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Les mensonges de la propagande Gardasil confrontés à la réalité scientifique.

 

 

PAR G DELEPINE

Le 28 février 2023 le président Macron s’est comporté en représentant de commerce de Sanofi Pasteur MSD dans un collège de Jarnac en annonçant une grande campagne de vaccination après avoir déclaré en décembre 2022 « qu’il n’était pas opposé à une obligation vaccinale par le Gardasil ». Dans ses discours il a répété les crédos des firmes pharmaceutiques prétendant, par exemple, que ce vaccin serait responsable de 6000 cancers annuels et que le vaccin permettrait « d’éradiquer le papillomavirus ». Ces contrevérités flagrantes suggèrent que ses conseillers sont peu compétents, très mal informés ou corrompus.

Notre nouvelle édition du livre rapporte les faits avérés en citant leurs sources afin que chacun puisse les vérifier. Elle rappelle entre autre :

1°) Qu’il est impossible d’éradiquer les papillomavirus (HPV) qui disposent de nombreux réservoirs animaliers et dont il existe au moins 200 souches différentes alors que les derniers vaccins n’en combattent actuellement que 9.

Cette prétention d’éradiquer le virus était une des promesses mensongères des injections anti-covid dont chacun a pu observer l’échec total.

2°) Que le lien de causalité exclusive des HPV sur la survenue des cancers du col n’est pas établi. Il existe certes une relation statistique entre infection et cancer mais une telle relation est retrouvée avec de très nombreux autres facteurs tels que la précocité des rapports sexuels, le nombre de partenaires, les déficits immunitaires dus au Sida ou aux traitements médicamenteux, le nombre de rapports sexuels, des infections à herpès et chlamydias, le tabagisme, le nombre d’enfants, la durée de prise de pilule…Le HPV n’est qu’un des nombreux facteurs statistiquement liés aux cancer du col. Et comme on nous le répète constamment dès qu’une complication survient après un vaccin « corrélation statistique ne signifie pas causalité »

L’infection à HPV touche plus de 80% des femmes sexuellement actives, ne donne aucun signe et disparait spontanément en moins de deux ans dans la quasi-totalité des cas. Sa persistance éventuelle constitue vraisemblablement un témoin d’une activité sexuelle importante responsable de nouvelle contamination et aussi de microtraumatismes et d’inflammations à répétition, deux facteurs dont la responsabilité dans l’apparition de cancers est unanimement reconnue. Comme le constatent tous les enquêteurs « sur les lieux d’un crime on peut trouver le coupable mais aussi des témoins ».

D’ailleurs la littérature internationale rapporte que 10% à près de 50% des cancers du col surviennent hors de la présence de HPV.

Mais depuis que le vaccin est sur le marché les articles publiés se focalisent uniquement sur les HPV car ils constituent les coupables idéaux (les seuls rentables).

Dans la mesure ou ces virus ne sont pas la cause unique indispensable à la survenue du cancer il est évident que leur éventuelle suppression ne peut entrainer la disparition de ce cancer.

3°) La consultation des registres officiels des cancers montre que 17 ans après les campagnes de vaccination généralisée, le nombre de cancers n’a baissé nulle part et a même augmenté dans les groupes d’âge les plus vaccinés contrairement à ce qu’annoncent le gouvernement et les médias.

L’Australie a été le premier pays à organiser la vaccination systématique pour les filles de 12-13 ans dès 2007, puis en rattrapage pour les filles de 14-26 ans en 2009. D’après l’Australian Institute of Health and Welfare, entre 2007, début de la vaccination et 2022 le nombre de nouveaux cancers invasifs a augmenté de 28 % passant de 756 à 942 et l’incidence standardisée globale a cessé de diminuer, fluctuant autour de 7, alors qu’elle avait chuté de plus de 50 % entre 1987 (15/100000) et 2006 (7,1/100000). Le plus inquiétant est l’accroissement de l’incidence des cancers invasifs dans les groupes des femmes qui avaient entre 15 et 24 ans lors de leur vaccination et qui ont maintenant entre 30 et 39 ans. Dans ce groupe d’âge qui regroupe l’essentiel des vaccinées parvenues à l’âge du cancer, le nombre annuel de nouveaux cas est passé de 172 en 2007 à 257 en 2018 (+50 %), tandis que l’incidence a augmenté de 40 % (de 10,6 en 2007 à 14,6 en 2021). Cette aggravation significative du risque de cancer invasif depuis la vaccination est illustrée par la courbe suivante que chacun peut obtenir sur internet auprès de l’agence sanitaire australienne à l’adresse : https:/www.aihw.gov.au/reports/cancer/cancer-data-in-australia/contents/cancer-incidence-by-age-visualisation

La Grande-Bretagne a organisé la vaccination scolaire pour les filles de 12 à 13 ans, avec un rattrapage pour les 14-18 ans dès 2008. D’après le Public Health England, la couverture vaccinale complète des filles âgées de 13 à 14 ans à 3 injections atteignait 86,7 % dès 2013/14.

Les données publiées par l’agence officielle Cancer Research UK (CRUK) confirment l’efficacité du dépistage cytologique qui a fait baisser l’incidence des cancers invasifs d’un tiers (de 13 /100 000 à 9 /100 000) entre 1993 et 2006 et constatent l’échec actuel de la vaccination en précisant: « au cours de la dernière décennie, au Royaume-uni (entre 2006-2008 et 2016-2018  les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables » Cette stabilité globale masque l’augmentation dans les groupes les plus vaccinés grâce à la diminution franche chez les femmes les plus âgées, non vaccinées. Les Anglaises de plus de 50 ans ont en effet bénéficié d’une diminution d’incidence, atteignant 33 % chez les plus de 80 ans. A l’opposé, le groupe des 20-34 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19 % des cancers invasifs passée de 16 /100 000 en 2007 à 19 /100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée en mars 2023.

En Suède, le Gardasil est utilisé depuis 2006, et le programme de vaccination a été généralisé en 2010, avec une couverture vaccinale des adolescentes âgées de 12 ans de plus de 80 %. En 2012-2013, avec un programme de rattrapage, la quasi-totalité des jeunes filles de 13 à 18 ans étaient vaccinées. Globalement depuis la vaccination, l’incidence standardisée du cancer du col de l’utérus a augmenté de 13 % passant de 9,4 en 2006 à 10,8 en 2020. Cet accroissement est en partie lié à l’augmentation de l’incidence chez les femmes de 20 à 24 ans, les plus vaccinées (de 1,9 en 2006 à 3,3 en 2020)

En Norvège depuis la vaccination, le registre du cancer montre une augmentation d’incidence de 6 % constatée chez les femmes de 25-34 ans vaccinées à près de 90 %

 

Aux USA d’après la Cancer Statistics Review, l’incidence standardisée du cancer invasif du col avait diminué de 33 % entre 1989 et 2006 (de 10,7 à 6.67) grâce au dépistage et ne diminue plus depuis la vaccination (6,4 en 2019 comme en 2007). Dans ce pays où la couverture vaccinale est moins élevée que dans les pays précédents (proche de 60 %), on observe la même discordance selon les groupes d’âge .Les femmes de plus de 65 ans, (non vaccinées) bénéficient d’une diminution de 30 % de leur risque (de 13 en 2007 à 9.6 en 2019), tandis que les femmes plus jeunes, qui regroupent toutes les vaccinées, ont vu leur risque augmenter de 6 % (6,3 en 2012 à 6,7 en 2019.

La Lettonie est le seul pays européen qui a imposé la vaccination anti HPV par la loi. En 2020, selon l’OMS71, l’incidence standardisée des cancers du col culminait à 18/100000 (taux le plus élevé d’Europe, trois fois plus élevée qu’en France!)

 

En France métropolitaine où la couverture vaccinale anti-HPV est faible (environ 38 % en 2020), , d’après Santé Publique France, l’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué et est même passée au-dessous du seuil de 6/100000 définissant d’après l’OMS les maladies rares.

Il est très inquiétant que ces excellents résultats français avec taux de cancer très bas et de mortalité très faible, soient menacés par une obligation envisagée par nos politiques, pour certains désinformés et pour d’autres corrompus par Big Pharma.

La lecture de ce livre et la plus large diffusion des informations scientifiques indiscutables qu’il recèle constitue le meilleur moyen de lutter contre la propagande marchande et l’obligation Gardasil que certains veulent imposer.  Résistons, ne soyons pas soumis.

L’association Ametist pour les enfants cancéreux continue à se battre pour les soins individualisés – Ametist

 

 

Association AMETIST   message de Line Turco la présidente et le Bureau

 

Le 15 mai 2023 Mme, Mademoiselle, Monsieur, chers amis, chers parents, chers adhérents

 

Retrouver la liberté de soigner et d’être soigné et informé pour le traitement des cancers de l’enfant et l’adolescent

 

Protéger les enfants cancéreux des campagnes de vaccination anti covid, anti papillomavirus (Gardasil) et des graves atteintes à leur développement en refusant la propagande de la dite « éducation sexuelle » qui met en danger leur avenir par effraction cérébrale et leurs capacités de résistance au cancer ou autres maladies chroniques

 

Rendre aux parents leur rôle majeur de protection de leurs enfants et donc des choix thérapeutiques et éducationnels

 

Depuis notre dernier courrier, les membres d’AMETIST ne sont pas restés inactifs.

Les membres  disponibles se sont réunis en direct, pour se retrouver entre humains en chair et en os. Ils ont poursuivi nos combats communs en informant directement ou par mail ou/et téléphone les parents en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Avec la disparition progressive du corps médical ouvert, ces parents « perdus » se sont multipliés.

Comme les années précédentes, nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques, éviter une amputation et/ou abandon et euthanasie.

 

Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019, a continué à répondre aux sollicitations des familles ainsi que notre trésorière et médecins conseillers fort scandalisés par la publicité médiatique sur le covid et sur le Gardasil après les annonces retentissantes du président de la République en mars 23 pour vacciner toutes les cinquième de collège.

 

Le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est malheureusement de plus en plus d’actualité dans davantage de spécialités médicales et il est impératif de l’expliquer.  Le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas qui ont fait leurs preuves dans le monde réel et les traitements expérimentaux et les nouvelles molécules hors de prix.

