe on ne teste pas des personnes asymptomatiques pour compter les cas, on
compte des malades avec des symptômes.

Autre preuve…
Au 3 avril, au pic épidémique, le taux d’incidence officiel était de 51 pour 100 000 alors
même que nous étions au pic des personnes en réanimation (13).
Deux fois plus de personnes en réanimation qu’en ce moment avec un taux d’incidence
quatre fois inférieur !
Pourquoi ? Parce que l’on ne fabriquait pas de faux malades à la pelle, comme aujourd’hui.
On ne testait pas des millions d’asymptomatiques (et on ne testait même pas tous les
malades).
Enfin si les asymptomatiques des semaines précédentes détectés par Santé Publique France
étaient ne serait-ce qu’un peu contaminants ou de futurs malades, cela se traduirait
mathématiquement par une augmentation des cas rapportés par le réseau sentinelles dans les
semaines suivantes, ce que nous ne constatons absolument pas.
Le taux d’incidence de positifs ne fait que croître depuis 3 semaines alors que le taux
d’incidences de cas rapportés par le réseau sentinelle ne fait que baisser.
Donc nous avons un ensemble de preuves « de terrain » que les positifs ne sont ni des
malades, ni des futurs malades, ni des contaminants.
En a t-on alors quelque chose à faire de détecter des positifs ?

 

Bienvenue à Pervers et Manipul’Land !
On nous dit aussi que nous devons renoncer aux droits de l’homme et introduire le délit de bonne
santé officiellement pour ne pas saturer les réanimations.

Les Hospitalisations, mensonge numéro 2 de mon intervention du jour.
Santé Publique France annonce au 29 janvier que 11 155 personnes14 ont été hospitalisées pour
Covid en semaine 3.
Le problème est qu’il n’y a que 4 147 hospitalisations suite à un passage aux urgences !
Où sont passés les 7 000 autres ?
Nous trouvons un début de réponse sur le site gouvernement.fr rubrique nombre de personnes
hospitalisées et la petite note que voici :

« Nombre de patients atteints de Covid 19 actuellement hospitalisés (15). »
Chaque mot ayant son importance, il n’est pas inscrit « hospitalisés pour Covid » mais uniquement
« hospitalisés ».
Nous pouvons trouver une explication de texte sur le document des autorités de santé «

Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie (16) ».

Page 13 :
« En effet, il convient de préciser que l’outil SI-VIC ne permet pas de distinguer les patients
hospitalisés pour des formes graves de Covid, des patients admis à l’hôpital pour d’autres
raisons (opération planifiée, crise d’appendicite, etc.) et qui s’avèrent être également
infectés par le SARS-Cov2. Ces derniers ne représentaient probablement que très peu de cas
au début de l’épidémie, mais leur proportion a pu augmenter par la suite, sans que l’on
puisse quantifier ce phénomène. »

On ne saurait être plus clair…
Une personne qui rentre à l’hôpital pour une opération programmée et qui est testée positive lors de
son admission, et ce sans le moindre symptôme, et sans être transférée dans un service Covid,
entrera dans les statistiques de personnes hospitalisées pour Covid !

Si on ajoute au nombre de personnes transférées des services d’urgence vers une unité Covid, les infections nosocomiales officielles de 0,35% (17) et que l’on considère que 10% (nombre très
pessimiste) des personnes testées positives lors de leur admission seront par la suite hospitalisées
pour Covid déclaré alors…

Les autorités sanitaires assument que des personnes non malades sont considérées comme hospitalisées pour Covid !

Plus de la moitié (56% au moins) des hospitalisations officielles pour Covid sont mensongères.
Nous pouvons déduire que le nombre total de personnes hospitalisées en France pour Covid
en semaine 3 n’était pas de 27 041 mais de 11 836.

 

 

Les Réanimations, mensonge numéro 3 de mon intervention du jour.
Santé Publique France annonce au 29 janvier que 61% des lits de réanimations (18) sont occupés par
des patients Covid.
C’est tout simplement FAUX, un mensonge d’État assumé par celui-ci.

Les données officielles montrent que 16% des lits de soins critiques sont occupés par des patients
Covid.
Pour rappel, les lits de soin critique sont la somme des lits de réanimation, des lits de soins intensifs
et de soins continue (19)… et il y en a plus de 19 000 en France vs 5400 de réanimation.
Santé Publique France n’a JAMAIS, je dis bien JAMAIS, fourni le nombre de personnes en
réanimation pour Covid, seul le nombre de personnes en soin critique est donné par les autorités.

Vous pouvez aller vérifier mes propos sur le site gouvernement.fr pour vous en assurer.
On nous dit donc que nous devons empêcher la propagation du virus pour ralentir les contagions et
de fait que nous devons détecter et isoler les personnes positives pour éviter qu’elles ne contaminent
d’autres personnes.

Tout ça dans le but de ne pas saturer des lits de soin critique qui n’ont JAMAIS été saturés au niveau national… 36% de taux d’occupation selon les données officielles au pic épidémique.
Nous nous préparons donc à une nouvelle augmentation du confinement pour 16% de patients  officiellement en soin critique pour cause de Covid… oui 16%

La contagion chez les personnes jeunes en bonne santé, mensonge numéro 4 de mon
intervention.

Les enfants et les moins de 30 ans en bonne santé ont un risque NUL comme les chiffres officiels le
montrent.
Pourquoi devraient-ils éviter la contamination alors même que leur contamination participe à l’immunité naturelle de masse et protège de fait les personnes en fin de vie ou à risque ?

 

A quoi bon détecter une personne jeune, en bonne santé et sans symptômes ?
A quoi bon isoler une personne jeune à moins que vous ne désiriez contrecarrer la protection des
personnes à risque !

Partons maintenant de l’hypothèse délirante, car factuellement démentie, que le but du
gouvernement serait de protéger les personnes à risque.

Hypothèse folle parce que :
– De 1, il n’y a jamais eu la moindre politique en direction des personnes à risque.
– De 2, quand on confine dans un même lieu des personnes à risque malades et non malades
vous vous attendez à quoi ?
– De 3, quand vous les empêchez de sortir, de voir du monde, leur famille, de prendre l’air,
vous imaginez quoi ?
– De 4, quand vous interdisez ou mettez toutes les barrières possibles pour les traitements
précoces, quel est votre objectif ?
On nous dit pour cela que nous devons porter des masques, nous isoler, nous tester en masse, etc.

Abordons les tests RT-PCR et la prévention des contagions, mensonge numéro 5 de mon
intervention.
Un individu positif au rt-pcr nasopharyngé nous informe-t-il de la présence de virus vivant dans son
organisme ?
Absolument pas.
Le test peut détecter du Sars-Cov2 vivant, des traces de virus « mort » et n’importe quoi si
on pousse trop le nombre de cycles d’amplification.
Le Test-PCR nous informe-t-il sur la charge virale d’une personne ?
Ici encore absolument pas.
Et il demeure évident qu’une personne qui a quasiment aucun virus ne sera pas en capacité
de contaminer qui que ce soit…
Une personne asymptomatique (positive sans symptômes qui ne développera jamais la maladie) ou
une personne pré-symptomatique (positive sans symptômes et qui développera plus tard des
symptômes) est elle contagieuse ?

Une fois de plus, le RT-PCR n’apporte pas la moindre réponse !
Avoir une trace de virus n’est pas prédictif de la possibilité d’être contaminant ou pas.
C’est ainsi que l’on en vient à « confinons toute la population » et au délit de bonne santé.

Nos autorités n’ont pas la possibilité et probablement pas l’intention de déterminer qui est
contagieux ou pas.

Je vous rappelle que si elles reconnaissaient que les asymptomatiques ne sont pas contaminants
alors toutes les mesures liberticides et dictatoriales s’effondreraient !
Plus de masques généralisés, plus de gestes barrières généralisés, plus de confinements généralisés, plus de commerces ou de loisirs fermés… un retour à la normale !

 

De fait, grâce au mythe de l’asymptomatique contaminant, une personne en bonne santé est
devenue, je le répète, un psychopathe potentiel… Nous nageons bien en plein moyen-âge !
Comment une personne asymptomatique, porteuse du virus, virus qui est un virus dont la
transmission est aéroportée ou indirectement par contact (exemple doigt dans la bouche puis sur
une poignée de porte, poignée touchée par une personne négative) pourrait contaminer son voisin si
elle ne tousse pas, ne mouche pas ou ne crache pas ?
Personnellement je n’ai pas besoin d’études en double aveugle pour me dire que cela ne va pas être
facile, facile pour le virus de contaminer le voisin.

Je peux vous affirmer sans risque et sans peur des décodeurs et autre manipulateurs que les
asymptomatiques ou les pré-symptomatiques ne peuvent pas constituer un circuit de contagion
significatif.
Notons au passage que la Suède a des résultats identiques à la France sans confinement, sans
masques et avec des restaurants ouverts.

Si la contamination asymptomatique était significative, la Suède devrait avoir une hécatombe

Et pour ceux qui sont rassurés par des études, celle de Wuhan sur environ 10 millions de personnes
suivies nous confirment bien que les asymptomatiques ne sont PAS (rappelez-vous de l’importance
de ne pas prendre pour réalité ce qui est statistiquement marginal), ne sont PAS contaminants, ce
qui demeure totalement logique et vérifié !
Vous pourriez me rétorquer, et notamment à propos des pré-symptomatiques que ceux-ci pourraient
avoir le virus dans la bouche sans pour autant tousser et cracher et ainsi contaminer autrui …

Pour répondre à cette question…
Est-ce que le test rt-pcr nous apporte une réponse ?
Non…
A l’inverse, une personne avec un rt-pcr négatif est-elle non contaminante ?