 

Les établissements et les médecins sont soumis aux ukases des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est durci depuis 2009. Certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie alors que c’était leur pratique quotidienne depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice, comme en chimiothérapie.

 

Les autorisations s’imposent à tous les établissements, publics ou privés, conventionnés ou non .Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer, des essais thérapeutiques pour l’essentiel. Les interdictions d’opérer des sarcomes hors de quelques centres agréés s’étendent aux adultes depuis quelques mois. IL N’EXISTE PLUS DE MEDECINE LIBRE EN FRANCE.

 

« Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements de haut niveau adaptés de très près à chacun ». On nous impose de ne plus traiter des malades mais des maladies.

 

Les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour chaque malade, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale.  Notre combat est plus que jamais nécessaire afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.

 

Les conséquences des injections anti-covid forcées se dévoilent dans toute leur horreur et en particulier des turbocancers, d’où de nombreux questionnements des familles.

 

Grâce à un gros don ciblé d’une bénévole bretonne, nous avons distribué le livre « les enfants sacrifiés du covid ed FauveS de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, et élus, par courrier en juillet 22 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue. Certains élus ont été à l’écoute et réceptifs à ces informations.

 

Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.

 

Ainsi, AMETIST continue à se battre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science et protégés des agressions physiques et psychologiques imposées par la bureaucratie. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles par mail ou téléphone ou posées à travers les sites (http://association.ametist.org/ mail :  lt4@live.fr

 

Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation et/ou de votre soutien physique et/ou financier. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaitre, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements les meilleurs y compris à l’étranger.

 

BON DE SOUTIEN 2023    à découper et à joindre à votre envoi

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Pour que nos actions puissent continuer, merci de votre aide. MERCI de diffuser le message et de relayer l’information

 

AMETIST   Bat C, 50 bis Avenue de la République 93190 LIVRY GARGAN

Mail de la présidente : lt4@live.fr

 

 

 

 

 

Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel

14/01/2023 (2023-01-14)

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : « Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! »
 AFP / DR]

Par Dr Gérard Delépine

Un “article” récent de l’AFP Factuel – la cellule “fact-checking” de l’Agence France-Presse (AFP) – repris par Actu Orange fait la promotion du vaccin anti-HPV (papillomavirus humain) Gardasil. Il tente de mettre en doute les faits rapportés dans ma tribune publiée par FranceSoir et ignore soigneusement les données officielles. Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! Contre-vérification en détails.

1) NON, IL N’EXISTE AUCUNE PREUVE D’EFFICACITE ANTICANCER DU GARDASIL. Prétendre le contraire, comme le fait l’AFP Factuel, est mensonger :

Pour expliquer l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer invasif (pourtant essentielle pour un vaccin qui revendique cet objectif), l’Agence France-Presse (AFP), via sa cellule de fact-cheking “AFP Factuel”, répète la propagande du laboratoire MSD, qui commercialise le Gardasil 9 :

Il peut se passer entre 10 et 30 ans entre l’infection par le papillomavirus et l’apparition du cancer du col de l’utérus : ce délai n’est pas compatible avec des études cliniques sur ce critère”.

MSD et l’AFP reconnaissent donc que l’efficacité anticancer n’a pas été étudiée. Mais cela ne les empêche pas d’utiliser cette prétendue efficacité non comme argument publicitaire !

Pourtant la Haute Autorité de santé (HAS) précise dans son avis de septembre 2017 sur le Gardasil 9 :

Les données disponibles à ce jour ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant l’efficacité en termes de prévention des cancers, comme pour les vaccins GARDASIL et CERVARIX.”

Alors pourquoi l’AFP ment-elle en déclarant fausse cette diapositive qui rappelle simplement l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer ? Mensonge n°1 !

Et il faudrait prendre pour parole d’évangile la déclaration du professeur Jean-Luc Prétet, directeur du Centre national de référence sur les papillomavirus : “Il y a une vraie protection du vaccin contre les cancers, c’est clairement démontré par les études épidémiologiques« . Ce dernier ne cite pourtant pas une seule de ces prétendues études. Il faudrait donc le croire, sans preuve, alors que toutes les données officielles du monde réel démontrent le contraire ?

2) NON, EN AUSTRALIE LES CANCERS INVASIFS NE DISPARAISSENT PAS !

L’AFP Factuel ment en déclarant faux un authentique graphique officiel australien 

L’éradication des cancers du col partout annoncée par les médias est totalement contredite par les déclarations officielles du gouvernement australien de 2022 reproduites ci-après :

Le nombre de diagnostics annuels de cancer du col de l’utérus est initialement passé de 966 en 1982 à 1 144 en 1994, puis a diminué à 695 en 2002 et a depuis augmenté régulièrement pour atteindre 839 en 2017. En 2021, on estime que 913 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus vont être diagnostiqués en Australie.”

Ce graphique officiel du gouvernement australien illustre l’efficacité du dépistage cytologique (chute du nombre annuel de nouveaux cas de cancers invasifs de 50% entre 1994 et 2002) et dément la propagande permanente des médias et notamment de l’AFP qui prétend que l’Australie verrait l’éradication des cancers invasifs du col grâce à la vaccination, alors que depuis celle-ci leur nombre augmente.

La capture d’écran confirme bien l’origine officielle du graphique et permet à chacun d’en vérifier l’authenticité. Mais l’AFP se contente de le déclarer… “faux”. Mensonge n°2 !

De plus, contrairement aux assertions de l’AFP Factuel (mensonge n°3 !), il ne s’agit pas de projections mais bien des chiffres avérés enregistrés et publiés par les registres officiels des cancers australiens expliquant que les données du graphique publié en 2022 s’arrêtent à 2017.

On ne peut pas croire qu’il s’agirait d’une simple erreur de l’AFP car la source officielle du graphique était rappelée en rouge. L’Agence France-Presse pouvait par conséquent facilement le vérifier.

Barrer d’une croix rouge et qualifier de faux un graphique officiel du gouvernement australien témoigne de sa volonté forcenée d’ignorer les faits qui dérangent.

Plutôt que de rapporter des faits avérés et chiffrés, l’AFP Factuel donne la parole à des experts qui se trompent ou bien mentent.

Ainsi M. Prétet prétend sans aucune vérification (mensonge n°4 !) :

Cette augmentation, si elle existene touche sûrement pas les femmes vaccinées, ce sont des femmes qui sont plus âgées, autour de 45 ans”.

Malheureusement pour lui, cette augmentation constitue un fait avéré et les chiffres rapportés en 2022 par l’Australian Institute of Health and Welfare prouvent que contrairement à ce qu’il pense, chez les 20-39 ans (le groupe le plus vacciné), le nombre annuel de nouveaux cancers de l’utérus a augmenté de plus de 50%, passant de 195 en 2001 (cinq ans avant la vaccination) à 331 en 2021 (après 15 ans de vaccination).

 

L’AFP Factuel utilise comme témoin de prétendus “experts” qui n’étudient, ne vérifient ni ne citent aucun chiffre officiel, mais récitent seulement leur crédo (celui des laboratoires pharmaceutiques, du gouvernement et de l’Institut Pasteur). Ainsi, l’AFP ment en se prétendant « factuelle » !

3) EN SUÈDE, DEPUIS LA VACCINATION, LES CANCERS DU COL AUGMENTENT. Prétendre le contraire constitue un mensonge de plus (le 5ème) :

L’AFP et son expert Francesco Salvo prétendent que les chiffres cités dans ma tribune seraient “inexacts et (représenteraient) une sélection aléatoire et malveillante des données”. Mais ceux-ci ne citent aucune donnée officielle à l’appui de leur croyance.

D’ailleurs, ils reconnaissent eux-mêmes plus loin : “L’incidence des cancers augmente” en attribuant cette augmentation à “des progrès diagnostiques”,alors que les critères anatomopathologiques utilisés pour diagnostiquer le cancer invasif n’ont pas évolué depuis 50 ans.

Mais revenons aux faits, rappelons les données officielles suédoises

En 2017, le Centre suédois de prévention du cancer du col de l’utérus (NKCx) a constaté une augmentation très significative (p < 0,03) de l’incidence du cancer du col de l’utérus passée de 9,7/100 000 en 2006-2009 (date d’introduction de la vaccination) à 11,5/100 000 en 2014-2015.

En avril 2018, un article de l’Indian Journal of Medical Ethics (IJME) a soulevé l’hypothèse que l’augmentation du cancer du col de l’utérus serait liée à la vaccination, mais ce texte a été retiré ultérieurement car son auteur, craignant des représailles, avait utilisé un pseudonyme, violant ainsi la politique de transparence de l’IJME.

En 2019, l’augmentation de l’incidence du cancer du col de l’utérus a été confirmée par Lars Jørgensen lors d‘un plaidoyer tentant d’innocenter la vaccination.

En 2020, l’étude de J. Wang rappelle, de même, l’augmentation d’incidence des cancers invasifs du col dans la dernière décennie :

“Parmi les femmes correctement dépistées avec des résultats normaux, il y a eu une forte augmentation de l’incidence en 2014-2015 par rapport aux années précédentes”.

En 2022, l’augmentation d’incidence est confirmée et analysée par Avalon Sundqvis qui ne parvient pas à en trouver une explication satisfaisante.

Au total, l’augmentation de l’incidence des cancers du col depuis la vaccination en Suède est constatée, confirmée et commentée par tous les articles scientifiques publiés depuis plus de dix ans. Comment l’auteur de cet article publié par l’AFP peut-il l’ignorer ?

La présidente de MSD France, pourtant censée s’intéresser aux chiffres officiels du cancer du col, Clarisse Lhoste, mérite la palme de l’ignorance (ou de la désinformation ?). Elle a osé présenter la Suède, comme un “pays en passe d’éliminer les cancers liés au HPV grâce à la vaccination et au dépistage”.

Ceci est le 6ème mensonge ! Et il est relayé complaisamment par l’AFP. Il s’agit d’un exemple caricatural de négation d’une réalité qui dérange, et/ou d’une propagande réfléchie qui paraît appliquer les conseils les plus manipulatoires en la matière : un mensonge répété mille fois se transforme-t-il en réalité ?

L’AFP ment par omission (7ème mensonge !) en ne rappelant pas l’augmentation de l’incidence des cancers en Grande-Bretagne chez les femmes les plus vaccinées

En Grande-Bretagne, on observe, depuis les campagnes de vaccination, la même évolution paradoxale qu’en Australie et en Suède associant l’absence de diminution globale d’incidence sur l’ensemble de la population, à une augmentation d’incidence chez les femmes âgées de 25 à 34 ans (groupe le plus vacciné) comme le rapporte cette capture d’écran de la figure publiée sur le site officiel Cancer research UK :

Mais bizarrement, l’AFP et ses “experts” feignent d’ignorer cette augmentation d’incidence observée dans le groupe de femmes anglaises les plus vaccinées.

L’AFP ment encore (8ème mensonge !) par omission en ne rappelant pas que la France, peu vaccinée, souffre moins du cancer invasif que les pays très vaccinés.

En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1 /100 000. Depuis, elle est passée en dessous de 6 / 100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège. Et ce sont ces pays qu’on nous donne en exemple !

L’AFP ment encore en prétendant que le Gardasil est sans risques (9ème et 10ème mensonges !)

Elle ne fait que citer les chiffres d’agences gouvernementales qui refusent d’enregistrer les complications post vaccinales et nient systématiquement tout lien de causalité entre complication et vaccin. En détails :

– 9ème mensonge : l’Agence France-Presse fait semblant d’ignorer la mise en garde de l’avisde la Commission de la transparence de septembre 2017 confirmant l’existence de risques neurologiques :

un surrisque de syndrome de Guillain-Barré d’environ 1 à 2 cas pour 100 000 jeunes femmes vaccinées avec GARDASIL ou CERVARIX a été observé dans une étude épidémiologique réalisée par l’ANSM et la CNAMTS.”

– 10ème mensonge : elle cache les nombreuses manifestations de familles qui ont fait vacciner leurs enfants et se plaignent des complications survenus depuis les injections.

On ne peut pas traiter ces manifestants d’antivax puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants alors que ce n’était pas obligatoire… Ils ne dénoncent d’ailleurs pas la vaccination en général, mais seulement la vaccination anti-HPV.

Aux États-Unis, en août 2022, une commission judiciaire a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-HPV Gardasil. Mais l’AFP ne dit mot des procédures en cours. Comment peut-elle les ignorer ?

L’AFP fait-elle encore du journalisme ?

La charte mondiale du journalisme précise clairement :

  1. Respecter les faits et le droit que le public a de les connaître constitue le devoir primordial d’un journaliste.
  2.  Conformément à ce devoir, le/la journaliste défendra, en tout temps, les principes de liberté dans la collecte et la publication honnête des informations, ainsi que le droit à un commentaire et à une critique équitables. Il/elle veillera à distinguer clairement l’information du commentaire et de la critique.
  3. Le/la journaliste ne rapportera que des faits dont il/elle connaît l’origine, ne supprimera pas d’informations essentielles et ne falsifiera pas de documents. Il/elle sera prudent dans l’utilisation des propos et documents publiés sur les médias sociaux.

Plus de dix mensonges en un seul article. Aucune enquête objective. Aucun fait avéré. Aucun chiffre officiel rapporté. La parole donnée à de prétendus experts qui récitent leur crédo publicitaire mensonger sans modération. Voilà le travail accompli par AFP factuel. Il paraît légitime de se demander si cette agence fait encore du journalisme.

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Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus

05/03/2023 (2023-03-05)

Par Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue

INFECTION N’EST PAS CANCER

Faits avérés concernant cette vaccination

Depuis plusieurs semaines, les lobbys des entreprises pharmaceutiques ont mobilisé les médias, notre ministre de la Santé et notre président pour faire la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus). Après avoir déploré qu’« un tiers des jeunes filles » et moins de 10 % des garçons se font vacciner », il s’être déclaré « ouvert à une vaccination obligatoire »1, et vient de déclarer des contre-vérités flagrantes dans un collège de Charente. Comment ses conseillers peuvent-ils le tromper à ce point et lui cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ?

Pourtant la Commission de la transparence dans son avis du 13 septembre 20172 avait alerté :

« Les données disponibles ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant… l’efficacité en termes de prévention des cancers ».

La consultation des registres des cancers des pays pionniers de cette vaccination anti-HPV montre que nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus !3

Le lien de causalité exclusive entre infection à HPV et cancer n’est pas démontré

Un ami gendarme m’a rappelé que « sur les lieux d’un crime, on trouve aussi les témoins ».

Avant la mise sur le marché de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin démontraient que ce dernier est statistiquement lié à de très nombreux facteurs4 5, eux-mêmes liés entre eux dont : l’activité sexuelle précoce, importante et variée (source de microtraumatismes répétés et d’inflammations chroniques qui constituent des causes classiques de cancérisation), le tabagisme, l’usage prolongé des contraceptifs oraux, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq), le Sida et les autres déficits immunitaires et les infections génitales dont l’herpès, la chlamydia et une vingtaine de souches de HPV, les dépressions6. Depuis la mise sur le marché des vaccins anti-HPV, les articles détaillant les facteurs favorisants des cancers se focalisent uniquement sur ces derniers virus et prétendent qu’ils en seraient les seuls responsables.

De plus un certain nombre de cancéreuses se révèlent d’ailleurs HPV négatives7 8, ce qui contredit le discours habituel repris par l’agence officielle Santé publique France faisant de cette infection une condition indispensable au cancer.

Le papillomavirus qui ne donne aucun signe clinique est habituellement commensal comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin ou le bacille de Doderlein dans le vagin. Plus de 150 souches de papillomavirus peuvent infecter l’homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50 % des vierges sont ou ont été infectées9) ou lors d’un acte sexuel. Près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre, souvent à plusieurs reprises, et se débarrasseront naturellement du HPV dans 90 % des cas en quelques mois, sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée.

Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes. La multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorise la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer. Il existe, certes, une corrélation statistique entre persistance d’infection à HPV et cancer, mais aucune preuve de causalité directe n’a jamais été établie. L’absence de lien de causalité exclusive10 démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti-HPV contre les cancers associés au virus11, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL et explique certainement l’échec de la prévention contre le cancer dans les pays adeptes de cette vaccination d’autant que le faux sentiment de sécurité créé par la propagande Gardasil peut inciter certaines jeunes filles à commencer plus tôt leurs expériences sexuelles et d’autres à négliger le dépistage cytologique.

En Australie, la vaccination n’a pas fait reculer l’incidence des cancers invasifs

L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Des journalistes ignorants (ou corrompus ?) proclament régulièrement que le pays va « éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination »12 13, mais les chiffres officiels montrent que depuis la généralisation de la vaccination, l’incidence standardisée14 des cancers invasifs ne diminue plus alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006, grâce aux dépistages par frottis cytologiques.

La capture d’écran qui suit illustre cette vérité officielle que chacun peut vérifier à l’adresse Internet qui y figure. On peut regretter que ce graphique publié en décembre 2022 par l’agence sanitaire australienne (AIHW) ne donne des chiffres observés que jusqu’en 2019 (les services statistiques officiels australiens ne sont pas très réactifs), mais les prévisions officielles des années suivantes ne font que confirmer la tendance avec une incidence 2022 estimée à 7,1/100 000 contre moins de 6/100000 en France peu vaccinée).

De plus, le nombre annuel de nouveaux cancers invasifs, loin de diminuer, augmente :

Les articles qui claironnent la victoire de la vaccination sur le cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur la croyance que la diminution des infections à HPV entraînera une diminution des cancers invasifs, à l’aide de simulations aux hypothèses incertaines, alors que les faits constatés dans le monde réel démontrent le contraire. Prétendre comme tant de journalistes que l’Australie serait en train d’éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination n’est donc qu’un énorme mensonge auquel le président a cru et qu’il a répété !

En Grande-Bretagne non plus, la vaccination n’a pas fait régresser les cancers invasifs

La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école. En 2008, la Grande-Bretagne a mis en place une campagne de vaccination systématique contre les papillomavirus humains dès 2008 pour les jeunes filles de 12 – 13 ans et en rattrapage entre 2008 et 2010 pour les 14 – 18 ans. Entre 2008 – 2009 et 2011 – 2012, la couverture annuelle (pour une dose du vaccin) en Angleterre se situait entre 85,9 % et 90,6 %.

Un article mensonger récent15 mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « Vaccin anti-HPV : quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais, curieusement, l’agence officielle Cancer research UK (CRUK) publie sur son site la dernière incidence standardisée de cancer invasif à 9,6/100 000 (soit supérieure de 50 % au taux français actuel).

Depuis les campagnes de vaccination, l’évolution globale d’incidence des cancers invasifs au Royaume-Uni se caractérise par l’absence de diminution, ainsi que le constate Cancer Research UK :

« Au cours de la dernière décennie, au Royaume uni (entre 2006-2008 et 2016-2018 les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables »

De 1993 à 2006, grâce au dépistage cytologique, l’incidence standardisée avait régressé de 13/100 000 à 9/100 000, mais depuis le début de la vaccination, elle est passée de 9/100 000 en 2006 – 2008 à 10/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

Et cette estimation globale dissimule l’augmentation d’incidence dans les groupes les plus vaccinés. L’analyse par groupes d’âge objective en effet une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées.

À l’opposé, le groupe des 20-24 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19 % des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée en mars 2023.

En Grande-Bretagne aussi la vaccination est donc très loin d’amorcer l’éradication du cancer que promettent les avocats du vaccin avec une augmentation d’incidence dans le groupe le plus vacciné !

En Suède, l’incidence des cancers invasifs a franchement augmenté depuis la vaccination

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée entre 1965 et 2007 (de 24/100 000 à 8/100 000).16

La généralisation de la vaccination à l’école en 2010 a été suivie, au contraire, d’une augmentation de l’incidence des cancers invasifs17 de 7/100 000 en 2006 – 2009 à 11.5/100 000 en 2014–2015 (p <0.03) et même 13/100 000 en 2021, augmentation que reconnaissent les avocats de cette vaccination qui tentent seulement de nier le lien de causalité avec la vaccination18 19. L’analyse en break point (recherche du point de rupture) faite par l’agence sanitaire suédoise date l’apparition de cette augmentation en 2011, un an après la généralisation de la vaccination et plaide t pour sa responsabilité.