Vous n’en avez strictement aucune idée…elle a peut-être contracté le virus en touchant la
poignée de porte du centre où elle se rendait pour faire le test… Peut-être que les centres de
tests sont les plus importants clusters… et il serait alors peu probable que les autorités
communiquent sur le sujet.
Comment savoir si un cas contact devenu malade a été contaminé par le fameux positif
identifié ou par n’importe qui d’autre ? Nous n’en avons strictement aucune idée !

 

Avant de poursuivre ma démonstration, je voudrais vous apporter quelques précisions sur le RT
PCR.
Le RT-PCR peut se faire au fond du nez (nasopharyngé) ou dans la bouche (salivaire)
Le test rt-pcr salivaire n’est pas pratiqué en France, pourquoi ?
Soit disant parce qu’il ferait trop de faux négatifs  (20.)..

Expliquez moi un peu, le gouvernement cherche à fabriquer des positifs pour nous terroriser, nous
masquer, nous vacciner ou il cherche des personnes potentiellement contagieuses ?
Ne serait-ce pas le test nasopharyngé qui ferait des faux positifs et non le test salivaire qui ferait des
faux négatif ?

Comment expliquez-vous que le test salivaire soit valide pour la grippe (21) mais pas pratiqué pour le
Covid ?
Alors même si nous vivons au moyen-âge avec un président du conseil scientifique, SCIEN-TI-FIQUE qui affirme que nous avons à faire à un virus intelligent et diabolique (22)… si si ce n’est pas une
blague…

Pouvez-vous m’expliquer comment une personne positive au RT-PCR nasopharyngé et négative au
même test RT-PCR mais cette fois ci, salivaire, pourrait être contagieuse alors même qu’elle est
asymptomatique, qu’elle ne tousse pas, qu’elle ne mouche pas, qu’elle ne crache pas et, suivez-moi
bien, qu‘il est impossible de détecter la moindre trace de virus dans sa salive ?!
Cela me permet d’affirmer sans le moindre doute que si l’objectif des autorités de santé était de
détecter des personnes potentiellement contagieuses elles généraliseraient le test salivaire aussi bien aussi bien
rt-pcr qu’antigénique… Il y aurait moins de positifs et donc moins de faux-positifs…

Prendre la décision de mettre en œuvre quasi-exclusivement des tests nasopharyngés constitue une
preuve que l’objectif du gouvernement n’est pas la prévention mais la terreur.

Si nous voulions réellement prévenir la saturation des réanimations :
– Nous inviterions les personnes à risque à booster leur système immunitaire et prendre
des traitements préventifs.
– Nous testerions régulièrement les personnes à haut risque avec des tests salivaires et
culture virale si positifs.
– Nous inviterions les personnes à risque à se rendre chez leur médecin des les
premiers symptômes, médecins qui mettraient en place des traitements pour prévenir les
formes graves et avec une surveillance notamment de la saturation en oxygène pour détecter
une évolution défavorable de la maladie.
– Nous arrêterions totalement les tests pour les personnes qui ne sont pas à risque et
asymptomatiques.

Pour résumer :
Je réaffirme que les contaminations des asymptomatiques ou pré-symptomatiques sont nulles et si
elles existent, elles ne peuvent être que marginales.

Nous pourrions en savoir sans doute un peu plus en interdisant les tests nasopharyngés et en les
remplaçant par des tests salivaires.

Parler de risque de contagion asymptomatique est de fait du même ordre que de parler d’un risque
infime de décès pour les moins de 30 ans.
Rendre existant un fait statistiquement nul et non prouvé relève de l’erreur ou de la manipulation.

Le terrain nous confirme que les tests tels qu’ils sont pratiqués se servent qu’à fabriquer de la peur.
Je me répète mais transformer des asymptomatiques en tueurs potentiels n’a pour but que de rendre
visible une épidémie dont nous ignorerions jusqu’à son existence si les médias ne nous avaient pas «
informé ».

Le seul objet est de nous obliger à porter un masque et réduire drastiquement les droits de l’homme.
La manipulation systématique des données, les faire converger dans une seule direction,
promouvoir une vision la plus catastrophique possible et la plus éloignée de la réalité épidémique,
ne peut pas relever du simple hasard mais n’être qu’intentionnelle...

En revanche je ne dispose pas de réponses, disons plus de preuves à la question « qui » (décide) et «
pour quoi » (en deux mots).
Les mesures liberticides imposées ne sont de fait QUE politiques et ne visent en rien la santé des
français.

Alain Tortosa

31 janvier de l’an II de la dictature sanitaire.

https://7milliards.fr/tortosa20210131-asymptomatiques-perversion-chiffres.pdf

1 https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=19&i=covid_hospit_clage10.dc&s=2020-12-
31&t=a01&view=map1
2 Population Insee https://www.insee.fr/fr/statistiques/1892086?sommaire=1912926
3 OMS classification des décès https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-
20200423_FR.pdf
4 Comorbidités. Bulletin épidémiologique. https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
5 Foudre https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2534528-orage-foudre-definition-foudroiementdefinition-que-faire-eviter-risques-danger/
6 Décès de la vie courante http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2017/1/pdf/2017_1_1.pdf
7 Volume goutte eau https://fr.wikipedia.org/wiki/Goutte_(volume)
8 Pourcentage décès sans comorbidités Bulletin épidémiologique.
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
9 Insee décès 2020 https://www.insee.fr/fr/statistiques/4931039?sommaire=4487854
10 Age médian des décès https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
11 Taux d’incidence https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
12 Taux d’incidence réseau sentinelles https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/
13 Taux d’incidence en avril https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
14 Hospitalisations
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/315275/document_file/COVID19_PE_20210128_VF.pdf
15 Patients hospitalisés https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
16 Parcours hospitalier https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dd67.pdf
17 Infections nosocomiales https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/313368/2895317
18 Taux occupation lits de réanimation
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/315275/document_file/COVID19_PE_20210128_VF.pdf
19 Patients en soin critique SR/SI/SC https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
20 Test salivaire « Viral Load Kinetics of SARS-CoV-2 Infection in Saliva in Korean Patients: a Prospective Multicenter Comparative Study » https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32776725/
21 Test salivaire grippe Comparison of Nasal and Nasopharyngeal Swabs for Influenza Detection in Adults
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3494547/
22 Virus diabolique https://www.bfmtv.com/sante/jean-francois-delfraissy-on-a-affaire-a-un-virus-diabolique-etbeaucoup-plus-intelligent-qu-on-ne-le-pense_VN-202101240184.htm

, , ,
Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité ?

 

 

« Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité. Une avocate dénonce les mesures sanitaires et la manipulation autour du Covid-19 [Interview] (breizh-info.com) 3 12 2020 »

Une avocate française dénonce les mesures sanitaires et la manipulation autour du Covid-19 sur breizh-info.com. Après la plainte allemande initiée par Reiner Fuellmich en vue d’un Nuremberg 2[1], et la jurisprudence portugaise condamnant l’utilisation du test PCR comme moyen insuffisant de diagnostic, d’autres juristes s’intéressent au sujet. Nous citerons come exemple, une interview de l’avocate Virginie de Araujo-Recchia sur Breizh-info (reprise par dreuz info) relatant son point de vue particulièrement sévère de la situation de notre pays, depuis presque un an.

 

A la suite de l’article de Breiz info s’interrogeant sur la possibilité de faire reconnaitre les mesures sanitaires et leurs conséquences sur la population française avec la dénomination de « torture », l’avocate a adressé au site cité un rapport accablant pour l’Etat Français.

Elle rapporte avoir relevé de nombreuses et graves atteintes à l’intégrité physique, psychique et morale des citoyens ainsi que de nombreuses atteintes aux intérêts fondamentaux de la Nation. Elle fait part de son analyse au regard des principes juridiques applicables et son anticipation des problématiques relatives à la vaccination.

Ce rapport contient une partie spécifique concernant le port du masque obligatoire pour les enfants et adolescents dès six ans, car l’atteinte à leur développement et à leur santé est extrêmement préoccupante.

Conclusions de l’avocate :

« Les mesures prises depuis le début de la crise et les techniques de manipulation employées tendent à qualifier pénalement ces actes de terrorisme d’Etat et de crime contre l’humanité, étant donné les graves atteintes portées à la santé physique et mentale des citoyens et plus généralement aux intérêts fondamentaux de la Nation, en troublant l’ordre public par l’usage de la peur et de la terreur ».

En ce qui concerne les enfants et les adolescents, le fait d’imposer le port du masque obligatoire dès 6 ans, avec les conséquences que cela implique pour leur santé, correspond pénalement à un acte de maltraitance et de torture.

En outre, dans l’hypothèse où le vaccin/thérapie génique serait imposé dans le futur (à un groupe ou à l’intégralité de la population) par la voie légale ou par la terreur, alors qu’il s’agit d’un traitement expérimental, des poursuites pénales pourraient alors être engagées par dépôt de plainte pour acte de terrorisme et crime contre l’humanité. »

Virginie de Araujo-Recchia dit avoir analysé les faits pris dans leur ensemble afin de les qualifier juridiquement. Les actes de terrorisme et les crimes contre l’humanité sont clairement définis par le Code pénal français (articles du Code pénal repris in extenso dans le rapport).

« Pensez-vous que le fait de bâillonner et de confiner toute une population sans justification scientifique établie, le fait de manipuler la population en employant des techniques de torture décrites dans la Charte de Biderman ou les expériences de Milgram pour soumettre la population ne sont pas des procédés disproportionnés et criminels ? » dit -elle.

Les griefs énoncés correspondent aux faits constatés et croyez-moi, cela ne me réjouit absolument pas de faire ce terrible constat.