En Norvège, l’incidence des cancers invasifs a augmenté depuis la vaccination

La vaccination HPV a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer20 montre que l’incidence de ce cancer a augmenté depuis la vaccination passant de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-

2021 (2 fois plus élevée qu’en France !)

RÉSULTATS GLOBAUX DES VACCINATIONS ANTI-HPV DANS LE MONDE : EFFICACE SUR LE VIRUS, INEFFICACE SUR LA PRÉVENTION DU CANCER

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais s’est jusqu’ici révélée inefficace (avec 16 ans de recul) sur la fréquence des cancers invasifs.

En 2016, nous avions fait part de nos inquiétudes au président de l’Institut national du cancer (INCa) par courrier privé, et le député Gérard Bapt21 avait interrogé oralement la ministre de la Santé de l’époque, ne s’attirant comme réponse qu’un « il est trop tôt pour juger ». Et pourtant ce vaccin existait déjà depuis 10 ans à l’époque. De nombreux cris d’alarme avaient été émis depuis de longues années sans effet, par exemple par le Dr de Chazournes22.

Six ans plus tard, la situation est toujours aussi préoccupante, alors que la publicité mensongère s’intensifie en France et s’accompagne de déclarations gouvernementales ahurissantes, sans jamais évoquer les problèmes que soulève cette vaccination (inefficacité contre le cancer et effets secondaires possibles).

En France, faible taux de vaccination et faible incidence du cancer invasif du col utérin

En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers moindre que chez les champions de la vaccination, tendance qui s’est amorcée dès la généralisation de la vaccination selon les données de l’agence internationale de recherche sur le cancer illustrée par le graphique suivant :

En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1/100 000 et est depuis passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège.

Pourquoi le Président fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les taux de cancers invasifs élevés dans les pays adeptes des vaccinations scolaires ? Ses conseillers sont-ils incompétents ou trop liés aux laboratoires pharmaceutiques ? L’ont-ils informé sur les dégâts éventuels de cette injection ? Pourquoi le trompent-ils ?

Des accidents post vaccination graves ont été constatés dans de nombreux pays

En France, le calvaire de Marie-Océane23 24 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés possiblement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges, retoquée en appel. L’affaire est en cassation.

Les complications post Gardasil ont été rapportées dans de nombreux autres pays (Danemark, Bolivie, Japon, Irlande) où elles ont motivé des manifestations de parents que personne ne peut pourtant qualifier d’antivax, puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants en étant persuadés de bien faire et qu’ils le regrettent après la survenue des complications et des procès aux USA25 26 27.

En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin Gardasil28 29 et les premières audiences devraient se tenir en avril 2023.

Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin. 

L’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins, n’a pas convaincu la commission.

« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral ».

Ne vaccinons surtout pas les garçons par le Gardasil !

Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le prétexte de la proposition du CDC américain (qui reçoit des royalties sur les ventes de vaccin) et de la Haute Autorité de santé française (dont beaucoup d’experts ont des liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique) de vacciner les garçons. Mais ce cancer, exceptionnel (800 cas/an en France), ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle : les homosexuels adeptes de rapports anaux passifs30 avec de multiples partenaires (74 % des cas), et séropositifs au sida (77 % des cas)31 32 et les personnes souffrant de déficit immunitaires, ce qui ne justifie donc pas une vaccination généralisée des garçons d’autant plus que là aussi l’efficacité contre le cancer anal n’est pas du tout démontrée.

Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer anal, mais une fois de plus le lien causal n’est pas démontré contrairement au fait d’être homosexuel passif et porteur du virus du sida. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif ni malade du Sida, le risque de cancer anal est infime, même si on est porteur de HPV.

De plus, les exemples de l’Australie, de la Grande-Bretagne et des USA suggèrent l’inefficacité des vaccins anti-HPV contre le cancer anal, car depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur risque de cancer anal a augmenté 3 à 4 fois plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.

Aux USA, la vaccination par Gardasil a été popularisée dès 2008, mais depuis l’incidence des cancers anaux a augmenté plus que dans les précédentes décennies comme le précise le Surveillance and End Results Program (SEER) du National Cancer Institute33:

« Les taux ajustés selon l’âge pour les nouveaux cas de cancer anal ont augmenté en moyenne de 2,2 % chaque année de 2010 à 2019. Les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge ont augmenté en moyenne de 3,9 % par an entre 2011 et 2020. »

En Grande-Bretagne, Cancer Research UK précise ainsi34:

« Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer anal chez les femmes ont augmenté de plus de la moitié (53 %) et les taux chez les hommes ont augmenté d’environ un septième (13 %). »

On peut donc craindre que ce vaccin anti-HPV favorise paradoxalement l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition plus précoce et fréquente d’un cancer du col utérin !

Les arguments avancés par la Haute Autorité de Santé pour généraliser ce vaccin chez les garçons sont d’ailleurs révélateurs de l’absence de bénéfice médical démontré pour les garçons et de la volonté de faciliter le passage à l’homosexualité.

Initialement les recommandations visaient seulement les homosexuels mâles et les immunodéprimés35 :

« La vaccination par GARDASIL 9® (9HPV) est recommandée chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) jusqu’à l’âge de 26 ans et chez les adolescents immunodéprimés »

Mais le 16 décembre 2019, à la suite d’une saisine de la direction générale de la santé et de la Ministre chargée de la santé, la Haute Autorité de santé (HAS) a élargi ses recommandations36 à l’ensemble des mâles « pour ne pas stigmatiserdes adolescents ou des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à un âge où la préférence sexuelle n’est pas connue ou pas affirmée. »

La HAS recommande un vaccin potentiellement dangereux et totalement inutile chez les hétérosexuels pour calmer les angoisses de potentiels homosexuels mâles passifs ou garçons indécis !

En l’état actuel de la science, la prévention pratique du cancer anal repose sur l’utilisation systématique du préservatif (pour éviter la contamination par le virus du sida), la limitation de la fréquence des rapports anaux passifs et peut-être le traitement des lésions précancéreuses par radiofréquence37. La vaccination anti HPV, qui confère un faux sentiment de sécurité, risque de favoriser la survenue de la maladie, comme on l’a constaté lors des essais de vaccins contre le Sida.

Un vaccin jugé peu efficace et trop cher par 400 praticiens38

Rappelons que la vaccination anti-HPV ne permet pas de se dispenser du dépistage et peut-être justifierait même une fréquence accrue, comme le suggèrent les Suédois39. La vaccination ne diminue donc pas le coût de la prévention du cancer, mais l’augmente.

Le coût financier de la généralisation de cette vaccination serait exorbitant, car, avec près de 500 euros le coût de chaque vaccination complète (trois doses plus quatre consultations), il faudrait dépenser environ 400 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! En prenant les hypothèses d’efficacité les plus invraisemblables (100 % d’efficacité sur 100 % des cancers concernés) le coût/efficacité financière atteindrait 200 000 euros par année de vie gagnée ajustée sur la qualité de vie (QALY)40, alors que la Grande-Bretagne fixe le seuil d’acceptabilité à 30 000 euros par qaly. Un bénéfice très incertain (et potentiellement négatif) pour un coût colossal, totalement disproportionné de plus en cette période de déficit budgétaire.

Comme le souligne Bijan Esfandiari, avocat spécialisé dans les litiges en matière de responsabilité du fait des produits pharmaceutiques et associé principal chez Wisner Baum à Los Angeles41 :

« le moyen le plus efficace et sans effets secondaires pour prévenir le cancer du col de l’utérus est le test de Papanicolaou42

Des études montrent que les jeunes femmes qui ont reçu du Gardasil ont un faux sentiment de sécurité et renoncent aux frottis vaginaux de routine. Les données ont également montré que, dans les pays où l’utilisation du Gardasil est élevée, les taux de cancer augmentent chez les jeunes femmes, pour un cancer qui apparaît généralement lorsque les femmes atteignent la cinquantaine et la soixantaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici et nos enfants ne devraient pas être soumis à une obligation de l’État qui les transforme en cobayes et les expose à un risque accru de contracter la maladie même si on leur dit que ce vaccin la prévient. »

On peut conseiller à Monsieur le Président de ne plus croire des conseillers incompétents ou corrompus qui le décrédibilisent, et de vérifier personnellement les données officielles des pays qui ont généralisé le Gardasil. Il constatera qu’il ne faut pas promouvoir cette vaccination efficace sur l’infection et les verrues, mais inefficace contre les cancers, hors de prix et dont les dangers conduisent actuellement à de nombreux procès aux USA.

Dans l’état actuel de la science,
il ne faut vacciner ni filles ni garçons avec le Gardasil !


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Les procès américains contre le Gardasil rappellent les dangers du vaccin contre le papillomavirus, de plus en plus « imposé » en France

Les lobbies de l’industrie des vaccins s’efforcent, via les médecins généralistes (1), pédiatres,  infirmiers, pharmaciens etc.. de convaincre les parents de faire vacciner garçons et filles contre les HPV en agitant le spectre du cancer (2, 3, 4, 5) (col de l’utérus pour les filles, anus et ORL pour les garçons). Ils prétendent que ces vaccins sont efficaces contre les cancers et sans risque, et nous avons déjà démontré depuis plusieurs années le caractère fallacieux de ces informations. (6 ,7, 8, 9)

Les procès Gardasil (10, 11) qui s’ouvrent aux USA prouvent que ces vaccins ne sont pas dénués de complications graves.

Les complications post Gardasil ont déjà motivé des manifestations de victimes et de leurs familles dans de nombreux pays : Japon (12), Danemark (13), Irlande (14), Colombie (15) alors qu’on ne peut pas accuser ces familles d’être des antivax puisqu’elles ont fait vacciner leurs enfants !

En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-VPH Gardasil. 

Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin.  La commission n’a pas été « convaincue » par l’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins.

Les poursuites intentées comprennent des recherches en responsabilité des produits, des actions en rupture de garantie, en fraude, en négligence et, dans certains cas, en violation des lois étatiques de protection des consommateurs.

« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux Etats-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral », a déclaré Kennedy.

Baum Hedlund et Kennedy ont intenté de nombreuses actions en justice contre Merck, accusant la société de dissimuler sciemment les effets indésirables associés à son vaccin Gardasil. Les victimes viennent de nombreux états notamment : Victoria Trevisan (Californie) Merrick Brunker (Californie) Emma Sullivan (New Jersey) Ashley Dalton (Michigan) Abigail Stratton (Caroline du Sud) Savannah Flores (Nevada) Korrine Herlth (Connecticut) Kayla Carrillo (Californie) Michael Colbath (Californie) Sahara Walker (Wisconsin) Zachariah Otto (Californie) Julia Balasco (Rhode Island) 

Bien que chaque cas soit unique, tous les plaignants s’accordent à dire que si Merck avait dit la vérité sur les dangers connus associés à Gardasil, ils n’auraient jamais consenti au vaccin contre le VPH.

 En France plusieurs plaintes ont été déposées pour complications graves en rapport avec le Gardasil (une cinquantaine de familles). A ce jour, le combat de la jeune Océane  et de ses parents se poursuit depuis 2013 (16). Plus de 700 familles seraient concernées.

Aux Etats-Unis (17), la justice est moins dépendante du pouvoir politique qu’en France

En France le premier alinéa de l’article 64 de la Constitution du 4 octobre 1958 dispose que « le Président de la République est garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire » rappelant un peu trop qu’avant 1789 la justice était rendue « au nom du roi ». Comme l’a indiqué le professeur Guy Carcassonne (18), « autant proclamer que le loup est garant de la sécurité de la bergerie ». De fait l’indépendance des magistrats du parquet, dont découle le libre exercice de leur action devant les juridictions, (…) doit être conciliée avec les prérogatives du Gouvernement et (…) n’est pas assurée par les mêmes garanties que celles applicables aux magistrats du siège ». Leur carrière dépend considérablement du pouvoir et du Conseil supérieur de la magistrature.

Cela explique les discordances fréquentes entre les sentences rendues contre le pouvoir ou ses protégés jugées trop tardives et/ou trop faibles par la population en particulier dans les scandales sanitaires (sang contaminé, médiator, hormone de croissance..)

Aux USA beaucoup de juges sont élus par le peuple (19) au lieu d’être nommés par des puissants corruptibles. Les avocats ont le droit d’enquêter, de parler aux témoins, de réunir les preuves, et de parler en public de leur affaire (20). On peut donc attendre de cette série de procès américains des preuves supplémentaires solides de l’ingérence de Merck dans la décision de la FDA d’autoriser la mise sur le marché du Gardasil sans aucune preuve d’efficacité anticancer et dans la responsabilité du Gardasil dans les complications constatées.

Il faut espérer que les médias français rendront compte objectivement des procès et que les preuves qu’ils apporteront permettront de relancer un débat démocratique sur la réelle balance avantages/risques de ce vaccin inefficace, dangereux et hors de prix.

Un vaccin inefficace sur les cancers invasifs du col de l’utérus

Nous avons à maintes reprises (21, 22, 23, 24) rappelé que si ces vaccins sont efficaces contre les virus cibles, leur prétention à prévenir les cancers du col de l’utérus, des organes génitaux, de l’anus ou de la gorge n’ont jamais été prouvées et ne reposent pas sur les faits avérés publiés dans les registres des cancers, mais seulement sur des simulations fausses basées sur des hypothèses incertaines. 

Les médias proclament partout que l’Australie, qui a été la première à généraliser cette vaccination à l’école, serait en train d’éradiquer le cancer du col de l’utérus (25, 26, 27), mais les publications officielles(28) démontrent le contraire : le nombre global des cancers invasifs qui avait fortement diminué grâce aux frottis cytologiques systématiques (tous les trois ans)  augmente depuis la vaccination. 

« En 2018, 936 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus ont été diagnostiqués en Australie. En 2022, on estime que 942 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus seront diagnostiqués en Australie »

Et l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus, qui avait fortement diminué jusqu’en 2000 grâce aux frottis cytologiques, reste stable malgré les annonces publicitaires fracassantes sur l’efficacité supposée du Gardasil contre le cancer invasif.

En 2017, le taux d’incidence normalisé selon l’âge était de 6,6 cas pour 100 000 femmes. En 2021, on estime que le taux d’incidence standardisé selon l’âge restera à 6,8 cas pour 100 000 femmes

La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser le Gardasil en milieu scolaire et là aussi fleurissent des simulations publicitaires (29) relayées par des articles dithyrambiques annonçant la disparition prochaine du cancer invasif.

Mais là encore les publications officielles (30) affirment que depuis la vaccination l’incidence standardisée globale ne diminue plus. Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer du col de l’utérus sont restés stables chez les femmes au Royaume-Uni (2016-2018)

Et dans la classe d’âge 20-24 ans, vaccinée à plus de 80%, l’incidence des cancers invasifs a commencé à augmenter trois ans après le début de la campagne de vaccination.

En Grande-Bretagne comme en Australie les faits avérés dans le monde réel démentent totalement la propagande publicitaire des simulations réalisés par des auteurs liés aux fabricants de vaccin ou aux organismes réalisant les campagnes de vaccinations.

D’ailleurs les prévisions de cancer-research UK sont très inquiétantes :

On observe la même évolution paradoxale et les mêmes campagnes permanentes de propagande marchande dans tous les pays assez riches pour payer ces vaccins hors de prix. 

En France métropolitaine la couverture vaccinale anti HPV faible fait le désespoir des marchands de vaccins et de leurs actionnaires, mais permet de considérer notre pays comme un pays témoin.

En France, depuis la pratique du dépistage par frottis l’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué passant de 15/100000 en 1995 à 7,5 en 2007, 6,7 en 2012, et est estimée en dessous de 6/100000 en 2018 (31), seuil définissant les maladies rares d’après l’OMS. Cette diminution de l’incidence s’est accompagnée d’une diminution de la mortalité. Il n’y a donc aucune urgence à utiliser un vaccin au résultat cancérologique incertain et potentiellement dangereux.

La comparaison des incidences du cancer invasif du col de l’utérus en France et dans les pays très vaccinés est très démonstrative : Le taux français relativement faible de vaccinées (37% de la population cible) va de pair avec une incidence standardisée plus faible (6/100000) que dans les pays apôtres du vaccin, que ce soit en Australie (6,8/100000 [32] pour 83% de vaccinées), en Grande -Bretagne (9,7/200000 pour 85% de vaccinées) , en Suède (10,4/100000 pour 83% de vaccinées), en Norvège (15/100000 pour 90% de vaccinées) ou au Portugal (16,1/100000 pour 76% de vaccinées) (34).

Manifestement l’efficacité du Gardasil contre les cancers invasifs du col n’a toujours pas fait ses preuves contrairement au dépistage cytologique qui a partout réduit l’incidence de plus de 50% en quelques années. 

Pourquoi devrions-nous prendre modèle sur des pays dont la stratégie vaccinale aboutit à un risque de cancer invasif du col de l’utérus supérieur au nôtre ? Ce qui compte, ce ne sont pas les mirages des simulations, mais les résultats avérés en population réelle.

 

Dès 2010, Diane Harper dans « Cervical cancer incidence can increase despite  HPV vaccination », (35) craignait que la propagande prétendant que « le vaccin ferait disparaître le cancer » dissuade trop de femmes de continuer le dépistage cytologique et aboutisse ainsi à perdre une partie des considérables progrès (diminution de 50 à 70% du nombre de cancers du col utérin dans tous les pays qui l’ont pratiqué) accomplis depuis les années 1960. Les résultats actuels des registres des cancer lui donnent malheureusement raison.

Un Vaccin hors de prix et un projet délirant d’obligation vaccinale

Ce vaccin est vendu à un prix astronomique. C‘est d’ailleurs peut-être la raison de l’intensité de la propagande en sa faveur. Une dose de vaccin contre la fièvre jaune coute actuellement 60 euros et vous protège à vie contre cette maladie mortelle dans 20 à 60% des cas selon les épidémies (37)et une dose d’Hexyon, le vaccin hexavalent de Sanofi, est vendu 37,49 euros.

La vaccination par Gardasil nécessite trois doses, pour un prix d’achat de 370,32 euros avec un reste à charge de 129,61 euros sans compter le reste à charge des 4 consultations nécessaires (en moyenne 120 euros). Et personne ne connait la durée de protection contre les souches virales ciblées, et encore moins si cela préviendra vraiment un seul cancer ! 

Certains députés ont proposé à deux reprises un projet de loi rendant obligatoire la vaccination par Gardasil. Ont-ils seulement mesuré le cout exorbitant d’une telle mesure ? Si l’on tient compte du prix des vaccins et des consultations nécessaires, la vaccination d’une classe d’âge couterait en effet environ 500 euros par personne, soit environ 350 millions d’euros chaque année. Et en acceptant les hypothèses les plus invraisemblables d’une durée de protection illimitée et d’une efficacité anti cancer totale cette dépense permettrait d’éviter moins de 1000 décès par cancer du col et moins de 400 décès par  cancers de l’anus, soit plus de 200000 euros par décès théorique évité, soit vingt fois plus que couramment admis en France pour estimer rentable une action sanitaire. Ces députés croient-ils encore qu’il existe de l’argent magique ? Sont-ils incapables de compter, ignares ou corrompus ?

Une mesure sanitaire ne doit pas reposer sur la foi dans une vaccination ou des conflits d’intérêts cachés, mais sur des faits avérés, vérifiables par chaque citoyenOr les faits établis par les relevés officiels des registres du cancer montrent que la vaccination anti HPV ne protège pas contre le cancer invasif du col de l’utérus, mais parait plutôt maintenir sa fréquence à un niveau élevé, voire parfois même l’augmenter. Il n’existe aucune preuve même minime que le vaccin anti HPV puisse protéger contre les cancers de l’anus et ORL.

Ne vaccinez pas vos enfants par Gardasil avant qu’il n’ait été prouvé en population réelle son hypothétique efficacité anti-cancer. Nous en sommes très loin. Cependant les complications sont reconnues.