 D’après Virginie de Araujo-Recchia : des actions juridiques sont envisageables à plusieurs niveaux :

Sur le plan pénal, les tests PCR, utilisés pour justifier toutes les mesures liberticides prises en cascade ont déjà été condamnés par la cour d’appel de Lisbonne (arrêt du 11 novembre 2020 – 1783/20.7T8PDL.L1-3, Margarid Ramos de Almeida). Ce jugement a déclaré illégale une mesure de quarantaine car basée sur les seuls tests PCR positifs [2]

L’Allemagne a engagé des poursuites pour crime contre l’humanité et des associations de consommateurs italiennes ont déposé plainte auprès de neuf parquets, pour délit de fraude aggravée, fausse idéologie et homicide involontaire à l’encontre du gouvernement italien.

–L’avocate imagine encore que des parlementaires intègres pourraient engager les procédures suivantes :

« Une procédure de destitution du président de la République étant donné les graves manquements à ses devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice de son mandat dont la mise en péril des intérêts fondamentaux de la Nation, terrorisme d’Etat et crime contre l’humanité (article 68 de la Constitution).

Une procédure de motion de censure à l’égard du gouvernement étant donné le caractère objectivement disproportionné des mesures prises depuis le début de la crise et pour les mêmes raisons sus-indiquées (article 49,3 de la Constitution) ».

 L’avocate pense qu’il est urgent d’agir car « un test d’obéissance a été effectué à grande échelle et il porte ses fruits ». L’Europe serait pour elle, « un véritable champ d’expérimentation pour les plus grandes fortunes de la planète, adeptes du transhumanisme, vers un monde aux antipodes des aspirations de la majorité des citoyens ».

 

Virginie de Araujo-Recchia souhaite dire aux citoyens, qu’il n’est pas trop tard pour agir et revendiquer nos libertés les plus fondamentales, mais le temps nous est compté.

Quant aux dirigeants, « ils sont responsables de dommages conséquents et irréversibles. A ce titre, l’atteinte est telle qu’ils ne pourront jamais indemniser les citoyens du temps de vie perdu tout au long de ces mois confinés, masqués, réprimés, abusés, manipulés, torturés, humiliés. »

« Il est encore temps de limiter les conséquences désastreuses de leurs décisions. Il est temps pour eux de démissionner pour laisser place à des personnes compétentes et intègres, qui ne seront pas à la solde d’intérêts supranationaux. Les citoyens français ont besoin qu’on leur fasse confiance et ils ont besoin de faire confiance pour avancer et reprendre le cours normal de leur existence ». [3]

 

Le rapport de l’avocate est très intéressant.[4] Il rappelle que « le principe de respect de la dignité de la personne humaine fait partie du bloc constitutionnel (i.e. ensemble des principes et dispositions que doivent respecter les lois, cet ensemble prime sur les Traités, les Conventions et le Droit européen dans la hiérarchie des normes).

« Concrètement, le principe de dignité exige, pour reprendre la formule du Conseil constitutionnel, de sauvegarder la personne humaine « contre toute forme d’asservissement ou de dégradation ». La dignité implique que la personne reste maître de son corps et d’elle-même, ce qui suppose qu’elle ne se trouve pas aliénée ou asservie à des fins étrangères à elle-même. »

Elle détaille dans son rapport des Décisions allant à l’encontre des intérêts fondamentaux de la Nation et des citoyens :

« Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel de ces mesures.

Nous pouvons notamment le constater à la lecture de la décision du Conseil constitutionnel n°2020-808 DC du 13 novembre 2020, relative à la loi autorisant la prolongation de l’état d’urgence sanitaire , par laquelle le Conseil constitutionnel refuse  de censurer ladite loi alors que: – le gouvernement a utilisé la procédure des votes bloqués (art. 44, al.3 de la Constitution), empêchant ainsi d’adopter un amendement réduisant la période de confinement (amendement qui avait été adopté lors du premier vote), l’exécutif bafoue continuellement le bloc constitutionnel depuis le début de la crise.

Les conséquences découlant de ces confinements sont désastreuses pour la santé,

-la vie des citoyens et l’économie du pays en violant par là même les droits du peuple :

– Violation de la liberté individuelle et du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation.

– Violation de la liberté de circuler/d’aller et venir : en ce sens l’Etat est coupable de détention arbitraire à l’égard des citoyens en temps de paix. Les citoyens qui contreviennent à une mesure de confinement sont verbalisés.

Volonté de mettre à l’isolement des citoyens « positifs » au test et non pas malades s’apparentera à des mesures de séquestration. L’Etat entend verbaliser les personnes qui enfreindraient la « quarantaine » à hauteur de 10 000 euros.

– Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.

Violation de la liberté d’entreprendre et inégalité de traitement : les P.M.E. soit les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel etc.

En somme tous les non-fonctionnaires (or alimentaire, pharmacie, journaux et tabac) pâtissent de ces mesures liberticides et mortifères. De nombreuses procédures de liquidation judiciaire sont attendues, mais les mesures ne sont pas levées malgré l’appel du peuple.

– Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple.

– Violation du droit à l’éducation durant le premier confinement.

– Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Eglises de France alors que les croyants ont besoin d’apaisement.

– Accord de la France concernant le plan de relance européen, lequel ouvre la porte à l’intégration européenne en créant un budget européen, sans qu’aucun débat politique n’ait été mené en France. Les citoyens doivent désormais s’attendre à la création d’un impôt européen. »

Il est évident que ce rapport est une mine d’informations qui justifiera plus amples commentaires et permettra à l’auteur de défendre les citoyens devant les tribunaux. Merci à elle pour cette immense aide pour tous.

 

Nos droits fondamentaux sont bafoués sans aucune raison sanitaire réelle. Nous ne pourrons retrouver nos libertés qu’en appuyant les plaintes en justice par des actions collectives massives.

 

[1] L’objectif des 5000 cas par jour : encore une énorme arnaque – Riposte Laïque Riposte Laïque (ripostelaique.com)

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[2] Car les tests PCR positifs réalisés chez des sujets asymptomatiques avec plus de 40 cycles d’amplification correspondent dans 90% des cas à des personnes ni malades ou ni contagieuses.

[3] Propos recueillis par YV Breiz-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine.

[4] file:///C:/Users/nicol/Desktop/RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

, ,
Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques

 

Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, procédures en cours

 

 

Vers le Nuremberg du Covid :  les procédures en cours

 

 En Autriche, la Cour constitutionnelle a rendu une ordonnance le 12 novembre 2020, non seulement pour clarifier la séparation des pouvoirs et souligner que le pouvoir législatif doit être impliqué, mais aussi pour qu’il y ait une discussion approfondie où les deux parties sont entendues (d’autres scientifiques que ceux oints par le gouvernement, leurs opinions doivent également être prises en considération).

 

Au Portugal, la cour d’appel a confirmé en novembre que le test PCR ne peut en aucun cas justifier un isolement d’une personne de surcroit non malade.

 

Nous avons informé les lecteurs de France Soir[1] de l’aventure portugaise de quatre allemands isolés sous contrainte dans un hôtel sous le fallacieux prétexte que l’un d’entre eux avait un test PCR positif à l’arrivée de l’avion (négatif au départ). La plainte de ces personnes retenues et isolées de force en raison d’un simple test positif a été très utile à l’ensemble des populations de la planète soumise à cette hégémonie d’un test que son inventeur H Mullis[2] estimait lui-même absolument inadapté pour poser un diagnostic d’une infection virale. La justice a donc statué sur l’enfermement illégal des plaignants et ordonné leur libération[3].

 

 

 

Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR [4]

 

Les principales conclusions juridiques sont :

 

Le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire

 

 La justice n’a pas vocation à poser un diagnostic en lieu et place d’un médecin

 

 Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins

 

 Le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens.

 Elle n’est pas respectée car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes [5].

 

 

 En Allemagne : Le château de cartes va s’effondrer par la mise en cause des tests PCR

 

 

 

L’analyse de la commission d’enquête parlementaire allemande et internationale extra- parlementaire [6] [7]  a amené aux conclusions suivantes :

 

 

 

Les confinements furent inutiles et le sont toujours !

 

La commission confirme ici les analyses publiées dès le 20 mars et jusqu’à maintenant [8] [9]  [10]affirmant que le confinement aveugle est inutile et toxique, ce que de nombreux auteurs dans le monde ont également affirmé, publié, déclaré dans nombre de vidéos.

 

« 1. Des confinements ont été imposés à un moment où le virus reculait déjà et où les taux d’infection commençaient à baisser.

 

  1. Les preuves scientifiques montrent qu’une majorité de personnes bénéficient déjà d’une immunité contre le virus en raison de l’immunité des lymphocytes T à réaction croisée contre l’exposition aux virus du rhume et de la grippe

 

  1. Le test PCR – qui sert à mesurer les taux d’infection et à justifier les mesures restrictives – « ne donne aucune indication d’une infection par un virus, encore moins une infection par le SRAS-CoV-2 ».»

 

Le conseil du dr Reiner Fuellmich :

 

« Aux politiciens, qui croient ces gens corrompus, ces faits sont offerts comme une bouée de sauvetage, qui peuvent vous aider à réajuster votre ligne de conduite et à entamer le débat public scientifique attendu depuis longtemps et à ne pas tomber avec ces charlatans et ces criminels. »

 

La fraude du test PCR

 

Le test PCR n’a pas été approuvé à des fins de diagnostic. Son inventeur, Kary Mullis, a souligné à plusieurs reprises, mais sans succès, que ce test ne devait pas être utilisé comme outil de diagnostic.

 

« Les tests PCR sont tout simplement incapables de diagnostiquer une maladie … Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente. Si une personne est testée positive, cela ne signifie pas qu’elle est infectée par quoi que ce soit, encore moins par le virus contagieux du SRAS-CoV-2. Même le CDC des États-Unis… est d’accord avec cela et je cite directement la page 38 de l’une de ses publications sur le coronavirus et les tests PCR du 13 juillet 2020.
La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques.
Les performances de ce test n’ont pas été établies pour le suivi du traitement de l’infection au 2019-nCoV.

Ce test ne peut pas exclure des maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Les écouvillons PCR prennent une ou deux séquences d’une molécule qui sont invisibles à l’œil humain et doivent donc être amplifiées en plusieurs cycles pour la rendre visible. Tout > 35 cycles est  considéré comme totalement non fiable et scientifiquement injustifiable. »

Cependant, le test Drosten ainsi que les tests recommandés par l’OMS… sont fixés à 45 cycles. Est-ce que cela peut être dû au désir de produire autant de résultats positifs que possible et de fournir ainsi la base de l’hypothèse erronée qu’un grand nombre d’infections ont été détectées ?  » se demande l’avocat Reiner Fuellmich
Les tests PCR ne peuvent pas faire la distinction entre virus inactifs et « vivants » ou reproducteurs. En conséquence, ils peuvent ramasser des débris morts ou des particules virales inactives qui ne présentent aucun risque pour le patient et les autres.

 

Le test peut détecter la présence d’autres coronavirus, donc un résultat positif peut simplement indiquer que vous avez récupéré d’un rhume dans le passé. Nombre d’entre nous ont déjà donné toutes ces informations et espérons que le fait qu’elles viennent d’une grande instance internationale convaincra plus de personnes encore adeptes malgré elles de la secte Covid.[11]
« Même Drosten[12] lui-même a déclaré dans une interview accordée à un magazine économique allemand en 2014… que ces tests PCR sont si sensibles que même des personnes en très bonne santé et non infectieuses peuvent être testées positives », note Fuellmich.
« À mon avis, il est tout à fait invraisemblable que [Drosten] ait oublié en 2020 ce qu’il savait des tests PCR et a dit au magazine économique en 2014. Bref, ce test ne peut détecter aucune infection, contrairement à toutes les fausses allégations selon lesquelles il le pourrait. »
Une infection, une soi-disant infection avec fièvre, nécessite que le virus… pénètre dans les cellules, s’y réplique et provoque des symptômes tels que maux de tête ou mal de gorge. Ce n’est qu’alors qu’une personne est réellement infectée, au sens d’une infection avec fièvre ; car ce n’est qu’alors qu’une personne est contagieuse, c’est-à-dire capable d’infecter les autres.
Jusque-là, le virus est totalement inoffensif pour l’hôte et toutes les autres personnes avec lesquelles l’hôte entre en contact … Un certain nombre de scientifiques hautement respectés dans le monde affirment qu’il n’y a jamais eu de pandémie de la corona mais seulement une pandémie de test PCR … »[13]
Dommage collatéral
La pandémie n’a pas entraîné un nombre supplémentaire de décès ou un nombre de morts plus élevé que la normale, MAIS les dommages collatéraux des mesures de riposte à la pandémie sont presque incalculables.

 

La santé publique, tant physique que mentale, ainsi que l’économie mondiale, ont toutes subi des coups terribles.

 

ARTICLE DE LA FAUSSE ALERTE

 

Fuellmich cite un document divulgué par un fonctionnaire allemand du ministère de l’Intérieur, surnommé « l’article de la fausse alerte » : « il n’y a aucune preuve suggérant que le SRAS-CoV-2 pose un risque grave pour la santé de la population, du moins, le danger n’est pas plus grand que celui de nombreux autres virus, tandis que les mesures pandémiques ont des conséquences « multiples » et « graves ».

 

« Ceci, conclut-il, conduira à des demandes de dommages-intérêts très élevées, dont le gouvernement sera tenu pour responsable. Cela est maintenant devenu une réalité mais l’auteur du journal a été suspendu », a déclaré Fuellmich.
« De plus en plus de scientifiques, mais aussi d’avocats, reconnaissent qu’en raison de la panique délibérée et des mesures corona permises par cette panique, la démocratie est en grand danger d’être remplacée par des modèles totalitaires fascistes …

Selon les psychologues et psychothérapeutes qui ont témoigné devant le comité corona, les enfants sont traumatisés en masse, avec les pires conséquences psychologiques à prévoir à moyen et long terme ».

Rien qu’en Allemagne, de 500 000 à 800 000 faillites devraient frapper à l’automne les petites et moyennes entreprises qui constituent l’épine dorsale de l’économie. Cela se traduira par des pertes fiscales incalculables et des transferts d’argent de la sécurité sociale incalculablement élevés et à long terme pour, entre autres, des allocations de chômage. « 

 

Conséquences juridiques

Fuellmich passe en revue les conséquences juridiques actuellement en cours dont l’examen de la constitutionnalité des mesures. Il note :
« Très récemment, un juge, Torsten Schleife… a déclaré publiquement que la justice allemande, tout comme le grand public, était tellement paniquée qu’elle n’était plus en mesure de rendre la justice correctement. (…). » Il souligne que les citoyens allemands
subissent actuellement la réduction la plus grave de leurs droits constitutionnels depuis la fondation de la République fédérale d’Allemagne en 1949. »

 

 

 

Fraudes et manipulations intentionnelles

 

 

Fuellmich montre des preuves qu’«une gamme de mensonges et de fausses déclarations de faits ont été délibérément diffusées », de sorte que, selon les règles du droit pénal, « cela ne peut être considéré que comme une fraude » et « selon les règles de la responsabilité civile, cela se traduit par des dommages intentionnels. « [14]
Pour répondre à ces griefs, la commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona va intenter un recours collectif – un recours juridique disponible aux États-Unis et au Canada – contre les parties responsables.

« Il convient de souligner que personne ne doit se joindre au recours collectif, mais chaque partie lésée peut se joindre au recours collectif« , explique Fuellmich. 

« L’avantage du recours collectif est qu’un seul procès est nécessaire, à savoir, pour juger la plainte d’un représentant des plaignants qui est touché d’une manière typique de tout le monde dans le groupe. »

Les choses ont pris forme et la plainte a pu être déposée le 23 novembre

 

Voici le communiqué de presse : « Le test PCR va au tribunal »

 

Poursuite intentée à Berlin – infections non détectables :  communiqué de presse fourni par l’avocat Reiner Fuellmich [15]

 

« Le test PCR est suspendu comme une épée de Damoclès sur des millions d’Allemands depuis des mois.

 

 Selon le résultat, il existe un risque d’interruption massives dans la vie quotidienne.

 Ce test a maintenant trouvé son chemin vers les tribunaux : une action a été déposée auprès du tribunal régional de Berlin.

 L’argument principal : le test n’est ni adapté ni destiné à la détection d’une infection. Et cela rend la chaîne : test positif – infecté – contagieux, fausse et donc dangereuse pour les autres

 

 

Première étape : le procès en diffamation

 

 

Globalement, la plainte de 54 pages aborde le procès en diffamation contre le site Web « Volksverpetzer ». Ce dernier en tant que « vérificateurs de faits », a insulté des personnes qui s’expriment de manière critique à propos des mesures corona et les ont diffamées en les qualifiant de menteurs, d’idiots et d’extrémistes de droite.

 

 

 Par exemple, le spécialiste du poumon bien connu Dr. Wolfgang Wodarg, ancien chef d’un service de santé et membre du Bundestag et du Conseil de l’Europe.

 

 Avec la grippe porcine, il a exposé les machinations de l’industrie pharmaceutique en 2010 et a probablement sauvé d’innombrables personnes du mal. Des centaines d’enfants vaccinés souffrent maintenant de narcolepsie. Début 2020, Wodarg a reconnu des parallèles inquiétants entre ce qui s’est passé alors et Corona aujourd’hui.  

 

Stratégie globale des avocats allemands

 

Cette action en diffamation n’est qu’une partie d’une stratégie plus globale : il s’agit essentiellement d’exposer l’utilisation incorrecte du test PCR.

 

« Nous voulons faire d’une pierre deux coups ici », a expliqué l’avocat, Dr. Reiner Füllmich, dans le bureau duquel la plainte a été rédigée sur la base des travaux préliminaires du Comité Corona de Berlin. Le lien est Wodarg, qui a également critiqué les tests.

 

« Le test PCR inadapté est la pierre angulaire de toute la débâcle corona. Cette pierre doit être brisée pour que tout le château de cartes s’effondre finalement », a déclaré Füllmich, expliquant le but réel du procès.

 

 

« Le test PCR est inadapté pour déterminer une infection » – c’est la conclusion unanime de plusieurs scientifiques de la pratique clinique et de la recherche quotidiennes.

 

En juillet, un groupe d’avocats composé de Viviane Fischer, Dr. Justus Hoffmann, Antonia Fischer et Dr. Fuellmich avait ainsi fondé le « Comité d’enquête sur la gestion di corona » de Berlin et a par la suite invité toute une armada d’experts de divers domaines spécialisés pour découvrir le contexte de la crise. Le test PCR a été discuté encore et encore.

 

 Les experts ont confirmé que le test PCR n’est pas adapté pour poser le diagnostic de Covid19, jugement critique est confirmé par le CDC – la plus haute autorité sanitaire américaine. Le test PCR recherche des extraits de virus.

 

Le CDC a déclaré : « La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou ni que le COVID-19 est l’agent causal des symptômes cliniques. »  L’agence conclut qu’une grande proportion de décisions sérieuses sont très probables est basé sur des résultats de test incorrects « .