Dr Gérard Delépine

 

Notes :

1 https://nouveau-monde.ca/ne-vaccinons-pas-non-plus-les-garcons-par-le-gardasil/ 

2 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2022/10/17/prevention-du-cancer-du-col-de-l-uterus-itineraire-d-un-echec_6146187_1650684.html 

3 https://www.leprogres.fr/sante/2022/04/27/la-vaccination-contre-les-hpv-concerne-autant-les-filles-que-les-garcons 

4 https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cancer/faut-il-vacciner-les-garcons-contre-le-papillomavirus_131256 

5 https://www.lefigaro.fr/sciences/pourquoi-faire-vacciner-son-garcon-contre-le-hpv-20210111 

6 Hystérie vaccinale Gardasil et cancer un paradoxe   n et g Delépine    et  Faith and propaganda versus hard evidence, Gardasil, Nicole Delépine, Gérard Delépine, Fauves Ed ». .

7 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-augmentation-du-taux-de-218354

8 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-alerte-risque-imminent-d-206314 

9 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-societe-sante/gardasil-resultats-cancerologiques-actuels-des-vaccins-anti-hpv

10  https://t /defender/un-proces-intente-recemment-contre-le-vaccin-gardasil-hpv-de-merck-pour-cause-dinfertilite-et-de-crises-depilepsie/?lang=fr 

11 https://childrenshealthdefense.org/defender/premier-proces-pour-deces-injustifie-lie-au-gardasil-alleguant-que-le-vaccin-contre-le-vph-a-cause-la-mort-dun-adolescent-de-13-ans/?lang=fr 

12 HPV: le Japon ne recommande plus les vaccins Gardasil et Cervarix contre le cancer de l’utérus https://www.slate.fr/life/74167/vaccin-japon-hpv 

13 http://initiativecitoyenne.be/2015/05/desastre-du-vaccin-gardasil-au-danemark-le-documentaire.html 

14 https://thenewamerican.com/irish-nurse-seeks-withdrawal-of-license-for-gardasil/ 

15 https://sanevax.org/hpv-vaccine-damaged-girls-colombia-stir-international-quest-justice/ 

16 Gardasil in France: Marie-Océane Bourguignon’s Experience – SaneVax, Inc.

17  https://www.legislationlab.org/election-juge-usa/ 

18 https://www.conseil-constitutionnel.fr/la-constitution/l-independance-de-l-autorite-judiciaire#ii_la_consecration_pretorienne_de_l’independance_des_juridicti 

19 http://loiseaumoqueur.com/?p=1652 

20 https://www.ladepeche.fr/article/2011/07/01/1119967-juges-jures-avocats-qui-fait-quoi-aux-etats-unis-et-en-france.html  

21 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-augmentation-du-taux-de-218354 

22 https://www.auchan.fr/hysterie-vaccinale-vaccin-gardasil-et-cancer-un-paradoxe-delepine-nicole/pr-62adb0ad-a7de-44cb-b45c-7f73b2af1bd7 

23 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/vaccin-gardasil-augmente-t-il-le-204313 

24 https://atlantico.fr/article/decryptage/pourquoi-les-predictions-sur-la-disparition-du-cancer-du-col-de-l-uterus-grace-a-la-vaccination-sont-a-prendre-avec-beaucoup-de-pincettes-nicole-delepine 

25 https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/diplomatie-scientifique-et-universitaire/veille-scientifique-et-technologique/australie/article/l-australie-sur-la-voie-de-l-eradication-du-cancer-du-col-de-l-uterus 

26 https://www.gyneco-online.com/gynecologie/elimination-du-cancer-du-col-en-australie-une-projection-pour-lavenir 

27 Hall MT , Simms, Lew, Smith, Brotherton, Saville, Frazer, Canfell  The projected timeframe until cervical cancer elimination in Australia: a modelling study. Lancet Public Health. 2018 Oct 1. pii: S2468-2667(18)30183-X. doi: 10.1016/S2468-2667(18)30183-X. [Epub ahead of print

28 https://ncci.canceraustralia.gov.au/diagnosis/cancer-incidence/cancer-incidence 

29 Falcaro M, Castañon A, Ndlela B, et al. The effects of the national HPV vaccination programme in England, UK, on cervical cancer and grade 3 cervical intraepithelial neoplasia incidence: a register-based observational study. Lancet 2021;398(10316) :2084-2092.

30 https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence#heading-Two 

31 F. F. HAMER Cancer du col de l’utérus en France : tendances de l’incidence et de la

mortalité jusqu’en 2018 Revue de Biologie Médicale/N° 353 – MARS-AVRIL 2020

32 https://cdn.who.int/media/docs/default-source/country-profiles/cervical-cancer/cervical-cancer-swe-2021-country-profile-fr.pdf?sfvrsn=df523911_1 

33 https://www.kreftregisteret.no/globalassets/cancer-in-norway/2019/cin_report.pdf 

34 https://hpvcentre.net/statistics/reports/PRT_FS.pdf 

35 https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S1473-3099%2810%2970182 

36 https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/fievre-jaune 

37 contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la poliomyélite et les maladies invasives à Haemophilus influenzae type b (Hib).


 


 

 

     

 

« https://www.youtube.com/watch?v=N7jKp26YGDI

« Le Gardasil censé prévenir l’apparition du cancer du col de l’utérus DOUBLE en fait le risque de déclarer ce cancer chez les jeunes femmes vaccinées.

Les autorités sanitaires françaises veulent rendre ce vaccin obligatoire en dépit des données scientifiques alarmantes que l’on découvre en analysant les registres du cancer des grands pays où la couverture vaccinale est très élevée (Suède, Norvège, Royaume-Uni, Australie).

Découvrez pourquoi les vaccins Gardasil® et Cervarix® sont un danger pour la santé et pourquoi vous devriez refuser ce vaccin anti-HPV et demander au gouvernement français de ne pas le rendre obligatoire en lisant le livre de Nicole et Gérard Delépine :  » Hystérie vaccinale: Vaccin Gardasil et cancer: un paradoxe  » par Jérémie Mercier
https://amzn.to/32Ypgft

 

 

 

FIL du diaporama   7 9 2019 Alix gardasil_ POUR SITE

Gardasil : le vaccin qui augmente le risque de cancer du col.  Sera-t-il le prochain scandale sanitaire mondial ? par Gérard Delépine Chirurgien cancérologue gerard.delepine@bbox.fr

 

Indication officielle du Gardasil : prévenir le cancer du col de l’utérus en ciblant les virus papilloma humain.  Est–ce en bonne voie ?

Pourquoi étudier l’efficacité des vaccins anti HPV contre le cancer du col ? Une propagande mondiale massive mensongère utilise la peur pour pousser les parents à vacciner leurs enfants, n’hésitant pas à les culpabiliser. La révélation des nombreuses complications ne ralentit pas l’hystérie vaccinale

Le president, Mme Buzyn et 50 sociétés savantes, syndicats et associations ~ sponsorisés par l’industrie ont proclamé leur volonté d’imposer la vaccination. En juillet 2018, 8 députés ont deposé un amendement de loi pour rendre cette vaccination obligatoire, et à nouveau sept autres en 2019.

 

DEFINITIONS

Quelques éléments démographiques sur le cancer du col. Ce cancer ne survient jamais avant 15 ans, est rarissime avant 20 ans et rare entre 20 et 25 ans. La vaccination a débuté en 2007, centrée sur les filles de 11-13 ans mais aussi « en rattrapage » celles de 13-18 ans et jusqu’à 26 ans en Australie.

En 2019, les registres du cancer ne donnent que les résultats de 2014-2016. On ne dispose donc que de 7 à 8 ans de recul analysables. Les filles qui avaient plus de 13 ans lors de la vaccination qui dépassent l’âge de 20 ans constituent le groupe témoin privilégié (20-24 ans)

 

L’histoire officielle du Gardasil est un beau conte qui repose sur 5 piliers : 1°) Les cancers du col de l’utérus, de la vulve, du vagin SERAIENT un cancer fréquent et une cause majeure de décès qui menace toutes les femmes. Vous et vos enfants seriez  de plus exposés aux cancers de l’anus et ORL. 2°) Ces cancers SERAIENT dus à quelques souches de HPV (human papilloma virus) (Von Hauser récompensé d’un prix Nobel). 3°) GSK et Ian Frazer ont inventé des vaccins pour vaincre ces cancers.4°)Les essais auraient prouvé que les vaccins SERAIENT efficaces et bien tolérés.  5°) La vaccination devrait faire disparaître ces maux.

 

PREMIERE INTOX : problème majeur de santé publique? Faux en France!   En France métropolitaine LE CANCER DU COL DE L UTERUS représente 1.7% des cancers avec une incidence de 6/100000, ce qui en fait une maladie rare (Une maladie est considérée comme rare par l’OMS lorsque son incidence est égale ou inférieure à 6/100000)

Aux USA, il ne figure même pas dans le graphique des cancers féminins du CDC, pourtant très pro gardasil) avec incidence de 7/100000 (contre 124/100000 pour cancer du sein).

En France,il est responsable de 0,6% de la mortalité par cancer avec une mortalité de 1,8/100000.  Depuis la pratique des frottis moins de 1000 décès annuels lui sont imputables (contre > 5000 auparavant). Ces décès touchent majoritairement (70% à 80%) les femmes qui ne se font pas dépister selon les recommandations(1 fois / 3 ans à partir de 25 ans)

L’OMS, ministère et laboratoires pharmaceutiques utilisent la mauvaise situation sanitaire des pays sous développés pour créer la peur dans la population des pays riches (ceux qui peuvent payer ce vaccin hors de prix). La carte OMS montre qu’il n’est un problème de santé publique majeur uniquement dans les pays qui n’utilisent pas le dépistage par frottis.

 

 

Comment évaluer l’effet de la vaccination sur le risque de cancer invasif ?  Pour évaluer réellement l’effet d’une action préventive de santé publique, il faut examiner l’évolution de l’incidence de la maladie dans la population générale et dans les groupes soumis à cette prévention. Et non pas utiliser des critères substitutifs (infection, anomalies cytologiques bénignes) dont la valeur n’a jamais été testée dans le cadre d’une vaccination et encore moins sur un échantillon de cobayes non représentatifs de la population concernée (essais thérapeutiques).