 

Même l’industrie pharmaceutique avoue. Dr. Mike Yeadon, ancien directeur et scientifique en chef du géant pharmaceutique Pfizer, aurait déclaré : « Ce test est fatalement défectueux et doit être retiré immédiatement. » Les tests sont à environ 90% de faux positifs. Ils seraient « utilisés uniquement pour créer la peur ».

 

Une évaluation similaire vient du Canada : le professeur de médecine Roger Hodgkinson a récemment déclaré lors d’une audition au Parlement à Ottawa : « Je tiens à souligner que je suis actif dans l’industrie du dépistage du COVID. Je tiens à souligner que des résultats de test positifs ne signifient pas une infection clinique. Cela ne fait que susciter l’hystérie publique. » Le Risque pour les moins de 65 ans de mourir du COVID-19, est inférieur à un à 300 000 personnes.

 

 « Il y a une hystérie publique totalement infondée qui est menée par les médias et les politiciens. C’est la plus grosse fraude jamais commise contre un public sans méfiance. « 

 

L’inventeur du test PCR, le lauréat du prix Nobel Kary Mullis, décédé en 2019, a souligné à plusieurs reprises que le test PCR ne peut diagnostique une infection virale.

Même le virologue en chef allemand Christian Drosten, développeur du test PCR pour COVID-19, avait déclaré dans le « Wirtschaftswoche » en 2014 que le test PCR testerait également des personnes très saines et non contagieuses positives.

 

 

Depuis mi-janvier 2020, cependant, le « test Drosten » est l’outil utilisé pour évaluer les « personnes infectées ». Une contradiction flagrante.

 

 

En outre, la plainte indique clairement que, en particulier lors du développement du test Drosten PCR, qui a été vendu des millions de fois aux États-Unis sur la base de la recommandation de l’OMS, des erreurs flagrantes ont été commises.

 

 

 

 STRATEGIE PLUS GLOBALE

 

. « Ce procès n’est que le premier pas vers une stratégie encore plus large », a expliqué l’avocat Füllmich.

 

Après tout, toutes les mesures du confinement – avec des conséquences économiques et psychologiques dévastatrices – au déclin de l’éducation, de l’art et de la culture et à l’obligation de porter un masque, reposent sur ce test inadapté.

 

 Pour l’avocat, la crise corona est une « pandémie par étapes » qui constitue également une menace pour la démocratie et la liberté d’expression. Tout cela doit être traité légalement et les responsables doivent rendre des comptes. »

 

 

 

Füllmich travaille en étroite collaboration avec les autres avocats du comité Corona Viviane Fischer, Dr. Justus Hoffmann et Antonia Fischer, leurs conseillers médicaux Prof. Dr. Ulrike Kämmerer et Dr. Wolfgang Wodarg et leur conseiller juridique, le Prof. Dr. Martin Schwab.

 

Il existe également une coopération étroite avec des cabinets d’avocats renommés aux États – Unis – dont un groupe d’avocats dirigé par Robert F. Kennedy, jr. et sa défense de la santé des enfants – et le Canada ; les premiers procès y sont attendus ces jours-ci.

 

L’Autriche est également dans les starting-blocks avec un procès avec le même contenu. Un tribunal portugais a récemment levé les mesures de quarantaine en raison du test PCR inadapté, car il s’agissait d’une « détention sans fondement factuel ».

 

« Sur la base des données que nous avons méticuleusement collectées, tout avocat peut désormais travailler ici en Allemagne et à l’étranger », a déclaré Füllmich.

 

Cela s’applique à la fois à une attaque contre les tests PCR et aux poursuites judiciaires contre d’autres médias coupables de diffamation de personnes ayant une attitude critique. La valeur en litige du procès contre le « peuple perfide » est de 250 000 euros.

Ce communiqué de presse a été commenté dans la presse allemande, mais ne semble pas avoir franchi les frontières de la presse française grand public ni des médias télévisés (sauf France Soir).

 

Une  interview  Dr. Reiner Füllmich publié le 11 novembre 2020 dans le Fuldaer Zeitung et version  en ligne sur fuldaerzeitung.de . « Critique sévère du verrouillage de la covid19 : l’avocat Reiner Füllmich attaque le virologue Drosten et le patron du RKI Wieler   parVolker Nies[16]

En résumé, l’avocat Dr. Reiner Füllmich réclame des dommages-intérêts pour les entreprises qui ont subi des pertes en raison du confinement lié au covid par des Recours collectif aux États-Unis et procès devant les tribunaux allemands. Il accuse ceux qui disent que le test PCR permet de diagnostiquer les infections. Ce sont avant tout le virologue Prof. Dr. Christian Drosten et Lothar Wieler, président de l’Institut Robert Koch.

 Les poursuites visent également les politiciens qui se sont appuyés sur les conseils de Drosten et Wieler.

Au tribunal, les avocats demanderont pourquoi les politiciens n’ont pas également entendu d’autres experts – tels que le lauréat du prix Nobel et le professeur de Stanford John Ioannidis. Selon lui, le virus est beaucoup moins dangereux que Drosten et le RKI (robert koch Institute) le prétendent. Il a calculé que 0,14% des patients atteints de Corona meurent. Cela signifie que le coronavirus n’est pas plus dangereux que la grippe.                    

Les restrictions ont été ordonnées par les gouvernements fédéral et des États. Pourquoi ne les poursuivez-vous pas ?  Nous voulons que les personnes responsables – droit civil et pénal – soient responsables dans tous les cas. Nous commençons là où nous sommes sûrs de réussir.

De quoi accusez-vous les experts médicaux ?

Si nous pouvons prouver à MM. Drosten et Wieler devant le tribunal qu’ils ont délibérément menti, alors il y a des dommages immoraux intentionnels selon l’article 826 BGB. Lors de l’obtention des preuves, les politiciens devront bien entendu également répondre.      

Même si les conseils de Drosten et Wieler étaient erronés, ils ne sont pas responsables du confinement.

La politique pour le verrouillage du Conseil de Drosten et Wieler est familière.

 Les deux ont fait deux fausses déclarations : ils disent qu’il y a une infection asymptomatique – des personnes sans signe de maladie pourraient propager le virus – et l’infection peut sur la PCR – des tests sont détectés. Les personnes qui diffusent ces fausses déclarations en sont responsables.

 Nous serons devant la cour et prouverons que les tests PCR ne sont pas appropriés pour détecter une infection.                       

L’Institut Robert Koch explique que la précision du test PCR est de près de 100% s’il est effectué et évalué correctement. Mais il s’agit de la bonne utilisation.

 Dans le processus du test PCR, des traces du génome du virus sont reproduites – dans de nombreux cycles. En Allemagne, tous les tests sont évidemment ajustés à des valeurs élevées sur un grand nombre de cycles afin de produire autant de résultats positifs que possible. Cependant, un résultat positif ne signifie pas que la personne affectée est toujours contagieuse. Même les composants génétiques d’une grippe antérieure peuvent conduire à un résultat positif.        

Le problème est le nombre élevé de cycles dans l’analyse ?

Entre autres choses. Le « New York Times » rapporte que la majorité des vrais résultats de PCR faux positifs aux Etats-Unis sont basés sur des valeurs de cycles aussi élevées. Là, il est discuté de rejeter généralement les tests avec plus de 30 cycles. Le département de la santé de Francfort discute maintenant complètement correctement dans le but de tout ignorer à partir de 25 cycles.  Si le danger du coronavirus est de 0,14% [17]et donc au niveau de la grippe, et que les tests PCR sont pour la plupart faux positifs, alors quelque chose est exagéré de le présenter comme une maladie très dangereuse, ce qui n’est pas la vérité.

 Les tests PCR ne sont évidemment qu’un outil de panique

Pourquoi ne pas faire les tests correctement ? Alors pourquoi Drosten, contre son propre jugement, fait-il 45 cycles ? Pourquoi, contre un meilleur jugement, une seule séquence de gène est-elle généralement examinée – et non six, comme l’ont suggéré les Chinois ?

Leur méthode est beaucoup plus précise, mais c’est évidemment le but dans le monde occidental de produire autant de cas positifs, mais de faux positifs que possible. Cette pandémie est une pandémie de tests.           

Si les résultats positifs sont pour la plupart faux et que Coronavirus est aussi dangereuse que la grippe, comment se produisent les nombreux décès en Italie, en Espagne, aux États-Unis ?

Ici, en Allemagne, il n’y a aucune surmortalité d’une année sur l’autre. Cela est également dû au bon système de santé. En ce qui concerne les pays étrangers, la question du lien de causalité ne doit en aucun cas être simplifiée.

Abus dans le système de santé, traitements médicaux excessifs prescrits par peur et population particulièrement âgée en Italie – vous ne pouvez pas simplement tout attribuer au danger d’un virus sans examiner plus en détail les circonstances.

Mais il fallait évidemment des photos de panique pour garder la population sous le choc et empêcher quiconque de poser des questions. Ces images d’horreur venaient de Bergame et de New York. J’étais aux États-Unis à l’époque. J’y vis partiellement et je suis autorisé à pratiquer le droit en Californie.        

Mon ami Wolfgang Wodarg, pneumologue et ancien membre du SPD du Bundestag, entretient d’excellentes relations avec les médecins de New York. Certains hôpitaux n’étaient pas surpeuplés du tout.

Le navire-hôpital de 1 000 lits envoyé par les militaires était occupé par 20 ou 30 patients. Les hôpitaux touchés souffrent chaque année pendant la saison grippale de conditions que le professeur Ioannidis a qualifiées de « zone de théâtre de guerre ».       

Mais il y a eu non seulement de nombreux décès par corona à New York, mais partout aux États-Unis – 240 000 à ce jour.

330 millions de personnes vivent aux États-Unis, dont environ 7 300 meurent chaque jour, cela ne doit pas être oublié. Sur les 9,9 millions de personnes testées positives, environ 0,2% sont décédées. Cependant, il n’est pas précisé ici s’ils sont morts avec ou de covid.

Quand souhaitez-vous intenter une action en justice ?

Cette semaine. Aux États-Unis, notre équipe travaille avec l’avocat Robert F. Kennedy et son équipe.   Bob Kennedy et moi nous sommes rencontrés pour la première fois le 29 août à Berlin, lors de la manifestation contre les mesures liberticides en Allemagne.

Pourquoi poursuivez-vous aux États-Unis ?

En Amérique, il est beaucoup plus facile pour un grand nombre de plaignants de mettre en commun leurs intérêts dans un recours collectif. Il n’y a rien de tel en Allemagne. Le droit de preuve est également plus équitable aux États Unis lorsqu’un consommateur poursuit une puissante société.     

Qui sont les plaignants ?

Il existe plusieurs recours collectifs. Les plaignants sont principalement des entrepreneurs américains qui réclament leurs dommages. Au cours du procès, les plaignants diront qu’il y a des millions d’autres victimes dans le monde. Ils demanderont à toute personne lésée par les tests et les confinements de la même manière qu’elle soit admise en tant que plaignant. Les entreprises allemandes aussi.           

Où voulez-vous intenter une action en Allemagne ?

Nous poursuivons les responsables devant les tribunaux lorsque cela est possible. L’accusation permet d’intenter une action en dommages-intérêts devant les 200 tribunaux allemands, et cela va se produire maintenant. Nous représentons des entreprises qui disent : cela suffit, je veux savoir, et les coûts n’ont pas d’importance.     

Voulez-vous demander une indemnisation au tribunal ou poursuivez-vous un objectif politique ? 

Pour moi, il s’agit des deux – ou mieux : nous sommes un groupe de plus de 100 avocats. À l’origine, nous y sommes allés pour les dommages. Mais la question de la responsabilité politique est au moins aussi importante.    

 La demande de dommages-intérêts

Les procédures peuvent durer des années. Mais nous pensons que le cap sera fixé dès le début. Les tribunaux prendront les preuves, au sujet de la question : Que sont vraiment ces tests PCR ?  Nous supposons que les choses bougeront très vite si, par exemple, le lien entre Christian Drosten et l’entrepreneur Olfert Landt est discuté en public.      

Le 2 novembre, le tribunal de district de Dortmund a déclaré les restrictions liées au covid invalides car fondées sur une ordonnance du gouvernement et non sur une loi du Bundestag. Comment évaluez-vous le jugement contre lequel le procureur a déjà porté plainte ?

C’est un très bon jugement. Il est situé sur une ligne avec les décisions de l’Autriche en Cour constitutionnelle et de nombreux tribunaux américains

Le gouvernement peut prendre pour quelques jours des mesures d’urgence. Des coupes plus longues, comme nous l’avons fait et nous le faisons actuellement en Allemagne, ne peuvent être décidées que par le législateur. Il y a un débat public – même au – delà des questions : pourquoi un masque, et que montre un test PCR ?       

Le Bundestag souhaite désormais clarifier la loi sur la protection contre les infections : les décisions que l’État peut ordonner doivent être déterminées plus précisément. 

Cela arrive trop tard, mais au moins il y a maintenant une discussion sur ce que l’État peut et ne peut pas ordonner.   

Y aura-t-il vraiment une discussion ouverte ? Ce qui est visible en surface n’est pas toute la réalité. Les deuxième et troisième rang des groupes politiques ont une vision très différente. Nous avons reçu des signaux de nombreux membres du Bundestag pour la CDU / CSU et le SPD, y compris les Verts, et bien sûr l’AfD.

Les députés nous demandent n’y a-t-il pas d’alternative au confinement ? À quel point la puissance de la première ligne est encore grande, cela reste à voir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

[2] Kary Mullis : « Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade » (laveritesansmasque.blogspot.com)

[3] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés

[4]http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

 

 

[5] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés

[6] Voir article Nuremberg covid 1 sur RL n delepine

  https://resistancerepublicaine.com/2020/10/12/vers-la-mise-en-place-dun-nuremberg-du-covid/

[7]http://www.cielvoile.fr/2020/10/scandale-de-fraude-du-coronavirus-le-plus-important-combat-commence-juste.html  Dr Mercola – Le 17 octobre 2020

[8] Autopsie d’un confinement aveugle N et G Delépine éditions fauves septembre 2020

[9] http://www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire-economique

[10] ww.francesoir.fr/opinions-entretiens/autopsie-dun-confinement-aveugle-temoignage-dune-periode

[11] https://ripostelaique.com/la-supercherie-des-tests-pcr-devient-officielle-et-aggrave-la-situation.html

[12] Le conseiller de Mme Merkel et donc de toute l’UE

[13] Le Dr Yeadon, en accord avec les professeurs d’immunologie, Camera d’Allemagne, Capel des Pays-Bas et Cahill d’Irlande, le microbiologiste, le Dr Harvey d’Autriche ont tous témoigné devant le comité corona allemand, soulignent explicitement qu’un test positif ne signifie pas qu’un virus intact a été trouvé. « 
[14] Le professeur allemand de droit civil, Martin Schwab, soutient cette conclusion lors d’entretiens publics dans un avis juridique complet d’environ 180 pages

« « En vertu des règles du droit de la responsabilité civile délictuelle, tous ceux qui ont été lésés par ces tests PCR, les tests PCR induits par des confinements ont le droit de recevoir une compensation complète pour leurs pertes.

 En particulier, il existe une obligation d’indemnisation, c’est-à-dire une obligation de verser des dommages et intérêts, pour la perte de bénéfices subie par les entreprises et les indépendants du fait du confinement, et d’autres mesures.

 

 Dans l’intervalle, cependant, les mesures anti-corona ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par MM. Drosten, Wieler et l’OMS doivent être juridiquement qualifiés de crimes contre l’humanité, comme défini à l’article 7 du Code pénal international. « 

 

[15] Our reference (always indicate) Date Z-99/20-rf/nw23.11.2020 Wodarg, Dr Wolfgang./. Kreißel, Philip Plainte du Dr. med. Wolfgang Wodarg, Wiesenweg 40, 24646 Gardien – Demandeur – représenté par : Rechtsanwälte Dr. Fuellmich & Associates, Sen-derstrasse 37 à 37077 Göttingen contre Philip Kreißel, [adresse] – Défendeur – pour omission, révocation et compensation monétaire. Montant provisoire du litige : 250.000 € Nous nous désignons comme représentants du plaignant

[16] „WERKZEUG ZUR PANIKMACHE“

Harsche Kritik an Corona-Lockdown : Anwalt Reiner Füllmich greift Virologen Drosten und RKI-Chef Wieler an

[17] Avec neuf mois de recul, on sait maintenant que la létalité est encore beaucoup plus faible que ce chiffre, plutôt de l’ordre de 0,05 % des sujets malades

 

 

 

Raisons du recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales

 

 

La commission d’enquête extra-parlementaire allemande sur la COVID-19 lance un recours collectif contre les criminels du Coronavirus et pas seulement contre les politiques des gouvernements et leurs conseillers, mais aussi directement contre les fabricants.

 

La punition financière sera-t-elle plus efficace que tous les arguments moraux et scientifiques ?

 

« L’Allemagne est à nouveau en première ligne dans la lutte contre les mesures relatives au Coronavirus, qui sont dévastatrices, injustifiées, destructrices pour l’économie, affadissantes pour les personnes et carrément génocidaires.[1]  Et attaquer la base de la manipulation et de la désinformation qui permet à la peur de se répandre et donc à l’opinion d’être sidérée et trop silencieuse est sûrement une excellente idée de la commission allemande qui a initié dès juillet ses travaux pour un Nuremberg du covid.

 

Ainsi les fabricants du test PCR qui sert à justifier l’enfermement des ainés en EHPAD et la désorganisation de votre entreprise avec l’isolement de vos employés pour un « contact » vont enfin devoir rendre des comptes éventuellement sonnants et trébuchants pour avoir mis sur le marché un test non fiable.

« Le PCR – Polymerase Chain Reaction est une technique utilisée pour « amplifier » de petits segments d’ADN qui, selon de réputés virologues du monde entier, est absolument inadapté pour dépister la COVID-19.

 

Car un test positif ne signifie pas que vous êtes malade ou contagieux et ne justifie donc en rien votre isolement.

 

Pour transmettre la maladie, vous devez recéler du virus entier, son génome complet et l’excréter. Or le test met en évidence non pas le virus capable de se reproduire, mais simplement des fragments de son ARN qui ne sont en aucun cas infectieux. Ce test manque donc souvent de spécificité en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (les chinois en recherchent 5 à 6).

 

Et lorsque le nombre de séances d’amplifications est trop élevé, le test répond anormalement souvent positif. Pour évaluer la contagiosité, il est plus logique de voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Une très large étude [2] comparant positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures montre qu’il existe une bonne corrélation (supérieure à 70% des cas) pour un nombre de cycles d’amplification inférieur à 25, puis qu’elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente !

 

 

 

 

 

Néanmoins, le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l’OMS – et par d’autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID / NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l’hôpital Charité de Berlin. » il est utilisé en France comme la panacée.

 

Le grand gagnant du test PCR est le conseiller chercheur favori de Mme Merkel, le dr Drosten[3] qui a convaincu les autorités allemandes puis mondiales de tester et compter les « cas » et non plus les vrais malades cliniques, manipulant les populations pour leur faire croire ainsi à la persistance d’une pandémie.

 La taille du marché mondial du diagnostic COVID-19 est évaluée à 19,8 milliards de dollars en 2020  [4] et devrait croître chaque année de 3,1% d’ici 2027.