Pour un traitement censé prévenir le cancer du col, les registres officiels du cancer constituent les témoins indiscutables les plus pertinents.

 

 

 

Méthode pour évaluer objectivement l’effet de la vaccination sur le risque de cancer invasif  : recueil des incidences du cancer du col de l’utérus rapportées dans les registres des cancers des pays qui utilisent le dépistage (pap tests) et dont la couverture vaccinale dépasse les 80%.

 

Analyse des évolutions avant et depuis la vaccination : en les comparant à celle de la France où la couverture vaccinale n’atteint pas 20%. Toutes courbes présentées ci après proviennent des instituts nationaux de statistiques (sauf pour l’Australie qui fournit des chiffres mais pas de courbe par groupe d’âge). Nous avons ajouté des commentaires en rouge. Voir toutes les courbes sur le diaporama.

 

 

ANALYSE DES EVOLUTION DES PAYS QUI PRATIQUENT LE DEPISTAGE, UNE COUVERTURE VACCINALE >80%

Période pré vaccinale (1980-2007) .L’incidence du cancer invasif du col a diminué spectaculairement dans tous les pays qui pratiquent le dépistage par frottis :le risque global de cancer invasif du col ne diminue plus dans les pays qui vaccinent, sauf pour les femmes de plus de 50 ans, non vaccinées, qui ont continué à bénéficier d’une baisse de leur risque de cancer.

 

CHEZ LES FEMMES VACCINEES, AUGMENTATION IMPORTANTE et SIGNIFICATIVE DU NOMBRE DE CANCER DU COL  2 à 3 ans APRES VACCINATION

 

La politique vaccinale australienne. La campagne de vaccination a commencé en 2007 et a concerné les jeunes filles de 12 à 26 ans, qui avaient 20 à 34 ans en 2015 et représentent les groupes témoins pertinents.

Les mensonges publicitaires australiens. Les chiffres australiens officiels  détaillés de cancers invasifs sont visibles sur les courbes du diaporama et contraires à la propagande médiatique qui se basent sur des simulations fondées sur des hypothèses érronées confondant infections et cancer .

 

 

 

Grande Bretagne : augmentation d’incidence chez les 20-24 ans

 

 

 

Norvège : Evolution du risque chez les 20-24

 

 

Suède  évolution chez les 20-24 ans

 

Les filles âgées de 14 à 18 ans en 2010 ont subi des vaccinations de rattrapage pour 80% d’entre elles. Depuis, leur incidence (lissée sur trois ans) de cancer invasif du col de l’utérus a augmenté de 150%

Cette augmentation d’incidence est très significative et ne peut pas être due au hasard (P<0,001)

 

 

Recherche des points de rupture

La recherche des points de rupture permet d’établir la date de la modification de tendance evolutive et ainsi de vérifier s’il existe une corrélation temporelle entre celle-ci et la vaccination

En Suède, l’augmentation d’incidence est apparue deux ans après le début de la campagne scolaire de vaccination

 

 

 

USA : incidence du cancer invasif du col de l’utérus – 1975 à 2015

Depuis la vaccination, elle ne diminue plus

USA: incidence 2000-2016 chez les 15-39

Depuis 2013 l’incidence augmente chez les femmes jeunes

USA: tendance évolutive chez les américaines de plus de 40 ans

Durant cette même période, l’incidence a diminué chez les femmes de plus de 40 ans non vaccinées

 

 

Prédictions paradoxales de Nordcan, le registre scandinave

Au Danemark peu vacciné,Nordcan prédit un taux stable de cancer. En Suède, très vacciné, Nordcan prédit une augmentation importante du taux de cancer du col chez les vaccinées

 

 

 

 

 

Quelles sont les causes du cancer du col ?

FAKE NEWS : les virus seraient l’unique cause du cancer. Or le Papillomavirus est virus saprophyte. Toutes les femmes ont été un jour infectées par le HPV sans le savoir et ont guéri sans traitement.

Les HPV présents lors du cancer sont de simples témoins d’une activité sexuelle importante, source de microtraumatismes, de réinfections et d’inflammations répétés,  causes possibles du terrain favorable aucancer

Infection n’ est pas cancer! Association ne veut pas dire causalité . L‘origine du cancer est multifactorielle . HPV sur les lieux du crime n’est qu’un témoin

Seule l’ analyse multifactorielle prenant en compte la totalité des facteurs connus précisant leur poids respectif aurait une réelle valeur évocatrice de causalité

 

Fake
les essais auraient prouvé vaccins efficaces et bien tolérés !Or la vaccination anti hpv est expérimentale

Depuis la commercialisation des vaccins : les études étiologiques se focalisent uniquement sur les papillomavirus !

 

Etat actuel des connaissances :

le papillomavirus pourrait n’être qu’un marqueur de risque de cancer traduisant son association avec les causes réelles (traumatismes répétés et inflammation chronique) …

L’évolution naturelle du cancer du col s’étalant sur deux décennies, on peut s’étonner de l’extrême précocité de l’augmentation de fréquence après vaccination.

Mais le cancer sous vaccins peut évoluer différemment. Ce n’est plus une évolution « naturelle »!

On le voit chaque jour avec les cancers soumis aux nouvelles drogues ciblées ou à l’immunothérapie à l’origine de cancers foudroyants quasi inconnus à cette échelle, avant l’ère de ces nouvelles molécules.

Pourquoi le Gardasil échapperait-il à cette possibilité de modification de l’histoire naturelle du cancer du col de l’utérus ?

Les vaccins peuvent modifier l’histoire des maladies

Les essais des premiers vaccins anti-sida Phambili puis Step ont abouti à une augmentation du risque d’attraper la maladie dans les années 2000 et ont été abandonnés pour cette raison

La vaccination anti hépatite B a été suivie dans les pays industrialisés (USA, France, GB, Australie, Canada) par une augmentation considérable du risque de de carcinomes hépatiques

La catastrophe toute récente du Dengvaxia contre la dengue aux Philippines* avec ses milliers de victimes (dont des dizaines de morts) est un autre exemple tragique.

Ces désastres sanitaires ont cruellement montré qu’une VACCINATION peut aggraver la maladie qu’elle était supposée prévenir.

Association ne veut pas dire causalité.
l’ origine du cancer est multifactorielle : précocité sexuelle, fréquence des rapports sexuels, le nombre de partenaires , la fréquence des infections bactériennes (chlamydia) ou virales HPV , Herpès, le tabagisme, le nombre de grossesses menées à   terme, et même la cuisine au feu de bois.

Tous ces facteurs (souvent associés entre eux) sont statistiquement liés à un sur risque de cancer du col.

Fake 
les essais auraient prouvé que les vaccins sont efficaces et bien tolérés.

Gardasil 4 antigènes souches type 6, 11, 16 et 18 et le Cervarix 2 souches (sur 150 souches connues)

infections 16 et 18 érigées en épouvantails par les industriels rares en Europe occidentale (étude en Catalogne)

le vaccin n’est actif que contre 1/2 infections à papillomavirus vues en France

Infection n’ est pas cancer

efficacité réelle sur infections et verrues génitales et prévention des anomalies CN2 et CN3, jamais démontrée dans la prévention du cancer invasif.

Aucune étude publiée ne prouve que le vaccin permet de diminuer le risque de cancer invasif ou le risque d’en mourir

La vaccination constitue donc une expérimentation.

notice du Gardasil : «Etant donné qu’aucun vaccin n’est efficace à 100 %, que Gardasil ne protège pas contre tous les types d’HPV ou contre des infections déjà existantes dues aux HPV, le dépistage en routine du cancer du col de l’utérus reste très important.. »

 

Vaccination expérimentale sur des populations entières  Inutile (dépistage efficace)

Résultats actuels très inquiétants : dans tous les pays qui ont organisé des campagnes de vaccination, l’incidence des cancers du col a augmenté dans les groupes d’âge vaccinés. Notons que le vaccin anti HPV est hors de prix près de 250 euros pour 2 doses.

OMS : RECOMMANDE MAIS N EST  PAS INDEPENDANTE !

Le budget de l’OMS est constitué pour 50% de contributions volontaires dont l’utilisation est décidée selon les désirs des donateurs…

Beaucoup de ces dons proviennent des firmes du médicament ou de fondations qui subordonnent leur attribution aux actions pro vaccinales (comme celles de Bill Gates) etc…

 

Corrélation obligations vaccinales/corruption

Les pays les plus corrompus sont ceux qui imposent les vaccinations. Informez-vous !

 

 

Résumé de l’expérience des pays qui ont largement vacciné contre le HPV à partir des données publiées des registres des cancers.

Gérard Delépine 2 octobre 2019

L’efficacité d’un politique nationale de prévention d’un cancer doit être jugée non pas sur les petits échantillons d’essais thérapeutiques mais, en vie réelle, sur l’évolution de l’incidence de ce cancer dans l’ensemble de la population concernée, telle qu’elle apparaît dans les registres officiels des cancers

A ce jour, seulement quatre pays qui pratiquaient le dépistage cytologique et disposaient de registres nationaux du cancer ont obtenu une couverture vaccinale supérieure à 80% dans la population ciblée avec un recul suffisant : l’Australie, la Grande Bretagne, la Suède et la Norvège.

En Australie,

 

la campagne vaccinale a débuté en 2007 chez les adolescentes, avec un taux de couverture proche actuellement de 80%. Depuis cette date, l’incidence standardisée monde des cancers invasifs dans la population globale ne baisse plus, contrairement aux annonces permanentes des médias qui claironnent l’éradication future des cancers du col dans ce pays en diffusant des prédictions statistiques reposant sur des hypothèses fausses.

De plus, il est paradoxal de constater que l’incidence des cancers invasifs du col augmente dans les classes d’âge de femmes vaccinées. Ainsi, dans la tranche d’âge des femmes de 20-24 ans (vaccinées à 80% entre 14 et 18 ans), l’incidence est passée de 0,7 en 2007 à 1,5 cas/100.000 en 2014. Chez les femmes âgées de 25 à 29 ans (vaccinées en rattrapage lorsqu’elles avaient entre 19 et 23 ans) ces chiffres ont augmenté également, de 5,9 en 2007 à 8,2/100.000 en 2014. De même pour les 30-34 ans (qui ont subi des vaccinations de rattrapage jusqu’à l’âge de 26 ans en 2007) dont l’incidence a augmenté de plus de 30% (de 9,9 en 2007 à 13,2 en 2014), augmentation statistiquement significative. A l’opposé, les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque de cancer diminuer -17% pour les femmes de 55 à 59 ans (de 9.7 à 8.1), -13% pour celles de 60 à 64ans (de 10.3 à 8.9), -23% pour celles de75 à 79 ans (de11.5 à 8.8) et même moins 31% pour celles de 80 à 84 ans (de 14.5 à 10).

 

 

 

En Grande Bretagne, la campagne de vaccination a débuté en 2008, en obtenant une couverture de plus de 85% d’adolescentes. Depuis lors, sur l’ensemble de la population exposée au cancer du col (femmes de plus de 20 ans) l’incidence standardisée a augmenté, passant de 12.6 en 2007 à 14.1 en 2016

 

 

A partir de 2011

les statistiques nationales ont montré une augmentation brutale et importante

 

 

 

 

 

du taux de cancer du col utérin chez les femmes de 20 à 24 ans (vaccinées pour plus de 85% d’entre elles, alors qu’elles avaient entre 14 et 18 ans) qui ont vu leur risque de cancer (incidence lissée sur 3 ans) augmenter de 70% en 2 ans de 2,7 à 4,6 en 2013-2015).

Celles de 25 à 29 ans qui avaient entre 17 à 23 ans au moment de la campagne de vaccination ont vu leur risque de cancer doubler entre 2007 et 2015 (de 11 à 22) Or c’est dans ce créneau d’âge que l’on retrouve toutes les femmes ayant pu recevoir une vaccination tardive (vaccination dite de « rattrapage » après 16 ans)A l’opposé, l’incidence du cancer a globalement diminué chez les femmes les plus âgées (moins 20% dans le groupe 35-49 ans).

 

En Suède, le vaccin Gardasil a été introduit en 2006 et le programme de vaccination des préadolescentes mis en route en 2010 pour atteindre une large couverture approchant les 80% avec un « rattrapage » des plus âgées (jusqu’à 18 ans). Depuis l’incidence (standardisée Monde) du cancer du col de l’utérus, qui s’était stabilisé jusqu’en 2011, a augmenté de 23% passant de 6,69 en 2011 à 8,6 en 2016.

 

 

 

 

Cette augmentation globale est principalement due aux femmes de 20 à 24 ans en 2016, (vaccinées pour plus de 80% d’entre elles) qui ont vu leur incidence lissée sur 3 ans doubler, passant de 1.49 en 2007-2009 à 3.73 en 2014-2016 ainsi que le montrent les données et graphiques publiés par Nordcan (registre des cancers scandinaves) ; cette augmentation est statistiquement significative.

Age-specific rate per 100,000 (smoothed using 3 years average)
Year 20-24
2008 1.49
2009 1.88
2010 2.35
2011 2.91
2012 3.07
2013 3.58
2014 3.74
2015 3.73

 

 

Dans ce pays, comme en Australie et en Grande Bretagne, aucune augmentation n’est notée dans la population âgée de plus de 50 ans, non concernée par la vaccination HPV.

 

 

La Norvège a suivi une politique similaire de vaccination. Depuis, le registre du cancer Nordcan montre une augmentation de l’incidence standardisée monde du cancer invasif du col de l’utérus de 25% sur l’ensemble de la population (de 8.99 en 2007 à 11.31 en 2015).

 

 

Dans le groupe d’âge le plus vacciné (les 15-24 ans en 2016 qui avait entre 9 et 18 ans en 2010) une augmentation importante d’incidence lissée sur trois ans est apparue à partir de 2013 de 0.84 en 2010-2012 à 2.46 en 2014-2016 ainsi que le montre ce graphique et ces données NORDCAN

 

 

Age-specific rate per 100,000 (smoothed using 3 years average)
Year 15-24
2008 1.58
2009 1.65
2010 1.40
2011 0.84
2012 1.04
2013 1.34
2014 1.74
2015 2.46

 

 

 

 

 

 

 

Et la recherche des inversions de tendance (break point analysis) montre que c’est trois ans après le début de la campagne de vaccination que cette augmentation significative est apparue.

Norway Cervix uteri Incidence: ASR (World), age (15-24)

 

Year Numbers ASR (World)
2007 3 1.02
2008 5 1.66
2009 6 1.92
2010 4 1.23
2011 3 0.89
2012 1 0.29
2013 6 1.70
2014 6 1.69
2015 5 1.46
2016 13 3.69

 

 

Breakpoint Year Standard error 95% CI
Estimated 2012 1.13 [2009 ;2014]
Slope
Before (2007-2012) -0.07 0.20 [-0.56 ;0.42]
After (2012-2016) 0.66 0.20 [0.17;1.14]
Estimated annual percent change
Before (2007-2012) -21.99 [-39.75 ;1.02]
After (2012-2016) 64.16 [13.59;137.25]
NORDCAN © 2012 Association of the Nordic Cancer Registries – All Rights Reserved.

 

Cette progression inattendue, précoce et significative du nombre de cancers du col dans tous les pays où la population jeune est largement vaccinée interroge à juste titre d’autant qu’en France, peu vaccinée, l’incidence du cancer du col a largement baissé durant la même période rendant cette maladie rare (incidence inférieure à 6/100000), d’après les critères de l’OMS.

 

L’étude pivot de Merck concernant l’évaluation initiale du Gardasil et destinée à la FDA avait inclus des personnes (dénommées « non naïves ») qui avaient été contaminées préalablement par des souches virales oncogènes (en particulier 16 et 18). Les résultats de ce sous-groupe avaient retrouvé une augmentation (de 26%) de l’apparition de lésions dysplasiques du col par rapport au groupe non vacciné. Le fait de vacciner des femmes ayant déjà commencé leur vie sexuelle pourrait probablement augmenter le nombre de lésions précancéreuses sévères.

Quelle que soient les raisons de cette augmentation paradoxale mais indiscutable (données officielles des registres nationaux des cancers) des risques de cancer dans tous les pays dans les groupes d’âge qui ont été largement vaccinés justifie :

1°) une information loyale de la population en ne prétendant plus que ce vaccin prévient le cancer.

2°) Le principe de précaution impose de ne plus vacciner les femmes ayant déjà commencé leur vie sexuelle

3°) le même principe de précaution doit faire récuser toute obligation vaccinale anti HPV d’autant que la charge pour les finances publiques serait importante (200 à 400 millions d’euros chaque année en France).

4°) Des études indépendantes des firmes pharmaceutiques sont indispensables et urgentes pour établir si ce vaccin est réellement susceptible de prévenir le cancer ou s’il l’augmente et dans quels groupes afin d’adopter les recommandations actuelles aux faits avérés

 

Le refus des autorités sanitaires engagerait la responsabilité personnelle des décideurs et des experts, en particulier ceux liés aux firmes.

mise à jour des résultats internationaux de la vaccination par Gardasil 2 OCT 20

15 5 2019 gardasil chicago (002) 5     diaporama 

Paradoxical oncologic results of Gardasil in the real world. A cancer registers study.

Dr G Delépine, surgeon oncologist, Paris, France[1] N Delépine paediatric oncologist, Paris, France[2]

Oral presentation by Dr G Delépine 24 th of may 2019 Chicago Illinois USA

Summary

Aim: the authors evaluate the results of HPV vaccination on the incidence of invasive cervical cancer in different countries, comparing published data in national cancer registries and those of HPV vaccine coverage.

Method. After collecting crude figures and standardized incidences from oncologic registers of Australia (Australian Institute of Health and Welfare), Great Britain (Cancer research UK), Sweden and Norway (Nordcan), they analyse the evolution and their tendencies before and after the era of vaccination in the different countries and different age groups, with a particular attention to 20-29 age groups(high vaccine coverage).

Results In all studied countries, these evolutions are similar. During the 1989-2007 ( pre-anti HPV vaccination period), the incidence of invasive cervical cancer declined in all countries, results linked with smear screening.

Vaccination campaigns were initiated in 2007 (Australia) or 2008 (Great Britain), and we have now 7 to 9 years of follow up. Since 2007, a trend reversal has been observed in all countries with high immunization coverage studied (Australia, Great Britain, Norway, Sweden). Their official cancer registries reveal an increase in the incidence of invasive cervical cancer that appears 3 to 5 years after the beginning of the vaccination campaign and affects almost exclusively the age groups the most vaccinated.

In 20-24 group the increase reaches 100% in Sweden (1.86/100000 in 2007 vs 3.72 in 2015), 70% in Great Britain, (2,7 in 2007 vs 4,6 in 2014), 113% in Australia (0.7 vs 1.5), 10% in Norway (2.18 in 2007 vs 2.4 in 2015). In the 25-29 age groups, the increase reaches 100% in Great Britain (11 in 2007 vs 22 in 2016), 36% in Australia (5.9 in 2007 vs 8 in 2014), 9% in Norway (5.9 in 2007 vs 8 in 2015),10% in Sweden.

The crude figures are small, and, for this reason, the differences are individually not all statistically significant, but their convergence constitute a strong alarm signal, while unvaccinated (older women) have their risk of cervical cancer stabilized or continuing to decrease.

Comments. The contrast of the increasing rate of invasive cancer despite nearly eradication of HPV viruses after vaccination is paradoxical.

For vaccinated women, the evolution is dramatic. In France, a country with low vaccination coverage (<20%), the world standardized incidence rate of cervical cancer continues to decline in all age groups and is now lower (2017ASR 6/100000) than of more vaccinated countries

Conclusion. This unexpected paradoxical result, absolutely distressing for vaccinated women, requires additional studies to determine as quickly as possible the causes of such a health disaster and justifies an immediate review of vaccine recommendations.

[1] No link of financial interest with any drug company or anti-vaccine association

 

[2] Idem 1