Coup double : aubaine politique pour les gouvernements qui souhaitent imposer des lois anti démocratiques (interdiction de se réunir et/ de manifester) et pactole commercial avec des centaines de millions de tests vendus par le monde.

Jackpot, mais responsabilité directe dont ils devront répondre. En tous cas c’est ce qu’espèrent les initiateurs de la plainte internationale, Reiner Fuellmich et associés et tous ceux qui les suivent dans de très nombreux pays (au moins une cinquantaine).

 

Le test PCR tel qu’il est réalisé en France avec des cycles d’amplification trop nombreux n’est pas spécifique, comme l’avait énoncé son inventeur Karys Mullis et même confirmé par le dr Drosten en 2014. Mais les temps changent et les objectifs politiques et financiers aussi.

En conséquence le test PCR a été généralisé et souvent imposé parfois illégalement pour faire peur (la Peur est le nom du Jeu dit Peter Koenig) en n’imposant évidemment pas une limite du taux de replication <33 et en cachant sur ordre des gouvernements l’amplification utilisée. [5]

Selon Fuellmich, le consensus est que tout ce qui est plus de 35 cycles est scientifiquement indéfendable. Pourtant, les tests et les tests de Drosten recommandés par l’Organisation mondiale de la Santé sont fixés à 45 cycles.

Des gens ont été privés de travail, leurs bureaux fermés comme les écoles, et les ainés enfermés comme des délinquants au premier test positif. Actuellement encore des EHPAD sont interdits de visite pour un test positif !

De plus, la panique entretenue par les médias pousse beaucoup de personnes à se faire tester plusieurs fois (et peuvent également être comptabilisées X fois).

 

Les nombre de « cas » peuvent être ainsi multipliés et instrumentalisés

Pour justifier les confinements qui bloquent la vie sociale et économique des pays entraînant d’innombrables faillites, chômage record, misère extrême, famine et suicides.

 

  Réparations financières et pénales ?

Les dommages sociaux et économiques qui découlent de la supercherie des tests PCR sont colossaux et on imagine les sommes fabuleuses que devront payer les entreprises qui ont fabriqué et vendu ces tests prétendant à tort qu’ils dépistent la contagiosité, ainsi que les dommages et intérêts que les politiques responsables pourraient être amenés à payer, tant en civil qu’en pénal.

Ainsi, lorsque l’idée d’un recours international et in fine d’un procès Nuremberg 2 est apparue, une bouffée d’espoir nous a enfin saisie permettant d’imaginer une sortie autre que tragique de ce scénario catastrophe que nous vivons depuis bientôt un an.[6]

le Dr Reiner Fuellmich, avocat de l’ACU, (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss ou ACU)   explique dans sa première vidéo d’octobre 2020 comment le recours collectif, pourrait mettre un terme à ces mesures destructrices et les inverser, en dédommageant les personnes lésées et les petites et moyennes entreprises qui n’ont eu d’autre choix que de déclarer faillite et de licencier leurs employés.[7]

 

 

Un futur big bang ?

 

Envisageable si des millions de personnes dans le monde entier se joignent au procès de recours collectif.

Ce recours collectif sera déposé très bientôt aux États-Unis, pays coutumier des class actions et plus de cinquante pays sont d’ores et déjà susceptibles de rejoindre le mouvement par des plaintes nationales, mais aussi des citoyens se joignant individuellement les class actions américaines.

Dans les premiers mois de 2020, l’avocat Fuellmich a découvert de nombreuses anomalies dans le processus de décisions politiques allemandes et interrogé des amis scientifiques allemands et étrangers. Par exemple il a découvert que Beate Bahner, avocate spécialisée en droit médical, qui affirmait que les mesures de quarantaine de l’Allemagne étaient inconstitutionnelles a été empêchée de présenter sa requête devant la cour constitutionnelle ; elle a été arrêtée et détenue dans un service psychiatrique pendant plusieurs jours[8].  Cela rappelle les sombres heures et les méthodes totalitaires des dictatures.

 

Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires

La séparation des pouvoirs a été violée dans les pays du monde qui appliquent les consignes de l’OMS à la suite de l’accord signé par 194 pays en cas de pandémie[9]. Et c’est évidemment l’OMS qui a changé les critères pour déclarer que la crise du covid était une « pandémie ». Pendant ce temps, ces gouvernements liés entre eux continuent à imposer par ordonnances des mesures liberticides sans rapport avec le danger réel du virus.

 Le judiciaire reprend la main

Il était temps que le judiciaire prenne la main, les peuples sidérés et enfermés par la peur et les mesures policières n’ayant pas jusqu’à présent réussi à faire stopper la propagande qui marche encore sur cette peur, terrible moyen connu depuis des lustres pour obtenir sidération et soumission des peuples. L’enseignement de Machiavel et de Goebbels sont présents dans nos mémoires.

Néanmoins de grands mouvements populaires voient le jour en Allemagne, Italie, Angleterre, Espagne et plus récemment la France, depuis fin août, à commencer par l’énorme rassemblement à Berlin d’un million de personnes en présence du très respecté Robert F Kennedy Jr, avocat et défenseur de la cause des enfants depuis de nombreuses années (voir son site children’s health Defense).

 

Le Panic Paper

Reiner Fuellmich a pu étudier le « PANIC PAPER ». Ce document classifié a été divulgué à la presse, et révèle qu’il y avait un plan intentionnel au niveau du gouvernement allemand pour induire une panique généralisée.

Selon Fuellmich, la seule raison pour laquelle le test PCR est utilisé d’une manière incorrecte est de créer suffisamment de peur et panique, afin que personne ne remette en question les mesures pandémiques mises en place et tout simplement faire ce qu’on leur dit. Il passe ensuite en revue le soi-disant « Panic Paper » écrit par le ministère allemand de l’Intérieur.

L’une des stratégies énoncées dans le document est parfaitement reproduite en France par nos médias et le gouvernement : le but est de culpabiliser les enfants et de les conditionner dans le respect de la « conformité », de leur faire sentir responsables « de la mort de leurs parents et grands-parents s’ils ne suivent pas les règlements anti-corona ». Cette stratégie est particulièrement perverse puisque toutes les études internationales ont démontré depuis mars 2020 que les enfants et adolescents de moins de 19 ans ne contaminent jamais ni adultes, ni enfants.[10]

Selon Fuellmich, ce que nous avons, c’est une pandémie de test PCR par étapes. Il ne s’agit pas d’une pandémie mortelle de virus, « et je peux le prouver devant les tribunaux ».

 

Le pouvoir judiciaire est « le dernier point d’ancrage de la démocratie » selon Fuellmich

Il soulève un point important. L’OMS, le Forum économique mondial et les Nations Unies sont tous des sociétés privées, mais elles exercent un pouvoir énorme sur les gouvernements du monde.

« Nous devons leur reprendre le pouvoir et le remettre à sa place, avec le gouvernement, et nous devons examiner de très près qui est au gouvernement et qui est devenu trop proche de ces sociétés » …

 Son plan de bataille consiste à démontrer au tribunal qu’il n’y a pas de pandémie de virus mais une pandémie de tests PCR par étapes.

 

À l’heure actuelle, des recours collectifs sont en cours d’élaboration aux États-Unis et au Canada. Des poursuites judiciaires sont également en cours d’élaboration en Allemagne.

L’ACU travaille également à la création de lignes directrices juridiques et de dossiers de données que les avocats du monde entier pourront utiliser pour intenter leurs propres poursuites.

 

Quant au citoyen lambda, Fuellmich exhorte tout le monde à, tout d’abord, ne pas abandonner, et autrement dit, poser beaucoup de questions. Continuez à poser des questions parce que plus les questions seront posées, plus les réponses seront claires.

 Continuez à contrer la censure en posant des questions. Une fois que les audiences commenceront, l’information commencera à se propager plus rapidement.

Pour en savoir plus, toutes les réunions de l’ACU sont diffusées en direct et disponibles sur la chaîne YouTube25 du Comité. Reiner Fuellmich peut être contacté via www.fuellmich.com, et le Comité d’enquête Corona via corona-ausschuss.de

Des informations en plusieurs langues devraient également être disponibles sur www.ACU2020.com.

 

 

 

 

 

[1] La commission d’enquête extra-parlementaire allemande sur la COVID-19 lance un recours collectif contre les criminels du Coronavirus   Par Peter Koenig Mondialisation.ca, 09 octobre 2020

Article original en anglais : Germany’s Extra-Parliamentary Corona Investigative Commission Launching a Class Action Suit Against Corona Criminals, le 4 octobre 2020 Traduit par Maya pour Mondialisation

[2] Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates Clinical Infectious Diseases Downloaded from https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciaa1491/5912603 by guest on 06 December 2020

[3] En tant que directeur de l’Institut de virologie du Centre médical de l’Université de Bonn, Drosten est surtout connu pour avoir mis au point le premier test diagnostique pour le SRAS en 2003. Il a également mis au point un test diagnostique pour la grippe porcine,6 et en 2009 a contribué tambour jusqu’à la panique avec des prophéties délirantes sur la grippe H1N1.

[4] https://www.grandviewresearch.com/industry-analysis/covid-19-diagnostics-market

[5] Beaucoup sinon la plupart des laboratoires amplifient l’ARN recueilli beaucoup trop de fois, ce qui entraîne des tests de santé « positifs ».

En résumé, l’écouvillon PCR recueille l’ARN de votre cavité nasale. Cet ARN est ensuite transcrit à l’envers dans l’ADN. Cependant, ils doivent être amplifiés pour devenir discernables. Chaque tour d’amplification est appelé cycle, et le nombre de cycles d’amplification utilisés par un test ou un laboratoire donné est appelé seuil de cycle.

Lorsque vous dépassez les 30 cycles, même des séquences insignifiantes d’ADN viral finissent par être amplifiées au point que le test se lit positif même si votre charge virale est extrêmement faible ou si le virus est inactif et ne représente aucune menace pour vous ou pour quelqu’un d’autre.

[6] (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss,3 ou ACU),4,5 lancé le 10 juillet 2020.

 

[7] A retrouver sur odyssee.com car supprimée de YouTube, censure après plus d’un million de vues

[8] Elle voulait se rendre devant la Cour constitutionnelle fédérale. La police a placé l’avocate du Coronavirus dans un service psychiatrique Polizei bringt Corona-Anwältin in Psychiatrie

Article originel :  Sie wollte vors Bundesverfassungsgericht Polizei bringt Corona-Anwältin in Psychiatrie https://www.bild.de/regional/frankfurt/news-inland/corona-anwaeltin-beate-bahner-in-psychiatrie-gebracht-sie-wollte-vors-verfassung-70024242.bild.html

[9] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

 

[10]  Voir nexus Gerard Delépine septembre 2020

www.francesoir.fr/…/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la- maltraitance

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

 

,
Mise en garde  sur le génocide lié au pseudovaccin anticovid  au secrétaire d’état chargé des enfants et de la famille  de GB

(European Community) Genocide Notice to UK Government [Under Secretary of State for Children and Families]

 

Mise en garde  sur le génocide lié au pseudovaccin anticovid  au secrétaire d’état chargé des enfants et de la famille  de GB

 

Vicky Ford MP
Parliamentary Under Secretary of State for Children and Families
Department for Education
20 Great Smith St,
Westminster,
London SW1P 3BT
21st November 2020
Via Royal Mail Signed For Delivery

 

cliquez sur le lien ci-dessous pour lire version originale en anglais et français

 

Dr Kevin P Corbett

 

 

Cher sous-secrétaire,
Nous vous écrivons au sujet du programme de vaccination prévu contre Covid-19.
Nous souhaitons attirer votre attention sur le nombre élevé attendu d’effets indésirables qui, selon l’Agence de réglementation des
médicaments et des produits de santé (MHRA), constituent une «menace directe pour la vie des patients et la santé
publique».
«Pour des raisons d’extrême urgence en vertu du règlement 32 (2) (c) liées à la libération d’un vaccin Covid-19, les MHRA ont
accéléré la recherche et la mise en œuvre d’un outil d’IA (Intelligence Artificielle) spécifique au vaccin.
Strictement nécessaire – il n’est pas possible de moderniser les anciens systèmes de la MHRA pour gérer le volume de réactions
indésirables aux médicaments qui seront générées par un vaccin Covid-19. Par conséquent, si la MHRA ne met pas en
œuvre l’outil d’IA (Intelligence Artificielle), elle ne sera pas en mesure de traiter efficacement ces ADR (Adverse Drug Reactions :
effets secondaires). Cela entravera sa capacité à identifier rapidement tout problème de sécurité potentiel avec le vaccin
Covid-19 et représente une menace directe pour la vie des patients et la santé publique.
Raisons d’extrême urgence – la MHRA reconnaît que son processus d’achat prévu pour le programme SafetyConnect, y compris
l’outil d’IA (Intelligence Artificielle), ne se serait pas terminé par le lancement d’un vaccin.  »
https://ted.europa.eu/udl?uri=TED:NOTICE:506291-2020:TEXT:EN:HTML&src=0
En tant que professionnels de la santé ayant une expérience combinée de plus de soixante-dix ans, avec une connaissance
approfondie de l’histoire des vaccins, des ingrédients des vaccins et de leurs effets secondaires, nous sommes profondément
préoccupés par la morbidité et la mortalité attendues de la MHRA chez les vaccinés.
Par conséquent, nous vous informons que si le programme de vaccination prévu se poursuit, vous serez directement coupable de
la mortalité infantile et des dommages causés aux enfants dont vous et les autorités locales que vous supervisez êtes
responsables. En outre, nous souhaitons vous informer que nous sommes actuellement en train d’obtenir des conseils juridiques
formels à ce sujet, ce que nous espérons confirmer les déclarations faites. Compte tenu de la menace imminente pour la vie de
plusieurs centaines de milliers d’enfants dans tout le pays, nous vous informons que nous attendons de vous que vous nous
répondiez dans les quarante-huit heures avec une confirmation écrite de l’arrêt de tous les plans de vaccination contre Covid-19 et
que vous transmettiez des informations en cascade à le personnel responsable approprié, les chefs de service, les responsables
pour les adultes vulnérables et leurs agences associées, dans le cadre de vos attributions en tant que sous-secrétaire d’État
parlementaire pour l’enfance et la famille ou ministre titré équivalent, au sein des administrations décentralisées d’Écosse, du Pays
de Galles et d’Irlande du Nord.
Le non-respect de cette demande vous avertira que vous pourriez être considéré comme complice de ce qui peut être décrit avec
précision comme un génocide s’il est prouvé que les faits que nous avons déclarés étaient connus de vous ou des autres autorités
compétentes et que vous n’avez pas agi. sur eux.
Cordialement,
Dr Kevin P Corbett
Kate Shemirani
cc Matt Hancock – Secretary State for Health and Social Care
Vicky Ford MP
Parliamentary Under Secretary of State for Children and Families

,
(European Community) Genocide Notice to UK Government [Under Secretary of State for Children and Families]

Kevin Corbett
Envoyé : lundi 23 novembre 2020

 

 

click to obtain the original text

Objet : Dr Kevin P Corbett

 

Vicky Ford MP

Parliamentary Under Secretary of State for Children and Families

Department for Education

20 Great Smith St,

Westminster,

London SW1P 3BT

 

21st November 2020

 

Via Royal Mail Signed For Delivery

 

Dear Under Secretary,

We are writing to you with regard to the planned Covid-19 vaccination program.

We wish to draw your attention to the expected high number of adverse reactions which the Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA) explicitly state are a “direct threat to patient life and public health”:

“For reasons of extreme urgency under Regulation 32(2)(c) related to the release of a Covid-19 vaccine MHRA have accelerated the sourcing and implementation of a vaccine specific AI tool.

Strictly necessary — it is not possible to retrofit the MHRA’s legacy systems to handle the volume of Adverse Drug Reactions [ADRs] that will be generated by a Covid-19 vaccine. Therefore, if the MHRA does not implement the AI tool, it will be unable to process these ADRs effectively. This will hinder its ability to rapidly identify any potential safety issues with the Covid-19 vaccine and represents a direct threat to patient life and public health.

Reasons of extreme urgency — the MHRA recognises that its planned procurement process for the SafetyConnect programme, including the AI tool, would not have concluded by vaccine launch.”

https://ted.europa.eu/udl?uri=TED:NOTICE:506291-2020:TEXT:EN:HTML&src=0

We, as health care professionals having a combined experience in excess of seventy years, with extensive knowledge of the history of vaccines, vaccine ingredients and their side-effects, are deeply concerned about the MHRA’s expected morbidity and mortality in vaccine recipients.

We therefore hereby inform you that if the planned vaccination program shall proceed then you will be directly culpable for the infant mortality and damage caused to children for whom you and the local authorities you oversee are responsible.

Furthermore we wish to notify you that we are currently in the process of obtaining formal legal advice in respect of this matter which we expect to confirm the statements made.

Given the imminent threat to the lives of many hundreds of thousands of children nationwide  we are notifying you that we expect you to reply to us within forty-eight hours with written confirmation of the cessation of all Covid-19 vaccination plans and to cascade information to the appropriate lead staff, heads of service, leads for vulnerable adults and their associated agencies, within your remit as the Parliamentary Under Secretary of State for Children and Families or equivalent titled minister, within the devolved administrations of Scotland, Wales and Northern Ireland.

Failure to comply with this request will place you on notice that you may be deemed to be complicit in what may accurately be described as genocide if it is proved the facts we have stated were known to you or the other relevant authorities and you failed to act upon them.

Yours sincerely

Dr Kevin P Corbett                    
Kate Shemirani 

cc Matt Hancock – Secretary State for Health and Social Care

,
lettre adressée aux députés et sénateurs 19 nov 2020 : informations sur risques des vaccins COVID

les vaccins anticovid qui devraient être mis sur le marché relèvent d’une technique jamais utilisée jusqu’à présent pour fabriquer un vaccin. Elle recourt aux organismes génétiquement modifiés et à l’insertion dans les cellules de l’Hôte d’ARNm dont on ne connait pas le devenir. Selon le principe de précaution, ces vaccins ne devraient être autorisés avant expérimentation longue.

de plus l’intérêt de ce vaccin est très discutable étant la très faible létalité de la maladie, en particulier chez les jeunes et enfants (moins de morts qu’avec la grippe)

 

des juristes ont adressé aux élus de la République la lettre ci-jointe que nous vous demandons de diffuser au maximum à vos maires, conseillers généraux, mais aussi à tout un chacun pour information

 

 

« Le CRIIGEN a réalisé une étude de 10 pages sur les risques considérables que ces nouveaux types de
vaccins ADN recombinés et ARN vont nous faire courir sous prétexte de nous protéger du COVID.
Que va-t-il se passer après l’injection de ces « vaccins » OGM sur le génome de notre organisme, celui
de nos enfants, le vôtre et ceux de votre famille après 6 mois ou 3 ans comme dans l’exemple cidessous sur des enfants, si ces morceaux d’ARN de Moderna ou de Pfizer modifient notre ADN et le
rende fou ? « 

cliquez sur le lien ci-dessous

lettre députés sénateurs